Morpheus 34.indd - EDCAE – Silicium Organique G5 d`Irlande

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MORPHÉUS N° 34
Juillet / Août 2009
MORPHEUS LE JOURNAL QUI SORT DES SENTIERS BATTUS / Vous pouvez télécharger toutes nos publications sur : www.morpheus.fr
D
epuis une dizaine
d’années, les menaces de pandémies,
Sras, grippes H5N1
et H1N1, se répètent sans livrer tous leurs secrets
tout en profitant aux laboratoires
pharmaceutiques qui bénéficient
de la confiance aveugle des autorités sanitaires internationales et
nationales.
Pourtant, la Cour des Comptes, comme le Sénat, reconnaissent que «la politique du
médicament est inféodée aux lobbies pharmaceutiques», tandis
que «la formation et l’information
des médecins sont assurées
essentiellement par ces mêmes
laboratoires» (rapport de la Cour
des comptes sur le budget de
la sécurité sociale, septembre
2001). De plus, ces mêmes laboratoires «ne communiquent que
1 % de leurs données officielles
à l’Agence de sécurité sanitaire
des médicaments avant la commercialisation» (Pr le Duff, directeur du Crim).
Pourtant, fin avril 2003,
Santé Canada décidait déjà de
ne plus fournir l’accès habituel au
Ribavirin, l’antiviral commercialisé pour le traitement du SRAS
par le laboratoire Roche et largement prescrit jusque-là. Un
groupe de travail composé d’experts et de cliniciens du Canada
et de représentants des CDC
américains en était «arrivé à la
conclusion qu’il n’y avait aucune
preuve pour appuyer l’utilisation
continue du Ribavirin en dehors
des essais cliniques à ce
stade-ci».
(voir
documents
extraits du livre «La crise aviaire
ou la culture du mensonge», aux
éditions de Guibert, 2007).
En janvier 2004, dans un
contexte proche de la psychose
entretenue par l’OMS et relayée
par les médias, et suite à l’annonce faite par les laboratoires
Roche à l’OMS, concernant son
remède qui, à partir de son action
sur le rat, «pouvait être efficace
dans les premières phases de
la grippe du poulet transmise à
l’homme», les pays riches constituent à prix d’or des réserves
de Tamiflu® pour traiter, selon
les recommandations de l’OMS,
au moins 25% de la population.
Face au virus H5N1, le Tamiflu
se révéle chez l’homme guère
plus efficace qu’un placebo, mais
avec de nombreuses
résistances ainsi que
des mutations inquiétantes au Japon (Voir
brochure CRI-VIE en
page 2).
A peine l’hypothétique menace de
pandémie H1N1 officiellement reconnue fin
avril dernier, OMS et
CDC nous annoncent
48 heures plus tard,
que le Tamiflu est efficace contre le virus
H1N1, alors qu’un autre
H1N1 lui est majoritairement résistant, selon
le Pr Sylvie Van der
Werf, directrice d’une
unité de recherches à
l’Institut Pasteur et du
Centre national de référence pour la région
Nord (Le Figaro, 4 juin
2009)…
D’autre part, les
campagnes de vaccination «préventives» contre le
virus H5N1, instaurées dès 1997
en Chine puis, en 2005, en Chine,
en Indonésie et au Vietnam, ont
été un échec. Ces trois pays,
ainsi que l’Egypte importatrice
de poulets, notamment chinois,
n’ont toujours pas maîtrisé la
grippe aviaire H5N1, tant chez les
volailles que chez l’homme (67
cas humains en Indonésie, 16 cas
au Vietnam, 18 en Chine et 44
cas en Egypte depuis novembre
2006) (voir brochure CRI-VIE).
Comment, dans ces conditions, tandis qu’ils sont particulièrement mutagènes, peut-on
espérer maîtriser ces virus H5N1
et H1N1 par les antiviraux et la
vaccination, qui peuvent, de surcroît, favoriser la sélection de
germes plus virulents par le constant phénomène de commutation,
et alors que la vaccination contre
la grippe saisonnière n’a jamais
apporté la preuve de son efficacité? (voir brochure CRI-VIE).
De plus, la survenue de nouvelles menaces de pandémie ne
peut être une surprise pour les
professionnels de la santé publique. Les conditions d’élevage
intensif constituent en effet «des
réacteurs biologiques à microbes» (voir brochure CRI-VIE),
raison pour laquelle l’American
Public Health Association a
juillet 2009 MORPHÉUS N°34
appelé à un moratoire sur les élevages industriels dès 2003. Le
Guardian du 27 avril dernier, le
Los Angeles Times du 28 avril
et The Independant du 1er mai,
n’ont d’ailleurs pas hésité à montrer du doigt les usines à virus
de l’industrie agro-alimentaire, et
notamment une méga-porcherie
produisant près d’un million de
porcs par an et appartenant à
une multinationale américaine,
le groupe Smithfield venu au
Mexique pour fuir des problèmes judiciaires aux USA (22 000
poursuites) et s’établir «dans des
endroits habités par une population fragile et facile à faire taire».
Cette entreprise est située à 8 km
de La Gloria, où le premier cas
de grippe a été observé chez
un enfant qui a contracté la maladie le 2 avril. Parmi les 2 243
habitants de La Gloria, 1 800
d’entre eux avaient présenté une
affection respiratoire aiguë, trois
enfants en étant décédés, alors
que la moitié des habitants du
village vit et travaille à Mexico
durant la semaine. Une équipe
d’experts de l’ONU, déléguée sur
place début mai, devait tenter de
déterminer le lien éventuel entre
la nouvelle souche H1N1 et cet
élevage de porcs...
Déjà les seuls à tirer les
bénéfices de la «spéculative»
menace bioterroriste en
2001, ainsi que le
signalait le Washington
Post dans son édition
du 5 décembre 2002,
les fabricants de vaccins et les laboratoires
Roche et GlaxoSmithKline seraient-ils les
grands vainqueurs de
«la» pandémie, inéluctable pour certains
experts en vue, l’OMS
et bien entendu les
laboratoires ?
Selon le Journal
du Dimanche du 30 mai
dernier, la France
s’orienterait ainsi vers
une campagne de vaccination contre la grippe
A (H1N1) à l’automne,
pour un coût total d’un
milliard d’euros. Après
avoir commandé 50
millions de doses à
GlaxoSmithKline,
la
France devrait en commander 50 autres millions à Sanofi et
Novartis ; ces trois labos ayant
par ailleurs reçu des commandes des USA, de la Grande-Bretagne…
Dans cette optique de
massive double campagne de
vaccination contre la grippe saisonnière et la grippe H1N1,
recommandée pour tous par le Pr
Sylvie Van der Werf (Le Figaro,
4 juin 2009) - et peut-être rendues obligatoires - , le citoyen a le
droit de pouvoir apprécier le réel
bénéfice/risque de tels vaccins,
qui n’ont jamais fait la preuve
de leur efficacité au niveau de
la grippe saisonnière, alors que
dans les menaces de pandémies,
comme en 1976 aux USA, leur
utilisation a dû être suspendue
devant les centaines de décès et
de paralysies provoqués (voir bro-
SOMMAIRE
Vaccination Systématique!?..........1
Edito : Remède Pire que le Mal.....2
Alerte de l’Association CRI-VIE......2
Rumeur de Moscou : Ivashov.........2
Demure : Demeuré?.........................2
Face au Terrorisme Vaccinal du
N.O.M. Christian Cotten..................3
Bilderberg 2009................................4
Ecologie au Service du NOM.........5
L’OMS Censure L’Impact du
chure CRI-VIE), tandis que par
le constant phénomène de commutation, de telles vaccinations
peuvent favoriser la sélection de
virus plus virulents et agressifs.
L’association Cri-vie, qui prône
une recherche et une information transparentes en matière de
santé, entend défendre les intérêts légitimes des citoyens. C’est
pourquoi, après avoir reçu le
résumé des caractéristiques du
vaccin, nous ne manquerons pas
de réaliser des expertises indépendantes - européenne et française - pour nous assurer de son
absence de dangerosité et de sa
totale sécurité. La directive européenne sur le droit à la consommation de juillet 1985 est on ne
peut plus claire en la matière,
en précisant qu’«un produit est
défectueux, dès qu’il n’offre pas
la sécurité à laquelle chacun peut
légitimement s’attendre».
Plutôt que de se focaliser sur
les seuls vaccins et antiviraux dont l’efficacité, pour les uns et
les autres, n’a encore jamais été
démontrée -, il serait judicieux de
faire appel à des méthodes d’approche et de traitement qui ont
fait leurs preuves, tel l’hygiène de
vie (qui ne se limite pas à l’indispensable lavage des mains),
le chlorure de Magnésium, les
huiles essentielles… sans oublier
la confiance - reposant sur une
information transparente - puisque la peur s’avère plus contagieuse que tous virus ou
bactéries.
Dr Marc VERCOUTERE
Président de la CRI-VIE.
CRI-VIE, 3 bis rue Henri Faisans
64000 PAU - tél : 05.47.41.50.22
mail : [email protected]
Nucléaire..........................5
Obama Grand Illusionniste...........5
Anciens de la NSA, CIA, FAA, FBI Réfutent la Version Ofcielle du 11/09.....5
Sarkozy Hué au Gabon....................5
Révolution Surunitaire.......................6
L’Antigravité pour les Nuls..............7
Le Terrible Secret de Tim Geithner....8
Reproduction autorisée
avec mention de la source
MORPHÉUS N°34
Parution bimestrielle © 2004-2009
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VA C C I N AT I O N
A LERTE
L
Services de Santé de la Banque
DE L’ASSOCIATION CRI-VIE Mondiale en Folie ou Incompétents?
