Dossier de presse - Ressources du littoral entre Seine et Mont
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Dossier de presse - Ressources du littoral entre Seine et Mont
Exposition Écumeurs de rivage de la Préhistoire au XXe siècle Ressources du littoral entre Seine et Mont-Saint-Michel. La terre, la mer et l’homme. du 7 juillet 2007 au 6 janvier 2008 dossier de presse version mai 2007 contact presse : Anita Rigot +33 (0) 608 513 722 [email protected] Sommaire Le Musée de Vieux-la-Romaine .................................................................................... p.1 L’exposition temporaire 2007 « Ecumeurs de rivage » .................................................. p.2 Aperçu du parcours d’exposition ................................................................................... p.3 Présentation de l’exposition .......................................................................................... p.4 Les partenaires de l’exposition ...................................................................................... p.7 Les concepteurs de l’exposition .................................................................................... p.9 Les musées et institutions culturelles sollicités ............................................................. p.10 Informations pratiques ................................................................................................. p.11 Crédits photos p.1 : Musée de Vieux-la-Romaine Couverture : une bichette (Ecomusée du Perche) Visuel exposition : agence Libre Cours Textes du dossier de presse : Anne-Lise Dardenne Musée de Vieux-La-Romaine 13 chemin Haussé 14 930 VIEUX Tél : 02.31.71.10.20 Fax : 02.31.71.10.25 [email protected] www.cg14.fr Le Musée de Vieux-la-Romaine Vieux-la-Romaine, ancienne ville antique d’Aregenua aujourd’hui en pleine campagne caennaise, comprend un site archéologique composé d’un musée, d’une domus restaurée, d’un jardin à l’antique. Ouvert au public depuis 2002 sous la direction du S.D.A.C. (Service Départemental d’Archéologie du Calvados), l’ensemble présente la vie quotidienne des Gallo-Romains dans un cadre agréable et convivial. Pour créer un lien entre l’époque antique et l’époque contemporaine, le bâtiment du musée a été conçu d’inspiration antique (par ses colonnades, sa toiture en pente douce ou ses claustra en bois) tout en gardant un aspect résolument moderne (utilisation du cuivre, du béton…). Les grandes baies qui l’entourent favorisent un contact intéressant avec le jardin à l’antique à l’extérieur, inspiré de celui de la « Maison des amants chastes » à Pompéi. Enfin, à quelques mètres de là, le visiteur pourra découvrir la Maison au Grand Péristyle, domus restaurée d’un riche notable, datant de la fin du IIe ou du début du IIIe siècle, qui a l’originalité d’être richement décorée et d’être équipée de l’eau courante et du chauffage dans certaines des 14 salles résidentielles et des douze pièces de service. Chaque année, le Musée de Vieux-la-Romaine propose à ses visiteurs une exposition temporaire. Au programme de cette année, Écumeurs de rivage, de la Préhistoire au XXe siècle Ressources du littoral entre Seine et Mont-Saint-Michel. La terre, la mer et l’homme. 1 L’exposition temporaire 2007 « Ecumeurs de rivage » Pour la première fois, l’exposition temporaire proposée par le musée de Vieux-laRomaine n’est pas seulement archéologique. Ce sont les beaux-arts qui accueillent d’abord le visiteur pour le plonger dans la diversité des panoramas de la côte basnormande (peinture, photographie, dessin), histoire de ne pas oublier que le littoral est un espace pourvoyeur d’inspiration autant que de richesses économiques et alimentaires. Les ressources du littoral se dévoilent au travers de la diversité des objets présentés : objets archéologiques, outils de pêche à pied, outils de carriers, objets naturalistes (animaux empaillés, squelettes), livres (alguier, herbier, Coutumier de Normandie), archives papier, objets de contrebande (pneus, pots à tabac). Quatre thèmes sont abordés au moyen de panneaux didactiques (ressources minérales, ressources végétales, ressources animales, convoitises et conflits sur le littoral). Les objets