le journal 28 - Maison Marie Immaculée ASBL
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le journal 28 - Maison Marie Immaculée ASBL
LE JOURNAL DE L’OLIVIER N° 28 Juillet, Aout, Septembre 2015 1 L’ Mot d’accueil de madame Nachtergaele 2 3 FAISONS CONNAISSANCE ! Françoise De Backer a toujours habité Schaerbeek jusqu’à son entrée récente à L’Olivier. Puéricultrice de formation, une attention naturelle et une écoute particulière à l’égard des plus jeunes l'ont conduite à faire du bénévolat dans une école maternelle défavorisée de la capitale. Mariée il y a cinquante ans, elle se consacra essentiellement à sa famille et à l’éducation de ses trois enfants qui, comme ses trois petitsenfants d’ailleurs, sont sa fierté et sa joie de vivre. Aimant voyager avec son mari ou lors de vacances familiales, elle visita plus d’une quinzaine de pays en Europe mais aussi les USA, le Canada et la Turquie. R. Jaspard BIENVENUE MADAME DE BACKER ! 4 Monsieur Philippe Lacroix est né au Congo Belge, à Léopoldville en 1948. Il est fils unique et est resté là-bas jusqu’à l’âge de 12 ans. Il est ensuite venu vivre en Belgique, à Uccle, avec ses parents. A l’adolescence, monsieur Lacroix part à Londres pour apprendre l’anglais, ainsi qu’à Maredsous pour y apprendre le dessin. Côté professionnel, Philippe a été engagé dans une agence de voyages avant de travailler pour l’état où il a eu une longue carrière de plus de 25 ans. Bien que divorcé depuis longtemps, monsieur Lacroix a eu 3 enfants : 2 garçons et 1 fille. Nous vous souhaitons longue vie au Romarin ! 5 Découvrons le parcours de Natalie Grosjean … Je suis née en 65, à Jadotvile (Congo Belge). Mon papa est dentiste, ma maman infirmière. Nous sommes revenus en Belgique en 68. Au retour, j’ai été scolarisée au Sacré Cœur du Linthout, puis à Saint André. J’ai ensuite fait des études de marketing. Après mes études, je me suis mariée et nous avons eu 2 garçons. Ils ont aujourd’hui 21 et 24 ans ! Leur papa et moi sommes séparés, et depuis 15 ans je vis avec un homme qui a également 2 filles d’un premier mariage. Nos 4 enfants font des études très variées : communication, droit, biochimie et stylisme ! Nous formons une famille aux personnalités très différentes mais l’harmonie règne dans la maison ! Côté hobbies, les miens sont nombreux : les voyages occupent une grande partie de notre vie, puisque mon mari est très souvent en déplacement. D’autre part j’aime l’art, les expos me ressourcent beaucoup. Le cinéma, le théâtre, le sport, et bien sûr les amis qui tiennent une place importante dans ma vie ! 6 Enfin, du point de vue professionnel, j’ai travaillé pendant 19 ans dans une société d’études de marché. J’aimais beaucoup ce secteur, mais la cellule belge a fermé en 2007. En transition j’ai travaillé pendant un an pour une société de création de sites internet comme attachée de direction. Enfin, en 2009 j’ai postulé à l’Olivier. J’ai commencé à travailler le 16 juin, jour de la naissance de Margaux Dasnoy ! Je n’aurais jamais cru que ce job serait autant en lien avec les personnes. Et pourtant, c’est ce qui me plaît aujourd’hui … au point de me demander pourquoi je n’ai pas fait ça plus tôt ! Travailler à vos côtés est très gratifiant … c’est très chouette d’être chaque jour en contact avec vous ! Pour finir, je profite de cette interview pour féliciter les membres du comité du journal … en le lisant, j’apprends toujours quelque chose : c’est un bel outil, bravo ! MERCI Natalie pour ta présence positive à l’Olivier ! Tu es à l’écoute, et as toujours un petit conseil à nous apporter ! 