’Association CRI-VIE se
constitue
en
Cellule
Citoyenne de Veille Sanitaire. Son objet est de vous
informer sur les risques pandémiques avérés ou fictifs mais
également sur les risques et conséquences d’une vaccination systématique. Cette dernière, si elle
est imposée en Occident, fera
l’objet d’études concernant les
phénomènes de commutation liés
à l’usage de virus atténués dans
les vaccins ainsi que les effets
mutagènes des antiviraux type
Tamiflu et autres. En clair, si une
pandémie virulente surgit après
une vaccination de masse contre
la grippe bénigne H1N1, la relation de cause à effet sera établie
et engagera ipso facto la responsabilité des politiques à l’origine
de telles mesures sanitaires. Particuliers et associations pourront
alors se porter partie civile dans
des procès contre l’Etat voire
contre des institutions comme
l’OMS.
Par ailleurs, CRI-VIE informe
les citoyens sur les mesures sanitaires à prendre en cas de pandémie. De plus, il vous sera utile
de connaître quelle attitude avoir
et quelles dispositions prendre si
les autorités vous imposent de
signer un document pour refus
de vaccination. Ce fichage en
règle n’aura pas lieu si vous
suivez les recommandations de
CRI-VIE. En vertu du droit européen qui supplante même des
lois d’exceptions du gouvernement français vous disposerez de
solutions...
Les informations de CRI-VIE
passent quotidiennement sur
Radio Morphéus que vous
pouvez écouter sur internet à
l’adresse :
www.radio-morpheus.com.
La radio permet une très
Edito
UN REMEDE
PIRE QUE LE MAL!
T
MOND IALE
rente fabricants de vaccins dont Novartis, Sano,
Solvay, GSK se sont réunis à
Genève sous l’égide de l’OMS.
L’objectif afché est clair : produire 4,9 milliards de doses
vaccinales contre le H1N1. De
telles dispositions face à la
grippe A ne se justient pas,
dans la mesure où ce virus
grippal n’est pas plus virulent
qu’une grippe classique. La
couverture médiatique de
cette pandémie est afigeante, le passage au niveau
d’alerte 4, 5 puis 6 est tout
aussi ridicule. Alors s’agit-il
seulement d’une affaire de
restructuration du monopole
mondial de la santé? S’agit-il
de sauver nancièrement des
groupes destinés à se partager
le gâteau mondial de la Santé
du Nouvel Ordre Mondial? Les
milliers de milliards destinés à
ces groupes pharmaceutiques
sont ponctionnés sur le budget
des états et les contribuables
vont en être pour leur frais
économiquement et peut-être
aussi sanitairement.
composition génétique afin de
déterminer si l’origine est naturelle ou artificielle.
4°) Développement d’informations radiophoniques, médiatiques,
communications,
publications et autres pour informer nos concitoyens des résultats.
grande réactivité pour mieux vous
informer au jour le jour. Radio
Morphéus en est à ses tous
débuts mais elle est opérationnelle pour une information
citoyenne d’urgence dans une
telle situation. Nous y travaillons
techniquement et consciencieusement.
Parallèlement, CRI-VIE tiendra un cahier des charges rigoureux dans d’autres domaines.
Quelques moyens financiers sont
déjà parvenus à cette Cellule
Citoyenne de Veille Sanitaire mais
ils demeurent largement insuffisants pour les recherches sur les
solutions vaccinales :
1°) Recherche de tout produit nanotechnologique ou cristaux informés qui ont pour
«habitude» de se loger au niveau
du cerveau. Cette analyse
requière l’usage d’un microscope
électronique par un physicien
chevronné…
2°) Recherche de tout
produit chimique, métallique,
génétique, adjuvant type MF59
potentiellement dangereux pour
le système immunitaire.
3°) Recherche sur les souches des nouveaux virus et leur
Ad ju v a n t MF 5 9
e t Co mmu ta tio n
Les nouveaux vaccins
auront comme adjuvant du
MF59, dont des études récentes révèlent qu’il provoque des
maladies auto-immunes chez
le rat (type sclérose en plaques, lupus, arthrite). Ce fait est
d’autant plus grave que nous
allons aussi être confrontés au
phénomène de commutation
du virus. La commutation désigne le passage du patrimoine
génétique d’un virus mort ou
atténué, à des cellules saines
qui peuvent alors reproduire
une forme virale mutante plus
virulente et tueuse. Ce phénomène est reconnu par de plus
en plus de médecins et chercheurs. Les antiviraux accentuent également les processus
de commutation, accélérant
la mutation des virus.
En vaccinant et en utilisant
par exemple du Tamiu, vous
avez une formule explosive qui
fait de votre corps un véritable incubateur. Le virus atténué du vaccin transmet son
patrimoine génétique à des
cellules saines. Cette commutation est favorisée par les antiviraux. Pire encore, l’adjuvant
MF59 créant des déciences
immunitaires, il amène le vac-
juillet 2009 MORPHÉUS N°34
Il nous semble évident que
nous ne pouvons avoir d’impact
que si nous présentons des informations purement scientifiques.
Le débat sur les vaccinations
n’est en rien et n’a jamais été un
simple débat d’opinion. C’est un
problème scientifique qui requiert
les données les plus objectives
possibles. Aucune idéologie ne
saurait être sous-tendue par cet
épineux problème. Seules des
données claires vérifiables et vérifiées feront pencher la balance
vers une politique sanitaire digne
de ce nom.
Si vous souhaitez aider pour
la mise en œuvre de cette Cellule Citoyenne de Veille Sanitaire,
scientifiques, médecins, laborantins, simples citoyens, associations, entreprises, agents de la
sûreté nationale ou membres de
l’armée, vous êtes tous les bienvenus.
La première brochure d’information citoyenne de CRI-VIE
est présentée ci-dessus. C’est
un document de 50 pages qui
retrace l’historique de l’apparition
des virus Sras, H5N1 et H1N1
ainsi que la gestion du traitement par antiviraux et vaccins.
Elle relate également les dispositions à prendre en cas d’obligation vaccinale maquillée.
P
our le Dr Bernard
Demure, directeur des
services de santé de la
Banque Mondiale, la course
à l’arme vaccinale et la
constitution de stocks d’antiviraux se justifient parce
que «nous n’avons pas
d’autre choix que d’être
préparés», tout en reconnaissant que «la réelle difficulté tient à ce qu’on ne sait pas à quoi il s’agit de
faire face […] la question clé est de modifier les comportements. Au-delà de ça, espérons que la chance
sera de notre côté!»
En clair, il faut se préparer sans savoir «à quoi il
s’agit de faire face», en comptant sur la chance! C’est
une politique de santé aveugle, qui semble ne pas faire
cas de données scientifiques établies depuis des lustres,
mais propose des stocks de médicaments tout simplement parce qu’ils existent. C’est inepte!!!
Par ailleurs, lors de la précédente crise H5N1, David
Stout, président des opérations pharmaceutiques du
groupe GlaxoSmithKline, avait déclaré qu’il était «très
inhabituel» qu’un gouvernement commande un produit
qui n’a pas encore reçu les approbations sanitaires,
comme c’est le cas pour ces vaccins…
CRI-VIE brochure d’information sur le H1N1 (12,00€)
Paiement à l’ordre de :
CRI-VIE, 3 bis rue Henri
Faisans - 64 000 PAU
tél : 05.47.41.50.22
ciné à ne plus pouvoir lutter
contre un virus mutant. Nous
avons là, avec les directives
de l’OMS, la mise en place
de dispositions sanitaires qui,
loin d’endiguer une pandémie, risquent au contraire, d’en
provoquer une. Les remèdes
employés sont si mutagènes
et si déstabilisants pour le système immunitaire, qu’ils vont
produire des souches virales
mutantes non contrôlées et
non contrôlables.
Si ce programme est appliqué à la lettre attendez vous
à des grippes B, C, D jusqu’à
Z. Comme d’habitude, les
autorités sanitaires justieront
la vaccination systématique
par les conséquences même
de cette vaccination. Nous
aurons alors, comme en 1918
lors de la grippe espagnole,
une pandémie dont la source
viendra des vaccinés même.
Justier une politique sanitaire par les conséquences
désastreuses de cette même
politique est malheureusement
courant. Mais tous les individus
de cette planète ne sont pas
obligés de marcher sur la tête,
surtout quand l’enjeu est leur
survie…
Frédéric Morin
2
LA RUMEUR DE MOSCOU
MOSCOU, 25 mai 2009 - RIA Novosti.
L
e virus de la grippe A/H1N1 a été créé de façon artificielle
pour réduire la population de la Terre, estime Leonid Ivachov,
ancien chef de la Direction de la coopération militaire internationale du ministère russe de la Défense et président de l’Académie
des problèmes géopolitiques.
«De mon point de vue, l’attention soutenue portée au problème
nucléaire permet de détourner l’opinion publique des principales
menaces que sont les épidémies», a déclaré lundi à RIA Novosti
M.Ivachov.
Selon lui, toutes les épidémies actuelles ont été créées dans
des laboratoires. «Les médecins militaires détiennent la formule de
la pneumonie atypique qui a donné naissance au virus. La grippe
aviaire a également une origine artificielle», a noté l’expert.
Commentaires : «L’expert ne nous parle cependant pas de Commutation, pourquoi???
Sources : http://fr.rian.ru/world/20090525/121733869.html
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VA C C I N AT I O N
MOND IALE
F AIRE FACE AU TERRORISME VACCINAL DU N.O.M.
S
ans doute depuis la nuit
des temps, sans doute
dans toutes les tribus
et cultures du monde,
la médecine est une affaire de
sorciers, magiciens, chamans,
hommes-médecines : la fonction
sacerdotale, représentée par l’archétype gaulois du druide de
bande dessinée, donne tout
autant prêtres, curés, imams, rabbins que magistrats en robes
noires et médecins en robes blanches.
