Bio-bibliographie de Victor Hugo 1802-1825

Transcription

Bio-bibliographie de Victor Hugo 1802-1825
Bio-bibliographie de
Victor Hugo de 1802 à
1825 / par l'Abbé Pierre
Dubois
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France
Dubois, Pierre (18..-19.. ; abbé). Bio-bibliographie de Victor Hugo de 1802 à 1825 / par l'Abbé Pierre Dubois. 1913.
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BIO-BIBLIOGRAPHIE
DE
VICTOR
HUGO
e
DE
A
1802
1825
J
PAU
1/ABBE
PIERRE
DUHOIS
)
DOCTEUR ÈS-LETTitES
PARIS
)JBRA)tUE
ANCtRNNE
5,
HONORE
'QUA!
MALAQUAIS,
CHAMPION,
EDtTEUR
5
0
1913
BtO-BtBLIOGRAPHIE
DE
VLCTOR
HUGO
M1802A i825
PRÉFACE
œuvres
de Victor
de
nombreux
voiumes
ont.
Sur la jeunesse et les premières
Hugo
Tous
ont des quahtés
et aussi des défauts.
été publics.
du poète, témoin
de sa vie (l), a y'acoM/e son existence
La femme
sa récepjusqu'à
est évidemment,
une apoiogie
tion à f'Académie.
Cet ouvrage
qui ne satisfait
pas notre
]a chose
n est plus à prouver,
avide de faits précis,
de dates exactes.
L auteur,
époque
à p)aisir
avec
les années
et les mois et a propos
des événements
narre
il
jongle
qu'H
disent qu'il a voulu tromper.
s'est
souvent
et d'aucuns
Letecteur,
qui ne se contrompé
cherchera
donc inutilement
dans ce livre ce que réclame
son
tante
pas d'.à peu près,
indiscrète
curiosité.
a donne
de Vtc/o?' 7/M<~o (2). 1) y a dans son
M. Gustave
Simon
nous
~'2~/OKee
d'assez
extraits
des poésies
livre les titrer
et parfois
longs
composées
par Victor
Hugo,
à
au
dur
métier
de'la
.dors
sa
s'exercer
Les
fervents
de
commençait,
poésie.
que
plume
a M. G. Simon
un reproche,
Victor
celui
de n'avoir
Hugo adresseront
peut-être
pas
dont
il
a
établi
le
VoM~es
ces
bêtises
~'c/oy
!'7!-ea;<e~~
ces œuvres
publié
catalogue
yt<e
en
est.
sa
/!<ï~~<t/!ee.
La
mais
la
parfois
pauvre,
Hugo /a~a~aua~<
poésie
critique
y
«
à gtaner
et en tout cas étudierait
sur le vif
les
trouverait,
certainement
les débuts
» et suivrait,
d'un puissant
génie
pas a pas ses progrès.
plus lointains
Il a toujours
M. E. Biré a écrit plusieurs
livres
sur Victor
d'admiHugo.
protesté
rer le poète,
mais toujours
il a proclamé
son peu d'estime
il a
pour l'homme
auquel
des palinodies,
une évolution
et en relidesvoitefaces,
complète
en politique
reproché
le lieu de discuter
les appréciations
d'E. Biré sur Victor
et
Ce n'est
Hugo
gion.
point
sur l'homme.
Les uns commères
autres
sont évidemment.
les jugements
qu'il a portés
d'un point de vue partiun critique
auteur
apprécie
toujours
qu'il étudie
subjectifs
Il faut.
culier
et il n'est
ne partage
les idées
de son voisin.
pas
point étonnant
qu'it
à E. Biré qu'il
les faits et gestes
de Victor
et
rendre
cette justice
Hugo
n'ignorait.pas
a souvent
remis
au point
le récit
du témoin
de la vie dont les
sa mémoire
excellente
en présence
souvenirs
moins sûrs
avaient
défaillances.
Parfois
d'événements
quelques
il a étéobiigéde
faire des supqui ne concordaient
point,
qu'il avait peine à expliquer,
il a pu s'égarer
dans
les champs
de l'hypothèse.
et alors
Ses
ouvrages,
positions,
connaître
la vie de Victor
sont excellents,
erreurs,
et, qui voudra
malgré
quelques
avec fruit,
contre
le parti-pris
pourvu
qu'il se mette en garde
qui
Hugo, tes consultera
entraîne
E.
Biré.
parfois
dans
son livre sur la 7~'e/ace
de C'?v~?!M~/(3),
ne s'est pas contenté
M. Souriau,
il a voulu chercher
les Influences
SM~'es et la Préd'étudier
cet ouvrage
en iui-même,
la f?'e/<xce.
A cet effet, il a dû, après
E. Biré, parcourir
d'une pfumeattcn~<M'f~!OM
Victor
Hugo
(2) GUSTAVEStMON.
(3)
in-12,
MA)]n;CE
18U7.
)'aeo/!<e
A'M/aMee
SOURIAU.
témoin
~a~Mx
La
de
jOre/'ac'e
t~e<or
de
de
sa
Hugo,
Me.
Paris.
2 vol. <)!
Hachette,
Paris.
Cromwell,
-t-
Société
in-12,
1904.
française
d'nuprifnerie
et.
du
librairie.
PREFACE
e
tive
le
CoMse?'ua<eM~
oeuvres
de Victor
On ne
~<«e~<ï<~e
et les premtères
Hugo.
il essaie
de son devancier
sans tomber
dans un
trouve
pas chez lui le parti-pris
plutôt,
excès contraire,
les variations
de Victor'
et les transformations
d'expliquer
Hugo
que
tard
le
a
fait.
subir
aux
aux
articles
de
et
de
revues
complus
poète
poésies,
journaux
dans
sa
posés
jeunesse.
A côté de ces ouvrages
il en est d'autres
d'une
utilité
sans avoir
première,
qui,
toute leur importance,
ne manquent
de valeur.
pas cependant
M.
tivante.
E. Dupuya
œuvre
d'une
lecture
pub)!é~e!<~e.s'.9e
capA)/H6~<tyMe~(i),
M. Louis
Betton
et
M.
P.
ont
étudié
les
relations
de
Victor
(2)
(3)
Dufay
Hugo,
avec
son
et
de
tettr.es
homme,
jeune
père
ontpubtié
une quarantaine
autographes
que
la
inéde B!ois.
M. Léon Séché (4), grâce
à quetques
documents
possède
bibtiothèque
tout. autour
de la ~/M.'?e /?'<M!pa<se.
(lits, a brodé
agréablement
sur la jeunesse
de Victor
et s'ils sont
Mais, dira-t-on,
d'ouvrages
s'itya tant
Hugo,
bien
un nouveau.
en
C'est
en tes étudiant,
c'est
faits, a quoi bon en écrire
justement
les feuilletant
avons
vu t'utiiitéet.
même
la nécessité
de
quotidiennement
que nous
celui que nous présentons
au public.
On
ne trouve
pas chez les
et bibHographique
biographique
ce travail
raisonné,
approfondi,
de ï~c/o~'y/M~o
~aco~e
s était
ne sait plus ia part de vérité
et,
Des admirateurs
tobiographie.
ont répété
les affirmations
ment,
sont leurs
contradicteurs,tentre
»
ma).
auteurs
dont nous venons
de parler
étude
une véritable
de Victor
Tel ne fut point leur but et pourtant
Hugo.
documenté
est nécessaire.
M. Biré a prouvé
que l'auteur
a induire
amusé
souvent
le lecteur
en erreur;
et Ion
la part d'imagination
contenues
dans cette espèce
d'ausur aucun
docucrédutes,
plutôt
qui ne s'appuyaient
de Victor
et. bien mal
venus
Hugo ou de sa femme,
autres
d'où venait
E. Biré, « ce pelé, ce galeux
tout le
dans/~«é/'o'<M~ee<
M~ee&ies
part Victor
Hugo a rassembté
Philosophie
articles
dans
sa jeunesse.
Mais i[ ne les a pas tous reproduits
it en a
qu'il a publiés
admirablement
ses opinions
littéraires
ou relinégligé
qui renètent
pourtant
politiques,
A propos
des dates,
i)' ne s'est pas gêné
non p)us
vieillir
ou rajeunir
gieuses.
pour
votontairement
ses articles.
En outre,
il a changée
transformé
ce qu'il réimprimait,
Ici
seulement
ou quelques
mots sont
là, au contraire,
quelques
lignes
ajoutés
quelques
ou
des
noms
sont
ailleurs
des
sont attribuées
a
lignes
propres
supprimés
pages entières
un article
vers 1820, bien qu'elles
soient très probablement
de 1834. MM. Biré et
composé
Souriau
ont signalé
tout cela, mais ils n'ont
de
point fait la bibliographie
des ouvrages
Victor
Au hasard
du travail
ils ontnotéles
sans
Hugo.
entrepris.
changements
opérés,
les références
exactes
entre
le Conservateur
Z~e~M'e
et A<«eratoujours
indiquer
<M~'e et /~<7oso/)~e
mêlées.
Ils n'ont
ou n'ont
à quel
article
pas trouvé,
point cherché
telle page de Z<!«e~~My'ee~
dans quel journal
ou revue
appartenait
Philosophie
mêlées,
elle avait été pubiiée.
D'autre
il restait
à faire,
donc un travail
travail
de bio-bibliographie,
œuvre
Après eux,
à chaque
instant
on est arrêté
une hésitation,
utile,
il
puisque
par un doute,
quand
de fixer une date,
de la vie de Victor
surtout
on est
un événement
s'agit
Hugo,
quand
en présence
d'affirmations
contraires
de même
valeur.
Il en va de même
qui semblent
si l'on veut
connaître
toutes
les œuvres,
articles
de revue
et
odes,
poésies diverses,
de journaux,
etc.
)ettres,
Des
(1)
E.
bibliographies
Dupuy.
La
(2) LOUISBELTON.
et
Lettres
(3)
de
VeMMaMe
Romantiques,
Victor Hugo et
~ot?--e<-C/tft',
P. DUFAY.
des
V. Hugo
t.
XVI,
à vingt
son père,
9-85 et
pp.
a!M.
bien
fournissent
générâtes
Paris.
Paris.
Société
quelques
et
d'imprimerie
de
librairie,
le. <;rs;tera/ Hugo, <<OM~eMO!re~
tirage
à part,
Mercure
de
(4) LÉONSÉCHÉ. Le CeMac~ de la Muse /?'anfa!M,
in-8,
France,
81
p.
in-12,
Blois,
in-12,
1905.
~e la société des 5'ct'et:ee~
Migault,
1902.
1909.
Paris, Mercure de France,
Il
comme
renseignements,
in-8, 1908.
PRÉFACE
Gustave
celles d'Assetineau.
Lanson,
Paran,
Derùme,
Hugo Thieme,
Laporte.,
Nauroy,
et
Vicaire
fautives
et a part les ouvrages
(1), mais elles sont incomplètes
par endroits,
de Lanson,
et de Vicaire,
tous
les autres
semblent
vraiment
de Laporte,
peu utiles
de~ Victor
pour l'étude
Hugo.
a donne,
il y a quelques
Un atkmand,
M. Martin
une ébauche
Hartmann,
années,
d'une bio-bibliographie
de Victor
intéressante
Hugo (2). C est son travail
qui nous a
l'idée
et le plan du présent
Nous
ne voûtons
suggéré
ouvrage.
pas dire
que le nôtre
avons
de fournir
à qui veut
soit
loin de là, mais nous
étudier
les
parfait,
essayé
années
de Victor
de travail.
premières
Hugo un instrument
trouvera
dans
la colonne
de
tous
Le
lecteur,
les
gauche
de
chaque
page
Victor
Nous
les faits
événements
qui, à notre avis, intéressaient
Hugo.
y avons
placé
certains
de sa vie tout en notant
au passage
ce qui nous
semblait
douteux
ou peu
Dans cette colonne
nous avons
mis ta date de composition
des œuvres,
prouve.
quand
fait
nous la connaissions,
toutes
les réimpressions
)eur 'a
tous
subir,
que Victor
Hugo
les articles
tous les articles
ou livres
composés
de journaux
qui ie concernent.
par ses
et. ses amis intimes,
frères
tous les faits httéraires
influence
importants
ayant
quelque
sur lui et ses amis,
tout
ce qui éclaire
ses
relations
avec
avec Neuft'Académie,
Chateaubriand,
château,
Lamennais.
Frayssinous,
Cette
colonne
est
donc
un
metange
bio-bibtiographique.
de droite
est purement
Nous
mis la date
La. colonne
bibHographique.
y avons
de critique,
lit date de ses lettres.
la
de ses odes,
de ses articles
Pour
d'impression
de la librairie
ou /<oy~6~A<f
de la /ee
nous a servi
de
fixer,
te Vo/a~
aussi avons-nous
H fallait
une méthode
uniforme,
guide.
employer
préféré
agir ainsi,
d
un
livre
ou
d'une
la J9<t~a/~<e
note t'apparition
revue
quoique
<r/e la T~'a~ee
notable.
A
l'occasion
une
avec
un retard souvent
quand
nous
possédions
cependant,
ou indiqué
cette
erreur.
A chaque
nous
avons
œuvre°de
certaine,
preuve
corrigé
Victor
nous avons
donné
les notes bibliographiques
le journa)
ou ta
Hugo,
marquant
et ses réimpressions
successi'ves.
Ces dernières~
le )ecteur
revue qui 1 avait .éditée
ne sera
les retrouvera
mais
ce coup
d œil d'ensemb!e
lui
ailleurs
pas fait pour
déplaire.
Enfm
que Victor
en rex-de-cbaussée,
nous avons
étudié
les transformations
a son œuvre.
en face d'une
ode ou d'un
Si nous sommes
Hugo
toutes
tes variantes
des premières
S'il s'agit
nous
éditions.
petit
indiquons
poème,
d'une
nous renvoyons
a Z~~Y!<M/'e
et /~<7o~o/~<e
Mï~/ec.v quand
littéraire,
critique
l'a reproduite.
Au cas contraire,
nous donnons
de larges
extraits
Victor
des
Hugo
le moins
un résumé
des idées principales.
articles
taissés
dans t'oubti
ou pour
Au
au bas
de la page,
a fait subir
nous
en
donné
les
dates
avons,
quelques
pages
préliminaires,
sur la famille
de Victor
sur son père, sa mère,
sur les relations
indispensables
Hugo,
le général
et Marie-Joseph
Trébuchet.
entre
Nous
avons
épistolaires
Hugo,
Sophie
sur t'adbtescence
de Victor
car rien
dans cette
n'est
glissé
rapide'ment
Hugo,
période
bien
et nous
en sommes
venu
vite
aux
œuvres.
Là nous nous
premières
précis,
sommes
a ne rien
laisser
dans
l'oubli.
Nous
avons
continué
notre
travail
appliqué
(1)
début,
AssEUNEAu.
Mélanges
tirés
~'M/ie
petite
&!&o/Ae~Me
romantique,
1872.
in-S,
Rouquutte.
aM:
des
Causerie
d'un
Paris,
Pincebourde,
in-8,
1866.
Bibliothèque
?'OMa/y«e,
des
~ure~.
livres.
éditions
/)e /<z connaissance
Les
des
o~'<y!a~M
1886.
in-8,
Paris.
romantiques,
Rouveyrc.
à 1906,
ffuGO TmEME.
CMM/e
de la /«e/'a<Mt'e
de ~~00
Paris.
1907.
in-8,
Weiter,
&/6~'o.(/s/j/t/te
/'y'a;t~/M
la
GUSTAVE L.AXSON. ~/a'tMe<
de
/</e/'<!<Mt'e
1500-190(),
/'<'c!;<{;<!i.!e ;)!o:/e!te.
~/&oy'<)A:</Me
t.~ iv. /!e'MO/Mvir.
Victor
12t8-12;tt.
in-8.
1912.
<t0'i et /)/;c-/ieMC:eMe
siècle
Hachette.
Pn.ns~
Chapitre
pp.
//Myo.
LAPORTE.
/~<o/?'e
du x!X° siècle,
t. VU,
1893.
Littéraire
in-8,
Paris,
~/&~0f/t'a/)/t!e
contemporaine.
Ch. NAUKOY. B!6<!oy?'<:pA:'e
des plaquettes
Paris.
1882.
in-16~
roMM</yMe.
Charàvay,
un bibiiophite
1880.
PARRAN. Romantiques,
éditions
V/e/ot'
Alais,
cévénol,
in-8,
originales.
//M~o~
par
1
VjCAtXE.
~aytMe/
de /'aMa<eM?'~M
/H7-~
du xix'
siècle,
t. [V,
in-8,Paris,
226-466.
Rouquette,
1900,-pp.
DEROME.
(S)
K. A.
MAnT;N
HAXTMANX,
Zeiltafel
~M
Victor
/ytf</o'
p
m
Ze&eM
und
tVeWceft.
in-8~
53 p.,
Oppeln,
1886.
PRÉFACE
i825.
terme
de cet ouvrage?
Peut-être
comme
cette date comme
jusqu'en
Pourquoi
et que nous ne
d'autres
pourrions-nous
répondre,
parce
qu~ii nous a p!u de faire ainsi
voulions
un trop gros volume
de bio-bibnographie
sur Victor
Mais
pas apporter
Hugo.
là répondre?
A mieux
un but, aider
est.-ce
ceux 'qui étudient
les
dire,
nous avions
débuts
de Victor
dans ce fourré
un peu épais,
au milieu
de ces
Hugo à se retrouver
articles
de revue
souvent
inédits
avec
des changements
ou reproduits
importants,
nettement
à qui veut consulter
Z~~e~/M~f
e/ /~<7o.!0/)/~e
?M~/ce~ le journal,
indiquer
la revue
où il pourra
trouver
le texte
A l'époque
des premières
Victor
odes,
primitif.
sa route
et à chaque
instant
il corrige
sous l'influence
de la politique
ou
Hugo cherche
Plus tard,
il connaît
la
de la religion.
ses idées
sont plus assises,
mieux
vers 1825,
de son art,
il
)c besoin de revoir
aussi souvent
ses œuvres.
technique
n'éprouve
p)us
la disparition
de la ~fï/se
de Soumet
a l'Académie
et. l'éleclion
Après
/'?'<M~a~e
le chef véritable
au
Victor
devient
des romantiques';
H n'est
française,
Hugo
plus
il fera attendre
deuxième
ou troisième
mais a ia première
rang,
quelque
temps
place,
encore
son manifeste,
la P/'e/ace
de 6'7'OM!!ue/, mais déjà ii se prépare
à l'action.
se
des compagnons
mais qui lui semblent
ou
sépare
qui font
porté en avant
trop vieux
il commence
a s entourer
de jeunes
recrues
futures,
pas assez audacieux
pour les luttes
et. excite
au combat.
sa jeunesse
il est un homme
Son enfance,
sont. finies,
qu'il forme
et une nouvelle
de sa vie commence.
période
Tout
ceci
nous
semble
raisons
suffisantes
en
1825 ce travail
pour
que
a
nous
ne renonçons
continuer
tard
de
la
même
manière
si
nous
en
avons
le
pas
plus
loisir.
Le lecteur
en parcourant
notre
tui-même
des
résultats
de notre
ouvrage
jugera
heureux
de connaître
ce que nous
avons
labeur,
mais peut-être
sera-t-i)
par avance
surcette
trouvé
dans notre
de )a viedeVictorHugo.
enquête
bio-bibtiographique
partie
mis
Nous
n'avons
au
aucune
de Victor
jour
poésie nouvelle
Hugo
(1). Cette
de l'existence
du poète a été très travaiHée
et tout ce que l'on peut désirer
c'est
période
mettre
en évidence
des variantes
et par des rapprochements
ou ignorées
peu connues
montrer
la iente évoiution
de ia pensée
sous des influences
variées.
En 1819,
Victor
Hugo pubheZa
6'aMa~eKMe,
Ze Te/ey~e,
/ro/ew/)0/!<<?
ont
subi
des
transformations
sans
mais
Les
qui
importance,
~<e?'~e~ de ~e?'</MM. /~es
a diverses
Z)e?'?Me~.9 Z~a~t/e~,
Les Destins
de la FeM</ge ont. été remaniés
Vicreprises.
tor Hugo,
fidèle
aux conseils
de M. Pinaud
de Toulouse,
a combiné
trois
strophes
pour
n'en
former
dans Les F<er~
de Fe?'</M~.
qu'une
En i820,
il imprime
les traductions
dans le 6o?Me?'MC[<eM?' jLt~e~v/e
qu'il a faites
sur les bancs
du co)!ège
~c~e~e/M'</e.
T/~l~e
des C~c~o/)e.9,
le
~'aeM~,
Ce.9ay'9.te
dans
Vtc/o~
Le ~e<7/a~</</M
G'a/e.se.
On les a reproduites
V~M~co~, j4 Lydie,
depuis
Pour
j4cAe?He?M~e
T/M~o ~'acoM~e sans
grands
changements.
cependant
trente-quatre
dans
un
vers ont été très modifiés~
le 7~<~tCOMon a commis
épigraphe
pour Ce.<<M' passe
contresens.
Les vers A. Zyf/<e ne sont presque
A leur progros
plus reconnaissab)es°
Z~/e~aM'e
les donne
sous la signature
J. SA)K')'Epos signalons
que le 6'o?M~a<eM~'
n'a signalée
encore
et que Victor
deux
fois seuMAhtR,
que personne
Hugo a employée
lement.
a donné
au Co?Me?'u<ï<<'M?' Z<«e/'C!M'e
Dans
cette
même
Victor
de
année,
Hugo
nombreuses
odes politiques.
L es Vous e< les yM, La M?o~~(~M duc de ~e?'~<,
Le Génie,
et
~M duc de ~o~efïM.K,
La
tS'a!M<-C/<0!
M!M<Me/, La naissance
Z<'jE'?:~ety?<e~e?!<
j~foMe SM?* /e7\~7,
Les
Z.e./eMMe~MM:,
d'autres,
divers,
inspirées
par des sentiments
Deux
Ages,
Ce gue j'aime.
Les Vous et les Tu ont d'abord
été reproduits
dans Z/~<e)'a<M?'e
et P~~oso~/tte
mais soixante-douze
et soixantevers ont été laissés
de côté, douze ont été ajoutés
mêlées,
J.
Notons
(1).
Sainte-Marie
et
cependant
appartient
l'Imitation
à Victor
<OteeH,
Co<tM?'u.
Litt.,
I,
comme
Hugo
nous
Je verrons
-IV
10'
livrais.
tout
à l'heure.
p.
364,
4 vers.
Elle
est
signée
PRÉFACE
ont été donnés
deux seulement
dans le CoyMe/'ua<e:<
Litâpeuprestetsqu'ils.étaient
Ils ont. été reproduits
fois dans
téraire.
une seconde
Victor
édition
ne
~M~o ?~eo~<e,
on retrouve
le texte primitif.
u<ïr!'e<M~, et là, trois mots mis a part,
La Naissance
<< duc de Bordeaux,
Z,6: y/!0~ du duc de Z~'r<,
La tS'~<C'~a?7e~,
nous offrent
des changements
Ce que j'aime
peu importants.
mutuel
amusante
fois
Z/.E'?Me<y~/Me?:<
a. perdu une'note
déjà plusieurs
signalée
n'a
les
œuvres
de
Victor
qui
jamais
été imprimée
dans
Hugo.
avec
M. PInaud
de Toulouse
La correspondance
nous permet
de connaître
des
curieuses
.~M?' /e~V<7.
variantes
pour~o~c
d'abord
dans le ~ecMe<7</e'eM.K/?o?'~M.T?,
le
Z,e./<'M~e/~ï?M
imprime
puis dans
dans tes Odes et Poésies
Conservateur
~c<o?'
Z~/e~Mre,
</<Me?'~M, enfin dans
T~M~Q
mériterait
un
texte
définitif
on
en
note
tous
les
vers
refaits.
r<!f?o?!<e
auquel
ajouterait
en
du
/~ec!<e!7
des
Les Deux
Jeux
et du 6'OMMr~eM/'
Lit~yes
passant
floraux
dans
Victor
~~co/t/e
ont perdu cinq vers qu'il faudrait
leur restituer.
téraire
Hugo
nombre.
sans
CerAe6'e/Ke,dédiéa
Chateaubriand,
a subi des transformations
taine strophe
a été refaite
au moins
ou cinq
fois. M. Bartbou,
un
quatre
qui'possède
manuscrit
ode signalait
récemment
dans
la Revue
bleue (~ Dec.
de cette
1911,
des variantes
inédites
et l'on est porté a. croire
Hugo en compopp. 708-709)
que Victor
de la rime que par" un souci
sant cette ode fut plus guidé
par le choix
reHgieux.
A partir
il
trouve
facilement
le
de, 1821,
vers,
plus
l'image,
l'expression
qui
il n éprouve
rendent
sa pensée,
de corriger.ses
aussi les odes qu'il
idées,
pas le besoin
moins de modifications.
écrit à cette époque
présentent
Le Baptême
ne donnent
En t82l,
~M duc de ~o~t/eaM.'c,
CM~s~o?!
La fille d'Otaïti,
intéressantes.
pas lieu à des réflexions
En ~822, Victor
et Le 7)e~oMe~eM~
dans /a/)e.<<e,
Hugo compose
~o~~a~/e
puis
dont deux strophes
en 1828,
les
Louis
or a part ~o~a/M!
ont été retouchées
XVII;
il imprime
son
ont subi des corrections
Cette même
deux autres
année,
peu notables.
recueil
C~/e.s' et Poésies diverses.
Les odes qui paraissent
fois,
pour la première
premier
un texte à peu près définitif
mais les odes déjà publiées
une douzaine,
nous présentent
subissent
l'influence
du moment.
C est alors qu'elles
une forme
reçoivent
qui ne variera
accentuée.
Le poète, royaliste
et catholique
plus et une teinte religieuse
plus à la surde l'âme,
donne
une
à des oeuvres
neutres
chrétienne
face que dans l'intime
empreinte
Oh s'aperçoit
des noms,
des images
se livre à l'épar des expressions,
jusqu'alors.
qu'il
et de la Bible.
tude de la religion
la même
Les années
1823 et 1824 nous laissent
Victor
donne
Hugo
impression.
aux Tablettes
et à la ~fM~e française
A mon père
et La Bande
Jéhovah
Romantiques
une seconde
édition
de ses Odes puis ses Nouvelles
Of/e.f. En 1828,
Noire.
Il publie
il a revisé
dans les Odes et ~'a/~</e~
les pièces de 1823 et de 1824, sur
presque toutes
Le Repas
La Liberté,
La G'~aMe~ere,
mais ces retouches
tout La Z~:</e./Vo!~e,
libre,
sur la Bible
sont œuvres
de poète et non de penseur.
lise la fameuse,
Qu'on
strophe
dans 6'ra'6~We?'e.
La strophe
de 1824 est lourde
et embarrassée
et légère
gracieuse
est-elle
devenue
Vie
est celle de 1828. La pensée
On peut en douter
plus chrétienne?
tor Hugo
Bible un simple
missel.
appelle
D'ardentes
discussions
se sont établies
à propos des articles
de critique
donnés
par
Z.<«~'a~'e.
Faut-il
a notre
tour prendre
a la lutte
Victor
part
Hugo au Co~e~uQ;<eM)'
et nous demander
raisons
l'ont poussé
a ne pas les reproduire
tous dans
Littéquelles
t'a~Mre
et Philosophie
à les tronquer,
à les amalgamer;
à y ajouter,
à suppri?~/ee~,
mer des noms et à les remplacer
par d'autres.
Il a laissé de côté certains
revues
articles
qui, en 1834, n'étaient
plus d'actualité
littéraires
ou poétiques,
articles
sur les Beaux-Arts,
compte-rencritiques
dramatiques,
de
tombés
dans
dus
livres
l'oubli.
des ouvrages
A dix-huit
avait
ans, son ardeur
par des
juvénile
signalé
composés
de leur talent
amis à qui il était heureux
de rendre
service
et il avait fait l'éloge
ignoré.
v
PRÉFACE
A trente
aans l'ornière
loin derrière
lui
ans, il ne. se souvenait,
plus de ceux qui gisaient
sa marche
et triomphante.
et n'avaient
pu suivre
rapide
H avait certainement
aussi oublié
ces pièces de théâtre
qu'il avait jadis applaudies,
à son idéat actuel,
Rien d'étonmais qui ne ressemblaient
le drame
guère
romantique.
nant
à ce qu'il ait négligé
tous
ces articles
un volume
n'aurait
sum. Et d'ailpas
au sérieux
il se posait
en
en 1834,
ces articles
où jeune homme
leurs,
prenait-il
juge
du théâtre.
il fit un choix
de pensées générâtes
infaillible
Alors
habilement
qui ne
en effet à prouver
que sur ce point
pas trop avec ses idées du moment. II tenait
juraient
il n'avait
pas trop varié (1).
Au contraire,
en 1834, il se faisait
illusion
suria
ferveur
de son royaHsme
et de
de 1820. 1J a voulu
alors
montrer
évotué
en politique
et
son christianisme
qu'il avait
il a accentué
des
en religion
et. volontairement
cette
évolution
par un choix judicieux
morceaux
des suppressions
habi)ement
faites.
reproduits,
additions,
par de petites
et M. Biré un peu
Il a eu l'intention
de tromper
son lecteur,
le fait n'est
pas douteux
durement
s'est, donné
le matin
de rétabtir
les textes
et. les dates.
Ce n'est
plaisir
pas
chose
facile..
toujours
f/'MM ~'eM~e ~'f<co~e
de 1819
avec le Co/Me/'M/eM?'
~«ele Journal
Comparer
~fM~e nécessite
en effet un labeur
mai's offre d agréabtes
véritable,
jouissances.
de
teHe
a présidé
est
se
demande
méthode
façon
composé
qu'on
quelle
journal
de )8i9
a <824,
à ce travail.
On dirait
vo)ontiers
a pris ses articles
que Victor
Hugo
les a relus
attentivement.
Certains
lui ont plu dans leur
H tes a mis de
entier,
qu'il
d'autres
mais des phrases,
des pages
lui ont faiC
côté tels quels,
l'ont moins
intéressé,
et
il les a encore
conservées.
Puis
il s'est
amusé
à brasser
tous ces papiers
pJaisir,
il a pris un article,
dans le tas au hasard
feuillets.
puis quatre ou cinq
puis un article
des feuillets,
il a disposé
des dates,
des sujets,
-et encore
le tout sans
s'occuper
ajoutant. çà et. là un titre,
une date.
Noire
semble
fantaisiste
et
bien
hypothèse
pourtant
se vériner.–
'de onze
souvent
elle paraît
Prenons
i'artic)ej~M/Ot?'e
qui se compose
il appartient
assez distincts.
Re premier
est du 5 février
i820,
paragraphes
(pp. 43-46)
à une critique
de r/<o<~ede
le 2e (pp. 47-49)
doit être de 1834
le 3e ()'p.
50Velly;
le 20 mai 1820
il fait partie
d'un
article
sur Awto~c
de'-W.
le 4"
Scott
51) parut
est du i7juin
à un compte-rendu
de Z~a-OM~
1820, it est emprunté
(pp. 52-53)
de Thomas
les 5", 6e, 7~ (pp. S4-56) parurent
le 20 janvier
)82l dans un article
Moore
sur )W/<0!?'e
le 8* A ?<M ~o~'eM
1820
de Dufau
(pp. 57 59) nous ramené au 5 février
et à !'7y<~0!'7'e
de Dufau
le 9e, ~'a?/?'6t<< f~M CoMy~e~
/~<ï~pa;y
(p. 60) du 2 septembre i820 appartient
aux Va~te~
et ~VoM~e//e~ Z<<«e?'at?'e~
le i0~, ~4/)?'e~ M7te /ec<
fait partie
~< ~o/ït~eM?'
d'une
de t'ËM<M~'e'e/!
-?7.94,
critique
dramatique
(pp. 61-63)
il est du 31 mars 1821.
Le dernier
nous reporte
au 20 janvier
1821 et à
(pp. 64-65)
de Dufau.
l'oxre
n'est
une
affirmation
en l'air
Zt~eici. Le i" septembre
1833,
(1) Ce
point
que nous
apportons
l'~t~'ope
ra:t'e
I.
livrais.
l'article
7'/t<'a<?'e
et
mêlées,
6',
(t.
97-98)
imprima
(/«e's~t?'e
95-102).
pp.
/'A:7(MO/)At'e
pp.
le même
L'ordre
n'est
mais
les deux
sont
Cet article
est emprunté
au
Contextes
pas absolument
identiques.
M?'M<eMr
Littéraire
livrais.9'.
t. II,
6'. février
1820,
(t. I, livrais.
1820
pp. 227-228
pp. 350. 351, 3S2. 3S6. mars
t.
livrais.
12'.
mai 1820,
III,
livrais.
Le
29
mai
Z~<e?'a:)'e
78
27',
1821.
p.
janvier
pp. 276-277).
1833,
l'~Mt'ope
donné
une
de la Pre/aee
de
Littérature
e< Philosophie
avai.t
(t. I, n" 29, pp.
157-159)
déjà
grande
partie
mêlées
milieu
de
ta
Z/a?'<
est
MH
la
L'art.icle
du 1" sepà
6oK
(du
13,
p,
point.
jusqu'à
fin).
aM/OM~tM:
était
de
la
note
suivante
«
la
du
entre
tembre
théâtre
précédé
longue
Aujourd'hui
que
question
s'agite
M.
Victor
et le passé,
voici
des
notes
lira avec
intérêt.
Elles
ont
été écrites
en
1819 par
Hugo
que le public
M.
Victor
sur
un
de
manuscrit
du
consentement
de
veut
bien
nous
commui.
l'auteur,
Hugo
espèce
journal
que
la
le
M.
Victor
avait
alors
seize
ans.
On
sera
sans
doute
curieux
de
niquer
personne
qui
possède.
Hugo
ses
ses
a
II
actuelles
avec
d'alors.
L'illustre
varié.
le
comparer
opinions
paragraphe
opinions
poète
peu
Excepté
et
le paragraphe
IV qui
encore
évidemment
sa pensée,
nous
n'expriment
plus
croyons
qu'il
signerait
aujourd'hui
ce qu'if
écrivait
en 1819.
C'est
un fragment
de théorie
très
hardi
et où l'on
trouve
pour
l'époque
déjà.
cà.
et là le germe
de toute
une
révolution
littéraire.
sont le gland
dont
la préface
de
Cromwel
est
Ces notes
» Cette
note
sa
le
chêne.
certainement
la
de
Victor
elle
est
sortie
de
exprime
pensée
Hugo
probablement
d'en
relever
les
inexactitudes.
plume.
Inut~e
en
les Feuillessans
date
ont paru
aussi
dans
et Philos.
mêlées,
Signalons
passant
que
(Litt.
pp.
217-227)
19 sept,
rêveur.
VICTOR HuGo.
sous
le titre
Pensées
d'un
1833,
l'Europe
Littéraire
(n°ll,
pp. 237-239)
·
PRÉFACE
n'ont, pas tous
à ~histoire
Victor
articles,
on le voit,
rapport,
Hugo s'en est
et alors
avec
une habileté
reconnaître
il leur
a donné
ce qui leur
aperçu
qu'il faut
Lisons
Littérature
et /~7<MO/?~!e
mêlées
et nous allons
nous
manquait.
page à page
en convaincre.
A la page 43, il a ajouté
à la 2e ligne le mot. /<<yM<M,
aux lignes
à la page 44, il a recommencé
et a ta page 46,
6 et 9 le mot histoire,
à la <" ligne,
derniers
alinéas
les deux
sont de 1834.
Si le deuxième
paragraphe
(pp. 47-49)
que
nous n avons
est de 1834,
notre supposition
en est confirmée.
A la page
pu retrouver
bien dans
ont subi
une transformation,
Victor
54, les premières
lignes
Hugo
parlait
mais dans
le Conservateur
Littéraire
de Vottaire
et de sa manière
d écrire
l'histoire,
il a voulu
Littérature
et- /<MO/)~<e
mêlées
rendre
la chose
évidente
aux yeux
de
Voltaire
comme
~~<oy'<e/
A la page 55, il y a toute
une
tous et en 1834 il écrit
entre
l'historien
et l'historien
comparaison
cosmopolite
patriote
que nous ne trouvons
en 1834.
A la page 56.
elle a été composée
Z.</<e~<?'e;
pas dans le Co/Me?'ua<eM?'
en dire
autant
d'une
nous
devons
sur « l'historien
qui ne trouverait
phrase
étranger
«
M. La même
certaines
l'homme
du pays
expressions
remarque
qui sentent
jamais
les
deux
de
«
Tout
historien
65
la page
s'tmpose
pour
premières
lignes
qui se laisse
« faire par l'histoire
et qui n'en
domine
est infailliblement
submergé
pas l'ensemble
« so.usles
». Elles
détails
sont
de 1834 et rappellent
admirablement
bien
au lecteur
lui parle de l'histoire.
que l'auteur
l'article
Histoire
mettent
en
/<ev/~ay?M<'yï<~6~ec/'t<!yMe(pp.
67-93)
qui suivent
défaut
notre
théorie.
Victor
les a placés
en respectant
les dates
le premier
est
Hugo
du 4 mars,
du
du 29 janvier,
le deuxième
le troisième
du 1~ avril et le quatrième
15 avril
1820. Ils ont de plus une
certaine
étendue
et sauf quelques
phrases initiales
le lecteur
du sujet traité,
ils n'ont
en 1834.
placées
pour avertir
pas été trop recomposés
font
Notons
les deux premières
de la page 93. Elles
admirablement
cependant
lignes
« Voici donc
dans
et sont
un éloge
enfin des
bien
l'article
pour Lamartine
parfait
d'un poète,
des poésies
qui sont de la poésie ». C'est en vain qu'au 15 avril
« poèmes
1820 le lecteur
les chercherait
dans
le C'oyMe~'t~eM?'
Littéraire.
Elles n'ont
point été
à l'adresse
de Lamartine,
mais elles forment
le commencement
d'un article
composées
le 24 mars 1822 dans le journal
l'Etoile
à propos de Poèmes,
Hugo imprima
que Victor
le Somnambule,
la /e
d'A. de Vigny.
de Jephté,
Héléna,
etc.,
Les neuf paragraphes
sur le Théâtre
a des critiques
dra'sont bien empruntés
Victor
de ses articles
il a pris six coupures
à propos
matiques.
Hugo a choisi
quatre
de la ~fa~'t'e
Stuart
de Lebrun
une sur le C/ou:s
de Lemercier
(() (1" avril
1820),
et une enfin sur Jean (/eZ~M~yo~?!e,parde
Forment
(12 février
i820)
(6 janvier
1821).
au petit bonheur,
il a mis une certaine
variété.
!1 va de LeIl ne les a pas disposées
brun
à Liadières,
de Lebrun
à Lemercier,
de Lebrun
à de Formont
pour finir par
Lebrun.
Pour
l'article
il serait
au lecteur
toute !a fantaisie
Fantaisie,
trop long de montrer
au choix et à la disposition
des morceaux.
Là vraiment
notre
amusante
qui a présidé
théorie
aurait
sa raison
d'être.
Les dates
se mêlent;
les années
se croisent
on va
au compte-rendu
à prod'une
d'un volume,
une préface
d'éditeur
critique
dramatique
de Voltaire
sur un moraliste.
Le Conservateur
pos des Lettres
précède un article
le Réveil,
l'~o~Ye
mis à contribution.
a été découpé
en
ont'été
Un article
Littéraire,
Tant
s'its se
morceaux
de droite'et
de ngauche.
mieux
plusieurs
que le poète a semé
ce qui n'arrive
suivent,
pas toujours.
L'étude
de Victor Hugo qui nous,révèle
toutes
ces choses
vraiment
bibliographique
à part
les
curieuses
nous montre
aussi
de 1819,
que le </0!<rMC[/ (/!<M~eM~e~aco~!<e
retouches
dont. nous
en entier
aux années
indiquées
par
parlons,
appartient
presque
a
articles
de
ce
Journal
Victor
It
à
deux
ou
trois
Hugo.
n'y
proprement
parler
que
Ces
(1) Notons que Victor Hugo en a égaré un morceau
tirés de la Muse française.
§ Vt) au milieu d'articles
dans
VI!
/<<e~ au
hasard
(Litt.
et Philos.
mélées,
p. 287.
PRÉFACE
nous n'avons
trace et qui ont été composés,
nous semble-il,
en 1834,
pu retrouver
au commencement,
un autre
vers le milieu,
le troisième
termine
le ./OMi'a/.
Ces
ont-elles
été disposées
avec intention?
On peut, se le demander
elles
seraient
pages
alors
ordonnées
dans un ouvrage
où l'ordre
fait défaut.
Le premier
article
de la Russie(Z<:«ey'a~'ee<7<~o/)A<eM!~ee~.
est sur l'avenir
Victor
donne
il
pp. 47-49)
(1). Au second
(pp. H1-H2)
Hugo
pour date .Aur<7 1820:
t.raite de l'année
iittéraire
1820 (2). Victor
se plaint
de la pauvreté
de la poésie
Hugo
« Force
en cette année-là.
force vaudevilles,
de thévers, dit-il,
point de poésie;
point
« Quand
« àt.re », et il termine
donc ce siècle
aura-t-i)
une H'.tératureau
par ces mots
« niveau
de son mouvement
des poètes aussi grands
Estsocial,
que les événements?
bien en 1834 el. il se chargeait
a la même
ce en 1820 qu'il se pose cette question?
Non,mais
« I) y a déjà dans la nouvelle
née avec ce siècle des co'mépoque
d'y répondre.
génération
« mencements
de grands
Attendez
années
encore
poètes.
quelques
') (.7<e~<M?'cc<A<un peu enfantin
de faire après coup des promêlées,
losophie
p. 130). C'est d'un orgueil
On devine
ainsi facilement
l'avenir
de
qui est le passé et l'on peut sans crainte
phéties.
se tromper
prédire
sa propre
gloire.
il
Dans
le troisième
article
et 7~7o.90/~ï'p
mêlées,
(Z.!«e?'a<M~<;
pp. 171-i'73),
de même
ses variations
en politique.
n'ont
été écrites
en
Ces pages
prédisait
point
décembre
en 1834. M. Biré i'a prouvé
surabondamment
1820, mais tout bonnement
(3),
n'a
mais il a oubiié
une preuve
Victor
entendre
en
1820
son
Hugo
pu
père proférer'
la parole
fameuse
le <eyM/
est de /'o/j<M<o~ de sa Mï~'e,
Laissons
/a<e
Z/eM/6:K<
/oyM~c
sera
moment
Je générât
puisqu'àce
séparé
</e/'o/)MMOMf/e.~o?ï/)e~e,
Hugo,
de sa femme el. de ses enfants,
on
aucune
relation
avec
eux.
Dans
n'avait,
peut dire,
un atavisme
cherchait,
une excuse
a son évotution
Victor
inconscient,
Hugo
politique
il
et voulait
en 1834 prouver
dès
1820
les
hommes
't
les
événements
que
savait
juger
et que déjà « l'expérience
en lui l'impression
faite par !e premier
des
modifiait
aspect
« choses
à son entrée
dans In vie H.
7S./9
est loin de renfermer
tous les articles
composés
Z<c~OM?~!a/M~/<'<co&~eo~e
vers 1820 puisque
au
moins
n'ont
par Victor
Hugo
quarante
cinq
pas été jugés dignes
il est utile d'y revepar tui d'être reproduits.
déjà dit un mot mais
Nous en avons
nir.
a négHgé
les
Victor
toutes
/~euM~
Z!«e/e~
une
7~eHMe /)oeHugo
(4),
trois
articles
sur
les Beaux-Arts
<:yMe (5).
(6), -onze
(7).
critiques
dramatiques
dont
l'un
une//t'<o:ef/e/a/<:M.<
(1) En 1820
parut
Journal
des Débats
iS. 10. 12 décembre
mcme
sans
sait.
sujet
i'imprimer?0nne
On
(2)
en!pruntés
Le second
(3)
trouve
tous
(t.
E.
enchassés
deux
au
livrais.
iiï,
BiRÉ.
Victor
de
1820).
dont
Karamsin,
aurait-il
ttugo
Victor
Z
compose
dedans
deux
morceaux
l'un
sur le ;)/o<t0~/er<'
de
Conservateur
Littéraire.
Le premier
livrais.
(t. H.
~4e.
de novembre
1820,
p. 142) est
/~M</o
avant
1830,
pp.
(Hon'man)
a cette
W. Scott
12'.
p.
rendit
époque
compte
un article
dans
sur
le
le
l'autre
sur M. Decazes,
est
d'avril
1820.
bien
54)
et
188-193.
25 décembre
t. 1. hvrais.
Les
trois
nuits
d'un
Littéraire,
1819.
(4) CoMM~);<!<eur
2',
pp. 77-80.
~OM~eu.ï:
avril
t.
Neufchateau
et .'tM~M<oMK<!t?*e~f/e/?'?'<<OM.
15
livrais.
1820,
L
10', pp. 393par Vieillard
poème
et ~e?'riut!apar
de la comtesse
de Salm
t. II, livrais.
13'. pp. 115-11C,
396,jE'/):<?'e
Saint-Prosper;3juinl820.t.
Z~
Plaisirs
de Clichy
et Lithographie
de
~M/.
les
de
la
Chambre
morale
~)/e?n&
des
Députés
et politique
10 juin
t. L livrais,
et Nos
de
14', pp.
168-170,
~VM:~ ~?'a~aMes
de d'EgviUy
1820.
T~ey/'e~
par le Chevalier
Port
de Guy
t.
livrais.
.;Ya;t~')'e<!M:
Ma;:e~
du
duc
II.
16',
288.
1820,
l~juittet
p.
/~Ot?:Ma~f~e<Ot)eM<?/e~f
de Berry
9 décembre
t. III,
livrais.
à Dieu
de
Port
de Guy.
26*, pp.
242-243,
1820,
~'p:<)'e
par le chevalier
Carmen
de Carr,
sur
A
Berri
-S'ao'Mm
Dissertation
la Ce.!M)'e.
traduction
la
duchesse
de
Boulard,
par
par
de Labaume.
Bérenger
de
(5)
Conservateur
volumes
de
petits
Gabrie),Aug.Richomrue.
Conservateur
(6)
Littéraire,
vers
que
lui
21 octobre
1820,
avaient
envoyés
t.
III,
cinq
)ivrais.
auteurs
86-96.
Victor
pp.
Hugo
de
Labouïsse,
Reymond,
26'~
rendait
Gasp.
compte
Descombes.
de
5 août
4 novembre
tivrais.
littéraire,
t. )!, tivrais.
t. III,
1820.
18',
296-299
1820,
pp.
9
décembre
t.
dans
ces
24'. pp.
1820,
III,
livrais.
On remarquera
trois
articles
145-147,
26',
pp. 229-230.
qu'il it
est souvent
du duc
et de la duchesse
de Berry.
question
Conservateur
11 décembre
t. I, livrais.
15
Le Frondeur'de
littéraire,
1819.,
l",
pp. 30-35,
Royou
(7)
t.
livrais.
Brifaut
de
I,
3',
109-114.
de
et
janvier
1820,
Dieulafoy,
Sophie
pp.
Olympie,
ZeMa~MMafe~'OMena;
29 janvier
1820.
t. I, livrais.
Les Comédiens,
de Cas.
25 mars
t. t. livrais.
4', pp. 150-158,
1820.
Gay
Delavigne
Charles
dé Navarre,
de Brifaut
15 avril
6 mai
8',
1820,1.1, Hvrais.
même
10',
pp. 307-311,
p. 382-392,
sujet
Vi)t-
PRÉFACE
r
o
dix-neuf
articles
de
littéraire
ou artistique,'métanges,'actuatités
critique
(1),
de
revue
articles
tout
Ajoutons
que quatorze
genre,
critique
dramatique,
poétilittéraire
des ouvrages
de ses meilleurs
amis n'ont
mérite
ses
que,
critique
yeux
toute
si
même
dans
certains
cas
ne
semble
petite
qu'une
place,
petite
que
personne
s'en
être aperçu
ne pouvons
ne pas parler
en particulier
d'un
article
de
(2). Nous
l'-E'/o<7e du 24 mars
1822 sur les Poèmes
de Vigny
dont Victor
a extrait
seuleHugo
ment
le début,
dans
son article
sept lignes.
Il a glissé les deux premières,
oqui forment
sur les J)~e</<<<!<!0?!& de Lamartine.
des poé« Voici donc enfin des poèmes
d'un poète,
« sies
de la poésie
et Philos.
les
mêlées,
qui sont
» (Litt.
p. 93). On retrouvera
c'est-à-dire
la conclusion
au bas de la p. 1S9 de Z./</er~M?'e
et Philocinq dernières~
Il les a jetées là, dans un coin, comme
en passant.
Elles n'ont, d'ailleurs.
sb/)A«? mêlées.
aucun
avec les Poèmes
de Vigny.
Le cas est curieux.
On dira bien que Victor
rapport
dans Z~e~a/M~e
et Philosophie
mêlées
nommer
des
Hugo de parti pris n'a pas voulu
auteurs
vivants.
suffisamment
leur auteur,
« le
les Méditations
Cependant
désignent
a-t-il accordé
à Lamartine
un éloge
1822 il
poète
paru en i820
qu'en
puis pourquoi
0
t. H, livrais.
Le f<a«eMr,
de Gosse
et l'Homme
de Mervitte
10 juin
1820.
t. Ivraisl.
ti.
H',
pp. 31-37,
poli,
10
t.
livrais.
,0<tme
160-165,
/)en:ë<rtMS,
1820,
If,
14°,
16S-167,
/,<:
14',
Delrieu
tt0/?'e
pp.
par
pp.
t"'juittet
juin
1820.
t. )!, livrais.
le Folliculaire..de
Delaville
de Mirmontet
16°, pp. 223-231.
I'~}W~<e
ay?:&:<:eMa:.deThéauton;.
5 août
t. II. livrais.
et Périclès,
Viennet.
Une
dans
~*art.!
ou
18',
310-3)4,
1820,
pp.
~4xp<M!'e
par
promenade
Près
18
novembre
1820.
t.
livrais.
De
et de Loin
25'.
Clovis.
Viennet.
Notons
deux
III,
20)-208.
pp.
que
par
sur
les
6':c:eKKe.!
de C. Delavigne
IX
de Ancelot
articles
et Louis
t. I, )ivrais.
2
Litt.,
t~ëpre.!
(Consert).
66-69
et
livrais.
et
Më/ëM
ont
été
4',
133-145)
pp.
pp.
négligés
par Z:Më?Y;<M?'e
7~A!7oxopA:e
reproduits
depuis
dans
V:e/o?'
437-446.
raconté,
Hugo
pp.
1820.
25 mars
t. I, livrais.
du Musée,
littéraire,
1820,
8*. pp. 290-293,
~H7M~
~a/0)to'e~S.<9.
(!)
Cc":M?'ca<eM;'
25
mars
t.
L'Ecole
du
Z,'a?'<
du
1820,
livrais.
8°.
298-307.
Cavalier,
Millet,
Tour,
par
Lardon;
pp.
par
par
25 mars
sur
l'assassinat
du
f~Me
de
Tezenas
Libois
1820,
t.
livrais.
8*, pp. 307-311,
~e?'t'
/)/</tyt'aM&e
par
de Montbrison~
Ode sur
la mort
du duc de Be?'7'
des Charmettes,
La /ranee
aux
MOKM
par Lebrun
royaliste
duc
20
mai
t.
livrais.
du
de Berri,
U.
Institut
1820~
12',
72-74,
parSaint-Prosper;
pp.
séance
publique
10 juin
annuelle
des 4 Académies
avril
1820.
t. Il, Hvrais.
Lettres
ef
(24
14'. pp.
1ËS-145,
~/t'mo;t'e~,
~S~O~
Pièces
touchant
Vie
et
la
~)/0!'<
du
duc
de
5
août
la
t.
11,
livrais.
Bfrrt,
Chateaubriand
1820,
M</te't<MM
par
de France.
CM/Mfe
du cours
de
de Tissot
19 août
321-325,
/<z<t;te
1820.
t. I!,
18'
Collége
royal
poésie
pp.
)ivra)S.
Z.e.!
~*MMMM
de
2
1820.
t.
livrais.
./)/<MMe<
19'.
H,
20°, pp.
394-395,
pp. 351-358,
~OMAM~ue<
septembre
t. III.
de
9 septembre
1820.
livrais.
7/M<!<M< royal
de France.
Séance
21', pp. 31-37.
?'60'M<en!e/:<
~/<a)tyet'.
annuelle
~e
7 octobre
1820,
t. III,
livrais.
22'.
50-64.
d'accusation
"co):<r~
le duc
~!M<-ZoMM
pp.
/'ro/e<
sur
le
Comte
2t
t..
livrais.
0&e?'ua<!on~
cet
écrit
octobre
1820.
111,
23',
119-120,
/)eca~e.s',
par
d'Argout
pp.
la
</e A'anfex
4 novembre
t. III,
Séance
de
Société
1820,
livrais.
24'.
155-158,
publique
aca~et/<yMe
pp.
aux
rédacteurs
du
CoK.serKO/eMr
Littéraire
une
17
février
(c'est
1821,
Correspondance
critique
littéraire)
t. Il
~'Ot'e.Me
17 fevrierl821.t.
livrais.
livrais.
29'.
338-345,
/)e~0)'<a~ore;
t. III,
29',
pp.
pp. 345La Matinée
du
29
de
31 mars
1821.
t. III,
livrais.
346,
30',
Odes,
septembre,
poème
7'a~t!/ra<;
pp. 385-388,
Antoine
~/emo:t'e~
de
la
Société
d'émulation
de
Cambrai,
Chartes,
388-389,
389-392,
par
pp.
pp.
Co)'?-MpO!tdance
aux
rédacteurs
du
Conservateur
Littéraire
sur
la biographie
des Con<e~)o?'a:x.
et des Arts,
9 juin
t. ))!,
Recueil
~t/t)t<
de la Littérature
livrais.
379-392.
de /'j4ea</ëm!c
1821,
36'.
pp.
des Jeux
Floraux.
Choix
M0!'a~
des
Lettres
Me
Mme
de
13 mars
~Vo<!ef
~K?' Mme
de
1824.
.9ec:tte.
/ë/'aec.
~ëc~ttë,
t
13
Boulland,
B.
F.
mars
n°
1313.
xix-xxx,
in-18,
Paris.
1824.
pp.
19 décembre
t. f, livrais.
Un moment
Conservateur
Littéraire,
1819.
2', pp. 70-76.
cof<mp)'M~e;:ce,
Wamard
La
et
A.
et
Somnambule,
vaudeville,
Scribe
Ca<~e<oK.s'M/
/'<'oFu)~ence,
par
par
Delavigne,
des
et
Carmouche
Z.!«.
et Philos.
12 féC!t/
~:c~!e?ty:es,
(cf.
parodie
t~ept'M
par
Dupin
me/ee.
p. 138)
vrier
t.
Clovis,
de
Lemercier
~:«.
et
/ti<ns.
1820,
tivrais.
6',
217-228,
Mtë<ë<
(cf.
pp.
Népomucène
;6 mai
t. 2, livrais.
11°, pp.
Œ'MU?'es
de
Delille
/.i«.e<
Philos.
13-20,
fcf.
mélées,
'p.
98)
1820,
posthumes,
17 juin
t. 2, livrais.
Thomas
Moore
et
1820,
Philos.
M~1S',
~a~a-TtouA'/t,
(cf.
p. 119)
pp. 180-187,
par
22
t.
fivrais.
1820,
n.
etc..
17',
!ëe.!pp.
S2-53);
juillet
pp.
134-142.euMepoë<!<yMe.6~a&OM!s'e.
C!'pe;?'e/,
et Philos.
5 lignes,
4 novembre
t. H), livrais.
24°. pp.
~)/<'mo/res.
mêlées,
1820,
134-142.
(cf. Z.!«.
p. 157)
pa)'
le vicomte
Donnadieu.
le Comte
de 6'HtH<M/a:t'e
~!«.
et
Philos.
Me/ëex,
(cf.
Réponse,
par
quelques
lignes
à la p. 1)2~
6 janvier
t.
livrais.
27',
de
Litt.
et
1821,
!!).
289-265..Z.'o&Sf'rM~M)'.
pp.
Saint-Prosper
(cf.
la
6
t.
Philos.
à
)ivrais.27'.
e~
GuillauMë/ëM.
1821,.
III,
279-284,
p.
153)
janvier
pp.
Eugène
quelques
lignes
me et Don
articles
et deux
de Lefèvre
H. et M. le début
de l'article
surdon
CarCarlos,
(il y a deux
signatures
los est dans
Litt.
et
Philos.
Më/eM.
139-140).
pp.
L'Etoile
du 24 mars
articte
.r
les Poèmes
de
et Philos.
93 et 159;
on
1822,
(cf. Litt.
nië/ëe.s',
Vigny
pp.
en trouve
sept
lignes.
1822
contient
deux
articles
sur
de Lamartine
Le Réveil
des 7 et 10 décembre
les ~/<<<a</o<i.!
et le 7*mpet
Philos.
?7!C/ëM
Le
du
19
février
1823
un
de
~<.
Réveil
contient
article
(cf.
153-156).
piste
pp.
Vigny
sur
le PorriCM/e
de Jules
Lefèvre
/«.
et
Philos.
më~ëe.
~cf.
pp.
157-)59).
La Muse
15 mat!
livrais.
contient
un article
sur
1824.
11°,
Eloa
(t. H.
française,
pp.
275-286)
de Vigny
et Philos.
mèlées,
(cf. /«.
pp.276-278).
;2)
médie.
–!X–
PRÉFACE
&
décernait
a de Vigny.
raison
accuse
Victor
d'avoir
Biré aurait
peut-être
lorsqu'il
Hugo
eu honte
de amitié
a son cherAtfred.
qu'il portajadis
Enfin
il est un point
sur lequel
il convient,
en terminant
cette préface.
d'insister
Victor
des journaux
le critiquaient,
souvent
Hugo s'est plaint assez
qui l'attaquaient,
» (1) Ses
amis
ou « n'honoraient
son pauvre
recueil.
la
pas d'un article
répétaient
même
antienne.
Dans les ~L~/M/e.9 de la ~<<<ï<M~e
et des Arts
avant
(2), Saint-Va)ry
la conduite
i) se demandait
si la supériorité
lui avait critiqué
des journaux
quotidiens.
les offusquait
un sentiment
bien bas les aurait,
alors
d'Hugo
poussés.
Qu'importait
d'ailleurs
à Victor
ce
un
homme
heureux
l'édition
silence
?
C'était
de ses
Hugo
puisque
Odes était
sans annonce.
Les
et amitié
de Chateaubriand
et. de Laépuisée
éloges
mennais
étaient
une compensation.
se p)aignaitégatementdusi)encedes
A. Trébuche!
de Victor
et du peu de cas qu'ils
faire des ouvrages
sembtaient
journaux
parisiens
(3).
Celui-ci
et ses amis avaient-il
raison
de se plaindre
si fort de la presse
Je
parisienne.
ne le crois
pas.
D abord
Victor
devait
une certaine
reconnaissance
aux journaux
dont il
Hugo
avait
utilisé
les critiques
tes siennes
dans
le Conservateur
dramatiques
pour écrire
En comparant
en effet certains
de journaux
et ceux que Victor
Z<<7<e/'a~'e.
articles
Huà la même époque,
on s aperçoit
facilement
d'une
go composait,
que sans les copier
manière
il leur empruntait
des idées et des jugements.
Le ./oM~a/</M
Débats
positive,
du 29 janvier
à propos
des Comédiens
de
(1" janvier
1820) lui a servi pour sa critique
Casimir
Il
tu aussi
le numéro
du 3 janvier
et l'a utilisé
du
Delavigne.
pour un article
4 mars sur les 7~'o/.s c~a?!~
de /'7/<<M/e de Bignan.
Le 6 janvier
1821, il écrit sur la
et 6'M<7/MM~ïeque)ques
bien des ressemblances
avec les
pièce ~M~e~e
pages qui offrent
articles
du 10 octobre.
21 octobre
et 25 décembre
1820 du Journal
des
La
Z)e~<
du 4 mars
1820 tui sert pour étudier
le 25 mars
1820 ~r/e.~e./Vauar~'e
~M0/«'e~?te
de Hrifaut.
La QMO<«/«;MMf du 5 juin et le /)/'H~eaM
blanc
du 8 juin
1820 lui fournissent des matériaux
du l~jûiHet
i820. Peut-être
en examipour son article
Spectacles
nant de très près )eC's'uo!<eM~
Littéraire
et les journaux
de l'époquc
pourrait-on
rencontrer
d autres
concordances
curieuses.
Victor
dû aussi
de leur amabilité
à son égard.
remercier
les journaux
Hugo aurait
Ils inséraient
fait dimcuité
volontiers
ses œuvres
et n'ont
de recevoir
sa copie.
point
Disons
deux
ou trois
le
semble-t-il,
plus, on se l'arrachait,
puisque
parfois
journaux
même
de ses odes.
Les li,
le Ré12, 13 et 14 décembre
1822,
jour
pubtiaientune
veil. )a~Mo</(/t<'My:e,
te~/o/n<fM?'
les Annales
de la Z<:«ey'a~M~e
et des
~e~e/,
inséraient.
Louis
le 23 septembre
la Gazette
le 7)/'a/~eaM
~7'
XVII,
blanc,
1824;
</e 7~'a~ce et le -/û!<<a/
des Débats
Les T''M~c?'a<7/e~
de Louis
XVIII.
imprimaient
A peine a-t-it commencé
à versifier
(18 septembre
que le Lycée
/'ya'a<s
1819)
La
en
6'aMet~/<c?!c
1822 l'a~ac~
dédié aux (/e~ïo:'M//e.<
La
accepte
que reproduira
La C~M~e-6'o:M.
/t//e<O~M7t
trouve place dans
1821) insère
Foudre (5 juillet
]'t/tO'y<acA
des ~/M.'?e.s' (30 novembre
dans i~4/??:a~ac~
des Dames
1822),
~21 septembre 1822),
dans
dans
le
Atoïse
~?<r le
6'0!y':e~e/'a~;
!a~o/e(lojuin
1822),
~V'/ est imprifné
dans la /~OM<e(25
dansf~ta~ac~
des Muses
chrétienjuin 1822),
nes et dans
les ~<.s'e~ c~e~'c~?!~
Z,a M!or< du duc de ~erry
est
1822).
(30 novembre
dans ~e~a
de la Z<<</e/'a<M~e et des
publiée
(13 avril
1~20), puis dans les A?ï~a/e~
~4/
et de
(13 février
(8 février
1823) et dans le Réveil
1823). La C'OM~o/M!e de cy~~es
)a ~M~/re (5 juillet
t'yM~Mac~~e~
Dames
(t8 août 1821),
(2) septembre
~o.~
1822),
les /</t~/<~
de la ~<«ë/*c!/M?'e
et 6~/i~(l"
février
de réimpri1822),
1823) acceptent
mer Le ~/)<~7Me
du duc de Bordeaux,
La Chauve
Le LyJéhovah.
.S'OM~M, Le Génie,
(1) Correspondance
1815-1835,
p. 29, Lettre
)e
8
1822.
Poésies diverses parues
juin
)2)~M/M.t.VIH.IivrMS.94'.pp.M-70,20jui))eti820.
Trébuchet
à son père,
(3) Lettres
d'Adolphe
à J. de Rességuier
8 juin
-x-
et 14 juillet
du 22 juillet
1822.
1822. cf. Appendice.
Il s'agit
des Odes et
PRÉFACE
cée
armoricain
insère
la plupart
des traductions
des auteurs
latins,
6'acK~, .4e~cmey:tJe,
cottabore
aux Annales
Victor,
~M~'e~e~C~c/o~es,
C~a~e/e7~«~«'OM.
Hugo
et /t< ~y?'e,
Tt~oMe SM~- le Nil,
(4 janvier
1823) et il leur donne La Harpe
Romantiques
La Pille
Jéhovah.
A vingt
huit reprises
au moins,
dans l'espace
de quatre ou
e~O/a~
les revues,
les périodiques,
nous ne parlons
ni du
évidemment
cinq ans, les journaux,
Conservateur
ni de laJ~M~e
ont publié
des vers
de Victor
Littéraire,
française,
Hugo.
Les critiques
furent-ettes
que l'on fit de ses ouvrages
inspirées
par la malveillance.
a eu certainement
ou la jalousie
une bonne
de 1819
? Non, car Victor
Hugo
presse
182S. Nous avons
relevé
environ
cent
mentions
faites
de lui dans les jourquarante
de toute
naux
nous n'affirmons
tout vu et tout lu car il a dû certainuance,
pas avoir
nement
nous en échapper,
or voici les constatations
faites
cent. vingt
que nous avons
nous
entendons
lui sont
mentions,
annonces,
entrefilets,
favorables,
par là articles,
à peine sont des attaques
et à part. trois ou quatre
de parti,
vingt
inspirées
par l'esprit
les autres*
sont justinées.
On avouera
un débutant,
la presse
que pour un jeune poète,
s'est montrée
aimable.
Victor
fut toujours,
a-t-on
entendu
dans
l'art
de la réclame
il
dit, très
Hugo
de bonne
heure
son apprentissage.
I) n'eut
nous l'avons
vu, a
commença
pas de peine,
ses vers,
mais il a su varier
les revues,
les journaux,
les recueils
se faire
placer
pour
d'un public plus étendu
il ne quitte
mais il va facileconnaître
pas le camp royaliste
à l'est
ment de l'extrême
i) se hasarde en province,
et à l'ouest,
il
dro,ite à la gauche,
ne dédaigne
revues
les petits almanachs.
pas à côté des grandes
11 a le souci
de sa gloire
et de sa renommée.
Il fonde avec Abel le Co/ua<eM~
n'a pas encore
en fait une
Littéraire
mais celui-ci
paru
que le ./OM~M6f/ des Débats
annonce
aux
(20 décembre)
é)og!euse
(8 novembre
1819) el, un mois après
applaudit
de Chateaubriand
de la revue.
Le Co~e/a<<
succès
(3 mars
1820) vient à
anticipés
la rescousse.
Dansle
Journal
de TVe~e.~ (2 mai, 2 juin,
2 août,
20 août 1820) la plume
de Trébuchet
donne
une aide fraternelle
aieurs
La Quotidienne
(6 et 19 octoparents.
à son tour
son appui
Httérateurs.
Amicale
et; spontanée
bre 1820)
apporte
aux<jeunes
cette.réclame
est aussi accordée
aimablement,
a qui l'a demandée.
parfois,
il ne peut. composer
Mais Victor
fait plus
une ode sans le crier a tous les
Hugo
La Vendée
aussitôt
le Z)y'c'~eaM~/<??!c,
échos de la presse.
parait
la/~MC/<e<yM<<a<Me,
le poète en
la ()MO<M~eMMe t'annoncent.
Le (7oM~y'te~ et la /<e~oMMMee s en moquent
aussitôt
de ces attaques
ignorées.
profite
pour le dire bien haut et se faire un piédestal
Aa ~o?-<
o~Mduc de ~e~y,
la Gazette
de France,
le 6'o?:~ei''M~e:<
les Ze<
H écrit
leurs lecteurs.
Pour
~~<6'e
tres champenoises,
le ~t/OM~eM?' ~7/<M~s'e/'
(1) en avertissent
sur
le Nil,
le ./OM?~a/
sa voix celle
de Méty-Janin
dans
les
de Paris,
libéral,
joint
et à celle de Saint-Victor
dans le Z)e/eH~eM~
du GéLettres
L'apparition
champenoises
le ./OM?'Ma/</cs
le Journal
de Nantes,
nie est satuée
les
blanc,
Débats,
par Ic/)ra'/)eaM
Lettres
Nous pourrions
continuer
et en dire autant
de Quiberon,
Le
champenoises.
du duc de /?oy~eaM.K,'
Vision,
Baptême
Bonaparte.
de se plaindre
le 22 juillet
1822 à propos
de son recueil
d'Odes
et
Avait-il
raison
les journaux
le 15 juin,
la Gazette
de France
en fait l'anPoésies
diverses.
Ouvrons
le 25 juin, c'est le tour du.7oM?'Ma/</e
t'imite,
Paris,
nonce..le
la Quotidienne
22 juin,
Débats
le 26 juin et le 10 juillet,
l'Etoile
suit leur exemple.
Le yoM?'a/</e~
(14 et 16
les ~e<e~c/ta~)<OMe~(n''
de Juin-Juillet)
d'éloprennent
part au concert
juittet),
le 20 juillet,
les Annales
de la Lt~e~~M/'e
e<</e~~?'<~
contiennent
un long
ges.'Enfin
article
de Saint-Valry
dicté p:H't'amitié.
ce moment
nous n'avons
un
Jusqu'à
pu trouver
nous n'en trouverons
les Odes et Poésies
</<ue?'~e~. Tout au
mot de btâme
pas contre
(i)Z.e J/o/M<eMr <7)tt'M)'M~
de'voir
Viclor Hugo a l'honneur
nomme six auteurs
ayant publié des vers
de
ses
vers reproduits.
quelques-uns
–M
sur la Mort
du duc
de ~ery~
mais seul
PRÉFACE
la T~OM~'e (~30 juillet),
le Réveil
le
<:ont.rai)'t'
les louanges
continuent
dans
(22 août.)
et l'?o/les Lettres
</oMr/M/</e
t ~ot7e (1" septembre)
Paris
(27 août)
cAa~/)e~oMe\'
la
a dû lire avec
l'article
de Mé!y-Janin
/o/! (septembre).
Victor
Hugo
plaisir
dans
rend
sur la nouvelle
éco)e.
(~<</<e/~e
(29 septembre)
critiques
qui, après
quelques
la Foudre
du même
a l'auteur
à de hautes
destinées.
dans
justice
appelé
O'Mahony
lui aussi
future
du poète.
Si Victor
a attendu
quelque
prophétise
iagtoire
Hugo
jour
et
les longs artic)es,
il les voit se multiplier
X., dans le ~<<eM?'
(29 octobre),
temps
avec des
ne lui ménagent
dans les Débats
éloges
(17 novembre),
pas leurs
//o~Mïa~,
réserves
(1).
justifiées
La 2e édition
dés Odes
le même
accueil
Le Journal
des Débats
reçoit
(2i nola 0MO~<ey~:e
ie~eue!/(3l
décembre),
l'o<7e(30
décembre),
vembre)
(14 décembre),
édition
est
la (~Mo~(/<e/e
leurs lecteurs
(1~ janvier
1823);
préviennent
que la première
seconde
se prépare
ou bien déjà est en vente.
épuisée,
qu'une
I) est vrai
Han
d'Islande
a pourtant
subi de violentes
Mais, dira-t-on,
attaques.
et
la .fa~ore
1823
sans
valeur
comme
littéraire,
(31 juillet
journaux,
quelques
22 mars
et 30 avril 1824)
hasardent
des
11 mars
le Co?-.M~e
1823,
1824),
(14 août
les
à côté de fines moqueries.
Victor
Hugo
p)aisanteries
plus ou moins
spirituelles
citer que. trois ou
a-t.-il
ce n'est
très certain.
Mais
on ne peut
connues,
pas
guère
le dominer.
articles
de journaux
sérieux
où le btàme se mêle à 1 é)oge jusqu'à
quatre
le VoM~/M/f/e
le Me?'cMre
<~M XIXe
siècle (21 juin 1823)
Citons
(7 mars
1823),
un jugement
a ratifié.
où Thiessé
porte
que l'avenir
les annonces,
tous les enirefilets
si l'on met en regara
de ces critiques,
toutes
on est étonné
de voir
avec quel zèle Victor
Hugo et ses amis s'emptoyèrent
éiogieux,
du roman
le ~e~et7
et le ~~otr,
le 12 février,
le
en faveur
nouveau.
Le 4 février,
le Réveil
</OMr/«3;/ des Débats,
!'Z~7o<7e, le Co?!<7M<<OMMe/
l'annoncèrent
(18 février,
la 0MO<eM?:e
et 12 mars),
le Journal
de ~'ar:~
25 février,'22
mars),
(3 et
(24 février
en prociament
le succès
et ta va7
l'a~'
la Foudre
mars),
(20 octobre)
(19 avril),
leur.
Au total
neuf journaux
de toutes
de tous partis,
à plusieurs
nuances,
reprises,
des louanges
à l'adresse
de
ou par conviction
par politesse,
par amitié
impriment
Victor
e~/a~e.
Hugo et de //a~
Les Nouvelles
Odes et leur P/'e/ace
ont été elles aussi attaquées
par la .PaM</ore
14 août,
dont Victor
10 décembre
(2 juillet,
1824) et même
par l'Or~a/M~e
(21 août)
dans
le
ne devait
à subir
les coups.
à deux reprises,
Hoffman,
Hugo
pas s'attendre
ce qu'il
Jo~y~a~
des Débats
et 31 juillet)
s'est
de dire
à l'auteur
(14 juin
permis
être la vérité.
croyait
Mais
toutes
ces critiques
elles allaient
évidemment
aux ouvrages
On peut expliquer
la nouveauté.
Leur
dont elles notaient
les défauts,
aux opinions
dont eties
marquaient
les amis de Victor
dureté
avait une excuse
dans
l'admiration
outrée
que professaient
en 1824,
se montrait
Ch. Nodier
dans
la QuoHugo
pour celui
qui,
déjà leur chef.
avait eu « un
<<eMMe
/~a~ <s7a?!</e
(12 mars 18~3) n'avait-i!
que
pas osé affirmer
« débit, authentique
» La vérité
et légitime
de 12.000
était
tout
autre,
exemplaires.
Ch. Nodier
le savait
mais l'ami intime
de Victor
et l'un des créateurs
lui-même,
Hugo
du romantisme
le succès
d'un
tenait
évidemment
à grossir
outre
mesure
frénétique
Hvre~où
il pouvait
reconnaître
mises
en pratique
ses théories
les plus
chères.
