random p.10 - BDE-UTC

Transcription

random p.10 - BDE-UTC
- Numéro 361 1 DECEMBRE 2015
J-15 avant le prochain numéro
& "C'est bientot noweeeeeel !!"
Cette semaine
dans votre fil
L’agora
PIC EN BREF
UTube
P.2
P.3
Psycho & ASDFmovie P.4
cinefil
TRILOGIES 
P.5
Chu'uT
RANDOM
BOP’S
vos Jeux
P.7
P.10
P.11
P.11-12
Les BLAGUEs
"Vous savez pourquoi le nain rigole toujours sur la bûche de
noël ?"
- Parce qu'à la fin il est sur de se faire sucer.
" Fin novembre, deux blondes vont chercher dans les bois
un sapin de Noël. Après 2 heures de recherche, une des
blondes dit à l'autre
«le prochain sapin qu'on voit, même si il ni a pas de boule,
on le prend»"
" Dis papa,qu'est-ce que c'est une fiancée ?
- Une fiancée ? C'est comme si je t'achetais une bicyclette à
Noël et que tu n'ais pas le droit de t'en servir avant les grandes
vacances !
- AH ! C'est ça une fiancée... Mais je pourrais quand même
jouer avec la sonnette ? "
Rédaction : Alexandre, Julien, Benjamin, Kévin,
Bastien, Thomas, Abitbol, le dé à coudre, Raphaël,
PSEC, les Arpenteurs, BDE, Marion, Lola,
Correcture : Alexandre Jeux : Nathan
Mise en page : Maxime
E dito
Salut à toi, lecteur du Fil :) Attention, ce Fil n’est pas un Fil sur le cyclisme!
Mon ami, le temps n’est plus à la fête, déjà parce qu’il n’y a plus que 6
semaines avant les finaux (bon en fait ça va encore à peu près) et aussi parce
que c’est l’avant dernière fois que je t’écris (spécialement pour toi d’ailleurs,
tu as une place toute particulière dans mon cœur). Eh oui, au semestre
prochain, quelqu’un d’autre s’occupera de l’édito (criez pas de joie derrière, je
vous vois !!!), quelqu’un de bien, et vous l’aimerez, j’en suis sûr :)
Pour cet édito, j’ai décidé de vous parler un peu de l’édito en général,
parce que ce n’est pas un exercice facile. Lorsque j’ai accepté de faire
l’édito, c’était premièrement parce je n’avais pas de rubrique : l’ami avec
qui je rédigeais une rubrique l’année dernière est parti. C’était aussi pour
aider un peu la présidente, qui ne pouvait pas le rédiger :) J’avais peut-être
été un peu prétentieux ce jour-là ^^ Bon, revenons sur l’édito : d’abord, j’ai
regardé ce que nous disait le dictionnaire dessus : « Edito, nm : Article de
fond, commentaire signé ou non, qui exprime, selon les cas, l’opinion d’un
journaliste ou celle de la direction ou de la rédaction du journal. » Bon, c’est à
ce moment-là que je me suis rendu compte que j’avais faux depuis le début,
et que le dico m’avait permis de remplir trois ligne de cet édito que je galère
à écrire (merci dico !!!). Après, j’ai commencé à demander à mes amis autour
de moi, pour savoir un peu ce qu’était, un édito, dans la tête des gens. On
m’a parlé d’éditos de magazine de vélo (haha c’est parce que je pédale dans
la semoule pour l’écrire haha…haha…ha, heu… Oh un oiseau !), d’éditos de
magazine de pêche, et même de l’édito du magazine playboy, c’est là que je
me suis dit qu’il fallait que je change d’amis. Mais au final j’ai compris, l’édito
n’a pas besoin de définition, l’édito peut être absolument tout (l’édito is love,
l’édito is life), l’édito est en chacun de nous, et toi mon ami, oui toi, tu l’as en
toi, je le sens. Alors ramène tes fesses et écris-nous des éditos sur le vélo,
sur ta fin de semaine pourrie (#TrainEnRetard #NotesDeMédian) ou même
sur l’arthrose de ton chat vieux de 9 ans qui mange des croquettes séchées
tous les soirs. Moi, je m’envole vers de nouveaux horizons, et je vous dis au
revoir, car après tout, je suis sûr qu’on se reverra. Allez, prend bien soin de
toi l’ami, on se retrouve dans le prochain numéro.
PS : Petit teaser pour le prochain numéro : tiiiinnnn tin tin tin tin tiiinnn tin
tin tin tin tiiiinnn tin tin tin tin tiiinnn !!!
Alexandre
1
L’A gora
Téléthon : c’est cette semaine !
Jeudi à PG1 : 9h30 – 17h30
Vendredi à BF : 9h30 – 17h30 puis jusqu'à Minuit au PIC !
Samedi au PIC : 11h – 19h
Ventes de livres, gâteaux, vin chaud, et objets faits main, le tout à des petits prix ! (En plus vous
pourrez payer par PayUTC !)
