142 semaine du 22 au 28 septembre 2010
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142 semaine du 22 au 28 septembre 2010
Semaine du 22 au 28 septembre 2010 Réalisé par Bertrand Blier Avec Jean Dujardin, Albert Dupontel, Anne Alvaro Long-métrage français Genre : Comédie dramatique Durée : 1 h 27 min Mercredi 22 septembre Jeudi 23 septembre Vendredi 24 septembre Samedi 25 septembre Mardi 28 septembre 20 h 30 21 h 18 h 21 h 20 h 30 C'est l'histoire d'un homme qui reçoit la visite de son cancer. " Bonjour, lui dit le cancer, je suis votre cancer. Je me suis dit que ça serait peut-être pas mal de faire un petit peu connaissance... " Comme toujours, Bertrand Blier séduit… Du pur Blier. (...) Il fallait sa verdeur audacieuse et tranquille à la fois pour trousser des dialogues de dynamite qui jouent avec nos tabous, nos angoisses, nos fantasmes et nos interdits (...). Ouest France - La rédaction Ce poème aussi brillamment écrit que superbement interprété démontre que le talent du (presque) septuagénaire a repris du poil de la bête. 20 Minutes - Caroline Vié Un film noir, à la fois fantastique et réaliste, désespéré et plein d'espoir, constellé de dialogues au scalpel. Marianne - Danièle Heymann Un Blier ça ne se raconte pas, il faut le voir sur pied, avec ses scènes qui ont parfois l'air de s'entrechoquer mais qui s'emboîtent au millimètre, ses dialogues au phrasé inimitable, ses échappées dans l'absurde, ses bouffées de rage, ses éclats de tendresse (...), ses comédiens servis comme des rois mais qui jouent comme des princes... Charlie Hebdo - Gérard Biard Blier is back. Avec son humour mordant, sa mauvaise humeur et ses répliques qui claquent. Sa folie. Sa poésie incongrue. Le Journal du Dimanche - Carlos Gomez … ou agace Blier semble ne pas en finir avec les constructions post-modernes et les petites mises en abyme un peu datées, qui se sont muées au fil du temps en fausses audaces et qui donnent le sentiment d'un auteur en pilotage automatique. Cahiers du Cinéma - Jean-Sébastien Chauvin Blier version 2010 fait du Blier sans la verve de Blier, même si quelques moments touchants sauvent la farce. Les Inrockuptibles - Jean-Marc Lalanne Réalisé par Phillip Noyce Avec Angelina Jolie, Liev Schreiber, Chiwetel Ejiofor Long-métrage américain Genre : Espionnage , Thriller Durée : 1 h 41 min Vendredi 24 septembre Samedi 25 septembre Dimanche 26 septembre 21 h 18 h 18 h Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs Evelyn Salt est sans aucun doute l’un des meilleurs agents que la CIA ait jamais comptés dans ses rangs. Pourtant, lorsque la jeune femme est accusée d’être une espionne au service de la Russie, elle doit fuir. Evelyn Salt va faire appel à sa remarquable expertise pour échapper à ceux qui la traquent, y compris dans son propre camp. En cherchant à percer le secret de ceux qui la visent, Salt va brouiller toutes les pistes. Est-elle vraiment ce qu’elle prétend ? Désormais, une seule question se pose : qui est Salt ? Histoire classique mais mise en scène survitaminée du cinéaste australien qui mélange avec brio les codes du thriller, du film d'espionnage et du drame sentimental. Le Figaroscope - Jean-Luc Wachthausen [...] Phillip Noyce construit un thriller paranoïaque [...] Angelina Jolie compose sa propre partition, et s'affirme comme l'un des corps les plus fascinants à voir aujourd'hui évoluer. Les Inrockuptibles Jacky Goldberg [...] le costume d'espionne traquée sied à ravir à l'héroïne de Lara Croft. Mais le réalisateur a eu la main un peu lourde côté poursuites et cascades [...] L'ensemble reste néanmoins un honnête divertissement. Le Parisien - Hubert Lizé Pure fantaisie sur le plan de la cohérence opérationnelle, enchaînement sans pauses d'actions spectaculaires (...) et coup de théâtre final : Salt est de ces spectacles qui se savourent comme on lit un bon polar. Le Monde - Jean-Luc Douin Ciné-Filou goûter avec Réalisé par Zdenek Miller Moyen-métrage tchèque Genre : Animation Durée : 0 h 40 min Samedi 25 septembre 16 h suivi d’un goûter Mardi 28 septembre 18 h Les aventures du petit criquet qui, muni de son violon, croise la route de différents animaux de la forêt. Tout cela, dénué de dialogues mais pétillant d'intelligence et de charme, se déroule sur des fonds dessinés fixes qui accusent la convention naïve de l'animation et la rendent plus délicieuse encore. Le Monde - Jacques Mandelbaum La semaine prochaine : « Révisons nos classiques » avec Youri Deschamps