Dossier de Presse KATE MOSS SUPERSTAR - Version CP-NB

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Dossier de Presse KATE MOSS SUPERSTAR - Version CP-NB
117 rue de Turenne 75003 Paris
Le 16 octobre 2015, Nadège Buffe inaugurera son nouvel espace 117 rue de Turenne 75003 PARIS Fidèle au Haut-­‐Marais parisien, elle fêtera pour l’occasion le 5ème anniversaire de sa galerie. Pour cet événement exceptionnel, la Galerie Taglialatella présentera les derniers travaux de son artiste contemporain phare, Russell Young autour de l’exposition « Kate Moss Superstar ». C’est également l’occasion pour la galeriste, à l’aube de cette aventure dans un nouveau lieu, de dresser un bilan de ces 5 premières années, de relater l’accueil que le public a pu réserver aux grandes signatures du Pop Art américain mais également d’évoquer l’évolution de ses jeunes artistes contemporains. EXPOSITION KATE MOSS SUPERSTAR
5ème anniversaire
Russell Young (1960)
Kate Moss Superstar #3, 2015
Screenprint on linen with Diamond Dus-­‐ -­‐ Luna Blue and B lack series. Du mardi au samedi de 11h à 19h
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Les derniers travaux de Russell Young réalisés en hommage à Kate Moss sont fondés sur les premières photographies très controversées du modèle parues en 1990 dans le «Vogue» British et réalisées par la photographe anglaise Kate Garner amie de la star. L’artiste se plaît à révéler dans ses œuvres sa fascination et sa curiosité pour la célébrité et son rôle dans notre société. Dans cette série hommage à Kate Moss, il se concentre sur un moment dans le temps, celui du début de la carrière du modèle. Mais au-­‐delà du caractère symbolique lié à l’évocation des premiers pas de la star établie aujourd’hui au rang d’icône, c’est toute une période qui est incarnée par cet instant. En effet, il s’agit de la naissance d’une nouvelle forme de célébrité, les débuts des grands mannequins vedettes de cette génération qui ont vu leur carrière décoller et, contrairement à ceux qui les avaient précédés, sont devenues de vraies stars dès lors que le mécanisme des relations publiques et de la gestion de l’image s’est mise en marche. En effet, les œuvres de cette série reflètent l’innocence, la fraîcheur et la beauté naturelle, la star est à peine reconnaissable, encore anonyme. La mise en scène du lieu banal, dépourvu d’esthétisme, intemporel, contraste avec la fraîcheur et la féminité du modèle qui semble à peine sortir de l’enfance avec l’ourson en peluche. Cependant l’assurance de la pose et l’aisance dans la tenue équivoque ne laissent aucun doute sur la destinée de l’emblème qui continue à marquer les générations. C’est ainsi que l’artiste Russell Young s’approprie l’image de la star, il remonte le temps pour la transformer en Pin-­‐Up Pop avec le grain de la sérigraphie et parsème de ses fameux diamond dust qui caractérisent sont œuvre pour sublimer le naturel d’une beauté qui semble traverser les âges ; symbole d’une modernité. RUSSELL YOUNG
L’artiste Russell Young commence sa carrière à l’âge de vingt ans en tant que photographe et prête son œil à la culture des célébrités. Dès ses débuts il sort de l’anonymat en réalisant pour George Michael la photographie de la couverture de l’album intitulé "Faith". Dès lors Russell Young fait passer devant son objectif des stars internationales comme Morrissey, Bjork, Bruce Springsteen, Bob Dylan, REM ou encore New Order, The Smiths, Diana Ross, Paul Newman et beaucoup d'autres. Il réalise également de nombreux vidéoclips pendant l’apogée de la chaine musicale MTV. En parallèle de cette carrière prometteuse de photographe et vidéaste, il se tourne vers la peinture. Ses travaux restent secrets assez longtemps cependant, en 2003, sa première exposition intitulée “Pig Portraits” rencontre un immense succès à Los Angeles et l’impose assez rapidement sur la scène contemporaine internationale. Fasciné par le monde des célébrités, à l’instar d’Andy Warhol, il reprend à sa manière les personnages emblématiques de la culture populaire américaine comme Marilyn Monroe, Jackie Kennedy, Elisabeth Taylor, Elvis, Clint Eastwood… en passant par le boxeur Mohamed Ali. Son travail lui permet de réinventer les images connues en leur donnant une poésie nouvelle, une tournure plus subjective. Les couleurs, le grain et la matière de ce qui avait été vu et revu, se transforment. Du mardi au samedi de 11h à 19h
