Avec son nouvel outil culinaire, le CCAS des Herbiers vise la qualité
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Avec son nouvel outil culinaire, le CCAS des Herbiers vise la qualité
L'information Le marché de l'emploi Fonds de commerce Contact Avec son nouvel outil culinaire, le CCAS des Herbiers vise la qualité Le CCAS de la ville des Herbiers va recevoir en décembre sa nouvelle Unité centrale de production alimentaire. La structure est logée au cœur des trois établissements. Elle remplace les deux cuisines devenues trop obsolètes, l'une datant de 1968 et l'autre de 1985. Le frais va y être pérennisé à hauteur minimum de 80% de l'approvisionnement et la ville veut encore développer le recours au bio : «Les élus souhaitent montrer l'exemple pour faciliter le développement de la filière. Car en matière de bio, ce n'est pas tant le coût que la continuité de l'offre qui pose problème,» explique Philippe Chagnoleau, Directeur des affaires sociales et du CCAS. La ville des Herbiers s'inscrit aussi dans une démarche de développement durable avec le projet d'une chaufferie au bois qui fournira en énergie la cuisine et les trois bâtiments (travaux en 2007). De plus, si ce n'est pas sa vocation première, la cuisine de la CCAS est amenée à livrer d'autres collectivités. Pour cela, elle a été adaptée à la liaison froide et à la liaison chaude. Aujourd'hui, le CCAS produit l'équivalent de 600 repas/jour, mais le site culinaire peut aller beaucoup plus loin : «La capacité du bâtiment permet une production de 1 200 repas/jour et les équipements 1 800 repas/jour». Adapté à tous les types de liaison, la cuisine a recours pour son usage interne à de la restauration directe : «C'est un concept que l'on va essayer de développer. Comme la cuisine est au milieu des sites, à partir de 10 h 30, les cuisiniers vont être dispatchés dans les trois offices-relais pour qu'ils fassent de la préparation minute, et donc présenter une qualité de cuisine «comme à la maison».» D'un budget total de 1,761 millions d'euros TTC (dont 1,020 pour le bâtiment et 228 000 euros pour l'équipement de cuisine), le chantier a été supervisé par le bureau d'études BEGC à Nantes et l'installateur Le Froid Vendéen (GIF). Le 30/11/2005 30/11/2005 01/12/2005 1 News_rhf 1