Dossier Presse - WebFtp Septieme Factory
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w w w. s e p t i e m e f a c t o r y. c o m Présente TRACKS réalisé par JOHN CURRAN Avec MIA WASIKOWSKA ADAM DRIVER Australie - 2013 Durée : 1H52 – Format : 1 : 2.35 – Son : DOLBY 5.1 Photos et dossier de presse téléchargeables sur www.septiemefactory.com Distribution Septième Factory 20, Rue du Neuhof 67100 Strasbourg [email protected] [email protected] Presse Challenge Accepted Mounia Wissinger 06 77 98 64 68 [email protected] Synopsis En 1975, Robyn Davidson, une jeune femme en quête de sens, abandonne sa vie urbaine pour traverser le désert Australien sur 2700 km. Sa solitude sera troublée par Rick Smolan, un photographe du National Geographic qui couvre son expédition. Inspiré d’une histoire vraie, son périple est jalonné de rencontres qui lui permettent de s’ouvrir au monde et de découvrir sa force intérieure. Entretien avec John Curran Réalisateur Comment avez-vous découvert TRACKS, le livre original de Robyn Davidson ? Quand j’avais 24 ans, j’ai décidé d’aller en Australie et je ne me souviens pas vraiment pourquoi j’ai fait ça. J’ai voyagé avec un sac à dos, et quelqu’un m’a parlé du livre de Robyn Davidson. Je ne l’avais pas lu, mais je savais de quoi il s’agissait. Quand des années plus tard, le producteur Emile Sherman m’a contacté pour adapter le livre, j’ai été vraiment touché par le fait que ce récit avait saisi une époque, des lieux et une expérience dont je me sentais très proche. Cette idée de bouleverser votre vie, quand vous vous sentez un peu coincé, résonnait profondément en moi, parce qu’au même âge j’avais fait quelque chose d’un peu similaire en venant m’installer en Australie. Robyn Davidson a-t-elle participé à cette adaptation ? Le livre est écrit à la première personne, c’est un récit très intérieur et bien sûr le film ne pouvait pas être exactement ainsi. Nous devions trouver une voix dans le film qui n’était pas dans le livre. A cette époque, j’ai rencontré Robyn Davidson qui nous a incroyablement soutenu mais qui ne voulait pas être trop impliquée, à la façon de son personnage dans le livre. Elle était exactement à l'image de son livre, elle ne livrait pas les motivations profondes de son voyage. Elle a décidé de s’en remettre à moi pour que je puisse projeter mes propres idées. Comment Mia Wasikowska s’est-elle emparée de son personnage ? Mia protégeait beaucoup l’idée qu’elle avait du rôle et j’aime bien qu’un acteur défende son personnage et discute certaines de mes indications en argumentant pourquoi elles ne fonctionnent pas, ou suggère une autre façon de faire. Comme la vraie Robyn, Mia réfléchissait beaucoup à ses choix. Je me suis souvent fié à son jugement pour prendre certaines décisions, parce que je voulais filmer son interprétation de Robyn et pas la mienne. Bien sûr, en tant que réalisateur on essaie toujours de diriger les acteurs pour les amener à vos idées, mais je pense que Mia est trop maline pour ça. Sa relation avec les chameaux devait aussi parfaitement fonctionner… Mia n'aurait pas été autant attirée par le projet si elle n'aimait pas les animaux. C’est quelqu’un de très gentil, doux et affectueux et quand vous la voyez avec eux, on se rend bien compte qu'elle les adore vraiment. Les animaux eux aussi étaient aussi de vrais acteurs. Par exemple, nous avions un chameau mâle incroyable qui s’appelait Morgan, qui pouvait, à la demande, grogner ou faire semblant de mordre, mais c’était en fait un vrai chaton, ce n’était que de la comédie. Adam Driver est très surprenant dans ce rôle qui contraste avec le personnage de Robyn… Ce personnage avait besoin d’avoir une sorte de maladresse physique et sociale, bien qu’il soit très intelligent et sympathique. Je voulais quelqu’un qui parle vite, avec beaucoup d’énergie et ce n’était finalement pas facile à trouver. Il y a toujours beaucoup de pression quand on essaie de visualiser l’image idéale d’un type qui va interpréter une sorte de demiamoureux. La liste d’acteurs connus qui sont de très bons comédiens et qui sont séduisants est longue, mais je n’en voyais pas qui représentent le genre de personnage sur lequel je pouvais m’appuyer. Et puis je suis tombé sur ce type, qui à l’époque était dans une série que je n’avais pas vue, mais dont j’avais entendu parler: GIRLS. J’avais lu un truc sur un blog qui disait: « je ne sais pas qui est cet Adam Driver, mais il est bizarre et il est génial », et cette courte description a piqué ma curiosité. 