Marie Julie Jahenny - Saint

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Marie Julie Jahenny - Saint
Marie Julie Jahenny
Une pauvre petite bergère au sommet de la mystique
Quelle destinée étonnante que fut celle d’une pauvre petite bergère bretonne : Marie-Julie
Jahenny (1850-1941). Une aventurière du surnaturel. La récipiendaire d’une multitude de
dons à décontenancer le plus féru des théologiens. Une foi rayonnante à convertir le diable, ou
presque ! De telles dispositions extraordinaires, ne procurent pas que des amis. Toute sa vie
elle a eu à porter de nombreuses souffrances à cause de la crédulité des hommes.
Les quelques photos de Marie Julie qui nous sont parvenues,
la représentent toujours avec sa ciffe bretonne "à la mode de Blain"
Marie-Julie Jahenny a été connue grâce à l’œuvre d’un curé de campagne : l’abbé Pierre
Roberdel qui a publié quatre livres sur la pieuse fille, aux Éditions Résiac. À la demande de
Monsieur Kayser, l’éditeur, j’ai rencontré en 1984 l’abbé Roberdel, pour réaliser une cassette
sur Marie-Julie. C’était devenu un ami. À 90 ans, il avait gardé une vivacité d’esprit qui me
surprenait à chaque fois que je lui rendais visite.
Un jour je lui rendais visite en compagnie de Monseigneur Onfroy.
Ils ne s’étaient pas revus depuis 15 ans. Après les amabilités d’usage :
« Mais quel âge avez-vous donc bon Père ?
- Soixante-quinze ans abbé Roberdel.
- Ah mais vous êtes un jeune homme ! »
Cet humour, cette repartie qui fleure la bonne humeur, c’était tout le Père Roberdel. J’avais
toujours été fasciné par « sa voix ». La voix d’un conteur né qui lui était particulière, et une
rhétorique élégante, colorée et savoureuse que l’on retrouve dans ses écrits.
Il soutenait que c’était « la Providence » qui a tout organisé pour qu’il fasse connaître au
monde Marie-Julie. On peut le croire, jugez-en.
Après l’ordination, il a été vicaire instituteur, puis 5 ans de captivité en Allemagne ; à son
retour : curé de Mouzillon, puis du Pouliguen. La retraite approchant, il est nommé aumônier
de l’école libre de Saint Marc qui ferme la même année. Il se retrouve seul avec la petite
communauté de sœurs Jeanne Lanoue : « L’évêché a dû m’oublier » dit-il, et il ajoute : « j’ai
fait un travail exceptionnel d’évangélisation, et j’ai pu travailler en toute liberté sur le dossier
Marie-Julie ». Le Marquis de La Franquerie, historien et écrivain bien connu, a été l’un des
instruments de la Providence, en lui demandant d’écrire la biographie de la stigmatisée de
Blain, lui donnant ainsi accès à un gigantesque dossier de plus de 60 000 documents !
L'une des qualités qui donnent toute sa valeur à l'oeuvre de l'abbé Roberdel sur Marie Julie Jahenny,
est la rigueur historique : "même quand cela ne lui est pas favorable" dit-il
Marie-Julie avait dit que ce serait un « prêtre de Nantes » qui écrirait sa vie. À notre
connaissance, deux prêtres avaient écrit avant-guerre des biographies qui n’ont jamais été
éditées. Or, dans le compte rendu d’une extase, le Christ fait voir à Marie-Julie un prêtre au
moment où il enlève ses ornements sacerdotaux : « Regarde bien ses traits, car avant de se
fermer, tes yeux pourront les reconnaître. » De fait, lorsque Pierre Roberdel a écrit sur MarieJulie, il était le seul prêtre encore vivant à l’avoir rencontrée.
Un jour, je lui demandais : Rien dans votre caractère, me semble-t-il, ne vous prédisposait à
vous intéresser au surnaturel, vous avez plutôt une expression de foi rigoureuse, ne serait-ce
que dans vos prônes dominicaux. Et n’avez-vous pas craint que vos confrères ne vous
discréditent en parlant de ces "choses-là"?