Deux
le Réveil
à son exemple
inventé
de
avaient
journaux,
(22 mars) et l'~c~a~'
(19 avril),
à Vienne,
fantaisies.
le premier,
TTa?: d'Islande
traduit
à Londres,
joyeuses
D'après
à Ber)in,
avait servi à créer trois mélodrames
la
Saint-Martin,
l'Ambigu,
pour la Porte
un article assez dur de E. Héreau
dans la Revue Encyclopédique
(1) Il faut signaler
cependant
(juillet
1822. t. xv, pp. 16M-1T1). Victor Hugo, très mécontent
de cet article,
de la
écrivit, le 16 août 1822. au Directeur
du
revue qui refusa d'insérer
sa réponse.
I! ne semble
dans
cette
occasion
le
beau
rôle
fut
côté
de
pas que
Victor Hugo. La lettre de Victor Hugo
et la réponse
de Héreau
sont inédites.
Nous remercions
M. Charavay
connaissance.
qui nous a permis d'en prendre
XII
PRÉFACE
Gaieté.
L'~c/aM'
cette
information
sérieusement
en, prétendant
appuyait
que la censùre avait interdit
drames
tires de ~a;?ï f/'7.9/6!?ï</e. Saint.-Vah'y,.
plusieurs
1823,
en juin
écrit Thiessé
un peu vive pour
avait
une lettre
défendre
Victor
et..son roman.
Hugo
cela excitait
Tout
les esprits.
Les éloges
le parti-pris
dans l'admiration
outres,
amènent
nécessairement
le biâme
le parti-pris
dans la critique.
sévère,
Les Nouvelles
Odes avaient
eu elles aussi des admirateurs
A peine ontpassionnés.
elles vu le jour que la Gazette
de T~raMee les signale
(7 mars
<824). La /'aMf~orc,
qui
se moque
des jeunes
dévoués
au culte
de la contemplation
trouve
poètes
cependant
«
le
le
moins
obscur
et
sans
contredit
le
des
conque
plus intelligible,
plus distingué
« gréganistes
est M. Victor
Tous
ses citants
dans
les 7VoMue//e~
pleureurs
Hugo.
« Odes méritent
d'être
lus. » Le Drapeau
~c
insère
une annonce
(12 mars)
pui&
huit colonnes
consacre
de rez de e!'aussée
aux ~VMMue/
Odes
«
M.
Victor
(25 mai).
ans le premier
comme
Soumet
est le premier
<( Hugo est à vingt-trois
poète
lyrique,
« poète tragique.
» Le 15 mars,
Soumet
écrit
un long article
de douze pages
dans la
chanter
la gioire
de son ami. Les
mots
ordinaires
et
pour
Muse française
vulgaires
«
ne lui suffisaient.
Victor
son
cher
et immorte)
ami », ne s'inplus
Tt'appeiait-ii
pas
de belle
donné
a l'ode 6'Mr la
dignait-il
pas de i'épithète
par le ./OM?'?m/ des Débats
J~o~
de Louis
~7/.
H avait voué a Victor
et il l'aurait
adoration
Hugo une pieuse
Saint Victor
si un Saint-Victor
n'avait
traduit'Anacréon
et fait. te Vnya~e
J?<
appelé
de Soumet
Poète
à Hugo du 1~ octobre
(Lettre
1824).
Comment
Victor
n'aurait-il
dont
les fumées
Hugo
pas été grisé
par cet encens
de tous
côtés ? Aussi
ses amis ne le louent
ou ne
J'enveloppaient
quand
pas assez,
il s'en charge
harcèle
Hofl'man
lui-même,
dont ies critiques
prennent
pas sa défense,
lui déplaisent.
Il lui répond
lettre
aux /~e~f<~ (26 juiHet. f 824) par
par une première
une seconde
lettre
mais que Victor
alors
au /)rarefuse,
que le journal
Hugo ZD envoie
blanc
de ~'a~cc
(13 août.) et à ia G'~e«e
peau
(12 août).
la force de la presse,
il ne néghge
Victor
connaît
aucune
occasion
de faire
Hugo
de lui, de glisser
son nom pour qu'il soit. a tous moments
sous les yeux
du iecparler
teur.
Au Co/er~a<eM?'Me~a<~e
jl avait
tous
ses vers..mais
nour le
signé
presque
il avait
reste
dérobé
sa personnalité
sous le voile
de l'anonymat.
)e Co?!.<e~u<ïQuand
/eM~' ~<«e~'<e
se joint
aux Annales
de la /<~?'a<Mr6
et des ~4?'
sur la couverture
de cette dernière
revue
son nom se place
avant
celui de son frère,
mais après
celui de
Malitourne
Au numéro
Victor
(14 avril 182J).
suivant(21avri)),
gagnequeiques
rangs,
Nodier.
Ancelot
et
Malitourne.
Ce changement
n'est point, un effet
puisqu'il
précède
du hasard
l'admiration
de Victor
ou bien une réclamation
certail'ont
pour le talent
nement
Mme Hugo
meurt
dans la Quotidienne
et la Gazelte
produit.
quelques
lignes
de /aMee
était la mère
« des jeunes écrivains
mon~r1821) -annonce
(3 juillet
qu'elle
« chiques
))
)) ou « des jeunes
littérateurs
de ce nom.
Ahel remporle
monarchiques
un prix
a Cambrai
une pièce de vers intitulée
La bataille
de 7)e~<ïtM,
Victor
pour
écrit, au ./OM~a/f/e.P(!
commis
aucune
erreur,
qui n'avait
pour l'avertir
qu'il s'agit
d'Abel
et non de Victor
en 1823,
sous
le pseudonyme
de MonAbel;
célèbre,
Hugo.
l'anniversaire
de Molière
Les journaux
à connaître
cherchent
faunières,
(15 janvier).
teur ou les auteurs
de cet impromptu.
Les uns l'attribuent
à M. Victor
d'autres
Hugo.
à M. Hugo,
d'autres
à M. A. Hugo.
Victor
ne proteste
nullement
en présence
de
l'erreur
manifeste
de certains
Le contraste
est piquant.
journaux.
En résumé,
il ne nous semble
raison
de se plaindre
de
pas que Victor
Hugo avait
la presse,
ni même
de ses adversaires.
N'est-ce
pas l'un d entre eux qui le premier
probahtement
avait parlé dans
Sublime.
A la suite de Biré, nous
h'.s
journaux de l'Enfant
avons
inutilement
cherché
dans ia presse
contre
Mais, en ma! 1824,
Tissot,
royaliste.
décoché plus d'une flèche,
écrivait
dans le ~/f~CM~e </M xix~ siècle
qui Victor
Hugo avait,
«M.
l'un
M. Chateaubriand
sa prédilection
est,
deséjèvcsde
dit-on,
Hugo
qui dans
ne l'appelait
d'ailleurs
se plaignait« paternelle
jamais que l'M/aM<<S'M~me».
Pourquoi
o
xm
PRÉFACE
il ? Ses
amis
La critique
a montrer
de la
l'applaudisssaientavec
commençait,
transport.
un préiude.
C'était,
celui des luttes
c'était
passion.
prochaines,
déjà de la gloire.
Victor
ses œuvres
dans
se sont'contentés
d'étudier
pour connaître
Beaucoup,
Hugo,
des éditions
récentes
ou de l'écouter
narrant
sa vie, mais ses œuvres
ont subi bien des
il n'a pas tout dit et ses biographes
le reste,
il faut le
non plus. Pour savoir
changements,
demander
aux éditions
aux revues, aux journaux,
a ses contemporains
primitives,
qui
nous montrent
un autre côté de sa vie. Nous avons
voulu dans
cet essai
bio bibnografaciliter
ce travail
fait d'heureuses
Avons-nous
pinque
a qui voudrait
l'entreprendre.
notre gerbe
le
est-elle
abondante
en lourds
Peut-être.
trouvailles,
Evidemment,
épis.
nous en avons
laissé
ils feront
la joie des glalong du champ,
échapper
quelques-uns
neurs
mais nous ne les avons pas laissé
tomber
comme
Booz
qui nous suivront,
exprès
la Légende des siècles.
dans
Cette
était
préface
composée
c'est la
Nationale
l'Imprimerie
a l'aimable
de
gràce
obligeance
bonnes
feuilles
de l'ouvrage,
et
pu nous en servir
pour rectifier,
cat!on.
Nous tenons
a exprimer
sance.
les Odes
et Ballades,
édition
de
quand parurent
Mais
seule raison
l'a fait passer
sous silence.
qui nous
M. Gustave
de consulter
les
Simon,
qui nous a permis
de voir les manuscrits
nous avons
de plusieurs
odes,
de la publiaméliorer
notre
travail
au cours
corriger,
à M. Gustave
Simon
notre
reconnaisrespectueuse
ici
Voici quelques
abréviations
utiles
au lecteur.
B. F. = Bibliographie
de la France
ou Journal
de la Librairie.
Conserv.
Lift.
== Conservateur
Littéraire.
Lift. et Phiios.
mêlées
= Littérature
et Philosophie
mêlées.
nous citons
les œuvres
de Victor
Quand
d'indication
à l'édition
ne ua/'te/M~
spéciale,
nous sommes
servi
de l'édition
in-12,
publiée
XIV
Hugo,
in 8.
par
nous
Pour
Hetzel.
renvoyons
les Lettres
à moins
toujours,
à /a fiancée
nous
PRÉLÏMtNAtRES
o
0
0
0
~/9 ./MtM.
1772
Naissance
de Sophie-Françoise
baptême
Haute
Grande
St-Laurent,
Rue,
paroisse
et de Renée-Louise
Lenormand.
3.~ 6'e/)<e~6?'e.
fils
1773
15
1797
o
TYo~e~e.
~VoueM~
née
Trébuchet,
fihede
Jean-François
Naissance
à Nantes,
St-Nicohs,
paroisse
et de Françoise
David.
de René Foucher
Naissance
à Nancy
de Joseph-Léopotd-Sigisbert
et de Jeanne-Marguerite
Micbaud.
Hugo
an Vi).
(13 brumaire
et Sophie-Françoise
Hugo
Hugo,
civil de Joseph-Lëopo)-.)
Hugo
Mariage
a son grand-père,
buchet
cf. Lettre
de Sophie
i9 novembre
1797, voir à i j4/~pM(Ace.
j!9
~Vouey?:~?'c.
de Sophie
an VI). Lettre
29 brumaire
Hugo,
Nan! es: cf. /o,lS
M" Lenormand-Dubuisson,a
grand-père.
23 brumaire
et Appendice.
La date
donnée
par le /~<o,
fautive.
le,
.A~M~'er.
15
2~
./a~u<e/
~e~'<e?'.
et de Sophie-Françoise
M" Lenormaud-Dubuisson,
(Dimanche,
12
(Lundi,
sa sœur
pagné
Marie-Joseph
nivôse
a Paris,
Tre-
Paris, a son
Août 1888,
an VI, est
Trébuche).,
qui a accomVI).
Marie-Joseph
cf. Lettre
de Sigisbert
Nantes
Hugo
part pour
15 février
1798,a )'A/~e?!~<ee.
an
Trébuchet,
au
17 nivôse
an VI).
Lettre
de Hugo,
adjudant-major
de Hgne,
d'infanterie
de la 20e demi-brigade
capitaine
rapau
de ia 17~ division
Paris,
militaire,
porteur
près du conseil'de
guerre
Lenormand.
chez le citoyen
Trëbuchot
juge,
rue
citoyen
(Marie-Joseph)
des Carmélites.
Nantes.
Lettre'inédite
cf. )'eMf/<ee.
(Samedi,
1~ bataiHon
27 pluviôse
(Jeudi,
inédite
cf. l'e7!cel
~M~t7.
I"
an
VI).
Lettre
de
Hugo
a
Trebuchet.
1 floréal
2 prairia)
an VI).
(Lundi,
a Marie-Joseph
Trébuchet,
Lettre
<,
de Hugo,
datée
Lettre
an VÎ).
maison
de guerre,
à Paris,
commune,
place
Lenormand,
civil, rueMaupertuis,
juge au tribunal
inédite
cf. l'Appendice.
(Vendredi,
conseil
citoyen
Lettre
~a<.
fils de Joseph
de Josephdu contrat
de mariage
an Vi). Signature
Trébuchet
et de Sophie-Françoise
M~Cabat,
par devant
Hugo
des Sciences
et
de /f( 6'oc~/e
a. Paris
cf. RELTON, ~/eMïo<e&'
~902.
t. XVJ, livrais.
de Zo~' e/-C~e/
1~, p. 19, 31 mars
7VoueM!e.
6
Foucher,
brumaire
~5
a
Nantes,
Trebuchet
du mariage
<!e Joseph-Léop<dd-Sigisbert
Affiches
de Nantes.
Trébuche).
cf. registres
du greffe
–(25
Léopotd
notaire
Lettres
e
a
de Pierre-François
~S~Voue~~re.
o
1798
et
'Lettres
Nantes.
'i
du
du greu'e
au
de Grève,
no 19, Nantes.
et. de
de Sigisbert
Hugo,
Sophie
inédites
cf. t'A~e~'ce.
Lettres
Paris,
1798
2~
12
15
~0!<<.
6'e/~<ew~~e.
Trebuchet,
1"
(Mercredi,
à Marie-Joseph
l'eMe~cc.
TVoueMï~e.
an Vt).
Nantes
9 fructidor
(Dimanche,
Marie-Joseph
I'j4jE~eMf/ee.
brumaire
an VII)
Lettre
Nantes
cf. Le
Trébuchet,
a Paris
Naissance
Lettre
de Sigisbert
Hugo,
cf.
1~
Le /o,
Août
d'Abel
Hugo
cf. En.
à
et
Paris,
1888,
de Sigisbert
Paris,
Hugo.
8 Août
et
1888,
~~a~-o,
BiRÉ.
V. T~M~o avant
183U,
p. 43.
29
1799
3
/)<'cfM!~?'e.
Feu/'<e?-.
'u
6
73
Fin
6
./9
~/a/
~Va/
(/L~r/
~/a<.
j'I/(ï<.
25
-/t/~t.
12
./M<K.
13
Juin.
9 nivôse
an VII). Lettre
de Sigisbert
(Samedi,
Hugo.
Nantes.
Lettre
inédite
cf.
Trébuchet,
Joseph
l'Appendice.
./M!'M.
79
jM<7/e<.
6
~OM/.
.90 6'e~/CM~'e.
Lettre
de Sigisbert
Hugo,
cf. Le
8 août
/~<~o,
à
et
Paris,
1888,
ventôse
an VII).
nommé
à la 20~ demi-brigade,
(16
Sigisbert
Hugo,
s'installe
dans
ses nouvelles
fonctions
à l'Ecole
militaire
cf. iettre
de
S. Hugo
à M.-J.
du 13 mars
1799. M. Dupuy
Trebuchet,
(Jeunesse
des
doit
faire
erreur
en
donnant
la
date
du
29
avril
1799.
~o~!a?:<~Me~;
p. 380)
(Mercredi,
au
major
Marie-Joseph
I~~<</ïce.
an VII).
23 ventôse
Lettre
de Sigisbert
de la 20e demi-brigade,
3e bataillon
Ecole
Nantes
cf. Le /~a~o,
Trébuchet,
Sigisbert,
6 mai,
Sigisbert
17
(Lundi,
Marie-Joseph
)'.4~oeM<~ce.
et Abel
Hugo
a Marie-Joseph
Sophie
Hugo
f)oréa)
an
Trébuchet,
partent
pour
Trébuchet.
an VII).
(6
prairia)
lettre
du 6 mai.
24
(Mercredi,
cf. lettre
Nancy
(Jeudi,
25
prairia)
Trebuchet,
Sigisbert
du 13 juin.
Hugo
Sigisbert.
Hugo
cf. DupuY~ yeMM~e
Ils
Hugo,
militaire,
1~ août
ont
dû
an
prairial
du 13 juin,
tous
les trois
Abel
Hugo
Trébuchet.
ont
est
pour
nommé
f/e~7?oM:aM~M~,
aller
adjoint
à l'armée
dû
à Paris:
arriver
Vil).
Sophie
et.jAbe!
Hugo
S. Hugo,
à M.-J.
Trebuchet.
Paris
du
Hugo,
Nancy,
1~ août
1888,
an VU).
Lettre
de Sigisbert
Hugo,
Nantes
1~ août 1888,
cf. Le .Fty~o,
quitte
adjudantà
Paris,
et
1888,
cf. lettre
Nancy
Lettre
de
VII).
Sigisbert
Nantes
cf. Le /<yo.ro,
an Vil).
et
(30 floréal
Sigisbert,
Sophie
cf. lettre
du 6 mai, S. Hugo
à M.-J.
Nancy
Joseph
14
an VH).
Nantes
15 ptuviôse
Trebuchet,
(Dimanche,
Marie-Joseph
['~l/~e~ïcp.
a Marie-
Paris,
du
à i'adjudant-générat
p. 381.
à
et
quitter
cf. même
partent
pour
a MarieParis,
et I')eM~ce.
Rhin
cf.
iettre
Muteté
19 thermidor
an V!I). Lettre
de Sigisbert
armée
du Rhin,
Hugo,
4~
division
miHtaire.
à Marie-Joseph
quartier
généra),
Trébuchet,
Nancy,
!ieutenant
d une compagnie
franche
de la Loire-Inférieure,
rue MauNantes
cf. Ze7~a~o,
l~aoû!
1888, et )'~Lo/6~'ee.
pertuis,
(Mardi,
8 vendémiaire
an VIH). Lettre
de Sigisbert
Hugo,
adjudantaux
du
2e conmajor,
adjoint
adjudants-généraux,
capitaine
rapporteur
sei) de guerre
de la 4e division
au greffe
du 2** conmilitaire,
permanent
scii de.guerre
de Nancy,
rue Cai!ot,
a Marie-Joseph
lu2,
Trébuchet,
Nantes.
Lettre
inédite
cf. ~t~eM~'ee.
(Lundi,
a
1799
1800
1800
9 Oc/o~'e.–(17
9
Avril.
vendémiaire
nistrateurs
du
n<" 64 et 191.
an VHI).
département,
Lettre
de Sigisbert
de la Meurthe
Charavay,
an VIII).
19 germinai
de Sigisbert
Lettre
Hugo,
au greffe
du
de guerre,
à Marie-Joseph
chez le citoyen
Trébuchet,
Nancy,
rue
Le
Nantes
cf.
Lenormand-Dubuisson,
Maupertuis,
Figaro,
8 août 1888, et l'Appendice.
(20 germinal).
de l'armée
du
18
Avril.
(28 germinal).
Nancy
Sigisbert
Hugo
quitte
Moreau
cf. lettre
du 2 juin
a )'e?ï(/<ee.
1800,
12
~/f«.
Sigisbert
Rbin
cf.
est nommé adjoint
a )'état-major
général
VeM~f~.s'e des ~OM<a7<<~Me~,
381.
p.
Hugo
Dupuy,
22 uoréa)
an VHÏ).
(Lundi,
quartier
généra)
deMemmingen)a
cf. l'opMe~ee.
VM~t.
19-20
admi-
(Mercredi,
2'' conseil
70Aur<7.
2
aux
Hugo, Nancy,
cf. Ca~a/o~MCS
pour
se
rendre
près
du
Lettre
de Sig~shert
(armée
Hugo
Trébuchet.Lettre
Ma! ie-Joseph
de
Rbin:
inédite
13 prairial
an VIII).
Lettre
de Sigisbert
de
(Lundi,
Hugo
(quartier
générât
en Souabe,
armée
du Rbin,
en chef Moreau)
a MarieMemmingen
générât
Trébuche),
cf. Ze~a~o~
8 août 1888, eti'A~e/M~'ce.
Joseph
.<:?!.
4 yM<7/e<-
est nommé
chef
de.
Sigisbert
Hugo
provisoirement
Moreau.
M. Dupuy
des ~o/M~M~yMe~,
général
(JeM~e~e
comme
date le 20 juin.
les ~fe~to~'M
de Hugo,
D'après
la nomination
aurait
eu lieu le 30 prairial,
c'est-à-dire
le
(Vendredi,
généra)
15
de
thermidor
an
Bombacb)
à
de Sigisbert
Trébuchet
VIH).
Lettre
Marie-Joseph
par le
p. 381) indique
(t. I, p. 79-80)
19 juin.
bataillon
cf.
Hugo
Le
(quartier
/aro,
8aoûH888,ct.l'e~ee.
20
yM<7~.
(1~ thermidor
aua/ï<7S30,p.43.
~6 Septembre.
V.
30
1801
(29 fructidor
avant
Hugo
Baptême
à Nancy
d'Abe!
°
an VHI).
Naissance
~~0,
p. 43.
à Nancy
Hugo
cf. BmÉ,
d'Eugène
Hugo
an
vendémiaire
la durée
pour
~O~aM<!y!<f.S',
p. 381.
est nommé
IX) Hugo
adjudant
des
cf.
Dupuy,
négociations
8 Octobre.
(16
ville
est nommé
commandant
provisoire
des /~oyy!aM<~Me~,
p. 381.
25
an
(4 germina)
mand-Dubuisson,
6'e~e?M~e.
./)/<M'
6'0!?M date.
1802.
an VIII).
26
/~ef~'e7'
5 ~/<!y'
1803
18
1804
7<S 6'<?/?/<e.
/e~ey.
(8
Lunéville
vendémiaire)
cf. Dupuy,
Fragment
Trébuchet,
(7 ventôse
Hugo
./e!<Me~e
Lettre
de
IX).
Nantes.
Lettre
d'une
lettre
rue Vandyck,
an X).. Victor
an X). Lettre
(14 ventôse
t. I, p. 21.
raconté,
Sigisbert
inédite
Lunéville,
Hugo,
cf.
J'ce.
P'. ~~yo
cf. B[nÉ,
de la place de
VeM~e~e
des
de
Luné-
a M~ Lenor-
a Marie-Joseph
de Sigisbert
LunéviHe,
Hugo,
maison
cf. l'A~eM</<ce.
CaH)é, 9, Nantes
Hugo
de
nait
a Besancon.
Sigisbert
29 ptuviôse
an XI). Lettre
(Vendredi,
datée
de Bastia)
Joseph
Bonaparte
(lettre
n° 107, sept.
1887,
pp. 13-14.
Hugo
à{Lahorie
de Sigishert
cf. Revue
cf.
V. Hugo
au citoyen
Hugo
des ~4M<o~?'<~Aes,
an XIII).
Lettre
de Sigisbert
jour
Hugo,
complémentaire
de
bataillon
du
est
chef
Joseph
Bonaparte.
Sigisbert
de
d'infanterie.
H exprime
son regret
de ne pas faire partie
~20~ régiment
au couronnement
de l'empereur:
cf. Ca<a~Jadéputation
qui se rend
/o~!<cs 6%<M'<ïM«y, n" 179.
(Premier
à
Plaisance,
3
`
1805
-?
-4o!<
an
25 thermidor
CMardi,
C'«<(!/o~Me~C~a?'aua~,n<'2l8.
1805
27
~lo!<<.
an XIII). Lettre
(9 fructidor
n" 186,
des ~M<o~?'a/)~M,
1809
.2~1~'<
Lettre
15 août
de
20
Lettre
de Marie-Joseph
~4u/'<7.
3/CK.
Deux
Lettre
de Marie-Joseph
de Sigisbert
Lettre
une lettre
de change
6 ./M<y<.
j!M<7/
C<!<<o~MM
1810
a
de
datée
Hugo,
p. 9.
Hugo.
à Marie-Joseph
Hugo
a Berthier
Hugo.
cf.
cf. ~euMe
d'Ajaccio
Trébuchet
à Sophie
a Sophie
Hugo
cf.
Le
Inédite
Figaro,
cf.
L'.A/?-
cf. L~~oe~~ce.
Inédite
Trébuchet.
Disparues.
Trébuchet
à Sophie
Inédite
cf. L'Appendice.
Hugo.
a MM. Ternaux,
I) envoie
Avila,
Hugo,
banquiers.
à Mme Hugo.:
solder
les avances
faites
cf.
pour
n° 3'78.
C~<MY<t;
Lettre
j!9tS'p/j<eM<c.
Sigisbert.
Marie-Joseph
Trébuchet
de Sophie
lettres
de
de Sigisbert
avril
1895,
/)e~</<ee.
Lettre
de Lenormand-Dubuisson
4 ~<.
20-21
Sophie
Hugo
1888,ett'A~cy:f/<cf.
Lettre
XH)).
Sophie
à Marie-Joseph
Hugo
Trébuchet.
Inédite
cf.
L'~l~cM</<ce.
22
Octobre.
Estimation
5 TVo~e~e.
24
Vente
Lettre
9 .a~.
j!0
~<?'s.
4 ~4ur/7.
M'
~6 ~.0!
1814
1814
~<.
de Sopttie
Inédite
de Sophie
Départ
Hugo
Hugo
23
2~
et 30
e;'
.90 ~a!.
illa'l*.
26
~'M<M.
Hugo
pour
de M" Lenormand-Dubuisson.
M~ Lenormand-Dubuisson.
Trébuchet
à Sophie
à Marie-Joseph
Hugo
cf. t'~t~eMC~ee.
à Marie-Joseph
Tréhuchet.
de Sigisbert
Hugo,
n" 316.
C~a~ay,
de M'
biens
de Sophie
Hugo.pour
est à Bayonne
cf.
Lettre
Départ
des
de Marie-Joseph
pendice.
Lettre
25 décembre.
2<~ ~cce~e.
1811
du
Lettre
~Vo~cM~e.
et partage
mobilier
de
Hugo.
Trébuchet
Inédite
Inédite
qui
cf. L'Apl'a
reçue
le
cf.i'oeM~'ce.
Madrid.
G.
SiMON, i'a~ce
au duc
Guadalaxara,
de
de Feltre
//M~o,
p. 50.
cf. Ca<a!/o~MP~
Thionville.
a sa mère
t,
mère:
V, Hugo
t92Lettre
cf. V.
J'llconté,
~acoM<e,
1.1, pp.
d'Eugène
Hugo
llugo
pp, 192de Victor
à
193 et G. SiMUN, i'M/6!Mce
La lettre
~e V. ~!<~o,
pp. 92-94.
sa mère
doit être de la même
(V. T/M~o rc!co?!<e, pp. 191-192)
époque,
la
2
dans
la
j~Sjfoaoût 1815, qu'on
trouve
date,
matgré
Co~e~<M:</c~ce
1835,
p.165.
Trébuchet
la décoration
du lys comme
dans
reçoit
grenadier
Marie-Joseph
Il était alors
la 2e compagnie
et 2e cohorte
de la garde
urbaine.
chef de
bureau
du secrétariat
à la préfecture
de Nantes.
de la
général
(Papiers
famille
Liberge).
0
4
p
CHAPITRE
PREMIER
18~5-
YM<M
1815
Après
Sans
cf. V. //M~o
?'~6'OM~ t.
V. //M.(/o ?'M<;OK<< quelques
)el8.
~a«'Woo
6'M?'~Va~o/e'OM,
s~s'
cités.
La pièce
a été composée,
d'après
18 juin 1813.
de Waterloo,
date
de mois.
Lettre
cf. lettre
1815
~8~8
a 1818.
p. 213
Au
V. ~M~o ?'f«.'o't<e,
t. t, pp. 210-21)
de Joséphine
Trébuchet
de Mantes
à ses cousins
Hugo,
avril
1820.
d'Eugène
Hugo à AdotpheTi'ébuchet,
Couplet
huit vers
/ec<eM?':
cf.
c/<aM.~OM M boire
cl'une
cités.
c'est
un
catembour
p.
214:
jours
quatre
lettre
cf.
dix
après
vers
vers
sont
la bataille
cités.
restée
//M;/o
sans
réponse:
?'acoH<e.
t. i,~
më?'e
cf.
V. 7/M~o
t. ). p. 214
trois
vers
sont
cités.
Peut-être
~'acoH~,
de
son
de l'envoi
partie
opéra-comique
(1"' janvier
1818).
cf. V. 7/M~o racole,
t. i, p. 218:
douze
vers
sont cités.
Ces vers
sont
Fer.s'~o<<</Me&:
au
de 1816 et
soit
dont
G. StMON, n*~ IH,
appartiennent
Dialogue
parie
probablement
n" 23, p. 107.
~za/o'/Mee,
p. 106, soit à t'~ptyramMte
Vers
font-ils
a
sa
/)eM;E vers traduits
<4M.!OHC
.S'U?'Z)!(/OH:
cf. K. //M~O
Une ~e~/«Y<<!OK
de Ca/iH
deux
6M?'/eA'</Me ~M ?/ac/e
212.
.t.
p.
Sur
un
?Mt;'<t~n<
auteur
MtJ(;/tM/t<:
cf.
~'p!~?'amM!e.
l'un
des
vers.
Peut-être,
est-ce
notés
quatre
épigrammes
n~ 14, 17et20,
sans date de mois),
1816),
p. 105;
(1816,
mois),
p. 109.
?'<!CO~<< t. t, p. 212.
vers cités dans
//M~K
F.
7/M~O ?'<!COM<< t.. ), p. 212:
n° 9, (septembre
G. StMuN:
par
n°41
sans date de
(1817,
p. 106;
Sur
MMe jolie
le /ils était
Madrigal.
/'eM!me <<o;'yKc </e /'o"</ f/?'oï< dont
<wy;t<;
vers
traduits
du
latin
cf.
t.
212.
i,
raconté,
gauche
//M<yo
quatre
p.
.u?' le /Ko< .s'OM)'~
Charade
deux
vers
cf. V. T/M~o ?'a(;OH<< t. ), p. 21,3.
de
f(e!<
.7M~
1816
Sans
?'M(;OK<p,
date.
Côtes
p. 103,
trouvera
de 7~'oueKce,
imitée
des G'e'o?'yit</Mp.<
cf. G. StMOK, Z'M/uncf
poésie
n" 1 et Les Odes et /~a~a~e~
édition
de t'Imprimerie
Natiouate,
pp.
le texte et la date
Juin
1816.
0
?
</f F.
388-389.
//Myo,
On y
°
t. t). p.
6.
./M<7/e<
10
V.Hugo
17
V.Hugo
écrit:
K Je veux
commence
être'Chateaubriand
7?'<H?KeHp:
cf.
14
ou rien
décembre
0
)) cf.
1816.
)~. //M~o
?'a<;o?i~e,
1816
,t~<
Avant
28
!e 15.
«~ /M~
6'oM/</e/.s 6'/i«/<<t'~ </<<
cf. G. S'MON, ~\Ë'n/'<Mce
de F. //M~o.
chanson
dont
P'. /~M~/o ''nco';<e(t.
parle
la France!
août
le
~5
«OK< 7~/6',
à /'occ~.«o/
n° 2. Ces couplets
p. 103.
le refrain
f, p. 214) et dont
</<;
/'(''<<' ~«
sont
probabtement
est:
Vive le tioi
/loi:
la
Vive
à
/~ao«?'oy'aK
.~M/' .s'oMe'<?'c
au'4 sept.
/~e')~~('
<ïM7~o/, le jour de la Saint-Louis,
25 «OM< ~/e
cf. G. StMON, /«Mee
de
n" 3
cf. Ca<a~KM
CAa//M</o, pp. 103-104,
nos ~)3 et 330.
de cette
4 p. in-fo)io,
avec
des remarques
r«t'«7/,
L'autographe
/?f/)OK.s'<
a été mis en vente
d'Eugène
Hugo,
par les soins de M. Charavay.
Vers la même
les quelques
notes de son journal
a propos
de
époque.
V. Hugo a dû écrire
Baour-Lormian
cf. t~. Hugo
t.
racole,
u, p. 5.
a composé
lui aussi
une réponse a M. Baour-Lormian.
Ce dernier
dans une
Eugène
Hugo
de mauvais
de jeux
de mots,
de ptaisanteries
donné
des
pièce de vers
pleine
goût,
avait
conseils
au Koi.
La réponse
de Victor est sur
un ton sarcastique
et satirique
cf. G. Simon.
/Hcc<
F. //My«,
pp.d03-d04.
tS'e/)<e/e
30
Sans
~/f~/<aM,
/<OM?' le /o!<?'
F. //K;yo, p. 105, n" 13.
daté.
~?'amMp,
~tc
/<<,
/</</Mt<)<.s',
G. Simon
cite
~4c~.«/cAe,
f/e
1816
septembre
1816
septonbre
.~a
/<?<c,
30
1816
septembre
cf. G. SiMON, Z,'A'n/a?ice
cf. G. SiMON, Z,«/ancp
1816:
cf.
G. S'MON, /7t/'a?tce
septembre
a ce propos
huit
vers
d'une
adaptation
1816:
cf. G. S)MON, ~?!<ïMce<~e
septembre
de
de
G.
cf.
F. ~M~o,
F. //M</o,
de
de )'~4~
StMOK,
~'2?K/HMcp
p. 105,
n" 8.
105,
n" 9.
p.
F.
/~M~o,
p. 105,
d'Horace.
/)oe<Me
V. ~M<yo,
p.
105,
de
n"
10.
n° 12.
Octobre
1<i
Sans
16 octobre
1816
cf. G. S'Mf<N, Z/~M/aMce
traduction,
~/e7<6e'e,
7'<<y/'e,
106.
n"
22.
Le texte se trouve
dans
les Odes el Ballades,
édition
de l'Imprimerie
p.
pp. 390-393.
date.
Les Originaux
ou la ZaM/eme
octobre
1816
cf. G. SiMON, ~n/a~tce
chanson,
Mia~Me,
de V. ~M~o,p.105,n"7.
.4 Abel
~M?' une ep!?t<e
octobre
1816:
cf. G. Simon,
m'avait
donnée,
qu'il
L'Enfance
de V. ~M.~o, p. 105, n" 11.
.E~o//Me
F. y/M~o,
Nationale,
Imitation,
octobre
1816
cf. G. SiMON, L'Enfance
de
V. Hugo,
106,
n" 15.
novembre
1816
p.
Novembre
Sa ns date.
?'?'a~MC<:on
de l'épisode
de V. /7Myo, p.
Z.?t/aKee
.Ë'M?'f</ce<VMM~.
V. /~o,
p. ~05,
Episode
no H.
du
105,
7~'pM!'pr
n" 5.
imité
livre
des
de Virgile,
Géorgiques,
novembre
~816:
cf. G.
StMON.
cf. G. SiMON,
~'F?t/<ïMce~
Z)eceM!~e
4
14
V. Hugo
commence
la traduction
de la 4e Eglogue
de Virgile.
Il la finit le
(cf. 3 janvier
1817).
V. Hugo termine
7?'<aM~Mp. tragédie,
mille cinq cent huit vers
cf. G. SIMON,
V. /<~o.
et V. Hugo
t. i, pp. 2i5-2i6.
G. Simon
cite six
raconté,
pp. ~27
un vers (p. 1~7), dix vers (p. 118), six vers (p. 119), dix-huit
vers (p. 120),
douze
vers
vers
122,
123,
quatre-vingt-six
(pp.
124), quatre
(p. ')25).
6
3 janvier
1817
de
L'Enfance
vers (p. H6).
vers (p. 12~),
1816
/~ceM~'<?
c
21 au 30
Fin
Sans
~/M<
le 1~janvier
1817:
~maMt~/<,
cf. G. S)Mo~
/~MM<c/te,
p/t~oya/K
p. 107,
et pp. 112, 113, 126, 127. Cette pièce contient
soixante-six
vers. G. Simon
en cite huit
(p. 112), deux (p. H3),
quatre
(p. 127).
A ~/<M/~Me
décembre.
/.Meo«~.
/~M?'
le y.
cf. G. Sn<o.
/M,,<;<g?- ~6'~ 7
/M/a/<ce
V. ~f«/o,
n"
26.
I!
cite
huit
i08.
107-)08,
vers, p.
pp.
date
de mois.
La
Rose,
cf. G. Smox,
CoM/c
fable
~aMtMe
cf. G.
Z)«!<o//Me;
-S'M?' un
mauvais
cf. G. S'MON, jL'CH/aMce
de
V. /<~o,
cf.
G.
SIMON,
la
tKo?'<
de
.son
L'Enfance
de
StMON, L'Enfance
libelliste
p~'e
StMON,
SMr
c~ F. //Kyo,
p. 106,
p. 106, n" 16.
de
~M/aMee
cf. G.
fils
V. //K~o,
n°9.
105,
//«.«,?.
p. 106,
~'p~?'amMe
T'o?tHpt;'c
cf. G. SfMMf, /a?!c<;
de
V. T/M~o,
de
n° 4.
p. )04,
V.
S'MON,
o" 14.
//M.</o,
~M/a/ice
p.
n°
106,
de
17.
F.WM'?o,
n° 19.
cf. G. SfMON,
de
T~n/aMcc
7/M~o, p. 106, n° 20.
cf. G. S)MON, Z'M/aMce
<<<; V. //M~o,
p. 106, n" 21.
cf. G. SiMON, A'F?<aH6'g
</p F. //M~o, p. 107,
<M/o~Me'e
.&<aMMM
~4 Glycèî-e:
Le
//«</o,
cf. G. S~MON, A'H/'a~c6</e
~/a~!«/
~'M?t
Plaintes
p. 106, n<'18.
cf. G.
~E'/e'e:
</<?
/aKc<;
n" 24
deux
p. 107,
n" 23.
u
no 25.
Le Déluge,
de V. 77~0,
en trois chants,
trois cent soixante-quatre
vers
cf. G. SiMON, L'Enfance
poème
H cite soixante-quatorze
vers aux pages
pp. 128-139.
131, 132, 133, 134.
~M7' ?MOK 7)p7M.</e. A Abel
cf. G. SmoN, L'enfance
de V. T/M~,
sont cités.
p. 137. Six-vers
V. Hugo a dû écrire
en 1816
les quatre
vers
sur
trouve
dans
l'Inquisition
qu'on
F.yo
t. u, p. 5.
raconté,
1817
3
V. Hugo termine
la 7~
A. ~o/?t
jE'~<o(/?<e(/e
F~e:
cf. G. S)MON, Z'Fn/'aKce
de V. T/M~/o, p. 108, n° 27.
traduit
de A~irgite. La pièce
contient
Aristée,
épisode
G. SiMON, /i/'aHce
de V. Hugo,
p. 108, n" 28.
3-16
11
Sans
·
./<~<;<f/'
le 4 décembre
(commencée
des
variantes
et des
corrections
1816)
cf.
ABEL HuGO:
Trailé
du ~/e7o~'CMte
fn-8, ïmp.
/M?'
Gillé, Paris;
Paris,
Plancher.
~ce'</e.
B.
F.
11
n"
60.
Les
trois
auteurs
sont
Armand
Pélicier,
Delaunay,
janvier,
Ader
et
A
bel
Malitourne,
Jean-Joseph
Hugo (cf. B)RÉ, V. //Myo at7<!M<
~50, p. 115).
date.
jL'aM~e
des Cyc/e.s'ragment
de l'Enéide:
cf. G. SiMûN, L'Enfance
de F. T/M'yo, p. 108,
n" 29. /aM~'c
des Cyc/o~p-s'
a été imprimé
dans le Co?t.s'erua<eM~
t. f, Hvrais.
Z!'«e?'a:y'p,
)x,
1~
avril
dans
F.
t.
1820,
dans le Lycée
~7'HMj, pp. 233-234,
pp. 327-328,
7/M~o
?-Mcon~
t.
livrais.
r:c<ï!?t,
n,
et dans les Odes et Ballades,
édition
xn, pp. 429-430,dec.1823
de l'Imprimerie Nationale,
394-395
avec cette date
1817.
pp.
[Janvier]
/~e~y'<e?'
22 février
au 3 mars.
traduit
de Virgile
cf. G. StMON, /&'K/aMce
C~cMs, épisode
de F. 7/M~o, p. 108,
Cf.
le
t.
livrais.
n"30
V. Hugo
Conservateur
Littéraire,
t,
jv, pp.
1820.
121-123,
janvier
t.
235-238
et
les
Odes et 7~a//a</c.s'.
édition
de l'imprimerie
raconté,
f, pp.
Nationale,
pp. 396398 où CacM~ a été imprimé:
./ty<M'~
3
Le siècle
présent,
3 mars
1817
cf. G. StMON, /aM6'e~
-7-
V. 7/M.o,
p.
109,
n" 36.
1817
7)/<s'
16
?'?'a<<c<tOM
p. 109, n" 32.
16 m.'ns
<o?'ace,
V. Hugo commence
Le Ro?t/te~?'f/Me
~M?- «M athée
cf. G. S'MON, ~n/a?tce
18
23
Sans
f/'M?< épisode
date.
/)'oMCM<
18)7
f/e
A'n/oce
F. Hugo,
cf. 7 avril
1817.
~?'ocM)'e /'jE'<M~e
de V. /7:<.</o, p. 109, n° 34.
cf. G. StMON, ~t/o~'ë
Koc<!<~ie
cf. G. S)Mox.
de
F. //M~o,
p. 108,
n" 31..
~.M?'!7
2
Le
p.
3
7
20-23
Sans
?'Me6fe./M~ï<e?'.
109, n" 37.
traduit
de Vi)gite,6'e'oy')yï</«p.<
cf.
l'Ode
Le Temps
et les Cités,
terminée
le 5. Voir Odes
et Ballades,
V. Hugo commence
édition
de l'imprimerie
Nationale,
p. 527.
termine
Le ~o?t/<eM?'~Me~~ocM?'e/K</eda?t~<oM<e.s'
les .!t<M<ï</on~
de <a't?!'e:
V.Hugo
cf. BtRK,
P'. /y!/</0 avant
161.
/~30,
p. 103 et G. S~MON, A'jE'7!H7tce~e
77M~O,p.
Le
de F.
Vieillard
</M Galèse,
traduit
livre iv: cf. G.S<MON, A'~7t/aMce
épisode
desGéorgiques,
du C~c
a été imprimé
dans
le C~H.!e~'u<~eM?'
//M</o,
p. 109, n° 39. Le Vieillard
t. n, livrais.
août
dans
la /?'a?tce
t. ni,
Z:'«e?vy<7'e,
xfx, pp. 323-330.
1820,
A/«e'?'a!'y'e,
livrais.
1832
et dans
F. T~/o
t.
et aupai, pp.
yaeon~
182-183,
juillet
pp. 229-231,
ravant
avant
cf. /.e.s-0<tp<<a<<e.
édition
de
1830,
~M~o
par E. B)HK,
pp. 86-87;
Nationale,
l'Imprimerie
pp. 411-412.
~Mr
date.
de la Pharsale
de Lucain
cf. G. StMON, ~'jE'?t/SHcp
de
/)~.<.fp le /~M&/coM, traduit
no 40. C~'o' yw.s't'
le /7~co?t
a. été imprimé
dans
le CoK.s'ua/eM?'
F. //Mf/o,
p. 109.
/,y</e'y'M<?~. t.
avril 1820,
t. i, pp. 239-241.
livrais,
x, pp. 362-363,
dans F.«;/«
meo/~f,
dans
le Lycée
t. )v. livrais,
les Odes et
1824 et dans
xx!, pp. 262-263,
~?'Hto;ca:?f,
sept.
pdition
de l'Imprimerie
avec cette date [Avril]
1817.
~«f/p.s',
Nationale,
pp. 408-409
12
V. Hugo
Un lundi,
remet
à l'Académie
sa pièce:
Le
ERNEST Duruy,
7 et 8.
yeM~e.s~c
<
~oma/<<ï~Kes,pp.
du 25 août 1816).
jeudi
(cf. séance
17î
/.c~o6/e.traduitde)a8ssatiredeJuvéna):cf.G.S)5)ON,f<Mce<~
.n° 33.
29
Sans
V. T/M~o,
G. SiMOX,M/'anee</e
6'M?' la
<?'~f/e'</<e de 6'e?'Mtf'?:M.s'
F. //?<~o, p. 109, n° 35 (1). Ces vers
date.
Voir au 20 Mai 1820.
~4 Lydie.
/~OH/«;K?' que ;)?'o(:M?'c /<M</e:
Le concours
fermait
le 15 mai,
I'
le ~2
M:<!< ~7
jouée
ont été composés
en mars
cf. G. SmnN,
et non en mai.
ffugo,
~tt/ce
p.
cf.
un
109,
de
JM<~
28
-B.
PiCQUENAHo.
Didot
Paris,
Imp.
pOU)'M<ya')'</<7/.
~</o?!s'
Maradnn,
oM /e~o?:
A'ë~7'p,anecdocte
B. F. 28 juin,
n° 2093.
coloniale,
Cette anecdote
nouvelle
édition.
iQ-i8,
a pu servir
à V. Hugo
.40M/
Le
l'étude
dans
~«H/tgM?'
<yMe procMre
toutes
les s:<MM<o/!s
de la vie mérite
une
mention
M. Raynouard
dans son
a t'Académie.
t'appoi'tcitedixvers(p.848).
en cinq actes et en vers,
('!) ~e/'Mta~tCMA',
tragédie
ordinaires
d!! Roi, le 22 mars
les comédiens
'1817, et
n' '1304).
Il l'aut
lire 22 mars
au lieu de 23 mai sur
a cause des allusions
qu'on
y
représentation
politiques
8
est
de A. V. Arnauit.
Elle fut représentée,
par
chez
Chaumerot
19
avril
18i7,
imprimée
(B. F.
le cahier
de V. Hugo.
Cette
n'eut
pièce
qu'une
vit.
25
1817
1817
~0!<<
·
F. //M~o ?v<coM<~ le morceau
entier
D'après
a été publié
en une plaquette
ayant
pour titre
Essais
po<<!yMe.< avec cette épigraphe
~E'~?'!
.s'oM!H!'a et une /)e'c«ce
à M. /).
/<. (M. de
la Rivière;.
Cf.
F. ~/</o
)'aco?~<
édit.
Lacroix,
~863,
cite
vers
de
cette
qui
soixante-sept
pièce
E. BtHK, F.T/M~o
~t:a/<< 1830,
cite
qui
quatreseize
vers
F.
inédits,
vingt
pp. 102-104
//M~o
ne
la
édit.
cite
?'aco?t<e,
UM?'«;<M)', qui
pièce
trois
cent
en entier,
vers, t. n,
trente-quatre
corrections
ont été faites
pp. 17-30.
Quelques
n l'édition
de ')8f')3. Le même
texte
se trouve
les Odes
et /a~e.
dans
édition
de l'fmprimerie
Nationale,
pp. 399-407
(2).
~0
P'e/s' de V. /~M~o a 7''?'a)<(:o~
de A~Myc/c~M
cf.
t. n, pp'. ~0~M~o racoK~,
CMe~<'< ~a//a~M,
édition
de l'Imprimerie
H
i\at,iona)e,
p. 527.
LettredeV.HugoaM.Raynouard.secrétaire
de l'Académie
accomfrançaise,
perpétue)
de trente-neuf
cf. Co!'?'e.~onvers
pagnée
dance
G. S~MON, 7.
1815-1835,
pp. 3-5,
de
F. /~M~o,
et Catalogues
/f<Kce
p. 168
n° 360.
C'/t«?'aua?/,
.S'e/~e/H~e
2
!~?'s
de
V.
7/Mjyo
Ballades,
A'eM/c/~<eaM
a
F. /yyo,
0</<s
li-12;
?y<eoK<e', t. it, pp.
édition
de t'hnprimerieNationate,
cf.
<;<
p.527.
Avant
le 14
Après
le ~4
V. Hugo
le f~
compose
les
*S'caM<?t<ïue~
tragédie
vers.
Scénario
deux
pages
dire soixante
dix-neuf
lignes
cent
vers.
vingt-six
V.
Trois
de
Hugo
compose
cent
deux
vers
/yM'yo,
p.
~40,
acte
d'~</te7ï'eou
en 5 actes
et en
et demie,
c'est-àl'~acte
quatre
le 2" acte
d'A thélie,
cf. G. S)MON. ~M/aMcs
~50.
d48,
la bibliographie
de vers sur le même
de quelques
autres
pièces
sujet.
<'e/M(<e
~aM.<
toutes
~t<Ma<tOM<
de
<M vie, discours
en vers,
/,e&o?tAeMr
les
</Me/)/'ocMre
mentionné
sous
le n" 36. a la séance
de l'Académie
le 2j août d8i7.
française,
publique
n°
donne
la 5" place
au
et Hbr.
in-8.
Michaud,
2678).
Raynouard
hnpr.
(B. F. HO août.
n" 36.
Août
30.
LEBRUN et SAtN'nNE. BoMAeMt' que /CM/'e
/'<;7M<<e ~a/M toutes
les ~<<<(a<t~/M de la vie.
)n-~
F.
nos
Didot.
30 août,
2676 et 2677).
Impr.
(B.
6.
fi
de
<4cKdMHte
L'Etude
C.
DELAVtGNE.
AMA
.S'e/)<eyK<'y'e
/a?tpaMe
.«<
ce«e</KM<M~.
Ë'/j~y-e
le &oH/tfM)' da~.s' toutes
les .<!<M6[</o/M de la vie.
Everat
)n-8,
Paris,
/Ytt<-e</e
Impr.
De!aunay.(ti.F.6septembre,n°<'772).
~.3.
da?M<o;t<M<e.s'.s':<Ma<to<M
de
Septembre
Char!esLoYsoN.~)e<?'Me?t(;e</efe7Mde~<y'<e&o?t/te<t/'
la vie
du prix de poésie, le 2S août <8'n, par Ch. Loyson,
discours
l'accessit
qui a obtenu
mnitre
de conférences
a l'école
normale.
tn-8.
Doublet,
Gui)!au'mc
Paris,
lrnpr.
(B. F.
~s~~mbr~n°'~n~
50.
A. n'EGvn.LY.
eu <w.
A'My le 6o?tAeM/' que /j<'octt7'e <'e<Mde dftH~ toutes
Dt~'eoMrs
6'e/)<eM:<e
tn-8. [mpr.
les .s't<Ma<:OHs de la vie, sujet
Pou!et,
proposé par l'Académie,
par A. d'EgviHy.
n"
Mathiot.
20
Paris,
(B. F.
2991).
septembre,
~Vot~eMt&y'e 15. –SAfKT-A),B<N
BEnviLLE.
.t<Ma<tOM.s'
~e6oM/teM/Mepr~(;«?'e/'e7Mdedc[/M<OM<e6'~e6'
A
la
de la vie
discours
en vers,
mentionné
sous le n" 42
séance
de l'Académie,
publique
le 25 août
i8i7.
Par
Saint-Albin
avocat.
In-8.
Berviiie.,
Fain,
Paris,
Impr.
Delaunay
F.
la
6e
Cette
obtint
(~.
<5novembre~n''3537).
piëee
place.
(2~ Voici
~M(< 30.
9
31
1817
..S'qo<e~'e
29
sa
Maman
le ~OM?' de
pour
cf. G.S)MON,t/aHce~e
Sophie:
171.
JI cite dix vers.
p.
En
l'envoi
septembre,
réponse
de V. Hugo du 31
?'aeo?t<e,t.)),p.8.
Ste
/*6'
V. Hugo,
de M. Raynouard
à
cf. F. Hugo
août
En septembre
un jeudi,
probablement,
lieu la visite de V. Hugo à M. Raynouard,
de l'Institut
cf. F. Hugo
bibliothèque
t. u, p. 8 et G. SiMON, ~t/'aMce
co~<<
F. Hugo,
p.161.
Septembre
à Décembre.
vers sont cités).
Vers de Campenon
adressés
eut
à la
rade
à V. Hugo
cf.
F. Hugo
?'cco?!/e',
t. n, p. 9 (quatre
Octobre
17 au 20
de V. /<yo,
~6'/<fM;e'c
cf. G. StMON, ~H/'o'Mce
fut lu au banquet
p. 171. ~c~~MM!ï'</e
du 5 juillet
JI a été imprimé
dans le CoM~e~'a~K~'
1818.
Httér.nre,
vi,
Littéraire,
t. i, livrais.
février
t. i, livrais.
avril 1823,
~820, dans le Z.ycc'e~4?'M07'!c<MM,
iv, pp. 258-261,
pp. 2(H-204,
dans
t. t, pp. 223-228
et dans les OdesetBallades,
édition
de l'Imprimerie
/7M</o raconte,
Nationale,
pp. 413-4m.
TVoueMï~e
1
4
L'Avariceet
l'Envie,
conte.
Vers de V. Hugo à B)ondei
vers
171.
tapage
\~oirau2S
décembre
1819.
de
cf. G. SfMON, j~Tt/a~ce
F.
Hugo,
pp.
170-171
il cite
six
il
en <oM?'yte'e dans
La
/?'ay:c<'
au duc
les po?'~
de France
6~7iyoM/6'we,
grand-amiral,
cf. G. StMON, jL'M/aKce
de
?'<i!6'o?:<~ t. i, p. 215 où se trouvent
7/M~o, p. 171 et F. //M~o
cités dix vers de cette ode sur la duchesse
d'Angoulême.
IN
.1) abandonne
p. 528.
J
sa tragédie
d'Athélie
cf. Odes
et Ballades,
édition
de l'Imprimerie
Nationale,
~)p6-e~~y'e
3
chose /<<a?'f/
est bon
cf. G. S)MON, ~i/Mee
de F. //M~o,
0~o'a-co/M«/Me.
quelque
« il fait un
A la p. 153, neuf vers
sont cités.
Pour la date,
on lit dans G. StMON
pp. 150-153.
le 3 décembre
1817 ». H est peu probable
en un jour.
opéra-comique
que V. Hugo le composa
II dut le commencer
ou le finir le 3 décembre
1817.
Peut-être
le titre
de cet opéra-comique
est-il emprunté
à )'/K<KK
de Voltaire.
En tous
cas il a une certaine
ressemblance
avec la
« Malheur
» (VOLTAIIIE, Œ'Mt~'M
devise de Gordon
est bon à quelque
chose
édit.
complètes,
t. xx), p. 304).
Garnier,
/~oMt«7t.s', )'/K~<'nM,
16
~'<<ïMce.<; ait .~oH!Mt~:7 cf. G. S<MON, Z'M/'M?tce
de K
les 0</e.! et 7~a</f~,
édition
de l'Imprimerie
Nationale,
Fin
/~M~o. p. 171.
pp. 419-420.
Le
texte
se trouve
dans
de t'année.
sur 7?'<aH:~Me
cf. F. /~M~o raconté,
t.
Cette
Appréciation
p. 211, onze vers cités.
dit F. ~M~/o raconté,
date d'un an après
7~<aMte?<e.
appréciation,
« du Bonheur
/)e'f/tcace
l'étude
» a
D. L. R. (M. de la Rivière).
Six vers
que procure
cf. BinK. K. Hugo
avant
t. n, p. 14, G. StMON, ~'jE'M/a?icc
raconté,
1830,
//M~o
p. 103,
de V. /yM<yo, p. 166. La réponse
de ~7. de la Rivière,
à ]a Dédicace
de V. Hugo,
se trouve
dans G. SfMON, pp. 167-168.
vers
(Seize
p. 167 et deux vers en note).
Fc~
</e K /~K<yo à Biscarrat
sont cités,
p. 170.
cf. G. S)MON, /<!?:ce
)0
de
F. Hugo,
pp.
169-170.
Trois
vers
1817
Sans
Z~eee/7!e
date.
Traduction
<fMnp
ode
cf. G. SIMON, 7.a?!ce
cf. G. StMON, ~'A~/aKce
<orace
de J!f<ï~:a~:
jE'p~?'<ï7MMte imitée
Ode
cf. G. SiMON, Z.n/a?ice
de F.
Sur
/t/. D.
cf. G. SmoN, Z'n/'aytM
e< Mt!'?'ac~p.
Prodige
~M?' le succès
de
de la
(les cinq derniers
couplets)
de Cr~o,
mélodrame
en 3 actes,
de
(1). cf. G. SfMON, ~n/aKce
7ne~
censure
F.
/7~o,
p.
110,
n" 44.
des ~?'CH~eM?'
manie
7~0M</e des
n° 42.
p. 109,
Hugo,
de P. T/M~o, p. 109, n" 38.
de V. //Myo,
p. 109, n" 41°
cf.
G. StMON, p. 110,
de V. T~Myo, p. HO,
cf. G. S)MON, /M/aKce
au Panorama
accepté
Hugo,
pp. 155-156.
1818
refusé
dramatique,
n° 44:
n" 46.
par
la
Janvier
1
.<OK ojoe?'a-coM!'<yMe
à sa mère
cf. F. Hugo
FHHfx'par
V. Hugo
vers cités) etG.
de ~.7/M'yo,
SmoN, L'Enfance
p: 172. t) dit que l'envoi
et il cite un vers qui n'est pas dans
V. //M~o ~'acoy~e.
fi au 10
Ar< co/e~'e
F.
25
du
ou
poète
manie
de
la
/)o/!<t</Me,
satire
cf.
G.
SIMON,
~'Ë'M/'o'?tee
(cinq
1818
de
~M~o,p.173.
Acte
<s'oc/6!<o?t~oM?'
Abel Hugo,
Louis-Auguste
de
V. Hugo,
Z'ance
29 Janvier
la
raconlé,
p. 2)1
est du 1" janvier
la ?'ë~<!c/zoMe/
la
Marteau.
Jean-Joseph
175-177.
pp.
des «Ze«?'M
6y'e<OH/tM~
entre
/)M<ca<tOM
et Victor
cf. G. SrMcN,
Ader,
Eugène
Hugo
au 2 Février.
La mort
de Z~OM~ ~F/
ode,
celle des Odes et Ballades
cf. G. SIMON. /«K<e
t. ), p. 214.
On trouve
de cette
strophes
quelques
Nationale,
l'Imprimerie
pp. 421-425.
a
avec une épigraphe
de Delille,
antérieure
de F. //M<yo. p. 173 et F. //M</o ?'aco7t/e,
ode dans
les (Mp~
édition
de
Ballades,
7''ew!e?'
2 au 3
Avant
Sans
Le
</e'.w de
le 15.
Eugène
du concours
date..
la gloire,
ode
cf. G.
son
Hugo compose
des Jeux
floraux).
Les
Places,
Odes et Ballades,
chanson
édition
cf. G.
Ode
sur
StMON,
de l'Imprimerie
de
SfMON, Z'?</a?!C6
/M mort
~t/a/'ce
Nationale,
T~M'yo, p.
e~M ~MC~Ky/en
pp.
K //M~o,
426-427.
173.
(le 15 février
p. 173. Pour
est la limite
le
texte,
voir
~f~7
8-10
Priape,
Nationale,
d'une
traduction
p. 528. On y donne
satire
d'Horace:
la date.
/?'«7.~<;
et /~M//af/e.s',
de l'Imprimerie
cf. Odes
édition
fut lu au 4'~ banquet
le 4 Octobre
1818.
littéraire,
Mo.<
3
Eugène
Hugo obtient
/~ecMe:/
de /tcH~e'Ht!'p
12
Sans
67<aH.~oK
date.
V.
avant
cf. Odes
un souci réservé
.s-K?' la ?Kor<
pour son Ode
des ~eM.ï; //oyaM.r,
1818, où elle est imprimée
de l'Imprimerie
Nationale.
e<7~Q'/<</</e.s', édition
Hugo travaiHe
pour
1830,
p. 109 et
François
)'~?'<e,
~M
pp.
pp.
de Neufchâteau
sur Lesage
et Gil-Blas
1882,
septembre
p. 185 et suiv..
duc
<)~/<!<'M
cf.
j-vj.
428-429.
cf. BmÉ,
V. //M;yo
(1) En 1822, le vendredi 26 avril, aux Bonnes Lettres. « dans un discours plein de recherches sur la litté« rature dramatique
M. Abel Hugo a, entre autres ouvrages,
examiné la tragédie d'/HM de Castro.
espagnole.
Le
« par ~/a.-EKM ~<'Zaee?'~a et )'a comparée
celle de Lantothe.
sujet de cette pièce étant tiré d'un épisode
« de la Lusiade a fourni à M. Hugo t'occasion
de parler avec quelque étendue du poème de )a ~,M.a</e. »
et des Arts, t. vn. livrais..Lxxxn.
cf. /tnHa<e.«/e la Littérature
p. 136, 27 avril 1822.
1818
.Juin
1
de
Eloge
t. u, livrais.
8
Lettre
de
chainement
15 août
1888.
Sans
date.
Conte
raconté,
Zes
l'ode
mort
du duc
cf. Ruche
d'Eugène
Hugo &M?'/a
<tte?t:
d'Aquitaine,
1818.
Xt,ls''juiu
de Neufchâteau
à Alexandre
Barbier.
H Favertit
V. Hugo
ira proFrançois
que
le trouver
des renseignements
sur Gil
cf. /.? Figaro,
pour lui demander
cf. Odes et
t. i, pp. 217-218
Z)e?'/tïe.A'
Bardes.
édition
de l'Imprimerie
~a~es,
vers cités).
(trente-six
Voir au 5 juin 1819..
·
Nationale,
430-434
pp.
et
V. Hugo
o
Juillet
5
V. Hugo
et ~c/<e'/Ke'/it</e
lit les Derniers
~ar~cs
(au
dîners
Httéraires
du restaurant
rue
de
l'Ancienne
Edon,
de
/'aMee
Hugo,
p. 178..
moins
ce dernier)
Comédie
cf.
(1)
7
de j\eufchâteau
François
auteur
de Gil ~/as
Lesage,
avant
1830,
pp. 107-109.
de l'Académie
en mai et juin
dans
une
auquette
séance
V. Hugo
extraordinaire
a travaillé
le 5 juillet
aux
G. SmuN,
/?Hlit sa notice
sur
cf. Bum, F. //M~o
~4.0M<
2
13
177
29
Août.
à MM (/eM'<
fait
//Hp?'oMt~«/.
a transporter
V. Hugo aide
avant
~~0.
pp. 124-125.
A la distribution
solennelle
cf. BmÉ, V. //M~o
physique
V. //M~o raconté,
t. t, p. 213. Voir 17 et 20 juin
IV sur le Pont-Neuf
la statue
d'Henri
cf.BinÉ,
(2)
cf.
des
<aH<
du
prix
.30,
concours
général
77-78.
pp.
V.
Hugo
obtient
1820.
Y.
le 5~ accessit
Hugo
de
M AI. OM?'?'y ou ~e/)~t.?c
à /7'e
~M Roi de /V. 0<7?'?-y
cf. K. 7/u~o
t.
~/)~~
raconté,
cf. G. S~MON, 7.'A'M/aHce
de V. T/M~o, p. 173
il indique
la date.
p. 216, qui cite six vers
« 7!
dans
les Odes et Ballades,
de l'Imprimerie
édition
ÛM?'?'y est imprimée
/f~'e
avec cette date
du 28 au 29 Août.
Nationale,
pp. 448-450,
de AL Ourry
est dans
le ~/o?:!<eMr
du 26 août,
Universel
L'épître
p. 1015 et comprend
deux
cents
vers.
à /?K/aHce
~e.< ~~teMX
cf. Odes 6< Ballades,
édition
de l'Imprimerie
447. Ces vers ont été publiés,
en partie,
dans
V. Hugo
raconté
sous
Ils ont été lus le 6 septembre
littéraire.
1818, au 3e banquet
pp. 257-260.
Nationale,
pp.
le titre /~e~'e<
444t. t,
du 17 au 20 octobre
1817. Les Derniers
Bardes,
(t) ~4c/te'/HeM!~e a été composé
composés en l'été
dans le Conservateur
de 1818, ont été imprimés
t.
mai
i820 et dans
)~ livrais.
V!)~
Littéraire,
t. f, pp. 27 (-283.
V. 7/M~o raconté,
des pièces de vers inspirées
de la statue
(2) Voici une liste assez complète
par le rétablissement
d'Henri
IV.
.4uM< 8.
C. L. MoLLEVAUT,
La Restauration
de la statue
dans le ~OKtc~We/M't/K,
Ode, imprimée
<<'Mr Universel,
le 15 août, p. 975 (cent quarante
vers).
~Ott<
VALANT, //eMrt/~7'<'yM!M.)'aM<a/f.['g'<OM'e.
~)oM< ~2.
AMÉDHE DE TissoT, Ode Sur le 7'e<a~<M~gMMM< de la statue
cf'~eM/'t /F.
~9.
.4oMf
F.
J. DEpONTis, Ode -S*M/'le 7'ë<'a'&<e/MeM<~e
la statue
<f.~eM~t
Ode Sur la
–X.,
statue
<<eKy't
J. HRtssHT, ~a6'<a<Me<<eKrt/F,
/K.
l'Ombre
ode. –X.;
du grand
//fM/
à S. ~7. Louis ~YF/
DE LANGEAC, La statue
d'2/eK?'t /F, Ode.
5.
DE
COMTE
CoETLOGOx, Ode ~<M' le /'e<a6/MMM:gK< de la statue
Septembre
e</K<M<7'e<.<'HeMrt/F\
de
vers
et du Comte de Coëttogon
sont dans le ~/ont<eM/' ~Mt~ey'A'e<, 1" sep(les
Langeac
tembre~
p. ))J39~.
DitAp-AHNAUD, Ait roi, le yoM;' de <M /~6A'<<ïMra<MM de la statue
(<7/f?tr!
rétablissement
de la statue
c<'FeM/'t I V, imprimée
)~ Ode.
VmAt., Ode ~M/'
au ~/o/n<e;t?'
d~
i040.
Ode~M)'
Siti- le î~établissemeîtt
?'ë<f<6HMemeM< de
~e la
Universel,
X., Ode
septembre,
p. 1040.
.<ft/Me (<'y/CM/'t I V.
UN BoRDELA)s, ~<a?f;e~ ~'xr le ?'e<a&<tMeMteM< de la statue
<<eK~t
.S'e/)<e/K&e ~9.
LE ViEUX TitouBADOUH, Le rétablissement
~t'eeMt~re
de la statue
f/e/M't
IV, poème.
Notons
le
iO
a
Lamartine
une
Ode
sur
le
Rétablissement
de la statue
août,
qu'avant
composé
d'Henri
tV. (c)'. ~mÉ, )' /~Mf/o avant
1830, pp. 126-128, et Corre~ooM~fMtce
</eZaMtfM'<tMe, t. u, p. 213.
12
1818-
Août
Août.
V. Hugo
la pension
et le collège,
en
quitte
rue des Petits
habiter
avec
sa mère,
Augustins~
même
n° 18.
que
temps
son
frère
et
Eugène,
va
Septembre
Sans
date.
Composition
Le /<HMteaM
des Vierges
de Ke?'</M/t
de 6M!f 6c/t!'<, chanson
°
cf. G. S'MON, /?t/'6[Mce
cf. G. SfMON, ~t/a/<ce
f/e
de
/7M~o,
K. //«'/o,
p.
p.
)73.
)73.
Octobre
0
3
30
GASpAUD
DE PoNS, ode sur
le Co?~?'~
la C'ana~6MMe
y. Hugo compose
Voir au t8 Septembre
pp. 4S1-452.
In-8,
<4~<i!-C/ta~6//c.
cf.
1819.
Odes
et Ballades,
Bouchet,
Paris,
Impr.
édition
de f'tmprimerie
Novembre
21
C.
DELA'vfGNE.
r?'oïs~/es~e'?MeH)!
etc.
In-8,
Imp.
-~3-
Baudoin,
Paris,
Ladvocat.
De)aunay.
Nationale,
0
CHAPITRE
II
1819
/~ef?'ï'er
1819
5 au 6
15
l'Ode .s'M?' le ?v7a6/s'.s'eV. Hugo compose
/?<pM< de la .!<a<Me </e ~c~T'i! 7F
cf. E. Dupur,
La ./eKM~e
des /?OM:a?~«yMps,
p. d9.
Avant
le 15 février,
V. Hugo a composé
et
aux
floraux
Z.e.! Dernier.s
Jeux
envoyé
/«
les
de
Bardes,
6'f<Mf«/!fH7t~,
Vierges
~e?'f/M?t (sept.
de la
1818), le /<a&<:t;e?neM<
statue
</e /yeM?'ï'/F
(5 au 6 février
1819)
cf. Co~'e.KefaMce
1815-1835,
p. 354.
Entre
le
Lettre
de Soumet
~5 et
avant
//M~o
le 3 mai
G. StMON, ~H/<ï?<cc
28
à
de
de V. Hugo à Soumet,
à propos
des
au conouvrages
que lui et son frère envoient
cours des Jeux floraux
cf. Ca~<oyMg.!
C/Mravay,
no 188.
Lettre
V.
cf. Emu,
Hugo
129-130
et
pp.
V. Z~Myo, p. 193.
Soumet
est installé
comme
mainteneur
des
Jeux
le dimanche
28 février
i8i9:
floraux,
cf. LnoN SÉCHM, le C6'?tac/e
de la Muse /?'a?tpat.«?, p. 10.
~<
20
20
29 Mars
au
9 avril
Lettre
cf. Odes
de M. Pinaud,
et ~a//a~p.
pp. 531-532
a V. Hugo
Toulouse,
édition
de l'Imprimerie
et 534-535.
Nationale,
Cn. NoDiEn,
yAe'?'e~e
l'auteur
~tM&e?'<, par
de
Jean
~60~?',
in-12,
Foin,
Paris,
imp.
Ladvocat.
B. F.:
20 mars
no d044
1819,
2e édit.,
B. F.
n° 1537.
24avri),
V. Hugo fait
des corrections
à l'Ode ~M?' le
r6'<a6/s'~6MeH<
de la .!<a<Mc <~e~ë?~
/F et à
)'0(/f
les
de Fcr</M?:
cf. Co?'?'MF~~es
po7!f<o!?ice~5~5-5,
pp. 355-357.
Lettre
de V. Hugo,
à M. Pinaud,
Paris,
secrétaire
de l'Académie
des Jeux
perpétuel
Toulouse
cf. Co?'rM/JOM6fa~ce~5floraux,
1835,
pp. 353-354.
29
de V. Hugo,
Paris,
~o-?5,
Correspondance,
9
~lur</
Lettre
~a<
:<
V.
comme
extraorobtient,
Jtugo
prix
un lis d'or
dinaire,
pour
Ap/~a6/<eM:e~<
f/c /M ~ya/Me </e //6M?'!
et une amaranthe
réservée
pour TLe.s' F:e?'yc.s' </e Ferc~t~t.
–14–
à M. Pinaud
pp. 354-357.
cf.
1819
~at
Les
pour
mais
-)2
~5
~S
Derniers
Bardes,
le prix, sont imprimés
La C<ïMa~:eKHe
est
concouraient
qui
avec ces deux odes,
exclue.
V. Hugo compose
le Discours
sur les Avande l'Enseignement
Mutuel:
cf. 0</e.s'
tages
et Ballades,
édition
de l'Imprimerie
Nationate,
p. 473.
de M. Finaud,
à V. Hugo
Toulouse,
du 16 juin de V. Hugo a M. Pinaud,
;/<S~5-jf~5,
Correspondance
p. 357 et Odes
et j3a//<!j'
de l'Imprimerie
Nationale,
édition
pp. 356-357.
//M<o!')-e</e
Gil Blas
de ~<a7tc,
par
3
Paris,
vol. in-8, Didot,
Lesage,
Lettre
cf. lettre
c
du 1 er volume
est un j6'j;a??të?t
de
la question
de savoir
si Lesage
est /'<ïM<ef<r
ou s'il l'a pris
de /'jE'~<!</no/,
de Gil Blas
de Neufchâteau
etc.
(B. F.
par M. François
En tête
15maH8d9,n''i859).
.<
t'Mr
Ode
le
~e7a&/MseMCM<
de 7ypM?'<W,
qui
a remporté
d'or proposé
par i'Académie;
Marie Hugo:
résidant
(en note:
le 25 mars (sic) i802
Besançon
de
/a
~~a~Mp
le prix du lis
par M. Victora Paris,
né a
(~).
de /cadew?ede~
Jeux
et. le Conservateur
littéraire
ont le même
(1) Le ~ecM6:7
texte
floraux
des changements
se trouvent
nombreux
dans
les Of/e.s' et Ballades.
Les Odes et Ballades
ont fait disparaître
la référence
)iv. 2), pour
(OEnéide,
eml'épigraphe
ZD
à Virgile
pruntée
A la page 76, le vers
48 est transformé
//eW<e
du respect
ses ue/'<Mô' remplace
qui payait
du respect
/~ert<e
eut
ses
vertus
faite
en
le vers 20, on a
qu'on
pour
(correction
1822).
Après
enlevé
la note suivante
La colonne
s'élève
oti /M)'g/t< le ~'acrM~
Trajane
y.)/'<'6' de l'emplacement
Tiberinum
et la via ea/jr(ec?MM
de
la
ville
de /~o?Me).
Les vers 2t et 23 ont subi, en 1822,
(Antiq.
une transformation
me
les
rend
durs.
Voici
les deux
textes
semble-t-il,
qui,
plus
mais
Souvent,
Tel
dans les horreurs
des discordes
civiles.
sur les villes,
Quand t'cM'roi planait
Co)~e)'u.
Z.:«.
77,
Page
aux feux
voici
du
la
soleil,
correction
rugissant
faite
d'un
au
air
vers
torsqu'en
La terreur
l'horreur
des discordes
sur
ies villes,
planait
Odes
civiles,
et ~a//ad~.
18
Tel.
sombre,
CoKxet'u.
«
«
«
«
«
«
«
Souvent,
troublant
Litt.
)e désert
d'un
Odes et ~s/<ade.!
rugissement,
(correction
sombre,
de J828).
le vers
note
a disparu
« Suivant
M. le Monnier,
19, une longue
le tigre des déserts
de
Après
non content
d'avoir
dévoré
ses victimes,
sur l'ombre
s'acharne
de leurs
M.
Sahara,
de
squelettes.
Borda
sur
le
la
«
même
de
manière
suivante
amenés
s'exprime,
sujet,
j'ai vu des tigres d'Afrique,
à Damas,
et enfermés
dans l'immense
arène
dévorer
avec
la
férocité
deMagis-Patar,
plus révoltante
les bœufs
et les hiènes
leur
donnait
tout
leur
et,
des
qu'on
satisfait,
vivants,
appétit
passer
journées entières
à guetter
l'ombre
des carcasses
décharnées
de ces animaux.
II est probable
que le
mouvement
de l'ombre
a
ces
une
de
vie
dans
ce
n'avait
présentait
tigres
apparence
qui
pas même
une apparence
»
de corps.
faite au vers 16 en 4822.
Page 78, voici la correction
0 ma iyro, tais-toi
reconnais ta faiblesse.
0 ma ivre,
CoMM'f.
