11Mo - Histoire de l`École Centrale de Lyon
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11Mo - Histoire de l`École Centrale de Lyon
Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon CHNICA O R G A N E DE L'ASSOCIATION DES ANCIENS ÉLÈVES DE L'ECOLE CENTRALE LYONNAISE INSTITUT TECHNIQUE http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon Léon ROBERT & BERNARD Siège Soc'al : 32, Avenue Alsace-Lorraine — GRENOBLE CHARBONS INDUSTRIE GE CH DOMESTIQUE GROS, MI-GROS DÉTAIL* Téléphone : 18-76, 11-65 • de t o u t e s p r o v e n a n c e s f r a n ç a i s e s et étrangères •a [GRAPHITE de CORNUES à GAZ Tèlégr : BRAl - GOUDRON CARBONE-GRENOBLE fa AGENCES ET ENTREPOTS : M h B U R E A U X : 87, r u e de ITIôtel-de-Ville. — T é l . Franklin M-84 E N T R E P O T S : 87, 95 e t 102, cours C u a r l e m a g n e . PARIS, DIJON, STRASBOURG, ROANNE, St-ÉTIENNE. CHAMBERY, BOURG, VOIRON, MONTÉLIMAR, MILAN, T U R I N , G E N È V E . LYON Ch. DUTEL, Ingénieur E.C.L, 1921, fondé de pouvoir, à Grenoble HOUILLES - COKES AGGLOMERES î ANTHRACITES 3 B! B n © M .m u •es s -•a » ° s. te M AMÎLI@IÂTIOI EïID'LTâîlII du facteur de puissance et du rendement des moteurs actuels par la transformation de leurs enroulements (Moteurs à puissances multiples, brevet Pedrazzo) 1: S DUFRESNE » DELOGE B «9 Cortislililts lipides île la STAIïlilliii'OIL (D Lacassagne Télépli. : VILLEURBANNE - Anthracites M S « Louis FINS R. C. Lyon B 3176 MANUFACTURE FONDUS AU CREUSET D'OUTILLAGE Anciens DE PRÉCISION Etablissements BELMONT & MOINE 70 à 80, rue de la Montât St-ESTIIEÎISr^rE: Adresse UUsr.: IDEALACIER Téléph. (L o i r e ) 8-67 R. C. 1033 ACIERS en barres el en galets pour fraises ACIERS RAPIDES pour malriçagc.Ouiils à bois, etc FRAISES Représentants pour la Région Lyonnaise R. DE LA B A S T I E d E G . ) Vis fraises pour taillage d'engrenages f'eigies Sundcrlaud Taraud», Alésoirs, Peignes Landis, ele. ET P. BERTHET (E. C L . 1925) 730, r. de Sèze, LYON - Tél. Lalande ù-56 TOLS OUTILS SPÉCIAL! http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr S" 3 ». du Donetz en B. A G A B A U D I N G É N I E U R E . C. L . 1 9 2 0 S • 122, Cours a ta Charlemagne (4 LYON ACIÉRIES ET FORGES DE SAINT-FRANCOIS ACIERS ui L Y O N (Il ) (impasse Zindbergh) S8-09 » n CONCESSIONNAIRE EXCLUSIF DES CONCESSIONNAIRE 205, avenue .B CABAUD PIERRE s- K Adre 83 •a Ti Tél. r •« £ — a •O 01 a <o £ u I Téléph. Franklin 22-85 Chèques Postaux Lyon 6711 U.M.D.P. Vidanges et curage à tond des fosses d'aisances, puits perdus et bassins de décantation. TRANSPORTS EN VRAC DE LIQUIDES INDUSTRIELS DE LIQUIDES INFLAMMABLES DE GOUDRON ET SES DÉRIVÉS •••••••••••a Fabrication dînerais organiques de Mnges To 11 OB CONSTRUCTION de FOSSES et de DÉCANTEURS en communication avec l e s EGOUTS ENTRETIEN ET CONSTRUCTION D'IMMEUBLES G». \~i TJ" Jrd» J±J .XJ X J J ± Î lingénieur-Directeur (E.C.L. 1913) Tous les Ingénieurs SO, R u e D 197, de la Société sont des E.C.L. Grasparin — J L J V O S Ï Tél. Franklin 51-21 (3 lignes) http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E C H N I C A Tél.: PARMENTIER 45-21 — 45-22 E. CHAMBOURNIER Adres. Télégr. : MICA-LYON Importateur-Manufacturier Importation directe de flliéa et Fibre vulcanisée Philippe CHAMBOURNIER (Ingénieur E.S.E. • E.C.L. 1930) Cogef Lugagne 1929 A. B. C. Lieber's \ 1 ' I "» • 23-2S, rue de Marseille LYON MAISON FONDÉE EN 1895 Liste de mes prod uits dont le stock est toujours important Alliage fusible (fils et ruFils amiante. | PLAQUE « OHAMPION bans). Aluminium p' fusible Gommes laques (en pailpour grand isolement. (fllset rubans). lettes). Poignées isolantes (matières Indéchirable JAPON (pa- moulées, fibre et ébonite). AMIANTE pier). Pâte à souder (garantie sous toutes ses formes. sans acide pour soudures JAGONAS écrus. Bouchetrou (peinture de électriques). Résines isolantes garnissage). JOINTS marque» CHAMPION ». Bourrages en tous genres. Roitérlt; bl-métalliques; méRUBANS tallo-plastiques; pour autoBourre d'amiante. Isolants; huilés et vernis; de bougies; de briCartomiante (amiante com- mobiles; chattertonnés ; para pur ; des; cuivre et amiante. primé en plaques). 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Pétolat-Dijon xxiv '. . xvn Société Suisse, à W i n t e r t h u r x xvm XLVIII Société Alsacienne xxn XLVIII x x x CIMENTS Sociélé des Ciments français xx AIR COMPRIMÉ Splros xix C L I C H É S 2 Alexandre APPAREILLAGE ELECTRIQUE XI (iueiroard Anciens Etablissements S a u t t e r - H a r l é xv L Laureys Ateliers d e constructions de Metz 32 B r a n d t e t Fouilleret xxvi C O M P R E S S E U R S iu Croze xxxix G Eloiîtro-lmlusUielle xiv G. Claret xxvi et 4 couv. Compagnie Générale d'Electricité xxix Société Alsacienne de constr. m é c a n i q u e s . . xxn Conand et Lebet xiv Etablissements P a u l P e r r e t xi C O M P T E U R S ( e a u , g a z , électricité) C h a u v i n e t A r n o u x xiv Leyssieux et AHiod 32 Compagnie Continentale xxxv M a l j o u r n a l et B o u r r o n xxxiv Compagnie F r a n ç a i s e des conduites d ' e a u . , xxxiv P é t r i e r , Tissot e t R a y b a u d xxix CONSTRUCTIONS BÉTON ARMÉ Société Dufresne et Déloge couv. 2 Bonnel père et flls vu Société Oerlikon. -. XLVI Bougerol vm Société Savoisienne xxxn Escoffler e t C " xxxiv A P P A R E I L S DE L E V A G E , MANUTENTION Hennebique , 35 Applevage. xxxm Pauflque F r è r e s vi Ascenseurs Gervais xix Aciéries e t Forges d e Saint-François Aciéries de Gennevilliers Aciéries Tnomé-Cromback Ateliers d u F u r a n Schneider et C" Baudet, Donnon et Roussel G. Bonifas B r a n d t et Fouilleret Etablissements Tourtelier. L a Manutention rationnelle Luc-Court.. G. Claret Société Alsacienne d e constr. m é c a n i q u e s . . Société Oerlikon xxi xxxvi xxvi 2 xxxm xiv xvi xxn XLVI ARCHITECTES Tony Garnier, Durand et Faure ASPIRATEURS DE xxxv POUSSIÈRES Aspiron xxxix ASSURANCES L'Union Industrielle ASSURANCES XLII (Expertises) Galtier F r è r e s . XLVIII CONSTRUCTIONS ni xxvn et 38 vi BANQUES Schneider et C" xxx MÉTALLIQUES XLII Anciens Etablissements Teissèdre G a u c h e r a n d , Ginot et J a r d i l l i e r BÉTON A R M É xxv XLV xxxix (Etudes) Henuebicjue Mizony BREVETS D'INVENTION G e r m a i n et M a u r e a u ;... Jeanniaux Joseph Monnier Société française des ingénieurs-conseils.. BROSSES H e n r y Savy BRULEURS A MAZOUT G. Claret ET FILS ELECTRIQUES Fil-Dynamo Louyot Société Alsacienne d e constr. m é c a n i q u e s . . Société des Câbles de L y o n CANALISATIONS B. Bottel CAOUTCHOUC INDUSTRIEL Luquain CARTOUCHERIE L a Cartoucherie française CHAINES Rater Frères et C" Cetting-Jonas-Titan EAUX (Adduction CHARBONS POUR CHAUFFAGE CHARBONS POUR L couv. 2 couv. 2 L'ÉLECTRICITÉ Compagnie L o r r a i n e Société Le Carbone CHARPENTES XLIV xxxn MÉTALLIQUES Amant CHAUDIÈRES xiv ÉLECTRIQUES ET A VAPEUR Ateliers Bonnet-Spazin Babcok et Wilcox G. Claret G a u c h e r a n d , Glnot et J a r d i l l i e r Moyne et lluhai'Ueaux Société Alsacienne d e constr. m é c a n i q u e s . . CHAUDRONNERIE Anciens Etablissements Teissèdre....- et d i s t r i b u t i o n XLII L a Soudure Autogène Société industrielle de Creil v XLII et a p p a r e i l s de) B o u c h a y e r et Viallet Caliqua. E t a b l i s s e m e n t s Coste-Caumartin Etablissements Gelas et Gaillard M a t h i a s et Béard Société Générale de Fonderie CHAUFFAGE Calor. Paul Raquin http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr ÉLECTRIQUE d') D a y d é et Merlin xi EAUX INDUSTRIELLES Clpn et ( T r a i t e m e n t des) xxvi Emile Degrémont XLIV (Fourniture Compagnie d u G a z de L y o n xi xxxn x xx INDUSTRIELS Sté L y o n n a i s e d e s e m b r a n c h . i n d u s t r i e l s . . XLII xvm xvm vin xxm couv. 3 . . . xxxm xxix ENGRENAGES Acier,e» d liennevilliers Chambournier Etablissements Pionchon G a m b i n et C " HORLOGERIE ÉLECTRIQUE JDeiorme HUILES POUR AUTOS : xxv xxiv i xu xv xxi L L USINES Bouvier fils a î n é xxn MACHINES-OUTILS M a r c et Bret XLVIII CHIMIQUE Ch. L u m p p . Robatel, Buffaud e t C" POUR L'INDUSTRIE A r t h a u d , L a Selve et C'" vm MODELAGE L a p i e r r e e t ses fils xxxix MOTEURS Anciens Etablissements Sautter-Ha.lé Claret E t a b l i s s e m e n t s J.-L. M a t a b o n Robatel, Buflaud et C" Société Alsacienne de constr. m é c a n i q u e s . . Société Oerlikon, Société Suisse, à W i n t e r t h u r TEXTILE XLIX Société Alsacienne xv xxvi xxv xxxi xxn XLVI xxvm MOTO-POMPES B. Bottet G. Claret OPTIQUE xvi xxvi et 4 couv. (Instruments d') Augier Gambs Peter. . XL couv. 3 xn OUTILLAGE MÉCANIQUE Fenwick frères et C" M a r c et Bret PAPIER '. xxiv XLVIII A DESSIN Canson xxxvi PAPIERS ONDULÉS Tardy et PAPIER flls PHOTOGRAPHIQUE xv INDUSTRIEL A c h a r d e t C" : Gay Ozalid (Société L a Cellophane) XL ix xxvm PAPETERIES L PARQUE I S HYGIÉNIQUES xu PEINTURE Cadot Frères PIEUX POUR '. xxi FONDATIONS Pieux Franki PILES couv. 3 ÉLECTRIQUES Société L e Carbone PONTS A xxxn BASCULES Société de Construction de Voiron xvm CÉRAMIQUES R e n é d e Veyle L CHIMIQUES SOUDURE AUTOGÈNE ET xvm xxvi 38 xiv xxxvn xxm . xiv 35 xx v ALUMINO-THERMIQUE Aciéries de Gennevilliers. THERMOMÈTRES, xvn L TU XLIX MANOMÈTRES B e r r u e l et P r a d t TOILES xxxn ÉLECTRIQUE Moyne e t H u h a r d e a u x S o u d u r e a u t o g è n e française (La) SOUD-RE xxi 22 xxv ET FILS xvi MÉTALLIQUES Compagnie L y o n n a i s e de tissage m é t a l l i q u e . TOLERIE INDUSTRIELLE L a S o u d u r e a u t o g è n e française Thivollet TRANSPORTS INTERNATIONAUX M o i r o u d ' e t C" T U B E S A C I E R OU C U I V R E xvi v 37 XLVI Croze Rossier, Galle et C " xxxix XXYIII TUYAUX MÉTALLIQUES Sté française des t u y a u x m é t a l , V A N N E S POUR CHAUDIÈRES flexibles.. Etablissements Seguin xxxv xxvi VAPORISATION vm xxxi Ateliers Diederichs. xvi et 37 M A C H I N E S P O U R L A G. Claret xxv Ch. L u m p p Spiros Sturtevant xxiv Progil. . Rhône-Poulenc vm Société des p r o d u i t s chimiques Coignet XLVII XLVI P O U L I E S B O I S Béné et flls xi xxxiv R E S P I R A T E U R S Veuve D e t o u r b e XLI ROBINETTERIE INDUSTRIELLE xix E t a b l i s s e m e n t s Seguin XL R O B I N E T T E R I E SANITAIRE xxxvm E t a b l i s s e m e n t s J a c q u l n et Huzel ... xxxvm ROULEMENTS xvi Les a p p l i c a t i o n s d u r o u l e m e n t Société des r o u l e m e n t « R i v » x x v R O U L E M E N T S (réparations) L a l l e m e n t e t C" xxiv SERRURERIE Amant xxxvi S I È G E S Pierrefeu xxx Zénith. MACHINES xxxix fils (Commerce des) PRODUITS E T DE T.S.F. L'INDUSTRIE MÉTAUX IV PRÉCISION D e r a g n e p è r e et 19 T E R R A S S E S Couvraneuf xxxv TERRES ET BRIQUES RÊFRACTAIRES xxxvn Etablissements Lucien P r o s t 16 Gadot et M a r t i n , SURVEILLANCE POUR DE xxxvm D'OCCASION P a u l Chapellet. xxxi xi G i r a u d e t Rivoire Legendre. Robaudy. Juhan MACHINES INDUSTRIEL MÉCANIQUE PRODUITS xxm IMPRIMERIES LITS POUR xxxvm Société Alsacienne d e m a t é r i e l d ' s n t r e p r . . . Jules Weitz MATÉRIEL xvn i XLVIII xin La Prémoleine LAMiPES É L E C T R I Q U E S Visseaux x xni N e y i Hti.i et A M I J I I I Le Solidéal : (Installations) C h a r r e y r e et C" Collet F r è r e s et C" Poncet-Lacroix INSPECTION, &>gts Chaucel de c o u r a n t ) B u r e a u Veritas xxin I N S T R U M E N T S DE PES VC-E Tray vou xxxm ISOLANTS xxvi B l a n c h a r d et C" L Chambournier xxx F i b r e et Mica xxn La Royanite Luquain, xxx A r m a n d et C" C H A U F F A G E (Installations A r m a n d e t C" xv 35 * xxi ESSOREUSES B batel-Buffaud e t C' xxi F O N D E R I E A r t h a u d , L a selve et C'" XLIX Ateliers Diederichs xxiv C" des h a u t s - f o u r n e a u x e t fonder, d e Givors. XL Duranton et Achard 37 F o n d e r i e des Ardennes F o n d e r i e d e l'Isère, Mitai et M a r o n xxvi Louyot P e r r o t et A u b e r t i n xi, Roux xu Société G é n é r a l e d e fonderie xxn Vanney-Michallet 38 F O R G E - E S T A M P A G E Ateliers Deville xvi F O U R S Méker e t C" xxi F R A I S E S E N A C I E R Bavolllot xv FRAISEUSES xxxix Brun Pierre Cabaud Léon Robert e t B e r n a r d xxvm L COURROIES EMBRANCHEMENTS Crédit L y o n n a i s Société G é n é r a l e Société L y o n n a i s e . xxx xxn NAVALES CONSTRUCTIONS A r m a n d e t C" ÉLECTRICITÉ Berllet Citroen Renault MÉCANIQUES Schneider et C" Société Alsacienne ÉLECTRICITÉ AUTOMOBILES CABLES CONSTRUCTIONS D'ENTREPRISES Campistrou. Chantiers de Gerland xxn VENTILATION Casimir Bez et ses VERRERIE, flls xvn VITRERIE Dumaine Monnier T a r g e et ses flls 36 xxxvn XLIX VIDANGES xxvi et 4 couv. vm XLVII xix D.M.D.P couv. X http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. TECHNICA III LA VOITURE DE GRANDE SATISFACTION / ELLE FAIT L'ADMIRATION DE TOUS PAR SES LIGNES PURES ET DISTINGUÉES. ELLE DOIT SON INCOMPARABLE AGRÉMENT DE CONDUITE A LA PRÉCISION ET LA DOUCEUR DE SA DIRECTION, A SA GRANDE VISIBILITÉ, A SON CONFORT INÉGALÉ. USINES ET BUREAUX.VENISSIEUX (RHONE) http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr R L1E1 1 ik WÊÊ i tel http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E C H N I CA IV T. SIS JULES WEITZ 111, RUE LE PLUS BEAU PROGRAMME DE MATÉRIEL DE TRAVAUX PUBLICS FRANÇAIS DES CULATTES TRACTEURS DIESEL ET ESSENCE POUR TOUTES VOIES BÉTONNIÈRES CONCASSEURS ." a x PELLES ET EXCAVATEURS APPAREILS DE LEVAGE T.7Ô6 5 0 ANS D'EXPÉRIENCE = GARANTIE DE PERFECTION http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E CH N IC A LA SOUDURE AUTOGÈNE FRANÇAISE o S o c i é t é A n o n y m e au Capital d e 12 Millions d e F r a n c s DIRECTION GENERALE : 75, Quai d'Orsay — PARIS (7e) AGENCE et ATELIERS de LYON 66, R u e Molière — Tél. : Moncey 1 4 - 5 1 — (R. C. Rhône 1840) Directeur : LÉON BÉNASSY (1920) Ingénieur : JEAN GONTARD (1920) APPAREILLAGE : SOILJDTLJI^JbG oxy-aoétylénique et Découpage S O U D U R E électrique à l'aro SOtLTJDUI^E à l'aro par l'hydrogène atomique S O U D O - B R A S U R E métal BJE^OX MACHINES DE SOUDURE ET D O X Y C O U P A G E Métaux d'Apport contrôlés e t Electrodes enrobées HALL DE 2500 m2. — Charpente et Pont roulant entièrement soudés. DÉMONSTRATIONS - TRAVAUX CHAUDRONNERIE SOUDÉE http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon T E CHNI C A VI N° 3 — Mai 1933. Si vous cherchez dans votre 4 cylindres ROBUSTESSE SÉCURITÉ RAPIDITÉ CONFORT 4 choisissez une cylindres Renault MONAQUATRE 7 CV PRIMAQUATRE 10 CV VIVAQUATRE Magasin d'Exposition : 45, Rue de la République LYON PAUFIQUE Maison fondée en 1845 Générales 10 CV toutes livrées avecdeséquipements très complets et à des prix que permet seule la puissance des Usines RENAULT. 4313 FRERES Ancme Maison Jules Paufiquc Constructions Industrielles FUMISTERIE BETON ARME LYON PARIS 13, Rue Groléc (2 e arr4) 19, R. GodoMe-lIauroy (9 e arr4) Téléph.: Franklin 16-47 er 47-34 Téléph.: CaI 38-36 MARSEILLE BORDEAUX 46, Rue de la République, 46 1, Cours du Trente-Juillet Téléph.: 30-70 Téléph,: 69-23 http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres N° 3 Association des Centraliens de Lyon PRIX DU NUMÉRO : 3 fr. 5 0 — ABONNEMENTS (FRANCE) : 4 0 MAI 1933 FRANCS TECHNICA REVUE DE TECHNIQUE PRATIQUE ORGANE DE L*ASSOCIATION DES ANCIENS ÉLÈVES DE L'ÉCOLE CENTRALE LYONNAISE - INGÉNIEURS E. C. L. - Association fondée en 1866 et reconnue d'Utilité Publique par Décret du 3 août 1921 RÉDACTION — ADMINISTRATION — PURLICITÉ : au Siège de l'Association, 7, rue Grôlée, LYON compte Chèques Postaux : 19-95 -:- Téléphone Franklin 48-05 C O M I T É DE PATRONAGE MM. VILLEY. Préfet du Rhône. HERRIOT Edouard, Maire de Lyon, Député du Rhône. Général DOSSE, Gouverneur militaire de Lyon. LIRONDELLE, Recteur de l'Académie de Lyon. MM. BENDER, Président du Conseil général, Sénateur du Rhône. OBLLE A., Président de la Chambre de Commerce. LUMIÈRE Louis, Membre de l'Institut. VESSIOT, Directeur de l'Ecole Normale Supérieure. COMITÉ DE MM. BAOKEiS Léon, Ingénieur E.C.L., ancien Président de l'Association, Ingénieur-Constructeur. BAUDIOT, Avocat, Professeur à l'Ecole Centrale Lyonnaise. BELLET Henri, Ingénieur E.C.L., ancien Chargé de cours à l'Ecole Centrale Lyonnaise. BETHENOD Joseph, Ingénieur E.C.L., Lauréat de l'Académie des Sciences. COCHET Claude, Ingénieur E.C.L., ingénieur en Chef au Service de la Voie à la Compagnie P.L.M. DIEDERIOHS Charles, Ingénieur E.C.L., Ingénieur-Constructeur. DULAC H., Professeur à la Facultté des Sciences et à l'Ecole Centrale Lyonnaise. FOILLAŒtD Antoine, Ingénieur E.C.L., Ingénieur en chef aux anciens Etablissements Sautter-Harlé. JARLIER M., Ingénieur en. chef des Mine* Professeur à l'Ecole Centrale Lyonnaise. D a n s o© Techniciens ! Sentez-vous les coudes. Motorisation, aviation et urbanisme Emile GOURDON L'obligation d'exploiter les brevets d'invention. Réponse à des objections Jcsgpfa MONNIER. L'Installation du chauffage central au Palais de l'Alimentation de la Foire de Lyon GELAS et GAILLARD RÉDACTION MM. LEMAIRE Pierre, Ingénieur, Directeur de l'Ecole Centrale Lyonnaise. LICOïS Henri, Ingénieur E.C.L., Conseiller du Commerce extérieur, Inspecteur général du Bureau Veritas. LIENHART, Ingénieur en chef de la Marine, Professeur a l'Ecole Centrale Lyonnaise. MAILLET Gabriel, Ingénieur E.C.L., Ingénieur-Conseil. MICHEL Eugène, Ingénieur E.C.L., Ingénieur-Architecte. MONDIEZ A., Ingénieur en chef des Manufactures de l'Etat, Directeur de la Manufacture des tabacs de Dijon, Ancien Professeur a l'Ecole Centrale Lyonnaise. RIGOLLOT Henri, Professeur honoraire à la Faculté des Sciences, Directeur honoraire de l'Ecole Centrale Lyonnaise. SIRÈ J., Professeur à la Faculté des Sciences et à l'Ecole Centrale Lyonnaise. THOVBRT J., 'Professeur à la Faculté des Sciences. Numéro La Suède industrielle et touristique. — III. Les -forêts Roger FERLET. Chronique de l'Association È.C.L. . A travers les revues techniques et industrielles. Techniciens ! Sentez-vous les coudes* • • Un vieux proverbe français dit qu' « Il n'y a pas de fumée sans feu ». La philosophie nous enseigne qu'il n'y a pas d'effet sans cause; en conséquence, il apparaît puéril d'affirmer que la crise économique que nous subissons actuellement a, elle aussi, sa cause. Là-dessus, tout le monde est d'accord, mais cet accord cesse lorsqu'il faut dénommer cette cause. Est-ce le progrès, comme on l'a écrit, comme de hautes personnalités politiques l'ont proclamé et comme le croient beaucoup de gens de la masse et même d'ailleurs, hélas ! Nous écrivons ces lignes pour nous élever énergique-: ment contre une telle affirmation car les techniciens que nous sommes ne peuvent y souscrire. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr Le progrès peut être défini, croyons-nous, comme l'ensemble des choses qui contribuent à l'amélioration du sort des humains. Or, quels sont les artisans du progrès, sinon les techniciens. Par conséquent, si on accuse le Progrès, c'est vous, techniciens, que l'on met en jugement et c'est pour cela que nous vous disons : « Sentezvous les coudes / », quelle que soit votre formation d'origine. Défrndez-vous et que l'on cherche ailleurs les vrais responsables. Nous devons convenir que tes apparences sont contre nous. Il su$$it pour s'en convaincre de lire le très intéressant ouvrage que vient de publier notre compatriote Jacques DUBOIN, ancien sous-secrétaire d'Etat, et CJU'Û a intitulé « La grande relève des hommes pur la machine ». http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon T E C H N I CA 2 Les profanes apprennent, en le lisant, des choses infiniment curieuses .- " Dans l'industrie du verre, grâce à une machine nouvelle, 9 ouvriers en remplacent 90. Pour la fabrication des ampoules électriques, un matériel récent et perfectionné a multiplié par plus de 30 la production d'un ouvrier. Dans la chaussure, le cordonnier du temps jadis tend à disparaître en raison de la production intensive et parfaite des usines de chaussures, de mieux en mieux outillées. En Bohême, 1.000 ouvriers seulement, occupés à la fabrication des bouteilles, produisent deux fois plus, grâce à l'outillage dont ils ont été pourvus, que 8.000 ouvriers ne produisaient il y a tout juste 13 ans. Pour vous, fumeurs, il a été construit des machines* qui font 2.500 cigarettes à la minute et un seul ouvrier, suffit à leur conduite. Un seul ouvrier encore surveille un matériel moderne] producteur de 400.000 tuiles par jour. | Des presses hydrauliques capables de forger des piè-' ces d'acier de 30.000 kilos sont manœuvrées par deux hommes. Des appareils de levage élèvent des charges de 500.000 ïitto's à la vitesse de 20 m. à la minute, sous la surveillance de deux hommes seulement. Au temps jadis il en aurait fallu 2.000. Ces quelques exemples, pris entre cent autres, peuvent indiscutablement prévenir contre les techniciens, créateurs de toute cette machinerie, des esprits non avertis, qui peuvent conclure, chagrins, que plus la technique avance, plus il y a de chômage, que plus la production augmente, plus la consommation diminue. M. Jacques Duboin développe bien d'autres considé rations, mais elles sont d'ordre purement économique et financier et nous ne pouvons ici que les énoncer, car les discuter nous entraînerait hors du cadre strictement limité de notre Revue. M. Duboin montre à ses lecteurs que l'abondance provoque la thésaurisation et détruit le profit. Il a soin d'ajouter que si l'abondance ne se chargeait pas de la mort de celui-ci, le fisc s'en chargerait.... Mais ceci est une autre histoire. L'auteur de « La grande relève » montre enfin que pour ressusciter le profit, il faut détruire l'abondance. Il est permis de ne pas être partisan de celle solution. Là encore nous aborderions un domaine qui n'est pas le nôtre et nous dirions qu'il faudrait peut-être chercher à balancer les progrès dus à la technique, dont l'abon- N° 3 — Mai 1933. dance est la conséquence, par la recherche de débouchés nouveaux {il y a tant de pays et de peuples qui ne connaissent pas encore les bienfaits de la civilisation), par une meilleure répartition des produits manufacturés bu cultivés dans les pays civilisés, etc. Mais nous toucherions là à l'économie politique, peut-être même à la politique tout court. Arrêtons-nous pour conclure, par contre, avec M. Jacques Duboin, qu'il est parfaitement possible de concevoir que viendra une époque où il n'y uura plus de chômeurs, tout simplement parce que tout le monde travaillera pendant un temps réduit, et cela grâce aux progrès de la technique. Il ne sera pas possible alors de nier que celle-ci n'ait contribué à donner un peu plus de bonheur aux hommes par un peu plus de bien-être avec moins de peine : ceci n'est en contradiction avec aucune thèse philosophique ou religieuse. Nous pouvons d'autant mieux défendre cette thèse que nous parlons « en techniciens » et non « des techniciens ». S'il est facile, en effet, de suspendre le travail des bras par le son d'une cloche, il est infiniment plus difficile d'arrêter net, à heures fixes, celui des cerveaux. Les techniciens, à quelques rares exceptions près, peut-être, ignorent à ce jour la loi de huit heures : même sortis de leurs bureaux, ils travaillent encore. De même travailleront toujours, sans arrêt, les savants qui font les découvertes que les techniciens appliqueront. Peut-on songer sérieusement à limiter leurs recherches, à paralyser leurs efforts?... Autant vouloir modifier la course des astres. Par conséquent, nous le répétons, il n'est pas incohérent d'envisager l'amélioration du sort des humains par les progrès de la science, appliqués par les techniciens avec des méthodes réduisant au minimum la peine de \ïhomme. Mais nous devons ajouter qu'il sera indispensable, par contre, que cette diminution du temps de travail soit réalisée simultanément dans tous les pays, faute de quoi l'hégémonie de celui qui travaillerait plus, ne ferait aucun doute, en considérant, bien entendu, les pays voisins, aussi bien outillés, qui travailleraient moins. Ce n'est malheureusement pas aux Ingénieurs à imposer celle loi... de politique internationale! Souhaitons S seulement de grand cœur que nos hommes d'Etat y parviennent. > • • • — • • • • • • • MONORAILS à main (Syst. TOURTELLIER Bté) et électriques j ÉJSOCÊDIW^ C^ PALANS ELECTRIQUES reloue Ponts roulants - Portes roulantes PHOTOGfi^/URE -INSTALLATIONS Ll'SStfêg E * 12.AR. N D BARABAMl DE 1 FOfiDeetMiûOg. 