Gemeng Suessem Aktiv 2012.3

Gemeng Suessem aktiv
Journal édité par l’Administration Communale de Sanem
Décembre 2012
Editorial
Chères concitoyennes, chers concitoyens,
Une année touche à sa fin, une nouvelle année s’annonce! Dans quelques semaines, nous
entamerons 2013, une année à laquelle la commune de Sanem est bien préparée. En effet,
nous travaillons en ce moment sur un budget qui tient compte des impondérabilités de cette
période incertaine, mais qui est également tourné vers l’avenir de manière positive et
manifeste des signes en ce sens. Ainsi, l’année prochaine, des projets significatifs pour la
commune se termineront, entre autres, la nouvelle salle de sport et la nouvelle piscine au
«Scheierhaff». Au «Roude Wee», une nouvelle Maison Relais verra le jour et viendra ainsi
compléter le nid de ces aménagements importants dans la commune.
L’action pour des espaces d’habitations payants représente le point central de notre travail
au service des citoyennes et des citoyens de la commune de Sanem. Nous avons donc
acheté en prévision des maisons et des terrains à bâtir et initié un projet commun avec le
SNHBM (Société Nationale des Habitations à Bon Marché) et le «Fonds de logement». Ces
projets contribueront essentiellement à améliorer la situation sur le marché du logement. Cet
effort constant a pour but de faire de Sanem une commune à la qualité de vie élevée, dans
laquelle il fait bon vivre. De nombreux articles dans ce numéro vous montreront que ceci est
possible d’une part grâce à des projets spectaculaires, mais d’autre part également grâce à
de nombreuses petites initiatives.
Je vous souhaite donc une agréable lecture!
Georges Engel
Bourgmestre
Adieu CIPA Dickskopp …
Bonjour Résidence «Op der Waassertrap»!
Après plus de trente ans de CIPA-Soleuvre, le jour J du déménagement a finalement eu lieu
le 16 juillet 2012. Un jour J malheureusement reporté à plusieurs reprises, un fait qui n’a
certainement pas facilité la tâche de l’équipe dirigeante en place.
Dès le mois de janvier, les responsables ont entamé un recrutement accentué au sein des
trois départements que sont l’accueil et l’hébergement, l’hôtellerie et le département
assistance et soins. Etant donné que le CIPA passerait de 81 lits à 120 lits, il allait de soi que les
équipes seraient renforcées selon l’augmentation de la charge de travail. Dans cet ordre
d’idées, il faut préciser que le soutien de l’Administration Communale ainsi que celui du
Collège échevinal ont été exemplaires en matière de recrutement au niveau du personnel.
Le 16 juillet, une page s’est tournée au profit d’un CIPA flambant neuf, abritant une brasserie
avec jeux de quilles (qui sera ouverte au public extérieur), shops, coiffeur et bancomat. La
proximité du nouveau site Belval avec ses divers commerces et infrastructures représente
pour les résidents un progrès et une continuité au niveau des contacts sociaux. La présence
de l’université, du lycée, et à l’avenir d’une école fondamentale et d’une maison relais fait
dès à présent de ces lieux un endroit de vie et de convivialité entre personnes âgées et
générations plus jeunes.
Au niveau des soins, le nouveau CIPA se compose de deux grandes unités de 60 lits, dont 27
réservés aux personnes atteintes de démence. Un nouveau concept de soins et
d’encadrement a été validé à cet effet en aval du déménagement. Le nouveau
département accueil et hébergement a été créé dans l’optique d’accentuer les suivis au
niveau de la qualité tant en ce qui concerne l’accueil mais également les activités
journalières et les doléances des résidents. Au niveau de l’hôtellerie, on notera une
innovation intitulée showcooking mais également une nouveauté dans la mesure où le
résident pourra commander le menu de son choix et se le faire servir dans les minutes qui
suivent.
Mais revenons au jour du déménagement, jour que nous appréhendions globalement en
tant qu’équipe dirigeante. Etant donné les retards en début d’année et surtout cette
incertitude permanente difficile à gérer, il nous a semblé primordial de fixer une fois pour
toutes le jour définitif du déménagement. Ce fut donc le lundi 16 juillet 2012, et il n’y aurait
plus de plan B, comme le dit souvent notre directeur Alain Willet. Un déménagement
engageant 80 résidents, plus personnel et matériel, ne se prépare pas en une séance.
L’équipe dirigeante s’est donc régulièrement retirée au château de Bettange/Mess afin
d’organiser des séminaires uniquement consacrés au déménagement. Les réunions au CIPA
étaient devenues impossibles au regard de l’activité croissante.