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Russell Young : «Mon travail est une sorte de bande originale de ma vie, de mes amours, expériences et influences. Ma méthode de travail est de rechercher, de détruire et de créer. […] L'idée de créer des portraits "anti-­‐star" était probablement une réaction à mon ancienne carrière. Cependant, ils se sont avérés être encore plus beaux et plus emblématiques. Il y a indéniablement cette attitude qui est très réelle, dans le visage, une beauté qui est difficile à ignorer. Ce sont les héros qui manquent, selon moi, à l'Histoire de l'art». L’unicité de ses pièces relève des différents tons de couleurs utilisés, du grain, et de la manière avec laquelle l’artiste s’est appliqué à répandre la peinture sur la toile. Russell Young est désormais reconnu internationalement comme un artiste Pop de référence, pour son traitement d'icônes historiques ou de la Culture Pop. Ses œuvres ornent les murs de grands collectionneurs dans le monde entier: Kate Moss, London President Barack Obama, White House, Washington DC The Qatari Royal Family Mohammed VI of Morocco Crown Prince Pavlos of Greece, Athens Aby Rosen, New York John Paulson, New York Brad Pitt and Angelina Jolie, Los Angeles Kanye West, Los Angeles Daisy Soros, New York Beth DeWoody, New York The Getty’s, Los Angeles The Saatchi Collection, London David Bowie, New York Marc Jacobs, New York David Hockney, Los Angeles Joaquin Phoenix, Los Angeles Kirsten Dunst, Los Angeles Jennifer Aniston, Los Angeles Paul Smith, London The Benetton Foundation, Italy Laurence Graff, New York The Core Club, New York Du mardi au samedi de 11h à 19h
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5 ème ANNIVERSAIRE
Nadège Buffe a ouvert la Taglialatella à Paris en octobre 2010 dans le Haut-­‐Marais. Depuis elle partage avec le marchand New Yorkais Dominic Taglialatella une collection incontournable tant par la rareté des artistes proposés que par la diversité de sa sélection : Andy Warhol, Keith Haring, Tom Wesselmann, Jim Dine ou encore Jean-­‐Michel Basquiat, Robert Indiana, Mel Ramos, Russell Young, Banksy, Mr Brainwash, Swoon, Kouka, Senz... La galerie compte un fonds de 500 œuvres dont beaucoup de pièces uniques et constitue la référence en Pop Art et en Street Art en Europe et en Amérique du Nord. Promotion du Pop Art à Paris Si l’accueil réservé aux grands noms d’artistes du Pop Art Américain peut répondre au pari d’un public conquis d’avance ; dans sa promotion, la galeriste souhaite particulièrement mettre en exergue les multiples aspects d’un mouvement qui a révolutionné les codes. Cette promotion passe notamment par la présentation d’œuvres confidentielles qui traitent d’aspects moins connus du mouvement et qui ont pour vocation d’explorer notamment les différents fondements de l’art contemporain. Souvent considérés comme « valeurs sûres » -­‐ dans un marché de l’art qui se décomplexe de plus en plus d’un aspect spéculatif -­‐ des artistes ultra-­‐connus tels Andy Warhol ou Keith Haring, s’avèrent bien plus riches dans leurs travaux et leurs techniques que les idées souvent reçues. De ce point de vue, l’exemple de l’œuvre d’Andy Warhol est particulièrement saisissant. Il s’agit notamment d’aller au-­‐delà de l’image commune que représente l’artiste : un « portraitiste » connu de tous, qui a compris avant l’heure la dimension commerciale de l’Art. Pour la galeriste Nadège Buffe, la promotion de Warhol consiste particulièrement à considérer les nombreuses facettes d’un artiste visionnaire qui a su non seulement se jouer de l’imagerie mais qui a appris à la façonner, à bâtir un socle dans l’inconscient des