Devoir 1 - Ingenierie système
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CHAPITRE 1 DS - INGÉNIERIE Ingénierie - PCSI Devoir 1- Fauteuil électrique Positélec Corrigé page 30 adapté de CCP PSI 2003 (Costadoat) A. Présentation générale Le système objet de l’étude est un fauteuil roulant électrique « POSITELEC 90 ». Afin de répondre au besoin d’autonomie des utilisateurs, les fauteuils roulants sont électriquement motorisés. Le diagramme de la figure 1 décrit le contexte du fauteuil. Le diagramme d’exigences et le diagramme de définition des blocs sont présentés en annexes. Figure 1: Diagramme de contexte Q1. Pourquoi fait-on apparaitre le « réseau EDF » dans le contexte ? Le concepteur distingue le « sol » et les « obstacles », que classez-vous dans « obstacles » ? Quel contrainte cela va-t-il avoir sur le fauteuil ? Q2. Préciser le service principal rendu par ce fauteuil. Compléter le diagramme des cas d’utilisation DR-1. Le lien avec les deux autres services est-il plutôt un extend ou include 2 1 DS - Ingénierie La motricité est assurée par deux moteurs électriques à courant continu commandant séparément une des deux roues arrière afin de diriger le fauteuil. Les roues avant sont montées « folles » (libres dans leurs mouvements). L’asservissement de la vitesse et la commande de puissance des moto réducteurs sont effectués par une carte électronique appelée variateur. Les moto réducteurs sont équipés de freins électromécaniques à manque de courant, commandés en tout ou rien. )LJXUH %RvWLHUGH FRPPDQGH 0RWHXUUpGXFWHXU URXHJDXFKH &RQVROHGH FRQILJXUDWLRQHW GHYLVXDOLVDWLRQ &RIIUHW %DWWHULH 0RWHXUUpGXFWHXU YDULDWHXU 0RWHXU &RIIUHW URXHGURLWH FDUWHGHFRPPDQGH UpGXFWHXUURXH YDULDWHXU GURLWH FDUWHGHFRPPDQGH Figure 2: fauteuil Le boîtier de commande supporte cinq éléments nécessaires à la conduite : – un bouton Marche-Arrêt, – un joystick qui permet de se diriger, – un potentiomètre qui sert à moduler la vitesse, – un afficheur lumineux de type « bargraph » qui indique l’autonomie de la batterie, – un afficheur de panne. La carte de commande à microcontrôleur est chargée de la commande du variateur, de la gestion des pannes, de la configuration et de l’aide au dépannage. Elle est disposée dans un coffret qui renferme aussi la partie puissance, près des moteurs, à l’arrière du fauteuil. La configuration et l’aide au dépannage sont assurées par une mini console de visualisation. L’utilisateur doit venir le connecter à l’arrière du coffret variateur. En fonctionnement normal, un moteur transmet par l’intermédiaire de deux étages de réduction la puissance à chacune des roues (figure 3). Lorsque les moteurs ne sont pas alimentés, le fauteuil est par sécurité automatiquement freiné par le frein à manque de courant. On note ωm (t) la vitesse de rotation de l’arbre du moteur(Cf. figure 3) et ω R (t) la vitesse de rotation de l’arbre de roue. On note r le rapport de réduction ω (t) 3 r= R = ωm (t) 170 et R0 le rayon de la roue R0 = 0,4 m Un capteur de vitesse à effet Hall mesure la vitesse de rotation de l’arbre de sortie du moteur. Ce capteur délivre une tension proportionnelle à la vitesse de rotation du moteur : uc (t) = Kcap · ωm (t) avec Kcap = 0,2 V s rad−1 Q3. Le respect de quelle exigence nécessite la présence d’un capteur de vitesse ? Q4. Que peut-on dire du choix des batteries et du moteur ? Q5. La vitesse maximale du fauteuil est Vmax = 6 km h−1 , déterminer la vitesse de rotation des roues puis la vitesse de rotation de l’arbre moteur ω m (t) en rad s−1 puis tour/min. 3 Moteur électrique Pignon de sortie de l’arbre moteur nombre de dents : Z1 = 8 Roue dentée de l’arbre intermédiaire nombre de dents : Z2 = 60 Arbre de sorte lié à la roue arrière Pignon de l’arbre intermédiaire nombre de dents : Z3 = 9 Roue dentée de l’arbre de roue nombre de dents : Z4 = 68 Figure 3: Motorisation du fauteuil Q6. Comment doivent-etre les vitesses de roues droite et gauche, pour aller tout droit, tourner à droite, tourner à gauche ? Q7. Pour le système fauteuil « POSITELEC 90 », compléter les chaînes d’énergie et d’information sur le document réponse DR-2. Dans une première version du fauteuil, le concepteur n’avait pas prévu d’asservissement de vitesse et souhaitait piloter directement le moteur avec une tension de commande u(t). On se propose donc de vérifier si cette solution est possible pour un fauteuil. Le comportement du moteur est décrit par les équations suivantes : Le moteur est alimenté par la tension u(t), on note R Le couple moteur cm (t) dépend lui du