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L. 1911, SUCCESSEUR Entreprise Générale de Travaux Publics et Constructions Civiles Constructions en béton armé BUREAUX: 4 , IR/Lie Regietre du Commerce Lyon A. 58.695 ' http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr Fumisterie Industrielle -::- Etudes d \ i 0£ia.riot-ci'Or, Devis 4 - Exécution L-YON Téléph. : BURDEAU 04-79 http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. • 1 ' T E C H N I C A Motorisation, Aviation ^ — — — — et par EMILE GOURDON, Ingénieur E.C.L. A notre époque de mouvements où le nombre sans cesse grandissant des voitures automobiles pose de graves problèmes de circulation et d'urbanisme, l'on peut se demander quel sera l'effet de l'aviation sur l'architecture des villes, dans un avenir plus ou moins éloigné CONSEQUENCES DU PERFECTIONNEMENT DES TRANSPORTS Si l'on examine dans le passé les répercussions de l'invention des transports à vapeur, l'on remarque qu'elles sont surtout d'ordre économique et social; elles se caractérisent par la création de quartiers, de gares et de ports. Astreints dès leur origine à suivre le rail, suivant des pentes et des rayons déterminés, les chemins de fer provoquent des modifications importantes dans les quartiers généralement périphériques qu'ils traversent, par les ouvrages d'art qu'ils nécessitèrent. Les faubourgs furent aérés par des percées nouvelles, tant pour les voies ferrées elles-mêmes que pour les voies d'accès aux gares, en général réunies aux anciens centres économiques ou administratifs par une ou des avenues à peu près reclilignes.- Ces avenues furent de nouveaux centres hôteliers et commerciaux, qui prirent même dans certains cas une importance plus grande que l'ancien, et l'ensemble de }a cité forme souvent actuellement deux quartiers bien distincts : la nouvelle ville et l'ancienne ville, de caractères nettement différents. Il est à remarquer que toutes ces transformations sont relativement récentes et ont moins d'un siècle; drainant le trafic au détriment des voies d'eau et des routes, les chemins de fer ont modifié certains quartiers. Dans le cas de villes industrielles et de ports, le trafic des matières premières devient important; la ville se complète, près des gares de marchandises, d'un quartier de docks et d'industries de transformations, dont l'extension fut parfois très rapide, par suite du voisinage de certaines matières utiles et la création d'industries nouvelles locales. Les chemins de fer eux-mêmes furent la cause de formation de villes nouvelles, dans les points de croisements, de bifurcation, de changement de ligne, la nécessité du triage et de la répartition amena, forcément, un noyau dépendant de la compagnie, autour duquel vinrent s'agglomérer les commerces et petites industries nécessaires à la vie. Les compagnies contribuèrent d'ailleurs souvent pour une forte part à l'établissement de la cité en construisant elle-même logements et locaux nécessaires à leurs employés. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr 3 Urbanisme — — — — • — — Tel petit village vit subitement, en quelques années,, sa population passer de quelques centaines à plusieurs milliers d'habitants, et sa physionomie en fut complètement transformée (Ternier, Is-sur-Tille, VilleneuveSaint-Georges, Chasse, Saincaise, Vierzon, etc.). Dans les pays neufs, en Amérique du Nord en particulier, l'on vit même surgir en quelques années des villes énormes, par suite de la mise en exploitation de ressources naturelles inutilisables jusqu'alors, faute de transports (mines diverses, cuivre, pétrole, etc.; cultures, blé, fruits, etc. ). A l'intérieur des villes l'on a vu, depuis 35 ans environ, se développer les services de transports en commun, tramway à vapeur et à air comprimé, puis électrique; chemins de fer métropolitain; enfin, depuis 20 ans environ, autobus, taxis et automobiles particulières. Pour ces dernières, leur augmentation fut telle que, depuis une dizaine d'années, elles posent un problème grave, celui de la circulation. Le trafic automobile, de par sa facilité de pénétration par tout chemin carrossable, n'a pas modifié sensiblement des quartiers plus que d'autres; toutefois, utilisant la route, il a rétabli en faveur de celle-ci l'équilibre rompu par les chemins de fer. La circulation s'intensifiant, surtout depuis 1920, l'on a vu surgir, un peu partout, des relais, garages, ateliers de réparations, postes de ravitaillement. Ces dernières années ont été marquées par une poussée nette des trafics de messagerie et de voyageurs par cars et services divers, dont la réunion des voilures sur certaines places ou rues modifie leur aspect. L'automobile a surtout agi sur l'urbanisme par son encombrement, trois ou quatre personnes à pied occupent une surface quatre fois moindre qu'un véhicule, que, d'autre part, l'on est obligé de laisser sur la chaussée quand on le quitte. LE PRORLEME DE L'ENCOMRREMENT DANS LES CENTRES URBAINS A certaines heures et dans certains quartiers, des sens de mouvement très marqués se manifestent, les véhicules se suivent à intervalles rapprochés, dans une ronde rapide. Que l'un d'eux, pour une raison accidentelle, s'arrête de façon irrégulière, il provoque de suite l'arrêt de l'ensemble et, en quelques minutes, des centaines de véhicules sont immobilisés, empêchant toute circulation non seulement dans la voie elle-même mais dans toutes celles affluentes ou dérivées. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon T E C H N I CA En rase campagne, la recherche de vitesses, sans cesse croissantes et l'augmentation du poids des véhicules, semblent faire prévoir, dans l'avenir, la création de routes spéciales, dites auto-routes, avec sols spéciaux, sens unique et tracé rectiligne, sans croisements ni bifurcations dangereuses, traversant sur des ponts les obstacles et voies ordinaires, et où toutes les vitesses seront permises. Ces routes, établies par l'industrie privée, seront des routes à péage; encore rares à l'heure actuelle, il n'en existe que quelques-unes en Italie, en Allemagne, en Angleterre et aux Etat-Unis; un projet est à l'étude en France, entre Lyon et Evian. N" 3 — Mai 1933. Le problème se pose actuellement avec une acuité particulière pour les'capitales, dont Paris. Divers remèdes lurent envisagés; d'abord, des réglementations sur les sens de circulation avec signalisation, giration, points de stationnement, grands garages, interdiction de circuler aux poids lourds, etc. Mais, au bout de quelque temps, ils se révèlent insuffisants, le nombre des voitures augmentant toujours; divers projets sont à l'étude. Le plus simple serait l'élargissement des rues, mais pour obtenir une largeur suffisante il faudrait au moins doubler celle actuelle; cela conduit à démolir près du VAUDAUX AKCh-, L'auto-route Lyon-Evian projetée — La future station de Chambéry tiers de la surface bâtie, ce qui, pratiquement, est inexécutable étant donné la valeur des expropriations nécessaires. On a cherché ensuite à passer soit par-dessus, soit pardessous la chaussée, mais ce n'est pas sans rencontrer de difficultés. En dessous, l'on tombe dans les multiples réseaux de canalisations de toute nature : eaux, gaz, électricité, air comprimé, chauffage urbain, téléphone, égouts, métropolitains, etc. Enfin, ce sous-sol peut être inondable et il faut y accéder par des rampes encombrantes et coûteuses, gênant souvent les rues voisines. Pour la traversée des piétons, l'on a souvent utilisé les raccordements aux gares du Métropolitain pour des passages transversaux; il est même étudié d'augmenter la capacité de trafic de certains par des trottoirs roulants, rampes et escaliers transporteurs, etc. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr Les projets de passage en dessus présentent les mêmes inconvénients, mais à un degré moindre. Un projet mixte consiste à établir dans les artères trop chargées un passage supérieur pour les piétons au niveau du premier étage des maisons, les magasins y seraient reportés et les rez-de-chaussée, rendus libres, seraient utilisés comme garages ou passages de communication transversaux. M. Ventre a même étudié un projet de rue spéciale pour automobiles passant dans l'axe des cours intérieures d'immeubles. L'ancienne rue serait surélevée et formerait une avenue plantée d'arbres et de jardins. Il semble, toutefois, que dans un tel projet la partie sur cour est sacrifiée et formera un couloir bruyant peu agréable aux voisins et usagers. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E CH NI C A TOUS IX LES PAPIERS pour la REPRODUCTION de PLANS E u g . G A Y - LYON 154, R u e M o n c e y =:= Téléphone .• DÉPÔT A PARIS : 62, Rue Chardon = Lagache FABRIQUE = MONCEY i7-os Téléphone : AUTEUIL 0 3 - 3 6 de PAPIERS FERRO - PRUSSIATE P l - T O T O d A Y -*~ -L-Lv-' -L. \-S\~A Jr^. _L (-' ^a développement à sec : - \ MARQUE u x vapeurs d'Ammoniaque / DÉPOSÉE p.-*=» m T- I i » îtnfff^ • me fi [II IIJ I H! [E • -.-]. 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T E C H N I CA PREMIERES UTILISATIONS DE L'AVIATION Depuis 1906, année du premier vol de Santos-Dumont, jusqu'à l'année 1910, l'aviation ne fut guère autre chose qu'un sport tendant à devenir transport. De 1910 à 1914, toul en progressant, elle s'oriente nettement vers des fins militaires que la guerre de 1914 à 1918 lui sera une occasion de manifester. Subventionnée alors largement par les belligérants, les progrès furent sans cesse grandissants, mais tous orientés dans des buts de combats ou de destruction. Des moteurs, sans cesse plus puissants, entraînent à des vitesses de plus en plus grandes des appareils de plus en plus maniables ; mais les questions consommation, usure, finesse et économie étaient au second plan; et il semble bien qu'il en soit resté quelque chose. En effet, les moteurs avaient de telles marges de puissance que les qualités de la voilure étaient fort négligées; enfin la nécessité d'avoir de grandes vitesses pour combattre faisait oublier qu'une faible vitesse en vol est une qualité fort appréciable au départ et à l'atterrissage. En outre, la question des prix était sans importance, les fournisseurs ne pouvant suffire aux demandes. Malgré tout, en 1920, les progrès étaient importants et se manifestaient par des performances remarquables. Ce sont : première traversée de l'Atlantique-Nord (3.040 km.), par Alcok et Rrown, en 1919. Londres-Le Cap, en 45 jours. Rome-Tokio, en 108 jours. La vitesse est de l'ordre de 300 km. à l'heure; l'altitude atteinte de 10.093 mètres. Le record de distance en circuit fermé est de 1.915 kilomètres. Les charges utiles transportées, de l'ordre de 1.000 kilos, et.les plus gros moteurs, pesant 720 gr. par HP, font 300 HP. Actuellement, soit un peu plus de douze ans après, les performances correspondantes sont devenues : Traversée directe de l'Atlantique, de New-York à Constantinople, soit 8.104 km. Tour du monde par Post et Gatty, 26.000 km. en huit jours. La vitesse est de 660 km. à l'heure et l'altitude atteinte de 13.157 mètres. Le record de distance en circuit fermé est de 10.500 km. Les charges utiles transportées varient entre 10.000 et 20.000 kilos, et il existe des moteurs de 2500 HP ne pesant que 350 gr. par HP. LE TOURISME ET L'AVIATION L'aviation commerciale et touristique se développe partout, mais au point de vue touristique elle est fort gênée en France par Jes formalités et la nécessité d'avoir pour les appareils un permis de navigabilité. En effet, le développement du vol à voile et les résultats obtenus permettent d'affirmer qu'un bon appareil de vol à voile, muni d'un petit moteur d'une puissance de l'ordre de 10 HP (un bon moteur de motocycle, par exemple), ferait un excellent appareil de tourisme biplace de prix moins élevé qu'une automobile et de consommation moindre. La vitesse ne serait pas très grande, mais largement suffisante pour une utilisation pratique. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr 5 En Angleterre, des appareils d'une puissance de 10 HP sont sur le marché à des prix de l'ordre de 15.000 francs. Aux Etats-Unis^ des appareils du môme genre, mais un peu plus puissants, sont très répandus. Leur rayon d'action varie de 300 à 800 km., plafond 3.000 à 5.000 mètres; vitesse 50 à 200 km. à l'heure; surface de 12 à 20 m2. Ces appareils, en majorité monoplans, peuvent emporter une charge utile d'environ 200 kilos et leurs prix sont de l'ordre de 5 à 600 dollars (15.000 fr. environ, 10.000 francs non montés). Depuis quelques années, les appareils à voilures tournantes sont entrés dans le domaine pratique et certains modèles d'hélicoptères et d'autogires font espérer que, dans un avenir peut-être peu éloigné des dispositifs à hélices sustentatrices seront utilisables. Au point de vue urbanisme, ce fait sera gros de conséquences en permettant des départs et atterrissages presque verticaux, sur des emplacements réduits (terrasses, par exemple). Il semble qu'en France l'on néglige un peu trop un mode de navigation aérien qui a pourtant fait ses preuves : c'est le dirigeable. Après les voyages du « Graff Zeppelin » en Amérique du Sud et autour du monde, il faut bien reconnaître que le matériel est parfaitement capable d'assurer une exploitation régulière par tous les temps; il est regrettable qu'un dénigrement trop systématique pour être juste fausse les idées du grand public sur ce sujet. La France, avec son grand domaine colonial d'Afrique, serait parfaitement indiquée comme exploitante d'une ligne transafricaine par dirigeables. L'Angleterre s'est parfaitement rendu compte des avantages qui pourraient en résulter et, malgré certains échecs, n'a pas du tout abandonné la question; et aux Etats-Unis 1' « Akron » doit être remplacé par un appareil de 184.000 m3. La majorité du public français, tout en s'inléressant à la navigation aérienne, est assez mal renseignée sur ses fins pratiques. Si la grande presse parle bien des raids, records divers et prouesses sportives, elle passe sous silence beaucoup de faits intéressants et la publicité sur les accidents est excessive, car, en regard, elle ne renseigne pas sur les exploitations normales, qui sont à peu près ignorées. A titre documentaire, nous pouvons signaler, par exemple, que, pendant le mois de janvier 1933, la Compagnie Air Union a, sur le trajet Paris-Lyon-Marseille, fait 119 voyages, soit 44.210 km., emportant 404 passagers, 17.584 kilos de messagerie et 481 kilos de lettres. Sur le trajet Paris-Londres-Paris, il fut fait 196 voyages, transporté 854 personnes, 68.887 kilos de marchandises et 549 kilos de poste. Sur l'ensemble de son réseau, cette Compagnie a fait, pendant ce même mois de janvier, 496 voyages, soit 185.449 km.-, emmenant 1.717 passagers, 100.062 kilos de fret et 2.689 kilos de poste, avec seulement cinq pannes, imputables au matériel, soit une pour 37.000 km. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres 6 Association des Centraliens de Lyon T E C H N I C A LES POSSIBILITÉS MILITAIRES DE L'AVIATION MODERNE • En ce qui concerne les appareils actuels et leurs possibilités d'utilisation, nous en résumons les caractéristiques dans les tableaux qui illustrent cet article, où les appareils, classés par pays, sont tous dessinés à la même échelle, pour pouvoir être comparés entre eux. De l'examen de ces tableaux, il résulte qu'à peu près tous ces avions sont ou peuvent être de redoutables engins de guerre. En effet, tout appareil commercial est, en quelques heures, transformable en engin militaire en lui adaptant, dans des conditions d'ailleurs prévues à l'avance : tourelle à mitrailleuses, canon à tir rapide, viseur pour bombardement, etc. Bien entendu, certains modèles plus ou moins spécialisés pour des fins commerciales précises seront plus facilement utilisables d'une façon que d'une autre, mais en principe à peu près tous peuvent être employés avec un rendement militaire satisfaisant. Ce qui frappe également, c'est le moyen d'action et il est de toute évidence qu'actuellement tous les pays ont sur une profondeur de 1.000 kilomètres, leur territoire exposé, en cas de guerre, à une attaque aérienne. Comme la plupart des puissances n'ont même pas cette profondeur, l'on peut dire qu'aucun point du territoire des puissances européennes n'est à l'abri d'une attaque venant d'un pays limitrophe. Si nous supposons, par exemple, que la Société des Nations soit — comme il en a été question — pourvue d'une flotte aérienne, il sera parfaitement possible à cette flotte, partant de. Genève, d'aller arraisonner à Londres, Dublin, Edimbourg, La Haye, Bruxelles, Christiania, Stockholm, Copenhague, Riga, Varsovie, Berlin, Vienne, Budapest, Belgrade, Bucarest, Salonique, Rome, Turin, Naples, Tunis, Alger, Madrid, Lisbonne, sans parler de Paris, car la France étant de forme ramassée peut être survolée toute entière, et la même flotte pourrait parfaitement aller bombarder Brest et rentrer à Genève sans escale. Bien entendu, la capacité de bombardement sera en raison inverse de la distance, mais si l'on considère uniquement deux pays voisins, avec une frontière commune, toutes les suppositions sont possibles. Indépendamment des possibilités d'action par bombardement, l'aviation peut parfaitement être utilisée pour déposer à l'intérieur d'un territoire ennemi des corps de troupe transportés par avion. Les Anglais ont, pour renforcer des groupes de police, transporté du Caire en Mésopotamie, à l'aide de neuf Vickers~-Victoria bimoteurs, 600 hommes du régiment de Northamptonshire. Un transport analogue fut effectué également entre i'Egypte et l'île de Chypre par des appareils du même modèle, chaque appareil pouvant transporter 22 soldats avec leur équipement. Les Etats-Unis ont été plus loin encore. Une batterie complète de quatre obusiers de 75 %, s'envolant du terrain de France-Field, fut transportée à 120 km. de là, à La Vanta, en 45 minutes. Le matériel nécessaire était constitué par : un avion d'observation, emmenant en http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr N° 3 — Mai 1933. avant l'officier allant reconnaître l'emplacement de la batterie, 3 avions Keystone, type bombardement; 2 Sikorsky et un Ford gros porteur. Les Etats-Unis-étudient même la possibilité de débarquer par parachutes le personnel et le matériel, les avions transporteurs n'auraient alors pas à atterrir et ne feraient plus que survoler l'objectif. Des opérations de ravitaillement furent également effectuées par avion au Maroc, lors de la guère du Rif, et à Caboul, lors des révolutions d'Afghanistan, où l'évacuation de la population civile européenne se fit par aéroplanes. Il ne faut pas oublier non plus que, pendant la guerre, l'Allemagne ravitaillait par zeppelin ses colonies du centre africain, et que l'un d'eux arrivant sur place, et trouvant la localité occupée par les alliés, fit demi-tour et réussit à rentrer en Allemagne, ce qui est un bel exploit. Etant donné ces possibilités, l'on se demande s'il ne sera pas nécessaire, en cas de conflit, de posséder des groupes de troupes spéciales motorisées qui, rapidement transportables, seraient opposées en temps utile aux troupes aériennes de débarquement, dont l'efficacité pour destruction d'ouvrages d'art et d'usines de guerre serait augmentée par l'effet de surprise, car une attaque nocturne menée par des groupes résolus de pionniers chargés d'explosifs, appuyés par des mitraillettes, aurait de grandes chances de réussite. L'on peut se demander de quelle importance peuvent être des considérations d'ordre militaire sur l'architecture urbaine. Nous le verrons plus loin en exposant les effets d'un bombardement possible. En ce qui concerne l'aviation civile, l'extension du trafic a conduit dans la majorité des villes capitales à la création d'aérodromes, puis de ports aériens et enfin de gares aériennes, dont celle de Lyon est un spécimen réussi, auquel on ne peut faire qu'un reproche, c'est d'être un peu petite au cas d'augmentation du trafic. 11 faut, en effet, penser, là plus que partout ailleurs, à l'avenir. Une leçon en la matière nous est donnée par les premiers constructeurs des chemins de fer, dont après un siècle les gabarits sont encore utilisables. En urbanisme surtout il ne faut pas avoir peur de l'aire grand ou tout au moins de réserver l'avenir. Il est curieux, à ce sujet, de se reporter aux critiques qu'eut à subir Haussmann pour des projets de boulevards que nous trouvons actuellement trop petits. Ce qui manque actuellement aux gares aériennes c'est une liaison rapide avec le centre de la ville, et cela à un point tel, que le trajet de la ville à l'aérodrome est souvent proportionnellement plus long que le trajet par avion de la ligne exploitée (par exemple Lyon-Bron et Bron-Genève); cet éloignement est particulièrement sensible pour le trafic postal, dont le tri n'a pas lieu aux aéro-gares, ce qui retarde les transmissions et distributions. A Paris, où une nouvelle gare va être construite au Bourget, le Métropolitain va y être prolongé, et une liaison par tubes pneumatiques existe pour le service postal, mais n'est employée que moyennant une surtaxe. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. TECHNICA EbECT^ICITÉ XI .-:« coauant continu, coupant alternatif ••••••••••• Eclairage, Chauffage, Force motrice, toutes applications industrielles Lyon et communes suburbaines COMPAGNIE DTGAZ DE LYON 3, Quai des Célestins, 3 MATÉRIEL ÉLECTRIQUE Tél.: 8 8 2 Etabl ts Paul PERRET Cil. A. PEBRET (lag. 3. C. L. 1928 I. E. G.) 23, rue Bât-d'Argent Téléph. Bardeau ïris Oïclnés 2. PI.Guillaume-Tell- I H U l i t i C t J S B L Y O N : 3Vn. M-A. S I IX S 2, rue Jeanne-d'Arc — LYON O - ^ - R D I E I E T , Représentant Téléph. : Momcey 52-16 -LYON 3b-2i Télégraphe Perepol-Lyon Appareils de Mesure Compteurs électriques S. 1. F. A. M. Isolateurs Porcelaine et Verre Etabl. 