Nivelles Capital

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Nivelles Capital
Culture
I
Commerces
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Nivelles
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Urban magazine - Numéro 92 - Octobre 2015 - Gratuit
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Au sommaire
6
Stéfanie Schuhmann
Quand incivilité
rime avec nouveauté
10
Un nouveau visage à la tête
de Nivelles Entreprises
Nivelles Capital est
une publication de Xpresseo sprl
Rue des Frères Pierseaux 6- 1400 Nivelles
Editeur responsable
Rédacteur en chef
Luc Pieltain
Zappeur
Palace est
dans la place !
18
Rédaction
Magaly Swaelens
Melissa Collignon
Olivier De Gerval
Olivier Duquesne
Luc Pieltain
Photographes
Magaly Swaelens
Luc Pieltain
Responsable commerciale
et publicité Nivelles Capital :
Josianne Lhote : 0497 499 284
[email protected]
Contact rédaction :
Luc Pieltain : 0475 42 83 46
[email protected]
Urbanisme
à Nivelles
38
Adresse de la rédaction :
Rue des Frères Pierseaux 6 - 1400 Nivelles
Avertissement :
Nous déclinons toute responsabilité
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peut être reproduit même partiellement
sans l’autorisation expresse de la rédaction.
Magazine Nivelles Capital
Quand incivilité
rime avec nouveauté
Criminologue, charmante et pleine d’assurance, Stéfanie Schuhmann, est notre nouvelle médiatrice… dans
le cadre des sanctions administratives communales. Un poste tout nouveau créé pour lutter plus efficacement contre les incivilités. Rencontre, au cœur du quartier Saint Jacques…
Nivelles Capital : « Médiatrice en matière de sanctions administratives communales »… c’est un titre professionnel
long et un peu nébuleux ! En deux mots,
cela signifie quoi ? !
Stéfanie Schuhmann : En deux mots !?
Il va m’en falloir plus ! Depuis le 7 avril
passé, je suis donc Médiatrice à la Ville de
Nivelles. Ce poste, subsidié par le Service
Politique des Grandes Villes, consiste à encadrer les mesures alternatives à l’amende
administrative dont, notamment, la médiation. Certaines incivilités, celles qui dérangent à vrai dire le plus nos citoyens, mais
qui faisaient souvent l’objet d’un classement sans suite (la Justice est débordée,
comme vous le savez) sont maintenant
prises en charge par la Ville et peuvent être
sanctionnées administrativement. Ces incivilités font partie de mon champ d’action.
Nivelles Capital : Nous pouvons donc
directement faire appel à vous dans le
cas, par exemple, d’un différend avec un
voisin ?
Stéfanie Schuhmann : Non ! Ce que
vous évoquez est de l’ordre de la média-
tion locale. Pour ce faire, vous pouvez, par
exemple, vous diriger vers les services que
propose, à Nivelles, l’asbl « Effet Médiation ».
Ce type de médiation intervient à la demande des personnes, dans le but de trouver une solution à l’amiable. Au contraire,
la proposition de médiation qui m’occupe
doit partir, nécessairement, d’un constat
ou d’un PV d’infraction. Il s’agit d’incivilités dont le suivi est assuré par l’autorité
communale et ce par la volonté du pouvoir
judiciaire.
Nivelles Capital : Vous parlez d’une
« proposition de médiation ». Cette proposition remplace-t-elle l’amende administrative ?
Stéfanie Schuhmann : Elle est plus exactement une alternative à l’amende. Pour
éteindre l’application de l’amende, la médiation doit d’abord être réussie. Il n’est
pas si facile d’échapper à l’amende….
L’offre de médiation est obligatoire en ce
qui concerne les mineurs, mais soumise à
l’appréciation du fonctionnaire sanctionnateur communal dans les cas des individus
majeurs. Le fonctionnaire peut proposer la
médiation ou imposer l’amende..
Nivelles CApital
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Un chien qui aboie
Nivelles Capital : De quels types d’infractions s’agit-il ?
Stéfanie Schuhmann : Il peut s’agir d’infractions liées à la tranquillité publique,
comme le trouble à l’ordre public ou le tapage nocturne. Imaginez le cas d’un chien
qui aboie sans cesse la nuit… Les voisins,
faute de pouvoir contacter le propriétaire
de l’animal, font appel à la police, qui vient
constater les faits…Toutes les infractions
touchant la propreté publique peuvent
également être visées - le fait d’uriner
sur la voie publique, les dépôts sauvages
d’immondices. Ou encore la consommation d’alcool sur la voie publique.
Nivelles Capital : Il est interdit de savourer une bière sur la voie publique à
Nivelles !?
Stéfanie Schuhmann : Effectivement !
Rien ne vous empêche de prendre un verre
à la terrasse d’un établissement. Mais si
vous vous éloignez de cet espace, vous
vous placez en infraction. Vous contrevenez à l’ordonnance de police interdisant
de consommer des boissons alcoolisées
sur la voie publique. La police, ou un Gardien de la paix, pourra dresser un PV ou
un constat d’infraction. Suivra… l’amende
ou la proposition de médiation entre la Ville
de Nivelles et vous, le contrevenant. Dans
cet exemple précis, un rappel à la Loi sera
vraisemblablement nécessaire.
Une place pour la victime
Nivelles Capital : La médiation semble «
à la mode ». Pourquoi ?
Stéfanie Schuhmann : Parce que la médiation vise la responsabilisation et la
conscientisation. Le contrevenant est
placé dans un contexte d’apprentissage :
il comprendra le « pourquoi » de la règle et
les conséquences de son non-respect (la
médiation pourrait, par exemple, aboutir à
un travail d’utilité publique, comme aider
les ouvriers préposés au nettoyage de la
voirie). Mais surtout, la médiation permet
à la victime de s’exprimer et de trouver sa
place dans la procédure.
Nivelles Capital : Comment se déroule
une médiation ?
Stéfanie Schuhmann : Lorsque les parties
sont volontaires, elles expliquent chacune
les faits, racontent leurs points de tensions, leurs problèmes et leurs besoins.
Ensuite, elles recherchent ensemble toutes
les solutions possibles et tentent de ressortir celle qui conviendra à chacun. A la
fin de la rencontre, un accord sera rédigé
et signé… Si l’accord est respecté, aucune
amende ne pourra être infligée. Je suis là
pour cadrer, pour aider à suivre les étapes
et donner des pistes.
Nivelles Capital : Quelles sont les qualités nécessaires au métier de médiateur ?
Stéfanie Schuhmann : Il faut savoir écouter, être compréhensif, ne pas prendre
parti, pouvoir se focaliser sur la recherche
d’une solution. Surtout, je pense, il s’agit
de rester neutre et de permettre aux gens
de trouver la solution par eux-mêmes…
Olivier Degerval
A vos agendas
Le 29 octobre, une conférence sera dédiée à la médiation. Rendez-vous à la
Salle des Mariages de l’Hôtel de Ville à 20
heures (entrée gratuite). La soirée débutera par la projection du film « Une autre
manière de s’entendre: la médiation », de
Jacques Borzykowski.