L’équipe dirigeante a commencé par un travail regroupant toutes les interfaces du
fonctionnement futur au sein de ses services. Afin d’anticiper le futur déroulement du CIPA, il
nous a souvent été d’utilité de travailler de façon virtuelle, p.ex. au niveau des 2 unités de
soins, mais également au niveau de la cuisine qui a complètement changé de visage et de
fonctionnement. Des groupes de travail des différents services ont été mis en place afin de
faire participer au maximum les collaborateurs à l’évènement. Des concepts et descriptions
de postes ont été écrits pour tous les futurs services. Un manuel qualité, ainsi qu’un nouveau
règlement général a été rédigé. Tout ceci constituait naturellement un énorme travail sur
papier, travail ô combien important afin de démarrer sur de bonnes bases au nouveau CIPA.
L’ensemble de tous ces documents, textes, concepts, procédure et déroulement du
déménagement ainsi que toutes les mesures de sécurité furent présentés au mois de juin,
c.à.d. un bon mois avant le déménagement à l’ensemble du personnel du CIPA. La
formation s’est déroulée en interne, et s’est tenue sur une semaine entière, samedi compris
pour les exercices d’évacuation au nouveau CIPA en présence du corps des pompiers de la
Commune de Sanem. Les concepts et procédures ont été présentés par l’ensemble de nos
responsables de service et de département.
Les résidents et leurs familles ont été informés au mois d’avril lors d’un «Familljenowend»
consacré uniquement au déménagement. Dans ce contexte, nous tenons à remercier les
familles pour leur compréhension et leur aide. En ce qui concerne les résidents, nous avons
incité notre personnel à encadrer au maximum ceux d’entre eux angoissées par ce
changement crucial à leurs yeux. Dans cet ordre d’idées, il faut également avouer que nous
n’avons pas trop enregistré de dépressions ou d’hospitalisations voire de décès en aval du
déménagement. Il faut dire que le déménagement à réellement été thématisé à partir du
mois de janvier 2012, et qu’ainsi beaucoup de résidents et collaborateurs étaient au courant
et en connaissance de cause. Au cours des 7 mois suivants, le déménagement fut le thème
abordé numéro 1!
Le jour J
L’idée de l’équipe fut de nommer un coordinateur-déménagement unique en la personne
de René Lebboroni. Celui-ci a minutieusement convoqué tous les chefs de service afin de
préparer de façon réfléchie cette journée du 16 juillet. La philosophie retenue par la direction
fut d’accueillir personnellement chaque résident à son arrivée au nouveau CIPA en lui
remettant sa clé en mains propres. Ensuite de faire accompagner le résident par un membre
du personnel (encadrement 1:1) à sa chambre et de lui prodiguer les explications
nécessaires.
Afin de pouvoir réaliser cet exercice, il a organisé 3 excursions au sein du pays, en
l’occurence au Vitarium (Luxlait), au lac d’Echternach et au Parc Merveilleux. Les résidents
ont pris le bus le matin au CIPA Dickskopp et devaient arriver en 3 étapes avec un décalage
de 15 à 20 minutes au nouveau CIPA-REWA. Notre plus grande inquiétude était que les bus
arrivent tous ensemble et déstabilisent ainsi toute l’organisation de l’aménagement
individuel. Ce ne fut heureusement pas le cas grâce à une coordination exemplaire de
toutes les parties. Afin de gérer la journée entière, une multitude de briefings se déroulèrent
dans le but de contrôler le déroulement au niveau de tous les services.
Le déménagement de notre Unité Psycho-Gérontologique fut organisé en premier, vu
l’encadrement spécifique des personnes atteintes de démence. Ils furent donc les derniers à
quitter Dickskopp et les premiers à emménager vers 14:30 au CIPA-REWA. Les 18 résidents de
l’unité furent transférés en quatre voyages par minibus spécialisés.
Ensuite, ce fut le retour des excursions. Comme déjà relaté, les intervalles d’arrivée étaient
respectés. Les résidents furent accueillis un à un et reçurent un petit cadeau du directeur.
Pour des raisons d’organisation interne, l’accès des familles ne put être autorisé que vers
18:00 h. Il va sans dire que sans l’aide de l’ensemble de notre personnel, cette journée
n’aurait pu être le succès qu’elle a été.
En général, nous pouvons affirmer que le déménagement fut pour nous tous une expérience
unique et positive, mais nous ne dirons malgré tout pas … «A REFAIRE»!!!
Nos projets
Installation solaire citoyenne: «Zolwer Solar 1» sur le toit du Centre
d’Intervention Scheierhaff
25 participants au projet environnemental
Les installations solaires communes garantissent une contribution active à la protection de
l’environnement en économisant du dioxyde de carbone et en n’exerçant aucun impact sur
la nature, car elles seront installées sur des toits déjà existants.
En principe, une superficie de toit de minimum 220 m² est nécessaire. Celle-ci est mise à
disposition par la commune et pourra être recouverte de panneaux solaires.
L’installation sera divisée en segments et vendue aux citoyens. Chaque investisseur exploitera
ainsi sa propre installation sur un toit public. L’énergie solaire ainsi captée sera transformée en
électricité et intégrée dans le réseau public.
