Dossier de presse

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Dossier de presse
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LE PORTRAIT DE
DORIAN GRAY
D’APRÈS L’UNIQUE ROMAN D’
A D A P TAT I O N E T M I S E E N S C È N E
OSCAR WILDE
THOMAS LE DOUAREC
A R N A U D D E N I S OU VA L E NT I N D E C A R B O N N I È RE S ,
LU C I L E M A RQ U I S OU C A RO L I N E D E V I S M E S , F A B R I C E S C OT T ET T H O M A S L E D O U A RE C
L ice nce n° 1-10 4 377 9 © Gilbert Lo pez
AV E C
THÉÂTRE CLASSIQUE
P R É S E NT É PA R
DU 20 JANVIER AU 3 AVRIL 2016 À 20H DU MARDI AU SAMEDI ET DIMANCHE À 17H
5 3 R U E N OT R E - D A M E - D E S - C H A M P S 7 5 0 0 6 PA R I S . R É S E R VAT I O N S : 0 1 4 5 4 4 5 7 3 4 E T S U R W W W . L U C E R N A I R E . F R
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S E C R E T
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J E U N E S S E
É T E R N E L L E
C O N TA C T P R E S S E : M a r i e - H é l è n e B r i a n
01 42 81 35 23 / 06 81 87 70 81
[email protected]
!
THÉÂTRE CLASSIQUE
LE PORTRAIT DE DORIAN GRAY
D’APRÈS L’UNIQUE ROMAN D’O
A D A P TA T I O N T H É Â T R A L E E T
A S S I S TA N T E M I S E E N S C È N E
SCAR WILDE
MISE EN SCÈNE T H O M A S L E D O U A R E C
CAROLINE DEVISMES
AV E C
AV E C A R N A U D D E N I S O U VA L E N T I N D E C A R B O N N I È R E S ( D O R I A N G R A Y )
L U C I L E M A R Q U I S O U C A R O L I N E D E V I S M E S ( S Y B I L V A N E , S A L LY , L A D U C H E S S E )
FA B R I C E S C OT T ( B A S I L H A L L W A R D , L E P E I N T R E , J A M E S V A N E E T L E P I A N I S T E )
T H O M A S L E D O U A R E C ( H A R R Y, L O R D H E N R Y W O T T O N )
M U S I Q U E O R I G I N A L E E T D I R E C T I O N M U S I C A L E : M E H D I B O U R AY O U
PA R O L E S : T H O M A S L E D O U A R E C
LU M I È R E : S T É P H A N E B A L N Y
D É CO R S E T CO S T U M E S : J O S É G O M E Z
D’APRÈS LES DESSINS DE FRÉDÉRIC PINEAU
P R O D U C T I O N : L A C O M PA G N I E T H O M A S L E D O U A R E C
C O R É A L I S AT I O N : T H É ÂT R E LU C E R N A I R E , L I E U PA RT E N A I R E D E L A S A I S O N É G A L I T É 3 I N I T I É E PA R H F Î L E - D E - F R A N C E
R E M E R C I E M E NT S : À L A M É M O I R E D E F R É D É R I C P I N E A U , C O S T U M I E R E T D É C O R AT E U R , C AT H E R I N E D E V E L AY E T TO U T E L ’ É Q U I P E D U
R A N E L A G H , B E N J A M I N D U M A S , G I L B E RT LO P E Z E T J O S É G O M E Z
TA R I F : 2 6 € / + D E 6 5 A N S : 2 1 € / É T U D I A N T, D E M A N D E U R D ’ E M P L O I , R S A , I N T E R M I T T E N T : 1 6 € / - D E 2 6 A N S : 1 1 €
1 H 3 5 / D U 2 0 J A N V I E R A U 3 A V R I L 2 0 1 6 D U M A R D I A U S A M E D I À 2 0 H E T L E D I M A N C H E À 1 7 H / C O N TA C T
D I F F U S I O N : M A R I E - H É L È N E B R I A N M H B R I A N @ O R A N G E . F R ( 0 1 4 2 8 1 3 5 2 3 / 0 6 8 1 8 7 7 0 8 1 ) / C O N TA C T R E L AT I O N S
P U B L I Q U E S L U C E R N A I R E : L A U R I E M I C H A L O N R E L AT I O N S - P U B L I Q U E S @ L U C E R N A I R E . F R ( 0 1 4 2 2 2 6 6 8 7 )
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S E C R E T
D E
L A
J E U N E S S E
É T E R N E L L E !