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Un nouveau visage à la tête
de Nivelles Entreprises
Nivelles Entreprises, c’est une business assistance dont les services passent par la sécurité, la mobilité, la
gestion de déchets ou encore l’économie d’énergie. Mais pas seulement. Nivelles Entreprises est également
un relais efficace entre ses membres et les entités locales, un ensemble d’actions destinées à renforcer le
travail de ces entrepreneurs qui font de Nivelles ce qu’elle est aujourd’hui : une ville dynamique et ouverte
aux nouvelles opportunités économiques.
Si plus de 200 dirigeants d’entreprises
font confiance à Nivelles Entreprises, c’est
parce que depuis près de 30 ans, elle assure quotidiennement de multiples service
à ses membres. Il y a 3 mois, alors que la
présidence du conseil d’administration était
à pourvoir, le CA recherchait une personne à
l’image de l’association : empreinte de professionnalisme et impliquée dans le monde
économique nivellois. Aussi, quand Cédric
Dewitte a posé sa candidature, le vote a été
unanime. Après avoir été administrateur et
trésorier, ce directeur de 9 agences ING implantées dans l’ouest du Brabant wallon est
donc devenu président, une fonction qu’il
assurera pendant les 3 années à venir.
Mais qu’est-ce que Cédric Dewitte souhaite insuffler à Nivelles Entreprises ? Audelà de suivre et consolider les objectifs de
ses prédécesseurs marqués par la volonté
de renforcer l’esprit de corps de l’association, il souhaite véritablement développer le
networking entre les membres. « J’aimerais
organiser des événements qui sortent de
l’ordinaire, des soirées culturelles dont
l’objectif serait de toucher des membres
qui n’ont pas l’occasion de venir à notre
tribune, en journée. »
Un développement constant
Aujourd’hui, Nivelles Entreprises représente
12 tribunes annuelles qui ont lieu les 3ème
jeudis du mois, 12 petits-déjeuners d’informations ciblées, un cocktail, une AG suivie
d’une soirée animation, un Walking Dinner
et enfin, une conférence-débat sur un thème
d’actualité. De quoi créer une ambiance
propice au réseautage et au développement
de synergies. « Nivelles Entreprises prend
de plus en plus d’ampleur, » continue Cédric Dewitte. « Le mois dernier, nous avons
passé la barre des 200 membres, et l’association se développe sans cesse. » Pas
étonnant pour une ville qui elle-même ne
cesse de croître ...
De nombreuses implications
L’association fait également partie des Forces
Vives (FoVi’s) du Brabant wallon, une initiative
créée en 2013, composée des coordinateurs
de 8 associations d’entreprises brabançonnes,
de la Chambre de Commerce et d’Industrie du
Brabant wallon. L’objectif ? Faciliter le trafic
d’informations, la communication et la bonne
mise en œuvre de projets communs entre les
associations d’entreprises membres. Les projets des Forces Vives sont multiples, comme
par exemple l’organisation régulière de Speed
Business Dating destinés à développer des
relations commerciales entre associations du
BW et favoriser les liens commerciaux entre les
sociétés de proximité. Nivelles Entreprises est
également active dans Go2Rêves, une initiative développée par les FoVi’s, pour laquelle 10
entrepreneurs nivellois visitent les écoles de la
ville, plus particulièrement les 6èmes d’humanités traditionnelles, techniques et les 7èmes
de professionnelles, et débattent avec les
élèves de sujets socio-économiques tels que
les marchés, l’économie, l’implication de l’entrepreneur, sa motivation mais aussi l’implication, les rêves, les attentes et la vision des étudiants. Citons enfin la participation de Nivelles
Entreprises dans le Programme « AGENDA 21 »
initié par la Ville. Particulièrement active au
niveau de la cellule « Économie Circulaire »,
l’association, qui travaille en étroite collaboration avec l’Échevin Pascal Rigot, joue le rôle
d’interface et de relais entre la Ville et les Entrepreneurs susceptibles de lancer des projets
« Nouvelle Économie ».
En 2016, tandis que le zoning de Nivelles
Sud célèbrera ses 60 ans, Nivelles Entreprises fêtera 30 années d’existence, un
double anniversaire qui laisse présager une
année riche en événements…
Plus d’infos sur : www.nivelles-entreprises.be
Melissa Colignon
Nivelles CApital
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Un Dîner des Chefs qui s’annonce alléchant
2 chefs = Apéritif + 3 plats + 1 bar à vins. Voilà l’équation gourmande du Dîner des Chefs, organisé le 21
novembre prochain par la Table Ronde 58 de Nivelles et ses complices du Divino Gusto et Il était une fois...
de gauche à droite : Olivier Dorchy (RT58 Secrétaire), Mathieu Sonet (RT 58 Past-Président), Joël Meersseman (RT58), Amine Mechmech (Divino Gusto),
Gaétan Céline Poels-Hardy (Divino Gusto), Mathieu Lisart (Il était une fois),Jean-François Dauby (RT58 Président), Mathivat Alexandre (RT58 Trésorier)
Le traditionnel rendez-vous gastronomique
de la Table Ronde 58 de Nivelles prend une
tournure différente cette année et devient
le Dîner des Chefs, en partenariat avec les
établissements Divino Gusto (square des
Nations Unies, 4) et Il était une fois... (rue de
Namur, 124). Pas besoin de remonter dans
le temps des éditions précédentes pour affirmer qu’il s’agit de l’activité phare du service-club, toujours organisée au profit du
refuge Les Salanganes, sur lequel cet article
reviendra. Car avant toute chose, arborons
ce nouveau concept qui sera proposé le sa-
medi 21 novembre, dès 19h30, à la Ferme
du Grand Marcha (Obaix). Les tableurs ont
rebaptisé l’événement Le Dîner des Chefs
car il voit, d’où l’innovation, s’unir la complicité, les idées et le savoir-faire de deux
grandes maisons nivelloises. “Cet instant
de retrouvailles avec le grand public autour
d’un repas est effectivement une des plus
anciennes activités de la Table Ronde. Il a
évolué à grande échelle, passant d’une formule huîtres et champagne à une version
encadrée par un traiteur. Cette fois, il sera
orchestré par deux restaurateurs du cru, qui
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ne manqueront pas de partager leur passion pour la cuisine et l’art de la table et de
servir des produits de qualité”, met l’eau à
la bouche le président des tableurs, JeanFrançois Dauby. Côté menu justement, il
faut s’attendre à une tourelle de foie gras de
canard, avec pain d’épeautre, céleri rave et
oignons conflits au cassis. Le plat? Coucou
de Malines accompagné d’un cappuccino
de pommes de terre au beurre de cacahuète
aux champignons des bois. Le président reprend: “Les chefs cuisiniers se sont associés pour composer ce menu de A à Z. Depuis l’apéritif jusqu’aux mignardises, pas un
seul produit industriel ne sera servi. Il y a des
tables d’exception à Nivelles et des spécialistes qui travaillent dans les règles de l’art.