- Un prêtre se doit de savoir discerner « la main de Dieu » dans les événements ; bien sûr ce
n’est pas facile, mais notre Seigneur connaît notre petitesse et il insiste, il insiste même
lourdement parfois. Quand j’ai été convaincu de devoir faire connaître Marie-Julie, j’ai dit
dans ma prière que jamais aucun prêtre ou aucun évêque ne me fasse de réflexion sur mon
travail sur la pieuse fille. Ma prière a été exaucée, on ne m’a jamais fait aucune réflexion. Au
contraire il y a des témoignages de prêtres favorables.
- J’ai été stupéfait du nombre invraisemblable de prodiges dont Marie-Julie a été le
récipiendaire. On ne vous a jamais dit que ça faisait un peu trop ?
- Croyez-vous que l’on ait à juger de ces choses-là ? Doit-on dire à Dieu ce qu’il doit faire ? Il
n’y a aucune explication humaine aux stigmates, à la bilocation, à la lévitation, à la
communion surnaturelle, etc. Marie-Julie a été le récipiendaire de tous ces charismes. Or, tout
ceci s’est développé avec beaucoup de délicatesse. C’est bien le Ciel.
- D’accord mais à quoi ça sert ?
- Mais vous Christian, vous n’avez pas à être convaincu de la plénitude de Dieu, toute votre
vie vous avez pratiqué, vous avez cru, même quand vous étiez en colère contre un ministre de
notre Église. Grâce à votre éducation, votre culture, vous n’avez pas mis sur le dos de l’Église
le péché de l’homme. D’autres sont interpellés par ces faits surnaturels que la science
n’explique pas. Dieu a parlé par la bouche de Marie-Julie au XIXe siècle et au début du XXe,
pour les hommes et les femmes d’aujourd’hui.
- Comment donc ?
- Mais ne croyez-vous pas que c’est l’urgence des temps ? Vous avez vu la situation du
monde ? Ça craque de toute part. Dieu appelle, les gens ne l’entendent plus. On dirait que
depuis 40 ou 50 ans, tout s’est organisé progressivement pour perdre l’humanité. J’ai 90 ans,
j’ai vécu tout cela. Croyez-vous qu’un prêtre qui aime l’Église, qui n’a pas douté une seule
seconde de sa vocation, puisse voir la désertification des paroisses, l’ignorance totale des
choses de Dieu des jeunes générations, sans éprouver une immense douleur ? Ah les sectes
pseudo-chrétiennes ont beau jeu ; il y a un grand appel de Dieu chez les Français aujourd’hui,
quelle réponse de l’Église ont-ils ? Le renouveau charismatique et les apparitions. À quelques
exceptions près, c’est tout ! Quand je dis cela, je pense à l’apostolat auprès des non
pratiquants. Nos prêtres en activité ont tellement à faire. Mais il ne faut pas étouffer les
bonnes choses de Dieu.
- Vous dites renouveau charismatique, apparitions, le doigt de Dieu…
- Mais oui, Dieu aime tellement les hommes qu’Il intervient directement dans notre vie. À la
façon de Dieu. Et avec sa délicatesse habituelle, Il nous laisse libres. Il propose, on dispose.
L’homme dispose bien peu aujourd’hui, la prospérité l’a rendu égoïste, étroit d’esprit, il se
regarde vivre, au lieu de vivre. Il copie l’archétype que lui bombarde la télé jour et nuit. Il est
devenu un « enfant de pub » oubliant qu’il est un « enfant de Dieu ». Il ne peut pas se rendre
compte que sans Dieu, le monde va à sa perte, à la catastrophe. N’est-il pas notre Créateur ?
