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ENFER(S)
SYNOPSIS
Pierre et Lydie aspirent à une vie heureuse et paisible… Mais
la communauté recluse dans laquelle ils vivent en a décidé
autrement… Lorsque Pierre se réveille un jour attaché sur une
croix de Saint-André devant sa famille, Lydie et le reste de
la communauté, « l’Homme en noir » qui représente la Haute
Autorité lui offrira un aller simple en Enfer(s)…
SOMMAIRE
Note d’intention du réalisateur……………………………………………… 2
Les comédiens……………………………………………………………………………………………… 4
Les lieux………………………………………………………………………………………………………… 8
L’atmosphère………………………………………………………………………………………………… 9
Les mots de l’équipe…………………………………………………………………………… 10
L’équipe technique………………………………………………………………………………… 13
Le budget………………………………………………………………………………………………………… 14
Contacts/Crowdfunding………………………………………………………………………… 15
NOTE D’’ INTENTION
De Michaëel Berthet
Combien de films d’horreur français sortent sur nos écrans
chaque année ? Vous aurez vite fait de les compter… Et
pourtant ce ne sont pas les passionnés qui manquent ! Alors
pourquoi restons-nous passifs en ne laissant la création des
films de genre - quasiment - qu’à la solde des Anglo-Saxons et
Hispaniques ? Car si les critiques méprisent souvent ce genre
de cinéma, le public lui en (re)demande !
Et j’en fais partie !
En France, c’est comme ça, il est très difficile de trouver un
financement pour fabriquer ce type de film. Je suis prêt
malgré tout à relever le défi ; en tant que grand fan de films
de genre – au sens actuel du terme, j’ai décidé de
réagir devant ce constat effrayant ! Oui j’aime avoir peur
devant un film et en prendre plein la gueule ! C’est pour cela
que je souhaite que mon premier film en tant que réalisateur
soit un film de genre.
Je ne peux malheureusement dévoiler les enjeux du film sans
révéler son dénouement. Je peux en revanche « annoncer la
couleur » en dévoilant que la scène principale du courtmétrage est une scène de torture.
Ce
film
décrit
une
microsociété
idéologique
malsaine,
totalitaire et autoritaire, mais probablement juste, tout en
représentant le triste reflet de nos pires fantasmes doublés
de machinations perverses et sadiques. Jusqu’où sommes-nous
prêts à aller pour défendre nos valeurs et nos convictions ?
D’ailleurs, comment se forge-t-on ses propres valeurs et ses
convictions ?
Pas de second degré ici ni de compromis, le film est direct et
brutal. Il ne s’agira pas de terrifier le spectateur
uniquement avec des effets gores à n’en plus finir pour leur
donner la nausée ; NON. Cela a déjà été fait et ce n’est pas
ce que je recherche à travers ce projet. Au-delà de la torture
physique, en écrivant le scénario j’ai aussi voulu axer la
narration sur la torture psychologique de chaque personnage.
La participation de Stéphane Rives, ami scénariste et
réalisateur, dans cette phase d’écriture a été déterminante et
a permis d’approfondir chaque personnage pour que la scène
principale et les enjeux soient encore plus percutants. En
incluant différents axes de subjectivité au sein de la même
séquence, le spectateur ressentira tour à tour ce que perçoit
chaque protagoniste, ce qui le placera au cœur même du film ;
de simple « voyeur » il deviendra en quelque sorte « acteur »
de l’intrigue. Ma démarche en imaginant ce film a été
d’impliquer le spectateur, le terrifier, le mettre mal à
l’aise et le faire réfléchir sur ce qu’il « endure » en
visionnant le film.
C’est exactement ce que j’ai ressenti devant trois films
différents qui me servent de référence dans le genre : « La
Secte sans Nom » (Jaume Balaguero), « Funny Games » (Michael
Haneke) et « Martyrs » (Pascal Laugier).
Bien sur, je n’ai pas la prétention d’être un Haneke ou un
Laugier, mais mon objectif est bien de vous faire vivre une
expérience
cinématographique
intense,
tant
au
niveau
scénaristique qu’au niveau technique et esthétique. Vous
l’aurez compris, visuellement le film se veut glauque et
sombre. Clémence Plaquet, ma chef opératrice, créera donc une
atmosphère pesante en utilisant un éclairage brut et très
contrasté. Cette atmosphère sera renforcée par un sound design
omniprésent et propre à chaque point de vue, ce qui donnera
encore plus de poids aux images et aux émotions.
