Corina Angela CHIRIAC

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Corina Angela CHIRIAC
Corina Angela CHIRIAC
Nationalité et citoyenneté roumaines
Née le 26 octobre 1949
Célibataire
Actrice et chanteuse freelance, 37 ans de carrière professionnelle.
Réalisatrice d’émissions de radio et de télévision, compositrice, poète et
prosatrice, publiciste. Experte associée de la Commission nationale de la
Roumanie pour l’UNESCO.
Pére : Mircea Chiriac, professeur d’harmonie et de contrepoint au Conservatoire de Musique
Ciprian Porumbescu de Bucarest, Département de composition et direction
d’orchestre.
Mère : Elisabeta Chiriac, professeur de piano au Conservatoire de Musique Ciprian
Porumbescu de Bucarest.
Les deux parents sont décédés.
FORMATION
1990
International Tour Management Institute (ITMI) – Los Angeles, Californie,
États-Unis.
Diplôme de guide touristique.
Cours de législation immobilière américaine.
1967-1972
Institut des Arts du Théâtre et du Cinéma (IATC) I. L. Caragiale – Bucarest.
Diplôme d’État, métier d’acteur. Classe des professeurs C. Moruzan, M. Mereuţă.
Pour le diplôme, elle interprète le rôle de Baba Rada-Zâna Lacului de la féerie
« Sînziana şi Pepelea » du poète et dramaturge roumain V. Alecsandri, mise en
scène par Alexandru Tocilescu.
1966-1967
Lycée St. Sava – Bucarest.
Diplôme du baccalauréat.
1959-1965
Lycée de musique no. 1 – Bucarest.
Violon (1ère spécialité), classe du professeur George Manoliu.
Piano (2ème spécialité), études d’orchestre et de choeur.
EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE
1970 – 2008
Artiste freelance
À présent
Télévision nationale roumaine – Bucarest.
Présentatrice d’une émission de télévision hebdomadaire,
programmée le dimanche (la durée en est de 3 heures)
Depuis 1999 (19 fév.)
Commission nationale de la Roumanie pour l’UNESCO.
Experte associée en culture
1989 – 1994
Université de Californie à Los Angeles (UCLA) – Californie, États-Unis.
Guide touristique
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MZL Properties – Los Angeles, Californie, États-Unis.
Agent immobilier et administratrice de propriétés
1974 – 1975
Théâtre Giuleşti – Bucarest
Actrice
Autres activités à part les prestations artistiques :
• Formation suivie, aux États-Unis, au métier de guide touristique. L’expérience de la scène lui a
servi pour organiser et accompagner de petits groupes de touristes.
• 4 années d’expérience aux États-Unis comme agent de location immobilière et administratrice
de grandes propriétés immobilières (84 ou 200 appartements, piscine, ascenseurs, salles de
sport, salles de loisir, etc.).
• Occasionnellement chef de choeurs d’église amateurs.
• Organisatrice d’évènements culturels pour les organisations de la diaspora roumaine de
l’Amérique du Nord, d’Allemagne et d’Italie, ou bien en Roumanie.
• Organisatrice de lancements de livres ou de disques ou bien de vernissages au club UNESCO
de Bucarest.
• Organisatrice d’événements de bienfaisance. En 2000, elle participe à une tournée en
Allemagne dont les bénéfices sont donnés pour la construction d’une nouvelle église roumaine
à Nuremberg. Pour cette action l’artiste a été décorée par l’Église métropolitaine de
l’Allemagne et de l’Europe centrale, représentée par l’évêque métropolitain Serafim Joanta.
• Participation, entre autres, à un télédon organisé par la chaîne de télévision locale TV Neptun
en faveur des familles d’enfants atteints du cancer. Pour d’autres activités de ce type, à
l’occasion du centenaire de l’Église St. Sylvestre de Bucarest, la mairie du 2 ème arrondissement
de Bucarest a accordé à l’artiste, de la part du patriarche de la Roumanie, la médaille
d’honneur du Centenaire.
Parcours professionnel détaillé :
• 1965 : elle remporte le prix de l’artiste la plus populaire du concours radio « Debuturi »
(« Débuts »), à la Maison de la Culture Grigore Preoteasa, Bucarest. Le président du jury était
feu le compositeur George Grigoriu.
• Dès ses années d’étudiante de théâtre, la future artiste fait des apparitions au cinéma comme
figurante aux studios de cinéma de Buftea, mais aussi à la télévision nationale. On lui confie
aussi de petits rôles dans des pièces de théâtre portées à l’écran, comme par exemple la série
« Muşatinii » (« Les Muşatin »), mise en scène par Mme Sorana Coroamă, ou encore la pièce
« Sfântul » (« Le Saint ») de Eugen Barbu au Théâtre Comique de Bucarest, sous la direction
de Mme Sanda Manu.
• Mars 1970 : encore étudiante, elle s’inscrit au concours télévisé « Steaua fără nume »
(« L’Étoile sans nom »), animé par le grand présentateur Sorin Grigorescu de la télévision
nationale. Au bout de trois éditions, elle remporte le prix accordé par le jury de spécialistes
présidé par feu le baryton Octav Enigărescu, soliste de l’Opéra roumaine de Bucarest et
professeur de chant à l’Opéra de Zagreb.
• Mars 1971 : elle participe au festival international « Cerbul de aur » (« Le Cerf d’or »), à Braşov
(Roumanie), remportant le 3ème prix (« le cerf de bronze »).
• 1972 : elle interprète, à côté de Florin Piersic, le rôle principal féminin du long métrage
« Aventuri la Marea Neagră » (« Aventures à la Mer Noire »), réalisé par Savel Stiopul.
• 1974 : admise par concours au Théâtre Giuleşti, où on ne lui confie malheureusement aucun
rôle.
• 1975 : elle participe en tant que jeune chanteuse à trois festivals internationaux :
o juin : « L’Orphée d’or », en Bulgarie, où elle reçoit le diplôme d’honneur.
o
o
août : festival de Sopot, en Pologne, où elle remporte le 1 er prix (« Le Rossignol
d’ambre ») et le diplôme d’honneur.
septembre : festival de Dresde (Allemagne de l’Est), où on lui accorde le 3ème prix et
un diplôme.
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• 1975 : début de sa carrière internationale. En même temps, elle devient une des
collaboratrices permanentes de la télévision nationale, du Théâtre Constantin Tănase de
Bucarest, de différentes institutions culturelles roumaines et étrangères, de l’Agence artistique
roumaine du Ministère de la Culture. L’Association des hommes de théâtre et des musiciens,
dont elle a été membre jusqu’à la disparition de cette institution en 1990, lui accorde le statut
d’artiste freelance.
• 1976 : participation au festival international « La Lyre de Bratislava », remportant le diplôme
d’honneur.
• 1977 : elle est invitée à donner un récital, de nouveau à « La Lyre de Bratislava ». Elle donne
des concerts, des tournées et elle fait des apparitions à des télévisions d’Europe de l’est,
surtout en Allemagne de l’est, où elle devient célèbre à cette époque-là grâce à la chanson
« Ja, einmal ich traumte », composée par Mihai Constantinescu.
• 1978 : représentante de la Roumanie au spectacle « Heiß und kalt » à Friedrichstadtpalast,
importante salle de concert à Berlin.
• 1979 : représentante de la Roumanie au Festival international du film de télévision, où elle
présente le premier récital en couleurs produit par la télévision nationale roumaine : « Eu sunt
Corina » (« Moi, c’est Corina »), réalisé par Sanda Balaban et Aurora Andronache (réalisateur
musical) et produit par feu Tudor Vornicu (probablement le plus grand journaliste et animateur
culturel roumain de la télévision nationale), avec comme invité spécial Gheorghe Zamfir.
• Chansons roumaines interprétées par la chanteuse, publiées sur des disques roumains ou
internationaux, aux maisons de disques Electrecord, Supraphon ou Amiga.