De cette façon, chaque citoyen peut donc apporter sa contribution à la fabrication d’une
électricité «propre», même s’il ne dispose pas d’un toit convenable. Quant à l’installation sur
le toit du Centre d’Intervention Scheierhaff, elle a été mise en activité en décembre 2011.
25 citoyens et familles intéressés et soucieux de l’environnement ont alors participé au projet.
Il y a 126 panneaux solaires, 2 onduleurs et un système de surveillance à distance. Le
rendement annuel prévu avoisine les 25.000 kWh et on devrait arriver à une économie de
CO2 d’environ 15 t/an.
Bonne ambiance lors du 1er tournoi de «Arschball» des maisons relais
Les maisons relais de la commune de Sanem avaient lancé un appel et beaucoup ont
répondu présent: les équipes des maisons relais de 4 autres communes, mais aussi de
nombreux spectateurs ont participé au 1er tournoi de «Arschball», sorte de football qui se joue
en position assise, le 16 juin 2012 au hall des sports Scheierhaff à Soleuvre. C’est dans une
atmosphère sportive et une ambiance excellente que les équipes des maisons relais de Kayl,
Grevenmacher, Rumelange, Monnerich et Sanem se sont mesurées lors de cette drôle de
compétition, néanmoins fatigante. L’équipe de la maison relais de Monnerich a remporté le
tournoi devant celles de Sanem et de Rumelange. Lors des rencontres VIP, une équipe MVP
(c’est-à-dire une équipe composée des meilleurs joueurs des équipes des maisons relais) a pu
s’imposer face au conseil communal de Sanem et l’équipe de Handball d’Esch a gagné
contre Monnerich, vainqueur du tournoi.
«Les bénéfices de cette manifestation pleine de succès seront versés à l’ONG «Hand an
Hand» spécialement dédiée au soutien de deux enfants polonais handicapés, Aldona et
Lukas », a rapporté l’échevine Simone Asselborn-Bintz.
Action de nettoyage autour du Lycée BelVal
Il n’a échappé à personne que, ces derniers temps, les alentours du nouveau Lycée BelVal
n’étaient pas l’image même de la propreté. En effet, immondices, papiers et autres saletés
s’y accumulaient. Jugeant que cet état de fait était surtout dû aux élèves négligents qui
fréquentent l’établissement, la directrice du lycée, Mme Astrid Schuller, a décidé d’instaurer
plusieures journées d’actions annuelles de nettoyage des alentours, nettoyage dont seraient
chargées quelques classes du lycée.
Après avoir reçu l’appui de la Commune de Sanem par l’entremise de M. l’échevin Marco
Goelhausen, une première journée de ce genre a pu avoir lieu le 5 octobre dernier. Équipés
d’une quarantaine de pinces et de sacs-poubelle mis gracieusement à leur disposition par la
commune, et soutenus par une équipe technique communale, les élèves ont sillonné par
binômes les alentours du Lycée BelVal et ont procédé à un nettoyage en profondeur.
Résultat de l’action: 6 sacs plein de déchêts!!!
Un concept pédagogique révolutionnaire
Specific Learning Differences SLD ou comment intégrer
les différences
Afin de garantir la pleine participation de tous les élèves à l’enseignement quels que soient
leurs différences, leurs points forts ou leurs difficultés, la Commune de Sanem a lancé il y a
quelques années le concept pédagogique SLD «Specific Learning Differences».
Mis en œuvre par une équipe mobile multidisciplinaire composée d’enseignants,
d’enseignants brevetés, d’éducateurs, d’éducateurs brevetés, d’un thérapeute équestre et
de pédagogues diplômés, ce concept innovant et révolutionnaire a fait ses preuves et
rencontre de plus en plus de succès.
L’originalité du SLD réside dans le fait qu’il est basé sur la mobilité et l’échange permanent
entre les membres de l’équipe, les enseignants et les parents, et permet donc un
encadrement optimal des enfants visés par le projet. Le SLD offre en effet des réponses
adéquates à tous les problèmes posés: cours d’appui mobiles, différenciation des
apprentissages en fonction des besoins spécifiques de l’enfant, gymnastique correctionnelle,
entraînement fonctionnel, suivi psychopédagogique, consultations pour parents et médiation
éventuelle, documentation des progrès, observation pédagogique, diagnostic de soutien,
thérapie équestre, cours de langue luxembourgeoise pour enfants du cycle 1 au sein du
«Babbelclub», accueil des enfants primo-arrivants ou encore entraînement intensif pour faire
avancer les enfants surdoués.
Quant à l’encadrement pédagogique, il s’effectue également en fonction des nécessités et
spécificités de chaque enfant. C’est ainsi que les élèves à lacunes nécessitant
temporairement un appui pour se trouver épaulés, les élèves présentant d’importants retards
cognitifs ou encore ceux éprouvant des difficultés à lire, écrire, calculer ou
s’exprimer (dyslexie, dyscalculie, dysphasie, dysorthographie) trouvent une prise en charge
individualisée, tout comme les élèves qui ne maîtrisent pas de manière suffisante la langue
luxembourgeoise, ceux présentant des troubles du comportement, nécessitant un
entraînement fonctionnel ou encore un suivi psychopédagogique.