6 Ensuite, pendant le tournage, je lui ai donné beaucoup de liberté et je l’ai encouragé à improviser à partir du scénario. Il pouvait faire une scène un peu à la façon dont il sentait la chose. C’est le genre de comédien qui est vraiment bon quand il est un peu hors contrôle, parce qu’il prend son jeu vraiment très au sérieux. Il est vraiment à la recherche de l’authenticité dans chaque phrase. Ce que j’apprécie aussi avec Adam c’est qu’il trouve la juste limite entre la farce et l’humour intelligent. Quels ont été les premiers choix de traitement de l’image ? Je voulais tourner un film où le paysage lui-même serait un personnage à part entière. Je n’avais pas envie d’être dans une situation où j’aurais pu filmer en studio. Le projet m’attirait beaucoup de ce point de vue. J’ai fait très tôt des choix concernant l’image. Je souhaitais utiliser de la pellicule. Je voulais un film qui vaille la peine qu'on se batte pour le tourner en pellicule, ce qui est loin d'être facile, car comme comme nous le savons tous, c’est un media qui meurt. Mais je pense que le sujet avait besoin de la richesse de la pellicule. J’avais envie d’une image classique parce que j’allais filmer beaucoup de plans larges et pas seulement des plans serrés. Je souhaitais aussi un directeur photo qui serait capable de travailler avec de la lumière naturelle, et qui pourrait bouger rapidement avec peu de matériel. Et votre choix s’est porté sur Mandy Walker qui a été la directrice photo de LANTANA et AUSTRALIA… J’aime bien les gens qui me font rire et qui savent défendre leurs positions. J’avais déjà travaillé avec Mandy et j’aimais le fait qu’elle se battait pour ses idées, mais toujours d’une façon qui m’amusait, qui m’inspirait et qui rendait la collaboration agréable. Avec ce film, plus qu’avec tout ce que j’avais fait avant, j’avais le sentiment que le scénario n’était qu’une impulsion de départ. Le film allait vraiment naître du désert, nous allions en réalité trouver le film. Il y avait des choses inattendues qui allaient se passer avec les animaux, avec Mia et Adam et j’avais besoin de quelqu’un qui pouvait aller dans le sens d’une sorte de chaos organisé, sans flipper ou être frustré. Mandy était la bonne personne avec les bonnes compétences pour ce film. Mais j’ai surtout choisi Mandy parce que je savais que l’image allait être magnifique. 7 Entretien avec Robyn Davidson Ecrivain Peu après la publication de votre livre Tracks, et pendant 30 ans, vous avez été souvent sollicitée pour qu’il soit adapté au cinéma… J’étais tellement puriste que je ne voulais pas que Hollywood fasse ce film. J’étais convaincue qu’il devait être australien, qu’il devait porter ses propres valeurs, proches de ce que le voyage et le livre signifient. J’ai parlé à Emile Sherman le producteur et je l’ai apprécié, mais je pense que ce qui m’a vraiment décidé a été le choix de Mia Wasikowska. J’ai toujours pensé à elle pour ce rôle et j’ai dit à John et Emile que si on pouvait avoir Mia, je serais très contente. Je n’ai pas été déçue, car c’est une actrice magnifique et adorable. Bien sûr, je n’ai jamais pensé que le film pouvait être une transcription exacte du livre et je pense qu’un scénariste qui croit que le film peut être totalement fidèle au livre est naïf. Au final, c’est leur vision, et cela me va très bien comme ça. Comment avez-vous surmonté votre manque d’expérience pour aborder votre voyage ? Je n’étais pas inconsciente au sujet du désert, je savais que je devais apprendre ce que c’était. Je savais que je devais parfaitement appréhender cet environnement pour ne pas mourir. Et je devais aussi comprendre mes chameaux, avoir une confiance absolue en eux, et pour cela je devais très bien les dresser. Mais comme j’ai réussi à faire tout cela, je me suis sentie sûre de moi dans cet environnement. 