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Bimoteur de 960 CV bombardier-torpilleur ; envergure : 30 m. 36 ; longueur: 16 mètres ; poids total : 6.870 kg. ; charge utile : 1.690 kg ; rayon d'action : 1.400 km. Hydravion LATÉCOÈRE «38». ' Bimoteur de 1.300 CV destiné au service de l'Atlantique Sud ; charge utile (équipage et combustible compris) : 5.000 kg. ; rayon d'action, en ordre de marche, avec 10.600 kg. de poids total: 4.500 km., l'un de nos meilleurs prototypes. Détenteur du record de distance en circuit fermé avec 2.000 kg. de charge. Avion AMIOT S.E.C.M. «140». Ce bimoteur de 1.4O0 kg. CV est un multiplace de combat ; avec une charge utile de 1.500 kg., son rayon d'action est de 800 km; Avion BLÉRIOT «125». Bimoteur commercial de 1.000 CV ; envergure : 29 m. 40 ; 14 m. 50 ; poids total : 4.460 kg. on d'action : 1.000 km. rayon http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon T E C H N I CA Dans quel sens la construction aérienne de l'avenir sera-t-elle orientée ? Il est difficile de se prononcer. Verrons-nous de gigantesques transatlantiques stratosphériques ou de gros hélicoptères de formes ramassées? l'avenir nous le dira; cependant, il est certain que les appareils augmenteront en nombre, en puissance et en capacité. A part l'appareil de tourisme et de sport, motocycle ou automobile aérienne, il semble que les appareils de 100 places seront courants, ils seront de grande envergure et il leur faudra de grands hangars et de vastes pistes de départ pour évoluer facilement. N° 3 — Mai 1933. INFLUENCE DU DEVELOPPEMENT DE L'AVIATION SUR LA CONSTRUCTION ET L'URBANISME Cela conduira à aménager de grands terrains qui, par suite de leurs dimensions, seront éloignés de la Cité, à moins que celle-ci se développant autour de l'aéroport, il se forme là, comme pour les gares de chemin de fer, un nouveau centre qui dépasse l'ancien en importance; l'on peut aussi envisager en cas de diffusion des hélicoptères, l'utilisation des terrasses comme points d'atterrissage. Encore faudra-t-il que les dites terrasses soient La gare aérienne de Lyon-Aviation construites pour pouvoir supporter le poids des appareils, poids qui ne sera pas négligeable. La ville serait, dans ce cas, pourvue de vastes plateformes d'atterrissage, d'une hauteur de 40 à 50 mètres, dont l'infrastructure serait occupée par les services généraux, messageries, poste, salles d'attente, ateliers divers; peut-être hôtels et restaurants, etc. Ces constructions auront une certaine analogie avec les projets actuels établis pour la construction d'îles flottantes destinées à servir de relais sur les trajets transatlantiques; pour ces îles, en dehors des difficultés d'ancrage, un des principaux aléas est la nécessité d'avoir un bassin d'eau calme pour obtenir un amérissage facile, ainsi que les risques de chocs que présente la plateforme flottante par mer agitée, pour l'atterrissage direct des appareils. Toutes ces considérations sont uniquement basées sur des données pacifiques et commerciales, mais quelles seront les modifications qui pourront résulter de considérations d'ordre militaire? Il est à remarquer que toute http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr l'architecture du moyen âge fut, pendant des siècles, dépendante de l'art militaire. La question sécurité prime toutes les autres, la ville est fortifiée, le château et le donjon servent de refuge à la population civile qui, au signal du guetteur, s'y réfugie en hâte à la moindre alerte et l'on ne peut s'empêcher de remarquer une analogie avec l'acte de la foule gagnant les abris à l'appel de la sirène d'alarme, signalant la venue des avions de bombardement. Il est triste d'avoir à notre époque de civilisation à envisager de telles nécessités. ACTION AERIENNE CONTRE UNE VILLE ET MOYENS DE DEFENSE Les moyens d'action mis en œuvre pour une attaque peuvent être soit un débarquement, soit un bombardement. Le premier n'est, à l'heure actuelle, possible que pour des actions déterminées sur des objectifs stratégiques importants et qui seront, pour des raisons d'effectifs, http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E C H N I C A XIII LES CHANTIERS DE GERLAND Société S o c i a l : R. C. 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Cet appareil métallique, de 2.400 CV de puissance totale, est un quadrimoteur qui emporte une chai-ge utile (sans l'équipage ni le combustible) de 3.108 kg. ; rayon d'action (suivant la charge emportée) : 800 à 1.280 km. Hydravion SHORT « V A L E T T A » . Trimoteur à flotteurs de 1.470 CV ; charge utile : 3.567 kg. ; rayon d'action à la vitesse de croisière de 170 km. Hydravion SHORT « C A L C U T T A » . Trimoteur de 1.500 CV ; charge utile (sans l'équipage ni le combustible) : 1.630 kg. ; rayon d'action entre 850 et 1.200 km. La France a acheté l'avion short « Calcutta » pour son aviation maritime. Hydravions BLACKBURN « N I L E » et « S Y D N E Y » . Le premier modèle est le type commercial, le second est le type militaire. Trimoteur de 1.545 CV de puissance totale ; charge utile : 4.050 kg. ; rayon d'action suivant la charge : 725 à 1.300 km. Hydravion S U P E R M A R I N E « S O U T H A M P T O N ». Ce bimoteur de 900 CV a effectué de nombreuses croisières fort réussies avec une charge utile de 1.300 kg. ; son rayon d'action est de 1.100 km. APPAREILS RUSSES Avion « A N T - 9 » . Trimoteur métallique de 2.000 CV pour le transport de 9 passagers et 2 pilotes ; envergure : 23 m. 73 ; longueur : 17 mètres ; poids total : 5.000 kg. ; charge utile : 1.700 kg., pour un rayon d'action de 1.700 km. Avion « ANT-14» Monoplan métallique de transport pour 32 personnes, deux pilotes, un radio et chef mécanicien ; pentamoteur de 2.400 CV de puissance totale ; envergure : 40 ni. 40 ; longueur : 26 m. 50 ; vitesse maxima : 214 km. ; charge utile : 7.000 kg. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres 10 Association des Centraliens de Lyon T E C H N I C A choisis par l'assaillant aussi loin des agglomérations que possible, de façon à retarder la contre-altaque en agissant sur des poinls dégarnis de troupes. . . Le bombardement, au contraire, sera de préférence dirigé sur des grosses agglomérations, plus faciles à repérer et à atteindre et que leur grande étendue rend plus vulnérables, comme, d'autre part, commercialement et industriellement, le résultat obtenu sera plus efficace et impressionnant,, il en j-csulle que plus la ville sera importante, plus elle sera exposée. Ce bombardement peut être effectué par des projectiles, explosifs, incendiaires ou, malgré les conventions, chargés de gaz toxiques. Pour les explosifs, l'effet est fonction du poids de la charge, de la hauteur de chute et du point d'éclatement. La variété de projectiles ' utilisables n'est que trop étendue, depuis les bombes de quelques kilos pénétrant dans le sol à 1 mètre de profondeur avec entonnoir de 2 mètres de diamètre, et qui agissent surtout à la façon de schrapnels par leur gerbe d'éclats, jusqu'aux bombestorpilles de 1.000 kilos de charge pénétrant à 15 mèlres de profondeur dans le sol, en y formant un entonnoir de 30 mètres de diamètre, et dont le souffle d'explosion est suffisant pour renverser une maison bien construite, située.à 50 mètres du point de chute. Il semble que, sauf le cas d'attaque sur points déterminés et ouvrages d'art, ou fortifiés, il sera plus avantageux de multiplier les points de chutes et d'employer des projectiles moins lourds, mais plus nombreux, un projectile de 500 kilos étant parfaitement suffisant pour détruire complètement un édifice ordinaire. Les projectiles incendiaires sont de faible poids, de 1 à 10 kilos, 20 au plus, basés sur l'aluminolhermie, comme les bombes Electron, à base de magnésium, aluminium et oxydes de fer, elles dégagent en brûlant des tempérautres de l'ordre de 3.000 degrés et, ainsi que les bombes au phosphore sont impossibles à éteindre. Quant aux gaz toxiques, malgré tous les traités qui en interdisent l'utilisation, il est malheureusement à craindre que, comme pendant la dernière guerre, ils soient employés comme ils l'ont été malgré les conventions de Genève. Sous le nom de gaz asphyxiants, l'on range un grand nombre de produits, tous plus ou moins faciles à fabriquer en partant de produits chimiques courants utilisés dans l'industrie, ce qui rend tout contrôle inopérant et illusoire, les matières qui servent à leur fabrication étant en stocks dans de nombreuses industries de paix, et l'appareillage de transformation étant facile à créer en utilisant celui d'industries existantes, que l'on peut, dans un délai extrêmement rapide, modifier dans ce but, les pièces ou appareils nécessaires étant à volonté préparés d'avance et approvisionnés. Beaucoup de ces produits, et non des moins à craindre, ne sont d'ailleurs pas des gaz mais des poudres fines ou des liquides, toxiques et corrosifs qui, projetés de toutes parts par l'explosion, produisent dans sa zone d'action un effet dangereux à retardement, persistant pendant plusieurs jours. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr N° 3 — Mai 1933. Tous ces-produits sont plus lourds que l'air, ils forment des nuages ou brouillards bas qui auront des tendances à' descendre et à s'introduire dans les dépressions, sous-sols, caves ou abris. Ils seront aussi canalisés par les rues et égoufs et pourront ainsi, par vents faibles, agir à distance de leurs points d'émission en des endroits inattendus. La nomenclature de ces gaz est donnée dans le tableau ci-joint (1); même à de faibles doses, leur action est dangereuse. Au 1/200.000 le chlore trouble la respiration et il cause la mort au 1/100.000. Le bromure de benzyle (lacrymogène) rend complètement aveugle à la dose de 1/50.000. Quant aux vésicants, ypérites et analogues, la persistance de leur action rend dangereux tout travail aux points de chute avant désinfection et neutralisation. Enfin, à forte dose, les masques-filtres sont très rapidement saturés et rendus inutilisables. Sans parler des possibilités d'arrosage des agglomérations par des avions-citernes, dirigés sans pilote par radio; de l'utilisation de fusées et d'avions-fusées ou de dirigeables et avions stralosphériques, les moyens d'attaque ordinaires suffisent. (1) PRODUITS TOXIQUES DITS GAZ DE GUERRE : TOXIQUES : Acide cyauhydrique : Vertige et mort à doses minimes. Bromure. Chlorure el iodure de cyanogène : Inhibition des centres nerveux. SUFFOCANTS : Chlore : Œdème du poumon, mort. Oxychlorure de carbone : Vomissement, puis mort. Palite et surpalite .-.Engorgement des poumons, mort. Odeur feuilles pourries. Phosgcne : Action à retardement, mort. Odeur chocolat. Chloroformiate de méthyle. Chloropicrine : Lésion pulmonaire, mort. Cétones bromées. LACRYMOGÈNES : Bromacélone : Larmoiements, congestion pulmonaire, asthénie générale. Bromure de benzyle : Irritation de l'œil, aveuglement. Méthyléthylcétone : Larmoiement intense et mort. STERNUTATOIRES : Cyanure de dlphenylarsine : Irritation et asphyxie. Diplienylanochloriarsine .• Eternuements, exacerbation des sécrétions. Ethyldichloro-àrsine : Douleurs aux sinus, salivation, vomissements. Bibromure d'éthylarsine : Mort. VÉSICANTS : Ypérite, sulfure d élhyle dichloré : Irritation intense des muqueuses. Odeur de moutarde. Lewisite : Asphyxie, brûlures, escarres, lésions, mort. - LABYRINTHTQUES : Oxyde de méthyle dichloré : Syncope, trouble de la locomotion, lésions pulmonaires, mort. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3r— Mai 1933. T E C HN I C A GETTIWGJOWAS- TITAN Anciens Établissements SAUTTER-HARLÉ 16 à 26, Avenue de Suffren, PARIS (XV) R, C. Seine 104.728 / ^ J U N T ^ N Tél. : S é g u r Société Anonyme au Capital do 5.400X00 franos BUREAU A PARIS 29tis, Rue d'Astorg I 1-55 Anjou 0B-S0,0S-S1. an r C i! l I' I' I' • 1 • • • • • DIVERS en rouleaux I ! I! 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LL http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon TECHNICA XVI N° Mai 1933. 229 CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE » 'CâLOR B. BOTTET 38, Avenue Berthelot, 35, Rue Bancel et 33, Boulevard du Sud Téléphone : Parmentier 19-64 ni/YOïsr Exiger la Marque sur les Appareils F^rs - FoUrr)eau> - SouIIÎoïr^s Radiateurs Douche à air chaud $i froid IDJEIiA^^IsriDEIi LIE C A T A L O G U E R MOTO-POMPES CENTRIFUGES » Epurateurs pour Eaux Industrielles - CANALISATIONS pour EAU et VAPEUR i "CALOR" - 200, RUE BOILEAU - LYON i PERR1CHON Eugène, I n g é n i e u r (E.C.L. 1929) 4 ROBINETTERIE & APPAREILS pour Chaudières et Chauffage à vapeur D E V I S SITE, D E M A N D E •1 TOILES METALLIQUES - GRILLAGES - TOLES PERFORÉES SERRURERIE GRILLAGÉE Tissus pour tamisage, triage, bluteries. — Tamis de Laboratoire pour essa/'s — Grillages pour transporteurs, armatures, clôtures, protecteurs, etc.. 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Cela représente à peu près 1.000.000 de kilos de projectiles divers qui, répartis en bombes incendiaires (10.000 de 10 kilos), bombes à explosifs (3.000 de charge variant entre 1.000 et 300 kilos), bombes à gaz (500 tonnes), est un tonnage représentant des millions de mètres cubes de gaz; des milliers de points de chute, d^incendies et d'explosions, en somme de quoi détruire à peu près complètement une grande ville. (1) En. face d'un tel danger où en est la défense? Pendant la guerre, Paris fut attaqué par 483 avions répartis en 30 attaques; sur ce nombre, 37 appareils seulement purent passer et jeter 12 tonnes de bombes, tuant environ 200 personnes. C'est là un assez mauvais rendement; il faut toutefois remarquer que les gaz ne furent pas utilisés, ni les bombes incendiaires Electron, par crainte des représailles possibles. Depuis cette époque et d'après les résultais des manœuvres et exercices faits dans tous pays (Turin, Londres, Paris, Lyon, Toulon, Marseille, etc.), il semble que malgré les progrès de la défense (écoute, brouillards artificiels, filets aériens, etc.) l'attaque prime la défense. En effet, si un détecteur perfectionné arrive à peu près à donner la direction d'une escadrille, il est impuissant dans le cas d'attaques venant de diverses directions et convergeant A^ers l'objectif. Surtout pour des appareils munis de silencieux. (1) NOTES COMPLÉMENTAIRES : 1° Un gramme de lewisite suffit pour rendre mortel 3 mètres cubes d'air. Une bombe chargée de 500 kilos donne un nuage de 3 mètres d'épaisseur couvrant 50 hectares (500 m. par 1 km.), 500 tonnes peuvent couvrir 50.C0O hectares ou sur 10 mètres d'épaisseur 10.000 hectares, soit un carré de 10 km. de côté (Paris serait couvert de Vincennes à Neuilly et de Saint-Ouen à Montrouge d'une nappe montant jusqu'au deuxième étage des maisons et d'où émergerait seuls les points hauts) ; 2" Il est stratégiquement admis qu'un bombardement de 2 tonnes à l'hectare correspond à une destruction complète. 400 tonnes représentent donc 200 hectares détruits (1 km. x 2 km.) ; 3° Paris mesure sans sa banlieue environ 10 1cm. x 10 km. ; Londres, 15 km. xl5 km. ; Berlin, 12 km. xl2 km.; Rome, 10 km. x 10 km. ; Marseille, 8 km. x5 km. ; Lyon, 5 km. xi km. ; Toulon, 4 km. x4 km. ; La Spézia, 3 km.x3 km. ; Gibraltar, 3 km. x2 km. ; Reims, 3 km. x3 km.; Lille, 9 km. xlO km., etc. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr II Quant aux tirs anti-aériens ils ne seront efficaces que pour des altitudes moyennes, un avion volant à faible altitude y échappant par sa vitesse et à grande altitude par l'imprécision du tir qui peut être gêné par les brumes naturelles ou artificielles. Quant aux dispositifs de filets aériens et de mines dérivantes, portés par des ballons libres ou captifs, ils sont très intéressants pour créer des zones protégées et former des barrages efficaces contre des attaques surtout à faible altitude. Mais ils ont l'inconvénient d'être aussi une gêne pour les escadrilles de défense, dont une bonne organisation, une grande A'itesse, un plafond élevé rapidement alteint sont une des meilleures garanties de protection. En effet, la seule présence entre la frontière et l'objectif d'escadrilles de combat prenant l'air à temps et dont l'action peut relarder et désorganiser l'escadre de bombardement, est le plus sûr des moyens de défense. Sa seule présence peul dissuader l'ennemi d'allaquer et lui faire choisir un aulre objectif. De même que la crainlc des représailles, le vrai et le meilleur moyen d'être en sûreté est d'avoir une aviation suffisamment puissante pour inquiéter l'adversaire, et suffisamment mobile pour qu'il ne sache où la détruire à terre. 11 est vrai que l'on pourra toujours'craindre une attaque sans déclaration de guerre, et même déclanchée sans ordres officiels, par une escadre révoltée agissant sous l'influence de l'exaltation et dont les actes pourraient toujours être désaATmés ensuite. Il est donc plus prudent de prendre quelques précautions et de regarder le danger en face; être prévenu diminue l'effet de surprise. Si les aulorilés civiles, auxquelles incombe la protection, semblenj, parfois craindre d'affoler les populations, la façon dont celles-ci se sont comportées pendant la guerre est une garantie de leur valeur morale el l'on ne saurait craindre de leur dire la vérité. Quant à la défense active, elle est du ressort de l'autorité militaire, à laquelle elle incombe. Il semble que si la France possède d'excellents prototypes, son matériel courant n'est pas à la hauteur de celui de ses voisins et n'inspire peut-être pas au personnel qui l'utilise une confiance absolue. Cela n'a rien de bien surprenant car l'on ne peut renoirveler trop souvent un matériel aéronautique important et coûteux, et nous ne sommes pas les seuls dans ce cas. Mais précisément si quelqu'un a une arrière-pensée il lui est facile de fabriquer plus ou moins clandestinement les pièces nécessaires (surtout en construction métallique) au montage des types réussis et de les sortir rapidement le moment venu. Si nous examinons les flottes aériennes de divers pays, nous remarquons des tendances très différentes. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres 12 Association des Centraliens de Lyon ï E C H N I C A L'AVIATION MILITAIRE DANS LES PRINCIPAUX PAYS D'EUROPE L'Italie dispose d'un matériel nombreux et de choix, de pilotes et de chefs jeunes et d'une doctrine précise, dérivée de celle du général Douhel, conduisant à l'utilisation massive de l'aviation dans, une guerre aérienne autonome. C'est une aviation de bombardement et d'offensive, puissante et d'une parfaite homogénéité. L'Angleterre, de son côlé, possède un matériel varié, peu de gros porteurs, une grande proportion d'appareils rapides et aptes à tout. C'est le type d'une aviation coloniale. On y remarque aussi une forte proportion d'appareils rapides, de faible rayon d'action mais d'une puissance ascensionnelle considérable. C'est l'appareil de combat et de barrage formant des escadres défensives destinées à arrêter des attaques venant du continent et orientées sur Londres. L'Allemagne ne pouvant, de par les traités, avoir d'aviation militaire, a pris sa revanche du côté commercial. Son réseau intérieur, centralisé sur Berlin et le long de la frontière franco-belge, avec rayonnement important, sur le Sud, par Munich, est parfaitement organisé. Le nombre des lignes ne semble pas être justifié uniquement par des buts économiques et le désir de resserrer les liens fédératifs entre les divers Etats n'est pas étranger à leur développement. Au point de vue sportif, les résultats obtenus par le vol à voile sont remarquables. Les constructeurs sortent des appareils excellents qui, vendus à l'étranger, y font de merveilleux appareils de guerre. Enfin, l'Allemagne peut mettre en ligne et construire des dirigeables de puissance impressionnante, de grand rayon d'action et parfaitement utilisables au point de vue militaire. La France étant à la fois une puissance continentale et coloniale, devrait pouvoir disposer d'une organisation mixte. Ses tendances pacifistes ne l'incitent pas à la possession de flottes offensives, pourtant il faut qu'elle puisse disposer de moyens de représailles capables d'intimider un adversaire sérieux. Plus étendue que l'Angleterre, ses flottes de barrage devront avoir plus d'endurance et de rayon d'action. Son empire colonial est favorable aux appareils robustes de grand rayon d'action, des dirigeables lui seraient utiles pour la surveillance de sa grande étendue de côtes. Au point de vue de la protection de la population, si les administrations militaires et civiles s'en sont occupées, il faut reconnaître que, à part certaines industries intéressant la défense nationale, certains services publics, certaines associations privées, rien n'est venu prévenir cl instruire le Français moyen de ce qu'il aura à faire • en cas d'attaque. LA PROTECTION DE LA POPULATION CIVILE La question est en effet délicate; tout le monde sera exposé, et il est pratiquement impossible de fournir à chacun un abri sûr ou même un masque à gaz. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr N° 3 — Mai 1933. Il faut donc envisager, dès le début dès hostilités, l'évacuation de toute la population passive, enfants, vieillards, femmes non mobilisables; en somme, ce que l'on nommait autrefois les bouches inutiles, et que l'ennemi laissait, en général, traverser ses lignes sans l'inquiéter. Quant à la population restante, elle devra utiliser des abris spécialement aménagés, résistant aux bombardements et protégés contre les gaz. La partie active de cette population sera, en partie, munie de masques de façon à pouvoir, en cas de besoin, concourir aux opérations de sauvetage, déblaiement, etc. Les masques en usage sont de deux genres : les appareils filtrants, à circuit ouvert; les appareils isolants, à circuit fermé. Dans la première catégorie, l'on dislingue les types simplement filtrants et les types à absorbants chimiques ou calalytiques. Les modèles simplement filtrants, arrêtant uniquement les poussières, ne se sont pas montrés très efficaces contre les poussières ultra-fines d'arsine; pour les appareils à réaction chimique, il faut que la réaction soit aussi rapide que possible, presque instantanée, sa durée étant celle d'une aspiration, le support doit être facile à imprégner et bien fixer le neutralisant. Comme dans un seul appareil portatif l'on ne .peut songer à avoir tous les neutralisants pour tous les gaz, l'on s'est attaché à rechercher le neutralisanHypc pour la série des gaz utilisables par un adversaire éventuel. Enfin, ce type de masqué se sature vile si les gaz à neutraliser sont en forte proportion et il faut que l'atmosphère ambiante ail un minimum de 15 % d'oxygène (le dosage normal étant de 21 %). Les appareils isolants à circuit fermé sonl les plus sûrs puisqu'ils isolent complètement de l'atmosphère extérieure. Mais ce sonl de véritables petites usines portatives où l'acide carbonique expiré est absorbé el l'oxygène produit ou introduit à mesure du besoin el ils sonl encombrants et chers. Les abris doivent pouvoir résister à la fois aux projectiles el aux gaz. Pour satisfaire à la première condition l'on est conduit à les enterrer aussi profondément que possible, ils devront de préférence être au-dessous d'une surface dure indépendante et débordante qui fera office de bouclier d'éclatement; les orifices seront de préférence protégés par des couloirs d'accès en chicane formant pare-éclals et pare-souffle. Pour être protégé contre les gaz il faut que les ouvertures en soient étanches et que la pression de l'atmosphère intérieure soit supérieure à celle de l'extérieur; comme il faut, que les gens qui s'y réfugient puissent respirer, l'abri devra renfermer une source d'oxygène ou disposer d'une prise d'air pur. Certaines villes ayant des chemins de fer métropolitains souterrains, des mines, catacombes ou carrières souterraines pourront assez facilement les aménager en abris collectifs plus ou moins importants, quoiqu'il soit préférable d'avoir de petits abris qu'un seul grand plus http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N" 3 — Mai 1933. T E C H N I CA XVII MÉTHODE DE VAPORISATION Le Williams Augmentation de la puissance de vaporisation des Chaudières Economie de combustible La Méthode de vaporisation « Le WILLIAM'S » est basée sur l'utilisation industrielle de phénomènes physiques (notamment le phénomène de Gernez), qui suppriment les résistances à la formation de la vapeur et à son dégagement. Elle apporte constamment, sur les tôles chauffées, la bulle d'air et l'aspérité mobile complètement entourées d'eau, nécessaires à la formation et au dégagement immédiat de la vapeur. La vaporisation est généralisée et régularisée à tous les points de la surface de chauffe, jusqu'à concurrence de la chaleur disponible. La circulation devient plus intense, et on peut pousser les chaudières jusqu'à la limite de la bonne combustion, sans nuire à l'utilisation et sans crainte d'entraînements d'eau à aucun moment. L'emploi du « VILLIAM'S » empêche en outre la précipitation des sels incrustants sous forme cristalline. Ceux-ci, comme l'indiquent les micro-photographies ci-dessous, restent à l'état amorphe, très ténus et par suite assez légers pour suivre les courants de circulation et pour être évacués chaque jour. L'emploi des désinorustants devient donc sans objet. 