Faites-la parler plus que vous

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Sommaire
Est-ce que vous manquez de tchatche ? Est-ce ce dont vous manquez pour avoir
plus de succès avec les filles ? .................................................................................. 7
Comment créer une vraie attirance chez les femmes à qui vous parlez ................... 9
Comment éviter qu’elle soit trop à l’aise et vous voit comme un pote ?................ 14
Technique de Tchatche 1- les jeux de rôle pour rentrer dans son personnage,
continuer la conversation et faire grimper la tension sexuelle. .............................. 15
Technique de Tchatche 2 : Faire de la conversation un jeu auquel on joue à deux !
............................................................................................................................... 19
Le jeu des questions ........................................................................................... 20
Le jeu de la Fascination ...................................................................................... 21
Et les jeux de rôle dans tout ça ? ........................................................................ 23
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Il avait été patient. Il avait eu de la chance. Il avait surtout été plus malin.
Et pourtant, j’étais plus intelligent que lui. Et je le suis toujours. Mais c’est lui qui a eu
la fille.
On l’avait pourtant rencontrée en même temps, dans le tramway. Elle nous avait
donné son numéro à tous les deux. J’avais été le plus rapide pour la recontacter, elle
avait dit pour me voir lors d’un rendez-vous. Mais quand je me suis pointé pour la
revoir, il était là aussi.
RIEN DE COHERENT dans ce qu’il racontait. Beaucoup de fun, beaucoup de blagues,
beaucoup de mensonges : du FLIRT, au fond. Rien que ça.
J’ai à peine pris deux minutes pour aller pisser et quand je suis revenu, je les ai vus se
rouler des pelles en terrasse du café où on était.
Je ne pouvais pas croire qu’elle préfère ce connard arrogant à moi. Il avait été
tellement vulgaire…
Je me rappelle de cette histoire comme si c’était hier.
Dans ce court e-book, je vais vous révéler mes secrets de tchatche pour sexualiser
davantage !
Pour moi, ce qui compte, c’est que vous ne vous retrouviez plus jamais dans cette
situation. Si seulement c’était la seule fois que ça m’arrivait. Mais avant de vous
raconter TOUTE L’HISTOIRE, laissez-moi vous dire un truc que d’autres coachs en
séduction ne vous disent pas. Généralement, les coachs en séduction vous
conseillent des trucs pas trop mal pour améliorer votre conversation.
« Parlez de sujets qui vous passionnent »
« Cherchez les points communs qui vous unissent avec la fille »
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« Pensez à faire de vraies belles transitions entre les sujets »
« Faites-la parler plus que vous »
« Restez mystérieux »
MON CUL ! 75% des conseils
pour faire la conversation sont
bons pour les soirées entre vieux
qui veulent se faire des amis !
Mais c’est clairement pas
comme ça que vous allez
conclure !
Pardon pour la vulgarité… Mais j’ai bien observé les meilleurs dragueurs à l’œuvre avant d’en
devenir un moi-même, et j’avais envie de les gifler !
Ces mecs-là ne s’embarrassent pas de conversations intéressantes. J’étais scié de voir à quel point
c’était con, ce qu’ils racontaient. S’il y avait des « codes à respecter », ils les piétinaient, je ne vois
pas d’autres mots ! Vous voyez les sports d’hiver : moi, j’étais la piste verte, eux c’était le HORSPISTE direct !
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L’histoire que je vous raconte au début, c’est mon premier affrontement contre Sélim, votre coach
en séduction. On se connaissait depuis une semaine quand il a « remporté le match » initial.
Je le prenais pour un fou mais je crois qu’il avait déjà capté un truc que j’ai mis longtemps à
comprendre : il ne demandait pas l’approbation des filles. Il n’avait pas peur de les perdre. Il
agissait comme s’il n’avait pas peur de les choquer.
Très tôt dans la conversation, on la connaissait à peine la fille, il s’est mis à parler des épaules de la
fille, de massages, de l’été à la plage, du métier de masseur professionnel « un truc pour peloter les
filles si tu veux mon avis ».
Pendant bien 10 minutes, j’ai pourtant réussi à monopoliser l’échange, à faire taire mon
concurrent : elle et moi on avait un point commun, on aimait tous les deux la Méditerranée ! Super
pour lui parler de balades sur la plage, de paysage, de chaleur, de bons restaurants de fruits de
mer…
Et là l’autre tocard qui débarque avec ses gros sabots : «Y’a trois mecs qu’il FAUT ABATTRE au bord
de la plage ! La première catégorie, c’est les maîtres-nageurs sauveteurs, beaucoup trop beaux
gosses. La seconde catégorie, c’est les surfers, beaucoup trop beaux gosses ! La dernière catégorie,
c’est les mecs qui vendent les chichis beignets chouchous : ils parlent au ventre des filles, beaucoup
trop FACILE ! Avoue tu les regardes avec amour juste parce que tu as faim… »
Mais je le regardais… il racontait toutes ces conneries comme un acteur ! En jouant ! On avait le
même âge (on a toujours le même âge, c’est fou ça, non ? ) Et elle, elle riait comme une niaise,
elle était captivée par les conneries qu’il racontait. JALOUSIE EXTREME de mon côté, bataille
perdue : j’ai été trop gentil. Vous savez ce qu’on dit… « TROP BON, TROP CON… »
Du coup quelques années plus tard, en 2008, quand on est arrivé à Paris pour travailler, un jour
Sélim me dit qu’il a lu THE GAME de Neil Strauss.
Des putains de robot, pas une once de naturel chez ces pick-up artists, ça nous a dérangés. Mais
l’idée du NEG, on a trouvé ça cool. Surtout moi. Ca faisait quelques années que j’étais devenu plus
dur, plus rapide, plus direct.
J’avais changé d’attitude avec les filles. J’arrêtais d’être super intelligent, j’arrêtais de vouloir être le
plus brillant, je ne cherchais plus leur admiration. Je n’hésitais pas à « casser » comme on dit dans
Brice de Nice. Je n’avais aucun scrupule à vanner les filles. Le NEG, c’était vraiment ça. Remettre les