On a souhaité les mettre à l’honneur”. N’oublions pas le dessert... “qui sera confectionné à base de chocolat. Et ce qui le rendra
exclusivement singulier, c’est le fait qu’il
sera élaboré par les deux chefs pâtissiers
des enseignes Divino Gusto et Il était une
fois..., à savoir Nicolas Titeux et Delphine
Ronsyn”. Côté prix, le menu s’élève à 65 euros par personne (hors boissons). L’apéritif,
du champagne à volonté, est inclus dans ce
forfait. Nul ne doute que du bon vin viendra
compléter les services, tant on connaît les
connaissances affinées du patron sommelier Gaëtan Poels (Divino Gusto).
Une finalité sociale
Le mouvement Table Ronde poursuit ses
objectifs dans un esprit d’amitié entre jeunes
hommes par le biais de leurs occupations
professionnelles et sociales. “On fonctionne
actuellement avec une dizaine de tableurs
actifs et huit anciens qui prennent part aux
réunions. Les nouveaux membres motivés
par le soutien de nos oeuvres sont les bienvenus, pour autant qu’ils soient âgés d’une
trentaine d’années”, ajoute Jean-François
Dauby. Autre importante manifestation organisée tous les ans aux alentours de l’été,
c’est le Golf Challenge Nivelles, au domaine
de la Bruyère. Une autre manière d’entrer en
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contact avec le tout public, avec notamment
une initiation à la discipline, une formule réservée aux entreprises et un repas. Parallèlement à cela, la Table Ronde participe tous
les deux ans aux rencontres médiévales de
Braine-le-Château. Ses sorties se tiennent
toujours au profit du refuge Les Salanganes,
installé à Lillois-Witterzée (Braine-l’Alleud).
Cette association agréée par l’AWIPH
(Agence wallonne pour l’intégration de la
personne handicapée) accueille des enfants
de trois à dix-huit ans qui présentent une déficience légère ou modérée ou des troubles
caractériels, psychotiques ou névrotiques.
Infos et réservations (Dîner des Chefs):
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Magaly Swaelens
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Un automne aux couleurs solidaires
Comme chaque année depuis dix ans, se tiendra bientôt à Nivelles le Mois de la solidarité internationale.
Trente jours pour s’ouvrir à d’autres cultures à travers des spectacles, des animations, des films ou par la
découverte de saveurs et d’animations concoctées par des Nivellois venus des quatre coins du globe.
C’est du 15 octobre au 15 novembre qu’aura
lieu de cette année le mois de la solidarité internationale. Un événement organisé par le conseil
Consultatif des Relations Nord-Sud de Nivelles
qui s’articule autour de deux projets phares : ‘les
mondes de Nivelles’, une journée placée sous le
signe de la rencontre de l’autre, et le ‘Festival du
film solidaire’.
« Pendant le mois de la solidarité, nous voulons
permettre aux Nivellois d’aller à la rencontre
d’autres cultures et de partager leurs valeurs »,
commence Evelyne Van Pee, Échevine des relations Nord-Sud. Et sachant que près de 95 nationalités composent la population de la ville, ‘les
mondes de Nivelles’ est l’occasion idéale de s’enrichir via la rencontre de ces Nivellois originaires
d’Amérique latine, d’Afrique, d’Inde, du MoyenOrient ou d’Europe de l’Est… Le 17 octobre, de
midi à 23h30, des stands d’information et de sensibilisation, d’artisanat et de dégustation donneront ainsi aux visiteurs l’opportunité de découvrir
les plats, costumes et musique de seize nationalités différentes. « Si pendant dix ans, la fête des
mondes a eu lieu sous un chapiteau dressé sur la
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Grand-Place, cette année, pour la première fois,
grâce à un partenariat avec le Centre Culturel,
elle aura lieu au Waux-Hall, » continue Evelyne
Van Pee. Une jolie collaboration qui englobe la
Bibliothèque locale de Nivelles et qui permet aux
organisateurs de proposer encore plus d’animations, d’ateliers et de spectacles ! Côté musique
: danses et chants traditionnels, rythmes africains,
orientaux et latinos se succèderont sur la GrandPlace, dans le foyer du Waux-Hall et sur la scène
du Centre Culturel. Un programme authentique
soldé par les concerts de ‘Youssef et les Raïtistes’
(Maroc) et ‘Chicos y Mendez’ (alterlatino) qui vous
feront voyager sur les continents voisins…
Le programme complet des activités se trouve
sur www.mondesdenivelles.be
Le Festival du film solidaire
Second pilier de l’événement, le Festival du film
solidaire présentera une sélection de cinq films
pour « s’informer, réfléchir, questionner et éveiller
nos consciences à des problématiques engendrées, parfois, par des personnes pour qui droits
de l’homme, respect de l’environnement n’ont
aucune valeur et contre lesquels luttent celles et
ceux pour qui solidarité n’est pas un vain mot ! »
À découvrir du 15 octobre au 17 novembre : Timbuktu, de d’Abderrahmane Sissako (César du
meilleur film 2015), le Sel de la terre, un documentaire franco-italo-brésilien réalisé par Juliano
Ribeiro Salgado et Wim Wenders (2014), Samba,
une comédie française écrite et réalisée par Eric
Toledano et Olivier Nakache (2014), les Héritiers,
un film dramatique français écrit, produit et réalisé par Marie-Castille Mention-Schaar (2014) et
Sobre las brasas, un documentaire d’Hadja Lahbnib (2015).
À découvrir également en marge du mois de la
solidarité, ‘Manger un mur’, une expo d’artistes
du monde entier sur la thématique du droit à l’alimentation (du 19 octobre au 6 novembre 2015).
Pour les amateurs de théâtre, la pièce intitulée
‘Nourrir l’humanité, c’est un métier’, qui a reçu le
prix ‘Climat’ au Festival d’Avignon en 2015, sera
présentée au Waux-Hall le 26 octobre. Une piècedocumentaire bouleversante qui raconte la crise
qui frappe actuellement le monde agricole.
Réservation :
067/88.22.77 ou [email protected]
Melissa Colignon
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Zappeur Palace est
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dans la place !
Quand nous les avions
rencontrés il y a cinq ans,
ils étaient encore tous très
jeunes mais déjà sacrément
doués. Aujourd’hui, ils ont
entre 18 et 20 ans et ne cessent de monter… Maxime,
Pol, François et Nathan, une
bande de potes nivellois passionnés par la musique, sortira bientôt un Extended Play,
mini album de cinq plages.
Rencontre avec Maxime Legrand, chanteur et guitariste
du groupe aux accents de
pop rock française.
Nivelles CApital
1 9
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Nivelles
revient...
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votre plage horaire.
Information : Nivelles Commerces : 0470 / 55 45 38 - [email protected]
NC : Vous êtes encore tous très jeunes tous
les quatre et pourtant, Zappeur Palace est déjà
une longue histoire ?
ML : Il y a cinq ans que nous jouons ensemble.
Nous nous sommes connus au Collègue Sainte
Gertrude, nous trainions toujours à quatre. Nathan
et moi avons lancé l’idée du groupe et presque
immédiatement, Pol et François nous ont rejoints.
J’avais à peine 13 ans. Depuis, on n’a pas arrêté
de jouer… On a donné notre premier concert en
2010, à l’IPET.