Pour que ces émotions soient crédibles, il m’a fallu chercher
des comédiens hors pairs. Aidé dans cette tâche par mon 1er
assistant, Hugo Da Silva Ferreira, et ma directrice de
casting, Frédérique Romano, nous avons réussi à trouver des
comédiens expérimentés et talentueux qui ont complètement
compris et intégré la complexité de chaque personnage et les
différents niveaux de jeu qu’elle implique.
Enfin, le grand soin apporté aux décors, à la photographie,
aux lumières et au sound design vous plongera totalement dans
nos Enfers… êtes-vous prêts à nous y suivre ?
Les com diens
Quentin santarelli –- pierre
Quentin est né à Bordeaux en 1991. Après
plusieurs années de formation théâtrale et le
Bac en poche, il est monté à Paris en 2009 pour
intégrer le Cours Florent qui proposait pour le
même prix une double scolarité (classe principale
et classe parallèle). Il a notamment été formé par
Georges Bécot, Christian Crozet et Laurence Côte.
Il obtient des rôles dans plusieurs courts-métrages et
décroche parallèlement des rôles dans plusieurs téléfilms
comme « Famille d’Accueil », « Joséphine Ange Gardien »,
« Camping Paradis », et même un rôle récurrent dans la série
« Plus
belle
la
vie »
pendant
presque
un
an.
Mais
l'interprétation et les propositions de jeu, sous la direction
d'un metteur en scène ou d'un réalisateur de projets
personnels, reste sa véritable motivation pour ce métier.
"Pierre est un personnage complexe. Victime, il est bourreau.
Bourreau, il est victime. On ne peut que l'accuser ou peut
être que le défendre. Le rôle de Pierre est monstrueux à
incarner. Le plaisir à interpréter ce personnage est à la
hauteur des évidences perdues."
Jerome berthoud –- l homme en noir
Jérôme commence sa formation au Conservatoire
d'Art Dramatique de Nice avec Muriel Chanez,
puis avec Irène Lamberton au Conservatoire
Supérieur d'Art Dramatique de Marseille. Il
continue sa formation à Paris chez Jean-Laurent
Cochet puis au Studio Pygmalion avec PascalEmmanuel Luneau, Damien Acoca et Patricia Sterlin.
Au Théâtre, Jérôme travaille, entre autres, sous la direction
de Frédéric Muhl ("Dieu" de Woody Allen -Théâtre de la Criée -
Marseille), de Patrice Kerbrat ("Quand Elle Dansait" de Martin
Sherman - Comédie des Champs-Elysées), de Pino Micol et Pierre
Santini ("Cyrano de Bergerac" d'Edmond Rostand - Théâtre
Déjazet)…
Il tourne pour la télévision sous la direction de Joël
Santoni, Laurent Gassiole, Guy Jorré, Nathalie Mauger, Steven
Gethers, Luke Campbell. Au cinéma avec Jean-Marie Poiré dans
"Mes Meilleurs Copains" et "Les Visiteurs", puis dans de
nombreux courts-métrages.
Depuis de nombreuses années, Jérôme travaille dans le secteur
du doublage. Il a par exemple doublé Johnny Depp dans "Edward
aux Mains d'Argent", mais aussi de nombreuses séries comme
« Hartley, cœurs à vif », « The Big Bang Theory », « Modern
Family », « Real Humans »...
"Un tournage est toujours une aventure et je suis heureux de
partager celle du film de Michaël.
L'univers et les
personnages d'"Enfer(s)" m'ont séduits car ils sont forts et
le projet ambitieux. Il est toujours excitant pour un acteur
d'interpréter des personnages sombres et ambigus, et là, je
suis servi."
Claudie caro –- la mere
Comédienne
depuis
l'enfance,
Claudie
s’est
consacrée pendant de nombreuses années au théâtre
jeune public. Elle a aussi participé à de
nombreuses créations de revues, pièces à sketches
et parodies. Elle s’est aussi produite dans un
"seule en scène" qui a tenu l'affiche pendant un
an à Paris.
Passionnée de musique et de poésie, capable d'interpréter les
personnages les plus variés avec intensité et justesse, son
jeu est un atout-maître pour le succès d’un spectacle.
