LES SENS DU BEAU

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LES SENS DU BEAU
Communiqué de presse 25 septembre 2014
LES PREMIERS TEMPS FORTS
DES EXPOSITIONS IN -
DE LA 9e BIENNALE INTERNATIONALE DESIGN SAINT ÉTIENNE 2015
12 MARS AU 12 AVRIL 2015
Thème : Les Sens du beau
Les Sens du beau… Une nouvelle dynamique pour
la neuvième édition de la Biennale Internationale
Design Saint-Étienne, qui se tiendra cette année
pendant un mois du 12 mars au 12 avril 2015 avec
l’arrivée de Benjamin Loyauté co-commissaire
de la manifestation. Cette 9e édition interrogera
l’importance des formes et les sens que cellesci donnent aux fonctions, aux usages ou à la
qualité de vie. Quelles valeurs sont véhiculées par
l’esthétique ? Pour quelles intentions, pour quels
desseins ? Que disent les formes produites sur les
modes de vie, les usages et les pratiques d’une
société ? Que murmurent-elles sur l’état du monde ?
Les commissaires généraux de la Biennale,
Benjamin Loyauté et Elsa Francès, ont voulu
donner une dimension résolument internationale à
cette 9e édition avec une sélection de grands noms
du design tels que : Giovanna Massoni et Dieter
Van Den Storm, Bart Hess et Alexandra Jaffré,
David-Olivier Lartigaud et Samuel Vermeil,
Gaëlle Gabillet et Stéphane Villard, Oscar
Lhermitte, Eric Petrotto, Kim Colin et Sam Hecht,
Ionna Vautrin, Yuri Suzuki, Studio Glithero,
Florence Ostende, Dennis Parren et Sam Baron.
L’appel à candidature général a généré près de
500 réponses.
Séoul, invitée d’honneur grâce au réseau des
villes créatives UNESCO de design, présentera ses
talents sous le commissariat de Kyung Ran Choi.
Prospective, culturelle, innovante, high tech,
internationale, cette 9e édition révèlera de vraies
surprises grâce à un grand nombre de productions
spécifiques qui y seront donc dévoilées pour la
première fois.
La Biennale IN se déploiera dans différents lieux
emblématiques :
- À Saint-Étienne : Cité du design - site
Manufacture, Bourse du travail, La
Plateforme – Office de Tourisme, Amicale
Laïque Chapelon, Musée de la Mine, Musée
d’Art moderne et contemporain de
Saint-Étienne Métropole, Musée d’Art et
d’industrie.
- À Firminy, Site Le Corbusier – Église
Saint-Pierre.
- À Lyon, sur le Plateau de la région
Rhône-Alpes.
Le OFF quant à lui proposera une trentaine
d’expositions sur le territoire du pôle
métropolitain.
En pièce jointe, une vue d’ensemble des
expositions du IN et de leur contenu.
Vivement mars 2015 !
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DU BEAU
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Communiqué de presse 25 septembre 2014
LES COMMISSAIRES
Sam HECHT
Kim COLIN
Tim SIMPSON
Sarah VAN GAMEREN
Yuri SUZUKI
Oscar LHERMITTE
®gueorgui pinkhassov
Ionna VAUTRIN
David-Olivier LARTIGAUD
®CormacMcGloin
Sam BARON
®Petr Krejci
Stéphane VILLARD
Gaëlle GABILLET
®Rima Musa
®F.Coquerel
®ShekPoKwan-Fabrica
Benjamin LOYAUTÉ
Kyung RAN CHOI
Eric PETROTTO
Équipe POST-DIPLÔME
Giovanna MASSONI
Dieter VAN DEN STORM
Florence OSTENDE
Bart HESS
Alexandra JAFFRÉ
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DU BEAU
®Philippe Lesprit
®Dogniaux Deloire
Lise COIRIER
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LES PREMIERS TEMPS FORTS DES EXPOSITIONS IN
Communiqué de presse 25 septembre 2014
LA BIENNALE ASSOIT SON
ENVERGURE INTERNATIONALE
D’ANNÉE EN ANNÉE, LA BIENNALE ÉTEND SES RÉSEAUX ET ASSOIT SON
AUDIENCE INTERNATIONALE. SEULE VILLE FRANÇAISE MEMBRE DU
RÉSEAU DES VILLES CRÉATIVES DESIGN UNESCO, SAINT-ÉTIENNE DONNE
À SA BIENNALE UN SOUFFLE INTERNATIONAL IMPORTANT, TANT DANS
LE CHOIX DES COMMISSAIRES QUE DES DESIGNERS PRÉSENTS ET REND
HOMMAGE À LA CORÉE DONT LA CAPITALE, SÉOUL, EST ÉGALEMENT
MEMBRE DU RÉSEAU UNESCO DES VILLES CRÉATIVES UNESCO DE DESIGN.