NC : Quel est votre style, votre univers musical ?
ML : Notre style, c’est de la pop française ! Mais il
faut quand même dire que ces cinq dernières années, nous avons eu plein de phases... En grandissant, nous avons tous pris des chemins musicaux
différents, et loin de nous déforcer, ces différences
nous ont permis d’arriver à ce que nous sommes
aujourd’hui. Pol est plutôt funck, François, rock
dur, Nathan est un jazzman et moi, j’aime la musique anglo-saxonne...
Mais grâce à ces influences et du fait de notre amitié, on arrive à créer notre propre style ! Quand je
débarque avec le squelette musical d’un morceau,
les autres se l’approprient. Chacun l’enrichit à sa
sauce et c’est ce qui fait notre style pop rock un
peu alternatif. Nous avons des morceaux calmes
tandis que d’autres sont beaucoup plus trashs.
Cela traduit le fait que l’adolescence est comme
ça : une alternance de moments de tristesse et de
hargne envers les choses.
NC : Qu’est-ce qui t’inspire pour l’écriture des
textes ?
M.L : Mon thème phare est l’amour, c’est ce qui
m’inspire le plus. J’aime me faire des fictions, exagérer ce que je vis, l’amplifier pour le transposer
dans mes chansons. J’ai aussi écrit sur le décès
de ma grand-mère, sur l’humanité... En fait, j’écris
sur tout ce qui peut passer dans la tête d’un ado
entre 13 et 18 ans... à côté de cela, j’adore Gainsbourg ! Il m’inspire aussi beaucoup.
NC : Avez-vous déjà essayé d’écrire à quatre ?
M.L : Oui, mais c’est peine perdue ! On n’a pas
la même façon de penser et ça part vite en fourire ! Du coup, j’écris seul. Quand l’inspiration
ne vient pas, je sens les autres qui attendent…
Mais je n’arrive pas à écrire sous la pression. Je
pourrais me forcer à réfléchir devant une feuille,
construire une structure de chanson et la remplir,
mais je ne fonctionne pas comme ça. Je marche
plutôt à l’inspiration. Parfois, j’écris un morceau en
une heure, dans une sorte d’état de transe. C’est
un peu comme si le bic traduisait mes pensées.
Ce n’est jamais facile d’arriver à ce que les mots
soient dociles à nos pensées. Quelquefois, quand
je relis une phrase, elle ne me parle pas, tandis
que d’autres voudront tout de suite tout dire à mes
yeux. L’écriture d’un morceau peut me prendre
une heure ou six mois, ça dépend… Par contre,
pour composer les mélodies, nous nous y mettons tous les quatre. Comme j’écris les paroles,
j’arrive avec le squelette d’une chanson à laquelle
j’ai déjà pensé. Parfois on démonte le tout et on
recommence, parfois ça plaît aux autres et on part
là-dessus… Sans eux, je ne pourrais pas composer. Chacun, avec son propre style, va enrichir la
mélodie de base.
NC : Vous avez déjà fait pas mal de scènes et
de concerts…
ML : Oui, on a fait les premières parties de Suarez,
Jeronimo, Noa Moon, du groupe ‘On prend l’air’ et
de Mickael Miro. Au niveau des festivals, on a joué
au ‘Vox festival’, à ‘Scènes sur Sambre’, au ‘Music
Bridge Tour’ d’Aarschot, Malines, Oostakker et Lodelinsart, aux «Francofolies» de Spa en 2012, ainsi
qu’au festival ‘Zwinrock’ de Kortrijk. Plus un tas de
concerts dans des petites structures.
NC: Tous les prix et concours que vous avez
gagnés traduisent un certain succès, c’est indéniable…
ML: En 2012, on a gagné le prix de la chanson
française organisé par ‘La ruche théâtre ». En
2013, le prix du jury du concours « radio TAMNivelles CApital
2 1
TAM » sur les ondes bruxelloises, ainsi que le prix
‘National 5’ qui nous a permis une tournée dans
l’ensemble de la Wallonie avec ‘L’envol des cités
2014 : Frameries, Mons, La Louvière et Tournai’.
Nous avons aussi remporté une série de stages
dans toute la Belgique (la dernière en date était un
stage de coaching musical).
NC : La sortie de l’EP, album 5 plages, est aussi
un beau projet…
ML : C’est dans le cadre de notre victoire au
concours de radio TAMTAM que nous avons remporté l’EP (Extended Play). Il sortira aux alentours
du 15 octobre et sera disponible pour tous ceux
qui souhaitent découvrir notre univers musical !
Nous mettrons les infos sur la page Facebook
dans le courant du mois d’octobre. Vers Noël,
nous allons passer un weekend avec Ludovic
Barnoin (manager de Maurane et ex assistant de
Lara fabian). Il va nous emmener en studio, nous
verrons où cela nous mène mais cela s’annonce
excitant…
NC : On termine toujours par les rêves. Parce
que c’est beau, les rêves…
Nivelles CApital 2 2
ML : Mon rêve à moi ? Vivre de la musique ! Me lever
et prendre ma guitare, composer, chanter et le soir,
faire des concerts,… La musique est plus qu’une
passion pour nous. Nous avons eu la chance d’être
tous les quatre au même endroit au bon moment et
la musique est ce qui nous anime…
Zappeur Palace :
Membres: Chant, Guitare : Maxime Legrand, guitare soliste : Pol Beele, basse : Nathan Surquin et
batterie : François Wery.
Melissa Colignon
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3 dates uniques pour vivre de belles et grandes histoires
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vembre à 14h3
Le samedi 14 no
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Le mercredi 18 novembre
à partir de 14h :
rencontre et séance de déd
icaces
avec 3 auteurs belges (do
nt deux nivelloises)
Thomas Lavachery, Emma
nuelle Eeckhout et
Pascale Francotte
Le samedi 21 novembre :
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Geronimo Stilton en chair et en os
Cette souris journaliste qui vit
monde,
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School Aventure: une BD
qui aborde le décrochage scolaire
Le sujet n’est pas évident à introduire en classe. Infor Jeunes Brabant wallon a développé un support
pédagogique sous forme de bande dessinée pour faciliter l’entrée en matière.
Au sein du service Infor Jeunes
Brabant wallon, le projet de
créer une bande dessinée qui
parle avant tout aux jeunes, mais
aussi aux adultes, était déjà sur
les rails depuis bien deux ans.
Le thème, c’est le décrochage
scolaire. Comment amener le
débat sur cette problématique
sur la table des écoliers? Quelle
approche privilégier? La BD peut
être un des moyens efficaces pour enclencher une forme de raisonnement tant chez
les plus jeunes que chez ceux qui assurent
l’éducation ou l’instruction de ceux-ci, dans
chaque foyer ou dans le milieu scolaire.
La BD vient de sortir sous le nom School
Aventure. Elle a donc été réalisée par l’équipe
d’Infor Jeunes Brabant wallon. Les dessins
sont signés Cédric Hervan (pseudonyme).