courant i(t), on la résitance du moteur (en ohm) et e(t) la force électro- note Kt la constante de couple : motrice : cm (t) = Kt · i(t) (1.3) u(t) = R · i(t) + e(t) (1.1) La loi mécanique de comportement du moteur ene(t) dépend de la vitesse de rotation du moteur ωm (t), traînant la roue s’écrit, on note J le moment d’inertie on note Ke la constante de vitesse : équivalent : e(t) = Ke · ωm (t) (1.2) avec – R = 0,18 Ω – J = 2 × 10−2 kg m−2 – Kt = 0,1 N m A−1 – Ke = 0,1 V s rad−1 Le système peut-être décrit par le schéma fonctionnel suivant : U(p) Ω m (p) Ω R (p) moteur reducteur avec – U(p) la transformée de Laplace de la tension d’alimentation u(t) ; – Ω m (p) la transformée de Laplace de ω m (t) ; J· d ω m (t) = cm (t) dt roue V(p) (1.4) 4 1 DS - Ingénierie – Ω R (p) la transformée de Laplace de ω R (t) la vitesse de rotation de la roue en rad s−1 ; – V(p) la transformée de Laplace de v(t) la vitesse de déplacement de la roue. et I(p), E(p) et Cm (p) les transformées de Laplace respectivement de i(t), e(t) et cm (t) en m s−1 . Le système étant dans les conditions de Heaviside. Q8. Écrire dans le domaine de Laplace les quatre équations du moteur à courant continu. Q9. En déduire la fonction M(p) telle que Ω m (p) = M(p) · U(p). Faire l’application numérique. Q10. Déterminer ensuite H(p) telle que V(p) = H(p) · U(p). On alimente le moteur avec la tension maximale des batteries, on a donc u(t) = U0 · H(t) avec H(t) la fonction de Heaviside et U0 = 24 V. Q11. Donner la transformée de Laplace de u(t) en déduire V(p), sous forme litérale puis numérique. Pour la suite, quelque soit votre résultat, on prend pour V(p) (déterminé pour U0 = 24) : V(p) = 0,016 8 (0,003 6 · p + 0,01) · p Q12. À partir du tableau des transformée inverses en annexe A-1 déterminer v(t). Q13. Tracer l’allure de v(t), en précisant la valeur finale (en m s−1 ). L’exigence de vitesse maximale est-elle respectée ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Questions supplémentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sachant que deux moteurs ne sont jamais identiques et que la tolérance de réalisation est de 5% pour Ke et Kt avec toujours Ke = Kt . Remarque : La valeur numérique 0,01 de la fonction V(p) correspond au produit Ke · Kt dans le cas théorique et le numérateur à 0,016 8 = Kt · 0,168. Q14. Si on suppose que le moteur droit est réalisé avec les valeurs théoriques pour Ke et Kt et que le moteur gauche à le défaut de réalisation maximal (+5%). Quelle va être la trajectoire du fauteuil si on alimente les deux moteurs avec U0 = 24 V ? Q15. Expliquer alors l’intérêt de réaliser un asservissement de vitesse. B. Annexes A-1. Transformées de Laplace usuelles f (t) · H(t) F(p) Dirac : δ(t) 1 δ(t − τ) e−τ·p Heaviside : H(t) 1 p a p a · H(t) a · H(t − τ) a · t · H(t) t n · H(t) e −a·t · H(t) 1 − e−a·t · H(t) a a −τ·p ·e p a p2 n! p n+1 1 p+a 1 p · (p + a) Table 3: Transformées de Laplace usuelles 5 A-2. Diagramme d’exigences Figure 4: Diagramme d’exigence 6 1 DS - Ingénierie A-3. Diagramme de définition de blocs bdd : [block] diagramme de définition de blocs [fauteuil Positelec] << block >> Batteries << block >> IHM + Commande 2 batteries 12V 15Ah Joystick, clavier, afficheurs et microcontroleur << System >> TopChair << block >> Carte de puissance << block >> Train Avant Train avant : parts – 2 roues folles. << block >> Groupe de propulsion roues Trains avant et arrière << block >> Train Arrière << block >> Chassis +fauteuil Structure mécanosoudée fauteuil Train arrière : << block >> Capteurs parts – 2 capteurs de vitesse à effet Hall (Kcap = 0,2 V s rad−1 ) parts – 2 moteurs indépendants (moteur 24 voltDC 350 W), – 2 roues diamètre D = 0,4 m Figure 5: diagramme de définition de blocs du fauteuil Positelec 7 C. Documents réponse DR-1. Cas d’utilisation à compléter uc : Cas d’utilisation fauteuil Positelec [Utilisation normale] Fauteuil Positelec Réguler la vitesse Diriger Utilisateur handicapé Figure 6: Description du cas d’utilisation normale du fauteuil DR-2. Chaîne d’énergie et d’information à compléter inf Dialoguer Dialoguer . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... Acquérir . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... adapter convertir Traiter . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... inf ordres inf inf Commu niquer . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... Alimenter Distribuer Convertir Transmettre . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... Figure 7: Description des chaines d’information et d’énergie .......... .