LE SPECTACLE
Par la magie d’un vœu, Dorian Gray conserve la grâce et la beauté de sa jeunesse. Seul son portrait vieillira. Le jeune dandy
s’adonne alors à toutes les expériences. Wilde nous lance dans une quête du plaisir et de la beauté sous toutes ses formes,
belles ou atroces ; l’art n’a rien à voir avec la morale. L’œuvre la plus personnelle de Wilde, il disait : « Dorian Gray contient trop
de moi-même, Basil est ce que je pense être, Harry ce que les gens pensent que je suis et Dorian ce que j’aurais aimé être en
d’autres temps. ».
Note d’intention de Thomas Le Douarec, le metteur en scène
Toute création a sa part d’obsession ou est le fruit d’une obsession. Poursuivre une idée de manière aussi obsessionnelle
a de quoi m’inquiéter… Pour me rassurer, je me dis que c’est le propre de certains artistes que de vouloir saisir, du moins se
donner l’illusion, à force, de comprendre ou de capturer une image, un instant, une idée… C’est maintenant la cinquième fois
que j’explore l’œuvre de Wilde. Toujours intimement persuadé que le Portrait de Dorian Gray est la plus grande pièce de
théâtre que Wilde aie jamais écrite, je me lance à nouveau dans la quête d’en faire cette fois-ci une vraie pièce de théâtre,
avec l’espoir, peut-être illusoire, d’en faire un vrai classique. Je suis persuadé que Wilde, s’il avait pu échapper à la censure et
à la morale de son époque, en aurait fait sa pièce de théâtre la plus aboutie… Rares sont les romans aussi bien dialogués que
celui-ci : certaines scènes sortent tout droit du livre. Et par la suite, pour écrire ses meilleures pièces de théâtre, Wilde n’a
jamais cessé de piocher dans son unique roman. Tel est mon rêve et mon obsession : vous faire découvrir, pour la première
fois, cette nouvelle pièce d’Oscar Wilde.
LA COMPAGNIE
Élève de la «classe libre» au cours Florent, Thomas le Douarec crée son premier spectacle dans cette école en 1989,
Maledictis, libre adaptation de deux pièces en un acte de Sacha Guitry, Une paire de Gifles et Deux couverts. Ce premier travail
d’élève reçoit plusieurs récompenses au sein du cours Florent (Trois Jacques : meilleure mise en scène, meilleure adaptation
et meilleur acteur pour un second rôle). A cette occasion, François Florent ouvre spécialement pour Thomas et un autre élève
(Michael Cohen) une nouvelle section expérimentale dans la «classe libre» dédiée à la mise en scène. Maledictis a représenté
alors le cours Florent dans différents festivals étudiants et autres.
Encouragé par François Florent, Thomas crée sa propre Compagnie en 1991 avec sa deuxième mise en scène, Dommage
qu’elle soit une P... de John Ford : un théâtre «rock» qui rassemble 14 comédiens, 5 musiciens (le groupe de hard rock LES DKP)
et 6 danseurs. Le spectacle a été créé au Théâtre de l’Ecole Florent, au Cirque d’hiver Bouglione dans le cadre du Festival les
« 48 heures », au Festival Off d’Avignon 1991 dans une église désaffectée, puis au Palace (à l’époque encore boîte de nuit)
dans le cadre de nuits de théâtre et au Cinéma Le Trianon en 1992 (qui redeviendra un théâtre grâce à ce spectacle).
En 1993, la Compagnie crée au Théâtre du Centre Mathis, avec l’aide de la Ville de Paris, la première pièce écrite par Thomas
le Douarec Sur le dos d’un éléphant. Le spectacle est repris au Théâtre Paris-Plaine, au Bateau Théâtre Ouragan puis au
Bateau Théâtre la Mare au Diable et totalise plus d’une centaine de représentations.
En 1994, la Compagnie monte Les Sorcières de Salem d’Arthur Miller accompagnée d’une musique originale de Sylvain
Meyniac interprétée par deux musiciens et chanteurs, toujours avec l’aide de la Ville de Paris, au Théâtre du Centre Mathis,
© Angel Victor
puis au Théâtre Le Trianon. La pièce est reprise au Théâtre Hébertot, puis au Nouveau Théâtre Mouffetard et enfin au
Théâtre le Ranelagh. La Compagnie part ensuite pour la première fois en tournée (250 représentations au total).
En 1995, la Compagnie crée au Théâtre le Ranelagh Le Dindon d’après Georges Feydeau. Cette libre adaptation moderne et
audacieuse tente de retrouver la folie originelle de l’auteur. La Société Europa Dell’Arte va s’associer avec elle pour le monter
au Théâtre du Trianon, puis au Festival d’Avignon 1996. En 1996 Stephan Meldegg propose à la Compagnie de reprendre
la pièce au Théâtre La Bruyère. Puis Eddy Saiovici reprend le spectacle une saison complète au Théâtre Tristan Bernard. La
Compagnie entame sa seconde tournée. Le Dindon a été joué au total plus de 1000 fois.