Sans doute depuis la nuit
des temps, magiciens, sorciers
et herboristes - médecins et guérisseurs - ont aidé leurs frères
humains à mieux vivre et mieux
mourir. Dans le même temps, les
mêmes - ou quelques-uns d’entre eux, «jouent aux cons». Autrement dit, de toute éternité, l’on
trouve autant d’herboristes-guérisseurs que d’herboristes-empoisonneurs, par intention ou par
erreur, mais trop souvent menteurs, voleurs et tueurs.
Même si l’humain a su évoluer en matière de technologies
de maîtrise de la nature, il n’est
guère difficile de constater que
l’humain n’a guère grandi en
sagesse : dans nos sociétés
modernes, les herboristes-empoisonneurs continuent leurs sinistres offices. Aujourd’hui, ils
s’appellent laboratoires pharmaceutiques multinationaux et fabricants de vaccins ou de semences
génétiquement modifiées.
Si la taille et les moyens
d’actions ont changé, les principes fondamentaux sont restés
les mêmes : fantasme mégalomaniaque de toute puissance,
sentiment de vérité, prétention
démesurée à des pouvoirs magiques prétendus scientifiques.
Nous avons au moins pour partie
dans nos sociétés modernes
retiré au sorcier ou curé de village le pouvoir magique de guérir
mais nous l’avons donné en lieu
et place aux représentants des
religions prétendument rationnelles.
Nombre de scientifiques dissidents ont démontré depuis
longtemps que les systèmes
scientifiques officiels fonctionnent
en réalité comme des religions,
sous leurs plus mauvais aspects
: croyances limitantes et illusoires, dogmes rigidifiés et obsession du contrôle des corps, des
sexes et des consciences, qui
se traduisent notamment par la
chasse aux chercheurs créatifs
hors normes.
Et les résultats commencent
très sérieusement à devenir
catastrophiques : les alchimistes
noirs de la science, enfermés
dans leurs systèmes de croyance
et leur avidité financière, nous
fabriquent
depuis
quelques
décennies ce que je nommerai
«l’enfer des molécules» : vaccins-poisons, OGM, pesticides et
autres herbicides, sans parler des
milliers de produits industriels, qui
se retrouvent dans nos assiettes
et nos égouts, nos champs et
nos corps, entraînant des nouvelles générations d’enfants bien
plus souvent et lourdement
malades que celles de leurs
parents et provoquant de
façon de plus en plus
évidente une défertilisation
des mâles de l’espèce
humaine.
Un des premiers problèmes politiques de l’heure
devient ainsi à mes yeux
celui-ci : comment guérir
la médecine et les médecins, comment soigner les
chimistes fous, comment
arrêter les délires paranoïaques de toute puissance
des scientifiques sans éthique, qui n’hésitent plus
désormais à utiliser les
moyens les plus extrêmes
pour continuer à faire tourner un système de santé qui
est devenu un système de
création de maladies et de
mort?
Les hôpitaux, dont
nous sommes parfois si
fiers, certes, savent faire
de très beaux miracles, du
côté, notamment, des chirurgies d’urgence ou de
réparation vitale des accidents
de la nature et ils savent ainsi
sauver de nombreuses vies. Mais
combien de malades et de morts
liés aux maladies nosocomiales,
aux croisements inattendus des
effets secondaires de milliers de
médicaments dont plus personne
ne peut raisonnablement anticiper les croisements hasardeux
et malsains ? Combien d’handicapés suite aux campagnes
de vaccinations massives contre
l’hépatite B, ces dernières décennies ? Combien de vieillards qui
sombrent dans Alzheimer pour
avoir trop consommé de mercure,
de formol et d’aluminium dans
des vaccins anti-grippaux parfaitement inutiles, sauf pour les
éliminer des comptes sociaux ?
«Si vous voulez tuer vos enfants
et vieillards en surnombre, vaccinez-les!» Tel pourrait être le
slogan des idéologues malthusiens obsédés de la réduction de
la population de la planète terre.
Avez-vous remarqué ce nom si
subtil que porte l’un des derniers vaccins des magiciens noirs,
censé protéger les femmes du
cancer du col de l’utérus? Le
Garde-Asile. Ce mot en dit bien
long sur l’inconscient de quelques-uns. Vaccin que l’on injecte
à force de mensonges et de manipulations aux jeunes adolescentes à partir de 12 ans. Plusieurs
en meurent en 24 heures, aux
États-Unis ou en Europe. Les promoteurs de ces vaccins savent
bien qu’un certain pourcentage
de morts ou d’handicapés est
au rendez-vous, au nom du principe d’un rapport bénéfices-risques qui conduit à la certitude
d’un certain nombre de morts
face à une vague probabilité de
quelques malades vingt ans plus
tard.
J’affirme très posément
qu’un certain nombre de chimistes et de médecins de cette
planète organisent en toute conscience et sans état d’âme la mort
programmée de milliers de victimes des vaccins-poisons, OGM
juillet 2009 MORPHÉUS N°34
et autres «molécules de l’enfer»,
qui nous sont imposés par le
processus cyclique manipulatoire
: création d’un faux problème peur - solution industrielle marchande.
Et ce, sur la base du même
raisonnement eugéniste qui a justifié idéologiquement les camps
de la mort qui resteront la marque
du XXème siècle : «éliminons
les humains en surnombre en
empoisonnant les plus faibles, ce
sera toujours plus discret que les
bombes ou les massacres à la
machette et l’humanité la plus
pure sera ainsi sauvée…».
Qui accompagnait Petit Nicolas le 9 mars dernier à Mexico
lors de son séjour officiel chez
un des banquiers parrains de la
mafia mexicaine ? Quelques dirigeants des laboratoires SanofiAventis-Pasteur, qui signaient ce
même jour un contrat de 100 millions d’Euros pour la construction
d’une usine de vaccins antigrippaux. Quelques jours avant la
«découverte» d’un providentiel
virus mexicano-porcin. Avant hier,
la presse nous annonçait une
campagne inégalée à ce jour de
vaccination massive et obligatoire de toute la population occidentale pour l’automne prochain.
Avec quoi les herboristes fous de
Sanofi-Pasteur ont-ils drogué les
cerveaux de leurs spécialistes en
prospective pour qu’ils soient si
forts : prévoir, avant même que
l’on sache quoi que ce soit sur
ce virus humano-porcino-aviaire,
qu’il fallait construire dès maintenant l’usine de fabrication d’un
vaccin qui n’est pas encore
découvert pour une grippe - le
rhume banal de nos hivers, désormais rebaptisé par Les Guignols
de l’Info «la grippe Sanofi»portée par un virus que la planète
entière ignore encore superbement, malgré les quelques chiffres alarmants mais sans aucun
fondement sérieux délivrés par
les discours officiels?
3
Ce que je trouve particulièrement réjouissant dans
cette histoire-là est la
vitesse à laquelle le mensonge est dévoilé, grâce
aux scientifiques dissidents
et à Internet : plus un seul
citoyen qui fait aujourd’hui
l’effort de s’informer lucidement ne peut croire ce que
racontent les discours officiels de la santé et leurs
fidèles serviteurs les «journalistes» : c’est tout de
même une belle réussite
de cette volonté farouche
de se libérer du Nouvel
Ordre Mondial qui anime
tant d’humains désormais.
de l’histoire de la pensée, mais
nous y avons gagné les sciences laïques et leurs technologies
profanes, qui nous ont offert tous
ces prolongements de nos corps,
pieds et mains, yeux et oreilles,
cerveaux, sexes et langues…
dont nous jouissons chaque
jour.
Force est donc de faire
ce constat : le peuple des
citoyens libres et souverains ne peut plus accorder confiance à ses élites,
y compris et surtout peutêtre ses élites scientifiques
: trop de mensonges, trop
de violences, trop de poisons, trop de morts.
Et la médecine est ainsi
devenue masculine : militaire et
chirurgicale, pour faire repartir
à la guerre les corps meurtris,
puis industrielle et enfin commerciale et financière. Certes, les
médecines masculines sont indispensables dans les situations
d’urgence. Mais ce sont les médecines féminines - dites médecines
douces, naturelles, alternatives
- qui, seules, savent prévenir et
accompagner avec les indispensables énergies de l’amour et de
la conscience vers la guérison. Il
faudra bien un jour prochain réussir à réconcilier ces médecines
féminines et les médecines masculines, si nous voulons échapper aux violences faites à nos
corps par les folies collectives.
La santé est d’abord un chemin
intérieur et non pas un «miracle» que médecins et guérisseurs
nous offriraient par leurs savoirs
: mais rien ni personne ne peut
ni ne doit nous obliger à accepter les atteintes à l’intégrité de
nos corps que fabriquent nos
industriels chimistes et autres, en
empoisonnant air, terres et mers
à coups de chimies folles ou d’ondes électromagnétiques qui tuent
nos neurones.
Il se pourrait que la sortie
de cette rupture de confiance entre citoyens et élites
scientifico-médicales soit à chercher du côté des femmes.
Il fut une époque, en ces
beaux pays d’Europe, lorsque les
mâles barbares de l’Inquisition
Catholique et Romaine brûlaient
les femmes sur les places des
villages les jours de fête du Saigneur (avec un «a») au motif
de sorcellerie, où le champ de
la santé était essentiellement le
privilège des femmes, pour une
raison fort simple : ce sont les
femmes, jusqu’à révision de ce
réel-là, qui portent les enfants,
leur donnent naissance et veillent
à leur santé tout au long de leur
vie.