Chaque enfant nécessitant un accompagnement SLD est considéré indi viduellement, sa
prise en charge est établie et organisée sur mesure sans mettre un nom sur une déficience
éventuelle.
«Journée de la Police» à Belvaux
Les forces de l’ordre à l’honneur
Tous les ans, la Police Grand-Ducale organise sa «Journée de la Police» dans une commune
différente du pays. Cette année, c’est à la Commune de Sanem qu’est revenue l’honneur
d’accueillir cet événement d’importance.
Le 1er juillet dernier, c’était par conséquent l’effervescence autour de l’école «Bieles Post»
ainsi que dans les rues avoisinantes «rue de la Poste» et «rue de l’Usine». Avec l’assistance des
autorités communales et des services techniques de la Commune de Sanem, la Police
Grand-Ducale y déployait en effet ce jour-là tout ce qu’elle compte de matériel
d’intervention. Le public, qui s’était déplacé nombreux pour l’occasion, a par conséquent pu
y admirer e.a. motos, voitures de police, mais aussi canons à eau. Une braderie sous forme
de fête de village organisée par l’union commerciale autour de l’événement permettait aux
clubs et associations locales d’offrir à boire et à manger pour tout le monde. L’encadrement
musical était assuré par la «Strëpp» de la «Bieleser Musek».
De nombreux stands et workshops proposaient d’expliquer aux intéressés le métier difficile
mais ô combien important pour la communauté de policiers. Des démonstrations et shows
par différentes unités de la police nationale et internationale, notamment un exercice
d’escalade de rappel à partir du 1er étage de l’école, ont permis aux nombreux spectateurs
de se familiariser avec des interventions auxquelles la police doit faire face au quotidien.
Ces démonstrations se sont déroulées en presence de M. le Ministre Jean-Marie Halsdorf, du
chef de la Police Grand-Ducale, M. Romain Netgen, du Bourgmestre de Sanem, M. Georges
Engel ainsi que de nombreux politiciens venus des quatres coins du pays.
Des démonstrations en vol des 3 hélicoptères de la Police ont constitué le point d’orgue
d’une journée dont les nombreuses personnes présentes se souviendront encore longtemps.
Porte ouverte au Centre d’Intervention de la commune de Sanem
La porte ouverte organisée au Centre d’Intervention à Soleuvre Scheierhaff le 17 juin dernier
a connu plein succès auprès d’un grand public. Les visiteurs ont pu se familiariser avec les
nombreux domaines d’intervention des services de secours et les travaux de plusieurs
associations de santé publique comme la Fondation contre le Cancer, Lux Transplant ou
encore les donneurs de sang de la Croix Rouge. Le côlon géant de la Fondation également
exposé a suscité beaucoup d’intérêt de la part des visiteurs.
Les aires de jeux dans la commune de Sanem
Jeux et amusement sans frontières!
Les enfants de la commune de Sanem peuvent se réjouir: les travaux de transformation qui
étaient à réaliser dans la plupart des aires de jeux cette année sont terminés ou touchent
pratiquement à leur fin. Le plus gros chantier, concernant la création d’un bassin de rétention
des eaux pluviales dans la rue de l’Usine à Belvaux, est terminé et les enfants peuvent à
présent y jouer et s’en donner à cœur joie. Quelques nouveaux jeux ont été installés dans
l’aire de jeux de Soleuvre, à la rue de la Gare: une balançoire, un jeu d'escalade et plusieurs
jeux sur ressort. Dans la plaine de jeux de la Cité de Scheierhaff, des cages de football, un jeu
d’escalade et un château doivent être installés. Ensuite, on devrait créer une piste cyclable
pour les vélos et remettre en état les chemins avoisinants. L’aire de jeux de la Maison relais à
Belvaux a hérité d’un bac à sable, d’un château ainsi que d’une balançoire.
L’aire de jeux de la Cité Tornaco à Sanem s’est vu agrémentée d’un grand jeu d’escalade.
«Notons encore qu’une toute nouvelle aire de jeux, encore plus grande, à l’école «Bieles
Post» est au programme», a déclaré l’échevin en fonction, Marco Goelhausen.
Grand succès pour les cours de formation intensive
De tout coeur baby-sitter
En juillet de cette année, le Collège échevinal et le Service à l’Egalité des chances entre
femmes et hommes en collaboration avec la Commission de la Jeunesse, ont organisé des
cours de formation intensive à la fonction de baby-sitter. Ces cours ont connu un franc
succès et ont permis de former plus d’une vingtaine de candidats, tant féminins que
masculins, à cette tâche très exigeante mais également très gratifiante de baby-sitter.