La même année, la Compagnie monte trois versions du Portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde adaptée par Thomas le Douarec
avec l’aide de deux membres fondateurs de la troupe, David Caris et Juliette Meyniac. Une première version «classique» au
Trianon puis au Festival Off d’Avignon 1996. Une seconde version «moderne» au Théâtre de la Main d’Or et au Théâtre Rive
Gauche. Enfin une dernière version en anglais avec des acteurs anglo-saxons au Théâtre Rive Gauche en 1997. A cette
époque, la Compagnie décide de produire un album des meilleures musiques de Sylvain Meyniac qui a réalisé les musiques
originales de plusieurs de ses spectacles. En mars 1998, la Compagnie coproduit avec Europa Dell’Arte Le Cid au Théâtre
de la Madeleine, avec la participation du groupe Flamenco Vivo de Luis de la Carrasca (musiciens, danseurs, chanteurs).
Le spectacle tourne pendant trois ans, en province et sur Paris. D’abord au Théâtre Daunou, puis au Ranelagh ensuite au
Théâtre Marigny et enfin au Théâtre Antoine. Le Cid finira sa carrière au Théâtre Comedia quelques années plus tard. Ce
spectacle a tourné dans sept pays et a remporté le prix du public au Festival international du Théâtre de Sarajevo en 2000
(430 représentations au total dans cette production).
Parallèlement, la Compagnie coproduit de nouveau avec Europa Dell’Arte deux pièces de René de Obaldia : d’une part Du
vent dans les branches de Sassafras au Théâtre le Ranelagh, d’autre part Les Obaldiableries (création de l’auteur pour la
Compagnie) au Théâtre 14.
Du vent dans les branches de Sassafras a été repris au Petit Théâtre de Paris en 2000 avant de
partir en tournée (200 représentations).
En 2002, La Compagnie reprend du service, elle coproduit toujours avec Europa Dell’Arte un spectacle musical 1+1=2 au
Vingtième Théâtre et crée, en 2003, seule, Le Manège du pouvoir de Jean-Pierre About, coréalisé avec le Théâtre 14. L’année
suivante, la Compagnie crée, seule à nouveau, une nouvelle pièce d’Obaldia L’Amour à trois au Théâtre La Luna, Festival
Avignon 2003. Repris au Ciné Théâtre 13, puis au Théâtre de Poche et enfin à La Comédie Bastille (200 représentations).
A partir de l’an 2000, les productions de la Compagnie s’espacent car Thomas le Douarec est de plus en plus sollicité par les
Théâtres et autres producteurs en tant que seul metteur en scène.
Maintenant, seuls les projets atypiques qui lui tiennent vraiment à cœur sont produits par la Compagnie. Tel est le cas de
Marianne James, c’est sur un coup de tête que Thomas et Marianne montent Le Caprice de Marianne pendant le Festival
d’Avignon 2003 : le succès est immédiat et Music Machine reprend le spectacle en tournée et fera une centaine de dates.
Egalement un vrai coup de cœur pour Sentires, ballet contemporain de danse Flamenca, qui va emmener la Compagnie à
prendre de gros risques financiers en 2004 et produire sur Paris pendant huit mois au Trévise. Il faudra attendre cinq ans pour
amortir le spectacle en tournée. Idem avec Andromaque de Racine avec MG prod, la Compagnie aide le projet à surmonter
les obstacles financiers afin que ce magnifique pari, totalement fou, finisse par voir le jour. Les deux dernières grandes folies
de la Compagnie ont été d’avoir voulu créer une comédie musicale du seul roman d’Oscar Wilde Le Portrait de Dorian Gray en
2011 au Vingtième Théâtre et d’adapter en français la pièce canadienne Broue sous le titre de Cul Sec au Festival d’Avignon
2013. Aujourd’hui elle développe des projets plus petits mais non moins ambitieux : Le Jour où je suis devenue chanteuse black
et Jean et Béatrice de Carole Fréchette. Et, enfin une nouvelle création contemporaine : Les Ambitieux, la deuxième pièce de
© Angel Victor
Jean-Pierre About que la Compagnie développe et coproduit, qui s’est donnée tout d’abord au théâtre 14 puis au Splendid.
Contact de la compagnie :
Compagnie Thomas le Douarec / [email protected]
Oscar Wilde, auteur
Il nait à Dublin en Irlande le 16 octobre 1854 et meurt à Paris en 1900. Après ses études dans sa ville natale, il entre au
Magdalen Collège d’Oxford où il fréquente Ruskin et Pater. Il est séduit par les fastes du catholicisme, mais reste protestant
pour obéir à son père, puis devient franc-maçon en 1875. Après un séjour en Grèce au printemps 1877, il s’enthousiasme
pour l’hellénisme.