sont accompagnés de cartels pour qui veut en savoir plus. De courts documentaires sur la pêche à pied, prêtés par la Maison de la Baie, sont intégrés à la scénographie, ainsi qu’un jeu interactif conçu et prêté par le Manoir du Tourps. Il faudra parfois regarder le ciel, les côtés, le sol pour assouvir sa curiosité. Mais nul n’est obligé de tout lire et de tout regarder. Cette exposition se visite « à la carte ». À chacun son exploitation… des ressources. Le Service Départemental d’Archéologie du Calvados, l’association Archéo 125 et la Direction des Sites et Musées du Conseil général de la Manche s’unissent pour proposer à tous les amoureux de la mer d’écumer avec eux le rivage bas-normand. ci-contre : alignements de piquets à Ver-sur-Mer (photo C. Billard) à droite : un casier à homards (coll. privée) 2 Aperçu du parcours d’exposition Le musée de Vieux-La-Romaine prend l’eau ! Le littoral bas-normand et ses ressources débarquent chez les Gallo-Romains ! Tous les volontaires sont invités à embarquer pour découvrir ou redécouvrir de plus près ses nombreuses richesses tant humaines que naturelles. Pour « entrer dans le bain », les novices pourront sillonner les côtes bas-normandes à travers différentes œuvres picturales retraçant la diversité de nos paysages maritimes, au bon gré de notre baleine (il faudra lever les yeux !) qui guidera les curieux vers le « fond ». Du ponton, les apprentis écumeurs plongeront au cœur du rivage pour prospecter en détail ce milieu. Dans cette excursion, ils pourront, sur la plage abandonnée, cueillir (en respectant les lieux !) la flore maritime, ramasser sel et minéraux, ou prendre dans leurs filets poissons, coquillages et crustacés... En suivant ce courant, ils rencontreront des activités humaines, parfois ancestrales, comme la taille des galets, les pêcheries, la chasse des oiseaux au filet, la fabrication du sel ou encore la pêche à pied, plus complexe et organisée qu’on croit le savoir … Avant d’émerger, les nouveaux experts en littoral normand risquent d’être accostés par des Vikings ou des contrebandiers qui tentèrent, avec d’autres, et malgré la réglementation précoce appliquée à ces lieux et à ces trésors de s’approprier une part du butin... Pour finir, après ce périple, notre baleine, heureuse de vous avoir fait partager ce moment, vous reconduira en douceur vers la terre ferme… N’oubliez pas vos bottes et vos cirés, Bon vent à tous ! galoches (Musée des Terre-neuvas à Fécamp) 3 Présentation de l’exposition Diversité des paysages, lumière changeante, le littoral inspire nombre d’artistes et d’amoureux de la mer. Mais au-delà, c’est un espace qui a toujours exercé un fort attrait sur les hommes à la recherche de ses ressources et de ses richesses. Si aujourd’hui le littoral est principalement devenu un lieu de loisirs et de détente, il a eu, jusqu’au milieu du XXe siècle, une toute autre utilité et en premier lieu, celle de fournir un complément alimentaire et des ressources financières aux populations locales. Avec des thèmes aussi diversifiés que les minéraux et les végétaux exploités sur les côtes, la pêche à pied, ou encore les convoitises engendrées par ces richesses, le musée de Vieux-la-Romaine, se propose de vous faire découvrir le littoral basnormand et ses ressources à travers plusieurs milliers d’années de présence et d’activités humaines. Alors, n’hésitez pas, suivez-le guide ! L’exposition est accompagnée d’un livret-guide réalisé par le Musée maritime de Tatihou (Conseil Général de la Manche), en vente à la boutique du musée. ci-contre : pêcherie en pierre au sud de Granville (photo C. Billard) ci-dessous : échantillon de coquillages actuels (collection J.L. Dron) 4 De la matière minérale à disposition Constitué de deux grands ensembles géologiques contrastés (Massif armoricain et Bassin parisien), le littoral est sans cesse en mouvement. Sa morphologie évolue sous l’action des éléments naturels (climat, courants, vents, houle) et humains. Ainsi, en 150 ans, la ligne de rivage a parfois reculé de plus de 100 m ! C’est un lieu privilégié pour l’acquisition de matières premières minérales aussi bien par le simple ramassage que par les carrières. Mais le littoral apporte également