C’était aux temps obscurs où
le Scientifique n’était pas encore
séparé du Mystique.
Oh, certes, avec cette séparation-là nous avons perdu les
beautés des philosophes scientifiques qui ont fait les grands noms
Dans le champ de la santé,
les femmes accoucheuses, faiseuses d’ange, sorcières-guérisseuses, prostituées sacrées…
ont ainsi perdu leurs pouvoirs sur
les corps des autres, au profit des
mâles scientifiques, ingénieurs
en chimie ou chirurgiens militaires.
Christian Cotten
Président de Politique de Vie
extraits du discours du 1er juin
2009.
intégralité du texte sur :
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B ILD E R B E R G
B ILDERBERG 2009
Gestion mondiale de la santé, la finance, traité de Lisbonne en force, destruction préméditée de l’économie...
S
elon le journaliste d’investigation, Jim Tucker,
l’agenda Bilderberg 2009
a sélectionné comme
priorités la création d’un ministère
mondial de la santé, d’un ministère mondial de la finance, ainsi
que de fomenter une dépression
économique courte. Tucker a participé au débat sur Alex Jones
Show, et a dit que l’ancien premier ministre suédois, un participant assidu des conférences de
Bilderberg, Carl Bildt, a fait un discours prônant la transformation
de l’OMS en ministère mondial
de la santé, du FMI en ministère
mondial des finances, tous deux
sous les auspices de l’ONU. On
peut noter que cela va dans le
sens de la décision prise en début
d’année au G20, sur le renforcement des pouvoirs du FMI et sur
le tapage médiatique fait sur la
«pandémie» de grippe porcine et
la place dévolue à l’OMS sur le
devant de la scène politique internationale dans cette histoire.
Participe à cette campagne
pour effrayer l’opinion publique
mondiale, le co-fondateur de
Google, Larry Page. Selon le quotidien britannique le Telegraph, il
aurait dit, pour justifier la rétention des données personnelles
plus de six mois (maximum autorisé par l’UE) : «Le fait d’avoir ces
données personnelles a beaucoup de valeur. Moins on gardera de traces comme celles-là,
plus on aura de chances de tous
mourir». Selon lui, Google serait
empêché de prévoir avec succès
la propagation des maladies et
d’épidémies comme la grippe porcine. Le PDG de Google, Eric
Schmidt, a participé à la conférence du groupe Bilderberg en
2008. Récemment, il a déclaré :
«historiquement, quand les marchés commencent à être réglementés, le niveau d’innovation
ralentit dramatiquement». Déclaration en phase totale avec le programme mondialiste Bilderberg.
De plus, restreindre les libertés
individuelles par la collecte et
l’utilisation des données personnelles sur le net, fait partie des
actions soutenues par les Bilderberg afin d’asseoir leur hégémonie mondiale.
Selon Tucker, ces choix
constituent un pas de géant vers
la création d’une gouvernance
mondiale, planifiée par Bilderberg, mais retardée ces dix dernières années. Pour centraliser
leurs pouvoirs, les Bilderberg,
avec les médias à leur disposition, comptent mettre l’accent
sur les problèmes créés par la
menace de pandémie et la crise
économique, comme moyens de
justifier la centralisation des pouvoirs.
Taxe carbone mondiale, Traité
de Lisbonne ratifié
Bildt, toujours selon Tucker,
a animé une discussion sur le
réchauffement climatique, avec
en toile de fond la création d’une
taxe sur les émissions mondiales de carbone, un point majeur
sur l’agenda des Bilderberg. La
taxe mondiale sera directement
versée à l’ONU d’abord discrètement puis introduite graduellement, sous forme, par exemple,
d’une taxe à la pompe. Ce serait
à l’ancien candidat à la présidentielle américaine de 2004, et
actuel sénateur US, John Kerry,
que reviendrait la mission de
pousser pour une législation type
taxe carbone à l’échelle mondiale. Kerry ne figure pas sur la
liste des participants à la conférence de cette année, mais
on fait état d’une participation
«clandestine». Le site Foreign
Policy.com note que le «sénateur John Kerry (D-MA) qui est à
la tête du Comité des Relations
Etrangères du Sénat, voyage à
l’étranger depuis vendredi». Kerry
a participé au Forum Economique Mondial, de même qu’à une
réunion préparatoire à Rome, sur
des négociations sur le changement climatique, qui doivent avoir
lieu en fin d’année à Copenhague, avec pour objectif de mettre
en avant ce point de l’agenda Bilderberg qu’est la taxe carbone.
Kerry a joué un rôle central dans
la proposition faite à l’Administration Obama, d’une taxe sur toute
émission de dioxyde de carbone
par les êtres humains. Taxer les
personnes pour respirer est un
élément crucial de l’agenda des
Bilderberg. Ainsi, le président du
conseil d’administration de BP,
Peter Sutherland, présent cette
année à la conférence Bilderberg
en Grèce, a déclaré vouloir exploiter la campagne de peur développée à propos du réchauffement
climatique, pour augmenter les
taxes et contrôler les modes de
vie des Occidentaux.
Traité de Lisbonne en force
Concernant le Traité de Lisbonne,
scellant l’instauration du diktat
libéral mondialiste dans l’UE, et
LES MEDIOCRES AUTOPHAGES
L
e 22 mai, la Pravda publia un article
d’opinion de Hans Vogel intitulé : «Bilderberg, le meeting des médiocres». La
question de la prétendue «excellence» de ce
type de groupes est férocement remise en
cause. Basés en fin de compte sur le pouvoir
de l’argent et sur le pouvoir politique, ils sont
globalement assimilés à une cohorte de médiocres s’auto-congratulant.
Quel est le bilan de la «gouvernance»
imposée dans le monde, comme en Europe et
en France, par ces «élites» auto-proclamées
dont des groupes tels que le Cercle de Bilderberg ou la Commission Trilatérale entendent
être des bons représentants? Où est la réalité
de l’excellence auto-proclamée de cette «politique unique»?
juillet 2009 MORPHÉUS N°34
Mais de tels objectifs ont
semé un vent de panique chez les
mondialistes, qui craignent que
la situation ne leur échappe et
qu’ils perdent ainsi le contrôle du
monde. Dans l’Agenda distribué
avant la conférence auquel a eu
accès Estulin, certains points y
sont clairement détaillés. Ainsi,
les investisseurs, animés d’une
fausse euphorie de reprise de
l’économie, sont poussés à réinvestir massivement dans le système, prélude à «de vastes pertes
et de graves difficultés économiques dans les mois à venir»,
car les marchés actuellement à
la hausse vont de nouveau plonger. Selon Estulin, les manoeuvres effectuées récemment, dit
de «tests de stress des banques»
ne sont qu’un «canular éhonté
basé sur l’estimation irrationnelle
que la situation économique ne
peut être pire que ce qu’elle est
déjà.»
ce malgré le NON des peuples
français, hollandais et irlandais,
Tucker a dit que Bilderberg a
l’intention d’envoyer des représentants en Irlande, pour parler
aux dirigeants politiques afin de
faire adopter le traité. On a pu
déjà noter récemment dans les
médias propagandistes, l’apparition de résultats de sondage donnant le Oui à 52% en Irlande,
lors d’un prochain vote qui devrait
avoir lieu d’ici la fin de l’année. Les
Bilderberg ont également prévu
une campagne de diabolisation
contre des groupes anti-UE, tel le
parti Libertas de Declan Ganley.
Destruction de l’économie
mondiale avec préméditation
Tucker a confirmé l’information, d’abord révélée par Daniel
Estulin, que les Bilderberg ont
discuté pour décider s’il fallait
faire plonger rapidement l’économie ou s’en tenir à une longue
dépression agonisante. Selon lui,
«Geithner et Carl Bildt ont préconisé une récession plus courte
et non pas une récession de 10
ans... pour partie à cause du fait
qu’une récession de 10 ans ferait
Les groupes dits de réflexion des «élites»,
les «think tanks», les clubs de «décideurs»...
ont proliféré dans l’après-guerre. Ils ont pris
une importance croissante depuis les années
1970. Objectif affiché : aider à la «bonne gouvernance». En réalité, le débat citoyen a été
systématiquement court-circuité au profit de
ces cercles restreints, et la politique «grand
public» est devenue une sinistre fiction.
La «gestion» s’est progressivement éloignée de tout possible contrôle de la part des
«petits citoyens».
Trois décennies plus tard, le monde se
trouve confronté à une crise économique et
financière sans précédent.
Hans Vogel constate que ces ardents défenseurs d’un prétendu «libéralisme» ne prêchent
pas avec l’exemple.
On a affaire pour l’essentiel, à des politi-
du tort aux industriels du groupe
Bilderberg, et bien qu’ils souhaitent avoir un ministère mondial
de la main-d’oeuvre et des finances, ils veulent continuer à gagner
de l’argent. Une récession aussi
longue leur coûterait beaucoup
d’argent, car personne n’achèterait leurs produits manufacturés...
le penchant c’est de faire en sorte
qu’elle soit courte».
Les Bilderberg craignent de
perdre le contrôle dans un
monde plongé dans le chaos
Selon Tucker, la réunion du
groupe Bilderberg de cette année
s’est
déroulée
dans
une
ambiance morose, car géopolitiquement, «les choses se présentent mal pour eux, les Américains
répondent, les Européens répondent, mais leur programme reste
bloqué».
Selon le journaliste d’investigation, Daniel Estulin, dont les informations obtenues de l’intérieur
de la conférence se sont toujours
avérées exactes, les Bilderberg
projettent de détruire l’économie
mondiale et de réduire de 2/3 la
population mondiale.
ques, à des «gestionnaires», à des représentants de milieux financiers dont on ne peut
qu’acter l’échec historique... En clair, à des
représentants typés de la politique qui a conduit à la crise actuelle.