Z.<.
Page 79,
iienri,
nous
)e vers
te
4 a été
devons
transformé
au denier
en
dans
)a publique
Odes
ivresse
<;<Ballades.
4822
de la veuve,
Cott.s'f'
tais-loi
Nous
/.<
devons
ta statue
au denier
de
Odes
I:i
la veuve,
cl Ballades
5
1819
./M~
<;<f /4c«</e~«'e
~s'.A'M.r/J'oy'~M.T,
i
à
cf.
CoH~e~u.
v
~!«.,t.n,
1819,
p.
iivrais.
Le Rétablisxi, pp. 3-7, 6 mai d820:
&cmc?~ de la statue
de //e?:?'
ode qui a
en 1819, le lis d'or,
extraorremporté,
prix
dinaire
t'Académie
des
Jeux
proposé
par
cf. Odes
floraux,
par M. Victor-Marie
Hugo
livre i, ode
et Ballades.
édition
Me ua?'!e/M?',
O~e.! et Ballades,
édition
de
VI, pp. 75-80
Nationale,
pp. 61-65.
l'Imprimerie
Recueil
Les F«'?'<
de ~e?'~M?t. 0~e</M!
a obtenu
une
Victora??ta?'aM</<e
y'e'.s'e?'upe /ja?' ~7.
~/a?'~
7/M</o (1).
Et les vierges de~vaOéed'O.ihra.mvinrenta.tnoi
et elles médirent:
chante nous, parce que nous
étions innocentes et fidèles. Gud-Eli, poète persan.
La dernière
Jeunes
Ptaisir.
Henri.
(p. 79) a été complètement
strophe
Dansez
autour
de
cette
enceinte
leurs
anime
leurs
chants.
pas
joie
guide
car
la bonté
son regard
est peinte,
dans
Jouira
touchants.
decesjeux
J'ai!ne
mieux
cet airain,
où d'un
roi qu'elle
adore
La France
croit
revoir
encore
Le port,
le geste
accoutume.
ces
vains
monuments
art pénible
enfante,
Que
qu'un
Dontla
mais
cimente
grandeur
surprend
tyran
qu'un
sueurs
d'un
peuple
voici
80,
Page
queiqnes
Voici
les deux
textes:
Jeunes
Mêlez
opprimé.
CottMfC.
des 1823.
dansez
autour
de cette
amis,
enceinte
vos
mêlez
vos heureux
chants
pas
joyeux,
car
sa bonté
dans
ses traits
est empreinte,
Henri,
Bénira
vos transports
touchants.
Près
des
vains
monuments
des
s'élèvent.
que
tyrans
de longs
siècles
achèvent
Qu'après
d'un
Les travaux
peuple
opprimé.
est
cet airain
où d'un
roi tutélaire
Qu'il
beau,
La
France
aime
a revoir
le geste
populaire
Et le regard
accoutumé
amis
Des
changée
M<.
Odes
et
Ballades.
changements
Vers').
L'obscur
néant
son
de
Le grand
néant de son cercueil
Odes et Ballades
(correction
cercueil.
COKM7'U.
~t«.
de 1822).
Yerst~.
Un
jour
(mais
tout
écartons
présage
Conserv.
Vers
Un
funeste)
jour
(mais
/«.
tout
repoussons
Odes et Ballades
présage
(correction
funeste
!)
de 1828).
18.
De
cent
rois
cachant,
les
Cachant
CoHMru.
cent
royales
Odes et Ballades
poussières,
~«.
L'e'd:<tOM
des OuES ET BALLADES de l'Imprimerie
Nationale
a corrigé,
1er
le
vers
de
la
6e
63
édition
ne
manuscrit,
strophe,
p.
cart'e~Mr,
p. 77).
(cf.
Assis près de la Seine, en mes douleurs
amères.
donne
aussi
une
(p. 498),
strophe
4e strophes
du texte définitif.
Le voici
existe encor quand Néron
et Tibère
Trajan
Ont vu leurs honneurs
abattus.
Henri!
ta statue
adorée
j'ai vu tomber
He)as
une foule égarée
Elle
Aux
de
la
V.
Hugo
l'a
dédoub)ée
(correction
avec
n faut
raison,
le lire
pour
former
de 1822).
le
d'après
ainsi
les
3e
et
l'airain
renverse
Outrageait
Et cependant
des morts souillant
le saint asile,
mains demandaient
Leurs sacri)eges
à r<u'gi)c
de
ton front glacé.
L'empreinte
édition
on trouvera
des variantes
du manuscrit.
Quelques-unes
On
aussi
frmt
la lettre
consuttera
avec
de M. Finaud
352)
appartiennent
primitive.
(p.
à~'édition
mars
a
V.
certaines
corrections
et
V.
du
9 avril 1819
de
(20
Hugo
ia réponse
i819),
qui propose
Hugo
La lettre de M. Finaud
et éclaire
celle de V. Hugo déjà publiée
dans la Co/M(pp. 533-534).
complète
~5-~&35
/M~<Mtce
(pp. 354-357).
pp.
S09-511
inédite.
poussières,
même
différence
entre
le texte
du Recueil
des YeM~ floraux
du Co?Me/'c.
Zt«.
(i) H n'y aucune
et celui
Victor
à la fin de la première
note
dans
il raconte
Hugo a fait une toute petite
suppression
laquelle
l'histoire
des Vierges
de Verdun.
Il n'indique
les
sources
où
il
avait
Voici
ce
puisé.
plus
qu'il
y avait
dans
« Voy. les ~/eyKOM'M de ~ey'<, de ~/o~eut~e,
le /~ecMet/
de JeM.'<: /~û)'aM;e
l'histoire
de la ~e't)o« <M~'OH~a?' L<:c?'e<e«e,
les archives
cht <t6MMa<
fëuo~M<to?tK6[M'e,
etc., etc. »
-i6–
5
1819
~M:/ï
/<e'"ue!7<~?/tea~e'Mt«'
6<e.s'°./eM.T; floraux,
~9.
chez M. J. ))attes,
Toulouse,
Imprimeur
de l'Académie
des Jeux
floraux.
B.
pp.
vj-xj.
F. 5 juin
n° 2~21.:
cf. CoM.!e?'u<:<eM?'
t8)9,
t. i, Hvrais.
/ï/<e'?'a!7'c.
n, pp. 41-46,
25 Décf. Odes et Ba~cembre
1819, V.-M. Hugo
édition
Hp !?'<c<M?'
livre
/a<<
t, ode in,
octobre
Odes et Ballades,
1818
pp. 53-59,
édition
de l'Imprimerie
Nationate,
pp. 46-50.
Lps difTerences
sont au contraire
très grandes
entre
~a«f«<e.<.
Les corrections
ou changements
datent
de
7'vers.
~strophe,
ces
Pourquoi
verts
2*st)'ophe.'4°vers.
sont
ces
Quels
festons
sur
meurtriers
tout
ces
chaînes
de
lambeaux?
/~i'«.
du Cot.e/'t?.
de <822.
sur
Pourquoi
pesantes,
/«.
CoK~eru.
couverts
le texte
l'édition
festons
des
ces
et
celui
Odes
chainesmsuttan
tes,
9
ineurtriers
Que!ssontces
cou
verts
d'itnpursiambeaux
?
0~e.<e<~?a«Q~M.
6''vers.
;strophe,
Dois-je
les
expier
crimes
de
mes
pères? 9
La
4'
du
strophe
Lt«.
Conserv.
a
été
crimes
tes
de
!nes
La
supprimée
et
Ballades.
voici:
a désavoue
de leur
le jour
supplice
de longs
et de deuil.
jours
d'épouvanté
Déchire-toi,
voile
des âges!
France,
avec
)noi reviens
à ce siècle
d'orages.
Gernirencorsur~eurcercuei.
Elle
Par
A cause de la suppression
de cette 4e strophe,
aussi
tes Odes et Ballades
pour ne pas tromper
les Odes et Ballades.
d'après
strophes
il n'y a plus concordance
le lecteur
nous donnerons
entre
le Co/Me/'M.
/.t«.
désoi')nais
le chiffre
1" vers.
entourés
murs
de
gardes
Sous
menaçantes,
des'murs
entourés
de
cohortes
sang)antes,
Cot:e)'tj.t«.
7" strophe.
Verdun,
pères?
Odes
à l'histoire
serez
mânes
chers
satisfaits,
Je veux
vos regrets
consacrer
si ce trépas
Heureux
vous
comb)e
de gloire
qui
N'était
la honte
des Français
Mais
non
en a paru
quand
ma patrie
complice.
ces
expier
/<.
Vous
4' strophe,
donc
Dois-je
CoHMt'C.
Odes
et
Ballades
5e vers.
de
boulevard
seul
la
France
Verdun.
opprimée;
CoM.<e?'u.
vers
8'strophe,
de
preu)ierre!npart
la
France
~)«.
opprimée~
Odes
el
Ballades
5 8.
sauver
la France.
Ce n'est
pas tout
quand,
pour
affrontant
la
mort
et
Nos
bannis,
l'indigence,
nos
encor
mal
affermis,
Combattaient
tyrans
si
avez
de
nobles
Vous
misères
plaint
Co?Me?'c.
10* strophe.
3' vers.
fit rouler
dans
Qui
vos
regards
Ce
n'est
sans
hélas,
pas tout.
nos
bannis,
Quand
Combattaient,
nos
Vos nob)es
cœurs
chercher
la
vengeance
)a. n~ortet.
l'indigence,
encor
mat
aH'ermis.
tyrans
ont plaint
do si nobles
misères
bravant
/«.
e< Ballades
Odes
humides
Dites..
fit. router
qui
dans
vos
humides
regards
Co)Me!'C.<
Odes
e< Ballades
outrage~
Odes
e< Ballades
(i<vers.
Quand
le
tache
la
dont
oppresseur
voix
vous
outrage
Quand
t'oppresseur
qui
vous
Co7tserM.<
1)*'strophfi,
C'en
est
l'avers.
donc
fait,
sous
la
lugubre
enceinte
C'en
est
donc
fait
déjà
sous
la
6'0?:A'<'?'U.t<i'.
12'
strophe,
Charlotte
Et
et
<MM~Na«<M~.
CoHM;'t!.Z,:«.
Sous
ftes
Cazotte
vers
au cœur
Elisabeth,
enviant.
6, 7,
Odes
enceinte
et
Ballades
10.
d'airain,
qui vous
vengea
de nos bords
cet ange
le
lugubre
prix
de
ses
Charlotte,
d'avance
CMOtte
efforts.
Martyres,
Co~Meru.
/«.
17
autre
Elisabeth,
dont
Judith,
si
l'encens
qui vous
malheureuse
p)a!t
au
vengea
en
martyr
Odes
d'avance
vain
divin
et
Ba~a~e~.
et
des
./M<~
1819
Les
pour
De~u'e~
le prix
Debout
t.2, 3.
Ici par de nouveaux
prodiges
yeux épouvantes:
Lesspectrescfn-ayaientmes
sur
Ils balançaient
moi,
parmi
d'an'reuxprestiges
Co;tM)-. Z.i«.
13'strophe,
ta
poème qui a concouru
Victor-Marie
Hugo (1).
du nord
.Sur
les rochers
en main, il sourit à la mor),.
CH.
j8a?'
par li.
harpe
vers
sombres
des iueurs
Ici devant mes veux erraient
sens épouvantes
Des visions troubiaientmes
Lesspect.ressurmonirontba)ança.'entda.ns)esombres
Odes et Ballades.
à la fin des Odes et Ballades.
)es notes
dans
JI y a aussi & signa)er
de petits changements
piacées
/<
dans
le CoM~ru.
étaient
vierges
<roM~MmM
Page S37, note V
Trois
jeunes /t<~
« Ce brave
.~MO~MMtt
~MM/'f/M~.
On a ajouté
les deux dernières
phrases
538, note V)H
Page
»
~tOKMeMr
français
Me~'M<~a?KaMC<<'?KCM<t<~aK~~MC<:M~
/.<«.
dans Je Co/Me/'u.
On lisait
note
X
Le
commencement
de la note a été transformé.
Page 539,
de ~oMO~?<t<
eu
~~e
bonheur
«
son père,
Ca~-o«e
ne ~M< psrt)e?t!7'
à sauver
</M'acAe<a
on )isaitAerot~Me.
&Ktw/t/
A la 3' ligne,
à la place du mot sublime
:~5-&M.,
(cf.
Pinaud
de Toulouse
Co?-rM)MK~<ïMce,
La correspondance
de V. Hugo
avec
li.
&
on fit des corrections
qu'à Toulouse
nous prouve
p. 356. LeLtre de V. Hugo du 9 Avril a M. Finaud)
de celui-ci.
l'ode de V. Hugo mais d'après
les indications
a subi
une de ces corrections.
La 7e strophe
des Odes
et Ballades
p. ~6 (qui pour lui était la 8e)
de Toulouse,
et
soit aux juges
soit àV.
de la strophe
Les trois
vers
Hugo,
premiers
déplaisaient
vers
meiHeure
l'une
envoyés
V. Hugo
à ces derniers
deux
versions
que les tros
parut
envoya
car elle a pris place dans l'ode.
d'abord,
Voici
la 2e version.
Jetant
sur
Reculaient
mutilées
vos
Quand
pbatanges
1 ombre de leurs lauriers,
nos
accablés.
vers cyprès
Paris, ) par )e nombre
floraux
et le C~M~e~.
des Jeux
Litt.,
Dans les Odes et Ballades.
le Recueil
pas plus que dans
celte strophe.
nous
ne possédons
les trois vers primitifs
qui commençaient
est une
combinaison
de
V. Hugo,
)a 10e pour
La 9e strophe
(Odes et Ballades,
p. 57), c'est-à-dire
texte
)e premier
pas et que nous
deux
qm ne ptaisait
strophes
envoyées
par V. Hugo pour remplacer
ienorons.
Voici ces deux strophes.
Ce
trait
dernier
Maisnon!
suffit
l'arbitre
leur
bonté
leur
les
trahit
leur
belle
âme.
ce trait
qui
glorieux
1 Quoi
mort..
de leur
2
Sera
donc J'arrêt
leur
enflamme.
non
l'accusateur
3 Mais
que
aspect
honteux
Tressaille
d'un
4
transport.
n Il veut,
au prix
d'un
a. n'reuxsacriHce,
vierges,
ravir
au supplice.
vous
6En
taisant
vos bienfaits
la crainte
abattus
chastes
cœurs
7 II croit
vos
par
est l'arbitre.
Tainville
De vos jours
a.ce seul titre
d'un
forfait
le monstre
Souillez-vous
vos
vertus.
Vous
absoudra
de
condamne.
de
sort,
brù)ant
d'un
feu profane,
aspect
d'un
honteux
transport.
sacrifice
veut,
vierges,
au prix
d'un
affreux
vos
vous
ravir
au
En taisant,
bienfaits,
supplice.
H croit
vos chastes
cœurs
la crainte
abattus;
par
le
le
couvre
Du <nép)'is
acceptez
partage
()ui
Tainvi))e.!).ieur
Tressaine
4
5
6
7
8
9 Souillez-vous
d'un
forfait
)OVn)isnhsfH]ffra~]H
fintarne
aréopage
vos vertus.
les vers
devant
Les chiffres
placés
a été composée.
ment
cette strophe
Dans )ai~
enfin.
strophe
6'o?'/o</<;
L'<'<tM~
elle
508);
(p.
versde)a7'!strophe:
ait
indiquent
cfBMf ~'ai/WH
était
ceux
qui
ont
été
et
conservés
permettent
de
voir
com-
pri)uit)vementC/ta~o~eaM/'ro!:<a~'a:H.
<~M ODES ET BA),).ADf;s f<e <M/Mey'<e
dans le texte
nous indique
étaien!.
quels
~Va<OM<ï~,
aux
envoyé
nous
donne
Jeux
Floraux,
quelques
les trois
variantes
premiers
nos phalanges
Quand
Mgar~es
des lauriers,
moissonnant,
dans leur erreur
Jusque
entourées.
Reculaient
vers Paris, d'ennemis
On trouve
(p. 534) les critiques
« avec bonne grâce
aux observations
;5-?5
(pp. 336-357).
/joM<~M<e
de M.
faites
Finaud
et des autres
» à Toulouse,
comme
Y. Hugo
s'est soumis
académiciens.
dans
la CoryMle prouve
sa réponse
subi des transformations
~a?-6<Mont
profondes,
(!) Les ~e/'Mtey.9
suivre
le texte
même
de
Victor
raconté
Nous
allons
//M~«
ou transformés.
supprimés
)8
des
en
des suppressions.
corrections,
notant
au
passage
les
vers
5
1819
./M<M
ypM.t; /<o?'~M~,
~8~9,
Toulouse,
Dalles,
xxxv-xtij,
pp.
243
vers.
n" 2d21:
et'.
5 juin
B.F.,
1819,
t. ), livrais.
~'0/t~~yu.
Z!<
voi, 25 mars ~820,
Victor-Marie
Pocme ossiapp. 28i-289.
Hugo.
298 vers
cf.
)~tc~?'
?'aeo?:<e,
Hugo
nique,
t.
27d-283.
Les
/)e7'M<e?'
), pp.
~n?'s',
228 vers.
Recueil
de
/4caf/<Ht<e
des
in-8.
it'Ht: Arrive, ).uc. détruis, ravage puisque tu as vaincu ceux ()U! avaient vaincu. (Romances
espagnoles).
Les Oa!c. et
merie
Nationale,
texte du Co/o'f.
1818.
/~<«f/e~
donnent,
Z/<«-,
édition
de
l'Imprile
(pp.
435-443)
avec cette date [Juin]
Page2'U.
2°
4'
8*
~9'
vers.
vers.
vers.
vers.
N'entends-je
Les spectres
i:72.
t'age
Co?<set'M.
des
/<
(les anges,
p. 281).
tempêtes
à vos Aoca~M
Co«.!et't;7.!«.
sombres'(vos
/eMi7/af/M,
dans
la nuit
decevante
M:a/e et yott/ta<t<e,
CotMfru.
(la ~o/.t;
pas plutôt
sur
vos
fronts
chevelus
CoM~o'M.
(des
/<).
s'appeler
spectres
égarés,
Sont-ce
les esprits
Ou fidêles
encore
le
Après
2~
dix
vers,
vers
ont
été
supprimés.
Non.
icsBardes'n'ont
pu descendre
Dans
ce fleuve
des ans,
roule
l'avenir
qui
Si leur
en
deuil
se
tait
avec
leur
cendre.
cythare
ces lieux.
de leur
souvenir.
Interrogeons
pleins
Le pâtre,
de
leur
gardien
gtoire.
Page273.
6'vers.
7* vers.
8' vers.
9'vers.,
iS'vers.
/«.).
De
A
leurs
Les
révères
conservant
aux
rochers
déserts:
chants
la
mémoire,
répète
Et.i'echotointa.indesH~or~t.agnes
dans
ces campagnes.
perdu
!'ëtTanger.
sort, et. leurs
Redit
)ëur
concerts.
Con.«;?'c.)/<
281-282.
pp.
m</a)MMMorven~<ee/e&)'e
EtMorven,aMM!K<~e.!<eMe&?'M,
~t<e?:<
des harpes
/'M7:e&)'ey.
la mort des héros.
Annoncer
Voix funestes
du sort.
Fait soudain.
les vieux/'?'!mM.
/)'0)M/o?t<<ta~e/Mt<eAt'e
des
héros.
~«?:onpa/<)a)uort
/.OM
funestes
du
sorL..
Vieux
Recueil
des
/'t'!ma~.
Coti.M!'M.«.
7eM.x
p. xxxvij.
/7ot'aK.'K.
Cemotrimeavecc<MMa<s.
273.
Page
le
Après
16~
six
vers,
vers
ont
été
supprimés.
Les
héros
ont
saisi
leur
lance,
ont
volé
vers
cette
armée
immense
vomit
de ses flancs
Que le sud
))s
Sur
Jeux
ces
six
trois
vers,
Mais
t'affreux
torrent
du ravage.
Entraînant
dans
son cours
et
l'opprobre
A passé
sur
leurs
corps
sanglants
Co;M<;r)j.
subi
avaient
une
correction.
Les
tels
les
qu'on
fit
~«..
le
dans
283.
p.
Recueil
des
floraux:
a vomi
de ses nancs
le Sud
Que
Mais
le ?i0i?' torrent
du ravage
Entraînant
dans
son cours
la mort
17-
vers.
tes
Ecosse,
274.
Page
le
Après
si
guerriers,
~8e
vers,
Les
vers
où
.«.,
Mais
La
venons
eu
19
l'un
d'eux
franchissant
transposition
d'indiquer.
alternance.
et
20
ont
Deux
ont
vers
rimes
les
masculines,
l'esclavage,
Ecosse
hélas
aux
Foulant
pieds
libres
Cherchaient,
Et frémissaient
Les
transformés.
sourcilleux
secondé
de
Victor
et
Hugo
concerts
-d9
p.
xxxvij.
/'reM<~
tes
eti/'H/t/x
invincibles
Cn/Me;
Litt,
supprimés.
vers les plaines
armes
vaines,
sommets
Edouard
dans
été
lointaines
complètement
été
déjà
corrigé
d'Uthal
des
vers
été
avait
invincibles
longtemps
sept
les phalanges
s'avançaient
Cependant
La terreur
leurs
devançait
pas:
Les peuples
sans défense
accouraient,
brisant
Et les vieux
chefs,
leurs
pas
voici
l'esclavage.
voici
tels
Rochers
sourcilleux,
lords
intrépides
ses
raconté
et
est
sourcilleux,
produite
se
ces
dards,
trop
pesants
t'honneurd'un
encor.
au bruit
des chaînes.
Co~eru.
/«.,
les
qu'on
Recueil
par
seraient
la
lisait
des
pour
beau
[bras.
trépas.
pp.
283-284.
dans
le
yeM.'e
suppression
suivies
et
leurs
Co?Meru.
/7ot'<!M;c.
il
que
n y
nous
aurait
Juin
1819
3~
Généra)
du
Hugo.OM?'Ma<
/t!&'<o?'<~ue
blocus
de
fM
et
de
yAtOMU!7/p,
et 7)?'oe??KïcA:,
~M~/i;
e~ .j!.5,
7'/t<o/tt~7/e,
co/<<Mta?t<
détails
.!M7' le siège
de
quelques
sur des rapports
et mémoires
Z.on~M??/. rédigé
Af. A. An. A)m.,
ancien
communiqués
par
officier
au
de
d'état-major
gouvernement
Madrid.
Blois.
B. F.,
In-8,
Verdier,
imp.
3d juillet
1819, n''28H.
27a.
Page
d"
2'
De
Au
vers.
vers.
le
Après
De
6e vers,
Se
vers
ont
été
CoMMt'u.
~i«..
p.
/a!</<o«e)'
284).
CM loin
~es~'a/)eau.Eorguei))eux.
Co;t.<e?-c.~«.,p.284.
supprimés:
]) régne
en espérance,
Près
des champs
Sans
au révei),
songer
l'essor,
et
son
vengeurs
le superbe
encor
camp
siège
d'Etfershe
s'endort:
faute
nous
involontaire
suivant.
d'orthographe
du
vers
/)yo<OM~eK<
la
croirions
à cause
voulue
plutôt
n)é)ent
à
la
voix
des
vents.
Se
mêlent
au
long
~'Mi'
des
vents.
CoHMt'M.
de
la
/«..
Debout.
mo&broui)iar<ts,
–Debout.
<e7:ë&t'eM~;broui)!ards.<ecMe/~M./eM.'E//o?-aMN",
vieillards.
Paraissent
de sombres
vieiHards.
Con~eru.
Litt.,
Apparaissent
de grands
Tels
sur
les roches
Tels
sur ces roches
ténébreuses.
labuleuses
On a vu s'élever
dans
les nuits
nébuleuses
On a vu s'élever
dans
les nuits
fabuleuses
Les tourbillons
des
Les
<)'M<M
des
hivers,
hivers,
fils
géants
p.
p.
Xïïix.
2S5.
277.
Page
6" vers.
Et
le
Après
les
Les
les
8"
vers,
Bardes
vers
quatre
t'œi)
prend
pour
Et
fremissants
guerriers
ont
été
des guerriers
qui
les fils de Tremnor
son
/<e!!ë<e
assez
avenir.
C'est
un crime
de plus
vers.
vers.
et
les
guerriers
Recueil
/)f:/iMa;
des
Jeux
floraux,
p.
xxïiï.
supprimés
frissonnent
Et
leurs
~hi;to~ce
assez
son
avenir.
le temps
sait
-C'est.
punir.
voix,
s'unissant
Pré)udent
en
Co;tM)'u.
et le ciel
aux
accents
harpes
qui
de mort.
Z.«.
sait punir.
résonnent,
CoM~t'c.
Litt.,
p.
285.
CoM.!6?'o.
Litl.,
p.
286.
278.
Page
14' vers.
1S° vers.
7'f)')'iY'/e
Il /'<<
et tel
tomber
qu'un
Iafre<
dieu
maudit
le
qui
(le sa voix
formidable
coupable,
Laisse
~< le
tomber
chef,
les
tel qu'un
Dieu
cris
de sa voix.
Co/Meru.
Con~t'c.
Z<«.
Z,!M.
279.
Page
4'
18°
pose
(<.<o)/)<e,
orgueilleux
376.
Page
2° vers.
5' vers.
8' vers.
9* vers.
10' vers.
H* vers.
16'
six
une
rime
d4'
Lothyait
domptant
un pied
Devant
ses pas bientôt.
Bientôt
devant
ses
Con~eru.
Z~(.,
pas.
p. 284.
Les obstacles
des
Des pics
et sauvages.
CotM~'c.
/«.
pics
sauvages
Menafa?i<~
)iri)ient
sur
ces sombres
rochers
-Vastes
rochers.
Co)t.<eru.
Z!«.
Les bataillons,
des Jeux floraux
on trouve
s'allongent.
Au Recueil
s'alongent.
Est-ce
C'étaient
courroux
275.
vers.
vers.
vers.
vers.
81620°
en
Clyde
front
du
Mais
dans
son âme
enorgueillie,
ses
hautains
rien
n'arrête
projets
)) rêve
i'Ecosse
avilie,
Page
7'
la
vers.
vers.
6'o.'t;o<M;
L'arrêtée
280.
Page
Le Isr
vers
mais
Dieu
a subi
votre
qui
deux
Prince
Monstre
Monstre
280.
le
7s
crainte.
te maudit.
du
mais
votre
crainte.
Dieu.
f.'OMMru.
Co/Meru.
Z!«.
/«.
transformations
ris de nos misères,
qui
ris
de nos misères,
qui
affamé
de nos
misères.,
vers,
Apres
vingt-quatre
des
sa source.
torrent,
qui.
Regarde
grossi
su!'
monts
les
Mugit
orageux,
Et vers
l'heureux
vatton
menace
sa course,
qui
Route
en grondant
ses flots
fangeux.
fracas
Vain
.ses eaux
vagabondes
S'ouvrent
sur
les glaciers
mille
chemins
divers
il disperse
De rochers
en rochers
ses ondes,
Et laisse
sur
leurs
flancs
les tributs
des
hivers.
affaiblis
Ses cent
bras
vers
les plaines
s'égarent
Bientôt
ce fier
torrent,
renversait
les chênes
qui
il peine
en passant
de faibles
Brise
arbrisseaux,
Et ses vagues
amoncelées,
Page
.'tM<aM,
L'arrêt
vers
V. /~M<y~
Co?Merc.
Recueil
ont
ce
été
Dont
raconté.
/~«..
p. 287.
des ~e!<-K floraux,
supprimés
)a fougue
p.
x)j.
lointaine
les vallées,
effrayait
trainent
en
faibles
ruisseaux.
S'y
Mais
sommet
des monts
sa fureur
turbulente
qu'au
Ait miné
d'un
vieux
roc la base chancelante
Des neiges,
des glaçons
l'énorme
amas,
pressant
Le rocher
déraciné
roule,
Et dans
sa vaste
chute
entraînant
les frimas,
Grossit
le torrent
s'écoule.
quand
Le mont
dont
)i descend
s'ébrante
et retentit,
Massé
immense!
il bondit
de montagne
en montagne
Et tombe
enfin
dans
)a campagne
Sur le torrent
qu'il
engloutit.
Co/Me?'
Litt.,
p. 287.
-20-
o
181~
·
./M<M
°
Lettre
de
louse
Paris,
Hugo.
cf.
aM.Pinaud.Tou-
16
/5-o.
Juin
Coyre~ooH~a/!c<'
357-358.
pp.
°
V.
a
-/Mt7/C~
dO
félicite
Le
~'?'an~aM
Lycée
leurs
succès
aux
de
t.
/'?-aK~a~,
8'
!2*
vers.
vers.
n"
1,
Tu
nous
Et,
si
28i.
Page
Jeux
les
frères
cf.
floraux
44,
p.
10
le
Se
~M!' ta nombreuse
bras.
Et, si
trois
vers,
vers
<i" vers.
iO'vers.
lavera.
Va, ton
Va,
sang
illais
nos chants
<a?/ta<x/?e~o~<
<3"vers.
Quoi
le
Après
Nous,
grands
L'aigle
des
Vois
braves
Nos
18'
2h
17e
aurions
huit
vers,
dieux!
flatté
vers
été
/eM!'
Non
1 les
Les
chantres
282.
Les
siècles
des
vers
3,
4,
se
siècles
sa tyrannie,
bravant
6
5,
p. 288.
/«..
Litl.
nous
Va,
<o<tKOW
.MMt-o«.<<)'i;'
Co;tM)'u.
[tMeMMt're.
cour
pu flatter
CoHM~'u.
Énsei,v.
[/)M~a;tee.
[puissa?ice.
Jouissent
de l'effroi
de tes fiers bataillons:
Nous
allons
les rejoindre,
et ta rage
a)armee
Bientôt
nous
entendra
sur
ta coupable
armée
les tourbillons.
Entre-choquer
Cogère.
Litt.,
pp.
serons
Les
diront.
héros,
Co~Meru.
e<<a
ta
Litt,
Zt«.
supprimés
nous
quand
Lill,
coups,
Co/t.!eru.
lavera.
mémoire,–
sang
ta
été
Co)i6'e;'H.
p. 288.
supprimés
<0)!!M!</MepMM~a?!<;e/VoM~<ïM;0)M~a;t.<<a
ont
Edouard,
le
[esclaves,
dans
les sitions
monts
viendra
ramper
ces nuages
là. nos
braves.
nos chants
ont
brisé
les entraves,
dont
vers.
vers.
Page
nous
ont
ce <0t'rf<t<.
c'est ta.
Edouard,
ton bras.
Cott.s'o'H.
/.t'M..
sort</M!<<a!<
armée
vont
tes hordes
dissipées
?9
à ses terribles
du vengeur,
les crois
en vain
échappées.
Où
armes
Tu
Aux
Ze~ce'e
1819.
juillet
&r<!M~
comptant
servait
ton
le sort
Après
Hugo
trois
remplacent
diront.
Co~Meru.
chantres.
~!«.
CoMMT'M.
Zt«.,
Les
vers
du
p.
289.
sa tyrannie,
fuyant
288-28M.
CoH~'e.
Litl.
transforment
qu'ils
presque
complètement
0 Ciel
nous
më)es
à )'horreur
de ta gioire
Nous,
la
chiens
lancés
fureur
des
Non,
dieux.
jamais
par
Nos
noms
dans
FéterneUe
histoire
implacables
ton
nom
odieux
Poursuivront
V. //t/yo
raconté.
Venaient
formaient
dernière
fois
Les
nos
qui
successivement
V.
floraux
/!ecMft<
supposés,
puis
Le
au
<<M~eM.x*
dans
des
Jeux
suivant
les
autres.
fable
«
douteux.
«
Page
les
par
«
sur
des
pages
note,
2e
vers
du
ne
[Edouard
ozi
/.<«.]
et le
la
poésie,
qui
chef
loin
plus
des
terminent
bardes
et
le chœur
à
la
fin
du
des
Lill.
ils
bardes
« Pour
chœur
la
»
ont
être
/?oraM~
mots
floraux
Mais
trois
chant
été
et
ligne
se
réunirent
At«.]
l'abîme
Co<:M)'N.
Les
suiv.
sur
ceux
sont
elles-mêmes
des
rochers
[au
bataillons
/bM<<
des
et
./eM;e
duquel
/~o~a«~
~e/t/a/eM<,
là
ils
dM
j'ai
des
maudirent
!') leur
passage,
des
yeMA'
/~(;Me;7
anglais.
/,t«.
Conserv.
Recueil
armée,
changements
a/o/
aïeul
Tremnor,
dans
le ./PecMe<7~M./eM.ï;oy'aM.x]
marchaient
les
<eM/' //to/'<,
Recueil
[a/M'eA'
t'aM<eM/'
(que
suppose
[que
de Finga),
</f.
~eM<~
et
père
bardes
de
pas
et
.fOH
les
Voici
transformées.
comme
ajoutaient
la
peinture,
ceci
a
le
«
Fait
historique
droit
de
Tous
les
suivant
de
s'emparer
les
tout
uns,
sujet
»
274.
Bardes
le
Après
après
le
S~
leur
ce
vers,
on
mort,
Lego
jusqu'à
qu'on
La
note
27S.
Page
qu'on
était
/~CMet<
des
Jeux
/?oya!M;
« tiam
Wattace
ou
Wallau,
« d'Edouard.
Litt.,
fin du
la
etc.
CoK~erc.
Recueil
«
bas
p. 271.
CoM~eru.
précipitèrent
où ~/t/a;teM<,
floraux;
à
six derniers
[ces
t'fM'/Mëe
et le roi
Tourbillons)
solennellement
se
CoK~e/'M.
refrain
retentissent.
harpes
sont
raconté,
et
//M<yo
le
un
comme
notes
apportés
Jeux
dans
ensuite
ainsi
désormais
nous
taire
est notre
Edouard,
g)oire
Nos chants
mais
nos
noms
dans
l'histoire
vont expirer,
Poursuivront
ton
nom
odienx.
leur
a
la
supprimé
autrement
eut
trouve
diuerent,
seigneur
payé
au
bas
le
note
leur
ce
nom
dernier
de
la
suivante
«
restait
sans
tribut.
»
gloire,
guerriers
et leurs
/«.
le Co?Men;.
page
reproduit
« Ces
Carttane
turent
de
grottes
sortit
délivrer
l'Ecosse
pour
voici
d'Etterstie.
étaient
chantés
ombres
erraient
mais
le
l'asile
de
la
du
texte
d'où
Wit-
tyrannie
? »
Nous
avons
dit que le texte
du Co«.s'e''u.
Z.t«.
contenait
2U8 vers
et celui
du Recueil
des Jeux
seulement.
Le
texte
aux
Jeux
floraux
devait
298
vers
mais
à.
trois
floraux
243
envoyé
comprendre
l'impression,
des
ont
été
faites
l'auteur
ou par
l'Académie.
Les vers
ont
été rémptacéspar
par
points
coupures
supprimés
il la p. xtj' du Recueil.
Les trois
ont
au
du
t)
curieux
de
été
faites
chant
chef
des
Bardes,
est
suppressions
vers
le
Recueil
t'a
aussi
dans
noter
des
dans
des
été
V.
T~.
?'aco;t<<
./eu;c
/7oy'6[t<;E
qu'une
supprimés
partie
f"
vers
Nous
avons
dit qu'a
la p. 280 de
l'.
Il.
vers
raconté,
suppression,
quarante-trois
vingt-quatre
omis
ces
vers
sont
un
à
d'un
torrent
Il
est
avaient
été
vingt-quatre
long
développement
propos
probable
N.-B.
21
1819
.7/e<</
fait paraître
Chateaubriand
dans le Co~~e?'article
sur la
Vendée
u~<eMr son fameux
qui
toute
la
448
livraison
cf.
Conservaremptit
B. F.
<eM?', t. iv, livrais.
xnv,
pp. 493-234.
7 Août 1819,
n"2907.
.S'e/j<e?M~'e
Automne
V. Hugo compose
le Z)euoKCMeK<
ce vers
/~?'&<?.s'; comme
l'indique
« Vainement
dans
Cf. Revue
18
Paris
La
»
me rappelle.
190p. 862.
l'automne
15 février
de Paris,
/.M/)e.!<Ù!c/a
ode par
V.-M.
~pM</ec,
f.'articie
dédiée a M. de Chateaubriand.
Hugo,
de M. de Chateaubriand
sur la Vendée
paraît
ode
à
un
avoir
cette
inspiré
jeune
poète
qui.
si je ne me trompe,
a déjà remporté
aux Jeux
le prix de )'é!égie.
floraux
de Toulouse
Ce morceau
de poésie est écritd'inspiration,
néet si la versification
en est quelquefois
les
idées
en
sont
souvent
pteines
gligée,
et d'enthousiasme.
On voitque
d'entraînement
de son sujet et l'on peut en
le poète est rempti
le morceau
suivant
par
juger
qui est placé
la bouche
d'un
vieux
dans
prêtre
prophétides Vendéens.
sant au milieu
et décaisse.
« Si, pauvre
(On
Ces
ferment
sommes
CHH<M/<eHHe
La
1825.
C«/ta</<eKMe,
janvier
étegie
M.VictO!'Hua,o.
Note
Cette
jolie pièce que M. Victor
Hugo a
en )819 n'a point
été j~gée
composée
rHgne
par
lui d'être
insérée
dans
les éditions
de tes
poésies qui ont été publiées;
nous np doutons
pi) que
le iectenr
ne nous
sache
d'avoir
été
)noins
gré
sévère
que le jeune
poète.
Cf.
K.
?'aco?~e.
t.
25)-253.
pp.
-S'<H6a< ~/r<<~o/07'o.a
//My~
E!egie.
L'Epigraphe
été ajoutée.
Deux
au
lieu
»
de
« Car
48e
»
ta <nère
avec
»
toi.
vers
»
« An fond
de ta
couche
odorante
« Au
de sa couche
odorante.
remplace
Cf.
et
0<<f.<
merie
~8 septembre
18~9.
du ./OM?'M«/ /t!~<oy'/</Me f/M
Compte-rendu
le 31 juillet)
ou<</oc'<.s- de ?'A<o/tt'<7/e
(paru
du généra)
~/c?'CM?'e de France,
Hugo.
vrage
Victor
t.
pp. 406-409.
Verser.
Nationa!e,
Les
~e.«/KS
fond
édition
~a//«f/e.<,
pp. 45t-452.
</e la
de
i'tmpri-
Ode.
tmp.
~1
pages.
~e'c.
Paris,
in-8,
Boucher,
Dédicace
a M. le Vicomte
de
n" 3361
(1). B. F. 25 sept.,
cher
Hugo.
briand
»
BouV.-M.
mis
de côte.
Si à ces
vers
ont
coi~sidéres
comme
un hors
d'œuvre
et par
ce fait
été
vingt-quatre
dix-neuf
on auraies
la fin de la page 280 et les deux
de
la p. 281,
soit
vers,
quarante-trois
premiers
de ial"
suppression.
V. H. raconté
huit
S" suppression,
vers
elle
les vers
12, 13, 14, 15, 16. 17 de la p. 281 de
comprend
«
des
huit
dont
nous
avons
la
le
vers
17
Nous
dieux.
les deux
après
grands
premiers
signalé
suppression
»
dans
les siUons."
de la p. 281 et les deux
3' suppression,
vers
elle comprend
les deux
derniers
vers
premiers
quatre
la p. 282 de
V. H. raconté.
en
date
donnée
le
compte
18
Les
changements
Mto/'t~M/'t
CaMor,
Ave,
les autres
1"
on
2'
vers
septembre.
entre
les
te
doit
deux
:s~<M<a<t<
MK
ami.
avancée
être
ne
textes
n est
ni
de
sont
dans
Co;Me;'i;.
pas
la
jours
quelques
nombreux.
de
plaquette
la
puisque
L'Epigraphe
ni dans
18)9,
ami.
f/Me/~ue
Dans
ces chants.
/«.
Co'iM)-K.M<.
8'vers:Dansces~oM/<
3° et 4' vers.
strophe,
Elle
a dit:
«/)a;t.!ces
Mais
eut
la Vendée
des
6'a~e~e
~'CMce
de
Odes
et
de
Ballades
le CoM~'ey~.
/.?«.
Voici
la France
temps
ses martyrs.
»
eutses
victimes
Conseft!.
~:«.
a
Elle
Mais
« ~'t
dit
la Vendée
Odes
et
Ballades.
Odes
et
Ballades.
des
et
victimes:
~<~e.<.
et
Ballades.
ces temps
la France
eut
»
eut f~
Odes
martyrs.
a* vers.
12'strophe,
.les
13'strophe.
Loin
F.
et
corrections
strophe,
2'
H.
par
triomphes
9'vers.
de
leurs
champs
du
vice,
<<e<rMi~
Odes
CoM~e;'t.<«.tetrion<pheduvicn;
Conserv.
/«.
Loin
22
de
/eMr
<eMp~e
en
deuil.
Odes
25
Chateaucf.
Con-
qu'ils
ajouta
vers
La
a
18e vers.
changements
«TamèrecoM~etoi')
cite ici les dix vers suivants~.
vers sont d'autant
renplus beaux qu'ils
une allusion
ace dontnous
effrayante
témoins
et qu'ils
sont
le cri d'une
(t)
rend
~8
1*
trop juste indignation.
</c /?v<Mcp,
Cf. Gazelle
Septembre
le
.sM.s'~eM~nM< ait /)<ï/?ntpy
/oMt6c<7M</e.<oHHOMMea«-H<?'.
). fascic.
\'m, pp. 337-339,
Zy6'ee/M/)(;<t.
~8 septembre
t8t9
cf..4/t/iM~x
V.-M.
Hugo,
n" t~
~8~'i.
B.F.
/ta;t<Mg.s'.
pp. )88-~90.
c~p~a/c.s'-
et ~n</n~e.
1819
Septembre
27
de l'Ode de V. Hugo. La VenCompte-rendu
le journai
dée,
par
)a Ruche
d'Aquitaine,
Gé.
article
Edmond
signé
(Edmond
Géraud).
« )) y a là tout a la fois poésie
de pensée,
de
« sentiment
et d'expression
». C'est la phrase
citée par le CoM?'r:p?'
du fr
octobre.
Ed. Géraud est heureux
aussi
de citer une phrase
de
le
écrivain
de i'éChateaubriand,
premier
« C'est la beauté du sentiment
poque.
qui fait
« la beauté
du style.
il y a des délicatesses
« et des mystères
de )angage
qui ne peuvent
« être révélés au poète que
de
par la probité
« son cœnr et que n'enseignent
les prépoint
« ceptes
»
de l'Etat.
se?':?.
/~<
t. ), livrais.
V.-M.
v, pp. 161-164.
cf. Odes
c/ ~n~Hugo
(cf. 5 février
1820)
lades.
La Vendée. ~4:'e C<'e?a?'. M«~'</M?'/ le salivrais.
lutant,
t, Oden,
pp. 45-5~. Date 1819
Odes p< /«f/p.s',
édition
de l'imprimerie
Namême
texte
tionale,
pp. 41-45,
que ['édition
ne M«?'<c<;<7'.
V. Hugo termine
Le 7'<'7e'a~Ac
cf. Odes
et Ballades,
édition
de l'Imprimerie
NatioH a commencé
le 27 septembre
nale,
p. 479.
cf. /6!'o~M!, p. 537.
probablement
30
Octobre
1
Article
<</<.s- de
tobre
2
du
la
~8~9,
CoM?'?'!er
Fcn</e'e:
pp. 3-4.
Les Des~r
oc-
du D?'a/)~«M
Annonce
blanc.
Les /)e.s'/<M~'
de la
ode
a M. le Vicomte
de ChaVendée,
teaubriand.
Prix
et 80 cent.,
75 cent.
franco
de
a
chez
Antoine
Paris,
Boucher,
port,
n° 34.
rue
des
et
Bons-Enfants,
imprimeur,
chez
J.
G.
Dentu,
2 octobre
Article
de la /~e?!OMtMi<~<' sur
cf. ta ~cno/Kwe'e,
3 octobre,
·
signé
0(1).
Cette
dernière
rue
imprimeur-libraire,
n°S, et Palais-Royal,
et 2ti6.
Petits-Augustins,
n°s 2()5
de bois,
Le Drapeau
blanc,
3
l'ode
contre
cf. le Courrier,
correction
est
des
gâteries
i8i9.
le même
p.
439,
de d822,
sujet
article
les autres
sont
postérieures.
notes
sur la Vendée.
quatre
référence
au lieude
CHATEAumuAND~
Les Odes e< Ballades
ont en ~)/~)e/t<<tce
La ~e est exactement
saut'ia
les ~<r<yr.
on
reproduite
lisait ~a~<y~,
)iv. xx)v.
La 2e et la 4e ont été ajoutées
La 4e est curieuse
et fait sourire.
Elle suppose
postérieurement.
les
allusions
aux
actes
du
ministère
de 1819 auraient
à V. Hugo
elles
que
ennui,
pu causer
quelque
« n'étaient
le
de
On
sait
V.
Fauteur
M.
peut-être
que trop claires
pour
repos
quelle
importance,
Hugo
a attribuée
ode.
à
son
postérieurement
La ;<e a subi une transformation
« On f'enterra
inutiie
dans
un
pour le moins
(M. de Lescure)
coin de terre ignoré
le
soustraire
aux
de
/'tMC~MMtH<t'oM
)).
V.
avait
écrit
pour
OM<r<!<ye.s'
Hugo
jadis
« pour
avec plus de raison
le soustraire
aM;e OM~'s~M
et a <'ea;/<MM!a/<OH. »
consacre
une dizaine
de lignes
à M. Hugo,
de Toulouse
dont l'Ode
(t) Le CotM'yter
poète )auréat
sur la guerre
de Vendée a été inspirée
la
notice
de Chateaubriand.
Le plus beau
titre
des Venpar
à. la reconnaissance
déens
dit
le
c'est
d'avoir
combattu
et
même
vaincu
des
nationale,
CoM/t'e~,
H cite une phrase
de M. Edmond
dans
la Ruche
« il y a là tout
à la
Français.
Géraud,
<<)</M!<atKe
fois poésie de sentiments,
de pensées
et d'expressions.
l'on
d'un
des traits
y remarque
lyrisme
»
parfait.
La /~eMOMtM!ee, après
« M. Hugo,
avoir cité l'article
du CuM/'r/gr
se lance
à t'attaque.
elle aussi
« dit-elle.
au risque de se faire huer,
entonne
la trompette
en faveur
des héros
de )a Vendée.
lyrique
« Tant
M.
chantera
sur
ce
ton.
il
ne
fera
la
de
la sienne.
même
que
Hugo
réputation
personne,
pas
« La trompette
de M. Hugo n'est
Il endormir
nous la croyons
pas celle du jugement
dernier,
propre
mais non pas à réveiller
« les vivants
les morts.
Nous
le ministre
de l'intérieur
de faire
prions
23
~819
Octobre
:<
Article
de la 0;<o/ïf/<c?~<e
(2 colonnes).sur
la
Vendée
et le 7'e~t'ap/te
de, V.
Hugo.
M. Hugo ne se laisse
le
dispas effrayer
par
crédit
où est tombée
la poésie.
M entre
dans la
carrière
en brave
armé
de toutes
chevalier
Il a recueilli
à Toupièces.
plusieurs
palmes
louse.
Sa F~?:~e'e renferme
de
de beaux
vers,
nobles
un
vraiment
mouvement
pensées,
Elle est dédiée à M. de Chateaubriand.
lyrique.
M. Hugo
manie
non moins
habilement
le fouet
de la satire.
Son Télégraphe,
dans
un cadre
annonce
de grandes
et
ingénieux,
dispositions
un véritable
talent.
Nous
a pour['engageons
suivre
les bons vers et les nobles sentiments,
MM. les libéraux,
seront
quoiqu'en
pensent
bien reçus en France.
Le journal
cite
toujours
ensuite
seize vers du T'e/e~a~Ae.
La
Quotidienne,
30 octobre
Le
12 p. [mp.
satire,
in-8,
7'p7e'a~Ap,
Paris.
Gillé, Paris.
Dentu,
Petit,
Detaun.'y,
16 octobre
1820.
(Signé V.-M. Hugo) (1). B. F.
n" 3662. On le trouve
à la table
au mot Téléet non pas au nom V. Hugo.
Le Télé~/?'a~~e
avant
le 3 octobre
comme
<~Y<~)/M fut imprimé
de la ()MO~a!/eHne
le prouve
l'article
cf.
F. Hugo
édition
1863.
t. i, pp. 305?'acoH<e,
30(i (22 vers
cf.
V. Hugo
racole,
cités)
édition
t. i, pp. 287-295:
cf. 6'a«?'<?
)885.
Jacobites
de Victor-Marie
Le T'e/e'~y'aHugo.
du
chez
ies marchands
p/ip.
Bibliopolis,
vieux neuf,
1819-1874,
in-12(Poutet-Ma)assis)
de Omprimerie
cf.~c.?e<
/~a</<ïf/e.s-, édition
Nationate,
pp. 474-479.
t8d9.
TVo~e/M~e
8
Article
./OMrna/</psZ)<*&H~
le
annonçant
« Les poètes
CoH.s'f?'UM<gM?'
/«e'a<?'c.
vont a
« la gloire
comme
ils peuvent.
Les uns t'atta« quent
ainsi
dire
de front;
pleins
d'une
pour
« ambitieuse
confiance.
ils inondent
le Par« nasse
du torrent
irrésistibie
de
leurs
'vers.
«
Les
«
«
«
poésies
du
autres
goutte
dislillent
a goutte
pirations
desrecuei)s
pour
ainsi
dire
leurs
ils versent
les insde leurs
muses
dans
«
«
«
périodiques
blancs
et jaunes
verts,
qui remles cabinets
manière
de lecture.
Cette
plissent
de publier
ses ouvrages
offre plusieurs
avand'abord
on trouve
ainsi
le moyen
de
tages
«
faire
connaître
aux
lecteurs
une
foule
de
«
«
«
vers
restés
inconnus
dans
petits
qui seraient
le portefeuille:
on ne perd
pas un madriga)
et les plus
courts
délassements
deviennent
« de la gtoire
ensuite
on accoutume
le public
« a. son
on le harcète
nom,
par ses attaques
«
«
«
«
au plus vite des patais dans
construire
et nous lui proposons
tonte la Vendée
de confier
la direction
n M. Hugo.
de ce travail
Nous ne doutons
la
du
les
toulousain
ne reproduise
pas que
lyre
poète
miracles
M. Ed. Géraud,
de Bordeaux,
admire
M. Hugo~ poète
d'Amphion.
poète lacrymal
beaucoup
de Toulouse
cela est dans l'ordre.
M
lyrique
V. Hugo se sentit
vivement
htessé par ces deux articles
il en parla
dans sa satire
le Télégraphe
('
yacoK/ë~
t.
Hugo
(cf.
p. 287).
de F. //M</o T'Mco?t<e, 1863, cite vingt-deux
vers. On lestrouve
dans l'édition
de 188N,
('1) L'édition
a
du
vers
);
vers
3e
de
la
290.
Le
seul
a
subi
une
trans289,
p.
partir
jusqu'au
p.
premiervers
En 18t9 et en 1885. V. Hugo t'écrit
formation.
ainsi
Toi <eM< qui de Ko~yoMrA- peMa: fO!t/'oMr6' agissant.
En 1863 il est devenu
toi
MM siècle
C/
de sang.
qui seul as ~JM~ dans
On trouve
dans
t'édition
de 1885
&
l'édition
de 1819. A la p. 29i,
au
quelques
changements
4e vers </M'~ existe
au 26e vers, mon remplace
son (ce qui détruit
ie sens).
remplace
~M'!7 se trame;
De plus six notes,
dont l'une très longue,
ont été négtigées.
La première
est une réponse
aux articles
du Courrier
et
de
la
contre
OM<t;M~e
la
Renommée
les
Vendée
)a 2<! et
(1er octobre)
(3 octobre)
la 3e sont
contre
le baron
Louis:
la 4',contre
un journal
la 5e contre
le ministère
;ia
ministériel
6e contre
un régicide
de Versailles.
N.-B.
Notons en passant
du Conservateur,
t. vt, livrais.
Lxxv. p. 46(!,
que M. Agier, dans son articte
3 mars 1820, sur te Conserv.
avait dit un mot du Télégraphe.
/«.,
.24
16
'1819
A'o~eM!~<?
un
à la main,
il ne peut se
« gros poème
épique
ait commencé
les hostilités
«plaindre
qu'on
« sans le prévenir.
Voici
un nouveau
recueil
mais dans un but différent,
« qui va paraître,
« tes auteurs,
leur gloire
négligeant
personn'ont en vue que l'intérêt
de
« nette,
général
«de
la littérature.
C'est
une sainte
alliance
« formée
cet
par quelques
jeunes gens contre
novateur
le Parnasse
« esprit
qui envahit
pour
« le bouleverser.
Ce recueil aura
pour titre le
« C'o~.s-0'HM/eM?' ~!«e'r<7'e.
Puisse-t-il
comp« ter autant
d'amis et. même
d'end'abonnés,
»
f<nemisqu~teC'OK'e~ia<'<;M?'o~'<:</Me/H
./OMrHa/
des
Débats.
Rez de-chaussée
1819.
R, 8 novembre
~/('7«M~('s
signés
et
réitérées
8
on
lorsqu'ensuite
l'aborde
nuverturedescoursa)'écotededroit:cf.
.M?'?<H/
</e.s' Débats,
12 novembre
i819.
Décembre
4
G. DE PoNs.
4 chants
suivis
comte
Gaspard
Paris.
B. F.
~OHx<aM<
et Z)ï.s'e?'ë<e
de poésies
diverses,
de Pons.
In-18.
Imp.
Vve Renard
Paris,
4 déc. 1819,
n° 4162.
et chez
en
poème
le
par
Boucher,
Boucher,
Poésie.
Z'nrd/eM?'
~'H<<?'e. Et la
politique.
lumière
a lui dans
les ténèbres,
et les ténèbres
ne l'ont, pas comprise
Zt'«e'?'
(1). C~M.s'<<:<
t. i. livrais.
V.-M.
cf.
f, pp. 3-9 (Signé
Jfugo)
K. //M</n r~MM~
cf. 6'?-<s1.1, pp. ~97-:{04;
de
F!'c/or-<7'<?
Z'6_a<M~/<e.s'
//Mf/
/c«?'/)o/Mp.
Bibtiopotis.
chez les marchands
de vieux-neuf
in-12
1819-1874,
(Poutet-Matassis),
[d'après
édition
/a(/M,
pp. 480-485.
Œ'Mu?'e.<
M.
Vicaire]
de
complètes
cf.
0<s-
c<
/~<
Nationate,
l'Imprimerie
(/4Mf/r6'gC/te'M<e?'(2).
on a reproduit
entièrement
)'.B'H?'(~eMy
!) faut cependant
(1) Dans V. //M<yo racoM<e
Politique.
un
vers
où se trouve
une grosse
faute
Dans V. //M~o )'MCOM<e'p. 300,
i2e vers,
signaler
d'impression.
on lit « Ne crains
les
car
la
~/tKe/'t)e.
le
CoM~eru.
~:«.
disait
brouillards,
avec plus de
pas
toujours
a Ne crains
raison
les
&y'a?/<a)'
la
au
A
22'
vers.
<?'auaMa;
d'histoire
298~
pas
(p. 6).
p.
rempfa.ee
tableaux
d'histoire.
Est-ce
une faute de copiste
ou une correction
voulue
? Dans ce dernier
elle
cas,
n'est pas heureuse
car les tableaux
d'histoire
vont bien avec les portraits
trouve
au
vers
suivant.
qu'on
Trois notes
intéressantes
ont été supprimées.
Lafre
irait
Ide
le
vers
de la page 29!) de
après
F.
raconté.
La voici
« f'MtaMac/t
des ~raMe6', une
t'<;<0!'re
de la C~OM'e <oM.s' les
par
./OM/
et
ce
tas
de
recueils
de
sœurs
des
sont
fête,
connus
«jours
petits
puinées
MMA'-cM<o«!</e6',
trop
pour
« les rappeler
ici. La réputation
des autres
dont
dans
le
courant
de
cette
l'auteur,
ouvrages
parle
« satire,
est assez eMro/jce?MM
se passer de notes.
»
pour qu'on
puisse
La 2e se p!acerait
a la fin du 9e vers de la p. 300 de F. //ft</o /'aco/t<ë
«Nous
ne prétendons
pas
«'condamner
mutuel.
il
Cette
méthode
être
utile
du
ridicule
a
ta
trouver
l'enseignement
peut
a
«' admirable
Et le tn~)heurde
ce qu'on vanLc
Est. d'être ensuite
ra.ba.issH.
« Le temps
et il jugera
car c'est lui qui
nous
a fait connaitre
l'excellence
des écoles
bien
jugera,
« chrétiennes
»
La 3" enfin explique
le 20e vers, p. 301, de
V. H. /'acoM<e
« On a pu s'apercevoir
que,
depuis
où
cette
satire
a
été faite,
si les noms
ont
les choses
sont
restées
les mêmes.
« l'époque
changé,
la justice
en faveur
du Spectateur.
La plupart
de ses rédacteurs
« Cependant
exige une exception
« étaient
des hommes
fort estimables,
sitôt qu'ils se sont aperçus
arrêtés,
qui se sont
qu'ils suivaient
« la fausse
route.
M. Campenon,
M. Laya,
honoraient
poète aimable,
poète
courageux,
trop le MtKM« <e7'!a~M?Ke. »
(2) Le commencement
tout
~:c/e'e.s'~ c'est-à-dire
de l'article
du Conserv.
7.t«.
n'a
le premier
a
été
§ qui
remplacé
par un
–25–
pas été
autre
dans
reproduit
tout différent.
Zt«.
Voici
et Philos.
ce qu'il
y
/)eceM:~e
1819
livrais.
i,
15-23,
CoM~e?'u.Z~t.t,
pp.
E
cf. Z<y<. et Philos.
7~6'/<'e~, t.
signé
pp. 121~30.
N.-B.
d'André de Chénier.
OEuvres complètes
lib. Baudoin,
Pans.28aout.i8d9.
)n-8,
Imp.
no 3068.
-H
20
6'o'iA-eru.
Va~'e'
MOMM//M /t«<'?'a!?'e.
L'une de ces va/.<«., t.), iivrais.i.
pp. 38-3~.
~4 Vendre,
7''oK<s'
de littéintitulée
riétés
!t en
à V. Hugo.
semble
rature,
appartenir
t. m, livrais.
~<«.,
pariera
plus tard (Conserv.
xx), p. 22), avec trop d'à-propos
pour ne pas
sur un
C'est une plaisanterie
en être l'auteur.
homme
de lettres
qui a une collection
prétendu
les parties
de documents,
sur toutes
complète
humaines.
sur des
des connaissances
copiés
de papier
enfiiés
dans des broches.
carrés
Le ./oM/'Ka< des Débats
publie sous la signaun petit
article
ture K., au rez-de-chaussée,
sur ie Co?!.s'e?'HM<eM?'<e'?'a<?'e.
Spectacles.
~'o/K~eM?',
Première
dit
?'e/)?'e~pM/a~oK
comédie
en un acte
et en vers
de
t. i, livrais.t, i,
Co?~e?'H.Z<«
deM.Royou.(i)
pp. 30-35.
(Signé
H.)
« Un jeune homme,
dans le CoM~'e/
Litt.
élevé
au milieu
du siècle des idées nouvelles,
de
avait
sur la trace
« ce siècle
d'erreurs
s'attache
servilement
des maitres.
brillantes,
remarquable
par tant
un
tant
un
loin
chercher
« Egaré
excès de modestie,
comme
d'autres
excès
de
une
par
par
d'orgueil,
à
« renommée
il
se
livre
des
études
les
de
amis
lui
solitaires
prématurée,
encouragements
quelques
« suffisent
il traverse
son siècle également
inconnu
à la gloire
et a )a critique.
Tout a coup
il tombe
fait
la
fait
sa
« avant
le temps
du moins
a-t-il
assez
pour
dit-ii
pour
je n'ai rien
postérité,
gloire,
ce qu'il
aurait
faire.
« en montrant
pu
il n'a manqué
de Chénier,
homme
d'un
véritable
Tel fut André
talent,
auquel
peut-être
jeune
« que des ennemis.
»
est reproduit
dans
Z/t«. et philos.
MtMe'Mavec
un certain
nombre
de changeLa suite de l'article
ments
Nous signalerons
les principaux.
qui ont leur importance.
à
la
il faut remplacer
7.!«.
et Philos.
dernière
mêlées,
p. 121,
</MOM. invective
par
f/M'OM
ligne,
méprise.
« CAacMM de ces défauts
on lit
du poète
est petit e'/re~e
germe
Page 122, 7e ligne et suivantes,
« <<'«? /)e~/ec<!OMMeMeM<
la
» A la
En tous cas, ces <<e'<:M<6' ne MM< point
dangereux.
poM/'
poésie.
dans le 6'OK~e?'c. Litt.
<: CMCMMeconnaissance
<<!<véritable
M:eca?t?4'Me
<<<; la poésie
place on lisait
»
« française:
ces défauts
~'o?:~ grands,
mais
ils ne sont point
dangereux.
si
homme
si Mt<e/'eMa/t<.
cet homme
de sympathie
cet
12~, 5e ligne,
Page
digne
remplace
ont été ajoutées
« 7~e?Kar~MO)t6' seulement
d'Ovide
't24, la 16~ et la 17e lignes
que /'MKf~e
Page
est ~azeMMe.
celle ~M(<re
de Chénier
est cA7*e7teMMe. »
la
ont été négligées.
V. Hugo s'excusait
de ne
citation,
Page d27. Après
longue
cinq ou six lignes
citer tous les morceaux
Il se contentait
de recommander
les ne,
22~ et
qui l'avaient
pouvoir
frappé,
39e élégies.
meilleurs
corrections
de style
dans le dernier
Page 12'). i! y a plusieurs
paragraphe
remplace
Avant
ces
mots:
t;0!M
<roMue)e~
dans
~yMO?t:?KM.
D'ailleurs,
NMpey':CM<
f</Mtt)a<eM<~rempiace
« Cela
on a supprimé
toute
une phrase
ne ~eM< point
dire
soit
MM 6oK
Chénier
que voici
~M'
~M
les
le
reste
est
auteur
mais
cela prouve
MtOt?M qu'il
avait
tout ce qu'il
idées,
faut
~OMr <'e<re,
»
d'habitude.
se termine
« La poésie,
ce n'est
» Le
par ces mots
presque
que sentiment.
Page 130. L'article
à
C<MMe/'u. Litt.
dit
Voltaire.
V. flugo avait-il,
son affirmation,
ajoutait:
pour donner
plus de force
à Voltaire
ce qui ne lui appartenait
A-t-il
voulu
tard
s'attribuer
il lui-même
une
attribué
plus
pas?
de Voltaire
? A-t-il craint
de montrer
l'affection
On peut faire ces
parole
qu'il portait
jadis à Voltaire?
il
mais
est moins
facile de donner
une réponse.
suppositions,
n'a jamais
été reproduit.
V. Hugo essaie
de rendre
de la l''e représentation.
(!) Cet article
compte
les uns, elle est une chute terminée
en succès,
selon
d'autres
elle est un succès
commencé
en
D'après
chute.
On a murmuré
dès la première
scène
et à la fin on a demandé
le nom de l'auteur.
Le parterre
en partie
était composé
et en plus
par les amis de l'auteur
grande
partie
par les amis de l'adminisvoilà la raison de la chute
et du succès.
tration
V. Hugo donne son opinion
sur la pièce
Notre
est royaliste,
et
sera sévère;
jugement
Fauteur
« nous vouions
la pièce est maudonner
des gages de notre
Nous
conviendrons
que
impartialité.
2R
H
1819
/~ece?M~<;
N.-U.
Le
/oM~eM?',
par M. J.-C.
Royou,
comédie
la
fois
sur le
représentée
première
pour
théâtre
ordinaires
du
français
;)!u' les. comédiens
le
18
novembre
Roi,
1819. )n-8, )mp. libr. Le NorParis.
H.
)<\
11 décembre;
no 4250.
mand,
24
25
Le Z)rappaM
/Ma?tc
annonce
ies ~4?'c/<!uc.<
</e la Z!</e/'H<Mre
et des ~4y/6'. Hédacteurs
Quatremère
de Quincy,
Raoul
Vanderbourg,
Ancelot.
Rochette,
de Feletz,
Ch.
O'Mahony.
Nodier.
ABEL Huo~.
/«e'?-a<Mre
y<'?'M.s'a/eyK (/e7!'H~'e
traduite
La
/anp<.t;.s'e.
par M. Baour-
Lormian.C'OM~?'t?.«.,t.t,Hvrais.«,pp.
et /'cHUte.
T/Mt~ce
Conte.
Co/<.s'e/'<
Zï«.,
1.1,livrais,
x,pp.46-47.SignëV.d'Auverney:
)) y
cf. F. //M~o
t. t. pp. 261-2C2.
?'acoM/e,
a trois petits
au i2'= vers.
<OMchangements
.<aK~ ce~xg au 24~ vers, )'t<
jours
remptace
au 37~ vers,
MtM?'/MM?'a,
remplace
~M~<tKf;
M<M?'/MM?'n<7. Les Odes e< 7?M//<ï~es,
remplace
édition
de t'tmprimerieNationate,
pp. 4~7-418,
du
ont reproduit
le texte
CoMseru.
~ï«,,
avec,
en note, une variante
des
six premiers
vers,
d~r No-.
et, a la fin, la date de la composition,
vembrel8<7.
25
ït~/<ey'co«.Z'o/ytA:«e'eaH~/nt.'«\
La /t«KC6c
C'<e?' de fortuite.
</<' AaM~MC?'M007'.
CoK.s'e?'t?.t«M't..t,)ivrais.n,
(t)
25
« vaise.
Cet aveu nous conte
n l'auteur
lui-même.
ne coûterait
nous
peut-être
plus qu'il
Cependant
« sommes
convaincus
déclaration
ne lui nuira
une haute
idée
que cette franche
pas; elle doit donner
« de son caractère,
et ne peut diminuer
la bonne
l'on
a
de
son
talent.
opinion
que
Personne
niera
fauteur
n'ait
et peut-être
à
eu
une
idée
neuve
en donnant
pourtant
que
profonde
« son /o?t<<eMr,
l'ambition
ce caractère,
n'aurait
été qu'une
nuance
secret,
autrement,
pour mobile
« du ~/MaM</tyope.
M. Royou
n'a pas su tirer
de
la
mine
féconde
avait
découverte.
')
parti
qu'il
V. Hugo
résume
ensuite
la pièce.
)) relève
du plan
« cette
les inconséquences
comédie
est
embrouittée
sans être
» rend justice
au style,
au dialogue
conduit
avec esprit,
à la verve,
intriguée.
a ia facilité
de certains
))
cite
des
vers
excellents
et
d'une
passages.
quelques
qu'il
juge
fragments
scène.
« Certains
vers. dit-il,
ont fait murmurer
M.
les libéraux
H termine
une
«
dernière
sur le style.
Nous le répétons,
le style de M. Hoyou
par
appréciation
« est souvent
celui de la vraie comédie.
)i est malheureux
ne
suffise
le
pas.
Voltaire,
que
style
qui
« savait
comment
on ne fait pas la.bonne
a
dit
MKe
ae<<o/t
comédie,
depuis
/aM<
longtemps
qn'~
Pour
achever
cette
œuvre
du dcuton.
de V. Hugo a été morcelé
et Philos.
en outre
on l'a ptacé dans ~t'«.
WfMëM;
quand
n'en a pas été reproduite.
grande
partie
sur Leuwenhoêck,
savante
Hugo débutait
(CoM.s'e/'M. Litt.,
pp. 47-48)
par une
page
physioloanatomiste
un
il
un mauvais
malaise
lisait
livre.
V. Hugo
hollandais,
qui
éprouvait
quand
lui
aussi
ce
malaise
car
«
un
n'est
mauvais
les
sont
des
lieux
éprouve
peintures
ouvrage
que parce que
« communs
ce que
nous avons
lieux
d'autres
qui ne nous
vu, et les personnages,
rappellent
point
« communs,
ne
nous
en rien ce que nous sommes.
La médiocrité
se croit trop grande
qui
rappellent
« pour imiter:
elle invente
sans avoir observé.
sans modèle;
un bon
ne
travaittera
peintre
jamais
« un mauvais
De tous nos écrivains,
le plus imitateur
et peut-être
peintre
n'y regarde
pas de si près.
« aussi
le plus original,
c'est La Fontaine.
Nous
vivons
dans un temps
où l'ineptie
pourtant
présomp« tueuse
et
fait
t'étourderie
de
avec
cette
on
les
prend
candeur,
l'ignorance
pour
l'originalité
gémir
« presses, spéculer
les libraires
et parler
La foule
l'homme
de gout s'étonne
le monde.
en
admire,
« secret de i'énorme
du
bêtise
siècle et l'ineptie
est aveugle
le talent
se croit du talent.
L'ineptie
« observe
voilà toute
et, en vérité,
la différence.
» (CoHM/'u.
Litt.,
p. 48).
Charron
disait:
<<eMO<M
et
?MOMM
de
donc:
livres.
oui, il suffit d'observer.
/a/<M'/)hM
Courage
« Joignez
a cela le génie,
vous serez un grand
vous
écrivain,
qui crée,
l'imagination
qui sait peindre
« pourrez
faire /M.~<M'<6'.
»
Courage.
~Com~et-M.Zt~
p. 49).
V. Hugo terminait
ce long début par le morceau
a
et Philos.
été reproduit
dans Lilt.
qui
mêlées,
t48.
p.
(1)
la plus
V.
giste et
L'article
–27–
1819
T~ce/y~'e
Le 2< article
est à la
(A), fer article.
29 janvier
i820.
tv, pp. ~27-133,
Les Vierges
de Fcr~MM
cf.
par V. Hugo
t.
livrais.
4d-46.
CoKAC?'
Litt.,
n, pp.
Voir au 5 juin d8~9.
Signé V -M. Hugo.
cf. Z,
et Philos.
-47-55,
M.)
(Signé
t. i. pp. 137,
150.
t43.
149,
138, 144,
N.-B.
t~a~cr
Scott.
de /br<MMc.
Z'o~!C!e/'
etc.
2 vol. in-12.
Cosson,
Puris;
tmp.
Paris,
B.
n<
Nicolle.
3023.
Walter
Scott.
F., 21 août,
La ~'aMcee de Z.aMmerMtoo~
3 vol. in-12.
)mp.
B.
Cosson.
Paris;
Paris,
Nicolle,
F.,23
septembre,
n' 3400.
55-64,
livrais.
25
pp.
Les
.)/.
C.
tt
« tous
«
« l'on
«
« gens
«
Vêpres
7)c/au/yy(c.
Siciliennes,
Louis
<ra~)!<e
IX,
~?'
tragédie
en venait
à Watter
« Celui-là
ensuite
Scott:
a observé
avant
de peindre;
cetui-tà
fait dire
à
ceux qui l'ont lu
J'en ferais
autant
Ce dernier
notre
est beaucoup
dans
un siècle
ou
bouche,
étuge,
qui parait
peu de chose dans
si bonne opinion
de soi.
a, en généra),
Sir Waiter
Scott n'était
connu
en France,
il y a quelques
de
années,
que d'un
petit nombre
il
n'avait
fait
des
instruits
que
poèmes.
Sir Watter
Scott partage
dans
un certain
la célébrité
des Paccard et des
monde,
aujourd'hui,
il a fait des romans.
Ducray-Duminil
« Nous nous hâtons
le tort que pourraient
admirateurs
d'ajouter,
pour réparer
lui faire de pareils
« et de pareils collègues,
n ont fait qu'accroître,
les gens de goùt, sa réputation
que ses romans
parmi
« qui est aujourd'hui
de la gloire.
Et en effet, les dix plus médiocres
bon d'entre
eux
pages du moins
« valent
mieux
bien
de
trois
ans.
Litt.,
que
longs poèmes
publiés depuis
(Co~M/'u.
pp. 49-50).
Le paragraphe
suivant
a été reproduit,
dans
Litt.
et
PAtMM.
c'est
celui qui commêlées;
p. 144,
mence
à la célébrité.
Si «M sot parvient
par ces mots
Dans les deux lignes
la l''s phrase
« Watter
Scott cache
son nom sous le nom de
qui précèdent,
« Jedediah
« H (W. Scott)
Cleishbotham
au Co~Me/'M. Z:<
» appartient
(p. 50). V. Hugo avait dit alors
« a caché
son nom célèbre
« Je ne
sous le nom obscur
de Jedediah
Cleishbotham.
» La 2s phrase
« vois pas pourquoi
on l'en btame
de
» est
1834.
V. Hugo continuait
son
article
en racontant
l'histoire
des œuvres
de Scott
~Co~'erc.
Litt..
ne voulait
les
deux
faisaient
ie
de
sa
imitant
pp. 50-5)).
pas analyser
ouvrages
qui
sujet
critique,
le plan d'Alzire.
it se contentait
de t'apprécier:
Voltaire,
qui n'avait
pu analyser
« Watter
doué d'une
Scott,
et beaucoup
observé.
Ses fictions
vive, a beaucoup
imagination
appris
<f sont toutes
fondées
sur des réalités.
Il connaît
les lieux
décrit
et les événements
qu'il
qui s'y sont
« passés.
Dans ses romans.,
tout ce qui n'est pas vrai est vraisemblable,
et quand
ce n'est plus t'his« toire
des hommes
vous
c'est
du
humain.
celle
cœur
Ses
caractères
sont
bien
lisez,
que
toujours
« tracés
et bien soutenus
et si quetques-uns
de ses personnages
sont pris dans une nature
un peu
« bizarre,
ils n'en sont pas moins
dans la nature.
La bohémienne
Merritties
et le /)e</<'A'MMH </M roi
« (sorte
de mendiants
à
la vieille
reconnaissables
leur
robe
EdieOchittree,
privifégiés,
bleue),
E)speth
« et t'~M/a;t<
de la Nuit,
offrent
des exemples
de
ce
nous
Chacun
Kanatd,
avançons.
frappants
que
« d'eux
a de l'homme
tout ce que ses mœurs
lui permettent
la peinture
d'en avoir;
et c'est
vivante
« de ces mœurs
sur
les
romans
de
Sir
W.