7ÉRIEL ROULANT APPAREILS DEVOI E- :UVESA RECUIRE PIECES D'USURi: \CIER MAGNÉTIQUE ROUES DE WAGON:> ROULAGES EN SÉRIE ACIER SPÉCIAL AU Nl< KELrCHROME MOULÉ INFATIGABLE R >IOOKg, PIÈCES FORGÉES A \ AUTE RÉSISTANCE ON "EVEREST" MÉTAL ANTIFRI Sans William's-cristaux. Avec William's -pas de cristaux Micro-photographies indiquant la différence d'état physique des sels incrustants dans les chaudières traitées et dans les chaudières non traitées. Quant aux anciens tartres, en quelques jours ils sont désagrégés et les chaudières en sont débarrassées, grâce à la formation de la vapeur que les agents de vaporisation, constitués par ce Le WILLIAM'S », déterminent dans les fissures du tartre ou entre la tôle et celui-ci ; la désincrustation, ainsi due à une action mécanique, se produit toujours d'une façon complète. L'économie de combustible d'environ 10 % sur les chaudières prises complètement propres est en pratique, par la suppression complète de tous tartres, dépôts et boues, bien supérieure à ce taux. « Le WILLIAMS » maintient stables dans les chaudières les nitrates et les chlorures, et arrête absolument toutes les corrosions, même celles provenant de l'oxygène. 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T ECHNI C A XVIII Q)x2puié usi& centrale ci ftautrondemeni UN CIRCUIT CALSQUA UTILISANTm L'EAU CHAUDE SOUS PREtffON CHAUFFER comroe vàPùcu-Ee -d® -cftaÊsur -uo-uô •fiermet -de, aoecusi RENDEMENT DE 9 5 % l ces HQPtTAILJX DES USINES IIIIII llllll IIIIII III llll III PARIS • • ii £ ii • • CALÎOUA 76.Av.de MalakoFF ^ — ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ™ TÉL.P^SYSa.o8 M U LHOUSE(HiRh l n»26,Av. u e ClémenœauTÉL.i70i L YON I.Rue4 Chapeaux « w ^ ^ * * * OFFICE TECJIMIQUE pç e u a y t i r * OK3SKSK3!K3$$S(K$^)SK$^^ Registre du Commerce, Paris n° 465.727 ESPIRAT"K eontre les poussières les vapeurs et les gaz LUNETTES D'ATELIER eontre les éelats, les poussières la lumière, les vapeurs et les gaz du Docteur DETOURBE, lauréat de l'Institut PriX MontjlOn (arts insalubres) : y v e D E T O U R B E , 35, me fie la Hoquette. PARIS (XIe) N O T I C E I I D I I I I I I I I I I I I I I I M I m S U R D E M A N D E I N I I I I I I I I I I I I M I I I I I I N I •••••«•«••II»! 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D . B O T T E T , ing , 38, avenue Berthelot | http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres N° 3 — Mai 1933. Association des Centraliens de Lyon T E CHNI C A 13 • Les Avions Militaires Modernes • APPAREILS ITALIEN S Avion CAPRONI «90-P.B. ». Cet avion de grand bombardement et de combat possède 6 moteurs d'une puissance totale de 6.000 CV ; charge utile totale : 15.000 kg. (y compris le combustible et l'équipage de 10 hommes) ; rayon d'action: 2.000 km.; armement à l'avant : un poste de mitrailleuses pouvant être armé d'un petit canon ; au centre : un poste de commande des lance-bombes, un poste de combat muni de deux tourelles de mitrailleuses, l'une tirant vers le haut, l'autre tirant sous le fuselage. D'autres mitrailleuses placées dans ce poste tirent à bâbord et tribord, une autre tourelle de mitrailleuses est aménagée dais l'axe du plan supérieur. Cet appareil est l'un des plus redoutables engins existants. H y d r a v i o n SAVOIA «S-55». Bimoteur de grand bombardement de 1.000 CV en service dans l'aviation maritime italienne; charge utile normale : 2.000 kg. ; charge utile maxima : 2.500 kg. ; rayon d'action suivant la charge : 1.200 à 2.200 Ion. ; armement : peut être aménagé en hydravion torpilleur ou en hydravion de grand bombardement ; 4 tourelles de mitrailleuses, pratiquement sans aucun angle mort (2 tourelles à l'avant, 2 tourelles à l'arrière). H y d r a v i o n SAVOIA «S-G3». Ce bimoteur de grand bombardement de 1.000 CV est une amélioration du Savoia S-55 ; sa charge utile maxima : 3.000 kg. ; vitesse de croisière et vitesse de montée plus élevées que sur le type précédent. APPAREILS ALLEMANDS Hydravion DORNIER «DO-X». Cet appareil est équipé de 12 moteurs de 6.000 CV de puissance totale. Poids total 45 tonnes. L'hydravion Do-X étant pris en ordre de vol de 45 tonnes au départ, voici les rapports entre sa charge utile emportée et son rayon d'action : avec un poids utile de 5.000 kg., le rayon d'action est de 2.000 km. ; avec 7.500 kg., il atteint encore 1.500 km. ; avec 14.000 kg., il n'est plus que de 500 km. Hydravion DORNIER «DO-S». Quadrimoteur de 2.600 CV charge utile : 10.000 kg. En 1928, cet appareil a battu les records mondiaux avec charge de 1.000 kg., 2.000 kg. et 4.000 kg. Plafond pratique pour 12 tonnes de poids total : 3.340 mètres. Avion J U N K E R S «C-38». Cet avion est un quadrimoteur métallique de 2.400 CV de puissance totale ; il transporte une charge utile de 10.000 kg. Rayon d'action avec 7.800 kg. de charge utile : 1.000 km. ; avec 3.000 kg. de charge utile, 3.500 km. Avion J U N K E R S «JU-52». Ce monomoteur métallique est muni d'un moteur de 700 CV. C'est un avion de transport de fret. Charge utile : 3.000 kg. ; vitesse commerciale : 160 km. ; rayon d'action avec 2.130 kf de charge utile : 1.000 km. ; avec 1.460 kg. : 2.000 km. ; avec 790 kg. : 3.000 km. ; avec 500 k"-. : 3.500 km. Cet appareil est une extrapolation du « Bremen 33 ». A v i o n J U N K E R S « G-31 ». Ce trimoteur métallique de 1.200 CV a été établi pour le transport de 12 passagers envergure : 30 mètres ; longueur : 17 m. 30 ; charge utile : 2.300 kg. ; rayon d'action 1.100 km. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E CHN I C A 14 mètres et plus de hauteur, couvertes de toitures en clocher, ces tours concentrant la population elles pourront être plus espacées, dispersées dans des jardins, par exemple, où, occupant moins de surface, elles seront plus difficiles à atteindre, formant des cibles plus étroites. vulnérable et où les effets seraient plus importants en cas de coup au but. Mais la plupart des villes ne possèdent, en fait d'abris possibles, que quelques cryptes d'églises, parfois un tunnel et surtout les caves des immeubles publics et privés. Ce sont donc ces caves qu'il faut aménager au mieux de façon à assurer aux habitants de l'immeuble un abri aussi sûr que possible à leur portée immédiate. Un projectile éclatant dans un immeuble produira des effets très différents suivant son point d'éclatement. Dans la partie haute, il y aura projection des toitures, planchers, baies et façades se trouvant au-dessus du point d'éclatement, l'effet sera d'autant plus réduit que le souffle du projectile rencontrera moins de résistance et pourra s'échapper librement, il sera donc préférable d'avoir de grandes baies et des pièces largement ouvertes et éclairées, toutes conditions qui ne sont nullement en contradiction avec les règlements d'hygiène, au contraire, l'éclatement se produira d'autant plus haut que les premières surfaces rencontrées seront plus dures, et il pourrait y avoir déviation si ces surfaces sont inclinées. Un ensemble monolithe en ciment armé se comportera mieux qu'un assemblage maçonneries et charpentes; il sera, d'autre part, moins facile à incendier étant, de par sa nature, incombustible, plus il y aura d'étages mieux la cave sera protégée, et les nappes de gaz, n'ayant guère que 5 à 8 mètres d'épaisseur, n'atteindront pas les étages supérieurs, où il pourra être prévu des prises d'air pur alimentant les abris en caves. La forme idéale serait donc celle de tours de 30 à 40 Les quartiers à flanc de coteau pourront prolonger leurs caves sous les pentes et y former de véritables habitations souterraines, d'autant mieux protégées que les gaz lourds, recherchant les points bas, n'y séjourneront pas. Il y aura avantage à augmenter les espaces libres par des jardins, où l'existence de masses d'eaux et de bassins sera désirable comme réserve en cas d'incendie et dissolvant des gaz. Il est particulièrement curieux de constater que le souci d'éviter le danger aérien conduit aux mêmes dispositions que celles préconisées par l'hygiène urbaine : constructions largement ouvertes et aérées, isolées et en forme de tours, établies au milieu de parcs et de jardins ouverts avec réserves d'eau et de grandes artères pour faciliter la circulation.. E. GOURDON, E. C. L. 1910. Les clichés d'avions français et étrangers, qui illustrent cette étude, nous ont été obligeamment communiqués par la Défense Aérienne, 14, rue de Marignan, Paris, 18e, association de propagande pour la protection de la population, fondée par M. André Michelin, et qui compte dans son Comité de patronage des personnalités telles que MM. Georges Lecomte, de l'Académie Française ; d'Arsonval, Jacques Bardoux, Georges Claude, le docteur Charcot, le professeur Calmette, Emile Picard, Charles Lallemand, Louis Lépine, André Liesse, Georges Risler, membres de l'Institut, etc.. yn E N T O N ALPES MAFUTI/HES llllIllllllllllillllMlllllllllllllllUIIIIIIIIIIIIIIHIIIIIIIIIIll SAISON D'ÉTÉ VACANCES SANS PLUIE 7}ains de njer quotidiens -:- -excursions en haute montagne Frontière Italienne à l'extrémité de la Ville CASINO - FÊTES Renseignements http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr gratuits et liste des Hôtels : Comité Menton Saison d'Eté, 33, Promenade du Midi http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E C H N I CA XIX Avas» DEPUIS 1842 L'Air Comprimé = le Vide = la Ventilation sont les pt*éeiea* auxiliaires de toutes les industries. 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La première est constituée par un jugement du Tribunal de Bourges du 8 novembre 1932 et qui tranche la question exactement à l'inverse de la décision du Tribunal de Lyon. La seconde est que la déchéance pour défaut de paiement d'une annuité a toujours été regardée comme un droit acquis au domaine public et qu'on ne voit pas pour quelle raison il en irait autrement de la déchéance pour défaut d'exploitation. I. — L E JUGEMENT DE BOURGES. D'après les juges de Bourges, le texte de l'article 5 (1) ne peut être regardé que comme liant la France en ce qui concerne la procédure à suivre pour arriver, par la suite, à la suppression de la déchéance par l'emploi de mesures envisagées par la convention elle-même. Après avoir posé le principe de la suppression de la déchéance, l'article en subordonne l'exécution à l'accomplissement de certaines mesures qu'il prévoit et que chaque Etat pourra prendre ou non, les mots « toutefois » et « faculté », intentionnels dans le texte, marquant bien la volonté des contractants de ne pas rendre la suppression, dont le principe seul a été unanimement voté, actuellement définitive. (1) Je rappelle ce texte in extenso pour la clarté de la discussion : Art. 5. — L'introduction, par le breveté, dans le pays où le brevet a été délivré, d'objets fabriqués dans l'un ou l'autre des pays de l'Union, n'entraînera pas la déchéance. Toutefois, chacun des pays contractants aura la faculté de prendre desmesures législatives nécessaires pour prévenir les abus qui pourraient résulter de l'exercice du droit exclusif conféré par le brevet, par exemple faute d'exploitation. Ces mesures ne pourront prévoir la déchéance du brevet que si la concession de licences obligatoires ne suffisait pas pour prévenir ces abus. En tout cas, le brevet ne pourra pas faire l'objet de telles mesures avant l'expiration d'au moins trois années à compter de la date où il a été accordé et si le brevet justifie d'excuses légitimes. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr De ceci il résulte que la France est libre de maintenir ou non la déchéance, ou d'y substituer ou non la licence obligatoire. J'avoue ne pas comprendre ce raisonnement : 1° Si chaque Etat reste libre de maintenir ou non la déchéance, d'y substituer ou non un système de licences obligatoires, ce n'était, pas la peine de changer l'ancien article 5, car on reste au régime antérieur. A quoi alors peut bien servir le troisième paragraphe de l'article 5 : « Ces mesures (pour prévenir les abus par défaut d'exploitation) ne pourront prévoir la déchéance du brevet que si la concession de licences obligatoires ne suffisait pas pour prévenir les abus »? L'interprétation de Bourges saute sur ce texte à pieds joints. Or celui-ci est impératif et ne laisse place à aucun doute : la déchéance ne doit être qu'un pis-aller après essai des licences obligatoires et non un régime provisoire avant cet essai. 2° Les juges de Bourges prétendent que l'art. 5 pose le principe de la suppression de la déchéance pour défaut d'exploitation et envisage les mesures pour y parvenir dans un avenir incertain... Or, tout au contraire, cet article paraît bien indiquer les mesures à prendre pour parvenir au rétablissement de la déchéance. Les Etats, qui ne veulent pas de l'entière liberté, doivent d'abord faire l'essai de la licence obligatoire, puis, si ce régime est insuffisant, peuvent décréter la déchéance. Où peuton trouver dans cet article « la procédure à suivre pour arriver à la suppression de la déchéance » alors que, visiblement et pour toute personne non prévenue, il règle la procédure à suivre pour le rétablissement de la déchéance (ce qui la suppose donc supprimée, dirait M. de La Palisse)? 3° Si l'article 5, § 2 à 4, n'était qu'un engagement des Etats contractants de supprimer la déchéance et d'établir un système de licences obligatoires, pourquoi l'aurait-on rédigé ainsi de façon sybilline et sujette à toutes sortes d'interprétations, quand il eût été si simple d'adopter une formule analogue à celle de l'article 5 bis, dernier paragraphe : « Pour les brevets d'invention, les pays contractants s'engagent, en outre, soit à porter le délai de grâce à six mois au moins, soit à prévoir la restauration du brevet http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon .*i^.«âaL N° 3 — Mai 1933. T E C H N I CA 16 tombé en déchéance par suite de non-paiement de taxes, ces mesures restant soumises aux conditions prévues par la législation intérieure. » • Ici, pas d'équivoque. Le texte est précis et clair. Il n'accorde aux individus aucun droit actuel; les Etats s'engagent à revoir leur législation intérieure dans le sens indiqué. Rien de semblable dans notre cas. Nous sommes au contraire en face d'un texte impératif pour le présent, qui interdit aux Etats de prévoir dans le futur la déchéance pour non-exploitation sans avoir fait l'essai de la licence obligatoire. Or, les juges de Bourges ont décidé comme si le texte avait été à peu près : « Les Etats contractants s'engagent à envisager la suppression de la déchéance pour défaut d'exploitation en lui substituant, au besoin, un système de licences obligatoires. M N'est-ce pas, quand même, violenter la rédaction de la convention? Le jugement de Bourges ne me semble pas devoir être approuvé. Que l'on se soit effrayé de la tendance jurisprudentielle indiquée par le jugement de Lyon, c'est possible, mais ce n'était pas le juge qu'il fallait incriminer, mais le législateur, incapable, paresseux et amorphe, qui, approuvant les Actes de La Haye et leur donnant force de loi en France, n'a pas songé à instituer un système quelconque de licences obligatoires, copié sur l'Angleterre ou l'Allemagne, et qui eût résolu la question en un tournemain. Seulement, voilà, de telles lois ne vous posent pas devant l'électeur. II. — L E S DROITS ACQUIS. Sur ce point, j'avoue que la solution du Tribunal de Lyon m'a paru audacieuse. Ainsi que le remarque le camarade Voisin, il semble qu'une question de déchéance doit se juger d'après la législation en cours au moment où la déchéance était encourue et non d'après celle en vigueur au jour de l'assignation. En matière de paie- ment d'annuité un brevet est déchu à un moment déterminé si l'annuité n'a pas été acquittée et toute loi postérieure, allongeant les délais de grâce, ne peut — sauf rétroactivité expressément prévue — le tirer de la déchéance. Cependant, qu'il s'agisse de défaut d'exploitation ou de défaut de paiement d'annuité, la déchéance doit être prononcée par un tribunal, elle n'intervient pas « ipso facto ». > Cet aspect de la question ne m'avait pas échappé; mais pour ne pas allonger démesurément mon étude, j'avais supprimé une note qui l'envisageait dans le détail. Je faisais remarquer que, quelque sérieuse que pût sembler l'objection, elle n'était pas péremptoire. Il est exagéré d'assimiler la déchéance pour non-paiement d'une annuité à celle pour défaut d'exploitation. La première est automatique en ce sens que la loi ne prévoit aucune excuse. La seconde, au contraire, est soumise à l'appréciation des juges qui, d'après les termes mêmes de la loi, ont à examiner les excuses que peut faire valoir le breveté. Pouillet admet même que celui qui mentionne « breveté » sur un article couvert par un brevet déchu pour non-paiement d'une annuité se rend coupable du délit d'usurpation de la qualité de breveté prévue par l'article 33 de la loi de 1844 (voir aussi Trib. Corr. Seine, 2 juillet 1907; Pataille, 1908, 30); il ne viendrait à l'idée de personne de.proposer pareille sanction pour un brevet non exploité ! Ajoutons encore que la déchéance pour défaut de paiement a un caractère absolu, valable vis-à-vis de tous, tandis que la déchéance pour défaut d'exploitation est simplement relative, c'està-dire valable'entre les parties. Il résulte de ceci que ce qui est admis pour la déchéance absolue et radicale pour défaut de paiement, peut ne pas être accepté pour la déchéance relative et incertaine pour défaut d'exploitation. Le raisonnement du Tribunal de Lyon, bien que hardi, sans doute, n'est pas illogique. JH MONNIER (1920), Licencié en droit, Ingénieur conseil. wwwmmwnwm«iwiHH>wwwnwiw»>iwvmw>w>ww> i TYPOGRAPHIE LITHOGRAPHIE GRAVURE CLICHÉS SIMILI-TRAIT T I R A G E S En COULEURS CATALOGUES JOURNAUX AFFICHES TOUS TRAVAUX ADMINISTRATIFS TOUTES FOURNITURES POUR B U R E A U X ARTICLES DECLASSEMENT http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E CHN I C A XXI BREVETS D'INVENTION MARQUES DE FABRIQUE DESSINS EN ET FRANCE MODELES ET A L'ETRANGER ACTES DE CESSION CONTRATS DE LICENCE? 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La Chaufferie Le problème consistait à chauffer à une température de 15", pour moins 5° extérieurement : 1° Une série de 331 stands répartis dans un bâtiment à rez-de-chaussée, de 180 mètres de longueur et de 65 mètres de largeur (ces stands étant distribués suivant onze rues parallèles, perpendiculaires à une douzième grande rue transversale). 2° Un bâtiment pour les services annexes (bureau, P.T.T., chaufferie) attenant à la construction principale. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr Le mode de chauffage adopté a été : Dans les stands, le CHAUFFAGE par air piïlsé, avec chaudières à vapeur, moyenne pression, batteries aérothermes et bouches d'air chaud dans chaque stand. Dans les services annexes, le CHAUFFAGE par vapeur détendue, avec radiateurs. Les Etablissements Gelas et Gaillard, de Lyon, ont été chargés d'en assurer l'exécution, sous la direction de M. Chalumeau, ingénieur en chef de la Ville. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon 18 T E C H N I C A N° 3 — Mai 1933. CALCUL DES CALORIES Nous résumons ci-après les résultats des calculs Services Ann. Stands Calories de déperdition Calories de ventilation et reprise d'air. Total 20.200 me. 706.000 cal. 362.000 cal. 1.600 me. 28.000 cal. 8.000 cal. 21.800 me. 734.000 cal. 370.000 cal. 1.068.000 cal. 36.000 cal. 1.104.000 cal. Calories totales à débiter par bouches Calories perdues : 107.000 cal \ . ( tuyauteries nnn -„„ „ „ . „ „ „ CHAUFFERIE La chaufferie comporte une batterie de deux chaudières Niclausse de 54 mètres carrés chacune, de surface de chauffe sur tubes extérieurs vaporisateurs, et pouvant, à allure normale, vaporiser un total de 2.800 kilos de vapeur à 6 kilos. Ces chaudières sont chauffées au mazout (full-oil). L'installation de mazout comporte deux réservoirs de stockage de 7.500 litres chacun; ces réservoirs, en tôle de 8 "/", sont enterrés extérieurement au bâtiment, et à proximité de la chaufferie. L'alimentation des brûleurs se fait par l'intermédiaire d'un réservoir auxiliaire de 500 litres de capacité en charge sur les brûleurs et maintenu automatiquement à niveau constant par un flotteur actionnant une pompe électrique de 1/2 CV. Un jeu de vannes permet d'aspirer à volonté sur l'un ou l'autre des réservoirs ou de vidanger le réservoir auxiliaire. Avant d'être atomisé aux brûleurs, le full-oil est préalablement réchauffé, d'abord dans le réservoir d'alimentation par un serpentin à vapeur, puis dans un réchauffeur tubulaire spécial. Il est ensuite filtré dans deux tamis démontables. Les brûleurs sont du type à pulvérisation par la vapeur, pour chaudières moyenne pression; celle-ci est fournie par un surchauffeur installé dans la chaudière au-dessus du faisceau vaporisateur. Un ventilateur d'un débit horaire de 6.500 mètres cubes, accouplé directement avec un moteur de 4 CV., fournit l'air nécessaire à la combustion. Un surpresseur, équipé avec un moteur de 7 CV. et commandé par courroie, assure au départ la marche des brûleurs, par excès d'air, jusqu'à la mise en pression des chaudières. En raison de la faible hauteur admissible pour la cheminée (sept mètres) il a fallu adopter une cheminée à http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr ( 141.000 cal. 34.000 cal. r „ 1.245 000 cal. tirage induit, système Prat; un moteur de 4,5 CV. actionne le ventilateur de l'appareil. L'organisation générale de la chaufferie est prévue pour l'installation ultérieure d'une troisième chaudière identique à celles placées. Les départs de vapeur de chaque chaudière sont réunis dans une nourrice générale où se branchent les prises du chauffage. 1° Un branchement alimente un détendeur qui abaisse la pression à 300 grammes et dessert le chauffage à vapeur basse pression des services annexes; celui-ci étant assuré par onze radiateurs Chappée de 58 mètres carrés de surface de radiation. 2° Par une vanne dont la commande est assurée par chaîne, la vapeur est, par un collecteur en acier de 100 %, soigneusement calorifuge, emmenée dans les sous-sols du bâtiment principal. Là, elle est distribuée à onze groupes aérothermes, répartis dans chacune des onze rues, un douzième groupe est affecté au chauffage des stands de la grande rue transversale, côté Rhône. Les eaux de condensation des aérothermes sont ramenées à une bâche de 3.000 litres placée également en sous-sol; de là, une pompe Worthington, placée dans la chaufferie, assure l'alimentation normale de la chaufferie. Le niveau de l'eau dans la bâche est donné dans la chaufferie par un tube de niveau et des robinets de jauge. GROUPES AEROTHERMES Les 12 appareils répartis dans le sous-sol du bâtiment principal répondent aux caractéristiques suivantes : 9 aérothermes de 100.000 calories, débitant 1.175 litres-seconde à 60 "/» de pression, le moteur tournant à 1.450 t. p. m., et absorbant 1,8 CV. La batterie de chauffe, alimentée en vapeur à 4 kilos, élève l'air de —5° à +74°. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933 T E CHNI C A XXIII ATELIERS BONNET SPAZIN LYON-VAISE Société Anonyme au Cap/fa/ de 2,250.000 frs - Téléphone Burdeau 53.66 — fi. C. 1356 CHAUDRONNERIE ACIER CUIVRE CHAUDIÈRES DUQUENNE MULTITUBULAIRES VERTICALES A HAUTE VAPORISATION A ÉLÉMENTS INTERCHANGEABLES PRESSIONS JUSQU'A 150 Kgs GAZOMÈTRES A JOINT DE GOUDRON, SYSTÈME M. A. N. 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Moncey 17-52 Tél.: 1-29 e ' 23-29 Anciens E t a b l i s s e m e n t s S A G E T B L A N C H A R D Se Cie Manufacture de Joints et Garnitures de presse-étoupe AUIANTE, CAOUTCHOUC, COURROIES BREVETS - M A R Q U E S D'INVENTION - M O D È L E S LYON -- 69, rue Combe-Blanche -- LYON Téléphone Parmentier 13-02 DBRAGNE Père et Fils Mécanique de précision 36, rue Hippolyte-Kahn VILLEURBANNE JH. MONNIER E. C- L. 1 9 2 0 - Licencié en Droit 11 ANNÉES D'EXPÉRIENCE Petite mécanique Outillage spécial Réalisatioù de toutes machines de précision Machines Réaléseuses, Rodoirs http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr à rectifier l a s cylindres J e a n D É R A G N E (E.G.L. 1921) Moneey 52-84 150, Cours Lafayette, LYON http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E C H N I CA 2 aérothermes de 120.000 calories (pour les deux rues de chaque extrémité) d'un débit de 1.450 litres-seconde, sous une pression de 85 %; le ventilateur à 1.450 t.p.m., absorbant 2,8 CV., la batterie de chauffe, avec vapeur à 4 kilos, élevant l'air de —5° à +74°. 