Animations toutes la journée, concours de records, spectacles des assos de l’UTC …
On recherche des personnes pour nous aider à tenir les stands et les animations jeudi et vendredi dans
la journée (surtout jeudi), si vous avez une heure ou deux à donner : [email protected]
On est gentils et on fera des bons gâteaux vous savez ;)
Venez nombreux !
L’équipe du PSEC
Semaine des pôles
La semaine des Pôles aura lieu du 7 au 11 décembre. Une semaine pour mettre en avant les pôles
et leurs assos, ouais, trop bien !
Cette année tu ne vas pas pouvoir passer à côté, puisqu’on t’a mijoté un super programme, sur le
thème des Télétubbies !! Chaque jour, un pôle différent te fera découvrir ses assos dans l’aprem au
PIC, puis tiendra la perm du soir. Viens dans la couleur du pôle du jour si tu ne veux pas être dans la
file non prioritaire au bar !
Lundi 7 : PSEC = Vert
Mardi 8 : PTE = Bleu
Mercredi 9 : PAE = Orange
Jeudi 10 : PVDC = Jaune
Vendredi 11 : Tous les pôles = choisis ta couleur
En plus il y aura un goûter tous les jours !
Les Chroniques du Killer
Enfin. Enfin ! Les portes de l'arène ont été ouvertes, et déjà je peux sentir les battements de
mon cœur s'accélérer, envoyant à chaque coup un peu plus d'adrénaline dans mes veines. A mes côtés
se tiennent les autres Purgateurs, ces quatre Hauts-Agents qui ont, comme moi, décidé que les choses
devaient avancer, ne plus manipuler dans l'ombre de notre tour d'ivoire mais bel et bien dans l'arène que
forment les rues de la ville. Sauf que, contrairement à vous, nous avons l'expérience. Chacun de nous a
déjà remporté le Jeu d'une manière ou d'une autre. Chacun de nous porte avec fierté les cicatrices d’une
vie de traque, là une main déchiquetée, sur l’autre une paupière qui ne se rouvrira jamais. Nous portons
sur nos visages les stigmates de nuits sans sommeil. Chacun de nous en a assez de vos simagrées.
Agents, vous pensiez vraiment pouvoir vous cacher ? Vous avez signé ce contrat en votre
âme et conscience. Il était encore temps pour vous de faire preuve de détermination, de volonté, sans
subir les conséquences de votre inactivité, mais vous n'avez pas voulu saisir ce répit que l'Agence daignait vous accorder. Maintenant il est trop tard pour vous cacher : vous êtes dans notre ligne de mire.
Le monde entier connaît votre nom, vous êtes en pleine lumière, placés sous le feu d’une armée de
projecteurs, au centre d'une scène qui ne peut finir que de manière tragique. Une fois le rideau tombé,
vous et votre rôle si mal rempli tomberez dans l'oubli, votre masque vacillera et se brisera à vos pieds,
à moins que vous ne considériez notre ultimatum : montrez-nous enfin votre valeur, éliminez un de vos
semblables inactif, ou affrontez-nous. Nous sommes Purgateurs, mais rédempteurs. Notre mort vous
apportera le salut – si j'ose dire. Retenez nos noms, nos visages : le Jedi, l'Equarisseur, le Faucon, le
Marchand de Sommeil, et moi, Dalek Suprême.
Vous n'aurez nulle part où vous cacher.
Nous vous donnons cette ultime chance. Soyez efficaces.
L'Agence.
2
M usée des assos
Julien
Parce que je tiens mes promesses (pour ceux qui suivent), je vais passer un peu de temps à
raconter l’histoire de notre cher journal qu’est le Fil.
A sa création en ‘89, le Fil était bien différent de ce qu’il est aujourd’hui. Par exemple, avant
de prendre le petit format qu’il a actuellement, il était comme le commun des journaux, au format
A4, et il était aussi envahi par les publicités des commerces Compiégnois ! Autre changement
notable, le Fil était beaucoup plus variable, le nombre de pages fluctuait d’un numéro à l’autre et
les chroniques ne paraissaient pas forcément régulièrement, de nombreux extérieurs à l’équipe du
Fil postaient des articles, il y avait plus de rédacteurs éphémères, moins de rédacteurs permanents, comme nous le sommes tous aujourd’hui.
Mis à part ces changements majeurs, le Fil a aussi su conserver des rubriques qui existaient il
y a plus de 20 ans : la page réservée aux assos évidemment, mais aussi le CinéFil, la Bobine
X (qui s’appelait avant X-Fil) et les BOPs. Bien sûr, beaucoup de rubriques ont disparu : parmi
elles, Filiforme, qui était consacré aux activités sportives de l’UTC ou encore la BD en fin de Fil,
qui devait demander un très très gros travail à son auteur !