Prodigués par des formateurs/trices de profession, à savoir des psychologues diplômé(e)s,
des pédagogues, des infirmiers et infirmières, ainsi que des éducateurs/trices, ces cours
avaient pour but, entre autres, d’amener encore plus de garçons à s’engager dans un
métier socio-éducatif d’avenir. D’une durée de 32,50 hrs, ils exigeaient des candidats et
candidates une présence à 100 % et une participation active. Les participant(e)s ont ainsi
appris les différentes formes de communication et de styles d’éducation, afin de traiter
l’enfant de façon respectueuse. Ils/elles ont pu tester leurs connaissances basiques du
développement de l’enfant et s’initier à des jeux pour enfants ainsi qu’à des techniques
alternatives, comme par exemple «jouer sans jouets». Une introduction aux premiers soins,
l’apprentissage des gestes pratiques d’hygiène et de soins du nourrisson (Comment langer et
porter le nourrisson? Comment le nourrir?) ainsi qu’une information détaillée sur les droits de
l’enfant ont complété l’aspect théorique de cette formation. La visite d’une Maison relais a
permis aux candidat(e)s de s’initier aux aspects pratiques des structures d’accueil. Les cours
se sont ensuite terminés par un contrôle de qualité sous forme de feedback, au cours duquel
les apprenti(e)s baby-sitter ont pu faire état de ce que cette formation leur avait apporté.
Pas moins de 26 jeunes garçons et filles ont brillamment passé ces cours de formation et
obtenu leur certification. Le certificat en question leur a été remis le 17 juillet dernier à la
Maison «A Gadder» à Belvaux. Ils et elles pourront donc désormais se déclarer de tout coeur
baby-sitter!
Dans le cadre d’une petite cérémonie sympathique à la Maison «A Gadder» à Belvaux,
M. le Bourgmestre Georges Engel, assisté de Mme Myriam Cecchetti, échevine pour l’égalité
des chances et de M. Marco Goelhausen, échevin pour la jeunesse ainsi que de Mme Ruth
Marchewka, responsable du Service à l’Égalité des chances ont remis leurs certificats de
baby-sitters aux récipiendaires suivants: Bausch Julie, Becker Doreen, Bettendorff Mika,
Ceccon Patricia, Delgado Arlene, Demoullin Ralph, De Sousa Cindy, Ewen Bob, Fecchi Maïté,
Flammang Dora, Groben Max, Heinz Anne, Hoffmann Julie, Jacobs Ines, Krack Lisa,
Krumlovsky Stéphanie, Massard Manuela, Melmer Deborah, Meneses Almeida Andreia,
Minelli Davina, Pontin Lynn, Pütz Lisa, Reiffer Chiara, Schneider Cynthia, Treff Véronique,
Zigrand Isabelle
Amusement et bonne humeur au tournoi Intervilles
C’est dans le cadre de la piscine d’Obercorn que s’est déroulée l’édition 2012 du tournoi
Intervilles, qui a opposé des équipes de plusieurs communes du pays. Pour la 1ère fois, la
Commune de Sanem était de la partie, mais n’a pu se classer que bonne dernière, étant
donné son manque d’expérience dans ce domaine. L’équipe composée de sportifs d’élite
de la commune et renforcée par M. le Bourgmestre Georges Engel, qui s’est illustré lors d’un
concours de rodéo, a apprécié la bonne humeur présente tout au long des épreuves et s’est
promis de revenir prochainement, cette fois pour gagner!
Journée mondiale de l'Eau 2012
„Zesumme schaffe fir propper Baachen a Waasser op regionalem Plang”
La Journée mondiale de l'Eau a lieu chaque année le 22 mars. C’est le résultat de la
Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement tenue à Rio de
Janeiro en 1992. Depuis 1993 on célèbre cette journée tous les ans, conformément à une
résolution de l’Assemblée générale des Nations unies.
La Journée mondiale de l'Eau 2012 avait pour thème la sécurité alimentaire et l’eau.
L’Organisation mondiale pour l'alimentation et l'agriculture, la FAO, était responsable de
l’organisation de cet événement. Les festivités de la journée se sont focalisées sur Marseille, la
ville d’accueil du Forum mondial de l'eau.
La commune de Sanem a organisé, en collaboration avec la Commission de
l’environnement, le 29 mars dernier à Belvaux une conférence sur la qualité de l’eau.
Le Dr. André Weidenhaupt et le Dr. Jean-Paul Lickes de l’Administration de la gestion
de l'eau ont donné un aperçu détaillé de l’approvisionnement national en eau,
le traitement des eaux usées et la mise en œuvre des directives européennes.
Le diplôme de l’environnement remporte cette année encore un franc
succès!
Depuis 2007, la commune de Sanem propose aux élèves des cycles 3.2. et 4.1., pendant les
vacances d’été, de se pencher activement sur leur environnement. La participation à ces
activités, où la protection durable des moyens de subsistances naturelles se situe au premier
plan, se couronne par un «diplôme de l’environnement». Le déroulement et la coordination
des activités centrées sur l’environnement ont été gérés par l’office de l'environnement de la
commune de Sanem.