Beauty as unfinished business
L’essence du beau
La beauté est immatérielle par nature. On la
­débusque lorsque l’on trouve un produit qui se
situe, de manière quasi-impossible, entre l’espace
et le temps, un produit qui fonctionne très bien
dans notre monde matériel, tout en transcendant
sa relation avec son contexte. Le contexte ajoute
un élément que l’objet n’est jamais en mesure de
capturer en soi ; tout tient dans le rapport entre la
chose et son espace.
Une sélection de quelques 30 produits récents
fabriqués aux quatre coins du monde est exposée
au sein d’environnements « référencés », afin de
questionner la beauté à travers le rapport entre
le produit et son contexte, et de révéler le produit
­au-delà de sa nouveauté, son caractère à la fois
nouveau et neuf.
« L’essence est la qualité indispensable d’une chose
qui en définit son caractère. »
Cette exposition questionnera le design en tant que
pratique à travers les travaux de la jeune
génération de designers diplômés d’écoles
Européennes de design, invitée à répondre à un
appel à projets lancé par Sam Baron.
Par l’identification des thèmes majeurs étroitement
liés à l’esthétique, la fonctionnalité et l’usage, cette
possible vision permettra de découvrir les attentes,
les préoccupations et les probables propositions
pour notre demain.
Le design exposé comme un procédé répondant à
une question, comme un moyen de transformer
une idée en une solution, réelle ou fictive, comme
l’est la beauté…
Sam Hecht (UK) et Kim Colin (USA) ont créé le
studio Industrial Facility en 2002 avec la volonté
d’explorer la ligne de jonction entre le design
industriel et le monde qui nous entoure. Issus de
différentes disciplines, designers, enseignants
au Royal College of Art, ils portent un regard sur
l’objet qui tient compte de son rapport à l’espace,
à l’usage, aux cultures, au contexte. Leur studio est
considéré comme l’un des plus créatifs et innovants
en matière de design industriel. Ils développent
des projets entre autres pour Muji, Issey Miyake
et Yamaha au Japon ; Mattiazzi et Oluce en Italie ;
LaCie et Tectona en France; Wästberg en Suède et
Herman Miller en Amérique du Nord.
Sam Baron travaille actuellement comme designer
pour des marques telles que Vista Alegre,
Hennessy ou encore Dinh Van tout en occupant la
direction créative de la section design de
Fabrica. Ses relectures et réinterprétations
récurrentes de savoir-faire traditionnels (artisanaux
ou industriels) questionnent astucieusement l’utilité
de fabriquer aujourd’hui ainsi que l’existence même
de nouveaux objets. En ancrant ses créations dans
les recherches fonctionnelles et artistiques, sans
omettre les narrations culturelles et historiques,
Sam Baron positionne son regard dans notre
­quotidienneté et sa contemporanéité.
Cité du design - Platine
Commissariat & scénographie :
Sam Hecht (GB) and Kim Colin (USA)
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Cité du design – Site Manufacture
Commissariat et scénographie :
Sam Baron (FR)
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Communiqué de presse 25 septembre 2014
Playing Fibonacci
the Pavillion of White Noise
Firminy, Site Le Corbusier, Église Saint-Pierre
Commissariat et scénographie : Yuri Suzuki (JPN)
Expérience sonore, cette installation met en scène
la White Noise Machine, machine à bruit blanc
conçue par Yuri Suzuki qui permet de reproduire
acoustiquement le son des vagues, autrement
dit, le bruit blanc. Parmi les différents sons qui
traversent notre environnement quotidien, le son
ambiant et aléatoire que l’on appelle le bruit blanc
a, dit-on, de nombreux effets positifs : on l’utilise
entre autres pour calmer les bébés et éliminer les
bruits parasites.
Le bruit blanc, dont le son des vagues est un
exemple bien connu, est très répandu. C’est
également le bruit que font les appareils
électriques. Techniquement, il est difficile de le
reproduire à l’aide de la programmation et de
l’informatique.
Ce son relève de la suite de Fibonacci, ou Nombre
d’or que l’on trouve dans la nature.
Yuri Suzuki est le fondateur et directeur artistique
de Yuri Suzuki Ltd.
Artiste son, designer, compositeur de musique
­électrique qui explore le son à travers la réalisation
de pièces de design extra-ordinaire p
­ résentées
dans le monde entier. Diplômé du Royal College
of Art, où il a collaboré à des projets pour
Yamaha et Moritz Waldemeyer avant d’entamer
des ­collaborations de consultant pour différents
­sociétés telles que Widen & Kennedy, KKoutlet et
AIAIAI.