Et parce que je ne fais pas que remonter le temps aux assos, mais à l’UTC en général, je
ne vais répondre à une question que vous ne vous posez surement pas. Pourquoi BF s’appelle
BF ? Benjamin Franklin, oui, mais pourquoi lui ? Tout simplement parce qu’il est le créateur de
l’université de Pennsylvanie, qui fut la première à accueillir en semestre d’échange les étudiants de l’UTC. Quand BF fut inauguré en 1975, ils le nommèrent ainsi pour remercier l’université
américaine. Pour détailler un peu l’avant BF à l’UTC : les cours étaient éparpillés dans différentes
salles partout dans la ville, certaines salles de classe en préfabriqués étaient mêmes montées par
les profs et les étudiants eux-mêmes.
Avec tout ça, j’espère que vous pourrez vous la péter dans des dîners mondains UTCéens !
L e Pic en bref
Abitbol
Depuis le semestre dernier, le Pic a décidé de ne pas vendre de bières au Pic’asso pendant
une semaine qui s’appelle la « semaine blanche » et qui se déroulait donc la semaine dernière.
Le but est de rappeler à l’étudiant que le Pic est bien un foyer avant tout où l’on peut travailler,
jouer, boire un petit Pampryl en chillant et ne pas seulement boire de la bière à pas cher le soir
venu. Cette semaine fait aussi référence à un évènement qui s’est passé il y a 5 ans, « le jeudi
noir », qui s’est suivi par la fermeture du pic pendant une semaine. D’autre part, pour ceux qui ont
connus le pic provisoire qui se trouvait sous le bâtiment A au niveau du parking, l’activité au sein
du pic était très faible lors de la journée et les étudiants venaient surtout pour se la coller le soir
en s’entassant devant le petit bar. Maintenant que le foyer est beaucoup plus grand, il serait bête
de ne pas en profiter pleinement. Certains pourraient se plaindre de ne pas pouvoir se fournir en
substance houblonné (qui pourrait vous jeter la pierre, moi-même il m’arrive de me fâcher) mais
je pense que leur foie ainsi que leur compte en banque apprécient l’initiative. Cette semaine, le
Pic organise des dégustations de bières (une sorte de rééquilibrage ?) avec LeFebvre, Dubuisson,
Kasteel, Chimay, Huyghe et Silly, mais si je te l’apprends maintenant, c’est sans doute que tu es
un peu en retard pour t’inscrire. A plus tard au foyer !
3
UT ube
Benjamin
Salut lecteur ! Quel teint magnifique dis-moi ! Suricate vient de sortir son film
qui s’appelle « Les dissociés » sur la chaîne YouTube Golden Moustache. Oui,
tu as bien lu, un film de 1h15 disponible gratuitement et légalement sur internet.
Chez Suricate, ils nous avaient déjà montré qu’ils étaient capables de réaliser des
vidéos courtes, drôles (Movie vs Life, …) comme plus dramatiques (Faites-le rire)
ou même totalement WTF (Le cosmos). Ils ont ensuite réalisé un court métrage
de 25 minutes intitulé « Fantôme de merde », qui garde le même ton humoristique et, malgré une construction très classique dans son déroulement, reste
de très bonne qualité. Mais réaliser un long métrage c’est une autre histoire ! Il
faut parvenir à écrire un scénario qui se tient tout en gardant un rythme soutenu
sur une longue durée. Finalement, le pourcentage de bons films qui sortent est
plutôt faible. Force est de constater que Suricate s’en est sorti avec brio malgré
un budget limité. Le film est original (surtout si on compare aux films français
classiques) et bien drôle. J’ai été moins convaincu par la fin mais je vous laisse
vous faire votre avis. Alors, YouTube serait-il une alternative au cinéma après
avoir été une alternative à la télé ? Là encore, je pense qu’il y a peu de chance
qu’internet remplace le cinéma, dans un avenir proche en tout cas.
Nom de la chaîne : Horizon-gull
Nb d’abonnés : 45 685 (c’est peu)
Langue : Français
Vidéo au pif : La France a peur : le syndrome du grand méchant monde
Style : social/psychologie/cagoule/plage
Une chaîne posée, qui prend le temps d’expliquer les pressions sociales que l’on
subit, souvent inconsciemment. Bien loin des théories complotistes sur lesquelles
on peut tomber dans les tréfonds du web, ici tout est basé sur des études
sociologiques et des arguments réfléchis. Pas de jump cut, le rythme est lent et
posé ici contrairement à ce qu’on retrouve habituellement sur YouTube.
Nom de la chaîne : TomSka
Nb d’abonnés : 3 879 924 (ce n’est pas peu (ouai j’ai plus d’inspi))
Langue : Anglais (LA14, ça rigole plus)
Vidéo au pif : asdfmovie
Style : euh…WTF
Créateur des célèbres asdfmovies, petits sketchs rapides sous forme de dessins
animés hilarants et sans queue ni tête, Tomska réalise aussi des vidéos live tout
aussi tarées. Cet anglais au débit de parole impressionnant a un humour que l’on
pourrait comparer aux inégalables Monty Pythons. Je pense que tu es bon pour
l’internement psychiatrique quand tu réalises une vidéo sur un chien sniper ou sur
un homme transformé en gâteau.
