Escapades en Fusion Bas-Saint-Laurent
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Escapades en Fusion Bas-Saint-Laurent
La Ford Fusion 2012 Sport, au parc du Bic Le capitaine du Zodiac et ses passagers Vous voulez savoir où dormir et bien manger dans le Bas-Saint-Laurent? Visitez mon blogue : lesaffaires.com/ escapadesenfusion Comment se rendre au Bic Escapades en Fusion au Québec Paysages magnifiques, belugas et bonne bouffe dans le Bas-Saint-Laurent P artir vers le Bas-Saint-Laurent, ça donne l’impression qu’on part en expédition quand on habite Montréal, n’estce pas? Franchement, ce n’est pas si loin que ça. De Montréal, en trois jours, je suis allé jusqu’à Saint-Luce, qui est la porte de la Gaspésie. J’ai souvent fait le trajet, mais rarement de façon aussi confortable. La Ford Fusion 2012 est très agréable à conduire sur de grandes routes. Je me souviens de quelques voyages, en hiver, où j’aurais bien aimé pouvoir compter sur la traction intégrale de la Fusion 2012 et sa suspension sportive. Les sièges en cuir s’ajustent à sa position préférée et on peut la modifier si l’on veut en changer un peu. Au volant d’une auto confortable : les conditions sont parfaites pour profiter des paysages magnifiques. Ah, l’air du Bas-du-Fleuve! L’objectif de cette escapade, c’était de parcourir la Route des navigateurs, un circuit qui commence juste après Québec et qui traverse toute la région. Comme je voulais me rendre près du Bic le premier soir, j’ai rejoint la Route en oubliant ses débuts. Au retour, j’ai découvert que c’était une erreur : en suivant la 132, on se trouve à traverser des coins fabuleux, comme toute la région de Kamouraska, où je suis arrêté en revenant. Au Bic, j’avais réservé une chambre à l’Auberge du mange grenouille. Je n’y étais jamais allé, mais dès qu’on y entre, on sait que l’on y vivra une expérience inoubliable. Passé la porte, on descend quelques marches et on se trouve plongé dans un décor d’une autre époque. «Décor» est un faible mot pour décrire l’environnement, car chaque pouce d’espace est occupé. Étrangement, ça fonctionne. Notre chambre était au rez-de-chaussée. La vue : des fleurs et le fleuve. La chambre est petite, tout en cachet. Tout le mur extérieur est vitré, c’est pour vous dire! Avec ma compagne, n’avions pas assez d’ambition pour nous attaquer au repas gastronomique. Nous avons choisi un repas plus modeste, qui nous a laissés repus, ébahis et nettement moins riches, mais c’était parfait! Allez sur le blogue, pour en voir des photos. Tourisme et petit arrêt santé Du Bic, nous avons roulé jusqu’à Sainte-Luce, où se trouve un musée qui raconte le naufrage de l’Empress of Ireland, un drame aussi grave que celui du Titanic, qui a eu le malheur de survenir juste avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale. Une visite passionnante et instructive. Juste à côté, il y a un vrai sous-marin, que l’on peut visiter. Même que si vous désirez vivre une expérience unique, il est possible d’y passer une nuit, dans des conditions et avec des activités qui rappellent la vie des sous-mariniers. (Les détails sur le blogue.) À Rimouski, petit magasinage aux Halles, un marché public où vous trouverez des produits alimentaires aussi raffinés que dans n’importe quelle boutique de la rue Laurier. En chemin, je me surpris à envier la dizaine de sportifs qui, sur une planche de surf, se laissaient porter par un parachute. D’accord, je n’ai aucune aptitude pour ce genre d’exploit, mais Voyagez avec moi sur le site : lesaffaires.com/escapadesenfusion JC_enFordFusion C’est moi ! c’était à faire rêver. Tenez-vous-le pour dit : c’est une activité à considérer! Après une fantastique marche dans les sentiers du parc du Bic, où des groupes de touristes français s’émerveillaient autant que moi, ma compagne et moi avons mis le cap vers Kamouraska. Ma découverte : Kamouraska Je suis souvent passé devant Kamouraska, sans jamais m’y arrêter. Cette fois-ci, j’avais rendez-vous au quai de Kamouraska, le dimanche matin, pour une excursion en Zodiac, sur le fleuve. Tout en conduisant, le système SYNC me permet de confirmer ce rendez-vous par téléphone, à l’aide de simples commandes vocales. Je suis tombé en amour avec le village de Kamouraska et ses gens. D’accord, Kamouraska est un village touristique, mais il n’en est pas pour autant «kétaine». J’ai dormi dans un agréable gîte du passant, avec vue sur le Fleuve. Pendant une semaine après mon retour d’escapade, je me suis nourri d’une excellente variété de pains de la boulangerie locale. Des belugas? Avez-vous déjà navigué sur le Fleuve? À Kamouraska, il faut ajuster son horaire aux marées. C’est particulièrement important en face du village, car l’eau disparaît à marée basse entre la côte et une île située pas si près que ça. Nous avions rendez-vous au quai à 8 h 15, sans faute. Quand nous avons pris le bateau, nous ne savions pas si nous allions voir des belugas. Allez sur mon blogue, je vous raconterai... Un compas moderne pour la Route des navigateurs J e connais un peu la région du Bas-Saint-Laurent, mais pas suffisamment pour m’y retrouver. J’ai donc utilisé le système de navigation de la Fusion 2012 pour me rendre directement à l’hôtel, la réputée Auberge du mange grenouille, au Bic. En un instant, j’ai entré l’adresse : 148, rue SaintCécile, Le Bic. Je sais qu’utiliser une carte routière possède un charme certain, mais se faire guider par un système intégré à son auto, au travers de petites rues tortueuses, c’est plutôt sympa. Arrivé tout près, le système de navigation nous avertit que notre destination est sur la gauche. Et quelle destination! Un indicateur utile Pour un grand trajet comme celui-ci, de Montréal à SaintLuce, il est bon de savoir si on a toujours de l’essence dans le réservoir. La Fusion 2012 a un petit quelque chose de bien utile dans le tableau de bord : un indicateur de la distance qu’on peut parcourir avec l’essence qui nous reste. Au lieu de simplement nous avertir quand le réservoir est presque vide, la Fusion 2012 nous informe en tout temps de l’état du réservoir. Je me souviens d’un voyage, entre les Grands lacs, où mon auto me disait que la panne sèche arrivait. Perdu au milieu d’une forêt sans fin, j’aurais bien aimé conduire la Fusion 2012, pour m’éviter des émotions inutiles...