7 Rencontre avec les couples de l’Olivier : « Quelle est votre recette du couple qui dure ?! » « Nous nous sommes mariés en 61, donc 54 ans de mariage. Monsieur Nesa nous raconte avec un grand sourire qu’il a été le 1er à déclarer sa flamme. Notre recette : la même orientation professionnelle et donc un centre d’intérêt commun. Leur recette : ne pas vouloir se calquer sur l’autre, ni vouloir en faire une copie conforme de soimême. » Notre rencontre date de l’école, ça a été le coup de foudre tout de suite … mais nous avons dû patienter avant de nous marier ! Aujourd’hui nous avons 2 garçons. Les enfants jouent un très grand rôle, il faut savoir passer au-dessus des caprices en pensant aux enfants. Merci M. & Mme Nesa-Gheysens ! Photo Caroline Dechamps et Laure Derenne 8 9 M. Wéry et Mme Guillaume se sont connus lors d’une fête en 49, et mariés en 1951 : 64 ans de mariage. M. Wéry devait partir à l’étranger, et a donc emmené tout de suite Mlle Guillaume avec lui ! La difficulté du monde actuel semble être l’acceptation de la différence de l’autre. Tous les membres du comité du journal ne sont pas du même avis, certains pensent qu’avant nous étions corsetés dans des principes : on ne divorçait pas, on n’avait pas de relations sexuelles avant le mariage. Pour d’autres, les couples recomposés sont révoltants car ils risquent de faire souffrir les enfants. L’ensemble des membres reconnait pourtant que ça peut être « horrible » de rester avec quelqu’un par obligation … Il n’y a bien sûr pas de recette magique pour qu’un couple dure autant d’années … mais sont essentiels : vérité, échange, amour, écoute, pardon et acceptation de l’autre. 10 PAGE CULTURELLE ! HISTOIRE On pourrait facilement imaginer que le symbole « @ », dit arobase, est apparu avec Internet. En réalité, ce symbole trouve ses origines au Moyen-Âge. Selon la théorie du linguiste Berthold Louis Ullman, le symbole de l’arobase est apparu au VIe siècle, servant d’abréviation aux moines copistes. Ce signe serait ainsi une fusion de deux caractères consécutifs : le a et le d du mot latin « æ », qui signifie « vers » « à » ou « chez ». À partir du VIIe siècle, ce symbole était utilisé pour symboliser une unité de poids et de mesure appelée l’amphore. L’arobase s’est réellement répandu au XIXe siècle, lorsque les États-Unis ont commencé à l’utiliser pour noter le prix unitaire des marchandises (@ 20 $). C’est pour cet usage comptable que ce signe est apparu sur les claviers des machines à écrire américaines dès 1885. Le signe « @ » est aujourd’hui utilisé pour toutes les adresses mail. David Louvet-Rossi | 26 août 2015 11 SOUVENIRS DE VOS BETISES D’ENFANCE ! « Papa avait l’habitude de se raser. Un jour, plus moyen de trouver le rasoir … au fil des jours, d’autres objets devenaient introuvables … Il a fallu du temps pour que mon frère avoue qu’il jetait tout par-dessus le mur du voisin ! » « Mon frère Gérard (toujours lui !) passait son temps à lancer des cailloux aux oies du parc Marie-Louise à Namur. Un jour, les oies se sont vengées, et le gardien du parc a retrouvé Gérard en pleurs dans la pelouse, avec une oie sur la tête ! « Longue vie aux oies ! » 12 « Mes parents avaient des poules … que mon frère aimait promener dans la poussette de ma sœur ! » En classe, l’institutrice dispute ma camarade Pascale Tapis : « Pascale Carpette, arrêtez ! » « Un jour de meeting sur la place du village, mon frère est allé chercher des souris et les a toutes lâchées au milieu de la foule ! Une autre fois, ce fut des hannetons de pêche ! » « Nous voulions faire un cadeau à mon grand-père. Nous sonnons chez lui, entrons vite par l’arrière en lui faisant croire que le facteur était passé. Il trouve le colis devant sa porte : un joli paquet bien ficelé. Il déballe, découvre une belle boîte, qu’il ouvre avec précaution … pour découvrir à l’intérieur : un caillou ! » « Bonjour Monsieur Cornil … … … Chon ! 