Le monde créé par Lui, ne peut pas fonctionner sans Lui. Même des savants l’admettent
aujourd’hui, comme vous l’avez dit dans Chrétiens Magazine en septembre. Coup de chapeau
au passage, je ne sais pas comment vous vous débrouillez pour trouver tous ces articles
chaque mois, ils stimulent la foi, font aimer Dieu, on a envie d’être un saint quand on le lit. Et
le plus exceptionnel, je retrouve le parfum de la foi de mon enfance dans vos pages, avec les
mots d’aujourd’hui.
- Merci, mais je rouspète tous les matins dans ma prière, les nouveaux abonnés ne viennent
pas assez vite
- Mais mon garçon, c’est que vous avez vingt ans d’avance. Votre engagement radical dans la
foi fait peur à certains, plutôt que de comprendre « ils jugent ». Il faut prier pour leur
conversion. Vous me dites que vous avez de plus en plus de prêtres et de religieux qui
s’abonnent, c’est un bon signe. Et vous me disiez que vous avez un taux exceptionnellement
élevé de réabonnements, vos lecteurs sont comme moi, ils ne peuvent plus se passer de leur
Chrétiens Magazine, ils l’attendent chaque mois avec impatience. La preuve de tout ça, vous
parlez de Marie-Julie ! Vous m’avez dit que c’est une folie, mais Dieu aime les fous, les fous
de Lui.
- Vous désirez encore écrire sur la stigmatisée de La Fraudais ?
- En arrivant ici à la maison de retraite du « Bon Pasteur » j’étais en bien mauvais état.
D’ailleurs, je suis arrivé en étant dans le coma, à cause du diabète. Depuis des années je
repoussais l’échéance d’y venir. Un malaise, le coma. On m’a transporté ainsi. Quand je me
suis réveillé je me suis dit : « J’y suis et bien j’y reste. » Les forces me sont revenues et j’ai
ressenti de devoir écrire un certain nombre de choses qui pourraient être publiées après ma
mort, pensais-je.
- Comment avez-vous fait pour trouver les forces nécessaires pour écrire ? Ce n’est pas une
mince affaire.
- Je dors peu la nuit, ça s’écrivait dans ma tête tout au long de la nuit, dans la journée je me
mettais à mon bureau et j’écrivais.
- Dites donc cher Père, vous voulez me faire croire que ce n’est pas vous qui avez écrit toutes
ces pages !
- Et vous jeune homme vous voulez me faire dire, ce que je n’ai pas dit ! (Éclats de rire). Je
ris, mais c’est « le doigt de Dieu » dans cette affaire de la Fraudais. Rien de contraire à la
Doctrine et aux bonnes mœurs. Donc on a le droit d’en parler. Et que ceux qui veulent
l’étouffer, qu’ils commencent par s’interroger sur les « diseurs de bonne aventure » et autres «
marabouts » qui parlent à la radio et qui tirent les cartes par téléphone ou font des horoscopes
par Internet. Dieu l’a interdit dans les Évangiles, ça !
- Je n’ai toujours pas compris pourquoi écrire à nouveau, maintenant ?
- Le « temps de Marie-Julie » est arrivé.
- Diantre, vous y allez fort Père.
- Ce sont les prophéties qui m’ont amené à le comprendre. Depuis des mois je les ressassais et
tout à coup, «j’ai tout compris ». Jusqu’alors on piétinait, on les embrouillait, elles sont
tellement nombreuses. Elles se superposent continuellement. D’ailleurs le Christ nous a
prévenus dans l’une de ces milliers d’extases qu’a eues Marie-Julie : « vous ne comprendrez
que quand vous aurez le nez dessus ». Je crois qu’on a le nez dessus. Jusqu’alors on s’était
bien trompé !
- Mais pourquoi Dieu voudrait-il nous faire peur ?
