Contrat pluriannuel de développement 2012-2017
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Contrat pluriannuel de développement 2012-2017
MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE Contrat pluriannuel de développement 2012 – 2017 CONTRAT PLURIANNUEL DE L’UNIVERSITE DE LA ROCHELLE 2012-2017 Entre Le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche d’une part, L’université de La Rochelle après délibération de son conseil d’administration du 26 mars 2012 d’autre part, il est établi le présent contrat de développement pour les années 2012 à 2017. Ce contrat fera, avant son renouvellement, l’objet d’une évaluation de ses programmes d’action au regard des objectifs poursuivis. Fait à Paris, le Le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche Le président de l’université de La Rochelle Laurent WAUQUIEZ Gérard BLANCHARD Sommaire Préambule ................................................................................................................. 4 I. Placer la formation sous le signe de la qualité et de l’innovation au service de l’insertion professionnelle des étudiants ............................................................... 5 I.1. Renforcer le caractère professionnalisant de l’offre de formation............................................................... 5 I.2. Adapter les modalités de la formation à la diversité des publics ................................................................. 5 I.3. Consolider le dispositif d'accompagnement personnalisé de l’étudiant....................................................... 6 I.4. Favoriser la réussite en encourageant l'étudiant à plus d'autonomie.......................................................... 6 I.5. Progresser dans l’internationalisation de l’offre de formation .................................................................... 6 I.6. Renforcer le pilotage de l’offre de formation ............................................................................................... 7 II. Fonder la politique de recherche sur une stratégie de site .............................. 7 II.1. Devenir un établissement de référence dans le domaine de l’environnement............................................ 7 II.2. Privilégier la complémentarité pour les autres thématiques de recherche ................................................. 7 II.3. Renforcer le pilotage de la recherche .......................................................................................................... 8 II.4. Repenser le dispositif de valorisation .......................................................................................................... 8 III. Promouvoir la relation université-milieux socio-économiques....................... 8 III.1. Fédérer les acteurs de la relation université-entreprises au sein de l’établissement. ................................ 9 III.2. Etre acteur du développement socio-économique du territoire ................................................................. 9 IV. Adapter la gouvernance aux ambitions de l’université ................................... 9 IV.1. Optimiser l’organisation dans un cadre structurel pertinent ..................................................................... 9 IV.2. Accroître et maîtriser les ressources ........................................................................................................ 10 IV.3. Inscrire la gestion des ressources humaines dans une démarche qualité ................................................ 10 IV.4. Réaffirmer une stratégie immobilière ambitieuse ................................................................................... 10 Dispositions réglementaires et financières.......................................................... 12 Indicateurs et cibles de performance ................................................................... 13 Liste des formations habilitées et des structures de recherche ........................ 49 Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 3 sur 59 Préambule Fondée en 1993, l’Université de La Rochelle (ULR) est une université pluridisciplinaire hors santé qui compte, à l’issue d’une croissance particulièrement forte au cours des trois dernières années, quelque 7.600 étudiants à l’orée du présent contrat. Située dans une région déjà desservie par de grandes universités et consciente de la nécessité de s’en différencier pour trouver sa place dans le territoire qui était le sien, elle a su construire, au fil des années, une identité propre fondée à la fois sur une thématique privilégiée – l’environnement et le développement durable en milieu littoral – et sur le développement d’une stratégie vis-à-vis du tissu économique, avec un appui sans cesse réaffirmé des collectivités territoriales. Ayant ainsi acquis une véritable légitimité dans le paysage universitaire régional, elle a entrepris, au cours du contrat 2008-2011, de transformer cette singularité naturelle en un modèle qui, depuis lors, a fait ses preuves au niveau national, à côté de celui que peuvent incarner les pôles pluridisciplinaires d’enseignement supérieur et de recherche de rang mondial. Forte de ses acquis, dotée de nouveaux leviers d’actions depuis son passage aux responsabilités et er compétences élargies qu’elle a souhaité obtenir dès le 1 janvier 2009, l’université entend poursuivre cette stratégie de différenciation en s’appuyant sur un projet véritablement « managérial » et en valorisant ses atouts naturels : jeune, l’ULR a montré sa prédisposition à l’innovation et à la créativité, apte à faire face aux nouveaux enjeux et aux défis qui se présentent à elle et à adapter ses méthodes et son organisation pour y répondre ; de taille réduite et dotée d’une gouvernance adaptée et participative, elle est en mesure d’être réactive et d’associer toute sa communauté dans la détermination et la réalisation de projets porteurs et structurants ; édifiée non pas sur un campus mais dans la ville elle-même, elle est au contact direct des étudiants et des acteurs sociaux et économiques, ouverte sur son territoire et sur le monde et à l’écoute permanente de leurs attentes. De ces atouts découle une stratégie de différenciation appelée à se décliner selon les axes suivants au cours du contrat 2012-2017 : 1. placer la formation sous le signe de la qualité et de l’innovation au service de l’insertion professionnelle des étudiants ; 2. fonder la politique de recherche sur une stratégie de site ; 3. promouvoir la relation université-milieux socio-économiques ; 4. adapter la gouvernance aux ambitions de l’université. En outre, consciente de la nécessité d’accompagner les changements induits par sa stratégie de développement en optimisant ses organisations et en adaptant ses modes de gouvernance, l’ULR veut également se projeter au-delà du contrat 2012-2017 en réfléchissant dès à présent au meilleur statut possible pour elle dans un dispositif national en pleine reconfiguration. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 4 sur 59 I. Placer la formation sous le signe de la qualité et de l’innovation au service de l’insertion professionnelle des étudiants Fondée sur la lettre de cadrage adoptée par le conseil d’administration du 3 mai 2010, la stratégie de formation de l’université s’appuie sur une véritable démarche qualité, qui sera généralisée au cours du contrat à l’ensemble des chantiers relevant de la formation, et sur une volonté affichée de renforcer l’attractivité de son offre en l’adaptant tant aux besoins des publics de la formation qu’à ceux des partenaires socio-économiques de l’ULR. I.1. RENFORCER LE CARACTERE PROFESSIONNALISANT DE L’OFFRE DE FORMATION Au niveau Licence, l’offre de formation sera déclinée selon le référentiel des compétences élaboré par l’établissement, dans une logique de spécialisation progressive, afin de permettre aux étudiants une poursuite d'étude réellement choisie, incluant une sensibilisation au monde professionnel. Parallèlement, l’établissement s’engage à poursuivre le travail déjà entrepris pour revaloriser la licence professionnelle, qui doit être plus attractive pour les étudiants de L2 : les passerelles entre les deux types de formation seront donc renforcées. La formation de Master s’inscrira davantage encore dans cette dynamique de professionnalisation, l’objectif étant d’inciter l’étudiant à développer des compétences et de le conduire vers un diplôme présentant une bonne visibilité vis-à-vis du monde professionnel. Pour atteindre cet objectif, l’ULR veut s’inscrire dans une démarche d’acquisition de compétences en renforçant les modules. L’association plus systématique des professionnels du monde socio-économique à la définition de l’offre de formation, à son évaluation et à son amélioration, contribuera à la réalisation de cet objectif ; cette démarche se traduira notamment par l’élaboration, pour chaque diplôme, de référentiels de compétences adaptés aux exigences du marché de l’emploi. L’établissement développera également l’enseignement des langues étrangères et la formation à la maîtrise des outils informatiques et numériques, dans une démarche de certification (TOEIC/TOEFL et C2i de niveau 2). L’adossement à la recherche des formations de masters sera enfin consolidé par l’ouverture de chaque filière à la problématique du développement durable, qui est la thématique prioritaire de l’ULR en matière de recherche. Indicateur commun : taux de passage de L1 en L2 Indicateur commun : taux de réussite en licence en trois ans Indicateur commun : flux d’étudiants entrant en master/Part des nouveaux étudiants entrant dans l’établissement Indicateur commun : évaluation des enseignements Indicateur spécifique : insertion professionnelle des diplômés I.2. ADAPTER LES MODALITES DE LA FORMATION A LA DIVERSITE DES PUBLICS Au terme du contrat 2012-2017, l’Université de La Rochelle veut être en mesure de donner accès par la voie de l’alternance à toutes les Licences Professionnelles et à une majorité des Masters, notamment ceux du domaine Sciences pour l'Ingénieur. Pour atteindre cet objectif tout en augmentant la lisibilité de ce type de formation, l’établissement se constituera en 2012 en Unité de Formation par Apprentissage (UFA), dans le cadre de la création du CFA régional de l’enseignement supérieur en Poitou-Charentes, auquel il participe activement. Indicateur spécifique : part des étudiants en apprentissage L’université doit aussi améliorer significativement son offre de services en matière de formation tout au long de la vie, dans la logique de son rapprochement avec le monde de l’Entreprise. La construction de cette offre s’appuiera sur un important travail de prospection destiné à recueillir les besoins des entreprises, avec le soutien de la Fondation Université de La Rochelle. Indicateur complémentaire : développement de la formation continue L’ouverture des formations à l’alternance et à la formation tout au long de la vie doit amener l’établissement à revoir l'organisation temporelle et les modalités pédagogiques de ses formations pour permettre l’accueil d’un public diversifié. L’université travaillera donc tout particulièrement sur la modularisation des enseignements, sur la mise en place de véritables rythmes d'alternance, et sur le développement de la formation à distance. L’investissement soutenu des équipes pédagogiques de Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 5 sur 59 l’université dans le développement de formations innovantes constitue un puissant levier d’action dans ce domaine stratégique. I.3. CONSOLIDER LE DISPOSITIF D'ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE DE L’ETUDIANT Les liens entre enseignements secondaire et supérieur devront être renforcés en relation avec le Programme de Découverte des Métiers et des Formations (PDMF). Un effort particulier sera porté en direction des établissements ruraux. Les actions d’information et de formation prévues par l’université er nd à destination des enseignants des 1 et 2 degrés seront menées en étroite collaboration avec les services académiques, et en concertation avec les représentants des différents réseaux BTS, CPGE, DUT et Licence. En outre, des parcours adaptés seront mis en place, tant pour les meilleurs étudiants de licence que pour les étudiants en difficulté, et les possibilités de passerelles inter-Licence, entre L2 et Licence Professionnelle, entre classe préparatoire, BTS, DUT et Licence seront enrichies de nouveaux parcours. Enfin, des modules de techniques de recherche d’emploi, sur l’entrepreneuriat et sur la connaissance du monde du travail seront proposés sous forme d'unités d’enseignement complémentaires ou de Diplôme d'Université, quel que soit le niveau de formation L, M, D. Ces actions seront mises en œuvre en recherchant des complémentarités à l’échelle du PRES Limousin Poitou-Charentes (LPC), notamment dans le cadre du Pôle Entrepreunariat Etudiant (PEE). L’établissement proposera un dispositif renforcé d'aide à l'insertion professionnelle pour les étudiants en situation de handicap, ainsi que pour les étudiants étrangers qui pourront bénéficier d’un parrainage dès leur arrivée, de cours de français langue étrangère et de méthodologie universitaire. Au terme de son parcours, l’étudiant se verra attribuer un e-portefolio, véritable portefeuille de ses acquis et compétences, lui permettant de mieux valoriser son profil. I.4. FAVORISER LA REUSSITE EN ENCOURAGEANT L'ETUDIANT A PLUS D'AUTONOMIE Afin de rendre l’étudiant pro-actif de son apprentissage et de stimuler les qualités attendues des recruteurs, l’université développera les pratiques d’e-learning, avec le concours du service commun de la documentation (SCD) et des services TIC-TICE de l’établissement. Le projet d’intégration de la bibliothèque universitaire dans un pôle de services qui inclurait la Maison de la réussite et de l’insertion professionnelle (MRIP), la Maison de l’étudiant (MDE) et le Centre interpôles d’enseignement des langues (CIEL), dont la BU héberge déjà une antenne, participe de cet objectif. Le développement des partenariats avec les institutions voisines, telles que la Médiathèque MichelCrépeau, mitoyenne de la BU, y contribue également. Indicateur commun : variation des horaires d’ouverture du SCD ou du SICD L’université souhaite également proposer des activités culturelles et sportives impliquant les acteurs de l’établissement (étudiants, enseignants-chercheurs, services) et les acteurs culturels du territoire à la fois pour contribuer à la culture générale et à la réussite des étudiants et pour renforcer le sentiment d’appartenance à l’ULR. Cette démarche sera facilitée par la livraison fin 2012 de la nouvelle Maison de l’Etudiant qui sera un lieu de vie, d’accueil, de rencontres et de projets partagés et par le développement d’un pôle sportif de proximité. Elle continuera enfin à améliorer l’accès aux soins et à l’aide sociale, en diversifiant les actions d’éducation à la santé et en prenant en compte les besoins des publics spécifiques (situation de handicap, salariés, chargés de famille, sportifs de haut-niveau). Indicateur spécifique : part des étudiants pratiquant des activités culturelles, sportives et associatives I.5. PROGRESSER DANS L’INTERNATIONALISATION DE L’OFFRE DE FORMATION L’université mettra en œuvre différentes actions complémentaires (diplômes conjoints, accueil d’enseignants étrangers, promotion de la mobilité sortante, etc.) pour renforcer la dimension internationale des cursus de Licence et de Master. La priorité sera donnée aux formations portant sur les thématiques fortes de l'établissement, en privilégiant les collaborations avec des universités de réputation internationale. Dans le même esprit, la formation des doctorants intégrera la mobilité internationale par différents dispositifs (séjours de recherche obligatoires dans des laboratoires étrangers, formations approfondies en langues, co-tutelles de thèse ; obtention du label européen, etc.). Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 6 sur 59 L’action de l’établissement dans ce domaine sera tout particulièrement tournée vers la zone AsiePacifique, en particulier via le consortium Université des sciences et techniques de Hanoï (USTH). Indicateur spécifique : nombre de diplômes en partenariat international Indicateur spécifique : mobilité internationale des étudiants Indicateur spécifique : nombre de doctorants inscrits en co-tutelle internationale de thèse et nombre de « docteurs européens » I.6. RENFORCER LE PILOTAGE DE L’OFFRE DE FORMATION L’université, agissant à la fois dans un cadre réglementaire et budgétaire contraint et dans un contexte de forte croissance de ses effectifs étudiants, s’attachera à maîtriser son niveau d’activité pour l’ajuster à la réalité de ses moyens. Cela se traduira en particulier par la poursuite des travaux du comité de suivi des formations, qui dispose désormais des indicateurs nécessaires et a acquis une expérience suffisante pour analyser la qualité et la performance de chaque diplôme et dispositif de formation, et pour recommander annuellement leur ouverture, leur révision ou leur fermeture. La constitution de tableaux de bord infra-annuels pour chaque formation permettra d’en suivre l’attractivité et le coût, de manière à responsabiliser ceux qui les pilotent et à objectiver les prises de décision de l’établissement en la matière. II. Fonder la politique de recherche sur une stratégie de site La politique de recherche de l’ULR visera principalement à renforcer la visibilité du domaine « Environnement et développement durable », dans lequel l’université veut devenir un établissement de référence, et à structurer les autres thématiques de recherche en jouant la complémentarité avec d’autres établissements. Cette politique s’appuie fortement sur la stratégie de site définie au niveau du PRES Limousin Poitou Charentes (LPC) et permettra également à l’ULR de renforcer le pilotage et la valorisation de sa recherche. II.1. DEVENIR UN ETABLISSEMENT DE REFERENCE DANS LE DOMAINE DE L’ENVIRONNEMENT La Fédération pluridisciplinaire de Recherche en Environnement pour le Développement Durable (FREDD, labellisée CNRS), qui regroupe et organise l'ensemble du dispositif rochelais depuis 2008, est devenue aujourd’hui l’outil de politique scientifique le plus abouti du PRES inter-régional Limousin Poitou-Charentes. A ce titre, elle s’élargit et rassemble en 2012, sous la direction de l'ULR, les vingttrois unités de recherche en environnement des Universités de La Rochelle, Poitiers et Limoges et de l'école nationale supérieure de céramique industrielle (ENSCI). La stratégie ainsi définie consiste à agréger autour du pôle rochelais l'ensemble des forces des autres établissements du PRES LPC pour gagner en efficacité scientifique et en visibilité nationale et internationale. Ce pôle de recherche constitue ainsi une force nationale conséquente, très originale et bien identifiée par rapport aux enjeux scientifiques liés à la pluridisciplinarité et à la dimension sociétale de son objet d’étude : l’interface bassin versant/zone côtière. La FREDD sera dotée de moyens propres (financiers mais aussi humains), en provenance du PRES LPC et des établissements tutelles, et renforcée par la construction de la deuxième tranche de l’Institut du Littoral. En outre, dans le cadre de la politique commune visant à structurer le dispositif de formation doctorale au niveau du PRES, l’ULR s’est également positionnée comme leader du thème de l’environnement en dirigeant l’école doctorale dédiée à cette thématique de recherche. L’Université de La Rochelle est enfin activement impliquée dans l’Institut de Recherche en Sciences et Techniques de la Ville (IRSTV, fédération du CNRS-INSIS portée par l’Université de Nantes), ce qui lui permet d’intégrer la thématique de la Ville, dans sa dimension habitat et énergie, à la problématique littorale. II.2. PRIVILEGIER LA COMPLEMENTARITE POUR LES AUTRES THEMATIQUES DE RECHERCHE Les autres secteurs d’excellence scientifique de l’ULR, qui ne bénéficient pas d’une masse critique suffisante pour constituer en soi des pôles de recherche de taille nationale, voire régionale, seront soutenus dans les meilleures conditions par l’ULR qui poursuivra en interne le mouvement de restructuration des laboratoires pour plus de qualité, de lisibilité et d’efficience, d’une part, et continuera à élaborer des stratégies partenariales, d’autre part, pour donner à ces secteurs toute la visibilité dont ils ont besoin pour leur rayonnement. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 7 sur 59 Ainsi, les laboratoires travaillant autour du thème de l’Image et du Numérique participent à la construction du second pôle de recherche construit à l’échelle du PRES LPC : la fédération de recherche « Mathématiques et Interactions, Images et Information numérique, Réseaux et Sécurité » (MIRES), portée par l’Université de Limoges. Dans ce cas, et conformément à la stratégie du PRES LPC, l’Université de La Rochelle ainsi que celle de Poitiers viennent agréger leurs compétences à celles du pôle constitué et reconnu à Limoges dans ce secteur scientifique. Dans le domaine des Sciences Humaines et Sociales non impliquées dans la problématique « Environnement et Développement Durable », les unités de recherche s’inscrivent dans une dynamique « Espace Européen et Relations Internationales » pour laquelle elles doivent consolider leurs relations avec d’autres universités au sein du PRES LPC ou avec l’Université de Nantes. II.3. RENFORCER LE PILOTAGE DE LA RECHERCHE L’université renforcera le dispositif de financement sur critères mis en place au contrat précédent pour les unités de recherche. Cette dotation sera complétée par un appel à projets interne annuel, articulé avec l’appel à projets annuel du PRES LPC. Le prochain contrat sera également l’occasion de donner une plus grande importance aux fédérations de recherche, qui recevront une dotation en propre. Par ailleurs, afin de mieux maîtriser son potentiel de recherche, l’Université de La Rochelle demandera au CNRS la délégation globale de gestion financière (DGG) pour l’ensemble de ses unités mixtes labellisées, et enrichira son système d’information d’une brique dédiée à l’activité de recherche. Cet outil devra inter-opérer avec les archives institutionnelles des publications et des thèses et les applications de gestion des écoles doctorales. L’Université de La Rochelle s’attachera enfin à poursuivre le travail entrepris en matière de rationalisation des moyens technologiques (calculs, stockage, logiciels scientifiques…) et à développer une politique coordonnée pour la formation des chercheurs aux logiciels transversaux. Dans cette même perspective d’appui à l’activité scientifique, l’ULR devra également engager une réflexion sur les besoins documentaires des chercheurs et décider de la stratégie de financement la plus appropriée pour les couvrir au mieux, en lien avec le service commun de la documentation. II.4. REPENSER LE DISPOSITIF DE VALORISATION Consciente de son rôle d’acteur du développement économique et de la nécessité d’intensifier les relations entre une recherche de qualité et les entreprises, l’ULR va reconstruire son dispositif de valorisation. Dans le cadre du PRES LPC, l’établissement participe à la création d’une Société d’Accélération du Transfert de Technologie, la SATT Grand Centre, avec le PRES Centre Val de Loire Université et le PRES Clermont Université. Celle-ci s’articulera avec les structures locales de valorisation, et singulièrement, pour l’ULR, avec la Filiale ULR Valor. Outre l’accompagnement des projets de recherche partenariale de l’établissement, la Filiale sera également chargée de développer des activités d’expertise et de prestation en direction du monde économique voire de participer à des opérations plus importantes dans le cadre de projets d’aménagement du territoire. Indicateur commun : revenus consolidés de la valorisation de la recherche Indicateur spécifique : part des enseignants-chercheurs produisants de l’ULR affectés dans les unités mixtes III. Promouvoir la relation université-milieux socio-économiques L’Université de La Rochelle a entrepris d’associer les représentants du monde socio-économique à ses activités pour ouvrir la voie au renouvellement des pratiques pédagogiques traditionnelles, permettre de dépasser les visions disciplinaires et revisiter le lien nécessaire entre recherche, formation et activité économique dans la perspective de contribuer au développement de la compétitivité économique française. Dans cette perspective, l’établissement est déjà membre de nombreuses associations d'entreprises. Il est également partenaire des missions locales, des Maisons de l'emploi et Cités des Métiers des Pays Rochelais et Rochefortais, de certains ordres professionnels ainsi que des collectivités territoriales. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 8 sur 59 III.1. FEDERER LES ACTEURS DE LA RELATION UNIVERSITE-ENTREPRISES AU SEIN DE L’ETABLISSEMENT. L’université souhaite placer la relation avec les entreprises au cœur de son action. Créée à cet effet courant 2011, la commission Relation Université-Entreprises (RUE) aura notamment pour mission de s’assurer du partage de l’information entre les différents acteurs de l’établissement impliqués dans cette démarche (Maison de la réussite et de l'insertion professionnelle, Fondation, Filiale de valorisation, etc.). Pour rendre plus visible cette politique, l’université envisage à moyen terme de créer un espace dédié regroupant la Fondation universitaire, la Filiale de valorisation et l’antenne rochelaise de l’Incubateur Poitou-Charentes ÉTINCEL, hébergée à l’ULR. Au-delà de la mise en cohérence de la démarche RUE, la commission poursuivra le développement des projets initiés au contrat précédent, tels que l’annuaire des anciens étudiants, permettant de disposer de relais efficaces au sein des entreprises et la constitution d’une base de données des entreprises pour rassembler et fiabiliser les informations dans ce domaine. III.2. ETRE ACTEUR DU DEVELOPPEMENT SOCIO-ECONOMIQUE DU TERRITOIRE Convaincue du rôle qu’elle doit jouer sur son territoire, l’ULR mettra sa capacité d’innovation au service du développement socio-économique. Elle entend identifier ses lignes de forces en formation ou en recherche pour initier ou activer des réseaux et s'impliquer dans des projets fédérateurs en ce sens. L’université est d'ores et déjà engagée dans deux projets innovants dans le cadre du Contrat de Redynamisation des Sites Défense (CRSD) impliquant l’expertise des unités de recherche de l’établissement, et créateurs d’emplois à terme : le Technopôle Dématérialisation et Valorisation des Contenus Numériques (piXL), retenu dans le cadre des Investissements d’Avenir au titre du volet économie numérique ; et la Plateforme Bâtiment Durable Atlantique (PBDA), retenue au titre du volet développement durable des Investissements d’Avenir, visant à créer sur un ancien terrain militaire une plateforme dédiée aux développements technologiques et à la formation initiale et continue en matière de réhabilitation des bâtiments. Elle développera par ailleurs les collaborations avec les chambres consulaires et les branches professionnelles, qui doivent être étoffées et formalisées. IV. Adapter la gouvernance aux ambitions de l’université Dans un contexte budgétaire contraint, l’Université de La Rochelle, forte d’une solide expérience dans er la maîtrise des responsabilités et compétences élargies qu’elle a obtenues dès le 1 janvier 2009, et dotée d’une gouvernance reconnue comme « participative et structurée » par l’AERES, doit continuer à améliorer ses performances ainsi que la qualité de son organisation. La conduite et la réalisation de sa stratégie de développement en dépendent. IV.1. OPTIMISER L’ORGANISATION DANS UN CADRE STRUCTUREL PERTINENT L’essentiel des ressources doit être consacré à la mise en œuvre de la stratégie de l’établissement sur ses missions fondamentales, ce qui induit une totale maîtrise de la part allouée aux fonctions support et de soutien. Les enjeux d’efficience, de qualité de service, de technicité et de professionnalisation (et donc d’enrichissement des tâches des personnels) nécessitent de poursuivre le travail de réorganisation des fonctions support et de soutien, réalisé depuis le passage aux RCE, sur la base d’un audit organisationnel et le cas échéant avec l’aide d’une mission d’assistance et de conseil (accord-cadre de l’AMUE). Indicateur spécifique : qualification du dispositif d’optimisation des fonctions support et de soutien mis en œuvre par l’établissement La période contractuelle sera également marquée par l’évolution du système d’information, qui s’enrichira de nouvelles briques dédiées notamment à la gestion de la recherche et des relations internationales. Les modules déjà existants de gestion des ressources humaines et du patrimoine immobilier devront par ailleurs être enrichis des fonctionnalités nécessaires à une autonomie accrue et responsable. Au terme du contrat, le système d’information couvrira ainsi l’ensemble des domaines d’activité de l’université. Indicateur complémentaire : pilotage du système d'information et des services numériques aux usagers Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 9 sur 59 Ce travail de réflexion et de réorganisation éventuelle des structures et des fonctions doit s’accompagner d’un diagnostic et d’une analyse des différents processus (métiers, de support ou de pilotage). Il sera guidé par un objectif d’amélioration de la maîtrise des risques. Déjà fortement engagé sur le processus « paie », ce travail devra être déployé dans d’autres domaines à forts enjeux pour l’établissement, et accompagné d’un dispositif et donc de ressources dédiées au contrôle interne. Indicateur commun : qualification du dispositif d’autoévaluation mis en œuvre par l’établissement IV.2. ACCROITRE ET MAITRISER LES RESSOURCES Afin de soutenir financièrement ses charges et ses projets de développement, l’établissement se doit de mener une politique visant à augmenter ses ressources propres. Plusieurs orientations fortes seront mises en œuvre ou amplifiées : - s’appuyer sur la Fondation Université de La Rochelle, en particulier son club des fondateurs, dont l’action auprès des entreprises devrait lui permettre d’accroître leur investissement financier en soutien de la politique de l’établissement ; - professionnaliser le dispositif interne de collecte de la taxe d’apprentissage dont le montant actuel doit être significativement augmenté ; - dégager des marges de manœuvre financières supplémentaires en s’engageant à développer la voie de la formation en alternance dans le cadre de la politique volontariste de la Région PoitouCharentes en la matière et en s’impliquant plus largement dans la formation tout au long de la vie. Indicateur complémentaire : qualité du pilotage financier Indicateur complémentaire : accroissement des ressources propres IV.3. INSCRIRE LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES DANS UNE DEMARCHE QUALITE Depuis l’obtention des RCE, et dans l’esprit de la Charte européenne du chercheur à laquelle elle adhère depuis mars 2011, l’université a ouvert un vaste chantier consistant à conformer l’ensemble de ses dispositifs de recrutement aux nouvelles règles en vigueur d’une part, à les clarifier, à les articuler et à les parfaire d’autre part. L’objectif est à la fois de mieux anticiper et de mieux satisfaire les besoins exprimés par les laboratoires de recherche et les équipes pédagogiques, d’accroître la notoriété et l’attractivité de l’ULR à l’endroit des jeunes chercheurs comme des scientifiques confirmés, et d’améliorer la qualité du recrutement, de l’accueil et des conditions de travail des enseignants, des chercheurs et des enseignants-chercheurs au sein de l’établissement. L’établissement s’appuiera en outre sur le diagnostic fiable et précis de ses ressources humaines dont il dispose et sur les outils de pilotage qu’il a développés au contrat précédent pour intégrer une vision pluriannuelle dans la gestion de ses emplois et compétences. La définition d’une cartographie cible en matière de répartition des emplois et de mobilisation de ressources s’accompagnera d’un plan d’actions intégrant un effort soutenu en matière de formation des personnels et de prévention des risques professionnels. Indicateur commun : endorecrutement des enseignants-chercheurs / bilan et prévisions IV.4. REAFFIRMER UNE STRATEGIE IMMOBILIERE AMBITIEUSE L’Université de La Rochelle, qui souhaite se préparer au cours du contrat 2012-2017 au processus de dévolution du patrimoine afin de bénéficier pleinement du passage à l’autonomie, s’engage notamment à : - renforcer la maîtrise des coûts et la rationalisation du patrimoine. Quelle que soit l’échéance qui sera déterminée pour la dévolution de son patrimoine, l’ULR, soucieuse de maintenir la qualité de son patrimoine et de s’inscrire dans une démarche de développement durable, actualisera son schéma directeur de maintenance lourde et de sécurité et poursuivra le travail engagé en matière de politique de réduction de coûts ; - arrêter les orientations du schéma directeur immobilier