Brillant causeur dans les salons londoniens, célèbre pour ses réparties spirituelles et son élégance raffinée, il
devient l’auteur à la mode. Sa célébrité dépasse les frontières, on l’invite aux États Unis. Il s’installe à Paris en janvier 1883 et
devient la coqueluche des décadents français. Il écrit La Duchesse de Padoue, Véra ou les nihilistes. De retour en Angleterre, il
devient rédacteur en chef du magazine féminin et féministe « The Woman’s world » de 1887 à 1889, il cultive son personnage
de dandy. Il publie des contes : Le prince heureux et autres contes (1888), Une maison de grenades (1891), des nouvelles : Le
crime de Lord Arthur Savile et autres histoires (1891) et des essais réunis en 1891 dans Intentions.
Son seul et unique roman,
Le Portrait de Dorian Gray (1891) marque encore une étape dans sa gloire. Il écrit directement en français Salomé pour Sarah
Bernhardt. Puis viennent les comédies qui vont faire de lui l’auteur dramatique le plus encensé de Londres et Paris : L’éventail de
Lady Windermere et, entre 1892 et 1895, Une femme sans importance, Un mari idéal et L’importance d’être constant.
En 1892,
il vit une passion tumultueuse avec Lord Alfred Douglas. Le père de ce dernier, le marquis de Queensbery, le provoque. Wilde
intente un procès au marquis pour diffamation et le perd. Un second puis un troisième procès font de Wilde un accusé, puis un
coupable. Il est condamné à deux ans de travaux forcés pour «indécence et sodomie» (mai 1895). En prison, il écrit De Profundis
et La ballade de la geôle de Reading ainsi que deux lettres sur les conditions de vie des prisonniers de 1897 à 1898. Ruiné et
amer, il fuit Londres, s’installe à Dieppe, puis à Paris et y meurt en 1900.
Thomas Le Douarec, Lord Henry
Metteur en scène prolixe, Thomas a déjà plus d’une quarantaine de productions à son actif et est aussi à l’aise
dans les tragédies que dans les comédies.
Pour ses tragédies, il faut retenir Le Cid de Corneille dans une version flamenca ; Vol au-dessus d’un nid de coucou
de D. Wasserman au Théâtre de Paris, avec Bernard Tapie et André Falcon ; Les Sorcières de Salem de A. Miller
avec Barbara Schulz ; Dommage qu’elle soit une P… de J. Ford créé au Trianon et au Palace avec Jean-Paul Rouves
; Andromaque de Racine au Chêne Noir avec Jean-Charles Chagachbanian et Natacha Amal ; Le Portrait de Dorian
Gray au Théâtre Rive Gauche.
Pour ses comédies, citons : Le Dindon de G. Feydeau, les Monty Python’s Flying circus n°1, n°2 et Le Best of, trois
spectacles adaptés des sketchs des humoristes anglais (Palais des Glaces, Théâtre de Paris, L’Européen, Théâtre
du Chêne Noir Avignon, Londres, Dublin, Festival d’Edimbourg, etc.), Des soucis et des potes, qui a triomphé pendant
2 ans et demi au Trévise ou encore l’indétrônable Arrête de pleurer Pénélope (plus d’un million de spectateurs), qui
se joue encore un peu partout, dix ans après !!! Ou encore Sex-Shop une pièce de A. Dana et M. Bourdet.
… Il s’est même essayé aux spectacles visuels et musicaux… récemment avec Le Jour où je suis devenue chanteuse
black qu’il coécrit avec Caroline Devismes ; avec Sentires, un ballet flamenco ; 1+1=2, spectacle qui mêlait danse,
© Francis Grosjean
chant et théâtre ; Le Caprice de Marianne, tour de chant de et avec Marianne James… En 2010, il aborde même
la Comédie Musicale avec Mike au théâtre Comédia qui lui rapporte trois nominations aux Molières 2011 dont
Meilleur spectacle musical. Nous lui devons aussi l’arrivée de cet « ovni » dans notre paysage théâtral Les Hommes
viennent de Mars et les Femmes de Vénus de et par P. Dewandre, qui n’a pas quitté l’affiche du Théâtre du Gymnase
pendant huit saisons (spectacle qui bat tous les records de fréquentation depuis sa première au Gymnase, a rempli
pendant 3 mois le Casino de Paris, après avoir rempli une semaine l’Olympia et un soir le Zénith de Paris).
