Qu`y voit-on ? Qu`y fait-on ? Pour les lycées Pour les collèges
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Qu`y voit-on ? Qu`y fait-on ? Pour les lycées Pour les collèges
DOSSIER DE PRESENTATION POUR LES ENSEIGNANTS GRAVELINES musée du dessin et de l’estampe originale Qu’y voit-on ? Pour les collèges Qu’y fait-on ? Pour les lycées DOSSIER DE PRESENTATION POUR LES ENSEIGNANTS Qu’est-ce que l’estampe ? Gravure ou estampe ? Quel intérêt à venir visiter le musée ? Richesse du fonds, de la collection, des thématiques abordées, lieu unique QU’EST-CE QUE L’ESTAMPE ? L’estampe est une pratique de production d’images diversifiée : PROCÉDÉS EN RELIEF GRAVURE SUR PIERRE, SUR BOIS DE FIL, SUR BOIS DE BOUT, LINOGRAVURE PROCÉDÉS EN CREUX BURIN, POINTE-SÈCHE, MANIÈRE NOIRE, EAU-FORTE, AQUATINTE, MANIÈRE DE CRAYON, VERNIS MOU, GAUFRAGE, CARBORUNDUM PROCÉDÉS À PLAT MONOTYPE, LITHOGRAPHIE PROCÉDÉS AJOURÉS POCHOIR, CLICHÉ-VERRE, SÉRIGRAPHIE Elle s’adresse à tous les publics : de l’élève de maternelle à l’étudiant le plus aguerri. Du premier degré à l’université ! QU’EST-CE QUE L’ESTAMPE ? L’ESTAMPE L’estampe est un procédé artistique qui consiste à imprimer une image. La même dénomination est également employée pour nommer le résultat de ce travail : la feuille imprimée elle-même. L’estampe est le terme générique regroupant tous ces procédés, il comprend la gravure. LA GRAVURE Le terme gravure, généralement employé, recouvre en réalité un domaine limité : celui de l’impression obtenue à partir d’une matrice gravée. La gravure comprend deux familles celle de la gravure en relief et celle de la gravure en creux. On considère le creux ou le relief selon l’endroit où se pose l’encre. Les gravures sont faites soit à l’outil soit à l’aide de procédés chimiques par morsure (certaines parties sont protégées par un cache). QUATRE GRANDS PRINCIPES D’IMPRESSION L’estampe, est un terme générique qui regroupe les gravures en relief et en creux et les deux autres procédés d’impression : à plat ou à matrice ajourée. Ainsi, font également partie de l’estampe : la lithographie, le monotype, procédés à plat, obtenus à partir de matrices dessinés, ou peintes. Enfin, la sérigraphie, par exemple, qui relève du principe du pochoir. Enfin, tous ces procédés intègrent des systèmes de photogravure qui permettent de transférer des images photographiques, sur matrices en creux, en relief, à plat ou ajourées. CARACTERISTIQUES Chaque outil : pointe, craie, gouge,… chaque support : bois, cuivre, pierre …induisent une attaque, un effleurement, une écriture, enfin un graphisme propre, une manière d’envisager le rapport noir-blanc. Le principe d’impression entraîne la notion même de multiple, donc d’édition d’une œuvre d’art à plusieurs exemplaires, ce qui n’est cependant pas une obligation, certains artistes n’étant pas intéressés par la multiplication de l’œuvre, ainsi ceux qui privilégient le monotype. L’idée d’une œuvre originale ou pas n’est, en aucun cas, en relation avec cette nature multiple, et la matrice ne saurait être considérée comme l’original. Elle n’est qu’un moyen de parvenir