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . A g .......... i .. . . . . . . . . . r .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . 8 1 DS - Ingénierie Ingénierie - MPSI 2 Devoir 2- Lecteur de CD Corrigé page 32 Extrait et adapté du sujet de CCP PSI 1998 A. Présentation Les lecteurs optiques laser sont des produits qui font partie de notre quotidien. Qu’ils soient utilisés pour lire des «compacts discs» audio sur les chaînes HlFl (depuis 1980) ou lire des données sur un cédérom dans un ordinateur (depuis 1987), sous la forme de DVD, ou BlueRay plus récemment, la technologie générale est la même. Figure 8: Lecteurs CD et DVD Le CD ou le DVD est un disque de matière plastique transparente dans lequel est incrustée une fine couche d’aluminium réfléchissante. Les données binaires (0 ou 1) sont enregistrées sur le disque par modification de la variation d’indice de réflexion de la couche d’aluminium. Cette variation est lue par le lecteur de cédérom et interprétée pour restituer les données. Le lecteur de cédérom externe étudié dans ce sujet possède sur sa face avant un bouton permettant l’ouverture et la fermeture d’un tiroir et une led verte éclairée lorsque le lecteur fonctionne. L’utilisateur commande l’ouverture du tiroir, place le disque cédérom et referme le tiroir. A.1. Contexte d’utilisation du lecteur CD Un des modes les plus fréquents d’utilisation d’un lecteur de cédérom est la lecture et l’écriture de données entre le cédérom et l’ordinateur. Le lecteur peut être intégré au boîtier de l’ordinateur ou connecté par le biais d’une liaison USB à l’appareil. Pour cette étude, nous nous placerons dans le cas d’un lecteur/enregistreur CD/DVD externe, utilisé par exemple pour la sauvegarde de données d’un notebook non équipé en interne, il communique avec le notebook au travers d’une cable USB qui assure aussi l’alimentation du lecteur. Dans ce type d’utilisation, le lecteur de cédérom est en interaction avec plusieurs éléments du milieu extérieur. Q1. Identifier les éléments extérieurs au lecteur CD externe, compléter le diagramme de contexte du document réponse page 15 (vous pouvez si nécessaire ajouter des blocs). A.2. Fonction « ouverture du tiroir du lecteur de cédérom » Le tiroir est l’élément du lecteur de cédérom qui permet le chargement et le déchargement du cédérom ainsi que son positionnement correct sur le moteur disque. L’ouverture ou la fermeture du tiroir peut être commandée par un bouton situé sur la face avant (nommé «BF»). La fermeture du tiroir peut aussi être commandée en exerçant un léger effort sur sa partie frontale. La détection de cet effort entraîne la commande de fermeture. De plus. une sécurité permet d’éviter tout blocage : lors de la fermeture. si le tiroir se bloque (cédérom mal positionné) le blocage du moteur de transport entraîne une commande inverse et donc l’ouverture du tiroir. Deux capteurs Co et Cf détectent respectivement la position ouverte et fermée du tiroir. Une led verte indique le bon fonctionnement. Q2. Compléter la machine à états transitions du document réponse page 15 décrivant le fonctionnement du tiroir, en complétant les conditions de passage d’un état à un autre. 9 A.3. Exigences et contraintes de fonctionnement du lecteur CD Le diagramme du document réponse (page 16) décrit partiellement les exigences que doit respecter le système. A.4. Diagramme de définition de bloc La figure 17 présente le diagramme de définition de bloc du lecteur CD. A.5. Fonction « lecture des données du cédérom » Les figures 10 et 11 et les photos 9 et 12 montrent le mécanisme interne du lecteur et l’actuateur lorsque le tiroir est enlevé. Lorsque le tiroir est complètement fermé, un mécanisme non étudié ici permet de positionner le cédérom sur le plateau moteur afin qu’il soit entrainé en rotation. La lecture du cédérom est obtenue en déplaçant un faisceau laser sous la surface réfléchissante du disque. Le déplacement du faisceau laser est obtenu par le pilotage en position du support du bloc optique suivant deux directions parallèles au disque et une perpendiculaire. Actuateur 2D (3) avec la lentille Crémaillère Tige acier (4) Moteur de suivi joints (7), (8), (9) guidage plastique (10) Figure 9: Lecteur de CD tiroir enlevé Le support (2) est guidé par la tige acier (4) et le guide plastique (10) ; il vient placer le faisceau laser dans la position souhaitée. Cette position est affinée par l’organe « actuateur 2D » (3) (figures et photos 9, 13 et 14) fixé sur le support