1 aérolherme de 180.000 calories transversale), d'un débit de 2.260 une pression de 65 %, le ventilateur bant 3,7 CV., la batterie de chauffe élevant l'air de —5° à +68°. (pour la grande rue litres-seconde, sous à 950 t.p.m,, absoren vapeur à 5 kilos, Au total, sous une pression de 4 kilos à l'admission de l'aérotherme, en pleine marche, ceux-ci débiteront donc théoriquement 1.320.000 calories, sous un volume d'air de 56.646 mètres cubes, ce qui correspond pour les stands à une ventilation moyenne de 2,7 fois le cube air. En déduisant de ce nombre les 107.000 calories perdues dans les gaines d'air chaud en sous-sol, il resterait donc théoriquement disponible aux 331 bouches d'air un total de 1.213.000 calories, soit donc une marge de 145.000 calories sur la quantité calculée théoriquement pour les déperditions et ventilations {ou 12 %), ce coefficient assurant une puissance supplémentaire pour les reprises de régime. Chaque aérotherme est muni d'une vanne d'arrêt et d'un purgeur de condensation. Le moteur de chaque appareil est branché par un interrupteur tripolaire; l'enclenchement des 12 moteurs se faisant de la chaufferie même. Les dispositions sont ainsi prévues pour permettre d'isoler, même en marche, une rue, sans arrêt du reste. Les douze aérothermes débitent l'air chaud dans des gaines en sous-sol. Chaque aérotherme dessert ainsi deux files de gaines de chaque côté d'une rue, et de 13 stands en moyenne. Les deux files de chaque rue sont reunies par un Y à la buse de départ d'air chaud de l'aérotherme. Les gaines d'air chaud ont une longueur développée de 1.300 mètres; leur section varie de 50x50 à 25x 15 et a été calculée pour des vitesses décroissantes de sept, mètres à trois mètres par seconde. Ces gaines sont constituées par un matériel spécial, isolant, insonore et ignifuge, et construites avec des plaques assemblées par des cornières et des couvrejoints en tôle, rassemblées par tiges filetées et rejointées entre elles par un mastic spécial, assurant une étanchéité parfaite, aux températures de l'air chaud y circulant. L'air chaud est distribué dans chaque stand par une bouche d'air en tôle avec grillage cuivre, placée verticalement contre les piliers côté rue. La section de sortie d'air est calculée pour obtenir une vitesse moyenne de 1 m. 50 à 2 mètres. Une clé de réglage, placée en soussol, permet de régler une fois pour toutes ce débit, au même point pour toutes les bouches. Une deuxième clé à papillon est montée sur le caisson en tôle de la bouche, dans le stand, et est ainsi à la disposition de l'occupant pour régler la température de son stand à sa volonté. RESULTATS A titre de renseignements, au cours de la Foire de / mars 1933, la consommation de mazout, par heure de marche des chaudières est ressortie à une moyenne de 160 kilos de full-oil. Le chauffage n'était branché sur les chaudières que 8 à 10 heures par jour. Malgré l'intermittence de la chauffe, la pression dans les chaudières se maintenait, durant les 24 heures, entre 4 et 6 kilos. GIRAUD RIVOI M P =5 http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr 19 GELAS & GAILLARD, (E.CL. 1889) (E.C.L. 1899) 4-16 RUE M IC O L A I LVON TEL. PARMEMTIER 0 5 - 8 4 3 LIGNES R5 http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon 20 T E C H N I C A N° 3 — Mai 1933. LA SUEDE Industrielle et Touristique Roger FERLET, Ingénieur E. C. L. III. L e s Forêts Vue, à vol d'oiseau, d'une forêt au nord de la Suède. Ci-contre : Troncs rassemblés sur les bords d'un fleuve La Suède occupe une situation privilégiée pour la production des bois tendres. Les trois cinquièmes de son territoire sont couverts de forêts, soit une superficie de 24 millions d'hectares environ. Si l'on pense que la surface totale du territoire français est de 55 millions d'hectares, on apprécie l'importance énorme de la richesse forestière suédoise. L'examen de la situation topographique de la zone des forêts suédoises montre de suite la grande simplicité de l'exploitation. Cette zone est limitée au sud par une ligne qui part du port de Gefle, dans le golfe de Bothnie, passe au nord du lac Vâner et finit à la frontière norvégienne. De très nombreux cours d'eau traversent cette immense région forestière, qui n'est limitée dans l'extrême nord que par l'aridité du pays lapon. La plupart de ces cours d'eau se dirigent du nord-ouest vers le http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr sud-est. Ils ont été aménagés pour le flottage des troncs depuis les endroits d'abatage jusqu'aux centres de triage et d'utilisation. L'abondance des chutes de neige, en hiver, assure à ces cours d'eau un débit suffisant. La longueur totale de ces voies flottables atteint 30.000 kilomètres environ. Le climat et le sol sont tout à fait favorables au développement des conifères. Les forêts sont peuplées surtout de pins (Pinus sylvestris) et de sapins ou épicéas (Picea excelsa). Il y a aussi une certaine proportion de bouleaux. Le capital forestier de la Suède a été estimé, lors d'un récent recensement fiscal, à 1.417 millions de mètres cubes, dont 573 de pins et 596 de sapins. L'accroissement annuel total a été évalué à 48 millions de mètres cubes. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. TEC La propriété des forêts se répartit en gros de la manière suivante : Etat et autres institutions publiques.... Particuliers 23% 77 % L'administration forestière est naturellement très développée en Suède. Elle comprend une Direction générale des Domaines qui dépend du Ministère de l'Agriculture et assure l'aménagement et l'exploitation des forêts domaniales ainsi que le contrôle de certaines forêts appartenant à des particuliers. Les Directions départementales diffusent, dans leur circonscription, les connaissances touchant les soins à apporter aux forêts et aux terrains forestiers. Elles veillent à l'observation des lois et prescrivent les mesures nécessaires pour la conservation et l'amélioration du capital forestier. A Stockholm, il existe depuis très longtemps une Ecole supérieure forestière, ainsi qu'un Institut national de recherches forestières. Ce dernier organisme approfondit les lois naturelles de la vie et de la reproduction des forêts; il étudie les maladies et les dommages auxquels elles sont exposées; il compare les résultats des différentes méthodes de repeuplement, soit spontané, soit artificiel et l'opportunité des différents procédés d'éclaircissement, d'élagage et de mise en coupe des divers types de forêts. A côté de ces deux grandes institutions, de nombreuses écoles forestières publiques ou privées assurent l'instruction du personnel subalterne. II existe, bien entendu, toute une législation forestière. Le flottage lui-même possède une législation détaillée très spéciale. Les sociétés de flottage sont généralement organisées sous la forme de coopératives dont les propriétaires de bois sont les sociétaires. Il existe, généralement, une société de flottage par bassin fluvial. Comme nous l'indiquions plus haut, le flottage est un élément caractéristique et des plus importants de l'exploitation forestière suédoise. Pendant l'hiver, qui commence, suivant la latitude, en novembre ou en décembre pour durer jusqu'en mars ou en avril, on exécute l'abatage des arbres. Au printemps, quand les glaces se disloquent et que les fleuves sont en crue par suite de la fonte des neiges, les masses de troncs roulés dans les cours d'eau se mettent en mouvement. Sur chaque réseau fluvial il existe un ou plusieurs centres de triage, habituellement placés aux confluents des rivières. C'est là que les bois doivent être triés pour être remis à leurs propriétaires. On doit donc procéder à l'identification de chaque pièce de bois d'après sa marque et rassembler dans des bassins distincts toutes les ' pièces appartenant au même propriétaire. Comme il peut exister dans un même centre de triage jusqu'à cent marques différentes, on se rend compte de l'importance de ce travail dont on a eu, d'ailleurs, un aperçu le 18 mars dernier, sur l'écran du Tivoli de Lyon, lors de la projection, par les soins de l'Association des Ingénieurs E.C.L., du film qui porte le même titre que cette série d'articles. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr N I C A 21 Dans un gros centre de triage on peut manœuvrer chaque année, pendant la bonne saison, jusqu'à cent millions d'arbres et atteindre, dans les cas les plus favorables, un rendement horaire de près de dix mille pièces identifiées et groupées. Les industries auxquelles les forêts fournissent leur matière première sont l'industrie de la pâte à papier, l'industrie dû papier et l'industrie des allumettes. La valeur totale annuelle de la production de ces quatre industries est de l'ordre de trois à quatre milliards de francs. Le bois, sous ses diverses formes, entre pour moitié environ dans le total des exportations suédoises. On retire, en outre, des forêts une quantité de charbon de bois assez importante, dont une forte partie est utilisée par certaines aciéries pour des fabrications spéciales. C'est en 1860 que l'industrie suédoise du bois a pris son essor. L'Angleterre et la France furent les deux marchés d'abord conquis, puis l'exportation devint rapidement mondiale. Les bois suédois sont toujours très recherchés. Le climat des régions forestières du nord de la Suède, allié à un sol éminemment favorable à la production de bonnes essences forestières, permet aux conifères d'atteindre le maximum de leurs qualités techniques. Les bois des conifères suédois présentent, en effet, une résistance aux changements de température, beaucoup plus grande que celle des conifères des climats tempérés. D'autre part, la manière dont les forêts suédoises sont exploitées agit aussi très favorablement sur la qualité commerciale du bois. Ainsi les coupes se font toujours après l'arrêt de circulation de la sève, tandis que, dans d'autres pays, l'Amérique, par exemple, on coupe toute l'année. Le flottage en eau froide diminue le danger d'altérations, telles que le bleuissage et la pourriture, qui peuvent apparaître sur les troncs de pins qu'on empile en été sur le sol; il assure en même temps un certain lessivage des matières albumineuses et des hydrates de carbone qui se trouvent dans le bois et dont l'existence favorise la pourriture. Enfin, ce bois flotté est, ultérieurement, beaucoup moins sujet à gonfler, à se gondoler et à se fendre. L'emmagasinage du bois pendant la période du séchage est une opération d'une importance capitale, à laquelle on consacre le plus grand soin. Les bois sciés sont empilés dans les chantiers avec de grands intervalles entre les différentes pièces de bois pour que l'air puisse circuler librement. On est sûr d'obtenir ainsi le degré de séchage voulu. En outre, les piles sont pourA'ues d'un toit qui les protège contre la pluie et la neige. On a de plus en plus recours, depuis quelques années, au séchage artificiel clans des bâtiments spéciaux. On évite, ainsi, une durée de magasinage trop longue et on élimine les risques de pourriture. Si le chargement sur les bateaux ne peut avoir lieu immédiatement, le bois séché est placé dans des hangars. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon 22 N° 3 — Mai 1933. T E C H N I C A que le sapin de l'Europe centrale; pour plus de détails sur la solidité de l'épicéa suédois, nous renvoyons à une étude récente de R. Schlyter et G. Winberg « The Strength of Swedish Redwood timber (pine) and its dependence on moisture content and apparent spécifique gravity », étude qui a été publiée par l'Académie Suédoise des Sciences Appliquées. Cette supériorité en qualité, en solidité et en durée des bois de Suède rend leur utilisation plus économique à la longue que celle des bois d'autres provenances. Elle doit donc retenir l'attention des consommateurs qui sont assurés de trouver dans l'emploi des bois nordiques de multiples avantages. On pourrait croire que l'emploi dans quelques industries de matériaux destinés à remplacer le bois aurait entraîné la diminution de la consommation globale de celui-ci. Il n'en est rien. Les statistiques montrent que, dans la plupart des pays, la consommation du bois est au moins égale à celle d'avant-guerre. Il est évident que, par suite de la concurrence des matériaux nouveaux apparus sur le marché on a, touchant la solidité et la durée des bois, des exigences bien plus grandes. Il existe, à cet égard, de très grandes différences entre les bois de même essence, suivant leur provenance. Les études poursuivies en Suède ont démontré que le pin suédois .est, au point de vue solidité, nettement supérieur à nombre d'essences nord-américaines : c'est ainsi qu'on a établi que le bois de pin suédois était de 25 à 40 % plus solide que les essences américaines Western Yellow Pine, Red-Sitka, et White Spruce. Et pour ce qui est de l'épicéa suédois, le Conservatoire des Arts et Métiers de Paris a trouvé qu'il était de 43 % plus solide ROGER FERLET (E.C.L. 1923). NOTA. — Pour obtenir des renseignements complémentaires sur l e s bois de Suède, on peut s'adresser à l'Association Suédoise des Exportateurs de Bois, à STOCKHOLM, ou à la Chambre de Commerce Suédoise en France, 25, rue de Rassano, PARIS (vnf). w * *•*...•' •....•- i SOCIETE DES USINES CHIMIQUES RHONE-POULENC S O C I É T É A N O N Y M E - C A P I T A L ; 75.000.000 D E FR. 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Brasserie Guillaume-Tell, pi. de VHÔteUde-Ville. 24 Samedi. . à 19 h. — A LYON, Dîner offert par l'Association aux Camarades des promotions de 1883 et 1908, à l'occasion de leurs noces d'or et d'argent, et au Bureau de la promotion de 1933. — Réception de la promotion de 1933. Restaurant Garcin, 11, rue d'Algérie. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon T E CHNI C A NECROLOGIE M. Albert GALY (1881-1933) Né à Lyon le 5 novembre 1881, M. Albert GALY fit ses études secondaires au Lycée de Lyon ; il fut ensuite élève de la Faculté des Sciences de notre ville et y conquit le grade de Licencié. La Minéralogie, par la variété de ses techniques, l'attira; il fut attaché au Laboratoire de Minéralogie en 1906,- comme préparateur auxiliaire, puis comme assistant, et fut nommé <-hef des travaux pratiques en 1920. N° 3 — Mai 1933. Peu de temps après, l'Ecole Centrale Lyonnaise lui confiait l'enseignement de la minéralogie pour ses élèves de deuxième et troisième année. En collaboration avec son collègue et ami le Docteur Bonnet, il a inventé et mis au point un appareil de chronométrage électro-pneumatique extrêmement sensible. Cet appareil a été contrôlé et agréé par le Laboratoire d'essais de l'Automobile-Club de France. Albert Galy était un esprit curieux et avide de nouveautés scientifiques. Il se passionna pour l'aviation naissante et, quelques années avant la guerre, participa à l'organisation de la Grande Semaine d'Aviation de Lyon. Plus tard, il s'intéressa aux premières expériences de téléphonie sans fil. Il étudia les appareils rudimentaires, qui étaient alors utilisés pour les réceptions et réalisa lui-même un récepteur. Il aborda ensuite le problème de l'émission et, avec ardeur, il mit au point, après quels travaux et quels tâtonnements, un ensemble qui était ce que pouvait être le travail d'un esprit aussi ingénieux. Président du Radio-Club de Lyon, celui-ci connut, sous son impulsion, une grande activité; c'est à lui que l'on doit, sinon l'idée, du moins la réalisation des radiorallyes ou rallyes radiogoniométriques ; il en régla chaque fois les détails, modifia les conditions et en fit un véritable sport scientifique. Dans d'autres domaines on peut signaler l'activité de M. Galy au sein de la Société « Les Amis de Guignol » et la part importante qu'il prit, peu de temps avant sa mort, à l'organisation d'une soirée en faveur du Doyen des Marionnettes lyonnaises Durafour. De l'homme, on peut dire qu'il possédait les plus exquises qualités du cœur. La bonté de son caractère, la sincérité de son amitié et de son dévouement étaient appréciées de tous ceux qui le connaissaient. Sa mort si soudaine a été, pour tous ses amis et pour notre Ecole, où son enseignement était si apprécié, une perte douloureuse. Son souvenir ne sera pas de sitôt oublié. Chronique de l'Association L'Association il y a vingt-cinq ans. projet de construction d'un tramway à vapeur de Clermont-Ferrand au Puy-de-Dôme et la description d'une nouvelle règle à calcul de précision. BULLETIN N° 49 — MAI 1908. Naissances. La galerie rétrospective de ce Bulletin comprend les photographies de la presque totalité de la promotion de 1877. La partie documentaire comporte : une savante étude de M. Jules Jouffray (1902), Directeur des Fonderies et Ateliers de constructions mécaniques de Vienne (Isère), sur la Résolution des équations au moyen d'abaques logarithmiques à multiples entrées, une note sur le http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr Nous sommes heureux d'annoncer la naissance de : René ROUGE, frère de Jean et Simone, enfants de notre camarade de 1913. José GRENIER, frère de Roger, Georgette, Renée, Aimé, Yvon et Chantai, enfants de notre camarade de 1907.. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E C H N I CA XXVII Ses modèles 1 9 3 3 SYNTHÈSE DES PROGRÈS DE L-A SCIENCE AUTOMOBILE 8 10c.v. C.V. 15 C.V. Moteur flottant Boite de vitesses synchronisée Carrosserie monopièce UTILITAIRES 500 kgs - 800 kgs - 1200 kgs - 2 tonnes Tous les modèles sont exposés SUCCURSALE 35, Rue de Marseille, LYON X é l é p l i o n e http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr : P a r m e n t i e r SS-S-4 (S l i g n e s ) http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E CHNI C A XXVIII Manufacture de Tubes étirés sans soudure en cuivre et laiton --———————»-——-•—"—«•»•"""•»««•••••»»•"""""" Anciens Etablissements GUINAND&C16 Usine do Bezons (S.-&-0.) MAISON FONDEE EN 1 8 7 3 Surface couverte : 5.200 m2. Production journalière : 70.000 m. ROSSIER, GALLE & CI E La plus importante Manufacture Française D E papiers photographiques = industriels ===== Ingénieur "E.CL. (i8$3) Ingénieur E . C l . (1908) Société à responsabilité limitée au Capital de 700.000 francs 302-3O4, rue Boileau - LYON{lll') Téléphone Moncey 1 6 - 6 2 Tubes étirés sans soudure en cuivre et laiton de tous diamètres au-dessous de 50 % et de toutes épaisseurs. Tubes carrés, hexagonaux, rectangulaires et profilés divers, tubes rejoints, rainés, etc. Tubes fer, recouverts de laiton ou cuivre. Tubes laiton qualité pour décolletage. 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C . f». 2, Rue de ' Vienne - SOCIÉTÉ ANONYMB AD CAPITAL DB 3 . 0 0 0 . 0 0 0 PARIS (8') DE FRANCS Téléphone : Laborde 75-20 et 75-21 http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E C H N I CA fllariages. C'est avec plaisir que nous portons à la connaissance de nos camarades les mariages suivants : Jean (1928), avec M1Ie Jeanne Descombe. La bénédiction nuptiale leur a été donnée le mardi 18 avril, dans la plus stricte intimité, la famille étant en grand deuil. SAINT-DENIS 25 1931 CESSENAT Guy, rue 3, n° 21, cité Créhauge, par Faulquemont (Moselle). 1932 DUPRAT Roger, Office national météorologique, 196, rue de l'Université, Paris (7°). — NICOLLET Pierre, rue Tabareau, 2, passage Cuzin, Lyon. Reconstitution de l'orchestre. lle GRUCHON Louis (1929), avec M Joséphine Roux. La bénédiction nuptiale leur a été donnée le jeudi 20 avril 1933, en l'église Sainte-Anne-de-Baraban, à Lyon. Albert (1927), avec MUe Jacqueline Theyssier. La bénédiction nuptiale leur a été donnée le jeudi 4 mai 1933, en l'église du Cœur Immaculé de Marie, à Suresnes (Seine). DESSUS Notre camarade BORNET Pierre (1897) nous a fait part du mariage de sa fille Jacqueline avec M. Gorrée Maurice, ingénieur-chimiste. Pistincfions. Légion d'honneur. — Notre camarade GILLET Aimé t,1920) vient d'être fait Chevalier de la Légion d'honneur pour faits de guerre. Mobilisé avec la classe 1915, Aimé Gillet a fait toute la campagne au 54e régiment d'infanterie, comme mitrailleur et a obtenu le grade de lieutenant. Blessé à Verdun, il était déjà titulaire de la Croix de guerre avec deux citations. . Nous sommes très heureux de le féliciter cordialement. Médaille de la Prévoyance sociale. — Par décret du 29 mars 1933 {J. 0 . du 6 avril), la médaille de bronze de la Prévoyance sociale a été décernée à notre camarade BACKÈS Léon (1895), ancien Président de l'Association, Administrateur d'agence de la Caisse d'Epargne du Rhône, à Lyon. Cette distinction récompense de longs et dévoués services rendus aux œuvres de prévoyance. Nous prions notre camarade de trouver ici l'expression de nos meilleurs compliments. Dans son article sur la formation de l'ingénieur, paru dans le numéro de mars de Technica, noire camarade Fayol, développant ses vues sur la nécessité d'une culture générale pour les techniciens, conseille aux élèves des grandes écoles, aux jeunes ingénieurs de s'intéresser à toutes les manifestations arlisliques ou de la pensée. Quelques-uns de nos camarades, qui aiment la musique — le premier des arts ! — ont pensé entrer dans ces vues en proposant de reconstituer l'ancien orchestre de notre Association. Les E.C.L. qui ont le goût de la musique, pourraient ainsi le cultiver et développer leur talent, tout en nous fournissant le moyen d'agrémenter les réunions familiales de l'Association : banquet annuel, arbre de Noël, etc. Nous prions ceux de nos camarades que. cette question intéresse, de vouloir bien envoyer au Siège, à l'adresse des promoteurs de celte reconstitution : de Parisot (1921) et Valette (1922), leurs adhésions et toutes suggestions. Collection du Bulletin. Il manque à la collection de l'Association un exemplaire du Bulletin de janvier 1932. Nous serions très reconnaissants au camarade qui pourrait nous le procurer. Congrès de chauffage industriel. Des notices concernant le IIP Congrès de chauffage industriel, qui s'ouvrira à Paris, au Conservatoire National des Arts et Métiers, le 9 octobre prochain, sont à la disposition de nos camarades, au siège de l'Association. Changements d'adresses ef de Situations. 1910 1912 — 1920 1922 1924 1925 1926 1927 1930 — http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr Edouard, 5, rue de la Poste, Chambéry (Savoie). CHAÎNE Louis, 71, rue de Marseille, Lyon. DEYDIER Charles, Dagneux (Ain). m6 AROUD Marc, chez M Célestin More], St-Symphorien-d'Ozon (Isère). e VÉRON Ernest, 26, rue de la Pépinière, Paris (8 ). AMMAR Jacques, chef ing. du Domaine, à KomOmbo (Haute-Egypte). CANAT DE CHIZY Henri, 1, pi. Jules-Ferry, Lyon. GONNET Gabriel, 7, rue Montorge, à Grenoble, (Isère). DUMAS René, Les Abrets (Isère). MUe RAINAUD Paulette, hôtel de l'Union, St-Martin-en-Haut (Rhône). GERVAIS Jean, 112, boulevard des Belges, Lyon. MICHOUD E. C, L. /... Voulez-vous que votre Association soit de plus en plus prospère, puissante et apte à soutenir vos intérêts professionnels ? Dans ce cas : Faites un sérieux effort pour étendre la diffusion de « Technica » (voir en page 11 un bulletin d'abonnement). Chaque camarade devrait s'efforcer de nous procurer au moins un abonné nouveau. Procurez-lui de la publicité. Le nombre et l'importance des maisons annonceuses sont, pour une Revue, la meilleure des propagandes. Pour tous vos achats de matériel, outillage, matériaux, consultez nos annonceurs, en vous recommandant de l'Association, et, à prix et qualité égaux, donnez-leur la préférence. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon 26 T B CH N I CA N° 3 — Mai 1933. Conseil d'Administration REUNION DU l 6r .MAI 1933 Caisse de secours Présents : BERTHILLIER, CAILLET, CESTIER, CHAÎNE, CIIAMBON, DURAND, GOURGOUT, MAILLET, DE PARISOT, SOURISSEAU, TERRIER. Excusés : ACIIARD, AUBERT, FOILLARD, LÂCHÂT. Le Président communique le résultat financier des séances de cinéma documentaire organisées cette année. Absent : LAFFIN. Demande Le Conseil statue sur deux demandes d'augmentation des mensualités accordées à des camarades âgés ou malades. Séances de cinéma Trésorerie d'admission Le Conseil examine une demande d'admission formulée par un ancien élève de l'Ecole. Comités de patronage et de rédaction de « Technica » Le Président rend compte des démarches faites : I e auprès de hautes personnalités administratives de notre ville et de personnalités universitaires ou scientifiques, en vue de la constitution d'un Comité de patronage de Technica; 2° auprès du Directeur et du Directeur honoraire et de Professeurs de l'Ecole, ainsi que d'un certain nombre de camarades en vue de la constitution d'un Comité de rédaction. Les réponses favorables qui nous ont été adressées permettent dès à présent la mise sur pied de ces deux comités, dont la composition figurera désormais dans la manchette de Technica. Le Conseil examine et règle diverses questions intéressant la Trésorerie. Cohérence Le Président rend compte des démarches faites pour l'organisation d'une grande conférence en mai ou juin. L'illustre personnalité pressentie à cet effet, n'a pas encore fait connaître sa réponse. D'autres démarches seront, au besoin, entreprises pour obtenir le concours d'un conférencier de premier plan. Placement Le Conseil décide de faire paraître, à titre d'essai, une annonce dans le journal L'Usine pendant une durée de six mois. Questions diverses Plusieurs questions concernant la Commission des fêtes, la bibliothèque, etc., sont étudiées par le Conseil. La Fête traditionnelle des trois promotions 2 4 Juin 1933 NOCES D'OR DE LA PROMOTION 1883 NOCES D'ARGENT DE LA PROMOTION 1908 RÉCEPTION DE LA PROMOTION 1933 La fête traditionnelle, symbolisant l'alliance des trois promotions, celle de l'année en cours, avec celles issues cinquante ans et vingt-cinq ans auparavant, de l'Ecole Centrale Lyonnaise, aura lieu, cette année, le samedi 24 juin, dans les salons du Restaurant Garcin, 11, rue d'Algérie, à partir de 19 heures. Comme les années précédentes, le programme de cette manifestation comprendra un dîner officiel, offert par l'Association aux camarades des promotions 1883 et 1908, ainsi qu'au bureau de la promotion sortante. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr A l'issue de ce dîner, aura lieu une réception de tous nos jeunes camarades de la promotion 1933. Nous espérons que nos camarades des promotions non directement intéressées par cette fête tiendront à s'y associer nombreux; ils en feront ainsi une belle manifestation de la solidarité éceliste. Les adhésions doivent être adressées au Siège de l'Association, 7, rue Grôlée, à Lyon, avant le 20 juin. Le prix du dîner est fixé à 30 francs tout- compris. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E CH NI C A XXIX L'APPAREILLAGE ÉLECTRO-INDUSTRIEL 2TRJ PÉTRIER, TISSOT & RAYBAUD Téléphone : Moncey 05-01 (4 lignes) Télégrammes : Electro-Lyon Société Anonyme au Capital de 5.000.000 de francs 210, Tout Avenue l'Appareillage Haute TUBES ISOLATEURS et accessoires et Basse Tension Liste des camarades E.C.L. de la Maison : Masse isolante « COMPOUND » Isolants divers — Objets moulés Moteurs électriques « DELTA » Electro-pompes « NIL » Electro-sirènes « DELTA » Electro-cireuses « UNIC » . . . v•'•'-.. , • et toutes applications mécaniques La Ing (A. & M. — B. S. E. P.) Chèques postaux : Lyon n" 9738 Registre du Commerce : Lyon n° B 456 OIV Félix-Faure Electrique 'IHTIRS^ à Disjoncteur tripolaire « Rural » déclenchement libre breveté S.G.D.G. M a r q u e P . T. R. e s t u n e g a r a n t i e d e b o n n e C. P. G. P. J. P. R. J. J. p r - Tissot Valère-Chochod. Haïmoff Raybaud Rochas Capelle Herguez Reynaud Pétrier Rni,,r„4 1902 1913 1922 1922 1922 1923 1924 1925 1926 1930 couvet fabrication C« GÉNÉRALE SOCIÉTÉ ANONYME AU [CAPITAL IDE 1 7 4 MILLIONS DE FRANCS SIÈGE SOCIAL A PARIS : 5 4 , R U E LA B O Ë T I E (8e) TOUT LE MATERIEL ELECTRIQUE Appareillage haute, moyenne et basse tension Transformateurs — Menteurs, dynamos, alternateurs — Véhicules électriques — Fils et câbles nus, armés, isolés — Porcelaines électrotechniques — Lampes et matériel d'éclairage — Lampes et fournitures de T. S. F. — Machines à souder électriques — Tubes isolateurs — Matériel électro-domestique — Installations électritriques de fumivorité et de dépoussiérage, etc. MÉTAUX ET OBJETS MÉTALLIQUES OUVRÉS Cuivre, laiton, aluminium, maillechort, etc. Filiale : Filiale : SOCIÉTÉ LYONNAISE DES EMBRANCHEMENTS INDUSTRIELS a S S , r u e d© C r é q u l — H ^ Y O U X T Téléphone : Parmentier 18-48 FABRICATIONS DIVERSES Isolants et objets moulés, joints, tresses et garnitures, etc. SUCCURSALE DE r LYON Directeur : A. CAILLAT, INGÉNIEUR (E.C.L. 1914) MONNEiRET (1922). 38, Cours de la Liberté — Tél. : MONCEY 05-41 (3 lignes; Adr. télégr. : ÉLECTRICITÉ-LYON - Compte chèque postal LYON 3965 http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr £ ÉTUDES ET ENTREPRISE GÉNÉRALE Fourniture de tout le Matériel de voie : TRAVERSES, RAILS, AIGUILLAGES, PLAQUES TOURNANTES http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon XXX T E C H N I CA 223 Registre Commerce Seine n° 12622 SCHNEIDER & C CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES LOCOMOTIVES A VAPEUR ET ELECTRIQUES — LOCOTRACTEURS, TURBINES ET MACHINES A VAPEUR — MOTEURS A GAZ, A ESSENCE — MACHINES D'EXTRACTION — ACCUMULATEURS DE VAPEUR, Système RUTHS PIÈCES MOULÉES, ESTAMPÉES, EMBOUTIES — PIÈCES DE FORGE — APPAREILS DE VOIE EN ACIER AU MANGANÈSE MÉTALLURGIE ACIERS MARCHANDS — TOLES A CHAUDIÈRES ET A CONSTRUCTION — MOULAGES EN FERRO-SILICIUM (LICENCE BAMAG-MEGUIN) — TOLES DÉCAPÉES ET GLACÉES POUR AUTOMOBILES — TOLES POUR APPAREILS ELECTRIQUES — ACIERS EXTRA-SUPÉRIEURS AU CARBONE ET SPÉCIAUX — ACIERS INOXYDABLES « VIRGO » — ACIERS POUR OUTILS DE MINES — ACIERS FINS POUR OUTILS — ALLIAGE LÉGER « ALFËRIUM » FONTES — PRODUITS RÉFRACTAIRES — BANDAGES CONSTRUCTIONS NAVALES SOUS-MARINS TYPE SCHNEIDER-LAUBEUF MOTEURS DIESEL POUR INSTALLATION FIXE ou à BORD, TYPE SCHNEIDER A 2 TEMPS, TYPE BURMEISTER ET WA1N A 2 ET 4 TEMPS APPAREIL ANTI-ROULIS TYPE SCHNEIDER-FIEUX TRAVAUX PUBLICS PONTS FIXES ET MOBILES—CHARPENTES MÉTALLIQUES RÉSERVOIRS — CHEVALEMENTS DE . MINES — CONSTRUCTION, OUTILLAGE ET AMÉNAGEMENT DE PORTS CONDUITES FORCÉES — CONSTRUCTION D'USINES HYDRO-ÉLECTRIQUES ET AUTRES AGENCE GENERALE DE LYON DE MM. SCHNEIDER & m DE SOMUA, DE SMIM Vente directe des Moteurs électriques de la Société "le Matériel Electrique S.W." 4, rue Président-Carnot CHAUDRONNERIE et CONSTRUCTIONS MÉTALLIQUES (VIII0) Usines du Crensot, ^ j 0 m ^ & Usines dn Havre, du Breuil et ^^^^^ d'Harflenr a > « Henri-Paul » * ^ ^ ^ ^ et du Hoc Chantiers de Chalon-sur-Saône, Usines de Bordeaux et de la Londe-les-Maures Mai 1933. Registre da Commerce n° 10.550 IE SIÈGE SOCIAL & DIRECTION GÉNÉRALE : 42, RUE D'ANJOU, P A R I S N°3- Anciens Etablissements TEISSEDRE à Terrenoire (Loire) Téléphone n° 3 Chaudières à Vapeur. 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T E C H N I C A 27 Chronique des Groupes BANQUET I N T E R - G R O U P E S DU 4 AVRIL 1933 Commémoration de la Fondation du 25° Anniversaire du Groupe des Alpes P o u r u n succès, ce lut un succès, dont le Groupe des Alpes peut être très légilimement fier. Il compte des amis fidèles el agissants, toujours heureux de participer à ses réunions où se manifeste le plus heureux des esprits écelistes. 43 convives se pressaient dans un des salons de la Taverne de la Meuse et 17 invités s'étaient excusés de ne pouvoir participer à cette fête. A la table d'honneur, sous la présidence du camarade Chambouvet (1905), se trouvaient : Mmes p r a l e t jouffray, MM. Cestier (1905), président de l'Association; Maillet (1897), fondateur et ancien président du Groupe des Alpes; Pral (1896), président du Groupe Drôme-Ardèche; Joya (1884), industriel à Grenoble. Parmi les convives, dont ci-après nous donnons la liste complète, il convient de citer tout spécialement le doyen du Groupe des Alpes et le doyen de la réunion, le camarade Tourasse (1881), et le camarade Lambert (1901), ancien secrétaire d u Groupe des Alpes, venu spécialement de Paris pour participer à la fête de ses camarades grenoblois. Après un repas succulent et fort bien servi, se déroule la cérémonie de la commémoration du 25 e anniversaire de la fondation du Groupe des Alpes. Des discours ont été prononcés p a r MM. Chambouvet, Cestier, Maillet et J o y a . - Emouvante et réconfortante fut la minute où le président Cestier remit à Maillet la Plaquette d'Honneur d e l'Association, hommage bien mérité, qui fit s'humecter de larmes le bon visage du sympathique héros de la fête. Le Groupe des Alpes manifesta sa reconnaissance à Maillet et à Cestier en remettant à chacun d'eux une superbe gerbe de fleurs. Sur la proposition du Secrétaire de l'Association, le camarade Chaine, une collecte, faite au profit de la caisse de secours, rapporte 510 francs. La fête se' termina trop tôt au gré de tous, mais la mélancolie de la séparation fut atténuée en se donnant rendez-vous a u 2 juillet. C'est, en effet, à cette date que se fera la sortie générale de l'Association avec, au programme, la visite des gigantesques travaux du barrage du Chambon. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr LISTE DES CAMARADES PRÉSENTS AU BANQUET TOURRASSE (1881), JOYA (1884), QUELY (1888), PRAL ^1896) et Madame, MAILLET (1897), COUDERC, P E R R E T (1898), HÉRAUD (1899), CESTIER, CHAMBOUVET (1905), LAMBERT (1906), PATURLE, PASQUET (1908), PERRIN el Madame, RAVET (1909), MICHOUD (1910), CHAÎNE (1912), BURDIN et Madame, CHAPELLET, HUDRY (1913) et Madame, JOUEFROY (1914) et Madame, BLANCHON, BRANCIARD, COCHARD, CIVAT, DEGAUD, STRAETMANS Madame, DE PARISOT (1922), (1928). BENNETON (1920), (1921), (1924), Bois, DUTEL, ARMAND, ROMARIE FILLIARD BERGER, (1925), et COMBE BARNIER S'ÉTAIENT EXCUSÉS M me retenue auprès de son fils malade; MM. (1903), LÂCHÂT, MALTERRE (1905), GANDER (1906), CHAMPION (1909), LEGORJU (1911), REYNIER, SOURISSEAU (1912), DURAND Paul (1914), AUBERT, ACHARD, COMTE Arthur (1920), CHAMBON (1922), DONNEAUD (1923), PONTET (1925), GRANGE (1927). CESTIER, PORAZ L E S DISCOURS Le camarade CHAMBOUVET, Président du Groupe des Alpes, prend le premier la parole. Il dit le plaisir qu'il éprouve à souhaiter la plus cordiale et la plus sympathique bienvenue a u x E.C.L. présents, les remercie tous d'être venus nombreux au premier banquet inter-groupes et formule l'espoir de les voir plus nombreux encore aux prochaines réunions. Il adresse un mot tout particulièrement aimable aux dames écelistes qui ont bien voulu embellir cette réunion. S'adressant ensuite au Président Cestier, il le félicite d'avoir été appelé p a r la confiance de ses camarades à assurer les destinées de l'Association. Il offre ensuite au héros de la journée, le camarade Maillet, fondateur d u Groupe des Alpes, u n tribut de reconnaissance et d'affectueux souvenir. Il y a 25 ans que celui-ci a créé le groupe et, pendant plus de 20 ans, il l'a présidé en lui assurant amicalement de brillantes destinées; cette oeuvre et la preuve nouvelle que Maillet donne, en cette journée, à ses amis des Alpes, de son attachement et de sa fidélité, lui méritent la reconnaissance et les remerciements que tous lui adressent du fond du cœur. Chambouvet remercie enfin tout spécialement quelques camarades présente : Pral, du Groupe Drôme-Ardèche; Joya, un des plus brillants pionniers de la Houille Blanche, dont la présence prend toute sa valeur p a r le témoignage de vieille et affectueuse amitié qu'il donne http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon ))]•) T E C H N I CA 28 à Maillet ; Tôurrasse, le doyen du Groupe des Alpes et le doyen de cette réunion. Il termine ainsi cette charmante allocution, qui fut très goûtée, en levant son verre à la santé des camarades présents et à.la prospérité de l'Association : « Mes chers amis, un ingénieur c'est un cerveau. Un E.C.L. c'est un cerveau el un cœur. Un cerveau, la technicité de notre œuvre quotidienne démontre péremptoirement toute sa valeur. Un cœur, toutes nos manifestations prouvent qu'il bat affectueusement pour l'E.C.L., vous le montrerez tout spécialement aujourd'hui ». Le Président de l'Association, en s'excusant auprès des camarades de les obliger à subir les effets d'une éloquence présidentielle encore balbutiante, prononce ensuite son discours, tour à tour empreint de chaleureuse sympathie pour ses camarades E.C.L., de gaîlé Gabriel MAILLET lorsqu'il évoque les vieux souvenirs d'école; d'émotion quand il exprime la reconnaissance éceliste envers Maillet, auquel il remet, aux applaudissements de tous, la Plaquette d'Honneur; de résolution, enfin, pour traduire son désir de travailler au développement toujours plus grand de l'Association. Le Président ne pouvait faire de Maillet un meilleur éloge que de retracer sa belle carrière, toute remplie de travail, d'honneur el de dévouement. Sorti le troisième de sa promotion, il fit son service militaire au service télégraphique du génie, où il s'occupa de télégraphie optique à grande distance. Il fut le premier préparateur du général Férié, son ami, à l'origine de la T.S.F., en 1910. . http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr N° N° 3 — Mai 1933. Après avoir été six mois chef de plateforme d'essais des Constructions électriques Alioth, à La Buire, il entra comme ingénieur à la Société Alsacienne de construction mécaniques, au Service électrique, où il resta trois ans. Puis, pendant cinq ans, il fut Directeur de la Société d'énergie électrique de Grenoble et Voiron, un de nos plus anciens réseaux de transport et de distribution d'énergie, aujourd'hui incorporé à Force et Lumière. De 1909 à 1925, il exerça les fonctions de Directeur, puis d'Adminislrateur-Direcleur aux Etablissements Joya. Mobilisé quelques mois dans le Service télégraphique militaire et la Section technique du génie, il fut renvoyé à la Direction des Etablissements Joya, pour les constructions destinées au service des poudres, au service des produits chimiques de guerre et aux travaux d'aménagement hydro-électriques. Il prit, aux côtés de notre camarade Joya,.une part très active aux réalisations de la houille blanche dans les Alpes et les Pyrénées, et il est bon de rappeler, maintenant que la réalisation du programme d'aménagement du Rhône va commencer, qu'il a été avec Crolard, Léon Perrier et Jean Maître, un des premiers initiateurs de celui-ci. Avec Izard, il fut un des fondateurs de la revue Chaleur et Industrie, du comité de rédaction de laquelle il fait encore partie. Depuis 1926, enfin, Ingénieur-Conseil à Lyon et Directeur de l'Union Technique et Commerciale, il voit les industriels de notre région recourir avec une entière confiance à sa compétence indiscutée, basée sur ses connaissances techniques étendues et une grande expérience. A côté de sa vie active d'Ingénieur, sa vie d'Eceliste fut toujours d'un bel exemple pour ses camarades et ses étals de services méritaient depuis longtemps la récompense d'un hommage public que, trop modesle, il est seul à trouver disproportionné avec ses mérites. Après le discours du Président, chaleureusement acclamé, Maillet se lève à son tour pour remercier ses camarades de la minute inoubliable qu'il vient de vivre, grâce à leur amitié. Avec des mots charmants qui traduisent une émotion que l'on sent sincère et profonde, il dit sa joie, sa reconnaissance, son attachement pour la grande famille" E.C.L. . Puis il évoque des souvenirs : Son séjour en 19051906, à Paris où, au sein du groupe créé par les E.C.L. de la capitale, l'amitié de ses camarades lui avait fait connaître la douceur et la force d'une camaraderie très accueillante et très serviable. Un peu plus tard, à Grenoble, le souvenir de l'accueil et de l'activité du Groupe parisien l'incila à reconstituer le cadre amical. C'est " ainsi qu'est né le Groupe des Alpes. Ah ! la belle équipe que celle dès initiateurs du groupe et le bel effort que tous accomplirent dans l'union et l'amitié. Et puis la guerre vint, la guerre qui nous a pris tant de nos camarades, et fait tant d'orphelins dans nos familles, la guerre au cours de laquelle, E.C.L., nous avons C 51 A V&§1 A° nono"? http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E CHNI C A XXXI °'e^llllZ^Zéol^ PROTÉGER les Surfaces par la PEINTURE KWWWWIH togW83*Jkg»3*tf^^a^^n^«^»C"«e*0^»3itf»a»3l*>*»»ff<g|<aic9N INDUSTRIELS! qui avez besoin de PEINTURE Soit pour la FINITION de vos FABRICATIONS Soit pour la PRÉSENTATION de vos PRODUITS Soit pour L'ENTRETIEN de vos MATÉRIELS et de vos USINES Adressez-vous aux Tél.: IVIoncey 2 0 - 6 4 Etablissements C A D O T FRÈRES Société à responsabilité limitée capital 800.000 francs R.C. Lyon n» B. 8582 9, q. Victor-Augagneur, LYON (3-) - USINE: 90, c. Tolstoï, VILLEURBANNE qui fabriquent toutes les peintures, les vernis, laques, enduits, anti-rouille, pigments broyés, etc., pour toutes applications. au PINCmAMJ par MMWMKRSIOX par JPUJLVÉRMSATMOJV et qui mettent leurs services techniques et laboratoire à votre disposition pour étudier tous les problèmes qui vous préoccupent dans ces différents cas. ûW*%L " LE TITAN DE FRANCE" Division des Ancienne Maison IFFAUD Frères - B. BUFFAUD & T. 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Pour le présent, dans noire lâche de chaque jour, ce que nous devons faire au sein de notre Association, c'est de nous entr'aider et de nous servir mutuellement, c'est de nous « aimer les uns les autres ». Cet appel à l'union et au devoir, qui termine le discours de "Maillet, est longuement applaudi. Enfin, le camarade Joya, l'un des doyens dû Groupe des Alpes, tient à remercier à son tour les organisateurs de celte fête, le Président de l'Association, qui a tenu à y assister, accompagné de plusieurs membres du Conseil, et à féliciter le camarade Maillet, créateur et animateur du Groupe des Alpes, de l'honneur qui lui est fait. En terminant, il invite tous les E.C.L. à resserrer entre eux les liens de camaraderie et de solidarité, toujours nécessaires dans une association comme la leur, mais encore plus nécessaires à l'heure que nous vivons, et il souhaite au Groupement des Alpes un développement toujours plus grand avec une heureuse et belle prospérité. Un livre d'Amédée FAYOL Baléares 29 fl Lyon. REUNION M E N S U E L L E DU 5 MAI in:;:: Plus de cinquante de nos camarades assistaient à la réunion mensuelle du vendredi 5 niai, au cours de laquelle Montfagnon (1931) fit une conférence très intéressante et très documentée sur le Monde, nom eau de. lu physique moderne. Nous aurons le plaisir de publier cette conférence dans le prochain numéro de Technicà. Etaient ' présents : CESTTEK (1914); (1921); (1905); (1890); MAILLET (1897): GOURGOUT CHAÎNE, SOURISSENT CAILLET, GAUTHIER, ROBERJOT (1912): (1920); MIZONY DE PARISOT MÉTRA (1923); BADIN, BENETON, (1921); BERRUET, BESANÇON, GAUTHIER, MELODION (1925); LAURENÇON, MIRIBEL, POIRIER, DURILLON, PATROUILLARD LIVET, DE VÉRON (1926); DAMON, BERTHILLÏER, DESGEORGES, PAYET, QUINTEAU, VILLAKS DELAS, MORET, (1928); JAMART, NOBLET, PERRET PLANTÉ M110 RAINAUD MONTFAGNON, BII.TIOUD, DERESSY, (1927); AMBOUVILLE, Charles, OUENETTE, (1929); ~BARRAL, (1930); PINATÉLLE, CIIATAGNER, MALOUARTT, MOKEL, BÉROUD, TAVEAI; HENRIN, BELAT, • COUMTCHANSKY, REBOULLET (1931); LEPETIT, ZILBERFARB (1935). Excusés: JOUFFROY (1914); LARGE (1923). (1902). Iles heureuses A Vri.tv.re où l'Espagne exerce sur tous — sur les Français, en particulier — la séduction d'un charme fait de souvenirs millénaires, et d'un ciel admirable qui éclaire les décors laissés par les Maures, le livre « Baléares : Iles heureuses » (1), d'Amédée Fayol, vient au devant des.désirs de tous ceux qu'obsède la hantise de la péninsule et de ses archipels. Notre camarade, A. Fayol, a donné, au cours de ces dernières années, une production littéraire assez importante, et. dont Technicà, en son numéro de mars, a marqué les étapes et la variété. Il nous présente, aujourd'hui, un ouvrage qui appelle l'attention sur l'histoire si riche et sur la vie si pleine et si curieuse de ces îles perdues dans la Méditerranée. L'auteur semMe avoir gardé la nostalgie de ces -pays, où il alla puiser tous les documents qu'il a rapportés pour écrire ces pages captivantes. Nous pensons être agréables à nos camarades en mettant sous leurs yeux quelques extraits de ce livre. Dès la plus haute antiquité, l'archipel des Baléares attira les divers peuples.de l'Europe et ceux de l'Orient. La douceur de vivre y était telle qu'on les désignait sous le nom d'Aphrodisiaques, terres de l'Amour. Des colonies de Phéniciens vinrent se fixer, nombreuses, aux Baléares ; ils se mélangèrent assez rapidement à la population pour y faire bientôt figure de véritables autochtones. Les habitants s'imprégnèrent de leur civilisation, adoptèrent leurs coutumes. Plusieurs de ces usages se sont conservés jusqu'à notre temps. La forme des "mes, aux Baléares, date de cette époque. Telles les potiers phéniciens les fabriquaient, voici plus de trois millénaires, telles elles sortent aujourd'hui encore des ateliers d'Inca, à Mayorque, telles la http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr mer en rejette souvent d'admirables spécimens de grandes dimensions, sur les côtes et dans les ports d'ibiza. Aux abords de Ferrerias, au cœur de Minorque, quand le soir descen 1 sur la campagne, et que l'on rencontre des groupes de jeunes filles, portant la « gerra », on croit contempler un tableau antique : l'élégance de la pose est la même, la grâce du geste n'a pas cliangé, et le bras s'assouplit avec la même harmonie. Ces porteuses d'urnes ressuscitent, à leur insu, le souvenir millénaire des Phéniciennes revenant do la fontaine. (1) « Baléares : lies Heureuses », par Amédée Fayol. Préface de M. Abel Bonnard, de l'Académie française. Les Ecrivains associés, rue Gabrielle, 21, Paris (18e). (Un vol.: douze francs.) http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres 30 Association des Centraliens de Lyon T E C H N I C A A travers les siècles, l'archipel fut successivement conquis et occupé par des envahisseurs « de toutes races, de toutes religions, de toutes langues et de tous degrés de culture », attirés par la fertilité exceptionnelle du sol et le charme d'un climat idéal. On y retrouve les apports de chacun d'eux. Les Romains y apportèrent « avec leurs armées leur langue, leur civilisation, leurs lois >>. Les Musulmans y laissèrent une empreinte profonde. « Tout aux Baléares rappelle les Maures : le sol, la végétation, les jardins, les constructions, l'art, le type physique en certaines régions, le genre de vie parfois ». Un chapitre particulièrement attachant du livre d'Amédée PAYOL est celui qu'il intitule « La Légende dorée des Baléares ». Ce merveilleux pays, chrétien de tradition et soumis par la force du glaive à la domination musulmane suscita des défenseurs de ses intérêts spirituels et de son patrimoine moral et religieux. Les uns étaient originaires de ces îles. D'autres y étaient .venus, à l'appel des Tois conquérants et des évêques. Plusieurs se sont spécialement consacrés au rachat des captifs que les Maures, leurs maîtres, gardaient en esclavage aux Baléares, ou sur le continent africain. Quelques-uns sont devenus des lumières où des gloires de l'Eglise. L'auteur fait revivre ces existences de religieux et de savants, de saintes et de thaumaturges ; il les évoque avec un relief qui fait le charme de ces pages. Saint Vincent Ferrier est le patron des Baléares. Cet homme étonnant, dont l'apostolat s'exerça sur l'Espagne, l'Italie, la Bourgogne, et qui vint mourir à Vannes, fut appelé à Palma par l'évêque Don Luis de Prades. « Lorsqu'il approchait d'une ville, les cloches sonnaient, les maisons lui envoyaient leurs enfants, les gens quittaient leurs travaux pour accourir à sa rencontre, et il semblait que chacun n'eût d'autre souci que celui d'écouter la parole du saint. » A différentes époques, les Baléares et surtout Minorque, furent occupées par les troupes françaises ou anglaises. Les années 1830, en particulier, y virent nos soldats dans leurs étapes sur la route d'Alger. C'est à la citadelle de Bellver, un château du moyen âge, que le grand savant, François Arago, vint demander asile dans des circonstances tragiques. Cette odyssée formerait la trame d'un roman d'aventures, et vaut d'être contée. En 1806, Napoléon envoya une commission scientifique dirigée par Biot et Arago, pour mesurer, en Europe, un arc de méridien : Chaix et Rodriguez, savants espagnols, leur étaient adjoints. Arago, pour sa part, reprit aux îles Baléares des travaux que Méchain avait commencés, mais que sa mort a.vait laissés inachevés. Avec Biot, ils avaient mesuré le méridien de Formentera, une des Pityuses, lorsque le bureau des Longitudes décida que Mayorque serait rattachée à Formentera et à Ibiza par une triangulation d'est en ouest. La Commission avait presque entièrement terminé ses observations, et Arago n'avait plus qu'à relever la latitude d'un des sommets culminants de Mayorque, le mont Galatzo, lorsque éclata, à Palma, une insurrection, provoquée par l'arrivée, en cette capitale, d'un officier d'ordonnance de l'empereur, M. de Bethmy, qui venait apporter à l'escadre espagnole, mouillée à Mahcn, l'ordre de rallier Toulon. Quelques jours auparavant, Arago avait été le témoin des excès de la population contre tout ce qui touchait plu? ou moins à Godoy, et il avait assisté au bris des voitures de Mgr Soller, l'évêque de Mayorque, et du ministre des Finances. Brusquement, Ja violence change d'orientation et se manifeste tout entière contre les Français, et contre eux seuls. Arago faisait des feux la nuit pour ses observations scientifiques, feux qui le mettaient en liaison avec les autres membres de la commission. Les Mayorquins y virent des signaux destinés à guider la marche de l'escadre chargée de conquérir l'archipel tout entier ! Le sentiment national, le patriotisme local s'exacerbèrent, l'exaltation contre le savant français devenait menaçante, les esprits s'échauffaient, Palma était en effervescence. M. Damian, timonier espagnol http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr ~N.