13 « « Etant petite, avec mon papa, quand je croisais monsieur Cornil je le saluais poliment : Sodexo : une page se tourne chez M.M.I. Rencontre avec Romuald Legendre et France Carlier Depuis combien d’années M.M.I. travaillait avec Sodexo ? Une trentaine d’années, dont 16 ans sur l’Olivier… Les deux premières années il n’y avait pas cuisine à l’Olivier et les repas étaient livrés chauds au départ de la cuisine du home Jourdan à Etterbeek. Depuis le 1er septembre 2015, nous avons quitté Sodexo. Quels changements concrets en quittant Sodexo ? Nous passons en gestion propre, c’est-à-dire que nous n’aurons plus d’intermédiaire pour gérer les factures, choisir nos fournisseurs, choisir nos produits, etc… En quoi consiste la nouvelle organisation ? Depuis plus d’un an déjà, la nouvelle organisation s’est progressivement mise en place. Les chefs de cuisines ne sont plus Sodexo mais M.M.I.… Nous réalisons les menus en concertation avec tous les chefs des 5 sites. Une fois sur papier, les menus sont soumis aux différentes directions locales. Le travail du personnel de cuisine reste inchangé, ils continueront à vous mitonner de bons petits plats ! 14 Le coût des repas va-t-il changer ? Oui il va changer légèrement car la marge bénéficiaire prise par Sodexo sur chaque repas sera un gain pour l’asbl M.M.I.. Ce gain sera injecté dans le département restauration afin de sélectionner certaines matières premières plus qualitatives, dans des propositions d’animations plus fréquentes, et dans l’acquisition de vaisselle, et verrerie plus « cosi ». La qualité des repas va-t-elle changer ? Le maintien voir l’augmentation permanente de la qualité est un des objectifs, mais nous espérons que vous avez déjà pu constater depuis 1 an l’évolution dans les menus… nous allons travailler avec plus de produits frais, une meilleure qualité de viande et nous réalisons déjà plus de préparations « maison » qu’auparavant. Allons-nous encore servir la crèche et le caillou blanc ? Oui, rien ne change jusqu’à nouvel ordre. Enfin, que va devenir la camionnette Sodexo ?! Elle va retourner chez Sodexo dès lundi prochain et une camionnette MMI va remplacer celle-là mais sans logo (toute blanche). Merci pour vos réponses ! Romuald Legendre, chef restauration MMI France Carlier, diététicienne MMI 15 Il y a 70 ans et je m’en souviens encore. Sr M.-Pierre Cadre : Je venais d’arriver au Congo, à Kolwezi en 1946, pour y être professeur. J’avais, comme je l’ai encore, « une voix de confidence », je chantais beaucoup…, il y avait de l’espace. Les sœurs, quant à elles, récitaient ou chantaient l’office en latin et je les écoutais volontiers. Préparation : Elles auraient aimé que je sois leur chantre pour la prochaine « veillée de Noël » : - (sept.-déc. = trois petits mois, - ce n’était pas trop pour y penser déjà ) - Mais il y avait un « mais », un grand mais : - [ vous souvient-il qu’en ce temps-là, une jeune fille ne serait pas entrée dans une église, pour un office ou pour une simple visite, sans avoir la tête couverte ? ] - Or, mademoiselle PETIT n’avait que…, que le…, qu’un seul couvre-chef…, son seul casque colonial… Vous devinez le raffut, le potin parmi les sœurs : annoncer Noël en casque, c’était de l’ordre de l’impensable ! Et je disais simplement : « Je n’ai rien d’autre »… ! Dans le plus grand secret une collègue du « bureau des professeurs’ » avait tricoté pour moi une petite calotte blanche, comme c’était l’ordinaire en ce temps-là. Le 24 décembre au soir, à l’ultime et toute dernière minute, le cortège solennel des sœurs venait d’entrer dans la chapelle, - j’ai fait l’échange… Et je vois encore le « ouf », silencieusement unanime et pourtant tangible, dans les quinze paires d’yeux des sœurs apaisées…, qui pouvaient dès lors chanter LA PAIX DE NOËL en se disant tout bas : « elle a quand même bien voulu changer ! » 16 SOUVENIRS …. Entre le 30 juin et le 5 septembre 2015, Alina Borkowska, Marcel Braconnier, Robert De Merechy, Annie Van Mulders, Sr Noelle-Marie, Louis Coucke, Angélique Haenecour, François Sokal, Anne Vanmarsenille, Patricius Daveloose, Andrée Vandenhoeck, Florentine Derey et Nadine Collignon nous ont quittés. Ces personnes ont vécu auprès de nous. Nous nous souviendrons tous d’un sourire, d’une parole, d’un échange qu’elles nous ont offerts. 