Scott
une
teinte
»
qui répand
singulière
d'originalité.
Zt'«.,
(Co;Meru.
p. 51).
V. Hugo montre
bizarres
un peu en dehors
déjà ses sympathies
pour les personnages
qui sont
du commun,
en marge de la société.
JI aurait
été heureux
de citer certaines
son
mais la chose
est impossible
habitude,
pages suivant
W.
Scott
il
à
être
cité
it
Nous retroupour
perdrait
parce qu
a pour qualité
principale,
l'originalité.
vons ce morceau
du Co?Me/'u.
//t«.
dans
Littér.
et
Philos.
137-138.
(p. 52),
mêlées,
pp.
V. Hugo recommandait
a
son
lecteur
intéressantes
tout
en conticependant
quelques
pages plus
nuant
« W. Scott a un grand
ses éloges
il
il
excite
le rire,
émeut
la pitié
en même
art;
presque
« temps;
et la transition
si
le
contraste
est
insensible.
sûr
et exercé,
Son
naturelle,
parait
que
pinceau,
« saisit toutes
les nuances
distinctives
des objets
semblables
ou qui semblent
tels a des yeux
vul« gaires.
Litt.,
(Co?Me~u.
pp. 52-53).
Nous retrouvons
la suite de l'article
Litt.
dans
~t«.
et Philos.
(CoMô'e/'f.
pp. 53-54)
mêlées,
Trois lignes
seulement
entre
la p. 149 et la p. 150 ont
été négligées.
« Si la noble
mopp. 149-150.
« destie de Sir Watter
Scott le rend
bien supérieur,
sous le rapport
a Lady
la mâle
moral,
Morgan,
« vigueur
de son lalent
ne lui assure
moins
sur
sous
x A la
le
littéraire,
elle.
pas
d'avantages
rapport
fin de la p. 150, deux lignes
« Nous
intéressantes
ont été supprimées
sommes
persuadés
que l'on
dira
un
«
Sterne
et (V. Scott,
comme
on dit
et CAa<MMjour
déjà aujourd'hui:
~/OM~e~M!eM
« 6/'M!Mf<. » Pourquoi
a-t-on
ce
si
de
vérité
le
nom
de
Chateaubriand
en
supprimé
jugement
plein
raison
est probablement
l'unique
Le reste de l'article
du CoH~'eru.
une page environ
/«.
offre
moins
Litt.,
(C'OMM/'u.
pp. 54-55),
V. Hugo disait
il
d'intérêt.
les
deux
romans
dont
étaient
moins
intéressants
les
ouque
pariait
que
28
25
jOcceM~e
1819
0
Ancelot.
(Premier
t. r, livrais.
~«.,
n,
V. T/M~o raconté,
t.
a!tide)(~).C'oH.e?'t?.
pp. 64-69(signëV.):
pp. 437-443.
cf.
N.-B.
Les
en
~e~e.s'
~'tCt/ip/t/M.f,
tragédie
fi actes
et, en vers.
d ouverprécédée du discours
ture du2"
théâtre
Delafrançais,
par M. Casimir
les
du
sur
comédiens
le
par
roi,
vigne.
représentée
2' théâtre
le
samedi
23
octobre
1819.
français,
Barba
Paris.
et Ladvocat.
B. F.,
tn 8. fmp. Foin,
n°
2"
))
)t novembre
décembre.
3838,
1819,
édit.,
n'4291.
en 5 actes,
tragédie
par M. Ancetot,
ordinaires
du roi
représentée
par les comédiens
sur
le 1" théâtre
le vendredi
5 nofrançais,
vembre
1819. tn-8,
Mme
Huet.
Didot,
Paris,
Imp.
B. F., 4 décembre,
n° 4160.
Louis
7.
théâtre
Second
Spectacles.
Mto~e?~
f/'it'M~gnce.
actes
et en p?'oxc
par
C~M
trois
e~ /M/-
français.
Co/He<<«?
en
/)/
H~o~Va?'~
gence.
yAea<?'e
uan6<ec!e
du
~Mf<eu<7/e.
en deux
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et
~~f..S'erre
l'héâtre
de
Alexandre
la
/~oM~se/
Procida,
des
vers
~p?'ë~
et
Ca~Mo~c/tp
p<M
La
et
~'o?7t?!a?~6u/e,
en /)?'o~'e
par
Delavigne.
fo/e
Cadet
Saint-Martin,
en MM acte
et en
parodie
Du.S'!C!/<cKMex.
/)a?' ~7~.
(2).
CoM~o'
A!«.,
t.
dont
il ne veut
le champ
« Cet écrivain
a dû nécessairement
de W. Scott
épuiser
précédents
vrages
dans
ses faces
aussi va-t-il
11 a peint le caractère
écossais
sous toutes
s'arrêter,
« pas sortir.
l'imposde
de
des
défauts
<'0/K:î'e/'
/b/'<KMe.'
pas de
queiques-uns
« sibilité
d'aller
plus loin.
» indiquait
a des
autres.
la
assez des
se détachant
/t<Mce<'c~«MMK<MOoy
pas de figures
personnage
principal,
Scott a cessé d'être
il
« En somme,
Sir Wafter
admirables.
charmants
et des peintures
fécond,
détails
»
« n'a point cessé d'être
original.
mois plus tard.
Cn
une pensée
quelques
qu'i) a reproduite
(~) V. Hugo a émis dans cette critique
comme
veut toujours
la preau théâtre
à ta page 67 du CoM~y'
Z,t«.
ailleurs,
la trouve
« L'amour,
etdans
Litt.
t. livrais.
d82u
dans le CoM~rf.
« mière
~On la retrouve
)x, p. 35~,mars
/«.,
place.
a propos
de cet
Litt.
et Philos.
tout
ce qu'il y a dans
//M<ec~
e~ Philos.
me/eM,
p. 97, § tV. C'est
article.
)'artic!e
sans trop de changements.
t. i. pp. 437-443,
on a reproduit
Mais dans
V. ~M~o raeoM<ë,
«
Dans
Louis
suivante:
on a supprimé
la phrase
/A', elle est suscitée
A la page 439, 18e ligne,
par
dans
les
Soudan
saint
Louis
contre
« Nouradin,
en
faveur
de
Almodan,
d'Egypte:
assyrien,
prince
on
a
l'indication
la 20~ ligne,
« V~prM
elle est tramée
440, après
supprimé
Page
depuis
longtemps.
»
«
haute
et sévère
du
Ve
».
13'!
ta Vte du IVe acte et la IVe
des scènes
conception
ligne
Page 44i,
« il le traite
» Page
ce vers
en
et imposante.
441, au bas,
après
conception
grande
remplace
son
cri
de
« Enfin il est vainqueur
et voilà
« esclave
» on a supprimé
deux
triomphe
lignes
»
Nos tyrans
ne sont plus et la Sicile est libre.
« Procida
/«.
est
suivantes
lisait ainsi dans le Co?!.s'erM.
les lignes
Puis on a transformé
qu'on
il frappe
il attache
sans intéresser,
il excite
« trop farouche
mériter
i'étonnement.,
('admiration
pour
le
une
« sans émouvoir.
» A la page
le premier
annonçant
phrase
443, après
§, on a supprimé
un prochain
en appuyant
dans
« C'est cette assertion
reste à examiner
article,
2e article
qui nous
citations.
»
« toujours
notre
avis par de fréquentes
dans Litt.
et /tt<o.<.
de V. Hugo a été reproduit
me/e'M,
de l'article
p. 138,
(2) Le commencement
« On
la
snivante:
A
la
4e
a
ou
on
avec quelques
phrase
supprimé
suppressions.
ligne,
changements
une phrase
encore
forcées.
» A la 8e ligne,
on a supprimé
« sent aisément
les suites
de ces alliances
» A la 12e )igne,
breton
de Cow)ey.
« Nous
du propos
un peu
ne tirerons
pas les conséquences
»'
cé)èbres.
excellents
« unité
« uniformité
» a )a 18e ligne,
remptace
» remplace
des trois pièces
est inédit.
Tout le reste du compte-rendu
i\)a
Ire représentation
d'<tM~M<'M<<Mtle ler<)écembre
amrme-t-i~
1819,
assistait,
V.Hugo
29
2H
25
1819
~ece/y~'e
livrais.
f/t!
n,
pp.
m~'M,
N.-B.
représentée
2e théâtre
Foin,
)mp.
n. 4433.
70-76
(Signe
H.):
cf.
/«.
et
p.~38.
comédie.
~MOHteM<<MMp?'M~eHce.
du Roi,
sur
le
les
comédiens
par
le
t"
décembre
')8d9.
[n-8,
français,
25
Barba.
B.
décembre,
F-,
Paris,
~o(,'?(<a.
Cadet
/~oM.e<
parodie.
représentée
~e édit.).
le 23 novembre
48t9, 2' édit. (pas trouvé
Harba.
tn-8.
F., 25 déParis,
!mp. Hocquet,
n* 4436.
cembre,
La 6'o?KMO?M&M/e, comédie
vandeville.
1819.
sentée.
le 6 décembre
)n-8,
Imp.
B.
')"
Mme
Paris,
))uet,
F.,
mann,
janvier
n' 10.
28
V.
assiste
avec Adèle
Foucher
Hugo
d'aM/g<.
cf. Lettres
représentation
28 décembre
~82i,
/<0!?tc<
p. li5.
a la
à la(1
-MP
~<«<7'N/?'e.
~oë?7:e
en
</«M«eMa;.
cow/e ~'a7)po!.s'
~e'M/f
/?'aMpa'(6.
~M.x
~<?'
/~e.s'
<?'0!
trois
chants
</e 7YeM/c/«!/caM,
MM/S'
repréPorth)82t),
f/'MM
/)/. le
p<!?'
de /4c<?-
de /rrc7:'y!'o?!,
~A'.s<o?tM<ï~'eA'
Co?;f?-M.
P. ~i. Fï'e!7/o'?'f/
(i).
/~o~wc
Lill.,
à celui des deux
La pièce n'est
mais elle serait
meilleure
si elle appartenait
pas mauvaise
/M<<e/tce.
A. )'autre.
auteurs
de V. Hugo
est en effet qu'un
ouvrage
composé
qui est supérieur
L'opinion
par
»
« le mélange
deux auteurs
ne vaut rien
de ia médiocrité
et du talent
déplait
toujours.
Puis il fait sa critique
V. Hugo donne
en quelques
un résumé
de la pièce.
le
ensuite,
lignes,
du genre,
est plein d'esprit,
le stylé,
a.les qualités
nécessaires
les
incorrections,
sauf quelques
dialogue
sont brillantes
fut mérité
contesté.
Dans
couleurs
et même
le succès
nouveiies,
quoique
légèrement
de
et
le
il
a
en
effet
défauts
de
vraisemblance
et
bienséance
théâtraie
le plan
dialogue,
y
plusieurs
le
a
lui-même
que
public
signalés.
« Ce joli vaudevi))e
ressemble
à ces
V. Hugo est heureux
de l'éclatant
succès de /.a ~'OMMa?K<'M<e
« (técorations
fraîches
et brillantes
ie
machiniste
monte
sur
de
vieux
ou
à ces
ressorts,
que
plutôt
« physionomies
n'ont
d'autres
éléments
de toutes
les figures
qui
pourtant
que ceux
originales
« humaines.
a MM. Scribe
et Alexandre
n'aillent
Que nos vaudevilistes
par métier
pas demander
« Delavigne
se
le
»
leur secret
ce secret
)a ne peut
c'est
talent.
communiquer,
ne
veut
ce
vaudeville.
C'est
un
chef-d'œuvre
où il y a bien quelques
petit
V. Hugo
pas analyser
invraisemblances
et peut-être
défauts
ne faut pas enlever
car
incorrections,
quelques
légers
qu'il
« souvent,
en
on
le
déchire.
»
le tissu est délicat,
voulant
enlever
une tache,
quand
)i fait ensuite
un grand
la
tout
montrant
en littérature
de
en
que ses connaissances
é)oge
pièce
sont assez étendues.
Peut-être
même
un peu de vanité.
Le paragraphe
est à citer
dramatique
y met-i)
«
il
serait
aussi
en entier.
Parmi
la foule de scènes
vives et animées
cet ouvrage,
difficile
que présente
« de trouver
une situation
froide
est
malaisé
de
trouver
une
idée
dans
la
dramatique
plupart
qu'ii
« des pièces
la
se
succèdent
sur
nos
théâtres.
Le
manière
qui
style rappelle
quelquefois
journellement
« de Beaumarchais;
du dialogue,
les auteurs
ne nous
et pour la liaison
des scènes
et le naturel
« semblent
est constamment
à Sedaine.
ne ianguit
et l'attention
L'intérêt
pas inférieurs
jamais,
« éveitiée,
et le moment
sans être fatiguée.
Les plaintes
de Cécile
vous attendrissent,
vous
d'après
))
« riez aux éclats
des plaisanteries
Voiià
i'art
tant
vanté
Boiieau.
de Frédéric.
par
H adresse
à une actrice
fort aimable
ensuite
ses compliments
aux acteurs
et surtout
dont le jeu
H termine
mots sur la Féerie
est plein de gr~ce et de vérité.
son article
du Vaudeville
par quelques
des /<
H croit
11 passe enfin au théâtre
de la Porte
Saint-Martin
et a Cadet
~OM5M< P/'oe!</<
que fes
théâtres
secondaires
ne servent
le
et
à
avilir
la
littérature.
t)
parlera.
pourtant
qu'a corrompre
goût
/~OMMe/ Procida
cette
de Cadet
que dans
pièce il y a
pour en extraire
quelques
jolis vers et montrer
» V. Hugo cite
de l'esprit
« qualités
ou elles se rencontrent.
et de ia verve,
que l'on doit priser partout
il critique
des jeux
de mots
et des
ensuite
une
de vers spiritue)s
et bien
mais
tournés,
vingtaine
triviales
expressions
qui sentent
trop la farce.
V. Hugo est évidemment
d'une demie page (p. 76) qui fait suite à cet. article.
!t y parle
N.-B.
l'auteur
aux
aux
au
non sans ma)ice de certaines
ont
ou
vont
t~at':<*<es,
paraître
~'aM~OM,
C~'</Me
pièces qui
paru
0~/Mp!<yMe.
(1)
signature
L'article
à la
n'a pas été reproduit
fin de l'article
est
dans 7,?«.
à
F, mais
et Philos.
la couverture
30
mais
Mt~ëM,
on trouve
il doit
être deV.
Hugo. La
E, une des initiales
qu'il
25
1819
/)ccc/M~'e
1.1, livrais.
est F., mais
N.-B.
A la p. 80 la signature
n, pp. 77-80.
à la couverture
la signature
estE.
MMt<~<MM
</OM«eMA', poème
M.
a
à la
médecin
chants,
Circnud,
FranClayette
(Saône-et-Loire)
par M. le comte
Paris.
çois de Neufchateau.
tn-8,
tmp.
Crapeiet,
Lefèvre
et
13.
Paris,
Delaunay.
F., 25 septembre
A la suite se trouve
n° 3360.
t849,
une annonce
des Poésies
et des ~/eMto?'y'M~Mr
diverses
la vie.
en
Les
trois
dédié
.*tKa;
.M~MM/t«t/'e~
de
/)'c7t~to/t,
~t. P. A. Vieillard,
membre
de la société
!n-8,
Ballard,
thecnique
(sic).
!mp.
Ponthieu
B.
Paris,
F., 4 déc.
(en vers).
n~ 4210.
par
philoParis.
18~9,
Ne lui appartenait-il
de faire
l'article
consacré
aux
oeuvres
de François
de
employait.
pas d'ailleurs
Il
Neufchâteau.
a prétendu
fait un article
sur les Fables
de NeufchAteau
Eo. B)HÉ,
plus tard avoir
(cf.
'110
et
comme
l'affirme
d'ailleurs
M.
n
est
V. T~M~o avant
Cet
Biré,
1830,
article,
pp.
112).
pas dans
le Conserv.
mais V. Hugo ne voulait-il
allusion
au présent
article
dans lequel
il parie
Litt.,
pas faire
des Fables
de Neufchâteau.
La Goutte
Voici un résumé
du petit article
de V. ))ugo.
Neufchâteau
est très
vient
le
occupé.
Les trois
nuits
et la facilité
distraire.
d'un
ont
la gràce
l'auteur
des
goutteux
qui caractérisent
Fables.
V. Hugo cite quelques
vers qu'il trouve
d'autres
sont pleins d'abandon
et de poésie,
fort jolis
celui que Voltaire
on y reconnait
nomma
son Aer!<!ey.
)i compare
Neufchâteau
Ducis, a Benserade.
Il termine
des Poésies
iittéraire
attend
diverses
de Neufchâteau
avec
par l'annonce
que le monde
et des ~/eMtOtfM. de sa vie qui éveilleront
la curiosité
du monde
impatience
politique.
à
« L'auteur
bien
bien
de Vieillard.
ternes,
V. Hugo'consacre
quelques
lignes
vagues
l'ouvrage
« aux principes
des doctrines
fondées
sur la raison
destructifs
des soi-disants
et
oppose
philosophes
« la vérité.
La pureté
des opinions
et politiques
de M. Vieillard
nous
aussi digne
parait
religieuses
« d'éloges
la
décence
et
la
modération
avec
il
les
est
faiblement
que
lesquelles
expose.
» L'opuscule
écrit.
On n'y reconnait
du poète mais
les sentiments
de l'homme
de bien, jaloux
de se
pas la touche
rendre
utile.
31
III
CHAPITRE
1820
1820
J~M~i~r
1
des Débats:
V. Hugo
lit le Journal
1" janvier
des
1820
Journal
Débats,
livrais.
tv.
Conserv.
t. t,
Litt.,
p.
1820.
29 janvier
8
V. Hugo
CoM<e<e?M
10
o
cf.
et le
148,
assiste
à la 2" représentation
des
de Cas.
au 2~ théâtre
Delavigne
cf. CoK.s-cy'u. Z.:«.,
t. i, livrais.
)v,
français
157
et
Journal
des
1820.
Débats,
8 janvier
p.
Entre
le 1er et le
clerc
tonsuré,
10
le duc
de
janvier
dont
la santé
avait
Rohan,
donné
rentre
au
Sémiquetq''e
inquiétude,
H n'a reçu
aucun
ordre
à
naire
St-Sulpice.
Le 9 janvier
il assistait
au sacre
du
Noël.
de Strasbourg:
cf.
de Croy,
évêque
prince
lundi
10 janvier
1820.
,A)M?'na~ des Débats,
N.-B.
Le Drapeau
blanc du 18 décembre
avait
)8i9
disait
le duc de Rohan
été
que
ordonné
diacre le H décembre.
à Adèle
Foucher
cf.
Hugo
à la fiancée,
pp. 13-15.
N.-B.
Cette lettre n'est pas autrement
datée.
4"
est
on
il
Le
1820
samedi
mais
est peu
janvier
V.
récrivit
ce
elle est
probable que
Hugo
jour-tà
donc du 8, du 15, du 22 ou du 29.
à Brutus.
Poésie.
Les
~OM.s' et
~'p~?'e
les Tu.
Lettre
Lettres
de
V.
0M!et) /<a~a aplicaciones
CoM su pan se lo coma
15
~?'ay'<
Con~?'H.Z.«.,t.i,)iv)'ais.m,pp.81-84
1820, B. F., n" 260.
(signé
Aristide).
i5janvier
cf. /.ï«.
Philos.
t. i. pp. 145-148
?/ee.s-,
soixante-deux
vers
exactement
reproduisent
le CoMxc?'~a<eM/
douze
sont de 1834;
soixante-douze
ne
sont
cf.
pas
reproduits.
V. 7/M~o raconté,
t. i, pp. 304-310,
trois mots
seulement
sont
cf. Satires
Jacochangés
6<~e.
Les
F~.set les Tu.
Bibliopolis,
chez
les Marchands
de
Vieux-Neuf,
in-12,
1819-1874.
Littérature
française.
L'esprit
Corneille
le Comte François
/)a?'
e/<paM
de l'Académie
française,
de
Didot
l'aîné
l'Imprimerie
(1).
du Grand
de 7VeM/e<c.
De
La page 119 (2e partie)
et la page 120 (Litt.
et Philos.
la page 102 et
(t)
M~ëM~,
reproduisent
de la page 103 du CoK.!er<~eM7'
une
note de quatre
avec deux
quetques
lignes
(on a négligé
lignes
traduisant
les
vers
latins
du
vers français
deux
commencement
de la page 103). Les autres
pages 92,
103
n'ont
été
104,
93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 400, 101,
(presque
entière),
pas
reproduites.
V. Hugo attaque
les incorrectes
de
avides
compilations
quelques
spécutateurs
qui, il y a deux
voulaient
la
morale
et
ne
))
félicite
Didot grâce
ans,
dépraver
publique
corrompirent
que l'art (p. 92).
à qui les chefs-d'œuvre
de notre
littérature
sont
devenus
des chefs-d'œuvre
de typographie
félici« l'un
tations
aussi à M. le comte
de Neufehtiteau
de nos académiciens
les plus distingués.
Depuis
« longtemps
aux
dissensions
M. François
de Neufchateau
se
étranger
politiques
qui nous tourmentent,
« livre
à d'estimables
travaux
son
et
ses
infirmités
ne
lui
faire
abandonner.
»
que
âge
peuvent
V. Hugo parle des récents
de Neufchâteau
~M'at sur la langue
et les écrits
de ~Mca<.
ouvrages
a
./Vo<ce sur Ct< /}<<M (p. 93). Neufchâteau
choisi
en dehors
des onze chefs-d'œuvre
de Corneille
des
« comme
morceaux
excellents
si le génie,
dans
ses
écarts
être
monstrueux
et
qui
ridicule,
peut
« pouvait
l'or
du
être
médiocre.
»
C'est
tirer
mais
ce
fumier
là
vaut
mieux
fumier,
dira-t-on,
jamais
celui
d'Ennius
V.
son affirmation,
des vers
de la
que
(p. 94).
Hugo cite, pour
prouver
d'Andromède,
la FeM~e. Il parle
de la flexibilité
du talent
de Corneille
l'idiôme
de
Marot
et
de
qui perfectionnait
.32
Un
Samedi
15
./<!M~<e~
1820
Oon.<e7'u.
(signé
/.ï«.
M.).
P/o.f.
7~<
B. F.,
N.-H.
Le
2 octobre-)8)9.
i5
EucÈNH Hu~.o. 6'<a?tces
M. M.-E.
Conserv.
Hugo.
IN janvier
tH, pp. 84-85,
à
TT~/ta~/Me,
t. t,
Z.t«.,
182U.
t. ), livrais.
ni, pp. 92-104
n° 260. cf.
15 janvier
1820,
t. t, pp. H9-120.
w~c.<
livre
de Neufchàteau
F., n°342t.
parut
le
par
)ivrais.
Conserv.
J.-J.ADE!t.<e,parJ.J.Reda.
t. ), livrais.
~ï«.,
Ht, p. 85.
AhE). HuGO, ~'p!'y?'f<?MMtp,
M. D. Mopar
nicres.
Co/t.s'o't).
~!<
t. f, livrais,
iif, p. 86.
ABËL HUGO. Z,a fO!K/t!/pOf/tr!&a</C
OM /e
siècle.
Comédie
~cc<<!c'/e
ft/e?'H<.[< du XVIe
M.
de
Lemercier,
épique
par
Népomucène
l'Académie
Conserv.
t. t,
française.
Litt.,
livrais.
1~ article.
Le 2e article
!n, pp. 86-92,
est a la tivrais.
-165-168.
Les
deux
v, pp.
articles
sont signés
(A).
De <'e/o~Mf«ce
et de ~o?t influence
politique
f/aM.s' les yoi«.'e?'?(6'/He?t<.</)o~M/at!
et t'e~'eP. 6'. /.aM''eM«e,
?'e;<z<eM~
sp?t<a~s-p<ï?'
l~artic!e
ConM<'c'co/cjoo/y~<~«/;<c.
(~.
15
Honsard
et a su se rendre
main'e
de la langue
a créée
H cite comme
/'<(~eAe/'te
qu'i)
(p. 95).
preuve
Il exprime
son opinion
(p. 96), ~'M;'e'Ma, /<t Toison
<< 0/
~«t<N (p. 97). Tite et /~e?'eM<CM, /i/t<oM~<<e.
sur les grands
mots et les grands
au
«
te
théâtre
gestes qui ne réussiront
pas éterneHement
goût, dit-i),
tout
»
ce
désavoue,
Il
donne
réprouve
quetanature
quatre
versdeThéophiiequii
compareàquatrevers
d'~lM<OMe~e
H
«
ne
résister
au
de
citer
des
vers
ou
Corneille
se montre,
comme
(p. 98).
peut
plaisir
<f nous,
attaché
à
cette
n'est
rien
comme
on
puérilement
sait, que
légitimité
qui
plus
aujourd'hui,
« pour
les têtes
faibles
a et dans ces vers
il est facile
de voir
des aHusions
à Louis
xvm
et a
Les mêmes
allusions
se rencontrent
dans
des.vers
de Lebrun
Napoléon.
d'Ulysse,
repré(tragédie
sentée
en 1814) que V. Hugo est heureux
de transcrire.
Son approbation
ne va pas sans une
cependant
« ses vers (a Lebrun)
sont beaux
ils sont emprunts
d'un vernis
de ce scepticisme
critique,
cependant
« iaissé dans les jeunes
têtes
révolution
toutes
les croyances
tant
par une
qui aébran)é
politiques
« que religieuses
V.
en
Corneille
i'homme
H,iiil ose plus, il cite
(p. 99).
Hugo admire
monarchique
le poète religieux
« Hien de plus magnifique
de la traduction
de /Mt<a<MH).
et de plus
(dix vers
élevé que cette strophe
» dit M. de Neufchateau.
Il semble
ne veut pas donner
lui-même
que V. Hugo
il préfère
son opinion,
a
mais il ne craint
des es/jy!<A' 6'/)e(.'<'aM~
l'emprunter
autrui,
pas de se moquer
hausser
les
99
et
H
cite
encore
un
tiré de )'W;MtOH
qui pourraient
épaules
(pp.
100).
portraitsatirique
on trouverait
aisément
les originaux,
vers d'une
dont,
dil-il,
comt~Me
e/e'f/te,
puis quelques
imprimée
en 1664, car F. de Neut'chilteau
« ce Httérateur
aussi
ce
recueillir
»,a a voulu
distingué
qu'il y a de plus
dans les Poe.ftM
diverses
de Corneille
remarquable
(pp. )00 et '101).
Dans /.t«.
et Philos.
mêlées
la p. )02 et les premières
de
(pp. 119 et 120), nous retrouvons
lignes
la p. 103 du Co/txe/'N.
~eMte
du
Litt.
~e/e
Co?Me/'M.
/,t«.,
mais,
p. '119,
remplace
En note de la page '103 du CoM.s'e/'M. At«.
V. Hugoavaittraduit)esdeuxversiatins(p.
120)de/.î«.
/'< Philos.
« Nous traduirons
a rendre
mêlées.
ainsi sans chercher
les pompeuses
de )'huexpressions
K miuté du Grand
Cornei!)e.
li ne m'est pas donné, sur le double coteau,
De suivre Chapelain,
ou d'atteindre
Godeau.
V. Hugo termine
son article
en louant
la clarté,
les judicieuses
les savantes
l'ordre,
recherches,
le
la
des
talent
connu
de Neufchâteau.
Il annonce
un nouvel
de lui,
critiques,
Philosophie
ouvrage
avait
et utile (cet
n'a jamais
vu le jour).
Neufchateau
/'oé<M,
pensé, en
ouvrage
important
ouvrage
de notre
V. Hugo
un projet
sur
!793, a faire
théâtre
une école
<f/tM~o?'y'e.
n'ose
discuter
lequel
«
si ce
Neufchâteau
s'est trouvé
d'accord
avec
l'auteur
des
Nous
(Haynouard).
ignorons
?'eyMp~?er.!
« plan serait
et si ce n'est que le
mais nous pensons que du moins
l'intention
en est utile;
praticable;
« rêve d'un homme
de talent,
c'est aussi la chimère
d'un
homme
de bien. (pp.
103-104).
(1) V. Hugo n'a
Au commencement
pas reproduit
de l'article
la p. '104 et tes 3/4 de la p. dOS du CoMMru.
il parle
de son
antipathie
pour les auteurs
Litt.
latins
et pour
Cicéron
33
5
1820
./f<e/serv.
-L/«.,
t.
B., 15 janvier
t. i, pp. 106,
1819.
i, livrais,
m, pp. 104-109,
signé
cf. ~«.
1820.
et /7o~.
m~e'
108
avec
la date
107.
Février
N.-B.
Le volume
avait
en librairie
en
paru
1819:
B. F., 30 octobre
1819. n" 378S. in-8, imp.fibr.
Pillet
en 1821
B. F.. 28 avril,
nouvelle
édition
ou plutôt
changement
de frontispice.
tmp.
Paris.
Périsse.
Cellot,
Paris,
Mequignon,et
Lyon,
~pc<ac/M.~ca</f'Mte~O!/a/e</pM<MA'<'y«f.
en trois
actes,
tragédie
/?/?'~Ke
Olympie,
de
M~
~aM<
paroles
~/eM/a/by,
de
ballets
de ~7. Gardel.
sique
6'~o?:«7!
7'Ae~<?'e
Me?ta7'
/aH~a~
comédie
en
Le yK~M~
MK acte
et en
de
Po-
p7'o6'<;(l).
H semble
même
se vieillir
un peu car à l'entendre
il y a longtemps
en particulier.
a fini ses
qu'il
aux
ne
fait
mal.
classes.
Un peu de poudre
pas
yeux
II se lance ensuite
dans
la politique.
)t prend
la définition
de l'orateur
Cicéron
c'est
d'après
à la liste
de bien habile
dans l'art
de parier.
H l'applique
des députés
et il trouve
t'homme
peu
il
d'orateurs
car
ne nous
dit pas le résultat
de sa comparaison.
Il se
eux, s'il en trouve,
parmi
si Cicéron
n'a pas pu transiger
avec les principes,
comme
tant d'autres.
En passant.
demande
ensuite
)t remarque
il attaque
les députés
du parti gauche
les légers
Basile,
(p. 104).
que Cicéron
permet
il
un
de
à
les grosses
calomnies.
en profite
donner
M. de Carrionmensonges,
pour
coup
patte
aux
du
milieu,
faire
des
mauvais
traducteur
chevaliers
allusions
d'Horace,
Msas,
aux bats
juste
pour
de
aux
du
bord
de
t'eau
Grenoble,
(p. 10~).
champêtres
conspirations
La fin de la p. 105, la p. 106, les 3/4 de la p. 107 sont
dans
Litt.
et Philos.
reproduits
Me7e<<,
et
108.
avec
additions
variantes,
pp. J06, 107,
quelques
petites
suppressions.
P. !06, 'l''e ligne.
or
voici
P. 106, 8<! ligne.
Fo!7c /JOM?' la <,wM~'aM/re~oM)'
remplace
~Ke.
et'e/tc'e </e <'o/'a<eM/'
~'e~oM Ctce'roM,
M?' /M'o&iM </tcc/t<<t perdus,
est ajouté.
P. 106, '12e ligne.
V. Hugo a ajouté
une liaison
~VoM~' M'CK;o?M aMCMMe raison
de croire
les
om/eMrs
<!M<?'eque
fissent
P.
Au lieu de
Je w .s'MM/)<M CMer .s'M/' <~e't'c<?'e~a??!<ï?.<
Me?t< que les ~Mery'te~
107, 12e ligne.
il
<M que par
des Ao?MMM pour
Par
les f<<ï?/:<'4'. KOM~ ~p ~'a/~wy avait
respect
pour
/'ap/jor~e/
V.
a
Et
terons
la
17e
un
ici, ,')/fM6'/eM/
P. 107, après
pas.
ligne.
Hugo
négligé
petit §:
coMMe~e
<6<
<a/'(/
<:eM6' de wo/t père
yt'M<
Mt
dire
«Me
chose
?MM~
~awaM
</M'/<
trop
trop
/)OM?'
que
inspire
notre
cette chose peut
?tOM~' être «<t7e.
conscience,
~o;</Me
les pp. 108-109 ont été négligées.
La fin de la p. )07du
Co?Me/'u. Litt.,
Ces pages sont consacrées
a M. Laurentie.
V. Hugo
latent
de style,
lui reconnaft
véritable
marche
correction,
feu,
élégance,
connait
écrit pour écrire,
un homme
et nombreuse.
C'est un écrivain
Cicéron.
périodique
qui
probe,
animé
de
bonnes
consacre
ses
veilles
au
bien
a
ta
de la patrie
instruit,
intentions,
commun,
qui
gloire
un prochain
article
sur le même
pas) il cite de Laurentie
(p. 107). V. Hugo annonce
sujet (il ne parut
des traductions
de Tacite
meilleures
que celle de M. Dureau-Detamatie
(pp. 108-109).
H. n'est mise qu'après
Le ma/'<yM!
~e~'OMe?MM*ô' mais elle semble
sur tout
(1) La signature
porter
l'article
des citations
de Voltaire
révèlent
la
Spectacles.
Quelques
phrases,
quelques
expressions,
V.
manière
de
Hugo.
A propos
il se plaint
n'entende
et ébloui
car l'on est étourdi
d'O~/Mt/JM
que l'on
pas les paroles
et les décors.
dit le critique,
est un opéra
tiré d'une
assez
mauestimable,
par la musique
O~ym~te
de
faite
sur
la
fin
de
sa
11
des
vaise tragédie
vie.
citations
connait
bien
Voltaire,
prouve
par
qu'il
Voltaire.
It bt.lme
du ~/arfyMM
d'avoir
mis sur
la scène
l'auteur
de /~o7He~a/
une
anecdote
qui si elle
n'était
voilée
avec
art
aurait
révolté
la délicatesse
du goût français
et des mœurs
On
nationales.
rira difficilement
d'un homme
avec
la corde
de son gibet;
c'est
un triste
qui joue pour ainsi dire
de
dont
il
fait
le
comédie.
Les
en
traits
et
personnage
personnages,
portrait
rapide
précis
vigoureux,
« on ne saurait
sont peu intéressants.
le
dans
ce
le
théâtre
est
t'écote
des
moeurs.
répéter
siècle,
trop
« Certaines
scènes
sont agréablement
traits
sont fins et naturels
mais
le sujet
est
écrites,
quelques
« défectueux
et inconvenant.
L'auteur
a mieux
nous
ne
le
nommerons
ce
serait
indiscrétion
et
fait,
pas,
« peut-être
maladresse.
» En passant
V. Hugo a fait allusion
au Ze'~a~M/'e
de Regnard
qui pour être
un chef-d'œuvre
aurait
du ofîrirun
but moral.
est signée
F.,
livrais.
);[, pp. 115-120),
La7~Me~t<<e~<M7'edul5janvie['(CoKA'e~.Zt<<t.i,
mais semble
V.
s'il
l'a
faite
en
a
la
ne
contribué.
Nous
résumons
que
pas
entier,
Hugo,
y
largement
en appuyant
sur ce qui nous parait
la collaboration
de V. Hugo.
prouver
3-t k
15
.MM<
1820
6'on.s'gy<<«.,t.
B. F.,
(signé
H.)
t.Hvt'ais.m,
-)
5 janvier
pp.
1820,
d09-H4,
n° 260.
N.-B.
comédie-vaudeviHe
en trois
0/jy/M~tg,
de
)a
actes,
imitée
Voltaire,
représentée
pour
fois. sur iethéfU.re'te
('Académie
prennëre
royale
M
décembre
1819.
)n-8j
detnnsique.ie
Imp.
Didot:
Mme
Paris,
Huet.B.
F., 7 janvier
1820,
n"9.
21
Le
des
Drapeau
Archives
blanc
annonce
de la Littérature
Le marquis
en un acte
<<e /'oMeM~
comédie
en prose
Mme
par
Sophie
Gay,
représentée
la
fois
à
Paris
les
comédiens
pour
première
par
le samedi
18 dédu roi, sur tel'théâtre
français,
cembre
18)9.
In-8. tmp.
Ladvocat.
Foin;
Paris,
le
numéro
et des ~t~
et
)!.F.,l"janvierl820,n°9t.
29
assiste
V. Ij,ugo
Petites
Z)a/!at</p.s':
livrais,
fv, p. 117.
a la représentation
cf. CoMA-e?'
Z!'«.,
des
t.. l,
Poésie.
inédite
de
Cacus
(Extrait
d'une
traduction
t'Enëide).MwprMKMM:.s'H.M.s'6'Ms/)CH.s'<ï)'M/ta'Mca</6'/)îce?'M~ew,etc.iivrev)u(t).
Constant
et Discrète,
en 4 chants,
~Mt~t de Poésies
le Comte
de
diverses,
poème
par
Gaspard
P~H.s'. (Constant
et Discrète,
no 4162, in-18.
était
B. F., 4 décembre,
Boucher,
paru en 1819
lmp.
Vve
Paris.
Renard
et Boucher).
Le critique
la gr~ce et l'aisance
mais aussi la. négligence
Paris,
signa)e
de l'auteur
se
un
de'sa
sa
manière
il est trop indulgent
est trop
qu'il
garde
peu
facilité,
inéga)ë,
H faut se châtier
sans pitié, il faut des sujets
pour tui-même.
plus piquants
quoiqu'il
y ait dans celuici de jolis défaits.
Dans les Poésies
il y a des passages
d'une
diverses
écrits
manière
qui suivent,
et
t/O~e~'K/e
quelquefois
originale
presque
spiriluelle.
6'OM~7'é.s' d'Aix-la-Chapelle,
sans
toujours
offrir l'entraînement
et le désordre
révèlent
le
a
la
sévérité
du
qui
cependant
style et
poète
lyrique,
la beauté des sentiments
la beauté
des idées.
qui engendre
presque
toujours
Cet article,
ne
d'une
une des raisons
des relations
certaine
franchise
fut peut-être
qui
manque
pas
entre
G. de Pons et les Hugo.
satire
~e<<e-MeM~f')'te
Ed.
Co'~të/'e.
siècle,
satire,
(Le ~t~e-MeMCtéMte
siècle,
Par
politique,
Ed.
Corbière
de
ex-officier
de
marine.
Brest,
Paris,
chez Mtte Donnas,
par
tn-8,
imp. Benaudière,
et les libraires
chez Plancher
B. F.. 14 août 1849, n" 2926).
;\). Corbière
est un é)ëve
constitutionnels,
du père Duchesne,
de mérite,
il est poète,
un illustre
il attaque
tout le monde,
d'abord
prosateur
pair
MM.
ia
France
a d'éminent.
de Serre.
tout ce que
(Chateaubriand),
Guizot,
Villemain,
puis
Pasquier,
Le critique
s'amuse
à prouver
avec esprit'qu'il
ne faut pas confondre
l'auteur
de cette satire
avec ie
du même
nom.
Peu tue a Paris,
sa satire
a dû être lue à Brest par les libéraux
député
philosophes
viennent
de
donner
tout
récemment
une
si
aux
<<M scanbonne
de <o<<a«<M/Ke
qui
leçon
a/~<7'e.f
M. Corbière
~f/~e
est breton.
Le Conserv.
Litt.
à. propos
d'un
une 2e fois M. Corbière
)x. pp. 337-341)
(t. ), livrais.
attaquera
les
est
L'articte
poème,
Philippiques
/ywt~<MM.
signé S.
Le <<t2.?teMM!ë7Me siècle,
à
11.
le
comte
de f/'6[Mce;
Genève.
/e~?'a?t(/,
Rosset,
~~re
pair
par
M. Hosset,
dit )e critique,
est un honnête
et dont nous
homme
dont nous
les opinions
partageons
honorons
le caractère,
mais
son style
est faible
cite
et son ouvrage
médiocre.
On
vers,
quelques
« contre
nos jeunes
radoteurs
n'étaient
hier
des
rhétoriciens
et
se
donnent
bien
qui
que
aujourd'hui
« de la peine
des rhéteurs.
» Cette
si l'on songe
à l'âge des rédacest curieuse
pour paraitre
phrase
« La
teurs
du CoM.s'e;'c. Litt.
Voici une autre
où
le
de
V.
nous
se révéler.
phrase
style
itugo
parait
« satire
du </M?-K<'M~ë?Ke
à l'eau
siècle
est a encore
a faire;
M. Bosset
est
un satirique
de rose
<: M. Ed. Corbière
n'a trempé
ses pinceaux
)e fouet sangtantde
Gilbert? 9
Qui saisira
que dans la boue
« tt s'agit de tendre
t'arc de Nemrod
ou est t'athtëte
ces vers
? Espérons
quoique
qu'il se présentera:
« de M. Hosset
ne soient
que trop vrais
Si parfois
un jeune honunu,
épris d'un beau deth'M
Ose monter t'ëgase
et manier ta. lyre
D'un insolent
ses vers,
mépri-s on accueille
»
Et, ses nobles transports
passent
pour un travers.
V. Hugo
ne se plaignait-il
les
dans
sa jeunesse
d'être
méconnu
et de ne pas recevoir
pas toujours
son talent.
éloges
que méritait
//<!&M.s' <<e6' ~o~
et Detaunay
Satire
Paris.
Aimé André
Paris,
par
(In-8,
imp. Feugeuray,
)!. F.. 18 septembre
n° 3324).
L'auteur
son salut
d'honneur
à M. B. C. (Benjamin
adresse
1819,
«
de
le célèbre
Cette
satire
aussi dénuée
de poésie
Constant)
pourvue
publiciste
qu'abondamment
« calomnies
et d'injures
est dirigée
du caractère
les
contre
les hommes
a la noblesse
qui joignent
« distinctions
»
du talent.
(1)
/M/M<
Voici
vers
les
18'
changements
apportés
il prend
saisit
remplace
F.
vers
13e,
raconté,
Hugo
p. 236,
ce K0t/
vers
25e, le MOM' rempiace
35
laissant
p. 237,
remplace
vers 24e,
29
1820
./(!M<er
t. i, livrais.
~«.,
<v, pp. 121-123,
V.
29 janvier
1820
cf.
Signé
d'Auverney
V. Hugo
cf. ~yce'f
t.
7'acoK/e,
pp. 235-238
t. t. livrais.
106-108.
~4r~o?'!M<H.
)!, pp.
V. Hugo (B. F..
1~ mars
février
1823
Signé
Le texte est celui du Conserv.
1823, n" 994)
de t'imcf. Odes
et Ballades,
édition
Z!«.
Nationale,
primerie
pp. 396-398.
C'o/:se?'o.
Z!'«..t.
~'OM.7)M6'<'M«?.COH~e?'H.
),)ivrais.
iv. pp. 123-126,
29 janvier
1820
E).
(Signé
cf. Lill.
et Philos.
M~/e'e.s-, t. <, pp. 160-i63.
Aucun
c'est
le seul
changement
peut-être
morceau
ainsi reproduit.
29
AB).
HuGû. La
Jérusalem
duite par M. Baour-Lormian
Les
Littérature
~e</7'MMpa<A'p.
F<?/e.s'
A). C.
/teMMe.
tragédie,
par
Deiavigne.
M.
2e et
Louis
Ance~ot
tragédie,
par
dernier
article
t. ), !ivrais.
C'OH~'u.Zt~
(l):
sans
133-145
iv, pp.
signature
(le !<article
se trouve
t. f, livrais,
la
n, pp.
64-H9, avec
cf.
V, 25 décembre
T/M~o
signature
1819);
avec la date 1819.
t. t. pp. 443-446,
raconté,
tra</e7<u?'<'e,
Co?!6'e~'u. Z:«.,
t.i,tivrais.!v,pp.l27-')33,2'=articte(A).
Ze«?'e.f
.!M?' la nouvelle
<?'a~MC/<o?< de la
ye?'M~M/eM: délivrée,
par M. Baour-Lormian.
C&M?'U~0?M
.S'M~' la ~'<Ï~MC<!OM en vers
de
la ye'?'?<a~Mt
Con~e7<'u?'p'e, par M. G. G.
.<<«.,t.t,iivrais.fv,p.'i33(A).
et politiques
morales
sur
les
Réflexions
de /K yH07ia)'c/<e.
avantages
par Mme C. de
M.
CoM~'u.
t. <,
/.<«.,
(1~
article)
(2)
vers ont été compiètement
remaniés:
on lisait dans
Mtoy'Me~ remplace
tristes
p. 238, les trois derniers
il contemple
la forme.
7/ voit
ses yeux
le Conserv.
~!«.
/)e ses membres
hideux
<aM~~M~,
et
lit
ses
feux
ne
redoute
ses flancs
noirs
velus.
expirants
plus.
qu'il
le manuscrit,
édition
de l'imprimerie
ont donné
Les Odes et Ballades,
Nationale,
(p. 397), d'après
au texte.
une variante
plus conforme
du 2s article
commence
au milieu
de la p. 443~.
On a
//M~o
raconté).
(t) La reproduction
liaison
deux
aiiusion
à
un
de
sur
les
et
les
la
entre
les
articles
Sterne
hottes
chapitre
jarrenégligé
On
a
des
et
tières (pp. 133-134,
Co?Me/
entre
C.
des
Litt.).
comparaisons
Anceiot,
négligé
Delavigne
il propos
aux deux auteurs,
des critiques
des portraits,
des caractères,
du style
citations
empruntées
vers
d'Ancelot:
V. Hugo lui reproche
des phrases
traînantes,
des
135,
136, 437,
gauches
(pp. 134,
Deux
l'une
de
l'autre
de
Conserv.
C.
Litt.).
citations,
Ancelot,
Litt.,
iongues
Deiavigne
(CoM.<e/'c.
ia
ont
été
laissées
de
côté.
Les
suivent
citation
r~coH~.
quatre
lignes
qui
(V.
7/K<yo
pp. 438-139)
les pp. HO, )41, 142. <43 et la moitié
à la p. 443 du Co?MC/'u. Litt.,
résument
de
p. 445) empruntées
«
Anceiot:
une
il
disait:
la p. 444 du Co/t~'t?.
Litt.
citation
Ces
après
V. Hugo y critiquait
longue
« vers ne présentent
ni force,
ni chaleur,
même
une
ils sont harmonieux
et ce
pas
coupe
pittoresque,
« n'est
encore
des
vers
durs
a
vers
Dans
selon
nous qui préférons
des
faibles.
ce morpas beaucoup,
« ceau tout est vague
et confus,
on est obligé
de le relire
fois
se
faire
une
idée
de la
plusieurs
pour
» Il insistait
sur la manière
« scène
ensuite
ferme,
vive et précise,
les vers
qu'il représente
(p. 141).
d'action
et de mouvement,
les scènes
les images
de grandeur
animées,
pleins
pittoresques,
admirables
de C. Delavigne.
de
V.
sur
les
et de vérité
Cette
les vers
Hugo
coupes
appréciation
pittoresques,
a noter
faibles et les vers durs est intéressante
ainsi
contre
une
qu'une
attaque
imprécation
hyperà
V.
et usée employée
en essayant
de
bolique
propos d'Anceiotf'CoKse/Zt~
p. 143)
Hugo continuait
d'une
accusation
de plagiat.
H n'a
Louis
/A'
dans
les
laver Ancelot
de
écrivait-if,
pu copier,
/y~
/~Y</6HM les fers,
en cinq actes de M. D.
Noubel.
M. D.
in-8.
(Louis
Imprimerie
tragédie
Agen
Ledoux
et Teuré
et aussi
B. F., 5 septembre
sans valeur,
autrement
Paris,
Delaunay.
1818), tragédie
la pièce de cuivre
se serait
d'or dans la poche du voleur,
ce serait
en pièce
tout le contraire
changée
a-t-il
du vieux conte
arabe.
Peut-étre
du renégat
ne trouve
cependant
pris le personnage
qu'on
pas
V.
dans les ~'MOtye~
du temps
les affirmations
d'Ancelot.
en passant
malgré
Hugo rappelait
l'épopée
il en citait
vers à propos des Vépres
du Père Lemoyne,
St .LoMM
Siciliennes
jLt«.,
quelques
(Conserv
La
fin
de
144-145
du
CoKA'erM.
se
trouve
445-446
l'article,
Litt.,
pp.
pp.
(
7~~&
pp. 143-144).
avec
quelques
petits
y'ac~M~e)
changements.
et Philos.
on a seulement
et la moitié
Mte/f'M (pp. 67-70)
les pp. 't45-146
reproduit
(2) Dans Litt.
de )a p. 147 du Conserv.
Litt.
avec quelques
changements.
Pour
les pp. 67 et 68 de Litt.
et Philos.
il y a simplement
deux corrections
de style sans
mêlées,
2e
« CM <'oM
et Philos.
à ia suite
de la
on lisait
encore
Me<eM,
p. 69, Litt.
ligne,
importance
36
29
./a/t~<e/'
1820
145-150
B). Le 2~ article
i\pp.
(signe
au t. j, livrais.
)X, pp.341-350
(signe)!);
et
Mt/o.s'.
(i7-70et
Zt«.
w<?/
pp.
livrais.
est
cf.
p.)05,<'?t</«.<;«;.
i\H.–
/fr'/j!cj;;0/<Mtt)/'a~.<e<</<«/M<A'M<'
/e.rtt;<<<</('.s'</e/MMto/tM/'c/t«',)~)i'~))heC.~eM.
in-8,h<iprin~et'iet)i~o~,P:)!'is,f*)!ex).teur.i'ue
dn)\)on,nf[et<;)~x!.eNot'nim)t.U.)'20tn.n's
no )?<
)!)'
!\)tjjeC.f)eM.qui,nonsditV.I!H~o.est.une
M«/'a('Co/<f/'<<'<'<t..i.
p.').4'))ct!)it.uneciEHeavtnt
la
devan).
épousé
pendant.
religieuse.
de
i\ieoias
CLarnbon
inefJe)<é\'o!ution~
Montaux,
3
décembre
de
ein,niaire
ParisapresPe).hion,du
de
t792 au 2 février
')7f)3. CesHui
qui fut chargé
a Louis
XV) sa. comparution
devant
]a
signifier
2)
était,
maire
de
Convention.))
t'aris,ie
janvier,
de
i~ouisXVf.
Ces
faits
curieux
de
t'exécution
jour
d'être
méritent,
je crois,
signalés.
7~'eMK~'e
</<s'
6'/je<;<~c/e.<.
?'~)/'<s'e/t<a<to~
comédie
en cinq
actes et en vers de
6'o?/)e'e?).<,
ce
o?( <'OM/)tM<OK/te
après
,/M~/Me .s'?M' les <ot~ »; p. Ci). d8e ligne,
c<HMpM'e./tM</M<' sur les bancs,
«
saurais
dire
tous
les
M!aKHn!6'
reue.<
celle
Je ne
MKt<,
que ~'a?' l'aits
qui 7M'e'NOK~aM<e on lisait
en
être
d'MM
des
PETtTHs
assisté
hier
à
la
auoMD~NAfDES, pièce
)'e't'jeM<
qui
rep/'MeM/a~to/t
après
Ponseca
49 et 20
Fonseca
/«.,
(Conserv.
p. 69, lignes
remplace
(1)
/b?'< ?MMMi)a~' e.Ee/Hp<e
M''
lisait
rue
4.
au lieu de /~Me ~<ërM,
?« ~0, on
(?MtKca?~o~,
p. 69, 28e ligne,
p. 147)
t! rassure
Mme
de
V.
n'a
une
courte
de
ce
Voici maintenant
pas réimprime
analyse
que
Hugo
son sexe:
le droit d'écrire
et il n'a voulu
M.
il ne veut pas lui interdire
parler
que pour)'honneurde
du
sait
lire.
de Voltaire,
et l'on dirait
notre
on ne
« On ne lisait
plus
que
(Conserv.
plus du temps
ou
moins
nous
ne
nous
ne
sommes
comme
« Litt.,
savants,
plus
plus
jadis
p. 147), aujourd'hui
le
Caton
t'Ancien
Le professeur
« sommes
d'Utique,
prend
pour Calon
que plus ou moins
ignorants.
»
« bachelier
Titus
/,t«.,
p. )48).
prend
pour Néron.
(CnM~e/'f.
des auteurs
l'érudition:
elle ne cite
a
Mme
de
M.
a
de
Il fait un petit reproche
pas le nom
qui
« i1 donner
sur iajoue
d~un auteur,
les idées.
Cela expose
le critique
qui se
dont elle met en œuvre
»
dit
un souutet
a Ilorace
ou a Virgile,
comme
« présente
comme
Montaigne.
~Co/MM'u.
inconnu,
Litt.,
p. -)48).
du journal
ont refusé
de se
tons
les critiques
Ce piège tendu
par Mme de M. a été vite reconnu
toute
ma
vie
dans
m'a été adjugé
a moi
hère qui. ayant
du )ivre et « l'ouvrage
passé
pauvre
charger
sorte
devenu
comme
un livre ambulant.
Litt.,
les livres,
suis en quelque
(Co?Meru.
p. )48) cela veut
moins
on est galant;
moins
on est gâtant,
« dire que je suis vieux;
et.
plus on est
plus on est vieux,
valait.
la
des
vieillards
de
notre
ma vieille
mais s'il faut en croire
<: sincère.
voisine,
temps
politesse
)) (CoH~u.
« encore
mieux
/«,
p. 449).
des jeunes
gens d'aujourd'hui.
que la galanterie
mais
le lecteur
voudrait
des principes
de Mme de M. dans un prochain
V. Hugo parlera
article,
M.
doit-on
la
de Mme de
Dans quel parti
savoir
« puisque
politiques
ranger
quelles sont les opinions
»
France.
au
de
en
« nous en sommes
venus
Litt.,
(CoM~ru.
p. ~49).
point
n'avoir
p)us que des partis
a
été
dans/«.e<~At/o.f.Me<K'M,
Lerestede)'artic)e(CoM6'erM.
Litt.,
reproduit
pp. )49-)SO),
!c ligne (/.?'«.
et P/t~ox.
curieux
sous
le
titre
2''aM<aMte
avec
me/e'e.s'),
quelques
changements
p. 105,
3e
et
ce
veut
~Me
<<e
ont
lit
dans
)e
CoM.ferM.
Litt.,
au lieu de ce que je veux,
ligne (/«.
que
le
on lisait dans
V. Hugo a supprimé
une phrase.
Philos.
Après
//f/.y'aM<te6' po<M' le peuple
mêlées)
e~ me~te
« et rt ce/a~e
ne vous aurais
y'M/t dit si je ne vous f/y<M!aM
Conserv.
Litt.
<eM~' </M6
M!~t.'<'
encore
de
c'e4'<-<ï-<e
elle
le
veut
Mo/t
~eM<ewe/'<
de
bouche
eMt<7'.
ce que veut ~7M!e de yV.,
et Philos.
au lieu de « et fM ee~s./e ~Mt~ f/y~'<Mt<
4e ligne (Litt.
est ultra
w~M),
(p. -i49)
qu'elle
« A'< en c?/a ~He
de
est &?'eM c<t/
le CoM.s'erc.
Lill.
AoM?~e~
de certains
'yeMA' » il y avait dans
AoMHfMM f/eH.s'
rente
(p. 150)
<<e certains
rew<ty'</Mf
'/Ke /)0!<r la ~o.s'<<)'t<~
(je ne /aM cette
du
MMM
<MO?t
Co'Mert;.
Aî«.,
~e ligne (Litt.
et Philos.
~/v<M(< OMC~* rcmp!ace /'e!t
~ë/'c
M~ce.s'),
/eM
p. 130.
7~HaMe.< ou <yMu<re-C!~f/<-f/M:-?teM/' H<e<i//ie~. ))nit!ition
bur]es<;o-tragi-corui-dicLbo)ico
(1) Les petites
sur le théâtre
etc.
M.
ntûtee
de
danses,
Gentil,
des
vaudevilles,
de l'opéra
Z)a;MK~
par
rup!'MSe)]tëe
H.
25 décembre
F..
le
~4
décembre
~8~!).
)n-8,
Paris,
Porte Saint-Ma.rt.in.
)'a.ris;
)n)p. Cussac,
Fages,
n'i847.
R.
20
mai
)820.
2' édit., imp. Nouzou,
Paris. Fages,
F.,
n" 4437
Paris
iucric
de la
)8)!
29
1820
./f<y<~<c/'
M.Casimir
f,
Dektvigne(t):6'o/<.s~'t7.«.,t.
iSO-~88
livrais.
<v, pp.
(signe
Jf).
N.-H.
Les Co/MeWieM.
en cin~ actes
Comédie
et. en vers, précédée
d'un
eu prose par
prologue
M. Casimir
représentée
par les coméDetavigne,
diens
ordinaires
du roi.sur
)e2c théâtre
français.
le jeudi.
6 janvier
t820.In-8,)mprimerieFain,
Paris.
Barba
et Ladvoeat:
fre édit..
B. F..
Paris,
29 janvier,
no 360;
2e édit.)!.
P.. i9 février.
no3(H:3eedit,B.F.,i3mai.))<i.t3.
entre
le ter et. le 2'' théâtre.
Ce dernier
travaille
avec
par une comparaison
(1) V. Hugo commence
Le 1< théâtre
ti doit y avoir
succès.
ne fait rien.
au moins
un pouce de poussière
sur les
zèle, talent,
manuscrits
inhumés
dans
les
vieux
cartons
Ce début
amené
très
//<«.,
pauvres
(CoH.K'u.
p. 150).
naturellement
le sujet
traité
C.
les
ridicules
des
comédiens.
par
Delavigne,
n'a
l'attente
des spectateurs
« Une grande
une idée essentiellement
pas
L'ouvrage
rempli
idée,
« morale
devait
donner
la vie à l'ouvrage
de ce jeune
l'insolente
des comédiens
homme
ingratitude
« envers
les auteurs
les
font
vivre
est
une
monstruosité
assez
mériter
tes honqui
remarquable
pour
« neursdetascène.
»
H aurait
fattu
avec
« l'ignorance
la
cela
montrer
des jurys
comiques,
« bassesse des intrigues
de coulisses,
des comédiens
et la vanité
des
actrices
t'égotsme
voyageurs
« ambulantes,
le despotisme
des sociétaires
sur les pensionnaires,
des
acteurs
envers
les
ta tyrannie
« auteurs,
la haute
et même
exercée
sur
les uns et sur
les
police
par certains
grands
seigneurs
« autres.
En un mot il fallait nous montrer
les rois de la scène
absolument
tels qu its sont dans leur
« intérieur,
domestica
I)
ne
du
de
tever
un
coin
il
fallait
déchirer
ta toile
rideau,
/ae<a.
s'agissait
pas
« et. c'est. ce que M. Delavigne
n'a point fait, seu (<e&!<w,
~M</MM<M/
))(CoK~e;'M.
Zt«.,
p. 151).
V. Hugo
fait ensuite
une analyse
de la pièce (CoMM/'u.
Nousretèverons
rapide
pp.
152-154).
~:«.,
V. Hugo
a du écrire
seulement
avec
a cause
des allusions
phrases
quelques
que
plaisir
qu'elles
contenaient
sur sa situation
et
ses
de
bonheur.
présente
espérances
« Victor,
de haute
aime
d'un
rare talent
et d'une
jeune
poète
espérance,
Lucite,
actrice,
jeune
vertu
rare
encore
plus
De la beauté,
vingt ans et pas (le cachemire
(p. t5S).
« On doit jouer
une comédie
de Victor
sur
le succès
de laquelle
est
fondé tout
son espoir
« d'épouser
Lucile
dont
il est aimé.
a
.La
réussi
et
son
bonheur
est
comblé
(p. 152)
pièce
par son
« mariage
avec Lucile.
(p.
154).
le résumé
de la pièce, V. Hugo ajoute
« Ce plan bizarre
autant
et. embrouillé
de
Après
exige
« critiques
le
mérite
Un
animé
et
semé
de
traits
heureux
et
de
que
style
d'étoges.
dialogue,
piquant,
« pensées épigrammatiques;
un rote entier,
de beaux vers (celui
de Victor,
rempti
que David récite
« avec chaleur
mais
une correction
les Co~eune étégance
soutenue,
continuette,
trop vite);
placent
« <eM.< au premier
sous
le
du
comédies
les Deux
les
rang
rapport
style,
parmi
représentées
depuis
« Gendres
» (CoK.s'eru.
Dans
les trois
V. Hugo
fait de nombreuses
Zt«,
p. 154).
pages suivantes,
citations
« te style soigné,
le dialogue
naturel
» et parfois
un
mérite
d'observation
pour prouver
« rare surtout
chez M. Delavigne.
» Les appréciations
de V. Hugo ne manquent
de
et il
pas
justesse
» (CoHt'e/'o.
avec raison des vers « jolis
de fermeté
et de chaleur.
», d'autres
Litt.,
signale
« pleins
pp. 156-137).
La dernière
citation
de V. Hugo est une tirade
fut très applaudie
et
qui, a la !<' représentation,
« Qui sert bien son
renferme
le vers
connu
d'aïeux
». V. Hugo
accorde
pas besoin
que
pays n'a
«
ce vers et ceux qui précèdent
« sont assez bien tournés
» mais à son avis
ils ne méritaient
pas les
« honneurs
du bis qu'un
de jeunes
sots
voûtait
leur
faire
obtenir.
Nous
nous
félicitons
troupeau
<f d'avoir
il la vérité,
à ce que l'auteur
contribué
avec une portion
du parterre,
bien faible
continuât
« son rôle.
» (CoMM/'f.
non pas à la
Litt.,
p. 157). Nous apprenons
par ce détait que V. Hugo assista
2':
mais
à
la
si
nous
en
le
récit
fit
le
./OM?'a<
des
te .8 janvier
j"
1820,
représentation,
croyons
que
Débats
des deux
1820) à moins
premières
représentations
(cf. yoM)'M~< des /a~,
8 janvier
que
V. Hugo n'y ait point
assisté
du tout et qu'il
ait tout emprunté
aux Débats.
V. Hugo profite
de cet incident
à C. Detavigne
de supprimer
le rôle de Utinvat.
pour conseitter
« Si ce personnage
est destiné
a représenter
it ne saurait
les royalistes
être plus pitoyablement
choisi
« et la suppression
d'un
aussi triste
rote ne sera pas une grande perte.
»
En terminant
V. Hugo résume
sa critique
la versification
est
brillante
avec quelques
taches et
nous
vers de mauvais
le plan est compliqué,
l'action
est nulle,
« C Delavigne
quelques
goût,
pro« mettait
un tableau
de caractères,
il ne nous a offert
il
avait
à
nous
de
portraits;
qu'une
galerie
« montrer
les mœurs
des comédiens,
il ne nous a fait voir que qnetques-uns
de leurs
usages; il devait
« dévoiler
il n'a mis à découvert,
» ~CoM.s'erf.
teurs
tracasseries.
At«.,
intrigues,
que leurs
p. 158).
Les dernières
à
«
M.
de
l'article
sont
retenir
Nous
ne soit
lignes
craignons
que
Detavigne
« dépourvu
des deux qualités
auteur
il
a
du
mouveles plus essentielles
au théâtre.
Comme
tragique,
« ment
de
comme
auteur
il
a
de
et
semble,
et manque
sensibilité;
comique,
l'esprit
point de gaieté.
-38-
y~M<;«~'
1820
30
M. t'abbé
commence
ses conféFrayssinous
cf. Le
rences
ordinaires
à Saint-Su)pice
27 janet La
()Mo<ï~t<'KMc,
Z)?'Q!~eû!< 6/aKC
vier
1820.
Z/.4Mt
?'e/OM
(n" 573,
un
résumé
de
cette
confédonne
pp. 390-393),
férence
sur les
~e /t<M
/)?'<MC~a/e.s' caM~e~
e?'?'cM?'.s'.
/~e~e/'
5
a
de la
Les
~M<M<
KeM</ë'e, Ode dédiée
<on6'e~.
M. le vicomte
de Chateaubriand
v. pp. 161-~64.
t,. <. livrais.
Litt.,
V.-M. Hugo
1819.
cf. 25 septembre
« ainsi
ce joyeux
que le disait
«/ttt'n<e.))(Co?Meyt?.«.,p.
N.-B.
de chaussée
critique,
d'étrange
et
infortuné
Wi'.s'/oo'e
<<c /yY//<c<
f/c'/x~M/ë
par .\)M. Véet Dut'au,ornuc
de plus
décrois
)y,Vinaret.
cents gravures,
de C~a~M
7~ (suite
/Me
et fin), t. xxx,
Paris,
Desroy,article
(i):
il semble
Scarron,
que
cet
AoM/He
M M'at<
Mt eM</w7/M
158).
au rex
Le 8 et le 13 janvier
sous ta signature
de C., a donné
1820, le ./OM/'Ma< <<e.s'Débats,
deux
articles
sur les Co//tf(<ie/t.<.
V. Hugo n'a pas du lire le second
avant
sa
d'écrire
au premier
ou bien
mais il a fait de nombreux
C. et lui se sont
rencontres
emprunts
manière.
articles
une allusion
au /o/oy<(e
la pièce de C. Delaqui précède
identique
tt
a
de
ressemblance
les
deux
idées et
débuts
comme
pour
A<«., p. 1S1).
y
beaucoup
vigne (CûM.s'e''u.
Les idées de ftc~e~tt,
Ae'OA' et Ae/'OtKe.
en (<M/ta<'t7/e'.<, e~ habits
comme
expressions.
&MM'</eoM,' (Les
les
t/OMte~t'ea
et)e
coMt
de
?';(<eaM
de
/«..
(6'o/Me/'u.
/'a'M
A~.
Hugo
p. 131~. La
Z)e6a<.<) rappeftent
ua/tt<e
f/M <t(;<<ef~' a?M~M/aM<e6',
.<a
e/<ue~s'
/e.s'~tt<<'M/
<aMMte~eA'~(;<eM7'.s'
.tM<o~M<eMt.M<tles o.MfeMys (CoM~'eru.
à,
la co</Me«er!e
de ces
<M~e des <;o//te<<<e/tA' e/tuer~
Litt.,
p. 151), font pendant
des
est
6~a/<'
et.
</a?MeA'
aM~; /<<'<e/t</OM&'
CA'a~o'M.s'
sujets
(/)e'/<f<<~).
Ae /~<a?t
~e?Ktf7'A'
dit
le
CoM6'e;
Zt/
Z'ae/M/t
est
e/K<<a~<'MM'e
de
détails
OMeMA'
et
eMt~OMt~M,
(p. 134).
un t/<e.'e/~tCf<6~e
<ftMe/</f/t<.<
c'est
affirment
les Débats.
tM~y'o~/to,
surchargée
?'6'?MfMte~</M<s'
certaines
Dans les Débats,
Fioridore
V. Hugo a retourné
les rendre
phrases
pour
plus harmonieuses.
V.
un
Il
devient
sous
la
de
de
était
/)/?H?'e/'
p)ume
Hugo M/t ~'ett~c
yMtM</MM</eMfw<' ,/eMMe /e//t?ey.
des /~f7,<;< sont
a propos
f<M.s' (6'o/Me/'u.
les citations
de
Litt.,
p. 15J). Toutes
reproduites
C!«</t<a/t<e
La narration
de Ftoridore,
de Bernard~
etc.
mais parfois
elles sont allongées.
des applauLuette,
tibéraux
à
la
2e
est
faite
dans
les
mêmes
termes.
V.
dissements
représentation
presque
Hugo la draun peu en se mettant
lui-même
en scène.
Nous retrouvons
les mêmes
a propos
de
matise
expressions
« David
a mis beaucoup
mais
a trop
son débit dans
l'acteur
David.
de chaleur,
le rote de
précipité
« Victor
les
Débats.
«
Le
rote
de
Victor
David
récite
avec
mais
» affirment
chaleur
que
trop vite »,
/-t«..
écrit V, Hugo.
(Co/t.swf.
p. 1S~).
il a voulu
V. Hugo
ne s'est pas contenté
de lire l'article
des Débats,
de lui taire des emprunts,
y
et
littéraires
dans
une
note
a
mise
au
bas
de
la
faire
des corrections
historiques
qu'il
p. 154 du
« On a observé,
avait
veut
cette
idée
Co/t.s'erc.
/,<«.
dit-il,
que M. Delavigne
emprunté
(V. Hugo
cahier
de papier
blanc que Granvitte
a Ftoridore
et qui passe
d'un
remet
parler
pour être le manuscomédie
à
l'auteur
de
la
~t/tMee
mais
l'anecdote
étant
crit
d'une
nouvelle)
<MM
CoMedteM;
a Grandvat
« réettement
arrivée
non
à Moté)~
M. Delavigne
a pu ta mettre
en ceuvre aussi
bien
(et
« que qui que ce fut. » Les Débats
dit en effet:
« Ce trait naturel
de mœurs
est
avaient
comiques
« emprunté
mot a mot d'un
acte
il
a
environ
trente-six
sous
le
ans, at'Ambigu-comique,
petit
joué,
y
à Moté.
« titre de la ~)/a<tMee f<M Co/Me<e/t.
L'anecdote
était
vraie et l'on prétend
était arrivée
qu'ette
« mais supposée
ou réelle
a l'auteur
des 6'«/Ke't</eM.
l'idée de la mettre
en scène
n'appartient
point
« H faut rendre
à chacun
ce qui lui appartient.
» Nous
venons
nous aussi
de rendre
a
d'essayer
chacun
ce qui lui appartient.
et Philos.
le tsr paragraphe
de la p. 174 du Co/Me/'M.
Me~jM,
/«.,
reproduit
(1) La p. 4:3 de Litt.
A
mot
A
avec quelques
la
2s
le
est
/tOMMHM.
ligne,
après
<y/wtf/.f
changements.
/t:.s'<ort</MM
ajouté
la 5e et à la ti" ligne au lieu de « il /«M<
l'histoire
se
laissât
A't/'e
des
<e«;'M
et
f/e.<
/)a/'
f/«e
»
~MOM'
/'ecoM/s'
ci
~M
c'e~<-f(-</tre
M <s'
6'au~A'.
~MMf//t~
il avait
«
/f<«M<
</e/t.<
(/c;M ~Mt.
« </Mt.
»
»
A ta 9e ligne,
on a ajouté
e'e.<<-M-~treM
<itf<<ot7'e.
« /Je
la p. 44~ les deux
ont été ajoutées
et ne sont pas dans
le CoH.s'e~'M. 7~<
A
premières
lignes
« là f/a/t.
telle
les /of<e/te.s'
~'o?t< e'<<e~
de petit
et (<e /~(
/'AM~f,
que
<yM<Me chose
»
a !t/e~<~e~<
La p. 45 reproduit
la p. 175 du CoMA'eru.
/«.
avec deux
Litt.
et Philos.
petits
changements.
« ~'a/Mt
ces OMM~'a~
/<f<t est.
Co~e/'M.
/,t«.
/H<?<ëM~ 10'' figue
0/
/;M/M<
CMoMt)/'«ye.s'<
On trouve
dans
les
deux
:<!)
3
1820
r!
/~f?'<e/'
AbKLHuGo.
.!M7' le <<fe't<M<
/?/j~/7'?tM<e
D. MoroÈttRs
vers
J/e?'CM?'e,
signés
quatre
6'o?t.s'e)'t?.«.,t.[,!ivrais.v,p.d65.
Ce livre avec raison arborait les couleurs
Du pourvoyeur des rives southres
Ne guidait-il
pas ses auteurs
Où son patron guidait les ombres 9
N.-R.
D. MoxtËRES est un pseudonyme
qui
f)
(le
A.
Abel
)e
rappelle
bourg
appartient
Hugo.
ou son grand-përe
3/o/tMtereA' (Loire-Inférieure),
Lenormand
des
biens.
possédait
EuGÈNK HuGO. Le 6<Ke/ dit ~~e'c~c
(poésie
6'OM.wu.Z.<«..t.t.
5 février
4820
w~e'e.<,
t. t, pp.
livrais,
(signé
43-45
v, pp.
174-181,
cf. /.</<. et /o.<.
E)
et 87-59.
N -B.
L7t~'<OM'c ~t'MK'ya~~e
tie du t. xxx. /M</Me ~e Charles
A H. F., 4 septembre
est inscrite
2'! par~'<7?:ce,
et nn).
7A'(suite
4819, n° 5080.
Erse):Con.s't).«..t.L!ivrais.v.pp.165dR7(E.).
AnEL HUGO. Z.M paH/ty~OC/<)'<.S'!N<<P
CM e
du .~e~Me
comésiècle,
<t/'er/i«/
spectacle
Lemercier.
de
die épique
par M. Népomucène
t'Académie
et dernier
article
française,~
t. i, livrais.
Conserv.
v, pp. ') 68-~73 (A).
Le
article
est à )a tivrais.
))t, pp. 86-92,
« Ce/<e de Fe'/y,
et /<06'.
« sait
UM /'o/t Me sait pas ~?t't< eM <<<
Litt.
Me~e.s',
21e et 22e ligne
coK<<'MMM<eM~ dont notes
A?«.
:.celle de ~<ye<
« (;OM<tMMePpar
Villaret
et ~7(r~/f/
Co?t.!er?;.
»
«aMoK~KOfMOCCM/H
de la p. '176 du CoMM/'t;.
le commencement
A la p. 46, les neuf premières
ligues
reproduisent
Le reste,
c'est-à-dire
de la lO~tigne
an
de stytesans
avec deux petits
/«.
importance.
changements
litt.
et, a été ajouté
de l'article
du Co/eru
bas de la page, ne fait pas partie
plus tard
par V. Hugo.
de
17:)
ne
se trouvent
les pp. 177. 178 et les trois quarts
t.a fin de la p. 176 du Co?Me~.
/.t«.,
de M. Dufau.
Pour
V. Hugo y parle des faibles talents
des devanciers
At«.
et Philos.
