«Les éponymes de la langue française. Les noms propres devenus

Transcription

«Les éponymes de la langue française. Les noms propres devenus
LE DÉPARTEMENT DE L'ÉDUCATION DE MOSCOU
LE SERVICE DE SCOLAIRE DU DISCTRICT NORD
L'ÉTABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT BUDGÉTAIRE PUBLIC
LE GYMNASE № 1409
Travail de recherche:
«Les éponymes de la langue française. Les noms propres devenus
les noms communs»
Effectué par:
élève de 10ème "V" de gymnase №1409
Kotsovskaya Anna
élève de 9ème "А" de gymnase №1409
Irgang Denis
Enseignant:
Melnik O.E.
Moscou, 2013-14
Sommaire
I.
Introduction
1. L'actualité de la problématique. L'argumentation du choix_____________________3
2. Les objéctives et les problèmes de la recherche_______________________________3 3. L'objet de l'analyse. Les matériaux de la recherche. Les méthodes de la recherche____3
4. L'étude de la littérature sur le thème_______________________________________4
5. La signification pratique du travail________________________________________4
6. L'hypothèse principale__________________________________________________4
II.
Partie théorique
1. Les noms propres et les noms communs__________________________________4
2. Le passage des noms propres aux noms communs________________________5
3. Les difficultés de la traduction__________________________________________7
III.
1.
2.
3.
4.
Patrie pratique
Les mots-éponymes, ascendants aux antroponymes_______________________8
Les mots-éponymes, ascendants aux toponymes_________________________13
Les mots-éponymes, ascendants aux myphonymes et personnages littéraires___15
La classification des éponymes_______________________________________17
IV.
Bilan___________________________________________________________19
V.
Conclusion______________________________________________________21
VI.
Annexe_________________________________________________________22
VII.
Bibliographie____________________________________________________23
La lanque est une ville pour la construction
de laquelle chaque habitant de la Terre a apporté sa pierre.
R. Emerson
I. Introduction
1. L’actualité et l’importance des problèmes. L'argumentation du choix
La langue française est très riche de cas intéressants différents de l'existance desquels nous
ne suspectons même pas. La partie considérable du lexique français se compose d'éponymes, les
noms propres qui ont passé au groupe de noms communs. L'éponyme (du grec eponymos donnant un nom) est un nom d'une personne qui hérite un phénomène, une notion etc. à la
découverte ou à la création duquel elle a un rapport direct. Les mots-éponymes perdent leur
individualisation et acquièrent la fonction de la généralisation.
En étudiant le français et en travaillant avec le lexique je me demandais quelques fois:
«Pourqoui cet objet a-t-il ce nom et pas un autre?», «D'ou un tel ou tel nom est-t-il venu?». Pour
recevoir les réponses à toutes ces questions il faut faire des recherches dans le domaine de
l'étymology, de la linguistique et de la lexicologie, pénétrer dans les mystères de l'hystoire de la
langue. Les réponses obtenues m'aideront non seulement à développer mes conaissances sur
l'origine et l'usage des éponymes de la langue française, à mieux comprendre et à apprendre la
langue, mais aussi leveront des difficultés dans le domaine de la traduction.
Les étapes:
I étape: Préparation.
II étape: Planification.
III étape: Réalisation du projet.
IV étape: Présentation du projet.
2. Le but et les tâches des recherches
Le but: identifier la régularité du passage des noms propres au groupe des noms communs.
Créer un dictionnaire d'éponymes français plus employés. Lever un nombre de difficultés liées
avec la compréhension et la traduction des éponymes.
Les tâches:
1. Etudier les travaux scientifiques des linguistes célèbres.
2. Choisir et étudier les éponymes du français.
3. Analiser l'aspect historique des mots-éponymes.
4. Étudier les particularités du passage des noms propres aux noms communs.
5. Classifier les éponymes.
6. Analyser des résultats obtenus et tirer une conclusion.
3. L'objet de l'analyse. Les matériaux de la recherche. Les méthodes de la recherche
L'objet de l'analyse: les éponymes de la langue française.
Les matériaux de la recherche: le travail est fait à la base des matériaux des dictionnaires:
«Du nom propre au nom commun, dictionnaire des éponymes» de P. Germa (Paris 1993), qui
comprend plus de 1000 des mots-éponymes qui font la partie du lexique du français
contemporain; «Dictionnaire des mots étrangers» de V.Bourtseva (2004); «Dictionnaire de
référence» de M.Blau (2010); des articles scientifiques, de la presse et de l'internet.
Les méthodes principales: la méthode de recherches (l'organisation du travail quand un
élève pose un problème lui-même, cherche les moyens pour les résoudre, fait une conclusion
mais ne les reçoit pas prêts), la méthode de classification (elle permet de diviser des objets
etudiés (c'est-à-dire le lexique) en groupes.
4. L'étude de la littérature
Beaucoup de linguistes ont étudié ce problème: N.V.Yuchmanov [13] (a indiqué quelques
lignes suivant lesquelles le sens commun des noms propres se développe), Boulakhovskij L.A.
[2] («L'introduction à la linguistique»), Superanskaya A.V. [10] («La théorie générale du nom
propre»), Kazakova T.A. [6], («Les principes pratiques de la traduction»), Germa P. [15], G.
Lebouc [16] («2.500 noms propres devenus communs: dictionnaire étymologique d'éponymes,
antonomases et hypallages») et d’autres.
5. La signification pratiques du travail
Le matériel de ce travail peut être utilisé aux leçons de français, aux cercles, aux cours du
club linguistique de la langue française sur les thèmes «Linguistique et géographie», «Dans
l'univers de la science», et d’autres.
Ce travail va faire partie de la conférence ouverte municipale scientifique et pratique «Les
pays du mondes. Histoire. Culture. Traditions», du concours municipal des projets sur la
linguistique et la communication internationale, du festival des initiatives créatives «Léonardo»
et d’autres.
Le produit: un mini-dictionnaire des éponymes du français.
La langue du projet: le russe, le français.
6. L'hypothèse principale
Pendant le passage des noms propres aux noms communs un mot prend une nouvelle
signification qui se réfère à l'activité typique d'une personne nommé, à la production fabriquée
par cette personne, dans un lieu certain etc. Un nom propre, cesse d'être attaché à un individu ou
à un objet et partage sa caractéristique particulaire avec un groupe des personnes ressemblantes.
Les éponymes deviennent aussi les noms des inventeurs, des savants, des pionniers et même des
hommes ordinaires, qui a apporté sa contribution particulière et a créé quelque chose de nouveau
dans un tel ou tel domaine.
II. La partie théorique
1.Les noms propres et les noms communs
L'homme emploie des mots différents dans son langage et exprime sa perception de la réalité
avec leur aide. S'il faut attirer l'attention d'une personne à un objet, il ne faut pas la conduire à cet
objet et l'indiquer. On peut remplacer l'indication d'un objet par un mot (ou quelques mots).
Les mots qui signifient les objets s'appellent les substantives. Ils peuvent être propres et
communs.
Un domaine spécial de la linguistique , l'onomastique, étudie les noms propres, l'histoire de
leur origine et leur transformation.
Les noms propres , à leur tour, se divisent en:
Les antroponymes sont des noms propres identifiant une personne. En général, c'est un
nom d'une personne inventée ou réelle. A son tour les antroponymes se divisent en: 1) le prénom;
2) le patronyme; 3) le nom de famille; 4) le surnom; 5) le pseudonyme; 6) le cryptonyme etc.
Les toponymes sont des noms propres signifiant des sites géographiques. On distingue 1)
les noms des territoires, des régions, des arrondissements; 2) les noms des villes; 3) les noms des
mers, des lacs, des rivières; 4) les noms de montagnes etc.
On distingue aussi les myphonymes - les noms des dieux, les ethnonymes - les noms des
nations, des peuples, des nationalités; les zoonymes - les noms des animaux etc.
Ainsi, les noms communs sont les substantives qui nomment des objets similaires, qui ont
quelque chose de commun, de la ressemblance. Les noms communs s'opposent aux noms
propres.
2. Le passage des noms propres aux noms communs
Il y a un échange constant dans la langue, une coopération entre les noms communs et les
noms propres qui contribue à l'enrichissement du lexique. Au passage des noms propres aux
noms communs un mots acquiert un nouveau sens qui se réfère à l'activité typique d'un homme
nommé, à la production typique fabriquée par cet homme, dans un lieu certain etc. Avec cela
l'extension de la capacité du sens du mot a lieu.
Un passage potentiel des noms propres aux noms communs se passe quand:
1) un nom acquiert la popularité suffisant parmi tous les membres du groupe de la langue
qui ont reçu un certain minimum commun d'éducation et de formation ( les noms de nombreux
pays et leurs capitales, de rivières et montagnes les plus grandes, les noms d' hommes politiques
les plus populaires et d'hommes de la littérature et de l'art, de l'époque contemporaine et passée);
2) un nom cesse d'être lié à un objet ou un homme certain et devient typique pour beaucoup
de personnes, bourgs, rivières etc. qui se ressemblent.
On peut découvrir facilement les éponymes dans les domaines differents, par exemple, en
physique (un curie). Beaucoup de mécanismes, équipements portent des noms de leurs créateurs,
mais nous l'oublions souvent ou ne savons pas franchement (citroen, braille …).
Au point de vue de la linguistique les éponymes les plus intéressants sont les éponymes qui
sont devenus tels par hasard. Et avec cela beaucoup d'eux ont passé à la langue non de la science
mais par exemple de l'histoire du monde et la littérature: gavroche... Ces éponymes ont hérité
son essence de ses "parents".
Mais il y a des cas tous extraordinaires quand un éponyme apparaît à l'improviste,
empruntant des traits non principals à son "parent": le gâteau Napoléon - un gâteau en forme du
tricorne de l'empereur français.
En général, la cuisine française de restaurant et "haute" est très riche de plats nommés après
des personnages historiques populaires ou des événements. A partir de XVII siècle la mode de
nommer les plats après les noms d'hommes d'Etat, politiques et militaires a passé en Angletterre,
Autriche, Italie, Pologne, Russie.
Les plats "historiques" sont écrits toujours avec une majuscule. Cela souligne le fait qu'ils
sont nommés particulièrement en l'honneur de ces hommes, par respect pour eux ou pour les
illustrer comme des monuments originals de l'époque moderne. C'est un bifteck Chateaubriand,
un gâteau Brillat-Savarin, une soupe à la Charles Quint, des côtelettes de mouton à la
Pompadour, une sauce Colbert, des gâteaux Napoléon et Talleyrand, crème Mirabeau, des
poulets à Richelieu. Par exemple, en Russie il y a de tels plats "historiques" nommés après des
ministres - Kisilev, Nesselrode, Baranov, Ignatiev; des magnats - Poteumkine, Chouvalov,
Demidov, Boutourline; des généraux - Bagration, Totleben, Scobelev; des ecrivains - Karamsine,
Odoevkij...
Il y a relativement peu de "plats historiques" nommés après des lieux d'événements. C'est
une soupe Crècy, Londonderry, un desert "Toffee apple". La soupe française Crécy de la carotte
est nommée en l'honneur de la défaite française des troupes anglaises d'Edouard III pendant la
bataille près de Crécy le 26 août 1346. C'est une soupe de pauvres et malades. Aussi on ajoute
parfois aux "plats historiques" des plats nommés après des personnages littéraires qui sont
devenus les personnes historiques pour des millions de licteurs dans le monde entier. C'est un
potage d'Artagnan du jambon, du veau et de la poule avec des quenelles de la perdrix, cuits en
deux de l'eau et du vin sec blanc sauternes et lié avec du sagou et du poivre rouge. Le potage
d'Artagnan est préparé pendant 3 heures!
Ainsi, "les plats historiques" sont étroitement liés avec l'histoire et ont apparu en règle
générale chacun dans un moment historique certain mais n'ont pas reçu leurs noms plus tard.
C'est pourquoi on ne peut pas inventer un plat et lui donner un nom historique inventé au temps
qui court. Ce serait une falsification de l'histoire. Le même temps il est tout à fait possible
d'inventer des plats aujourd'hui qui ont une signification et un nom historique moderne s'ils
résultent d'une originalité culinaire et sont directement liés avec un tel ou tel événement ou nom.
Malheureusement ces cas ne sont pas toujours usés à temps. Comme un exemple on peut citer la
conférence de Crimée en 1945 ou Staline, Roosevelt et Churchill se sont rencontrés. Les plats
étaient préparés par des cuisiniers militaires qui étaient qualifiés hautement mais limités dans le
choix des produits à cause de la guerre et éloignés des traditions de la cuisine française admises
dans les milieux diplomatiques à ce temps là. L'attention était attirée au fait que les plats étaient
délicieux mais ne correspondaient pas simplement aux noms. Et avec cela ils ont manifisté sa
comprenette et son imagination culinaire. Quelques plats ont touché les participants, resté dans
leurs mémoires, qu'a influencé leurs souvenirs. Mais personne n'a deviné d'inscrire les recettes et
donner le nom de la conférence de Crimée aux œuvres les plus réussies - aux salades, soupes, au
rôti.
On doit distinguer "les plats historiques" d'autres plats nominatives, nommés en l'honneur
d'hommes qui existaient réellement, étaient hommes politiques, écrivains ou diplomates, mais
qui étaient "créateurs" de plats certains ou d'hommes auxquels cette invention a été attribuée. Par
exemple, c'est le maréchal Magon, le diplomate marquis de Béchamel, la princesse de Soubise,
le comte Strogonov, le comte Gouriev. Les plats pareils sont écrits toujours avec une petite lettre
qui souligne la réunion totale du nom du créateur initial avec la notion elle-même de ce plat: les
sauces - la mayonnaise, la béchamel, la soubise; la viande bœuf stroganov, la kacha gourevskaya
etc.
Les noms communs peuvent aussi passer au groupe des noms propres. Par exemple, en russe
le nom commun distrait (en russe rasséyannij) est devenu le nom propres (Rasséyannij de la rue
Basejnaya). Les noms communs confiance, espoire, amour (en russe véra, nadezhda, lubov) sont
devenus les noms prorpres Véra, Nadezhda, Lubov. Un autre exemple est les noms d'animaux
Boulette, Duvet...
3. Les difficultés de la traduction
En traduisant les noms propres nous rencontrons souvent des difficutlés certains. Il y a
quelques principes de la traduction des noms propres:
- la translitération
- la transcription
- la transposition
- le calque
La translitération - "une reconstitution formelle lettre par lettre d'une unité toxique initial
avec l'aide de l'alphabet de la langue en quelle on traduit; une immitation de lettre de la forme
d'un mot initial" [Kazakova 2002:63].
Anna - le nom est translitéré. François Hollande - (en russe Франсуа Олланд) - le nom et
le nom de famille sont transcribés.
La transcription - une transmission de la constitution phonétique d'un mot propre. Sauf la
transcription et la translitération il y a encore un principe peu étudié dans la pratique de la
transmission des noms. C'est un principe de la correspondance étymologique, ou la
transposition.
La transposition (le déplacement, le transfert) consiste à l'usage des noms propres de
langues différentes qui ont la forme diverse mais l'origine linguistique commune pour rendre l'un
l'autre. Avant tout cela concerne les noms historiques et bibliques, ainsi que les noms des
monarques.
Le calque - une reproduction de la constitution pas phonétique mais combinatoire d'un mot
ou d'un groupe de mots quand les parties d'un mot ou d'une phrase sont traduites par des
éléments correpondants de la langue en quelle on traduit.
Le moyen de former des nouveaux mots par analogie avec un mot déjà existant dans une
autre langue s'appelle le calque. Par exemple, le mot influence. Si nous traduisons le mot par
parties - le préfixe in - comme russe "в-", la racine flu- (le verbe fluer) comme russe "ли-" (le
verbe "лить"), le suffixe -ence comme russe "-яни-" et ajoutons une terminaison russe qu'il n'y a
pas dans le mot français indéclinable, nous aurons le mot "влияние" (influance). Il semble que le
mot est tout à fait russe,mais en réalité c'est une copie du mot français. Les mots introduction (en
russe vvédénie), Cendrillon (la forme diminutive de cendre) (en russe Zoloushka) sont aussi les
exemples du calques.
"En caractérisant les noms propres comme les objets de la traduction on dit d'habitude qu'ils
ne sont pas traduisibles. On a en vue qu'il est suffisant d'indiquer que c'est un nom ou un titre
pour comprendre un nom propre (dans un texte écrit une majuscule remplit cette fonction)." [1]
Ainsi, en traduisant les noms propres en russe on emploie plus souvent de tels principes de
traduction que la transcription et la translitération. Pourtant dans quelques cas il ne suffit pas de
connaître que c'est un nom propre pour la compréhension correcte et la traduction. Une
information certaine supplémentaire est nécessaire.
III.
Partie pratique
1. Les mots-éponymes, ascendants aux antroponymes
Pendant le recherche nous avons trouvé et étudié les mots-éponymes, ascendants aux
antroponymes:
Вéchamel, f (Louis de Béchamel), sandwich, m (John Montagu, le comte quatre de
Sandwich), boycott, m (le capitaine Charles Boycott), fuchsia, m. (le botaniste Paul fon Fuchs),
poubelle, f. (Eugène Poubelle), peugeot, m. (Armand Peugeot), citroën, m., (André Citroën),
magnolia, m. (Pierre Magnol), axel, m., (le patineur Axel Paulsen), saxophone, m., (Adolphe
Sax), ampèr, m. (André Ampère), volt, m. (Alessandro Volta), braille, f. (Louis Braille),
cattleya, m (l'écrivain, botaniste Jey Katley), simens, m. (Ernst Werner von Simens), bégonia,
m., (le savant Michel Bégon), silhouette, f. (Е. de Silhouette), ford, m., (Henry Ford), larousse, f.
(le savant français Pierre Larousse), montgolfièr, m. (les frères Montgolfier), marionnette, f.
(Marie), daltonisme, m., (le savant John Dalton), mendélévium, m., (le savant russe Dmitri
Mendeleev) et les autres.
En étudiant ce groupe des éponymes nous avons appris des histoires intéressantes de
quelques mots-éponymes.
Par exemple, pour préparer des plats les français usent le sauce béchamel du lait et du
roux (un mélange traité thermiquement de la farine et du beurre). On attribue cette invention à
Louis de Béchamel, hofmeister de la cour de Louis XIV au 16 siècle.
L'éponyme poubelle, f (un seau à ordures) est apparu grace au préfet de Paris EugèneRené Poubelle qui au 18 siècle a signé le décret de l'apparition de seaux pour décombrer les rues
de la ville.
C'est incroyable mais le sandwich, un moyen vite et commode de casser la croûte a
apparu au millieu du 18 siècle. Les sandwichs - deux tranches de pain plées en deux avec un
hors-d'œuvre entre eux - ont obtenu le nom du comte anglais Sandwich qui les a mis en usage.
Le comte anglais se passionait tellement de jeux de hasard qu'il ne voulait pas les quitter même
pour un repas.
Le saxophone - un instrument de musique qui a été inventé par Adolphe Sax à Bruxelles
au 18 siècle. Les saxophones premiers avaient deux parties mais avec le temps l'inventeur a
amélioré son intrument.
Le montpensier et le landrin sont les deux sortes de bonbons acidulés. Le premier a étè
nommé après les comtes français Montpensiers et le second après le propriétaire d'une fabrique
de bonbons Landrin.
Les succès remarquables en physique et en autres sciences ont mené à la nécessité de
créer de nouvelles unités qui n'existaient pas autrefois. Ces unités avaient besoin de noms. Et
elles ont été nommées après des savants connus: l'ampère - après A.M. Ampère, le watt - après
D.Watt, le volt - après A. Volta, le joule - après J. Prescott Joule, l'hertz - après H. Hertz, le
coulomb - après Ch. Coulomb, le pascal - après B. Pascal, le rœntgen - après W. Röntgen, le
newton- après I. Newton, l'ohm - après G. Ohm...
Rappelons nous les instruments de mesure dérivés de noms propres: l'ampèremètre (un
instrument pour mesurer la puissance du courant électrique), le voltmètre (un instrument pour
mesurer la tension entre deux point de la chaîne électique), le voltamètre (un instrument pour
mesurer la puissance du courant électrique par les effets chimiques), l'ohmmètre (un instrument
pour mesurer directement la résistance traduits en ohms)...
Il y a aussi les noms d'instruments de mesure qui ne comprennet pas -mètre dans leur
composition. Ce sont les noms propres passés au groupe des mots communs sans changer. Par
exemple: breguet (une montre produite dans l'atelier du français Breguet). Cette montre frappait
les minutes et montrait même les dates du mois. Souvenez-vous dans "Eugène Onéguine" de
Pouchkine: "Déjà le son du breguet leur porte que le nouveau ballet a commencé".
Les noms de thermomètres ont été dérivés de noms propres. Nous connaissons très bien
le thermomètre centigrade. Il a une échelle de 100 degrés du point de la fonte des glaces au point
d'ébullition. Il est nommé après son inventeur, l'austonome suédois du XVIII siècle A. Celsius
(marqué par la lettre latine C).
Un autre thermomètre est aussi connu. Il a une échelle de 80 degrés du point de la fonte
des glaces au point d'ébullition de l'eau. Il est nommé le réaumur après le physicien français du
XVIII siècle R.A. Réaumur.
Le troisième thermomètre est nommé le fahrenheit après le physicien allemand du XVIII
siècle Fahrenheit, qui a inventé le thermomètre à mercure pour la première fois. Il a une échelle
ou le point de la fonte des glaces est 32 degrés et le point d'ébullition est 212 degrés. On emploie
ce thermomètre jusqu'à présent à l' Angletterre et aux États Unis.
R. Diésel, ingéneur allemand, a orienté les efforts dans une autre chose - en 1897 il a
inventé un moteur à explosion nommé le diesel qui s'est répandu largement.
On doit mentioner la table de Mendéléev qui a découvert la loi périodique des éléments
chimiques. Sur la base de cette loi le savant a inventé le système périodique des éléments
chimiques et a prédit l'existance et les attributs de quelques éléments découverts plus tard par des
autres savants. Dans la table périodique des éléments de D.I. Mendéléév le hydrogène et le
hélium sont les premiers. Quant à les places derniers, il y a 50 ans la table finissait par le 98ème
élément - le californium. Et quand D.I.Mendéléév a fait sa table elle comprenait seulement 63
éléments. Maintenant elle comprend 107 éléments et on ne sait pas comdien de nouveaux
éléments on va découvrir et comment on va les nommer.
Chaque nouveau élément chimique, découvert par des savants ou créé artificiellement par
eux, a besoin d'un nom distinct d'autres éléments déjà connus. Ce nom doit être dérivatif et avoir
un signe distinct d'autres signes de la table. Ce serait bien si le nom d'un élément ne posait pas de
difficultés de sa prononciation et son orthographe. Et bien sûr il ne ferait pas mal d' immortaliser
les savants qui se sont remarqués dans la sciènce mondial.
Les découvreurs et les inventeurs de nouveaux éléments chimiques l'ont pris en
considération: les éléments derniers de la table de D.I.Mendéléév sont nommés après les savants
connus dans le monde entier: Einstein, Fermi, l'inventeur lui-même de la table Mendéléév,
Joliot-Curie, Rutherford, Kourchatov et Niels Bohr. La table de Mendéléév peut parler non
seulement des éléments chimiques, leurs attributs, leurs places dans le système périodique mais
de pays, de villes, d'hommes qui y sont "cachés". Plus que la troisième partie (43) des noms de
107 éléments a été dérivée directement des noms propres ou de tels noms communs qui ont été
dérivés eux-mêmes de noms propres. Ce sont les noms suivants: le Kurchatovium, le Curium, le
Mendélévium, le Fermium, le Plutonium, le Prométhium, l'Einsteinium, le Francium...
En l'honneur de A. Einstein, grand physicien, père de la théorie de la relativité, on a
nommé l'élément № 99 - l'einsteinium découvert pour la premier fois à l'explosion
thermonucléaire.
Le centième élément, découvert aussi dans les produits de l'explosion thermonucléaire en
1952, a été nommé le fermium en honneur du grand physicien italien E.Fermi.
Au début de 1995 le 101 élément a été découvert. Cinq investigateurs l'ont découvert au
laboratoire radiatif de l' Université de Californie et l'ont nommé le mendélévium en honneur de
l'inventeur du système périodique des éléments chimiques D.I.Mendéléév.
Le nom de l'élément nobélium est dérivé du nom de l'inventeur de la dynamite et le
fondateur de la fondation des prix internatinaux (Nobel) A.Nobel.
104ème élément a été synthétisé pour la première fois dans l'Institut Uni des Recherches
Nucléaires à Dubna en 1964. Il a été reçu par un groupe de savants avec l'académicien G.N.
Flerov à la tête. Les inventeurs de l'élément ont proposé de le nommer le kurchatovium - en
honneur du grand physicien russe I.V. Kourchatov.
Louis Pasteur est un nom trés connu dans la science, particulièrement dans la médecine.
Mais c'est le cas seul quand le nom du savant français, le créateur de la microbiologie comme
une science, a transformé au verbe " pasteuriser". On ne dit pas " rœntgener" mais on appelle
seulement un appreil, travaillant sur la base de la découverte du savant, le rœntgen. A propos
Conrad Röntgen est le premier lauréat du prix Nobel dans le monde, qu'il a obtenue en 1901 pour
la découverte "qui a changée la vie". Et quand nous allons à faire du rœntgen nous nous
souvenons que d'abord c'était un homme. Avant Louis Pasteur la stérilisation était une méthode
connue de la conservation des produits. Aujourd'hui chaque ménagère sait que pasteuriser les
produits à la température plus que 100 °C signifie tuer les microbes sans faire du tort au produit
lui-même. Mais peu de ménagères vont lier cette méthode distinguée de la conservation des
produits alimentaires avec le nom de Pasteur.
En 1759 le ministre français des finances Étienne de Silhouette, étant en retraite, a
conmmencé à découper des portraits du papier nommés après lui. Plus tard le mot "silhouette"
est entré dans la langue avec un sens plus général signifiant les contours obscurs d'un visage, une
figure ou un objet.
Les noms de fleurs renferment aussi beaucoup d'intéressant. Une fleur avec la couleur
double d'inflorescences est une ivan-da-maria ou un mélampyre. Aux trouées de bois, bords des
rivières, à la steppe on peut trouver les fleurs avec les noms suivants: avdot'ka, akoulinka,
matroenka, andréévka, timoféévka, ivan-chaj. Ce sont les noms populaires d'herbes. Nous
n'allons pas trouver ces noms dans les dictionnaires du russe littétaire, sauf les deux derniers
peut-être. Mais si nous nous adressons aux dictionnaires des patois du russe, on peut trouver les
noms pareils de plantes et de fleurs. Par exemple, on peut rencontrer les noms de plantes dans
"Le Dictionnaire Étymologyque" par Shanskij: akoulinka, annushka, annoushkini sloezki,
vanyusha, koudryavij ou vanya koucheryavij et des autres. Pourquoi ces plantes ont-elles ces
noms? Quel rapport ont-elles avec Akoulina, Avdot'ya, Annoushka, Matroena, Ivan ou Timofej
inconnus pour nous. Malheuresement on ne peut pas donner une réponse exacte à toutes les
questions aujourd'hui mais peut-être cela sera possible demain?
Le magnolia est un grand arbre décoratif ou un buisson avec des belles grosses fleurs.
Cette belle plante a apparu en 17ème siècle grâce au botaniste français Pierre Magnol.
Quelques inventeurs des types de l'arme tâchent de prouver les avantages de leur produit,
de le rendre célèbre, et soi-même en plus. Le constructeur belge L.Nagan a inventé un revolver
avec un barillet tournant et l'a donné son nom - nagan. Les Américain J. Browning et S. Colt ont
agi de la même façon. Le permier a donné son nom au pistolet browning et le second,
propriétaire de la grande usine d'arme à feu portative, a donné son nom au revolver colt inventé
par lui. Les constructeurs allemands les frères Paul et Wilhelm Mauser ont inventé des mausers
(un pistolet et une fusil à magasin), qu'on produisait à leurs usines. L'arme automatique à tir
rapide - la mitrailleuse- a été inventée en 1883 et nomée maxim après l'inventeur, l'ingénieur
américain Hiram Maxim.
Il y a 100 ans l'armée russe a été équipée d'une fusil créée par des constructeurs russes
avec un constructeur américain, le colonel Berdan. On a appelé cette fusil une fusil Berdan.
Maintenant on peut la voir seulement au musée.
Pendant la Grande Guerre Nationale nous avons été équipés d'un système sans canon
d'artillerie guidée. Les soldats l'ont donné avec douceur le nom katyusha, qui est lié avec la
chanson populaire dans les années d'avant-guerre "Katyusha" écrite par M. Isakovskij. En langue
populaire on appelle d'un ton badin le briquet katyusha, c'est-à-dire une plaque d'acier pour
extraire le feu par des coups sur un silex.
On donne les noms propres non seulement aux pistolets, fusils, mitrailleuses, pistoletsmitrailleurs mais encore aux obus et même aux balles. Le mot shrapnel. On appelle un obus
d'artillerie comme cela. Il est plein de balles sphériques et a un tube de distance spécial avec
l'aide duquel un obus explose dans le point donné d'une trajectoire. Cet obus a été créé par
l'inventeur anglais H. Shrapnel en 1803 et par cela il est entré dans l'histoire.
Maintenant faisons attention au manteau d'homme. Beaucoup connaissent les mots
tunique (en russe french), culotte bouffante (en russe galifé), raglan. Ces noms ne
contiennent pas les noms de personnages de pièces mais ils contiennent les noms de gens qui ont
commencé à porter ces vêtements les premiers et par cela ont laissé les mémoires d'eux. La
tunique est une veste militaire à la taille avec quatre grandes poches appliquées et une martingale
par derrière. Le feld-maréchal anglais John French portait une telle veste. Le général français
Gaston de Galliffet, un des bourreaux de la Commune de Paris, portait une culotte bouffante, un
pantalon spacieux aux cuisses et tendu aux genoux. Le général Raglan était le premier dans
l'histoire de l'art de couturier à porter le manteau dont la manche et l'épaule était intégrées. Le
coupe lui-même et le manteau de ce coupe ont reçu le nom raglan.
Et l'imperméable mackintosh, cousu du tissu hydrofuge caoutchouté, garde la mémoire du
chimiste écossais Charles Mackintosh qui a inventé un moyen de produire des tissus hydrofuges.
Il n'y a pas si longtemps beaucoup aimaient la flanelle tricotée d'hommes qui ressemblait à la
flanelle de l'écrivain connu E.Hemingway. Elle a reçu le nom hemingwayka.
On peut rencontrer les exemples des éponymes dans la vie scolaire. Par exemple le
papier Whatman. Autrement on l'appelle whatman. Il a reçu son nom après le propriétaire d'une
fabrique anglaise de papier Whatman. Et le parchemin ou le vélin, papier dense qui ne laisse pas
la graisse et l'humidité et sert à produire le papier-calque naturel, et aussi le papier cristal (en
russe pergamine) ont été nommés après la ville Pergame en Asie Mineure ou au II siècle av. le
traitement de peaux pour l'écriture s'est répandu largement. Le peau d'animaux traité de façon
particulière (en particulier le peau de veaux) servait non seulement à l'écriture (avant l'expansion
du papier) mais aussi à produire des tambours et à autres buts.
Quelques éponymes peuvent dire beaucoup d'intéressant du caractère d'homme. En
Russie on a commencé à employer le mot voyou (en russe hooligane) après le commencement la
Première Guerre Mondiale, bien que peut-être beaucoup le considèrent comme un mot russe traditionnel. L'origine de ce mot est anglaise. G.Belikh et L.Panteleev dans leur livre connu sur
des enfants abandonnés "La république CHKID" en expliquant son apparition, se réfèrent à une
légende selon laquelle il y avait la famille Hooligan à l'Angletterre au XIX siècle. Les Hooligans
avaient une auberge dans la chaussée Doovre et les notabilités et les marchands du continent
descendaient souvent chez eux. Les maîtres les pillaient et tuaient souvent. Mais "le mystère
terriblede l'auberge" a été découvert et la cour royale a prononcé une sentence de mort pour la
famille de tueurs. Et dès lors on a commencé à appeler les tuers, les voleurs et les incendiaires
les hooligan. Dans la langue russe la forme "hooligan" (en russe hooligane) s'est fixée assez
vitement. Mais il y a autres versions. L'irlandais Patrick Hooligan qui habitait à la fin du XVIII
siècle près de Londres et y avait une auberge, était si querelleur et si agaçait des hôtes et des
voisins que bientôt s'est illustré par sa conduite détestable et insupportable. Les rapports de la
police parlaient de lui plus d'une fois et son nom est devenu commun. Et il y a une autre version
dans l'Encyclopédie britannique. L'irlandais Hoolly habitait Londres au XVIII siècle qui a
organisé un nombre de bandes qui se distinguaient par l'esclandre particulier. On a commencé à
les appeler hooligani c'est-a-dire les membres de la bande de Hooly. Quoi qu'il en soit le mot
américain s'est habitué vite sur le terrain russe. Et aujoud'hui n'importe qui explique que hooligan
est un homme qui trouble l'ordre public d'une manière évidente et brutale et exprime un manque
de respect envers les gens autour.
Ainsi les mots français passés des mots propres au groupe des mots communs sont très
variés. Quelques d'eux sont empruntés d'autres langues (le latin, l'anglais, l'allemand et autres),
les autres ont l'origine française. Les mots-éponymes, ascendants aux antroponymes, sont très
nombreux dans la langue française.
2. Les mots-éponymes, ascendants aux toponymes
Pendant le recherche nous avont trouvé et examiné les mots-éponymes ascendants aux
toponymes. Par exemple, les noms des fromages et des vins: camembert, n. m. (la sorte du
fromage français nommé après le village français Camembert); bri, n. m. (la sorte du fromage
français nommé après la province française Brie); roquefort, n. m. (la sorte du fromage français
nommé après le village français Roquefort); parmesan, n. m. (la sorte du fromage italien nommé
après deux régions-producteurs pricipales: Parma et Reggio nell’Emilia); gruyère, n. m. (la sorte
du fromage suisse nommé après le district suisse Gruyère); cantal, n. m. (la sorte du fromage
français nommé après la région française Cantal); champagne, n. m. (la sorte du vin nommé
après le village français Champagne) et bordeaux, n. m. (la sorte du vin français nommé après la
ville française Bordeaux)…
La France était toujours célèbre par les sortes différentes du fromage et du vin parce que
ces secteurs agricultures étaient et restent parmi les leaders de l'économie du pays. Tous les noms
de ces produits son dérivés selon le principe unique - après un lieu ou ils sont produits.
L'histoire du fromage roquefort est intéressant, on l'appelle aussi le fromage bleu. Il y a
une légende de la recette de "Roquefort". Un berger jeune faisait paître un troupeau de moutons
au sommet d'une montagne près du village Roquefort. Il s'est arrêté pour casser la croûte avec du
pain noir et du fromage de brebis. Une fille charmante passait. Le berger, tombé amoureux d'elle,
a abandonné son déjeuner et a couru après elle. Il y a retourné dans un mois et a vu que le
morceau du fromage a beaucoup changé. Les fils de moisissure bleuâtre se sont étendus du pain
au fromage. Ayant goûté le fromage le berger étaint choqué. Ainsi le fromage de brebis connu
"Roquefort" a apparu.
Le mot cognac signifie une boisson alcoolisée forte de brandy, produite en province
Cognac en France. Plus tard on a commencé à appeler n'importe quel brandy le cognac au
territoire de notre pays.
Le gâteau montblanc est un gâteau produit de la purée de châtaigne. Et il est nommé en
l'honneur de la montagne la plus grande et la plus enneigée dans les Alpes qui s'appelle MontBlanc.
La région Provence en France a donné son nom à la sauce piquante de jaunes d'œufs avec
de l'huile végétale, du vinaigre et des épices- en russe provansal.
La plombières (un glace avec des suppléments différents - du chocolat, des noix, des
baies), a été nommée après la ville Plombière en France.
La sorte du cristal de valeur et la meilleure est le baccarat, nommée après la ville
française Baccarat ou une usine de cristal a été construite en 1766.
La fougère est un grand verre à pied large pour des boissons rafraîchissantes. Il a été
nommé après la ville Fougères en France ou on produisait le verre pour lui.
La table de Mendéléév contient aussi des noms dérivés de toponymes: l'américium, le
germanium, l'europium, le californium, le scandium, le francium. Relisons attentivement ces
mots et nous déterminons sans peine les pays avec lesquels ils sont liés: l'Amérique, l'Allemagne,
l'Europe, Californie, la Scandinavie, la France.
Les poissillons petits - les sardines -sont aussi connus. Ils doivent leur nom à l'île
Sardaigne en Méditerranée.
Le règne végétal de la terre est si riche et varié que les savants découvrent de plus en plus
de plantes nouvelles jusqu'à présent. Par exemple, les sélectionneur de Kouban ont élevé une
sorte nouvelle du froment, on a fait la même chose dans la région de Stavropol et
d'Oul'yanovsk... Naturellement ces sortes du froment sont nommées: koubanka, stavropol'ka,
oul'yanovka.
Approximativement selon le même principe les noms sont dérivés: vyatka (la sorte du
seigle d'hiver), krimka (la sorte du blé de printemps), koutouzovka (la sorte du maïs), moskovka
(la sorte du blé d'hiver), omka (la sorte du seigle d'automne) et autres sortes de graminées.
Et quelques plantes reçoivent ses noms d'une place d'ou on les a emportés. L'orange a été
emporté de la Chine (le mot hollandais appelsien signifie "une pomme chinoise"), le café est
emporté du pays Kaffa, qui se trouvait en Afrique; les pêches - de la Perse.
On peut trouver beaucoup d'éponymes intéressants parmi les noms de vêtements et de
tissus qui ont l'origine géographique. Ce sont: venguerka - une veste à haute taille, avec des
lacets sur des coutures et des lacets transversals à fermer. On portait de telles vestes en Hongrie.
Sibirka se distingue d'elle - un cafetan court à la taille, à froncis, sans coupe par derrière et à col
montant (ces vêtements étaient répandus en Sibérie); moldovanka - une veste portée par des
femmes en Moldavie. Il n'y a pas longtemps un manteau était à la mode, produit du tissu de
nylon à couverture unilatéral imperméable en premier lieu dans la ville italienne Bologne. Ce
manteau s'appelait bolognia.
Le marengo, un tissu noir avec des fils blancs, est nommé après le village Marengo en
Italie du Nord. Maintenant le mot marengo est emploié pour indiquer le couleur noir avec un
chatoiement gris. On dit: le tissu du couleur marengo.
Le cachemire et le madapolam sont nommés après la région Cachmire et la ville
Madapolame en Inde; le crêpe de Chine, le faille de Chine, la chinoise (en russe kitajka) et le
nankin sont nommés après le nom français pour la Chine, la ville Nankine et le nom russe pour la
Chine; le maroquin - après le pays Maroc au nord-ouest de l'Afrique.
Le boston présente l'Amérique, c'est un drap fin appelé après la ville Bostone aux États
Unis d'Amérique.
Il y a les autres exemples des sortes du tissu: oxford, m. - la ville Oxforde, damas, m. - la
ville Damaste...
Pendant le recherche nous avons aussi choisi les mots-éponymes qui sont des noms des
types de danse et de jeu de sport: flamenco, m. - le pays Flandre, badmington, m.- la région
Badmignton...
Ainsi les éponymes, ascendants aux toponymes, viennent de domaines différents et
rencontrent assez souvent dans la langue française.
3. Les mots-éponymes, ascendants aux myphonymes et personnages littéraires
La mythologie de la Grèce Antique et de la Rome Antique est une des parties de
l'héritage culturel de l'Antiquité les plus connues et les meilleures étudiées. Le temps mythique
est un temps quand les grands dieux de l'Olympe dirigeaient les destins de l'humanité, les roix
sages et nobles, avides et méchants trônaient leurs pays, entourés de la richesse et du luxe. C'était
le temps quand les Héros marchaient sur la terre, accomplissant de grands exploits qui les ont
rendus célèbres aux siècles.
Pendant le recherche nous avons découvert les mots-éponymes ascendants aux
myphonymes, à savoir: narcisse, m. (une fleur); hercule, m; mégère, f.; cupidon, m.; méduse, f.;
cerbère, m.; faune, f.; mardi, m.; mercredi, m.; jeudi, m.; vendredi, m.; samedi, m.; dimanche,
m.; madonne, f.; morphine, f.; appolon, m.
Le narcisse est une belle fleur avec des fleurons blancs-jaunes odorants. Selon une
légénde un beau jeune homme habitait la Grèce Antique qui s'appelait Narcisse. Toutes les
belles-femmes lui tombaient amoureuses mais il ne les aimait pas. Un jour il a vu sa réflexion
dans une rivière et est tombé amoureux de lui-même. Il passait les jours et les nuits en regardant
sa réflexion et finalement il est mouru et s'est transformé en fleur qu'on appelle maintenant le
narcisse.
La méduse est un animal de mer avec des tentacules qui peuvent piquer non seulement un
homme. Son nom la méduse de mer a reçu pour sa ressemblance avec les cheveux-serpents
bougeants de la Gorgone Méduse légendaire de la mythologie de la Grèce ancienne.
Hercule est renommé par ses 12 exploits dans la mithologie de la Grèce ancienne, il était
très fort et combattif. Aujourd'hui le nom Hercule est devenu un nom commun, il signifie fort,
puissant, invincible. Dans l'antiquité chaque peuple avait son héros-preux et ils avaient des noms
divers mais quand même Hercule est un des plus grands héros de l'antiquité.
Il y a des exemples intéressants des éponymes dans le monde de la botanique. Par
exemple les noms des papillons. Il y a le papillon psyché. Mais autrefois Psyché (de la
mythologie grecque) était une fille d'un roi et célèbre par sa beauté extraordinaire. Les Grècs
représentaient souvent Psyché comme un papillon ou une jeune-fille aux ailes de papillon. Le
paillon nommé psyché se distingue aussi par sa beauté.
Une grande coléoptère d'une longueur de 15 centmètres qui habite l'Amérique au Sud
s'appelle un hercule (après le héros le plus fort des héros grècs).
Les carabes et les vers différents ont les noms de personages mythologiques. Imaginez un
carabe qui attaque courageusement une proie malgré le fait que celle-là est plus grande
considérablement que lui-même. Ce carabe a reçu le nom procruste après le bandit Procrustes.
Un ver de mer - aphrodite - a le nom de la déesse de la beauté Aphrodite. Une autre type de ver
de mer est la néréide (après le nom d'une des nymphes de mer - Néréides, les filles de Nereus).
Un amphibie à queue de la famille de la salamandre qui ressemble à un lézard s'appelle un triton
(après le dieu de mer Triton, présenté comme un vieillard ou un jeune homme avec une queue de
poisson au lieu de pieds...
Il est intéressant que les nom des jours de la semaine contiennent les noms des dieux. Le
dieu combattive de la Grèce ancienne Mars a donné son nom au deuxième jour de la semaine
dans la langue française (mardi m), le dieu commerce Mercure - au troisième jour de la semaine
(mercredi m), le dieu de ciel Jupiter - au auqtrième jour de la semaine (jeudi, m), la déesse
d'amour Vénus - au cinquième jour de la semaine (vendredi m.)...
Au cours du recherche nous avons choisi un groupe des mots ascendants aux noms des
personnages littéraires, il ne s'est pas trouvé si nombreux: polichinelle m. – un personnage du
téatre populaire français: un bossu, un taquin gai et un moqueur; pantalon m.– un héros de la
comédie intalienne Pantaleone; gavroche m. – un personnage d'un roman de V. Hugo; dulcinée
f. – une héroïne de Cervantes; tarzan m. – un personnage créé par l'écrivain Edgar Rice
Burroughs …
On peut trouver des exemples intéressants d'éponymes dans la langue russe, dans les
œuvres de Mikhail Evgrafovich Saltikov-Shedrine. Ils sont toujours d'actualité pour la vie russe
et il n'est pas possible de les traduire en autres langues. Il faut donner des explications de volume
en les traduisant.
En laissant à l'usage le mot pompadour M.E.Saltikov-Shedrine avait en vue en premier
lieu des menées d'un intrigant écervelé et des grands dépenses de la favorite royale aux dépens
du Trésor. De plus le titre de la marquise connue était consonant avec le mot russe "samodour",
qu'il est peu probable que la censure lassait passer dans la description des fonctionnaires d'États
supérieurs. Voilà essaie de traduire "pompadour" de Shedrine en langue étrangère par exemple!
Et il y a déjà un tel mot (comme presque dans toutes les langues européennes) qui signifie une
coiffure mise en usage par cette madame énergique. C'était un genre de coque que madame de
Pompadour a commencé à faire bouffer sur sa tête en découvrant que le cuir chevelu devenait
plus rare et gris. Au lieu de porter une perruque ou de teindre les cheveux (quoique les élégantes
françaises n'aient pas usé ce moyen alors), la marquise a fait bouffer la coque et a présenté ses
cheveux gris et tout de suite a mis la mèche blanche à la mode dans la coiffure de dames.
La littérature classique russe est riche de personnages dont les noms et les noms de
famille ont commencé à être employer comme communs. Rappelez-vous les personnages de la
comédie de I.Fonvisine "Le béjaune " les Prostakovs, Mitrofanoushka, Skotinine, Vral'mane. Qui
appelle-t-on mitrofane? Mitrofane ou mitrofanoushka est un jeune homme demi-savant niais. Le
nom de famille parlant Vral'mane convient au mieux à l'Allemand illettré, l'ancien coucher qui
devient professeur de Mitrofane. Il caractérise sans ambiguïté son possesseur. Vral'mane signifie
"le vantard, le menteur, l'hâbleur".
Il y a un nombre de noms de famille dans la comédie de A.S.Griboedov "Le chagrin de la
sagesse" qui ont devenu communs. Nous savons bien les sens de ces mots. Par exemple:
Famousov - un bureaucrate-arriviste arrogant, qui s'empresse auprès des supérieurs; skalozoub un soudard grossier qui ne reconnait rien sauf le service. Molchaline - un homme empressé et
hypocrite qui a peur d'exprimer son opinion et un arriviste sans pricipes; repetilov - un bavard
qui n'a pas d'idées propres et répète les mots d'autres et les autres.
Les investigateurs ont compté que de tous les noms propres des persommages de Gogol
au minimum onze noms ont devenu communs. Ce sont Manilov, Korobochka, Nozdrev,
Plyshkin, Sobakevich, Khlestakov, Chichikov.
Maintenant faison la connaissance de quelques personnages de la littérature classique
d'Europe occidentale dont le caractère et la conduite ont influencé leurs noms qui ont devenu
c'est-à-dire des cartes de visite de ses personnages.
Don Juan de la comédie du dramaturge français Jean Molière "Don Juan" et Don
Quichotte du roman de l'écrivain espagnol Miguel de Cervantes Saavedra "L'ingénieux hidalgo
Don Quichotte de la Manche" ne se ressemble pas. Le premier est un homme qui a rempli sa vie
d'aventures gallantes. On appelle les amateurs de tels aventures les dons Juans. Le second est un
rêveur désintéressée et drôle qui dépense ses forces à combattre des obstacles imaginés, ignorant
de l'inutilité de ce combats et déclenche seulement le rire de tous. On appelle les tels rêveurs
éloignés de la vie réelle les dons Quichottes. Rosinante, le nom du cheval vieu et maigri de Don
Quichotte est aussi devenu commun: on appelle à la blague une rosse efflanquée vielle rosinante.
On peut trouver beaucoup d'éponymes intéressants parmi les noms de vêtements. Dans
les comédies du comique français Beaumarchais "Le barbier de séville" et "Le Mariage de
Figaro" quelques personnages portaient des vêtements dont la coupe était au goût des
spectateurs. Et ils ont commencé à se faire faire de tels vêtements. Ainsi l'almaviva, un manteau
large pour hommes à coupe spéciale (le comte Almaviva de "Le barbier de séville" le portait), et
le figaro, un type du tricot court large pour femmes, porté par-dessus la robe, ont apparu (Figaro
le portait).
Dans "Eugène Onéguine" Tatjana Larina paraissait sur la scène dans une robe à corsage
moulé et à jupe large avec des fronces. Une telle robe a reçu le nom de tatjanka. "Elle ne
ressemblait pas du tous à Tatjana de Poushkine si sa tatjanka et ses boucles jusqu'aux épaules", nous lisons dans la nouvelle de V. Kaverine "Deux capitaines".
Le personnage comique des comédies populaires italiennes Pantalon était vêtu des
culottes à dentelles nommés pantalons.
Ainsi il faut consulter un dictionnaire raisonné pour apprendre le sens d'un mot. S'il n'y a
pas un tel ou tel mot dans un dictionnaire il faut consulter un original, c'est-à-dire lire la œuvre
ou le personnage est présenté. Ayant lisé et compris le système des personnages de cette œuvre
vous allez savoir non seulement le contenu et l'usage correct de ce mot mais aussi employer
habilement le nom propre au sens commun.
4. La classification des éponymes
Pendant le recherche nous avons classifié les éponymes choisis
différents et obtenu les résultats suivants:
Cuisine
Botanique
Animaux
Homme
Religion
Société
béchamel f.
fuchsia m.
saint-bernard bourbon m.
sandwich m.
magnolia m.
briard m.
sadisme m.
camembert m.
cattleya m.
labrador
silhouette f.
bri m.
bégonia m.
percheron
marionnette f.
roquefort m.
narcisse m.
faverolles
sans-culotte
parmesan m.
faune f.
jacquerie
gruyère m.
adansonia f.
сalvinisme m.
cantal m.
aubrieta f.
chauvinism m.
champagne m.
gaultheria f.
babouvisme
bordeaux m.
guizotia g.
boycott, m.
bœuf-stroganov m. josephinia f.
blanquisme m.
cognac m.
lapageria f.
boheme f.
napoléon m.
bougainvilliers millerand
praliné m.
girard
montanisme
mont-blanc
plumier
proudhonisme
provence f.
saint-simonisme
plombières f.
chat-huant
montpensier
gironde
reine-claude f.
marseillaise
chateaubriand
dans des sous-groupes
Science
ampèr m.
volt m.
mendélévium m.
gilbert m. darcy m.
coulomb m.
curie m.
lambert m.
pascal m.
vernier m.
daltonisme m. simens m. baud m.
vernier m
reaumur m.
dolomi(t)e f.
becquerel m.
bertollet
biotite f.
вeauxite
chablis
charlotte
cahors
calvados
Inventions
Découvertes
braille f.
montgolfièr m.
martin m.
guillotine f.
téflon m.
thermos m.
poubelle f.
mansarde f. larousse f. faïence f.
fougères
baccarat m.
вreguet gobelin m.
berger m.
sel de Berthollet
maginot
melchior m.
nicotine f.
pasteurization f.
phono(graphe) m.
faïence f.
baïonnette f.
chamotte
saxophone m.
valenciennes
vernier
jacob
louis d'or
eau de Cologne
les seychelles
peugeot m.
citroën m.
ford m.
airbus m.
fiacre m. cadillac limousine f.
Vêtements
Tissu
oxford m.
damas m.
batiste f.
jacquard m.
tulle m.
nylon m.
faune f.
crêpe georgette m.
mackintosh m.
richelieu
talma
sorbonne f.
carnotite
mantoux
darsonvalisation
daguerréotypie
Mythologie
narcisse m.
hercule m
mégère f. cupidon m. méduse f. cerbère m. dimanche m
madonne f.
morphine f.
appolon m
mardi m.
mercredi m.
jeudi m.
vendredi m.
samedi m.
Sport
Danses
badmington m.
axel m.
carmagnole f.
Littérature
polichinelle m.
pantalon m.
gavroche m.
dulcinée f.
tarzan m.
vaudeville m.
pompadour
harpagon
céladon
Ainsi pendant le recherche nous avons trouvé que le passage des noms propres aux noms
communs a touché un nombre de domaines différents: la cuisine, la botanique, les animaux,
l'homme - la religion - la société, la science, les inventions-les découvertes, les vêtements-le
tissu, la mythologie, le sport-les danses, la littérature...
Pour résumer plus exactement nous avont présenté les résultats de notre travail sous
forme d'un diagramme. (à voir l'annexe, diagramme № 1).
En analysant les données obtenues nous avons conclu que la plus part d'éponymes entre
le sous-groupe les invention et les découvertes(23,17%), la science (15,24%), la cuisine (14,
63%)...(à voir l'annexe, la table № 1).
Pendant le recherche nous avons constaté que parmi tous les noms propres les
antroponymes et les toponymes passent le plus souvent au groupe des noms communs, les
suivants sont les myphonymes et les éponymes ascendants aux personnages littéraires. On peut
séparer un sous-groupe d'éponymes qui sont les noms des danses, jeu de sport et autres mais ces
mots ne sont pas si nombreux.
Nous avons confirmé l'hypothèse que pendant le passage des noms propres aux noms
communs un mot prend en général une nouvelle signification qui se réfère maintenant à l'activité
typique d'un homme nommé, à la production fabriquée par cet homme, dans un lieu certain etc.
Un nom propre, un titre cesse d'être attaché à un individu ou un objet et partage sa
caractéristique particulaire avec un groupe d'hommes ressemblables.
IV. Conclusion
En nous occupant du travail de recherche dans le domaine de la linguistique,
l'étymologie, la lexicologie et l'histoire de la langue nous avons obtenu les resultats suivants:
nous avons:
1. étudié les travaux scientifiques des linguistes: N.V.Yuchmanov [13] (a indiqué
quelques lignes suivant lesquelles le sens commun des noms propres se développe),
Bulakhovskiy L.A. [2] ("Introduction à la linguistique"), Superanskaya A.V. [10] ("La
théorie générale du nom propre"), Kazakova T.A. [6], ("Les principes pratiques de la
traduction"), Germa P. [15], G. Lebouc [16] ("2.500 noms propres devenues
communs: dictionnaire étymologique d'éponymes, antonomases et hypallages") et
autres;
2. choisi et étudié les éponymes du français;
3. analisé l'aspect historique des mots-éponymes;
4. étudié les particularités du passage des noms propres aux noms communs;
5. groupé les éponymes, observé leur proportion, présenté les résultats du recherche sous
forme des tables et des diagrammes;
6. analysé les résultats obtenus et tirer la conclusion;
7. constaté la régularité du passage des noms propres au groupes des noms communs;
8. créé le dictionnaire des éponymes les plus employés dans la langue française;
9. levé un nombre des difficultés liées à la compréhension et la traduction des éponymes;
10. obtenu les nouvelles connaissances de l'étymologie, du lexicologie, de la linguistique;
11. élargi notre intelligence et érudition;
12. acquis une grande expérience du travail scientifique qui sans doute sera utile dans
l'avenir.
Pendant le travail nous avons conclu qu'il y a un échange constant dans la langue entre les
noms propres et les noms communs qui contribue à l'enrichissement du lexique de la langue. Au
passage des noms propres aux noms communs un mots acquiert un sens nouveau qui se réfère à
l'activité typique d'un homme nommé, à la production typique fabriquée par cet homme, dans un
lieu certain etc. Avec cela l'extension de la capacité du sens du mot a lieu.
Les noms propres se subdivisent à leur tour dans les antroponymes (le nom, le patronyme,
le nom de famille, le surnom; le pseudonyme; le cryptonyme, les noms de personnages littéraires
etc.); les toponymes (le nom de territoires, régions, arrondissements; le nom de villes; le nom de
mers, lacs, rivières; le nom de lieux humains; le nom de montagnes, crêtes etc). Aussi on
distingue les mythonymes, les ethnonymes, les zoonymes etc.
En traduisant les noms propres en russe on emploie le plus souvent des tels principes de
traduction comme la transcription et la translitération. Mais en quelques cas il ne suffit pas de
savoir que c'est un nom propre pour la compréhension et traduction correcte du mot.
L'information complémentaire est aussi nécessaire.
Pour apprendre le sans d'un mot inconnu il faut consulter un dictionnaire raisonné. S'il n'y
a pas ce mot dans un dictionnaire il faut consulter un original, c'est-à-dire lire la œuvre ou le
personnage est présenté.
Les mots français passés des mots propres au groupe des mots communs sont très variés.
Quelques d'eux sont empruntés d'autres langues (le latin, l'anglais, l'allemand et autres), les
autres ont l'origine française.
Parmi tous les noms propres les antroponymes et les toponymes passent le plus souvent
au groupe des noms communs, les suivants sont les myphonymes et les éponymes ascendants
aux personnages littéraires.
Le passage des noms propres aux noms communs a touché un nombre de domaines
différents: la cuisine, la botanique, les animaux, l'homme - la religion - la société, la science, les
inventions-les découvertes, les vêtements-le tissu, la mythologie, le sport-les danses, la
littérature.
On peut séparer un sous-groupe d'éponymes qui sont les noms des danses, jeu de sport et
autres mais ces mots ne sont pas si nombreux.
Les éponymes reflètent l'histoire de la science et la contribution des investigateurs à son
développement. Les noms des inventeurs, savants, pionniers sont imprimés dans les noms des
loix, des unités de mesure, des téchnologies, des appareils, des noms géographiques découverts
par eux. Mais il y a de tels noms qui sont plus proches pour un homme, des hommes, et non pour
la science. En règle générale ces noms ou bien sont oubliés ou bien restent dans la langue à
l'improviste en se séparant de leurs porteurs. Parfois ils deviennent les titres des firmes ou des
voitures, appareils ou objets derrière lesquels les gens cesse de reconnaître le nom d'un homme.
L'analyse des éponymes est intéressante non seulement pour la linguistique mais, comme
les matériaux étudies montrent, permet de révéler beaucoup de liens historiques et culturels de la
langue française contemporaine. La langue est un puits vrai de l'information précieuse!
C'est le lexique qui est une couches de la langue la plus liée à la vie sociale de la société,
qui réagit finnement à tous les changements y ayant lieu.
Aujourd'hui l'étude de langues étrangères se réfère aux facteurs principaux qui détermine
dans une grande mesure le succès des contacts interculturels dans les sphères d'activité d'affaire
et professionnelle. Et cela signifie que les telles science comme la linguistique et l'étymologie
continuent à se développer.
Chacune langue vivante est née par réalité et la sert. Les difficultés de la langue vont se
présenter de nouveaux aspects parce que et la société et les gens se meuvent et se développent.
Les langues des peuples avec leurs problèmes vieux et toujours nouveaux se meuvent et se
développent avec eux. Et cela signifie que le problème de la coopération entre la langue et
l'homme reste un des problèmes centrals du monde scientifique.
VI. Annexe
Diagramme № 1
La classification des éponymes dans la langues française selon leur signification
Cuisine
Botanique
6,71%
1,83%
6,71%
Animaux
23,17%
14,63%
15,24%
9,15%
Homme, religion,
société
Science
3,05%
11,59%
Invention et
découverts
Vêtements, tissu
Сектор 8
La classification des éponymes dans la langues française selon leur signification
Éponymes
Quantité
Cuisine
Botanique
Animaux
Homme, religion, société
Science
Inventions et découvertes
Vêtements, tissu
Mythologie
Sport, danses
Littérature
La totalité
24
15
5
19
25
38
11
15
3
9
164
Сектор 9 Part
14,63%
9,15%
3,05%
11,59%
15,24%
23,17%
6,71%
9,15%
1,83%
5,49%
100,00%
VI. Bibliographie
1. Blau M. Le déstin des éponymes. 300 histoires de l'origine des mots. Dictionnaire de
référence/ M.Blau. - M. CN ENAS, 2010 - 272 p.
2. Boulakhovskij L.A. L'introdution à linguistique. M.: Nauka, 1955. - 238 p.
3. Bourtseva V.V. Dictionnaire des mots étrangers/ V.V. Bourtseva, N.M. Semoenova. M.: Langue russe - Mediya, 2004. - 820 p.
4. Vvedenskaya L.A. Des noms propres aux noms communs/ L.A. Vvedenskaya, N.P.
Kolesnikov. - M.: Prosvechenie, 1999. - 143 p.
5. Ermolovich D.I. Les noms propres à la charnière des langues et des cultures/ D.I.
Ermolovich. - M.: R. Valent, 2001. - 200 p.
6. Kazakova T.A. Les principes pratiques de la traduction. SPB.: Soyuz, 2002. -367 c.
7. Le grand dictionnaire encyclopédique/ Réd. en chef Prokhorov A.M. - M.: Spb, 200. 896 p.
8. Nikonov V.A. L'introduction à la toponymie./V.A.Nikonov. - M.:Prosvechenie, 1998.
9. Otkoupchikov Y.P. Aux sources des mots. Les récits de la science étymologie./
Y.P.Otkoupshikov. - M.: Prosveshenie, 2001.
10. Souperanskaya A.V. La théorie générale du nom propre/ A.V.Souperanskaya. M.:Nauka, 1973. - 366 p.
11. Shanckij N.M., Bobrova T.A. Dictionnaires étymologique/N.M.Shmanskij, T.A.
Bobrova. M.:Proserpina, 1998.
12. Sherba L.V. Grand dictionnaire français-russe/L.V.Sherba. - M.:Drofa, 2004. - 560 p.
13. Yushmanov N.V. Le grammaire des mots étrangers. M.:Nauks, 1942. - 418 p.
14. Dictionnaire encyclopédique linguistique/Sous la révision de YartsevaV.N. - M.:
Encyclopédie soviétique, 1990. - 685 p [Abbr.DEL 1990]
15. Germa P. Du nom propre au nom commun, dictionnaire des éponymes / P. Germa. –
Paris: Editions Bonneton, 1993. – 255 p
16. G. Lebouc 2.500 noms propres devenus communs: dictionnaire étymologique
d’éponymes, antonomases et hypallages/ Paris: Editeur Avant-Propos, Waterloo (Belgique)
2012. – 653 p.