des ressources riches pour l’agriculture comme la tangue, dépôt vaseux, servant à amender les sols pauvres du bocage, ce qui entraîna la création de chemins « tangours » à l’époque moderne. Autre élément minéral très recherché en Normandie, le sel, qualifié d’« or blanc ». D’une importance capitale sous l’Ancien Régime (impôt de la gabelle), sa fabrication est attestée sur nos côtes dès l’Âge du Fer (700-50 ans av. J.C.), grâce aux fouilles archéologiques (systèmes de fours à sel gaulois). Ci-dessus : Saunerie en Normandie (planche de l’Encyclopédie) Ci-dessous : Gouville - La coupe du varech (Archives départementales de la Manche. 6Fi 215 38) Du végétal à portée de main Le littoral bas-normand a sans nul doute fourni des ressources alimentaires aux chasseurs-cueilleurs il y a 200 000 ans. Au menu des hommes du Moyen Âge, vous rencontrerez sur nos côtes diverses plantes à manger comme les pourpiers de mer, les betteraves, les salicornes, ou encore les obiones… D’autres végétaux eurent également un intérêt « économique » pour les populations d’Ancien Régime. Ainsi, certaines plantes épaves étaient utilisées comme engrais. Celles qui provenaient des prés salés faisaient office de fourrage. D’autres encore comme le varech ou la pailleule servaient à la confection de paillasses ou de matelas. Aujourd’hui, certaines de ces algues sont utilisées dans la grande industrie. Par exemple le Condrus crispus (lichen irlandais) pour les produits alimentaires (gélifiant,…) ou les cosmétiques (savon, crème de beauté, dentifrice…). La soude, quant à elle, (extraite de la calcination lente du varech dans des fours spéciaux) est un intermédiaire incontournable pour préparer le verre ou encore le savon… 5 Un garde-manger à ciel ouvert Le littoral procure un complément alimentaire. Dès le e VIII siècle, les hommes exploitent les poissons échoués, notamment le « crapois », qui désigne les cétacés, poissons gras très recherchés pour leur lard. Les huîtres, comme d’autres coquillages, sont abondamment consommées dès l’époque romaine et également utilisées pour se parer, comme l’attestent les sites archéologiques. L’ostréiculture, telle que nous la connaissons aujourd’hui ne remonte cependant qu’au milieu e du XIX siècle. Précédemment, les huîtres étaient draguées au large puis mises à dégorger dans des parcs. Sur la grève, une pratique plus récente (XXe siècle) et procurant un complément de salaire non négligeable, consiste à « faire la plouze » (vers rouges utilisés comme appâts pour les pêcheurs). Pour améliorer l’exploitation de ces ressources, les hommes se sont très tôt appropriés les lieux et ont développé diverses techniques de pêche. Les pêcheries, sortes de vastes entonnoirs en pierre ou en bois, qui piègent le poisson à marée descendante, en sont un exemple ancien. D’autres installations, plus légères comme les harenguières, sont également déjà mentionnées dans les traités des pêches du XVIIIe siècle. Signalons que les oiseaux (macreuses,…) furent également chassés au filet (de forme rectangulaire, posé horizontalement au bord de l’eau) à la fin du Moyen Âge. On parlait alors de « pêche aux oiseaux ». Le rivage a également l’avantage de conserver le poisson frais grâce aux viviers, murets érigés dans les failles naturelles du platier (ou parfois construits en bois), formant une réserve d’eau pouvant emprisonner le poisson vivant. Ci-dessus : Granville, une pêcherie (collection C. Billard) Ci-dessous : De Blainville à Coutainville. Intérieur d’une pêcherie (collection C. Billard) Á chacun son butin L’existence des ressources littorales suscite des convoitises. C’est un espace d’enjeux politiques, économiques et symboliques. Les réglementations et tentatives d’appropriation s’exerçèrent dès le Moyen Âge sur le littoral et ses ressources : au Xe siècle, des textes juridiques font état de droits accordés aux seigneurs et aux établissements religieux. Parmi les servitudes imposées à la population, se trouve l’obligation de remettre les meilleurs morceaux des « crapois » échoués. En 1204, le fameux « droit de varech », figure dans la Coutume de Normandie. Avec le renforcement du pouvoir central (XVIe siècle), l’État tente de privatiser le littoral. Les