4
c inefil
Didier
Hello, my name is Didier du Fil… After five years in hell, I have come home with only one goal, to save
... Non mais non, c’est toujours pas bon…
Ah ! Que de chemin parcouru depuis le début du semestre ! Nous voici déjà arrivés à la 5ème et avantdernière édition du CinéFil de ce semestre ! Le temps passe siiii vite … À peine avons-nous eu le temps
de nous remettre de la tempête « médians » que les finaux nous mettent déjà une tarte sur le pif. Mais
CinéFil est toujours là pour vous rendre le sourire !! Cependant, vous savez, parler de films, un par un, c’est
un peu casse-noisettes… C’est pourquoi, je listerai mes films, cette fois-ci, trois par trois ! Eh oui, un c’est
bien, à deux c’est mieux et à trois… bah c’est encore mieux ! Mais Bobine X vous en parlera mieux que moi
surement ! ♥ Voici donc cette semaine, ma sélection des « Trilogies qui font se marrer » .
1°/ Harold et Kumar – par (trop de gens, wiki existe si vous y tenez)
L’histoire de deux hommes, prêts à tout pour assouvir leur faim, qui vont se lancer à corps perdus
dans une chasse au burger (je m’identifie grave aux personnages-là, vous n’imaginez pas à quel point,
#CaseDalleDe2HDuMatÀCompi). Cependant, leur… incroyable personnalité… -leur talent à chercher la
connerie- et leurs rêves… -chasser de la demoiselles et trouver de l’herbe (pas aromatique)- les conduiront
direct à Guantanamo ! C’est fou tout ce qu’on peut faire pour une voisine sexy . Enfin, plusieurs années
plus tard, leurs conneries renaissent, assez pour réaliser le 3ème film ! Conclusion de la trilogie : il en faut
peu pour vivre heureux (bouffe, nana, verdure) !
2°/ Blood and Ice cream trilogy – par Edgar Wright
Ici, 3 films avec 3 scenarii (paye ton italien) complètements différents mais cependant les mêmes acteurs
jouant des personnages différents dans les 3 films. Vous suivez ? Les films suivent un schéma plus ou moins
similaire. Départ avec une situation initiale normale (quoique…) suivie d’un élément perturbateur tel qu’une
transformation inexpliquée des populations en zombie, l’apparition d’accidents mortels en série ou bien la
venue d’un vieux con pour vous proposer d’aller boire 12 pintes de bières en une soirée . À voir et revoir !!
3°/ Ace Ventura – par Tom Shadyac, Tom Oedekerk, David M. Evans
Ace Ventura, un détective pas ordinaire et pour cause, il est joué par Jim Carrey ! En partant de là, vous
vous imaginez bien que malgré un budget faisant pâle figure à côté de celui Very Bad Trip, les fous rires
seront au RDV ! NB : Film à voir avec un peu d’alcool dans le sang pour apprécier l’humour présent. NB BIS
: Trilogie déconseillée aux plus faibles. NB TER : Vous ne verrez plus jamais les animaux comme avant !
4°/ The Naked Gun – par David Zucker
Trilogie de comédies policières, mêlant police, comédie (sans dec’, je vous jure !) et Amour (amour avec
un grand « a »). Connu comme la trilogie « Y a-t-il un flic pour… ? » en France et « L’agent fait la farce
» par nos amis Québécois : Je vous le dis, nous voilà partis pour une suite de péripéties rocambolesques
et agitées !
5°/ Rush Hour – par Brett Ratner
Et enfin, parce que je suis en manque de trilogies comiques qui n’ont pas eu la chance d’avoir une
pub démesurée style 50 Shades of Grey (#TacleTacleTacle !!!), je vous parle de Rush Hour, trilogie
incontournable pour les fans de Jackie Chan où il est flic… comme dans la moitié de ses films ! Avec
intervention de l’acteur Chris Tucker qui permet la création d’un duo génial.
Bonus tracks : Trilogie d’Alejandro Gonzalez (The Island, Babel, 21 grammes : Ce ne sont pas des
comédies mais je m’en fous) | American Pie (pas une trilogie, mais idem) | Indiana Jones (je vous jure que
c’est une Trilogie !!!)
Ce CinéFil étant à présent terminé, je vous recommanderai seulement de bien vous couvrir en vue
des récents événements (Glagla UTC & Amphi glacés). Brace yourselves… Winter is coming… It’s not
going to kill you… just gonna freeze ya, really, really bad !!!
5
L e courrier des lecteurs
«Bonsoir cher dé à coudre,
Suite à la lecture de la bobine X du dernier fil, nous avons attendu, curieux, que l'un d'entre
nous ait mal quelque part pour copuler. Après une longue attente (#2jours) le sexe faible
(appelons la Josette) (là il vient de se faire taper pour cet affront), eu mal au dos. Nous nous
décidâmes alors à nous emboîter pour faire marcher nos petites hormones comme vous nous
l'aviez si bien vanté.[...]»