du bloc optique (figure 11). Le bloc optique (photos et schémas de la figure 13 et 11) constitué de la diode laser, de miroirs, de la lentille fixée sur l’actuateur 2D et du support du bloc optique est asservi en position pour permettre au faisceau laser de suivre la piste du cédérom où se trouve les données souhaitées : c’est la «fonction de suivi de piste ». Le suivi de la piste est réalisé simultanément par deux structures différentes : – Le premier asservissement, suivant l’axe X, est réalisé par le pilotage du moteur de suivi qui entraîne, par l’intermédiaire du pignon (1) de l’arbre(1), la crémaillère fixée sur le support du bloc optique. Cet asservissement permet de déplacer la lentille au dessus de la piste mais n’est ni suffisamment précis ni suffisamment rapide pour être utilisé seul. 10 1 DS - Ingénierie Figure 10: Plaque de positionnement et descriptif des constituants Figure 11: Support de bloc optique avec l’actuateur 2D – La finesse du positionnement est obtenue par des micro-déplacements de la lentille pilotée par l’actuateur 2D(figure 14). L’actuateur participe ainsi à deux asservissements : – le tracking : l’actuateur permet de déplacer la lentille suivant l’axe Y pour régler précisément la position. Cet asservissement est très rapide et permet un déplacement de 100 μm. – le focus : l’actuateur déplace la lentille selon l’axe Z afin de maintenir la distance entre la lentille et le cédérom constante et assurer une lecture correcte des informations ; ce pilotage (« fonction de focalisation ») suivant l’axe Z est aussi assuré par l’actuateur 2D. L’amplitude des ce mouvement de l’actuateur est de 11 Lentille Tige de guidage en acier (4) Bobines guidage plastique (10) Figure 12: Photo du bloc optique avec l’actuateur 2D et la lentille fils d’alimentation Lentille (vue coupée d’un quart) Bobines verticales Bobines horizontales Figure 13: Schéma de l’actuateur 2D 100 μm 1 avec une précision d’environ 2 μm. A.6. Étude de la fonction de focalisation La lecture des informations binaires sur le disque est réalisée à l’aide d’un faisceau laser. Une diode laser produit un faisceau qui se concentre sur la surface du disque à l’aide des deux lentilles. Le faisceau frappe la surface du disque, puis il est réfléchi sur la cible par le biais du miroir semi-réfléchissant. La figure 1.15(a) représente le chemin optique simplifié. Si la focalisation est de bonne qualité, le faisceau réfléchi frappe la cible en un point. Si celle-ci est mauvaise. l’impact du faisceau réfléchi sur la cible est une tache dont la taille est proportionnelle à l’erreur de focalisation. La cible associée à un circuit électronique fournit un signal électrique u1 dont la tension est proportionnelle à l’erreur de focalisation u1 (t) = Kc · (t). Si u1 = 0 V le faisceau est parfaitement focalisé sur la surface du disque ainsi que sur la cible du capteur optique. En fonction de cette erreur, le circuit de commande pilote l’actuateur 2D afin de régler en hauteur la position de la lentille de focalisation jusqu’à ce que le réglage soit correct. Comme nous l’avons vu l’actuateur 2D permet de réaliser le suivi de la piste ainsi que la focalisation du faisceau laser sur la surface réfléchissante du disque. La lentille de focalisation est suspendue par les 4 fils qui assurent le maintien et la fourniture du courant électrique aux bobines (figure 1.15(b)). 1. 1 μm = 10−6 m 12 1 DS - Ingénierie #» y Déplacement horizontal suivant #» y : « Fonction de suivi de piste » vue de dessus #» x #» z Déplacement vertical suivant #» z : « Fonction de focalisation » vue de coté #» x Figure 14: Mouvements de l’actuateur #» z #» F Lentille de focalisation z #» y O #» P (a) Principe de la mesure de l’erreur de focalisation (b) Modéle mécanique du déplacement vertical de l’actuateur 2D Figure 15: système de focalisation - ajustement de la position suivant #» z L’association aimant et bobine alimentée par un courant i permet de générer un effort vertical qui permet de réaliser le déplacement de la lentille. Pour la suite de cette étude nous considérons uniquement le mouvement lié à la fonction de focalisation (mouvement vertical suivant l’axe #» z avec x(t) = constante). L’actuateur doit maintenir une distance constante entre la lentille et le disque, la différence entre cette consigne dc et la mesure réalisée dm par le capteur optique est traitée par le correcteur qui génère la loi de commande v(t) qui pilote le circuit de puissance. le circuit de puissance alimente la bobine de déplacement vertical avec