M~H'M.
pas dans
sa narration
est animée,
ses
concis,
il a un style clair,
ce dernier
presque
élégant;
rapide,
toujours
sa critique
et
et de coloris,
ses
recherches
de chaleur
solides,
judicieuse
descriptions
pleines
impartiale.
les faits,
s'attardant
le travail
de ces devanciers,
V. Hugo lui conseille
de refaire
puis il résume
à ceux
de Mézerai
et du
iX. Il compare
le récit
de M. Oufau
un peu à la fuite de Charles
(l'Anquetil,
et V. Hugo en cite un long passage
M. Dufau
a tracé
un
véritable
tableau
de caractère
père Daniel.
(Conserv.
Litt.,
p. 177).
a laissé
si vrai, si original
V. Hugo parle du portrait
A propos du prince de Condé,
Mézerai,
qu'en
«
il
mots:
était
occasion
de peindre
ce dernier
en quelques
buveur,
ce qui lui donne
cynique.
mais
n'intéresse
il n'a ni
il
est
il
son
caractère
dans
toute
son
histoire.
«
conserve
piquant,
jamais
il est toujours
des événements:
« chaleur,
ni énergie;
en dehors
fêtes,
quelque
sujet qu'it traite,
il rappelle
ce vers de Segrais
« guerres
ou massacres,
toujours
Un vieux faune en riait dans sa gorge sauvage.
le plus d'énergie,
nous semble
avoir développé
« Mais le morceau
où M. Dufau
le plus de chaleur,
de style,
c'est
dans
la description
de la Saint-Barthélemy.
« en un mot le plus de talent
(CoMMrM.
de Dufau.
de
ce
massacre
citant
des
V. Hugo
toute
une page parle
y.:«.
pendant
p. 178).
passages
à Dufau,
à Mézerai.
à d Aubigné.
racontant
des traits
ou curieux
(CoKA'eru.
héroïques
qu'il emprunte
sur.
«
cette
nuit
une appréciation
mais
nulle
Litt.,
part nous ne trouvons
personnelle
p. 179).
en termes
évitant
ainsi
cette
nuit fatale.
cette nuit terrible
terrible.
vagues,
que V. HugoquaHfie
sa pensée
intime.
de nous donner
cause
de son style qu'il a du
ces deux
ou trois
V. Hugo n'a
peut-être
pages,
point
reproduit
de jugement
f
aussi a cause
de l'absence
faibie
et négligé,
trouver
personnel
peut-être
plus tard
d'un événement
aussi important
que la Saint-Barthéteiny.
propos
de la p. 181 sont dans Zt~.
la p. 180 et le commencement
La fin de la p. 179 du Co/t.s'eru.
~î7<
H faut signaler
ce titre A M~ historien.
et Philos.
mêlées,
quelques
changements.
pp. 57. 58, 5!'avec
dans
du
on
lisait
en
effet
le
la
1~
a
A la p. 57(/,î«.
et P/tt<<M.
corps:
Mt<Me~),
phrase
pris
« Les
C<HMeyf.
/«.
/)M/'SKMH<6!eK~M~e/eM7v.<aMA'
~MC?'~i'tO~~&a<<M~e(<eJ/.
(p. 179):
»
La nouvelle
rédaction
en
.')/<e/'at.
?
et sans
(;OM/eM/' </Me KOtM a laissés
tableaux
gagne
co~M
« Vos
à certaines
additions
et au tour personnel
et en vigueur
que V. Hugo emploie:
ampleur
grâce
et eoK/'<M, sans perspective,
« ~Mcrtp<M?ts
<<e bataille
~wt< <eH M(/)eyMMre.s' a'M.'e tableaux
poudreux
»
« sans dessin
et sans coM~eMr que ?tOM~ a <fttMe~ ~~e?Y<y.
à III p. 5.S
t.e tour
se retrouve
dans
Litt.
et /'A~o~.
M:~<eM, à la p. 57 (7e ligne),
personnel
-40
~et)?':o'
1820
Trois
Messéniennes
sur
<es malheurs
de
la France,
de deux
."M?'
augmentées
élégies
la vie
et la mort
de Jeanne
d'Arc,
par
M. Casimir
Conserv.
t.
Litt.,
Delavigne
livrais.
181-185
n'est
v, pp.
(S). Cet article
est-il
de Souillard
pas de Soumet,
peut-être
(Saint-Valry).
La
famille
A.
J. C.
par
valeur
«?<
t. i,
~<
i820,
signé
Z.t/<e?'sou.S'e~K~~<au!e,
auteur
de l'ObserSaint-Prosper,
~7~
t.
Conserv.
siècle,
(1)
livrais.
v. pp.
5 février
d85-t89,
cf. Litt.
et Philos.
M.
mêlées,
5
pp.m-dd8etp.i3G.
N.-B.
etc.
est inscrite
La famille
Lillers,
t. i, in-12,
à B. F., )e-ler
1820, n°59:
janvier
Pichard.
Everat,
Paris;
Imprimerie
Paris,
en 5 actes et en vers,
.P/tocïOM,
tragédie
par
J.-C. Royou,
fois,
représentée
pour la première
sur
le théâtre
les comédiens
français,
par
d8i7 (2)
ordinaires
du Roi, le 16 juillet
Con-
aussi
dans cette
Le <ec'<eMy' s'arrête
au
ligne).
Signalons
p. 38 un petit
changement
(4e iigne):
de l'esprit
s'arrête.
Le dernier
de la p. 18) du Conserv.
Zt«.,
a été omis
mais
en partie
seulement.
paragraphe
V. Hugo encourageait
M. Dufau
et l'engageait
à s'abandonner
avec
d'assurance
à ses propres
plus
a conservée
sentencieuse
en la transformant.
Nous la
idées,
puis il terminait
par une
phrase
qu'il
à la p. 164 de Litt.
«
retrouvons
et Philos.
ne
doit
mêlées
L'homme
de ~e'Kte
?'ecM~ey devant
aucune
« dt~*tCM«e,
il fallait
de petites
armes
aux
hommes
aux
il
leur
athlètes,
ordtMaM'e~
.~mMd~
« fallait
les cestes
d'~erc:t<e.
» Le Co~ert).
disait plus modestement:
y!
Litt.,
/)M/CM f< dM talent,
« il ne doit donc reculer,
»
etc.
(16e
lieu
et Philos.
mêlées
et ~/oy'a<M<e.s\, V. Hugo a
(1) Dans ~t«.
(pp. 117-118),
sous le titre
Satiriques
de l'article
du Conserv.
/«.
Un seul changement
sans
reproduit
le commencement
185-186~.
(pp.
à
est
noter.
Le
mot
lui
est
à
la
2e
de
la,
117
de
Litt.
et
Philos.
nzêlées.
importance
ligne
p.
ajouté
Le dernier
alinéa
de la p. 186 et la première
de la p. 187 du CoM~'c.
/~«.
ont
moitié
été
V.
la
trouve
Famille
Lillers
à ~'O&A'erua~Mr
<!M
siècle
est inférieure
négligés.
Hugo
que
pour
la partie
de l'observation.
«
devrait
éviter
de
se
nommer
désormais
le
voilà
sur de ne
Saint-Prosper
de modestie,
en français,
des professeurs
« plus rencontrer
que des ignorants
pétris
qui s'exprimeront
de
« des garçons
bureau
des banquiers
aussi ennemis
des richesses
d'affabUité,
pleins
que Sénëque
et
« des jeunes
filles qui parleront
comme
de
vertu
de petits
ou
comme
l'Emilie
son
roman
Sallustes,
» (Conserv.
a nouveau,
dit V. Hugo,
est « origina)
Le
de
et
Litt.,
pp. 186-')87).
style
Saint-Prosper,
ses
récits
sont assaisonnés~
de rénexions
amusantes
et de digressions
~ti
« piquants,
spirituelles.
faudrait
ces
l'auteur
«
le
mérite
d'une
action
vive
et
d'un
intérêt
soutenu
alors
»,
qu'à
qualités
ajoutât
les souscripteurs
se presseront
en foule
« croire
au passant qu'il
chez
Everat
et Pichard
et feront
« s'agit
de relever
une baraque
démolie
ou de soulager
un pauvre
millionnaire
de deux cents
frappé
francs d'amende!
» V. Hugo
d'une
ensuite
à
écrire
manière
correcte
J'engage
plus
(CoH.s'erc.
ZtM.,
187).
p.
Le reste de la p. 187 du CoMser~.
se retrouve
dans AtM. et Philos
Litt.,
w~e'M,
p. 136, avec deux
font
les
allusions
2e:
d'ecrt~a!?~'
changements
qui
disparaître
personnelles.
~eaMeoM~)
remplace
Ligne
de Pradt;
3e
aussi
éviter
de.
encore
J/.
Saintligne
faut
remplace
jV(MMC~<M/o?M
que
assez
de ressources
en lui-même
éviter
de.
~o~/)er
possède
pour
du Conserv.
Les pp. 188-189
l'on
a
renferment
un passage
sans importance,
/.t«.,
que
négligées
un peu recherché,
sur les critiques
« les lecteurs
a faites
de l'ouvrage
de Saint-Prosper
que V. Hugo
« nous croiront
sur
ou ils ne nous croiront
mais nous ne serons
parole s'ils veulent
pas
pas du tout.
« aussi indifférents
sur la foi qu'ils
M
doivent
à
nos
ajouter
éfoges.
V. Hugo termine
une
citation
du
du chap.
vu du roman
de Saint-Prosper.
par
longue
Prologue
et Philos.
les pp. 165-168
avec des changements
mêlées,
(2) Dans Zt«.
reproduisent,
importants,
sous le titre
Plan
de tragédie
au
les
189-194
du
Conserv.
7.tM.
fait
pp.
collège,
La p. 165 offre seulement
deux changements
de style
13' ligne,
au lieu de
dans
cette crise,
où
il s'agit
de lui autant
de
lisait
on
dans le Conserv.
Litt.
c~M'e terrible.
f~<a<,
que
)~a dernière
est
transformée.
Le
disait:
«
en peu de mots, toute
l'action
Co?Meyc.
Litt.
Voilà,
ligne
41
S
1820
Z''eM?'tc/'
~e?'u.
vrier
Mt~M,
N.-B.
primé,
merie
« de
Z-t«.
ceMe tragédie,
et,
et Philos.
mêlées
comme
« Voilà,
livrais.
Z:<
t. i,
-)820,
signé
165-168
pp.
H.;
et
de
MoeMM
H. F., i<:r janvier
Lenormand
~'OK voit,
elle est noble
et simple.
en peu de mots,
toute
l'action
de la
Paris,
» Voici
5 fév, pp. 189-196,
cf.
/«.
<'< ,P/i//<M.
<36-d37.
Royou'venait
1820. n" 92.
Lenormand,
d'être
im-
fn-8,
Imprietc.
Barba,
la variante
donnée par
elle est .tMM~~e et petit
tragédie
»
«~<reMo6<epOMr<aM<.M
La p. 166 offre elle aussi quelques
sans
valeur.
A la 5e ligne,
au lieu
de
changements
grande
du peuple,
d'M?t eûté, la haine
on lisait dans
ie Conserv.
Litt.
Z~'MK ro<e,
la
An!/<e
dit
MOM~t)o</o?M
A la fin du 2e alinéa,
on a interverti
les propositions
et on a fait une petite
Le
peuple.
suppression.
Co?!e?'u.
Z.t«.
disait:
il
et
et en
les moyens sont puissants
et d'un
noble
développement,
ajoutait
cette
des
beautés.
A
la
25e
le
au
M!OMMH<
effet
tragédie
présente
ligne
<o~<yMg
spectateur,
remplace
OM le ~ec<a<eM/
A ia p. 167, ligne 2e, au lieu de ia petite
« ~/<!M le ;aM<<
» y avait dans
phrase
/<o/HtMe/'e/M~e
ie CoM.u.
Litt.
Mais
à
met
dans
la bouche
(pp. 190-191)
<e~raM~
AoM?Ke
qui
~o~OM
belles paroles
de ~<!</t!'eM ~/o<e, OM~re~
OMvre~nu magistrat
ne se cache jamais.
dit-il,
(/K OMt!?'e
les portes
et ici commence
une des scènes
les plus
terribles
au théâtre.
que ?tOM~ ayons
A )a 4e ligne,
ces
mots
Phocion
il
dans
n'est
avait
le
CoMM/'M. Litt.
ému,
après
y
point
(p. 191 ).
de six vers;
une citation
à la 8e ligne, après
ie mot tribunal.
V. Hugo citait
un vers de Royou;
à la
16e ligne,
les
mots
les
At«.
dans le Conserv.
après
pour
sauver.V.
Hugodisait
(p. 191). Nous c!<M'OH~
ici les vers <<ey)/. Royou,
Mt~~e
Suivait
de
alors
une citation
de
qui sont empreints
la plus
éloquence.
dix lignes.
A la p. 167, ligne 19e, on a négligé
de reproduire
ia phrase
suivante
le speetateur
~'M/~rc
au
lieu
de
<Hcer<th<~e
il
Litt..
la
avait
dans
ie
<erreMr
rentre
</MH.s'
ligne 23e,
renait,
CoM.!p;'M.
y
/'aMe
des 6'pM<a<eM7'.s';
de la phrase:
II fait
ce </M'()i<M/e
n'aurait
27e, au lieu
ligne
point
osé faire,
il /<e
de la chose juste coM<ye
chose utile,
il y avait, une citation
de huit vers
~M~ay<!
de Royou.
A la p. 168, ligne 2e, après le mot ~epM~Me.
une petite phrase a été négligée
./Vo!M le répetons,
tous ces moyens
cette
~OM</)<eMM de <yy'a?K/eM/' et de vérité
ligne 3e, Ici ~'ac<M?t se presse
remplace
du
CoM~'en~.
/ct
/'MC<MM
redouble
de
vivacité
et
15e
et 16e,
phrase
~t«.,
<tM<<<
(p. 192)
lignes
ces
mots
boit
le
une
citation
de
vers
<sMe?Me?t<
dix-neuf
Litt.
poison
remplacent
(Co?Merf.
P.
p.193).
Le petit paragraphe
les lignes
de dix-sept
à vingt
a été complètement
transformé.
qui comprend
On lisait dans le Conserv.
Zt«.
« Nous ie répétons,
cette tragédie
est belle.
C'est, une des
(p. 193)
les
mieux
ordonnées
au thé<)tre,
et elle renferme
un
« pièces
qui aient été présentées
depuis
longtemps
nombre
de
vers
bien
faits
elle
n'a
obtenu
succès
à
d'estime.
Cela tient
ce
« grand
cependant
qu'un
est
non
d'action
mais
de
verve.
Il
froide;
« qu'elle
pas parce
qu'elle
manque
parce qu'elle
manque
« semble
avoir dessiné
un si beau plan,
l'auteur
n'a
assez
de forces pour l'exéqu'après
plus trouvé
« cuter.
Une
des
scènes
ne
sont
les
intentions
sont
grande
partie
qu'ébauchées
plutôt
indiquées
que
« rendues:
souvent
les idées sont belles et les expressions
Ilest
malheureux
M.
impropres.
que
Royou
« n'ait
cette pièce lorsqu'il
encore
de toute
la vigueur
de la jeunesse
cela est
pas entrepris
jouissait
« malheureux
vouions-nous
ne doivent
rien lui ôter à sa
pour nous,
dire, car,
lui, nos regrets
pour
»
« gloire.
En comparant
les deux textes
on peut voir que les verbes
au présent
dans ie Conserv.
qui étaient
Zt«.
se trouvent
au conditionnel
dans Lilt.
et Philos.
mêlées.
à
celà
de
nombreuses
Ajoutez
suppressions dont plus loin-nous
chercherons
la raison,
enfin
une addition
faut
noter
~tM
théâtre
MH
qu'il
conte
t<'o'M!OM/' vaut
MttCM~; que toute
l'histoire.
Les lignes
sur Campistron
font suite
avec queiques changements
vingt-et-un,
vingt-deux,
vingt-trois
sans importance
dans ie CoMM?*M. Zt«.
à ia longue
venons
(p. 194),
phrase
supprimée
que nous
Mais
ensuite
V. Hugo a encore
laissé de côté un jugement
sur le style de M. Royou
et sur
d'indiquer.
celui de Campistron
« Son style
est
celui
de
M.
(à Campistron)
/j/!M~OM<eMM que
Royou
seulement,
< après
avoir
lu M. AoyoM,
il vous sera
resté
de beaux
vers
dans
la mémoire
et si vous
~Mer
« Campistron,
il ne vous en restera
de ridicules.
»
que ~Me~MM-MM~
Si après
cette phrase, nous cherchons,
à la p. 168 de Litt.
et PAt/o.s'.
la suite
de l'article
mêlées,
du' Co?MerM. Litt.,
c'est-à-dire
la seconde
de la p. 194, nous
ne la trouvons
Au lieu de la.
partie
pas.
laisser
à sa place naturelle
où elle continuait
V. Hugo l'a pour ainsi
l'article
commencé,
logiquement
dire découpée
et sans en rien
l'a
on
ne
sait
au
bas de ia p. 136 et au
changer
transportée,
pourquoi,
commencement
de ia p. 137 de Litt.
et Philos.
mêlées.
Le morceau
commence
Ca~par ces mots
comme
etc.
pM~OK,
Za~aM~e-CAaKce/,
Pour
trouver
le reste de l'article
du Conserv.
les pp. i9S et 196, retournons
c'est-à-dire
Litt.,
-42-
/~M'er
1820
12
inéd'un& traduction
~e/te'Mte'M~/e
(extrait
oe?t<M& CMM
dite de )'Enéide)
//<<e?'eM fessos
sole
etc.
cent-trente)'e/t</M!<,
(tivr.
m)
t. i, livrais.
vers (~)
CoH~?'t?.
7.«.,
quatre
V. d'Auverney
cf.
iv, pp.
201-204,
signé
V. ~M~o ?'Mcon<e, t. i. pp. 223-228
cf. Lycée
J.-J.
conte
~'j4?KOM?',
ÂDEM, Le 6~e6'Mpo:?'
Reda:
Conserv.
)ivrais.
Litt.,
t.
par J.-J.
vr, pp. 204-207.
HuGo.
ABEL
Littérature
~/e<eM~p~oes:'a!)'
escogidas
t. i, livrais.
v(, pp. 207-213
e.<pMyno~e
CoM~ep'u.
./Man
~«.,
(A.).
et Philos.
à ia p. 168 et aux
même
où tout à l'heure
mêlées,
pp. 169 et 170, a l'endroit
V. Hugo a
étions
arrêtés.
avoir enlevé
ie morceau
dont
nous
venons
de parier,
Après
sans plus de façon les deux bouts
en enlevant
une toute
rapproché
petite liaison
que dans sa première
il avait cru utile.
rédaction
mais
H n'a fait que deux changements,
Au bas de la p. 168 nous lisons
qui sont d'importance.
de )~o~<tM'<* est MM bon style.
du Co?Me/'t.\
Si l'on a<<Kt~ </<M le style
Cette
Litt.
phrase est absente
cas Corneille
dire à ~M7'y~:ee:
A ia fin de la p. 170 nous trouvons
est sM&<MKe, il fait
~M pare~
mais
V.
faisait
Ma<<a?/te.
Dans
le CoM.s'M.
aussi
~!«.,
pas,
je meurs.
Hugo
A~M, ~e ne pleure
une situation
à celle de Chysis,
mais alors
il ne remontait
allusion
semblable
Corneille
pas jusqu'à
il se contentait
de citer une pièce dont il avait
rendu
les
et Eurydice,
récemment
compte,
)~e/jrM
de C. Delavigne
livrais.
/)<t ?)tOtM~, disait-ii
i'~Mte'/te
Siciliennes
Litt.,
iv, pp. m3-145).
alors,
~CoH~er~.
de s'esquiver
de
a le bon esprit
sans rien
dire.
/)e<at)t~Me
on le voit, a subi
des transformations
est difficile
de le
Cet article,
tellement
importantes
qu'il
M. Ed. Biré a fait remarquer
avant
tout
ce qu'il
reconstituer.
~~30,
(~.
//M~o
pp.
183-184)
y a
dans cette
C'est
V.
a
mis
dans
Z.!«.
et
d'extraordinaire
volontairement
métamorphose.
que
Hugo
mêlées
un titre
bien fait pour
le lecteur.
s'il n'a sous les yeux le CoMSM't;.
Philos.
Ceiui-ci.
tromper
a
l'a d'aiiieurs
à croire
ce plan de tragédie
été fait par V. Hugo,
7.!<t., est porté
que
qui )ui-meme
dans sa préface de 18M <p. 8). V. Hugo
a commis
là un plagiat,
dit Ed. Biré (p. 184);
annoncé
pour
avait
nous dirions
volontiers
une
et
V.
à
cette
nous,
pourtant
époque,
dépassé la
gaminerie
Hugo,
dans
nous
Z<t«.
nous
trentaine.
au coUège
avait-il
1817. et en avait-il
Peut-être
étudié
cette
le 16 juillet
pièce,
déjà
représentée
fMJt à ce moment
un compte-rendu
a reproduit
tard
dans le CoMM/'M.
~?«.
Admettons
qu'il
plus
en
même cela:
ce n'est
de sa conduite
1834.
pas une excuse
dans son rôle d'auteur,
V. Hugo
dans la reproduction
de son article
toutes
les
Pour rester
omet
les citations,
toutes
les allusions
il la pièce de Royou.
a-t-il
toutes
Pourquoi
épithètes
louangeuses,
fois
un jugement
sur le style
de Voitaire?
On l'ignore.
A-t-il
voulu prouver
une
de plus son
ajouté
affection
C'était
car
les
abondaient.
inutile,
?
pour Voltaire
preuves déjà
H a remplacé
ie nom de C. Delavigne
car partout
nous
Rien
d'étonnant
par celui de Corneille.
cette
manière
H a fait
à ses contemporains,
disent
les
trouvons
toute
allusion
d'agir.
disparaitre
toute
allusion
à
ceux
n'étaient
ses
disent
les
autres.
Les
deux
sont
uns,
amis,
qui
plus
opinions
en
tous
cas
le
résultat
est
le
même.
plausibles:
(1) Voici les changements
raconté.
~HM</o
Page
que
l'on
a fait
subir
Vers
.t/))'e.!
/«.
7'reMM<M<.s'
dans
Des
o&.<eM?'.< nous
vers
224.
vers').
Dans
la
sombre
foret
attendons
nous
l'aurore
Vers
9.
Des
nous
cachent
tes étoiles,
nuages
épais
Vers
10.
se couvre
de leurs
)~t )a lune
en fuyant
voiles.
Vers
15.
Ses
cheveux
hérissés,
son visage
maigri,
Vers
16.
Nous
montrent
un mortel
ses //taM.E
ont
que
flétri.
Vers
17.
de ~o~c
Son
faible
et couvert
~eMe
corps
d'épine.
Vers
19.
nos armes,
nos soldats,
f~ui-même
il )'econK<M<
Vers
21.
-)/f/M
bientôt
tout
en
tarmes:
jMMM'aKOM.!acourant
Vers 22.
« )'ar
cet astre
brillant
témoin
de tant
d'alarmes,
Vers
23.
far
dont
tout
subit
ce ciel,
la loi,
par ces dieux
Page
à trente-quatre
ConMt'u.
nuages
les
nous
/o?'e~
attendons
cachent
les
etoi)es,
Ht.)a)unepa<:<e«)'OM<<t)t<~oMs)eursvoites,
Ses
cheveux
Tout
Son
un
a<t)to;tM
corps
Lui-même
son
hérissés,
faible
mortel
de <o:M
il voit
Bientôt,
vers
Par
ces
<M<?'e.< <')'t7/<t~~
Par
les
dieux,
le rivage
par
ce
le
pa?'
couvert
est
sombre
front
Kia/AeM''
de joncs
nos
jour
qui
nos
tout
de
luit
s'est
en
de
carnage
et. de
S'enivre
sang.
43
de carnage
et
regorge
de
netri.
d'épine.
soldats,
tarmes
mes
alarmes,
encor
pour
22S.
?'epM
maigri,
<?'e~e.!
armes,
accourant
témoins
et
16.
~M':<
)'aurore
sang.
moi,
~2
1820
~2
F<
etc.
de Va(Me.< choisies,
par le comte
lori
CoM~?.
t. i, livrais.
Litt.,
vi, pp. 2i32i7 (S.). Nous faisons
ici la même
observation
vi du 5 février.
qu'à la livrais.
t. j, livrais.
~7'M:07't'ea!7i,
tv, pp.
258-261,
Avril
V. Hugo
1823,
signé
reproduction
exacte
du C'o?tse?'u.
cf. Odes
et /~a/Zï'M.
édition
de
lades,
Nationale,
l'Imprimerie
413-416.
a
Acbéménide
été
du
pp.
composé
17 au 20 octobre
1817.
en cinq actes,
de
CLovis, tragédie
précédée
Co~:<~e'?'a<<c'~
historiques,
par M. NupoMUCENE LEMEHCtËH. de l'Académie
française
(l):
Vers 18.
Ce Mon.e
jusqu'aux
Vers 24.
Et sa faim, saisissant
Page
cieux
lève
sa tête
leurs
entrailles
Ce <yeaM< jusqu'aux
énorme,
Et le tMon~n*
mourantes,
cieux
lève
&ro!/aH< leurs
sa tête
énorme.
entrailles
fumantes.
226.
VersS.
Le sort f/ë~yMe ceux qui vont punir ses crimes
Vers 17.
« Fuyez ces bords,
fuyez trop !'m/)?'M<<e?i~ nochers.
Vers 19.
en des antres
Tous, tels que Polyphème,
sauvages
Vers 20.
ces rivages.
/'a?'</Men< les noirs troupeaux
qui paissent
Vers 21.
Phëb6
m'a vu trois fois en commençant
son cours
Vers 22.
Traîner
de bois en bois mes misérables
jours;
Vers 23.
.e~<e)t<~a!~ des géants
tonner la voix bruyante
Vers 24.
Je frissonnais
au pas de leur ??!a~'e effrayante
Vers 26.
~/e~ yeux,
Même la nuit, /y:<e?')'oyM:e/i<
les mers
Le sort
montrent
déjà
e< redoublant
leurs
ces bords,
Fuyez
tels que
Tous,
ceux
fuyez,
vont
qui
malheureux
trop
habitant
Polyphème
ses crimes
punir
nochers.
ces rivages
7!en/e?'Me;:</eM?'~troupeaux~at:~<eMt'~<M<re~MMHaye.
Phebë
m'a
Traîner
vu trois
dans
et dans
Voit
mais
un
grand
trembler
La mer
au loin
Soudain
sortent
Mais ces enfants
cimes
Mais
d'efforts.
en vain,
cri.
vers
lave
des
d'Etna,
est là fuyons
nos pâles
la plage.
matelots
épouvantée,
ébranlements
les cyclopes
portant
les eaux.
agitée
de longs
bois
les mers
son œi! sangbnt.
sur
sa rive
bondit
sur
effrayante
.s''<'7ëMn< sur les ondes.
l'Italie
à ce bruit
bruyante
marche
eiteor
sein
encor
les rocs de Scylla,
La mort
de leur
leur
jours
la voix
au ~Mp/)<M/i< et votent
Et poursuit,
!) élève
tonner
nous voyons
et ses flancs
S'ouvrent
misérables
et ma vue o'e
il a parlé,
Se courbe,
Marche,
mes
au fracas
fuit,
A peine
en /ÏK;.MaH< son cours
des géants
Là je tremble
Le jour
fois
ces /'o?'e~
Là j'entends
Page 227.
Vers 3.
A peine il a parlé, nous voyons sur la plage,
Vers 10.
et dans leur eau lave son oeil sanglant.
Se courbe,
Vers 12.
et son buste entier
<'e7eM sur les ondes.
Marche,
Vers 14.
notre grec et volent sur les eaux.
Reçoivent
Vers 18.
Et poursuit,
mais en vain, les pâles matelots
Vers 19.
tt pousse un cri
soudain
l'Italie agitée
Vers 20.
Voit /?'!Mo~ttey'/oK</<em!M
sa rive épouvantée,
Vers 21.
La mer est en fureur,
de sourds
ébranlemeuts
Vers 23.
Les cyclopes,
au cri, sortent, !jre<~aM;E;'ae<Mes;
Vers 25.
Mais ces enfants d'Etna,
~oM</e/'?wi«OMc/teauxcieux,
Page,228.
Vers 5.
Mais les rocs de Scylla
Vers 7.
La mort est là, fuyons
tous
MO~Me
leurs
montrent
ou redoublant
,s
saur;ages;
frontsauxcieux,
de loin
leurs
cimes
d'enbrts.
du Conserv.
V. Hugo n'a reproduit
dans Litt.
et Philos.
Litt.,
mêlées
(d) Du long article
qu'une
n'a
trait
à
la
de
Lemercier.
Nous
en
loin.
page qui
point
tragédie
Népomucëne
parlerons
plus
V. Hugo commence
contre
les comédiens
ils ont refusé
de la rue Richelieu
de
par une attaque
Clovis
et
l'auteur
a
été
de
recourir
à
faire connaître.une
faite
jouer
obligé
l'impression
pour
tragédie
ans.
depuis vingt
Litt.,
(Conserv.
p. 217).
La pièce dans les circonstances
eut été, il est vrai, intempestive.
Certains
vers exprimant
présentes
« auraient
une vérité
locale
être
considérés
comme
des
vérités
absolues
et
comme
tels
pu
applaudis
44.
1~
jFc~e?'
1820
CoH~'c.
signé
i2
ComM;'o?)6~?tee.
du
Conservateur
~a?tU!er./&20).
(d): CoHX~'M.
237.
/,t<
les /<e'<~c<eM?'.sA. ~/3/.
~!«C!'t[!'?'e
~a~euaM.E,
Publicola
Petissot
Signé:
t.
livrais.
V). pp. 228-
E.
~'«.,
cf. /«.
t. j,
et
livrais.
P/t//o~.
v<. pp.
w<?/ce.s\
217-228,
p. 98.
N.-B.
en cinq actes, précédée
Clovis,
tragédie
de considérations
historiques,
par M. Népomncene
Lemercier.
Baudoin.
)n-8,
)mpri<nerie-)ibrairie
Paris.
B. F., M janvier
n" ?9.
<820,
si mora)
classe
de chrétiens
de nos jours. Est-it
de présenter
sans cesse les abus
par une certaine
à un peuple
a n'y voir que.
ont faits de la religion
qui n'est déjà que trop disposé
que les hommes
«
s'adresse
à
M.
Lemercier
Sa
n'est
des abus ? Cette
ne
pas
pièce
pas plus impie
critique
que bien
»
des pièces
de Saint-Genest
ne
causaient
le
moindre
scandale
chez
nos
aïeux.
qui
pas
mais « pour entreprendre
un pareil
sous BuonaM. Lemercier
a voulu peindre
un tyran,
ouvrage
un
commun
c'était
vouloir
la
tête
de
Méduse
en face.
il fallait
avoir
peindre
« parte,
courage
peu
« M. Lemercier
il nous a tracé
un tableau
hideux
de bassesse et de vérité,
Il lui a plu
y est parvenu
« de le nommer
mais
on pourra
dire de lui ce qu'il avait
dit, du Tibère
de Chénier
Clovis,
toujours
« il l'avait
MM. » (Conserv.
Litt.,
p. 218).
V. Hugo a une toute
contre
le poète qui a mis une apostrophe
à. la liberté
dans la
petite
critique
à l'occasion
H résume
ensuite
la pièce, et iieiteMotière
et ya?'<M~e
bouche
de Moïse.
Litt.,
(Co/Me/'c.
a
fait
Lemercier
deux ou trois fois allusion
p. 249), mais il ne faut pas oublier
que
Népomucène
y
dans la préface de son ouvrage.
« l'action
elle est grande
et simple:
ne ménage
marche,
dit-il,
le style
V.Hugo
pas ses éloges:
« prête davantage
i)
vers.
»
Il
note
à ia critique,
en passant un morceau
où
cependant
y a de beaux
de Voltaire
tt
à
)a
Lemercier
a voulu
lutter
avec le ~a/towef
revient
~Co/Mert?.
Litt.,
p. 220).
page
sur
la
même
avec
~/aAoMe<
dont
Clovis
Ici
encore
suivante
comparaison
reproduit
(p. 221)
t'intrigue,
il est à remarquer
Lemercier
avait
avoué
les
ressemblances
de sa pièce
avec
que Népomucène
~a~oMe<.
cite de nombreux
de Clovis
et t'un d'eux
V. Hugo,
suivant
son habitude,
passages
(pp.
222-223)
lui arrache
cette phrase
« Nous
ne connaissons
rien chez les anciens
et les modernes
qui soit supéla
»
A
du
rieur
à ce morceau
la
et
terrible
4e
acte
par
grandeur
majesté.
propos
(p. 224) il ne manque
ia pièce de Lemercier
avec ~/M/<OMM<. « Cet acte,
il
encore
dit-il,
est admirable
pas de comparer
« soutient
la comparaison
avec
celui
de Voltaire:
s'il
n'est
bien
et s'il est moins
écrit,
pas aussi
« déchirant,
dans
il est aussi original
d'ailleurs
il a le mérite
de laisser
le spectateur
une attente
»
« terrible,
t'Orne et termine
la pièce.
tandis
que le 4e acte de ~/aAo?He< épuise
Le compte-rendu
continue
citations
et. V. Hugo termine
ses
par de nombreuses
(pp.
225-226)
«
à
ne
sentiront
de
vers
»
cette
Malheur
ceux
par
phrase
qui
point
pareils
éloges
l'étude
des dernières
il affirme
Au moment
où V. Hugo va entreprendre
scènes,
que sa tache
)t
car il lui reste à faire autant
de critiques
faut
touer
cette
devient
qu'ii a donné
d'étoges.
pénible,
au
franchise
de
car
Lemercier
est
académicien
et
commenNépomucëne
qui ne'manque
pas
courage,
voulu
i'Académie.
ii est vrai qu'après
cette phrase
cement
de i820 V. Hugo n'aurait
pas
trop déplaire
à
huit
ii
V. Hugo sait se montrer
habile
succède
une seule
pages d'éioges
générate,
page de critique,
sans appuyer
il indtque
sur un moyen
heureux,
passe rapidement
mélodramatique
peu
que le reste
meilleur.
!) sait ainsi concilier
son intérêt
et les droits
de ia vérité.
de l'ouvrage
ne parait
guère
il
V. Hugo sort à ce moment
de son sujet
et
nous
donne
un long paragraphe
sur ie dénouement
de J/a/iome<
est
comme
celui
de
Clovis.
Nous
retrouvons
ce
dans
j6t«.e<
P/it<o.<.
qui
manqué
passage
Biré
N~<ïH< 1830,
nzêlées
(p. 98). Nous ferons
remarquer
après Ed.
()~. //M~o
p. ')79), que les cinq
ont été ajoutées.
n'a pas voulu
les citer
dernières
Biré,
par respect
pour le lecteur,
lignes
(pp. 98-99),
nous
ne
mieux
faire
de
l'imiter.
entièrement,
pouvons
que
à
et lui indique
un moyen
la péripétie
V. Hugo termine
un
conseil
Lemercier
de rendre
par
digne
de la tragédie.
«
«
«
«
N.-B.
]) faut remarquer,
à propos
de cet article,
a fourni lui-même
il V. Hugo une
que N. Lemercier,
de
ta
rue
les
avec
)e ~<!Ao??te/
de
sa
documentation
les
contre
MM.
Richelieu,
attaques
comparaisons
partie
à Tartufe
dans
et
de Voltaire,
les allusions
se retrouvent
les Con~e~'a/M!
~<M'a:re.!
qui
A~tf/Me~
la pièce
encore
a. attaquer
a donné une
précèdent
Remarquons
que V. Hugo
pour s'autoriser
Napoléon
à la vérité.
M. Lemercier
sa pièce, il t'a.fnrme lui-même
petite entorse
composa
~Co?M~e!'a</o/M,
p. xxxvij).
sous le Consulat,
en 1801, et alors
son courage,
si courage
il y a eu, ne mérite pas,
il semble,
les éloges un
V. Hugo, lorsqu il nous parle de la tête de Méduse.
peu outrés que sur ce point lui prodigue
de F. //M~o, p. 206) ne donne
(L'Enfance
(i) M. G. Simon
à
V.
M. Souriau
de
signatures
qu'il attribue
Hugo.
(La Préface
ainsi' sont
bien dans le genre
sant que les deux lettres
signées
-45-
Petissot
pas Pubiicota
C/'OMtM'<'«,
p. 54)/tout
V. Hugo,
de
d'esprit
les onze
parmi
en reconnaisn'ose
pas les lui
1820
12
/«'
On
annonce
L'auteur
Z.o?'</ /<M</<M?PH ou les
de Jean ~6o~/M?'(Nodier)
~o'e.s'.
a la composition
dit-on,
pas étranger,
cf. Z)?'ape«K&/<!Mc,
12 février
ouvrage
13
Assassinat
15
Dans
20
du due
Fa?Mn'est
de cet
1820.
de Berry.
les jours
cette
date,
qui
précèdent
V. Hugo envoie
à Toulouse
.Vo~e sur le ~<,
Le Jeune Banni,
Les Deux
Le VcM/te
Ages.
Banni
et Les Deux
ont donc été comAges
le 15 février
1820.
posés avant
V. Hugo
politiques
et
p. 91.
Lettre
~MHa~M
~912,
de
à Adèle
Foucher:
cf.
/!Me?Y<:?'e.<, 28 janvier
20
à St-Sulpice
~'MtOMSFrayssinous
prêche
<?'~<!o?t
des
!)~<e'.s'
de la
/b7!f/a~p?~a/e~
cf. yoMrM<ï/ des Débats,
2t février
religion
1820.
L'~Mt!
de la Religion
donne
comme
La Providence
n" 579.
sujet
(26 février,
p. 68).
25
25-26
d'Adèle
Lettres
~4?tH<z/e~ politiques
vier 1912,
p. 92.
Hugo
28
cf.
jan-
de Nodier
au jO?'<)caM
blanc reniant
ta paternité
de /.o~
lui
7~M</<!eeM. Ladvocat
un contrat
répond disant
qu'il
possède
signé
Nodier.
Ce!ui-ci
avoir
seulement
par
prétend
donné
des conseils
à l'auteur
cf. /)r<ï~c«M
blanc, 26 et 27 février.
Lettres
ISfév.an
15 mai
V.
ment
)3fcv.
au
l~mars
V. Hugo compose
(~Mc de ~e?'?'7/. Elle
du 4 mars.
37
à V.
Foucher
et littéraires,
`
Hugo
compose
de ~f<ï~/t6y6e&.
l'épilogue
du
Lettre
de V. Hugo
à Adèle
Lettres
à la ~a~cep,
pp. 16-17.
Foucher:
cf.
~)~oMg-
son Ode SM?' la mort
<~M
est dans )e Conserv.
Z:'«.
à St-Sulpice
sur
i'TmFrayssinous
parle
M<or<M/!<~ofe /'<!Mtc: cf. )'~Mtt de la 7'e~tOM,
l~mars,
n°580,
pp. 87-88.
Rez-de-chaussée
de la Gazette
de 7''t'«?<ce
au sujet
de l'Ode
sur
la mort
du duc de
Elle
« Foule
vers
/~?'?'y.
publie
cinquante
de beautés
» dit-elle.
remarquables
février
FévrierJ\)ars
le 13, vers le 25 probablement,
lettre
Après
à Hugo
de Soumet
cf. G. StMOK, Z'M/'a~ce
de F. Hugo,
pp. 195-197.
Première
visite
de V. Hugo
à Chateaubriand
cf. V. //M.~
t. n, p. 100-102.
raconté,
ne permet
de l'affirmer.
M. E. Rire (V. //M~o avant
attribuer,
1830,
car rien,
dit-il,
p. 165), prétend
a
V.
Nous
n'osons
en
Evidemment
sans
conteste
dire autant.
appartient
Hugo.
que cette
signature
aux journaux
aux faits politiques
le
certaines
certaines
allusions
Hbéraux~
tournures,
contemporains,
a Virgile,
les attaques
contre
de Pradt,
Carrion
de
ton ironique
et mordant,
les citations
empruntées
etc.
V. Hugo mais par ailleurs
d'autres
tournures
de style,
une connaissance
très
Nisas,
rappellent
de
la
des
contre
J.-J.
ne
nous
semblent
l'histoire
de
Révolution,
Rousseau,
attaques
approfondie
pas
il
à
V.
Mais
la
interne
de
ces
lettres
n'est
faudrait
des
suffisante,
pas
appartenir
Hugo.
critique
a
V.
ou en refuser
la paternité
preuves
positives
pour en accorder
Hugo.
de
se
et que Massevaux
a t'époque.
Rappelons
seulement
que Abel Hugo s'occupait,
géographie
du Ilaut-Rhin.
Notons
aussi
blanc
trouve
que Le Drapeau
(26 jum -t820) contient,
porté sur la carte
et
Rrutus.
entre
Publicola
sous la signature
L, un dialogue
-46-
28
7M<~
1820
3
dans
le CoM~e?'Ha<eMf
sur
Article
de Agier
H cite des vers
le Conservateur
Littéraire.
et de l'Ode
sur
la
de )'/?K~/eM?'
/)o/ï<t</Me
Mort
du duc
de Be?'?'y
cf. CoK~e)'ua<eM?',
t. v, livrais.
Lxxv, pp. 465-470.
(1)
de
Gazette
Peu
premières
Arts
et
sur
L'Ode
la
France
de
./)/o~<
en
corrections
éditions
dans
le
des
Réveil,
parle
ont
Odes
nous
du
duc
et
été
et
cite
faites
de
Berry
du
on
n'indiquerons
avant
la
les
4
le
CoMA'eru.
Mo?'/
mars
Litt.
trouve
les
que
sur
~) «c.~e /<oya/e
f/KC </C~?'?'<,
C/t«?'/M-A'<KaM~<~?'<0~;
de Schiller.
fils de France.
Epigraphe
Signé
6'n~7'H.
t.
f.
livrais.'
Lill.,
V.-M.
Hugo(l).
241-246
à
vn, pp.
in-8, Paris,
cf. Tirage
part,
Boucher,
Petit,
Pe)icier,
Delaunay.
prix 0,60.
Au verso
Extrait
du Co~u.
/~</<
(4 mars
B.
1820. Le tirage
F., n"976,
18 mars
)820).
a part se trouve
annoncé
sur la couverture
de
la livrais.
vn du CoM.s'c?'u.
At«.,
prix 0,75.
cf. Le Co/t.s'e~'ua/eM?'
a
cité
la
6<
et la 13e
qui
t. \'), livrais.
Lxxv,
strophe,
note,
p. 469,
3 mars
1820.
Le Congru.
daté
du
Zt«.,
4 mars avait été publié
avant
le
probablement
3 ou bien
V. Hugo
avait
une épreuve
envoyé
avant
au
cf. BerryaMa
CoKse?'u.'7<e!<
tirage
ou ?'ecMe!/ des <7'o<
de 6oH<e de ~S'. ~4.7!
de ~e~'?'?/,
A. J.
C.
feu
.4/y?' le duc
par
Lenormand
Paris,
et
in-18,
Saint-Prosper.
Pichard.
La première
des poésies,
pp. 191-197,
est l'Ode de V. Hugo
sur
la mort
du duc de
15 Avril
n" 1341).
La
1820,
(B. F.,
Berry
seule
est
On lit
signature
changée:
//M~o
vue
de
la
livrais.
du
CoM~eru.
jL!«.)
(extrait
cf. 2'* édit.,
avec l'Ode
.s-«?' la MatM<ïMce
<<M
n" 3709,
2) octobre
~MC</c/f/MMa;(B.F.,
cf. ~M/M/e.
de /H ~:«c'a<M~e
et des
1820);
t. x, livrais.
Arts,
8 fénxxtu,
pp. 161-1CC,
vrier
cf. Le Réveil,
13 février
1823
1823,
sans épigraphe,
même texte que les A ?tHa/e.<
cf. Odes e< Ballades,
livrais.
t, ode vj), pp. 8188. Les deux notes du CoHM?'u.
Zt«.,
pp. 244en appendice,
245, ont été renvoyées
p. 541
parut
vers.
cinquante
au texte
Ballades
Ode
dans
quelques-unes
~H/M/es
de
entre
le
son
des
puisque
et
les
différences
de
CoM&'e/'N.
le
27
tneme
février
datent
/.?'«e/'M<M/'e
/~t«.
et
')a
des
et
des
l'édition
varietur.
l"
3*
9'
2'
7'
6'
8'
8'
9*
14'
15'
t"
vers
strophe,
ivresse
imprudente
vers
sa main
et pe~a?t<e
froide
vers
:Ms<
chez
nous,
9' vers
strophe,
la voix
mMrmMraM/e
5' vers
strophe,
)e 7noM~<t'e
obscur
vers
de l'auguste
victime
autour
2vers
strophe,
la ~r;):ce.<e
accourt
vers
/t~ee.e
assist.ez-le,
7*
vers:
strophe,
~o;t c'CBMr/<<
un noble
abandon
14'
vers
strophe.
tes maux
cause
au cœur
que
8'
vers
strophe,
des 7/!0!'<~cc<e&)'e.!
/)ar
qui,
160 strophe.
S' vers
te /Jfayo<t
ainsi,
quand
Conserv.
Litt.
ivresse
ConM?'c.
/«.
sa
Co)Me)'N.
~i«.
chez
CotiM/'u.
Zi«.
la
Co?Merc.
/.t«.
ic x&n'e
Conserv.
Z.:«.
/'KMM!'
Co?t~e)'u.
Lit t.
la
Confère.
Z!«.
assist.ez-le,
Co?Me!'u.
Z.t«.
/<jU?'oe<aM<e
Co/Me''u.
Zt«.
les
C(M.se'*H.
/«.
qui,
Co?!~e!'u.
Z:/<.
ainsi
-47.
!;t.!e)Mee
main
lourde
nous
voix
Odes
et glacée
/teM;'eK.E
e/taxee/a~/e
obscur
maux
.s'or<;
quand
Ballades.
Odes
et ~a~a~e.
Odes
e< B<a~e.t.
Odes
et
Ballades.
Odes
e< Ba/<~f/<
Odes
et Ballades.
accourt
Odes
et
.;)/aMi<*
Odes
e~ Ballades.
<MM
el
autour
duchesse
et
de
un
la
nob!c
victime
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cœur
Odes
Ballades.
que
laisse
des
<e)te&rex
Odes
e< Ballades.
~e;)e;t/
Odes
et
te
au
Ballades.
el Ballades.
Ballades.
Me
4
1820
~?A
cf. Odes
4
et Ballades,
édition
Nationale,
pp. 66-71.
7~'OM chants
de <<s~e,
suivis
de quelques
français,
A. Bignan(~).
/«.,
Con~t'u;
cf.
'25S-262,
V.
pp.
signé
eH32.
mêlées,
pp. ~30-131
A MM. les Rédacteurs
du
Correspondance.
Conservateur
2e lettre,
MasseZK<p'?'<ï!?'e,
~0 février
Petissot
vaux,
1820, par Publicola
t. i, livrais.
Co/:seru.
Litt.,
vu, pp. 262-269.
Voir au 12 février
d820.
de l'Imprimerie
traduits
en vers
fragments,
par
t. tjivrais.
vu.
Litt.
et Philos.
de V. Hugo
est loin d'avoir
été reproduit
entièrement
dans Litt.
et Philos.
mêlées
(1) Cet article
V. Hugo
a d'ailleurs
la partie
été complètement
transformée
que
y a insérée
par des additions
postérieures.
Voici le résumé de l'article
du Conserv.
Litt.
n'a
son ouvrage
en un
Bignan
pas osé mettre
double
trouvera-t-ii
des almanachs
et des chanin-octavo,
plus de lecteurs
pour avoir pris le format
derniers
sont
ils
sonniers
Ces
sont obligés
de reiever
i'intérêt
Le
peu lus,
par des phrases libérales.
livre de AI. Bignan
sera l'objet
de i'indifîérence.
mais fauteur
a eu raison de )e publier
son exemple
devrait
être suivi « par tous les littérateurs
volumes
en portefeuille
et de grosses
qui ont d'épais
répu« tations
en espérance,
un extrait
suffirait
de !eurs
œuvres
inédites
mettre
le public
a même
pour
« d'apprécier
» (Conserv.
leur talent.
Zt'«..
p. 256).
V. Hugo a donné
tard
à
cette
car c'est elle à. n'en
ronflante,
plus
phrase une forme
plus
point
douter
nous
(tans
Litt.
«
)!y
retrouvons
et Philos.
mêlées
que
(p. 130)
a a déjà dans la nouvelle
géné« ration
née avec ce siècle
des commencements
de grands
Attendez
années
encore.
»
poètes.
quelques
En tous cas nous retrouvons
la suite de la page 256 du CoM~eru.
à la p. 130 de ~!«.
et
Litt.,
«
Philos.
M!~ëeA'
Les fils des dents
du dragon,
etc.
»
La p. 131 n'est que la continuation
de la
avec
trois
l'
430
une
les
a
dit
MM
cc?'
p.
petits
changements:
ligne.
suppression
poètes,
grands
Mf<M e7o~MCM<; 4e ligne,
une
le fils a<'Me des ~<MM:
5e ligne,
7'eMom?Kf'e
Homère,
suppression:
c<;7<<
remplace
Mais des le 1er :)!inéa
de la p. 132, e/'oyer-MM!.
ne t)OM~ Me~e~ pas à ces MatMA', nous
ne retrouvons plus )e texte
du CoM.s'e?'
~</<. Toute
cette page,
sauf les dernières
l'article
lignes
qui terminent
du Conserv.
a été écrite
en 4834.
Litt.,
V. Hugo
Dans le CoK~erc.
Litt.
fie l'interminable
<)es commentateurs
(p. 257),
parlait
légion
il serait
imitateurs
et traducteurs
d'Homère
facile
de rire a leurs
et le p)us ridicule
de ces
dépens
auteurs
ne serait
car il y avait
des peines graves
contre
les plagiaires.
pas parmi les anciens,
M. Bignan
n'est pas exempt
de cette manie
de s'enrichir
des dépouiHes
des devanciers.
C'est
un
misérabfe
défaut
a Lamotte,
de t'impuissance.
M. Bignan
a emprunté
qui annonce
presque
toujours
à Aignan
des vers isoiés,
des tournures
de phrase,
des hémistiches.
)i n'a pas eu l'audace
de dérober
des passages
il
n'est
de
)'tnstit.ut.
est
un
(font
la
moindre
défaut
entiers,
pas
Emprunter
conséquence
est le ridicule.
V. Hugo reconnait.
a M. Bignan
une versification
riche
et bri))ante,
une flexibilité
de talent
néces11
saire à un traducteur
cite
de
extraits
et
met
en
note
les
vers
(p. 258).
(pp. 2S8-259)
longs
d'Aignan
imités
par Bignan.
)! continue
ses citations
M. Bignan
n'a
ses critiques
et ses éloges.
(pp. 260-261),
puis il résume
«
cette
fait
toute
la
d'Homère.
Son
a
rarement
cette
coupas
simplicité
qui
pompe
majestueuse
style
« leur antique,
ces coupes
ces
tournures
variées
et
seules
nous
faciles,
pittoresques,
que
peuvent
« rendre,
avec quelque
les m&ies beautés du plus
des langages
humains
et les
fidélité,
magnifique
« sublimes
du
des
La
de
M.
est
sans
inspirations
prince
poètes.
phrase
poétique
élégante
Bignan
ZD
« précision
»
et vive sans rapidité.
V. Hugo parle
ensuite
des vers
rendus
sonores
de mots,
de l'absence
de
par de vains
cliquetis
cette marche
et
nombreuse
sans
il
n'est
de
véritable
des
traits
d'an'éharmonie,
large
laquelle
point
terie ou de néologisme,
A i'appui
des bizarres
alliances
de mots,
des phrases
et à effet.
emphatiques
de ses critiques
ii apporte
des citations.
ii est a remarquer
il introduira
dans
ses
que
plus tard
œuvres
bien des vers dans )e genre
de ceux qu'il condamne
chez Bignan.
)) termine
enfin
un
dernier
alinéa
nous
retrouvons
dans /«.
et Philos.
mêlées
par
(p. i62) que
à ia fin de la p. i32
« la simplicité
etc.)).
it a fait, en 1834, une addition
d'Homère,
après Larnottelloudard
en .ec/te/'MM'
nous'trouvons
en
Bitaubé.
de Bitaubé
traductions
fadaise
(les œuvres
a
etc.
')760
et
1786,
n'ont
France
été
en
Cette
d'Homère,
Beriin;
publiées
publiées
qu'en
1824).
addition
nous prouve que si, en 182u, V. Hugo
il a su se tenir au courant
même des
Bitaubé,
ignorait
traductions
d'Homère.
N.-B.
V. Hugo. dans cet article,
vu, de tous les littérateurs
volumes
parle, nous t'avons
qui ont d'épais
en portefeuille
et de grosses
en
Ils
un
devraient
bien
faire
extrait
de
réputations
espérances.
paraître
« Les fils des dents du dragon
leurs œuvres
inédites.
Il ajoute
n'avaient
besoin
d'être
entièrement
pas
« sortis de la terre pour qu'on reconnût
» (CoKM~'f. Litt.,
en eux des guerriers.
4 mars
1820. p. 256. /«.
et Philos.
mêlées.
de mettre
en parallèle
une phrase du Journal
des Débats
p. 130). !t est permis
(3 janvier 1820,
~<!t'/<;<<M. <OMyrM de Cat'/x&aa!).
Nous
avons
vu à propos
de la première
des
représentation
Cot~e~iens
de Cas. Delavigne
29
Z~<
V.
lisait
attentivement
(Co;tM?'p.
janvier 1820), que
ce journa).
Hugo
48
4
1820
/s
4
de la
dans
la Quotidienne
Compte-rendu
de Navarre,
de Brifaut,
Charles
tragédie
du
V. Hugo pour
son article
qui a dû inspirer
Co?t.!p~L'.
t. t, livrais.
vin, pp. 307-311,
Litt.,
25 mars.
N.-B.
Trois
par A. Bignan,
Hubert.
Paris;
Paris,
1819, no 4292 (chants
i, tx,X)X,
de divers
chants).
chants
in-18,imprimerieEgron,
B. F., 11 décembre
suivis
de fragments
de l'Iliade,
national
en
ABEL Huco, Z'<3~ean!<~e,~o~Mte
des Charchants,
vingt-huit
par M. Lebrun
t.
livrais.
mettes
CoM~erp.
v)i.
Litt.,
1er article
Le 2e article
247-255,
pp.
(A.).
15 Avril 1820.
est à la livrais.
x, pp. 365-374,
Abel Hugo profite de cet :u'tic)e pour
N.-B.
de
Soumet
faire l'éloge
qui « semble s'être réfugié
des arts.
»
« dans
de )a fondatrice
le temple
de Soumet
dans
ie
C'est )a première
mention
est
faite
Abel
CoH~eru. Litt.,
et elle
par
4
Le cuH<?<e
de V.
oouve))e
t. t, livrais.
C'o~eru.
/.<«.,
vu, pp. 270-274,
est probable(J.), 4 mars 1820. Cette nouvelle
La suite
se trouve
a la
ment
d'Abel
Hugo.
15 Avril 1820.
livrais.
x, pp. 386-393,
ABELHuGO.
Charles
7i'cuKC /e'?'a!?'e,
de Berri
ou Sa
Vie et sa
ancien
d'artillerie,
o~c:pr
de /?'«?!ce,
?nor/ -par
aven
cette
duc
4
M.
épi-
graphe
Les pieurs sur son cercueil tombent, connno la pluie
mais t'espoir les essuie.
La douleur tes repa.nd
(Segrais) (1).
t. i, Hvt-ais. vu, pp. 274-277,
CoM.N.7~«.
?M~/e'<s',pp. 81-84.
signé V. cf. Z.t«. et Philos.
N.-B.
C/ta'?'
de T''rf<Mce, etc.
par
de Vigor-Rena~diëre,
Paris;
In-8,
imprimerie
B. F., no 687, 26 février )820.
7~. A~/?' /e duc
de S.
Oraison
funèbre
assassiné
le 13 /<
de Berri,
fils de France,
« Que de publicistes,
disent
les
Débats,
pulque de législateurs,
que de tacticiens,
que de financiers
<t lutent
semées
sur cette
terre
labourée
le
soc
de
la
révolution.
Les
dents
du
Thébain,
par
par
dragon
« Cadmus,
n'ont pas produit
»
du
moins
les
de
soldats.
Nous
trouvons
sinon
les
mêmes
expressions
plus
on
se
les
mêmes
idées.
Le rapprochement
est peut-être
mais
il
est
fortuit,
rappelle
reproches
piquant
quand
à Lamotte
et à Aignan,
adressés
a empruntes
par V. Hugo à Bignan
pour )es vers qu'il
pour ces plagiats
dont la moindre
est le ridicule,
x
conséquence
et Philos.
le début
de l'article
dans le Conserv.
Litt.
et dans Litt.
(1) En comparant
(p. 274)
V. Hugo 0
Mte/ees (p. 81), on voit que malgré
ia note mise au bas de la p. 81 de Zt<f. et Philos.
w~e'M,
a modifié
sensiblement
son article.
Les quatre
de Litt.
et Philos.
Mt~/e'M sont
ajoupremières
lignes
V.
de
tées
c'était
carie
sous
les
le
titre
nécessaire,
lecteur,
que
Hugo
plus
yeux
l'ouvrage
n'ayant
avait
Mais
le
reste
on
avait
besoin
d'être
éclairé
une
courte
introduction.
pour
comprend
critiqué,
par
on retrouve
une
moins
les transformations;
c'est à peine si dans )a p. 81 de 7~t«. et Philos.
mêlées,
et quelques
mots épars
du CoHMrn.
Litt.
phrase
complète
du COMMUN. Zt<
dans/.t«.
et Philos.
Voici le début
nous soulignons
les mots
que l'on retrouve
Mt~/HM.
« Cet exposé,
du prince
inexact
et mal
écrit de la vie et des derniers
moments
magnatronqué,
« nime que nous pleurons,
avec
la
n'a d'autre
titre à l'indulgence
des lecteurs
laquelle
précipitation
que
« il a dû être rédigé.
ne poK/< y avait
<~<MMles temples
de /'aM<t~MtM,
cer<a:HS
vases
sacrés
qui
tels tableaux e
« ')<'<tCM< ~'e
il est, parmi les grandes
scènes de l'histoire,
~or<e'~ par des mains
p/'o/aMM
« qui ne doivent
»
être touchés
par des pinceaux
vulgaires.
« Et en effet,
nos
chercher
un sujet
où
les plus éloquentes
iraient-elles
et plus
plus vaste
plumes
« fecond
cette
vie
et
etc.
»
que
/)!6MM
</Me7'?'ere
Le reste de l'article
a été reproduit
on peut dire textuellement.
Nous ne relevons
que cinq variantes,
remdont trois seulement
l'attention
Litt.
et Philos.
méritent
M~/<;M, p. 83, ligne
20e, Mos forces
ce recueil.
La correction
était nécessaire.
84, ligne
7c, ~7. ic
p)acent/M<'orKMe<<e~eM'e~e
Page
<tuc de Berry
remplace
Mgr le duc de Berry;
ligne 13", royal
remplace
auguste.
-49–
7
1820
~fa?'~
u?'/e?'
~<M'0, dédiée
a!e'pa?'<CMipM~,
par
avec cette épigraphe
Madame se meurt
à 3/7)~. les </cjt)M/<?'s des
un jeune
~'eHMMa?'M<e
Madame
est morte
(1)
Conse?'
t. r, livrais.
Litt.,
vu, pp. 277-278,
4 mars
1820. Signé
M.
N.-B.
Oraison
etc.
ln-8, impri/MMé6re,
merie Renaudière,
B. F.. no 745,
Paris, Plancher;
4 mars
1820. Le volume
du jeune séminariste
était nécessairement
paru depuis quelques
jours,
sans quoi V. Hugo n'aurait
pu en rendre
compte.
du
~Vo<p des
Rédacteurs
Co?!xe?'un<eM?'
Conserv.
Litt.,
vn,
1.1, livrais.
Z<«c'?'a're(2)
p.
5
Conférence
de Frayssinous
à St-Sulpice
La
base nécessaire
de toute
morale et de
retigion,
cf.
tout gouvernement
)'~M:t de la Religion,
11 mars,
n° 583, pp. 132-134.
<i
Attaques
FftMpù'e.s'de
6 mars 1820.
Première
de Lebrun.
7
contre
Nodier:
Lord
cf.
représentation
_M</<M?eK
Journal
de
de ~ar<c
contre
Marie
~Ma?'<
et
Attaques
vation
audacieuse
des idées
chez
le théâtre,
c'est-à-dire
fréquentent
Romantisme
cf. /)?'«~eaM
7
blanc,
280.
ou les
Paris.
Sluar't,
la dépraceux
qui
contre
le
mars.
Lettre
9
4
de Richelieu
au comte
a
Pradel,
de l'Ode de V. Hugo
sur la Mto~
du
propos
duc
de ~p?')'?/
cf.
Nouvelle
article
Revue,
de Gabriel
15 mars
Vuuthier,
1909, p. 268.
Lettre
de Neufchâteau
à V. Hugo,
accomd'une
lettre
du
duc
de Richelieu
pagnée
de 500
francs
annonçant
gratification
pour
la ?Ko?'< du duc de Zfe?'?'?/
l'Ode
sur
cf. G.
de F. ~M~o, pp. 220-221.
SrnoN, ~t/'aKce
Lettre
Lettres
Lettre
Lettres
de V. Hugo
à
a la fiancée,
pp.
Adè)e
18-19.
Foucher
cf.
~0
à Adèie
Hugo
à la fiancée,
p. 19.
Foucher
cf.
21
de
V.
de V. Hugo n'a pas été reproduit
dans ses œuvres.
(1) Cet article
H commençait
citer
ia
en critiquer
les fautes
de
brochure
contre
la
par
quelques
lignes
pour
H
ensuite
des
fautes
contre
le
bon
sens
et
la
bonne
foi.
Pour
)e
grammaire.
parlait
jeune séminariste,
Louis XV! est un roi philosophe,
le crime
du 13 février,
un crime
de
Mo~e, commis
par un /aHa<Me
vices.
L'auteur
insistait
sur les ?MO<t/~ ~e~oKKe/~
Louvel
de
tuer
le
duc
V.
de Berry,
et
qu'avait
Hugo
alors
de s'écrier
« Jusques
à quand
»
contiriuera-t-on
d'insùiter
à la désolation
Le
publique
?
jeune
suivant
V. Hugo,
extérieurement
son
afliction
un
luxe
de
séminariste,
témoignait
par
typographique
de
tonte
et
le
«
terminait
ainsi
Nous ne serons
étonnés
seule chose,
points
espèce,
critique
que d'une
c'est qu'il ait dédié sa prétendue
o?'a<MM /'MMë&re à .M/. /e.s' Dëy)M<e'6' des cfepar/eMeK~,
et non.aux
« e?<oyeM~ représentants
dit peuple.
»
à cette note
dont
il est peut
être
auteur.
Les Rédacteurs
(2) V. Hugo a dû travailler
l'unique
tiennent
à garder
rester
éviter non
les menaces
l'anonymat,
pour
rigoureusement
impartiaux,
pour
mais les petitesses
des auteurs.
« De cette manière,
sans abjurer
leurs
et personopinions
politiques
« nelles,
ils espèrent
se dégager
dans
des
toute
de
influence
plus aisément,
l'appréciation
ouvrages.
« de parti
et de toute
»
de
coterie.
Us
n'ont
voulu
dans
leur
faire
leur
opinion
pas
Prospectus
é)oge.
« Ils aiment
à croire
écrivains
l'auraient
mais pour eux, ils auraient
que d'autres
pu faire sans danger,
« trop craint
d'être
démentis
» Ils se déclarent
d'ailleurs
tous
des articles.
par le public.
responsables
insérés
dans le Conserv.
à )a défense
Litt.
Voués
de )a littérature,
ils seront
heureux
de réussir
et
non moins
heureux
de voir leur tâche
mieux
remplie
par d'autres.
Cette note est curieuse
on
considère
Victor
et Abel composaient
à eux d'eux
toute la
quand
que
rédaction
et que Victor
assumait
à lui seul
)a plus grosse
part du travail.
.50
Mars
1820
H
de Genoude
dans
le Conservateur
Article
H en prosur les ~e~!<a<:o?M
de Lamartine.
fite pour
dire un mot de l'Ode de V. Hugo sur
la ?Kor< du duc de Berry
cf. Conserv.,
t. v[,
livrais.
1820.
t.xxvi, p. 513, 9 mars
13
Première
martine.
édition
Entrefilet
de Lamartine
très aimable
sur les ~e<M<a<o?M
dans le YoMt'Ma~e
Paris.
des
~fe'a~ïons
de
La-
14
aux
frères
Trébuchet
d'Adolphe
Cette lettre n'existe
elle marque
Hugo.
plus
le commencement
des relations
entre
Adolphe
Trébuchet
et ses cousins.
Son existence
est
révélée
de V. Hugo à Adolphe
du
par la lettre
20 avril
1820
cf. Figaro,
12 mai 1886.
18H
Les Lettres
Champenoises
(t. t, livrais.
iv),
ont
un
article
de
sur
149-150,
pp.
Mely-Janin
et les Romantiques.
I) se tient
les Classiques
dans un juste mitieu.
Ode sur
la mort
C~M duc
de Be?'?'
In-8,
4
V.-M.
cf.
mars.
Paris,
Boucher,
Hugo
par
Lettre
20
de Richelieu
au comte
Pradel
avec
du
comte
Pradel.
Elle
la
réponse
répète
demande
faite
au commencement
de Mars
articte
de Gabriel
Vaucf.
Nouvelle
Revue,
13 mars 1909, p. 269.
thier,
2<
Article
des
7~«n~
sur
C/taM~eMoz~'c.!
l'Ode de V. Hugo,
la mort
du duc de Berry
t. i, n° 5, p. 192.
cf. 7~«t'M
Champenoises,
de Marie-Joseph
sur la
Articles
Trébuchet
7'oM?' 6<'<3M</OM cf. yoMrtKï/
de Nantes
et de
22 mars et 9 avril.
la /.o<7'e-7M/e'r!eMre,
~2
Lettre
<< ~/MM'e et de l'Ecole
Annales
wo~e?'Hp
des BeaM.x-~4?'~
Salon
de .9,
par C. P.
de S. A. R. Mgr le duc de
Landon,
peintre
membre
de la Légion
etc.
Berri,
d'honneur,
1 vol. composé
des six premières
livraisons
livrais.
C'OK.s-M'H. Litt.,
t.
vni, pp. 290(1)
293, signé M.
N.-B.
La vie livrais.
des Annales
du Musée
dans )a vie livrais,
du Conserv.
Litt.
est annoncée
Elle parut le t9 février 1820. B. F., n° 576.
n'a pas été reproduit.
Il commence
contre
les doctrinaires
et les
(1) Cet article
par des attaques
libéraux.
V. Hugo,
nous dit-il lui-même,
est distrait,
il visite le salon,
les événements
quand
par
qui
il
n'a vu que sept ou
se passent autour
et auprès
de lui. Aussi dans la visite qu'il fit au salon
de 4819,
il a oublié
mais
elle
huit morceaux
)e reste.
Cette
manière
est vicieuse,
d'observer,
dit-il,
supérieurs,
est celle du peuple.
H parle
ensuite
de quelques
auteurs
Z.e«)'e6' à David,
au
qui ont écrit sur Je saton
par Kératry
il se moque
de Kératry
est
Il
arrive
à
il
le
Courier
libéral
et
doctrinaire.
en
Landon,
parce
qu'il
félicite
de n'être
des
nationaux
Landon
censure
pas amateur
appelés
par les indépendants.
peu,
sujets
à
Il
il aime à louer
et
n a pas traité
assez rigoureusement
l'auteur
du ~/ar<y7'e
(<'FMdore
et
encourager.
si
mal
rendues.
deux autres
ont
d'admirables
scènes
dans
les
mais
les
ont
peintres
qui
puisé
~fa?'<yr~,
V. Hugo montre
l'utilité
de l'ouvrage
de M. Landon.
Les hommes
du monde y trouveront
desjugements
tout
de
des
des
faits, ce qui est toujours
lettres,
fins,
agréab)e
aperçus
rapprochements
lesgens
de vers
moet parfois
même
de bons avis. Landon
se moque
en effet
de certaines
ingénieux
pièces
dont le style
la prétention
et l'expression
de nos
annonce
d'imiter
le tour
dernes,
plus niais que naïf,
vieux poètes. Les poètes
et les romanciers
feront
bien d'écouter
M. Landon.
marotiques
gaulois
il a commencé,
Landon
était
le peintre
du
V. Hugo termine,
comme
une
note
M.
par
politique.
vient
aux espérances
de la nation,
de cet illustre
d'enlever
prince,
qu'une
épouvantable
catastrophe
duc de Berri
les arts comme
comme
Louis XIV.
1er, et les eut encouragés
qui aimait
François
5t
25
-/Ma~ S
1820
Avant
le
23 Mars
Lettre
du
comte
Pradel
à Richelieu.
H
a donné
des
ordres
remette
pour
qu'on
500 francs
à V. Hugo
cf.VoMue~
Revue,
article
de Gabriel
15 mars
Vauthier,
1909,
p. 2t)9.
25
à V. Hugo l'annonce
envoie
de
la gratification
de 500 francs
par une pièce de
1820:
vers
datée
du 25 mars
cf. CoH~
t.
livrais,
i5 avril
Z.!«.,
x, pp.
363-864,
i820
et E. BtuÉ,
V.
«faM<
~~30,
//M~o
pp. ~3-174.
23
Les derniers
livrais.
vm, pp.
Neufchâteau
ABEL
poétique,
des notes,
CoM.s'prM.
298 (A.).
HUGO.
Bardes
281-289,
La
poème
dédié
Litt.,
Co?t.s'eru.
t.
Lill.,
Voir au 5 juin ~819.
L'Ecole
Massiliade
ou la
G'HM<<'
en douze chants,
avec
épique
au Roi,
Marin
par Scipion
t. i, livrais.
294vm, pp.
<~M CaH«/<p?',
et
poème
didactique
en trois
militaire
le chef
d'escachants,
par
dron
chevalier
de St-Louis,
officier
de
.Millet,
2* édition,
icL Légion
revue
et cord'honneur;
j~4 ?'< dit Tour,
en quatre
chants,
rigée.
poème
orné
('))
307,
de
gravures,
par Chartes
Lill.,
t.
livrais.
CoMse?'u.
V.
signé
Libois,
vin,
avocat,
pp. 298-
N.-B.
L'Ecole
du
Cavalier.
fn-18.
imprimerie
Dalibon.
B.
Paris;
Paris,
F.,
Bougeron,
11 mars
d820, no 803.
La ire édition,
Paris,
in-18, imprimeried'Haute)
B.
Laurent
F., 3 septembre
1813, n°2440.
beaupré~4r<
</M Ï'M<7'
In-8,
Paris.
Paris;
Didot,
Delatinay
de
la
rue
Barinerie.
ca.illier,
n" 3793.
i8i9,
Didot,
imprimerie
et Hamelin
quinB. F., 30 octobre
a voulu rendre
de ces deux
sans
valeur
mettre
un peu de
V.Hugo
compte
ouvrages
pour
dans
le
CoHM~t).
Litt.
bien sérieux
aux jeunes
auteurs
gaieté
juvénile
qui devait paraître
qui le comà
et
ceux
des
lecteurs
avaient
leur
posaient
qui
pu percer
incognito.
Cet article,
est
une
œuvre
de
fine satire,
de raillerie
malicieuse.
V. Hugo
mi-sérieux,
mi-plaisant,
un
commence
début
où
il
a
mis
avec beaucoup
d'érudition.
par
long
beaucoup
d'esprit
dit
nous
avoir
il
a
deux
manières
d'exciter
le
rire
a
force
ou à force
de
Après
qu'<
y
d'esprit
bêtises », cai'MoHëre
ses
Swift
ses
bons
Poinpar ses farces,
mots.
Pixérécourt'par
mélodrames,
par
sinet
ont réussi
à nous faire rire, il parle des différentes
sortes
de poèmes didactiques.
par ses niaiseries
Les uns,
ceux de Pope et de Virgile,
sont intéressants
et beaux,
leurs
auteurs
avaient
du
parce
que
d'autres.
ceux
de
Bernard
et
de
Delille
sont
et
leurs
auteurs
n'avaient
génie,
éiégants
ennuyeux,
de talent,
tous les autres
enfin
font rire,
soit de pitié,
soit de plaisir.
L'Art
qu'une
espèce
Politique,
la C<M<?'oMOKt!'e, i'/)/~
de cKHcr e?t ville et peut-être
l'Ecole
dit Ca~a/Mr
font rire de plaisir.
La C~oMf'<rte mise en rimes,
ia CM</7*a/)/tte
mise en vers,
trésor
de niaiseries
et de platitudes,
font
rire de
Mais
dans
cette
collection
des produits
de l'ineptie
)e premier
à l'Art
pitié.
humaine,
rang appartient
</M ToKr, si cette
ne
lui
est
enlevée
i'~?'<
e<M7?e/eM7'.
V.
palme
glorieuse
pas
par
Hugo préfère
ia gaieté
naît
du
ridicule
à
celle
naît
de
la
qui
qui
plaisanterie.
V. Hugo relève
dans i'jFco~e 6<M Cau~~e~
de nombreuses
en fait de rime
et de gramnég!igences
maire.
L'auteur
s'est laissé
le
vieux
et
le
Richelet
savant
épouvanter
par
Vaugelas
gothique
écuYer
il n'est pas dispensé
de connaître
Lhomond
et Restaut.
Mais il )e féiicite
de quelques
peintures
vraies,
où il y a de f'éiégance
et de la précision
i] en donne
des preuves
de
citations.
originales,
par
longues
M. Mi))et doit être plus ou moins
car V. Hugo parle de la naïveté
de certaines
N'a-t-il
libéral,
opinions.
un
écrire
une
invocation
à
V.
lui
pas osé appeler
héros,
Napoléon
l'aigle
impérial.
Hugo
rappelle
que
est l'assassin
du duc d'Enghien,
et lui Millet,
un soldat
de la France.