8 L’un des points forts du livre et du film est votre rencontre avec ce vieil aborigène, Eddy… Comment puis-je lui rendre justice? Eddy a probablement rencontré un blanc pour la première fois alors qu’il avait quarante ans. C’était un petit homme qui ne parlait pas un mot d’anglais et qui vivait à la façon nomade des aborigènes. Quand je l’ai vu pour la première fois, il portait à un pied une chaussure Adidas gigantesque et à l’autre, il avait un petit chausson rose de femme. Ça avait beaucoup de style! C’est un ancien. Cela signifie qu’il est passé par des niveaux de sagesse qui constituent un corps de connaissances appelé « Le Rêve », qui prend en compte chaque aspect de la vie et du cosmos. «Le Rêve» est une prouesse mentale de très grande importance. C’était un homme important dans sa communauté. Et ces anciens qui possèdent toute cette sagesse sont en train de disparaître. C’est une tragédie au-delà de toute mesure. J’ai eu énormément de chance. J’ai été incroyablement privilégiée, pas seulement d’être au milieu de ces communautés alors qu’il y avait encore des anciens, mais que lui, sur un coup de tête, décide de m’accompagner. Je pense que dans sa communauté c’était aussi un excentrique et notre rencontre a été celle de deux excentriques! Il semble qu’il n’ait pas été qu’un simple guide… Un matin Eddy marchait à mes côtés et il ne m’a pas quitté pendant je ne sais plus combien de temps. Un mois, deux mois, peut-être, et il m’a fait traverser son pays. Pendant qu’on marchait, il chantait les histoires mythiques de son peuple. C’était absolument extraordinaire. Mais aussi totalement ordinaire, dans le sens où nous pouvions être très irritables l’un envers l’autre. Parfois, il m’énervait parce que moi, j’avais encore une conception occidentale du temps. Je pensais « Oh, il est 5h, on doit y aller », alors qu’il préférait rester dans un fossé pour chercher une plante ou que je chasse un kangourou. Mais en étant avec lui, j’ai été préparée à l’étape suivante du voyage. Ce qui m’est arrivé ensuite, c’est une fusion totale avec le pays. J’ai appris deux choses importantes. Nous sommes aussi forts et puissants que nous nous autorisons à l’être et la partie la plus difficile d’une entreprise est de faire le premier pas, de prendre la première décision. 9 Entretien avec Mia Wasikowska Qu’est-ce qui vous a poussé à vous lancer dans un film aussi exigeant ? Quand j’ai lu le scénario, j’ai tout de suite senti une connexion étrange avec le personnage. Je ne peux pas expliquer pourquoi, mais j’ai été vraiment fascinée par Robyn et j’ai senti que je la comprenais à ce moment unique de sa vie. L’aventure même du film a-t-elle été particulière pour vous ? C’était quelque chose d’incroyable à faire, à une époque où il est très difficile de vivre dans l’instant présent, d’être dans l’ici et maintenant. Tout ce qu’on fait peut avoir une conséquence sur notre avenir et résonne avec notre passé, surtout avec la technologie et la vitesse avec laquelle nous vivons dans notre société moderne. Sur le tournage, de temps à autre je pensais « si seulement les caméras n’étaient pas là ». Cela devait être proche de ce que Robyn ressentait lorsqu’elle se faisait prendre en photo pendant son voyage. Parlez-nous du travail avec l’équipe pendant le tournage… Le style de mise en scène de John est assez réaliste. Il aime mettre en place les choses dont nous avons besoin pour une scène, et ensuite il nous laisse l’espace et la liberté pour arriver à saisir l’instant de la meilleure façon. Il était très ouvert à nos propres interprétations des rôles. Avec Adam, j’ai beaucoup appris. Ce qui est impressionnant chez lui, c’est son côté très spontané et impulsif en tant qu’acteur. Cela paraît très facile pour lui de répondre à l’environnement et d’improviser pour amener son personnage à un point différent de ce qui était prévu dans le scénario. C’est un vrai cadeau pour un acteur de posséder cette liberté. 