la tension u(t). Le champ électromagnétique créé par le courant permet de s’opposer à l’effet de la pesanteur et déplace la lentille verticalement. B. Analyse du système Q3. Compléter le diagramme d’exigence en précisant les blocs qui permettent de satisfaire les exigences "id=011", "id=012" et "id=013" parmi les blocs suivants : 13 – tiroir – moteur de suivi, pignon crémaillère – moteur disque – actuateur – bouton "BF" – CD Remarque : Un constituant peut satisfaire plusieurs exigences. Q4. À partir du diagramme de définition des blocs (figure 17), de la description du fonctionnement, tracer le diagramme de définition des blocs de l’axe de suivi. Q5. À partir de la description est des différents diagrammes et figures, compléter les chaînes d’énergie et d’action du mécanisme de suivi. Q6. Tracer en couleur sur le diagramme des blocs internes du document réponse page 17 les constituants de la chaîne d’action et la chaîne d’information relatif à l’asservissement de focalisation B.1. Notice de calcul Le disque compact se présente sous la forme d’un disque de diamètre 120 mm et d’épaisseur 1,2 mm, sur lequel est gravée l’information binaire, convenablement codée. Cette gravure est constituée de micro cuvettes, de largeur constante et de longueur variable. La profondeur de ces cuvettes est de l’ordre de quelques dizaines de nanomètres (figure 16). Lors de la rotation du disque, les structures porteuses d’information binaire défilent dans le plan focal d’un dispositif optique. Ces structures diffractent et réfléchissent le faisceau de lecture. L’analyse des faisceaux en retour permet ainsi de remonter aux informations enregistrées. La piste est codée le long d’une spirale (le rayon est une fonction affine de l’angle polaire) dont le pas radial, noté p, est de 1,6 μm pour les CD. La lecture des pistes se fait du rayon intérieur r0 = Rmin = 25 mm vers le rayon extérieur r1 = Rmax = 58 mm. La vitesse de défilement de la piste devant le spot, notée V = 1,2 m s−1 , est constante (la vitesse de rotation des CD audio par rapport au bâti n’est donc pas constante). Figure 16: enregistrement des données sur le CD Q7. Déterminer le nombre approximatif de tours doit faire le CD pour lire complètement le contenu. Q8. Donner a 5% près la longueur de la piste La vitesse de rotation du CD varie continument pour assurer une vitesse de lecture constante. Q9. Déterminer la vitesse de rotation ω pour le rayon minimum puis pour le rayon maximum en tr/min. C. Recueil de figures et photos 14 1 DS - Ingénierie C.1. Diagramme de définitions des Blocs bdd : [block] diagramme de définition de blocs [lecteur CD] << block >> USB Connectique USB << block >> IHM Bouton « BF » << block >> Carte de commande et puissance parts – micro-controleur + logiciel – carte de puissance << System >> Lecteur CD parts – moteur disque – ... Structure mécanosoudée parts – moteur de suivi, – pignon crémaillère, – guidage par tige acier et guide plastique. << block >> Support bloc Optique << block >> Motorisation disque << block >> Chassis << block >> Axe de suivi << block >> Tiroir << block >> Actuateur parts – lentille – bobines horizontale et verticale – diode laser – capteur optique de position de la piste – ... parts – moteur tiroir – 2 capteurs détectant les positions ouverte et fermée. – rails de guidage. Figure 17: Diagramme de définition de blocs du lecteurCD 15 D. Documents réponses D.1. Diagramme de Contexte Compléter le diagramme de contexte bdd : Diagramme de contexte [Contexte général du lecteur CD/DVD] << External >> << External >> << System >> Lecteur CD/DVD << External >> Utilisateur Figure 18: Diagramme de contexte général D.2. Machine à états-transition du fonctionnement du tiroir sous tension Fermé Fermeture Ouverture Ouvert 16 1 DS - Ingénierie D.3. Diagramme d’exigences req : Lecteur CD [exigences de fonctionnement] << block >> USB << requirement >> Alimentation « satisfy » id="003" text="Le lecteur CD doit pouvoir être alimenté par l’ordinateur" Alimentation via la prise USB. << requirement >> Sécurité id="021" text="une mauvaise insertion du CD ne doit pas bloquer le fonctionnement" << requirement >> Mise en place du CD id="002" text="La mise en place du CD doit se faire facilement" << requirement >> Automatisation << requirement >> Lecteur CD id="001" text="Le lecteur doit permettre la lecture de données depuis un CD ." id="022" text="La commande d’insertion / extraction du CD doit être commandée par un seul bouton, l’insertion peut aussi être déclenchée en poussant le