générations. Warhol avait un sens aigu de la nature humaine et l’obsession des sociétés actuelles pour la sur-­‐exposition des individus -­‐ où chacun devient le propre metteur en scène de sa vie par son image, où l’apparence devient finalité et la célébrité une quête -­‐ ne peut que donner raison au propos de la démarche de Warhol et à sa perception à venir du monde. Chef de file du mouvement, avec lui, le Pop Art a révolutionné les codes. De même, la technique de la sérigraphie qui est l’élément central des artistes de Pop Art peut générer de grands débats avec le public entre vision traditionnelle de la peinture et la forme contemporaine de l’art. Expositions majeures Durant ces cinq années la galerie a pu proposer des expositions majeures : 2 grandes expositions personnelles sur Warhol (notamment 50 œuvres de Warhol pour le 3ème anniversaire en octobre Du mardi au samedi de 11h à 19h
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2013) ; 2 grandes expositions sur Keith Haring ; une réflexion sur le traitement de la femme à travers les œuvres de grands artistes de Pop Art (« Women in Pop Art » en Juin 2011 qui célébrait notamment des œuvres de Warhol, Indiana, Mel Ramos) ; 2 grandes exposition sur Marilyn, icône Pop par excellence ; 2 exposition sur le Street Art qui ont pu mettre en regard les artistes contemporains tels que Mr Brainwash, Banksy, Kouka, Swoon avec les pères spirituels : Haring, Basquiat, Kenny Scharf ; et des Solo Show des jeunes artistes contemporains phares : Kouka, Senz, Pierre Emery. Promotion des artistes contemporains : Russell Young, Banksy, Mr Brainwash… La galerie a l’exclusivité en France de Russell Young. L’artiste internationalement reconnu qui s’inscrit dans la droite lignée des pères spirituels du Pop Art américain a su imposer son identité et sa singularité en s’appropriant des images connues sans flirter avec les lieux communs. Depuis 2013, les galeries Taglialatella se sont également consacrées aux grandes signatures du Street Art. En mars 2013, l’exposition “Street Art yesterday and today” mettait en lumière l’influence des pères spirituels : Basquiat, Haring et Kenny Scharf sur leurs contemporains street artistes. L’exposition parisienne marquait ainsi la promotion de nouveaux artistes phare de la galerie: Banksy, Mr Brainwash, Swoon et Shepard Fairey. L’évolution des jeunes artistes contemporains : En cinq années, de jeunes artistes soutenus par la galerie sont devenus des noms. L’année 2015 a été particulièrement marquante pour l’artiste Kouka dont la première exposition a vu le jour début 2011 à la galerie. En 2014, l’artiste et Nadège Buffe se sont battus pour préserver l’installation monumentale de Kouka sur la façade d’un bâtiment rue René Boulanger vouée à être détruite pour la construction d’un hôtel. La vente caritative autour de cette œuvre qui s’est tenue en février 2015, dirigée par Pierre Cornette, au profit de la fondation Chirac et de l’Amref a été une réussite et a donné une grande visibilité à l’œuvre de Kouka et la possibilité de projets prestigieux. La promotion du Street Artiste New Yorkais Senz a également trouvé un grand succès. D’une première sélection d’œuvres exposées à côté des grands noms du Street Art en 2012 jusqu’au premier grand solo show en septembre 2014, l’artiste a pu révéler son univers particulier empreint de nostalgie, de gaité, de dérision, d’intimité, de collages, de vieux papiers, de dessins… et convaincre. La révélation de sa singularité auprès du public lui a permis d’être approché par de grands collectionneurs internationaux. Et enfin, l’accueil réservé au travail étonnant et poétique de Pierre Emery a été en 2014 et 2015 la satisfaction d’un coup de cœur réussi. L’artiste reconnu de la scène underground Rock et Pop Française réalisait depuis 20 ans ses collages qui s’inscrivaient dans une démarche artistique globale très cohérente. L’univers fait de performances multiples, d’images saturées, riches de contrastes, se retrouve dans l’essence des réalisations artistiques que Pierre Emery n’avait jamais souhaité exposer. Tels des joyaux mystérieusement cachés, l’artiste attendait le bon moment pour présenter son travail. Du mardi au samedi de 11h à 19h
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Un nouvel espace : 117 rue de Turenne
Ce nouveau lieu, dans une rue en devenir, s’inscrit dans la cohérence du développement de ces 5 dernières années et marque l’ambition des prochaines perspectives : un espace plus visible afin de favoriser le développement des artistes contemporains combiné à un espace plus confidentiel destiné aux collectionneurs qui viennent s’intéresser aux œuvres d’artistes déjà très connus. La partie de la rue de Turenne investie par la galerie est séduisante par son énergie. Déjà marquée par les changements qui rythment l’activité du Haut Marais avec l’apparition de lieux branchés et autres Pop Up Stores, elle est parallèlement toujours investie par les boutiques de ceux qui se sont installés il y a 40 ans. Ce contexte crée une riche combinaison entre dynamisme, culture et authenticité. L’espace dans lequel la galerie ouvrira ses portes mi-­‐septembre est également fait de contrastes. Les murs blancs traditionnels vont dialoguer avec la pierre pour apporter la neutralité qui se prête à l’activité mais aussi chaleur et convivialité. La galerie rappelle souvent que les artistes qui sont présentés, Street Artistes et Pop Artistes ont pour lien la recherche de l’accessibilité, la confrontation directe avec le public. Il est important pour Nadège Buffe que l’espace proposé cultive cet esprit. Warhol était très loin de la philosophie du White Cube, dans ses expositions en galerie ou en musée il tapissait très souvent les murs d’affiches reproduites par centaines pour accueillir par-­‐dessus ses œuvres. De même les Street Artistes exposés en galerie ne s’affranchissent jamais totalement du regard de la rue et se nourrissent de performances publiques, d’installations urbaines afin de préserver ce contact direct. A l’heure où internet révolutionne l’approche artistique, où le collectionneur d’art est tenté par l’achat en ligne où la dynamique marchande prédomine : efficacité, gain de temps et compétitivité… La galerie doit plus que jamais rester un espace de vie, d’échange, de rencontre et d’émotion ! Du mardi au samedi de 11h à 19h
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Nadège Buffe Fascinée par les libertés que peut offrir un lieu lorsqu’il est utilisé pour exprimer une dynamique, elle lance ses premiers événements en 2006. Ce sont des soirées confidentielles organisées dans des lieux privatisés autour de créations luminaires qu’elle réalise. Le souhait est d’élaborer la dynamique artistique d’un lieu dans une atmosphère travaillée. Face à l’accueil enthousiaste de ces événements, fin 2008, elle ouvre son premier lieu « expérimental » rue Jean-­‐Pierre Timbaud dans le 11ème arrondissement à Paris. Elle y expose ses créations qu’elle fait dialoguer avec les œuvres d’artistes urbains. Début 2010, elle ouvre un nouveau lieu rue de Picardie consacré à l’exposition de jeunes artistes de Street Art. Cette même année, la rencontre à New York avec Dominic Taglialatella est décisive. Le marchand d’art, fondateur des 2 galeries à New York et Palm Beach spécialisé en Pop Art et fort d’une trentaine d’années d’expérience du marché de l’art est passionné de culture artistique européenne et particulièrement de l’Ecole de Paris. Il ambitionne un retentissement dans la ville qui le fascine, dès lors un partenariat avec la galeriste parisienne se met en place. Ainsi en octobre 2010, Nadège Buffe ouvre sa deuxième galerie rue de Picardie et partage avec le marchand New Yorkais une collection incontournable tant par la rareté des artistes proposés que par la diversité de sa sélection : Andy Warhol, Keith Haring, Tom Wesselmann, Jim Dine ou encore Jean-­‐
Michel Basquiat, Robert Indiana, Mel Ramos, Russell Young, Banksy, Mr Brainwash, Swoon, Kouka, Senz... Du mardi au samedi de 11h à 19h
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