10 Rolley qui interprète Eddy m’a surprise dès le premier jour. Il était tout le temps très gentil avec moi. Le premier jour du tournage, il a cherché partout à Alice Spring une pierre à me donner. C’est quelque chose qui arrive dans le film. Il voulait trouver la bonne pierre pour la scène et j’ai été très touchée quand nous avons ensuite joué cette scène. Le travail avec les animaux a-t-il représenté des difficultés particulières ? J’ai dû m’entrainer avec les chameaux avant de commencer le tournage. C’est comme ça que j’ai rencontré Robyn. Nous sommes allées dans le sud de l’Australie et nous sommes restées plusieurs jours dans le ranch des chameaux. Robyn voulait me montrer une approche féminine de la façon dont elle avait interagi avec les eux. Il existe plusieurs manières de travailler avec ces animaux, et la sienne était tendre et attentionnée tout en sachant rester ferme. Les chameaux sont incroyables. Au début, ils reconnaissent à l’odorat, ensuite au son de la voix, et plus on passe du temps avec eux, plus le lien devient fort. Ils sont juste magnifiques, je les adore, ce sont des animaux excellents pour travailler dans un film, ils apportent une touche de fantaisie à tout. Ils ont été une très belle compagnie. En quoi votre rencontre avec Robyn Davidson vous a-t-elle influencée? Le défi le plus grand a été de laisser un peu de côté le livre bien que nous l’aimions tous et ayons un respect immense pour la Robyn du livre. En même temps il fallait aussi préserver l’essence du personnage, le cœur de ce qu’elle était à l’époque. J’étais anxieuse à l’idée de rencontrer la vraie Robyn avant le début du tournage parce que je n’étais pas certaine de ce qu’elle pensait du fait qu’on fasse un film sur elle et de l’actrice qui allait l’interpréter. Mais lors de notre rencontre, elle a été tellement douce et chaleureuse, et extrêmement ouverte à propos du film. Cette expérience a été magnifique et j’étais soulagée après avoir rencontré Robyn parce que j’étais si admirative de son personnage, de son voyage, de son histoire. L’opportunité d’avoir fait sa connaissance et d’avoir noué une amitié avec elle, sont sûrement les meilleurs choses que je garde du film. 11 Entretien avec Adam Driver Comment s’est déroulé votre premier contact avec ce projet ? J’étais très impatient de partir en Australie. Je me souviens de la première fois où j’ai parlé avec John sur Skype, je lui ai dit « Oh, c’est l’occasion parfaite pour faire du camping, tu sais vivre avec des serpents, et être le plus sale possible » et il m’a répondu gentiment « Ça pourrait arriver, mais ce n’est pas forcément ce qui t’attend.» Ensuite, ça a été plus inspirant que vraiment un défi. C’est vrai que les conditions de tournage n’étaient pas faciles, mais toute l’équipe a rendu la tâche plus simple. Il n’y avait pas vraiment de hiérarchie et tout le monde était à peu près au même niveau, même pour porter le matériel. Chacun comprenait les circonstances et tous étaient concentrés pour rendre les choses faciles. En plus, il s’agit de l’un des plus beaux endroits au monde. J’avais quelques à priori, comme voir des kangourous en train de se battre ! Mais j’ai été sous le choc quand j’ai vu réellement à quel point ce pays est beau. Comment avez-vous abordé ensuite ce rôle ? J’ai voulu rencontrer Rick Smolan, le photographe du National Geographic. C’est quelqu’un d’étonnant et c’était vraiment intéressant de passer du temps avec lui. Et puis il y a des détails qui aident, comme les Stubbies, ces shorts australiens très courts que je voulais porter comme Rick à l’époque. Mais c’est difficile d’être respecté quand on porte ces shorts... Les gens venaient sur le tournage et essayaient de rester sérieux alors qu’on voyait mes sous-vêtements. Ce n’était pas une chose à laquelle j’avais pensé. Avec John, j’ai beaucoup apprécié la façon très collaborative dont il aborde le travail. Dès le premier jour, nous avions l’impression de voir les choses de la même manière. J’avais quelques idées au préalable, mais j’ai senti que je pouvais faire confiance à John dès le début, et que je n’avais qu’à les laisser de côté. 12 John Curran Réalisateur John Curran a commencé sa carrière avec le film indépendant PRAISE (1998), aujourd’hui consideré comme une icône