Tout en travaillant dans la fonction publique, elle n’a jamais
délaissé le cinéma en enchaînant parallèlement plusieurs rôles
dans
plusieurs
courts-métrages.
Aujourd’hui,
Claudie
a
d’ailleurs décidé de se consacrer entièrement à sa passion en
laissant tout derrière elle pour enfin être libre et devenir
comédienne à temps plein !
"Lorsque j'ai lu l'annonce pour ce court métrage « Enfer(s) »,
je me suis toute de suite dit : ce rôle, je le veux ! Parce
que j'ai toujours voulu jouer un personnage avec une forte
intensité de jeu et des émotions fortes, le tout dans une
ambiance hors du commun."
Alain dion –- le pere
Après de longues études de droit et de
relations publiques, Alain se retrouve
presque par hasard sur les bancs du cours
Florent dans la classe de Francis Huster…
puis le Théâtre Les 50… puis l'Actor Studio
parisien dirigé par Andréas Voutsinas.
Il fait ses premiers pas au cinéma dans « Bonjour l'angoisse »
de Pierre Tchernia et à la télévision dans la première sitcom
française « Ange et loup ». Côté scène, Alain participe à de
nombreuses comédies musicales dont « Les Misérables » au
Théâtre Mogador, et de nombreuses pièces dont « La maison du
lac » aux côtés de Jean Desailly et Simone Valère, mise en
scène par l'imposant George Wilson.
Il obtient un rôle récurrent dans la série « Q.I. » aux côtés
d’Alysson Paradis et Philippe Vieux. On a aussi pu le voir
dans « Sous le soleil », « Engrenages », « Alice Nevers »,
« R.I.S Police scientifique », « Fais pas ci, Fais pas ça »…
"Les courts-métrages étant une belle école de disponibilité,
de créativité et d'efficacité, je suis très heureux quand on
me propose des rôles intenses voire extrêmes comme dans ce
court "Enfer(s)"".
Julia gratens –- Lydie
Elève au Conservatoire du 16e puis à celui du
Centre, Julia joue dans de nombreux courtsmétrages présentés dans des festivals tels que
Berlinade.
En 2014, elle tourne pour le Festival 48h Film
Tours dans un court-métrage qui obtient le prix
de la meilleure utilisation de la phrase
imposée.
Elle
incarne
aussi
Anne
de
Bretagne
dans
l'émission « Secrets d'Histoire ». Suite à un concours, elle
se
produit
aussi
au
Théâtre
du
Rond-Point
dans
la
pièce « Parachute ».
"Le rôle de Lydie me plaît tout particulièrement parce que
c'est une femme forte qui se retrouve dans une des situations
les plus compliquées… Le dilemme auquel elle fait face et la
torture psychologique contenue dans ce film m'intéressent
énormément. Les notions de victimes et de bourreaux sont
constamment remises en question."
Nicolas mazzocco –- l archiviste
Nicolas est monté la toute première fois sur
les planches à l’âge de 14 ans, lorsque le club
théâtre de son collège a été créé. Depuis, il a
continué
en
faisant
l’option
théâtre-art
dramatique au lycée. En parallèle de ses études
d’anglais, il a rejoint une troupe semiprofessionnelle à Bordeaux, le théâtre en
miettes, ainsi que le club de l’université de
Bordeaux, où il joue du Shakespeare. Il met à
profit ses deux années à l’étranger pour pratiquer le théâtre
en anglais, ainsi que la comédie musicale. De retour en
France, il met en scène deux pièces et continue de briller sur
les planches. Après avoir obtenu son CAPES, il monte à Paris
où il s’inscrit dans une école, Acting International, pour y
suivre un cursus professionnalisant de 3 ans. Il a déjà joué
au théâtre du Nord Ouest dans un des rôles principaux d’une
pièce de Musset.
"J’ai beaucoup été emballé par le projet, notamment par le
genre, que j’aime beaucoup, mais aussi par cette violence à la
fois poussée mais tellement présente au quotidien et par
l’esthétisme que cela représente. Les enjeux mis en avant
peuvent être débattus mais au final, on a tous cette part
d’ombre en nous qui nous mène parfois à l’excès."
Les lieux de tournage
Le tournage du film aura lieu dans l’Essonne, au sud de Paris.