tiroir" << requirement >> Lecture des données id="001" text="Le mécanisme de lecture des données doit pouvoir assurer un débit des données fluide pour une meilleure écoute" « refine » « refine » << requirement >> Rotation du CD id="013" text="Le lecteur de CD doit être capable de réguler la vitesse de rotation du CD à 1,4 m s−1 " << block >> « refine » << requirement >> Focalisation id="012" Text=" L’asservissement de focalisation doit permettre de maintenir la distance entre la tête de lecture et le disque avec une précision de ±2 μm" << requirement >> Suivi de la piste id="’011" Text="Le mécanisme de suivi de piste doit être capable de suivre la piste avec une précision de 1,6 μm" << block >> Figure 19: Exigences générales du lecteur CD << block >> 17 D.4. Diagramme des blocs internes ibd : [block] système automatisé [lecteur CD : partiel] IHM → doigt BP → inf 4 :bouton → BF inf 3 :unité de traitement → → Carte de commande et de puissance → → → inf 2 → → → :Filtre + conver- → → sion → led verte → :Voyants → E1 depuis USB → inf 5 inf 7 inf 6 → → → :Interface de puissance moteur de suivi :Interface de puissance bobine horizontale :Interface de puissance bobine verticale → → → E6 E2 Actuateur 2D :diode laser E4 :pignon → crémaillère → :Bobine → verticale effort électromagnétique F6 rayon émis → → effort F → :lentille → → E7 → rayon réfléchi → :fils de → maintien rayon émis → → → :moteur → de suivi → Axe de suivi → :Bobine hori- → zontale effort électromagnétique F7 rayon réfléchi → :cible du capteur → → Support de bloc optique erreur de focus erreur de suivi Figure 20: Diagramme des blocs internes limité aux blocs IHM, carte de commande, support de bloc optique. . 18 1 DS - Ingénierie D.5. Schéma fonctionnel inf Dialoguer Dialoguer . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... Acquérir . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... adapter convertir Traiter . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... inf ordres inf inf Commu niquer . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... Alimenter Distribuer Convertir Transmettre . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... Figure 21: Description des chaines d’information et d’énergie .......... .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . A g .......... i .. . . . . . . . . . r .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . 19 Ingénierie - MPSI 1 Devoir 3- Système de mesure de cavité souterraine Corrigé page 34 adapté de CCP TSI 2010 (Paul Enjalbert) A. Présentation du système A.1. Problématique Le sous-sol français possède de nombreuses cavités soit naturelles (coulées de lave...) soit liées à des activités humaines (mines...). Les terrains constructibles se faisant de plus en plus rares, on est amené à construire dans des zones où les sous-sols sont médiocres. Afin de limiter le risque d’effondrement et de connaître l’extension des cavités, des études de terrains sont réalisées. Actuellement, la présence d’une cavité est détectée en surface à l’aide de moyens électromagnétiques mais son volume et sa position exacte ne sont pas mesurables par ces moyens externes. Le Centre d’Expertise du Bâtiment des Travaux Publics (CEBTP) utilise une mesure par télémètre laser. Une fois la cavité décelée, le CEBTP procède à un forage vertical en profondeur d’un diamètre de 104 mm pour atteindre la cavité. Un outil « sonde » est introduit et transmet les mesures en surface. Le volume de la cavité est alors calculé et une visualisation 3D peut être générée (voir figure 23. Figure 23: Visualisation 3D d’une cavité. Figure 22: Cavité minière. A.2. Principe de fonctionnement Le système étudié peut se décomposer en trois parties (voir figures 24 et 30) : – la partie commande du système : un automate programmable industriel (API) et un micro-ordinateur, – le système de déplacement de la sonde, composé d’un ensemble motoréducteur et variateur, accouplé à un tambour sur lequel s’enroule un câble permettant la montée et la descente de la sonde dans le trou de forage par un système de poulies, – la sonde en tant que telle (voir le document technique DT1 (figure 29), permettant l’acquisition de la forme de la cavité. – La position de la sonde est mesurée par un codeur relié au câble par une roue de friction. 