Cette année encore, l’éventail thématique des activités était large et diversifié: des
excursions dans la nature, des plantes, des animaux, de l’énergie et de l’alimentation,
en passant par la sauvegarde de l’environnement et cycle de l’eau.
Le jeudi 4 octobre, les nombreux enfants participant se sont vus délivrer leur diplôme de
l’environnement. Cette petite, mais sympathique remise des diplômes a été accomplie par
l’échevine de l’environnement, Myriam Cecchetti, et le bourgmestre, Georges Engel, au
«Kulturschapp» à Ehlerange.
L’oratrice a souligné le succès croissant de ces activités éducatives autour de
l’environnement. Cette année, 49 enfants ont pris part à pas moins de 13 activités, dont 8 se
sont déroulées dans la commune de Sanem. Les enfants se sont impliqués avec ferveur et
enthousiasme. Les activités sélectionnées par l’office de l’environnement leur ont tellement
plu qu’ils se sont encore inscrits à d’autres activités. Tous les enfants ont reçu un diplôme de
l’environnement ainsi qu’un CD souvenir avec des photos des activités.
«Vous» êtes maintenant dans la commune de Sanem
Jhang Meis pose des jalons bien définis
Le problème n’est pas nouveau: les limites entre nos vastes communes ne sont parfois pas
reconnues en tant que telles et les non-résidents des communes ne savent bien souvent pas
s’ils se trouvent à Belvaux, Sanem, Soleuvre ou Ehlerange. Pour pallier ce problème, les
conseils échevinal et communal ont décidé de donner pour mission à un artiste local, le très
connu Jhang Meis, de marquer les limites des communes au moyen de signes visibles de loin.
Pour satisfaire à ces exigences, Jhang Meis a opté pour d’ostensibles structures en acier qui
seront posées aux différentes entrées des villages. Six de ces sculptures, dont les matériaux
ont été mis à disposition par Arcelor-Mittal, seront donc progressivement installées et
signaleront à tous ceux qui visiteront ou traverseront notre commune: «Vous êtes maintenant
dans la commune de Sanem»! Pour transmettre ce message de manière symbolique et
rappeler l’identité de notre région, l’artiste a décidé de faire prédominer les tons de rouges
sur ses sculptures qui, en outre, comportent 4 ouvertures circulaires où pendent à chaque fois
une boule en métal accrochée à un câble en acier, représentatives des 4 sections de notre
commune. On peut aussi interpréter la lettre «S», qui évoque «Sanem», mais aussi des
concepts tels que «social», «solidaire» ou «sûr». Pour le moment, 2 sculptures trônent déjà aux
entrées d’Ehlerange, si l’on vient d’Esch, et de Soleuvre. 4 autres devraient bientôt s’ajouter
au projet.
Mérite sportif exceptionnel: joueurs et joueuses de quilles à l’honneur
Comme tous les ans, la Commune de Sanem a tenu à honorer ses sportifs méritants. Cette
année, ce sont les joueurs et joueuses de quilles qui se sont illustrés au cours de l’année qui
étaient à l’honneur. Marcellina Della Modesta est devenue vice-championne d’Europe par
équipes chez les séniors. Ayant commencé à jouer aux quilles à l’âge de 8 ans, elle est
aujourd’hui secrétaire de la Fédération de Quilles. Birgit Grethen, qui joue aux quilles depuis
25 ans, est elle aussi, devenue vice-championne d’Europe par équipes chez les séniors. Ilvano
Pianini, qui a 40 ans de jeu de quilles à son actif, a remporté la 3e place en tandem aux
Cham pion nats d’Europe. Le jeune Leonardo Stamerra, quant à lui, est devenu vicechampion du monde à Nantes en double, ensemble avec son partenaire Christophe Dias.
Tous ces champions ont reçu leur récompense bien méritée au cours d’une petite cérémonie
des mains du bourgmestre Georges Engel, assisté des échevins Myriam Cecchetti, Simone
Asselborn-Bintz et Marco Goelhausen ainsi que du président de la commission des sports
Alain Cornely.
Exposition photo en plein air, au parc Backes
La maîtrise du portrait
Depuis quelques années, les artistes établis dans la commune de Sanem ont l’occasion de
faire découvrir une sélection de leurs œuvres à un public intéressé, dans le cadre d’une
exposition en plein air dans le parc Backes de Sanem. Cette année, le choix de la
commission à la culture, ayant pour présidente Nicole Pletschet, s’est porté sur Gwendoline
Wiltgen, jeune photographe amateur provenant de Belvaux.
La jeune artiste âgée de 20 ans, qui suit actuellement des études de médecine à Fribourg et
s’intéresse à la musique, au sport et à la lecture, s’est découverte en 2008 une passion pour la
photographie, passion qui s’est concrétisée en 2009 par l’achat d’un appareil Nikon D90.