… Soulignons sa relation privilégiée avec son auteur de prédilection et ami, René de Obaldia, dont il monte une
reprise très remarquée de son western de chambre Du vent dans les branches de Sassafras créé au Théâtre le
Ranelagh, prolongé au Petit Théâtre de Paris, puis trois nouveaux impromptus sous le titre d’Obaldiableries, au
Théâtre 14, et L’Amour à trois, montage de textes de l’auteur, créé au Théâtre de Poche Montparnasse puis repris
à la Comédie Bastille et enfin Grasse Matinée au Théâtre des Mathurins. Ce compagnonnage avec un auteur, il le
renouvelle avec Jean-Pierre About dont il avait créé la pièce Le Manège du Pouvoir en 2005 avec, entre autres,
Henri Tisot et, dernièrement, Les Ambitieux (Théâtre 14 puis Splendid).
En tant que comédien, Thomas joue, depuis 1990, régulièrement au théâtre, date à laquelle il a obtenu le «Jacques»
1990 du meilleur acteur dans un second rôle pour son interprétation dans Maledictis d’après Sacha Guitry. Depuis
cette date, il n’a cessé d’être présent sur les planches en étant mis en scène aussi bien par Th. de Peretti (Quai
Ouest de B.-M. Koltès, Paris-Plaine), que par J. Pagier (Qui a peur de Virgina Woolf ? de Ed. Albee, Th. d’Etretat puis
Centre Mathis) ou encore J. Décombe (Une nuit avec Sacha Guitry, de S. Guitry et A. Sogno, Th. Rive Gauche et Th.
Marigny ; puis dernièrement en 2015 au Festival Guitry à Cap d’Ail, Th. des Muses à Monaco) ou J.-L. Jeener (Les
Caprices de Marianne d’A. de Musset ; Bérénice de J. Racine (Th. du Nord-Ouest). Etienne Bierry l’a dirigé dans Les
Riches reprennent confiance de L.-Ch. Sirjacq (Th. de Poche-Montparnasse et tournée – Trois nominations aux
Molières dont «Meilleur spectacle») et Alain Sachs dans La Femme du boulanger de M. Pagnol (tournée, avec
Michel Galabru). Il a été également Jean dans Jean et Béatrice de C. Fréchette (Manufacture des Abbesses, Festival
d’Avignon) tout d’abord dans la mise en scène de A. Berdat puis dans la sienne.
Thomas le Douarec s’est régulièrement mis en scène en particulier dans Sur le dos d’un éléphant dont il est l’auteur,
Les Sorcières de Salem de A. Miller, Le Portrait de Dorian Gray d’après O. Wilde, Du vent dans les branches de sassafras
de R. de Obaldia, Le Manège du pouvoir de J.-P. About, ainsi que dans L’Amour à trois de R. de Obaldia. Dernièrement,
il s’est mis en scène dans Les Ambitieux de J.-P. About.
Au cinéma, il a tourné principalement avec des réalisateurs tels que Th. Sorriaux (La Dream Team), L. Jean-Baptiste
(Dieu merci), Cl. Lelouch (Roman de gare), B. Werber (Nos amis les Terriens), J. Fanten (Le Petit sanctuaire, court
métrage), D. Bourdon et B. Campan (Le Pari), S. Pavel (Les Lettres de mon moulin)… Et à la télévision avec L. ColbeauJustin (Léo Mattéi 3 – Secrets de famille), N. Herdt (Diane, femme flic – Alliances), S. Ayme (Femmes de loi – Dettes de
sang ou Clichés meurtriers).
Caroline Devismes, Sybil Vane, Sally la prostituee, La Duchesse
Comédienne, chanteuse, danseuse, musicienne (flûte traversière), Caroline Devismes participe régulièrement aux
productions musicales parisiennes. Tout d’abord sur la scène du Palace dans 50 et des Nuances, la parodie du
célèbre roman érotique par Amanda Sthers, ou encore à Bobino dans Voca People. Puis la comédie musicale Mike
au Comédia dans le rôle de Dalida (mise en scène Thomas le Douarec), puis dans Hairspray au Casino de Paris et à
Dessins de Frédéric Pineau
Bobino dans le rôle de Velma Von Tussle (mise en scène Ned Grujic), rôle tenu par Michelle Pfeiffer dans la version
filmée. Également Dorian Gray, la comédie musicale (mise en scène Th. le Douarec) au Vingtième Théâtre et au
Festival d’Avignon 2011 et 2012.
Venant du Nord-Pas-de-Calais, elle débute sa carrière parisienne dans la Compagnie Roger Louret en 1997 et
enchaîne plusieurs spectacles dont Les Années Twist, La Fièvre des Années 80 ou encore La Java des mémoires.
Elle participe aussi pendant quatre ans aux émissions « Les Années Tubes » sur TF1 présentées par Jean-Pierre
Foucault. On l’applaudit aussi dans Les Dix commandements d’Elie Chouraqui et Pascal Obispo et Les Enfants de
l’Olympia d’Odile Bastien et Thierry Sforza.