Depuis les années 1980, les gouvernements de l’Europe occidentale ont systématiquement soutenu les délocalisations, y compris
du travail intellectuel et dans les domaines de la
recherche et de la technologie. De même, des
services publics stratégiques comme l’éducation, la recherche et la santé ont été les cibles
d’attaques d’une virulence croissante depuis
la même période.
Plus qu’à du «libéralisme», on a affaire à
la mise en place d’un véritable pouvoir féodal
des oligarchies financières et des coupoles
«gestionnaires».
4
L’une des principales préoccupations des Bilderberg, c’est
que la situation dégénère au
point qu’ils finissent par perdre
le contrôle de la planète.
Selon Estulin, la crise économique pourrait devenir telle que
sur une ou deux générations, on
pourrait assister à une réduction
drastique des populations, de 2/3
environ. Cela pourrait se faire par
le biais de famines et pandémies à grande échelle, introduisant dans les calculs des élites
des inconnues qui pourraient se
montrer dévastatrices, tant pour
le monde que pour ces élites qui
pourraient être détruites. Estulin
a dit que ce sujet à longuement
été abordé cette année.
Dans des documents du
groupe Bilderberg datant de plusieurs années, on évoquait la
«destruction de la demande».
Une source au sein de la Banque
Mondiale lui a expliqué la signification de cette expression. «On
détruit la demande en détruisant
l’économie mondiale intentionnellement».
C’est ce que l’on constate
actuellement.
Estulin conclut qu’on est
dans une phase de «destruction
de l’économie mondiale avec
préméditation».
Synthèse de plusieurs articles
sur Bilderberg 2009 parus sur
: www.prisonplanet.com
Mais la véritable richesse économique ne
réside ni dans l’argent, ni dans les actions.
Elle est fournie : d’une part, par la Nature, la
terre, les matières premières... des biens dont
les pays dits «riches» disposent de moins en
moins sur leurs territoires ; de l’autre, par des
fruits historiques de l’activité humaine que les
milieux dominants des puissances occidentales se sont employés à transférer vers d’autres
pays au cours des dernières décennies, à la
recherche d’un maximum de profits : infrastructures et outils de travail, connaissances scientifiques et technologiques, recherche, savoir
faire industriel et dans d’autres domaines...
Aucune fuite en avant financière ne pourra
changer ces données de base.
Sources :
Bilderberg Group orders destruction of US Dollar? (MINA, 21 mai).
Bilderberg: the meeting of the mediocre minds (Pravda, 22 mai).
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INTE R NATIONAL
L’ÉCOLOGIE AU SERVICE DU N.O.M.
E
n pleine crise, comment
financer le gouvernement
mondial dans la joie? C’est
simple, en créant une vague écologiste très orientée, qui va soutenir le vote de taxes vertes. Ceux
qui voudront s’y opposer seront
considérés comme des impies,
des mécréants sans coeur pour
les générations futures. Ces taxes
vont donc avoir un vif succès et
elles seront destinées au futur
pouvoir central oligarchique de
l’ONU. Les écologistes actuels
ne s’intéressent en rien aux
hautes technologies de production d’énergie. Au lieu de taxer
pour financer une dictature, nous
pourrions peut-être simplement
arrêter de polluer en initiant une
révolution technologique surunitaire? Mais non, l’écologie voulue
et orientée par Al Gore et Rockefeller fut de maintenir les pollutions, afin d’instaurer des taxes
vertes pour financer le Nouvel
Ordre Mondial.
Nous n’avions pas compris
pourquoi Al Gore se lançait à
travers le monde avec sa thèse
bidon de réchauffement climatique, relayée par tous les médias.
Il s’agissait simplement d’orienter
l’opinion pour lui faire accepter
des taxes versées directement à
l’ONU. Comme quoi, voter vert
avec la meilleure intention du
monde, au final, pave l’enfer dictatorial naissant...
Morphéus
Depuis 50 ans, l’OMS censure toute
étude sur l’impact de l’industrie nucléaire
L
’assemblée
générale
annuelle de l’Organisation
mondiale de la Santé (OMS)
a été perturbée pour la troisième
fois par des organisations demandant l’abrogation de l’Accord
passé avec l’Agence internationale de l’énergie atomique
(AIEA).
Le 28 mai 1959, il y a
exactement 50 ans, un protocole
d’accord OMS-AIEA avait été
approuvé par l’Assemblée Générale. Il stipule que les deux orga-
nisations doivent se concerter sur
tous les sujets d’intérêt commun.
Dans la pratique, il signifie que
l’OMS ne peut pas publier d’études sur les maladies provoquées
par les radiations, sans l’accord
préalable de l’AIEA. Cet accord a
été scrupuleusement respecté, y
compris après l’accident de Chernobyl et les guerres du Kosovo et
d’Irak.
Il s’ensuit que l’OMS a
censuré toutes les études sur
les maladies liées à l’industrie
nucléaire, civile ou militaire,
depuis un demi-siècle et attribué
faussement de nombreux problèmes de santé publique à des facteurs mineurs.
L’OMS est appelée à devenir
le Ministère Mondial de la Santé
du Nouvel Ordre Mondial. Cela
ne présage rien de bon...
Réseau Voltaire
NICOLAS SARKOZY HUÉ AU GABON
A
ccueilli
par
des
injures et des huées
à Libreville, Nicolas
Sarkozy a décidé d’écourter son séjour au Gabon…
Nicolas Sarkozy n’a
plus l’habitude d’être hué
depuis qu’il fréquente uniquement des lieux vidés
méthodiquement
des
«vrais gens» et, en particulier, de ses opposants. Mais
à Libreville, à l’occasion des
obsèques d’Omar Bongo,
le ménage n’a apparemment pas été fait de fond
en comble. Alors que Jacques Chirac a été applaudi
à son arrivée au palais présidentiel, son successeur a eu
droit aux insultes et aux huées
de la foule.
L’AFP a trouvé un fin analyste en la personne de l’ambassadeur de France à Libreville,
pour expliquer ce chaleureux
accueil. Pour Jean-Didier Roisin,
ça ne fait aucun doute, «ce n’est
pas la personne du président
qu’on huait (...) c’est l’image qu’on
a donnée de ce pays (le Gabon),
la nouvelle du décès annoncée
de façon prématurée, cela a été
très mal ressenti». Tout cela n’est
sans doute pas faux. Mais ça
n’a pas empêché notre président
de le prendre très personnellement, lui. D’après Europe 1, le
Ex membres de la NSA, CIA, FBI, FAA,
des Frontières et de l’Armée, ils réfutent la
Version Officielle du 11 Septembre 2001!
41
anciens responsables états-uniens
de l’anti-terrorisme
et du renseignement mettent en cause la version
officielle du 11 Septembre.
Plus de 40 citoyens étatsuniens ayant travaillé pour
différents services de Renseignement et du contre-terrorisme, ont sévèrement critiqué
le compte-rendu officiel du 11
septembre 2001 ; la plupart d’entre eux demandent une nouvelle
enquête. Il est scandaleux que
la majorité des états-uniens [et
des populations des pays de
l’OTAN] soient maintenus dans
l’ignorance totale de leurs déclarations publiques, conséquence
immédiate du refus des organismes de la presse comme des
médias de masse, de traiter cette
question d’une extrême importance. La crédibilité de ces personnes et leur loyauté envers
leur pays ne peuvent être mises
en doute, ce que démontre les
années de service passées à collecter et analyser l’information, à
planifier, et à effectuer des opérations cruciales pour la sécurité
nationale des États-Unis.
Ces 41 personnes ont travaillé pour le Département d’État,
l’Agence de la sécurité nationale
(NSA), l’Agence centrale de Renseignement (CIA), le Bureau
fédéral d’investigation (FBI), l’Administration Fédérale de l’Aviation
(FAA), Le Bureau des douanes
et de la protection des frontières, ainsi que pour diverses sections de l’armée des États-Unis.
Ils sont présentés ci-dessous :
- Terrell E. Arnold (ancien directeur adjoint
du contre-terrorisme et de la planification
d’urgence, département d’État)
- Angelo Codevilla (ancien officier du
service Étranger au département d’État,
actuel vice-président du Conseil des pro-
O BAMA
L
chef de l’Etat a décidé d’écourter
son séjour et de ne pas assister
au défilé militaire prévu après les
obsèques…
Les dirigeants gabonais ont
pourtant tenté de rattraper le
coup. 20minutes.fr nous apprend
qu’après les huées de l’extérieur,
à l’intérieur, des «invités plus disciplinés (…) ont applaudi Nicolas
Sarkozy et son prédécesseur Jacques Chirac lorsqu’ils ont déposé,
ensemble, une gerbe de fleurs
devant le cercueil». Pas suffisant:
au moins avec Omar, du petit
peuple au plus haut dignitaire
du régime, tout le monde était
«discipliné»…
Marianne
juillet 2009 MORPHÉUS N°34
Source : Alan Miller, éditeur du
site PatriotsQuestion911.com
GRAND ILLUSIONNISTE
’homme a, pendant toute
sa campagne promis et dit
ce que le peuple voulait
entendre.
Mais élu, il est en train de
revenir sur les promesses faites
à l’opinion internationale. Ainsi,
après s’être montré implacable
sur les tribunaux d’exception instaurés par l’administration Bush
à Guantanamo (territoire cubain
illégalement occupé par les EtatsUnis) qu’il avait qualifié d’«échec
monumental», le locataire de la
Maison-Blanche a tout simplement décidé de conserver les
commissions militaires, annulant
de facto la fermeture des prisons
de Guantanamo, et suscitant l’ire
des organisations internationales.