à l’œuvre qu’est l’estampe. Quelles sont les conditions de production requises pour créer ce qu’on appelle une estampe ? L’artiste doit concevoir la matrice, celle-ci est encrée puis imprimée sur un support, le papier en général. L’ESTAMPE ORIGINALE L’artiste conçoit une estampe, selon une technique qu’il détermine au départ. Soit l’artiste réalise l’estampe entièrement de ses mains (du dessin jusqu’à l’impression) soit il est accompagné de techniciens. Ceux-ci n’interviennent pas dans la conception de l’image, cependant le savoir faire du praticien peut exercer une influence sur la création artistique. Ainsi l’artiste peut être accompagné, par exemple, par le sérigraphe qui transfert son dessin sur la matrice ou par l’imprimeur qui réalise les épreuves, selon un bon à tirer réalisé avec l’artiste. Une estampe originale est donc une image imprimée entièrement conçue par l’artiste. Elle se distingue de l’estampe d’interprétation, celle-ci est une reproduction en gravure de l’œuvre d’un autre artiste, l’original étant une peinture ou un dessin. LE LIEU UN INTÉRÊT CULTUREL ET PATRIMONIAL UN SITE GÉOGRAPHIQUE UNIQUE Situé entre Calais et Dunkerque, le musée offre une situation géographique exceptionnelle, puisqu’il est à deux pas de l’embouchure de l’Aa et se trouve à quelques minutes du chenal de Gravelines (lieu de villégiature de nombreux artistes dont Georges Seurat, André Derain, Nicolas de Staël, Eugène Leroy, Arthur Van Hecke). UNE VILLE FORTIFIÉE SOUS VAUBAN Le musée situé en centre ville permet aux élèves de découvrir une ville au patrimoine architectural conservé (place, bâtisse XVIIe, beffroi...) et d’étudier son lien direct avec le Plan-Relief conservé au musée. UN MUSÉE DANS UN CADRE HISTORIQUE Situé dans l’ancien Arsenal et Poudrière édifiés par Vauban, le musée offre également un intérêt historique architectural indéniable et peut ainsi permettre aux élèves d’étudier une architecture militaire remarquable. LES RESSOURCES ET ACTIVITÉS DU MUSÉE POUR LES GROUPES UN INTÉRÊT PÉDAGOGIQUE ET INTERDISCIPLINAIRE LE FONDS PERMANENT Le musée possède une galerie permanente présentant l’estampe et ses différentes approches techniques (y sont exposés de manière pédagogique de multiples outils, de types de presse en regard des estampes). Il possède également un fonds de milliers d’œuvres parmi lesquelles se trouve L’Apocalypse de Durer, cette collection peut être exploitée dans le cadre de projets pédagogiques en partenariat, sur demande. Soit par des présentations d’une sélection à l’atelier du musée, soit par un emprunt dans le cadre d’un EROA par exemple. LES EXPOSITIONS TEMPORAIRES Actif dans le domaine de l’estampe contemporaine, le musée organise également des expositions temporaires au rythme de 3 à 4 expositions annuelles autour de thématiques inhérentes à l’estampe, mais aussi des expositions monographiques ou de collections, des expositions sur le patrimoine et sur l’histoire. LES ATELIERS A proximité immédiate du musée les ateliers reçoivent des groupes pour une pratique de la gravure, en lien soit avec la visite des expositions du musée, soit de