pêcheries, symboles du pouvoir seigneurial, sont directement visées. Cette législation est renforcée par la Grande Ordonnance de la Marine en 1681. Face à cela, fraude et contrebande se développent : au XVIIe siècle, les tensions entre la France et l’Angleterre marquées par de fortes taxes « d’import-export », provoquent un trafic notamment de textiles via les îles anglonormandes. Un siècle plus tard, la contrebande de tabac fait suite à l’élévation du droit de douane. En réaction à cela, se multiplient les chemins douaniers et les gabions de surveillance... Au XIXe siècle, le trafic se diversifie notamment avec les îles anglo-normandes. La suppression du tarif douanier en 1850 met fin (en théorie) à ces activités. Une reprise notable des fraudes se produit pour une question de survie au moment de la Seconde Guerre Mondiale. Aujourd’hui, les conflits portent sur la protection du littoral essentiellement d’un point de vue environnemental. 6 Les partenaires de l’exposition Le Musée de Vieux-la-Romaine Contact : Emmanuelle AMSELLEM Anne-Lise DARDENNE Musée de Vieux-La-Romaine 13 chemin Haussé 14930 VIEUX Tél : 02.31.71.10.20 [email protected] Département de la Manche DGAEC/Direction des sites et musées départementaux Musées d’histoire et d’ethnologie, maisons d’artistes, monuments historiques militaires ou religieux, centres d’interprétation sur la nature et les paysages : 14 sites départementaux ouverts aux publics constitue le réseau des sites et musées gérés par le Conseil général de la Manche. Celui-ci manifeste ainsi sa volonté de préserver et mettre en valeur ses patrimoines, de rendre accessible son histoire pour le plaisir des habitants et des visiteurs, Cette dynamique participe également au développement économique et touristique du territoire et facilite l’appropriation par les habitants de leur patrimoine. Pour plus d’information : www.sitesetmusees.cg50.fr Plusieurs sites du réseau ont participé à l’élaboration de l’exposition « Ecumeurs de rivage » et du catalogue ainsi qu’au prêt d’objets : le musée maritime de l’île Tatihou à St-Vaast-la-Hougue, le musée du granit à St-Michel-de-Montjoie, la maison de la Baie / Relais de Vains à Vains-St-Léonard. Enfin l’exposition sera accueillie de mai à septembre 2008 au château médiéval de Regnéville-sur-Mer, implanté dans le havre de la Sienne. Contacts techniques : Séverine PESSIN Fours à chaux du Rey 50590 Regnéville-sur-Mer Tél : 02 33 46 82 18 Jean-François DETREE Musée maritime Ile Tatihou 50550 Saint-Vaast La Hougue Tél : 02 33 54 33 33 7 L’association Archéo 125 Cette association, fondée en 1995, a comme objectif premier d'aider à la promotion du patrimoine et des découvertes archéologiques en Basse-Normandie (14+50+61). Professionnels et amateurs motivés par le projet constataient alors un écart important entre d'une part la croissance et la diversification de l'activité archéologique et d'autre part la faiblesse du retour d'information au public. Afin de socialiser au mieux les actions, il a été décidé dès le départ de publier un bulletin de liaison trimestriel, puis peu après un site web présentant les activités (visites découvertes, participation à des animations, création d'une exposition itinérante présentée à sept reprises (Gestes funéraires de la préhistoire à nos jours), publication d'ouvrages thématiques (Archéologie et prospection en Basse-Normandie). La plupart de ces projets n'auraient pu aboutir sans différents partenariats institutionnels (Services d'archéologie d'État ou départementaux, musées...) ou associatifs. Plus que jamais, faire connaître les avancées de l'archéologie normande passe par des échanges de compétences indispensables pour atteindre au mieux le public. Le projet d’exposition « Écumeurs de rivage » est né au sein de l’association Archéo 125. Ses membres ont alors sollicité les deux partenaires institutionnels pour le concrétiser. Contact : ARCHÉO 125 Jean-Luc DRON, appartement 107 322 Belles Portes 14200 Hérouville-St-Clair www.archeo125.org 8 Les concepteurs de l’exposition Commissariat de l’exposition • • Emmanuelle AMSELLEM : responsable du musée de Vieux-La-Romaine (S.D.A.C.) Xavier SAVARY : géologue (S.D.A.C.) S.D.A.C / Musée de