Elle écrit son propre spectacle qui rencontre un véritable succès en 2014/2015 tout d’abord à la Manufacture
des Abbesses puis au Festival d’Avignon (Théâtre du Cabestan) et enfin au Sentier des Halles : Le Jour où je suis
devenue chanteuse black, spectacle qu’elle a co-écrit et réalisé avec Thomas le Douarec.
Ses prédispositions naturelles pour la comédie la poussent à explorer plus avant le jeu dramatique. De fait, elle
entame une carrière théâtrale avec Béatrice dans Jean et Béatrice de Carole Fréchette (Manufacture des Abbesses,
Festival d’Avignon) tout d’abord dans la mise en scène de Alexandre Berdat puis dans celle de Thomas le Douarec.
Actuellement elle joue dans Les Ambitieux au Théâtre du Splendid. Puis commence une nouvelle création au
Palais des Glaces : Tout le portrait de sa mère avec, entre autres, Véronique Genest. Sa formation complète en chant, danse et comédie la conduit naturellement à devenir meneuse de revue, d’abord
dans Nuit de Folies aux Folies Bergère, chorégraphiée par Marie-Laure Philippon puis en Suisse, dans La Revue de
Genève de Pierre Naftule.
Depuis plusieurs années, elle se produit au Baiser Salé, célèbre club de Jazz parisien, avec le groupe Desktops,
dédié à la musique noire américaine du label «Tamla Motown»…
Lucile Marquis, Sybil Vane, Sally la prostituee, La Duchesse
Après être passée par le cours Florent et avoir été sélectionnée pour le prix Olga Horstig 2009, Lucile intègre
la compagnie du Lion vert créée par Nazim Boudjenah, avec lequel elle travaille sur plusieurs projets, La Cabale
du cheval Pégaséen puis La Tentation de Saint Antoine et The Sun has rendez-vous with the Moon. Elle est
actuellement en tournée avec Une très belle histoire de Théâtre avec Pierre-Etienne Royer.
Parallèlement au théâtre, elle tourne dans de très nombreux courts métrages, différents téléfilms, séries TV
(Agatha Christie, VDM, la série, Les Fées du logis, Camping Paradis...) et émissions( Les Gérard de la TV,Bateau livre...).
Fabrice Scott, Basil Hallward, le peintre
Comédien formé au Drama Center London, metteur en scène et réalisateur, Fabrice Scott est né à Montréal en
1970 dans une famille bilingue. Fabrice émigre à l’âge de 6 ans en France. Son grand-père l’amène souvent à
l’Abbey Théâtre de Dublin. Ses premiers cours de théâtre à l’annexe de l’École Florent à Bordeaux le conduisent à
fréquenter ceux qui font du théâtre dans sa région tels que Renaud Cojo ou Juliette Meyniac. Il décide d’étudier
sérieusement le théâtre pour en faire son métier et part à Londres où il est admis à la Drama Center London. Il
s’installe ensuite à Paris. Il y joue dans le théâtre privé comme dans le subventionné. Il collabore, entre autres,
plusieurs fois avec Mathieu Boisset et instaure une longue complicité avec Thomas Le Douarec. Il met aussi en
scène le spectacle Rupture, un montage chorégraphié et musical sur la rupture dans le couple.
Ses activités théâtrales sont ponctuées par des apparitions à la télévision anglaise ou française, ainsi que des
dramatiques radiophoniques.
Ses tournées européennes, notamment avec la compagnie Octogone (Le Garçon de la photographie, Ciment)
l’amènent en Italie où il demeure quatre ans et où il commence à travailler au cinéma. Il y acquiert sa troisième
langue, et y engage un travail sur la voix avec Alessandro Fabrizi et Kristin Linklater avec qui il joue en Italie et au
Portugal.
Quand il rentre en 2006 il fonde « le Club » avec Delphine Lanson. Ensemble ils développent de nombreux projets
dont plusieurs courts métrages.
Depuis, il vit à Paris et continue à travailler des deux côtés des Alpes, avec Marco Bellocchio, Anne Riita Ciccone
ou Aureliano Amadei, ou encore dans des productions anglophones telles que Romeo & Juliette de Carlo Carlei ou
L’Enquête de Tom Tykwer.
Il met en scène Les Bonnes manières d’Alan Ayckbourne au théâtre des Abbesses en 2014.
Il collabore actuellement avec la compagnie Anomalie sur le projet Entrevoir qui verra le jour en 2017 au Théâtre
Silvia Monfort.
Il enseigne aux Cours Florent dans le département « Acting in English ».
Arnaud Denis, Dorian Gray
Arnaud Denis a déjà une carrière impressionnante de metteur en scène, d’acteur et d’animateur de sa troupe, Les
Compagnons de la Chimère.