manière ponctuelle en relation avec une sélection d’œuvres présentées directement sur les cimaises des Ateliers. Régulièrement les artistes travaillent avec le public et les groupes au sein de l’atelier. Les ateliers ont une capacité de 60 personnes et permettent de recevoir toutes les personnes d’un groupe «bus» en même temps. LES RESSOURCES DU MUSÉE POUR LA FORMATION DES ENSEIGNANTS LES ATELIERS-RENCONTRES AVEC ARTISTES Disposant d’un atelier, le musée propose également une rencontre avec des artistes autour de leurs œuvres et de leurs pratiques le temps d’un après-midi. Caroline Bouyer LES ATELIERS-RENCONTRES D’UNE DEMI-JOURNÉE Ces ateliers sont animés par l’équipe du musée autour de questions ayant trait à la gravure (techniques, thématiques, …). LES STAGES Le musée organise des stages de 1 à 4 journées consécutives autour d’une approche spécifique de l’estampe et de ses techniques. Jean Lodge LES CONFÉRENCES Des conférences sont organisées en lien avec l’exposition temporaire du moment. Elles peuvent traiter d’un sujet historique, sociologique, esthétique ou artistique toujours en lien avec l’actualité du musée. LA BIBLIOTHÈQUE DE LA CONSERVATION DU MUSÉE Sur rendez vous, auprès de la responsable, Mme Marie Thérèse Gardez Tél : 03 28 24 99 70. LES ACTIVITÉS POUR GROUPES LES SCOLAIRES LES VISITES GUIDÉES Toutes celles-ci se font sur rendez vous auprès du service des publics, y compris celle animée librement par le professeur. LES VISITES-ATELIERS Les visites scolaires peuvent être couplées à la pratique d’une réalisation d’estampe individuelle en liaison avec l’exposition vue par les élèves. La visite et l’atelier sont dans ce cas de figure pris en charge par les animateurs du musée. LES ATELIERS SPÉCIFIQUES Les ateliers peuvent également être élaborés en partenariat avec les animateurs du musée autour d’une question particulière ou un objet d’étude spécifique. Ils se déroulent dans un espace dédié avec le matériel fourni par le musée. LA MALLETTE PÉDAGOGIQUE La mallette pédagogique est une mallette qui comporte un ensemble d’outillage permettant à l’enseignant de pratiquer l’estampe au sein de sa classe. Cette mallette contient une presse, des pointes à graver, de l’encre et des matrices. LE PARTENARIAT AVEC LES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES ET SES DÉCLINAISONS Le musée, sa collection, ses expositions permettent une souplesse d’action et d’activités pour les enseignants. Que ce soit pour : une découverte et une approche de l’estampe, une visite d’exposition ponctuelle ou un partenariat au long cours avec le musée dans le cadre du PEAC (parcours d’éducation artistique et culturel), dans le cadre des classes à horaires aménagés, dans le cadre d’une classe à PAC (parcours artistique et culturel), dans le cadre d’une thématique et d’une période étudiées en HDA (histoire des arts) les enseignants de toutes disciplines y trouveront des ressources importantes. La possibilité d’emprunt d’œuvres dans le cadre d’un atelier artistique ou d’un (espace rencontre avec l’œuvre d’art). EROA au collège Paul Machy Oeuvres empruntées au musée