C'est avec étonnement et beaucoup de plaisir que j'ai découvert ce mail du charmant couple
Josette & Quokka narrant leurs fougueux ébats (oui en détail) qui ont miraculeusement guéri le
mal de dos de Monsieur. Le manque de place m'empêche de publier l'intégralité du mail qui fut
fort amusant à lire mais je voulais tout de même remercier chaleureusement ce couple pour leur
témoignage qui, je l'espère, incitera d'autres à tenter l'expérience du «gsoignémescourbaturesgraceausexe » ! Des bisous à Josette et Quokka !
« Bien le bonsoir cheeeer Fil et chère bobineX,
C'est dans l'urgence, le besoin et la fièvre des apeurés que nous vous contactons si solennellement. En effet, nous , les chauds lapins, Quokka et Josette, les baiseurs sans fin, sommes victimes d'un terrible malheur : l'abstinence forcée ![...]»
Ah bah non en fait ils sont de retour...Second mail, seconde surprise! Cette fois, ce n'est plus
un témoignage d'espoir mais un véritable appel au secours qui arrive dans la boîte mail du courrier des lecteurs:
«[…] Pour une raison X ou Y (plus X que Y d'ailleurs) nous sommes condamnés à 15 jours
sans chaleureux coït ...Vous qui nous aviez si bien vanté les effets bénéfiques de celui-ci !..
Nous voilà dans le pétrin ! Y a-t-il un espoir ? Des solutions existent-elles ? L'abstinence a-telle des vertus thérapeutiques également ?...
Nous sommes rongés de l'intérieur par l'envie, privés d'un plaisir autrefois si consommé...
Certains sont même (bon en fait on est 2) dans l'incapacité de se donner du plaisir en solitaire (c'est vous dire le désespoir).
Aidez nous,
Vous êtes notre seul espoir ...
Abstinence et frustration
Quokka et Josette <3»
Devant tant de détresse je ne peux que vous apporter tout mon soutien dans cette épreuve.
Essayez de garder à l'esprit que vos retrouvailles coïtales n'en seront que plus folles.
Sachez toutefois que certains affirment que l'abstinence rend plus productif, plus alerte et permettrait même de voir la vie de façon beaucoup plus positive.
Encore merci à vous pour votre sympathique mail !
Si vous souhaitez apporter votre témoignage après votre période de jeûn, ou que vous voulez
témoigner de votre soutien à Josette et Quokka, n'hésitez pas !
[email protected]
6
c hu'ut - Les potins
Chapi & Shapo
Un habitant de la Ruche aurait manqué de peu
le « perfect » en allant manger cinq fois de suite à l’Urban.
7
B obine X
Le dé à coudre
Voilà plus d'un an que le Fil et ses lecteurs se coltinent les élucubrations de la Bobine. De
nombreux sujets ont été abordés depuis, mais une zone d'ombre persiste. Il nous aura fallu mettre
nos meilleurs chercheurs sur le coup pour tenter de percer les mystères d'une espèce encore peu
connue du grand public et que les spécialistes nomment l'«Utcéen».
Concentré dans une région du monde bien définie que l'on nomme Compiègne, sur le continent Picard,
l'Utcéen n'a pas encore dévoilé tous ses secrets aux scientifiques.
C'est donc en exclusivité, pour vous chers lecteurs, que la Bobine vous révèle les premières conclusions
des études menées sur 223 intrépides individus dont 130 mâles et 93 femelles. Êtes-vous prêts à
manger du chiffre?
Parce qu'il faut bien commencer quelque part,
voyons ensemble l'organisation sociale chez
les Utcéens. Il s'agit visiblement d'une espèce
vivant à majorité en couple (60%). Les femelles
semblent avoir davantage de facilités à trouver des
partenaires puisque seulement 23,5% d'entre elles
sont seules contre 30% pour les mâles. Mâles qui
sont d'ailleurs plus enclins à se retrouver dans des
situations relationnelles dîtes «compliquées».
Pour ce qui est du nombre de partenaires, les
chiffres varient principalement entre 1 et 5. Si on
ne fait aucune distinction mâles/femelles, l'Utcéen
apparaît plutôt comme une espèce sédentaire
puisque la majorité des individus affirment n'avoir eu
qu'un ou deux partenaire(s) de jeu (36% au total), et
plus le nombre de partenaires augmente et moins il
y a d'individus concernés. Sauf…pour les femelles!
Eh oui là où la réponse number one chez les mâles
était «un partenaire» (24%), chez les femelles, elle
était «cinq partenaires»(19,5%). Il faut croire que
le marché est plus large… Autre fait intéressant,
l'Utcéen n'est pas un adepte des plans culs. Pécho
en estu et ne plus jamais revoir sa conquête du
soir? Visiblement plus une légende qu'un fait avéré!