Il suit sa première formation théâtrale chez J.-L. Cochet, sous la direction duquel il participe à de nombreux
spectacles poétiques (La Fontaine, Colette…). Élève au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de
Paris, dans la classe de Dominique Valadié, il s’en échappe rapidement pour créer sa Compagnie, Les Compagnons
de la Chimère, avec le soutien de J.-P. Leroux.
Il fait ses véritables débuts en scène dans La Mouette (rôle de Tréplev) au Th. du Nord-Ouest à Paris. En 2003, avec
sa nouvelle compagnie, il met en scène et joue Harold et Maude de Collin Higgins, puis Les Fourberies de Scapin au
Théâtre du Ranelagh. Cette même année, il crée et joue aussi, seul en scène, au théâtre du Guichet Montparnasse,
un montage de sa conception : En visite chez La Fontaine, spectacle qui poursuivra sa carrière au Lucernaire.
Dès septembre 2004, il présente une nouvelle mise en scène de La Cantatrice chauve restée à l’affiche de
septembre 2004 à fin avril 2006 (rôle le Capitaine des Pompiers). Il joue en 2005 dans La Dispute (Marivaux, Th.
du Nord-Ouest) et propose ensuite, en 2006, au Théâtre du Lucernaire sa mise en scène des Fourberies de Scapin
dans laquelle il joue Scapin. Puis, au cours de la saison 2007, Arnaud Denis monte et joue dans Les Revenants
d’Ibsen au Théâtre 13. En 2008, Il reprend Les Fourberies de Scapin au Petit-Montparnasse ainsi qu’au Festival
d’Anjou. La dotation du Prix du Jury au Festival d’Anjou qu’obtient le spectacle lui permet de monter et interpréter
au Vingtième Théâtre L’Ingénu d’après Voltaire (reprise en 2009 au Tristan-Bernard). Cette même année, Les
Compagnons de la Chimère obtiennent le Prix Oulmont de la Fondation de France. A l’automne 2009, il monte,
toujours avec sa compagnie, au Théâtre 14 Les Femmes Savantes, J.-L. Cochet y interprétant le rôle de Philaminte
et lui, celui de Trissotin. L’accueil du public et de la presse est tel que le spectacle est repris immédiatement après
au Petit-Théâtre de Paris jusqu’en janvier 2010. Après une tournée triomphale en province, Les Femmes Savantes
ont été à nouveau à l’affiche du Petit-Théâtre de Paris du 28 avril au 11 juillet 2010.
En septembre 2010, il monte, avec Les Compagnons de la Chimère, Ce qui arrive et ce qu’on attend de J.-M. Besset
au Vingtième Théâtre. Succès oblige : le spectacle sera repris ensuite au Petit Montparnasse jusqu’en janvier
2011.
Du 27 juillet au 16 octobre 2011, il a interprété en solo au Lucernaire Autour de la folie, un montage qu’il a conçu
et mis en scène de textes de Maupassant, Flaubert, Lautréamont, Shakespeare, Michaux…
Puis ce fut, du 25 janvier au 12 février 2012, au Vingtième Théâtre, Nuremberg, la fin de Gœring, une pièce qu’il
a écrite et mise en scène (et dans laquelle il joue le rôle de G.-M. Gilbert). Marion Bierry le dirigera ensuite dans
Tartuffe (rôle de Damis) aux côtés de Claude Brasseur et Patrick Chesnais (Théâtre de Paris) et G. Desveaux dans le
rôle de Algernon Moncrieff de L’Important d’être sérieux (O. Wilde, adapt. J.-M. Besset, Montpellier, Th. des 13 Vents,
puis Paris, Th. Montparnasse, 2013). Michèle André lui offrira le rôle d’Alceste dans Le Misanthrope de Molière (la
Cigale).
En 2014, Arnaud Denis monte et joue Dom Juan de Molière au théâtre 14 (et festivals) avant d’être dirigé par P.
Laville dans La Pèlerine écossaise de Sacha Guitry (Théâtre Daunou).
En 2015, ce sera Claudel Barrault de P. Tré-Hardy, mise en espace par J.-P. Hané (Théâtre de Poche) puis Le Roi Lear
de W. Shakespeare, avec Michel Aumont, mise en scène de J.-L. Revol (Th. de la Madeleine).
Il est intervenant régulier pour la rubrique culture dans l’émission d’Arthur Dreyfus «Encore heureux» sur France
Inter.
Il a participé en tant que récitant à plusieurs séries de concerts avec l’Orchestre de Paris, notamment Peer Gynt
sous la direction de Paavo Jaärvi (salle Pleyel).
Parallèlement au théâtre, il joue pour la radio, le cinéma et la télévision : Monsieur Max (réal. G. Aghion), Elles et moi
(réal. B. Stora), Candice Renoir. Vivre ! (réal.Y. Marciano) Yves Saint-Laurent (réal. J. Lespert)
Arnaud Denis a reçu le Prix du Brigadier 2010.
