Mézy sur Seine MAI 2015 - Résidence Les Jardins Médicis

Transcription

Mézy sur Seine MAI 2015 - Résidence Les Jardins Médicis
Le Journal de la Résidence
« Les Jardins Médicis »
Mézy sur Seine
MAI 2015
Madame Sonia Fontaine
Animatrice
SOMMAIRE
La vie aux jardins Médicis : ce qui s’est
déroulé et les fêtes à venir
La vie d’un grand personnage : Richard
Anthony
Le saviez-vous ? : Le muguet
Jeux
Solutions des jeux
La vie aux Jardins Médicis
Les événements du mois d’avril
Nouveaux partenariats avec divers foyers
logements :
Foyer logement d’Epône « les Cytises »
Foyer logement de Limay « Jeanne Belfort »
Vendredi 17 avril : Spectacle « Sabor Brasil »
Avec la venue des résidants « les jardins Médicis »
d’Aubergenville :
Et les résidants de la Maison d’Accueil Spécialisée
de Limay
Jeudi 23 avril : Rencontre avec les enfants de la
micro-crèche de Mézy
Les animations en mai
Bienvenue
*******
Nouvelle résidante
Madame Dochez
Mardi 5 mai
à 13 h 30 :
1ère sortie : rencontre avec
l’association Abricourtoise.
Est concerné Mr Julien,
Mme Gallé
2ème sortie : foyer des
anciens aux Mureaux.
Sont concernés :
Mr Perrault et Mr Olivier
Mardi19 mai
à 13 h 45 :
Sortie : rencontre avec
l’association Abricourtoise.
Est concerné Mr Julien,
Mme Gallé, Mr Perrault, Mr
Olivier
Mercredi 20 mai
à 15 h :
Messe célébrée dans la
salle Amaryllis
Vendredi 29 mai
à 15 h :
Journée à thème
« les Pays Basques »
Fête des voisins :
12 h : Quiz et écoute de
musique traditionnelle
15 h : Après-midi dansant
animé par Monique et son
accordéon
nous fêterons les
anniversaires de :
Mme Greugny le 2 mai
Mme Guénolé le 9 mai
Mme Chastagnol le 10 mai
Dimanche 31 mai
Fête des mères
à 15 h 30 :
Après-midi dansant animé
par le personnel
Note d’information : des cendriers sont à votre
disposition sur la terrasse du rez-de-jardin ainsi
que celle du rez-de-chaussée. Je compte sur vous
afin de ne pas jeter les cigarettes dans les
jardinières au risque de provoquer un départ
d’incendie. Merci pour votre compréhension.
La vie d’un grand personnage
Ricardo Btesh, dit Richard Anthony, est un
chanteur français, né le 13 janvier 1938 au Caire
(Égypte) et mort le 20 avril 2015 (à 77 ans) à
Pégomas (Alpes-Maritimes).
Le père de Richard Anthony, Edgar Btesh, est
originaire de la province d'Alep, en Syrie, il est
industriel dans le textile en Égypte, sa mère
Margaret d'origine anglaise est la fille de Samuel
Shashoua Bey, consul honoraire d'Irak à
Alexandrie. Le jeune Richard passe une enfance
cossue en Égypte, mais la montée des nationalismes
obligera sa famille à l'exil. D'abord en Argentine
puis en Angleterre, à neuf ans il intègre le
prestigieux Brighton College où il sera soliste de la
chorale. Son premier passage télé sera aux
actualités, à onze ans il fut présenté au Maréchal
Montgomery comme meilleur élève en préparation
militaire d'Angleterre. Il arrive en France en 1951
à l'âge de treize ans où il intègre le lycée Jansonde-Sailly à Paris. Il a une petite sœur prénommée
Manuela, qui fera partie de « Tangerine », groupe
folk français des années 1970, plus tard elle
continuera une carriere solo sous le pseudo de
Manu Le Prince, chanteuse reconnue pour ses
reprises de classics brésiliens. Après son
baccalauréat et le début de ses études de droit,
Richard refuse de suivre ses parents à Milan,
préférant rester avec Michelle rencontrée sur les
bancs du lycée, qui deviendra sa première femme et
avec qui il aura trois enfants, Nathalie, Jérôme et
Johanne. Il devient représentant de commerce en
réfrigérateurs, tout en pratiquant le saxophone
dans les clubs de jazz, il se produit notamment les
jeudis soirs au Vieux Colombier, dont le patron
Claude Wolf, fut le mari de Petula Clark.