20 1 DS - Ingénierie Par l’intermédiaire d’un câble enroulé sur le tambour, la sonde de mesure est descendue en vitesse lente (0,1 m s−1 ) jusqu’au bas du tubage et en vitesse rapide (0,5 m s−1 ) jusqu’au fond de la cavité. Elle y réalise sa première mesure de distance par rapport à la paroi de la cavité. La mesure utilise le principe de réflectométrie laser : la sonde comporte un télémètre laser qui mesure la distance entre l’axe vertical du câble et le bord de la paroi. La sonde dispose d’une partie mobile qui est mise en mouvement grâce à un moteur pas à pas (voir figure 29) : cela lui permet d’effectuer une série de mesures sur 360° pour une profondeur donnée. Le principe de la mesure consiste à remonter la sonde par paliers successifs. Pour chacun de ces paliers, on effectue une série de mesures : – une résistance chauffante « tapis chauffant » est alimentée avant chaque série de mesure pour éviter toute formation de buée sur le miroir de renvoi du télémètre ; – un moteur pas à pas de 200 pas/tour va permettre de faire tourner le télémètre par pas de 1,8° toutes les 0,1 s. Ainsi on pourra réaliser 200 points de mesure pour une profondeur donnée, le faisceau laser de mesure sera horizontal alors que l’axe du télémètre est vertical, ceci sera réalisé grâce à un miroir à 45° fixé sur le télémètre ; – afin de ne pas torsader les fils électriques, il faut revenir en position initiale (rotation de 360° dans le sens opposé, à vitesse modérée de 20 tr/min avant la série de mesures suivante ; – une boussole électronique permet de contrôler l’orientation de la sonde et son inclinaison. – une fois la première série de mesures effectuée au fond de la cavité, la sonde remonte en vitesse rapide d’une hauteur donnée (50 cm ) et effectue de nouveau une série de mesures, ces opérations étant répétées jusqu’à atteindre le haut de la cavité. La dernière mesure s’effectue entre 0 et (50 cm du bas du tubage. La sonde remonte ensuite en vitesse lente (0,1 m s−1 ) jusqu’en haut du tubage. En surface, on utilise un automate programmable industriel (API) relié à un micro-ordinateur pour générer des consignes et collecter les résultats de mesure. La descente des appareillages dans la cavité est réalisée par un ensemble moteur-treuil. Le câble s’enroule sur le tambour du treuil. Figure 24: Composants assurant le déplacement de la sonde. L’énergie électrique nécessaire au fonctionnement du système est fournie par un groupe électrogène. Une alimentation régulée en tension fourni l’énergie électrique aux différents appareils. Un variateur associé à l’automate programmable (API) permet de commander et alimenter le moteur. 21 A.3. Extrait du cahier des charges On propose un diagramme SysML d’exigences partiel en figure 25 UHT >3DTXHW@ ([LJHQFHV > ([LJHQFHV @ ©UHTXLUHPHQWª 0HVXUHUXQHFDYLWp ,G 7H[W 2QVRXKDLWHPHVXUHU OHV GLPHQVLRQV ' G XQH FDYLWp VRXWHUUDLQH ©UHTXLUHPHQWª ([LJHQFHVWHFKQLTXHV ,G 7H[W 5HJURXSH OHV H[LJHQFHV WHFKQLTXHV ©UHTXLUHPHQWª ([LJHQFHVOLpHVDX[QRUP HV QRQGpWDLOOpHVLFL ©UHTXLUHPHQWª ([LJHQFHV HQYLURQQHP HQWDOHV ©UHTXLUHPHQWª ([LJHQFHVpFRQRP LTXHV ,G 7H[W 5HJURXSH OHV H[LJHQFHVOLpHVDX[ QRUPHV ,G 7H[W 5HJURXSH OHV H[LJHQFHVOLpHVDX[ FRQWUDLQWHVpFRQRPLTXHV ,G 7H[W 5HJURXSH OHV ©GHULYH5HTWª H[LJHQFHV HQYLURQQHPHQWDOHV V ©GHULYH5HTWª ©UHTXLUHPHQWª 0RGHGHP HVXUHV ©UHTXLUHPHQWª $OLP HQWDWLRQHQpQHUJLH ©UHTXLUHPHQWª 0R\HQGHP HVXUH ,G 7H[W 2QVRXKDLWH PHVXUHU SDU UpIOHFWRPpWULH ODVHU ,G 7H[W 2QFKRLVLWGH PHVXUHU SDU SDOLHUV KRUL]RQWDX[VXFFHVVLIV ©UHTXLUHPHQWª 7URXGHIRUDJH ,G 7H[W 2QVRXKDLWHSDVVHU SDUXQWURXGHIRUDJH VWDQGDUG ,G 7H[W 2QVRXKDLWH V DGDSWHUjXQJURXSH pOHFWURJqQH ©UHTXLUHPHQWª 3URIRQGHXUP D[LP DOH G pWXGH ,G 7H[W 2QVRXKDLWH PHVXUHU MXVTX j P VRXVOHQLYHDXGXVRO ©EORFNª 6\VWqP HGHGpSODFHP HQWGHODVRQGH ©VDWLVI\ª parts 0RWRUpGXFWHXU 7DPERXU &DEOH 6\VWqPHGHSRXOLHV ... Figure 25: Diagramme d’exigences. B. Analyse du système B.1. Analyse globale : contexte et cas d’utilisation Q1. Préciser la frontière du système étudié et décrire en quelques mots clés son contexte d’utilisation. Q2. Completer le diagramme SysML de cas d’utilisation du document réponse DR-1. Q3. Compléter le diagramme SysML de contexte de la figure 32 du document réponse DR-2 en indiquant le nom des 2 acteurs non nommés. B.2. Exigences Q4. Compléter le diagramme SysML d’exigences partiel de la figure 33 en indiquant les 2 exigences (1.1.2.3) et (1.1.2.4) ainsi que le bloc satisfaisant l’exigence (1.1.2.1). 