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filles en place, leur faire comprendre qu’on s’en foutait complètement. Leur faire comprendre
qu’elles n’étaient pas des princesses, et qu’on pouvait nous aussi imposer nos exigences.
Je dois avouer que le neg, j’y suis allé un peu trop fort. Vanner des Roumaines bêtement sur leurs
origines en parlant des Roms, casser des filles aux dents de travers en leur disant qu’il fallait arrêter
la boxe, ça allait les rendre encore plus vilaines : j’ai abusé. Mais ça m’a appris à calibrer. Je n’en
suis pas fier, qu’on soit d’accord ! Aujourd’hui, il y a des tas de filles que vous pourriez croiser qui
vous diront que je suis un connard, et elles auront raison : je me suis mal comporté avec elles, je
n’arrivais pas à doser correctement.
Au fil des années, j’ai compris ce qui m’avait manqué avec Julie pour gagner la bataille face à Sélim.
Je pensais avoir tout bien fait : j’avais été sympa, j’avais pris le temps de bâtir une vraie relation
entre elle et moi, de construire un vrai rapport entre nous, je parlais avec passion de ma Côte
D’Azur, je faisais en sorte de la faire parler, et on a évité les sujets de merde comme la météo…
La vérité, c’est que je ne savais pas « tchatcher ». Je pensais qu’il y avait une phrase magique pour
séduire.
12 ans déjà depuis ce plantage magistral, et je peux enfin vous le dire : la tchatche, ça s’apprend,
c’est facile, et surtout, il y a un truc sur lequel vous allez devoir travailler dur.
« Ce n’est pas CE QUE TU DIS QUI COMPTE, C’EST COMMENT TU LE DIS ! »
La drague, le flirt, la tchatche, c’est une question de forme, pas de fond. Les filles se foutent de
savoir si vous êtes le plus brillant, le plus cultivé, le plus gentil : ELLES VEULENT QUE CA BRILLE,
QUE CA PETILLE !
Entre un débat entre deux Prix Nobel et 2 chansons de Rihanna, 80% des filles vont choisir le
spectacle !
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Et c’est ça que vous devez comprendre : je ne vais pas essayer de vous changer dans cet ebook, je
veux juste changer l’éclairage sur vous. Je ne veux pas changer le moteur, je veux juste changer la
carrosserie !
Est-ce que vous manquez de tchatche ? Est-ce ce dont vous
manquez pour avoir plus de succès avec les filles ?
Je dois vous l’avouer encore une fois : j’ai perdu des années à vouloir être trop clean, trop bien
éduqué, trop brillant avec les filles. Je voulais à tout prix éviter ce que les Américains appellent le
SMALL TALK : le blabla inutile, sur les sujets trop triviaux. La causette, le papotage. Mais surtout,
j’évitais ce qui me faisait flipper : la sexualisation, l’arme ultime pour draguer…
Je peux maintenant vous le dire : jetez-vous à corps perdu dans le small talk ! Parlez de Cyril
Hanouna et du dernier truc débile que vous avez vu au zapping. Parlez de la dernière chanson
débile de Maître Gims, de la dernière couverture de Voici, de la dernière maîtresse du Président de
la République, du dernier selfie de Kim Kardashian.
A un moment, ça me rendait triste de voir ça. De voir que ces sujets fonctionnaient avec les filles.
C’est clair, ça fait toujours partie des meilleurs sujets de conversations, mais je préférais parler des
voyages, de mon travail, de mes passions.
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En réalité, je passais à côté de l’essentiel je crois : la plupart des gens (la plupart des filles donc,
aussi) n’ont pas une vie intéressante. Ne se donnent pas la peine de se motiver, de se bouger pour
avoir une vie intéressante, qui donne envie.
Un jour, j’ai demandé à tous nos potes ce qu’ils faisaient le soir en général en rentrant du boulot. Je
voulais suivre Sélim dans ses délires lifestyle et on fait souvent des trucs intéressants ensemble,
théâtre, cinéma, test de nouveaux produits, nouvelles expériences, mais CE N’EST PAS LA VRAIE VIE
ET TRES VITE LES FILLES COMPLEXENT !
Une fille a besoin de vous admirer, de vous respecter mais surtout pas de flipper ni de se
dévaloriser. Je m’explique : à un moment donné, on essayait de développer une méthode très
puissante et très bien rôdée pour tchatcher les filles. En misant tout sur nous, sur le développement
personnel, sur le lifestyle, pour draguer des 8, des 9 sur 10.
Mais la fille moyenne, la 4 5 6 7 sur 10, elle risque de flipper. Elle risque de ne pas se retrouver
dans ces conversations. Elle risque de se sentir pas au niveau. Et plutôt que d’avouer ce manque de
niveau, elle préfèrera vous mettre un gros râteau. Elle risque de ne pas avoir l’énergie physique,
intellectuelle, mentale pour vous suivre dans des expos, des concerts partout, des retraites
spirituelles, des heures et des heures de travail et de développement personnel.
N’oubliez pas la triste réalité : la plupart des gens ont la flemme, et veulent du prémâché. Faire
des efforts pour élever le niveau de la conversation : pourquoi faire !? C’est cool de rester léger !
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Comment créer une vraie attirance chez les femmes à qui
vous parlez
Une femme, au fond, elle veut savoir qu’elle va pouvoir se marrer avec vous. Elle
veut savoir qu’elle ne va pas s’emmerder comme un rat mort. Les filles veulent
passer du bon temps avec vous. Rien de plus. Rien de moins. Elles sont comme moi :
elles s’emmerdent au travail la journée pour pouvoir kiffer le soir et le week-end. Et
les vacances. VOTRE MISSION, si vous l’acceptez : DEVENIR UN DEALER DE KIFF. Et
c’est dans le blabla de base que vous allez pouvoir lui montrer que tout ce que vous
touchez se transforme en LOL, en sujet léger.
La bonne nouvelle, comme je vous le disais, c’est que ce small talk peut très vite jouer en votre
faveur. C’est la manière de présenter les choses qui va faire toute la différence.
LA MANIERE DE LE DIRE : CA CHANGE TOUT !
L’exemple qui suit est révélateur de ce qui peut se passer en soirée. La fille me parle, et me
demande ce que j’ai fait à Grenoble. Elle me dit « Tu as dû souvent aller en Belgique et aux Pays-Bas
alors ? » J’ai vite compris qu’elle n’avait aucune idée de l’endroit où se trouvait Grenoble…
Dans ma tête, c’est un jugement immédiat, la sanction tombe : elle n’est pas faite pour moi, son
niveau en géographie me déçoit… Je réagis comment à votre avis ?

« Mais tu sais que tu es conne ? » Voix plate.

« Mais tu sais que tu es conne ? » Version tu me plais, avec un grand sourire.

« Mais tu sais que tu es GRAVEMENT conne ? » Version FACEPALM exagérée.

« Mais tu es conne. Enfin pas conne, mais pas douée en géographie. Si tu le veux bien, je me
chargerais des cours pour Eros Junior et Vénus notre fille. »
Une idée en tête, mais TELLEMENT DE POSSIBILITES DE REACTIONS ! Un seul changement, une
seule variation et votre valeur perçue par la fille peut passer de très basse à très haute en un quart
de seconde.
La conversation, au risque de me répéter, n’est pas une conférence entre deux Prix Nobel. Les
femmes s’y connaissent en causette (c’est même le nom d’un magazine féministe, c’est vous dire),
certaines ne connaissent même que ça et seront déroutées si vous essayez d’aborder des sujets
plus profonds. Si vous essayez d’être trop profonds, d’être trop directifs…
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Vous devez mener la conversation… intelligemment je dirais. Je vois la conversation comme une
multitude de scratchs (vous voyez, les scratchs sur les chaussures, tous ces petits crochets qui
créent l’adhésion globale des deux parties !)
Tous les scratchs, ce sont des micro-sujets de conversation. L’écueil que je veux vous faire éviter,
c’est mon sujet Méditerranée. C’est le clou. J’ai appelé cette erreur le clou, en référence au
cercueil auquel je me suis condamné. Vous savez, le sujet « clou », c’est le sujet qu’on enfonce,
encore et encore.
« Ouais la Méditerranée. Et le Maroc. Et les bateaux pour la Corse. Et la Tunisie. Et la bouffe en
Italie. Et les poissons en Méditerranée. Et c’est plus chaud que l’Atlantique. Et le berceau de la
civilisation, etc… »
Un sujet, sur lequel j’ai tapé, encore et encore et encore. Je ne voyais pas que j’étais chiant. Pas
passionnant. Pas fun pour un sou.
Sur le moment, tu penses que tu tiens ton sujet génial, que la fille est contente. Mais elle veut juste
passer à autre chose, à un truc plus fun, moins prise de tête !
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Heureusement qu’il existe quelques techniques de tchatches pour vous éviter de passer en mode
interview ou de taper sur le clou encore et encore… (comme je le vois souvent quand
j’accompagne Sélim pour des coachings en soirée. Des apprentis séducteurs qui restent englués soit
dans leur opener, soit sur leur sujet CLOU… )
Alors attention, je ne vais pas vous mentir : votre niveau en conversation va exploser ! Je peux vous
assurer que vous saurez désormais toujours comment trouver les ressorts fun et intéressants dans
une conversation avec une fille qui vous plaît !
Bon allez, pour une dernière fois je retourne à ma conversation Méditerranée… Vous savez ce qui
lui manquait pour être intéressante et captivante ?
De la sexualité
, de la polarité masculin-féminin. Il manquait la
technique-clef de la séduction, la sexualisation…
Deuxième question : comment j’ai fait pour ne pas m’en rendre compte tout de suite ?
La réponse est simple, mais je ne l’ai découverte que plus tard. Ce que j’ai fait avec elle, c’est créer
le confort, c’est bâtir toute une phase de relation, où elle et moi, on commence à avoir un
« rapport », une relation, un truc sympa dans lequel elle est à l’aise avec moi. Pour moi, c’était déjà
génial d’en arriver là, d’échanger avec une fille comme si c’était un pote.
Jusque-là, j’avais quelques angoisses avec les filles, quand je leur parlais. En matière de
conversation,
1. J’avais peur de manquer de sujets de conversation
2. J’avais peur des silences quand ils arrivaient
3. J’avais peur de ne pas être intéressant en abordant des sujets quelconques
En évitant les trois, j’étais content, je croyais que je marchais sur l’eau et que je m’en sortais bien
avec les filles. Mais à la fin, elle est partie avec Sélim pour une raison simple :
IL N’AVAIT PAS PEUR DE RENDRE LA CONVERSATION SEXUELLE
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Prendre des éléments de sexualisation pour lui, ça avait l’air facile et vous savez pourquoi ?
Roulements de tambour… Parce qu’il n’avait pas peur de…
ROMPRE LA RELATION
(Les Américains appellent ça « break rapport ». C’est un peu comme quand vous avez un
négociateur qui raccroche au nez du terroriste. Tout le job d’un négociateur, c’est de « build
rapport », de créer un rapport entre eux, un lien de confiance, une relation. Et là, break rapport,
c’est l’inverse. C’est claquer la porte en pleines négociations, façon Les Inconnus « Je m’en vais
comme un prince ! »)
Il y a un truc qu’il faut bien comprendre : pourquoi parlez-vous aux femmes ? La prochaine fois que
vous êtes en train de draguer une femme, au bout de deux ou trois minutes, essayez de réfléchir à