Séoul, invitée d’honneur de la
Biennale
Vitality 2014 : Beyond Craft & Design
Cité du design – Site Manufacture
Commissaire : Kyung Ran Choi (KS), directeur du
OCDC (Oriental Culture & Design Center) - Séoul
Nos designers sont en quête. Ils recherchent l’alpha
et l’oméga, la réponse fondamentale à l’utilité dans
sa définition moderne, à travers le design d’objets
d’artisanat traditionnel coréen au sens d’art, de
technique, et d’émotion. Dans cette exposition, ils
présentent des pièces conçues en adoptant notre
approche unique, fondée sur une appréhension
humaniste du design. L’ensemble de ces procédés
et de ces plateformes constituent un nouveau
courant en vigueur au Oriental Culture & Design
Center (OCDC) de Kookmin University, en Corée.
L’OCDC est un pôle de design reconnu en Asie,
qui mène différentes recherches avec une matière
de travail commune : les codes émotionnels
associés aux caractéristiques culturelles coréennes,
chinoises et japonaises. Ses objectifs sont multiples
: associer ces codes au design, fournir des conseils
en tant que consultant à travers le monde, avec
une philosophie du design fondée sur la recherche
et le développement et tournée vers l’usager, et
organiser des expositions à l’échelle mondiale.
Kyung Ran Choi, directeur artistique du
programme, déclare : « Comme cette exposition
le montre, nos artistes consacrent toute leur
énergie à sortir des sentiers battus, lire les besoins
des consommateurs, et déchiffrer les désirs
de notre nouvelle ère. Notre aspiration est de
combiner production et savoir-faire industriels
avec l’artisanat traditionnel, afin d’introduire
un paradigme inédit dans l’art actuel : la fusion
de l’artisan et du designer, incarnée dans une
expérience artistique. »
Lee Bul
Musée d’Art moderne et contemporain de SaintÉtienne Métropole
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Communiqué de presse 25 septembre 2014
TRANSFORMATIONS, MUTATIONS,
INNOVATIONS : DEMAIN SE
DÉVOILE À LA BIENNALE
LES TRANSFORMATIONS ET MUTATIONS DE LA SOCIÉTÉ, ­
L’ÉVOLUTION
DES TECHNOLOGIES, LA RARÉFACTION DE CERTAINES MATIÈRES
IMPOSENT À L’INDUSTRIE DU DESIGN UN CONTEXTE ­
­
RADICALEMENT
DIFFÉRENT. QUESTIONNEMENTS DU QUOTIDIEN, FRICTIONS,
­
CONVERGENCES, INTERROGATIONS SUR NOS VIES DE DEMAIN ONT D
­
­EPUIS
TOUJOURS FONDÉ UN SOCLE DE RÉFLEXIONS INDISSOCIABLE DE LA
BIENNALE DEPUIS SA CRÉATION, EN 1998. L’ACCÉLÉRATION ET LA
RADICALITÉ DES CHANGEMENTS IMPRIMENT FORTEMENT LE CONTENU DE
CERTAINES EXPOSITIONS.
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No randomness
Cité du design – Site Manufacture
Commissariat : Oscar Lhermitte (FR)
Scénographie : Oscar Lhermitte et
Stinsensqueeze
Ode aux objets du quotidien, aux évidences pas
si banales. Dans un monde où les objets sont
omniprésents, nous interagissons avec eux à
­longueur de journée. Et si souvent avec certains
que l’on oublie facilement l’aisance avec laquelle
ils ­remplissent leur fonction. En allant du format
d’une simple feuille de papier à un panneau de
­circulation ­routière, l’exposition No Randomness
pose un regard réjouissant sur la beauté cachée
de ces ­produits anonymes, systèmes, et standards
­industriels, en soulignant un unique détail (une
courbe, une dimension, une couleur,...) qui justifie
leur raison d’être.
Oscar Lhermitte (FR) est un designer français qui a
la particularité d’avoir toujours exercé à l’étranger,
à la fois pour ses études (Central Martins School,
RCA) et son installation professionnelle. Designer
et artiste multidisciplinaire, il est installé à Londres,
où il mène conjointement son propre studio (Studio
Oscar Lhermitte) et assure depuis 2012 la direction
du collectif Sidekick Creatives LTD dont il est un
des co-fondateurs.