Avant tout artiste, ce dernier est également
animateur. School Aventure se veut être utilisée plutôt comme un outil pédagogique
pour lutter contre le décrochage scolaire, visant alors plus spécifiquement une tranche
de lecteurs de la sixième primaire à la quatrième secondaire. Mais l’ouvrage s’adresse
d’abord à tous, même si l’objectif premier est
qu’il soit tout de même acheminé et utilisé
à bon escient par des professionnels (professeurs, directeurs d’écoles, éducateurs,
travailleurs sociaux...). School Aventure veut
amener le lecteur, principalement
celui issu du monde de l’enseignement, à réfléchir sur cette
problématique qui n’est pas au
stade ultime de la catastrophe
mais qui concerne néanmoins
encore trop d’élèves à l’heure
actuelle. La publication a été imprimée à neuf mille exemplaires.
Elle est haute en couleurs et
comporte une septantaine de
pages, retraçant des histoires traitées avec
humour et énoncées en plusieurs chapitres.
Des récits dont des éléments ont été puisés dans la pièce de théâtre “Je décroche,
accroche-moi”, que l’ASBL avait mise sur
pied dans la même optique en premier lieu.
Entre chacune de ces histoires, on peut faire
le plein de conseils, de divertissements...
Ce qui est narré dans cet ouvrage, ce sont
principalement des situations vécues par des
parents, enfants, enseignants et autres. Pour
se procurer School Aventure, il faut se rendre
dans les locaux de l’antenne (avenue Albert
et Elisabeth, 13). L’idée est que les établissements scolaires de la province aient envie de
travailler avec cette bande dessinée comme
support pour introduire un débat sur le décrochement scolaire avec les élèves.
schoolaventure.wordpress.com
Magaly Swaelens
Nivelles CApital
2 9
La boxe pour dames : un sport complet
et prisé par les Nivelloises
Depuis quelques années, la boxe pour dames séduit la gent féminine. Et pour cause : ce sport méconnu est
très complet et beaucoup moins violent qu’on ne le pense. Rencontre avec Pino Bosco, entraîneur et responsable de The Stadium, une salle d’entraînement nivelloise spécialisée dans les sports de combat.
Nous avions déjà rencontré Pino
Bosco à la fin de de l’année 2012.
The Stadium venait alors à peine
d’ouvrir ses portes et comptait déjà
de nombreux amateurs. Trois années
plus tard, la salle ne désemplit pas
et d’autres disciplines ont vu le jour,
notamment les cours de boxe pour
dames. « Je suis en contact avec
plusieurs salles de sports, à Paris, et
je me suis aperçu que c’étaient des
cours qui commençaient à très bien
marcher, commence Pino Bosco. La
boxe est en vogue depuis quelques années sur Paris.
Il y a un réel effet de mode. Les gens ont une mauvaise
approche de la boxe, car contrairement au karaté où
on n’utilise pas de protection, il y a très peu d’accidents. En boxe, il y a des protections, un casque… Et
puis, la façon de s’entraîner d’un compétiteur et d’un
néophyte sont deux mondes de différences... »
La philosophie de The Stadium est d’assurer le caractère pluridisciplinaire des sports de combat. C’est
d’ailleurs une équipe d’entraîneurs de haut niveau,
champions dans leurs disciplines, qui assurent les cours
et font partager leur passion pour les sports de combat : Kick Boxing, boxe anglaise, boxe Thaï, MMA (Arts
martiaux mixtes, en anglais = combat libre), Yoseikan
Budo et, nouveauté : du Krav Maga I.K.M.A. (discipline
de défense moderne, basée uniquement sur la sauvegarde de soi et d’autrui.) La salle est ouverte tous les
jours de la semaine pour tous types de pratiquants des
deux sexes, ainsi que des cours pour les enfants.
La boxe féminine
Mais qu’est-ce qui pousse ces dames à s’inscrire à un
cours de boxe ? Comme énoncé plus haut, contraiNivelles CApital 3 0
rement à ce que l’on pense, les filles
ne ressortent pas d’un cours de boxe
avec le nez cassé ou l’œil au beurre
noir… Les séances pour femmes ne
sont pas des affrontements et des
enchaînements de coups de poings ;
elles sont spécialement conçues
pour faire travailler le corps tout
en douceur. Pendant une heure et
demie, deux fois par semaine, les
femmes sautillent, courent, tapent
avec les poings et donnent des
coups de pieds dans des sacs ; des
exercices qui permettent de toucher les muscles profonds du corps. De plus, la boxe permet de brûler un
nombre de calories assez impressionant : entre 600
et 800 pour une séance de 45 minutes. Et puis, si la
boxe n’est pas un sport d’autodéfense, il n’en est pas
moins un sport de combat. On apprend les coups de
poing (direct, crochet) et de pieds (low-kick, front-kick)
en s’entraînant sur un sac ou avec un partenaire. Après
plusieurs séances d’entraînement, les dames sont
donc capables d’asséner un coup de poing vigoureux
et bien placé. Actuellement, entre 25 et 30 dames
fréquentent le cours de boxe à The Stadium, un peu
moins que l’année dernière. « Dans la salle, il n’y a
pas encore de compétitrices. La plupart des boxeuses
font ça par plaisir, pour se défouler, pour se dépenser
un maximum ou perdre du poids. Mais qui sait pour
l’avenir ! Nous avons quelques espoirs féminins, mais
elles ne sont pas encore prêtes. »
THE STADIUM
Rue de la Science, 3 - 1400 Nivelles
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Melissa Colignon
Urbanisme
à Nivelles
Il suffit de balayer des yeux l’horizon nivellois pour voir les grues à tour qui composent le paysage de la ville.
C’est indéniable : Nivelles est en plein développement immobilier. À l’urbanisme, ce développement est
évidemment suivi de très près. Mais quelles sont ses priorités ? Et quels sont les projets en cours ?
« Nous essayons le plus possible de partir
d’une analyse de contextes assez précise,
commence Vincent Magitteri, architecte,
conseiller en Aménagement du territoire
et directeur du Service Cadre de Vie de la
Ville de Nivelles. « En termes d’exigences,
notre réflexion dépasse les périmètres
des sites eux-mêmes. Nous étudions les
contraintes et les potentialités d’un endroit,
les différentes fonctions qui s’y associent,
et tout cela dans le but de répondre aux
besoins de la population. » En d’autres
termes, pour que le cadre de vie reste cohérent, l’urbanisme de Nivelles est attentif
à ce que les équipements publics puissent
suivre (crèches, logements pour personnes
âgées,… ). Et dans une société où la pyramide des âges a tendance à s’inverser, on
comprend que l’intégration des personnes
âgées est essentielle au bon développement de la ville.
Nivelles CApital 3 4
Mais qu’en est-il de la mobilité ?
Les priorités du Collège passent évidemment par la mobilité, une réflexion qui se
traduit, entre autres, par l’orientation des
promoteurs vers les sites situés du côté de
la gare, afin de limiter les transports individuels. « J’ai déjà fait le constat que la
taille des villes était un frein aux transports
en commun. Il faut arriver à 70-80.000 habitants pour qu’une ville soit bien desservie
au niveau des bus, par exemple. Or, Nivelles
est mal desservie par les transports locaux.