Le ch teau
de la communaut
La grange
L atmosph re du film
"Pour témoigner de l'ambiance d'Enfer(s), il est nécessaire de
marquer la différence d'époque à l'écran. Il faudra surtout
travailler sur des teintes boisées, principalement dans la
grange, pour créer un univers un peu sale (métal rouillé, bois
abîmé…) mais aussi rustique grâce à l'accessoirisation : vieux
outils agricoles, chaînes en métal apparentes, sacs de
graines,
etc.
La
spatialisation
des
objets
est
aussi
désordonnée.
L'environnement
est
donc
plus
nature
que
culture." (Eric, chef déco)
Au-delà de l’accessoirisation et des décors, le travail de
lumière est très important pour créer l’ambiance du film.
Visuellement, Enfer(s) se situe entre "Martyrs", "American
Horror Story: Asylum" et "The Conjuring".
Pour une immersion complète dans cette atmosphère glauque et
inquiétante, le son jouera aussi un rôle primordial. La prise
de son se fera en direct. A celle-ci s’ajoutera un sound
design oppressant et omniprésent.
Les mots de l’ quipe
HUGO DA SILVA FERREIRA –- 1er assistant realisateur
Cela fait maintenant quelques années que je
travaille dans le milieu audiovisuel, que ce
soit en tant qu'assistant mise en scène,
régisseur ou assistant déco. J'ai évolué
aussi bien pour la télé que pour le cinéma,
et ce sur tous les types de supports
possibles
(longs
métrages,
séries,
pubs,
etc.).
Le projet de Michaël m'a plu dès le début, déjà parce que
j'apprécie
la
personne
qu'il
est,
mais
également
le
réalisateur qu'il peut devenir. Son univers est original,
réfléchi, et peu courant dans l'espace cinématographique
français. J'espère pouvoir l'aider à réaliser son film, et à
le mener ensuite dans des festivals. Je compte également
l'aider à gérer les différentes casquettes qu'il s'est
attribué sur Enfer(s) : scénariste, réalisateur et acteur, car
le film est ambitieux et exigera énormément d'énergie et de
détermination. Mais je crois en ce projet et en Michaël, et je
suis donc ravi qu'il ait fait appel à moi pour faire partie de
son équipe.
Clemence plaquet -– CHEF OPERATRICE
Après avoir remporté le prix de la photo
à l’EICAR, décerné par Abramović, j’ai
éclairé
près
de
150
films :
de
l’institutionnel
à
des
émissions
de
télévision, en passant par des clips et
des fictions.
J’ai accepté de travailler avec Michaël parce que
l’exercice de style m’intéresse et que le courant passe
merveilleusement bien entre nous. Son scénario de départ était
cool, mais les différents changements qu’il y a apportés au
fil des différentes versions n’ont été que bénéfiques et ont
renforcé mon attachement à ce projet.
ERIC TRIGNAU - CHEF DECORATEUR
Après un Bac Littéraire, j'ai intégré
l'école CinéCréatis de Nantes avec un
diplôme de concepteur-réalisateur à la
clé. Etant bricoleur grâce à mon père,
j'ai naturellement eu à ma charge les
décors des différents projets scolaires en
tant qu'assistant. A ma sortie de l'école, j'ai décroché un
stage d'environ 3 mois à la télé pour l'émission « On n'est
pas que des cobayes » diffusé sur France 5.
Après différents tournages de courts-métrages, toujours dans
la décoration, je suis tombé par hasard sur l'annonce de
Michaël. Le scénario m'ayant emballé et l'horreur étant un
genre sur lequel je n'ai jamais travaillé en tant que
décorateur, j’ai foncé !
Le défi est de taille, mais il est surtout gratifiant.
QUENTIN BOURGEOIS - ingenieur du son
Côté expérience, j'ai déjà arrêté de compter le
nombre de tournages de fictions que j'ai pu
faire ; ma perche, mes HF et mon enregistreur
sont mes fidèles alliés dans ce monde peuplé de
son, et mon rôle c'est de n'en loupé aucun !
J'ai rencontré Michaël sur un tournage, et
lorsqu'il m'a proposé son scénario j'ai été
agréablement surpris. Déjà ce n'est pas si
souvent qu'on vous propose un tournage d'un film
de
ce genre, et en plus j’ai trouvé le scénario
vraiment bien construit. Il y a un gros travail à faire sur le
son pour que l'on ressente bien l'atmosphère particulière du
film, autant sur le tournage qu'en mixage, et c'est aussi ce
qui m'a intéressé : pouvoir capturer tous les petits détails
qui pourront rendre une scène vraiment glauque ou alors
insoutenable de part son ambiance sonore.