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DU BEAU
Serial Beauty
Lieu : Cité du design – Site Manufacture
Commissariat : Giovanna Massoni (IT) en
­collaboration avec Dieter Van Den Storm (BEL)
Scénographie : Cité du design – Noémie BonnetSaint-Georges et Éric Bourbon (FR)
L’exposition Serial Beauty réunit un ensemble
de produits de design industriel qui témoignent
des liens nécessaires entre diversité et sérialité,
régionalisme et globalisme, acte créatif et
industrialisation. Le sens du beau devient ainsi le
lieu de l’expérience, l’espace de compréhension
et d’interaction entre individus et communautés.
À travers une sélection de 20 créateurs
internationaux et de
60 entreprises de pays et modes de production
­différents, on découvre les convergences et les
conflits qui donnent les contours d’une nouvelle
culture ­industrielle.
Giovanna Massoni est une journaliste et consultante
en design indépendante, née à Milan, qui vit et
travaille en Belgique depuis 20 ans. On lui doit le
commissariat de nombreuses expositions dont
Fighting the Box - 20 Belgian designers/20 stories
behind the products, en 2010 pour laquelle elle
a collaboré avec Dieter Van Den Storm, qu’elle
retrouve à nouveau pour cette exposition.
Dieter Van Den Storm (BE) est un journaliste Belge
­indépendant, écrivain, critique et ­commissaire
­d’expositions qui a travaillé à la télévision, pour
De ­Standaard et Frame notamment et qui travaille
­aujourd’hui à Bozar, le centre des beaux-arts de
Bruxelles, en charge des industries créatives. Déjà
commissaire lors de la Biennale 2010, il retrouve
Giovanna Massoni pour cette nouvelle exposition
de l’édition 2015.
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Communiqué de presse 25 septembre 2014
Hypervital
Une esthétique de la perception
Cité du design – Platine
Commissariat : Benjamin Loyauté (FR)
Scénographie : Noémie Bonnet-Saint-Georges et
Eric Bourbon (FR), Cité du design et Julie
Lafortune (FR), architecte
Dire et agir … trouver l’accord parfait, l’équilibre
et la mesure. Nous sommes dans une période de
très forte créativité, d’inventions et de productions
intenses mais aussi de conflits et de pénuries qui
réorganisent le monde. Nous avons la nécessité
de construire un futur pragmatique comme nous
pouvons rêver les possibles sur la base de v
­ érités
nues. L’édification de la beauté d’un monde passe
autant par la vérité du beau que par la beauté du
vrai. L’exposition expérimente cette logique comme
un principe actif de la création. C
­ onsidérant le
design comme un langage à la fois m
­ athématique
et ­poétique, les designers ont pour obligation de
réconcilier nos gestes et nos usages avec notre
existence. Il nous faut améliorer le réel et é
­ voquer
les fictions d’une renaissance. Hypervital se
construit sur l’analyse d’un monde bousculé par
ses propres pratiques, ses découvertes, ses idéaux
et ses manquements. « Tout le monde pense à
­changer le monde mais personne ne songe à se
changer soi même »… Tolstoï.
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LES SENS
DU BEAU
Benjamin Loyauté offre un travail à la fois de
­recherche et de créations qui évolue à la frontière
de systèmes collaboratifs : futur et patrimoine,
­artisanat et technologie, design et art. Il enseigne
régulièrement à l‘Université d’Art et Design de
Genève. En 2010, il a été commissaire à la Biennale
Internationale Design Saint-Étienne et a réalisé
l’exposition Prédiction. En 2011, il a été nommé
commissaire à la Triennale Internationale de
Design de Pékin au Musée National de Chine. Il a
­récemment réalisé l’exposition Nighttime Dreamreal
au Power Station of Art, musée d’art contemporain
de Shanghaï. Il a publié Pierre Cardin Evolution,
After Design, Old is Back et Reasemotion... Depuis
2010 il initie des projets d’installations : The
Astounding Eyes of Syria, 2014, Les Fantômes
du Design 2014 (à venir), Glocalisation 2013,
Designocraty 2012, Reasemotion 2011, The Future of
Uchronia 2010, Confort 2010.
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Communiqué de presse 25 septembre 2014
L’OUVERTURE SUR UN MONDE
IMAGINAIRE
UN DES ATOUTS DE LA BIENNALE EST D’ÊTRE UN RENDEZ-VOUS QUI
S’ADRESSE À TOUS LES PUBLICS, PROFESSIONNELS ET GRAND PUBLIC,
SCOLAIRES, ÉTUDIANTS ET SÉNIORS, FAMILLES ET ENFANTS. CHAQUE
ÉDITION ACCUEILLE UNE EXPOSITION ABRITANT UN ATELIER POUR
FAMILIARISER LES ENFANTS AU DESIGN ET POUR LES INVITER À SE
QUESTIONNER SUR LE THÈME DE L’ANNÉE.