Puisque mâles comme femelles ont majoritairement
déclaré n'avoir jamais essayés (respectivement 47
et 41%) ou du moins rares sont les Utcéens ayant
dépassé les 3 plans culs (bon y'en a hein…).
Mais parlons sérieusement maintenant, parlons
reproduction! Question fréquence, je ne vais rien
vous apprendre, les Utcéens sont de la sous-espèce
des coquinous parfois aussi appelés «chaudslapins» par certains spécialistes. Cette tendance
est légèrement plus flagrante chez les femelles que
chez les mâles: 53% d'entre elles préfèrent une
fréquence de plusieurs fois par semaine contre 49
% chez les mâles, tandis qu'en comparaison 9% de
8
ces derniers se contentent d'une à deux fois par an
contre seulement 2% chez les dames.
De manière plus technique, le rapport idéal
chez l'Utcéen durerait entre 20 à 40 minutes
pour 51% des cobayes et entre 5 et 20 minutes
pour 35%. De plus, une juste répartition entre les
préliminaires et le post-préliminaire est visiblement
largement favorisée (76%), même si on peut noter
que les femelles apprécient davantage la phase des
préliminaires que leurs partenaires (17 contre 13%).
Et puisque nous sommes sur la reproduction,
les chercheurs ont tenté de déterminer quelle(s)
position(s) du Kamasutra remportai(en)t le plus de
succès auprès de ces individus (parce que oui, les
Utcéens connaissent le Kamasutra que croyezvous?). C'est ainsi qu'ils ont découvert qu'en
première place se trouvait la très célèbre levrette
pour 28% d'entre eux autant chez les mâles que
chez les femelles, suivie en seconde position par
l'Andromaque ou la déesse à 14%, elle-même
suivie de près par le missionnaire avec 11%. À noter
que certaines positions appréciées des mâles, ne
semblent pas vraiment au goût des femelles: le
69 par exemple, cité par 4% d'entre eux contre
0% chez les femelles (3% d'entre elles seraient
même complètement rebutées par cette position)
ou encore la cow girl (Andromaque inversée) pour
ne citer que ces deux-là. Précisons que 69% des
individus disent n'être rebutés par aucune position
particulière. Néanmoins, la levrette ne fait pas
réellement l'unanimité puisque 7,5% des femelles
et 3% des mâles ne souhaitent pas l'essayer, au
même titre que...la sodomie qui est bannie par 13%
des femelles et 10% des mâles.
Pour observer au mieux cette intrigante espèce,
il faut connaître ses lieux de copulations préférés.
Pour un petit safari photo, nous vous conseillons
donc de vous rendre en priorité à proximité de leurs
lits puisque c'est là que 73% d'entre eux pratiquent
leurs jeux coïtaux. Si vous souhaitez observer
en priorité des femelles vous pourrez en trouver
aisément dans tous les appartements d'Utcéens
puisque celles-ci apprécient particulièrement
copuler...partout (51%). Pour les mâles vous
pouvez tenter les points d'eaux et notamment les
douches qui semblent remporter un franc succès
(38%). Et si vous êtes vraiment chanceux, il se
pourrait même que vous tombiez sur un individu,
par hasard au détour d'une salle de TP, dans une
rue ou dans votre garde-manger (oui oui).
Mais alors comment reconnaître un Utcéen si
vous en croisez un? Quelles particularités sont
à connaître pour ne pas le confondre avec une
autre espèce d'étudiant? C'est très simple, voici les
quatre points à checker pour savoir si vous avez
bien un Utcéen face à vous.
Tout d'abord, demandez-lui ce qu'il pense du
sexe à plusieurs. Si vous êtes face à une femelle
attendez-vous à ce qu'elle vous réponde «non
merci» comme 57% des individus de cette espèce
(contre 29% chez les mâles) ou éventuellement
«pourquoi pas, un jour» comme 36% d'entre elles
(contre 62% des mâles qui semblent drôlement plus
attirés par ce genre d'expérience).
Second point, interrogez votre individu sur la
question du sexe oral. Si il ou elle vous affirme qu'il/
elle n'aime pas ça ou n'a jamais essayé, méfiezvous! Soit il s'agit d'un individu très rare, soit vous
n'êtes pas en train d'observer un(e) Utcéen(ne).
De plus, notez qu'une femelle aura davantage de
chance de vous répondre «pas top top» qu'un mâle
(12% contre 3%) tandis qu'un mâle vous affirmera
plus facilement que le sexe oral c'est in-dis-pensa-ble (à 45% contre 25%). Néanmoins la majorité
de l'espèce apprécie cette pratique sociale à 47%
pour les mâles et à 54% pour les femelles.
Troisième détail à checker: les sextoys. Un
véritable Utcéen aura tendance à vous dire que
ça lui évoque un article de la Bobine X (fidèles
lecteurs qu'ils sont) mais 14% d'entre eux ne sont
pas du tout adeptes de ces petits joujous du plaisir
(17% chez les femelles contre 12% chez les mâles).