Il a également choisi de mettre
son veto sur la publication de
photos illustrant les actes de torture commis par la CIA, contredisant une nouvelle fois sa volonté,
affirmée à maintes reprises, de
faire la lumière sur les exactions
commises sous le règne de Georges W. Bush.
5
fesseurs invités de l’’U.S. Army War College)
- Edward Peck (ancien coordinateur
adjoint des programmes secrets des services de renseignement, au Département
d’État)
- Lieutenant-colonel Karen Kwiatkowski
(témoin oculaire de l’attentat survenu au
Pentagone et ancien membre du cabinet
du directeur de la NSA)
- Commandant John M. Newman (US
Army (à la retraite) ; ancien assistant du
directeur de la NSA)
- Raymond McGovern (ancien responsable de la synthèse des renseignements
nationaux)
- William Christison (ancien directeur du
Bureau des analyses régionales et politiques)
- Melvin Goodman (ancien chef de division au Bureau des Affaires soviétiques)
- Robert Baer (analyste Proche-Orient)
- Robert David Steele (officier CIA et Marines)
- David MacMichael (ancien officier supérieur d’évaluation avec responsabilité spéciale pour les Affaires de l’hémisphère
occidental au Conseil national du renseignement)
- Lynne Larkin (ancien officier des opérations de la CIA
- Edward J. Costello, Jr (ancien agent
spécial du FBI, attaché au contre-espionnage)
- John M. Cole (ancien agent spécial du
FBI, attaché au contre-espionnage)
- Sibel D. Edmonds (ancienne spécialiste
en traduction pour les opérations de contre-terrorisme et contre-espionnage du
FBI)
- Rosemary N. Dew (ancien superviseur
des agents spéciaux, antiterrorisme et
contre-espionnage au FBI)
- Gilbert M. Graham (ancien agent spécial ayant travaillé pour le FBI dans la division du contre-espionnage du Bureau de
Washington)
- Behrooz Sarshar (spécialiste en traduction au FBI, effectuant les traductions du
Farsi pour les opérations de contre-terrorisme et de contre-espionnage)
- Jane A. Turner (agent spécial du FBI)
- John B. Vincent (agent spécial du FBI)
- Fred Whitehurst (agent spécial du FBI)
- Coleen Rowley (agent spécial du FBI)
- Robert G. Wright, Jr (agent spécial,
Unité de lutte contre le terrorisme international)
- Bogdan Dzakovic (expert de la lutte
contre le terrorisme à la division sécurité)
- Steve Elson (agent spécial, contre-terrorisme, renseignement et sécurité)
- Lieutenant-colonel Brian F. Sullivan
(agent spécial)
- Mark Conrad (Sky Marshall)
- Raymond A. Ciccolilli (Sky Marshall)
- Général de division Albert Stubblebine
(ancien chef du commandement des services de renseignement et de sécurité
(INSCOM) de l’armée de terre)
- Morton Goulder (ancien secrétaire
adjoint à la Défense pour le renseignement)
- Sénateur Mike Gravel
- Wayne Madsen (ancien officier de renseignement de la Marine)
- John Loftus (ancien officier de renseignement de l’armée de terre. Ancien procureur fédéral des États-Unis)
- Lieutenant-colonel Anthony Shaffer,
(ancien commandant du Renseignement
humain au sein de l’armée de terre)
- Capitaine Scott J. Phillpott (ancien commandant du programme d’exploitation des
données visant à établir la structure globale d’al-Qaïda)
- Commandant Scott Ritter (ancien officier
de renseignement du corps des Marines
et inspecteur en chef des armes pour la
Commission spéciale des Nations-Unies
en Irak)
- Capitaine Eric H. May (ancien officier de
renseignement de l’armée de terre)
- Capitaine Gregory M. Zeigler (ancien
officier de renseignement de l’armée de
terre)
- William G. Weaver (ancien officier de
l’US Army Signals Intelligence)
- Commandant Larry J. Tortorich (ancien
commandant adjoint du programme des
Missiles de croisière Tomahawk)
- Theodore J. Pahle (ancien officier
supérieur de renseignement auprès de
l’Agence de renseignement militaire)
En clair, Guantanamo ne
sera pas fermé. Aucune nouvelle
enquête sur le 11 septembre
n’aura lieu, contrairement à ce
qu’il laissait présager. Officiellement c’est de l’histoire ancienne
et il faut tourner la page (sic!). Le
départ des troupes US d’Irak, qui
devait être pour bientôt d’après
ses promesses, n’aura pas lieu.
Certains officiels dans l’entourage d’Obama parlent
de laisser les armées en
Mésopotamie encore 10
ans. Le dégel des relations
diplomatiques avec Cuba
n’est que de la poudre aux
yeux ; rien de tel n’existe
dans les faits. Rappelons
que Cuba a subi plus de
5 780 attentats terroristes
US sur son sol, qui ont
coûté la vie à 3 478 personnes depuis 1959. Concernant le problème des
territoires palestiniens, il
laisse toute latitude à Israël
pour souffler le chaud, le
froid ou le plomb durci.
Enfin, pour l’Afghanistan,
c’est une guerre juste selon ses
propres termes (une guerre de
l’opium sur le terrain). Quant à
l’Iran, les infiltrés de la CIA font
tout pour tenter de dresser les
iraniens contre le pouvoir plébiscité pourtant dans les urnes.
Mais quelle différence restet-il entre Obama et Bush?
F.M.
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OV E R U NITY
SURUNITÉ : RÉVOLUTION INDUSTRIELLE EN MARCHE!
C
ésar Soos et Roberto
Frascasi, deux ingénieurs brésiliens, ont
conçu techniquement
le moteur Keppe
fondé sur les théories de Noberto
Keppe, relatives à la Nouvelle
Physique. Dans une vidéo diffusée sur le net, ils exposent la
nature surunitaire de ce moteur
qui capte l’énergie du milieu
ambiant.
Nous avions déjà expliqué
dans des numéros précédents,
qu’il existe deux types de technologie en matière de production
d’énergie, les systèmes fermés
et les systèmes ouverts.
Nous nommons systèmes
ouverts d’énergie, des technologies utilisant l’énergie du milieu,
contrairement à un moteur à
essence, «système fermé», isolé
du milieu ambiant, qui doit être
alimenté constamment pour fonctionner et dont le rendement sera
systématiquement inférieur à
100% en vertu du second principe de la thermodynamique… Il
n’y a évidemment, pour la Nouvelle Physique, pas de terminologie définie, pas de convention
scientifique arrêtée pour l’évoquer. C’est souvent un obstacle
dans l’esprit des physiciens classiques, qui y voient des fantaisies d’auteurs parlant d’énergie
libre, d’énergie du vide, d’énergie
tachyonique, de vide photonique,
de syntonie protonique, de méta-
physique inversée etc... Ce n’est
cependant en rien une fantaisie.
Il s’agit simplement de nommer
un phénomène non expliqué en
physique et sans convention terminologique occidentale.
Consommation et rendement
d’un ventilateur classique
Il s’agit de mesurer la puissance mécanique du moteur et
de la comparer avec la puissance
électrique consommée. L’efficacité d’un moteur se mesure par
la puissance mécanique produite,
c’est à dire la puissance de sortie
divisée par la puissance électrique consommée, ce qui nous
donne son rendement en pourcentage. Pour tous les moteurs
classiques, le rendement est toujours inférieur à 100% car la
machine génère des pertes. Cette
perte se traduit par la chaleur du
moteur ; plus la machine chauffe,
plus la perte d’énergie est forte et
plus le rendement est faible. Un
ventilateur classique qui ne produit en réalité que 5 watt de force
mécanique, a besoin d’une puissance électrique de 60 watt. Son
rendement sera obtenu en divisant 5 watt (force mécanique
déployée) par 60 watt (sa consommation électrique) soit un rendement effectif de 8,3%.
Avec ce type de moteur, c’est
donc 91,7% d’énergie qui sont
perdus dans ces processus de
fonctionnement, une véritable gabegie. C’est d’autant
plus un gâchis, sachant
qu’entre le lieu de production et le lieu de consommation, le réseau électrique
perd lui-même 90% de son
énergie. Le bilan énergétique est dramatique. En
clair, une centrale nucléaire
doit produire 600 watt, pour
que nous disposions chez
nous d’une force mécanique de 5 watt. 595 watt
sont perdus dans la nature.
Cela représente 99,2% de
perte d’énergie entre la
centrale et notre ventilateur domestique : c’est surréaliste! Cependant, cela
signifie que si nous avions
l’intelligence
d’optimiser
tous nos systèmes électriques de production et de
consommation, une ou
deux grosses centrales
électriques seraient amplement suffisantes en France.
La volonté politique de
maintenir les choses en
l’état et de fabriquer de nouvelles centrales nucléaires est
tout bonnement stupide. Remplir
un peu plus le tonneau des
Danaïdes est un signe de vide
cérébral symptomatique...
Rendement du moteur
Keppe
Les expériences et
calculs de rendement du
moteur Keppe, démontrent
clairement qu’il peut produire plus de travail qu’il
n’utilise d’énergie sur le
réseau électrique. Tous les
calculs sont sur une vidéo
que nous laissons à votre
disposition sur notre site
internet www.morpheus.fr
page News. En clair, pour
obtenir une force mécanique de 5 watt, un moteur
Keppe va tirer sur le réseau
électrique de l’ordre de 4,5 watt.
Son rendement est donc de l’ordre de 115% à comparer au rendement de 8,5% d’un ventilateur
classique. La thèse du Docteur
Keppe montre que les systèmes
ouverts de production d’énergie,
captent une énergie du milieu
ambiant. Ils fournissent ainsi plus
d’énergie qu’ils n’en consomment. Telle est la particularité de
ces moteurs dits surunitaires.
L’histoire se répète
François Arogo, secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences
au 19ème siècle, grand physicien
respecté par ailleurs, déclara :
«Le plus lourd que l’air ne volera
jamais, c’est contraire aux lois de
la pesanteur.» Cette assertion fut
vite battue en brèche par le principe de réalité même. En effet,
l’inventeur Stringfellow, fit voler
en 1845 un engin de 3,5 kilos
doté d’un moteur. Pourtant, jusqu’au 20ème siècle, l’Académie
s’en tint à la déclaration du Grand
Maître et considéra les précurseurs de l’aviation comme des
charlatans. Certains schémas
mentaux scientifiques perdurent
comme des dogmes religieux.
Nous sommes aujourd’hui
rigoureusement dans la même
situation avec les unités de
juillet 2009 MORPHÉUS N°34
6
production surunitaire. La bien
pensance «dite scientifique»
affirme que c’est impossible.
Nous avons, de notre côté, rassemblé suffisamment de documentation, pour relever que le
phénomène d’une production
énergétique surunitaire avérée,
remonte au milieu du 19ème
siècle, avec les descriptions de la
machine rhéostatique de Gaston
Planté. Or, 150 ans plus tard, nous
pourrions certainement dénombrer plusieurs milliers de technologies surunitaires physiques
prises pour des lubies d’ingénieurs fous ou mises sous scellé
par certains services de l’armée
US et autres...
Révolution industrielle des
moteurs surunitaires
Le Japon et la Chine sont
sur le point de produire industriellement, à grande échelle, des
unités surunitaires d’un rendement moyen de 330%. Cette véritable révolution industrielle est
due au travail acharné de l’industriel Minato, qui a dans un premier
temps construit 10 000 unités,
puis dans un second temps a
eu une commande de 140 000
climatiseurs, n’utilisant que quelques milli-watt sur électroaimants pour fonctionner (se
référer à Morphéus n°7, article sur
le générateur à énergie magnétocinétique). Des prototypes Minato
capables de produire jusqu’à 200
chevaux, sont parfaitement opérationnels.
Les premiers véhicules équipés de systèmes magnéto-cinétiques surunitaires, sont déjà une
réalité au Japon. La moto Genesis et le Scooter Genesis, vont
bientôt prendre le chemin d’une
fabrication industrielle en série.
Ces véhicules sont presque totalement autonomes et d’une très
grande fiabilité. Techniquement,
ils peuvent rouler sur un terrain
plat, à un certain régime, éternellement, jusqu’à usure des éléments de la batterie. Sur des
terrains accidentés, les batteries
peuvent avoir besoin d’être
rechargées au moins tous les 200
kilomètres.
Les banques japonaises
sont de la partie dans cette
opération et la Chine à ouvert
ses portes pour installer à Hong
Kong, une usine de fabrication
d’aimants destinés aux moteurs
Minato. Les gouvernements japonais et chinois ont bien compris
l’enjeu de cette révolution
industrielle, contrairement à tous
les gouvernements occidentaux.
L’Occident peut prendre le train
en marche aujourd’hui, il n’est
pas trop tard. Il est assuré que si
la politique énergétique stérile actuelle
continue, d’ici une
décennie l’Europe
en sera encore à
chercher du pétrole
pour ses voitures,
pendant que l’Asie
disposera d’usines,
de véhicules terrestres, marins et
aériens, totalement
autonomes énergétiquement.
Frédéric Morin
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A N T I G R AV I T E
L ’ A N T I G R AV I TÉ
P O U R LES NULS :
TEC H N I QU E S E T D I F F E R E N TES APPROCHES
D
epuis la sortie du livre
Présence, nous avons
clairement identifié l’antigravité comme un jeu
de pressions et contre-pressions,
sur la couche relais, entre notre
cosmos et notre anticosmos.
C’est bien la cosmologie gémellaire qui nous donne la clef de cet
épineux problème. Les travaux du
physicien Jean-Pierre Petit sont
incontournables en la matière, et
nous offrent un cadre très cohérent pour cette approche. Nous
avons contacté ce dernier pour
avoir son avis et pour savoir comment modéliser mathématiquement ce modèle. Nous n’avons
reçu aucune réponse à ce jour.
Quoi qu’il en soit, notre porte
reste ouverte à tout physicien ou
mathématicien qui voudra aborder avec nous cette approche...
Une fois le cadre théorique
planté, il nous faut tenter de savoir
par quelle technologie il nous est
possible de modifier localement
la couche relais et générer une
contre pression gravitaire anticosmique. Nul besoin de cinq centrales nucléaires ; les choses sont
beaucoup plus simples en réalité. Quand vous marchez, vous
créez sans le savoir une légère
modification de la couche relais.
Si maintenant vous faites marcher un bataillon de soldats au
pas cadencé, sur un pont, le
jeu de contre pression va se
faire ressentir, mettant à rude
épreuve la structure même du
pont. Ce phénomène étant connu,
aucun bataillon dans le monde
ne marche au pas sur un pont.
Henry Bull
Sans cadre théorique et par
pure intuition, Henry Bull eut l’idée
de tester un système mécanique
qui s’avéra léviter verticalement.
Son procédé n’est compréhensible que dans le cadre théorique
présenté ici. La physique classique et mono-cosmique ne peut
en effet rendre compte d’un tel
phénomène. Elle a donc évacué
ces expériences de 1935, les
considérant comme des élucubrations d’individus ne connaissant rien aux sciences.
Henry Bull a construit des cylindres mécaniques, qui envoient
une masse de même poids vers
le haut et vers le bas. La masse
du haut est cependant projetée
contre un ressort, alors que la
masse du bas est projetée contre
une surface plate. Or, un ressort
transmet 3 fois mieux l’énergie
qu’une surface plate, d’où l’impulsion inertielle verticale qui en
résulte (voir schéma). Il s’agit
de reproduire ici le pas cadencé
sur un pont, en l’amplifiant et en
l’orientant avec un système astucieux...
Le Gyroscope
C’est un appareil qui fournit
une direction invariable de référence. Or, si cette direction est
précisément contraire à la gravité
terrestre, vous l’avez compris, on
dispose d’un instrument utilisable
pour la sustentation. Cette effet
gravito-gyroscopique a été compris par de très nombreux chercheurs et a donné lieu au dépôt
d’un assez grand nombre de brevets (CD ROM Morphéus 2008).
Nous pouvons citer Otis Carr,
Eric Laithwaite, Harold Aspden,
Leonard Francis Holihan, David
Raymond Morgan, Siritky Alain,
Geoffrey Collin Russell, William
Dawson, Delroy, etc...
Otis Carr a cependant finalisé une technologie d’engin cosmique dès 1958, ce qui en fait
un précurseur dans ce domaine,
(voir en bas de page les schémas
de son brevet). Eric Laithwaite ne
présentera des travaux sur l’effet
gyroscopique, à l’Institut Royal de
Londres, qu’en 1974.
Henry Wallace
Faisant appel aux mêmes
principes, Henry Wallace présenta des systèmes plus élaborés
pour l’armée, durant la seconde
guerre mondiale. Ses brevets
n°US03626605, US03626606 et
juillet 2009 MORPHÉUS N°34
US03823570, sont consultables
sur notre CD ROM «Engins Cos-
miques et Antigravité, Morphéus
2008».
Vortex à vapeur de mercure
Une opinion relevant plus de
la psychologie que d’une approche scientifique, affirme que l’antigravité de Hanebau, ou engins
du 3ème Reich, n’est que de la
pure propagande nazie. L’étude
de brevets et l’exposé ici présenté, semblent pourtant infirmer
cette position.
Pourquoi les allemands
auraient-ils utilisé des vortex à
vapeur de mercure confinés dans
des champs électromagnétiques? Il est vraisemblable que les
atomes de mercure, modulés par
de puissants champs, se comportent alors comme des nanogyroscopes et impulsent une force
inertielle comme tout gyroscope.
Pour changer de direction, il suffit
alors de modifier le vortex de mercure, afin d’orienter l’axe d’impulsion inertielle. Or, un Hanebau
comporte bien trois puissants
électro-aimants à sa base, pilotés par un système électromécanique complexe qui était nommé
tachyonator. Si notre analyse est
juste, nous sommes alors en face
d’une technologie qui apparaît
parfaitement cohérente. Si cette
technologie relevait d’une propagande, nul doute que les plans
et engins présentés auraient été
fantaisistes et sans intérêts...
Dans un prochain numéro, nous
aborderons le modèle à différence de potentiel électrostatique
de John Searl, petite prouesse de
1947. Egalement, il sera important d’aborder le brevet français
de Marcel Pagès, déposé en 1960
au Ministère de l’Industrie.
Frédéric Morin
7
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F OLIE
F INANCIE R E
LE TERRIBLE SECRET DE TIM GEITHNER
Le système financier mondial en péril :
quand la solution à la crise financière en devient la cause...
L
e secrétaire au Trésor
des États-Unis, Tim
Geithner, a révélé son
plan tant attendu d’assainissement du système bancaire étatsunien, mais
il a refusé de divulguer le «terrible secret» de la crise financière actuelle. En agissant de la
sorte, il tente de sauver des banques étatsuniennes de facto en
faillite, lesquelles menacent de
faire tomber le système mondial
dans une nouvelle phase encore
plus dévastatrice de destruction
de la richesse.