• 1971-1988 : concerts en Roumanie et à l’étranger (Pologne, Porto Rico, Cuba, Portugal,
ancienne Union soviétique, Italie, Israel, Allemagne, Bulgarie et États-Unis) ; elle participe, à
côté du compositeur roumain Horia Moculescu, au Festival de la chansonnette de Cologne, où
elle interprète la fameuse pièce de Joseph Ivanovici « Les flots du Danube ».
• 1988 : elle voyage de nouveau aux États-Unis, invitée par la société roumaine de bienfaisance
« L’Avenir roumain » de Californie, à côté des artistes roumains Maria Ciobanu, Florin Piersic
et Dumitru Fărcaş.
• 1989-1994 : elle s’installe aux États-Unis, où elle donne des concerts, tout en suivant des cours
de recyclage.
• 1991 : elle reçoit du président de la Fédération Internationale des Organisations de Festivals,
M. Armando Moreno, la médaille d’honneur pour ses 20 ans de travail dans le champ artistique
international (voir ci-joint copie du diplôme).
• 1990 : elle achève un cours complet de 4 mois de formation au métier de guide touristique,
dispensé par l’International Tour Management Institute (ITMI) à Los Angeles, Californie, ÉtatsUnis (voir ci-joint copie du diplôme).
• juin 1989 : elle commence à travailler comme guide touristique pour le grand campus
universitaire de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA), qui accueille environ 20.000
étudiants toutes les années.
• juillet 1989 : recommandée par une agence immobilière américano-roumaine, elle est chargée
de l’administration d’une propriété de 8 étages, appartenant à l’agence américaine MZL
Properties. L’immeuble est situé dans le quartier de Westwood, à Los Angeles (10941
Strathmore Dr., Los Angeles CA 90024), et il existe encore aujourd’hui. Elle travaille 4 ans
comme administratrice générale et agent de location immobilière ; pour cela elle suit des cours
de législation américaine, des cours de conduite automobile et elle se familiarise avec le
système bancaire américain (voir ci-joint des lettres de recommandation signées par le
responsable de l’agence MZL).
• Pendant qu’elle travaille comme administrateur et agent de location, l’artiste participe à des
émissions de télévision en Californie. Dans sa collection personnelle elle garde des copies de
ces émissions sur support VHS, en système de couleur NTSC.
• 1992 : elle épouse Virgil A., citoyen roumain et américain originaire de Constanţa (Roumanie).
Le couple allait durer 4 ans.
• 1993 : elle travaille désormais dans un complexe résidentiel de 200 appartements non meublés
à louer, où elle occupe un poste similaire mais fait partie d’une équipe de 3 administrateurs.
Mais l’édifice est tellement endommagé suite au tremblement de terre de janvier 1994, que le
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complexe est déclaré inhabitable par les évaluateurs des dommages causés par le
tremblement de terre.
• 1994 : elle revient en Roumanie pour être avec son père, gravement malade. Le 1er décembre
son père, le professeur d’université Mircea Chiriac, meurt et il est enterré au Cimetière
arménien de Bucarest. Corina décide de rentrer définitivement dans son pays.
• 1995 : à partir de ce moment elle reprend son travail de chanteuse en faisant des apparitions
aux télévisions roumaines, produisant des émissions débats, des émissions matinales : à la
télévision – sur TVR, Tele 7 ABC, ProTV – et à la radio – sur Radio Total et Radio România
Cultural.
• 1998 : elle est choisie pour être experte associée de la Commission nationale de la Roumanie
pour l’UNESCO et membre du Club UNESCO, avec d’autres personnalités du monde de l’art,
de la médecine et de la littérature. Le secrétaire général de la Commission est l’auteur de
science-fiction Alexandru Mironov. Comme représentant de la Commission nationale pour
l’UNESCO l’artiste représente la culture roumaine à Londres, Atlanta, Stuttgart et Vienne.
• octobre 1999 : elle participe, avec la chanteuse folklorique Maria Butaciu, à une tournée dont
les bénéfices sont donnés à l’Église métropolitaine orthodoxe roumaine d’Allemagne et
d’Europe centrale. Pour cet acte elle reçoit des mains de l’évêque métropolitain Serafim
Joantă, en janvier 2000, un diplôme (« Grămată de Ctitor ») et une médaille (voir copie ci-joint).
• 2002 : parution, à la maison de disques Intercont Music, de l’album « Serenada pentru Carul
Mare » (« Sérénade pour la Grande Ourse »), sur CD et sur cassette. Il s’agit d’un album
d’auteur compositeur. La chanson figurant sur ce disque au numéro 14 est une création
originale sur la prière « Notre Père », interprétée par l’artiste accompagnée du choeur des
étudiants de l’Église patriarcale roumaine.
• 2003 : la maison de disques Electrecord produit le 1er volume des plus belles chansons de la
chanteuse Corina Chiriac, ainsi qu’un double album CD intitulé « Bucureştii de altădată » (« Le
Bucarest de jadis ») – recueil des plus belles pièces symphoniques composées par feu le
compositeur et le professeur d’harmonie et de contrepoint Mircea Chiriac. Sur cet album
figurent la fameuse « Sérénade pour violon et piano » jouée par le violoniste Ion Voicu, ainsi
qu’une version vocale de la même pièce, chantée par Corina Chiriac.
• Depuis avril 2004 : la chanteuse anime, trois fois par semaine, à la télévision privée TVRM,
une émission débat de 55 minutes intitulée « Amfitrion Corina » (« Chez Corina ») où elle met
en lumière des personnalités de la vie culturelle roumaine, des compatriotes ayant des métiers
intéressants, abordant aussi le sujet du recyclage professionnel – question tellement délicate à
une époque aussi mobile que la nôtre.
• 2005-2006 : la chanteuse entreprend un voyage de plus de 7 mois au Brésil et en Argentine. À
Buenos Aires elle rencontre de grands artistes argentins, dont le peintre Pérez Celis, considéré
comme le plus grand peintre argentin en vie. Toujours à Buenos Aires elle achève les
nouvelles et les contes de son premier recueil de littérature originale.
• 2006 : lancement du 3ème album de chansons de la série « Grands succès », édité par la
maison de disques Electrecord.
• octobre 2006 : parution du premier volume littéraire, recueil de nouvelles, contes et poésie,
écrit en Argentine et intitulé « Buscando el amor ». Le 1er volume porte en sous-titre « Le
Rocher ». Le livre connaît un grand succès. Un deuxième volume suivra.
• 2007 : elle participe comme membre du jury à différents festivals nationaux de la
chanson (festival de Mamaia, festival Florentin Delmar à Focşani, festival George Grigoriu à
Brăila) ou à des émissions télévisées sur la chaîne National TV.
• 2007 : elle est incluse dans la 2ème édition de l’ « Encyclopédie des personnalités roumaines »
(« Who is who in Romania », Éditions Hübner), à la page 544.
• 2008 : coproductrice et modératrice d’une émission de variétés sur National TV.
PROJETS EN COURS
Maison de Disques Electrecord – Bucarest.
4ème volume du « Best Of »
CV Corina Chiriac
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2ème double album recueillant les compositions de Mircea Chiriac (père de Corina,
professeur d’harmonie et de contrepoint)
2ème volume du livre « Căutând iubirea » (« À la recherche de l’amour »), publié à
l’automne 2006 à Bucarest
LANGUES
Anglais, français, allemand, espagnol (connaissances élémentaires)
CONNAISSANCES INFORMATIQUES
Bonne maîtrise de l’outil informatique
P.J. :
• Copies de plusieurs diplômes :
o diplôme accordé par la FIDOF,
o
diplôme de guide touristique de l’ITMI à Los Angeles, Californie,
o
diplôme accordé par l’évêque métropolitain Serafim Joantă.
Déclaration de l’artiste au moment de la rédaction de ce CV :
« Je me suis toujours efforcée d’être une bonne ambassadrice de la chanson roumaine. Quoique ma
carrière d’artiste ne soit pas finie, ce serait pour moi un honneur que de faire part de mon expérience
et de mes connaissances de la scène à la jeune génération de futurs artistes.
Je vous remercie de l’attention que vous avez bien voulu m’accorder durant ces plus de 37 ans de
carrière. Affectueusement, tous mes meilleurs voeux.
Corina Chiriac »
CV Corina Chiriac
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