En 1958, influencé par la pop anglophone qu'il
connaît bien, ce polyglotte parlant 6 langues décide
d'adapter ce nouveau son à des textes français. Il
enregistre You Are My Destiny de Paul Anka et
Peggy Sue de Buddy Holly et fait le tour des
maisons de disques sans dire qu'il en est le
chanteur, il se décide à l'avouer sous l'engouement
des directeurs artistiques. Prenant comme nom
d'artiste la réunion de ses deux prénoms de l'étatcivil, la firme Columbia Records lui donnera sa
chance mais ces deux titres passent inaperçus. Le
premier à le faire signer dans une maison de
disques est Jacques Poisson, alias Jacques Plait, qui
deviendra le producteur et directeur artistique de
Joe Dassin.
Il doit attendre son troisième 45 tours avec
Nouvelle Vague, une reprise du Three Cool Cats des
Coasters, pour être reconnu à l'âge de vingt ans.
C'est un succès énorme, près de 500 000
exemplaires vendus. Suit alors une série de tubes,
enregistrés entre Paris et Londres, dont le célèbre
Et j'entends siffler le train en 1962 qui restera
son plus gros succès français. C'est aussi le
premier disque en France qu'on appellera "tube de
l'été". Cette année là, il restera 21 semaines
numéro un des ventes avec 2 titres, La leçon de
twist et Et j'entends siffler le train. Il démarre
l'année 1963 n°1 des ventes avec Itsy Bitsy petit
bikini, dont le clip de l'époque sera réalisé par
Claude Lelouch.
Les médias de l'époque mettent en concurrence les
2 plus gros vendeurs de disques, lui et Johnny
Hallyday, leurs fans respectifs se déchirent, en
viennent souvent aux mains ou saccagent des salles
de spectacle. Pourtant, en privé, ils sont les
meilleurs amis.
En 1964, il restera 10 semaines n°1 avec Ce
monde et A présent tu peux t'en aller. Avec un
rythme de 300 galas par an, il décide de passer son
brevet de pilote. Plus rapide et moins dangereux
que la route, il acquiert un avion privé qu'il pilote
lui-même pour faire ses tournées, embarquant
musiciens et matériel. Il fut le premier chanteur à
adopter ce mode de déplacement. Cela lui permet
aussi de rejoindre, dès qu'il le peut, sa famille dans
ses villas de Saint-Tropez ou Marbella, sa maison
dans la vallée de Chevreuse ou son chalet à Crans.
Il construira aussi un hôtel à la Jamaïque où il
s'accorde quelques moments de vacances.
En France, en 1965, il est de nouveau en tete
des charts avec Je me suis souvent demandé,
adaptation d'une chanson belge (en néerlandais) de
Bobbejaan Schoepen. Il en fera aussi un hit en
Argentine sous le titre A veces me pregunto yo.
À cette époque, il vit entre Marbella où réside sa
famille et Londres où il enregistre aux studios
Abbey Road aux côtés des Beatles qu'il a vu
débuter et avec qui il s'est lié d'amitié. La chanson
Michelle des Beatles a d'ailleurs été composée une
nuit dans les cuisines de l'Hilton de Londres où
Richard résidait. Il avait invité McCartney pour se
restaurer après une longue séance de studio, le
concierge apportant les messages essentiellement
de Michelle, Paul d'un élan taquin a lancé
« Michelle, ma belle... » puis il a griffonné sur un
coin de table le texte de cette chanson en
hommage à la femme de Richard et lui a proposé de
la chanter. Richard refusa de chanter une ode à sa
femme craignant le désamour de son public féminin,
mais conseilla aux Beatles de la sortir eux-mêmes
pour conquérir le public français. Ce fut le premier
tube des Beatles en France, 3 semaines n°1 des
ventes.
En 1967, il adapte le Concerto d'Aranjuez de
Joaquin Rodrigo, sous le titre Aranjuez mon amour,
qui sera son plus grand succès : au niveau mondial,
on l'estime a plus de 5 millions d'exemplaires
vendus, 1e en France, Belgique, Suisse, Espagne et
en Amérique du Sud. Ce titre restera pour lui sa
plus grande fierté, son compositeur ayant refusé
toute adaptation, c'est sans l'accord de sa maison
de disque de l'époque qu'il l'enregistrera sous ses
deniers
personnels
avec
l'Orchestre
philharmonique de Londres. Il ira le présenter lui
même à Rodrigo à Madrid et obtiendra sa
permission de le sortir.
Il a moins de succès dans les années 1970,
fatigué par plus de 10 ans de tournées et ne
s'adaptant pas à la mode montante du disco, après
son tube Le sirop typhon, il s'éloigne une première
fois du public et divorce d'avec son épouse
Michelle. Voulant profiter de la vie, il s'installe
avec Josiane pendant 4 ans à Saint-Paul-de-Vence,
aux côtés d'Yves Montand et Simone Signoret,
période durant laquelle il aura un fils, Julien.
Il redevient 1e des ventes en 1974, avec
Amoureux de ma femme et en 1978, après l'album
Non Stop dont le titre J'irai se classera numéro 2
des ventes, il décide de partir s'installer à Los
Angeles avec sa nouvelle femme Sabine et leurs
trois enfants Xavier, Alexandre et Cédric pour y
faire de la production. Il veut à présent exporter
des mélodies françaises pour le public américain. Il
y produira notamment Indian Summer, adaptation
anglaise de L'Été indien de Joe Dassin. Il y
enregistrera aussi un album en anglais resté inédit
jusqu'à maintenant.
Il revient en France en 1982 pour quelques
mois, mais se fait rattraper par le fisc pour
redressement sur « éléments de train de vie », ce
qui l'amène à passer quatre jours à la prison d'Osny
en 1983. Son cas d'emprisonnement dite
« contrainte par corps » fera jurisprudence, ce qui
fera le bonheur des autres chanteurs poursuivis
par le fisc pour les mêmes raisons à cette époque
comme Charles Aznavour, Johnny Hallyday, Mireille
Mathieu ou encore Michel Polnareff.
À la fin des années 1980, il divorce d'avec
Sabine et s'éloigne une nouvelle fois du public. Il
part s'installer sur la Côte d'Azur où il aura un
grave accident de bateau à cause duquel il sera
alité plusieurs semaines, mais c'est comme ça qu'il
rencontrera Elisabeth, sa dernière compagne, qui
fut son infirmière.
En 1993, la firme EMI sort un coffret de 300
de ses chansons qui devient rapidement triple
disque d'or, cela lui redonne l'envie de revenir sur
scène. Il sort le titre La barrière des générations,
enregistré en Belgique et fait un retour sur les
plateaux télé, dont l'émission Sacrée Soirée qui lui
offrira une spéciale Richard Anthony au Cirque
d'hiver de Paris.
En 1994, il enregistre la collection Atlas
Spéciale Chansons Françaises, qui sera triple disque
de Platine.
En 1996, il ré-enregistre ses tubes pour la
France mais aussi pour l'Espagne avec l'album
Sentimental, dont les titres Abrazame et Aranjuez
mon amour seront classés parmi les hits.
En 1997, il publie son autobiographie aux
éditions Michel Lafon, Il faut croire aux étoiles,
d'après le titre d'une de ses chansons.
En 1998, il fête ses 40 ans de carrière au
Zénith de Paris et ressort la chanson Victoire je
t'aime, en hommage aux bleus, et le rap Pas
innocents" pour les boites de nuits.
Malgré un rythme de 30 galas par an, il fait un
nouveau retour médiatique en 2006 en tête
d'affiche des tournées Âge tendre et Têtes de
bois : il s'y produira durant 5 ans.
En 2010 sort la deuxième édition de son
autobiographie intitulée Quand on choisit la liberté,
classée dans les meilleures ventes de l'année. Il
fait à l'occasion plusieurs passages télé, dont une
des meilleures audiences de l'année pour l'émission
de Mireille Dumas.
En janvier 2011, il est promu au grade
d'Officier des Arts et des Lettres puis décoré le
23 novembre 2011 par le ministre Frédéric
Mitterrand dans les salons d'honneurs du ministère
de la culture.
Le 12 février 2012, il fait salle comble pour un
concert exceptionnel sur la scène de l'Olympia où il
invite Jeane Manson en 1e partie.
Au total, il aura dans sa carrière 17 tubes
classés 21 fois numéro 1 des ventes : il est
aujourd'hui encore le seul chanteur français ayant
atteint un tel record. Il est aussi l'un des rares
Français à avoir été numéro 1 dans les pays
étrangers comme l'Italie, l'Allemagne, le Portugal,
l'Espagne, la Suisse, la Belgique, l'Argentine, le
Liban ou même l'Iran.
Le saviez-vous ?
Muguet de mai
Derrière ses apparences de petite fleur humble et
discrète, le muguet dévoile la fierté d’une fleur
pleine de talents. Emblème incontournable du 1er
mai, le muguet est annonciateur du retour des
beaux jours et réputé comme porte-bonheur.
Certains racontent même que l’on peut entendre
dans nos forêts et sous-bois une douce musique
tinter de ces blancs grelots…
Le muguet (convallaria majalis) ou « muguet de
mai », appelé aussi « lis des vallées », est une
plante herbacée et vivace de la famille des
Liliacées. Originaire du Japon, il fut importé en
Europe au Moyen Age. On le trouve aujourd’hui
dans de nombreuses zones tempérées de
l’hémisphère nord : en France (excepté dans le
pourtour méditerranéen) et dans le reste de
l’Europe, en Amérique du Nord et en Asie.
Ses fleurs en forme de petites clochettes sont
disposées le long d’une hampe unique, et toutes
tournées du même côté. Autour d’elles, deux
feuilles se dressent, parfois trois. La floraison du
muguet est plutôt brève, de l’ordre de 3 à 4
semaines entre avril et juillet.
Ses grelots sont généralement blancs, parfois
rosés (c’est le cas pour la variété ‘Rosea’), et
offrent un parfum suave, légèrement musqué. Une
fois la floraison passée et jusqu’au mois d’octobre,
la fleur est remplacée par un fruit sous la forme
d’une petite baie rouge. Le muguet se multiplie
facilement grâce à son rhizome, appelé « griffe ».
Surveillez enfants et animaux : le muguet est
classé parmi les plantes à haute toxicité ! Il
contient de la convallarine, un puissant stéroïdien
dont les effets sont proches de ceux de la
digitaline… Son ingestion provoque vomissements,
douleurs abdominales, et problèmes cardiaques
pouvant entraîner la mort.
Si vous offrez un brin comportant 13
clochettes, vous adresserez au destinataire des
vœux de félicité éternelle…
Le muguet : mythes et légendes :
De nombreuses légendes entourent la naissance
du muguet.
Dans la mythologie, on raconte que le dieu
Apollon aurait créé le muguet afin d’offrir à ses
neuf nymphes aux pieds nus un tapis doux et
parfumé sur lequel marcher.
La légende chrétienne narre l’histoire de Saint
Léonard, ermite réfugié en forêt qui dût se battre
contre un dragon. Sorti vainqueur de la bataille, on
dit que les gouttes de sang qu’il versa au cours de la
bataille donnèrent naissance à des pieds de muguet.
Cette légende expliquerait en partie la croyance
que le muguet porterait chance.
Les Celtes attribuaient déjà des vertus
porte-bonheur à cette plante : sa floraison
signifiait le retour du printemps et de l’abondance
de
la
nature.
Au Moyen Age, mai était le mois des mariages,
appelés en ces temps « accordailles ». La tradition
voulait que l’on accroche un bouquet de muguet à la
porte de la bien-aimée, dont la blancheur des fleurs
symbolisait la pureté.
A la Renaissance, dans les campagnes
françaises, il était de coutume de s’offrir du
muguet pour chasser les difficultés de l’hiver. Le
1er mai 1560, de passage dans la Drôme, le roi
Charles IX se vit offrir un brin de muguet.
Agréablement surpris, il décida de reprendre cette
tradition à la cour l’année suivante en offrant aux
dames un brin de muguet en guise de porte-bonheur
: la coutume acquit ainsi rapidement ses lettres de
noblesse. Au XIXe siècle autour de Paris, les
cueillettes de muguet donnaient lieu à des fêtes
populaires.
L’histoire du muguet :
Le 1er mai 1886 à Chicago, les syndicats
américains mirent en marche un mouvement
revendicatif dans le but de réclamer la journée de
huit heures de travail. Malgré plusieurs actions et
des dizaines de morts, leur requête ne fut pas
entendue.
En 1889 à Paris, le Congrès de la IIe
Internationale Socialiste entra à son tour dans la
lutte pour la réduction du temps de travail. Le 1er
mai fut alors désigné comme journée de
revendication, en souvenir des événements de
Chicago. Le combat ne fut pas vain : le traité de
Versailles adopta la journée de huit heures de
travail.
En 1941 sous l’Occupation, le maréchal Pétain
déclara le 1er mai « Fête du Travail et de la
concorde sociale » afin de rallier les ouvriers au
gouvernement de Vichy. Le jour devint férié, chômé
et payé. L’églantine rouge, jusque-là symbole des
contestations du 1er mai et du socialisme, fut alors
remplacé par le muguet, en fleur à cette période de
l’année.
Cette mesure du 1er mai comme jour férié fut
reprise en 1947 après la guerre par le
gouvernement issu de la Libération.
Aujourd’hui, le muguet est plus que jamais la
fleur du 1er mai, autant pour sa portée politique
que pour ses vertus porte-bonheur. Et ce jour-là
dans la rue, chacun a le droit de vendre des brins
de muguet !
-Qui a écrit ce poème ?
Cloches naïves du muguet, Carillonnez ! car voici
Mai ! Sous une averse de lumière, Les arbres
chantent au verger, Et les graines du potager
Sortent en riant de la terre. Carillonnez ! car voici
Mai ! Cloches naïves du muguet ! Les yeux brillants,
l'âme légère, Les fillettes s'en vont au bois
Rejoindre les fées qui, déjà, Dansent en rond sur la
bruyère.
Carillonnez ! car voici Mai ! Cloches naïves du
muguet!.
-Qui a chanté cette belle mélodie ?
Le premier Mai c'est pas gai, Je trime a dit le
muguet, Dix fois plus que d'habitude, Regrettable
servitude. Muguet, sois pas chicaneur, Car tu
donnes du bonheur, Pas cher à tout un chacun.
Brin de muguet, tu es quelqu'un.
-Complétez les dictons :
En mai, fais ce …………….
Au premier mai, fleurit le bon ……
Au mois de mai, blé et vin …….
Au mois de mai, le seigle déborde …. ……
Frais mois de mai et chaud juin amènent pain ….. …..
Solution des jeux
1) Le muguet - Poème de Maurice Carême de
(Maurice Carême)
2)
Paroles de la chanson Discours des fleurs
(Georges Brassens)
Les dictons :
En mai, fais ce qu'il te plaît.
Au premier mai, fleurit le bon muguet.
Au mois de mai, blé et vin naît.
Au mois de mai, le seigle déborde la haie.
Frais mois de mai et chaud juin amènent pain et vin.
Prochain numéro Juin 2015