22 1 DS - Ingénierie B.3. Analyse interne : BDD et IBD On propose une ébauche de diagramme SysML de définition de blocs partiel sur le document réponse DR-4. Q5. Compléter le diagramme SysML de définition de blocs de la figure 34 en indiquant les blocs composant le sous-ensemble : Système de déplacement de la sonde. On propose un diagramme SysML de blocs internes du système complet en figure 26. Académi Version n LEG >6\VWHP@ 6\VWqPHGHPHVXUHGHFDYLWp > 6\VWqPHGHPHVXUHGHFDYLWp @ 3DUWLHFRP P DQGH HWDOLP HQWDWLRQ LQIRUPDWLRQV FRPPDQGH 0LFURRUGLQDWHXU LQIRUPDWLRQV FRPPDQGH FODYLHUHWHFUDQ *URXSHpOHFWURJqQH pQHUJLHpOHFWULTXH $XWRP DWH SURJUDP P DEOH LQGXVWULHO pQHUJLHpOHFWULTXH $OLP HQWDWLRQ UpJXOpH HQWHQVLRQ EXV&$1 pQHUJLHpOHFWULTXH LQIRUPDWLRQV FRPPDQGH 6RQGH LQIRUPDWLRQV pQHUJLHpOHFWULTXH FRPPDQGH pQHUJLHpOHFWULTXH 6\VWqP HGH GpSODFHP HQW GHODVRQGH pQHUJLHPpFDQLTXH Figure 26: Diagramme de blocs internes du système complet. Q6. A partir de la description du fonctionnement et des différents documents, compléter la chaine d’énergie et d’information du documenr réponse DR-5. B.4. Vérification de performances Q7. Estimer le temps nécessaire pour sonder l’ensemble d’une grotte de 30 m de hauteur, située 100 m sous terre. B.5. Modélisation du tambour On donne en figure 27 les caractéristiques géométriques du tambour du treuil. Le câble (200 m) s’enroule en couches successives (voir figure 28) sur le tambour. Afin de faciliter les calculs, nous supposerons que les couches ne s’interpenètrent pas (contrairement à la figure). Q8. À partir des figures 27 et 28, déterminer le nombre de couches nécessaires à l’enroulement du câble sur le tambour. Q9. En s’appuyant sur la figure 28, déterminer la vitesse de rotation du tambour ω T (t) pour la première couche d’enroulement puis pour la dernière si on souhaite maintenir une vitesse de montée constante de la sonde de 0,1 m s−1 , le câble étant déroulé complètement. Q10. Tracer la loi de vitesse du tambour ω T (t) en fonction de la longueur de câble L pendant la phase de remontée. 23 n-ième couche ... ... Seconde couche Première couche d’enroulement Figure 28: Détail de l’enroulement du câble sur le tambour. Figure 27: Détail de la géométrie du tambour. 24 1 DS - Ingénierie Figure 29: Document technique DT1. 25 Figure 30: Schéma fonctionnel du mesureur de cavité. 26 1 DS - Ingénierie C. Documents réponse DR-1. Cas d’utilisation à compléter uc [Paquet] UC[ XWLOLVDWLRQFODVVLTXH ] 6\VWqPHGHPHVXUHGHFDYLWp «extend» Figure 31: Cas d’utilisation à compléter. DR-2. Diagramme de contexte à compléter Versio bdd [Paquet] 'LDJUDPPHGHFRQWH[WH [ 3KDVHG XWLOLVDWLRQ ] «external» «system» 6\VWqP HGHP HVXUHGHFDYLWp parts ... «domain» Figure 32: Diagramme de contexte à compléter. 27 DR-3. Diagramme d’exigence à compléter Version UHT >UHTXLUHPHQW@ 0RGHGHPHVXUHV > 0RGHGHPHVXUHV @ ©SHUIRUPDQFH5HTXLUHPHQWª 9LWHVVHYHUWLFDOH ,G 7H[W /H GpSODFHPHQW YHUWLFDOHQWUHSDOLHUVGH PHVXUHV VH IHUD j PV PD[LPXP ©UHTXLUHPHQWª 0RGHGHP HVXUHV ,G 7H[W 2QFKRLVLWGH PHVXUHU SDU SDOLHUV KRUL]RQWDX[VXFFHVVLIV ©SK\VLFDO5HTXLUHPHQWª ,G 7H[W HUUHXU PP ©SK\VLFDO5HTXLUHPHQWª ,G 7H[W WHPSV GH UpSRQVH j V it ©UHTXLUHPHQWª 6WDELOLWpGXGpSODFHP HQW YHUWLFDO ©SHUIRUPDQFH5HTXLUHPHQWª 5pVROXWLRQ ,G 7H[W $QJOH HQWUH PHVXUHV ©VDWLVI\ª ©EORFNª ,G 7H[W LPSpUDWLYH ©SK\VLFDO5HTXLUHPHQWª 3DUDOOpOLVP HHQWUHSDOLHUV G pWXGH ,G 7H[W $XFXQ GpIDXWGH SDUDOOpOLVPHHQWUHOHV SDOLHUV VXFFHVVLIV Q HVW DFFHSWp Figure 33: Diagramme d’exigences partiel à compléter. 28 1 DS - Ingénierie DR-4. Diagramme de definition de blocs à compléter EGG >3DTXHW@ %''> 6\VWqPHGHPHVXUHGHFDYLWp @ Ver ©EORFNª $OLP HQWDWLRQUpJXOpH HQWHQVLRQ ©EORFNª ©EORFNª ©EORFNª 0LFURRUGLQDWHXU ©EORFNª ©EORFNª 3DUWLHFRP P DQGH HWDOLP HQWDWLRQ ©EORFNª 6\VWqP HGHGpSODFHP HQW GHODVRQGH ©EORFNª ©V\VWHPª 6\VWqP HGHP HVXUHGHFDYLWp properties ... ent i ©E O RFNª ©EORFNª Automate programmable industriel ©EORFNª references ... ©EORFNª 6RQGH parts 0RWHXUSDVjSDV 5pVLVWDQFHFKDXIIDQWH %RXVVROHpOHFWURQLTXH FDUWHpOHFWURQLTXH 3ULVPHGHUHQYRL 7pOpPqWUHODVHU 9HUVLRQ$FDGpPLTXHSRXU3URIHVVHXU6HXOHPHQW/H'pYHORSSHPHQW&RPPHUFLDOHVWVWULFWHPHQWLQWHUGLW Figure 34: Diagramme de définition de blocs à compléter. 29 DR-5. Chaîne d’énergie et d’information à compléter inf Dialoguer Dialoguer . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... Acquérir . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... adapter convertir Traiter . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... inf ordres inf inf Commu niquer . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... Alimenter Distribuer Convertir Transmettre . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. .......... Figure 35: Description des chaines d’information et d’énergie .......... .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . A g .......... i .. . . . . . . . . . r .. . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .