Meurtre chez les Brim
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Meurtre chez les Brim
Meurtre chez les Brim Chapitre 1 : Le soleil brillait très haut dans le ciel parsemé de quelques nuages solitaires. Notre histoire commence dans le Sud, là ou il fait toujours très chaud. Dans un petit village à la lisière d'une forêt, se trouvait la luxurieuse villa des Brim. Dans cette magnifique demeure, on pouvait trouver un décor paradisiaque. Une piscine creusée d'une forme originale, avec de magnifiques palmiers aux feuilles éclatantes et majestueuses. Au bord de cette piscine, se prélassant sur un transat, se trouvait une jeune fille d'une quatorzaine d'années. Le soleil illuminait ses cheveux d'or, détendait ses traits fin et angéliques. Elle jouait machinalement avec une de ses boucles anglaises en sirotant une boisson. En face d'elle sur une chaise longue, une autre fille possédait les mêmes traits angéliques. Sauf qu'elle avait de longs cheveux d'un noir corbeau, ondulant quelques fois. La blonde possédait de magnifiques yeux océan, alors que l'autre les avait écarlates. La brune commença une conversation apparemment anodine : « - Dit moi, Melody, qu’est-ce que tu vas lui offrir comme cadeau à maman? La dénommé Mélody lui répondit avec un petit sourire : -« Viens voir ! il est dans la chambre ! » Les deux soeurs se levèrent et prirent la direction de leur chambre. A mi-chemin, la brune sentit quelque chose d'humide sous ses pied nus. -« Melissia ! s'exclama t- elle, tu as encore renversé du soda sur le... -« Excuse-moi, mais je ne pense pas que le soda ai cette jolie couleur rouge », la coupa Melissia en fixant le sol d'un air sombre. « - Rouge, dit la brune avec horreur, du sang ? » Le sang sortait de sous une porte, et agrandissait la flaque dans laquelle Melody avait marché. Les deux jeunes filles connaissaient malheureusement trop bien ce qui ce trouvait derrière cette porte. La chambre de leur mère... Melody saisit la poignée et la tourna en n'osant même pas respirer. Et elles virent avec horreur leur mère étendue par terre, les yeux grand ouverts avec gravé sur le visage, l'expression de la souffrance, du sang dégoulinait de ses habits, de son nez et de sa bouche. Le scintillement d'une lame montrait qu'elle avait un couteau planté dans le ventre. Par lequel sortait des boyaux. Chapitre 2 : - MAMAN, hurla la brune. - Oh non! Sanglota Melissia La bonne et le cuisinier et le jardinier accoururent. -« Que ....que...comment...quoi... Bégaya Mme Roger, la bonne - Madame Brim ! Vite appeler un médecin. Fit le cuisinier avec son habituel axent déformé par l'envie de vomir Le jardinier couru chercher George le médecin de la famille. Il lui expliqua qu'on avait besoin de lui très vite et que c'était pour la patronne. Lorsqu'ils arrivèrent vers le corps, le médecin mis ses mains devant sa bouche et plaqua ses doigts sur la tempe de la femme. - « Je suis vraiment désolé, elle est bel et bien morte! » - Non ! C'est pas possible ... ce n'est pas possible ... non Hurla Mélissia. Celui qui a fait ça va... - Détrompe toi Melissia ta mère n'est pas morte que cause de se coup de poignard. Regarde sur son cou on peu voir la trace d'une corde. Melody pris enfin la parole avec une voix hoquetant : - Vous voulez dire qu'elle est morte étranglé - Oui, mais on lui à ouvert le ventre après sa mort. - Melody laissa les larmes couler sur ses joues, sa sœur et elles pleurèrent en silence durant quelques minutes. Jusqu'à ce que la flamme de la vengeance vienne scintiller dans leurs yeux, y gravant à jamais douleur et souffrance d'avoir perdu un être cher. Chapitre 3 : La brune regarda les larmes coulées sur les joues de sa sœur qui essayais temps bien que mal de contrôler ses sanglots. Melody se rappela que cela faisait des années que sa sœur n’avait pas pleurer autant. Cela remonte à leur enfance plutôt mouvementer : Une vielle femme frappais une petite fille en pleure, ses cheveux d'or mouiller de larmes. - Cesse de pleurer immédiatement petite peste ! - Mais... papa... est... répondit la blonde entre deux sanglots. Melody secouât la tête en chassant les souvenirs assez douloureux de son passer, mais après tout, c'est peut être ce que je vais revivre pensa-t-elle avec tristesse. Sa sœur avait arrêté de pleurer et une lueur de rage brillait dans ses yeux encore embrumés de larmes. - Melissia..., commenças la brune - Faut que j'appelle Al, la coupa sa sœur en se levant avec difficulté. Melody la laissa faire, la regardant simplement prendre son téléphone et composer un numéro de ses doigts tremblant. - Bip... bip... - Allô. - Alex, c'est moi, Melissia, hoqueta-t-elle - Qu'est ce qu'il y a ? Tu pleures ? - Maman a... a... - Ta mère a quoi ? - Elle a été a... ass... assassiner. Sanglotât-elle - J'arrive. Ne bouge pas. Une bonne dizaine de minute plus tard, un homme d'une quinzaine d'années entrât dans la chambre, visiblement essouffler. Il s'approchât de Melissia et posa une main réconfortante sur son épaule Melody se détourna en les laissant parler, un peu jalouse de l'attention qu'il portait à sa sœur. - Chuuut... calme toi, je pense qu'il vaut mieux que Melody, toi et moi fassions une petite enquête. Disait-t-il d'une voix douce en la serrant contre lui. Melody explosa - C'est le moment de vous bécoter peut être ?! La brune se retourna sous les regards interrogés des deux amis. - On va retrouver ses assassins et leur faire payer de toutes les manières possibles. Reprit –t-elle d'une voie plus calme. - Leur infliger les pires tortures oui ! Alex décida d'intervenir avant qu'elles s'imaginent milles façon de tuer le bourreau de leur mère. - Bon les filles, fit-il, il faut d'abord aller voir les employer. - Ok ! répondirent les sœurs en cœur. Chapitre 4 : Lorsque les crises de larmes se furent calmées, tout le petit monde, Alex, Melody et Melissia se rendirent à la cuisine pour interroger le chef. En arrivant dans la pièce chargée d'arome divers, ils retrouvèrent Paulo, le cuisinier, en pleine préparation de plats à première vu plutôt succulents. Alex dût se racler la gorge pour attirer l'attention du chef. Celui-ci se détourna de son travail en grognant. - Qu’est ce que vous voulez encore ? Cracha t-il - Qu'est-ce que c'est que toute cette nourriture ? demanda Alex d'un aire perplexe - Eh bien, répondit l'intéresser d'un air moqueur, au cas ou vous ne l'auriez pas remarquer jeune homme, nous sommes dans une CUISINE, il est donc normal qu'il y ai de la nourriture ! - On n'est pas idiots, le coupa Melissia d'un air agacé. - Figurer vous que je préparait le gâteau pour l'anniversaire de votre mère, Miss Béatrice. - Et vous avez fait ça toute la journée ? demanda Melody - Oui, répondit le cuisinier - Vous avez un témoin ? - Mon p'tit stagiaire Batiste, il était la toute la journée, fitil, et marmonna un malheureusement. - Et aimiez vous Béatrice ? demanda Alex au cuisinier - Plutôt, en fait je lui doit tout, elle m'a fait sortir de prison, une brave .... - Merci au revoir, l’interrompit Melissia qui n'était pas d'humeur à écouter les bavardages indécents du cuisinier. Es trois adolescents repartirent donc vers les jardins et croisèrent la femme de ménage - Bonjour madame Roger, fit Melody, - Oui, quoi ? répondit elle d'un aire agacé - Je peut savoir se que vous avez fait de votre journée, demanda la brune avec un sourire inquiétant collés au lèvres. - Voyer vous ma chère, j'ai passé ma journée à ranger plier et laver votre linge sale. -Vous avez des témoins? demanda Melissia - Oui Willie le jardinier. - Une dernière question, reprit Melody, appréciez-vous notre mère - Eh bien, comme on peu aimer une patronne veuve et riche de 9 milliards d'euros. dit elle agacer Tous les trois repartirent vers les jardins là où ils trouvèrent Willie - Bonjour Monsieur , lança Alex - Qu'avez-vous fait toute la journée , demanda Melissia - Je préparais le jardin pour la fête de miss Béatrice. - Vous avez des témoins ? - Oui Jacqueline. - Comment ça se fait que vous étiez ensemble alors qu'elle était a l'intérieur et vous l'extérieur ? - Elle était venue faire votre lessive la repassé et la plié dehors près de moi. - Une dernière question, lança Melody, aimez-vous Beatrice ? - Oui c'est la meilleurs patronne que j'ai jamais eu elle a beau être riche elle n'a pas pris la grosse tête. - Très bien Nos trois compères continuèrent leur inspection jusqu'à ce que Alex repère une corde sur le sol Alors Melissia enfila des gants en latex et pris la corde avec précaution et la glissa dans un sac en plastique. - Allons voir si c'est vraiment cette corde ou pas. Proposa Alex - Oui mais comment ? demanda Melissia Chapitre 5 : Alex, ne voulant pas traumatiser plus ses deux amies, alla voir le cadavre de leur mère seul, les laissant continuer les recherches Lorsqu'il arriva près du cadavre , les agents était tous occuper et il en profita pour faire ce qu'il avait prévu. Alex mit des gants et attrapa la corde et essaya de trouver la position dans laquelle Béatrice avait était tué. Il se mit devant derrière, sur les coté, toutes les positions était impossible puis se qu'elle était dans le hall qui était relativement petit. Alors il se mit à penser qu'ils avaient déplacé le corps, mais cela était impossible car il ni avait aucune trace et les cinq litres de sang qu'une femme adulte peut avoir s'était écoulé devant la porte de la chambre. Alors il aurait fallut que la personne soit particulièrement petite et fine. - Si j'ai bien comprit, il ont tous un alibi mais pas de mobile... Marmonna Alex de retour avec les deux sœurs - J'me souviens que maman est allé acheter quelque chose hier, elle n'a pas voulu me dire quoi... commença Melissia. - Oui je m'en souviens, même qu'elle m'a demandé ou elle pourrait le mettre en sécurité, et pour rire je lui ai dit de l'avaler... et deux minutes plus tard, je la voyais en train d'avaler une bague avec des diamants... - Pourquoi tu ne là pas dit plus tôt ? Maintenant on a le mobile il ne manque plus que l'assassin ! s'écria Melissia Ils se mirent en route pour trouver Jacqueline et a un moment ils la virent avec une bague et un diamant dessus. Alors Melissia se mit a courir et a la plaquer au sol, elle l'écrasa littéralement et se mit à crier : - Pourquoi ? Pourquoi ? Vous n'êtes qu'une.... - Mais de quoi vous parlez ?demanda Jacqueline en se tortillant - De ma mère que vous avez assassiné ! Continua Melissia - Mais non jamais je n'aurais fait ça ! dit la bonne - Alors d'où viens cette bague que vous portez ? - C'est mon fiancée qui me la offerte ! - Qu'est ce que c'est son numéro ? demanda Melody a Jacqueline - 09-08-27-93-76. répondit elle Melody tapa le numéro sur son portable - Allo. Fit une voix grave - Vous êtes bien le fiancé de Jacqueline Roger ? demanda telle - Oui, elle vous a montré sa bague 4 Kara ?fit l'inconnu apparemment fier - Je suis désolé Jacqueline. Fit Melissia tout en se relevant On a fait erreur sur la personne. -Cela ne fait rien, fit Jaceline , je vous comprend... Ah , je me souvient avoir entendu Paulo et Batiste parler d'une certaine bague et de vente... Je pense que c'est en rapport avec le meurtre de madame, non ? Melicia et Melody se regardèrent , alors comme ça, ces deux bon à rien avait tuer leurs mère ? Ils méritaient bien plus que la mort... Alex interrompis leurs mise en scène de plusieurs mort longue et douloureuses pour les deux hommes. - Les filles, ils faut les attrapés avant qu'ils ne s'en aillent ! A peine avait-il prononcé ces mots que les deux sœurs couraient déjà en direction des cuisines, si bien qu'Alex eu du mal à les suivre. Quand il les rattrapas Melody maintenait Batiste au sol tendit que Melissia faisait de même avec Paulo, la forces de ces deux filles lui fit un peu peur. -« Pourquoi a tu fait ça ? S'enragea Melicia, notre mère t'avais sauvé !! - Et bien justement, grogna celui-ci, il fallait que je trouve de l'argent vite fait... Alors lorsque j'ai vu ta mégère de mère avalé ce diamant... - C'est là que je suis intervenu, continua Batiste avec un sourire sadique aux lèvres, lorsque Paulo m'as dit pour le diamant, cela à été facile de la tuer et de récupérer le butin ! - Vous êtes des monstres ! Melody appela la police qui promit d'arriver au plus tôt. Lorsque la police arriva et embraqua les deux criminels, ils remercièrent les trois jeune et s'en allèrent -« Et voilà, fit Alex, une chose de faite, vous allez tenir le coup les filles. - Ne t'en fait pas, répondit Melicia, même si nous sommes orpheline, on restera toujours ensemble ! - Et puis, ajouta Melody, a quoi cela servirais de nous lamenter ? Tant que l'ont auras toutes les deux des jambes intacte, on restera debout et nous iront de l'avant ! Orphelines. Plus rien ne seras jamais pareil. Mais nous sommes encore ensemble. C'est ce qui compte, non ? Résumé : Deux sœurs jumelles de quatorze ans se retrouve orpheline car leur mère Béatrice se fait assassiné alors les deux jeunes filles vont mener leur enquête… Amélie Villenave 5°eme Evrard