Napoiéon
)) écrase
ensuite
sous
)e ridicule
M. Libois,
l'auteur
de f'<
c~M yoMy, qui, nous
n'a pas
dit-il,
voulu écrire
un poème
V.
à
des
citations
habilement
nous
buriesque.
faites,
Hugo,
grâce
montre,
par
une fine et mordante
tout le ridicule
de cet ouvrage
écrit « avec bonhomie
et simplicité.
»
raillerie,
V. Hugo termine
en encourageant
« La succession
l'auteur
& continuer.
des productions
littéraires
<( de M. Libois,
ces
suivant
s'ouvrirent
dans
les
pourra
rappeler
concours,
Addisson,
qui,
jadis
petites
« villes d'Ecosse,
et où de bons YiHageois
venaient
tour à tour s'essayer
sur les tréteaux
à qui ferait
la
« plus laide grimace.
»
())
r)2-
25
1820
J!/a~
Second
~/)ee<HC/e.s'.
~Ac~f
de Navarre,
M. Brifaut,
par
(l):
livrais.
voi,
pp.
307-311,
</te'<e
tragédie
C'o?t.u.
signé
/'raKpat.s'.
en cinq actes,
t. t,
Lill.,
H.
L'article
est suivi d'une
note sur ~arte
petite
de Lebrun
Stuart
vient
d'obtenir
un grand
qui
succès.
An 2e théAtre,
échec
de la .NoM7'<yeotM
ambitieuse
et des
Fausses
Cette
~p/)0!re?tCM.
note
est sûrement
de V. Xugo.
N.-B.
Charles
de 7Y<t~ar/'e,
en cinq
tragédie
actes par M. Brifaut,
les
coméreprésentée
par
diens du Roi sur le 2e théâtre
)e
merfrançais,
credi d' mars
1820. )n-8, imprimerie
Fain, Paris
Ponthieu
et
13.
Barba,
18
mars
Paris,
F.,
1820,
n" 980
2'' édit. B. P., 3 juin
2039..
1820,
n"
la nécessité
sur
de )a présence
d'une
femme
(d) V. Hugo débute
par un long
préambule
pour
assurer
le succès
des tragédies
du jour.
Mais dans deux tragédies
récentes
les rôles des femmes
n'ont
des causeries
des longueurs
et des ennuis.
de
apporté
que des scènes
parasites,
insigniliantes,
L'épouse
Clisson
chez M Brifaut
est tcfut aussi inutile.
à céder
Des considérations
les
auteurs
A ia vanité,
)Y )a coquetterie
contraignent
majeures
des artistes
du beau sexe.
i) serait
de cesser
de pareilles
temps
compiaisaneesquiontpourhutde
ou MMejeMHe-/)reM!<ere.
les auteurs
lèvent,
satisfaire
une amoureuse
i'étendard
de )a révofte:
Que
est
devoir.
<'MtSM?-7'ec<MM
un
V. Hugo,
ce début,
résume
de la pièce
et passe
à ia critique
ensuite
après
rapidement
le sujet
« Le style de M. Brifaut,
de précision
bien qu'i) manque
de propriété,
et de goût n'est dénué
ni
parfois
« d'élégance.,
ni d'harmonie,
ni même
d'une
certaine
»
H
cite
six
ou
vers
dit-il,
énergie,
cinq
qui,
en
tous
doivent,
surtout
aux
circonstances
les
bravos
seraient
temps
quoiqu'ils
applaudis
que leur
le public.
prodigue
Vous
avez tout
Sauvons
la
Laissons
Deux
vers
expriment
Certainement
comme
politiques
détruit:
liberté:
ta les partis,
avec
mais
mais
qu'avez-vous
gardons-nous
ne voyons
que
fonde? ?
du crime
)a. France.
de pompe
et d'éclat
une vérité
beaucoup
trop
dans sa base profonde,
trône a tremblé
Lorsqu'un
Il ébranle
tous
du monde.
en tombant
les trônes
ces citations
sont
certains
reproches
méconnue,
ajoute-t-il.
choisies
bien en évidence
ses préférences
par V. Hugo et mettent
M.
Brifautde
un peu trop souvent
ces mots
marépéter
qu'iifaita
l'on
ne
savait
et
libéraux
Si
que Bonapartistes
patrie,
gloire.
employaient
des cris de rauiement,
on se demanderait
V.
met
tant d'arpourquoi
Hugo
France,
honneur,
giques
ces mots Ma<</MM
comme
deur aies proscrire.
aux yeux de V. Hugo,
est un froid et emphatique
déclamateur
sans
cesse « sa
Clisson,
rappelant
« foi, son honneur,
ses services.
La vertu
n'est déjà plus
)a vertu,
et le caractère
d'un
qui se vante
« homme
»
tout ce qu'il montre
en orgueil,
H félicite
M. Brifaut
d'avoir
choisi
un
perd en noblesse
mais
une
fois
à
«
la
)e
mieux
choisir
autre
et
)e
mieux
traiter.
Dans
national,
sujet
il l'engage
tragédie,
« où il n'y a pas de caractères
il
a
sur
la
les
de
scène
prononcés,
n'y
pas apparence
danger,
parce que
« événements
naissent
des caractères.
Où il n'y a pas de danger,
il n'y a pas d'intérêt,
//tMc <;M&t<a?
« mortes.
Nous n'ajouterons
avec
le
7~'Mc
intestala
nous
M?tec<M4', parce
pas
satirique
que
espérons
« que le talent
de
M.
à
la
des
encore
meilleurs
jeune
Brifaut,
lèguera
postérité
ouvrages
que C/t<M'<M
« de Navarre.
»
N.-B.
On ne peut pas ne pas rapprocher
de l'article
de V. Hugo
un article
sans signature
paru dans
la pMo/~eMMe
du 4 mars 1820. L'auteur
de cet article
et V. Hugo parlent
il peu près dans les mêmes termes
de t'épouse
de Clisson,
dont )e rôle est inutile,
ils citent les mêmes
vers. font les mêmes
allusions
aux tihéraux du xix' siècle qui. se voyant mis à découvert
ont
été
mécontents
et
ont
fait
d
hostdite
par l'auteur,
preuve
et /~a<)'~ graves
contre lui. f) est aussi question,
dans la ()!o<!r/!e7:Me. des mots //o?uteMt'
sur le poignard
donné par Tetigny
a Clisson,
». La ()MO<<e?t<te
et que Y. Hugo appelle « mots
porte un jugement
magiques
semblable
a celui de V. Hugo sur le style
« Le style de l'auteur
n est pas toujours
mais il a de
irréprocbeLbte,
'< ia force et de )'e)éva.tion
on a remarqué
de
ont
et
vers
cette
tournure
vive
qui
énergique
qui les
beaucoup
« grave dans la mémoire,
»
avait-il lu l'article
de la CMO/t~/e~ie?
C'est assez probable,
niais
tout en y puisant,
certaines
V.Hugo
il
a
su rester original
et leur donner
un tour personnel.
idées,
3:'t
1820
~/a?~
/)M;aM!6e
le duc
Mgr
Montbrison,
seille, etc.
sur
de S. A. R.
~'a.M<ïMt?:(!<
M. Tézénas
de
j36?'?'
par
de Lyon,
MarAcadémies
de
des
ou Chant
Ode
funèbre
S. A. R. /<7~' le </MC~e~e?'r:,
Charmettes.
sur
25
la Mt0)'< de
des
par Lebrun
La France
aux Mt<:?tM de ~r
le
royaliste
~Mc
auteur
~cr?'
par A. J. C. St-Prosper,
de l'Observateur
au xixe siècle (~)
Con~e~'u.
t. i, livrais.
25 mars
Litt.,
VIII,
~820, pp. 317319. Signé U.
N.-B. -Dithyrambe,
par M. Téxénas de Montbrison.
de Lanoé, Paris.
In-8, imprimerie
Paris,
Audin
B.
F.,
Delaunay,
Ponthieu,
Beaucé,
11 mars 1820, n' 825.
Ode, par Lebrun.
à B. F.
Rien
La 7''raMce Abya<M<e, par St-Prosper,
in-8, imn" 963;
Le Normant.
B. F., 18 mars,
primerie
2~ édit.,
le même
et Le
Pichard
Paris,
jour,
Normant.
Lettre
Lettres
de
à la
Lettre
de
V.
Hugo
/«:Hcee,
à
Adèle
pp. 20-2d.
Foucher
cf.
28
Avril
Premiers
jours
Lettre
d'Adèle
Foucher
?ta!/e.o~'<:<yMMe</<<a!?'M,
pp.
109
et
à V. Hugo
cf. An4 février
19~2,
Victor
Hugo
à
Adèle
Foucher
cf.Zc«?'cxs/<a7!c~,p.22.
110.
à ces trois ouvrages.
La pièce de Tézénas,
« inspirée
(')) V. Hugo n'a consacré
que quelques
lignes
« par une douleur
sentie
et une trop clairvoyante
renferme
des passages
écrits
avec
feu
indignation,
« et verve.
de
il
Tézénas
est
réussit
mieux
dans
les
morceaux
incorrecte,
M L'énergie
parfois
qui
demandent
et
douceur.
grâce
Lebrun
des Charmettes
doit se contenter
de deux lignes
disent
qui ne nous
point ce que V. Hugo
«
de
lui.
On
dans
du
de M. Lebrun
retrouve
cet
les
des
pense
particulières
ouvrage
qualités
style
« Charmettes.
» Est-ce
un éloge,
est-ce une critique
9?
«
est mieux
Son opuscule,
écrit avec une rapidité
et d'oriSaint-Prosper
partagé.
pleine
d'énergie
« ginalité,
fait
d'une
douleur
et
la
dans
l'âme
du
lecteur.
Cette
porte
l'empreinte
passer
profonde
« nouvelle
de M. Saint-Prosper
fait le plus grand
honneur
à ses sentiments
comme
production
roya« liste et à son talent
»
comme
écrivain.
V. Hugo,
a son lecteur
les trois ouvrages,
cite quelques
vers
de Tézénas
pour permettre
d'apprécier
et de Lebrun
des Charmettes
et une page de la prose
de Saint-Prosper.
N.-B.
Cet article
est suivi de trois petites
notes qui sont probablement
de V. Hugo:
en tous cas. il a
sûrement
collaboré
à leur rédaction.
« ie noble
La première
faite à Chateaubriand
vicomte
)) d'écrire
la vie du duc de
parle de l'invitation
)!crri.
La seconde
de /caK'~o~de
W. Scott.
parle de l'apparition
prochaine
La troisième
est une réponse
à l'article
dans le Co?Mf'ua<eM?'
Les rédacteurs
du
(75' Livraison).
d'Agier,
Conserv.
/«.
le remercient
de
ses
et
de
ses
honorables
MAI.
publiquement
éloges
encouragements.
Hugo,
« Ils
c'est-à-dire
l'alné et le plus jeune, ne sont pas les seuls rédacteurs du ConMru.
Z~<.
ptusieurs
comptent
« collaborateurs
dont les articles
ne sont
comme
les leurs, qu'à. la censure
du conseil
de rédaction
soumis,
« composé
la
réunion
de
»
de
tous les rédacteurs.
.54
Premiers
jours
Avril
1820
1
HUGO. La
Mt0?'< du duc ~?!<!eM,
des
en 1818 par l'Académie
Ode, couronnée
Conserv.
Jeux-Horaux,
par M. Eugène
Hugo
1~ avril
t.
livrais.
Z,
ix, pp.
321-327,
1820.
L'Antre
des C?/c/o;)c.!
(Extrait
duction
inédite
de l'Enéïde).
Les. 7'/tï7!)t</Mes
/7'<!KpaMes,
poème
par
livrais.
t.
M. Ed. Corbière
CoM~er<
Lilt.,
observation
Même
tx, pp. 337-341
qu'à
(S.).
)à Hvrais.
vtdu5 février
(S.).
pour la signature
CoK~e?'u.
Litt.,
1.1, livrais.
tx, pp. 327-328,
1er Avril 1820. Signé V. d'Auverney
cf. /.?/ce'<?
livrais.
1823.
~?'?no?'ca!K,t.i,
xfi. Décembre
n" 5889),
(B. F., 27 décembre,
pp. 429-430.
V. Hugo;
cf. V. TT~o
t.
~'acoK/e,
Signé
cf. MMe<
édition
232-234;
de
Ballades,
pp.
avec cette
t'fmp.rimerieNationate,
pp. 394-395,
date [Janvier]
1817.
EUGÈNE
d'une
Insu)a.S)CMnumjuxta)at.usAeo)iamque
<uma.ntibus arduasaxis,
ErigiturLiparen,
tra-
etc.
(Lib.vni).
N.-B.
Dans le CoMMt't). /«.,
V. Hugo, aux
vers quatorze, quinze
et seize, avait
personnifié
ia Crète,
)e Courroux~
la Flamme,
l'Eclair,
le
Dans F. /~M~o ?'<!co/t<ë', on a mis
Bruit, )a Peur.
de petites initiales.
C'est la seule différence
entre
les deux textes.
et ~M~ o!M Chatelet,
Vie privée de Voltaire
MK séjour
de six 7MO!X ? Cirey
pendant
par
~'aM~eM~ des Lettres
~M!
de
pe'rM!eMHes,
tKM~M
CM vers
et e~
cinquante
e'?'e.s'
de Voltaire
t. t,
~ro-s'e
Litt.,
(i). Conserv.
dans Litt.
et Philos.
de l'article
du CoH~e/'c.
Litt.
??K/eM, qu'une
(i) V. Hugo n'a reproduit
partie
sur
neuf
ont
été
cinq pages
puisque
pages,
négligées.
V.
Avant
d'étudier
dans
un long
de quatre
avait,
lui-même,
l'ouvrage
Hugo
préambule
pages,
étudié
Voltaire
et fait son éloge:
ceci a été laissé
de côté. Ce préambule
est pourtant
intéressant
car
il nous fait connaitre
idées
V.
avait
de
au
Voltaire
commencement
de d820.
quelles
Hugo
« Nous allons,
disait V. Hugo,
une
tâche
délicate
et
difficile.
Nous oserons
entreprendre
parler
a
« sans passion
d'un homme
tantôt
été
décrié
avec
tantôt
exa)té
avec
mauvaise
qui
aveuglement,
foi
à Voltaire,
« nous allons
rendre
lui payer
notre
tribut
et certes,
il
c'est-à-dire,
d'admiration
justice
comme
s'être
à
dire
la
vérité
tout
il
nous
faut
avoir
le
de
nous,
« faut,
résigné
entière,
l'équité
courage
les
de
cet
illustre
Les
de
ses
« pour prendre
place parmi
partisans
aujourd'hui
génie.
rangs
apologistes
« ont été souillés
de crimes
et d'ignominie,
)a voix de ses défenseurs
a été
par tant d'hommes,
chargés
« si souvent
en même
à
défendre
les
consacrée
atrocités
et
les
infamies
d'une
foule
de
temps
monstres,
« tout fiers de supposer
Voltaire
leur complice,
l'on
ne
doit
s'étonner
de
voir
au monous
hésiter
que
pas
en
« ment de.témoigner
tout entière.
A cette idée
safaveur;carits'Mgitdefairechorusavec
ta révolution
« révoltante,
et qui sufRrait
seule pour nous faire reculer,
se joint
encore
le regret
de nous séparer
un
« moment
de cette classe
d'hommes
de Voltaire
honorables,
qui ne se sont faits les antagonistes
que
tant
motifs.
de forfaits,
d'anarchie
et de longues
il doit
Certes,
« par de respectables
après
calamités,
« être permis
d'être
accusateur
a été victime
t'amertume
est excusable
dans
la
l'infortune,
lorsqu'on
« colère
est un des droits
du malheur
et il y aurait
mauvaise
à condamner
en ceux
grâce
qui voient
« dans Voltaire
auteur
de notre
abominable
dans
leurs
l'unique
révolution,
quelque
emportement
et
même
erreur
dans
leurs
récriminations.
nous
avons
devers
« reproches
quelque
que
par
Aujourd'hui,
est
« nous de si terribles
Voltaire
bien
sévèrement:
il
ne
fut
et
il semble
expériences,
jugé
que léger,
il ne fut qu'imprudent,
et il parait
Ce fut un grand
malheur
du
« pervers
coupable.
pour cet homme,
dans un temps
« reste si noble
et si généreux,
de naitre
les
les
et les plus
corrompu
objets
plus sacrés
les
souverainetés
et
les
cultes
et
les
trônes
étaient
« augustes,
politique
religieuse,
journellement
dans les causeries
des gens du monde
et les écrits
des hommes
de lettres.
On voûtait
à toute
« attaqués
«force
l'on
s'amusait
dans
les
salons
de
la
bonne
on se moqua
s'amuser,
de~tout;
compagnie,
et des prêtres,
et bientôt
« d'abord
des nobles
des rois
et de Dieu.
Pour
comble
de' mathèur,
de
d'étonnantes
incrédulités
semblaient
la noblesse
scandales,
ces fatales
railleries;
« grands
justifier
« avait
ses yjA~o~o~/tM,
et le clergé
ses M/)y~br<.s'.
Au milieu
de cette confusion
Voltaire
générale,
à
« ne sentit
assez
le
se
devait
lui-même
et
de
sa
il crut
pas
respect
qu'il
l'importance
propre
opinion
faire comme
les autres
au torrent
se joignirent
encore
des impulsions
« pouvoir
qui l'entraînait
par« ticutiëres
dictés
ses sarcasmes
furent
un
de
de révotte
plutôt par
esprit
que par un esprit
vengeance
Toutefois
le chantre
de Henri
« ou d irrétigion.
tous ses ouvrages
la vérité,
sérieux,
qui, dans
respecta
« ne se permit
il sembla
de mentir
Wf<eMf<o f//ce?'e
qu'en
plaisantant;
pour devise
adopter
/a~M7M,
soutenu
en
tout
son
et se fiant sans
« croyant
peut-être
qu'un
paradoxe,
badinant,
perdait
danger,
5G-
~u~<7
1820
iivrais.
cf. Litt.
-f'- Avril
ix, pp. 328-337,
(V.),
et ~'At/ox.
mêlées,
pp. 85-89.
1820
?nora~
et politiques
-!M?' les
T~e/tOH.sde la 7KOMa?'e~:e par ~Hie
C. 6~'
avantages
~V.
Conserv.
(deuxième
article)
(1)
Zt«.,
« doute
au vieux
<M ris, donc tu MMMS. Les événements
ont prouvé
se trompait.
syiiogisme
qu'il
« C'est ainsi qu'it a sa part dans les causes
de nos désastres;
il contribua,
en riant.
à la démoralisation
« de son siècle
et si sa gloire,
ses immortets
son
et surtout
ses belles
ouvrages,
prodigieux
génie
'< actions
ne raci~etaient
les erreurs
de sa vie, il aurait
devant
la postérité,
de ses plaisana répondre,
« teries
et
même
des
une
en
ont
été
un
téméraires,
fatalité,
catastrophes
qui, par
déplorable
jusqu'à
« certain
les épouvantables
»
point
conséquences.
ce
très curieux
sur Voltaire,
V. Hugo se lançait
dans des questions
moins
élevées
Après
jugement
Il
et a ses yeux
trouvait
de
faire
de
la
Les
cette
collection
plus pratiques.
H~M-aM.E,
moyen
politique.
de niais,
de
ont
tort
de
le
un
leurs:
des
Voltaire
était royademi-savants,
d'ignorants,
prendre
pour
La
liste.
de )a canaille,
il a vanté
l'aristocratie
il
démocratie,
pour lui, c'est le gouvernement
anglaise,
détestait
le régicide,
il ne serait
du
crime
isolé
de
Louvel.
il
n'aurait
la loi
pas partisan
pas approuvé
athée
le poète qui méritait
le nom de cagot
lui
donnait
Diderot.
Si
Voltaire
vivait
de
nos
que
jours,
dit V. Hugo,
il exécrerait
les hommes
et les doctrines
de la révolution.
11 était essentiellement
monarTous les philosophes,
chique.
qui ont vu les saturnales
républicaines,tesontcondamnées
après en avoir
souffert
André
de
Roucher
et
tant.
d'autres
immofés
sur
Kufhiëres,
Chénier,
J'échafaud,
Raynal,
Matesherbes.
Marmontel,
Laharpe,
V. Hugo résume
enfin en quelques
son opinion
sur Voltaire.
« Nous conservons
une
haute
lignes
« admiration
sa
son
vaste
et
nous
accordons
un
facile
à ses
pour
grande
âme,
pour
pardon
génie,
« fautes que nous sommes
loin de rendre
solidaires
des attentats
de nos sophistes
et des forfaits
de
« nos démagogues.
M
Nous retrouvons
la suite
de l'article
dans
At'M. et M?7<M.MM/f.
avec quelques
(pp. 83-89),
petits
changements.
Les deux premières
Au bas de la page 86 une dizaine
lignes (p. 85) ont été ajoutées
pour liaison.
de lignes
ont été supprimées
et remplacées
des
etc.
etc.
« On trouve
Les
voici
dans
par
l'apparte« ment
de Voltaire
M~e foule
de choses
cA~M
et rec/te/'cAe'M,
<MMe p?'op?'e<e
à baiser
le ~ar« ~Me~; etc.
etc.
Nous ie répétons,
ces lettres
n'avaient
voir le jour.
Que l'on
pas été écrites
pour
« joigne
à cela les déclamations
tranchantes
et les divagations
libérâtes
dont
l'éditeur
s'est
cru obligé
« d'enrichir
)e texte dans
ses notes presque
on n'éprouvera
certainement
inutiles,
toujours
pas une
« grande
tentation
d'ouvrir
»
ie livre.
Dans )a page 87, il y a quelques
mais
il y a une
changements
de style sans grande
importance,
a noter.
addition
intéressante
A la 13c ligne,
il ~e~o~tMMHo
V. Hugo,
a fait
en 1834,
Voltaire,
après
une traduction
n'avait
en vain. dans le CoHsert).
la
Litt.
qu'il
pas osée en 1820. En effet, on cherche
«
Cela
veut
dire
très
dévot
ou
le
très
l'un
et
l'autre
et
à
sûr
ni
l'un
phrase:
dévoué,
peut-être
coup
« ni t'autre.
»
A )a page 88, au commencement
« Le vieux
du 1er alinéa,
au lieu de ces mots
suisse
libre est bon
« courtisan
comme
on voit,
» on lisait
«
Cette
lettre
est
du
vieux
suisse
plus
simplement
digne
« libre.
» Enfin,
a la page 89, signalons
encore
une transformation.
la citation,
V. Hugo disait
Après
dans ie Co?Me~'K. Litt.
«
Il est probable
n'aurait
(p. 336)
que le malin
pas été si chaud
Geoffroy
« partisan
de M)ie Rancourt,
» V. Hugo se met
s'il avait connu
cette pièce.
en scène
dans Litt.
et
« De jolis
Philos.
Mte/e'M
vers sans doute.
J'avoue
de sympathie
pourtant
que j'ai
peu
pour cette
« espèce
de poésie.
mieux
Homère.
» On ne sait ce que vient faire Homère
en cette affaire.
J'aime
La fin de l'article
du CoMMrK.
Litt.
n'a pas été reproduite
Litt.
V. Hugo
(CoHM~.
pp. 336-337).
termine
en souhaitant
une 2e édition
où l'éditeur
des notes,
)a collection
des
supprimera
grossira
inédites.
H y a partout
des fragments
et ouvrages
inédits
de Vo)taire
le gouvernement
devrait
pièces
«
certains
manuscrits.
H
se
trouverait
certainement
dans
cette
mu)titude
des
acquérir
d'ouvragss
pro« ductions
ne
dans
faire
un
mat
ce
et
de
mais
qui
pourraient
que
grand
temps
d'impiété
corruption
« on se garderait
des éditions
l'on
et
se
contenterait
de
ceux
des
écrits inédits
du
compactes
publier
« philosophe
de Ferney
servir
les
la
intérêts
de
littérature
sans
blesser
ceux de la
qui pourraient
« morale.
»
du CoM~c/
A/M. a été presque
entièrement
Voici les quelques
(1) L'articte
reproduit.
changements
ou suppressions
noter.
qu'on peut
/«.
et Philos.
« Mme de M*
se contente
d'en chercher
le principe.
»
7/:<?<eM, p. 70, ligne d8
V. Hugo avait
«
écrit:
Mme de M*
« <'c~'t'M~<e
<<<M philosophes
d'en chercher
se contente,
anglais,
« le principe.
»
on lit une phrase sur la théorie
du climat
de Montesquieu,
de fausse
20-23,
Page 72, lignes
espèce
nlef qui lui sert il crocheter
les serrures
de tous les problèmes
de l'histoire.
En 1820,
V. Hugo
devait
-5C-
~4?~'<7
1820
t.
1"
)X.
341-350
), !ivrais.
pp.
avril
cf. Z.!«.e<'P/<ï~.
1820;
(signé
B.),
M~/ep.s',
pp. 70-80.
N.-B.
Le 1er article était paru dans ie Co7M~
le 29 janvier
Litt.,
1820, t. ), livrais.
[V, pp. 145150.
6'c/ac/M.?'/<~<?'e/')'aMfMî.7)7~?'e6'<MQ'?'<,
~'aye'c,
par M. Lebrun
(1). Co?~e?'M.Z!«.,
t.
car
il avait
mis simplement
« Peut-êLre
théorie
aussi
cela
de ce que
provient-i)
)e Nord,
les hommes
sont moins
a se.laisser
conduire.
disposés
(CoMM/'u.
~!«.,
p. 343)..
au
commencement
de
la
tout
un
Mme
de M*
a
Page 74,
page,
paragraphe,
pour
plein
d'ëtoges
Le voici
« Au reste,
été supprimé.
tout
ce chapitre
de Mme
de M*
se fait lire
avec
beaucoup
« d'intérêt,
de faits, et c'est ta la meilleure
manière
de raisonner
définir
une
parce
qu'il est nourri
c'est
)a
dit
une
vieille
d'ailleurs
il
est
écrit
avec
une impar« chose,
montrer,
chronique
allemande
< tiatité
charme
une
et
modération
bien
dans
un
si
fertile
en
on y
qui
exemplaire
allusions;
sujet
« reconnait
du style de Mme de M*
de la clarté,
de la raison
et souvent
de l'esprit,
déjà les qualités
« surtout
de cet esprit
et
i
mettre
de la grâce
et de la
qui n'appartient
qu'aux
femmes,
qui consiste
« tinesse
dans les détails
les plus usés. (CoMse/'u.
Litt.
jusque
p. 344).
du § tV, on a supprimé
une liaison
sans importance.
Page 77, au.commencement
au
commencement
du
on
lit
ces
deux
faiseurs
« Historiens
1 historiens
Page 78,
§ V,
lignes
Mes amis,
dans )e CoM~M.
/~«.
à. leur place on
« d'emphase
n'y croyez
pas. » Elles ne sont point
lit:
«Je trouve
encore
un passage
on Mme
de M*
cite
avec
cette
conduite
si souvent
admiration
« citée du Sénat
romain
)a bataille
de Cannes.
Il n'y a pas de philosophe
extasié
après
qui ne se soit
« sur cette conduite
il
a
un
fils
de
son
ne
bonne
famille
dans
n'y
pas
magnanime;
qui,
jeune
temps,
« lui ait consacré
si tes
encore,
quelques
phrases
d'amplification;
moi-même,
je t'admirerais
peut-être
« événements
sont
nos
sous
un peu dégoûté
de cette
passés
qui se
yeux
depuis
vingtZD ans, ne m'avaient
de
Bulletin.
« grandeur
» (Conserv,
Litt.,
p. 348).
les
dernières
de
l'article
ont été supprimées.
Le Co~Merc.
/~«.
70,
Page
lignes
(p. 350) terminait
«
ne
ainsi
nous
nous sommes
de Mme de M"'
de l'ouvrage
Jusqu'ici
occupés
que des prolégomènes
« nous examinerons
les opinions
de cette dame sur la monarchie,
dans
un article
suivant
qui ne se
« fera pas attendre
si dame
~h'</M't<M
nous le permet.
»
Tous les critiques
fait
ont
son lecteur
V. Hugo se vieillissait
remarquer
que parfois
pour dérouter
à plaisir.
II faut croire
dame
lui
a.
Arthritis
ne
d'écrire
un
article
a propos
des opique
pas permis
nions de Mme de M*
sur la monarchie:
en tous
cas on le cherchera
inutilement
dansteCoKMre.
/,?«.
ignorer
« dans
cette
lo Quelques
de Sainte-Beuve
dans ta 7!euMe des Z)eMa;OM<<es
L. m,
lignes
(/~eM. des 2 ~7oM<
(1)
livrais.
a propos
de cet, article une question
intéressante.
Sainte-Beuve
u;, pp. 230-231,
1831) soulèvent
écrivit
dans
le
Litt.
de
dans
CoM~erp.
nombreux
articles
de critique,
prétend
lesquels
qu'Eugène
Hugo
il juge
les ouvrages
et les drames
articles
au
de
nouveaux,
Sainte-Beuve,
respirentune
qui,
jugement
accusent
conscience
et
un
retour
sur
un
souci
comme
effaré
de l'avenir.
tui-méme,
profonde
pénétrant
Il lui attribue
la
sur
il
la .')/<M'e Stuart
de Lebrun,
et
cite tout
au long
précisément
critique
présente
les dernières
du
Conserv.
celles
nous
trouvons
au
bas
de
ta
102
de
Litt.
et
Litt.,
lignes
que
page
Philos.
mêlées
« En général
»
une chose
nous a frappés,
etc.
en
avait
sous
les
Il y a trouvé
sous la signature
Sainte-Beuve,
écrivant,
yeux le CoHA'er;,). 7,t«.
dire deux
.S'/ftMCM d ?7ta</o'?'</Me
m,
d'Eugène
Hugo
quelques
poésies, ou pour mieux
(t. ), livrais.
sur la j)/o?'< ch< due ~B'M~/tteK,
couronnée
en 1818 aux Jeux
floraux
p. 84) et l'Ode
(t. ), livrais.
ix,
tt
avait
lire
récemment
dans
les
t831.
Paris,
pp. 32't-326).
pu
j4?tKM<e.< /'OM:a;t<tgMM de
[tn-)8,
Imprim.
Didot. Paris,
L. Janet, B. F. 29 janvier
«
no
avec
cette
note
un
frère de
388
C'était
-)83i,
(pp. 50-54)
M. V. Hugo qui devait
nous donner
un poète
de plus »], sous la signature
de M. Eugène
Hugo un morceau de prose,
le Duel ch<f;c!/j:ce,
E. (t. i,
~t«.
avait jadis donné
sous la signature
que le CoKseru.
livrais.
Il a du croire
les articles
de cette
initiale
il.
v, pp. 't65-'t68).
que tous
signés
appartenaient
Le Conserv.
A!'«. contient
articles
de la même
manière
dans
le
Eugène.
cinq autres
quatre
signés
sur
t'TH~Otre
de FraHce
de Vély
2<!vo)ume,sur
.4KdrcC/MHter(t.t,tivrais.
t, pp. 15-23),
(t. l,
livrais,
sur
Clovis
de
livrais.
de
Lemercier
sur
.yt/ayte
Stuart
v, pp. '174-181),
(t. ),
v), pp. 217-228),
Lebrun
un cinquième
se trouve
dans le 3" volume
sur 7eaH de Bourix, pp. 350-362)
(t. i, livrais.
G janv.
mais
ces cinq
articles
ne
sont
xxvn,
//o</He (t. m, tivrais.
pp. 274-279,
pas t'œuvre
1821),
Celui-ci
ne
fut
collaborateur
ZtM.
accidentel
du
Conserv.
d'Eugène
Hugo.
qu'un
« Deux
La 8e
livrais.
l'affirme
des MM. Hugo
)'a!në
et le plus
320,
p.
seulement,
jeune,
« comptent
les rédacteurs.
» V. Hugo a-t-il protesté
dans l'intimité
contre l'affirmation
de Sainteparmi
lieuve qui lui ravissait
la paternité
des articles
Avait-it
nous n'en savons
rien.
tu,
que nous
signalons,
avant
l'article
de
ce
n'est
car
il
aurait
Sainte-Beuve,
autrement,
1 impression,
probable,
corrigé
guère
57-
8
1820
Avril
i, livrais.
ix, pp. 330-360,
cf.
Litt.
et Philos.
1820;
E.), ~r Avril
t. ). pp. 95.
H6, 97 (en
99, iOO, d02 (la
partie
seulement),
cf. V. 7/Myo raconté,
t. t, pp. 447fin), et 103
avec
la date
1819.
458,
(signé
M:<'M,
N.-B.
–ay'teiS'<Mat'<,
par M. Lebrun,
tragédie
en
les
comédiens
actes,
cinq
représentée
par
ordinaires
du
roi
sur
le <er (.héatre
français
le lundi
6 mars
d820.
in-8~ Imprimerie
Didot,
Paris.
Ladvocat
et
Barba.
B.
1er
avril
Paris,
F.,
1820, ne 1096.
9
11
ses
conférences
à
Frayssinous
reprend
Ce jour-là
il parle
sur la mort
cf.
St-Sulpice.
11 avril 1820.
blanc,
Z~'a/~paM
à V. Hugo
Lettre
de M. Pinaud
cf. Odes et
édition
de l'Imprimerie
Ballades,
Nationale,
et 545.
pp. 540-541
l'erreur
de son ami. Quoiqu'il
en soit,
il a protesté
à sa manière,
il a inséré
dans
Litt.
et Philos.
mêlées des lambeaux
des articles
Sainte-Beuve
attribuait
à
son
frère
Cette
insertion
que
Eugène.
tranche-t-elle
définitivement
la question
et ces articles
sont-ils
bien
de Victor
? Je le crois,
car
d'une
la
note du Conserv.
Zt«.
dont nous venons
de parler
et qui est catégorique,
d'autre
part nous avons
Victor
n'aurait
osé
ravir
à
son
frère
l'honneur
d'avoir
articles
enfouis
part
pas
composé
quelques
dans une revue
assez oubliée
à f'époque.
Il a toujours
dans
sa
une
affection
montré,
correspondance,
il a même
sincère
écrit ou fait écrire
sur lui un article
très élogieux
dont nous parlerons
pour Eugène,
loin.
plus
20 Dans Litt.
e< Philos.
V. Hugo n'a imprimé
morceaux
de son article
du
mêlées,
que quelques
Co?Meru.
c'est-A-dire
toutes
les idées générâtes,
les théories
a propos
de ~aWe
Litt.,
qu'il avait émises
mais
il
a
tout
ce
a
un
direct
avec
ia
a
~<Ma?'<;
.on
négligé
qui
rapport
pièce. Puisque
par ailleurs
dans
i
article
entier
V.
nous
ici
additions
les
dans
imprimé
7/M~o 7'acoK<c,
n'indiquerons
que
faites,
et Philos.
au texte
Litt.
M~c'e~,
prinntif.
Le § 1 de Litt.
et Philos.
mêlées
dans
le CoHM/'u.
Litt.
]a
95-96) se trouve
(pp.
p. 350, mais
à
«
dernière
de
de
fixes
est
de
1834.
ligne
propos
f'Affemagne
pays
penseurs
profonds,
attentifs,
V. Hugo n'avait
pas osé, en 1820, faire un tel éloge des Allemands.
Le Il
Litt.
mais V. Hugo a intercalé,
on
(p. 96) est dans le CoKMr~.
(p. 351), sans
changement,
ne sait trop pourquoi,
ie
un
n'est
de
l'article
sur
jV(t?'!e
mais
après
Il,
§ !H qui
point
,S'<M<M'<,
appartient au t. n, livrais.
xu, mai 1820,
p. 78).
Le § fV (p. 97) se retrouve
dans le Conserv.
Litt.
(p. 352). H n'est d'ailleurs
que le développement
2e
d'une
idée déjà émise
V.
à
]a
livrais.
du
CoK~er~.
T~t~.
«
l'amour
au théâtre,
par
Hugo
(p. 67),
« comme
veut toujours
ia première
». 11 faut
ici encore
comme
intercalé
le
ailleurs,
place
signaler
nous
avons
vu
t.
i.
livrais.
Litt.,
§ V que
(CoMserM.
vi, février
1820, pp. 227-228).
déjà
Les § Vf et V)) (pp. 99-100)
se retrouvent
dans le Conserv.
Litt.
(p. 356). A )a page 100, il y a une
« H n'y avait
à conserver
de ~/CM'e
il fallait
le
refaire
petite suppression
Stuart,
que trois scènes
« reste
et nous ne pensons
M.
Lebrun
en
eût
été
» Ce passage
fut supprimé
évidempas que
incapable.
mais
contenant
une
ment,
un
parce
que personnel,
aussi,
peut-être
parce que
critique
peu dure,
que
V. Hugo en 1834 n'aurait
voulu
formuler
de
cette
manière.
pas
Le § IX enfin (pp. 102-103)
les dernières
de l'article
du Conserv.
Litt.
reproduit
lignes
(p. 362),
mais que penser
de la date qu'on
trouve
27
avril
1819
?
Dans
F.
on
a
voulu
mettre
y
ZfM~o?'aeoK<(;
aussi une date,
et a la fin de l'article
1819.
(p. 458) nous trouvons
Cette date dernière
ne peut s'expliquer.
~/ayt'e
Stuart
fut jouée fe 6 mars 1820, elle fut imprimée
fin mars,
l'article
de V. Hugo pris en son entier
ne peut être
de mars
)a livraique
1820.
puisque
son 9e du Co/MM'c.
Litt.
en librairie
le fer avril.
A la rigueur
au contraire
il est possible
d'exparut
la
date
trouve
dans
Litt.
et
Philos.
mêlées.
Le morceau
est un passepliquer
qu'on
qu'elle
précède
à
l'on
tel
article
ou
à
tel
c'est
une
à
V.
partout
autre,
que
joint
impression
suggérée
Hugo par J/sr!'e
ou par n'importe
Peut-être
a-t-il écrit cette note le 27 avril 1819,
Stuart,
quelle
pièce qu'il a vu jouer.
et l'a-t-il
à
son
article
de mars
1820. On me dira que c'est chercher
a innocenter
V. Hugo qui,
ajoutée
on fe sait assez,
antidate
ses écrits
c'est vrai, mais
une
est
ne
quand
explication
plausible,
pourquoi
s'il est possible
de le décharger
un peu, pourquoi
ne pas fe faire
pas la donner;
3o Dans F. 7/M~yo 7'acoK<e', on s'attendrait
à trouver
en son entier
et sans
l'article
changement
sur J/a/e
il
n'en
est
Peu
il
rien.
nombreuses
est
les
ou
les
transforStuart,
sont,
vrai,
suppressions
mais nous n'en voyons
la
nécessité.
mations,
pas
Les pages 447-448
sont une reproduction
exacte.
A la page 449,
à la 10e ligne,
on a ajouté
ces
58
1820
12
A~7
Deuxième
Lamartine
14
15
édition
cf.
des
Méditations
12 avril.
blanc,
de
Drapeau
Entrefilet
des Lettres
le
7Vo?'/MMK</M sur
Co~eru.
Litt.
« Le Mémoire
de l'Académie
« des !~?!oraM~
de poursuivre,
continue
sans
« abonnés,
et sous
du chevalier
de
l'égide
« Fonvielle,
son
sa
secrétaire,
ignorant
et ignorée.
Le Mercure
<,<course
ignorante
suit
le même
Le Co/tseru.
Royal
exemple.
« Lilt.
» cf. Lettres
ne le suit
A'o~
pas.
1820.
MtaM~e~,
t.x,
272 J4avri)
tettrevtf,p.
Kpr. adressés
le 25 Mt«rs ~~0,
it M. VictorMarie
M le comte
de
Hugo,
par
François
Neufchâteau
de l'Académie
etc.
française,
~o;t~-u.
t.
livrais.
Zt<
x, pp. 361-362.
mots
Cf'Mr
yas~e
Ja.u< gelidas
c)irsu
le
/~M&!COM.
CfBSar superaverat
(Luca.in.ta~livrais.
15
Alpes,
etc.
;)(<).
c'e.!< la
à la 26e ligne,
on a remplacé
le mot
Aux
co7Me'dte/)eM<-e<<
~r6t;tt<<;M/'
par intérêt.
notable.
pages 430, 451, 452, aucun
changement
A la page 453, la fin du premier
a été transformée
on oublie
le ~:)e?'~OHHa<ye ~jOMr
paragraphe
?te plus ~'occMpey
une expression
et plus énergique
on oublie
que de /'ac<e!M'
rempiace
plus réaliste
le /je;'MHM<t~e
de ses /)OMMOM&. On a supprimé
ensuite
pour ne plus
~'occKpe?'
que de la eapact~e
du
Co?Mer~.
la
une
355.
est
une
très
Cette
Litt.,
presque
page
page
page
pourtant
appréciation
du genre
et du genre
curieuse
des tragédies
eta))emandes.
classique
romantique
anglaises
« On disait
autour
de nous au théâtre
n'était
mais
du
que cette tragédie
pas du genre
classique,
« genre
nous
n'avons
cette
distinction.
Les
de
et
de
romantique
jamais
compris
pièces
Shakespeare
«Schilter
ne diffèrent
des pièces
de Corneille
et de Haciue
ce qu'elles
sont
défectueuses.
qu'en
plus
« C'est pour cela qu'on
est obligé
La tragédie
d'y employer
scénique.
française
plus de pompe
méprise
ces accessoires
marche
droit
au
et
le
hait
les
la tragédie
cœur
distractions
parce
qu'elle
coeur,
que
les recherche,
s'adresse
souvent
il l'esprit
et plus souvent
encore
tous
les
.« allemande
parce
qu'elle
un
« sens.
L'une
l'autre
un tableau
Dans l'une,
tout concourt
attachant.
présente
spectacle
singulier.
« au même
dans
il
d'ensemble.
veulent
l'intérêt
se conLes Français
but;
l'autre,
n'y a point
que
« centre
sur quelques
les Anglais
la variété
comme
une
personnages
regardent
qualité
tragique.
« Chez nous
l'intérêt
va toujours
à son
chez
eux chaque
scène
en est réduite
croissant;
propre
« intérêt
et veut-on
voir quelle
différence
il en résulte
dans
les effets ? Prenez
le cinquième
acte
« d'une
de nos tragédies
et lisez-le
souvent
vous
le trouverez
faible
et languissant;
séparément;
« lisez-le
en le faisant
de tous les autres,
vous
n'aurez
rien remarqué,
seulement
vous
aurez
précéder
« fondu
en larmes.
« Mais les Allemands
se contentent
de leurs
cela prouve que les Allemands
ont moins
tragédies.
« de goût que nous,
c'est-à-dire
narration
raisonnent
moins
leurs
sensations.
Il suffit de la simple
qu'ils
« des faits
les plus bizarres
et les plus
invraisemblables
émouvoir
les enfants,
les
pour
parce
que
« enfants
»
n'ont
la
force
de
leurs
vu
enfants
en
lisant
la
Pucelle.
idées
des
pas
comparer
pleurer
j'ai
La dernière
un souvenir
très probablement.
vécu, souvenir
phrase évidemment
rappelle
personnel
Le paragraphe
1820
V.
n'aimait
la
et ne se
supprimé
prouve
qu'en
allemande,
Hugo
guère
tragédie
audacieux
car la plupart
des suppressions
tard,
gênait
pas pour le dire. Il a été moins
plus
portent
sur
En
une
a
ce
voici
nouvelle
à
la
on
une
erreur
454.
point.
14e,
justement
preuve
page
ligne
corrigé
en
la
mais
cela
en
auteurs
même
une
d'impression
supprimant
phrase,
supprime
temps
critique
des
V. Hugo avait
allemands,
écrit dans le CoHS~'t).
Zt«.
« lorsqu'ils
ne pouvaient
au
ils
parler
cœur,
« parlèrent
aux yeux /teMre:M;
~'t/.s' acate?t< ~M M ;'<'M/erMer
<<<Mt.! de yt<~<M &oy'HM. M Au lieu
de
faire disparaître
les mots
nous
venons
de
mettre
en
il
iatlait
la
que
changer
simplement
italique,
et écrire
«
ils parlèrent
dans de justes
aux yeux
heureux
s'ils avaient
su se renfermer
ponctuation
« bornes.
» A la ligne suivante
dans
on lit
la plupart
des pièces
ft«e?MaH(<M.
V. Hugo avait ajouté
)C CoMSeyu.
ou
Litt.,
<!K~/(t!6'M.
dans les pages
Enfin
de style qui ne changent
en rien
455, 45ti, 457, 458, on a fait des corrections
la physionomie
de l'article,
mais dont l'utilité
ne nous parait
pas évidente.
sans importance.
nous
ne trouvons
(1) Dans
//M~o raconté,
que quelques
petits
changements
~Mx
un pas,
dans le CoH~'eru.
on lisait
l'âge 239, au vers 12e, au lieu de ces mots
c:<Ot/eMS.
At«.
yMS~M'tC!, C!<0!/e?M.
Au
C'est un ennemi
seul..
on lisait
C'est
<o?t eM~e/Ht seul.
Page 240. au vers '12s, au lieu de
vers 26e, au lieu de Coule
en de beaux
il y avait
dans le CoMM~.
Roule
en de.
Litt.
vallons.
il
au
au sein.
Guide
au sein.
Enfin
au dernier
vers,
Page 24), vers 6e, au lieu de Suit
y avait
lieu de /MMt?MtMMt, il y avait
/!MM!'KM?K.
Mais l'épigraphe
ou plutôt
de la /ta/'M<e,
a été mal
traduit
le 'le'' vers du morceau
par V. Hugo,
r.tj
.4~7
1820
~5
J.-J.
CoM~u.
AoEK,
Litl.,
Elégie,
par
t. t, livrais.
M.
J.-J.
x, p. 364.
ABEL HUGO. /0?'/pa~/</e,
national
poème
M. Lebrun
des
en !?!<tMt<
chants,
par
L t, livrais.
Charmettes
CoH~t?.
Litt.,
x,
2'!
365-374
article.
Le
~r
article
est
(A.),
pp.
du 4 mars
-t820, livrais.
vu, pp. 247-25S.
ABKL HuGo. Le CïM:e~e
de 7~
nouvelle
et fin)
Co~eru.
t. i, livrais.
Zi!«.,
x,
(suite
de cette
pp. 386-393
(J). Le commencement
nouvelle
est du 4 mars,
livrais.
270vu, pp.
274.
j9e7'ryaMa,
parSaint-Prosper
V.
sur
la mort
6~
de
Hugo
Voir au 4 mars.
t. i, livrais.
x, pp. 362-363.
Z.
13 avril
1820
cf.
~M~o
(V. d'Auverney),
t.
cf.
Odes
e<
Bal?-aco/i~
i, pp.
239-241
édition
de
lades,
Nationale,
l'Imprimerie
date
1817
avec
cette
et
pp. 408-409,
[Avri!]
notes
et variantes
tirées
du maquelques
nuscrit.
Conserv.
Reda
contient
l'Ode
duc de ~e?'?'?/
/?M!<M<!OM <OM~:
CoMSCrU. Z:'«.,
t, f,
(1)
livrais.
vers
Quatre
x, p. 364, J. Sainte-Marie.
avant
Vous vous aimez
tous,
Paul, vous n'aimez
que vous-même;
Mais si vous n'aimez
que vous,
Il n'est que vous qui vous aime.
.eaM<o?!~
graphe
Ab
avec
cette
/joe'</Me.
Jove
principium
(Virg.),
dans
le CoMMr~.
Litt.
et encore
mal
dans
V. FM~o
plus
reproduit
1er de la Pharsale
« Jam
chant
Cœsar
cursu
gelidas
superaverat
«
Jam
cursu
avait
écrit:
Csesar superaverat
gelidas
Alpes » et V. FM~/o
« Jam gelidas
cursu
Csesar imperaverat
sens
»
Alpes.
raconté.
Alpes.
raconté
épi(2).
C'est le vers 183e du
Or )e CoM~o'M. Litt.
a fait un gros contre-
J. SAtNTE-MARtE appartient
évidemment
à V. Hugo.
Elle n'accompagne
(-1) La signature
morceaux
de poésie,
les quatre
vers que nous venons
de citer et une
traduction
d'Horace
t. n., livrais.
A Lydie.
ont été reproduits
dans
Litt.
Or ces vers
xn, p. 43, 20 mai
1820)
à
comme
V. Hugo.
Z'/MM<a<MM
(/'OM~eM est donc
raconté
(t. ), pp. 243-244)
appartenant
!'œuvre
de V. Hugo.
que deux
(Conserv.
t~. FM~o
elle aussi
de notables
a son article
du CoM~erp.
Litt.
(2) V. Hugo a fait subir
changements
Litt.
et Philos.
on
a
une
note
à
)a
2a
le mot « /tOMMM de
?/eM,
p. ')0,
Après
supprimé
ligne.
« On n'a évidemment
lettres
son idée
voulu désigner
», V. Hugo avait
expliqué
par cette
expression,
« que les prétendus
Ao~tMtM~e
lettres
du jour.
Le lecteur
fera aisément
les exceptions
que la justice
« demande,
et qu'il
est inutile
A
]a
«
les
fureurs
d'une
faction
remdernière
d'indiquer.
ligne
« les fureurs
d'un
factieux
».
placent
V. Hugo
a supprimé
une attaque
contre
les poètes
en
Page 91, à la fin du premier
paragraphe,
contre
les
«
dont
le
son
c'est-dire
libéraux
semblables
aux cordes
de la lyre,
varie quand le
vogue,
« temps
».
H
leur
disait
«
vos
vos
]à des
nous
font
vos
Sont-ce
Que
vers,
chants,
change
hymnes
« titres?
N'osez-vous
un encens
comme
elle ?.
pas renié ie Dieu et brûlé aux pieds de l'idole
impur
« Je ne suis pas clair,
mais vous devez m'en remercier,
car vous devez
)e sens
m'entendre
je le sais
« de mes paroles
n'est
Daniel
lui
obscur
vous.
«aKhazar
n'avait
besoin
pas
pour
pas
que
expliquât
les
« mots réprobateurs
tracés
la
main
la
de
de
»
sur
muraille
son
par
palais
Baby!one.
mystérieuse
o
Au bas de )a page 91. V. Hugo disait
«J'ouvris
dernièrement
un livre etj'y
lus les vers suivants.
la ~eMNt'Me
les plus reliet il citait
Sainte
en négligeant
les strophes
4, 5. 6, 7, 8, c'est-à-dire
disons
)e mot, les seules
vraiment
Il ajoutait:
vers m'étonnèrent
Ces
d'abord,
gieuses,
catholiques.
« ils me charmèrent
ensuite.
Ils sont
à la vérité,
mondaine
et de notre
de notre
dépouillés,
élégance
« grâce
mais ils respirent
une harmonie
douce
et grave;
ils sont
riches
et cette
étudiée,
d'idées;
« richesse-là
n'est pas d'emprunt.
Plus loin je vis, sous le titre d'/KMOca<!OM,
les stances
»
qui suivent.
V.
«
&
et
toute la pièce puis continuait
ses éloges
Il est difficile
de rien voir
de supérieur
Hugo citait
et
cette
charme
de
la
Le
véritable
i'amour
triste
sérieux
.<:
amour,
jolie
pièce pour le
pensée.
y est
« exprimé
et expressive
» V. Hugo
avec une moHesse
dont la suivante
offre encore
un modèle.
vague
faisait
alors
une longue
citation
de la pièce .S'OMMKtr (9 strophes
sur 48).
Nous ne trouvons
et Philos.
donc point les trois premières
du
w~/e'M).
lignes
§ !H, p. 92 (Litt.
Une partie
de l'idée se retrouve
dans ce que nous venons
de donner,
mais une partie
seulement.
A )a
40 ligne,
V. Hugo a simpiitié
«
ses éloges.
le trouvai
dans ces vers quelque
chose d'André
de Chénier
ne vaut pas évidemment
«
et si
du
CoHM/'u.
Litt.
Je
trouvai
dans
ces
vers
si
M:e7o</teM~c
l'expression
« ~OMcAaM~, quelque
» A la 8s ligne,
chose
d'André
de Chénier.
le mot
/<cAcM?'
remplace
le mot
uar:'f.<e.
n'ont jamais
a l'article
du Conserv.
Litt.
Elles sont
Page 93, les deux premières
lignes
appartenu
le commencement
d'un article
de V. Hugo sur A. de Vigny ~PoëM&s, //e7e'Ho, /f; .S'o~Mam~M~e,
la fille
de Yc/)A<c, etc.)
et Philos.
du 24 mars
danslitt.
1822, et dont la fin se trouve
qui parut dans l'Etoile
au bas de la page 159.
/H~/eM,
Au lieu de ces deux lignes,
V. Hugo disait
« Dans un autre
endroit
du livre, je lus un dithyrambe
« sur la Poésie
de tout ce que renferme
la Bible était terminé
cette
.sfwe'e,
où ie tableau
par
strophe
.60
15
1820
15
Aurt/
CnAZET
</e
.ËVo~e A:'6'<or/</Mc
le ~Mc
S. A. 7Ï. ~/y/'
in-8,
~erry,
grand
Pillet.
On le trouve
à B.F.,
au 29 avril,
Paris,
n° 1529
cf. Z)?'a;)cf<M blanc,
articles
élogieux.
15 et 23 avril,
l~et
8 mai. i.
ALISSAN
CoM.!e~.7~t.
(V.), 15 avril
pp. 90-93.
DE
1820
i, livrais.
cf. /.<«.
3T4-38<,
M<?/e'M,
x, pp.
et Philos.
Second
</<e'd<?'e /'?'a/tpa!.s'.
C~a?'Spectacles.
en cinq actes,
/Vaua~'c,
tragédie
par
M. Brif:)ut(2~
et dernier
artic!f)(l);CoMse?'<
t. f, livrais.
Litt.,
x, pp. 382-392
(signé
H.).
N.-B.
Le 1er article était, paru )e 25 mars 1820,
CfMMeru. At«.,
t. t. tivrais. vm. pp. 307-3H.
Revue
/«pr~ï?'e.
~/j!7?'e
homme
?'eM<
<~eueM!'?'
qui
Y~:e la /)?'ïMceMe
C. de S.
a
un
!<r!y«?t<,
des ~'a/~
les ;)/M~ ?'eMtar</Ma6/c.s'
c<e S. -4. li.
duc de .Se~'ï,
de la vie de
précédé
auteur
~a?' ~t. J. C. 6'a!H<o~per,
xey'ua~eM~
au
XIXe
o?'?te
siècle,
.Mi<7<' et d'un
portrait
f/M~7'?!CC
.Se?'?-<Mn<ï
ou
/~CMe:7
AoKM~e
par
de bonté
le
feu ~?'
ce prince,
de l'Obf/'Mn foc(2).
il citait
les dix derniers
vers de Lamartine).
« Ailleurs,
la cause
du déplorable
(alors
des athées
était exposé
en vers qu'il suffira
de citer pour
la beauté. »
en faire ressortir
« Enfin dans une épftre
seize vers de ~tett).
éclatante
de poésie, adressée
& Lord Byron.
du morceau
et V. Hugo terminait
ses citations
derniers
qui suit
par tes trente-quatre
versdeZ.00MMKeaZ<M'<<J3yn)K.
« A de pareils
avec Laharpe
~Mte/K/e~-fOMS
le e/<aM< du poète
»
vers, qui ne s'écrierait
V. Hugo terminait
enfin par le dernier
de la page 93 (Z!«.
et Philos.
paragraphe
M~/e'M).
« majestueuse
« aveuglement
(V. Hugo citait
« je fus frappé
avec plaisir,
sur cette
du parterre
il
dit-il,
(d) V. Hugo revient
pièce
qui n'a
pas réussi
auprès
aura
de
succès
des
lecteurs
maintenant
est
espère
qu'elle
plus
auprès
qu'elle
imprimée.
il
ce
«
Nous
allons
sous
du
mettre
les
lecteur
Après
préambule,
ajoute
yeux
quelques
fragments
« d'une
scène de cette tragédie
au hasard.
» Il nous semble
ta
scène
n'est
que nous
prenons
que
pas
au
hasard
mais
choisie
A
il
dessein
semble
aussi
V.
son
article
a un
prise
que
Hugo
depuis
premier
dans
son
sur
Charles
de Navarre.
la représentation,
il avait
cru cette
peu évolué
opinion
Après
libérale
à
la
il
iecture
s'est aperçu
scènes
avaient
une allure
bien différente.
pièce trop
que certaines
et pour hti-même
il veut
Pour son lecteur
ses
nouvelles
idées
et
c'est
de
ce
de vue qu'il
point
justifier
choisir
la
scène
se place
transcrit.
pour
qu'il
11 s'agit
d'une
entrevue
entre
Clisson
et le Dauphin.
Clisson
d'abord
exhale
librement
le cri de sa
et de son ressentiment.
t) a vécu de sa haine
douleur
elle est son espoir,
son bien, son avenir,
il veut
se venger,
troubler
Le
lui
en
lui
au
nom
du
roi
et
en
le
noml'empire.
Dauphin
répond
pardonnant
mant
La patrie
a besoin
du bras de Clisson,
son pays
et lui rende son roi.
généra).
qu'il affranchisse
Clisson
Les
allusions
à
la
Restauration
sont
très
dans
cette
citation
accepte.
transparentes
longue
dont nous résumons
les idées principales
et c'est la raison
i'a
fait
choisir
V.
qui
par
Hugo.
« Ces vers sont loin de manquer
Il ajoute:
de ]'éc)at
et de la noblesse
Plusieurs
d'entre
tragiques.
« eux sont d'une
beauté
et
»
et par les idées.
.)e crois
bien que
ce sont
remarquable
par l'expression
les idées,
V.
à
dictent
son
car
la
scène
a
citée
ne
m'a pas
l'auteur,
que
Hugo prête
qui
jugement,
qu'il
semblée
très entraînante.
H termine
« Pour faire
ainsi
une part à la critique
nous
aurions
dans
désiré
certains
endroits
« plus d'élégance
En résumé,
et de poésie.
la pièce de M. Brifaut
n'est
à
inférieure
bien
(les
pas
« pièces
de nos jours.
à nous,
Elle nous
a la Jeanne
d'~h'c
de
semble,
prônées
quant
préférable
« M. d'Avrigny
la
conduite
et
le
la
Jeanne <4/'(;
à mieux réussie.
Combien
par
pour
style.
Cependant
« faut-il
de libéraux
former
un
sot
»
pour
public
?
au premier
des deux ouvrages
Un mot
de critique
que quelques
(2) V. Hugo n'a consacré
lignes
et un mot d'éloge
avec deux ou trois citations.
La galanterie
de
son
mais
l'empêche
justifier
opinion,
Mme de S. a fait entrer
dans
son tableau
des personnages
s'étonne
trouver,
elle
a tenu
qu'on
d'y
dans
l'ombre
des caractères
devoir
se présenter
à son esprit.
Sa versification
.est pure,
qui semblaient
facile
son
ne
ni
de
chaleur
ni
harmonieuse,
style
manque
d'énergie.
V. Hugo est plus à l'aise pour louer le second
ses éloges
ne sont d'ailleurs
remerouvrage
qu'un
6)
15
Avril
1820
17
Co?iM?'u.
d'Adèle
Foucher
à Hugo,
cf.
Lettre
4
fé.~nn<ï~
et
/«~'a!?'ex,
politiques
I) y a dans
les Annales,
vrier 1912, p. 110.
a la p. 110, deux fragments
de la même lettre.
(signé
Zt«.,
t. ), livrais.
x, pp.
393-396,
U.).
à un /<OHHg/e AoMMMc. par
N-B.
~t<e
Imla
Princesse
C.
de S. (de Sa)m).in-8,
Mme
Arthus
Bertrand.
Paris:
Paris,
Cellot,
primM'ie
13. F., 18 mars 1820, no 914.
~err!f<?ta.
Paris,
ris
25 avril 1820,
In-48, imprimerie
et Le
Richard
n° 1341.
Lenormand,
Normant.
B.
PaP.,
à E. Géraud.
V. Hugo
de V. Hugo
du 21 mars
E. Géraud
de son article
Il lui envoie
7)/o?'< du duc de ~?'?'
l'Ode en question
et le
plusieurs
opuscules,
~«.
H voudrait
un
1*
vol.
du Cott.N.
avec
la Ruche
ils
a!4~M!<H!'HC
échange
défendent
la même
cause
cf. MAumcE ALBERT,
sous
et la
C~t /<OMMte de lettres
/npi!?'e
Flam7!M<aM7v~!on,<<M:OM~G'e?'aMN!.
In-12,
Paris.
/~<rof<MC/<OM,
marion,
pp.xvn-xvm.
16
de V. Hugo
1815-1835,
;jOM~?<ce
18
Lettre
remercie
sur l'Ode
Lettre
20
Lettre
de V. Hugo
à Adèle
Foucher
Lettres
à la ~a?<c~,
pp. 23-25.
Trébuchet
Lettre
de V. Hugo à Adolphe
12 mai 1886 et Corre~oM6f<!Kce
Figaro,
à Adolphe
7~rc&MC~e<.
Hugo
Le /yo!?'o,
en donne
12 mai 1886,
quelques
le
reste
est
inédit:
cf.
lignes,
Appendice.
jLe«?'e
a!46e/
~3
à St-Sulpice,
de l'étaFrayssinous,
parle
blissement
de la reHgion
considéré
chrétienne,
comme
de la divinité
de la religion
preuve
26 avril
cf. l'Ami
de la Religion,
1820,
no 596, p. 342.
avait
dû donner
Frayssinous
cette conférence
déjà l'année
précédente.
;?
Chateaubriand,
Paris
cf. Journal
entre
Rupture
cher
cf. ~c«?'M
venant
de
de /)'!s,
les familles
à la Fiancée,
arrive
Berlin,
26 et 28 Avril.
a M. Pinaud
cf.
pp. 358-361.
~~5,
pp.
N.-B.–
renferme
poM</aMce
«
Figaro
»
liarité.
Co?'Mcf.
cf.
~5-
6-7.
toute la lettre et ne
Le Figaro
reproduit
La Corresqu'une
petite faute de lecture.
a négligé deux longs passages. Dans le
toute fami)iarité
« la fami» remplace
à
et FouHugo
pp. 28-29.
a imprimé
l'Ode
de V. Hugo,
sur La
bien dû à Saint-Prosper
dans
son livre,
ciement
qui, justement
V.
des
de
mort du duc de Berri.
Nous indiquerons
appréciations
Hugo.
rapidement
quelques-unes
recuei)
est écrit avec beauson utiie
« La vie (du duc de Berri)
dont M. Saint-Prosper
fait précéder
a/iKOMce
liberté
« coup de talent.
0?t y
avec ~/aMt?'
cette
qui
d'opinion
~t~epeH~aMce
ye~M/'CMe
»
Nous
avons souligné
<: de l'esprit,
il
de
réussir
dans
un
était
pareil
sujet.
et~ans
laquelle
impossible
de V. Hugo.
mots qui nous montrent
quelques
déjà les tendances
« la gloire trop méconnue
H cite~ensuite
de longs passages
de la vie du duc de Berri qui vengeront
de l'ouvrage
« elle ren« démette
». fi parle
noble
armée
de Condé
aussi de la partie
anecdotique
et d'intérêt.
»
elle est pleine d'agrément
ferme
un grand
nombre
de traits peu connus.
la vive cunosité
sans
V. Hugo ajoute
entin
« Saint-Prosper,
que son titre excitera
pour satisfaire
vers
de
différents
auteurs
sur
la
« doute
en prose et eu
a joint
à son ouvrage
un choix
de morceaux
sans
doute.
Nous
« mort de Mgr )e duc de Berri.
» V. Hugo ne nomme
par modestie
pas ces auteurs,
dans )a 7e livrais,
du CoMM/'u.
à son silence.
Le premier
c'est son ode imprimée
morceau,
suppléerons
VicTOH HuGO (pp.l!)l-t97).
Elle est
comme
le dit une note de Saint-Prosper.
Elle est signée:
Litt.,
d'une
ode
de
Charles
de
vers
de
suivie
d'une
ode de Lebrun
des Charmettes,
Uesaugicrs,
d'Egvitiv,
de voir
son
nom
ces noms
assez
V. Ilugo
n'était
L'honneur
précédant
Loyson.
pas mince,
pour
i!fustres.àeette
époque.
ti2
20
1820
A<<7
28
Enterrement
6/aKC,
Drapeau
de Volney
à St-Suipice
28 Avril 1820.
cf.
maitre
est nommé
Hugo
de Besançon
V. Hugo
avant
floraux
cf. ButH,
ès-jeux
et G. S)MON, T~K/M/tee
de
1830,
p. 130,
le texte
même
F. ~K'/o,
On y trouve
p. t94.
du diplôme.
a
Dernière
conférence
de
Frayssinous
la société
~a?'e<<y!OM,&a.~e~e
St-Sulpice
cf. La Quotidienne,
2 mai 1820.
V.
30
Fin
Lettre
dite
cf.
d'Eugène
Hugo
~4~)/)e?t<ce.
a A. Trébuchet.
Iné-
~a<
1
Mlle
à Paris,
arrivée
Georges,
depuis
quelques
vadébuterincessammentau2'!thëâtre,
~<«(~'a<M?'e
/?'MMCM~'e.
~e./H~</Me.)<e(~):Co?).s-e~.7~/<
jours
Œ'Mt7?'&S' /)0.</tMMtfA'
t.)t,
tout cet article,
sauf les dix dernières
n'a pas été reproduit.
(i) Presque
lignes,
Le début
de
font
les
sur
les
lecteurs.
(pp. 13-14)
parle
l'impression
que
ouvrages
posthumes
avec ceux précédemment
ces ouvrages
ne croient
a l'auCeux-ci,
parus,
qui comparent
pas toujours
«
de ce qu'on leur présente,
car
le mérite
de ces sortes
de livres
thenticité
est toujours
moins
grand
»
V.
« que la réputation
des hommes
on
les
attribue,
continue
auxquels
Hugo
par quelques
lignes
«
de
bon
sens:
Ce
sont
les
essais
ou
les
derniers
travaux
des
écrivains
pleines
presque
toujours
premiers
nous
livre
leur
mort
dans
« fameux
l'on
celui
des passions,
le génie
après
qui
précède
que
t'age
dans
où
le
cœur
est
se
décolore:
de ta, )'infériorité
de ce
«sommeitte;
refroidi,
l'imagination
t'age
et
la
aux
l'adolescence
vieillesse.
C'est
donc
auteurs
de
se
des
éditions
préserver
<f que produisent
de
leur
leur
commande
de
l'intérêt
détruire
tout
ce
ne
t'accroîtrait
« posthumes;
gloire
qui
il
faut
condamnent
eux-mêmes
a.
mourir
avec
eux
tout
ce qui
ne pourrait
< pas
qu'ils
point
i)
< vivre après
eux. Et ici nous parlons
ne
faut
brû)er
en
un
manuscrit
sérieusement
point
pa.rade
la copie dans sa poche. Lutti agit ainsi,
< dont on conserve
et Lulli passe pour avoir
fait de méchante
Gresset
brùla
de
bonne
foi
le
recueil
de
ses
médisances
et les épigrammes
« musique.
poétiques
qu'il
« a jetées au feu
ont une réputation
n'auraient
s'il
obtenues
les
eût
livrées
au
qu'elles
peut-être
pas
»
« public.
V. Hugo,
de si bons conseils
aux auteurs,
ne les a point mis en pratique,
il concar
qui donnait
servait
alors
ses œuvres
de jeunesse,
et plus tard il n'a
rien
brûlé
de sa
précieusement
des. œuvres
vieillesse.
V. Hugo,
ce début,
étudie
les œuvres
de Delille.
morceaux
auraient
après
posthumes
Quelques
pu
ne pas trouver
dans
ce
mais
dans
de
volume,
on
reconnait
encore
place
beaucoup
passages
l'imagination du peintre
des Jardins,
l'âme
du chantre
de la Pitié.
V. Hugo
n'aime
le
de
la Poésie
pas
père
il
lui
l'auteur
des
vers
si
touchants
de
la
Pitié
sur
les malheurs
de la famille
préfère
~esc?'tce,
Delille
sera
sans
doute
le
chef
d'une
mais
cette
école
sera
te talent
écote
royale.
dangereuse
s'y
« égarera,
et ta médiocrité
trouvera
un
elle
sera
inutile:
Delille
y
refuge
déplus
y dominera
toujours
« seul, et il n'y formera
de disciple
le maitre.
Peut-être
aussi
faut-il
être un
qui puisse
jamais
égaler
»
« Homère
faire
des
pour
Virgiles
(pp. 't4-1S).
V. Hugo tient cependant
à défendre
la vie etles
œuvres
de Delille
contre
les Aristarques
sévères
fut
«
Personne
ne niera,
n'ait
été
dit-il,
qui prétendent
qu'il ne
que versificateur
par le talent.
qu'il
le
caractère
w.
V.
n'oublie
de
nous
montrer
en
Delille
le
et
de
choisir
« poète
par
pas
Hugo
royaliste,
des citations
lui
de
faire
ses
sentiments.
Ainsi
dans
le discours
inédit
qui
permettent
paraitre
propres
de Delille sur t'.B'<<M(;a<!OH, il cite l'éloge
du grand
«
semble
Dauphin,
éloge qui
inspiré
par les vertus
« de notre
duc de Berri et dicté par les circonstances
»
présentes
(p. 't5).
V. Hugo aborde
ensuite
le joli
de
Delille
sur
« Delille
le
d'Eden.
a su se préserver
poème
/)epa?'<
« de tout tuxe descriptif
la tecture
de son poème
est attachante,
et s'il présente
dans certains
endroits
« de la prolixité,
elle est presque toujours
dans le style et rarement
dans
les idées.
On y reconnaît
« partout
et l'harmonie
de Delille (p. 16). »
t'étégance
V. Hugo cite après
deux
dans
cela
il signale
un manque
de simplicité,
un
longs passages
lesquels
de
une
recherche
A
tous
ces
de
détail
s'en
diffusion,
peu
d'expressions
antithétiques.
reproches
ajoute
un autre
Delille
avait
mis
dans
ta
bouche
de
Michel
ces
deux
vers.
plus grave.
l'archange
vos
crimes,
pour
expier
Dieu se doit vos ma)heurs,
il se doit des victimes.
« t) nous semble,
dit V. Hugo,
inexorables
ne sont
ni au texte
ni a
conformes
que ces paroles
63
6
~820
~a:
dans
C/<pMtMM~'e
t~ mai 1820.
2
cf.
C?Y<;jeaM
blanc,
Note de une colonne
et demie
sur
le
serv.
Litt.
non signée
cf.oK~<n/~e./Va?:<e~
et de la /.où'e-/H/'e'?'ï'eM?'e,
2 mai.
V. Hugo obtient
d'or réservée,
pour
à Toulouse
une
Moïse SM?' le
Con-
amaranthe
livrais,
xt, pp.
~<os.M<?/e'p.H9.
~3-20,
signé
V.
cf.
N.-B.
CE'wM
de J<tc</MM Delille,
les œuvres
lume, contenant
posthumes
et en vers
suivies
d'une table générale
tières.
Paris.
Everat,
tn-8~!mp.
Paris,
H.F.,5fevrier-t820,n"435.
Z/«.
<~
-17' voen prose
des maMichaud.
Maître
noraux
ès-Jeux
V. Hugo est proclamé
cf. Lettre
a V. Hugo,
de M. Pinaud
du 9 mai
1820
dans les Odes et Ballades,
de
édition
Nationale,
l'Imprimerie
p. 544.
ti
Poésie.
</c//eM?'t
lis d'or,
J'Ac:'démie
Le
?'e<a~MemcK<
de la s<a~Me
en 1819
le
7P, Ode qui a remporté
extraordinaire
prix
proposé
par
des Jeux
floraux
par M. V.-M.
Co?t~?'u.
t. n, livrais.
jL~<
Hugo
X!, pp.
K-7. Voir au 5 juin ~819.
Prose.
Le
FcM<<eeK et /eFoyayeMr,
dialodu bas-breton
L. Th. P.
pue imité
Signé
~'oK.sprM.
t. n, livrais.
Z!'<
Ce
xt. pp. d2-i3.
morceau
est de L. Théodore
Péticier.
8
Le 7)VoH:/cM7'
Universel
du 8 mai
1820,
des
vers
à
l'occasion
de
p. 6i4,
parle
publiés
la mort du duc de Berry.
H se borne
à donner
des noms d'auteurs
Charles
Lebrun
Loyson,
des
le comte
de
Charmettes,
d'Ecquevilly,
V.-M.
Tezenas
de MontbriValory,
Hugo,
H cite un seul
V. Hugo,
à
son, etc.
auteur,
il emprunte
deux
celles
qui
strophes,
qui
commencent
les
vers
suivants
par
Kt toi, veuve
Pourtant,
9
Lettre
eptof'ee,
ô frêle
au milieu de l'orage
appui de la tige royale,
de M. Pinaud
a V. Hugo
édition
de )'imprimerie
Ballades,
p. 544.
cf.
Odes
el
Nationaie,
d'un
inédit
BM~-Ja7'~6!/
(Extrait
ouvrage
intitulé
Les Contes sous la lente)
CoMM?'!?.
t. )t, livrais.
sans signaLitt.,
xi, pp. 23-31,
t. i, pp. 367-377.
ture
cf. P; /~Myo raconté,
H n'y a que trois petites
corrections
de style
sans importance
et inutiles.
comme
un maitre
des livres saints.
Le Dieu miséricordieux
est ici représenté
l'esprit
impitoyable.
Nous pensons que le discours
de l'archange
aurait
été plus en harmonie
avec )e ton général
du poème
au
et des traditions
avoir
en
de
l'irrévocable
sacrées,
annoncé,
mots,
si, après
peu
couple
pécheur,
du Très-Haut,
il leur eût présenté
s'étendant
volonté
consolations
en
sur les félicités
de
quelques
l'autre
eu rappelant
les promesses
de l'Eternel
et le Messie qui rachètera
les hommes.
vie, et surtout
Il est bien vrai que Dent)e a effteuré
toutes
ces idées et donné
à Michel
un air doux
et se't~y'6
à la
mais le cœur n'est point satisfait,
on désirerait
se montrât
encore
fois
que cette douceur
plus dans
les paroles
divin (p. 19). »
que sur )e visage du messager
dans Litt.