Avec cet appareil, elle a tiré des portraits remarquables qui ont décoré les annexes du parc
Backes de juillet à septembre. Ces portraits maîtrisés se distinguent par leur rigueur et leur
force d’expression. La jeune artiste aime également exploiter les photos de voyages, de
nature ou de paysages et s’inspire parfois des idées et suggestions présentes sur le portail
photos www.photogen.lu et considère ses œuvres photographiques comme un défi créatif
constant.
Entretien écologique des haies:
conciliation des intérêts pour l’agriculture et la biodiversité
Les haies, éléments de l’équilibre naturel
Les haies représentent un élément important de l’équilibre naturel et de l’image du paysage.
Elles structurent et façonnent tous les paysages et font partie de l’image traditionnelle de
l’Europe centrale. En outre, elles ont une grande signification pour de nombreuses espèces
animales. Les bocages, par exemple, leur offrent la nourriture, le gîte et la possibilité d’avoir
des petits.
Il n’est pas rare qu’une haie se compose de 20 à 25 espèces d’arbustes et d’arbres. On peut
y ajouter environ 200 sortes de plantes herbacées qui poussent le long de nos haies. La faune
des haies se compose essentiellement des espèces vivant à la lisière des forêts, mais aussi
d’animaux vivant exclusivement dans les haies. Les plus flagrants sont les oiseaux: notamment
le bruant, la fauvette ou la pie-grièche écorcheur, la punaise, la chrysomèle, le charançon,
le syrphe, l’abeille sauvage ou le longicorne.
Les haies ont besoin d’un entretien régulier
Les haies sont un élément dynamique, qui change au fil du temps. Ainsi, une jeune haie est
en général assez dense et au niveau du sol. Au fil des ans, la haie commence à être moins
dense dans le bas, la cime est de plus en plus large et la haie pousse dans la parcelle
avoisinante. Si on laisse la haie pousser, elle se développera et formera à la longue une
petite forêt. Pour maintenir la haie en tant que telle et, par-là, garantir des conditions
écologiques les plus optimales, il est nécessaire de l’entretenir. Mais cela requiert également
une exploitation adéquate des surfaces agricoles voisines.
L’entretien des haies ne peut incomber à quelques personnes seulement
Si les haies étaient auparavant entretenues par les propriétaires ou les exploitants des
parcelles voisines, c’est devenu de plus en plus rare et problématique ces dernières
décennies en raison des changements structurels dans l’agriculture. Il y a de moins en moins
de main-d’œuvre dans l’agriculture, il reste donc très peu de temps pour l’entretien des
haies. En revanche, les machines et les parcelles deviennent de plus en plus grandes, et les
haies représentent davantage un obstacle à l’exploitation des terres. C’est pourquoi elles
sont souvent peu appréciées des agriculteurs. Les communes membres du SICONA ouest en
tiennent compte et effectuent un entretien systématique des haies sur les terrains privés. La
commune de Sanem s’occupe de l’entretien écologique des haies depuis 2001 déjà.
Entretien des haies, concrètement
La pierre angulaire: un planning de l’entretien des haies
Pour la commune de Sanem, il existe un cadastre des haies et un plan d’entretien des haies
depuis 2005. Celui-ci contient un inventaire précis de l’ensemble des haies et détermine
l’entretien de chaque haie sur une période de plusieurs années.
D’après le cadastre des haies, 618 haies poussent, dans la campagne située dans la
commune, ce qui représente une longueur de 104 km au total. Cela signifie que la longueur
moyenne des haies est de 83,6 m par hectare de surface agricole cultivée. La commune de
Sanem compte ainsi parmi les 5 communes ayant le plus de haies au sein de Sicona.
Les exigences techniques
Outre sa propre équipe d’entretien, le syndicat de protection de la nature SICONA ouest
dispose d’un parc de véhicules spécialisés qui permettent d’effectuer l’entretien mécanique
des haies à des prix raisonnables. Il s’agit ici de plusieurs tracteurs tout-terrain, un excavateur
avec cantilever, un coupe-branche hydraulique, un taille-haie hydraulique à pince de
débardage et un broyeur de gros bois. On aura recours à ces machines en fonction des
situations et des besoins, par exemple, pour tailler les haies ou réduire leur volume. Toutefois, il
reste toujours une partie du travail à faire manuellement, à la tronçonneuse.
Entretien écologique des haies à Sanem
Lors de l’entretien écologique des haies dans la commune de Sanem et dans les autres
communes membres du syndicat SICONA ouest, il faut respecter les points suivants:
•
Les tondeuses à fléaux ne sont pas adaptées pour l’entretien des haies et donc
interdites.
•
Une taille annuelle avec le taille-haie hydraulique à pince de débardage est
effectuée là où les haies ne doivent pas être trop larges, comme le long des routes et
des voies d’accès.
•
Partout ailleurs, on ne les taille que tous les 5 à 7 ans, car la plupart des espèces de
haies ne fleurissent et ne donnent des fruits que tous les 2 ans. Si on les taille trop
fréquemment, la principale source de nourriture disparaît.