Heureusement, nous avons la gare, qui est
un atout important pour les déplacements
des travailleurs et étudiants. »
La tendance écolo des nouvelles
constructions
À l’urbanisme de Nivelles, on a également
constaté, ces dernières années, la marque
de l’impact environnemental dans l’architecture des bâtiments. Ainsi, la plupart des
nouvelles constructions (et rénovations)
s’articulent autour d’une tendance à l’écologie qui va au-delà des exigences institutionnelles (récupération des eaux de pluie,
renforcement de l’isolation, instauration de
toitures vertes,…)… Des mesures environnementales qui ont modifié l’architecture
traditionnelle des bâtiments vers une expression architecturale plus moderne.
Reconversion de sites
Au lieu d’aller construire en zone agricole,
la Ville favorise également la reconversion
de sites, avec l’objectif évident d’aller rechercher un potentiel existant et de le faire
vivre. Actuellement, l’un des projets phares
de Nivelles est celui de l’îlot Saint-Roch (ancien site de la Brugeoise & Nivelles). « Nous
avons établi un rapport urbanistique et environnemental, de façon à reconvertir ce site
le mieux possible. Nous avons réfléchi à la
façon de réimplanter l’habitat, de dépolluer
le site, de restructurer l’espace public... afin
de reconstruire la ville sur elle-même. »
Autres gros projets en cours : la Campagne
du Petit Baulers (logements Porte de l’Europe), la création d’un éco-quartier au lieu
dit ‘la Chabotte’, la reconversion de l’ancienne brasserie du Vieux Sart en logements, ainsi que le nouveau projet annoncé
il y a peu sur le site d’Arjo Wiggins (qui n’a
pas encore été présenté à l’urbanisme).
Avec un agenda folklorique et culturel très
rythmé, Nivelles attire bon nombre de visiteurs. Et Vincent Magitteri de conclure : «
Il est essentiel d’avoir demain une politique
commune entre la culture, le tourisme et le
commerce. Ces 3 pôles doivent être appréhendés de façon globale. Nous avons la
chance d’avoir un joli centre-ville, mais le
travail sur le stationnement et l’accessibilité
n’est jamais acquis. Il doit être continu ! »
Melissa Colignon
Nivelles CApital 4 0
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Implantée à Nivelles depuis près de 30 ans, Immo
Roman ne cesse de se développer. Le secret de sa
réussite ? Une relation avec ses clients basée sur la
communication et la confiance. Chez Immo-Roman, on ne veut pas vendre à tout prix… et ça
se sent !
Depuis sa création par Thierry Duflot en
1989, Immo Roman connaît un joli petit
succès. Et pour cause : ce diplômé en
sciences politiques et en relations internationales n’a cessé, depuis son arrivée
à Nivelles, d’être à l’écoute des Nivellois.
« J’habite ici depuis 56 ans, commence-til. À l’époque, je travaillais comme employé
dans les assurances.
Mes clients me posaient souvent des
questions sur l’immobilier. Je faisais déjà
de l’assurance et du prêt hypothécaire,
mais il me manquait une corde à mon arc
pour répondre entièrement à leurs attentes :
l’immobilier. C’est ainsi qu’est née Immo
Roman. »
Aujourd’hui, près de 2000 clients constituent le portefeuille d’assurance de la société qui est en progression constante.
« L’une de mes grandes fiertés est la fidélité de nos clients. En effet plus ou moins
90% des propriétaires avec qui nous avons
déjà travaillé continuent à nous suivre
Nivelles CApital 4 2
pour les locations suivantes. Les gens ont
confiance en nous, ils nous connaissent
et savent que nous avons de bonnes références. Je peux dire que je mets un point
d’honneur à gagner la confiance de mes
clients. Dans les démarches immobilières,
il est essentiel de bien expliquer aux gens
ce à quoi ils s’engagent ! »
Compétitivité en assurance
Disponibilité & proximité en immobilier
Proche de la compagnie P&V depuis ses
origines, Immo Roman propose à ses
clients des tarifs très compétitifs, en gardant
toutefois une certaine indépendance, car
elle entretient des rapports avec d’autres
compagnies. Cette philosophie est la seule
garante de conseils et de solutions proposés
en toute impartialité.
Thierry et son équipe de 5 personnes
s’emploient donc à répondre aux mieux
aux attentes des clients, en matière
d’assurance et d’immobilier. Ainsi, que
cela soit pour la location ou la vente de
maisons, appartements, terrains à bâtir,
commerces,… l’agence propose un service de proximité qui donne les meilleurs
conseils pour mettre un bien en valeur.
Pour particuliers comme pour professionnels, les services sont nombreux et tout à
fait adaptés : estimation juste et fiable du
prix d’un bien immobilier, grande visibilité
et bonne position du bien sur le marché,
prise en charge des frais de publicité et
d’affichage, mise en évidence du bien à
l’aide de supports efficaces (Immoweb,
Logic-Immo, Immo Spotter, le Vlan, …)
gestion optimale des visites du bien, ainsi
que conclusion des actes et formalités légales d’enregistrement dans les règles de
l’art.
Sans compter le large tissu relationnel de
l’équipe de l’agence : pouvoirs locaux,
associations sportives, commerçants, …
En termes d’assurance, Immo Roman défie
également la concurrence. Avec son assise
financière renforcée par 30 années d’expérience, l’agence offre aux particuliers, aux
indépendants et aux PME, les garanties
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Une pompe au gaz à Nivelles
Nivelles fait partie des premières villes
wallonnes à être équipées en CNG : du
gaz naturel comprimé servant de carburant
pour les voitures adaptées. Moins polluant
que l’essence ou le Diesel, le CNG est aussi plus simple à utiliser pour l’automobiliste
que l’électricité.
À deux pas de la sortie Nivelles Sud, la
station-service Esso accueille une pompe
un peu particulière depuis le mois de juin.
Installée par la société Enora, elle distribue
du CNG (ou GNC pour gaz naturel compressé). Ce carburant a déjà séduit plus de
2000 personnes en Belgique, essentiellement en Flandre et à Bruxelles où un réseau de 25 stations est déjà opérationnel. À
l’étranger, le gaz naturel (méthane) connaît
un succès confortable essentiellement en
Allemagne et en Italie. Pas étonnant alors
de voir que ce sont surtout les constructeurs de ces pays qui offrent des véhicules
adaptés dans leurs catalogues respectifs.
On y retrouve entre autres des berlines,
des breaks, des monospaces, des ludospaces et des utilitaires. Notez que les navettes de la commune roulant le samedi
entre le parking du Mont Saint-Roch et le
centre-ville, ainsi que d’autres véhicules
communaux, fonctionnent également au
CNG. Mais ceux-là s’alimentent dans une
pompe « privée » du service des travaux.