° 3 — Mai 1933. du bâtiment mis par le gouvernement au service de la mission, eut l'obligeance d'apporter à Arago un costume complet des habitants du pays. Tous deux descendirent tranquillement du Galatzo et, grâce à'sa connaissance parfaite de l'idiome mayorquin — le pavant était de la Catalogne française — Arago put franchir aisément la foule des curieux qui montaient au sommet du mont pour faire un mauvais parti au « gavacho ». Ils arrivèrent ainsi, en passant au travers de la population palmesane, soulevée et bruyante, jusqu'au bateau. Mais là, le commandant, Don Manuel de Vacari, ne voulut pas prendre la responsabilité du transport à Barcelone, et il donna au physicien français le conseil de se constituer prisonnier à Bellver. Le gouverneur de la forteresse, capitaine Vives, envoya le soir même l'ordre d'écrou. Il était temps, Le lendemain matin, comme Arago se rendait à la prison, une bande d'énergumènes en délire parcourait le port en cherchant une proie qui, heureusement, avait réussi à échapper à sa fureur. Le zèle dés matelots et le sang-froid de M. Damian allaient sauver Arago, qui courait les plus grands dangers. Haletant, couvert de sueur, il réussit à s'engouffrer dans la citadelle de Bellver, poursuivi par une populace ivre de rage ; il avait la cuisse blessée d'un coup de stylet. L'aide de camp, Bethmy, était déjà interné à la forteresse. Plusieurs fois, des fanatiques tentèrent d'empoisonner les aliments des deux Français. La captivité dura plusieurs semaines. François Arago occupait une vaste cellule, qui avait été celle de Jovallenos, proscrit espagnol, tout récemment rendu à la liberté. Délivré, grâce .au dévouement d'un savant espagnol, M. Rodriguez, Arago s'embarqua sur une chaloupe et, après mille péripéties, dont certaines tragiques, après avoir subi une nouvelle captivité, un naufrage et risqué vingt fois sa vie, il put enfin retrouver à Perpignan sa famille qui avait perdu tout espoir. Vous lirez avec, intérêt les pages oui ont trait, aux multiples répercussions qu'eurent, dans l'archipel, les événements des années 1830. Amédée Payol, dont la science historique n'est jamais ennuyeuse, y fait revivre, pour notre plaisir, maints souvenirs d'une époque marquée par la glorieuse conquête de l'Algérie. Après avoir fait œuvre d'historien, Amédée Fayol se révèle artiste et poète en décrivant les Baléares d'aujourd'hui. Les tableaux qu'il peint de ces îles privilégiées évoquent pour le lecteur des paysages d'une splendeur et d'une beauté presque sans égales. Là, sous un soleil toujours bleu, au milieu d'une nature parée des grâces les plus éclatantes, des séductions les plus rares ; dans une féerie perpétuelle de lumière, de couleur et de parfums, on semble revivre dans « l'antichambre du paradis ». Le soir, quand le soleil couchant éclaire vivement toute la côte orientale, la flânerie est divine, qui procure d'indicibles jouissances, l'œil ne peut se rassasier des mille jeux de la lumière sur les flots, sur la montagne, sur les forêts, sur es jardins, les maisons. La nuit vient vite à Mayorque, nuit silencieuse, nuit d'une admirable pureté. Au temps des Barbaresques, du haut de leurs tours, les veilleurs signalaient l'approche des barques. Que les nuits étaient longues à ceux qui guettaient l'approche de l'ennemi ! Que les nuits sont courtes à ceux qui, maintenant, doucement installés sur la terrasse du mirador, n'ont d'autre souci que la contemplation, t t d'autres pensées que la rêverie, bercée par les souvenirs millénaires de ces îles ! A cette heure, en ce lieu, les souvenirs luttent contre tout ce qui vient-du monde extérieur. La végétation de Mayorque, c'est sa parure : c'en est aussi la richesse. Elle s'étage entre l'olivier et le pin. 11 y a toute une hiérarchie des arbres, et chacun semble remplir une fonction. L'olivier est roi par sa majesté, patriarche par son âge et sa puissance. Les amandiers, ce sont les beaux pages aux toques fleuries qui, nombreux, s'avancent en rangs serrés, faire leur cour et peupler les solitudes. Les aloès sont de faction le long des chemins. Les palmiers forment la voûte des cortèges, tandis que les cactus sont les soldats de garde qui défendent l'entrée du royaume. Les magnolias répandent dans l'air leurs molles et. enivrantes senteurs. Grenadiers, orangers et citronniers mettent leurs fruits d'or dans la main des passants ; les caroubiers leur prêtent l'ombre épaisse de leur feuil- http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E C H N I C A LA MANUTENTION RATIONNELLE 6 ter, rue Voltaire, au Kremlin-Bicêtre {Seine) Tél. 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T E C H N I C A lage au parfum de vanille. Les cyprès, .ces colonnes végétales, qui montent en procession sur la pente de la montagne conduisent aux monastères. Avec les pointes de ses branches, toujours droites, l'araucaria est le symbole des aspirations humaines qui, de la terre, cherchent à monter vers le ciel. Quelles variétés et quelles richesses ! et quelle splendeur dans la variété ! L'arbre nous donne des leçons de grandeur, de patience, de durée. Il nous enseigne qu'il faut savoir attendre, se soumettre au destin, se plier aux exigences de la vie en commun. En un magnifique tableau patriarcal, l'île assemble toutes les essences, réunit des individus de tout âge, de toutes conditions végétales, de goûts et de besoins divers et changeants. Les Maures, dit-on, introduisirent les oliviers dans l'archipel. L'olivier ! l'olivier ! On le rencontre dans la plaine, il orne les jardins, il garnit la pente des collines! Il est l'orgueil, le rêve, le désir, la richesse et parfois le regret de Mayorque. 31 Vivre au milieu de celte nature, c'est un beau rêve. Hélas ! la réalité doit reprendre ses droits et « lentement, à « regret, on quitte les Baléares. Le livre se referme qui « disait leurs souvenirs, mais on entend longtemps encore « les échos de leur histoire. Leurs paysages méditerra« néens s'éloignent, mais on ne cesse de voir, à travers la « brume, les splendeurs de l'archipel... » Nous souhaitons que ces quelques extraits du beau livre d'Amédée Payol inspirent à nos camarades le désir de le lire on entier. Ils seront séduits par le charme incomparable de ces « îles heureuses » décrites avec un talent plein de séduction par un des leurs. La sécurité par le Calor automatique LA S É C U R I T É PAR LES « CALOR-AUTOMATIG » Un fer à repasser électrique ordinaire oublié sur le courant est, comme on le sait, rapidement porté au rouge. S'il repose sur une table de bois, celle-ci se trouve aussitôt le siège d'une combustion lente qui peut provoquer un commencement d'incendié. En dehors du dégât matériel, les gaz dégagés par la distillation du bois peuvent être la cause d'accidents encore plus déplorables. C'est ainsi que, dernièrement, à Grenoble, un bébé fut asphyxié dans son berceau. Pareils faits sont inadmissibles à notre époque où les constructeurs se sont ingéniés à établir des dispositifs de sécurité. « Calor », en France, présente deux types de fers à repasser dits « Automatic ». Disposilil de sécurité. — Tout danger de combustion se trouve écarté en évitant la surchauffe de la semelle. Celle-ci est constamment maintenue à température fixe T°, celle qui, précisément, est indispensable au repassage, et cela par un régulateur thermostatique. Du thermostat. — On peut l'imaginer constitué par une tige de métal qui, s'allongeant sous l'action de la chaleur, agit sur un levier O>)CJ de, /vototunv pour couper le courant (fig. 1). Ce système rudimentaire ttftaivwUl & # \ c manque de précision. Dans l'industrie, on A substitue au métal unique un bimétal composé de deux alliages ayant des h http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr coefficients de dilatation 1res différents. Ces deux alliages sont intimement reliés par laminage spécial. Au lieu de s'allonger, une lame de bimétal s'incurve du côlé du métal le moins dilatable (fig. 2). On obtient ainsi des appareils qui ivn TUS ne peuvent couper (pie des courants de petite intensité, car ils ont l'inconvénient d'amorcer un arc. Il fallait donc trouver Je moyen de réaliser un déclenchement brusque sans le secours de leviers ou ressorts. Ceux-ci sont, en effet, constamment remués et seraient rapidement hors d'usage. « Calor » a fourni au problème une solution qui étonne par son élégance et sa simplicité. H- Thermostat des \ers «Calor ». — Il est constitué par une calotte de bimétal maintenue fixe en son sommet par la tige A B. Le métal le plus dilatable est à l'intérieur. Vous avez saisi le fonctionnement : imaginez un parapluie dans lequel souffle le vent, les tensions s'accumulent jusqu'au moment où, cédant à l'effort, clac!... le parapluie se retourne. Ici de même, sous l'effet de Ja chaleur, les tensions croissent dans la calotte, puis, brusquement, à une température donnée, elles sont insuffisantes; clac !... La calotte se retourne, autrement dit, la courbure change de sens. La calotte porte à la périphérie trois contacts, d'un alliage spécialement étudié, qui interrompent le courant en six endroits à la fois, supprimant ainsi pratiquement toute étincelle de rupture. A remarquer que la calotte n'est jamais pôle puisque l'arrivée et le départ du courant s'effectuent en F et B. La simplicité http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres 32 Association des Centraliens de Lyon T E C H N I CA N ° - 3 - - Mai 1933. de cet appareil est unie garantit; de sa robustesse. Même sur courant continu, il est capable de supporter des milliers de ruptures sans usure appréciable. réalisée par rapport à un fer électrique ordinaire qui, lui, consommerait continuellement du courant. Cette économie est de 47 %. Réglage du thermostat. — Dans le type « Calor-Aulomatic », qui se présente sous l'aspect d'un fer standard chromé avec les accessoires ordinaires de luxe soient repose-pouce, pose-fer et guide-fiches, la température T° est fixe et établie une fois pour toutes après réglage en usine. Elle a été déterminée pour assurer les services courants demandés aux fers électriques. Régularité de lonctionnement. — Enfin, puisque nous avons adopté la représentation polaire, imaginez que l'aiguille des minutes ait une longueur proportionnelle à la température de la semelle, on obtiendra l'image de la ligure 5 qui témoigne de la régularité du fonctionnement. Dans le type « Calor-Super-Automatic .», qui possède sous la poignée.un bouton bakélite, cette température T° esL variable au gré de l'usager. Le boulon, en effet, visse ou dévisse la tige A B, selon qu'on le tourne à droite ou à gauche, ce qui a pour résultat de diminuer ou d'augmenter la longueur libre A B et, par conséquent, de faire varier la température à laquelle le thermostat agit. Le boulon porte un index qui se déplace sur un écran émaillé rouge sur lequel sont inscrits les repères : soie, laine, coton et fil, ce qui facilite le choix de la position à adopter dans chaque cas. Economie de courant. — B est trop évidenl dès lors que « tous les watts •marqués au compteur sont utilisés par le repassage ». Si, d'ailleurs, on suppose que l'aiguille des minutes d'une montre laisse sur le cadran une traînée noire pendant le temps durant lequel le courant passe dans le fer, on obtiendra l'image de la ligure 4. Les surfaces noires représentent le courant consommé, les surfaces blanches l'économie http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr Economie de temps. — De plus, il fauL ajouter que des expériences effectuées suivant les méthodes de chronométrage habituelles ont permis d'enregistrer une économie de temps de 23 à 31 %, suivant le linge repassé et suivant la personne qui repasse. A l'instar des industriels qui recherchent constamment pour leurs usines des dispositifs automatiques de sécurité et des moyens d'économiser le temps et l'effort des ouvriers, A'oici aujourd'hui la ménagère dotée d'un appareil qui délivrera son esprit du souci constarît que cause la crainte du feu, et pour ma part je ne serai, sur ce point, absolument tranquille que lorsque mes voisins auront tous adopté pour le repassage les fers « Automatic ». VICTOR FUCUS, Ingénieur. llllllllllllllllllllllllllllllllllillllllllllllllllllllllllllllllllll^ Pour tout ce qui concerne l'ÉQUIPEMENT ÉLECTRIQUE DE vos AUTOS Magnétos, Dynastarts, Accumulateurs, Canalisations Phares, Eclairage, Code, etc. consultez LEYSSIEUX & ALLIOD (E. C L . 1905) SS, Téléphone : Lalande rue C u v l e r , T_i"X"01sr 22-59 ATELIERS DE CONSTRUCTIONS ÉLECTRIQUES (te METZ Soc. Anon. 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( 1 9 1 4 ) Ancien élève de l'Ecole Supérieure d'Electricité de Paris Jean FAURE Architecte Ecole Régionale d'Architecture de Lyon, Ecole Nationale des Beaux-Arts de Paris \ exécute toutes impressions pour ÉDITION - mmtsrjiœ COMMENCE - PUBLICITÉ JOlTHWAltX ET nEVUES 10 Machines à composer 20 Machines à imprimer Spécialité d'Affiches de tous formats §§l(j Cours itniiti SIÈGE Tél.: VILLEURBANNE 98-85 CABINET : MARDI et VENDREDI de 9 à 11 heures 229 R. C. 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Une énorme marquise, en porte-à-faux de 16 mètres, abrite ce nombreux public Un hall luxueux faisant corps avec les gradins et chauffé en hiver, peut abriter cette foule et permet de lui distribuer les tickets à l'abri des intempéries. Un coquet salon l'e thé est construit attenant au hall. La grande innovation réside dans la construction qui a été faite pour les parieurs de la pelouse, d'une énorme construction en gradins de 110 mètres de long pouvant contenir, à découvert, jusqu'à 8.000 personnes. La visibilité est parfaite de tous les points de la construction qui comporte à l'arrière, comme à la pelouse, un hall iouvert, avec les guichets à tickets. Cette construction, en ciment armé comme la première, est surmontée (en porte-à-faux) par un énorme tableau d'affichage visible de tout le champ de courses. Dans ce même numéro, La Technique des Travaux publie une étude sur le barrage de Suresnes. La reconstruction du barrage de Suresnes a été rendue nécessaire pour la réalisation du programme d'amélioration de la Seine dans la région parisienne, au double point de vue de la navigation et de la protection contre les crues. Le barrage ancien, datant de 1880, était insuffisant, tant par la cote trop élevée de son radier que par sa lenteur de manœuvre. Le nouvel ouvrage conserve la situation et les dispositions de l'ancien, soit de la rive droite à la rive gauche : un bras mort où l'on conserve provisoirement l'ancien ouvrage qui pourra, dans l'avenir, être transformé ou remplacé par un barrage fixe; — une passe déversoir sur le bras de Neuilly; — une passe navigable sur le bras de Puteaux. L'ouvrage de la passe déversoir est maintenant terminé. Il est constitué par un barrage, d'une largeur de 66 mètres entre culées, comportant deux passes de http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr 33 T E C H N I CA 30 m. 50 entre nu de pile et culée; le seuil est établi à la cote 19,39, soit 7 m. sous la retenue amont. Chaque passe est fermée par deux vannes en acier qui peuvent se relever complètement avec la passerelle et dégager un tirant d'air de plus de 7 m. entre la retenue amont (26,39) et leur position supérieure (33,45). C'est de ces vannes, de leur simplicité de manœuvre, que le barrage tire son originalité. On lira également dans ce numéro des articles sur : Immeuble de rapport, 51, rue Raynouard, à Paris; architectes : A. et G. Perret. — Construction, aux abords de New-York, d'un viaduc à chaussée surélevée. — Réflexions sur le béton armé. — La fabrication mécanique des briques moulées à sec. •— Bibliographie. Prix du numéro : 7 fr. 50. Où Ile flottante pour hydravions D'après la Machine Moderne (numéro d'avril), les Allemands vont ancrer dans l'Atlantique Sud, pour servir de base aux hydravions, une « île flottante » qui sera constituée par un navire de 5.000 tonnes. Celui-ci est muni à l'arrière d'une puissante grue permettant de relever les hydravions et de les placer sur une catapulte pour leur permettre de repartir après avoir fait les pleins et été vérifiés. Afin de faciliter l'approche du navire à l'hydravion, une sorte de plateforme souple est constituée par une forte voile qui pend de l'arrière et dont l'extrémité repose sur l'eau. Le navire se déplaçant, la voile se tend dans une certaine mesure et forme une pente douce à l'extrémité de laquelle l'hydravion vient s'échoir. Où Huile de charbon Dans le même numéro de la Machine Moderne, nous trouvons une information étonnante sur l'utilisation prochaine par les Anglais, dans les navires de l'Amirauté, d'une huile combustible tirée du charbon par les soins d'une société spéciale : la Low Température Carbonisation Ltd. L'Amirauté britannique s'est assuré la production totale de cette société pendant les douze mois qui vont suivre. Cet accord vient à la suite de deux ans d'essais secrets conduits par cette firme en collaboration avec les départements de mécanique et de chimie de l'Amirauté en vue http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon 34 T E C H N I C A de créer une huile tirée du charbon anglais et convenant aux navires actuels. Les spécifications finales furent déterminées en 1932 et la première livraison effectuée le 5 décembre à bord du Westminster: -Ce navire vient de terminer ces essais qui ont, paraît-il, été très satisfaisants. Cette huile permet un rayon d'action plus étendu. Aucune modification des appareils n'a été nécessaire. Obtenue comme sous-produit dans l'a production d'un combustible sans fumée, cette huile est d'un prix comparable à celui des huiles lourdes de première qualité. Des paroles de sagesse La Métallurgie transformatrice reproduit, dans son numéro d'avril, les belles et fortes paroles prononcées récemment par M. Duchemin, président de la Confédération générale de la Production française, à l'assemblée générale de ce groupement, le plus important des groupes professionnels de notre pays. Au moment où l'anarchie monétaire, s'a joutant au marasme des affaires, achève de jeter le désarroi dans nombre de pays, il était bon que, dans une assemblée comme celle-ci, fussent rappelés les principes d'une saine économie grâce auxquels, mieux que par les solutions trop faciles de l'empirisme, nous pouvons espérer retrouver la santé. Souhaitons que notre Pays sache écouter de telles voix et reste fidèle à la discipline, plus que jamais nécessaire. Voici les principaux passages de l'allocution de M. Duchemin : « La complexité des problèmes économiques est telle, l'insécurité de la documentation statistique est si grande, qu'il paraît impossible de croire qu'un homme, ou un groupe d'hommes, désignés par l'Etat, puissent avoir une vision claire de l'évolution des. événements et puissent être capables d'assurer la direction de la production. » « S'il existe pour les sociétés des dimensions optima, qu'il est dangereux de dépasser, si l'on veut leur éviter les atteintes des défauts qui stérilisent partiellement les grandes administrations, on peut en. conclure que n'est pas né, et qu'il ne naîtra jamais, l'homme dont le cerveau serait capable de faire la synthèse de l'économie mondiale et d'assurer — sans risques de fautes — la direction générale de l'industrie d'un grand pays. » « La responsabilité individuelle des industriels, leurs intérêts souvent opposés, qu'ils soient isolés ou groupés en ententes et en cartels, constituent des éléments de freinage indispensables. Ils évitent les expériences qui, poursuivies avec la rigueur que pourrait imposer la volonté d'un seul, ne manqueraient pas d'entraîner des catastrophes, s'il y avait eu, au départ, des erreurs de prévisions. » Et M. Duchemin termine ainsi : « J'en aurais fini, Messieurs, si je ne savais que vous me tiendriez rancune de ne pas vous parler de l'évolution possible de la crise dans les mois qui viennent. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr N° 3 - Mai 1933. « Je serai bref à ce sujet, d'autant plus bref que les anticipations sont plus dangereuses. « Je reconnais que la crise agricole n'est pas terminée, qu'elle peut encore se prolonger longtemps et que, tant qu'elle durera, la consommation mondiale ne reprendra pas son étiage normal. Cependant sur le plan industriel, les conditions techniques d'une reprise sont à pied d'œuvre. « Les stocks ont baissé dans les usines; ils ont disparu chez les consommateurs et chez les intermédiaires et leur seule reconstitution suffirait — si l'on en juge par ce qui s'est produit après la guerre — pour provoquer un large appel de marchandises. « Il avait, d'ailleurs, commencé à se produire, cet appel, sur le dernier trimestre de 1932 et dans ce pays on avait assisté à un début de reprise. Les ordres revenaient aux usines, ils s'étaient même maintenus en décembre et sur la première quinzaine de janvier, époque où les demandes saisonnières d'automne s'atténuent généralement. « Le nombre des wagons chargés, le rendement de la taxe sur le chiffre d'affaires, confirmaient cette reprise, que révélaient aussi les statistiques du mois de décembre de la Compagnie de Suez et celles des autres grands pays industriels. « Ce ne fut cependant qu'un.feu de paille, pour la seule raison que la situation politique de ce pays, celle des autres grandes nations et, en général, la situation politique internationale, ont brusquement provoqué de nouvelles inquiétudes. « La confiance — on y revient toujours — s'est envolée une fois de plus et la thésaurisation a repris. « Et cependant, Messieurs, nous tenons entre nos mains l'heureuse évolution de la crise. Que le Parlement mette de l'ordre dans les finances publiques, que le Gouvernement, respectueux des droits de chacun, fasse respecter l'autorité en imposant à tous leurs devoirs, queles citoyens de ce pays aient foi dans la solidité de leur monnaie et dans la sagesse de leurs gouvernements, et l'on verra rapidement reprendre les échanges intérieurs. « Ce jour-là, l'heure sera proche d'une reprise générale, car depuis que les hommes sont hommes, les mouvements d'opinion rappellent les moutons de Panurge et l'exemple est contagieux. » La fabrication de l'oxygène industriel La Revue Industrielle (numéro de mai) publie une intéressante note sur les perfectionnements qui viennent d'être apportés par un savant allemand, M. Frankl, dans l'industrie de la fabrication de l'oxygène industriel, surtout en ce qui concerne la production de l'air suroxygéné. Celui-ci peut désormais prendre dans l'industrie métallurgique et dans la grande industrie chimique la place que M. Georges Claude ambitionnait pour lui dès 1900, avant que les beaux travaux du professeur Linde sur la rectification n'ouvrissent la voie de l'oxygène pur. Dans les appareillages ordinaires, ce sont les échanhttp://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E CHNI C A i . SOCIÉTÉ r—M—ir^r7 ROULEMENTS DES NEUILLY-SUR-SEINE - 88. AVENUE DE NEUILLY LAAU \J S . A. C A P I T A L 5 0 . 