avec la perspective de la dévolution. L’université se donne principalement pour objectifs de mieux corréler l’usage de son patrimoine immobilier disponible à la qualité de ses activités et à leur niveau actuel et prévisionnel ; circonscrire le patrimoine immobilier à ce que l’établissement peut soutenir pour subvenir à son fonctionnement et à son entretien courant ; développer au sein des bâtiments des espaces de convivialité ; enfin, mettre les bâtiments en conformité avec les objectifs environnementaux et énergétiques fixés par l’ULR. Indicateur commun : taux d’occupation des locaux Indicateur commun : qualité du pilotage en matière de gestion immobilière Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 10 sur 59 *** * La stratégie d’établissement définie dans le présent contrat est étroitement articulée à la politique du PRES Limousin Poitou-Charentes (LPC), dont l’ULR est membre fondateur. Celui-ci se construit autour de projets communs, servant de levier aux politiques des établissements partenaires. Il s’appuie sur huit écoles doctorales thématiques co-habilitées et sur des projets de grandes fédérations de recherche soutenues par le CNRS. Sur cette base, le PRES veut renforcer ses relations avec les deux régions, avec son environnement économique et avec les PRES voisins. Le PRES LPC ambitionne de conforter sa politique : - en mettant en place un dispositif de formation doctorale mieux intégré afin de faciliter le fonctionnement des écoles doctorales, d’améliorer leur pilotage et d’accroître leur niveau d’excellence ; - en poursuivant le travail de structuration et de valorisation de la recherche autour de pôles d’excellence ; - en recherchant les complémentarités et les synergies en matière de formation, d’insertion et de formation à l’entrepreneuriat ; - enfin, en fédérant des actions au plan international. *** * Conformément aux engagements ministériels dans le cadre du dialogue de gestion IUT/universités, les relations avec l’IUT feront l’objet d’un contrat d’objectifs et de moyens (COM) signé entre l'université, représentée par son président, et l’IUT, représenté par son directeur et le président du conseil de gestion, qui peut, le cas échéant, déléguer sa signature au directeur. Cet IUT devra disposer d’un budget propre intégré et le COM fera apparaître les moyens inscrits dans ce budget. *** * L’Etat partage les orientations définies par le présent contrat et apporte son soutien à leur mise en œuvre dans les conditions fixées en annexe. Ce contrat s’accompagne d’indicateurs de performance sur lesquels s’appuiera l’évaluation prévue à l’issue de la période contractuelle. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 11 sur 59 DISPOSITIONS RÉGLEMENTAIRES ET FINANCIÈRES DU CONTRAT PLURIANNUEL, EN APPLICATION DE LA LOI DU 10 AOÛT 2007 RELATIVE AUX LIBERTÉS ET RESPONSABILITÉS DES UNIVERSITÉS L’établissement recevra chaque année une dotation en crédits qui comprend : - une part qui sera calibrée chaque année en application du modèle d’allocation des moyens, en fonction d’indicateurs d’activités et de performance. Le montant annuel sera précisé dans la notification de crédits ; - une part qui correspondra aux rémunérations des personnels prises en charge sur le budget de l’Etat. Le montant annuel sera précisé dans la notification de crédits ; - une part, répartie dans le cadre des discussions contractuelles, dont le montant, pour chacune des années du contrat, sera précisé dans la notification de crédits. Ce montant est de : Dotation contractuelle négociée en € 2012 2013 2014 2015 2016 2017 Total 500.000 500.000 500.000 500.000 500.000 500.000 3.000.000 - une part qui sera réservée à des actions spécifiques, réparties selon des procédures ad hoc chaque année. Leur montant annuel sera mentionné dans la notification de crédits. La notification annuelle et ses éventuelles modifications préciseront la fraction de la dotation affectée à la masse salariale, celle affectée au fonctionnement et celle affectée à l’investissement. Le plafond des emplois financés par l’Etat, grâce à la fraction de la dotation versée et affectée à la masse salariale, sera précisé chaque année dans la notification de crédits et ses éventuelles modifications. L’établissement s’est fixé des objectifs, en matière d’endorecrutement des professeurs et des maîtres de conférences, conformément à l’article L 952-1-1 du code de l’éducation : cf. indicateur N° IC-7. Les modalités de la participation de l’établissement au PRES « Limousin Poitou Charentes » sont fixées par le décret n°2009-809 du 29 juin 2009. L’établissement s’engage à mettre en place, pendant la durée du contrat, une comptabilité analytique conformément à l’article 46 du décret financier N° 2008-618 du 27 juin 2008 (version consolidée au 30/12/2010), relatif au budget et au régime financier des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel bénéficiant des responsabilités et compétences élargies. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 12 sur 59 INDICATEURS ET CIBLES DE PERFORMANCE - Indicateurs communs p. 14 N° 1 : Taux de passage de L1 en L2 N° 2 : Taux de réussite en licence en trois ans N° 3 : Flux d’étudiants entrant en master / part des nouveaux étudiants entrants dans l’établissement N° 4 : Evaluation des enseignements N° 5 : Revenus consolidés de la valorisation de la recherche N° 6 : Variation des horaires d’ouverture du SCD ou du SICD N° 7 : Endorecrutement des enseignants-chercheurs / bilan et prévision N° 8 : Qualification du dispositif d’évaluation mis en œuvre par l’établissement N° 9 : Taux d’occupation des locaux N° 10 : Qualité du pilotage en matière de gestion immobilière - Indicateurs complémentaires p. 34 N° 11 : Développement de la formation continue N° 12 : Qualité du pilotage financier N° 13 : Accroissement des ressources propres N° 14 : Pilotage du système d’information et des services numériques aux usagers - Indicateurs spécifiques p. 41 N° 15 : Nombre de diplômes en partenariat international N° 16 : Mobilité internationale des étudiants N° 17 : Part des étudiants en apprentissage N° 18 : Insertion professionnelle des diplômés N° 19 : Qualification du dispositif d’optimisation des fonctions support et de soutien mis en œuvre par l’établissement N° 20 : Nombre de doctorants inscrits en co-tutelle internationale de thèse et nombre de « docteurs européens » N° 21 : Part des enseignants-chercheurs produisants de l’ULR affectés dans les unités mixtes N° 22 : Nombre d’étudiants pratiquant des activités culturelles, sportives et associatives Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 13 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS COMMUNS DE PERFORMANCE DE LA FORMATION 1 TAUX DE PASSAGE DE L1 EN L2 Action Objectif DGESIP Pôle Formation initiale et continue de niveau licence Améliorer la réussite à tous les niveaux de formation (objectif 2, programme 150) Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure Ratio en % Années universitaires 2008-2009, 2009-2010, 2010-2011, futures années 2016-2017 Disponible en mai de l'année n+1 Etudiants bacheliers de l’année universitaire n-1/n (enseignement public universités et assimilés France entière) inscrits pour la première fois en L1 et inscrits l’année suivante (n/n+1) en 2ème année de Licence, ou dans une formation équivalente de 2ème année. Les inscriptions en L1 concernent les étudiants inscrits en 1ère année de licence LMD, mais excluent les autres filières (PACES, IUT, préparation ingénieurs, etc.). Source : Données administratives recueillies via le Système d'information sur le suivi de l'étudiant (SISE) –– Universités et assimilés Les expressions n-1 / n et n/ n+1 désignent des années universitaires. Par exemple, si n est l’année 2008, 2007-2008 est l’année universitaire n-1/n et 2008-2009 l’année universitaire n/n+1 Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des Inscriptions principales données de base Source : MESR/SIES, Système d’Information sur le Suivi de l’Etudiant (SISE) Mode de calcul Suivi de cohorte entre deux années consécutives à une première inscription en licence (cursus LMD) 1ère année en n-1/n Calcul du taux de redoublement nombre de nouveaux bacheliers inscrits en L1 l’année universitaire n-1/n, inscrits de nouveau en L1 l’année n/n+1, rapporté au nombre total de nouveaux bacheliers inscrits en L1 l’année universitaire n-1/n Calcul du taux de passage: nombre de nouveaux bacheliers inscrits en L1 l’année universitaire n-1/n, accédant à la 2ème année de licence (L2) ou à une formation équivalente l’année n/n+1, rapporté au nombre total de nouveaux bacheliers inscrits en L1 l’année universitaire n-1/n Calcul du taux de changements d’orientation : - nombre de nouveaux bacheliers inscrits en L1 l’année universitaire n-1/n, inscrits en n/n+1 dans un diplôme différent de la licence et dans un niveau indiquant un changement de parcours au sein de l’université, rapporté au nombre total de nouveaux bacheliers inscrits en L1 l’année universitaire n-1/n. Il s’ensuit que dans cet indicateur, un changement de filière au cours d’une même année universitaire n’est pas considéré comme un changement d’orientation. Calcul du taux de sorties de l’université : - nombre de nouveaux bacheliers inscrits en L1 l’année universitaire n-1/n, non inscrits à l’université en n/n+1, rapporté au nombre total de nouveaux bacheliers inscrits en L1 l’année universitaire n-1/n Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 14 sur 59 Précisions importantes : un étudiant inscrit en BTS après une L1 est considéré comme sorti de l’université un étudiant inscrit en 1ère année d’IUT après une L1 est considéré comme changeant d’orientation un étudiant inscrit en 2ème année d’IUT après une L1 est considéré comme accèdant en L2 ou formation équivalente Données de l’établissement fournies par le MESR n = 2008 n = 2009 n = 2010 Effectifs de nouveaux bacheliers inscrits en L1 l’année n-1/n 766 910 908 Part de redoublants (redoublements dans ou hors de l’établissement) inscrits en année n/n+1 18,8 % 15,8 % 19,2 % Part de changements d’orientation en année n/n+1 2,3 % 1,4 % 1,4 % Part des inscrits en L1 en n non présents en université à la rentrée n/n+1 quelque soit l'université 23,1 % 21,0 % 20,8 % Part des inscrits en L1 accédant en L2 l’année suivante 55,7 % 61,8 % 58,6 % Cible 20162017 60 % A noter : la fixation d’une cible n’est obligatoire que pour la « part des inscrits en L1 accédant en L2 l’année suivante » ; cependant, des cibles peuvent être décidées d’un commun accord pour les autres items du tableau, soit à titre informatif, soit comme indicateurs spécifiques. Données toutes universités n = 2008 n = 2009 n = 2010 Effectifs de nouveaux bacheliers inscrits en L1 l’année n-1/n 148 269 141 471 149 537 Part de redoublants (redoublements dans ou hors de l’établissement) inscrits en année n/n+1 23,6% 25,1% 26,3 % Part de changements d’orientation en année n/n+1 3,5% 3,1% 2,9 % Part des inscrits en L1 en n non présents en université à la rentrée n/n+1 quelque soit l'université 29,7% 27,4% 28,6 % Part des inscrits en L1 accédant en L2 l’année suivante 43,2% 44,3% 42,3 % Pour mémoire : la cible 2013 inscrite au PAP 2012 est de 52%. Leviers d’action : Actions d’aide à la réussite et innovations pédagogiques envisagées dans le contrat. Commentaires de l’université de La Rochelle : L’ULR présente des résultats très nettement supérieurs à la moyenne nationale (environ +15%), et ceci dans un contexte d’augmentation importante du nombre d’étudiants au sein de l’établissement (+20% depuis 2008), ce qui traduit un bilan quantitatif et qualitatif fortement positif. Il semble donc ambitieux, tout en restant réaliste, de fixer légèrement à la hausse (60%) le taux de passage L1-L2. Il convient d’ailleurs de souligner que la forte croissance des Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 15 sur 59 effectifs enregistrée est susceptible d’induire des taux de redoublement ou d’abandon plus élevés, parce qu’elle s’accompagne inévitablement d’une augmentation d’étudiants en difficulté (c’est-à-dire des étudiants qui ne continuaient pas nécessairement dans le supérieur jusqu’alors). En outre, l’ULR s’est donné comme priorité la réduction du nombre d’étudiants quittant l’établissement à l’issue du L1, action également susceptible d’accroître les taux de redoublement. Dans ces conditions, l’atteinte de la cible globale de 60% traduira en fait une augmentation réelle de la performance de l’établissement, même si elle peut apparaître de prime abord comme une stabilisation. Précisions : Lecture : pour l’année n = 2008, 43,2% des nouveaux bacheliers inscrits en L1 en 2007-2008 pris en compte dans le calcul de cet indicateur (148 269 étudiants) accèdent en L2 ou équivalent et 23,6% de cette même population redoublent en L1 en 2008-2009. L’écart par rapport à 100% correspond aux étudiants : - qui ont quitté l’université, - qui se sont réorientés vers d’autres filières au sein de l’université. Les admissions en cours de cursus ne sont pas prises en compte. Un étudiant inscrit en L1 dans une université X passant en L2 dans une autre université Y est pris en compte dans le taux de passage de l’université X. Un étudiant inscrit en L1 dans une université X redoublant en L1 dans une autre université Y est pris en compte dans le taux de redoublement de l’université X. Une seule inscription principale par étudiant est prise en compte dans les effectifs. Quand les étudiants ont pris une inscription dans des universités différentes, une seule est conservée. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 16 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS COMMUNS DE PERFORMANCE DE LA FORMATION 2 TAUX DE REUSSITE EN LICENCE EN TROIS ANS Action Objectif DGESIP Pôle Formation initiale et continue du baccalauréat à la licence Améliorer la réussite à tous les niveaux de formation (objectif 2, programme 150) Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure % Cohorte 2007 diplômée en 2010 Etablissements d’enseignement supérieur Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des données de base Source : Mode de calcul Service responsable de l’indicateur Etudiants (bacheliers et non-bacheliers) inscrits administrativement pour la première fois en première année de premier cycle ou de cursus licence à la rentrée universitaire 2007. Sont exclus du champ, les inscrits en classes préparatoires aux grandes écoles en première année. Cf. « mode de calcul » MESR/SIES, Système d’Information sur le Suivi de l’Etudiant (SISE) Le taux de réussite constaté en licence en 3 ans est calculé à partir de la cohorte d’étudiants, bacheliers et non bacheliers, inscrits pour la 1ère fois en 1ère année de 1er cycle ou de cursus licence à la rentrée 2007. Méthodes appliquées à partir de la cohorte pour la détermination des taux de réussite en licence à partir de la cohorte : - Méthode 1 : la méthode 1 tient uniquement compte de l’établissement d’inscription en 1ère année ; les étudiants qui ont changé tous les ans d’établissement ne sont pas comptabilisés dans le calcul - Méthode 2 : la méthode 2 tient uniquement compte des résultats en 3ème année (L3), rapportant le nombre de diplômés à celui des inscrits en troisième année - Méthode 3 : la méthode 3 tient uniquement compte des étudiants qui, s’étant inscrits en L1 dans l’établissement, ont effectué la totalité de leur cursus de licence (L1 à L3) en son sein ou bien qui sont sortis du système universitaire en troisième année SIES périodes Taux de réussite constaté en % (établissement) Méthode 1 Méthode 2 Diplômés 2009 38,4 86,4 (cohorte 2006) pour mémoire Diplômés 2010 36,9 88,6 (cohorte 2007) Cible 2017 (méthode 3 uniquement) Méthode 3 Ecart taux observé – taux attendu (M3) 56,2 12,2 52,2 10,0 60 Leviers d’action : Actions d’aide à la réussite et innovations pédagogiques envisagées dans le contrat. Commentaires de l’université de La Rochelle : Là encore, l’ULR obtient des résultats très significativement supérieurs à ceux qui sont théoriquement attendus (+10%) compte tenu de la sociologie et de la structure de sa population étudiante. L’ULR fait donc réussir des étudiants qui, sur la base de statistiques nationales, seraient voués à l’échec. Cet indicateur est fortement corrélé au Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 17 sur 59 précédent (IC1) et les cibles visées pour les IC1 et IC2 (60%) sont donc cohérentes. Notons que cette cible est ambitieuse. En effet, la très forte augmentation des effectifs étudiants constatée dans notre établissement traduit un meilleur accès à l’enseignement supérieur (pour le plus grand nombre) mais induit