Les dix dernières
de
l'article
et Philos.
mêlées,
Elles
lignes
(pp. ')9-20) sont reproduites
le premier
sur
forment
alinéa
de la page
Voltaire.
son
char
de
119, « il ne faut
point
~M'yer
« <r!'o~Ae.
»
«
«
«
«
«
«
«
«
64
f;
1820,
Ji/at
15
V. Hugo dépose
de ;)/<e.<C7'6M
15 février
Paris,
a l'Académie
le Ce'~OKpwcyK
cf. ERNEST DuPUY, 7~6UMe de
1902, p. 857.
des
Jeux
floraux
a tenu
L'Académie
le 3 mai.
Aucune
Ode
séance
annuelle,
le prix de t'année
deux ont mérité
obtenu
intitulée
L'une,
d'encouragement.
prix
de Zf)u:s'
est de M. Dieulafoy
Siècle
.Y/F,
sur
le Nil
l'autre
qui a pour titre ~oy.~e
connu
de M. Hugo,
jeune poète
déjà
par
succès
dans le même
cf.bM~ta<
genre
15
mai
1820.
~a7'<s,
20
~7'o.s'e. Le ~M/MK,
chant
L. Th. P.
du Polonais
par
t. n, livrais.
xn,
pp. 44-45.
Pëiicier.
de L. Théodore
Zcs /t~M de /7<o?KMe.
suivi de notes historiques
sa
n'a
un
le
7'/«'e
Spectacles.
comédie
leur,
M. Gosse.
Second
en
cinq
/Mpa~
actes
et
//te~<7'e
français.
en
comédie
actes
et en
cinq
ville
CoM~e~.
Lill.
(1)
H.
pp. 31-37,
Signé
Le
en
vers,
Flat-
6
par
~Wo~Mte
vers,
t. u,
poli,
de M. Merlivrais.
Xf,
N.-B.
est
des
de
imité
élégiaque,
C~~r~:
Z.!«..
Ce morceau
est
Poème
en 6 chants,
par M. P. V. Bois-
Le Flatteur,
comédie
en 5 actes
et en
membre
de ia société
Gosse,
vers, par Etienne
les comédiens
par
philotechnique,
représentée
ordinaires
du Roi, )e t! mai d820. In-8, Imp. Fain~
Barba.
B. F.
24 juin )820,
no 2282.
Paris,
Z'OMMe
ou la Fausse
bienveillance,
poli
en
5
et
M. MerviHe,
comédie
actes
en vers, par
les comédiens
du Roi,
sur
le
représentée
par
le 2e théâtre
le 8 avril t820.
français,
tn-8, tmp.
Barba.
B.
F.
mai
t3
Fain,
Paris,
1820, no 1642.
Poésie.
~HtMe.
A
e~c.
Ode.
Lydié.
(Hor.,
lib.,
Lydia,
), Ode.
vui.)
~'e
~s?'
20
(i).
et de l'FoTMMte
est
(1) V. Hugo n'a jamais
reproduit
)a critique
qu'il a faite du f/o~eM?'
~o<t.
d'en découper
des morceaux
à cette
d'aittcurs
car son travail
se prêterait
H
dimcite
peu
opération.
tes
deux
et
les
suivre
à
V.
en
a
faut lire
ce que
écrit.
pièces
pas
pas pour comprendre
Hugo
seulement
noter
des
idées
ou
des
afïirmations
de
V.
Nous allons
quelques-unes
Hugo. !t commence
n'est pas un caractère
)a pièce de M. Gosse n'est qu'une
que flatter
pâle copie du Tartufe.
par prouver
il
flatter
A ce sujet
de piété est un motif
rien
d'avilissant.
prétend
que
par de faux dehors
qui n'a
nous semblent
V.
L'idée et l'expression
fausses.
encore
le
~a~eM?'
au
également
Hugo
compare
il s'amuse
à tourner
en ridicule
vers
~e'c/ta?t<
de Gresset,
est
puis pour le style,
quelques
(la chose
à prouver
sont empruntés
à Housseau
tacite
pour n'importe
quel auteur),
que certains
qui les a pris à
les
a
à
Juvénat.
qui
pris
Regnard
encore
au ~/e'cA6[?t~ à propos
C'est pour lui le même
V. Hugo revient
de t'Z~o~t~e
poli de Merville.
de toute originalité.
Il résume
la pièce
les défauts
tout en critiquant
rendépouillé
qu'il
personnage
mais
on
trouve
de
choses
intéressantes
à
dans
ses
sauf
contre
peu
appréciations,
quelques
glaner
dans
le
de
celle-ci
«
En
une
erreurde
croire
réflexions
c'est
que parce
générales
genre
généra!,
qu'une
« chose nous a fait rire dans le monde,
elle fera rire au théâtre.
Un homme
disant
une
sottise,
grave,
il sera hué. L'avare,
« réjouira
tout un cercte.
au théâtre
)e joueur,
le jaloux,
ne font
ceux
pas rire
ils les mettent
au désespoir.
»
« qui les entourent
du Conserv.
Litt.
et celui de
raconte
sont tellement
le mieux.
(1) Le texte
Hugo
difTérentsque
tous les deux.
est de les reproduire
Conservateur
Au
Littéraire.
V.
//M<yo
raconte.
des Dieux
dont
tu te ris
en ta folle
tendresse,
Lydie,
donc
9
Veux-tu
perdre
Sybaris?
Dans
les liens
où tu l'as pris
Va-t-it
consumer
sa jeunesse
?9
D'où
vient
en mépris
prenant
que
et sa poussière,
Le champ
de Mars
Il ne vient
dans
la carrière
plus
ses coursiers
9?
Guider
aguerris
nom
des Dieux
dont
tu te ris,
en ta folle
Lydie,
tendresse,
Veux-tu
donc
9
perdre
Sybaris?
il est épris
Dans
l'amour
dont
Va-t-il
consu~ner
sa jeunesse
?9
n'a-t-il
du
Pourquoi
que
mépris
Pour
sa noble
Mars.
pour
poussière
?
dans
l'arène
Pourquoi
guerrière,
ses rivaux
Surpassant
surpris,
Ne franchit-il
la carrière,
pas
Fier
de ses coursiers
aguerris
?9
son coeur
n'est
tibro,
Depuis
que
plus
craint-il
du
Tibre?
9
l'onde
Pourquoi
sur
membres
ses
flétris,
Pourquoi~
N'ose-t-il
l'olive
9?
pas verser
ta tendresse
craintive
Pourquoi
Amollit-elle
ses esprits
9?
sous
l'armure
Pourquoi
falisque
Ses
bras
ne sont-ils
meurtris
?9
pas
de
la
fléche
du
et
Pourquoi
disque
N'a-t-il
mérité
le prix
pas
?9
à la douleur
en proie,
Jadis,
à la cour
de Scyros,
Thétis,
Au
Sur
nom
son
et
jadis
souple
corps,
l'onde
du
cramt-il
Tibre,
Pourquoi
flétris
Et d'oindre
ses membres
Du sue
de
l'olive
généreux
Et dans
sa nonchalance
oisive,
De fatiguer
ses bras
meurtris
9?
Au poids
de l'armure
falisque
libre,
et du disque
de la flèche
Pourquoi
a d'autres
le prix
Laisse-t-il
?9
à l'inquiétude
en proie.
Telle,
à Scyros,
Thétis,
autrefois,
–65–
9
1820
~t
sières.
(Signé
xii, pp. 55-60.
S.).
Co?:sgy'u.
Lill.
t. n, livrais.
CoM.s'<«.t.u,
livrais,
xn, p. 43; 2*)
vers.
cf. F. Hugo
raSigné .1. Sainte-Marie;
t. ), pp. 243-244
26 vers,
conté,
Lydie.
</t'c
livrais.,i,
OMM~,
Horace,
Ode
Lydia,
~y'
cf. les Odes et Ballades,
édition
de l'Imvn!
le
Nationale,
p. 410. On y trouvera
primerie
texte du Co)'t~<'?'H.Z<«.
Littérature
du
Croisé;
a/t.e.
7t?~?~o~,ot<
tVM/<cr
Scott
/)ny
(4)
/e/!e<OMr
Conse~'u.
1Loin
des fatales
tours
de Troie
Elevait
un naissant
héros,
de
leurs
muraiHes,
Qui jusqu'au
pied
Sur
tes Troyens
anéantis.
Devait
semer
les funéraires
donc
une
autre
Thétis
?9
Es-tu
Loin
des
Dérobait
funestes
le naissant
tours
de
héros
de leurs
Qui, jusqu'au
pied
SuriesTroyensaneantis
Devait
semer
les funérailles
Es-tu
donc
une autre
Thétis
Troie,
murailles,
?9
a peine
En voici le résume.
deux
de son long
article.
W. Scott
(')) V. Hugo a reproduit
pages
sur
des
et
des
souvenirs
nationaux
mais
son
nouveau
plus
fCoH~'u.
Litt.,
p. 45)
roman,
sujets
«
a
du
mérite
et
du
succès.
Le
talent
est
de
tous
les
lieux
comme
de
tous
les
Ivanhoé,
cependant
« temps.
la terre
»
le génie ne perd pas ses forces,
comme
en quittant
maternelle.
Antée,
La traduction
l'on
vient
de
est
mais
un
éclatant
en faveur
c'est
publier
que
négligée
témoignage
« Si un ouvrage
de W. Scott.
doit être regardé
comme
bon. c'est quand
un mauvais
traducteur
n'a
« point réussi
à le rendre
» ~CoMM~M. Litt.,
ennuyeux,
p. 46.)
V.
ensuite
des
luttes
nécessaires
entre
deux
habitant
la même
dont
terre,
parle
peuples
Hugo
t'un est vainqueur
et t'autre
alors
surtout
a inégalité
de civilisation
entre
les deux
vaincu.,
qu'il
y
dans le cas présent
il s'agit des luttes
entre
les Saxons
vaincus
et les Normands
nations;
vainqueurs.
W. Scott a trouvé
dans ces guerres
est riche
une. matière
féconde
son
nouveau
roman
d'observations
il
ne
non
vérité
dans
les
locales
et
les
détails
morales,
manque
pas
plus.de
peintures
historiques.
n'écrit
(CoM.fe/'M. Litt.,
pp. 46-47.)
Pour accroitre
encore
de la composition,
une troisième
race se présente
naturellement
t'originatité
au milieu
des deux peuples
la race juive.
« W. Scott a su tirer
de l'aversion
générale
qu'elle
inspi« rait,
une foule de scènes
neuves
tantôt
amusent
et
tantôt
intéressent.
»
~CoM~t?.
Litt.,
qui
p. 47.)
V. Hugo cite alors
«
une page de W. Scott
tableau
fidèle de la sorte
exerd'hospitalité
que l'on
« çait alors envers
les Juifs. ~CoK~'u.
Litt.
p. 48).
H a reproduit
la page 49 dans ~«.
mais il n'a pas manqué
et pAt7o6'. M~e'e.s' (pp. 50-5i),
d'y faire
suivant
son
habitude.
Les cinq
de la page 50 (Litt.
et.
quelques
premières
changements,
lignes
trois
l'idée
mais
non
du
CoK6'e/'M.
Litt.
les
dernières
/Vt!<o<.wc/ee.s')
reproduisent
l'expression
(cf.
de
ta
La
au
bas
la
et
Philos.
a
subi
dans
dernote
de
50
ses.deux
48).
lignes
page
page
(Zt«.
mêlées)
nières
à ta phrase.
Au lieu de ces mots:
lignes une transformation
qui donne
plus de vigueur
7Mt/'coMtil
met
de
/'M~Mt'e/'
au
service
de
la
doctrine
</M
avait
le
bon
rabbin
?'MM:/t,
plet. qui
f~ë/'teHce
y
le savait
peut-être
par
ea;pe'eMce.
(Co?Me?'M. Litt.,
p. 50.)
Les deux premières
de
la
5i
et
Philos.
ont conservé
t'idée
mais non
(Litt.
lignes
page
mêlées)
du
disait:
«
CoMM/'M.
Litt.
Cetui-ci
A
<~o?tt~M
/'e;cecr<!<i'OM,
pas l'expression
/<t<e~e'<ateM<o<<'<.
« ~e~&t~Ha:<
M
<'Meo/'e </aM.< toute la cA/'e<t'eH<e/e/)/Mspro/bM<<
Mte/j/'M.
Il y a évidemment plus d'énergie
dans
« ~o:7<!MNe'cAa?t<OH</eA<Me;MOtetM/tec/<aM<t7/OH~eM:e~'M.))
»
Litt.
et Philos.
7M~/fM.
Un peu plus loin, dans la même page, on a fait une suppression
Parlant
de la
qui a son importance.
du professeur
de Kœnigsberget
de Antoine,
ministre
chrétien
à
conversion.)u
judaïsme
Rittanget
il
la
écrivait
avaient
embrassé
loi mosaïque
Ce
Genève,
qu'ils
au<;M<eM!eM<
« par MM Mtco?:ce~a&<e
dans
et
chrétien
a
Litt.
Philos.
MM/eef.
jugement,
trop
disparu
Enfin
il a ajouté
un paragraphe
dans
le CoKseyu.
Z?'«.
dont nous ne voyons
point
l'équivalent
<cAujourd'hui,
il y a fort peu de juifs qui soient juifs,
fort. peu de chrétiens
chrétiens.
On
qui soient
< ne méprise
ne
croit
matheur
Jérusalem
et
Saloon
ne
Immense
plus,
hait'plus.
parce qu'on
plus.
« mon, choses
et
choses
mortes.
Il y a Paris et Voltaire.
Tout
ceci est
Home
VII,
mortes
Grégoire
certainement
de 1834.
Dans le CoMM~'u. Litt.,
V. Hugo continue
en citant
de longs fragments
de Scott
(cf. pp. 50 à
faites au roman.
ce qu'on, a pu
53). Pour terminer
(cf. pp. 53-54) il parle de quelques
critiques
Malgré
Wamha
et ses plaisanteries
un peu bizarres
il aime
les tournois,
les
dire, il aime le bouffon
parfois
t)
d'intérêt
ne
lui
les
souterrains.
les
etc.
a
trouvé
un
défaut
l'unité
châteaux,
voleurs,
plus
grave
L'attention
se divise entre
Howena
et la juive
parait
Hebecca,
pas sauvegardé.
lady
qui à certains
moments
parait être le personnage
principal.
Enfin le dernier
du
Coltserv.
Litt.
se retrouve
dans les quatre
dernières
de la
lignes
paragraphe
et Philos.
I.a citation
commence
de la page H2 ~t«.
page ~tl et les trois premières
~M<e'es/
par ces
–M–
20
1820
~<
è
Zï<
t. n,
livrais.
X)t.
~ï~.e</V«7oA-t<?/<'e.t.
112.
pp.
<,
45-54.
i,
V.
111-
Signé
50-51,
pp.
N.-B.
FuecM/toe ou le Retour
dM C~'ot'M, par
Waiter
roman
traduit
de
Scott,
Fangiais,
par le
traducteur
des Contes
de ??<o?t A6<e, 4 vol. in-12.
h. Nicolle.
B. F.
Cosson,
Paris;
Paris,
Imp.
8 avril 1820, n° 1250.
w
d'un
inédit
~M~a~r</
(Extrait
ouvrage
intitulé
Les Contes
Conspru.
soM~/M <c/t<e)
/~<.
t. < livrais.
sans
63-72,
x)f, pp.
signacf.
V.
t.
377-388.
).
ture
racole,
Hugo
pp.
a
six
ou
ou
omissions
de
ll y
sept corrections
sans
phrase
importance.
Institut
Royal
de
France.
Séance
~Me6t?tMMC//ed<'s<yM~<7'e~icadf?/Kg.(24Avrit
Congru.
7./M.
t. n,
1820)
(1).
pp. 72-74.
(Signé
M.).
Spectacles.
Second
théâtre
radin
et ~'e'rtc,
~'o'ye'dte
M.
Liadières
Con.s'e?'
par
(1)
« On
?:OMS promet
le 7~o?tas<ëre. M Le mot
faiseurs
remplace
nous
en
avons
sur
notre
bureau
une
pile,
remplace
pile.
V. Hugo a glissé
écrites
en mai 1820, dans
un
sept on huit lignes
et aux pages qu'il a ainsi arrangées,
il adonné
postérieur,
pour date
mots
livrais,
français.
en
cinq
/«.
e'e/'teaMte/s
article
qui
Avril
1820
publi-
j'en
ne
peut
ai
xn,
Conactes,
t. n, h-
là
ctre
une
que
Il y a en effet
nulle
(1) V. Hugo n'a reproduit
part ce compte-rendu
académique.
peu de choses
à en citer.
H y a, au commencement,
sur
le
intéressantes
une
longue
page
dégoût
qu'éprouvent
pour
les lettres
les hommes
le bulletin
des pairs ou l'ordre
du jour
des
de 1820. On aime
mieux
lire
à
V. Hugo, en passant,
tient à montrer
sa science
de )a littérature
et
se moquerde
M. Carrion
députés.
de Nisas,
le dithyrambique.
H parle
des discours,
des lectures
faites à )'Académie.
La voix de l'un des orateurs
était
ensuite
a
été
un autre
lu une dissertation
un peu trop
Tout
ce compte-rendu
a
fait, je
peu élevée,
longue.
à
M.
a
en
crois
en
vue
de
la
dernière
lecture
faite
l'Académie.
Picard
M.
)e
Comte
lu,
effet, pour
bien,
dont la santé
ne lui permettait
à la séance,
une traduction,
de Neufchâteau,
François
pas d'assister
en vers, de divers
des poètes
de la Philosophie
des Poètes,
fragments
comiques
grecs,
qui fait partie
M.
V.
de
les
savantes
travaille
de
Neufchâteau.
ne
manque
pas
ouvrage
auquel
Hugo
signaler
remarques
la
et
enfin
la
et
la
facilité
de
celle-ci.
traduction,
qui accompagnent
grâce
w
V. Hugo a extrait
a introduites
avec des changements
qu'it
(1) De ce long article,
quelques
phrases
dans
Litt.
et Philos.
mêlées.
Pour
ne pas y revenir,
citons
immédiatement
la première.
Texte
du
et
CoMser~.
Litt.
En
M~
mot
il
!KueM<e
des
ressorts
semble
dramatiques
(p. 78)
(M. Liadières)
de
les
à
artisan
la force
de
semblable
cet
grec qui M'eM< pas
manquer
vigueur
pour
/<!tre~oMer,
~M~e
l'arc
Voici maintenant
et Philos.
mêlées
Il y a
le texte de Litt.
</M't< avait
forgé.
(p. 97)
des poètes
t'MueM<eK<
des
ressorts
et
ne
savent
OK
ne
les
qui
dramatiques,
pas
peuvent
pas
faire
à
artisan
de
<*a?'c
avait
semblables
cet
?t'eM<
la
tendre
y'or~c.
JoMe/
grec qui
pas
/brce
qu'il
Le reste de l'article,
sauf une douzaine
de lignes,
n'a
été
il
renferme
reproduit
pourtant
pas
Il
ia
un peu
idées
ou
théories
intéressantes.
débute
un
de
quelques
par
long
exposé
pièce,
exposé
aride
des jugements,
des critiques
fines et mordantes
qu égaient
ça et là des appréciations,
(CoH~ert).
f,itt.,
pp. 74, 75, 76.)
V. Hugo a écrit ensuite
un long paragraphe
sur la vérité
sur )e plan de cette tragédie,
historique
et sur les règles.
une partie
dans Litt.
et Philos.
§V).
On en retrouve
mêlées,
p. 287,
« Le plan.
l'histoire
et non moins
souvent
)a vraisemblance;
mais comme
cette
blesse souvent
« invraisemblance
dans
la
s'est
et
non
n'existe
nature
même
des
concessions
l'auteur
faites,
que
que
« dans la marche
de l'action
ou l'enchaînement
des scènes,
t'intérét
n en est pas détruit.
Les défauts
« de cette tragédie
ont cela d'ingénieux,
faut pour en être choqué
avoir lu l'histoire
et connaître
qu'il
« les règles;
aussi
le grand'nombre
des spectateurs
s'en aperçoit
ne
sait
peu, parce qu'il
que sentir;
« le grand
nombre
bien. Et en effet, pourquoi
trouver
si mauvais
traqu'un auteur
juge-t-ii
toujours
« gique
la
viole quelquefois
l'histoire
? Si la licence
n'est
vérité
pas poussée
trop loin, que m'importe
la
vérité
morale
soit
observée.
Voulez-vous
donc
l'on
dise
de
l'histoire
~historique,
pourvu
que
que
« ce qu'on
a dit de la poétique
d'Aristote
Elle
bien
mauvaises
de
fait
faire
tragédies
? Soyez
.67
20
1820
Mai
vrais.
xn,
74-80
pp.
(Signé
cf.
H.)
~<«.
e<
P/~<M./M<?/<'e.<,p.97,§)u,etp.287,~vi.
N.-B.
CoMfa~tM
et 7''re</e'r!c,
en
tragédie
5 actes,
M. P.Ch.
au
Liadières,
par
capitaine
etc.
la
corps royal du génie,
représentée
pour
fois
les
comédiens
ordinaires
du
première
par
le
2e
22 avril
sur
théâtre
le samedi,
Roi,
français,
1820.
in-8.
Paris.
Barba.
B.
Didot,
Paris,
Imp.
n'
27
mai
1884.
1820,
F.,
Lettre
poH~aMce
25
Lettre
d'Abe!
Hugo
cf. Appendice.
à Adolphe
Trébuchet
Lettre
(inédite);
Abel parle d'un voyage qu'il projette en Vendée,
à
et d'un voyage
de sa mère et de ses frères
Il se moque un peu de son frère ~o?M!eMr
Nantes.
Eugène.
Lettre
d'Abel Hugo à son oncle Trébuchet
n° 153,
mars
cf. Revue
des
aM<o<j~'<ïp/s-,
d893. Le sujet traité
semble
le même que dans
la lettre
du même jour à Adolphe
Trébucbet
n" 228, on y sicf. Ca/a/c~MM
CAap'auay,
la même
lettre.
gnaie
27
29
de Rohan
reçoit
cf.oM/'Ka/
Saint-Sulpice;
et Drapeau
Quotidienne
d'Abel
Hugo
cf.
(inédite)
Appendice.
à
condotéance
propos
Figaro,
V.
à
Hugo
1815-1835,
de
M. Pinaud
pp.
V. Hugo
à
12 mai 1886.
Coures-
21
361-363.
Adolphe
Trébuchet
25
Il n'y a qu'une
lecture
sans
mauvaise
importance
le
f/OM
avec
dit
le
vous,
partager
Figaro
le ~OM avec
les
<<OM6[<eM~, a écrit
~ar~a~e?'
V. Hugo.
mineurs
à
les ordres
de Paris,
28 mai,
blanc.
29 mai.
Le duc
Lettre
cf.
de
à
Trébuchet
Adolphe
C'est une lettre
de
de la mort
de la mère
d'Adolphe.
Lettre
de V.
cf.2'a?'o,12mail886
~5-3o,
pp.
N.-B.
Hugo
a
Trébuchet
Ado)phe
et
Co?'?'e.joH~Mc<?
29
7-8.
Dans
la Co/ve.s'/MM~Mce
il y a huit
font
au
moins
ia
suppressions
qui
disparaître
Dans
)e Figaro
il y a trois
moitié
de la lettre.
de lecture
e'c/uat~
le vide
erreurs
pour écrivis,
ce
rece?'e~
verres.
vide,
pour
pour
,/M<~
1
2
de Marie-Joseph
Trébuchet
aux frères
L'existence
de cette
lettre
est affirmée
Hugo
dp V. Hugo
a Adolphe
Trébupar une lettre
1820. (Voir cette
chet,
10 juillet
date).
Lettre
Le
yoM?'Ha/
</e Nantes
el de
la Loireun long extrait
du Con/H/<'y't'CM?'<' contient
~«.
une
serv.
sur
les Jeux
noraux,
puis
dizaine
de lignes
sur V. Hugo qui a eu précéa
demment
odes
couronnées,
plusieurs
qui
d'un
ouJ!/e/C!/t~e~.
jSK~<M<
(extrait
les C~M/e~' sous
inédit
intitulé
la
vrage
Co~eyo.
Z,<«. t. n, livrais.
xni,
<eM<e) Suite
cf.
V.
t.
), pp. 388pp. 99-107
~M~o raco/~e',
397. A la page 392, après
le premier
alinéa
on
a oublié
une ligne
.s''e7c:'a CM moi
?'~y'e/
Me //«~/y'?'a~
caryec?'M.s'
qu'il
/J/M& de ~a;
?~Mi!M.
N.-B.
Nous donnons,
tantpou)'
cette
livraison
« peintre
fidèle de la nature
et des caractères
et non
servile
de l'histoire.
Litt.
copiste
(CoHMrc.
Dans
et
à
une
Litt.
Philos.
on
a
ce
la
?K~ëM,
p. 77).
ajouté
(p. 287)
paragraphe
phrase,
dernière,
au
CoKM~'f.
Litt.
point
qui n'appartient
V. Xugo continue
en faisant
a su imaginer
des situations
théatra)es
remarquer
que M. Liadières
H
n'avoir
trouve
aussi
deux
caractères
biens
et
habilement
conçus
qu'il parait,
pu développer.
qu'à part
les autres
sont ternes
et pâles.
tracés,
« a bien à peu près tout ce qui s'acquiert,
Le style offre peu de remarques
à faire
la versification
« savoir
ia correction
et la clarté
mais elle a bien peu de ces qualités
qui ne s'acquièrent
pas et
« qu'il serait
ici ». (Conserv..Litt.
dur de désigner
p. 79.)
-68
3
1820
,/MM~
cette
remporté,
décernés
ment le
par
année,
l'Académie.
un
des
premiers
Il a obtenu
les autres.
la date que nous
trouvons
à )a Bibliographie
de la France,
mais H
est très évident
d3e parut avant le
que la livraison
3 juin, puisque le JoM~M~
de A'aM<M du 2 juin,
en publie un long extrait.
que
prix
récemde la
le /!e7a6/e?KeH<
lys d'or
pour
il vient
statue
de //CM?'!
Agé de i8 ans,
d'être
nommé
~<?'e
ès-Jeux
et
floraux
tel le 3 mai.
Le journal
incomme
proclamé
ma~re~.
ensuite
le nom
des onze
dique
3
pour
toutes
31x, pp.
AM/p«?'~CAam~e/:o!M.)ettre
font une critique
de
d820.
33. 3 juin
éiogieuse
M. J.
l'ode
/)/o~e
~M?' le Nil
sous la signature
(Méty-Janin).
Académie
Co?Me/'u.t«.,
(Signé
des
~eM.'c /~?'aM.E
(3 mai 1820)
t.
livrais.
107-1H
xin, pp.
J.)I
un
Ce long article
d'Abei
d'abord
Xugo contient
du 3 mai
de la séance
d820, puis
compte-rendn
do programnie.
Abel Hugo
a fait des
nn extrait
sur
Le siècle
extraits
de i'ode
de M. Dieulafoi
de AoM!6' .Y/~
de
~'M?'
le
~MtC!'<<e.
de
/?/)Mre
de l'ode Le Ce/ne,
M. Chartes
de Saint-Maurice,
de Marseitie.
Enfin
il adresse
de M. P. Dm'and
un éloge
Mme
Tastu
son
à la
pour
~/?KHe
de touer
en terminant
~Mr.~e. )t n'a pas négligé
)'Académie
des jeux floraux
qui « se montre
digne
« du titre de Seconde
Académie
de France
et de
»
« plus ancien
de l'Europe.
corps Httéraire
~euMe~ï~p'rH<?'e.~e.?~a:<e
C/ïe~y,
ou 7/M/oo'e
de la 6'OM~c7'~<tOM,
avec
etc.,
Et H:c~
cette épigraphe
?'<?XM?'</e<.
M0?'a<e
et
de
Z!<0~/ra/jAïe
politique
~/M~t~?~?'s
les ~/e?~&?'es
de la 67<6t7?:6?'e des
ou Résultat
des votes pour
et co?t<?'e
Députés,
la liberté
tHa!!t7!<~«~/e
/«.,
(d). Co~U.
t. n, livrais.
xm, pp. 115-416 (V.).
</e/a~<e'?Y<<M?'e
/~<;UMe//</c'?Y<ï~<C/«</e<
de
Hue6'~oMe<<'MKe
~9,
~ar~të
~OM?' /t
CoK.!eru.
satire
<'«)'?~'<e,
Litt.,
«MOt'yMte
article
est
tivrais.
~2-115.
Cet
t. n,
x!n,
pp.
FJ
n'osons
t'attribuer
à V. Hugo,
nous
signé
ce soit bien
son genre.
quoique
F«?'<e<ë'.<,
Conserv.
~<
~OM~c~c;
littéraires,
t. n. Hvrais.
xm,
etc.
pp.
~6-d20.
article
non
certaineCe long
appartient
signé
a
V.
mais
il
dn moins,
en partie
ment.
Hugo,
la part
lui
nous
est impossible
d'indiquer
qui
revient.
des nouIl y a des appréciations
sur
Voiney,
sur
sur
velles
Lamartine
qui
pour
D)aHe,
part
la Grèce,
sur
C. De)ai.ebrnu
qui va parcourir
commence
un
n'en', jamais
été reproduits.
Le premier
par une phrase
(1) Ces deux compte-rendus
ultras de
V. Hugo.
mais le reste nous prouve
les sentiments
et pas très claire
pour nous;
peu lourde
« H est impossible,
de lire deux
On rit de pitié a ia première
dit-il,
ligne,
pages de ce plat ouvrage.
si
en est nauséabonde.
Si le
« on bai)te de dégoût à la seconde.
Cette compilation
est
ridicule,
qu'elle
ne se disil s'est grandement
car les acheteurs
« iibraire
a cru faire une bonne
trompé,
spéculation,
de voir
leurs
« puteront
souscrit,
probablement
pas un livre où les niais mêmes
qui ont
rougiront
leur
de
« noms.
On ne peut
mieux
les Plaisirs
de C/tC/)'/
appliquant
l'expression
qualifier
qu'en
« Caithava
C'est
M/t vrai
cAao~ de &~Mes. ? »
d'ailleurs.
« Si vous voulez
très court
Nous trouvons
les mêmes idées dans ie second
compte-rendu,
ode
d'Xorace
commence
et
« apprendre
est un Mirabeau,
par For<M
que ia fameuse
que M. Manuel
si vous désirez
savoir
« tenacem,
et que M. )e marquis
de la Fa.yette
est un.homme
/b?'<M et MMcem:
« de plus que le nom de M. Aurran
de P~e/eM
a de l'analogie
avec la-loi
exceptionneHe:
que tous
du
~YKs
ouvrez
cette
« )es M~yas portent
des eAa~eaMï-'
à trois co7'He.! t'eMM~Ct<M
etc.,
siècle,
etc.,
Il est fâcheux
et que le Tari f des co?MC!eKCM;
« nouvelle
brochure.
etc.,
que )'idée n'en soit pas neuve,
M.
ne
saurait
avoir
de
conscience
« soit ta depuis
deux ans pour nous apprendre
Etienne,
qu'on
plus
que
»
« ni plus de talent
M.
Evariste
Dumouiin.
que
-69-
3
JM/M
~820
aussi
faire
un
Les
vigne
qui
compte
voyage
~feMOt~M
de M. de Chateaubriand
sur Mgr le due
de Berri ont paru
on en rendra
dans
la
compte
livraison
est de Vic(le compte-rendu
prochaine
On
des
lettres
du
avri~820
28
tor).
parie
qui
ont nommé
V. Hugo maitre
floraux
et
l'on
ès-jeux
cite le nom
des onze maîtres
liste
a été
(cette
ie
de
s'est
servi
yoM''M<!<
Nantes
par
copiée
qui
en même temps
de
l'article
d'Abel
dont
nous
avons
parié).
3
Saint-Victor
dans
le
publie,
intéressant
intitulé
et des
we~ï<<ï<:('MX
article
très
en </e/tpy'a<
M. de la Martine
Le
344-354
(J.-B.
vm,
pp.
un
Dc'CH.~Mr,
De
la /~oe.s'te
de
poétiques
t. t, livrais.
Z)e'/eMsei<?',
de Saint
Victor).
Vers le 5 probablement.
-Moïse
sur le Nil, Premiers
Ode
une amaranthe
réservée
qui a obtenu
jours
M.
Victor-Marie
de
Besançon
Hugo,
(1)
par
1820,
Recueil
des Jeux floraux,
pp. vij-x.
du Recueil
n'est
à
L'apparition
pas indiquée
B. F., mais elle a eu lieu comme
d'habitude
vers
)e 5 juin.
t. n,)ivrais.
121Cf. Co/M~'u.ZtM.
X!v,pp.
~o?.~
sur
le Nil.
In-8.
124, 10 juin 1820;
Paris.
Ode, par V.-M.
Imp. Guiraudet,
Hugo,
couronnée
l'Académie
des
Jeux
floraux.
par
9 février
n° 702;
RoTablettes
B.F.,9
1822,
Odes
et BalM~n<!<?Mps.l823,
pp. 96-100;
Me Mar!'f<K?',
édition
Odes
lades,
pp. 257-261
édition
de l'Imprimerie
NatioBallades,
nale,
pp. i84-187.
Vers
le 5 probablement.
Le VeM~e 6aH?<
Premiers
à ~H?Mn,
béroïde
Raymond
jours
qui a concouru
M.
le prix
Victor-Marie
de
pour
par
Hugo,
Recueil
des
Jeux
Besancon
floraux,
(l):
1820, pp. xxv-xxix.
à M. Pinaud,
dans une lettre
du 18 avril 1820 ~CM'7'e~oH~aMce
~5(d) V. Hugo avait proposé
à la Ire strophe,
Les voici
S" vers, il proposait
~~3.?,
qui n'ont pas été faites.
p. 359) deux corrections
4e vers,
il disait
deremp)acercAa.s'<M~~a!M!par~eMj:My!oceM~;àta8~
strophe,
qn'on
pouvait
mettre
Ses malheurs
éveillent
mon amour,
au lieu de ses malheurs
ont ému Mo?t <MKOMr.
Le texte
des ./e«j;
du Conservateur
Les O~M et
Littéraire
sont
/~o?'aM;E et celui
identiques.
fait
Ballades
n'ont
correction.
Nous la trouvons
à la 13e strophe.
au bas de la p. 260, au derqu'une
nier vers. Les Odes et /~a;<~«<e6' donnent:
Chanter
les lyres éternelles.
En 1820. V. Hugo avait
écrit
mais dès 1822 ~0<<M et Poésies
il avait
~/o<t<e/' les !yres éternettes,
fait la correction.
diverses),
o
des .Jeux floraux
n'avait
tous
les vers
de t'héroïde
(1) Le Recueil
point
par
imprimé
envoyée
h avait
fait trois coupures
V. Hugo.
et supprimé
vers.
F.
raconté
en
a
fait
cinquante-cinq
~/<t</o
mais n'a laissé de côté que 32 vers. Autre
Ce morceau
est pour le /~CMe<7<<M./M<.x
autant,
remarque
une
mais
une
le
Co<M'e/'u. ~'«.
four
héroïde,
élégie
pour
/o/'ac~M<
/,c~eMMe&nMMt
y?o?Wt;c
est devenu/~y?KOH<<f<CO/
le texte de F. 7/K~/o raconté.
Suivons
Page
263.
Les
neuf
vers ont
premiers
Le bruit du vent dans le feuillage
la paix du bois désert.
Trouble
Le uot expire sur la plage
Et dans les échos du rivage.
Prête à mourir
ma voix se perd.
été
laissés
de côté.
Les
voici
Ces lieux, si chers
a. mon jeune
Entendent
mon dernier
concert;
Seul, bientôt, le bruit du feuillage
ta paix du désert.
Troublera
neuf vers,
le /?ecKet/
des Jeux floraux
n'avait
imprimé
que les cinq premiers,
antres.
tes quatre
vers donnés
raconté
K. //«yo
ont
été
transformés.
premiers
Page 263. Les deux
par
et le CoK<;eru<!<eM/'
Z:«e'7'aM'<
d'après
le /~<;CMe<7 des .Jeux floraux
Bientôt.
Lis sans retard, lis, 6 ma douce amante,
Ces mots qu'en
frémissant
trace
ma main tremblante.
De ces
.70
âge,
négligeant
Les
voici
1820
./M<M
Cf. C~t.u.
t. x,
livrais.
Z!'<
xvt,
209-215
Le
~eM?~ 6a?i?K.
pp.
7~a!/?H07M/ à
~'H!M<ï
Odes et 7-'OM!'e.! ~up?'p~
Etégie
par
V.-M.
in-12,
-t822.
Paris,
Hugo,
Pe)icier,
V.
t. t, pp.
263199-209
?-aco~<e,
pp.
7/M~o
270
Odes et ~<
~sco/t,
Raymond
Elégie
édition
de
lades,
l'Imprimerie
Nationale,
486-491.
pp.
264.
Page
Je
Le
ler
mais
t'écris
vers
est
transformé
mon
oui,
pardonne
sort
lui
aussi
est
fixé
Emma,
car
pardonne-moi,
mon
CoMMrK.~t~.
Le
huit
Recueil
vers,
Jeux
des
jusqu'au
26S.
Après
Page
floraux,
« Oui,
vers:
le
1er
après
frémis,
vers,
le
« Ne
charmante
vers
quatre
ont
été
t'offre
un
épouse.
laissés
de
a. ce bel art
fidèle
j'avais,
que
Monté
ma lyre
en ton
honneur,
Etmontuth
insensé
devait
aujourd'hui
Achever
ce chant
de bonheur.
Alors,
Le
Dans
8e
a été
vers
mot
sein
est
fixé.
V.~M~O)-<!COH<e.
vers
ma
sort
cadavre
)),
glacé
» (p. 265.)
côté
V.
par
a
trente-
supprimé
?'<ïcoM<ë
/~M~o
j'aime,
même
transformé
ta
reposait
co)ombo
Dans
craintive
Co;t.!et'u.«.
MM
tM:'?M
ta
reposait
eoiombe
craintive
~M</o?'aeon<ë.
LeiSfversaussi:
Demain
tout
~aMr<ï!
oublié.
Demain
aMt'a
tout
oublié.
CoMM!'u.«.
Page
266.
Ou
Page
Pourrnoi,
Et )e sort
Vers
vers
Le
dormira
267.
ma
8 a
subi
un
cendre
petit
V.M<?o?'<:eo?:<e.
changement
//e7<M
abandonnée
6'otM~'u.
où dormira
ma
cendre
abandonnée
Litt.
raconté.
//M~o
Vers8et9:
tout;
j'ignorais
vient
d'apprendre
H!o<, je t'aimais
à ce tyran
Pour
~/aM
sanscraint.e
jaloux
Co<Me!c.«.
moi. j'ignorais
le sort
vient
tout
e< je
d'apprendre
t'aimais
sans
crainte
a ce tyran
jaloux
r'M<yo?'aco?:/ë.
17:
Ces
vers,
)e
Après
pour
19~
vers,
ton
qui
amour
Coy:.M)'t;iM.
<e)M/?'e
dix-neuf
vers
ont
été
Ces
vers
pour
ton
qui
V.M<yoi''<zeo~M.
supprimés
par
V.
T~M~o
racoK<f
mais
distrait
et taciturne,
Non,
depuis
longtemps,
Mon
trouble
se hsaitdansmesyeux
indécis;
Je m'échappais
dés
l'aube,
nocturne,
ou,
promeneur
ma
mère
en
bravant
ses
récits.
J'épouvantais
si j'avais
mon
zèle
ner.
heureux,
[Tantôt
gai,
par
Mérité
ses simples
faveurs;
un regard
Tantôt,
sur
te croyant
infidelle,
Sombre,
sous
les arceaux
de l'antique
chapelle
Je promenais
mes pasreveurs.]
Mon
« C'est
son Dieu
père en souriait:
qui l'inspire
« Son
tnaitreest.
comme
)ui,sombreetgaitouratour.))
Hé)as!i)oub)iait
son
déiire,
qu'aussi,dans
<
amour
jeune
»
Si Pétrarque
est
roi
de la lyre,
Il est
esclave
de l'amour.
Ma tuére.
à son époux
un œii d'envie,
jetant
Bénissait
calme
ce
trompeur;
Muette,
elle
savait,
dans
sa tendre
douleur,
L'ati'reux
ma
vie
de
mystère
Etfedouxsecret.demoncOBur.
Page
Ce qui fait
Mon
réveil
268.
les
fut
2 et
Vers
ennuis,
suivi
où
du
3
mon
pàle
âme
est
en
Ce qui
cause
le deui)
Mon
fut
réveil
celui
proie
désespoir..
dont
du
mon
paie
Co;tM)'M.<'<.
Vers
âme
est
la
proie;
désespoir,
K//M~/o?'aeon<e.
18:
En
quels
lieux
puis-je
aller
courir?
Co?txe)'M.
Sous
quels
cieux
puis-je
aller
souffrir
~t/</oraf;OK<'e.
-71
?
9
1820
7ï<tM
Vers
le 5 probablement.
qui M concouru
pour
Idylle
F.-J/.
de
Hugo,
Besançon
Aetatis
6
de Lamartine.
Mariage
notandi
sunt tibi mores.
Hor. (Ars poetica;
Ages.
par
156).
Recueil
<< Jeux /?o?'aKa;,
~820, pp. xxx<vxxxvi.
On ne trouve
pas à B. F. l'indication
de l'apparition
du /~<'CM<?<7 en ~820,
mais il a
dû paraître
à son ordinaire,
c'est-à-dire
vers
ie 5 juin
cf. Conserv.
Z!'«. t. n, livrais.
xx,
2 septembre
V.-M.
d820, pp. 369-371.
Hugo;
V.-M.
O~M
Poésies
diverses
fnpar
Hugo.
Pélicier.
Guiraudet;
Paris,
~8,Imp.
Idylle,
1825.
Inpp. 2~1-2~7
~4KMa~roM!aM<!</M~
Pas d'épigra264-266.
18, Paris,
Canei,
pp.
B. F., i"
phe.
Signé:
Victor-Hugo.,
janvier
n°
116.
F.
t. i, pp. 2471825,
//M</o raconté,
269. Vers let2:
Page
la mort est moins
Emma,
amère
on
meurt
dans tes bras.
Quand
presque
COHMt'u. Zi«.
Vers
cujusque
Les Deux
le prix
(1).
La mort,
o mon Emma,
m'eût
été moins amère
De mourir
dans tes bras.
presque
V. y/M~O raconté.
21
Fuyant
Vers
Dans
Emma,
redoutant
de la suivre,
Ct)KM?'o. Z.!«.
Emma,
Fuyant
dont
seul
l'aspect
m'enivre,
Hugo raconté.
24
ce vain
corps
resterait
pour
souffrir.
Con~eru.
Dans
sa prison
resterait
Z.
pour
souffrir.
//M~o raconté.
Les six derniers
vers de )a page 269 (V. Hugo
et les deux
de la p. 270 ont été
raconté)
premiers
laissés
de côté par le Recueil
des Jeux
floraux.
Les cinq vers que nous avons
mis entre
crochets
ne se trouvent
le Recueil
des Jeux
pas dans
mais
alors
les
autres
vers
ont
été
des
ici
nous
ne troufloraux,
que
supprimés
remplacés
par
points,
vons aucune
indication
on peut donc se demander
s'ils n'ont
au texte
pas été ajoutés
après
coup
aux
Jeux
floraux.
envoyé
Le texte
de V. /~M~o raconté
est presque
a celui des Odes et Poésies
diverses
de d822.
identique
On a ajouté
vers déjà supprimés
les Jeux floraux.
Voici
ie premier
et )e
(pp. 264-265)
vingt-six
par
dernier
Les beaux jours
ils ont fui. Sais-tu
ce qu'il me reste ?9
Demain
aura
aura touttoutoublié.oub)ië.
Toutes
les corrections
que nous avons
indiquées
de la p. 267, les vers 2 et 3 de la p. 268. Pour ces
est identique
à celui des Odes et Poésies
diverses.
des Annales
(t) Le texte
romantiques
Le texte
du 6'OM.s'e/'H. Litt.
et celui du
Prenons
le texte de
//M~o raconté
pour
Dans )e Recueil
des Jeux floraux
on
Dans le Co?Me?'u.
Litt.
on lit déjà
ia
Dans
V. //Myo raconté
on a supprimé
voici
Le vieillard
Le jeune homme
Le vieillard
Le jeune homme
avaient
quatre
été
vers,
faites
dès 1822,
sauf
les
ie texte
du CoMMrua<eMr
vers 8 et 9
Littéraire
et celui du Co?M<u.
Litt.
sont identiques.
Recueil
des ye~.f floraux
ne différent
un mot.
que
par
voir cette différence;
vers
21.
p. 248,
lisait:
ia sagesse
mes discours.
inspire
raison
mes discours.
inspire
vers
trouvent
leur
Les
cinq
qui
place au bas de la p. 247.
Redoute
un sexe ingrat
mon Os. tu dois m'en
Vole plutôt au Pinde, illustrer
ta mémoire.
Le l'inde et ses sentiers
me
sont connus.
déjà
n'aime
la
Apollon
que
gloire.
Apollon ne hait pas Vénus.
croire.
On a fait de plus deux corrections
Dans
V. /~Myo racole,
Viens briguer
p. 248, vers ler, on lit
on lisait:
au
dernier
vers
de
la
même
une
si
belle
une vierge
Brigue
donc;
page
vierge
remplace
aussi
belle.
Le texte du Co?:Mrua<eK;'
Littéraire
et celui des 0</M et Poésies
diverses
sont identiques.
.72.
Premiers
jours
.<:M
1820
10
.<)'/e./V:
J/oy~
des
par t'Académie
)~t)
OcHve
couronnée
ode,
Jeux
floraux.
en
~820
la ([Hette
Pharaon
vint
:u)
temps,
de ses filles,
pour se baigner,
accompagnée
Ex.
qniniarchaientietongdubot'ddei'eau.
ch.if,3.
M
'CoM.te~.
V-M.
124,
~/«.,
Hugo.
t.
fr, livrais.
x<v,pp.~2)-
Me.<
et
249;
merie Nationale,
~«f/
pp.
édition
492-494.
det'tmpri-
Littérature
/~e«rM
et
française.
~/e'MO<'?'
~e<'&
<oMe/~?~
/a
Vie et /a
~M</tfn~/Kps
/<. /)/?'
~/oy'<</c~4.
C/My/s-e?'<<utf<yK/
~Mc </e /~e''?'
<h'<o~,
/t/~ de ~'M/!c~,
par
M. le Vicomte de Chateaubriand
ConM?'H.
(~
t. n, livrais.
Z!«.,
x)v; pp. 425-145,
signe V.
ce long article
mais aussi,
d'abondantes
reproduit,
(i) V. Hugo n'a jamais
qui renferme
citations,
au commencement,
deux ou .trois
très
intéressantes
sur Chateaubriand,
sur
la légitimité,
et ia
pages
faction
Nous
les
transcrivons
afin
de
ne
déflorer
les
idées
de
régicide.
simplement
pas
V. Hugo.
« fi est en Afrique
une hydre
s'endort
avoir
dévore
sa
on lui aban(le T'ente)
qui
après
proie
« donne
une victime,
et l'on profite
de son engourdissement
Nous avons
acheté
bien cher
pour )atuer.
« Je droit d'écraser
révolutionnaire
mais
celle-la
ne
s'endort
l'hydre
(Co?Mw~.
Litt.,
p. 125),
pas. Le
« treize
février
nous t'a prouvé.
à force ouverte.
JI faut anéantir
« H faut donc t'attaquer
la faction
Sans
doute
le gourégicide.
« vernement
la
noble
tâche
lui
est
mais
c'est
aux
remplira
dignement
qui
confiée
aujourd'hui
« royaHstes,
c'est surtout
aux écrivains
à le seconder.
Jeunes
ou vieux,
obscurs
ou
monarchiques
on en est aux
le péril
accourent;
se rangent,
se
«célèbres,
assassinats,
qu'ils
presse;
qu'ils
qu'ils
« serrent
autour
de ce trône
la
Révolution
s'attend
tous
les
vient
que
jours à voir crouler,
parce qu'elle
« de lui donner
base
un
tombeau.
pour
« Ëfle a été longtemps
à méditer
ce crime
le dogme
sacré
de la )égi)imité
la
l'embarrassait;
« protection
si
évidemment
étendue
sur
la
maison
de France,
lui semblait
céleste,
royale
inexpticabte.
« Qu'a-t-eite
fait ? cite a tranché
ce nouveau
nœud gordien
d'un coup de poignard.
La violence
et la
voilà tout le secret
des succès révolutionnaires.
« trahison,
« La France s'est un moment
crue perdue.
tout espoir
de perpétuité
dans la race royale
Cependant
« ne lui a pas été enlevé,
et elle.se
rassure
car
il
dans son sein de
reste
encore
chaque
jour davantage
« ces hommes
contre
les révolutions,
et dont )e génie
suffire
qui sont des puissances
peut
quelquefois
arrêter
la
des
A
la
tête
de ces Français
nous
aimons
a
« pour
décomposition
empires.
privilégiés,
M.
Vicomte
le
de
Chateaubriand.
Dans
cette
de
stériiité
littéraire
et
de
monstruosités
« placer
époque
« potitiques.
du
noble
est
un
bienfait
chaque
ouvrage
pair
pour les lettres,
et, ce qui est bien
plus
« encore,
un service
la
monarchie.
On
ce que Virgile
a dit du sage jeté
au
pour
peut iui appliquer
« milieu
des agitations
populaires
/~<e )'e~t< dictis
aMMM06' et pec~oya
MM<ce<.
« Ce magnifique
est surtout
réservé à l'admirable
vient de publier
sur
la
triomphe
qu'il
ouvrage
« vie et la mort de Mgr le duc de Berri.
Ce livre a été une consolation
)a France
entière
i'a
pubiique
« iu et s'est sentie
fut peut-être
de nature
à rendre
sa perte
amère
en lui en
soulagée,
quoiqu'il
plus
« faisant
mieux
connaitre
toute
i étendue.
on
tant
de
à
voir
un
si beau
Cependant
éprouve
plaisir
« monument
élevé & la royale
a la fois par le héros et par l'historien,
victime,
que l'admiration,
inspirée
« efface presque
tout sentiment
M. de Chateaubriand
à la vérité
réveilfe
un bien
cruel
soupénible.
mais
ce
souvenir
a-t-if
besoin
d'être
réveiffé?
et
doit-on
se
d'une
main
avenir
plaindre
qui ne
« rouvre ia biessure
du baume
sur la plaie 9?
que pour verser
« Tel est le pouvoir
du génie
de ces ~/e'M:o:e~
a été un événement
entre
tous
les
l'apparition
« événements
nous
ils
ont
été en un moment
enlevés
et
agitent.
attendus,
qui
Depuis
longtemps
« répandus
toute
la
A
la
France.
de
les
avoir
n'a
été
tus.
par
fauteur,
l'enthousiasme,
gloire
après
pas
« moins grand
avant
de les lire
du
de
nos
écrivains
s'est
que l'impatience
plus
illustre
f'ouvrage zD
« trouvé
encore
au-dessus
de l'idée qu'on
s'en était formée.
« Nous voudrions
louer dignement
celui qui a si dignement
loué
notre
infortuné
duc de
pouvoir
« Berri
nous ferions
ressortir
cette
richesse
cette
de sentiment,
cette
d'imagination,
profondeur
« variété
de style,
cette prodigieuse
cette
cette harmonie,
cette néglipropriété
facilité,
d'expressions,
« gencc si gracieuse,
cette naïveté
de génie
l'on
dans
sur
les
(si
peut s'exprimer
ainsi)
particularités
« l'enfance
et la vie privée
du Prince,
et cette énergie
d'une
i~me fortement
dans
les détaifs
indignée
son exil et sur sa mort.
«.sur
Nous nous plairions,
s'est
aujourd'hui
que M. de Chateaubriand
placé
<t si haut dans la sphère
littéraire
et politique,
la
et
de
calomnie
mémo
que
l'esprit
parti
aujourd'hui
« se taisent
devant
sa gloire
sous peine de ridicule,
il revenir
sur les obstacles
ce
écrivain
que
grand
« a rencontrés
en entrant
dans la carrière;
à triompher
nous aimerions
pour lui des outrages
qu'if a
« dus à la beauté
de son génie et des persécutions
lui
a
suscitées
la
noblesse
de
son
caractère
que
« mais
des ~/ar<)/
n'a pas besoin de nos éfoges;
et si d'ineptes
l'ont
abreuvé
de
critiques
fauteur
« dégoûts
dans ses premiers
il
a
l'admiration
efforts,
reçu pour dédommagement
contemporaine,
qui
« lui répond
de cefte de la postérité.
Nous remplirons
donc ces feuitfets
de
nombreux
par
passages de
« la production.extraordinaire
sous les yeux
elle a été lue de tout
le monde;
n'imque nous avons
7111)
tO
./M<~
1820
dO
Prose.
La Hto?'/ du Fe/t</f'eK
Th.
Co/t~e?'
Péticier):
(L.
livrais.
Xtv, pp. i~4-i25.
par
Zt~
L. Th.
t.
P.
n,
~/e7aM</<;A'.
~Ky-y~<
inédit
intitulé
vrage
<CM<c),Suite:Co<tS~?'u.Lï«.,t.
V.
150-159;
xiv,
pp.
pp. 397-409.
(extrait
Les
Con~
Hugo
d'un
ou-
sous
la
livrais.
x,
t. ).
?'acoH~e,
Trois ou quatre changements
sans imet une
le
400,
portance
après
suppression,
p.
2~ alinéa
//e/M't t'OM?'!<, mais
M osa tK<ey~ow~?'e
/)e<M!ar par
son ept/tOMëMe
or</Mt<!tre.
Nota.
~/)pc/f«7e.
en
tragédie
y/te'c
cinq
CoM.<c?'u.~ï«..t.t),
français.
actes,
~'M:e<tM~,
Delrieu
(4)
Ai.
par
livrais.
xiv,
pp.
160-
i65(H.).
« porte
ce sera une occasion
de la t'élire
et qui s'en
serons
forcés
de mêler
de
plaindra
? Nous
« temps
en temps
notre prose à ces citations
à joindre
mais
elle servira
seulement
les
diverses
« parties
de notre
comme
dans
)'or. (Co~Mey'u.
extrait,
Litt.,
l'alliage
pp. 126-128.)
cette
citation.nous
ne
ferons
réflexion.
V.
est à une époque
Après
longue
qu'une
Hugo dit. qu'il
littéraire
et de monstruosités
de stérilité
Cette
transforpoétiques.
pensée, il l'a développée
plus tard,
il
et
l'a mise dans Litt.
et Philos.
sous ta date d'avril
1820. Cette page
mée, arrangée
Me~M, p. Ut,
est certainement
t'articte
nous
postérieure
qui
occupe.
Nous ne donnerons
)e
reste
de
ni
les citations
faites
pas
l'article,
par V. Hugo qui avec beaucoup
d'art y mêle sa prose, tantôt
de la première
est majes(de l'ouvrage)
pour dire que « le début
partie
« tueux
et rapide
Litt.
la
dans
le passage de
Loire
la célèbre
(CoM.<erM.
p. ~28), tantôt
pour rappeler
notice
de Chateaubriand
sur la Vendée.
Le tableau
du licenciement
de t'armée
de Condé « arrache
les
« larmes
c'est le propre
des hommes
fortement
émus d'émouvoir
fortement
les autres.
Au reste
il
« n'est
une
dans
cet
écrit
dans
la
son auteur
t'ame
la plus noble et
pas
page
qui ne décèle
plus élevée,
« cette âme passionnée
tous
les
de
MOM~M
s'est
en
ce
seul
mot
J'aurais
pour
genres
gloire
qui
peinte
« Mure
avec Périclès
et M:oM/'M' avec 7.,ëoMt~<M ~tme/'Ht/'e
<<e~fM'tsa
Cf. CoM~M.
ye'M~a/eM~.
Litt.,
« pp. ~32-d33.
Citons
encore
réflexions
de V. Hugo sur ta correspondance
la
du duc de Berri
avec
quelques
du roi des Deux-Sicites
avant
leur mariage,
« où se peignent
dans
toute
petite-fille
correspondance
ces
deux
belles
« leur pureté
ces deux nobles
si tôt et si cruellement
On lit ces
âmes,
cœurs,
séparés.
« lettres
charmantes
avec une sorte de plaisir
et
ce
n'est
sans
une
certaine
crainte
resreligieux,
pas
« pectueuse
Cette
est un vrai
de tant de vertus.
que l'on viole,
pour ainsi dire, le secret
publication
service
rendu à ta cause
Aux
siècles
dans
de calamités
on
les temps
royale.
publiques,
antiques.
« déchirait
dans les temples
le voile qui cachait
te sanctuaire,
afin que
te peuple
voir
de
pût
plus près
« ses dieux. » (CoH.s'e/'u.
/.?«.,
)37.)
p.
la conclusion
« Dans
Voici
de l'article
de V. Hugo
cet
l'homme
d'état
et t'écrivain
écrit,
« britient
avec une égaie supériorité,
et c'est une chose
de sophismes,
consolante,
dans ce temps
que
« la politique
de M. de Chateaubriand,
toute
si
et
si
forte
de
soit
en
même
généreuse,
temps
juste
raison.
M.
de
Chateaubriand
avec son âme
voilà pourquoi
il n'y a pas dans
.«
parle,
pense, et écrit
« ses ~/f'yKO"'<
une seule ligne qu'un lecteur
voulut
Pour
nous.
nous avouerons
français
retrancher.'
<f naïvement
la première
émotion
si l'ouvrage
causée
nous
qu'après
par cette lecture,
avons,cherché
« ne pourrait
maLière
a quelques
même
pas donner
critiques,
espérant
par là donner
plus de poids à
<t nos éloges.ac/'?<?</M<;c.<aM'Me<H7'<e6'<
a-t-on
dit:
nous
avons
reconnu
(.<?ct<c,
que cette
<: maxime
tant de t'ois citée était ici en défaut;
est certes
car si fart
qui a dicté ces .4/eMO'?'M,
<<t/
« ct/e, il nous est démontré
te
moins.
))
fondée
de ce bel
ne
serait
qu'une
e~<f/Me
pas
ouvrage
(Conserv.
/«.,
pp. d44-t45.)
n'a été reproduile
théatrate
nulle
dans
les oeuvres
de V. Hugo.
On le
(1) Cette critique
part
facilement.
A
l'article
est un long
résumé de la pièce.
comprend
part quelques
appréciations,
Notons
ce jugement
« Peu d'ouvrages
renferment
autant
de reconnaissances
que la tragédie
ce moyen.
vraiment
i) est habilement
ridicule
<f nouvette;
épique,
quand
presque
employé,
y devient
`
t'abus
en
a
été
fait..
« par
Litt.,
qui
(CoMM/'N.
pp. i60-t61.)
Citons
encore
ta conclusion
meilleur
situations
et plusieurs
vers, dignes d'un
« Quelques
tragiques
ne peuvent
racheter
les défauts
d'un pareil
<: ouvrage,
plan. Les caractères,
plutôt esquisses
que peints,
<f sont, de pâtes copies
fameux.
Laodice
dans
Stratonice
d'originaux
rappelle
Ctéopatrc,
~o</o</M/te
« ressemble
à Zénobie;
au
frère
de
à
dans
Le seul
0?'M<e.
Antiochus,
Nicomède
Hétiodore,
Hgisthe
< caractère
de Nicanor,
dont la. conception
à M. Delricu,
est bien tracé
et bien soutenu.
appartient
« Le style de Démëtrius
a de la. noblesse
it
et de la. correction,
il est quelquefois
mais
tragique;
Si M. Detrieu
de poésie.
n'avait
fait représenter
il y a longtemps
<: manque génu'atement
rct ouvrage
.74-
10
~M<M
1820
N.-B.
en 5 actes,
par
tragédie
M. Deirieu,
ial''s
fois
sur
le
représentée
pour
au
théâtre
ic 31 octobre
remise
français,
1815,
théâtre
avec changements.
le jeudi
18 mai
1820.
Ladvocat.
B.F:
27 mai
Paris,
)n-8.tmp.Fain,
n°
2e
B.
F.
18
édit.
novembre
1820,
1820,
-i889
no 4213.
Second
Comédie
Démétrius.
<Ae'e
en
~'t~
trois
t. n,
Noire,
/MpMï.s'.
~a DaMtf
actes
et en prose
CoH(ï)
)ivrais.
165-167
xt\pp.
(M.).
N.-B.
Nous
ne croyons
pas qne ia Dame
ait
?t0tye
été imprimée.
La dernière
de V.Hngo
page (p. 167) de l'article
sur taranteM0:rea.:été
yc/ereproduite'parie
des
des
de la" /.t«M'a<«?'<
spectacles.
~rapAe
.s'C!eH<;<s'e<<<<s'n'r~,<<?'OM<OK.<;e~t.[,!ivrais.tu,
p.32(aoutl820?).
10
Variélés.
se)'u.
/«.,
Deux
trois
à V.
Citons
de
CoMetc.
172-176.
pp.
.s'M?'
Littéraire.
A~M<<
/?'<!nfa:M
du 13 février
.s'Mtrt<s- d'une
~~20,
sur
la ?KO?'/ de S. A. 7?. ~?'
élégie
/e duc de
/~e?'?'t,
par A. d'EgviHy.
~Vos?'e<.s',héroïde;
par M. le Chevalier
Revue
/'6[«e/(~<
variétés
nous
semblent
mais
nous
ne
appartenir
Hugo,
pouvons
)'affn'[ner.
une note
sur des stances
élédans
le
Journal
de
Nantes
et
giaques
parues
C. S. K., un long
entrefilet
sur des dissignées
cours
et une attaque
contre
le ce'/e&re
politiques
une
note
sur
l'Académie,
snr
Royer-Cotiard,
Chateaubriand.
Une
d'une
critique
demi-page
d'Mne ode contré
<'?.'E!~feHce de /)teM paratt
trop
mais qui sait? 9
chrétienne
pour être de V. Hugo,
«
«
«
«
ou
7tOMHC~~
/«ë'?*a~'M,
t. n, livrais.
x)v,
ces
de
Port
Conserv.
170
de
Guy (2).
t. n,
Litt.,
livrais.
xn',
pp.
168-
)n-8,
6 mai
imp.
1820,
(U.).
N.-B.
Boucher,
n°160).
NM<<s /'raMpa:Ms,
et Uentu.
Paris, Petit
etc.
B. F.
des années
aux comédiens
une tragédie
nous
français
pour monter
nouvette)
déj& (et s'il ne fallait
croire
le
succès
de
CoH?'a~t?t
et
F/'ëa!e'?'/c
l'a
à
faire
DeMte7y'!M.<
sur
pourrions
que
reparaftre
engagé
la scène.
En tout cas, M. Delrieu
a fait un mauvais
sa pièce n'ajoute
calcul;
& l'Académie,
postulant
rien a sa réputation,
» (Conserv.
c'est reculer.
et, pour lui, ne pas avancer
Litt.,
p. 165.)
montrer
les sentiments
ultras
de V. Hugo en 4820, il n'y aurait
(!) Si l'on voûtait
qu'à citer toute
tt se moque
cette critique.
de M. Tirecuir
de Corcette,
de t'o~MMe
de M. Cugnet
de Montartot,
des
<s',
de
la pièce qui viennent
vanter/~coH(<t<;OM<<e.s'
les
<e/'6'
des prélats.
H
cAaMO!HM,
personnages
conclut
il sa grande
satisfaction
« qu'il ne suffit plus aujourd'hui
de phrases
)ibéra)es
d'une
douzaine
du parterre,
le défaut
de comique,
la nullité
de vraisemd'intérêt,
l'absence
« pour racheter,
auprès
« blance, le vide d'action,
et faire d'un mauvais
a la mode.
imbroglioZD le chef-d'œuvre
&(CoKse/'u.Zt«.,
p. 16(i.)
!1 termine
son article
ainsi
« La D<.t?He Noire
ne présente
absolument
rien
de neuf
que son
création
de cette Metpomène
des boulevards
a la muse
comme
« titre,
digne
qui ressemble
tragique
« la. Cythérée
à Vénus.
hottentote
ressemblait
La 7)f(M!e Noire
aurait
du tomber
dès l'exposition,
qui
« a iieu a la seconde
scène
de la manière
)a plus
maladroite
et la plus
ridicule.
cette
Cependant
aurait
le
scènes
assez
et ptusieurs
prématurée
empêché
public
d'apprécier
plaisantes
« justice
quelques
a l'auteur.
la
« mots spiritue)s
dont on doit tenir compte
Ce dernier,
nous
aurons
de ne
que
politesse
sans doute
ni la 7)aMe~YoM'e
retirera
définitivement
ne
nommer,
«pas
sapièce.NU'MMMte
gris,
« sont des sujets
de comédie;
mais il est un personnage
sur la
sans
doute
qui réussirait
aujourd'hui
il réussit
« scène comme
dans
le monde,
veux
dire
t'owMe
de
toutes
les
coM<eM/'6'.
(Co?Mer?j.
je
Litt.,
p. d67.)
seulement
a ces deux
t)u premier
il fait deux
(2) V. Hugo consacre
quelques
lignes
ouvrages.
citations
donneront
aux lecteurs
l'envie
de lire t'ouvrage
de M. d'Egvitty.
qui, espère-t-il,
M. de Port de Guy est « du petit nombre
des anciens
confesseurs
de la légitimité,
les
pour
qui
« règnes
divers
des usurpations
se
ans
n'ont
sont successivement
détrônées
trente
qui
jamais
depuis
« été qu'un
et
».
V.
cite
une
dizaine
de
vers
bien
tournés.
H parte
long
pénible
temps
d'épreuves
Hugo
ensuite
du même
En tête de l'un d'eux « sont rappelées.
les condamnations
de deux ouvrages
auteur.
)) dont a été frappé M. de Port
OM tK/aMta/~ex
de Guy. « Ces titres
mais
bien
<t/M;<<UM
singuliers,
« réels,
au respect
sont aujourd'hui
ta dernière
de bien des royalistes
et les seulsque
public,
propriété
« la plupart
d'entre
eux aient jamais
en récompense
de leur dévouement.
»
reçus,
7
~0
./«tyt
1820
155
Le ~t)OMpMte?t<
</e~/a~/<e?'6M
2" mention
à l'Académie
cf.
noM«r<p.684.M.E.Dupuy,renvoieatort,
cette mention
croyons-nous,
17
de 7Voe7,
4820 par
La
Veille
couronné
en
floraux,
livrais.
parMme.Tastu:
xv, pp. 477-179.
~pï~raHtHte.
~e?'<
Litt.,
obtient
/~np~o)'<
au 10 avril
Nos ?'eyy°~
par M. le Chevalier
de l'éloge de Louis ~Y!
Guy, auteur
Ptu-is. M. F.
1er avril 1820.
Boucher,
une
Ray1821.
Vers
C'e'yMe~M<e.
/a!<.s' à un <s'e)'
t. )), livrais.
<7oH.!C?'H.
Litt.,
xv,
p. ~79;
V. d'Auverney.
17 juin 1820. Signé
Cf. 0~'e?'UM/<'M?'~<s'7)/o~M,3s
année,
n°26,
20 juin
cf.
1820, p. 12o, d'Auverney
/~Myo
Les
vers
~'acon/ë-t.
t. p.2t3.
du
Con~e/'u.
/.</<
et de )'06~'<j<!<eM?'
des ~/b<fe~
sont
exactement
reproduits.
à la Vierge
hymne
('Académie
des Jeux
Conserv.
~!«.,
t.n,
J. J. Reda (J. J. Ader)
t. t), livrais.
xv, p. 179.
Co?:-
le 2 août 1818, d'après
Ces vers ont été composés
le manuscrit
même de V. Hugo.
Z<</6'?'<ï<M?'e
Le
~/oxcAe?'OM,
française.
traduit
en vers
F:'r~<7e,
français,
po~?He~e
M.
ie
Comte
de
Valori
Conserv.
Lilt.,
par
t. n, livrais.
187--193
xv, pp.
(S.).
Le style de cet article
tamaniët'edeV.Hogo.
nous
rappelle
de Port de
in-8, imp.
no 1126.
Lalla
~<«e'?'<~M/'<? 0!H~/a<e.
~OM/f/t
CM la
/<MeM~
Thomas
Moore
Magole
par
(1)
t.
livrais:
Co/t.
180-187
/<
)i,
xv, pp.
(V).
Cf. L ill. e/ /«/M.
Mi~/e<?.< t. ), pp. 52-53.
Ces 2 pages reproduisent
avec quelques chandu Co/~cru.
les pp. 182-183
Litl.
gements
cf. V. Hugo pv~'OH/e
Lalla
/~OMAA, poème
de Thomas
t.
423-430.
Moore,
), pp.
beaucoup
Littéraire.
Les
de la
/)/?'~)e'~
Abbadie
Co'<sp?'c.
/~«yo?'re
par M. Arnaud
t. o, livrais.
Litt.,
xv, pp. 202-204
(F.).
/fet)Me
On dirait
ici le style de V.Hugo.
De
encore
de cette Revue littéraire
p!us, l'auteur
parle de
6'aMa~e/'
de
Tour
f'co~e<<«
et
)'/)/'< <<M
comme
s'il avait fait )'artic!e
sur ces deux volumes.
Or,
c'est V. Hugo qui en a rendu compte (cf. 6'OM.!e/'u.
M<
t. ), nvruis.
vm, pp. 298-307).
d'un
ou~/e7aK~6.s-.
~y-ya?'ya/
(Extrait
inédit
/e.< CoM/p~
intitu!é
sous
la
vrage
t. n,
<e/t<e). Suite et fin (2)
Lill.,
Co'~c/'u.
193-202
V. Hugo
livrais.
cf.
xv; pp.
(M);
t.
?'~co/
pp. 409-419.
V. /~My/o 7'acoM<e on a fait subir
ait texte
du Co'Me/'t\
Litt.
transformations
(i) Dans
quefques
Les
semblent
bien
inutiles.
et
les
nous
suivons
le
texte
de
V. //M<yo raconté.
voici,
donner,
qui
pour
423
on
a
à.
la
3e
le
mot
.!eM/<?MeM<.
Page
ajouté
ligne
tout au bas de la page, Z~a/ceM ben Ilassem
//a/ce/H
&e;< /McAe?M.
Page 425
remplace
427
ai
]a
2ue ligne,
les mots
à)a2e)igne,)emot
femmes
coH<;M&/?tM;
Page
remplace
après
« /brMM<M
et
exclamatives
on
a
''es
mots
«
Miat/t~aM~
?H<e/o<y<ï<tUM
»,
supprimé
qui
presque
tout le /)oeyMe .!?/' le <oM /y/</M<;
blesse
le yoM< et surtout
/'a«f<t<<OM
».
On
se
demande
/a<:<yKS
ce jugement
a disparu
pourquoi
?9
Au bas de fa même
la phrase
« elle a/)/JMte soit bras.
</e sa MeMM/'e,
x se trouvait
dans
page,
/«.
tcCoH.M'y'M.
de ia citation,
les mots
voix
éteinte
après
)a'J'aligne
après
~F. //M</o racole,
p. 428, ligne 5e).
"n a fait. subir de nombreux
a la citation
6e, e~/ra~
Page 428
changements
iigne
remplace
s'il
f/0!<e/e
te sera
e/'oya/]ignc9<.cy'oya!s'reui
place eA'/jc/'a:
20e,
doux remplace
s'il
)igne
mots
24'
les
on
a
~'aMM <<e ~e7:ca,
~M&e
~OM.-E; ligne
<<)M<. excepté
sa bienaprès
supprimé
qu'il
et
tjeï'~a?t&e
loi
26''
le
~M
27e.
nous
atMo~M
le
t/e
/.)OMr
lignes
yM/MMt
fleurs
que
remplace
parfum
nos fleurs
f/NK~ ce bas !HOM~c.
c/t~M
iigne 33e, ?e<a~
remplace
lui
donne
<a
mort
lui
<<o/tMe la .s'aM~e ou la ?/M~'<
Page 429~ ligne 22~ <yM';7
remplace
qu'il
~/t
si
mon
être
Pleît
ait
23°,
ciel
wo/t
ligne
sa~
pouvait
reuipiace
que
A'f<M</soit
33e, a~aligne
e/te tes lèvres
aux
M~eMMe~ rempiace
attache
tes <e~e.!
à mes lèvres.
430.
les
été transformées.
Voici
le texte du CûMM/'u.
7, 8. 9, 10 ont
Litt.
Les
Page
lignes
~f
T'/io~a~
~/ooy'e
o?~
le
de
OMcya.~M
plu
~e'/tey'<e/MeM<
qui
claoqueront
toutefois
y/o!<<
~Me~MM
e<M c/a~6'!</Me .!aM).' qu'ils
motiver
/e!<?'
6'e't;e/'?'<e.
/.a
e/tcwt/xoM.s'
/)M/MeM<
~OMt'e /'oMa7t<Me,
par ses
et
à
indécises
la cr!</<y!<e.
/br??:e6' t;a~MM
ec/ia/~e
un certain
nombre
de changements.
Prenons
F. //M.</o
(2) On a fait subir à la fin de Bug Jarga)
7'acoM~c'
au bas de la page,
cet c[y&?'~ remplace
ce ~e'~e?<ï/.
Page 4H
On a transformé
les quatres
une amphibo)ogie
Page 4)3
premières
pour éviter,
je suppose,
lignes
lisait
«
on
allez dire it Biassou
sur
son
car
il a
Frères,
qu'il ne déploie
pas Je drapeau
noir
captif,
sauvé
ia vie à Bug-Jargai n
et Bug-Jarga)
la phrase
de
n'est
ZD
ZD veut qu'il vive, ornais
//M<yo<'acoM~e
heureuse.
guère
plus
i2e ligne,
la
le mot /!<v/e
on a supprimé
« Il fit un signe
Bask sauta
à
après
plusieurs
lignes:
76
177
1820
.«M
20
Ce <yMe~o'~tc.