En revanche, les femelles semblent davantage
attirées par l'expérience à 29% contre 25% chez
les mâles.
Enfin, dernier point (et pas des moindres) qui
vous permettra à coup sûr de savoir si vous avez
bien un Utcéen face à vous. La fameuse question
du «c'est quoi le plus important, la taille ou ce
qu'on en fait?». Sachant que 88% des individus de
cette espèce estiment que le plus important c'est
la façon dont on l'utilise, je vous laisse faire vos
propres conclusions.
Pour terminer cette petite présentation de
l'Utcéen, les chercheurs se sont penchés sur les
personnalités des différents cobayes. Selon eux,
chez les femelles Utcéennes les deux personnalités
prédominantes seraient Pocahontas et Jasmine, qui
sont, pour rappel, respectivement une dominatrice
sauvage et une coquine mangeuse d'hommes.
Chez les hommes, les chiffres sont beaucoup plus
équilibrés mais on retrouve une légère majorité
d'Aladdin et de Tarzan, autrement dit de beaux
parleurs et de sauvages un peu chelous! (Pour
ceux qui n'auraient rien compris à ce dernier
paragraphe, je ne peux que vous inviter à aller
jeter un coup d’œil aux rubriques des numéros 355
et 356 présents sur le site du Fil).
C'est ainsi que s'achève cette fascinante
introduction au monde fascinant de l'Utcéen, à qui
il arrive toutes sortes de choses fascinantes: des
plans à trois avec les collocs et les ami(e)s des
collocs; des fellations dans des cinémas, parcs
et autres lieux publics; des parties de jambes en
l'air au naturel, dans des forêts, champs, dunes
et plages (même pendant une tempête rien de ne
les arrête!); du sexe romantique au possible sur
des remparts de château ou sous la voûte céleste;
du sexe un peu moins romantique avec la famille
dans la pièce d'à côté ou endormie dans la même
tente; certains voyagent et découvrent la culture
étrangère avec des Italiennes, des Viennoises,
des Allemandes; d'autres voyagent moins mais
s'amusent à échanger des partenaires. Bref il serait
impossible de citer toutes les choses extraordinaires
qui arrivent dans la vie d'un Utcéen.
Pour conclure cet article, je remercie tous les
cobayes pour leur participation et je précise bien
que cette analyse n'a rien de sérieux, et que si
vous ne rentrez pas dans les statistiques c'est bien
évidemment que vous êtes des gens bizarres (bah
quoi?).
Je vous embrasse bande de couqinous et
coquinettes, et continuez à ne pas être si sages
que ça!
9
R andom
ДилаСука
« Sur ses ailes la crasse du Diable, sous ses ongles la grâce du Poète »
L’ULUBERLU dont il sera question ici naquit un jour de mars 1979 sous le signe du crack, et
continue d’ailleurs d’honorer son destin avec une aisance digne d’un poisson volant dans une
marmite de gazpacho. Sur son acte de naissance figurent, entre autres pères (spirituels, il y va de
soi) Oscar Wilde, William Blake et Albert Camus. C’est de ce fertile terreau intellectuel que sortit
Pete Doherty, connu pour être le chanteur des Libertines et passablement alcoolique quand il n’a
pas une seringue dans le bras.
ETUDIANT brillant, il s’abreuve très tôt de la littérature des grands maîtres et des poètes, avec
une préférence pour les français : Baudelaire, Rimbaud et Musset. « Ils apportent une vision du
monde que je comprends mais que je n’arrive pas à exprimer, ça me donne de la force, et c’est si
beau ». A la fin du lycée et avant de se lancer dans sa carrière musicale, le petit Pete commence
par être gardien de cimetière. D’après le témoignage de plusieurs veuves assidues du lieu, il y
passait le plus clair de son temps à lire, allongé sur les tombes.
DOHERTY commence dès son adolescence à écrire dans des carnets, où son génie créateur
prend la forme de dessins, poèmes et réflexions sur l’existence, le tout écrit avec son propre
sang car l’encre pollue mais surtout coûte cher. Or Pete n’a pas un kopek en poche. Et le peu
d’argent qu’il a sert un bien plus fantasque dessein, celui d’aller nimber son encéphale dans des
nuages de
DROGUE. Doherty est en effet un toxicomane notoire. Quand Steven Tyler a déclaré « j’ai
sniffé la moitié du Pérou » (soit 640 000 km²), Pete s’est quant à lui contenté des 130 395 km²
de l’Angleterre. Seulement, c’est bien connu, tout toxico de notre univers est prisonnier d’une
quatrième dimension, pécuniaire. « Comment payer ma came si je ne puis en demander pour Noël
à père et mère ? 1 ». Il apportera plusieurs réponses originales à ce dilemme : en se prostituant
et en volant un de ses clients (combo !), en vendant lui-même de la drogue, mais également
en cambriolant l’appartement de son ami Carl, guitariste des Libertines. Le bougre cumule à ce
jour 13 condamnations pour possession et usage de drogue, ce qui lui a valu plusieurs séjours
en prison.