aussi une plus grande diversité des publics, parmi lesquels des étudiants en difficulté potentielle. Cette contrainte structurelle ne favorise pas en théorie cet objectif de réussite en licence en 3 ans, d’autant plus que l’ULR met en place une politique d’accompagnement individualisé qui peut se traduire par des parcours de licence en 4 ans, dans la logique des mécanismes incitatifs des PRL et autres IDEFI. Donc atteindre globalement 60% de réussite en 3 ans représente une performance supérieure à la situation actuelle. Précisions apportées par le SIES (mars 2011) Le taux de réussite en licence en trois ans a été calculé à partir de la cohorte d’étudiants (bacheliers et non-bacheliers) inscrits pour la première fois en première année de cursus licence à la rentrée universitaire N-3. Les inscrits en classes préparatoires aux grandes écoles en première année ont été retirés de la cohorte, afin de ne pas introduire de biais dans le calcul de la réussite. Ces étudiants ont été suivis pendant trois années consécutives afin d’observer leurs résultats au diplôme à la session N (année N-1, N). L’indicateur inclut tous les diplômes de licence, générale ou professionnelle. La cohorte porte sur des inscriptions administratives recensées dans le système d’information SISE. On ne sait donc pas si les étudiants concernés ont réellement suivi les études dans lesquelles ils étaient inscrits et s’ils se sont présentés aux examens. Ceci contribue à une diminution du taux de réussite en trois ans. Le parcours de ces étudiants au cours des trois années de leur cursus est très diversifié : seule la moitié d’entre eux poursuivent leur formation dans le même établissement, quelle que soit leur situation (passage dans l’année supérieure, redoublement, réorientation). Les autres étudiants poursuivent dans un autre établissement universitaire, quittent l’université pour se réorienter vers d’autres filières de l’enseignement supérieur ou abandonnent leurs études dans l’enseignement supérieur. Notre système d’information ne permet pas de distinguer les deux derniers cas. Compte tenu de cette diversité de parcours, la réussite en trois ans à la licence par établissement est difficile à appréhender : en particulier, à quel établissement faut-il attribuer la réussite des étudiants inscrits dans une université et qui seront diplômés trois ans plus tard dans une autre ? Trois manières complémentaires qui abordent la réussite par établissement sous différents angles sont donc proposées. 1 – Réussite calculée en prenant en compte l’établissement d’inscription en 1ère année (méthode 1). La réussite des étudiants est attribuée à l’université dans laquelle ils se sont inscrits initialement, quel que soit leur parcours ultérieur. Les étudiants qui ont changé tous les ans d’établissement ne sont pas pris en compte dans le calcul. Le choix de cet indicateur s’explique par le fait que la première année de L1 est très importante pour la poursuite des étudiants. 2 – Réussite en troisième année (L3) (méthode 2). Pour cet indicateur, on ne considère que la troisième année. Il correspond au rapport entre le nombre de diplômés et celui des inscrits en troisième année (L3). Le taux obtenu apporte des informations sur la réussite obtenue par les étudiants dans l’établissement où ils ont terminé leur scolarité, quel que soit leur parcours durant les deux premières années de leur scolarité. 3 - Réussite des étudiants qui ont effectué leur parcours dans la même université (méthode 3). Cet indicateur ne prend en compte que les étudiants qui ont effectué tout leur cursus de licence au sein du même établissement ou bien qui sont sortis du système universitaire en troisième année. Elle donne donc des informations sur les chances de réussite des étudiants dont un seul établissement a assuré la formation durant tout leur parcours. Ceux qui quittent l’université après la deuxième année sont considérés comme des étudiants que l’établissement n’a pas pu conduire jusqu’au diplôme de licence. Pour chacune de ces trois façons d’appréhender la réussite, un taux simulé par établissement a été calculé. Le taux simulé est le taux que l’on observerait pour un établissement si la réussite des différentes catégories d’étudiants entrant en licence était identique à celle obtenue au niveau national pour les mêmes catégories d’étudiants, définies par les critères suivants : - sexe - origine socioprofessionnelle des étudiants - la série du baccalauréat (littéraire, économique, scientifique, technologique STT, autre bachelier technologique, professionnel, dispensé du baccalauréat) - l'âge d'obtention du baccalauréat (« à l’heure ou en avance» (18 ans ou avant), « en retard d’un an » (19 ans), « en retard de plus d’un an » (après 19 ans) ; - ancienneté d'obtention du baccalauréat - le groupe disciplinaire d'inscription en L1 (Droit -sciences économiques- AES, Lettres- sciences humaines- langues, sciences- STAPS). Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 18 sur 59 Une régression logistique permet de mesurer, toutes choses égales par ailleurs, l’impact de ces critères sur la réussite à la licence. La définition d’un profil d’étudiant de référence permet d’estimer, dans le modèle, l’influence respective de chacune des caractéristiques décrites ci-dessus. L’étudiant de référence est un homme, dont les parents exercent une profession intermédiaire, titulaire d’un baccalauréat économique obtenu avec un an de retard, inscrit en L1 dès l’obtention de celui-ci dans le groupe disciplinaire droit sciences économiques. Par rapport à cet étudiant de référence, le classement par ordre d’importance des critères qui influent le plus sur les chances de succès place en premier la série du baccalauréat et l’âge d’obtention de celui-ci, dont l’effet est deux fois plus important que celui des autres variables. Le calcul du taux simulé permet de prendre en compte les effets de structure liés à la population étudiante de l’établissement concerné. Ils correspondent donc à la notion « toutes choses égales par ailleurs » bien que se limitant à ces six critères. Cependant, même avec le taux simulé tel qu’il est défini, on ne saurait rendre compte complètement des différences entre établissement en ce qui concerne la réussite à la licence. L’écart entre le taux de réussite simulé et le taux de réussite réel a également été calculé (c’est la valeur ajoutée). La valeur ajoutée permet de situer une université par rapport à la moyenne nationale une fois pris en compte les effets de structure. La prise en compte simultanée du taux réel et de son correspondant simulé permet une analyse plus objective des résultats à la licence par établissement. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 19 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS COMMUNS DE PERFORMANCE DE LA FORMATION 3 FLUX D’ETUDIANTS ENTRANT EN MASTER / PART DES NOUVEAUX ETUDIANTS ENTRANTS DANS L’ETABLISSEMENT Action Objectif DGESIP Pôle Formation initiale et continue de niveau master Répondre aux besoins de qualifications supérieures (objectif 1, programme 150) Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure Ratio en % Années universitaires 2009-2010, 2010-2011 et 2016-2017 Inscrits et diplômés de cursus M –Champ SISE universités Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des données de base Source Mode de calcul Etablissement d’origine des entrants en M1 et M2 - Effectifs d’inscrits en M1 et M2 (inscriptions principales) MESR/SIES, Système d’Information sur le Suivi de l’Etudiant (SISE) Etablissement d’origine des entrants en M1 : Pour chaque année considérée : nombre d’étudiants inscrits en M1 (redoublants exclus) absents de l’établissement l’année précédente / nombre total des étudiants inscrits dans l’établissement en M1, (redoublants exclus) x 100 En M1 sont pris en compte les inscrits en : maîtrise, master LMD, master IUP. Etablissement d’origine des entrants en M2 : Pour chaque année considérée : nombre d’étudiants inscrits en M2 (redoublants exclus) absents de l’établissement l’année précédente / nombre total des étudiants inscrits dans l’établissement en M2, (redoublants exclus) x 100 En M2 sont pris en compte les inscrits en : master LMD, DEA, DESS. A noter : les agrégats M1 et M2 ont été homogénéisés en 2009, ce qui peut expliquer d’éventuels écarts avec les données calculées antérieurement. Année Part des étudiants non-présents en n-1 dans l’établissement parmi les nouveaux inscrits en M1 Toutes universités Part des étudiants non-présents en n-1 dans l’établissement parmi les nouveaux inscrits en M2 Toutes universités 2009 - 2010 2010 - 2011 Effectif de l’année 648 758 Etudiants non présents en n-1 262 333 Cible 2017 2009 - 2010 2010 - 2011 2009 - 2010 2010 - 2011 117 004 124 311 619 774 47 345 53 326 210 335 40,5 42,9 33,9 43,3 40 105 125 128 680 42 980 50 888 Leviers d’action : Les masters sont directement en lien avec la recherche. Le développement qualitatif et quantitatif important et la stratégie globale de l’ULR en la matière sont donc de nature à accroître l’attractivité de nos masters. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR 40,4 43,9 40 Cible 2017 2009 - 2010 2010 - 2011 Taux Page 20 sur 59 40,9 39,5 Commentaires de l’université de La Rochelle : Compte tenu des caractéristiques de l’établissement – petite université qui assure parfaitement son rôle de proximité (voir IC1 et IC2) – le risque serait évidemment qu’il limite son action et son influence à l’échelle de son territoire. Il est donc essentiel que l’ULR consolide un niveau d’attractivité nationale et internationale. A cet égard, l’ULR montre qu’elle s’inscrit dans la moyenne nationale en matière de mobilité entrante au niveau master. C’est en soi un très bon résultat eu égard au positionnement de l’établissement. La cible est donc de stabiliser la mobilité entrante à 40% en atténuant la variabilité interannuelle que l’on a pu observer ces dernières années. La montée en puissance de nos unités de recherche devrait nous permettre d’y parvenir. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 21 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS COMMUNS DE PERFORMANCE DE LA FORMATION 4 EVALUATION DES ENSEIGNEMENTS Action Objectif DGESIP Pôle Formation initiale et continue de niveau licence et master Améliorer la réussite à tous les niveaux de formation (objectif 2, programme 150) Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure Ratio en % Années universitaires 2010-2011 ; cible 2016-2017 Enseignements dispensés en L en M et dans les autres diplômes (hors licences professionnelles) Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des données de base Source : Mode de calcul % de mentions de L et de M dont les enseignements font l’objet d’une évaluation de la part des étudiants Etablissement (nombre de mentions de L évaluées /nombre total des mentions) X 100 (nombre de mentions de M évaluées /nombre total des mentions) X 100 Données de l’université Nombre de mentions de L dans l’établissement Niveau L Hors LP 14 Effectifs d’étudiants inscrits en L 3842 Part des mentions de L faisant l’objet d’une évaluation 100% Effectifs d’étudiants inscrits dans une formation de L évaluée 3842 Taux de réponse à l’enquête (nombre de répondants/effectif total dans les mentions évaluées*100) 12% Nombre de mentions de M dans l’établissement Effectifs d’étudiants inscrits en M Niveau M Hors Part des mentions de M faisant l’objet d’une évaluation ingénieurs, IEP Effectifs d’étudiants inscrits dans une formation de M évaluée Taux de réponse à l’enquête (nombre de répondants/effectif total dans les mentions évaluées*100) Nombre de diplômes concernés Autres diplômes DUT, LP 2010-2011 Cible 2017 100% 33% 9 1708 100% 100% 1708 14% 40% 17 Effectifs d’étudiants inscrits 1336 Part des diplômes faisant l’objet d’une évaluation 100% Effectifs d’étudiants inscrits dans une formation Autres diplômes évaluée 1336 Taux de réponse à l’enquête (nombre de répondants/effectif total dans les mentions évaluées*100) 49% 100% 75% Leviers d’action : Travailler sur la communication et sur les modalités de mise en œuvre des procédures d’évaluation. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 22 sur 59 Commentaires de l’université de La Rochelle : L’indicateur est nommé « évaluation des enseignements » mais le texte de référence cité ici est celui rendant obligatoire la mise en place d’un processus d’évaluation des formations. Au sein de l’Université de La Rochelle, deux types d’enquête sont menées, l’évaluation des enseignements et l’évaluation des formations. Les données communiquées correspondent à l’enquête « évaluation des formations ». Un effort particulier sera fourni pour atteindre les cibles qui sont significativement supérieures à la situation actuelle. Précisions pour la licence L’article 19 de l’arrêté licence du 1er août 2011 fixe les motifs et les conditions générales de l’évaluation des enseignements : « Au sein des établissements, des dispositifs d'évaluation sont mis en place pour chaque formation ou pour un groupe de formations, notamment à travers la constitution de conseils de perfectionnement réunissant des représentants des enseignants, des étudiants et du monde socio-professionnel. Une évaluation des formations et des enseignements est également organisée au moyen d'enquêtes régulières auprès des étudiants. Ces dispositifs favorisent le dialogue entre les équipes de formation, les étudiants et les employeurs potentiels. Ils éclairent les objectifs de chaque formation, contribuent à en faire évoluer les contenus ainsi que les méthodes d'enseignement afin de faciliter l'appropriation des savoirs, des connaissances et des compétences et permettent d'en améliorer la qualité. Cette évaluation est organisée dans le respect des dispositions des statuts des personnels concernés. Les résultats des évaluations font l'objet d'un débat au sein du conseil de la composante concernée et du conseil des études et de la vie universitaire. » Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 23 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEUR COMMUN DE PERFORMANCE DE LA RECHERCHE 5 REVENUS CONSOLIDES DE LA VALORISATION DE LA RECHERCHE Action Objectif DGESIP Pôle 6 à 12 Contribuer à l’amélioration de la compétitivité nationale par le transfert et la valorisation des résultats de la recherche (objectif n°8, programme 150) Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure K€ 31/12/N Etablissements d’enseignement supérieur et structures externes chargées de la valorisation de leurs activités recherche Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des données de base Etablissement : établissement d’enseignement supérieur ayant qualité d’opérateur et participant à l’exécution du programme 150 dans le cadre d’une contractualisation avec le MESR. Structure externe : structure (établissement public, association, dispositif mutualisé ou filiale) chargée par l’établissement public, agissant seul ou avec d’autres établissements (dans le cadre d’un groupement ad hoc, d’un PRES, etc.), de gérer tout ou partie des activités de valorisation. Organisme : EPST partenaires des établissements au sein des unités mixtes et gérant potentiellement une part des ressources de valorisation Données financières au 31/12/N de chaque année considérée : - recettes générées par les contrats de recherche (hors financement public sur projet - FPP) - recettes générées par les prestations de service (études et prestations recherche hors contrats) - recettes générées par les revenus de la propriété intellectuelle Source : Mode de calcul Responsable de l’indicateur Date de disponibilité de l’indicateur Comptes financiers des établissements d’enseignement supérieurs Bilans financiers annuels des structures externes et des organismes Montants déclarés par catégories de ressources citées plus haut issus du compte financier de l’établissement, augmenté des ressources globales des structures externes concernées et des ressources éventuellement gérées par les organismes pour le compte d’unités mixtes de l’établissement. Les ressources des structures externes mutualisées ne sont pas ventilées par établissement faute de pouvoir déterminer a priori la bonne clé de répartition. Cependant, les établissements sont invités à commenter les résultats et le cas échéant à expliciter leur niveau de participation au dispositif mutualisé y compris si la valorisation est gérée au niveau du PRES. DGRI – DGESIP – Pôle de contractualisation Mars de chaque année N pour N-1 Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 24 sur 59 Ressources en K€ 2010 1- Périmètre établissement Contrats hors FPP Prestations Redevances PI Total 1 506 264€ 332 476 € 5 500 € 1 844 240 € 2- Périmètre structure(s) externe(s) propre(s) à l’établissement 3- Périmètre structure(s) externe(s) mutualisées 0€ 133 339 € 0€ 133 339 € ND ND ND ND 4- Périmètre «organismes» ND ND ND ND Total 2010 1 977 579 € Cible 2017 2 200 000 € Evolution en % 11.2% Leviers d’action : Redéfinition des missions de la filiale ULR Valor, sur la base d’un projet de développement reposant sur trois pôles d’activité : valorisation de la recherche de l’Université, expertises et prestations vers le monde socio-économique, accompagnement de projets de développement économique. La participation à la nouvelle SATT Grand Centre doit permettre de générer des ressources supplémentaires à l’horizon 2017, mais celles-ci ne peuvent être chiffrées d’ores et déjà tant les capacités d’intervention de cette nouvelle entité sur quatre régions sont difficilement estimables à ce jour. Commentaires de l’université de La Rochelle : Le périmètre retenu exclut les fonds publics conformément à la définition de l’indicateur ainsi que les recettes gérées par le CNRS pour notre unité mixte. Concernant les recettes de l’unité mixte, elles s’élèvent pour l’année 2010 à 710K€ au total (fonds publics et privés confondus). La cible est portée à 2,2 M€ sachant qu’une nouvelle unité (LaSIE) vient d’être labellisée CNRS et qu’une partie des flux financiers sera réorientée vers cet EPST, ce qui revient donc in fine à envisager une augmentation plus importante de notre performance. Précisions – Remarques importantes : Les financements publics sur projet (FPP), par exemple en provenance de l’ANR, du FUI, de l’UE (PCRDT), ou des collectivités territoriales sont exclus du périmètre de l’indicateur. Cet indicateur financier ne rend compte que partiellement de la mission de valorisation de la recherche confiée aux établissements et de la dynamique en place. Un tableau de bord de suivi des résultats construit conformément à la volonté de la CPU, devra permettre de faire évoluer cet indicateur de même que la diffusion des analyses conduites sur la base de l’enquête Curie. En outre les universités sont invitées à compléter cet indicateur d’éventuels commentaires ou compléments d’information. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 25 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEUR COMMUN DE PERFORMANCE DE LA DOCUMENTATION 6 VARIATION DES HORAIRES D’OUVERTURE DU SCD OU DU SICD Action Objectif DGESIP Pôle Bibliothèques et documentation Optimiser l’accès aux ressources documentaires pour la formation et la recherche par l’augmentation des horaires d’ouverture (objectif n°5 programme 150) Description de l’indicateur Unité de mesure Pourcentage Date et source de la Année universitaire mesure Sont prises en compte dans le calcul de la cible les bibliothèques universitaires et les bibliothèques intégrées du SCD ou du SICD, et répondant également aux deux critères suivants : Champ de la mesure - ouvertes au moins 45 heures par semaine ; - dotées de plus de 100 places assises. Les bibliothèques non intégrées au SCD ou au SICD sont exclues du champ de la mesure. Elaboration et qualités de l’indicateur Pourcentage d’augmentation globale de l’ouverture hebdomadaire dans l’ensemble des bibliothèques universitaires et intégrées répondant aux critères définis dans la rubrique « Champ de la mesure », entre l’année 2010 et l’année d’échéance du présent contrat. Nature précise des La moyenne est calculée sur la base des horaires en vigueur durant la plus grande partie de l’année pour données de base chaque bibliothèque prise en compte dans le calcul. Les extensions ou réductions ponctuelles ne doivent donc pas être prises en compte dans ce calcul ; elles peuvent en revanche être signalées dans la partie « Commentaires » comme élément d’appréciation complémentaire. Vd (valeur de départ) est l’ouverture hebdomadaire moyenne des bibliothèques pour l'année 2010, en nombre d'heures. Va (valeur d’arrivée) est l’ouverture hebdomadaire moyenne des bibliothèques pour l'année de Mode de calcul l’échéance du contrat, en nombre d'heures. La cible correspond à la marge de progression réalisée, exprimée en pourcentage, et calculée de la manière suivante : T = (Va-Vd) / Vd x 100 Compte tenu de sa situation propre et des orientations stratégiques définies pour le contrat quinquennal, l’Université se donne les objectifs suivants : Moyenne d’ouverture hebdomadaire des bibliothèques universitaires et 61,5 heures bibliothèques intégrées en 2010 (Vd) Moyenne d’ouverture hebdomadaire des bibliothèques universitaires et 61,5 heures bibliothèques intégrées à l’échéance du contrat (Va) Variation (Va-Vd) 0 Cible 2017 (%) 0% Leviers d’action : Une politique documentaire en forte interaction avec la politique numérique de l’établissement. Commentaires de l’université de La Rochelle : Le service est assuré en totalité pendant l'horaire d'ouverture de la BU, jusqu'à 20H et le samedi matin : il n’y a donc pas de service dégradé du fait de la présence de plusieurs personnels titulaires dont au moins deux agents de catégorie A ou B. La Médiathèque Michel-Crépeau (BM classée à vocation régionale), mitoyenne de la BU, est ouverte le samedi aprèsmidi, ce qui ajoute à l'horaire hebdomadaire de la BU 4 heures d'accessibilité à des places de travail, à un fonds documentaire et à des équipements. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 26 sur 59 Il faut noter aussi un contexte de baisse de fréquentation et une priorité donnée au développement des ressources numériques. Dans de telles conditions, nous proposons de ne pas modifier le nombre d’heures d’ouverture hebdomadaire. Modalités d’interprétation de l’indicateur L’indicateur est destiné à mesurer l’effort accompli par l’établissement pour améliorer l’accessibilité des ressources documentaires à son public. Le « Plan Renouveau des Bibliothèques » lancé en 2010 par le MESR a souligné l’importance de l’extension des horaires dans la réalisation de cet objectif. Pour autant, l’histoire et les spécificités propres à chaque établissement peuvent impliquer des stratégies différenciées en la matière, telles que : - privilégier une amélioration des services offerts par la bibliothèque à une augmentation des horaires (dans le cas, par exemple, d’une bibliothèque déjà très ouverte) - maintenir le niveau d’ouverture hebdomadaire mais augmenter le nombre de jours d’ouverture dans l’année (périodes de vacances, notamment) - concentrer les efforts sur un ou deux sites stratégiques en proposant une extension significative des horaires, ou au contraire, chercher à harmoniser les horaires des différentes sections du SCD. Le contrat peut également être marqué par des regroupements de bibliothèques ou des fermetures temporaires de sites, voire des constructions de nouvelles bibliothèques, constituant autant d’éléments susceptibles de faire varier la politique poursuivie en matière d’horaires d’ouverture. L’établissement est donc invité à donner en commentaires toutes les précisions ou compléments d’information qui lui paraîtraient utiles à une juste interprétation de la cible, notamment en ce qui concerne les bibliothèques restant à intégrer. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 27 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS COMMUNS DE PERFORMANCE DU PILOTAGE 7 ENDORECRUTEMENT DES ENSEIGNANTS-CHERCHEURS / BILAN ET PREVISION Action Objectif DGESIP Pôle Pilotage opérationnel des établissements Produire des connaissances scientifiques au meilleur niveau international et accroître le dynamisme des équipes de recherche (Objectif n°7, programme 150) Description de l’indicateur Unité de mesure Effectifs physiques d’enseignants-chercheurs titulaires et stagiaires Date de la mesure Recrutements avec affectation au cours de l’année civile considérée Champ de la mesure Toutes disciplines du CNU hors médecine et odontologie Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des Pour les MCF, le recrutement interne correspond d’abord aux personnes ayant soutenu leur doctorat ou données de base et le titre jugé équivalent dans l’établissement mais ne comprend pas, dans le cas d’une mutation, le MCF Source titulaire exerçant précédemment dans l’établissement. Pour les PR, le recrutement interne recense seulement les personnes qui occupaient précédemment, en qualité de titulaire, un emploi de MCF dans l’établissement (les PR en première affectation après concours d’agrégation ne sont pas comptabilisés). Mode de calcul Le numérateur dénombre les recrutements internes. Le dénominateur comprend tous types de concours d’enseignants-chercheurs titulaires. 2008 2009 2010 Effectifs en recrutement interne 0 2 1 Cumul 2008, 2009, 2010 3 Effectifs recrutés (total) 5 7 6 18 % 0% 29% 17% 17% Effectifs en recrutement interne 0 0 2 2 Effectifs recrutés (total) 4 2 3 9 % 0% 0% 67% 22% Recrutement interne d’enseignants-chercheurs ou endorecrutement Maîtres de conférences Professeurs des universités Cible 2017 33% 66% Leviers d’action : Vérification de la prise en compte de la politique de l’établissement dans l’élaboration et la mise en œuvre de la campagne d’emplois. Commentaires de l’université de La Rochelle : L’ULR est une jeune université (création en 1993) qui voit aujourd’hui sa première génération de cadres parvenir à l’âge de la promotion de MCF vers PR. Ces enseignants-chercheurs ont déjà pris ou sont en situation de prendre de grandes responsabilités (responsables d’équipe ou directeurs de laboratoire de recherche). L’université a déjà beaucoup investi pour leur permettre d’évoluer dans leur carrière. Il serait donc particulièrement pénalisant de les laisser partir pour prendre des responsabilités dans d’autres universités concurrentes sur les mêmes priorités en matière de recherche. C’est un enjeu crucial de compétitivité de l’établissement et de sa capacité à récolter les fruits de ses investissements en matière de ressources humaines. C’est la raison pour laquelle l’ULR se donne comme cible un taux maximal d’endorecrutement de 66% pour les professeurs, dans la période charnière de l’histoire de l’université qui s’annonce. Cette cible devra baisser par la suite. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 28 sur 59 En ce qui concerne le recrutement des maîtres de conférences, la situation est différente : l’ULR n’autorise pas le recrutement de docteurs ayant fait leur thèse en son sein et n’ayant pas au moins plusieurs années d’expérience internationale, de préférence dans des laboratoires de visibilité internationale. Dans ces conditions, l’ULR considère qu’il ne s’agit pas d’un endorecrutement bien que l’indicateur IC7 le comptabilise comme tel. Prenant ici en considération la définition imposée pour cet indicateur commun, la cible est donc fixée à 33%, alors qu'elle serait presque nulle en se basant sur la définition qu'en a notre établissement. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 29 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS COMMUNS DE PERFORMANCE DU PILOTAGE 8 QUALIFICATION DU DISPOSITIF D’AUTOEVALUATION MIS EN ŒUVRE PAR L’ETABLISSEMENT Action Objectif DGESIP Pôle Pilotage opérationnel des établissements Optimiser la gestion des établissements de l’enseignement supérieur et l’évolution du patrimoine immobilier (objectif 6, programme 150) Description de l’indicateur Unité de mesure Qualification en 4 niveaux, de 0 à 3, du dispositif mis en œuvre par l’établissement pour l’autoévaluation de sa performance Annuelle Etablissement Date de la mesure Champ de la mesure Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des données de base et Source La situation de l’établissement relève des cotations suivantes : Cote 0 : il n’y a pas d’action ou de projet significatif contribuant à ce but Cote 1 : un plan d’action a été défini et mis en œuvre Cote 2 : la définition d’un plan d’action, sa mise en œuvre, le suivi et l’adaptation de sa réalisation s’intègrent dans un cycle permanent (processus d’amélioration continue) Cote 3 : le dispositif d’assurance qualité est validé par une instance externe reconnue. La qualification du dispositif d’auto-évaluation est réalisée pour les trois secteurs suivants : Politique de formation, Politique scientifique, Management de l’établissement au service de ses missions Mode de calcul Cotation 0 1 2 Politique de formation Politique scientifique 2011 2011 Cible 2017 Cible 2017 X X X Management de l’établissement au service de ses missions 2011 Cible 2017 X X X 3 Précisions : Les cotations de 0 à 3 sont inspirées du "Common Assessment Framework" pour l'évaluation des moyens mis en œuvre par les organismes dans le cadre du développement de l'auto-évaluation dans les fonctions publiques européennes. L’interprétation est réalisée lors du dialogue contractuel quadriennal entre chaque établissement et le ministère. Commentaires l’université de La Rochelle : Dans le secteur de la formation, des certifications extérieures sont recherchées : l’Institut de Gestion a déjà obtenu une certification Qualicert ; certains de nos maters sont aujourd’hui inscrits dans le cadre de la labellisation « Master en Ingénierie » du réseau FIGURE et seront soumis à un processus de certification. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 30 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS COMMUNS DE PERFORMANCE DU PILOTAGE 9 TAUX D’OCCUPATION DES LOCAUX Action Objectif DGESIP Pôle Pilotage opérationnel des établissements Optimiser la gestion et l’évolution du patrimoine immobilier (objectif 6, programme 150) Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure Annuelle Etablissement Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des données de base et Source Mode de calcul Le taux d’occupation des locaux de l’établissement est établi en deux étapes : - calcul du taux d’occupation pour chaque type de salles (amphithéâtres et salles banalisées) en fonction de la formule présentée plus bas ; - détermination du taux d’occupation de l’établissement à partir de la moyenne pondérée des taux d’occupation de chaque type de salles par leurs surfaces respectives. Le calcul du taux d’occupation pour un type de salles correspond au rapport entre l’occupation « réelle » et le quota horaire de référence (occupation théorique) où l’occupation « réelle » est le rapport de nombre d’heures d’utilisation annuelle d’un type de salles avec le nombre de salles. Il se résume par la formule suivante : T = (U / S) H T : taux d’occupation d’un type de salles U : nombre d’heures d’utilisation d’un type de salles, S : nombre de ce même type de salles H : quota horaire de référence (1 120 h) A titre d’exemple : Un établissement disposant de 66 salles banalisées (5 100 m²) qu’il utilise 58 195 h par an, présente un taux d’occupation de : (58 195 h / 66 salles) soit 79 % pour les salles banalisées 1 120 h Ce même établissement présente un taux d’occupation de ses amphithéâtres (3 000 m²) de 62 % pour ses amphithéâtres ; Son taux d’occupation est de : (62 % x 3 000 m²) + (79 % x 5 100 m²) = 73 %. 8 100 m² Précisions : Responsable de l’indicateur et fournisseur des données : DGESIP pôle B2 Cet indicateur est construit en référence à l’indicateur du programme 150 n° 6.4 « Taux d’occupation des locaux ». Ce taux est estimé à 69,9% en réalisation 2009 (PAP 2012) à partir des données recueillies par enquête auprès des établissements. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 31 sur 59 Occupation des locaux Situation actuelle (2011) Taux d’occupation attendu en 2017 Nombre d’heures d’utilisation Nombre de salles Total surfaces SHON Taux d’occupation Amphithéâtres 26 859 15 5 047 160 % n. d. Salles banalisées 75 983 142 13 200 48 % n. d. Total 102 842 157 18 247 79 % 80% Leviers d’action : - Mise en œuvre du schéma directeur immobilier (SDI) : suppression / destruction des locaux modulaires (- 8 salles banalisées) et gel de construction de salles d’enseignement. - Optimisation de l’usage des locaux existants avec un élargissement des amplitudes d’utilisation et une meilleure mutualisation des salles en s’appuyant sur un gestionnaire de planning unique. Commentaires de l’université de La Rochelle : Le taux pondéré demandé selon le mode de calcul est de 79%, ce qui place l’université au-dessus de la moyenne nationale, avec une cible fixée à 80% à l’issue du contrat. A noter que le taux d’occupation résulte du calcul théorique suivant : par hypothèse, les CM sont affectés dans les amphithéâtres, les TD dans les salles banalisées, d’où un taux > à 100% pour les amphithéâtres (ne correspondant pas à la réalité de leur occupation). Par conséquent, il s’avère impossible de définir des cibles valables séparément pour les amphithéâtres et les salles banalisées puisque les taux d’occupation mentionnés sont théoriques, seule l’occupation globale étant à ce jour pertinente. Comme précisé supra, le déploiement envisagé d’un gestionnaire de planning unique devrait nous permettre d’avoir une vision plus fine des différents espaces utilisés et de progresser dans l’optimisation de leur usage. Le nombre d’heures d’utilisation est l’addition des heures de charges d’enseignement et des usages autres (manifestations, colloques, locations) : données N-1. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 32 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS COMMUNS DE PERFORMANCE DU PILOTAGE 10 QUALITE DU PILOTAGE EN MATIERE DE GESTION IMMOBILIERE Action Objectif DGESIP Pôle Pilotage opérationnel des établissements Optimiser la gestion et l’évolution du patrimoine immobilier (objectif 6, programme 150) Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure Indice de satisfaction défini entre 0 et 3 Annuelle Ensemble des dispositifs au sein de l’établissement Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des données de base et Source 0 = l'établissement ne dispose d'aucun outil de gestion immobilière et fait preuve d'une connaissance insatisfaisante de son patrimoine immobilier, tant en terme quantitatif (ex. difficulté à renseigner l’enquête surfaces pour l’ensemble de ses implantations) que qualitatif (difficulté à qualifier l’état du bâti de l’ensemble de ses bâtiments). 1 = l'établissement dispose d'au moins un outil opérationnel de gestion immobilière (schéma directeur ou logiciel de gestion) et fait preuve d'une bonne connaissance de son patrimoine immobilier, tant en terme quantitatif (ex. enquête surfaces correctement renseignée) que qualitatif (ex. état du bâti suffisamment précis et cohérent avec l’enquête surfaces). 2 = l'établissement dispose d'outils complémentaires et opérationnels de gestion immobilière (schéma directeur et logiciel de gestion) et fait preuve d'une bonne connaissance de son patrimoine immobilier, tant en terme quantitatif que qualitatif. 3 = l'établissement assure un pilotage cohérent et structuré de sa politique immobilière en articulant l'intervention de ses services avec l'utilisation de ses outils de gestion immobilière. Mode de renseignement de l’indicateur Cocher les cases correspondant à la situation de l’établissement Indice de satisfaction 0 1 2 3 Qualité du pilotage de la politique immobilière Situation actuelle Cible en 2017 X X Leviers d’action : Nous nous appuierons sur la démarche explicitée dans le Schéma Pluriannuel de Stratégie Immobilière (SPSI) et sur le Schéma Directeur Immobilier (SDI). Commentaires de l’université de La Rochelle : L’établissement ayant prévu dans le contrat de se préparer au processus de dévolution du patrimoine, la cible fixée ici est en adéquation avec cet objectif. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 33 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS COMPLEMENTAIRES DE PERFORMANCE 11 DGESIP Pôle DEVELOPPEMENT DE LA FORMATION CONTINUE Action Objectif Formation continue - Faire de l’enseignement supérieur un outil performant de formation tout au long de la vie (Prog. 150, objectif 3), - Optimiser l’offre de formation et la gestion des établissements (Prog. 150, objectif 6, action 2 « accroître les ressources propres »). Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure Source 1 – heures-stagiaires (les heures-stagiaires sont le cumul des heures suivies par chaque personne en formation) 2 – nombre de stagiaires 3 – nombre de certifications (diplôme, titre à finalité professionnelle ou certificat de qualification professionnelle) 4 – millier d’Euros Année civile précédant la première année du contrat ; dernière année civile du contrat Prestations de formation continue, diplômante ou non, assurées par l’établissement. L’apprentissage, qui relève de la formation initiale, est exclu du champ. Données fournies par l’établissement S : Situation actuelle année de référence 2010 C : Cible 2016 ou 2017 Taux de croissance attendu (C-S)/S*100, en % 234 251 305 000 30% 2- Nombre de stagiaires 709 922 30% 3-Nombre de certifications délivrées 226 260 15% 800 000 € 92% 1- Volume d’heures stagiaires Dont certifications par la Validation des Acquis de l’Expérience 4- Recettes de la formation continue 9 416 686€ Précisions : Cette fiche peut être adaptée en fonction des orientations retenues dans le contrat. Il n’est pas obligatoire de déterminer une cible chiffrée pour tous les items proposés (colonne « C ») : seuls ceux qui correspondent aux priorités de l’établissement doivent faire l’objet d’une cible. En revanche, pour une meilleure compréhension de la situation de l’établissement, il est demandé de compléter tous les items de la colonne « S ». Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 34 sur 59 La notion de certification est ici entendue dans un sens large : un diplôme, un titre ou un certificat inscrit ou non au RNCP (répertoire national des certifications professionnelles) accréditant qu'une personne est capable d'appliquer des connaissances, des habilités, des attitudes et comportements nécessaires à l'exercice d'une activité professionnelle donnée. Commentaires Université de La Rochelle : Conformément à ses orientations stratégiques en matière de relations avec le monde de l’entreprise, l’ULR a décidé d’augmenter significativement son activité liée à la formation continue et espère atteindre un doublement de ses recettes à l’échéance du contrat. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 35 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS COMPLEMENTAIRES DE PERFORMANCE 12 DGESIP Pôle QUALITE DU PILOTAGE FINANCIER Action Pilotage financier de l’établissement Objectif Optimiser la qualité du pilotage financier de l’établissement Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure Source Objectif I-1 (sincérité des prévisions budgétaires) : %. Autres objectifs : réalisation de l’objectif mesurée à l’aide d’une cote. 0 = l'établissement ne dispose d'aucun outil de suivi. 1 = l'établissement a effectué l’action préconisée ou dispose d'au moins un outil centralisé opérationnel 2 = l'établissement dispose d'outils complémentaires et opérationnels Année civile précédant la première année du contrat ; dernière année civile du contrat Mise en œuvre du dispositif au sein de l’établissement Données fournies par l’établissement I - Inscrire l’établissement dans une démarche de performance dans le pilotage budgétaire : Types d’actions prévues 2011 Cible 2017 Dépenses de fonctionnement : 90 % Dépenses d’investissement : 62 % Dépenses de fonctionnement : 95 % Dépenses d’investissement : 70 % 1 2 1 2 2 2 2011 Cible 2017 1- Fiabiliser l’inscription des actifs immobilisés et les stocks au bilan 1 2 2 –Mettre en place un dispositif de contrôle interne comptable et budgétaire (cartographie des risques) 1 2 1 - Améliorer la sincérité des prévisions budgétaires par la mise en place d’un dialogue de gestion dans une logique : objectifs / moyens / résultats. L’indicateur mesure les taux d’exécution (CF/ Budget modifié). 2 - Se doter d’outils permettant un suivi financier infra annuel, pour accompagner son effort de maîtrise des taux d’exécution, l’établissement devra se doter de tableaux de bord permettant le suivi infra annuel des principaux agrégats de gestion : résultat, CAF, variation du fonds de roulement 3 - Elaborer les annexes relatives aux opérations pluriannuelles (et notamment plan pluriannuel d’investissement) ; 4 - Se doter des outils de pilotage et de gestion de la masse salariale, la masse salariale devra faire l’objet d’un suivi particulier : tableaux prévisionnels et plan de suivi infra-annuel adaptés (l’écart entre le budget primitif approuvé et l’exécution finale devrait être comprise entre -0.5 et +0.5%) II - Sécuriser les processus comptables et consolider la qualité comptable : Types d’actions prévues Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 36 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS COMPLEMENTAIRES DE PERFORMANCE 13 DGESIP Pôle ACCROISSEMENT DES RESSOURCES PROPRES Action Objectif Accroissement des ressources propres (Prog. 150, 6.2) Optimiser l’offre de formation et la gestion des établissements (objectif 6 du programme 150) Description des indicateurs Unité de mesure Millier d’euros (K€) Date de la mesure Année civile précédant la 1ère année du contrat ; dernière année civile du contrat Champ de la mesure Ressources financières hors subvention pour charge de service public, à savoir : 1. les autres subventions : collectivités locales, Union européenne, autres subventions de fonctionnement 2. les ressources de fonctionnement : droits d'inscription, redevances sur prestations intellectuelle, contrats de recherche (y compris les financements de l'ANR relatifs ou non aux investissements d'avenir) 3. les recettes de la formation continue 4. la taxe d'apprentissage 5. les autres prestations (études et travaux) 6. les dons et legs assimilés 7. les autres recettes encaissables Sources Données fournies par l’établissement 2010 Subventions (1) Ressources de fonctionnement (2) Dont ANR hors investissements d’avenir Dont investissements d’avenir (le cas échéant) Recettes de la formation continue (3) Taxe d’apprentissage (4) Autres (5, 6, 7) Total 2011 Cible 2016 ou 2017 4 625 580€ 1 138 609€ 416 686€ 452 275€ 2 801 269€ 9 434 419€ 800 000€ 750 000 € Précisions : Cette fiche est destinée à fixer des objectifs d’évolution des ressources en fonction des orientations retenues dans le contrat. La classification des ressources est conforme à l’instruction comptable et budgétaire M 9-3. Des cibles peuvent être fixées pour la totalité des catégories de ressources, ou pour une partie d’entre elles seulement, selon les priorités de l’établissement. Leviers d’action : Mise en place d’une politique volontariste en matière de Relations Université-Entreprises (RUE) qui constitue l’un des piliers du modèle d’université que souhaite incarner l’ULR. Cette politique s’appuie sur la création d’une commission RUE dont l’objectif est de mettre en cohérence au sein de l’établissement les acteurs de la RUE et de définir des objectifs dont les principaux sont la professionnalisation de la collecte de la taxe d’apprentissage et le développement des prestations de formation continue, pour diversifier les ressources de l’établissement. La création d’un CFA régional enseignement supérieur sera aussi un levier essentiel pour promouvoir l’apprentissage et augmenter les ressources dans ce secteur, pas seulement en matière de retour de taxe d’apprentissage, mais aussi en Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 37 sur 59 termes de financement des formations par la Région Poitou-Charentes qui fera passer sa contribution de 20 à 40% sous forme de subventions. Commentaires de l’Université de La Rochelle : 1 = 74115 (CPER), 7418 (autres Min), 744*, 7488, la subvention région pour la formation continue est à retirer 2=701+7061* 3= déclaration enquête n°6 4=7481 5=7062*, 7066*, 7068*, 708* 6=74601 7=76*, 77* Les comptes 75* (produits de gestion courante) et 78* (reprises sur provisions) ne sont pas intégrés. Les ressources liées au contrat de recherche ne sont pas toutes classées en 2 (comme demandé) mais en 1 car sont classées en « subventions » et donc confondues avec d’autres subventions. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 38 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS COMPLEMENTAIRES DE PERFORMANCE 14 PILOTAGE DU SYSTEME D’INFORMATION ET DES SERVICES NUMERIQUES AUX USAGERS Action Objectif DGESIP Pôle Pilotage du système d’information et des services numériques Optimiser l’offre de formation et la gestion des établissements d’enseignement supérieur (objectif 6, programme 150) Description de l’indicateur Unité de mesure Cote chiffrée de 0 à 5 0. Pas d’action significative, pas de formalisation, pas de démarche engagée, faiblesse des moyens mobilisés. 1. Quelques actions isolées, amorce de stratégie, première formalisation, moyens mobilisés non significatifs, peu de services opérationnels. 2. Résultats encourageants, démarche mise en place mais insuffisamment engagée, formalisation insuffisante, moyens mobilisés mais partiellement, quelques services opérationnels mais insuffisamment efficients. 3. Résultats assez bons, stratégies qui s’affirment, formalisation des dispositifs mais encore incomplètement opérationnels, des actions significatives mais insuffisamment portées, quelques services efficients. 4. Résultats bons, stratégies définies, formalisation claire et fonctionnement en cours de réalisation, moyens analysés et en cours de développement, services en place mais usages encore à développer, début de mutualisation. 5. Résultats excellents, stratégie et démarche globales, instances décisionnelles en place, organisation et moyens adaptés, opérationnalité et efficience, actions de mutualisation et ouverture au niveau territorial, national, international. Date de la mesure Champ de la mesure Situation actuelle : année précédant la première année du contrat Cible : dernière année du contrat Mise en œuvre du dispositif au sein de l’établissement Mode de renseignement Les notes chiffrées constituent, pour chacun des cinq thèmes stratégiques, la synthèse d’un certain de l’indicateur nombre d’indicateurs opérationnels dont la liste figure en commentaire. Thèmes Situation actuelle (2011) Cible 2017 5 5 4 5 3- Numérique au service de la formation des étudiants 4 5 4- Politique de gestion des ressources numériques dédiées à la formation et à la diffusion de la culture scientifique et technique 4 5 5 – Conduite du changement et politique d’accompagnement à l’usage pédagogique du numérique 4 5 1- Gouvernance du système d’information et politique numérique 2- Couverture fonctionnelle et usages des services numériques Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 39 sur 59 Commentaires Note de situation Cible 5 5 5 5 5 5 5 5 4 5 Evaluation des usages et satisfaction des usagers Thème 2 : La couverture fonctionnelle et l’usage des services numériques Services de diffusion d’information ciblée et outil de travail de groupe 4 5 4 5 5 5 Services à l’étudiant Services e-pédagogie Services d’insertion professionnelle et de suivi des étudiants Formation et accompagnement à l’usage de l’ENT et des services 4 4 3 5 5 5 5 5 Théme 3 : le numérique au service de la formation des étudiants : 4 5 Développement et certification des compétences numériques des étudiants, notamment par les C2I (niveau 1 et 2) 4 5 Usage de l'environnement numérique pédagogique par les étudiants 4 5 Usage de l'environnement numérique pédagogique par les enseignants Formation à distance Évaluation des dispositifs de formation Thème 4 : Politique de gestion des ressources numériques dédiées à la formation et à la diffusion de la culture scientifique et technique Politique de production de ressources pédagogiques numériques 3 3 5 4 4 5 4 5 4 5 Démarche d’indexation et de référencement des ressources numériques 3 5 Mise à disposition de ressources sur la plateforme pédagogique 4 5 Politique de diffusion de ressources et de valorisation de la production de l’établissement, y compris à l’international 5 5 Adhésion aux UNT, production et utilisation des ressources mutualisées pour les formations de l’établissement 3 4 Thèmes Thème 1 : La gouvernance du système d’Information et la politique numérique Mise en œuvre d’une gouvernance du numérique formalisée et intégrée au pilotage de l’établissement Mise en place d’un schéma directeur du numérique couvrant l’ensemble des domaines Moyens financiers et humains au regard des moyens globaux Définition et mise en œuvre d’une stratégie de mutualisation du numérique adaptée au contexte de l’établissement (voir aussi UNT au thème 4) Thème 5 : Conduite du changement et politique d'accompagnement à l'usage pédagogique du numérique Structure d'appui à la pédagogie universitaire avec le numérique Politique incitative à la réalisation de projets Formation et accompagnement des enseignants et personnels dans les activités pédagogiques 4 5 5 4 5 5 5 5 Définition d’un référentiel enseignant intégrant les activités pédagogiques numériques 2 4 Communication et valorisation des dispositifs 5 5 Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Observations Page 40 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS SPECIFIQUES DE PERFORMANCE 15 NOMBRE DE DIPLOMES EN PARTENARIAT INTERNATIONAL Action Objectif