de Gravelines Michel Haas Jacques Declercq POUR QUELLES DISCIPLINES ? La richesse et la diversité des collections du musée s’adressent à toutes les disciplines. LE MUSÉE POSSÈDE UNE GRANDE COLLECTION DE CARTES ANCIENNES DE PAYSAGES GRAVÉES ET IMPRIMÉES, IL DÉTIENT ÉGALEMENT EN SON FONDS UNE PARTIE MAJEURE DE L’ŒUVRE DE GOYA, L’APOCALYPSE DE DÜRER, LES MISÈRES DE LA GUERRE DE CALLOT, DES GRAVURES FLAMANDES ET HOLLANDAISES DU XVE AU XVIIE SIÈCLE (BRUEGHEL, VAN DYCK,...), DU XVIIIE (HOGARTH, WATTEAU), DE NOMBREUSES ESTAMPES DU XIXE (COROT, BRACQUEMOND, ENSOR, CHÉRET...), ET DE TRÈS NOMBREUSES ESTAMPES SUR LE THÈME DE L’ORIGINE DU CARNAVAL EN EUROPE, LA MANGA D’HOKUSAÏ ; LES ILLUSTRATIONS DE GARGANTUA ET LA CHANSON DES VIEUX MARINS PAR GUSTAVE DORÉ... ET COUVRE TOUS LES GENRES DE L’IMAGE ( PAYSAGE, PORTRAIT, NATURE MORTE, scÈnes de genres, mythoLOGIQUES ET RELIGIEUSES) ET POUR CE QUI CONCERNE LE XXE SiÈcle : les grands mouvements artistiques. Toutes les disciplines peuvent ainsi y trouver matière à exploiter de nombreuses pistes pédagogiques. Français / Arts Plastiques / Histoire-Géographie Technologie / Langues vivantes / HDA AU COLLEGE, LES LIENS AUX PROGRAMMES DE FRANÇAIS 6 ÈME - CONTES ET RÉCITS MERVEILLEUX Exemples : Gravure de Brueghel Des gravures sur les grands récits de Gustave Doré Ce pendant quatre de ses gens luy jettoient, en la bouche, l’un après l’aultre, continuement, de la moustarde à pleines palerées, dans La vie très horrifique du Grand Gargantua père de Pantagruel, gravure sur bois de bout, 1873 Illustration de textes de l’antiquité Exemples : les livres d’artistes, L’Apocalypse de Dürer Etude comparative d’images évoquant le même épisode Albrecht Dürer, Les quatre cavaliers de l’Apocalypse, gravure sur bois, 1498-1511 Doré Dürer 5 ÈME - LE RAPPORT TEXTE ET IMAGE Exemple : La gravure et son rapport au titre, au livre, à l’écrit Gérard Duchêne, Salopage, de la série Pièces 2, sérigraphie, 1987 Duchêne 4 ÈME - L’EXPRESSION DU MOI - LES REPRÉSENTATIONS DE LA SOCIÉTÉ Exemples : L’autoportrait en gravure Le romantisme en gravure Eugène Leroy, Autoportrait sombre, eau-forte, 1966 Exemple : Daumier et les caricatures Vallotton / Gavarni / Watteau Honoré Daumier, Chevalier..., c’est à vous que je bois ! pl. 1 pour la série En carnaval, lithographie Gavarni Leroy AU COLLEGE, LES LIENS AUX PROGRAMMES DE FRANÇAIS 3 ÈME - L’IMAGE COMME ENGAGEMENT - LES LIENS ÉCRIVAINS / ARTISTES Exemples : Jacques Callot / Francisco de Goya Exposition Graver la guerre Goya Y Lucientes Francisco, Y no hai remedio ! (Il n’y a pas de solution), pl. 15, pour Les Désastres de la Guerre, eau-forte et aquatinte, 1810-1815 Exemple : Les collaborations entre poètes et écrivains Le Chef d’oeuvre inconnu de Balzac de Picasso Pablo Picasso, Peintre entre deux modèles, dans Le Chef d’oeuvre inconnu de Balzac, eau-forte, 1927 Goya AU COLLEGE, LES LIENS AUX PROGRAMMES DES ARTS PLASTIQUES 6 ÈME - L’ŒUVRE ET L’OBJET Exemple : Arroyo / Klasen / Favier / Spoerri / Arman Notions de détournement Arman, Les révolvers, eau-forte, 1973 5 ÈME - L’ŒUVRE ET L’IMAGE Arman Exemple : L’image et