la raison pour laquelle vous êtes en train de lui parler.
Et ne me répondez pas des trucs à la con du genre « parce qu’elle est sympa », ou « parce qu’elle
est intéressante ». Gardez ces réponses-là pour vos copines féministes… Je veux la vérité.
Vous avez abordé cette fille et vous êtes en train de lui parler parce que vous avez l’espoir que
cette conversation se finisse sous la couette avec elle ! (et c’est très bien).
Mais pour arrive à votre objectif, vous allez devoir :
passer le point de non-retour. Ça veut dire que si votre intention est
de faire naître une tension sexuelle entre vous et cette fille, il va falloir faire all in.
Si vous voulez gagner son cœur, il faut être capable de la perdre. C’est con comme raisonnement ?
Non, c’est le seul moyen de gagner : si vous voulez gagner, il faut être prêt PSYCHOLOGIQUEMENT
à tout PERDRE !
C’est pour ça que pendant mon histoire « Méditerranée », j’ai foiré et n’ai pas su capter l’attention
de cette fille : tout se passait bien, elle était à l’aise avec moi (je croyais), et moi je n’étais pas prêt
à la perdre ! Et j’étais absolument incapable de lui montrer que mes intentions étaient sexuelles.
Le premier truc à faire, quand vous voyez qu’une femme est un peu trop à l’aise avec vous est de
BRISER LE RAPPORT.
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D’où vient la TENSION SEXUELLE ?
La tension sexuelle naît du désir, mélangé à l’incertitude, au suspense, et même à une certaine
nervosité.
Imaginez le truc : si vous êtes en train de discuter d’un sujet quelconque et que ça se passe bien,
elle ne va pas se sentir en danger, il n’y a pas de suspense, pas d’incertitude. Donc oui, il y a du
confort, il y a du rapport, mais VOUS DEVEZ BRISER LE RAPPORT !
Un exemple applicable facilement. Si la fille que vous draguez se sent trop à l’aise avec vous et
commence à se plaindre de son job, ARRETEZ-LA ET DITES-LUI :
« Si tu continues comme ça, je vais facturer 200€ de l’heure. Tu m’as pris pour ton thérapeute ou
quoi ? Je prends la CB si tu veux ! »
Et voilà, vous venez de briser le rapport en une minute et un parfum d’inattendu flotte sur la
conversation. Elle qui vous voyait comme un « gentil garçon », c’est fini, elle commence à revoir ses
positions sur vous (ET C’EST TANT MIEUX ! vous n’êtes pas un gentil garçon, vous êtes un
HOMME !)
En gros, je sais que ça vous est déjà arrivé, parce que ça m’est déjà arrivé aussi : vous passez un
super moment avec la fille, et plus tard dans la nuit, vous voulez essayer de l’embrasser et là c’est le
drame. Malaise. Elle était trop à l’aise pendant la conversation, le baiser n’a pas sa place
maintenant…
BRISEZ LE RAPPORT et activez le mode FLIRT !
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Comment éviter qu’elle soit trop à l’aise et vous voit comme un
pote ?
Je vais vous parler des cadres, des rôles. Pour reprendre mon exemple Méditerranée avec Julie : j’ai
merdé parce que je me suis enfermé dans un rôle de mec relou qui parle de manière académique
de tous les sujets que ça m’évoquait. Je me suis contenté de ce rôle sans jamais laisser connaître
mes intentions. Mais merde ! Elle n’est pas médium ! Elle ne pouvait pas deviner que je
m’intéressais à elle (contrairement à Sélim qui a été clair tout de suite, voire bourrin)
J’aurais dû faire apparaître mes intentions plus clairement dès le début. Une affirmation comme :
« Oh la la, ce sourire, ça ne va pas du tout… je ne vais plus être capable d’enchaîner trois mots
d’affilée, tu peux arrêter de me chauffer ? »
Ou encore
« Tu peux arrêter de faire ce truc sexy avec tes cheveux là ? Ça me rend fou. Attends, du coup je dois
t’avouer que je n’ai pas écouté le moindre mot de ta phrase précédente. »
Une fois que votre intention est rendue publique, qu’elle le sait, vous pouvez retourner au blabla,
parce que désormais, il y a ce parfum de flirt et cette tension sexuelle qui est installée, et qui peut
resurgir à n’importe quel moment.
A mon avis c’est vraiment le plus gros souci qu’ont les hommes quand il s’agit de parler aux
femmes.
Ils s’accrochent tellement au rapport, au confort, ils ont tellement peur ce qu’ils sont en train de
construire qu’ils n’osent absolument pas faire ce travail de sexualisation nécessaire, et qu’ils sont
incapables d’insuffler la moindre tension sexuelle à cette conversation.
Une fois la tension sexuelle présente dans votre échange, voici deux techniques de tchatche qui
devraient vous aider !
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Technique de Tchatche 1- les jeux de rôle pour rentrer dans son personnage,
continuer la conversation et faire grimper la tension sexuelle.
Répondez à cette question : qu’est-ce que les personnages des séries télé qui suivent ont en
commun ?

ARI GOLD (de la série Entourage sur HBO)
https://www.youtube.com/watch?v=Tg4Ry15hQIE

TYRION LANNISTER (de la série Game of Thrones sur HBO)
https://www.youtube.com/watch?v=2Nb2gVah_44

HANK MOODY (de la série Californication sur Showtime)
https://www.youtube.com/watch?v=9IuHy1qnmCA

BARNEY STINSON (de la série How I Met Your Mother sur CBS)
https://www.youtube.com/watch?v=HcQJJ9CHXOw
Réponse : ces quatre personnages sont joués en équilibre, sur un fil, dans un cadre précisément
défini. Ce qui signifie que chaque expression du visage, chaque mimique, chaque réplique est
pensée dans ce cadre-là, est écrite pour aller parfaitement avec le personnage. C’est vraiment la
personnalité du personnage qui dicte la mise en scène, qui influe sur le jeu.
De même, je tiens à vous dire que vous pouvez prendre n’importe quel sujet de conversation et le
rendre intéressant.
Je ne vous demande évidemment pas de devenir un personnage que vous n’êtes pas…
Il faut vous inspirer de personnages où on sent la domination mentale, virile. Les quatre
personnages que j’ai choisi sont forts, sont spirituels, ont toujours la bonne réplique, souvent la
bonne attitude, et savent s’y prendre avec les femmes.
Dans leur attitude, il y a toujours une certaine tension sexuelle.
Quand vous allez choisir votre personnage, assurez-vous de choisir un personnage qui vous
permettent de créer de l’attirance, de faire naître une étincelle. Certains rôles marchent mieux que
d’autres pour y arriver.

Vous êtes le dominant, elle est mignonne.

Vous assumez un rôle de mec autoritaire.

Vous jouez le rôle de son coach, son consultant, son juge.

Vous jouez la victime de son pouvoir de séduction, vous subissez sa séduction.
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
Vous jouez le mec froid.

Vous jouez le mec égoïste (à un niveau complètement fou)

Vous l’imitez

Vous jouez le rôle du petit diable sur son épaule.

Vous jouez le vieux dragueur bien lourdingue (ça peut marcher !)

Vous jouez le rôle de son chaperon, celui qui l’accompagne en soirée.

Vous jouez le rôle du mec utilisé par la fille ! Elle vous utilise juste pour le sexe !
Tous ces rôles sont de bons rôles à jouer parce qu’ils vous permettent d’incarner le mec qui
maîtrise la situation.
Une fois que vous aurez posé les bases de votre caractère, de votre personnage, la suite de la
conversation va s’écrire d’elle-même !
C’est ce qu’on appelle généralement le CADRE dans la conversation. Pour vous emparer d’un rôle
et qu’il vous colle à la peau, je vous recommande de suivre ces trois règles :