Le bestiaire
Cité du design – Platine
Commissariat et scénographie : Ionna Vautrin (FR)
Malin comme un singe, rusé comme un renard,
fier comme un paon, têtu comme une mule ou
doux comme un agneau… Sous la forme d’une
collection de déguisements, ce bestiaire propose
aux enfants de se glisser dans la peau d’animaux
en tout genre, des plus apprivoisés aux plus
­sauvages. Comment de simples costumes en papier
peuvent-ils transporter l’imaginaire le temps d’une
­parenthèse enchantée ? Au-delà de leur plasticité,
c’est la métamorphose comique qu’ils produisent
chez les enfants qui donnent sens à cette grande
­ménagerie.
En lien avec l’exposition attenante, l’atelier p
­ ropose
à chaque enfant de se glisser dans la peau d’un
designer puis dans celle du fauve, du volatile ou
de l’animal marin de sa création... Comme aux
­designers exposés, il lui sera proposé d
­ ’illustrer
et de composer l’animal de son choix sur un
­déguisement vierge. Cet atelier, aux allures de
grande animalerie, se transformera alors en un
drôle de laboratoire de design graphique... Pour
garder en mémoire la trace de leurs premiers pas
en tant que graphistes, chaque enfant posera dans
un «photomaton» ­spécialement imaginé pour
­l’occasion. Une fois l’atelier terminé, les fauves
­pourront être lâchés dans la Biennale !
Ionna Vautrin, célèbre pour sa lampe Binic chez
Foscarini a ouvert son bureau en 2011 après avoir
forgé ses armes auprès des Frères Bouroullec
notamment. Elle enchaîne les collaborations portée
par son univers féminin et poétique, savamment
détourné.
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LES SENS
DU BEAU
Vous avez dit bizarre ?
Cité du design – Site Manufacture
Commissariat et scénographie : Bart Hess (NL)
et Alexandra Jaffré (BE)
Pour la première fois, une exposition de design
réunit une quarantaine de projets de design sur
le thème du grotesque. Le grotesque qualifie un
caractère ridicule et exagéré, interprété dans un
sens négatif. Cependant, son champ sémantique,
généreux, mouvant et évolutif, permet de réfléchir
bien au-delà des valeurs reçues comme la beauté
ou le bon goût. Dans cette exposition, ­co-dirigée
et scénographiée par l’artiste hollandais Bart
Hess et l’historienne d’art Alexandra Jaffré, les
­designers usent des codes du grotesque, l’humour,
la ­moquerie, le malaise ou l’effroi, avec toujours une
pointe de subversion, pour dénoncer nos excès de
comportements et leurs chaînes de conséquences
sur les individus, la société, la nature. Le principe
de distanciation provoqué par l’exagération permet
aux visiteurs de se questionner avec mesure sur les
vices de notre société contemporaine, issus de nos
désirs insatiables et de notre anxiété incontrôlée.
Bart Hess explore différents champs de la
­création, mêlant étude de matières, animation et
­photographie de manière surréaliste. Fasciné par le
corps humain, il repousse un peu plus chaque fois
les frontières entre le textile et la peau. Son ­travail
lui donne aujourd’hui une place à part dans le
monde de la mode, de l’art et du design. Il compte
parmi ses prestigieux clients Lady Gaga, Lucy
McRae, le Palais de Tokyo ou Nick Knight.
Alexandra Jaffré est historienne d’art, formée à
l’Ecole du Louvre. Sa spécialisation dans l’histoire
des arts décoratifs du 20e siècle lui permet de
fusionner histoire et design contemporain. Elle a
collaboré avec Benjamin Loyauté sur les ­expositions
Reason Design Emotion au Musée national de Chine
à Pékin en 2011 et Nighttime-Dreamreal au Power
Station of Art de Shanghai en 2013.
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Communiqué de presse 25 septembre 2014
SAVOIR-FAIRE, LA BEAUTÉ DU GESTE
D’ESTHÉTIQUE INDUSTRIELLE OU D’UNE MOUVANCE ARTS&CRAFT, LE
DESIGN À LA BIENNALE EST MULTIPLE ET PROTÉIFORME. DERRIÈRE
LUI SE DÉVOILENT DES TALENTS, DES GESTES, DES TECHNIQUES, DES
SAVOIR-FAIRE QUI SE PERPÉTUENT OU SE RÉINVENTENT GRÂCE À LA
CURIOSITÉ ET À LA CRÉATIVITÉ DES DESIGNERS.
The perception of things
Musée de la Mine
Commissariat et scénographie : Studio Glithero
Tim Simpson (GB) et Sarah van Gameren (NL)
Glithero présente une installation au Musée de la
Mine qui sera une antithèse éphémère de la célèbre
Salle des Pendus.