Aussi à la maison
Une voiture au CNG a une autonomie de
400 km environ pour un coût d’environ
Nivelles CApital 4 8
20 euros. Avec ce carburant, un véhicule
peut émettre jusqu’à 12 % de CO2 en
moins que le Diesel et 27 % par rapport
à l’essence. De plus, il n’envoie quasi pas
d’émissions de particules fines. Pour éviter
la panne sèche, les voitures au CNG ont
deux réservoirs, car leur moteur peut aussi
fonctionner à l’essence. Un peu comme
avec le LPG. Un autre avantage du CNG
est la possibilité d’installer un compresseur à domicile pour faire le plein dans
son garage. Revenons à Nivelles-Sud avec
cette pompe qui a été inaugurée peu après
celle de Tournai, 1re du genre en Wallonie
où elles ne sont que 3 en 2015. Mais le
réseau va continuer à se développer avec
d’autres ouvertures en 2016.
Projet picard en terres aclotes
L’initiateur de ce projet, Enora, est une
société à forte identité picarde. Elle a été
fondée par Electrabel, G&V Energy Group
(Esso) et l’Agence de développement Territorial de Wallonie Picarde IDETA. L’équipement de Nivelles est par ailleurs le seul
en Wallonie à se trouver en dehors du Hainaut, pour l’instant.
La cité aclote a une nouvelle fois été choisie, après Tesla pour ses superchargeurs,
pour sa proximité avec les autoroutes et
grands axes routiers. Elle va donc devenir
un passage obligé pour les automobilistes
soucieux de réduire au minimum l’impact
environnemental de leur véhicule.
Olivier Duquesne
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Traiteur ou pas traiteur ?
Telle est la question !
Pour recevoir à la maison ou organiser un événement dans une salle sans
devoir courir dans tous les sens, rien de tel que de faire appel à un traiteur.
De la haute gastronomie aux buffets froids, ce service permet de profiter
des invités sans passer des heures derrière les fourneaux. Une solution qui
s’est démocratisée et permet même aux petits budgets d’en profiter !
Fêtes de famille, réception ou mariage, l’organisation d’un événement est toujours laborieuse…
Alors, pourquoi ne pas externaliser
la partie gastronomique de la fête ?
Il vous restera ainsi plus de temps
pour peaufiner la déco ou pour
mettre le feu à la piste de danse !
L’idée est séduisante d’autant plus
qu’aujourd’hui, il existe autant de
traiteurs que de formules proposées. Facile, donc, de trouver dans
le large de choix de propositions, un
traiteur qui répondra à vos attentes.
Nivelles CApital 5 0
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DOSSIER
Chic et économique
Spécialités locales ou cuisine
d’ailleurs, fast-food ou mets raffinés
servis à table, les possibilités sont
multiples et varient au gré des envies. Pour manger à la maison ou
dans une salle, dans le jardin ou sur
la terrasse, les traiteurs pensent à
tout… Et surtout à vous ! Plus traditionnels mais moins coûteux, les
buffets froids gardent la cote, car
ils nécessitent une logistique moins
importante que, par exemple, les
repas chauds, servis à table. Une
formule plus économique qui permet toutefois de jouer la carte de
l’originalité, notamment dans la personnalisation de la déco du buffet.
Nouvelle tendance également du
côté des traiteurs : les tapas. Une
formule pleine de soleil et de convivialité qui en séduit plus d’un. Plus
copieux que les zakouskis, les tapas peuvent être déclinées en canapés, sur une assiette, dans une
cuillère, une verrine ou simplement
dégusté avec les doigts ! Un seul
mot d’ordre : on goûte à tout !
Les food-truck
Directement importée des ÉtatsUnis, la mode des camions de street
food a également envahi nos événements. Burgers bios, frites, pâtes
végétariennes ou Indian Food, là
aussi, les déclinaisons sont multiples et plus originales les unes que
Nivelles CApital 5 2
Pour les fêtes de fin d’année, l’Ar-Vro vous
propose de composer votre plateau de fruits
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les autres. Une idée économique et
ludique qui ne rime pas avec malbouffe, car des versions gastronomiques et raffinées du food-truck
ont vu le jour un peu partout, et notamment dans les mariages où ils
ont véritablement la cote. Et pour
ceux qui ne voudraient pas bouleverser le traditionnel buffet du traiteur, l’idée du food-truck peut être
utilisée au moment du vin d’honneur, du dessert ou simplement au
lendemain de la fête.
Un chef à la maison
Autre concept irrésistible mais un
peu plus coûteux : un chef qui s’invite dans votre cuisine. À la maison ou à l’extérieur, le cuisinier qui
Nivelles CApital 5 4
coupe et cuit en direct est très tendance. Dans une salle, il permet de
mettre de l’animation au repas tandis qu’à la maison, il ravira vos invités par le côté gastronomique des
assiettes qu’il propose… En plus,
le jour même, vous ne devrez vous
soucier de rien, car il apportera ses
produits frais, assurera le service et
ne repartira qu’une fois la cuisine
nettoyée !
Quel que soit votre choix de formule, ne faites pas l’impasse sur
la logistique à déployer autour des
repas... Pensez donc aux traiteurs
qui sont nombreux à louer du matériel et qui même, parfois, assurent
la déco.
Melissa Colignon
© Vaga Bond
Les Pingouins
nivellois
Le Royal Pingouin Hockey Club Nivellois, vous connaissez ? Vous devriez. Il s’agit du plus ancien club
sportif de la Ville. Mais c’est aussi l’un de ses ambassadeurs le plus titré et le plus important en nombre
d’adhérents. Rien que ça. Focus sur un club qui a séduit plus de 850 membres.
Depuis sa création en 1936, le ‘Royal Pingouin
Hockey Club Nivellois’ (RPHCN pour les intimes)
occupe une place importante dans la vie sportive
aclote. Avec ses 54 équipes, il n’a cessé d’évoluer au fil des années, si bien qu’aujourd’hui, il
dispose d’une école qui enseigne aux jeunes
à partir de 5 ans les règles et les valeurs du
hockey, mais aussi d’équipes fanions hommes
et femmes qui se placent en division d’honneur.
Et ce n’est pas tout. À ce très bon niveau sportif,
s’ajoute un ingrédient qui achève d’en faire un
club très apprécié : une bonne dose de convivialité. Comme le décrit Bernard Dandoy, Grand
Bailli de l’Ordre des Pingouins depuis 2013 :
« Voilà 80 ans que le «Royal Pingouin Hockey
Club Nivellois» vit une expérience unique : rassembler en son sein, des compétiteurs et des
amateurs, des vétérans et des jeunes, des
éléments féminins et masculins, mais aussi
des expérimentés et des moins doués, pour
pratiquer leur sport favori : le hockey sur gazon.
Pour leur plus grande satisfaction, tous les dirigeants qui se sont succédés ont pu voir évoluer
leur club et ses différentes composantes dans
l’harmonie et la convivialité. Jeu passionnant et
spectaculaire, le hockey est fier des valeurs qu’il
véhicule : fair-play, fun, famille, amitié et respect ».