Nous l’avons déjà mentionné, le plan Geithner, son
soi-disant Programme d’investissement en partenariat publicprivé ou PPPIP, n’est pas dédié
à restaurer un système de prêt
salutaire, donnant du crédit aux
entreprises et aux consommateurs. Il s’agit plutôt d’une autre
manigance complexe, servant à
verser davantage de centaines de
milliards de dollars directement
aux banques dominantes et aux
firmes de Wall Street, responsables du présent bourbier dans
les marchés mondiaux du crédit,
sans toutefois leur demander de
changer leur modèle opérationnel. Pourtant, on pourrait se dire
que ce plan, en assainissant les
banques, aidera tôt ou tard à surmonter le problème.
Il ne le fera pas si l’administration Obama procède comme
elle le fait en ce moment. En
défendant son plan à la télévision étatsunienne récemment,
M. Geithner - protégé de Henry
Kissinger, autrefois PDG de la
New York Federal Reserve Bank
- faisait valoir que son intention
«n’était pas de soutenir les banques faibles aux dépends des
banques fortes». Toutefois, c’est
précisément ce que fait le PPPIP
: les banques faibles sont les cinq
plus grandes banques du système. Le «terrible secret» que
M. Geithner tente vigoureusement de cacher au public est très
simple. À la source des actifs
toxiques bouleversant le système
financier mondial, il y a, au plus,
peut-être cinq banques étatsuniennes. C’est cette réalité que
M. Geithner tente désespérément
de protéger. Contrairement aux
crises bancaires précédentes, le
problème ne consiste pas en des
pertes sur prêt ordinaires. C’est
plutôt une variété de dérivés
financiers exotiques qui se trouvent au cœur du problème, plus
spécifiquement les soi-disant
swaps sur défaillance (Credit
Default Swaps).
En 2000, le secrétaire au
Trésor de l’administration Clinton
était un dénommé Larry Summers. M. Summers venait tout
juste d’être promu N°1 de Goldman Sachs par son supérieur, le
banquier de Wall Street Robert
Rubin, lorsque ce dernier a quitté
Washington pour occuper le
poste de vice-président de Citigroup. Comme je le décris en
détails dans mon nouveau livre
à paraître cet été, «Power of
Money: The Rise and Fall of the
American Century», M. Summers
a convaincu le président Clinton
d’approuver plusieurs projets de
loi républicains, ouvrant ainsi les
vannes aux banques pour qu’elles abusent de leur pouvoir. Que
les grandes banques de Wall
Street aient dépensé quelque 5
milliards en lobbyisme pour ces
changements, après 1998, a probablement eu un effet sur M. Clinton.
lailler.
Goldman Sachs, Citibank, JP
Morgan Chase et Bank of America, des banques se croyant
«trop importantes pour faire
faillite». En effet, ces cinq institutions se croient maintenant si
grandes, qu’elles peuvent dicter la
politique du gouvernement fédéral. Certains ont appelé cette
opération un coup d’État des banquiers. Elle n’a définitivement rien
de salutaire.
Le «terrible secret»
M. Geithner ne souhaite pas
que le public comprenne son petit
secret : l’abrogation de la loi
Glass-Steagall et l’adoption du
CFMA en 2000, ont permis la
création d’un petite poignée de
banques, qui allaient pratiquement monopoliser des pans
importants des activités hors bilan
mondiales ou l’émission des dérivés hors bourse.
Une loi importante abrogeait
le Glass-Steagall Act de 1933,
adopté durant la Grande Dépression, interdisant la fusion entre
les banques commerciales, les
compagnies d’assurances et les
firmes de courtage telles que
Merrill Lynch ou Goldman Sachs.
Une autre loi, soutenue par le
secrétaire au Trésor Larry Summers en 2000, était l’obscure,
mais cruciale Commodity Futures
Modernization Act (CFMA). Cette
loi empêchait l’organisme gouvernemental de réglementation,
la Commodity Futures Trading
Corporation (CFTC) [Commission
du commerce à terme des marchandises], de superviser le commerce des instruments financiers
dérivés. La nouvelle loi CFMA stipulait que ce que l’on appelle
communément les dérivés négociés hors bourse, comme les
swaps sur défaillance, en cause
dans le désastre des assurances de AIG (que Warren Buffett
a déjà qualifiés d’armes de destruction financière massive), ne
soient pas réglementés par le
gouvernement.
Selon le récent Rapport trimestriel sur le commerce bancaire et les produits dérivés du
Federal Office of Comptroller of
the Currency, cinq banques étatsuniennes possèdent actuellement 96 % des positions de
dérivés de toutes les banques des
États-Unis, en terme de valeurs
symboliques, ainsi qu’un pourcentage ahurissant, soit 81 %,
d’exposition au risque de crédit
net total en cas de défaillance.
Voilà le terrible secret que
le secrétaire Geithner et Wall
Street tentent désespérément de
cacher, car il dirigerait l’attention
des électeurs vers de vraies solutions. Le gouvernement fédéral
dispose depuis longtemps de lois
pour faire face aux banques insolvables. La Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) met la
banque sous séquestre, et ses
actifs et ses passifs sont triés
par un audit indépendant. On
évince les gestionnaires irresponsables, les actionnaires accusent
des pertes et une fois épurée, la
banque est finalement divisée en
plus petites unités. Lorsqu’elle est
assainie, on la vend au public. Le
pouvoir des cinq méga banques
de faire chanter le pays en entier
serait alors moins grand. Ooohh.
Ouais ?
À l’époque où M. Summers
s’affairait à ouvrir les vannes de
l’abus financier pour les sociétés
de Wall Street, son assistant
n’était nul autre que Tim Geithner, l’homme aujourd’hui secrétaire du Trésor. À l’heure actuelle,
l’ancien patron de M. Geithner,
Larry Summers, est conseiller
économique en chef du président
Obama, puisqu’il est chef du Conseil économique de la MaisonBlanche. Mettre MM. Geithner et
Summers en charge de réparer
les dégâts financiers, équivaut à
faire du renard le gardien du pou-
juillet 2009 MORPHÉUS N°34
Ces cinq banques sont JP
Morgan Chase, qui détient la première place avec une somme
étourdissante de 88 billions de
dollars en dérivés (66 billions
d’euros!). Morgan Chase est
suivie par Bank of America et
Citibank, lesquelles possèdent
respectivement 38 billions et 32
billions en dérivés. La quatrième
place dans les sweepstakes des
dérivés revient à Goldman Sachs,
avec ses «maigres» 30 billions,
somme qui baisse de façon draconienne à 5 billions de dollars en
cinquième position, où se situe la
banque fusionnée Wells FargoWachovia. Par ailleurs, au sixième
rang, la britannique HSBC Bank
USA détient 3,7 billions de ces
actifs toxiques.
Par la suite, l’exposition des
banques des États-Unis à ces
dérivés hors bilan non réglementés diminue dramatiquement. Afin
d’en souligner l’ampleur, notons
qu’un billion s’écrit 1 000 000 000
000. Continuer à investir d’énormes quantités d’argent des contribuables dans ces cinq banques,
sans modifier leur système opérationnel, revient à traiter un alcoolique avec de l’alcool gratuit à
volonté. Le sauvetage gouvernemental d’AIG, dépassant à ce jour
les 180 milliards, a d’abord servi
à payer ses swaps sur défaillance
aux contreparties, les joueurs
C’est ce que Wall Street et
Tim Geithner cherchent frénétiquement à prévenir. Le problème
est centralisé sur ces cinq grandes banques et le cancer financier doit être isolé et réfréné
par une agence fédérale, afin
que la victime, l’économie réelle,
puisse fonctionner à nouveau sainement.
Voilà ce qui doit être mis sous
séquestre ou nationalisé. En
retardant cela et en refusant de
demander un contrôle gouvernemental
des
comptes,
totalement indépendant, pour
déterminer si ces cinq banques
sont réellement solvables, le
gouvernement Obama provoque
des pertes pour les États-Unis
et l’économie mondiale, lesquelles seront inévitablement exponentielles lorsque les pertes en
dérivés exploseront. Il s’agit de
Coordination Technique, Juridique et
Rédactionnelle :
Frédéric Morin (F. M.)[email protected]
Comité éditorial :
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J. Daudon, Ana De Figueiredo, Gérard
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la détérioration pré-programmée
de la récession, signifiant une
augmentation des faillites d’entreprises, la multiplication des
manquements des débiteurs
hypothécaires et la montée en
flèche du chômage. Cette
situation devient hors de contrôle (d’un gouvernement responsable) parce qu’elle est permise
par le secrétaire Geithner, Larry
Summers et ultimement le président, qu’il ait ou non eu le temps
de chercher à comprendre ce qui
est en jeu.
Une fois les cinq banques
problématiques isolées par la
FDIC et le Trésor, le gouvernement devrait légiférer afin
d’abroger immédiatement la déréglementation bancaire de Larry
Summers, comprenant la remise
en application de la loi GlassSteagall et l’annulation du Commodity Futures Modernization Act
de 2000, ayant permis l’actuel
abus criminel des banques. L’on
pourrait alors commencer à discuter de réformes financières
sérieuses, en commençant par
des mesures pour «fédéraliser»
la Réserve fédérale et retirer le
pouvoir monétaire des mains des
banques privées, comme JP
Morgan Chase, Citibank ou Goldman Sachs.
Par William Engdahl Le 5 avril
2009 Mondialisation.ca
Article original en anglais, Geithner’s ‘Dirty Little Secret’: The
Entire Global Financial System
is at Risk, When the Solution to
the Financial Crisis becomes the
Cause, publié le 30 mars 2009.
Sources :
artemisia-college.org
europe-liberte.i-clic.net
Tristan Ettedgui et F. Morin
[email protected]
PAO :
Morpheus F.M.
Imprimerie :
Graphic Systems, 95300 Ennery
Publication :
N°ISSN : 1764-2205
N°SIREN : 451 997 100
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