Dans le cadre de cette installation, les designers
utiliseront la technique du fantôme de Pepper, une
invention utilisée au théâtre pour créer l’illusion
d’une présence sur scène.
Glithero explore le potentiel physique et narratif de
ce procédé, transformant l’espace en une installation immersive. Reflétées sur des surfaces vitrées,
des structures aux allures de cages prennent vie, se
fondant avec des sources lumineuses bien réelles.
La perception par le visiteur des objets dans l’espace s’en trouve perturbée…
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LES SENS
DU BEAU
Artifact
Bourse du travail
Commissariat : Cité du design
Scénographie : Noémie Bonnet-Saint-Georges
et Éric Bourbon (FR)
Artifact est une exposition de libre expression
des designers, qui se présente sous la forme d’un
cabinet de curiosités dans lequel les liens entre les
créations relèvent de signes communs, de formes,
de matériaux ou de couleurs. Le terme artéfact
désigne un produit de l’art, de l’industrie, par
opposition aux objets naturels. Artifact propose de
mettre l’accent sur la diversité des interventions du
designer dans les domaines de l’image et de l’objet.
Glass is tomorrow
Musée de la Mine
Commissariat et scénographie : Pro Materia,
Lise Coirier (FR)
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Communiqué de presse 25 septembre 2014
ÈRE NUMÉRIQUE
LES DATA SONT AUJOURD’HUI INDISSOCIABLES DE NOTRE
ENVIRONNEMENT. ELLES PORTENT DES INTERROGATIONS QUI SONT AU
­
CŒUR DE NOTRE PLACE ET DE NOTRE RAPPORT AU MONDE. LA BIENNALE
VIA LE DESIGN D’OBJET ET DE SERVICE PORTE UN REGARD SUR CES
SUJETS TRÈS MODERNES.
A-T-T-E-N-T-I-O-N
Cité du design – Site Manufacture
Commissariat : David-Olivier Lartigaud et Samuel
Vermeil (FR)
Scénographie : Cité du design – Noémie BonnetSaint-Georges et Éric Bourbon (FR)
Cette exposition qui traitera de la question
du ­design numérique sera structurée autour
de quelques notions clefs représentatives des
­questionnements liés à l’attention. Elle proposera
au visiteur un parcours contemplatif ou ­interactif
l’invitant à considérer le thème des « sens du
beau » sous l’angle particulier du dialogue qui
s’instaure entre le concepteur et le destinataire
du ­projet. État, suspension, expérience, objet de
soins, ­pratique… En design, l’attention prend des
formes multiples que l’exposition A
­ -T-T-E-N-T-I-O-N
­souhaite explorer à travers diverses productions
relevant du design graphique et des pratiques
­plastiques liées au numérique (projets existants,
projets expérimentaux, projets d’étudiants…).
David-Olivier Lartigaud est professeur ­spécialisé
en théorie et pratiques numériques à l’École
­supérieur d’art et de design de Saint-Étienne. Il
y est ­également coordinateur et co-responsable
du ­RANDOM (lab). Docteur en Art et Sciences de
l’Art (Esthétique), il est chargé de cours en M
­ aster
« Art et Numérique » à l’UFR d’Arts p
­ lastiques
et Sciences de l’art de l’Université Paris 1. Il a
été ­responsable, de 2003 à 2007, de la ligne de
recherche « Sens et usage de la programmation
informatique en art » et est à l’initiative de la ligne
de recherche « Objectiver », toutes deux soutenues
par la DGCA du Ministère de la Culture et de la
Communication.
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LES SENS
DU BEAU
Samuel Vermeil est Responsable du design
­graphique d’Azimuts, revue du post-diplôme de
l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne,
depuis 2013. Il enseigne le design graphique à
l’École supérieure d’art et ­design de Grenoble-Valence depuis 2001 et à l’École supérieure d’art et
design de Saint-Étienne (2007–2013).
Réserve déboussolée
Cité du design – Site Manufacture
Commissariat : 1D Touch (FR)
Scénographie : Inclusit design (FR)
Réserve déboussolée est un voyage à l’intérieur
d’un laboratoire qui mêle l’image et la musique
­indépendante de la plateforme d’écoute 1D
Touch. Le son est le cœur, il anime et rythme
une ­découverte musicale, visuelle et tactile. Par
ses gestes, le v
­ isiteur interagit avec les images
photographiques et sérigraphiées présentées
en grand format et qui révèlent, elles-aussi, des
­compositions, des textures et des matières. De
cette interaction et de cette diversité naissent
d’autres sens du Beau.
1D Touch se définit comme la première plateforme
de streaming équitable.