Zoom sur une équipe au capital sympathie
bien développé : les Manchots
Les Manchots, c’est un brin d’herbe dans l’immense pelouse des Pingouins (une équipe de
15 séniors parmi les 850 membres), mais un
brin d’herbe toutefois hautement représentatif
du club, car leur passion pour le hockey est à
la hauteur de la dimension conviviale qu’ils lui
Nivelles CApital 5 6
donnent. Pour ces anciens joueurs de première
division arrivés à la trentaine, arrêter le hockey
n’était pas concevable. « La plupart d’entre nous
ont commencé le hockey très jeune et ont donc
joué pendant des années à un très bon niveau.
Puis le temps a fait son effet… et nous avons
eu moins d’énergie et de temps à consacrer
aux entraînements. Aujourd’hui, le hockey est
pour nous un sport loisir. Avec un match et un
entraînement par semaine, nous gardons quand
même un certain niveau, ce qui nous permet de
participer à un championnat parallèle au championnat national, raconte Mathieu Perdeans,
membre de l’équipe depuis près de dix ans.
« Et puis, il y a la troisième mi-temps, très importante pour nous. Elle fait carrément partie du
match ! C’est le moment où on débriefe autour
d’une bière, où on est ensemble ailleurs que
sur le terrain… » Avec leur stand sur le marché
de noël et d’autres activités du style en cours
d’année, les Manchots s’impliquent également
activement dans la dynamique nivelloise.
Le club des Pingouin accessible à tous
Enfants, vétérans, hommes, femmes, sportifs de
haut niveau ou amateurs de sport-loisir, le club des
Pingouins est donc ouvert à tous. En octobre 2010,
une nouvelle équipe destinée à rendre le hockey
encore plus accessible a même été créée : ‘Hockey Together’, une équipe destinée aux enfants en
situation de handicap mental et physique.
Toutes les infos sur l’équipe se trouvent sur
www.lepingouin.be
Melissa Colignon
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Ouvert du mardi au samedi de 10h00 à 18h00
à Nivelles
Initié en septembre 2014 par une bande de passionnées de la culture, le Cinéfamilles!, cinéma itinérant à Nivelles, fait son retour. Après une année
caractérisée par un joli succès, les projections de
films pour petits et grands reviennent tout en magie, avec une séance dominicale qui aura lieu le 8
novembre prochain à 15 heures, à la Résidence
«Jean de Nivelles». Au programme, ‘Le Garçon et
le monde’, une balade dans un univers fantastique
qui célèbre la nature et la musique… Accessible
dès 5 ans ! L’accueil aura lieu dès 14h30 - Entracte
avec goûter, les enfants peuvent apporter leurs
coussins. En partenariat avec l’AMO Tempo et la
Ville de Nivelles.
Résidence « Jean de Nivelles »,
rue des Coquelets, 22b à Nivelles )
Infos : [email protected]
ou 0473 23 63 87
Nivelles CApital 5 8
Le garçon et le monde
C’est l’histoire d’un petit garçon qui a un rêve :
retrouver son papa, emporté plus tôt par un train.
Le rêve grandit, grandit, et un jour, le petit garçon
quitte le village pour se lancer à sa recherche.
À son tour, il prend le train seul avec sa valise
presque vide et ses espoirs d’enfant. Perdu dans
un monde trop grand pour lui, dominé par des
animaux-machines et des êtres étranges, il commence alors le plus émouvant des voyages…
Petit miracle : ce film d’animation venu du Brésil
est un pur moment de grâce, de temps suspendu.
Un bonheur total. (...) Chaque dessin est un étonnement. Un émerveillement. Le tout sans dialogues ou presque : juste quelques répliques, dans
une langue inventée - du brésilien à l’envers ! Mais
une musique très présente, elle, et constamment
enthousiasmante. Guillemette Odicino (Télérama)
Espace Santé: 25 ans et
plus de 1100 membres
La particularité de ce centre, c’est qu’il s’adresse à toute la famille avec ses espaces danse, forme et bien-être.
Récit d’une belle évolution en 25 ans.
Christian et Viviane Verbeck, à l’époque où ils
ont fondé l’Espace Santé en septembre 1990,
ne s’attendaient pas à un tel développement au
cours des années. “Nous avons démarré avec
trois heures de cours. De la remise en forme et
de la randonnée. Nous avons exercé pendant
près de vingt ans à l’étage de la piscine Quinot
(faubourg de Mons). L’espace est finalement devenu insuffisant, il nous a fallu trouver un second
lieu pour poursuivre nos activités. C’est ainsi
que nous étions aussi présents à l’IPAM. Et puis
l’offre s’est encore élargie. Au final, gérer trois
lieux de cours différents devenait plutôt difficile.
C’est pourquoi il a été décidé de faire construire
le bâtiment actuel”, raconte Christian Verbeck.
Et l’endroit est idéal, avec la mise à disposition
du parking de l’école (140 places) après 16h et
son accès rapide au réseau autoroutier (Nivelles
Nord). Ce n’est d’ailleurs pas par hasard, vu la
situation géographique d’Espace Santé, qu’une
nouvelle clientèle a alors fait son apparition, venant de Braine-le-Château, Braine-l’Alleud ou
encore Waterloo...
C’est donc sur le site de l’IPET, chaussée de
Hal, que l’équipe d’Espace Santé (environ 25
professeurs) accueille toute personne du lundi
au samedi, de tout âge, qui désire soit profiter
des pôles Forme et Bien-être, soit s’essayer à
n’importe quel type de danse (Danse Academy),
soit tester les deux options ou les stages. Le
choix d’une discipline peut être parfois compliqué. Rien qu’en matière de danse, une vingtaine
de cours sont possibles, allant du classique au
jazz, en passant par le ragga-latino ou encore la
danse africaine.
Nivelles CApital 6 0
Dans le registre bien-être, des nouveautés sont à
pointer: sophrologie (relaxation), yoga prénatal,
Taï-Chi... Et en exclusivité, puisqu’on aborde les
nouveautés de cette année: accro-urbain (gym et
cross en salle), acro-danse, tissu aérien... “Ce qui
est particulier et qui fait sans doute notre force,
c’est notre capacité à pouvoir accueillir toutes les
générations. Chez nous, par exemple, le plus jeune
membre d’une famille peut faire de la psychomotricité (dès deux ans) et le plus âgé de la zumba pour
seniors. A l’heure actuelle, on propose une grille de
120 heures de cours par semaine, une quarantaine
de disciplines au total. On a dépassé les 1100 inscrits dont la moitié sont des adultes, l’autre moitié
étant formée d’enfants et d’adolescents”. Pari réussi donc? Et le responsable de se réjouir: “A vrai dire,
on ne s’attendait pas à un tel succès. Ce qui a plu,
selon mon épouse et moi-même, c’est qu’on a gardé au cours de ces 25 ans notre esprit familial. En
danse, par exemple, on ne vise pas la compétition
mais on permet à ceux qui le désirent de progresser à leur rythme. On combine loisir et perfectionnement. Notre objectif de base, c’est-à-dire assurer
un équilibre entre des activités pour les adultes et
pour les plus jeunes, on a réussi à l’atteindre depuis
la création du centre. C’est le principal”.
Magaly Swaelens
FIZAINE S.P.R.L. Chaussée de Bruxelles 226, 1401 NIVELLES (Nivelles nord, direction Waterloo)
067/21.40.27 • [email protected]