Valentin de Carbonnières, Dorian Gray
Valentin de Carbonnières passe par les Enfants Terribles et les Cours Florent avant de rentrer au Conservatoire
National de Paris. Il travaille avec Andrej Severyn, Philippe Torreton, Christiane Cohendi, Michel Fau il sort en 2009.
En 2010-11, il travaille avec Mathieu Bertholet au théâtre de Gennevilliers et en tournée sur L’Avenir, seulement,
et plusieurs monologues de Case Studie House. Cette année-là, il joue aussi dans Le Langue à langue des chiens
de Roches de D. Danis au théâtre de l’Epée de bois à la Cartoucherie.
Il rencontre Philippe Crubézi et Catherine
Anne autour de lectures de textes au théâtre de l’Est (Dans la forêt profonde, Karine serres, cœur d’un boxeur,
Plotting).
Au cinéma, il tourne dans Pas sage écrit et réalisé par Lorraine Groleau diffusé sur Arte (prix : Clap d’or
des étudiants au Festival du Cinéma de Paris 2004).
Parallèlement, il enregistre pour France Culture des pièces
radiophoniques sous la direction de Marguerite Gateau et François Christophe et écrit un roman Graphique en
collaboration avec trois dessinateurs. Il tourne dans toute la France avec Pionniers à Ingolstadt dans une mise en
scène d’Yves Beaunesne jusqu’en avril 2012. En 2013, il a commencé les représentations de Nina avec François
Berléand et Mathilde Seigner dans une mise en scène de Bernard Murat au théâtre Édouard VII dont il vient de
terminer la tournée.en 2014. il fait l’ouverture de saison au Rond-Point avec Hétéro de Denis Lachaud mis en
scène de Thomas Condemine.
LES RENCONTRES DU VENDREDI
Tous les vendredis soir, le Lucernaire vous donne rendez-vous pour prolonger votre expérience de spectateur autour d’un
verre. Rencontre avec l’équipe artistique le vendredi 29 janvier 2016 à l’issue de la représentation.
L’agenda des rendez-vous du vendredi : www.lucernaire.fr
INFORMATIONS PRATIQUES
Le Lucernaire
53, rue Notre-Dame-des-Champs 75006 Paris
Direction : Benoit Lavigne
Le Lucernaire est bien plus qu’un théâtre. C’est aussi trois salles de cinéma Art et Essai, un restaurant, un bar, une librairie
et une école de théâtre. Il appartient aux éditions de l’Harmattan. Il fonctionne à plus de 95% en recettes propres et est
membre de l’Association de Soutien pour le Théâtre Privé.
Comment venir ?
En Métro : ligne 12 (Notre-Dame-des-Champs), ligne 4 (Vavin ou Saint-Placide) et ligne 6 (Edgar Quinet)
En Bus : Lignes 58, 68, 82, 91, 94, 96 / En Train : Gare Montparnasse
Station Vélib : 41 rue Notre-Dame-des-Champs, 75006 Paris (88 m)
18 rue Bréa, 75006 Paris (190 m)
90 rue d’Assas, 75006 Paris (350 m)
Station Autolib : 136 boulevard Raspail, 75006 Paris (250 m)
15 rue Joseph Bara, 75006 Paris (350 m)
2 Rue Péguy, 75006 Paris (350 m)
120 boulevard du Montparnasse, 75014 Paris (400 m)
Parking : Vinci Park Services, 120 Boulevard du Montparnasse, 75014 Paris (318 m)
Horaires d’ouverture
Le Lucernaire est ouvert tous les jours de l’année, sans exception.
Retrouvez les horaires de l’ensemble de nos activités sur notre site internet.
Comment réserver ?
- vos places de théâtre et de cinéma :
• sur internet : www.lucernaire.fr
• par téléphone au 01 45 44 57 34
• sur place aux horaires d’ouvertures
- pour un groupe (CE, scolaire, association) :
• par téléphone au 01 42 22 66 87 du lundi au vendredi de 10h à 13h et de 14h à 18h
• par email : [email protected]
- votre table au restaurant :
• par téléphone : 01 45 48 91 10
Accueil Handicap Sensible à l’accueil de tous les publics, le Lucernaire collabore avec des associations permettant aux spectateurs déficients
visuels et aveugles d’assister aux représentations et aux projections dans les meilleures conditions.
Pour le théâtre, contactez le Centre de Ressource Culture et Handicap pour réserver un souffleur au 01 42 74 17 87.
Au cinéma, un système d’audio description existe pour certains films, renseignez-vous sur notre site internet et à l’accueil.
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Notre environnement est fragile,
merci de n’imprimer ce dossier qu’en cas de nécessité.
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