du cinéma australien. Ce film a reçu l’International Critics’ Award (FIPRESCI) au Festival de Toronto International et a été nominé pour la Meilleure Réalisation à l’Institut de Film Australien en 1999. Ce succès a permis à John Curran de travailler avec Naomi Watts, Mark Ruffalo, Laura Dern, et Peter Krause dans WE DON’T LIVE HERE ANYMORE (2004) sélectionné aux Festivals de Sundance et Deauville en 2004. John a retrouvé l’actrice Naomi Watts dans LE VOILE DES ILLUSIONS (2006). Puis il poursuit avec STONE en 2010 avec Edward Norton, Robert De Niro et Milla Jovovich. Il est actuellement en train de développer sa première série télé chez HBO qui relate les histoires des explorateurs Lewis and Clark. Mia WASIKOWSKA Robyn Davidson Mia Wasikowska a fait ses débuts en Australie, son pays de naissance, dans le film SUBURBAN MAYHEM. Sa carrière internationale a démarré grâce à sa participation dans la célèbre série de HBO, EN ANALYSE, puis en 2008, dans le drame de guerre LES INSURGES de Edward Zwick et le biopic AMELIA de Mira Nair. C’est en 2010, après avoir interprété la fille d’un couple d’homosexuelles dans THE KIDS ARE ALL RIGHT de Lisa Cholodenko, que Mia Wasikowska été révélée au grand public dans ALICE AU PAYS DES MERVEILLES de Tim Burton avec Johnny Depp. Puis, Mia a travaillé avec le réalisateur australien John Hillcoat dans DES HOMMES SANS LOIS. En 2011, Mia interprétait JANE EYRE aux cotés de Michael Fassbender, après avoir joué dans RESTLESS de Gus Van Sant. En 2011. Après son rôle dans ALBERT NOBBS aux côtés de Glenn Close, film ayant eu 3 nominations aux Oscars, Mia a été nommée par le magazine Times, comme l’une des 100 Personnes les plus Influentes de l’année dans le Monde. Mia a récemment joué dans MADAME BOVARY de Sophie Barthes et CRIMSON PEAK de Guillermo del Toro. De nombreux autres grands réalisateurs ont été sensibles à son talent. Elle a tourné avec David Cronenberg dans MAPS TO THE STARS, Jim Jarmush dans ONLY LOVERS LEFT ALIVE, après avoir côtoyé Jesse Eisenberg dans THE DOUBLE de Richard Ayoade et Nicole Kidman dans le thriller psychologique STOKER, du réalisateur coréen Park Chan-wook. Mia sera en 2016 à l’affiche de ALICE DE L’AUTRE COTE DU MIROIR, où elle retrouvera tout le casting du film de Tim Burton. On la retrouvera également dans le prochain film de Cédric Jimenez (LA FRENCH) sur la tentative de coup d’assassinat d’Hitler par des résistants tchèques. 13 Adam DRIVER Rick Smolan Diplômé de la prestigieuse Ecole Julliard à New York, Driver a commencé sa carrière avec une nomination aux Emmy Awards, pour son rôle de Adam Sackler dans la série GIRLS de HBO. Depuis il n’a cessé d’être choisi dans des films prestigieux J.EDGARD de Clint Eastwood en 2011, FRANCES HA! de Noah Baumbach, LINCOLN de Steven Spielberg en 2012, ou INSIDE LLEWYN DAVIS des frères Coen (Grand Prix du Jury à Cannes 2013). Adam Driver a enchaîné recement une série de personnages romantiques contemporains, dans THE F WORD, avec Daniel Radcliffe, puis la comédie THIS IS WHERE I LEAVE YOU. En 2015, Adam Driver a continué à occuper l’écran. Il a retrouvé Noah Baumbach dans WHILE WE’RE YOUNG et on a pu le découvrir dans le drame new yorkais HUNGRY HEARTS, avant que STAR WARS VII, ne le propulse au-devant de l’affiche. On le retrouvera en 2016 dans MIDNIGHT SPECIAL de Jeff Nichols, puis dans SILENCE de Martin Scorcese, et PATERSON de Jim Jarmusch. 14 LISTE ARTISTIQUE ROBYN RICK KURT M. EDDY POP MARG JENNY SALLAY Mia WASIKOWSKA Adam DRIVER Rainer BOCK Rolley MINTUMA Robert COLEBY Emma BOOTH Jessica TOVEY John FLAUS LISTE TECHNIQUE RÉALISATEUR SCÉNARISTE PRODUCTEURS DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE DIRECTRICE ARTISTIQUE MONTEUSE MUSIQUE INGÉNIEUR DU SON COSTUMIERE John CURRAN Marion NELSON Emile SHERMAN Iain CANNING Andrew MACKIE Richard PAYTEN Xavier MARCHAND Antonia BARNARD Julie RYAN Mandy WALKER Janie PARKER Alexandre DE FRANCESCHI Garth STEVENSON David LEE Mariot KERR PRODUIT PAR SEE-SAW FILMS VENDEUR INTERNATIONAL HANWAY FILMS DISTRIBUTEUR FRANCE SEPTIEME FACTORY PRODUCTEURS EXÉCUTIFS CO- PRODUCTEURS 15 w w w. s e p t i e m e f a c t o r y. c o m