Vieux-la-Romaine : conception et réalisation de l’exposition • • • • • • Marie-Anne ROHMER : graphisme, scénographie Sidonie RICAN : recherches documentaires et iconographiques Annabelle COCOLLOS : dessins Josiane LECUYER : secrétariat Régis MENETRIER, Jean-Jacques DOMALAIN : réalisation technique Anne-Lise DARDENNE : stagiaire, assistance au commissariat Collaborateurs scientifiques d’Archéo 125 ou qui ont répondu à l’initiative de l’association • • • • • Cyrille BILLARD Sylvie COUTARD Jean-Pierre COUTARD Alain CHAMBELLAN Jean-Luc DRON • • • • • • • Lionel DUHAULT Gérard FOSSE Louis-Michel GOHEL Gilles LAISNE Monique LE CHENE Hubert LEPAUMIER Domnine PLUME • • Gérard et Jeannine VILGRAIN-BAZIN Evelyne WANDER 9 Direction des Sites et Musées du Conseil Général de la Manche / Musée maritime de Tatihou • Jean-François DETREE, conservateur. • Hélène François et Mathilde Letablier, chargées des expositions. Avec la collaboration de Guy Gallardo (CRECET), Christophe Lefresne (Education Nationale / Service éducatif du SDAC), de Laurent Juhel (INRAP / base de Bourguebus), de Vincent Carpentier (INRAP / base de Bourguebus). Les musées et institutions culturelles sollicités • • • Musée de Normandie, Caen (14) Mémorial de Caen (14) Musée de Vieux-La-Romaine, Vieux (14) • • • • • • • • • • • Base archéologique de Vieux-La-Romaine, Vieux (14) Archives Départementales du Calvados, Caen (14) INRAP (Institut National de Recherches Archéologiques Préventives), base de Bourguebus (14) Service Régional d’Archéologie de Basse-Normandie / D.R.A.C, Caen (14) Bibliothèque des Sciences, Cherbourg (50) Maison de la Baie, Vains-Saint Léonard (50) Musée Emmanuel Liais, Cherbourg (50) Musée du Granit, Saint-Michel de Montjoie (50) Musée maritime de Tatihou, Saint-Vaast-la-Hougue (50) Manoir du Tourps, Omonville-la-Rogue (50) Ecomusée du Perche, Saint-Cyr-la-Rosière (61) • Musée des Terre-neuvas et de la pêche, Fécamp (76) Emprunts effectués également auprès de propriétaires privés. 10 Informations pratiques Exposition temporaire du 7 juillet 2007 au 6 janvier 2008 « Écumeurs de rivage. De la Préhistoire au XXe siècle, ressources du littoral entre Seine et Mont-Saint-Michel. La terre, la mer et l’homme… » Le littoral témoigne d’un potentiel écologique extrêmement riche et d’histoires humaines d’une incroyable diversité. L’exposition présentera des traces archéologiques, historiques, techniques, biologiques, minérales, sociologiques… des activités humaines qui se sont développées le long des côtes de Basse-Normandie. Le visiteur pourra découvrir la diversité des cultures littorales qui ont façonné l’identité bas-normande. Aux horaires d’ouverture du musée Les journées du patrimoine Samedi 15 et dimanche 16 septembre De 10h à 18h Entrée libre « Dans les filets du musée » Deux journées ouvertes à tous, de démonstrations et d’animations, parfois sérieuses, parfois ludiques, sur le thème de l’exposition temporaire « Écumeurs de rivage ». Musée de Vieux-la-Romaine 13 chemin Haussé 14 930 VIEUX Tél : 02.31.71.10.20 Fax : 02.31.71.10.25 [email protected] www.cg14.fr 11 Horaires d’ouverture • Ouvert tous les jours en été de 10h à 18h (juillet et août). • De septembre à début janvier, ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h (fermeture le mercredi) et les samedis et dimanches de 10h à 18h. Les horaires des parkings sont identiques à ceux du musée. Tarifs • un seul billet qui permet la visite du musée et de l’exposition temporaire. • Normal : 4 € - Réduit : 2 € (pour les groupes à partir de 15 personnes, les familles nombreuses, les étudiants). • Entrée libre pour les moins de 15 ans, les personnes recevant le revenu minimum d’insertion, les professionnels des musées et de l’archéologie. Accès Parkings Parking visiteurs : route de Feuguerolles Parking handicapés : chemin Haussé Plan d’accès Situé à 15 mn de Caen (12 km). Rond-point du Zénith ou sortie n°10 sur le périphér ique sud, direction Evrecy - Maltot, puis suivre le fléchage. Situé à 2h30 de Paris par l'autoroute A13, à 1h30 de Cherbourg, d'Alençon et de Rouen, à 1h50 de Rennes. Contact presse Anita RIGOT +33 (0)608 513 722 [email protected] 1 rue Saint-Laurent 14000 Caen - fax +33 (0)231 502 305 12