FEMMES. Comme tout poète maudit qui se respecte, il sait séduire la gente féminine. Que dire
de sa relation avec Kate Moss ? En apparence, faute de goût impardonnable chez cet esthète
dépravé, tout droit sorti d’un autre temps où la vieille Angleterre se faisait encore appeler Albion.
Mais Doherty nous offre une bien plus pragmatique explication : « J’ai une dette de 300.000£.
Alors d’après vous, pourquoi je sors avec elle ? ». Après 3 ans d’une liaison tumultueuse, le
couple se sépare, laissant Pete terrassé. Le mannequin britannique aurait brûlé sa peluche préférée : « Pandy, je l’avais tout le temps avec moi, partout où j’allais. Quand on a rompu, Kate l’a
brûlé. Comment on peut faire une chose pareille, quelle détraquée fait ça ?! »
PROVOCATEUR, Pete Doherty s’expose par ses frasques, qu’elles soient amoureuses, liées
aux drogues ou à ses concerts (il a à cœur de ne jamais s’y présenter lucide). Sitôt qu’il entrevoit la distrayante possibilité d’un outrage public, c’est son être tout entier qui semble se diriger
vers elle. Alors, sa nonchalance indécente ose en faire quelque chose d’une beauté sale mais
grandiose. Il est de ces hommes qui tracent leur propre route, posant au jour le jour les rails (de
coke) de leur destinée, orfèvres crasseux sous emprise dans un monde qu’ils ont choisi de singer.
Certains s’étonnent qu’il tienne encore debout. N’ayez crainte, il titubera fier, dandy décadent qui
salue ivre la foule à ses pieds puis s’écroule.
Oncle Oswald
1: Ceci n’est pas une rubrique conseil pour néophytes
10
L es jeux
Nathan
Kenken:
Remplissez les grilles avec des chiffres de 1 à 6 sans
jamais avoir deux fois le même chiffre sur la même ligne ou
la même colonne.
Les indications inscrites en haut de chaque bloc indiquent le
résultat à trouver et le signe de l'opération à effectuer avec
les chiffres du bloc pour avoir ce résultat.
90 x 6
ou
5+
11 + 12 x
5-
Ex : 3 / -->
3/
15 x 2
3/
10 x
10 +
23
3
2
ou
2
6
3
1
ou
1
3
11 +
3-
4
23+
6
4-
2/
4
3/
2/
60 x 20 x
3
5-
2
2/
3/
10 x
4-
4
3-
5-
3/
2/
3
BoP’s
MT23 - Si vous regardez dans le miroir et que
vous vous voyez, alors vous êtes réel .
FQ01
- Vous êtes en quoi ?
- GSU
- C'est quoi ça ???
- Génie des systèmes urbains...
- Ah ! 'Connais pas.
MC08 - " MC08 c'est bien au-dessus de MC02,
c'est pour ça que c'est 6 de plus !"
MT23 - "Cette histoire , chaque fois ça fait un
flop, je cherche un public..."
11
8+
1-
3-
13-
3-
Force 3
HT04 - "Maintenant excusez-moi , je vais faire
une pause physiologique"
HE01 - L'observation d'un string mauve est
donc une preuve de plus que tous les corbeaux
sont noirs !
SC21 - "Tiens, j'ai une idée , dites-moi ce que
vous trouvez quand vous cherchez "chatte" sur
google !"
Di01 - Ce qui est marrant c'est qu'ils faisaient
des boutons en plastique donc il y avait des
incendies dans les merceries.
2/
13-
Force 3
Force 2
11 +
4
8+
1-
5+
3/
GE36 – Richard Branson a voulu concurrencer
Coca et s'est dit on va faire Virgin Cola. Pour
se démarquer ils se sont dit « on va faire une
bouteille en forme de Pamela Anderson »...en
terme d'ergonomie ça tenait bien en main . »
! :P
us en envoyer
Continuez à no
l
assos.utc .fr/lefi
L es jeux (suite)
2
<
<2
<1
<2
<
2
<3
<3
Réalisés et testés par l’équipe du Fil
3>
<3
2>
<1
3>
<3
<2
<
2>
2
<
3>
3
<
0>
1
2
3>
<
<2
2>
<2
3>
3>
<2
Retrouvez les 19 cases noires disséminées dans la
grille, sachant que deux cases noires ne peuvent
pas se toucher, que ce soit par une face ou par
un coin. Les chiffres placés devant les flèches indiquent le nombre de cases noires dans l'lignement
correspondant.
Le Fil est imprimé et en
partie financé par le Polar
Le Fil est le torchon bimensuel gratuit des étudiants tiré à 800 exemplaires. Chaque article n’engage que la responsabilité de son auteur.
La censure engage la responsabilité du président du Fil. La publication d’un article est soumise à l’enregistrement de son auteur dans le livre
de publication, sauf acceptation de son anonymat par le président du Fil, qui engage alors sa propre responsabilité.
12

Documents pareils