J’ai déjà hâte d'y être ! Ça va saigner… mais pas pour les
techniciens, espérons-le !
GIL DE MURGER –- regleur de cascades
J’ai débuté ma carrière au Club Med en 1980 en
tant
que
moniteur
d'arts
martiaux
et
animateur ; c'est là que le virus de la scène
et du spectacle s'est déclenché. Arrivé à Paris
en 1982, je m'inscris au cours Simon et
commence parallèlement à décrocher de nombreux
petits rôles à la télévision. Très vite, de par
mon côté sportif, je me fais remarquer par des
réalisateurs tels que Jacques Ertaud qui me pousse
à m'essayer à la cascade. Je transforme l'essai en devenant
très rapidement Coordinateur de Cascades.
Pour la télévision, je suis notamment le Régleur Cascades des
séries « Section de Recherche », « Enquêtes Réservées », « 2
Flics sur les docks », « Caïn »… Pour le cinéma : « Le loupgarou de Paris », « Le Pacte des Loups », « Le Boulet »,
« Scorpion », « Eastern Boys »…
En 2015, je suis comédien et chorégraphe des combats et scènes
d’escrime sur le clip bande-annonce de la comédie musicale
« Les 3 Mousquetaires » aux côtés de Brahim Zaibat.
Pour les raisons qui m'ont porté à aider Michaël sur son
film... déjà l'homme ; la sympathie que j'ai pour lui. Je sais
qu'il est quelqu'un de sérieux, rigoureux et attaché au
détail. Je pense qu'il en sera de même sur son film. C'est un
vrai film de genre et donc pour un Régleur de cascades c'est
toujours intéressant de faire un tel tournage. Les scènes de
lynchage devront être parfaitement réglées pour assurer la
sécurité de Quentin, le comédien, et ça c'est mon job.
J’ai rencontré Michaël sur le tournage de mon premier film.
Lui et son producteur Christophe Diez m'ont apporté leur aide
précieuse et tout leur savoir-faire pour m'aider dans chacune
des étapes de la fabrication de mon film afin de faire en
sorte qu'il soit exactement comme je le souhaitais. A mon tour
de leur apporter tout mon soutien et mon savoir-faire.
l’ quipe technique
Réalisateur - Monteur
MICHAËL BERTHET
1er assistant réalisateur
HUGO DA SILVA FERREIRA
2nde assistante réalisateur
LOLA BRACHET
Scripte
MARIAM KARAMOKO
Directrice de casting
FRÉDÉRIQUE ROMANO
Chef opératrice
CLÉMENCE PLAQUET
Assistant opérateur
RODOLPHE DE QUAY
Chef machiniste
ROMAIN THERY-FRUITIER
Ingénieur du son
QUENTIN BOURGEOIS
Régisseur général
PIERRICK REISS
Chef décorateur
ERIC TRIGNAU
Régleur de Cascades
GIL DE MURGER
Accessoiriste FX
LÉO LEROYER
Maquilleuse FX
LAURÈNE GARDEUX ZANOTTI
Le budget du film
Toute l’équipe du film, comédiens et techniciens, travaillera
bénévolement sur ce projet. Le financement récolté servira
donc exclusivement à payer le matériel, la nourriture et les
défraiements de l’équipe.
DÉPENSES
IMAGE
RÉGIE
ACCESSOIRES FX
DÉCORS
SON
MAQUILLAGES FX
COSTUMES
IMAGE (machinerie, lumières, caméras…) : 2400 €
RÉGIE/DÉFRAIEMENTS : 800 €
ACCESSOIRES FX : 500 €
DÉCORS/ACCESSOIRES : 500 €
SON : 400 €
MAQUILLAGE/MAQUILLAGES FX : 250 €
COSTUMES : 200 €
FRAIS CROWDFUNDING : 500 €
TOTAL : 5550 €
Contacts
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les nouveaux talents grâce à sa plateforme de crowdfunding et
sa chaîne de télé digitale. Nous l’avons choisie car au-delà
de sa philosophie novatrice et bienveillante, elle nous aidera
dans l’étape de postproduction et nous proposera en plus une
diffusion une fois la route des festivals terminée.
MERCI POUR VOTRE AIDE !