•
Si la haie présente des signes de vieillissement, il faut procéder à une taille jusqu'au
tronc. Mais pour ne pas trop bouleverser la vie qui y règne, il ne convient de la tailler
que de façon fractionnée. En outre, là où on a bien coupé, il faut garder quelques
arbres ou arbustes plus grands, tout comme quelques espèces d’arbustes dont la
régénération est plus rare ou difficile. Grâce à l’utilisation d’un taille-haie hydraulique
à pince de débardage, ce travail est devenu beaucoup moins pénible.
Soutien du Ministère du développement durable
Dans le cadre de son budget pour la protection de l’environnement, la commune met
annuellement 40 000 � à disposition pour l’entretien écologique des haies. Le ministère du
développement durable finance à 50 % ce travail dans le cadre du «Règlement grand-ducal
pour l’amélioration de l’environnement naturel».
Visite du crassier d’Ehlerange
En passant près du crassier d’Ehlerange, vous vous êtes peut-être déjà demandé de quoi
celui-ci avait l’air à l’intérieur? C’est ce qu’a voulu savoir une délégation du Conseil
Communal de Sanem qui s’y est rendu pour une visite, accompagné des membres de la
Commission de l’Environnement ainsi que de représentants du Ministère de l’Économie,
propriétaire du terrain et d’Arcelor-Mittal
«LED it be» dans la rue des Alliés à Belvaux
L’administration communale a décidé d’équiper la rue des Alliés à Belvaux ainsi que
différents passages-cloutés avec des lampes à LED. Pourquoi ? La consommation d’énergie
pour l’éclairage public d’une petite ville représente environ 50-60 % de l’ensemble de la
consommation en énergie de la commune. Cela signifie qu’au moins la moitié du coût en
électricité de la commune est dépensé pour l’éclairage public.
Les lampes à LED consomment seulement un quart de l’énergie des lampes à sodium haute
pression souvent utilisées. Les avantages de la technique LED sont évidents:
•
plus de lumière, moins de consommation en énergie
•
longue durée de vie
•
faibles coûts de maintenance
• plus «respectueuses des insectes»: les lampes à LED sont relativement respectueuses
des insectes. La lumière du LED ne brille presque pas dans les fréquences auxquelles
sont particulièrement sensibles les yeux des insectes
•
peu de lumière diffuse: les diodes provoquent moins de lumière diffuse et restent ainsi
invisibles pour les insectes nocturnes.
„Vakanz Nomëtteger” très demandées également cette année
Cette année encore, les «Vakanz-Nomëtteger» organisée pendant les vacances d’été par la
commune de Sanem étaient un franc succès. Alors que la première semaine s’adressait aux
élèves du 1er cycle, les semaines suivantes étaient réservées à ceux du 2e, 3e et 4e cycle. Au
total, pas moins de 285 élèves ont pris part au programme organisé avec engagement et
enthousiasme par les animateurs et le personnel enseignant. Qu’il s’agisse d’activités
sportives, de jeux ou de bricolages, chacun pouvait y trouver son compte en choisissant
parmi un large éventail d’animations celle qui lui plaisait le plus.
«Gesundheit-pur»:
Nouvelle série de cours 2012 sur le thème de la santé
Conseils pratiques pour garder la santé à tout âge
La santé n'est pas tout mais sans la santé tout le reste n'est rien! C’est selon cette devise
qu’aurait pu se dérouler la nouvelle série de cours «Gesundheit-pur» de la commune de
Sanem, destinés aux citoyens de tous âges et aux professionnels intéressés. Ces cours
proposaient une formation utile, pratique et préventive en matière de prévoyance santé. Six
cours du soir se sont tenus sur les thèmes suivants: «gérer son stress», «régimes et alimentation
saine», «pouvez-vous apaiser mes angoisses?», «Sauts d’humeur ou dépressions?», «la
démence». Parmi les conférenciers, on retrouvait Patrick Kolb, psychologue, et Delphine
Schumacher, nutritionniste. Ces cours de deux heures, utiles et pratiques, ont rencontré un vif
intérêt au point de faire salle comble.
Le 20 novembre 2012 s’est également déroulé le cours «Vieillir en restant en forme –
l’alimentation chez la personne âgée », dans notre nouveau CIPA «Résidence Op der
Waassertrap ». Les formations « Régimes et alimentation saine» ainsi que «Vieillir en restant en
forme» se sont tenues à l’occasion de l’Année européenne du vieillissement actif et de la
solidarité entre les générations et ont été homologuées dans le cadre de la campagne du
Ministère de la Famille «Active Ageing».
Parmi les organisateurs, on retrouve: le collège des bourgmestre et échevins, les chargés de
la protection contre les discriminations, la Commission pour la protection contre les
discriminations, la Commission du 3e âge et le CIPA «Résidence Op der Waassertrap» en
coopération avec la fondation Stëftung Hëllef Doheem.