17 18 Monsieur Patrick Daveloose nous a quittés. Je l’avais vu, à table, attentionné à son épouse, et surprise, ce matin-là de le voir inquiet de son absence : j’avais pu le calmer un peu. Il allait rester seul ici, car Marie-Christine avait fini son chemin avec nous. J’ai été amenée à pouvoir m’occuper un peu de lui, et à découvrir et aimer un homme de contrastes… J’ai fini par le comprendre : il était vite perdu pour des choses simples de la vie, mais il avait gardé une précision, - à la minute près, - quand je lui disais ( à 14h55 ) que je reviendrais à 16h35 pour le conduire à la messe… (Il me disait sans attendre : « donc dans une heure quarante… ») C’est en clinique qu’il a reçu les derniers sacrements et qu’il s’est éteint. Ses funérailles ont rassemblé famille et amis : On l’aimait. Sr Marie-Pierre 19 Comme ami de Marcel Braconnier En tant qu’ami de très longue date de Marcel, je pourrais vous raconter ses coups de cœur. Mais à quoi bon ? Tout le monde sait que Marcel a du cœur. Il était généreux et nous le savons tous. Je pourrais vous raconter les coups de main de Marcel. Mais à quoi bon… Tout le monde sait que Marcel se rendait disponible et que son adhésion aux valeurs du scoutisme l’incitait à venir en aide à tous les estropiés de la vie. Tantôt gendarme, tantôt braconnier, je pourrais vous raconter les coups gueules de Marcel. Mais à quoi bon tout le monde sait que Marcel peut s’emporter et particulièrement quand les situations lui semblaient bien injustes. Je pourrais vous raconter le coup de foudre de Marcel. L’histoire d’un couple que seul la mort a pu séparer. Un coup de foudre qui a traversé les bonheurs et les chagrins de la vie. 20 Quand la maladie, et le deuil de leur fils Paul ont dévasté Liliane. Marcel a géré au mieux la situation avant d’être à son tour accablé par une santé amoindrie. Par contre tout le monde ne connaît pas le coup de bêche de Marcel. Marcel était un jardinier heureux. Son jardin respirait le parfum de mille et une fleurs, ses fraises, ses tomates et autres agrumes avaient une saveur inégalable. J’en suis le témoin consommateur. Marcel cultivait aussi le goût de la langue française, Il croisait les mots et les enfermait dans de petites cases blanches. Il disait que c’était bon aussi pour ses petites cases à lui. Mais je m’arrête de parler de Marcel au passé. Comme si tout était fini, comme si le vide et le rien étaient devenus les piliers d’une nouvelle religion. Aujourd’hui c’est le passé de Marcel qui a bouclé sa valise, ce n’est pas son avenir. Marcel a encore des choses à nous dire. La mort ne nous rend pas muet. Jean-Pierre Vanhecke 15/07/2015 21 FLASH’INF’OLIVIER Les plaines d’été ! Durant 2 semaines en juillet 2015, les enfants du personnel ont investi les lieux ! Plus calmes que d’habitude, polis et joueurs … C’était une joie de dire bonjour aux enfants chaque matin ! Enfin, le montage vidéo de Céline nous a permis de découvrir les activités de la semaine. A l’année prochaine pour de nouvelles aventures ! 22 LES TARTES DE FRANCOISE ! Depuis quelques mois, certains mardis sont plus animés que d’autres à la Lavande 1 ! Grâce à Patrice et Françoise qui apportent de bonnes tartes de « Chez Françoise » ! Tous les gourmands y sont les bienvenus ! (les parts de tarte sont facturées mensuellement dans les achats boutiques : 1.50€/part). CONFERENCES DOMINICALES Depuis quelques temps, nous avons la chance de recevoir Patricia Barakat pour des conférences dominicales. Les sujets sont bien choisis et l’animation est interactive. A quand la prochaine ?! 23 17 juillet 2015 # 18h La maison s’agite ! Le soleil brille, le temps est chaud Drapeaux et fanions apparaissent Bières et petites dégustations remplissent les tables Les invités arrivent, vêtus aux couleurs de la Belgique Enfin, pour notre plus grand plaisir, Willy et Fred Lamory entament la première chanson ! Ambiance assurée jusqu’à la dernière, Et dans une ronde finale nous nous sommes tous réunis ! Merci, et au plaisir de recommencer ! 24 La bibliothèque de 2016 évoluera en DVD’thèque ! Pour notre plus grand plaisir, Madame Ruelle souhaite faire évoluer la bibliothèque de l’Olivier en … DVD’thèque ! Nous avons besoin de vous pour la créer, donc si vous avez des DVD’s qui ne vous servent plus, nous sommes preneurs ! EVENEMENTS A VENIR : Le marché de Noel des bénévoles aura lieu les 11 et 12 décembre 2015, de 14h à 18h. La fête des familles aura lieu le samedi 28 novembre 2015 à 15h. Informations à venir ! 25 SUR LE POUCE Depuis plusieurs années, le Fingerfood est entré à l’Olivier. Aujourd’hui, il fait l’actu ! (extrait article infocatho.be) « Manger avec les doigts? Quelle drôle d’idée… Infantilisante ou régressive pour certains, tandis que d’autres y voient une formule amusante et sans complexe. Oui, mais… pas seulement! Comme son nom l’indique, la technique du finger food fait appel aux doigts. Pour ce faire, la nourriture se présente sous forme de petites bouchées, facilement préhensibles. Mixée ou coupée en petits morceaux, la nourriture fait la place belle aux miniatures. Quel est donc l’avantage d’une telle formule? Rendre de l’autonomie à des personnes qui ont des difficultés à manipuler les couverts. Cette méthode semble efficace contre la dénutrition, rend l’acte nourricier plus attrayant et est une manière de valoriser les personnes qui retrouvent le plaisir de se nourrir sans recourir à une aide extérieure. Enfin et surtout, la personne mange à son propre rythme. » 26 ESPACE BLAGUES Quand un unijambiste se lève du mauvais pied, il s'en rend compte de suite. *** En Chine, si t'as pas de bol, t'as pas « Il y a 40 ans, la SNCF présentait le TGV. de riz *** Grande invention qui permettait aux voyageurs d'arriver plus vite en retard. » L'invention du suppositoire restera-t-elle dans les annales ? Défense de courir sous peine de poursuite. Mieux vaut être une vraie croyante… qu'une fausse sceptique. Quand un crocodile voit une femelle, il l'accoste. Pour s'endormir, un mouton ne peut compter que sur lui-même. 27 DATES IMPORTANTES DE CE TRIMESTRE : Le 14 septembre, Sœur Paul-Dominique a fêté ses 80 printemps ! Nous lui souhaitons encore quelques belles dizaines à nos côtés ! Maria Derauw, Marie-Jeanne Van Langenhove et Suzanne Defays font partie des jeunes nonagénaires de la maison… Quant à Sœur Anne-Gisèle, elle a fêté ses 99 ans cet été ! 28 70 ans d’engagement cette année ! Le 15 septembre 1945, Sœur Marie-Laure a prononcé son premier engagement dans la congrégation Notre Dame de Jupille. 29 PETITS JEUX ! 1) Saurez-vous retrouver à qui appartiennent ces 2 enfants ?! 2) La dictée qui rend fou ! 30 3) Quelques charades ou devinettes : Mon 1er, une lettre de l’alphabet. Mon 2ème, une lettre de l’alphabet. Mon 3ème, une (des) résidentes de cette maison. Mon tout = la troisième dimension d’un objet. Mon 1er, une capitale européenne. Mon 2ème, c’est mentir dans un temps difficile à utiliser Mon 3ème, une lettre de l’alphabet. Mon 4ème, un appendice animal. Mon tout = un genre littéraire. Mon 1er, un pronom interrogatif. Mon 2ème, un ornement du visage. Mon 3ème, une manière d’être assis en flamand. Mon 4ème est une boisson exotique. Mon 5ème est un animal dont on se méfie dans les maisons. Mon 6ème un pronom personnel familier. Mon tout = une profession utile dans cette maison. 1) Axel et Lucas, de Jean-François 3)Epaisseur / Romantique / Kinésithérapeute SOLUTION DES JEUX : 31 Quelques photos en souvenir d’un bel été … pour vous souhaiter un chaleureux automne 2015 ! 32