Formation initiale et continue de niveau LMD Analyse des partenariats internationaux dans le cadre de formations communes Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure Nombre de diplômes en partenariat international Années universitaires 2009-2010, 2010-2011, 2011-2012 et futures années 2016-2017 Tous les diplômes délivrés aux niveaux LMD Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des données de base Nombre de doubles diplômes (à double sens ou à sens unique) Nombre de diplômes conjoints : délivrance d’un seul diplôme, avec le « tampon » des deux universités, une fois un certain nombre de critères respectés par l’étudiant Source : Mode de calcul Nombre de diplômes délocalisés : formation ULR implantée à l’étranger, avec inscription des étudiants à l’ULR, formation pilotée par équipe enseignante de l’ULR. SRI Pour chaque année universitaire considérée : Nombre de diplômes délivrant un double diplôme Nombre de diplômes délivrant un diplôme conjoint Nombre de diplômes délocalisés 2009/2010 2010/2011 2011/2012 Cible 2016/2017 5 2 2 8 Nombre de diplômes en partenariat international Leviers d’action : Politique partenariale avec les établissements étrangers, notamment ceux dans l’aire Asie-Pacifique vis-à-vis desquels l’ULR est très active. Commentaires de l’Université de La Rochelle : L’ouverture à l’international est un impératif pour notre établissement pour éviter tout risque d’isolement sur son territoire. Son action dans ce domaine est tout particulièrement tournée vers l’aire Asie-Pacifique. L’Université de La Rochelle fait notamment partie des établissements français engagés dans le consortium Université des Sciences et Techniques de Hanoï (USTH), ce qui devrait permettre d’atteindre la cible fixée ici à l’issue du contrat. Ces diplômes en partenariat international ciblent pour l’essentiel le niveau Master avec toutefois un projet de Licence Professionnelle en double diplôme avec le Maroc. Pour le niveau Doctorat, l’ULR entend développer les co-tutelles et labels européens d’où la proposition d’un indicateur spécifique dédié (cf. indicateur 20). Pour ce qui est des doubles diplômes et diplômes conjoints, les effectifs escomptés seront très dépendants des règles de « recrutement » applicables en fonction de l’université partenaire et en considération de notre démarche qualité (niveaux pédagogique et de langues pré-requis, séjour dans université partenaire, lettres de recommandation, etc .). Pour ce qui est des diplômes délocalisés, des effectifs moyens de 35 à 40 étudiants sont envisagés. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 41 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS SPECIFIQUES DE PERFORMANCE 16 MOBILITE INTERNATIONALE DES ETUDIANTS Action Objectif Formation initiale et continue de niveau LMD Analyse des partenariats internationaux dans le cadre de formations communes Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure Nombre d’étudiants sortants ou entrants Années universitaires 2009-2010, 2010-2011 et 2011-2012 futures années 2016-2017 Tous les diplômes délivrés aux niveaux LMD Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des Pour chaque année universitaire, le nombre d’étudiants en mobilité ne concerne que ceux qui le font données de base sous convention (flux « encadrés ») : Nombre d’étudiants sortants (niveau L ou M, y compris DUT) Nombre d’étudiants entrants (niveau L ou M, y compris DUT) Nombre d’étudiants sortants en stage (ne concerne que les étudiants qui se sont présentés au SRI) La mobilité sortante est définie conformément aux préconisations du groupe de suivi du processus de Bologne. Est considérée comme une mobilité sortante tout séjour à l’étranger d’une durée minimale de 3 mois (pour les stages Erasmus, cette durée est réduite à 2 mois) ou donnant droit à délivrance à une minimum de 15 crédits ECTS. Source : Mode de calcul Université de La Rochelle (SRI) Pour chaque année universitaire considérée : Nombre des étudiants sortants en séjour d’études et en stage Nombre d’étudiants entrants en séjour d’études et en stage 2009/2010 2010/2011 2011/2012* Cible 2016/2017 Nombre d’étudiants sortants en séjour d’études (L et M) 189 210 216 225 Nombre d’étudiants entrants en séjour d’études (L et M) 162 181 157 225 Nombre d’étudiants sortants en stage ND 194 205 Leviers d’action : Financements obtenus pour la mobilité et conventions établies avec les établissements partenaires. Commentaires de l’université de La Rochelle : La cible fixée en termes de mobilité des étudiants est très fortement dépendante des financements obtenus : d’une part, le soutien de l’Etat, à hauteur de 158 K€ en 2011, d’autre part, l’investissement important des collectivités territoriales qui ont contribué à hauteur de 317 K€ pour l’année 2012-2011. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 42 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS SPECIFIQUES DE PERFORMANCE 17 PART DES ETUDIANTS EN APPRENTISSAGE Action Objectif Formation en apprentissage en Licence et en Master Améliorer la professionnalisation des formations, favoriser l’employabilité des étudiants et renforcer les liens avec le monde socio-économique Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure % Années universitaires 2009-2010, 2010-2011, 2011-2012 et futures années 2016-2017 Tous les diplômes délivrés en Licence (yc DUT) et Master Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des % des étudiants suivant une formation en apprentissage données de base Source : Effectifs transmis lors de l’enquête Système d’Information sur le Suivi de l’Etudiant (SISE) Mode de calcul Pour chaque année universitaire considérée : Nombre d’étudiants inscrits en apprentissage (type d’inscription : 0 – 1 – 4 - 5) / Nombre total d’étudiants en Licence et Master (type d’inscription : 0 – 1 – 4 - 5) 2009/2010 2010/2011 2011/2012 37 78 117 Nombre d’étudiants 6 593 6 886 6 984 % des étudiants en apprentissage 0,56 % 1,13 % 1,68% Nombre d’étudiants en apprentissage Cible 2016/2017 4% Leviers d’action : L’apprentissage est une priorité de la politique pédagogique de l’ULR pour la période 2012-2017 et l’établissement participe à la création d’un CFA régional sur l’enseignement supérieur avec l’université de Poitiers, l’ENSMA et le CNAM. Commentaires de l’université de La Rochelle : La création d’un CFA régional enseignement supérieur, et la structuration d’une UFA à l’ULR, permettra d’augmenter significativement notre pourcentage d’étudiants en apprentissage. Celui-ci croît régulièrement depuis 2 ans (de 0,56% à 1,68%). Compte tenu des évolutions structurelles envisagées, la cible de 4% est donc tout à fait réaliste. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 43 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS SPECIFIQUES DE PERFORMANCE 18 INSERTION PROFESSIONNELLE DES DIPLOMES Action Objectif Formation initiale et continue de niveau licence, master et doctorat Renforcer l’insertion professionnelle des diplômés Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure % Enquête à 30 mois, mesure en 2011-2012 de l’insertion professionnelle des diplômés de 2008-2009 Licence Professionnelle, Master et Doctorat Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des Fichier de réponses issu des enquêtes d’insertion données de base Source : OFIVE Mode de calcul LP, M Nombre de diplômés en emploi / (Nombre de diplômés en recherche d’emploi+Nombre de diplômés en emploi) Le mode de calcul exclut les diplômés qui, à la fois, ne travaillent pas et ne recherchent pas d’emploi Les individus en poursuite d’études ne sont pas pris en compte Les étudiants ayant poursuivis des études au cours des 30 mois ne sont pas comptabilisés Les Master recherche ne sont pas comptabilisés Seuil de répondants aux enquêtes fixé à 50% Mode de calcul doctorant Donnée calculée par l’école doctorale 2009/2010 2010/2011 Part des diplômés de Licence Professionnelle en emploi 92.5% 89% ≥ 92% Part des diplômés de Master en emploi 91.8% 92.9% ≥ 92% ND ND ND Part des diplômés de Doctorat en emploi 2011/2012 Cible 2016/2017 Leviers d’action : Formalisation d’une enquête par l’OFIVE programmée pour mesurer l’insertion des docteurs. Compte tenu de ce travail en cours, l'ULR n'est pas en mesure de déterminer une cible pour l'insertion professionnelle des docteurs. Commentaires de l’université de La Rochelle : L’insertion professionnelle de nos diplômés est une priorité affichée dans le contrat. C’est l’un des aspects fondamentaux du modèle d’université que représente l’ULR et l’un de ses points forts. Il est indispensable de disposer d’un tel indicateur pour faire savoir nos performances en la matière à l’extérieur de l’université (étudiants et leur famille, entreprises partenaires, collectivités territoriales) pour améliorer son attractivité, et pouvoir les suivre en interne en termes de pilotage. Cet indicateur doit représenter fidèlement et précisément les performances réelles de l’établissement, c’est pourquoi il ne prend en compte que les diplômés en recherche effective d’emploi. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 44 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS SPECIFIQUES DE PERFORMANCE 19 QUALIFICATION DU DISPOSITIF D’OPTIMISATION DES FONCTIONS SUPPORT ET DE SOUTIEN MIS EN ŒUVRE PAR L’ETABLISSEMENT Action Objectif Pilotage opérationnel des établissements Optimiser les fonctions support et de soutien Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure Qualification en 4 niveaux, de 0 à 3, du dispositif mis en œuvre par l’établissement Annuelle Dispositif au sein de l’établissement Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des données de base et Source Cote 0 : il n’y a pas d’action ou de projet significatif contribuant à ce but. L’établissement fait preuve d’une connaissance insatisfaisante de la répartition de ses personnels par fonction Cote 1 : l’établissement dispose d’un outil et fait preuve d’une bonne connaissance de la répartition de ses personnels par fonction Cote 2 : un plan d’action a été défini et mis en œuvre (un scénario d’optimisation des fonctions support et soutien a été validé) Cote 3 : la définition d’un plan d’action, sa mise en œuvre, le suivi et l’adaptation de sa réalisation s’intègrent dans un cycle permanent (processus d’amélioration continue) Mode de renseignement de l’indicateur Cocher les cases correspondant à la situation de l’établissement Indice de satisfaction 0 1 2 3 Qualité du pilotage Situation actuelle Cible en 2017 x x Leviers d’action : S’appuyer sur le référentiel de l’IGAENR, sur la réalisation d’un audit organisationnel, sur la mission d’assistance et de conseil (accord-cadre AMUE) et sur l’évolution du système d’information pour couvrir l’ensemble des domaines d’activités de l’établissement. Commentaires de l’université de La Rochelle : Il s’agit de se fixer des objectifs sur l’amélioration de l’organisation ; les efforts porteront sur l’ensemble des fonctions. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 45 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS SPECIFIQUES DE PERFORMANCE 20 NOMBRE DE DOCTORANTS INSCRITS EN CO-TUTELLE INTERNATIONALE DE THESE ET NOMBRE DE DOCTEURS EUROPEENS Action Objectif Recherche Renforcer la formation et l’insertion professionnelle des doctorants en leur donnant accès à une ouverture internationale Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure Nombre de doctorants Docteurs ayant respecté les conditions du « label européen » et reçu un certificat Année universitaire Inscrits en doctorat / thèses soutenues Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des Doctorants inscrits à l’ULR avec une convention de cotutelle signée (liste des inscrits arrêtée au 30 juin données de base de l’année universitaire) Thèses soutenues à l’ULR avec la mention « label européen » Source : Université de la rochelle (DREDE) Mode de calcul Somme des inscrits dans toutes les EC co-accréditées 2009/2010 2010/2011 2011/2012* Cible 2017 Nombre de doctorants inscrits en cotutelle internationale de thèse et nombre de docteurs européens 17 20 23 27 Nombre de doctorants inscrits 224 229 222 Nombre de thèses soutenues 35 41 Leviers d’action : Cette politique pour internationaliser le doctorat est soutenue grâce à des financements spécifiques octroyés par le Conseil Scientifique. Commentaires de l’université de La Rochelle : Pour 2011/2012, les chiffres ne sont pas encore stabilisés, puisque de nouvelles inscriptions peuvent encore être réalisées. Il convient de souligner que le nombre total d’étudiants inscrits en doctorat est en moyenne sur les dernières années d’environ 220 doctorants. Avec une cible de 27 co-tutelles et doctorats européens, l’ULR disposerait ainsi d’environ 12% de doctorants en co-tutelle internationale. Si on ramène le nombre de co-tutelles au nombre de contrats doctoraux, le pourcentage augmente très significativement. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 46 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS SPECIFIQUES DE PERFORMANCE 21 PART DES ENSEIGNANTS-CHERCHEURS PRODUISANTS DE L’ULR AFFECTES DANS LES UNITES MIXTES Action Objectif Recherche Description de l’indicateur Unité de mesure Date de la mesure Champ de la mesure % Année civile Enseignants-chercheurs produisants Élaboration et qualités de l’indicateur Nature précise des données de base Source : Mode de calcul DREDE Nominateur : nombre d’enseignants-chercheurs produisant affectés dans des unités mixtes Dénominateur : nombre total d’enseignants-chercheurs produisant à l’ULR 2009 2010 2011 Nombre d’enseignants-chercheurs produisant affectés dans des unités mixtes 48 58 63 Nombre total d’enseignants-chercheurs produisant à l’ULR 162 193 204 Part des enseignants-chercheurs produisant de l’ULR affectés dans les unités mixtes 30% 30% 31% Cible 2017 55% Leviers d’action : Politique de renforcement du CNRS sur le site rochelais et restructuration des laboratoires. Commentaires de l’université de La Rochelle : La fusion de deux unités propres de l’ULR (laboratoires LEPTIAB et LEMMA) pour donner une nouvelle UMR en janvier 2012 (fédération de recherche en évolution LaSIE) fait déjà progresser le taux pour atteindre 50%. Certaines restructurations envisagées pendant la durée du contrat, permettant l’intégration d’enseignants-chercheurs dans les unités CNRS déjà labélisées, feront progresser le taux cible à 55%. Pour l’ULR, le taux d’enseignants-chercheurs appartenant à des UMR a plus de sens que le nombre d’UMR, forcément réduit à cause de la taille de l’université et surtout à cause de la politique de l’ULR qui consiste à fusionner des laboratoires pour qu’ils atteignent des tailles critiques à l’échelle nationale et internationale. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 47 sur 59 CONTRAT 2012-2017 VAGUE C PROGRAMME : FORMATIONS SUPERIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE LA ROCHELLE INDICATEURS SPECIFIQUES DE PERFORMANCE 22 NOMBRE D’ETUDIANTS PRATIQUANT DES ACTIVITES CULTURELLES, SPORTIVES ET ASSOCIATIVES Action Objectif Pratique culturelle sportive et associative Aider à la réussite par l’ouverture culturelle et les pratiques sportives et d’expression Description de l’indicateur Unité de mesure Date et source de la mesure Champ de la mesure Nombre de pratiquants par rapport au nombre global d’étudiants Année universitaire Elaboration et qualités de l’indicateur Nominateur : Nombre d’étudiants inscrits au SUAPSE (pratique d’une activité sportive) : Source SUAPSE + nombre d’étudiants inscrits aux ateliers culturels (pratique d’une activité culturelle) : source Espace Culture Mode de calcul + nombre d’étudiants engagés dans une association étudiante ou au sein de l’Association de la Fondation Étudiante pour la Ville - AFEV (source AFEV et services civiques volontaires) Dénominateur : nombre total d’étudiants inscrits à l’université de La Rochelle (SISE) 2011/2012* 3 257 Cible 2016/2017 3 500 Nombre d’étudiants inscrits aux ateliers culturels 120 150 Nombre d’étudiants inscrits aux mini-stages artistiques 70 80 Nombre d’étudiants impliqués dans une association étudiante 75 100 Nombre d’étudiants impliqués dans l’AFEV 160 180 Nombre d’étudiants inscrits au SUAPSE Leviers d’action : Deux opérations majeures sur le plan immobilier (une nouvelle maison de l’étudiant qui sera livrée fin 2012 et la construction d’une seconde halle des sports dans la première phase du contrat) permettront d’améliorer le taux de participation des étudiants, déjà très élevé, aux activités culturelles et sportives proposées par l’établissement. Commentaires de l’université de La Rochelle : Cet indicateur est fondamental pour suivre et mettre en exergue le dynamisme de la vie étudiante sur le site rochelais. C’est un vecteur essentiel de la culture d’établissement et un facteur indiscutable d’attractivité de l’université. Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 48 sur 59 LISTE DES FORMATIONS HABILITEES ET DES STRUCTURES DE RECHERCHE - Liste des formations habilitées de l’IUT p. 50 - Liste des formations habilitées de licence p. 51 - Liste des formations habilitées de master p. 54 - Liste des écoles doctorales accréditées p. 57 - Liste des unités de recherche reconnues p. 58 Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 49 sur 59 UNIVERSITE DE LA ROCHELLE Offre de formation conduisant au diplôme universitaire de technologie « cursus licence » Habilitations à la rentrée 2012 IUT de LA ROCHELLE Implantation LA ROCHELLE Spécialité GENIE BIOLOGIQUE Options Date d'habilitation Durée Date d'échéance ANALYSES BIOLOGIQUES ET BIOCHIMIQUES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET BIOLOGIQUES 2012-2013 6 ans 2017-2018 LA ROCHELLE GENIE CIVIL 2012-2013 6 ans 2017-2018 LA ROCHELLE RESEAUX ET TELECOMMUNICATIONS 2012-2013 6 ans 2017-2018 LA ROCHELLE INFORMATIQUE 2012-2013 6 ans 2017-2018 LA ROCHELLE TECHNIQUES DE COMMERCIALISATION 2012-2013 6 ans 2017-2018 Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 50 sur 59 LICENCE - Liste des formations habilitées au 21/3/2012 ACADÉMIE DE POITIERS Université de La Rochelle Domaine ARTS, LETTRES, LANGUES Licence ARTS, LETTRES, LANGUES mention(s) date d' date d' établissement(s) date de durée co-habilité(s) création habilitation échéance [20081348] LANGUES ETRANGERES APPLIQUEES 20082009 20122013 6 ans 20172018 20082009 20122013 6 ans 20172018 spécialité(s): ANGLAIS-CHINOIS, ANGLAIS-COREEN, ANGLAISINDONESIEN, ANGLAIS-ESPAGNOL-PORTUGAIS [20081436] LETTRES Licence professionnelle ACTIVITES ET TECHNIQUES DE COMMUNICATION spécialité(s) établissement(s) date de date d' date d' durée co-habilité(s) création habilitation échéance [20024200] LETTRES, CULTURE ET NOUVEAUX MEDIAS 20022003 20122013 6 ans 20172018 Domaine DROIT, ECONOMIE, GESTION Licence DROIT, ECONOMIE, GESTION mention(s) établissement(s) date de date d' date d' durée co-habilité(s) création habilitation échéance [20081395] DROIT 20082009 20122013 6 ans 20172018 [20081334] GESTION 20082009 20122013 6 ans 20172018 Licence professionnelle ACTIVITES JURIDIQUES spécialité(s) [20044357] DROIT, GESTION ET COMPTABILITE DE L'ENTREPRISE établissement(s) date de date d' date d' durée co-habilité(s) création habilitation échéance 20042005 20122013 6 ans 20172018 Licence professionnelle COMMERCE spécialité(s) établissement(s) date de date d' date d' durée co-habilité(s) création habilitation échéance [20014204] MARKETING DES SERVICES ET TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (MASERTIC) 20012002 20122013 6 ans 20172018 [20100598] E-TOURISME 20102011 20102011 8 ans 20172018 Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 51 sur 59 Domaine SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Licence SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES établissement(s) co-habilité(s) mention(s) date d' date d' date de durée création habilitation échéance [20081186] GEOGRAPHIE 20082009 20122013 6 ans 20172018 [20081185] HISTOIRE 20082009 20122013 6 ans 20172018 Licence professionnelle MANAGEMENT DES ORGANISATIONS établissement(s) co-habilité(s) spécialité(s) [20051114] PATRIMOINES, LANGUES ET TOURISMES date d' date d' date de durée création habilitation échéance 20052006 20122013 6 ans 20172018 Licence professionnelle SYSTEMES INFORMATIQUES ET LOGICIELS établissement(s) co-habilité(s) spécialité(s) [20014205] SYSTEMES D'INFORMATION GEOGRAPHIQUE date de date d' date d' durée création habilitation échéance 20012002 20122013 6 ans 20172018 Domaine SCIENCES, TECHNOLOGIES, SANTE Licence SCIENCES, TECHNOLOGIES, SANTE établissement(s) co-habilité(s) mention(s) [20120191] GENIE CIVIL [20120192] SCIENCES DU VIVANT établissement(s) partenaire(s): INSTITUT CATHOLIQUE DE LA-ROCHE-SUR-YON [20081215] INFORMATIQUE date de date d' date d' durée création habilitation échéance 20122013 20122013 6 ans 20172018 20122013 20122013 6 ans 20172018 20082009 20122013 6 ans 20172018 [20081440] MATHEMATIQUES établissement(s) partenaire(s): INSTITUT CATHOLIQUE DE LA-ROCHE-SUR-YON 20082009 20122013 6 ans 20172018 [20080742] PHYSIQUE, CHIMIE établissement(s) partenaire(s): INSTITUT CATHOLIQUE DE LA-ROCHE-SUR-YON 20082009 20122013 6 ans 20172018 20082009 20122013 6 ans 20172018 [20081226] TERRE ET ENVIRONNEMENT Licence professionnelle BATIMENT ET CONSTRUCTION spécialité(s) établissement(s) co-habilité(s) [20100597] BATIMENTS BOIS BASSE CONSOMMATION ET PASSIFS date de date d' date d' durée création habilitation échéance 20102011 20102011 8 ans 20172018 Licence professionnelle ENERGIE ET GENIE CLIMATIQUE spécialité(s) établissement(s) co-habilité(s) date de date d' date d' durée création habilitation échéance [20100599] REHABILITATION ENERGETIQUE DU PATRIMOINE BATI 20102011 20102011 8 ans 20172018 [20044285] GESTION DE CHANTIER ET SÉCURITÉ EN GÉNIE CLIMATIQUE 20042005 20122013 6 ans 20172018 Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 52 sur 59 Licence professionnelle GENIE CIVIL ET CONSTRUCTION date d' date d' date de durée création habilitation échéance établissement(s) co-habilité(s) spécialité(s) [20001254] ENVIRONNEMENT ET CONSTRUCTION 20002001 20122013 6 ans 20172018 Licence professionnelle INDUSTRIE AGRO-ALIMENTAIRE, ALIMENTATION établissement(s) co-habilité(s) spécialité(s) date de date d' date d' durée création habilitation échéance [20090095] PRODUCTION ET MANAGEMENT EN INDUSTRIES AGRO-ALIMENTAIRES 20092010 20122013 6 ans 20172018 Licence professionnelle INDUSTRIES CHIMIQUES ET PHARMACEUTIQUES établissement(s) co-habilité(s) spécialité(s) [20044272] ANALYSES ET TRAÇABILITÉ AU LABORATOIRE date d' date d' date de durée création habilitation échéance 20042005 20122013 6 ans 20172018 Licence professionnelle PRODUCTIONS ANIMALES établissement(s) co-habilité(s) spécialité(s) [20060394] AQUACULTURE ET GESTION DURABLE DE SON ENVIRONNEMENT date de date d' date d' durée création habilitation échéance 20062007 20122013 6 ans 20172018 Licence professionnelle RESEAUX ET TELECOMMUNICATIONS établissement(s) co-habilité(s) spécialité(s) [20120485] ADMINISTRATION ET SECURITE DES RESEAUX établissement(s) partenaire(s): LYCEE LEONCE VIELJEUX DE LA ROCHELLE date de date d' date d' durée création habilitation échéance 20122013 20122013 6 ans 20172018 Licence professionnelle SYSTEMES INFORMATIQUES ET LOGICIELS spécialité(s) établissement(s) co-habilité(s) date de date d' date d' durée création habilitation échéance [20051039] INFORMATIQUE RÉPARTIE ET MOBILE 20052006 20122013 6 ans 20172018 [20001246] CREATION MULTIMEDIA 20002001 20122013 6 ans 20172018 Licence professionnelle TRAVAUX PUBLICS spécialité(s) établissement(s) co-habilité(s) [20060371] ENCADREMENT DE CHANTIER date de date d' date d' durée création habilitation échéance 20062007 20122013 6 ans 20172018 DAEU (DIPLOME D'ACCES AUX ETUDES UNIVERSITAIRES) mention(s) [19991788] (Aucun libellé de mention) [19991791] (Aucun libellé de mention) établissement(s) co-habilité(s) date de création 1994-1995 date d' habilitation 2012-2013 1994-1995 2012-2013 6 ans date d' échéance 2017-2018 6 ans 2017-2018 durée spécialité(s): OPTION A spécialité(s): OPTION B Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 53 sur 59 MASTER - Liste des formations habilitées au 21/3/2012 ACADÉMIE DE POITIERS Université de La Rochelle Master ARTS, LETTRES, LANGUES (finalité: R=recherche, P=professionnelle) mention(s) finalité établissement(s) co-habilité(s) [20081444] LANGUES ETRANGERES APPLIQUEES date d' date d' date de durée création habilitation échéance 20082009 20122013 6 ans 20172018 spécialité(s): 01 LANGUES, CULTURE, AFFAIRES INTERNATIONALES R&P 20082009 2012-2013 6 ans 2017-2018 02 ECONOMIE ET COMMERCE INTERNATIONAL, R & P LANGUES ASIE-PACIFIQUE 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 Master DROIT, ECONOMIE, GESTION (finalité: R=recherche, P=professionnelle) mention(s) finalité établissement(s) co-habilité(s) [20081402] ADMINISTRATION DES ENTREPRISES date de date d' date d' durée création habilitation échéance 20082009 20122013 6 ans 20172018 spécialité(s): 01 MANAGEMENT GENERAL P [20120193] DROIT 20082009 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 20122013 6 ans 20172018 spécialité(s): 01 CADRES TERRITORIAUX ET ENVIRONNEMENTAUX R&P 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 02 DROIT DES AFFAIRES ET DE L'ENTREPRISE R&P 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 03 DROIT PROCESSUEL R&P 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 04 DROIT DES ASSURANCES R & P U POITIERS 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 05 HISTOIRE DU DROIT ET DES INSTITUTIONS R & P U POITIERS, U LIMOGES 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 [20120265] SCIENCES DU MANAGEMENT 20122013 20122013 6 ans 20172018 spécialité(s): 01 MARKETING DES SERVICES R&P 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 02 MANAGEMENT DES ACTIVITES HOTELIERES ET TOURISTIQUES R&P 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 03 SYSTEME D'INFORMATION APPLIQUE AU MANAGEMENT R&P 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 [20120356] SCIENCES POUR L'ENVIRONNEMENT 20122013 20122013 6 ans 20172018 spécialité(s): 01 MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR R&P 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 Page 54 sur 59 Master SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES (finalité: R=recherche, P=professionnelle) mention(s) établissement(s) co-habilité(s) finalité [20100879] ENSEIGNEMENT ET FORMATION date de date d' date d' durée création habilitation échéance 20102011 20102011 8 ans 20172018 spécialité(s): 01 ENSEIGNEMENT PREMIER DEGRE R&P 20102011 2010-2011 8 ans 2017-2018 02 HISTOIRE ET SCIENCES HUMAINES R&P 20102011 2010-2011 8 ans 2017-2018 [20081454] HISTOIRE 20082009 20122013 6 ans 20172018 spécialité(s): 01 DEVELOPPEMENT CULTUREL DE LA VILLE P 02 E-TOURISME ET INGENIERIE CULTURELLE DES PATRIMOINES P 03 RELATIONS INTERNATIONALES ET HISTOIRE DU MONDE ATLANTIQUE R établissement(s) partenaire(s): EC ARCHITECT BORDEAUX ; ECOLE DES BEAUX-ARTS DE NANTES U NANTES [20081173] SCIENCES POUR L'ENVIRONNEMENT 20082009 2012-2013 6 ans 2017-2018 20082009 2012-2013 6 ans 2017-2018 20082009 2012-2013 6 ans 2017-2018 20082009 20122013 6 ans 20172018 spécialité(s): 01 GEOGRAPHIE APPLIQUEE A LA GESTION DES LITTORAUX R&P 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 Master SCIENCES, TECHNOLOGIES, SANTE (finalité: R=recherche, P=professionnelle) mention(s) établissement(s) co-habilité(s) finalité [20100878] ENSEIGNEMENT ET FORMATION date de date d' date d' durée création habilitation échéance 20102011 20102011 8 ans 20172018 spécialité(s): 01 MATHEMATIQUES R&P 20102011 2010-2011 8 ans 2017-2018 02 PHYSIQUE-CHIMIE R&P 20102011 2010-2011 8 ans 2017-2018 [20081622] INFORMATIQUE 20082009 20122013 6 ans 20172018 spécialité(s): 01 JEUX ET MEDIAS INTERACTIFS NUMERIQUES R & P CNAM 20082009 2011-2012 8 ans 2018-2019 02 INGENIERIE DES CONTENUS NUMERIQUES EN ENTREPRISE (ICONE) R&P 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 P 20122013 2012-2013 6 ans 2017-2018 03 MANAGEMENT DE PROJET [20120607] SCIENCES DES MATERIAUX 20122013 20122013 6 ans 20172018 spécialité(s): 01 PHYSIQUE ET CHIMIE DES MATERIAUX HAUTES PERFORMANCES [20110570] SCIENCES ET TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (STIC) Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR R & P U LIMOGES, U POITIERS, EC NAT SUP CERAMIQ INDUS établissement(s) déposant(s): U LA ROCHELLE 20122013 20112012 2012-2013 6 ans 2017-2018 20112012 7 ans 20172018 Page 55 sur 59 spécialité(s): 01 MULTIMEDIA R U POITIERS, U LIMOGES, INP TOULOUSE, U & MONTPELLIER 2, U AIX-MARSEILLE 2, U P AVIGNON, U BREST, U PARIS 13, U RENNES 1, U METZ 20112012 20112012 7 ans 20172018 02 SYSTEMES EMBARQUES R U POITIERS, U LIMOGES, INP TOULOUSE, U & MONTPELLIER 2, U AIX-MARSEILLE 2, U P AVIGNON, U BREST, U PARIS 13, U RENNES 1, U METZ 20112012 20112012 7 ans 20172018 03 SYSTEME D'AIDE A LA DECISION R U POITIERS, U LIMOGES, INP TOULOUSE, U POUR L'ENVIRONNEMENT & MONTPELLIER 2, U AIX-MARSEILLE 2, U P AVIGNON, U BREST, U PARIS 13, U RENNES 1, U METZ 20112012 20112012 7 ans 20172018 [20081167] SCIENCES POUR L'ENVIRONNEMENT 2008- 2012- 6 20172009 2013 ans 2018 spécialité(s): 01 GESTION DES ECOSYSTEMES ANTHROPISES R & P 20122013 20122013 6 ans 20172018 02 ECOLOGIE ET DYNAMIQUE DES LITTORAUX ET ESTUAIRES R & P 20122013 20122013 6 ans 20172018 03 INGENIERIE ET GESTION DE R U LIMOGES L'EAU ET DE L'ENVIRONNEMENT & P 20122013 20122013 6 ans 20172018 04 QUALITE ET TRAITEMENT DE L'EAU 20122013 20122013 6 ans 20172018 R U POITIERS, U LIMOGES, EC NAT SUP CHIMIE & RENNES P [20081339] SCIENCES POUR L'INGENIEUR 2008- 2012- 6 20172009 2013 ans 2018 spécialité(s): 01 GENIE BIOTECHNOLOGIQUE R & P 20082009 20122013 6 ans 20172018 02 INGENIERIE DU BATIMENT R & P 20082009 20122013 6 ans 20172018 03 INGENIERIE MATHEMATIQUE ET IMAGE R & P 20082009 20122013 6 ans 20172018 04 CORROSION, DEGRADATION ET PROTECTION DES MATERIAUX R & P 20082009 20122013 6 ans 20172018 05 MANAGEMENT DE PROJET P 20082009 20122013 6 ans 20172018 Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR Page 56 sur 59 Ecoles doctorales – Liste des ED accréditées ACADÉMIE DE POITIERS Sciences de la terre et de l'univers 523 ED LETTRES, PENSEE, ARTS ET HISTOIRE 525 (LPAH) CIVILISATION ET LITTERATURE DE L'ANTIQUITE A NOS JOURS ED DROIT ET SCIENCE POLITIQUE PIERRE 88 COUVRAT STIC Sciences pour l'ingénieur Sciences de la société ED Sciences humaines et humanités Université de La Rochelle SCIENCES POUR L'ENVIRONNEMENT GAY LUSSAC ED 526 SOCIETES ET ORGANISATIONS ED SCIENCES ET INGENIERIE EN MATERIAUX, MECANIQUE, 522 ENERGETIQUE ET AERONAUTIQUE (SIMMEA) ED SCIENCES ET INGÉNIERIE POUR 521 L'INFORMATION, MATHEMATIQUES (S2I) Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR La Rochelle, Poitiers, Limoges (coBUSTAMANTE Paco accrédités), IFREMER, CNRS (associés) TREFFORT Cécile Poitiers, Limoges, La Rochelle (co-accrédités) GOJOSSO Eric Poitiers, Limoges, La Rochelle, Angers, Le Mans (coaccrédités) BRUNEL Philippe Limoges, Poitiers, La Rochelle (co-accrédités) ROMAT Hubert Poitiers, Limoges, La Rochelle, ENSMA, ENSCI Limoges (coaccrédités) QUERE Raymond Limoges, Poitiers, La Rochelle, ENSMA (coaccrédités) Page 57 sur 59 Unités de recherche reconnues ACADÉMIE DE POITIERS Sciences humaines et humanités Mathématiques et interactions Université de La Rochelle EA LABORATOIRE DE 3165 MATHEMATIQUES IMAGE ET APPLICATIONS BERTHIER Michel EA CENTRE DE RECHERCHES EN HISTOIRE 1163 INTERNATIONALE ET ATLANTIQUE- CRHIA CATALA Michel EA 1722 Sciences de la société EA EA EA FED FED Sciences pour l'ingénieur FRE FR CENTRE DE RECHERCHE EN GRIMAND Amaury GESTION (CEREGE) CENTRE D'ETUDES 3170 JURIDIQUES ET POLITIQUES DE LA ROCHELLE (CEJEP) INSTITUT PIERRE PESCATORE DROITS, 3818 LIBERTES, EUROPE ET GLOBALISATION CENTRE D'ETUDES 4227 INTERNATIONALES SUR LA ROMANITÉ 4221 FÉDÉRATION GASTON BERGER FÉDÉRATION D'HISTOIRE DU DROIT DU PRES 4228 LIMOUSIN-POITOUCHARENTES LABORATOIRE DES 3474 SCIENCES DE L'INGENIEUR POUR L'ENVIRONNEMENT IRSTV - INSTITUT DE RECHERCHE EN SCIENCES 2488 ET TECHNIQUES DE LA VILLE Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR GIUDICELLI André La Rochelle , Nantes, La Rochelle Poitiers, La Rochelle La Rochelle ANDRIANTSIMBAZOVI La Rochelle NA Joel BOUINEAU Jacques La Rochelle LEROY Daniel Orléans, Tours, Poitiers, La Rochelle KREMER David Poitiers, Limoges, La Rochelle AIT-MOKHTAR Abdelkarim La Rochelle, CNRS ANDRIEU Hervé EC Nantes, Rennes 2, Ec. Archi. Nantes, Nantes, ENSTIM Nantes, Le Mans, Agrocampus Ouest, CNAM, La Rochelle Page 58 sur 59 STIC EA Sciences agronomiques et écologiques FR UMR UMS FR LABORATOIRE 2118 INFORMATIQUE IMAGE INTERACTION FÉDÉRATION DE RECHERCHE MATHÉMATIQUES ET 3423 INTERACTIONS, IMAGES ET INFORMATION NUMÉRIQUE, RESEAUX ET SÉCURITÉ : MIRES LITTORAL 7266 ENVIRONNEMENT ET SOCIÉTÉS SYSTEMES D'OBSERVATION POUR LA CONSERVATION 3462 DES MAMMIFERES ET OISEAUX MARINS FÉDÉRATION DE RECHERCHE EN 3097 ENVIRONNEMENT POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE Contrat pluriannuel 2012-2017 de l’ULR OGIER Jean-Marc La Rochelle QUERE Raymond Limoges, Poitiers, La Rochelle, ENSMA, CNRS RICHARD Pierre La Rochelle, CNRS RIDOUX Vincent La Rochelle, CNRS GARCIA Pascale La Rochelle, CNRS, IFREMER, Limoges, Poitiers, ENSCI Page 59 sur 59