- Dans ces extases, une multitude de fois, il est dit comme à Fatima : « voilà ce qui va se
passer, si vous ne vous convertissez pas ». Vous êtes le seul journal au monde à avoir écrit,
sous la plume de René Laurentin, que la conversion de la Russie était l’Œuvre de la Sainte
Vierge, d’autres journaux commencent à le dire timidement. Des livres sortent aussi. C’est ça
la foi, on est devenu tellement timide qu’on n’osait plus le dire. Cette timidité est l’œuvre du «
terrorisme intellectuel ». Il faut que la contre-offensive de l’Amour et de la Vérité se lève !
- Mais les terribles épreuves qu’annonce Marie-Julie pour la France ?
- Croyez-vous que les Français se convertissent ? Quelques-uns, mais le nombre est bien petit.
Alors c’est le moment de relire les prophéties de La Fraudais les plus marquantes, les étapes.
N’oublions pas que la durée de chaque étape n’est pas donnée. Je vous le répète : on a le nez
dessus !
- On aura toujours le temps de voir venir.
- Réfléchissez avec moi, le Seigneur nous a prévenus qu’elles se répandront partout ces
prophéties, ces événements clés qui auront été annoncés d’avance, ne croyez-vous pas que
cela fera réfléchir les gens, si par malheur elles s’accomplissaient ? Or, ces milliers d’extases
qui ont été recueillies, c’est aussi un catéchisme, par Dieu et la Sainte Vierge eux-mêmes ! Ça
ne s’adresse pas aux théologiens, aux exégètes, le catéchisme. Il est fait pour le bon peuple
qui se désespère de nos jours du mal qui a tout envahi, d’une société égoïste, de la
généralisation de la violence, d’une génération qui casse toute l’œuvre du Créateur. L’œuvre
de Marie-Julie c’est un appel à la prière, aux sacrements, au retour à l’Église, celle instituée
par Dieu lui-même. Hors de l’Église pas de salut. Le temps des « minauderies » est terminé. Il
faut que les catholiques se lèvent, sortent de leur timidité, crient au monde leur confiance
absolue en la grâce distribuée gratuitement par le Ciel. C’est ça « croire ». Qu’ils prennent
pour exemple cette pauvre petite vieille à la foi bouleversante. Dieu se sert souvent des «
petits » pour faire comprendre sa volonté. Je suis fatigué. Vous êtes très bavard Christian (sic
!) Contentez-vous de suggérer à vos lecteurs de lire ces prophéties, ils comprendront. Et ils le
recommanderont autour d’eux. Que notre Seigneur les bénisse tous.
En quittant l’abbé Roberdel, il m’a assuré de sa prière pendant ma route : « Un chapelet,
chaque dizaine dans une langue différente, dont le grec et le latin. » Il était comme ça le Père
Roberdel ! Nul doute qu’il est au paradis et ris pour nous.
Christian Ravaz
Marie Julie devant sa chaumière, en compagnie d'amis, en juillet 1931.
QUELQUES PROPHÉTIE DE LA FAUDRAIS
« Mon peuple semble rentrer dans l’incrédulité… La religion, chaque jour, s’affaiblit. Bientôt
elle sera désertée presque par toute la terre, mais elle régnera dans des âmes isolées… »
10 juillet 1879
« Te rappelles-tu, France ingrate, que tu avais Promis à mon divin Fils, de lui donner ton cœur
!»