Tenez bien votre rôle du début à la fin de la conversation

Soyez cohérent

Apprenez à en sortir si nécessaire ! (non, ce dernier conseil n’est pas contradictoire, je vais
vous expliquer pourquoi)
Le message que vous envoyez dès le début de la conversation en entrant dans votre rôle, c’est « la
conversation, j’en fais mon affaire et elle va répondre aux règles suivantes ». Vous ne pouvez pas
décider de prendre un rôle au bout de 30 minutes de conversation, ça n’aurait aucun sens. Votre
rôle, vous le définissez dès le début, OK ?
Et bien évidemment, vous ne le lâchez pas en cas de shit tests ! Les shit tests, c’est la manière
qu’ont les filles de nous tester, de voir ce qu’on a dans le ventre. N’attendez pas qu’elle vous donne
son approbation, qu’elle vous donne une bonne note : vous êtes le mec qui notez, vous êtes celui
qui choisissez !
Arrive un moment où une fois que l’attirance est là entre vous, une fois que la tension sexuelle est
là, vous n’avez plus besoin de rester dans ce rôle, vous pouvez déposer cette armure que vous
portiez. Si vous ne sortez pas de votre rôle, elle ne pourra jamais ressentir une vraie connexion
émotionnelle avec vous.
Comment jouer ces personnages dans la vraie vie ?
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A vous de choisir parmi les trois exemples suivants :
1. Un playboy qui a vraiment confiance en lui
2. Le petit diable sur son épaule
3. Un prof qui met de mauvaises notes à cette jeune femme qui va devenir son élève
Une fois que vous avez fait votre choix, réfléchissez à ce que vont donner les expressions faciales
pour ce rôle, demandez-vous comment vous pouvez réagir, parler, trouvez un bon ton pour votre
voix ! Prenez le temps de rentrer dans la peau de votre personnage !
Exercices pratiques : Comment réagirait votre personnage si…

Elle vous touchait les fesses par accident ?

Elle faisait tomber quelque chose par terre ?

Elle vous demandait de lui payer un verre ?
Normalement, vous ne devriez pas avoir les mêmes réactions avec les trois personnages ! C’est du
flirt : elle sait que vous jouez un rôle, et elle en joue probablement un elle aussi !
1/ Elle : (vous effleurant par mégarde les fesses) Au fait, tu fais quoi dans la vie ?
Vous en playboy : (regard appuyé sur la main qui vient de toucher vos fesses). Je connais très bien
cette technique, là… (en la regardant droit dans les yeux, regard de braise), c’est une de mes
préférées. La fameuse technique du « je te touche le cul l’air de rien en te posant une question
bateau ». Est-ce que je dois prendre la peine de répondre, ou est-ce qu’on arrête ces petits jeux toi
et moi ?
2/ Elle : (vous effleurant par mégarde les fesses) Au fait, tu fais quoi dans la vie ?
Vous en diablotin : Hahahaha (rires machiavéliques) doucement… repose tes mains sur ces
fesses…. Il ne le remarquera pas… penche-toi un peu en avant pour qu’il profite de la vue au
balcon…
3/ Elle : (vous effleurant par mégarde les fesses) Au fait, tu fais quoi dans la vie ?
Vous en professeur : (d’un air réprobateur) Non mademoiselle, ce n’est pas comme cela qu’on fait.
Il va falloir reprendre les TD et vous allez encore avoir une mauvaise note. Reprenons notre cours
sur la main au cul…
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Allez, on peut prendre un autre exemple pour vous montrer que cette histoire de personnage à
jouer s’applique à TOUTES LES SITUATIONS. On va en prendre une deuxième, un truc qui arrive
souvent : la fille laisse tomber son téléphone.
Elle : (Elle laisse tomber son téléphone et se penche, soit en avant et vous dévoile son décolleté,
soit vous tourne le dos en se penchant et vous dévoile ses fesses)
Vous en playboy : J’admire les efforts que tu fais pour que je te mate… pour que je n’en perde pas
une miette. Je dois avouer que la plupart des filles n’ont pas ton cran, n’attaquent pas aussi fort
dès le début…
Elle : (Elle laisse tomber son téléphone et se penche, soit en avant et vous dévoile son décolleté,
soit vous tourne le dos en se penchant et vous dévoile ses fesses)
Vous en diablotin : (Toujours le rire machiavélique en tête) Reste penchée comme ça… Très
bien… Prends ton temps, tu vas le rendre fou. Balance tes cheveux en arrière peut-être pour
voir… Maintenant ! C’est le bon moment pour balancer une phrase mignonne pour dire que tu es
maladroite…
Elle : (Elle laisse tomber son téléphone et se penche, soit en avant et vous dévoile son décolleté,
soit vous tourne le dos en se penchant et vous dévoile ses fesses)
Vous en professeur : (D’un air dubitatif) Peut mieux faire, vraiment… je suis déçu jeune fille. On
va devoir reprendre le TD « comment attirer l’attention d’un homme ». Là, c’est beaucoup trop
facile, c’est un niveau que vous maîtrisez déjà. Me mettre toute cette beauté sous les yeux,
enfin ! Vous valez mieux que ça ! Vous serez punie, laissez-moi réfléchir à une sanction
intelligente pour vous apprendre des choses…
TOUS les sujets de conversations ont un potentiel de flirt si vous savez y mettre la forme qui
convient, si vous vous laissez emporter par votre rôle, par votre personnage !
Ce rôle que vous jouez vous permet d’ajouter un peu d’épices à la conversation, et de ne pas
simplement répondre : « Je suis ingénieur informaticien » quand elle vous demande quel job vous
faites, ou de ne pas simplement lui dire « Tiens, ton téléphone ! » quand elle le fait tomber.
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Technique de Tchatche 2 : Faire de la conversation un jeu auquel on joue à
deux !
Vous vous êtes déjà amusé à compter toutes les voitures que vous doubliez sur un
Paris-Lyon en voiture ?
Vous vous êtes déjà amusé avec des potes à noter les filles de votre classe ou de
votre bureau ? (On avait fait un championnat quand on était plus jeunes, une sorte
de Pokémon version filles, avec le même slogan : « ATTRAPEZ-LES TOUTES »)
Si vous avez déjà vécu ces situations-là, c’est que vous avez compris le pouvoir du
jeu : LE JEU REND TOUT CE QUI EST CHIANT TRES AMUSANT !