0 0 0 . 0 0 0 USINES A DE XXXVII A BILLES TÉLÉPHONE : MAILLOT 52-64. 52-65. 52-66 FRANCS CHAMBÉRY rt\Û»»»w*w**v ROULEMENTS SUCCURSALE DE LYON P . R U E L L E , D i r e c t e u r , ing. E. C. L. 8, Place Vendôme Téléphone : PARMENTIER 30-77 IMPRESSIONS DELUXE ET C O M M E R C I A L E S JOURNAUX-AFFICHES TRICHROMIE-TITRES ÇA RTO N N A G E 5 PIMERIE i9&! &ô -^oAAArouae^!! 9C6 «mfc encore ceuotÀ une vit/ta. 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Il y a pour chaque gaz deux régénérateurs : tandis que l'oxygène, par exemple, passe dans un sens à travers l'un des deux régénérateurs qui lui sont affectés et s'y réchauffe, la fraction correspondante de l'air comprimé passe en sens contraire dans le second régénérateur et s'y refroidit. Toutes les cent secondes environ, des soupapes inversent automatiquement les régénérateurs. On réalise ainsi une surface de contact beaucoup plus grande qu'avec les échangeurs. Les empilements des régénérateurs en question sont constitués par des galettes de rubans métalliques ondulés enroulés en spirale. Pour qu'on puisse maintenir un écartement suffisant entre les rubans et faciliter le passage des gaz, les ondulations sont obliques. Le sens de l'obliquité alterne d'un ruban à l'autre. Dans de tels régénérateurs, l'écart detempérature au bout chaud entre les gaz entrants et sortants a pu être réduit au chiffre très faible de 1,25 degré. En raison de leur grande section et de leur faible longueur, les régénérateurs de ce type donnent lieu à une perte de charge inférieure à celle occasionnée par les échangeurs. La pression de fonctionnement des grands appareils à oxygène tombe ainsi de 12 à 5 atmosphères. Si le procédé Frankl est quelque peu désavantageux, quand il s'agit de la production d'oxygène pur, à cause du mélange que produisent les régénérateurs, il présente des qualités incontestables quand il s'agit de produire de l'air suroxygéné, comme celui dont on envisage l'emploi pour la métallurgie et d'autres industries. Dans sa recherche très poussée de tous les moyens propres à diminuer la dépense d'énergie dans celle 35 fabrication de l'air suroxygéné, M. Frankl a été conduit aux diverses directives que M. Claude a formulées autrefois et dont certaines, trop en avance sur les besoins, n'avaient pas encore été appliquées : emploi de la détente avec travail extérieur pour produire le froid et récupérer le travail; relèvement de la température des gaz avant leur entrée au détendeur pour améliorer le rendement de la détente ; emploi du retour en arrière pour séparer directement l'air en un liquide oxygéné à 47 % et en azote gazeux résiduel; évaporation progressive du liquide à 47 % par circulation dans des compartiments successifs autour du faisceau de retour en arrière, les parties les plus condensables de l'air traité étant ainsi liquéfiées par le liquide le plus chaud et les parties les plus rebelles par le liquide le plus froid; refroidissement sous pression du liquide produit avant son déversement au sommet du faisceau. L'énergie récupérée par la détente de l'azote sert à surpresser la partie de l'air comprimé destiné à alimenler le liquéfacteur et à augmenter ainsi le réchauffement de l'azote avant son entrée au détendeur. m BÉTON ARMÉ système HENNEBIQUE Agence de LYùh et au SIM-ESI 54, Cours Téléphone Morand, LYON « LALANDB 1 4 - 6 3 • TOUTES ETUDES ET PROJETS gratuitement sur demande http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres 36 Association des Centraliens de Lyon w N° 3 — Mai 1933. T E C H N I C A Les monnaies de nickel Le Parlement français a décidé récemment de faire frapper des pièces de 5 francs en nickel pur. Le choix de ce métal, de préférence au bronze d'aluminium utilisé pour nos pièces de 2 fr, 1 fr. et 0,50, est dû à des raisons touchant à la défense nationale. Le même numéro de la Revue Industrielle (mai) donne à ce sujet de curieux renseignements, qui furent d'ailleurs exposés par le Ministre du Budget lui-même, lors de la discussion du projet de loi : (( Le nickel présente cependant sur celui-ci (le bronze d'aluminium) l'avantage d'être plus résistant à l'usure, et d'avoir, avec un aspect plus propre, que lui vaut sa belle couleur blanche, l'attrait d'une monnaie saine et agréable. A cela s'ajoute — et l'Etat y trouve une garantie de plus — une grande difficulté d'imitation due à la température élevée de fusion de ce métal (1.450°) et à l'outillage compliqué que nécessitent son laminage et sa frappe. Ces pièces auraient en outre l'avantage, sur le bronze d'aluminium, d'avoir une valeur intrinsèque qu'elles conserveraient en cas de démonétisation. Ce dernier, en effet, n'est pour ainsi dire pas employé dans l'industrie et ne peut guère être vendu comme métal. On sait, qu'à l'heure actuelle, au contraire, le nickel est employé couramment pour la fabrication des aciers spéciaux. Notre défense nationale, en particulier, en consomme beaucoup pour les tubes et les obus en acier. On trouve là un autre argument, et non des moindres, en faveur de l'adoption du nickel pur comme monnaie : ce nickel constituera une réserve de guerre. « L'Allemagne a déjà donné l'exemple dans la dernière guerre en dirigeant sur ses arsenaux tout le stock de nickel pur que constituaient ses pièces de 25 pfennigs. On pourrait, certes, y objecter que la France, à l'opposé de l'Allemagne, est un pays producteur de nickel, mais il ne faut pas oublier que les concentrés de nickel nous viennent de Nouvelle-Calédonie et qu'en cas de guerre nous devons pouvoir parer aux aléas que présente pour un navire transportant un chargement si précieux le voyage des antipodes en France. » Où Nouveaux emplois industriels du soufre Nous devons à La Pratique des industries mécaniques (avril) les renseignements ci-après sur un traitement du soufre en vue de le rendre moins fragile et plus malléa- ble, ce qui en permet l'emploi dans certaines industries qui ne pouvaient jusqu'ici T'utiliser. Le soufre est fragile et se casse facilement. CTest ce qui a retardé son emploi dans plusieurs industries où sa résistance aux actions chimiques le rendrait très utile. On remédie maintenant à ce défaut de trop grande fragilité en le mélangeant avec des matières minérales ou cellulosiques. Le carton imprégné de 30-40% de soufre a trouvé une large application comme emballage industriel et pour le transport, parce qu'il est alors très rigide et imperméable. En mélange avec des matières minérales, le soufre donne des objets d'apparence céramique qui ne sont pas seulement imperméables, mais surtout résistants aux chocs. Un mélange de composition analogue sert comme garniture de joints pour réservoirs d'eau; il est très apprécié, étant facile à appliquer et très flexible. On peut encore fabriquer des parties mécaniques d'un mélange particulièrement dur résistant à la corrosion. Le soufre combiné avec 80 % de pâte de bois donne une nouvelle matière plastique qu'on peut mouler. Elle est dure et bon marché, le soufre ne revenant qu'à 50 centime le kilo. On peut la teindre en n'importe quel ton. ûù L'automotrice sur nos grands réseaux L'Usine (numéro du 21 avril) donne quelques précisions sur les essais de voitures automotrices qui se poursuivent en France sur nos grands réseaux et, en particulier, sur celui de la Compagnie du Nord, qui vient de commander récemment à la Société Franco-Belge de matériel de chemins de fer, deux rames composées de deux automotrices et d'une voiture intermédiaire, destinées à la ligne Paris-Lille. « Comme dispositions essentielles, rappelons que ces automotrices sont à traction diesel-électrique et peuvent fournir une vitesse moyenne de 125 kilomètres à l'heure et de 160 kilomètres-heure accouplées dans des conditions de confort et de sécurité qui ont fait l'objet de rapports approbateurs des éminents techniciens qui en ont fait l'essai. « Les moteurs sont d'un type spécial, très léger, qui tournent à grande vitesse pour les moteurs diesel (1.200 tours) pour une puissance de 400 CV. Les deux boggies ETTSde M I R O I T E R I E • DUMOtïNE • 57 rue béchevelin jlWtffcîf) TÉLÉPHONE:PARMENTIER I 2 3 9 U - / , V p ^ < GLACEy miroir./-nue/; encadrée/- yhjle moderne INVTALLAiïONVde MAGA/1NV..EN/EIGNE/" http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr 5u R"!^ capital Ô50.000 GlACE/" A U T O / " NEO-TRIPLEX Sécurit DECORATION AU JETdeyABLE ClOULT inG.(ECU903) http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon N° 3 — Mai 1933. T E C H N I CA XXXIX B. GROZE Agent régional des usines Montbard-Milnose, LouwoMecpipies et Solesmes 6 5 , Chemin de Choulans — L Y O N (5e! Téléph. 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Ingénieur de l'École Centrale Lyonnaise, Ingénieur de l'Institut Electro-Technique de Grenoble. ATCIEH : La Rochefoucauld. Paris. T R I N I T É 34-28 17. boulevard delà Madeleine. Paris. CUTENBERC 16-61 ien Élève de l'École Polytechnique. d'BXDBrlBnGB A. LAVOIX Maison de confiance (recommandée) Ingénieur des Arts et Métiers. Ancien Élève de l'École Centrale Ingénieur des Arts et Métiers. Ingénieur des Arts et Manufactures. * A. GEHET & E. GIRARDOT LYOïV Paris. T R I N I T É 58-20, 58-21 et 58-22 : de l'Hôlcl-de-Ville, Lyon (Rhône). F R A N K U N 07-82 Ingénieur des Arts et Manufaclu Ingénieur des Arts et Manufaclui 30 années 104, Rae de l'Hôtel-de-Ville , 80. rue St-Lazarc, S i 92-22, 92-23 et 92-24 25. rue Lavoisier. . Paris. AN]OU 09-94 P. LOYER * $ P. REGIMBEAU e de Pétrograd, Paris. EUROPE 60-28 c Victor-Emmanuel III. ien Élève de l'École Polytechnique. A. MONTEILHET * * r Civil des Ponls-ei-Chaussées. Docteur i 4 Paris. —' PERROT & AUBERTIN BB-A.XJlSrE ( O ô t e - d ' O r ) (E. 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MANUFACTURE DE TOLERIE 37 passé des commandes ces jours-ci pour la fourniture de 80 de ces automotrices à grande puissance. « L'automotrice diesel-électrique doit avoir des formes très variées, car elle doit répondre à des applica- INDUSTRIELLE F a b r i q u e d e B r o s s e s et P i n c e a u x TIKEI V O L E T Spécialité de Brossas Industrielles Préparation de Soles de porcs et Crins de ohrv. I i Henri (Ingénieur E.C.L. 1903) 56bis, r u e P a s t e u r — LYON Tél. Parmentier 25-31 Articles de Chauffage et de Fumisterie — Fourneaux — Exécution de toutes pièces en tôle noire, lustrée ou galvanisée, d'après plans ou modèles — Tuyauterie — Réservoirs — Soudure autogène SAVY Ing. (E.C.L. 11)06) USINES : PRIVAS (Ardèche) tél. 83 ; VERNOUX (Ardèche), tél. 15. DÉPOTS : LYON, 68, Galeries de l'Argue, tél. Franklin 06-05 ; PARIS (3»), 12, rue Commines, tél. 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O ISOLEE ÀGCEMO » P O U R (( On comprend que, par suite de l'évolution envisagée dans les conditions de l'exploitation et du matériel qui pourra y répondre, les réseaux soient disposés à réduire leurs dépenses d'acquisition de locomotives à vapeur. REÎEAUX SDUTERRAINi « En admettant que l'automotrice à grande puissance ne puisse pas remorquer le même matériel que la locomotive à vapeur, à cause du poids. (Il lui faudra probablement un matériel du même modèle construit avec des métaux plus légers.) Le doute n'est plus permis sur la nécessilé de construire des voitures des types actuels pour les trains à vapeur. HËBIHI ^kvwiwBaMiHp H P S B H I W ^ ^ B 8 M A N U F A C T U R E DE FlLS ET C A B L E S ÉLECTRIQUES DE L A COMPAGNIE GENERALE : D'ÉLECTRICITÉ, SOCIÉTÉ A N O N Y M E . C A P I T A L 174- M I L L I O N S . - D I R E C T I O N ET BUREAUX ' A L Y O N s 170-172;' A V E N U E ' J E A N - J A U R È S , S U C C U R S A L E S î - A P A R I S / 3 9 . RUE DE W A T T I G N I E S . T É L . ! DIDEROT 56.21. ET D A N S LES P R I N C I P A L E S V I L L E S DE FRANCE. « Il ne faut pas oublier non plus le remplacement de wagons qui, bien souvent, ne sont plus adaptés au transport des produits manufacturés encombrants tels qu'on peut les livrer à présent pour éviter des montages onéreux au lieu d'utilisation ou bien des manutentions en cours de transport. » Succursale de LYON M vn USTR rei r.s, ne OCCASION IB ±^£- C-4b-C3 0 TOURISME Garantie facilitera vos services pour une faible dépense d'achat et d'entretien HT CAMIONNETTES Service OCCASION 3S, Hue tle Marseille, É<* étage Succursale de LYON roMDK,E ,A ME ROBIN ETTERIE " Etablissements Réfrigération Electrique et Automatique Sans d a n g e r . a u Chlorure de Mdthyle Armoires Ménagères. InsrallaHons Induîirielfej http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr JACpUIN & HUZEL 115, Route d'Hayrieux . LYON Téléphone : P a r m e n H e r . 1 1 - 2 9 = P. BoufFi er . Ingénieur ( E . C . 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Ces offres, aussitôt reçues a u Secrétariat de l'Association, sont communiquées a u x camarades inscrits a u registre des « Demandes de situations » e t répondant a u x références exigées. 21. 8-5 E.C.L. constructeurs d'appareils spéciaux pour là radiologie cherche pour développer son affaire camarade disposant d'un certain capital e t pouvant s'occuper de l a clientèle diverses régions. 22. 8-5 On demande jeune E.C.L. libéré d u service militaire pour occuper emploi de début d a n s importante affaire. Demandes de Situations OFFRES REÇUES AU SECRÉTARIAT AVIS 14-4 9. 14-4 Jeune ingénieur diplômé sachant très bien dessiner est demandé, pour l a région dijonnaise, dans bureau d'études de travaux publics. On céderait, avec entrée en jouissance immédiate, fonds d e constructions mécaniques e t immeuble d a n s lequel s'exerce cette industrie, dans ville de la Loire. 10. 14-4 On demande ingénieur en chef pour affaire de construction d'appareils réfrigérants. 11. 14-4 Situation d'ingénieur électricien est offerte dans affaire de construction et installations spéciales a u raffinage du pétrole (offre annulée). 12. 14-4 Situation d'ingénieur électricien est offerte affaire de constructions électriques. 13. 14-4 Ingénieur directeur est demandé p a r établissements du Nord pour créer, puis diriger techniquement et commercialement, des installations industrielles. dans On offre situation d'ingénieur adjoint à la direction d'établissements textiles. 15. 18-4 On demande pour usine, fabriquant spécialement le matériel agricole, actuellement e n réorganisation, ingénieur a y a n t de la pratique spécialement en matière de forge et pouvant se charge/ de cette réorganisation e t de p r e n d r e ultérieurement la direction de l'usine. 1G. —Affaire de désincrustant cherche des représentants qualifiés pour les départements du Rhône, de l'Ain, de l'Isère, de la Drôme, de la Loire et de la HauteLoire. 17. 3-5 Manufacture de courroies et de tous cuirs industriels, disposant d'un dépôt à Lyon,- recherche représent a n t à l a commission pour la région lyonnaise. 18. 3-5 • On cherche à céder d a n s l a Loire fonds de constructeur électricien s'occupant de réparation de moteurs électriques et de petite construction d'appareils. 19. Maison de soudure demande bon représentant voyageant constamment. 5-5 20. 8-5 On recherche camarades E.C.L. désirant s'adjoindre représentations Rhône, Ain, Isère, Deux-Savoies, Drôme, Loire et Saône-et-Loire. IMPORTANT — Nous rappelons que toute demande de situation non satisfaite dans les trois mois est annulée et doit être renouvelée. — Nous prions instamment nos camarades qui, à l a suite de leur demande, ont obtenu u n e situation, de bien vouloir en informer l'Association dans le plus bref délai. — Les demandes reçues à l'Association ne peuvent encore, malheureusement, être satisfaites qu'en petit nombre. P a r m i les demandes e n instances, nous avons celles d'assez nombreux camarades des dernières promotions qui recherchent des situations de début ; de camarades spécialistes de la construction mécanique e t du chauffage central, de l'entretien d'usines, de l'industrie électrique, des travaux publics et de l'industrie textile. — Nous signalons tout particulièrement que plusieurs camarades désirent trouver des travaux de complément pour utiliser leurs heures de liberté ; d a n s ce nombre se trouvent u n dessinateur industriel et un spécialiste en études de projets et conseils concernant spécialement l'électricité. '•— E.C.L., titulaire d u diplôme d'ingénieur électricien cl dei§ cerLilicats électrotechniquc et mathématiques générales, recher die traductions d'anglais, leçons de math., électricité, physique, préparation a u concours d'entrée de Centrale. — Nous avons reçu, à la date d u 24 avril, d u Directeur à Lyon de l'Office économique de' Syrie et du Grand Liban, la lettre suivante qui intéresse u n certain nombre de camarades désireux de se faire une situation dans les colonies ou les pays de protectorat : « P a r lettre du 18 février dernier, vous avez bien voulu me !( demander des renseignements sur un important programme « de travaux de génie civil qui serait en préparation d a n s les « Etats du Levant sous mandat. D'autre part, u n de vos collè« gués s'est présenté à mon Office, en mon absence, pour obte« nir des indications visant l a même affaire. « L'autorité supérieure des Etats du Levant sous m a n d a t « vient de m'inforcner que j ' a u r a i s connaissance, le moment « venu, des dispositions prises à cet égard e t qu'elle ne man« querait pas de me fournir tous renseignements de nature à ce intéresser votre Association. « Vous excuserez mon retard à vous répondre, il est indépen« d a n t de m a volonté. ce Veuillez agréer, etc. » :'*> http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon XL1V N° 3 — Mai 1933. T E CHNIC A HX/IILE INGÉNIEUR-CONSTRUCTEUR R. C. Cambrai 544 A L_E G A T E A U Téléphona 47 (NORD) TRAITEMENT DES EAUX INDUSTRIELLES _____ SURCHAUFFEURS DE VAPEUR FILTRATION FILTRES OUVERTS ET SOUS-PRESSION jusqu'à 700° NETTOYAGE par SOUFFLERIE D'AIR ET RETOUR D'EAU ACCÉLÉRÉ • • • • . • • . . . . RÉCHAUFFEURS D'AIR CLARIFICATION et DÉCOLORATION jusqu'à 800° ÉPURATION CHIMIQUE A CHAUD et à FROID par tous procédés PROJETS SUR DEMANDE •••• ADOUCISSEURS A ZÉOLITHE (0° hydrotimétrique) BRULEURS à GAZ et au MAZOUT SOUPAPES DE VIDANGE PURGE CONTINUE POUR CHAUDIÈRES -A.g-exit régional : E. Ingénieur GHARVIER (E.C.L. 1920), 5, rue Mazard, LYON - Tél.Franklin 41-15 COMPAGNIE LORRAINE DE CHARBONS = POUR L'ELECTRICITE = 173, boulevard USINES à PAGNY-S.-MOSELLE Haussmann, PARIS (VIIIe) (M.-et-M.) et à MONTREUIL-S.-BOIS (Seine) pour Machines Electriques et Equipements d'Automobiles. Charbons, Eclairage, Cinématographie, Electrodes. Lampe Faust et Appareils d'Eclairage Carboram. 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Parmentie'r SAINT-FONS, 1, place Michel-Perret. Téléph. 31-89 08-61 23-10 23-09 43-09 8 (Burdeau 25-65) • • • • • — 51, r u e de Sèze (Lalande 63-56) VILLEURBANNE, place de la Cité. Villeurb. OULLINS, place Raspail. Téléph. VAISE, 41, quai Jayr. Burdeau CU ILLOTI ÈRE, 54, cours Gambetta. Parment. MONPLAISIR, 116, gde rue Monplaisir. P a r m . 97-65 35 31-49 23-64 02-30 • BOURGOIN (Isère)— • GHAZELLES-S/-LYON (Loire) — LACNIEU (Ain) LES AVEN1ÈRES, ouvert le vendredi. CRÉMIEU, ouvert mercredi. AMBÉRIEU, ouvert tous les jours, sauf le samedi. NEUVILLE-S.-SAONE, tous les jours, sauf le samedi. SAINT-GENIS-LAVAL, ouvert le vendredi. MONTALIEU, le vendredi. SAINT-RAMBERT-EN-BUCEY, le jeudi. Ml RI BEL, ouvert lundi et jeudi. MEXIMIEUX, ouvert le mercredi. SAINT-LAURENT-DE-CHAMOUSSET, ouvert le lundi. ST-SYMPHORIEN-S.-COISE, ouvert le mercredi et vendredi. CHARLY, ouvert lundi et jeudi. MONTLUEL, ouvert le vendredi. VAUGNERAY, ouvert le mardi. VÉNISSIEUX, ouvert tous les jours, le matin seulement. La Société Générale a installé, dans les sous-sols de son immeuble, 6, rue de la République, ainsi que dans les Bureaux marqués de ce signe (•), u n service de coffres-forts pourvus de tous les perfectionnements modernes. Papier d'éeorces Le papyrus des anciens était un papier d'éeorces. De nos jours encore, dans certains pays, on fait usage d'éeorces pour la fabrication des papiers. L'Industrie Papetière (avril) donne sur cette question les curieux renseignements qui suivent : En Extrême-Orient l'on utilise pour cet usage les écorçes de différentes essences, notamment celles du Broussonetia papyrifera, nommé vulgairement mûrier à papier. C'est un arbre qui a été longtemps classé dans le genre mûrier, dont il est d'ailleurs très voisin. L'espèce est dioïque, les fleurs mâles et femelles se trouvent sur des individus différents. C'est le papirier de Lamarck. Ce papirier se rencontre, en Extrême-Orient, à l'état spontané. L'on en crée, au Japon, des plantations analogues aux oseraies de chez nous. Le mûrier à papier est introduit et acclimaté en France depuis longtemps. Il croît très bien en pleine terre dans la région de Paris. Il est facilement reconnaissable à ses feuilles polymorphes, dont quelques-unes sont entières, et les autres découpées, à trois ou cinq lobes. Le broussonetia est très voisin de nos mûriers, et il semble que ses feuilles pourraient aussi servir à la nourriture des vers à soie. D'autre part, l'écorce interne du mûrier véritable peut aussi fournir des fibres textiles, plus ou moins soyeuses. http://histoire.ec-lyon.fr http://bibli.ec-lyon.fr Pour l'écorçage, les liges de broussonetia sont coupées en fragments de trois pieds (ou un peu moins), puis ces fragments sont traités par l'eau bouillante, jusqu'à ce que l'écorce se détache aux extrémités. On retire alors les brins, on laisse refroidir, puis on fait une incision dans toute la longueur, ce qui permet d'enlever toute l'écorce en un seul fragment. L'écorce obtenue est le plus souvent mise à sécher, puis on en fait des bottes pour la conservation. Pour l'emploi, on met les écorces à l'eau durant trois à quatre heures, puis on ratisse à l'aide d'un couteau pour enlever, avec sa peau brune, la partie verdoyante du liber. Cette partie séparée serf à fabriquer les basses qualités de papier (siri-gami el, kizosouki). Ce qui reste, l'écorce épurée, est classé en diverses qualités. Dans la dernière entrent, notamment, ce qui provient de brins âgés, les fragments comprenant clés nœuds, ou présentant d'autres défauts. Pour le traitement proprement dit, on met à bouillir avec une lessive filtrée, ou de la chaux... Le lavage, succédant à la coétion, est plus ou moins prolongé, suivant la qualité de papier que l'on désire obtenir. La matière obtenue est soumise à l'action de rouleaux de bois dur; elle en arrive à être semblable à la pulpe de papier macéré, qui se divise comme de la farine quand on la jette dans l'eau. Toute cette fabrication ancienne demande beaucoup de main-d'œuvre; les procédés modernes sont plus ou moins appliqués, mais l'on a encore recours, pour certains travaux, aux anciennes méthodes. http://www.centraliens-lyon.net Ecole Centrale de Lyon Bibliothèque Michel Serres Association des Centraliens de Lyon XLVI N° 3 — Mai 1933. T EC H NI C A «•x x* MAISON FONDÉE EIM 1 3 3 7 R. C. LYON B. 2 5 8 4 COMPAGNIE DES HAUTS-FOURNEAUX ET FONDERIES DE GIVORS Etablissements Société Anonyme Télégr. 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