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Communiqué de presse 25 septembre 2014
Form follows information
Cité du design – Site Manufacture
Commissariat et scénographie : Gaëlle Gabillet et
Stéphane Villard (FR)
L’exposition Form follows information réunit des
créations qui matérialisent l’invisible. Elle présente
des objets dont les contours s’établissent à partir
de faits scientifiques, de données sociologiques ou
encore de considérations spirituelles.
Quand une énigme mathématique prend forme en
volume, quand la pyramide des âges devient jarre,
quand des contenants invitent à la méditation,
que fabrique le design ? Produit-il des supports
de connaissances ? Propose-t-il des réflexions
­esthétiques ? Bouscule-t-il nos croyances ?
Dans cette exposition, l’objet produit des reliefs
esthétiques pour la pensée ou l’imaginaire.
Le Studio GGSV a été fondé en 2011 par Gaëlle
Gabillet et Stéphane Villard. Ils sont lauréats de la
Carte Blanche du VIA en 2011 avec le projet «Objet
Trou Noir». Leur association produit une approche
atypique qui va du commissariat au design de
recherche. « Notre travail oscille entre propositions
concrètes et projets manifestes. Nous recherchons
des formes qui offrent plusieurs interprétations. La
matière est au coeur de nos préoccupations ».
Ils sont édités par Made in Design, Petite Friture
et la Galerie Cat Berro. Récemment, ils signent
l’architecture intérieure d’un centre d’Art à Aix-enProvence et celle du centre dramatique national
d’Aubervilliers, La Commune.
Gaëlle Gabillet enseigne le design à l’ESAD de
Reims et Stéphane Villard dirige l’atelier de projet
INFORME à l’ENSCI-Les Ateliers.
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LES SENS
DU BEAU
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Communiqué de presse 25 septembre 2014
L’ESADSE (ECOLE SUPÉRIEURE D’ART
ET DESIGN DE SAINT-ÉTIENNE)
À LA BIENNALE
LA BIENNALE EST NÉE SOUS L’IMPULSION DE L’ÉCOLE, QUI CONSERVE
UNE PLACE PRIVILÉGIÉE DANS SA PROGRAMMATION. VIA LE DESIGN
D’OBJET ET DE SERVICE PORTE UN REGARD SUR CES SUJETS TRÈS
MODERNES.
Tuning is not a crime
Musée d’Art et d’Industrie
Commissariat : Rodolphe Dogniaux et Marc
Monjou (FR)
Commissariat délégué, scénographie et design
graphique : post-diplôme design et recherche de
l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne
(Yann Alary, Léa Barbier, Timothée Deloire, Cécile
Galicher, Julie Gayral, Adrien Houillère, Jason
Michel, Romain Leliboux)
Co-commissaire : Nadine Besse, conservateur du
Musée d’Art et d’Industrie de Saint-Étienne
En tant que pratique sauvage, le tuning ­interroge
d’une manière déconcertante la relation à l­’objet
dans les sociétés post-industrielles. Entre d
­ esign
et art contemporain, et par le recours à l’objet
« tuné », à la vidéo, à l’installation, au son, à
la ­photographie, au graphisme, à la c
­ réation
­numérique, l’exposition tuning is not a crime montre
le tuning ou les tunings (dans leur ­acception la plus
généreuse) en les interrogeant comme des formes
vivantes de la culture matérielle contemporaine.
On savait, on savait que ça n’allait
pas durer
Cité du design – Site Manufacture
Commissariat : ESADSE
Cette exposition montre le travail des diplômés
en option art et design de la promotion 2014 de
l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne.
Les projets plastiques des diplômés, option art et
design réalisés au terme de cinq années d’études,
rassemblent l’énergie et les convictions d’une
génération qui a vécu l’installation et le
­développement de l’ESADSE sur son nouveau site ;
ce qui nous permet de mesurer l’effet de ­capillarité
avec l’écosystème du design sur le territoire
­stéphanois. L’exposition permet de réunir dans le
champ de l’art et du design autant de conceptions
du monde et de la création qu’il y a de diplômés.
Identité visuelle de la Biennale 2015
10 projets
Cité du design – Site Manufacture
Commissariat : ESADSE
Encadrés par deux enseignants, Denis Coueignoux
et Michel Lepetitdidier, une trentaine d’étudiants de
l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne
ont travaillé en workshop pour réfléchir à ­l’identité
visuelle de la 9e Biennale Internationale Design
Saint-Étienne.
La qualité conceptuelle et plastique qui prévaut
dans les formations de l’ESADSE ainsi qu’une
ouverture globale au monde a assuré une grande
diversité de propositions d’identité visuelle. La piste
retenue est signée Sylvain Reymondon et Lucas
Ribeiro.
www.biennale-design.com
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DU BEAU
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Communiqué de presse 25 septembre 2014
LA BIENNALE, CÔTÉ BUSINESS
LE DESIGN, LA CRÉATION ET L’INNOVATION SONT AUJOURD’HUI DES
DISCIPLINES ÉCONOMIQUES RECONNUES EFFICACES POUR GÉNÉRER
DE LA VALEUR AJOUTÉE PROPRE À DÉVELOPPER DE L’ACTIVITÉ, DE
L’EMPLOI ET DU SOCIAL. EN SA QUALITÉ DE PÔLE D’EXCELLENCE EN
DESIGN, LA CITÉ DU DESIGN PROPOSE DES SERVICES POUR ENGAGER
LES ENTREPRISES SUR LE TERRAIN DE L’INNOVATION AU QUOTIDIEN
ET ORGANISE DES ÉVÈNEMENTS DÉDIÉS AUX PROFESSIONNELS PENDANT
LA BIENNALE.
Seconde édition du Forum Design &
Innovation : deux journées dédiées aux
professionnels.
Le Forum Design & Innovation propose aux
­professionnels (managers de l’innovation,
­designers, marketeurs, directeurs généraux) un
espace inédit de partage et d’échange. Durant
deux journées, les professionnels assisteront à des
conférences, participeront à des tables rondes et à
des ateliers interactifs afin de partager leurs points
de vue sur l’évolution du rôle de l’usager dans la
conception et expérimenteront des techniques
de co-création encadrées par des spécialistes
de l’innovation ouverte. Ces ateliers-formations
seront complétés par des visites des expositions
de la Biennale présentant des produits et services
­innovants.
La soirée des designers intégrés et la convention
d’affaires s’imposeront à nouveau comme des
temps forts de rencontres des différents acteurs de
l’innovation.
www.biennale-design.com
LES SENS
DU BEAU
Seconde édition des Labos : des produits
innovants en test grandeur nature
Dans cet espace, la Biennale Internationale Design
Saint-Étienne donne la possibilité aux entreprises
présentes et aux usagers de faire l’expérience de
processus participatifs. Des entreprises e
­ xposeront
des prototypes ou des produits innovants qui
seront soumis aux réactions, avis et ­commentaires
des visiteurs. Cela permettra aux designers de
poursuivre leur travail tout en décryptant les
­attentes et besoins de demain.
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Communiqué de presse 25 septembre 2014
INFORMATIONS PRATIQUES
11 mars 2015
Inauguration officielle
12 mars au 12 avril 2015
Ouverture à tous les publics
Du 30 mars au 5 avril 2015
Semaine professionnelle
www.biennale-design.com
presse.citedudesign.com
http://twitter.com/EugenieBardet
Comment venir à Saint-Étienne ?
Par autoroute A72 :
- Bruxelles, Milan, Marseille, Lyon par A72.
Rejoindre A72, Sortie 14 (Zénith SaintÉtienneMétropole)
- Barcelone, Paris, Clermont-Ferrand par
A72, Sortie 12 (Stade Geoffroy Guichard)
- Le Puy-en-Velay, Firminy par RN88,
rejoindre A72, Sortie 12 (Stade Geoffroy
Guichard)
Par train :
- De Paris ou de Lyon, vous pouvez arriver
- Gare TGV de Châteaucreux :
gare ­principale
- Gare de Carnot : gare proche de la Cité
du design (5 minutes à pied)
Par avion :
- Aéroport Lyon Saint-Exupéry : La ligne de
tramway Rhône Express relie en
30 minutes l’Aéroport de Lyon - SaintExupéry à la gare SNCF Lyon Part-Dieu
(correspondance pour les trains LyonSaint-Étienne). Fréquence : toutes les
15 minutes en journée, toutes les
30 minutes en soirée.
- Aéroport de Saint-Étienne Bouthéon
42160 Andrézieux Bouthéon
t. +33 (4) 77 55 71 71
www.biennale-design.com
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Communiqué de presse 25 septembre 2014
CONTACTS PRESSE
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Contact presse locale et régionale
Eugénie Bardet
[email protected]
t. +33 (0)4 77 39 82 75
m. +33 (0)6 29 39 69 08
Contacts presse nationale
Agence 14 Septembre Grand Sud
t. +33 (0) 4 78 69 30 95
Isabelle Crémoux-Mirgalet
[email protected]
m. +33 (0) 6 11 64 73 68
Aude Charié
[email protected]
m. +33 (0) 6 11 35 09 74
Julien Mansanet
[email protected]
m. + 33 (0) 6 17 98 43 27
Contact presse online
Manon Orcel
[email protected]
m. + 33 (0) 6 11 35 63 13
www.biennale-design.com
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