Le jeu dans une conversation, ça marche toujours vraiment bien et là, qu’il s’agisse d’une fille
seule en face de vous ou d’un groupe, il y a toujours un vrai intérêt !

Le jeu permet de créer un rapport avec la fille ou le groupe

Le jeu permet à la conversation de se faire, tranquillement, autour du jeu, et permet de créer
une illusion d’alchimie entre les participants.

Le jeu vous permet d’échanger des informations que vous n’auriez pas échangées en temps
normal.

Le jeu permet parfois d’aborder le sujet de la sexualité bien plus facilement.
Avec le jeu, on se concentre sur les sentiments, les émotions, les observations… plutôt que les
simples faits !
Il y a un truc à savoir : pour bien utiliser un jeu avec une fille, c’est comme quand on raconte
une blague. On ne la fait pas deux fois. On ne l’explique pas : simplement on se jette à l’eau.
Exemple :
« Allez c’est parti, on va jouer au jeu des questions ! »
Qu’elle connaisse le jeu ou pas, vous devez l’embarquer dans votre délire. Vous ne devez
surtout pas lui demander « si ça lui dirait de jouer au jeu des questions ». Vous êtes le maître à
bord, vous avez la barre en main, c’est vous qui décidez de l’orientation et de la direction de la
conversation !
Ces jeux sont très utiles pour créer de l’attirance chez la fille : il est rare que des mecs osent
couper la conversation, osent briser le rapport et osent proposer des jeux comme ça, sortis de
nulle part ! Un mec qui propose ça, clairement, il n’est pas comme les autres !
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Je vais vous livrer une liste des jeux auxquels on a parfois recours quand on ne veut pas
que la conversation s’enlise.
On commence par le jeu des questions.
Le jeu des questions
Les règles sont simples.
Vous posez une question à la fille. Elle y répond, puis vous y répondez. Il n’existe aucun joker
possible, on doit répondre à toutes les questions. Les questions ne doivent pas être répétées.
Et tu commences !
Par exemple :
« C’est quoi ta glace préférée ? »
« La Haagen Dazs Dulce de Leche et toi ? »
« Les SOLERO ! A moi… Ton animal de compagnie préféré ? »
Vous pouvez changer légèrement les règles du jeu en envoyant des salves de trois questions.
Exemple :
« Ton parfum de sucette préféré ? La matière que tu préférais à l’école ? Le rappeur avec
qui tu ferais l’amour sur scène pendant un concert ? »
Commencez toujours doucement, sur des questions légères : la bouffe, les voyages, la
musique… D’expérience, à chaque fois que je joue à ce jeu, les filles partent toujours en vrille
et commencent à balancer des questions sexuelles ou sur les relations amoureuses avant la
cinquième question !
L’endroit le plus fou, l’endroit le plus insolite où tu as fait l’amour ?
Si vous voyez qu’elle ne part JAMAIS dans cette direction plus sexuelle, n’oubliez pas que c’est
votre devoir de sexualiser la conversation si vous ne voulez pas être comme moi en 2003 et finir la
queue entre les jambes !
Posez une question un peu plus chaude : « Est-ce que tu préfères garder la lumière allumée
pendant que tu fais l’amour ou est-ce que tu es écolo ? », le tout avec un grand sourire de diablotin,
bien évidemment !
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Le jeu de la Fascination
Ce jeu de la fascination repose sur un principe simple : les gens s’attachent plus aux
personnes positives, et n’aiment pas vraiment les personnes qui se plaignent tout le
temps.
Le jeu de la fascination s’appuie là-dessus : vous devez partager des impressions TRES
positives sur des sujets qui vous fascinent.
J’adore :
« La manière que les chroniqueurs TPMP ont de servir leur boss ! Imagine si tout le
monde était aussi docile avec moi ? Mais je serais le maître du monde ! »
« Courir sur le tapis au sport en matant Youtube ! Les gens me regardent courir et me
marrer en même temps, comme si j’étais complètement débile ! »
Je suis fasciné par :
« La gestuelle des grands chefs ! Tu as déjà vu comment ça marchait en cuisine ? C’est
un véritable ballet, le truc ! Pas besoin d’aller à l’Opéra pour voir un aussi beau
spectacle ! Et en plus tu peux manger après ! »
« Je suis fasciné par New York ! La taille de cette ville ! Ce parc en plein milieu !
J’aime bien L.A. et Vegas aussi, mais NYC, c’est autre chose ! Et la taille des parts de
pizzas ! »
Et seulement une fois que vous aurez réussi cet « échauffement », une fois que vous
aurez installé une ambiance positive, une fois qu’il y aura de bonnes vibrations, vous
pourrez attaquer sur son côté mignon, son côté coquin à elle.
Visualisez un entonnoir : d’abord des sujets vastes, larges, avant de descendre vers
elle, vers vous, vers les relations, vers des sujets plus intimes !
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Vous devez absolument garder en tête une chose : ce qui compte, c’est le feeling de
ce qui se passe entre vous. PEU IMPORTE LE SUJET DE CONVERSATION ! Tant que
vous voyez un sourire sur son visage, vous êtes sur la bonne voie !
C’est ce que j’avais complètement zappé dans mon approche « Méditerranée ».
J’avais fait de la Méditerranée le centre de la conversation, au lieu de me soucier
du feeling qu’il y avait entre nous.
Imaginez si j’avais pris un autre chemin ?
 Moi : « La Méditerranée, c’est tellement mieux que l’Atlantique, il fait tellement
plus chaud et j’ai besoin de chaleur ! »
 Elle : « J’aime bien Nice et Saint Tropez. »
 Moi : (high five pour la récompenser) « J’aime bien toutes les balades qu’on
peut faire, à l’arrache, tu vois, quand je pars à l’aventure dans les collines, dans
des endroits un peu plus à l’écart. »
 Elle : « Moi j’aime bien rester sur la Prom’ (la promenade des Anglais) et mater
tous les gens chelous passer ! »
 Moi : « Moi j’aime bien faire l’amour sur la plage la nuit pendant que les gens
chelous me matent ! »
 Elle : « Je préfère faire l’amour en rentrant du sport, ça détend, c’est mieux. »
Voilà comment on aurait pu s’amuser, comment j’aurais pu changer TOUT le cours de
la conversation ! Juste en étant un peu plus fun. Un peu plus taré, un peu plus
audacieux ! En parlant de sexe, oui oui !
Souvenez-vous d’un point quand vous aurez terminé cet ebook : la plupart des mecs
sont incapables de faire marrer une fille. Pourtant, c’est ce qu’elles veulent ! L’autre
jour encore, une fille que je draguais en ligne m’a fait le plus beau des compliments
pendant qu’on prenait un thé ensemble. Elle m’a dit : « T’es encore plus drôle en
vrai ! »
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Si vous réussissez à bien orienter la conversation, à la rendre fun, mais surtout à la
sexualiser avec confiance et assurance, les filles vous suivront les yeux fermés !
Et les jeux de rôle dans tout ça ?
Si vous aimez créer des scénarios, à l’époque, j’avais bien ri en lisant la réponse de
Neil Strauss quand on lui demandait son travail. Réparateur de briquets jetables.
N’hésitez pas à vous inventer des jobs débiles. Le pire, je pense que c’est le moment
où avec Sélim je me suis fait passer pour son garde du corps serbo-croate MAX, et
que lui jouait le rôle d’un ex enfant-soldat. C’était du grand n’importe quoi, on se
faisait passer pour des espions. Grand jeu de rôles !
Là récemment, j’ai replongé dans le rôle de l’espion pour une fille. Je me rendais en
Italie pour le travail. Je lui dis :
« Ecoute, on ne va pas se voir ce week-end, je file en Italie, à Bergame pour une
réunion avec des fournisseurs. »
Elle : « Oh je peux venir ? »
Plutôt que de me marrer et de lui dire simplement non, je rentre dans le jeu ! Utilisez
l’exagération ! C’est très puissant comme stratégie de conversation : pensez à
exagérer !
« Mais ouais ! Ecoute, vu la taille de ton petit cul, je te cache facile dans la valise et on
se fait un week-end à Rome après. Ambiance Audrey Hepburn, tu te la joueras
princesse en goguette. Non, on peut faire mieux que ça. Je vais t’embaucher pour que
tu passes ton week-end à me suivre. Tu feras des photos de moi en permanence.
Comme si j’étais un mec super connu, tu fais la paparazzi ! Tu revends les photos pour
qu’on puisse louer un yacht, on file à Monaco tout flamber au casino, et YOLO pour
tout le week-end ! Ça te va comme plan ? »
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Le fantasme est posé : vous, elle, l’Italie, Monaco. Elle se prend au jeu, elle veut venir
avec vous, sauf si elle est trop prude. Confessions : je suis déjà parti en week-end
avec des filles que je connaissais à peine, simplement parce que l’histoire était belle
et bien vendue !
FAITES REVER LES FEMMES ! FAITES RIRE LES FILLES ! Normalement, en introduisant
le sujet de la sexualité assez rapidement dans la conversation, vous verrez que vous
réussirez à vous différencier de la concurrence qui n’ose pas être un homme !
Voilà, c’est tout pour le moment. Parmi mes techniques préférées, retenez bien les
trois points suivants :
 Sexualisez rapidement
 Faites connaître vos intentions
 Prenez le rôle qui vous convient
 N’hésitez pas à vanner si elle le mérite
 N’hésitez pas à punir si elle ne suit pas vos règles du jeu
 Et surtout soyez fun ! Si vous vous rendez compte que même vous, vous vous
ennuyez, rétablissez vite la conversation fun !
C’est tout ce que je peux vous dire pour le moment. Je fonctionne sur des trucs
simples. Je parle peu de moi. Je reste désormais sur des sujets simples, mais il faut en
maîtriser beaucoup.
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Une approche bien plus complète, bien plus structurée vous attend dans la formation
Sexualisation : Mode d’emploi
 Vous apprendrez à booster votre confiance sexuelle
 A introduire subtilement le sujet du sexe dans la conversation
 La méthode pour maintenir la tension sexuelle entre deux rendez-vous
 Et tous les signaux à connaître qui montrent qu’une femme est prête à être
embrassée…
Eros, wingman préféré des mecs qui n’ont peur de rien et qui veulent réussir !
Paris, octobre 2015
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