18 septembre 1877
« La Mère de Dieu, poussée par l’amour de son cœur, va redescendre sur la terre, apparaissant
à son peuple d’une façon qui sera sans mesure. »
15 mai 1882
« Un appel prochain va jeter la consternation dans les cœurs où règne encore la foi. On veut
briser l’unité entre le Saint-Père et les prêtres de l’Univers, les séparer du Chef de l’Église,
afin que chacun demeure libre de soi, et sans aucune surveillance. »
7 novembre 1882
« Attendez-vous à tout… sans frayeur, ni abattement, ni dégradation de la Foi »
29 septembre 1879
« 0 France, on apportera, jusque dans tes lieux, la poussière de l’étranger. Tu ne pourras
renvoyer ces étrangers. Ta noblesse sera perdue. »
30 novembre 1880
« Beaucoup de coureurs appellent les ouvriers à la révolte à cause du manque de travail qui
est leur pain de chaque jour. »
23 novembre 1882
« Parmi les suppôts qui doivent traverser notre Bretagne, il en est qui sont du dehors de la
France, mais les plus nombreux seront de notre royaume. Ceux du dehors seront de la dernière
qualité. Quand tout sera donné à la liberté, toute prison se videra, tout sera libre, jusqu’aux
condamnés… »
12 avril 1880
« À cette époque, le monde et l’enfer auront épuisé toute leur rage. Il n’y a pas loin à attendre
l’heure qui marquera le renversement et le fatal châtiment de la France… ou plutôt l’heure de
cette grande révolution universelle. Le commencement en sortira d’abord de la France : c’est
elle qui la première marchera à l’abîme et, aussi, à la résurrection. »
9 mai 1882
« La terre aura reçu… la mer immense du sang chrétien, mêlé à celui de beaucoup de ces
étrangers qui seront entrés dans cette patrie pour s’unir à ceux qui dévastent tout et répandent
la ruine la plus complète. » 9 mai 1882 « Notre Seigneur dit que la terre des Arabes
triomphera des pauvres armées françaises. Ils vont faire expulser de France les soldats
français. Une grande partie va retomber dans ces lieux où ils ont tant souffert, où ils ont été
réduits à la misère. » (En Allemagne).
28 septembre 1904
« Archange (dit le Seigneur), ils vont diviser le royaume en deux parties. Ceux qui sont
nouvellement entrés vont résider au Centre ; l’autre partie sera donnée, comme
commencement de conquête, à celui dont le nom sortira bientôt pour être proclamé roi des
Français. »
28 septembre 1882
« Ce sera lors de cette division que la France entrera dans les coupables desseins de ses
ennemis par l’apostasie et la violence complète. Ce seront jusqu’aux lois les plus faibles (les
moins importantes ?) qui seront dénaturées. »
28 septembre 1882
« Mes enfants (dit Marie) la France complote avec ces infâmes perturbateurs qui ont ruiné son
cœur noble et généreux. Avec eux, elle s’insurge contre mon divin Fils, contre les lois les plus
saintes, contre la religion. Avec eux elle s’engage à fouler aux pieds la religion et à en lever
une autre que celle que Dieu a faite. »
28 décembre 1877
(Les autorités impies parlent) « Nous te permettrons encore cette chose… mais hors de la
manière et hors de la maison (église) où tes folies ont habitué les dévots à se rendre. »
« Nous te donnerons un morceau de pain et quelques gouttes d’eau. Tu pourras faire tout ce
que tu faisais quand tu étais au Christ. » (Pour célébrer l’Eucharistie pas de vin, interdît par
l’islam intégriste !)
30 juin 1880
« Pendant que j’aurai placé à l’abri du danger mes serviteurs et les familles bénies, tant que le
flambeau (le Roi-sauveur) ne sera point apparu, d’ici cette heure, mon peuple présent, tu ne
bougeras pas du lieu de repos où je t’aurai placé. »
9 février 1882
« Un peu plus tard, sous une belle aurore d’un matin plein d’espérance, sortira un (Roi)
Sauveur qui sera choisi par moi pour rendre la paix à mes enfants exilés. Il bénira mes œuvres
; il favorisera mes desseins ; il sera l’ami de Dieu. »
1er décembre 1896
« Je peuplerai la terre de France de fleurs, c’est-à-dire de cœurs purs, repentants, qui aimeront
la sainte Église, le Saint-Père et la France, une génération nouvelle. »
1er décembre 1876
« Vous ne devez pas en vouloir à ceux qui ne veulent pas croire, car ils ne savent pas ce qu’ils
font. Mais malheur à ceux qui se permettent de juger avant de s’être informés. »
(non datée, a dû être délivrée peu avant 1938)

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