ses modalités de production en estampe Arman, Les révolvers, eau-forte, 1973 4 ÈME - L’IMAGE ET SA NATURE Multiple, sérielle, épreuve L’image et sa matérialité 3 ÈME - L’ŒUVRE ET L’ESPACE Exemple : Les représentations du paysage Cartographies et paysages Se constituer des références culturelles Luigi Guicciardini, Gravelinga vrbs maritima olimpor tv amplissimo famosa eau-forte, XVIe siècle Guicciardi AU COLLEGE, LES LIENS AUX PROGRAMMES D’HISTOIRE-GEOGRAPHIE 6 ÈME - LE RÔLE DES ESTAMPES À LA FIN DU MOYEN-ÂGE Exemples : Fonctions d’usage et circulation des estampes à la fin du Moyenâge Les représentations du paysage, la typographie, le livre imprimé Luigi Guicciardini, Gravelinga vrbs maritima olimpor tv amplissimo famosa eau-forte, XVIe siècle 5 ÈME - LE RÔLE DE L’ESTAMPE ET SON DÉVELOPPEMENT Exemple : Les graveurs du Roi-Soleil au XVIIe siècle Du XVe au XVIIe R. Nanteuil / C. Mellan 4 ÈME - LES ARTS, TÉMOINS DE L’HISTOIRE DES XVIIIE ET XIXE SIÈCLES Exemple : Les désastres de la guerre de Goya Francisco Goya, Con razon o sin ella, Désastres de la guerre eau-forte et aquatinte, 1810-1815 3 ÈME - LES ARTS, TÉMOINS DE L’HISTOIRE DU MONDE CONTEMPORAIN Exemple : Exposition Graver la Grande Guerre Félix Vallotton, Dans les ténèbres, de la suite C’est la guerre, gravure sur bois, 1916 Vallotton AU COLLEGE, LES LIENS AUX PROGRAMMES DE TECHNOLOGIE 6 ÈME - LES PROCESSUS DE RÉALISATION D’UNE IMAGE RELEVANT D’UN PROCÉDÉ TECHNIQUE 6 ÈME - 4 ÈME - ÉTUDE DE LA PRESSE (MACHINE) ET COMPRÉHENSION DU PROCESSUS D’INVERSION DE L’IMAGE 3 ÈME - LES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE PROCÉDÉ DE GRAVURE AU COLLEGE ET AU LYCEE, LES LIENS AUX PROGRAMMES DE LANGUES VIVANTES TOUS NIVEAUX - LES INFLUENCES LAISSÉES DANS LE DOMAINE DE L’ESTAMPE PAR LA CULTURE DE LA LANGUE VIVANTE ÉTUDIÉE Exemples : Les désastres de la guerre de Goya Les Calaveras de Posada L’Apocalypse de Dürer Gravures de William Hogarth José Guadalupe Posada, Calavera d’un Làgartijo métal gravé en relief, début 20e Posada AU LYCEE, LES LIENS AUX PROGRAMMES DES ARTS PLASTIQUES LES LIENS AUX PROGRAMMES DU LYCÉE SONT NOMBREUX, SOIT DANS LE CADRE DES COURS USUELS, SOIT DANS LE CADRE PLUS PARTICULIERS DES OPTIONS. L’ESTAMPE PEUT ÉGALEMENT ÊTRE L’OBJET D’ÉTUDES D’UN TPE OU D’UNE THÉMATIQUE LORS DE L’ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISÉ. CLASSE DE PREMIÈRE - FIGURATION ET IMAGE CLASSE DE TERMINALE - SUR LE CHEMIN DE L’ŒUVRE DES RESSOURCES POUR L’ENSEIGNEMENT D’HISTOIRE DES ARTS (ŒUVRES ET THÉMATIQUES) L’ESTAMPE EST UNE RESSOURCE POUR TRAITER DES GRANDS DOMAINES ARTISTIQUES. LES ARTS DE L’ESPACE Architecture arts des jardins, paysage aménagé,... Exemples : Les représentations cartographiques et urbaines François Houtin, Brise-vent, eau-forte, 1981 LES ARTS DU LANGAGE Houtin Littérature écrite et orale (roman, nouvelle, fable, légende, conte, mythe, poésie, essai,...), inscriptions, épigraphiques, typographiques,... Exemples : l’estampe et son rapport à l’illustration et l’espace du livre Adami, Sang, livre d’artiste, lithographie, 1980 Adami LES ARTS DU QUOTIDIEN Arts métiers d’art appliqués, design, arts populaires,... Exemple : la gravure nabis et la relation estampe / affiche / gravure d’ornement Jean Le Pautre, Grotesques et moresques à la romaine oeuvres d’architectures, burin, 17e siècle LES ARTS DU VISUEL Le Pautre Arts plastiques, dessin et arts graphiques, photographie,... Illustration, Bande dessinée Pablo Picasso, Les banderilles, linogravure, 1959 Picasso HISTOIRE DES ARTS LE MUSÉE ÉTANT RICHE D’ESTAMPES D’ÉPOQUES DIFFÉRENTES, SES COLLECTIONS PEUVENT COUVRIR L’ÉTENDUE HISTORIQUE DE L’HDA. LES ESTAMPES PEUVENT ÊTRE FACILEMENT ANALYSÉES À PARTIR DES QUATRE CRITÈRES PROPOSÉS EN HDA : ARTS, CRÉATIONS, CULTURES Exemples : Les pratiques de l’estampe (école, mouvements artistiques) L’estampe, l’imprimerie et le livre Wihelm Pleydenwurff, Serta etas mundi, dans Chronique de Nuremberg, gravure sur bois rehaussée, 1493 Pleydenwurff ARTS, ESPACE, TEMPS Exemples : L’estampe et la cartographie / Les représentations du temps Marc Ronet , Paysage tête de mort, pointe sèche, 2010 Ronet ARTS, ÉTATS ET POUVOIR Exemples : Le portrait officiel, ses codes, ses enjeux / Les cartes de batailles ARTS, MYTHES ET RELIGIONS Exemples : L’estampe et la transcription des images mythologiques et religieuses L’estampe et le sacré Hendrick Goltzius, Repos en Egypte sous un cerisier, burin, 1589 Goltzius HISTOIRE DES ARTS ARTS, TECHNIQUES, EXPRESSIONS Exemples : La gravure d’interprétation L’oeuvre d’art et la prouesse technique Claude Mellan, La sainte face, burin, 1649 ARTS, RUPTURES, CONTINUITÉS Mellan Exemples : L’oeuvre d’art et sa composition Variations, répétitions, séries, ruptures,... Les différents états d’une gravure. Agathe May, La mouche, linogravure, 1999 May ARTS, RÉALITÉS, IMAGINAIRES Exemples : La collection Michèle Broutta, R. Bresdin Rodolphe Bresdin, Le bon samaritain, lithographie, 1861 ARTS ET SACRÉ Exemples : L’art et les grands récits (religions, mythologies) ARTS, SOCIÉTÉ, CULTURES Exemples : L’estampe reflet d’une époque, allégories Bresdin HISTOIRE DES ARTS ARTS, CORPS, EXPRESSIONS Exemples : Le thème du portrait / le geste / l’outil Katsushika Hokusai, Sans titre, La Manga, bois gravé, début 19e siècle ARTS ET ÉCONOMIE Hokusai Exemple : L’estampe et la reproductibilité ARTS ET IDÉOLOGIES Exemples : L’estampe, l’affiche, le manifeste, Villeglé Jacques Villeglé, ART? affiche n°2, sérigraphie en couleurs, 1996 Villeglé ARTS, MÉMOIRES, TÉMOIGNAGES, ENGAGEMENTS Exemple : L’estampe ARTS, CONTRAINTES, RÉALISATIONS Exemple : L’estampe et ses contraintes techniques ARTS, SCIENCES ET TECHNIQUES Exemple : L’estampe et ses procédés techniques HISTOIRE DES ARTS ARTS, INFORMATIONS, COMMUNICATIONS Exemple : L’estampe et ses usages ARTS, ARTISTES, CRITIQUES, PUBLICS Exemples : L’estampe double du tableau / interprétation ARTS, GOÛTS, ESTHÉTIQUES Exemple : L’estampe, ses codes et classifications ARTS, THÉORIES ET PRATIQUES Exemple : L’estampe, la notion d’auteur / artisan / artiste / l’imprimerie / l’éditeur Philips Galle, d’après Jan van der Straet, L’atelier de gravure, pour Nova Reperta (Nouvelles découvertes et inventions), burin, vers 1590 - 1595 Van der Straet DES RESSOURCES POUR LES ÉTUDIANTS EN ARTS PLASTIQUES LE NOUVEAU PROGRAMME LIMITATIF DU CAPES EXTERNE EN AP : ENTRE CRÉATIONS ARTISTIQUES ORIGINALES ET COPIES DES IMAGES, LES DÉVELOPPEMENTS DE L’ESTAMPE DU XVIIE AU XIXE SIÈCLE. LE MUSÉE DISPOSE D’UNE LIBRAIRIE ET D’UNE BIBLIOTHÈQUE (SUR RENDEZ-VOUS) ACCESSIBLE AU PUBLIC. Pieter Van Der Heyden (Anvers, 1530 - 1575) d’après Pieter Brueghel,le vieux (Brueghel, 1528 - Bruxelles, 1569) Le combat des tirelires et des coffres-forts, burin, 1563 LES SITES A PROXIMITE UNE DÉCOUVERTE MULTIPLE DE LIEUX CULTURELS A PROXIMITÉ. SITUÉ SUR LA COTE LITTORALE, LE MUSÉE SE TROUVE ÉGALEMENT À 10 MINUTES EN BUS DU MUSÉE DE LA MER DE GRAND-FORT-PHILIPPE, À 15 MINUTES DU CHŒUR DE LUMIÈRE DE BOURBOURG, À 30 MINUTES DES MUSÉES DE DUNKERQUE ( FRAC, LAAC, MUSÉE DES BEAUX-ARTS), À 20 MINUTES DES MUSÉES DES BEAUX-ARTS ET DU MUSÉE DE LA DENTELLE DE CALAIS. CIAC - Chœur de Lumière - Anthony Caro INFORMATIONS PRATIQUES LES LIEUX LE LIEU DE RENDEZ-VOUS : MUSÉE DU DESSIN ET DE L’ESTAMPE ORIGINALE SALLE DE LA POUDRIÈRE - ARSENAL 59820 GRAVELINES LE PARKING EST GRATUIT AU QUAI DES ISLANDAIS PRÈS DU PORT À 5 MM À PIEDS. ACCÈS PIÈTON PLACE ALBERT DENVERS PARKING DÉPOT MINUTE RUE DEMARLE FÉTEL LE SERVICE DES PUBLICS ET LES ATELIERS DU MUSÉE SE TROUVENT DERRIÈRE LA SCÈNE VAUBAN (ARSENAL). RÉSERVATION & RENSEIGNEMENTS PAR TÉLÉPHONE AU SERVICE DES PUBLICS : 03 28 51 81 04 8h30-12h et 13h30-17h DU LUNDI AU MERCREDI ET JUSQUE 20h LES JEUDI ET VENDREDI EN PÉRIODE SCOLAIRE. VOUS POUVEZ SI NÉCESSAIRE PRENDRE UNE OPTION PUIS CONFIRMER ENSUITE. VEILLEZ À ANNULER UNE RÉSERVATION AU MOINS DEUX JOURS OUVRABLES AVANT LA DATE. LES CONTACTS SERVICE DES PUBLICS : 03 28 51 81 04 RESPONSABLE DU SERVICE DES PUBLICS : [email protected] VIRGINIE CAUDRON SECRÉTARIAT : [email protected] DOROTHÉE DEBAVELAERE INFORMATIONS PRATIQUES HORAIRES DU MUSEE POUR LES GROUPES GUIDES HORAIRES LES INDIVIDUELS DE SEPTEMBRE A JUIN LUNDI, MERCREDI, JEUDI, VENDREDI : 14H - 17H SAMEDI, DIMANCHE : 15H - 18H DE JUILLET A AOUT LUNDI, MERCREDI, JEUDI : 14H - 18H VENDREDI : 10H - 12H, 14H - 18H SAMEDI, DIMANCHE : 10H - 12H, 15H - 18H HORAIRES AUXQUELS S’AJOUTENT POUR LES GROUPES : LUNDI, MARDI, MERCREDI, JEUDI, VENDREDI : 9H - 12H EN DEHORS DE CES HORAIRES, LE TARIF DE L’ANIMATION EST MAJORÉ X 4, LE TARIF D’ENTREE EST INCHANGÉ. CAPACITÉ 1 A 2 GROUPES DE 30 PERSONNES (SELON LA DISPONIBILITÉ DES SALLES) TARIFS GROUPES SCOLAIRES (10 PERSONNES MINIMUM) VISITE GUIDÉE + ENTRÉE 1 € : PERSONNE (- DE 15 ANS) 3,5 € : PERSONNE (+ DE 15 ANS) GRATUIT : ÉCOLIER, ÉTUDIANT CUD, ACCOMPAGNATEURS VISITE ATELIER + ENTRÉE 2 € : PERSONNE (- DE 15 ANS) 4,5 € : PERSONNE (+ DE 15 ANS) GRATUIT : ÉCOLIER, ÉTUDIANT CUD, ACCOMPAGNATEURS RÉGLEMENT SOIT PAR COURRIER SUR RÉCEPTION DE LA FACTURE : APRÈS LA VISITE, SOIT DIRECTEMENT A LA BOUTIQUE DU MUSÉE. VEUILLEZ NOUS INFORMER DE LA MODALITÉ CHOISIE, TRANSMETTRE VOS ADRESSES MAIL ET POSTALE, ET LE NOM DU DESTINATAIRE DE LA FACTURE, AU MOMENT DE LA RÉSERVATION. SITE DU MUSÉE http://www.ville-gravelines.fr/expotemp/02-%20PAGE%20WEB/01Musee/Musee.html