Vers
06.!e~'ua<eM?'
des ~fo~cs,
23
Lettre
de Sigisbert.
CoM?'r/e?'
/?'aMp~M
n°305.
vay,
/'a<~
20 juin.
un
~e.!M7'<.
Cf. 17 juin.
au rédacteur
du
Hugo
cf. Ca<a/o~!<
CAa?'a-
./Mt7/e<
Poésie.
Le
&OHH:.
à
jt'eM~e
~ay/MOK~
Co~MM'u.
Zt«.
t: n, livrais.
jB'M~M< élégie
209-215.
V.-M.
cf. Premiers
xv), pp.
Hugo;
des
jours de juin 1820, ~ecM<?~ de /4ea~p'M!e
·
Jeux /?oraM.E.
7'/t<K~'e
Le /'o~!CM~ec/ae/e-s-.
français.
comédie
en cinq actes et en vers
CM/au'e,
par
M.DeiavittedeMirmont.
~ecoM</ /<e
7.'a7'/<~<e
<!Ht~
/?'M/ipaM.
comédie
en cinq actes et en vers
lieux,
par
M.Théauion(i).
« mes
« moi
« vint
me cria-t-il.
Le jappement
du dogue
Suis-ie,
devant
pieds.
disparut.
qui marchait
il
me guida
travers
les ténèbres;
nous sortîmes
du mont.
En entrant
dans ia vallée,
Bug-Jargal
»
au-devant
de moi, son visage
était serein.
Aux i6e et He lignes,
on lisait
« J'ai fait dire à Biassou
de ne pas déployer
le drapeau
noir au
lieu de « Biassou
ne dépioira
»
pas.
la
2e
on a supprimé
une phrase
« J'étais
Le peu que je comprePage 4-17, après
ligne,
pétrifié.
« nais à ce qui venait
d'avoir
lieu me faisait
tous
les
»
malheurs.
prévoir
Aux lignes 5e et suivantes,
il y a eu des transformations,
on a supprimé
de petits détai)s
ie chien
baissait
la queue,
ses grands
étaient
humides.
Le
sentait
les
mêmes
craintes
yeux
capitaine
que lui,
il faisait
vers lui.
quelques
pas de son côté au iieu de s'élancer
5 et 8 ont été transformées.
JI y avait
ceci
« Je lui annonçai
Page 4i8. les lignes
simplement
« que ce serait
lui ou dix des siens qui vous tiendraient
à
la ligne 9e, on n'indique
compagnie
»
plus
comment
s'était
«
sauvé
en
faisant
un
trou
B.
Bug-Jargal
grand
« Le sergent
on lisait:
se tut. »
Page 419, à lafin,
Nous n'avons
une certaine
Nous
avons
indiqué
que les changements
ayant
importance.
négligé
toutes
les petites transformations
sans valeur.
n'a pas été reproduit,
V. Hugo.
à propos
du Folliculaire,
fait un
()) Cet article
croyons-nous.
entre
la
de cette comédie
et la première
des CoMe<~e?M.
JI
rapprochement
première
représentation
ensuite
du
teint
de
la
et
des
libéraux
riaient
du
bout
des iëvres
parle
royaliste
pièce
journalistes
qui
Litt.,
(Conserv.
p. 223).
H est, quant
à lui, trop petit pubnciste
les vices et les ridicules
des journalistes.
pour connaitre
La pièce nouvelle
offre beaucoup
de ressemblance
avec le Tartufe
et V. Hugo
cherche
à le prouver. Le Folliculaire
cela est amusant
il est supérieur
aux Comédiens
et l'inmalgré
par
l'intrigue
térêt.
Le dialogue
est plein d'esprit
et de naturel
il y a des traits
des idées
de
piquants,
ingénieuses,
beaux
un style plein de verve;
les caractères
sont habilement
tracés.
vers,
Au commencement
de son compte-rendu
sur l'Artiste
V. Hugo
fait
d'érudiambitieux,
preuve
tion.
de
nous
et
le
traducteur
des
Contes
~4/'f<&M
dans
leur
L'évêque
Claudianopolis,
dit-il,
rapportent,
à
la
o;'tfM<a~
de
.')/.
cette
maxime
des Persans
~M/)p~e'/KeH<
bibliothèque
d'Herbelot,
qui possède
un art peut dire
est
Ce
début
n'amène
)e
mais
V. Hugo
a fait
</M'!<
grand
seigneur.
guère
sujet,
de
science.
preuve
L'Artiste
ctM&t<!eM;e rappelle
le Glorieux
de Destouches.
Le plan a des défauts,
mais
il a des
intentions
et des scènes piquantes.
Les caractères
ne sont pas tous
dramatiques
soutenus
également
le style n'est
assez
et
la
écrite
avec
pas
cependant
soigné
pièce~est
esprit.
V. Hugo se moque
de jeunes
niais qui ont applaudi
des traits
contre
les distinctions
« On
sociales.
« regrette
M.
dont
les
Théauion,
ait
cru
sont,
dit-on,
de s'asque
opinions
monarchiques,
prudent
« surer ce pauvre
de succès.
« L' Artiste
ambitieux
n'est pas une bonne comédie
ce n'est
moyen
non
une
comédie
médiocre
».
pas
plus
« pourtant
dans la Quotidienne
N.-B.
On trouve,
du 5 juin 1820. un article
sur r~)'<e
f/m&eM.-c
de Théaulon
l'on
facilement
de
celui
de
V.
Il
idées
rapprocher
sur les
que
pourrait
connhunes,
Hugo.
y a trois ou quatre
sur les traits satiriques
contre la noblesse,
sur ~léauton
huissiers,
on
au
trouve,
royaliste
y
commencement,
avec )e Glorieux.
le même rapprochement
Dans le Drapeau
M<Mc du 8 juin, MartamviHe
écrivit
un article
sur le Folliculaire
on trouve
les mêmes
idées que dans
le Cogère.
223.
allusions
aux
Z!«.,
p.
journaux
à Molière et Tartuffe,
mêmes
idées pour le style.
royalistes,
77
i
VM<7/e<
4820
La ~apo?:ney:'e,
en 3 chants,
avec
poème
des notes
et crihistoriques,
étymo!ogiques
:CoM.s'c?'t\
Hvi'ais.
Z,<t.
u,
xvi,
tiques
217-223
Article
d'Abei
contre
pp.
(A.).
Hugo0
la franc-maçonnerie.
HOMuc//<s'
F'~7'<<<,
/<e'?Y<s,
CoK.s-cru.
t. tt, )ivrais.xvi,
Lill.,
pp.
etc.
240-246.
Nous devons
reconnaitre
la main
de V. Hugo
dans quelques-unes
des rarî'x7e'~
ou ~VoM~e~/es
.Littéraires
la note sm' Guiraud
par exemple
a
dont' le /e/H.(/<;
été reçu au 2e théâtre
français~
la note sur Edmond
Geraud et la /<«c/te d'Aquidu 2e volume
de l'Essai
sur
<a!;te, t'annonce
de Lamennais.
<M<.<t~j're;tee
~M7'
Co?t~
quelques
phrases
Z:'M., t. u,tivrais.
(/M
xvi,
~<P~e«/
pp. 246-248.
Cet article
est sisnë
Les /~eWac<eM/
dit CoMMrua~eMr
/,t«e'at~e.
Une part en revient donc it
V. Hugo. C'est une attaque
du Oe'/<'MxeM/' et une
« le
de Chateaubriand,
apologie
dithyrambique
noble
pair », le chef des royalistes,
«)epius
illustre génie du siècle ».
Histoire
de
Gil
etc.
~Ma'/e,
par
etc.
Neufchâteau,
Lefèvre.
Paris,
Z~/as de .S'HK<Mn<?
/)<!?'
M. le Comte
de
François
3 vol. iu-8. tmp. Crapeiet,
223Co/<.s'e?'u.Z!t.n,)ivrais.
xv),pp.
cf. Le télégraphe
de la litté231, signéH.
des spectacles,
des
sciences
et des
ra<M?'c,
Il
m, pp.
27-28.
arts,
T'oM/oK.~c, t. i, livrais.
une partie
des pp. 224, 225, 227 du
reproduit
Co?Mg~.
sur le /o~ïCM/at7'e
et une
Litt.,
de la p. 229, sur t'~d~e
aMt&t~eM.E.
partie
N.-B.
Le Fo~tcM~aM'e,
comédie
en 5 actes et
en vers, par DeiaYiHe
de Mirmont,
représentée
les
comédiens
ordinaires
du
roi.
le mardi
par
6 juin 1820. !n-8, imp.
Paris;
Fain,
Paris, Ladvocal. B. F.
24 juin 1820, no 2281.
L'~4r<M<e aMt&t<!M<.c ou )'~<<o;j<tom. comédie
en 5 actes et en vers,
par M. Théau)on,
représentée sur le théâtre
du faubourg
Saintfrançais
le
3
1820.
Germain,
juin
In-8, imp. Didot, Paris
B. F., 8 juillet 1820, n° 2519.
Paris, Barba.
Revue
/:«e'?'a<)'e.
Hommage
de ~Van~'re
«M.K ?y!<~MM de
</Me</p~c?'r<:Co7!seru.
j~
xvf, p. 238 (U.).
de ~'aueM~/e
A. R. ~?'
le
t. u, livrais.
)) n'y a que quelques
lignes pour dire que ridée
est touchante
et que les regrets
de l'aveugle
sont
avec
naturel
exprimés
etsimpHcité.
N.-B.
de
etc.
~f<wtM6t</e
l'Aveugle,
fn-8,
Boucher
B.
20
mai
n'
1822.
F.,
1820,
tmp.
Lettres
On trouve
dans cette édition
['examen
de la
de savoir
si Lesage
est l'auteur
de
question
Gil R/<M ou s'il l'a pris
de l'espagnol,
etc.
de Neufchâteau,
par M. François
B. F., ~rjui))et
~820, n" 2354.
Article
Trébuchet
sur
signé
(une
colonne)
V. Hugo et ~/o!.s'g ~M;' le ~V! dans
le ./OMr/i<ï<
~e7V~M<e.! et de /a Zo~'e-/n/<«'H?'c,
~jui!~eti820.
de V. Hugo
a Adolphe
Trébuchet
12 mai
cf. Coy'y'p.~o~~aHCp
Figaro,
1886;
de la lettre
~~5-35,
pp. 9-11. La moitié
est supprimée.
On y trouve
aussi
plusieurs
cf.
inexactitudes
j4/t6~'ce.
/~Ke
de /.a&OM!~xp.
/~<c/:otMH:e.
L.
de
C<~e/(M~.
la
F/p.eM.c.
De.s'cû?H&M
6*M.p.
(1)
C~/ï~'M.
Z./«.
t. n, tivrais.
255-2C1
xv!i, pp.
cf.
et Philos.
t. 1, p. 157.
w:~t'
(U)
poétique.
V. Hugo
fait de nombreuses
citations:
il se contente
(-1) Dans cet article,
ça et ià une
d'ajouter
ou
un
critique
éioge.
A), de Labouïsse
est un poète
aimable
et un poète
Dans son
fidèle
(c'est-à-dire
royaliste).
élégie
~/K Mta/«</i'<; on trouve
les sentiments
d'un
bon père.
d un bon époux
ii y a des
et d'un bon français,
idées
avec bonheur
dans son idviie Z<!A'o/!<M</e.
exprimées
gracieuses
Le Cu/t.ff/'u.
A</<. n'insère
les
chansons:
on l'ait une exception
de M.Cipcipas
pour des couplets
re) inlitulés
Le ~fM~<<e/
a imité
M. Hicbomme
en vers
une
trad!nte
de FAitemand
B/a~c/'e
et tr't/Af/Mt,
insérée
éiégie
dans
lit xme
tivraison
du CoHA'eru.
V. Hugo
Litt.
cite
des vers
touchants
ne manquent
qui
pas
«
On
trouve
dans
la
M.
de
sans
est
des
traces
pièce
d'énergie.
Richomme,
doute,
encore,
qui,
jeune
< d'un
talent
aurait
tort de ne pas cultiver.
»
qu'it
« H y a de bons sentiments
et de bons vers dans une 0</e
contre
les MMMMM de la /</<</MK<ë
« que nous
transmet
M. de la Villestreux
mais
il
a
un défaut
des
»,
y
prosaïsmes
fréquents,
presque
de
absolu
mouvements
!)
est
l'auteur
de
de
a
de
~V<ïK<e~e
duc
lyriques.
t'OMMa<y<;
<'at;e;t.~e
de Berri.
Le CoM.<e/'u.
Litt.
ne peut pas admettre
les poésies
La pièce
~OMueMt/
e'7'o<Mc.s'.
envoyée
par
M. Gaspard
Descombes
est de ce nombre.
« Elle n'est dénuée
ni de grâce,
ni d'é)égance,
ni de frai« cheur.
»
«Au
reste
nous croyons
utile de prévenir
en passant
nos jeunes poètes
contre
le genre
« érotique
ditîère
du
Et
a
ici
nous
nous
bornons
les
qui
beaucoup
genre
purement
e/e'~?a<yKe.
piaider
«intérêts
(le i'art.~ »
Les cinq dernières
(ie son article,
dans
/.t~.
e< P/tt7o~.
lignes
Mie/eM, t. 1,
V. Hugo les a insérées
157
milieu
de
la
«
La
des
etc.
»
p.
(au
page)
peinture
passions
-78-–
1
10
et il
22
./M<7/e<
1820
3
fi
Trébuchet
aux
frères
d'Adolphe
de V. Hugo a. Adolphe
Trécf. Lettre
Hugo
buchet
1820).
(10 juillet
de l'Essai
sur
Le second
volume
~H~<~e-'
cf. La
est en vente
)'eMce de Lamennais
7 juillet.
Quotidienne,
10
d'Abel
à Adolphe
Hugo
à celle
de Victor
du même
jointe
dite. Cf. Appendice.
15
du
V. Hugo
assiste
à la leçon
de clôture
latine
de Tissot:
Co)Mf?'u.
de poésie
cours
t. n, tivrais.
xvm, pp. 321-325.
Litt.,
Foucher
se rencontrent
V. Hugo
et Adèle
au bal de Sceaux
Ze~-e.<
à la fiancée,
p. 55.
16
Mi-juillet
22
~feMO~'M
7H~<0?t
de
Lettre
Lettre
Mme Hugo et ses
n° 10
cf.
Mézièi'es,
Trébuchet,
Adolphe
.sp?'?'
ouvrage
a
/t/.«o~-e
imprimé
contenant
de
sur
la vie
la
les
du
manuscrits
autographes,
Grand
écrite
feu Mgr le prince
de
Condé,
par
et la correspondance
de ce prince
avec
Condé,
les souverains
des familles
et princes
royales
de l'Europe
CoH~e?'u.
t.
livrais.
Zt«.,
n,
(1)
cf.
Z.!«.
et
Philos.
xv)i,
pp. 26d-27d
(V.)
mêlées,
pp. i56-d57.
Trébuchet,
Inéjour.
fils vont
habiter
Lettre
d'Eugène
4 août 1820.
poM)'
Condé,
N.-B.
~/t;'?HO:M
~e?'M; M l'histoire
de
pour
maison
de Condé,
etc.
T.
chez
in-8,
Boucher,
Paris
)'édit.,
imp.
rue
des Bons-Enfants,
no 34, B. F.
22 janvier
1820, no 332.
T. n, in-8, imp. Gratiot,
chez l'édit.,
rue
Paris;
des Bons-Enfants,
no 34. B. F.
29 janvier
1820,
no 335.
2e édit.,
2 vol. in-8. Paris,
imp. Boucher:
Paris,
chez )'ëdit,
rue des Bons-Enfants,
no 34 et chez
B. F.
Ponthieu.
2 décembre
no 4375.
i820,
la
rue
de
à
Hugo
dans
le .De/eH~'CM?' un
t)e St-Victor
publie
2<= article.
De /M poésie en général
el des Mteditations
;)M7/MCS
d<' 7)~. de /M ~/a?'<g.
du 3 juin.
tt y fait
C'est la suite de l'article
~o~e
su?' le 7V!7
de l'ode de V. Hugo
t'étoge
cf. Le De/'en.s-pM?', t. n, livrais,
xvi, p. 117,
22juiHetl820.
mort
le
M. Charles
A'ec?'o/o~e.
Loyson,
27 juin 1820
6'o~c?'t\
Z.<«., t. n, livrais.
xvi!,
est
d'Abet
Hugo
pp. 284-285,
(A). Cet articte
un étoge de Ch. Loyson.
24
J.-H. Rousseau
avait lu à Voltaire
son Ode
« Elle
n'ira
à
son
à <a Po.s'<
pas
adresse
Arrouet.
On n'en
», dit le sardonique
au Génie,
ode que M. Victordira pas autant
V. Hugo
n'a reproduit
le dernier
dans Litt.
et Philos.
(4) De ce long articie
que
paragraphe
?/t<?<e~, tout le reste est inédit.
au nom
V. Hugo commence
de la magie
de Condé.
))réveii)een
par nous parler
qui s'attache
nobles
et
ne
sont
de
notre
V.
notre
une
foute
d'idées
généreuses
qui
plus
temps.
esprit
Hugo profite
du meurtre
du duc d'Hnghien
sa
haine
contre
pour exprimer
Napoléon.
« Un homme
nous comme
vivait
le
encore,
qui est venu parmi
pour attester
que la Révolution
« meurtrier
de ce même
a mieux
encore
en faveur
de l'illustre
nom de Condé.
en
prince,
témoigné
a-t-il
f/<MM le c:e~ jooMy
« iui consacrant,
une de ses dernières
Je voudrais,
a~e;'
dit,
imprécations.
l'athée
a
Dieu
et
du
à la vertu.
« j/ <OMrM:e/t<et' le /<?Mce </e 6'o~~e.
de
crime
Hommage
effroyable
« Bonaparte,
né dans l'anarchie,
connaissait
de même
tout l'empire
des souvenirs
de la
despote
« race de Condé
sur les Français.
Sans rappeler
son épouvantable
du 22 mars
nous
troud804,
faute
« vons la preuve
nous
dans
tant
dura
son
de ce que
avançons
l'opposition
qu'il apporta,
que
usurpa« tion. à ce que la vie ~M ~y'H/t<< CoM</t', écrite
le
de
vit
le
par Mgr
prince
Condé,
jour.
('CoH4'erc.
Lt«.,p.262.)
L'auteur
mêle
aux
de cet ouvrage
qui n'est
pas un panégyrique.
V. Hugo fait ensuite
)'é)oge
sévères
la conduite
du grand
Condé.
V. Hugo
fait une
les observations
politique
éloges
que mérite
exités
mais
il
entre
les deux Condés~
tous
deux,
différentes;
comparaison
pour des causes
longue
citations
montrer
le
de
est
un
de longues
que
noble,
simple,
quoique
peu
apporte
pour
style
l'ouvrage
prolixe.
du dernier
V. Hugo se montre
ensuite
de Condé.
treséiogieux
pour l'historien
prince
la
inédite
a
les /f<c'-A'!Mt//e « qui
Il n'oublie
volumineuse
correspondance
pas
jointe
l'ouvrage,
éveillent
un souvenir
et satisfont
une curiosité
». En traits
il exquisse
ensuite
l'histoire
de la
rapides,
a du combattre,
avec
de t'armée
de Condé
alors
était
(que son père, il me semble,
qu'il
campagne
Moreau
sur le Rhin).
H termine
Litt.
et Philos.
enfin par le paragraphe
M~/KM, pp. 1S6-1S7.
qu'on
peut lire dans
-79
22
Juillet
1820
de faire paraître
le poète y amis
Hugo vient
au
<7en~
le nom
de Chateaubriand
l'Ode
de ne
est bien a son adresse.
Nous regrettons
de cette beHe
citer que deux strophes
pouvoir
ode.
Cf. Drapeau
1820.
&/anc, 24 juillet
Fin
juillet
Fin
juillet
à Paris.
« M. Soumet.
Arrivée
de Soumet
cf.
La
est a Paris
depuis
quelques
jours ?
aussi
31 juillet
Voir
1820;
0MO<eMne,
x)x
~'OM.s-e?'u. Litt.
t. i), livrais.
Fa?'e/M,
nouvelles
19 août
//«e'?'<ï!?'
364-368,
pp.
est annoncée.
1820, où cette arrivée
Lettre
de Soumet
à J. de Rességuier.
arrivé
à Paris,
fraîchement
met,
y
de V. Hugo
V. /o
BinÉ,
portrait
~30,
pp. 152-153.
Soufait
le
avant
AO!~
d
très
élogieux
le G'c'H!?. « Dans
Entremet
jPe6a~
sur
du Journal
des
cette ode ~'M?' le
Le
Poésie,
Chateaubriand
Génie,
(1).
le
ode
Vicomte
de
le tirage
à
~!«.
certainement
avant
le 5 août ainsi
t8e du Conserv.
parut
que
(1) La livraison
à
mais
ils
sont
certainement
de la FraHce
les donne
tous les deux
cette date,
La ~'Mo~'a/j/tt'e
part.
à
A.
datée
du 4 août,
annonce
l'envoi
du tirage
lettre
antérieurs.
Une
Trébuchet,
d'Eugène
Hugo
le M juillet,
fait réloge
de t'ode de V. Hugo;
le
à part.
De plus, le 1er août,
le Journal
des Débats
à
L'ode
était donc parue
cette
blanc
en cite deux strophes.
époque.
Drapeau
vers changé
8e vers,
à part ne diffère
du Co?Meru.
Le tirage
Litt.,
(8e strophe,
que par un seul
/eMyA
?HatM~
serviles.
Litt.
disait
Des
Le
Odes et Ballades,
l'ers chargent
p. 277). Le Co?Merc.
leurs
serviles.
Les Grecs courbent
à part a donné
le texte qui est resté
/OK~
tirage
Lien des changements,
soit en 1822,
soit en 1828
on
on a fait bien des corrections,
Mais depuis,
2 décembre
1911.
dans
la /~uMe
soit M. Barthou,
a signalé
bien des variantes,
bleue,
pp. 708-709,
l'édition
des
ÛDES
ET
BALLADES
de
dans
sous le titre C/<a<ea'<&ta?tde<
)~. /~M~o, soit M. G. Simon,
et ces variantes
en suivant
Nous allons
noter
ces changements
yVa<MKa<e,
pp. 515-519.
l'imprimerie
l'édition
ne varietur.
l'une
est empruntée
En 1822, V. Hugo avait mis deux épigraphes
Commençons
par i'épigraphe.
'). Cn vient de )a rétabHr
dans l'édition
de /?K/)rMKeyte
« Va d'un
au Capitole
an Tasse
pas ferme
Pensées
~:t)e/M
la.
trouve
dans
les
de Lamennais,
était restée. On
~a<t't)~r<<<
(pp.
L'autre,
570-571)
le
xvnie
siècle
et
~M;'
sa
situal'Etat
de
de
/aKce
suivent
les
A'M/'
/'e'.y/Me
pendant
/e.ei'o?M
qui
Tournachon.
~<tV!e~ de tllélanges
<wt ac<Me//e,
fn-8,
1819, Paris,
religieux
e<t~o~op/t!</Me~.
les vers 1, 2, 4 ont été transformés
en 1822. Voici les deux textes
A la 2e sh'opi~e,
D'un t;c)a.t magique
et céleste
ses yeux
La Gloire fascine
U subit, le pouvoir
funeste
De ce fantôme
impérieux
</OH~M.
Voici,
pour
les mêmes
vers,
deux
La gloire,
fantùine
céleste,
de loin u. ses yeux;
Apparait
funeste
)) subit le pouvoir
De son sourire
impérieux
Odes et Ballades.
Litt.
autres
variantes
signalées
Il subit
ton pouvoir
funeste,
Gloire, fantôme
impérieux
Tu l'entraînes,
Dans t'avenir
A la
1
4
S
bene et céleste,
mystérieux.
M. G. Simon
3e strophe,
signale
Si la Sirène qu'il adore
Ou si la Gloire qu'il adore
L'accueille
après de longs efforts,
La variante
du vers
7 est ie texte
les variantes
même
du
M. Barthou
et par
M. (i.
éclat. céleste,
Tu pares d'un
Son avenir
mystérieux.
suivantes
5 La Haine, l'Injure
impunie,
C Le Dédain
qui suit le génie
7 Usent les jours de ce mortel.
8 Du malheur mémorable
exemple.
Co;Me/'f.Zt«.
-80.
par
Simon
5
1820
~40M<
à M. de Chateaubriand,
« G'eMï'e, adressée
te
« poète
se tient souvent
a la double
hauteur
« de son sujet.
cf.OM?'na~
des
R.
? Signé
d" Août 4820.
Débats,
du CoK.~erua~M?'
parle
le y~!<rKa/
</e ./Van<M
2 août 1820.
Z.OM'e-7n/ë'?'!eM''e,
Trébuchet
t'aù'e
dans
Lettre
d'Eugène
Le Figaro
(~2
seulement
quelques
6'o?Me?'u.
Litl.
293, Signé V.-M.
Cf. Le Ce/ne,
Trébuchet.
Hugo a Adolphe
en a reproduit
mai
1886)
envoie
six.
lignes.
Eugène
A la 4e strophe,
notons,
M. G. Simon,
d'après
trois
variantes
1 Toutefois
dût-il
être
2Aux
traits
amers
de
2 Aux
tourments
longs
8 Voudrait,inSdèleasagloire.
Pour
la
Se
strophe,
ton
nom
Quand
M.
doit
G.
survivre
Edit.
De
lades
les
plus
celui
du
donne
Simon
aux
une
vers
au
variante
riantes
nale,
6e
on
strophe,
signalées
p. 816).
5 Longtemps
sur
relève
MM.
par
été
les
Barthou
dans
ignoré
vers
en
changés
1828.
vers
ton
nom
et
le
doit
G.
plusieurs
Odes
(cf.
Simon
à
Voici
de
du
côté
aux
variantes
nef
a
7 Souvent
8 Ainsi
lutté
contre
et
9 Errait
vieil
le
jadis
inconnu
sur
l'onde
6
Qu'un
A )a
7° strophe,
Tu
Voici
son
jour
fuis
d'après
le
la terre,
le
feu
les
devait
3°
vers
pur
qui
a été
corrigé
après
A la
tours
de
8c
strophe,
leurs
~'aHS
le
âme
8~
ont
cle
vers
pour
Odes
quelques
et
Bal-
bien
des
Bornant
6,
8,
lointaines,
Sorrente,
tes
9
Tu
devais
errer
sans
Longtemps
Tu
autres
en
une
Sous
étoile
vagabonde
Comme
le vieux
toi,
Méonide,
Avant
Traîna
va10,
Natio-
9,
l'imprimerie
plages
de
7,
de remplir
sort
son
dans
le
et
patrie
de
l'univers.
mers
guide,
mers,
monde
sans
en
guide,
mers.
1822
t'anime
Co?Meru.j~:«.
manuscrits
à ton
S,
de
8
8
10
10
remplir.
variantes
des
1 Loin
des
bords
t'avaient
vu
naitre
qui
2 Tu fuis
des
quand
régnaient
pervers
au jourde
nos
revers
3 Et tu trouvas
un nouvel
être
4 Au sein
d'un
nouvel
univers.
5 Perdu
sur ces lointains
rivages,
6 Leurs
neuves,leurs
grands
bois
sauvages
7 l'laisaient
des
cru
7 Ont
souvent
t'ensevelir.
7 Traina
sort
de mers
son
7 Subit
les caprices
divers
Homère
nom
âges,
Nationale.
courses
incertaines,
sans
et sans
patrie
6 Longtemps,
6 Commetoi.duneétoile
errante
9
10
texte
édition
Ballades,
5 Hélas
monde,
à l'ensevelir;
prête
les
/M~M.
vers
SHelas!comu)etoiMeonide,
le Cygne
S Hélas
6 Ta
braver
avec
ses outrages,
Que
t'importe,
A toi,
nain
If
géant,
un peuple
Tout
doit
un tribut
au génie,
ils n'ont
Eux,
que la calomnie
Le serpent
n'a que son
venin.
Odes
et Ballades.
Litt.
manuscrits
289-
pp.
1, 2 et 8
Edit.
les vils
t'importe
outrages
né pour
mourir,
vulgaire,
la
calomnie,
Qui,
poussé
par
Poursuit
encor
dans
ton
génie
Le grand
siècle
veut
flétrir.
qu'il
Conserv.
)a
8~
Quand
âges.
ont
xvm,
en proie
la douleur,
dela
douleur,
Que
D'un
A
aux
NE VARIETUR.
derniers
cinq
Co?tse?*u.
Litt.
livrais.
Hugo.
ode a M. le Vicomte
de ChaVictor--Marie
teaubriand
ïn-8,
par
Hugo.
Anthe
chez
Paris,
Boucher,
imprimeur-libraire.
rue des Bons-Enfants,
n" 34 et chez
libraires
au Palais-Royal,
PéHcieretPonthieu,
M.DCCC.XX.
extrait
du Conser(au verso
ua<eMr /«(;'<'a!?'e,
t.- n, iivrais.
In-8,
xvm).
7 pages.
De l'imprimerie
d'Anthe
Boucher,
de L. G. Michaud,
rue des Bonssuccesseur
~t«ede la
et
t. n.
1
2
3
3
3
4
fuis
le soufile
premiers
vers
qui t'anime
O~ef~a~a~M.
de
cette
strophe
Jeune
vers
un nouveau
monde
encor,
Tu fuis
loin
de nos
bords
sangiants,
du feu
te féconde
Et là,
qui
Et là, d'une
extase
féconde
Et là, d'une
extase
profonde
les premiers
Tu sentis
élans.
e
feu
a
été
changé
variante
les
comme
nous
créneaux
l'avons
des
indiqué
plus
haut.
Au
10~
vers,
les
~/ra)M.
81
10
1820
Août
de l'ode
sur
exemplaires
l'adresse
de leur
nouvelle
à venir
faire son
Adolphe
de politique
et
question
cf. Appendice.
A
celui
la
de
9e
les
strophe,
ne
l'édition
ont
Les dieux
de
ses
Eleusis
N'entend
plus
Délos
cherche
Voici
vers
6,
fui
dans
théories
les pieux
ses chœurs
les
été
corrigés
1822.
après
Voici
le
vu
ses
concerts
ude)es
Con~-e.
variantes
grandeurs
de
l'édition
par
signalées
texte
a
strophe
CoMM/'o.
du
subi
Litt.
A l'ombre
de la
immobi)e
Tente
Le
voyageur
camp
T'accueillit
errant
Tu vis
encor
le
maudit
Où,
par
Mourut
ie Sauveur
Sur le tombeau
La muse
sainte
T'enseigna
ses
les
dans
trouve
i'e'<<!<!OM
de
des
et
remaniements
celui
vers
premiers
l'édition
nombreux.
avons
de
<M~7'MKe/'te
six
les
trois
derniers
leurs
actuellement
concerts
concerts;
n'entend
plus
allons
dans
les
leurs
d'abord
Odes
et
luths
ndè)es
mettre
en
Tente
du
est
1822,
7Va<to?ta<e.
Les
Conserv.
Litt.,
M.
par
signalée
voici
Numide
ce bord
nous
Barthou,
trois
possédons
la dernière
sa
sainte
et
variantes.
nous
est
Ballades.
L'une
donnée
se
par
Le camp
T'accueillit
du Numide
voyageur
errant
sur
ce bord
au
loin
la Pyramide
Qu'ombrage
Tente
immobile
de ia mort.
t~~a~e
de
mort.
du
4
5
6
7
de
texte
l'édition
du
de
Conserv.
./Va<:c)M<s.
l'Imprimerie
Litt.,
nous
possédons,
grâce
à
Et dans ces paisibles
retraites
La sainte muse du prophète
T'enseigna.
tombe
éternelle
et solennelle
Et près de sa tombe adorée
La muse éternelle
et sacrée
T'enseigna.
T'enseigna.
-82-
AI. Barthou.
Accueillit
tes pas
voyageurs
Tu vis encor
ces lieux
augustes
Où mourut
le premier
des
Justes,
Sauveur
des
humains,
profanes
Et sur sa tombe
délaissée
d'Amos
et d'Osée
La muse
muse d'Eiieet
d'Osée
ses secrets divins.
T'enseigna
de sa tombe
muette
près
sainte
muse
du prophète
T'enseigna.
de
le
foule
sans
remord,
fils du Numide,
et la Pyramide,
immobife
de la mort
Odes
Et
La
près
muse
regard
Ballades.
Litt.
larmes
arrosée
de Job et d'Osée
ses secrets
divins.
T'enseigna
Et
La
pieux
P'eux
variantes
Et là des
La
muse
et Ballades.
Qu'un
pacha
Et le Bédouin,
Et Carthage,
texte
vers
concerts
Mais
si ia Grèce
est sans
prestiges
Tu savais
des lieux
sotennets
Ou sont
de plus
sacrés
vestiges,
Des monuments
éternels,
plus
Une tombe
de vie
pleine
Et Jérusalem
asservie
l'autre
Variante
Pour
On
Nous
A t'ombre
de ces
Pyramides,
Où s'acharnent
Où s'entassent
les ans
rongeurs,
(
dévorent
Que
La tente
des Numides
agreste
La tente
des anciens
Numides
2
3
3
moins
nous
que
du
prairies,
chants
Pyramide.
de la Mort,
du Numide
sur
ce bord.
Mont
Auguste
son
peuple
injuste,
des humains
rachète,
qui nous
du Prophète
secrets
divins.
Le camp
du
voyageur
T'accueillit
errant
sur
Où s'élève
la Pyramide
immobile
de la
Tente
d
2
2
et
7
flétries
Co?:M?'u.
Pour
Litt.
Nationale:
/wpy'tMe?-!e
les longues
théories
blanches
théories
40'
Conserv.
Odes
8
La
du
/«.
Elevant
E)ever
6 Les
choeurs,
6 Marcher
les
texte
Les
dieux
ont
dans
les
fui
Adieu
les
blanches
théories!
Plus
de jeux,
de saints
plus
Adieu
les fêtes
fraternelles
prairies,
quelques
a
8 ont
7,
n° 34. B. F., 5 août
Enfants.
n° 2825.
1820,
Prix 0 fr. 50. Cf. Odes
et Poésies
diverses,
cf.
Odes
et
livrais.
1822
Ballades,
m, ode
1820 (l'édition
vi, pp. 273-279,
de 1828
juillet
comme
date
cf. Odes et
porte
juin
1820)
édition
de l'Imprimerie
Ballades,
Nationale,
196-199.
pp.
varietur
maintenant
5 Thèbes
le Génie,
il donne
demeure
et invite
à Paris.
droit
Il est
de Chateaubriand
M.
Barthou,
au
i820
5
Août
~4
Corre.!po?t~aKcc.
<<MCoMse?'!?a~Mr~ï«et'a!)'e:
t. i), livrais.
xvnr,
pp.
des MwceaMa:
de
~E/)o~!<!on
<e </?'a?to! ~r:ï;
de ~e:'n<M~e.
eo~coM~poM?'
Por<?'a!<~e~e~MC<<e~errï;parM.Gérard (1).
Co?tsc?'r.
t. 't. Hvrais.
Z~
xvut, pp. 296299 (M).
~p'~ac~M~
CoMse?'H.Z!'«.,
325-356.
(P.-S.-F.
j6p<!M.K-~4?'
d'Arboy).
la He strophe,
MM. Barthou
d'abord
le texte de l'édition
Pour
transcrire
au foyer
de
lEnEn,
2 Tu vins,
rapportant
STesmauxauxrivesétrangéres
4 Et les
hautes
leçons
et G. Simon
ne varietur
de nombreuses
variantes.
ont donné
avec en regard
une de ces variantes.
tes
1
2
3
4
3
4
pères,
trésor
pour
du
trois
derniers
vers
de
sort.
)a
strophe
8 Et la liberté,
chaste
et sage,
fuir
un
9 Vint
culte
qui
l'outrage
10 Dans
des
tes
défenseurs
bras,
8 Et la liberté
9 Commit
sa
10 A ton
bras,
rassurée
cause
vénérée
défenseur
des
foyer
trois
présentent
autres
8 L'Anarchie,
9 Faut devant
éclaire
rois.
rois.
la France.
Sers
altière et servile,
ton front tranquille
~M!<t'OK
Dans
la 13e et dernière
NE
strophe,
de
<M/)?'<?Ke?'te
ton prince,
toute
défends
la France.
~?<ù'<M?: de /Mp?'iM,
vARiETUR
les cinq
variante
derniers
~Ya<MHa<e signale
Voit d'en haut,
Nos soins, nos
deux
vers
ont
différente
de
affreuse
chimère,
ton front sévère,
L'Anarchie,
Pâlit devant
Tel l'oiseau
du Cap des Tempêtes
Voit des nuages sur nos têtes
Rouler
t'amas séditieux;
Pour lui, loin du bruit de la terre,
Bercé sur son aile légère.
I) plane et s'endort
dans les cieux (').
CotMer:). /«.
L'édition
pères,
sort;
8 Et la liberté
profanée
9 S'enfuit,
abandonnée.
longtemps
9 S'enfuit,
tremblante
et consternée,
10 Dans
tes bras,
défenseurs
des rois.
variante
enfin signaler
une dernière
des six derniers
vers,
venons
celles que nous
d'indiquer:
5 Le Rhône,
au jour cachant
son onde,
6 Au sein de la terre profonde
7 Plonge ses flots tumultueux
des sombres
8 Puis, échappe
plages,
9 U reparait
sur nos rivages,
10 Plus vaste et plus majestueux.
A la 12c strophe,
trois vers seulement
ont une variante.
ton prince,
tes
variantes
Il faut
6 Sers
de
allons
fatigué'du
L'absence,auxrives
étrangères.
T'avait
rendu
encor.
plus
grand
Ton
tes
nobles
misères
cœur,
grand
Te restaient
dernier
trésor.
pour
5 Dès lors,
laissant
ta douce
lyre.
6 De la sagesse
qui
t'inspire
7 Le Sénat
la voix
entendit
8 Et la liberté,
et fière,
sage
9 Confia
sa chaste
bannière
10 A ton bras,
défenseur
des rois.
5 Tu déposas
ta douce
lyre.
6 Dès lors,
la raison
qui t'inspire
7 Au Sénat
ta voix
paria
par
8 Et la liberté
rassurée
sa cause
sacrée
9Confia
10 A ton bras,
défenseur
des rois.
Les
au
Enfin,
Tu
revins,
Nous
Nationale.
subi
quelques
changements
du cap des tempêtes
Tel l'oiseau
Voit les nuages
sur nos têtes
Rouler leurs flots séditieux;
Pour lui, loin des bruits
de la terre,
Bercé par son vol solitaire,
dans les cieux
Il va s'endormir
Odes et Ballades.
variantes
sur
planant
débats furieux;
pour
nos têtes,
les vers
6 et 7
cet article.
H profite
du sujet donné
au concours
aux jeux
(1) V. Hugo n'a pas reproduit
(Achille,
littéfunèbres
cë)ébres
en l'honneur
de Patrocie,
donnant
à Nestor
le prix de )a sagesse)
pour parler
rature.
H prétend
est plutôt
dans
il critique
avec
une
dans Mme Dacier
Uornere;
que le sujet
que
des
finesse
de doigté
Mme
I) passe
les tableaux
ont
obtenu
Dacier.
ensuite
en revue
grande
qui
mais
il a surtout
un tableau
couronné.
C'est « une
récompenses,
remarqué
que les juges n'ont
point
« composition
sans
et ou
sans
sans
sans
sans
bizarre,
noblesse,
harmonie,
élégance
grâce,
goût,
« brittait
toutefois
un beau talent.
Nestor
ressemblait.
a. un vieux
sorcierde
Achille
village.
berger,
« rappelait.
à
cela
la
un campagnard
avait
l'air
d'un
chef
de
voleurs.
querelleur.
ajoutez
Ulysse
.(*)
L'~4/&a<ro~ dort
en volant.
-83-
1820
~0!<<
Cette
de )'é)égie,
Un 6aHMt, élégie
parle
« de notre jeune et brillant
un peu longue
co!ÏaM. V.-M.
L'auteur
laborateur,
Mugo~.
indique
une élégie
allemande
de ressemayant
beaucoup
blance
avec Raymond
d'Ascoli.
5
lettre
Fa?'t<'<e~.yVoMue//<<<Mc'~<ïtr~,etc.Co~Mt'u.
t. n, livrais.
Z.!«.,
xvnt,
pp.
327-328.
V. Hugo a dû y collaborer,
car ces variétés
renferment
une
note
sur
Gil-Blas,
Liorente,
longue
une
autre
note
sur
les
Lettres
Neufchâteau,
et Lamartine
dont
la mort a été
Champenoises
heureusement
démentie.
.1
9
Eloge
Trébuchet.
vers),
?'a!re;
sur /e 6'eMM', par
de V. Hugo
donne
des extraits
(cinquante
il recommande
le C'OH~'e?'ua~K?'
~/</6cf. Journal
de ~V~H/es
et de la Loirede
7K/e'?'<t;M?'p,
19
l'ode
H en
9 août
Poésie.
se?'u.
Signé
t.
Lill.,
x,
De Labouïsse.
Ca~'6o?te/,
livrais,
xix,
Cunserv.
314 (H).
éiégie
pp.
Con-
Con.~)'u.
325 (V).
330-331.
Litt.,
t. ii, livrais,
xyni,
pp.
310-
de
Royal
/a</«e,
poésie
Z!«.,
France.
par
CM/Mt'e
M. Tissot
(2).
t. n, livrais.
xvin,
pp.
du
321-
<: foule des Grecs,
dont les physionomies
des copies
adoucies
variées,
prodigieusement
paraissaient
« des têtes des démons
dans
la tentation
Antoine.
aces
défauts
se mêlaient
des
d.e saint
cependant
«beautés
réelles. Les formes
étaient
mais
bien
les têtes
mais
fortement
après,
étudiées;
ignobtes,
« caractérisées;
l'ensemble
offrait
chose
de
et
de
nouveau.
Placez
la
scène
non chez
quelque
sauvage
« les Grecs,
mais chez les Sarmates
ou les Wisigoths,
le tableau
» V. Hugo,
était frappant
dé vérité.
cette page, pensait-it
en écrivant
à Han d'Islande
? On le dirait
en vérité.
Le portrait
du duc de Berri par Gérard
lui permet
de parler
de « la peinture
vivante
qu'a tracée
« du prince que nous pleurons
de nos écrivains.
Nous
né nous
étendrons
te premier
pas beaucoup
« sur cet ouvrage
dont la vue nous a vivement
émus:
nous pourrions
déraisonner
comme bien d'autres
«sur
ses défauts
et ses beautés;
mais nous ne nous en sentons
Nous
l'admirons
à
pas le courage.n
« tort et A travers,
comme
Henri
[V aimait
»
Crillon.
le sujet
et de ~e/'tc~
fi
« le spectacle
a de l'éclat;
les
(~t) V. Hugo résume
d'j4~/)<Mte
ajoute
« sont liées avec assez d'art et le style ne manque
scènes
H
cite
un
sur
pas d élégance
o.
long fragment
il porte ce jugement
« Il y a du naturel
et de la Z>
dans
ces
ou
l'on
voudrait
toutefois
tequet
vers,
grâce
« effacer
»
quelques
expressions
impropres.
une chute
Le public
n'a
voulu
entendre
les
6~py'o~eMa~e~<MM.PayMasubi
complète.
que
deux
actes.
ce fait dispense V. Hugo de faire t'analyse
de la pièce.
H en porte
le jugement
premiers
« trivialité
suivant
et incorrection
du style,
défaut
absolu
de naturel
dans
les caractères
et les per« sonnages,
incohérence
des scènes,
mauvais
invraisemblance
et
faiblesse
de
goût du diatogue,
l'action,
« absence
»
de comique.
V. Hugo,
un peu contre
son habitude,
adresse
ensuite
des éloges
C> aux acteurs
Samson,
Lafargue,
ZD
MHe Claire,
Duparai.
L'auteur
d't6
</aK6' Paris
est incertain.
Le Co?Me/
avait
nommé
M. Mal/oMteM<de
AtM.,
les
l'ont
lui
avec force jeux de mots et catembourgs.
montey
journaux
répété après
V. Hugo termine
une
observation
sur
la salle même
de l'Odéon.
Sur la balustrade
du balcon,
par
C/'tM/OM
est placé avant
Fo~at'e.
« Ce contre-sens
absurde
doit-il être imputé
à la chronologie
ou au
« goût exquis
des décorateurs
? Voltaire
aurait-il
droit
encore
de dire de nos jours
On m'ose préférer
Crébillon le barbare
« Hélas
on fait plus
on lui préfère
n'est-il
a rien
au
CecMpM~opt:
pas vrai, M. Lepan,
qu'il
n'y
« dessus
de Campistron
?.
si ce n'est
M.
»
peut-être
Lepan.
dans cet article,
ne ménage
non pas seulement,
(2) V. Hugo,
pas M. Tissot,
parce qu'il est mauvais
mais
aussi
et
surtout
est
libéral
et
M.
ne l'oublions
professeur
peut-être
Tissot,
parce
qu'il
philosophe.
à
cette
la
tête de turc
de tous les journaux
Il devait
souvent
de
pas, était,
époque,
royaHstes.
parler
l'Etre
V.
dit
a
de
l'Etre
un talent
tout particulier
~M~re/Me
puisque
reçu
Hugo
qu'il
Suprême
pour les
clôtures.
V. Hugo le compare
aux grands
orateurs
radicaux
il fait son portrait
d'Angleterre,
puis
(il le
connaissait
bien puisqu'il
avait
été son élève,
affirma
tard
M. Tissot
plus
lui-même).
Citons
«
de
M.
comme
celle
de
tous
les grands
quelques
lignes
Tissot
L'éloquence
orateurs,
« est encore
et dans le geste que dans
les paroles
elle est dans ce charmant
embarplus dans faction
-84-
5
N.-B.
ie
j4~'KM<e et Périclès,
représentée.
17 juillet
1820. tn-8, imp. Vve Porthmann,
Paris.
Paris chez Vente. B. F., 29juii)et
n°
2737.
1820,
Une ~7'OMeMC~e (/<MM Paris
n'a pas dû être
imprimée.
Collège
cours
de
1820.
A.-J.
~4 ec!f/e'/?K'e royale
de .M~<yMe.
Spectacles.
en un acte,;
et ~<c/eA',
Aspasie
opéra
pade
M.Daussairo)esdeM.Viennet,
.musique
M.
ballets
de
Gardel.
gne,
tS'coK</ </<e'<~?'p français.
~te
~?'o??M?ta<<e
~«n.s' ~?'
ou de ~?'e.s' et de Zo!K,
comédie
en cinq actes et en prose (1).
5
1820
19
Août
Poésie.
Z/«e'?'a<M~'e
en six
poème
Conserv.
J.
Signé
Essai
/~a?'o/~
j4n'y/a'e.
/n~'ep!~e,
Sir Walter
Scott
chants,
par
t. n. livrais.
~!«.,
x)x, pp. 332-340.
est d'Abel
Hugo).
(cet article
sur
en
macère
6'o?:e?'H.
330. Signé
Fa?'<e7e'.<.
CoM~'eru.
In-8,
~e'y'a!'?'e,
182-183,
1832;
juillet
t. i, pp. 229-231
cf.
édition
de l'Imprimerie
412.
Seguin.
Nouvelles
Z,<rat?'e~,
t. !i, livrais.
xix,
Litt.,
imp.
B. F.,
364-368.
3e note
est
sur
un
autre
ami
19
(1).'
x)x,
pp.
329-
t.
ni. fivrais.
i, pp.
cf. Y. ~M~o?~coM<e,
les Odes
et Ballades,
411Nationale,
pp.
Les P~~MM!g.< /?'M</M/~ CM fe~S- /0;H~«.S',
de Boishuguet,
chevalier
par M. de Sapinaud
de St-Louis;
seconde
édition
revue
et augmentée.
V. Hugo
a dû collaborer
à la rédaction
de cet
article
s'il ne i'a pas cotnposé
en entier.
Il est question
de la séance
annuelle
de l'Acades Inscriptions
et Belles
démie
Lettres.
On annonce
i'at'rivée
à Paris
« cet
d'A)exandce
Soumet
« enfant
d'tsanre
un
si
qui occupe
rang n
distinguéZD
« parmi
nos jeunes
»
poètes.
La
Galèse
N.-B.
La livrais.
x)X du Co/Me/'u. Zt~
est
antérieure
de ptusieurs
au
i9
août, puisque
jours
)e JoMrMa~ de Nantes et de la Zo:e-/M/<'rteM?'e
en parle à la date du 20 août.
etc.
pp.
~«
t. n, livrais,
Litt.,
V. d'Auverney.
Cf. France
de reli-
/n~<e'?'e;tce
F. de la Mennais
(tome
gion,
par M. l'abbé
n)
t. n, livrais.
348-3S1.
CoHse?'u.
Lill.,
xix,pp.
A.
article
est
d'Abel
(cet
Signé
Hugo).
N.-B.
~M~ fïM~t~c'yeMee.
Essai
Tom'nachon-Moiin
et
Ce)iot.
Paris,
~820, n" 2SH.
8 juillet
Le vieillard
à Mme la mardédiées
Fe?K'/e'e?!KM,
.E~tc~
quise de la Rochejaquelein
par le même
(1).
CoM.s'c?'
t. n, livrais.
Z.î«.,
xix, pp. 351358 (V).
de V. Hugo,
«
«
«
«
«
«
ras qui annonce
le professeur
ne sait pas trop
ce qu'il
va dire,
que Monsieur
embarras
se
lequel
termine
d'ordinaire
un
bredouillement
de
et
un
elle est dans
par
plein
grâce
MOK-seK6'
ingénieux
ces grands
dans
ces
bras
étendus,
dans
ce
de
donné
si
à
sur la chaire
yeux,
longs
coup
poing
propos
au moment
où il faut que l'auditoire
dans ce verre d'eau
l'interapplaudisse,
que l'on boit
pendant
faut
les
se
et
dans
cette confusion
ruption
lorsqu'il
que
apptaudissements
prolongent.
pudibonde
qui
coiore
le visage
de l'orateur
enivré
décès
de
l'estime
témoignages
publique. »
V. Hugo rend compte
ensuite
de la leçon ette-même,
des comparaisons
faites
le professeur
par
entre
Horace
et Montesquieu,
des explications
données
sur Lucain,
des contre-sens
faits par M. Tissot,
de ses digressions
sur Marins,
ce grand
homme
a
renversé
l'aristocratie
de
la
sur
les
qui
noblesse,
orateurs
sacrés
avaient
derrière
eux « toute
une école antique
où ils ont été abreuver
leur génie.
»
qui
V. Hugo reconnait
l'auditoire
et qu'il était le seul qui osât rire
que
applaudissait
frénétiquement
de l'auditoire
et du professeur
)i termine
eh décochant
un dernier,
trait.
« Dans
certains
moments
je
« me suis cru transporté
dans
le bon temps,
écoutant
les discours
du citoyen
Tissot
aux
clubs
des
«cordeliers
ou des jacobins.
»
trouvé
entre
(1) Nous avons
santes.
Sont-ce
des coquilles
ou
le lecteur
pourra
juger.
le Coîiserv.
et V. /?M~o nMOH<e,
deux
différences
Litt.,
des corrections.
Nous reproduisons
les quatre
vers où elles
Il plantait
le tilleul près du pin résineux,
Et greuait te prunier
sur l'arbuste
.épineux
Chez lui, se soumettant
au cordeau
qui l'aligne,
Le platane
les amants
de la vigne
ombrageait
CoftMru. /«.
Le texte
de la F/'aMce
littéraire
est
le même
amuplutôt
se trouvent
Il plantait
le tilleul près du pin résineux,
Et greffait
le p~e~t'e;'
sur l'arbuste
épineux
Chez lui. se soumettant
au cordeau
qui t'aligne
Le platane
les sarmants
de la vtgne;
ombrageait
V. Hugo !'<;coH<e, p. 231.
ici que celui
du
CoMt'en~eMr
Littéraire.
les journaux
de M. Sapinaud
(2) V. Hugo ne veut pas dire comme
que la traduction
estea;ce«eH<e,
elle n'est
mais elle deviendra
excellente
si l'auteur
l'améliore
pas 6oMMe encore,
d'édition
en édition.
Rien n'est difficile
comme
une traduction
des Psaumes.
Rousseau
en a traduit
n'a
qui
plusieurs
donc
il
n'est
honteux
M.
d'avoir
pas toujours
réussi,
échoué
dans une
pas
pour
Sapinaud
quelquefois
traduction
«
des saints
D'ailleurs
la
si
complète
continuellement
cantiques.
poésie
hébraïque,
sublime,
« mais toujours
nue en quelque
trouve
mal aisément
sorte,
une interprète
grave,
fidèle
dans
simple,
« la muse française,
sacrifie
à
à
et
la
de
et la vérité
qui
l'harmonie,
l'élégance
propriété
l'expression
« des images.
M est même,
à notre
dans les livres sacrés,
une foule de passages
avis,
ne
qui
pourront
être transportés
dans notre
et déconcerteront
tous les traducteurs
». On pourrait
«jamais
littérature,
se demander
si V. Hugo n'a pas emprunté
sur ce dernier
et même
des tournures
à
point des idées
un article
de Lestrade
sur le même
dans
le
6/a/t(;
du
1er
t820.
sujet
~)/'apeaM
juillet
V. Hugo. cite ensuite
de la traduction
de Sapinaud
de Boishuguet.
Il prétend
quelques
exemples
est
exacte
et
nous
ne
son
du
qu'elle
textuelle
moins
avis,
cités
partageons
pas
pour les psaumes
de Boishuguet
avec
une
Sapinaud
retranche,
étonnante
facilité.
transpose
ajoute,
V. Hugo termine
ains) son jugement
« Le style de M. Sapinaud
n'est
ni de force,
ni
dépourvu
-85
1820
Août
dont la tragédie
de Turnus
est annoncée
Pichat,
le 15 janvier
1821.
L'auteur
fait un grand
pour
de
Pichat.
éloge
Enfin deux pages
sont
aux Lettres
consacrées
~VorMaH~/M
ont
Chateaubriand
qui
prétendu
que
fait monarchique
s'était
et religieux
par intérêt
L'auteur
déclare
en
le
personnel.
passant
que
du Génie
1er volume
<<~ Christianisme
a été imà Londres
avant
le retour de Chateaubriand
prinié
en France.
20
yoM?'?:a/
~'ïeMy'e contient
Le
de 7VsK<M'e/
de
un long extrait
<eM?'
xix~ livrais.
/e?'a!'?'e,
de Richer
l'article
J.
signé
cf.OM~a/
de A'M?i<~
Hugo
7?t/e?-:eM?'p,
30
Chateaubriand
La
Quotidienne,
20
août
N.-B.
Paris,
2335.
Les
imp.-libr.
Psaumes,
Leclerc.
Vendéennes.
Elégies
Leclerc.
B. F., 10 juin
Lettre
22
août
de V. Hugo
1888.
2e ëdit.,
B. F., 24
2 vol.
in-18,
1820, n"
juin
In-8,
Didot,
imp.
n"
2120.
1820,
à A.
Trébuchet
Paris,
Figaro,
23
la /.o<7'e-/K/pdu Conservasur
le
doit
être
el de la
Voyage
d'Abel
Loire-
d820.
est
de
retour
30
août
-)820.
à
Paris
cf.
Septembre
2
/~oe'~ïc.
Les deux
Contre.
~4ye.s'
t. n, Hvrais.
369-371.
xx,
pp.
Signé
Hugo.
Voir
primés
le 5 juin
Les </eM.E ~~es
dans le /~CM~7
des Jeux
ont
Littérature
Examen
française.
critique
et complément
des Dictionnaires
historiques
les plus
dictionnaire
de
depuis
le
répandus,
J~o?'e'?'
la Biographie
Universelle
jusqu'à
inclusivement.
Tome i (A.-J),
contenant
environ 240 articles
50 refaits
et 560
nouveaux,
du Dicou augmentés
corrigés
par l'auteur
</oMHa!?'e
des ouvrages
et pseuanonymes
Z!
V.-M.
été
im-
//or<!M.R.
Z,a! mort
du <~Mc d'.Ë'K<y/<t,
suivi
poème,
ode intitu!ée
le 6'?' des 7~o~<
d'une
par
M. Miche!et,
officier
dans
la garde
royale
t. n, livrais,
C'OMM7'Z.<«.,
xx, pp. 38~-385.
</OK!/W~(i).
ni de vivacité;
mais il manque
en un mot
de
« d'onction,
trop
généraiementde
grâce,
d'élégance,
« poésie.
ou incohérentes,
et le goût n'a pas toujours
au
Les figures
tronquées
présidé
y sont souvent
« choix des expressions,
à l'harmonie
à la composition
»
des images,
et même
des rythmes.
V. Hugo parle
ensuite
des ~7s'<ytM
FeK~e'e/tKM.
« II était digne
d'un
chevalier
français,
porteur
« d'un nom devenu
durant
nobles
de
leur
consacrer
une
accoutumée
ces
historique
guerres,
lyre déjà
« à répéter
les tons graves
de la harpe du psalmiste.
Les infortunes
de l'armée
ont quelque
royale
« chose
»
de sacré qui donne
à ces élégies
un air de continuation
des saints
cantiques.
et Philos.
mêlées
commencement
de l'article
Litt.,
(1) Litt.
reproduisent
(p. il3-H4)ie
(CoK~eru.
et
a
été
dénomination.
371
372).
Une
correction
de
faite
remplace
pp.
petite
style
qualification
du CoMMru.
offre peu d'importance
et nous arrivons
à cet autre
Ce qui suit dans
l'article
Litt.,
Mais à la
morceau
sur Jean Alary
a mis
dans
Z!'«.
et Philos.
mêlées
que V. Hugo
(pp.
414-115).
a été complètement,
transformée
et augmentée.
Au lieu des
qui suit la citation
page 115, la réflexion
V
«
six lignes
de Litt.
et /tt<o~.
avait
Sous
Louis
cette
dénomi?Me/fM,
XIV,
Hugo
dit simplement
des poètes aux philosophes
».
<: nation
de c/'oMM
des philosophes
aux poètes,
en 93, elle revint
passa
En 1834, il n'attaque
il donne à son idée
une forme
et les révolutionnaires,
plus
plus les philosophes
et
plus généraie.
vague
de
V. Hugo,
mettre
de la variété
dans
son article
et intéresser
son
cite des traits
lecteur,
pour
des observations
ou des détails
un pasteur
noblesse
ou de fidélité,
plaisantes
piquants
protestant,
un
Claude
un
un
Camille
Brousson,
Vendéen,
Desmoulins,
révolutionnaire,
philosophe,
paysan
Il parlé
lui en fournissent
la matière.
amis
et
ses
J.-J. Rousseau,
Mais il n'oublie
ses
pas
protecteurs.
a enrichi
le Gil Blas
de Crapelet,
Barbier
des notes dont le Comte
de Neufchateau
François
critique
d'avoir
«
les
innombrables
admirateurs
de
l'illustre
vicomte
de
Chateaubriand
».
Notons
en
attaqué
<: Je biâmerai.
M. Barbier
d'avoir
un esprit
une critique
apporté
passant,
plus importante
peut-être
« de pbiiosophisme
»
dans un ouvrage
où i'impartiaiité
semblait
et presque de libéralisme
indispensable,
H reproche
ii fait ensuite
de style, rectifie
des vers cités d'une
manière
incorrecte.
quelques.critiques
si Volney n'était
à'Barbier
d'avoir
relaté
un fait peu honorable
pas mort.
pour Volney
qu'il raconterait
I) s'amuse
en terminant
à parler
dont
il laissera
les matériaux
aux
de sa propre
biographie
du
Litt.
bureaux
Conserv.
86
2
1820
~e/J<eMt~re
dans
le corps
de la revue,
L'article,
n'est
mais à la table on trouve
A.-B.
ou
pas signé,
AB.
Est-il
d'Abel
Peut-être.
Mais le
Hugo?
bien à celui de Victor.
style ressemble
2
Visite
à la Trappe
CoM~o-u.
~e/CM~c.?.
t.
livrais.
Litt.,
n,
A.
xx, pp. 385-389.
Signé
T.-T. Cette lettre
est d'Adolphe
Trébuchet.
Entrefilet
sur l'ode le Génie,
dédiée
à M. de
Chateaubriand,
par Victor-Marie
Hugo.
« Autrefois
d'un
d'une
l'apparition
poème,
« ode,
soulevait
la foule,
les
aujourd'hui.
« poètes
n'ont
d'autres
lecteurs
plus
qu'eux« mêmes
et leurs
amis.
ont
Quelques-uns
« triomphé
de l'indifférence
du
et
public,
« parmi
ces élus
on doit
M. Victor
compter
« Hugo,
célèbre
de
nombreux
triomdéjà
par
« phes académiques.
n vient
de publier
une
« ode sur le Génie,
dédiée
à M. le vicomte
de
« Chateaubriand.
On ne pouvait
mieux
l'adres« ser. Le poète n'est pas resté au dessous
du
« sujet,
»
Ici quarante
vers
sont
cités.
Co7îM?'u.
Litt.,
378 (V)
cf. Z~.
ld4,H5.
t.
n, livrais.
xx, pp.
Philos.
M!<?/e'g.s', pp.
N.-B.–F~aM:e/tcy'<t~Me.etc.
chez Rey,
Baudoin;
Paris,
B. F.. 3 juin 1820, nod9S2.
Gravier
et
37')-H 3
In-8,
imp.
Baudoin.
~<KMe/
de ?'pc?'M<eMM7t<, ou Recueil
des
<3y</o?~aMCM
le
circuapprouvées
par
Roi,
/a!'?'M et ~e'eM/OMA' ministérielles,
auxquelles
/'<'a;c'eM<oK
de la loi du 10 ?/ïa?'.s' 1818
«
~o?tHe/tCM,
ordre
du ministre
publié
de
par
la guerre
(~).
CoKA-ey-H. Z~
t. ii, livrais.
xx,
pp. 394395 (M).
N.-B.
Nous n'avons
cet ouvrage
pu trouver
à la Bibliographie
de la France
où il n'a pas été
annoncé.
Nous ne savons à quelle époque il a été
ni où il l'a été. En )8d9 parut à Melun
imprimé,
avec l'autorisation
du préfet,
(chez Michelin),
un
~/<MMe/ de recy'M<e~eM< dont le titre est un
peu
différent
de l'ouvrage
de M. Foucher.
nouvelles
Fa?'t'e<M,
etc.
littéraires,
(2)
CoM.!e~.
t. H, livrais.
/«..
cf. Az«. et /<o.t.
400
?H~'M,
xx.
pp. 396t. i, p. 60.
ne pouvait
d'adresser
(~) V.Hugo
des étoges
à l'auteur
manquer
de ce ~CMMe< puisqu'il
n'était
autre
M.
le
toucher,
Aussi
«
que
de t'homme
pèred'Adète.
utile et laborieux
parfe-t-ii
a
rassemblé
qui
« les matériaux
de ce recueil.
sans même
avoir fa consolation
de voir
son
nom
sur
la couverture
d'exactitude
et de méthode
« Beaucoup
d'ordre,
dans le classement
des matières,
donnent
un grand
au
~aMM<-<
du
/!ecrM<e;<;K<.
L'auteur
« pnx
de cet excellent
recueil
a réussi
à mettre
de la clarté
dans une partie bien embrouillée
de notre
»
législation.
Il se moque
un peu de la toise du recruteur
sur toutes
les têtes,
de la loi du 10 mars
suspendue
« si chère
aux partisans
de cette absurde
tout
le monde
et n'élève
égalité
qui ravale
personne.
'( Kemarquons
seulement
en passant que les appels
forcés
n'ont
jamais réussi dans l'héroïque
Vendée,
« ou chaque
homme
est un soldat
au premier
volontaire,
» tt ne faut pas oubtier
appel du devoir
que
la toise du recruteur
était suspendue
sur la tête
de V. Hugo
et qu'il
t'éviterait
par ses
pressantes
démarches
du secrétaire
des Jeux floraux,
le bon M. Pinaud.
auprès
It critique
en terminant
le nombre
immense
des fonctionnaires.
« Beaucoup
de ces Messieurs.
« sont a peu près aussi utiles a t'Etat
de Regnard
recevait
que l'Arlequin
une
de la ville,
qui
pension
« pour
tous les ~M:K~e~OMrA'
le crt/t au cheval
faire
de 6?'oK~e.
»
Nouvelles
Farter.
(2) L'articte
Littéraires,
n'est
entier
de la main
peut-être
pas tout
de
V. Hugo,
mais il a dû y travailler
en a reproduit
un passage
puisqu'il
dans
Litt.
et Philos.
mêlées.
U autre
nouvelles
part certaines
devaient
t'intéresser
tout particulièrement
qu'il renferme
L'article
commence
fait au ï'~ra/)Ae
par un reproche
de la littérature.
à Toulouse
imprimé
H a reproduit
des articles
du Conserv.
sans indiquer
la source.
/«.,
Ce sont des articles
de spectacles
de V. Hugo.
Mais le Co/:M~.
n'est pas très fâché
Litt.,
annonce
aimablement
te
puisqu'il
ye~acAe
de la littérature
libéral.
« De tous
qu'il trouve
tes journaux
cependant
littéraires
qui s'impriment
« dans la capitale.
aucun
n'est libéra)
c'est qu'en
effet l'amour
des lettres
se concilie
difficilement
« avec la soif des révolutions.
»
Parmi
les Nouvelles
citons
une note sur le Conservateur
littéraires,
de Chateaubriand
« ouvrage
célèbre
sur
le
Conservateur
»,
de Neufchâteau,
« excellent
choix de morceaux
inédits
? » (or ce recueil
n est point
certes
à mettre
entre
toutes
les mains),
sur le Conservateur
de M. Delandine.
Le CoM~-H
Litt.
cite'une
demie
de
ce
recueil.
a
e~M
nombre
page
dans la vie </M calife
propos
huit,
~o<f<~eMt
Cette petite
histoire
arabe
doit être de V. iiugo,
a
cette
aimait
et
qui
étudiait
la littérature
époque
arabe.
A la suite se trouve
l'extrait
du CoMy?-!e/- /y-aHpaM
~'M.
et Philos.
reproduit
par
mêlées.
En
on
a
la
date
reproduisant
et mis t4 septembre
au lieu de 18 septembre.
changé
Enfin
on lit l'annonce
de différents
entre
autres
la ~eaKMe <?'c
poèmes
épiques,
de Soumet,
la
découverte
de divers manuscrits
faite en Irlande.
« L'examen
de ces papiers
une
y a fait reconnaitre
c vieille
traduction
des poésies
fort antérieure
& l'imitation
originates
d'Ossian,
» Tout
de Macpherson.
ceci pourrait
bien encore
a V. Hugo.
appartenir
-87
2
d820
,S'e/)<e?M~'e
« Et maintenant,
l'auteur
peut se dire comme
« le Corrège
~OM p~o?'
aMc/te io. »
Cf.Zp/<re.
t. n, lettre
C'/<H/H/~MOï'i820,
mais
xviii, pp. 338-340
(B. F., 2 septembre,
cette lettre est sûrement
du mois d'août).
Z)~eoM~.
6'M7'
ment mutuel.
Agmine
partito
les avantages
fulgent,
de l'enseigne-
paribusque
magistris.
Virg.(l).
livrais.
C'OK.!P?'u. Zï'«.,
t. m,
xxt, pp. 7-15.
cf. ~<«.
et Philos.
mêlées,
Signé
pp. 133cf. V. T~M~o ?'<ïeon<e,
t. n, pp.
135
31-41
cf. Odes et Ballades,
édition
de l'Imprimerie
avec
cette
date
12
Nationale,
pp. 466-473,
mai 1819.
de Gil Blas
Z~<e'?'a<Mre
Histoire
française.
édition
de ~a?t<a?te
collapa?'
Lesage;
tionnée
sur celle de 1747,
corrigée
pa?' l'auavec M?t examen
de ?îoMteur,
jot'e/tMK'~c[:?'e,
des c/ta/):~M
ue~HX
so??~Ka<?'M
et des notes
/oa?' ~f. le Comte
historiques
et /<Me?'aù'
de
de Neufchâteau,
~cac~M:c
7'aKpoM
t. m,
C'o?Me?'u.
Litt.,
/'?'SKpa~e,etc.(2):
Lt«.
avait
mis (p. 78) la note suivante
« L'auteur
de cette pièce
avait
vu dans
(1) Le CoKM/'u.
<s l'Enseignement
mutuel
une méthode
mais non admirable,
comme
le prétend
la fraction
ubéutile,
« rate. Considérant
sa pièce sous le rapport
nous
l'admettons
dansce
littéraire,
recueil,
sans partager
« tout a fait son opinion.
mutuel
à
la
loué
très
modérément
le
vérité,
L'enseignement
y est,
(l'auteur
« rega!'de seulement
de
comme
rendre
les premiers
travaux
élémentaires
/MOMM <y!'s<M et
susceptible
a
son
l'auteur
même
su
faire
dans
endroits
et ses
« /J/M6' coMr<6')
percer
plusieurs
opinion
royaliste
« sentiments
et nous devons
lui en savoir
nous pensons
cependant
religieux
gré dans un pareil
sujet
sans même
sous
le point
de vue moral,
le grand
« que la nouvelle
méthode,
l'envisager
présente
« inconvénient
de laisser
vite oublier
ce qu'elle
a promptement
ce
du reste
enseigné,
qui compense
« t'avantage
et d'égayer
les études.
L'auteur
a ia faire précéder
de cette pièce nous autorise
d'abréger
« de cette
de mûres réflexions
et une observation
mieux
entendue
de la méthode
mutuelle
l'ont
note;
à
fait
revenir
à
notre
avis.
Son
discours
fut
en
1819
lui
décerna
l'Académie,
« déjà
presque
envoyé
qui
ne
le
On
« une mention
honorable
sous le n" 16.. et décida
donnerait
t'insère
ici, tel
qu'elle
pas
prix.
à l'Académie;
au conon croit devoir
ne l'a point
<c qu'ii fut soumis
ajouter
que l'auteur
représenté
« cours cette année.
»
Cette note est curieuse
on connaît
le dessous
des cartes.
quand
a reproduit
le Co?Meru.
il a même
fautes
fidèlement
Zt«.
quelques
K. T~M~o racoM<e
corrigé
à
A
la
les
trois
vers
d'Horace
le
Co~seru.
attribuait
la
sat.
tv. du
ZtM.,
d'impression.
p. 32,
que
liv. u, sont restitués
à la sat. Vf. A la p. 35, vers 3e on a remplacé
avec raison à des /epo?M si chères
à tes <epoM~ si cAe/'M.
A la p. 39, vers 13e
le savoir
vous honore
meilleure
rempar une expression
avec
raison
le
savoir
MOM.f
/to/t0/'e.
place
Daus son volume
V. Hugo avait
43 vers
sous les
Litt.
et PA~o~.Mt~e'e.
reproduit
(pp. 133-135),
titres
suivants
~/t Mo?/n?t< les M/aK~
so/<7'</e
l'école
et~t des e/t/a?t<.s'e/K;s'e.
)t avait mis la date
Yf~'M 1820
est
fausse.
a
été
écrit
avant
le
15
mai
et
en septembre.
qui
//e/Mc/'yeMM<t<
MM/Me~
publié
H avait fait deux corrections
p. 134, 13~ vers, <~e M~etK,
remplace
dge enchanteur;
p. 135, 11" vers,
t)t<e/'M6'aM<A'.
/)M/'6' <;<~o;/e<t~: ronpiace
a propos
sur deux pots pourris
du FaM!/)trR,
de V. Hugo débute
(2) ij'articie
par des plaisanteries
sur un libelle
moraux
de M. Gosse,
sur
certains
apologétique
pour le duc Decazes, sur les proverbes
H s excuse auprès
de ses lecteurs
de ne pas leur parler de ces productions
ouvrages
politiques.
irnpordes notes dont un de nos académiciens
vient
d'enrichir
le
tantes
et de « s'occuper
les plus distingués
« chef-d'œuvre
des romanciers
du premier
français
la suite
de )'ar)ic)e
dans
et Philos.
et 109,
avec
la date
On retrouve
Litt.
M:e~<;M,
pp..108
V.
a
à
°/tu/
~$/9. C'est un paraHète
entre
et
Walter
Scott.
la
l'écrire
en
pu
Lesage
Hugo
rigueur
1819 et. te g)isser,
en 1820, dans cet article,
mais nous n'en avons
aucune
et nous croyons
tout
preuve,
~9
est fausse.
simplement
que la date avril
V. Hugo en arrive
au travail
de Franre
morceau
dans
Litt.
et Philos.
mêlées,
Après
reproduit
uti)e
))– <: François
Litt..
çois de Neufcbâteau
(Co~tseru.
important,
p. 17). C'est un travail,
< grand,
« de Neufchateau
éclaircit.
dans ses notes les obscurités
du texte,
résout
les difficultés
grammaticales,
« relève
V.
fait
de
nombreuses
les erreurs
»
Pour
ces
citations
assertions,
historiques.
prouver
Hugo
de souvenirs
littéraires
Ainsi
il attaque
la
ou d'innocentes
qu'il
entremêle
agréablement
critiques.
H
manie
des acteurs
de mêler
des vers à leur
conversation
réfute
certaines
Litt.,
(Conserv.
p. 18).
de
Neufchâteau
lui
semblent
mauvaises
les
mots
et
Chinchilla
19 et
étymologies
qui
hidalgo
(pp.
-88.
9
1320
Septembre
livrais,
mêlées,
xxt,
pp.
pp. 15-25
108, 109,
(V)
HO.
cf. /<ï«.
et P/<:7o.<.
N.-B.
Histoire
de Gil Blas de ~'et)t<t«MHe
3
vol.
avec
9 gravures,
etc.
in-8,
imp. Crapelet.
13. F., 1er juillet
Lefëvre.
Paris.
1820, n" 23S4.
de France.
Aca~/e7f<M~cs. /H.s'<ï<M< royal
annuelle
démie
Séance
/Y'«?~at~e.
publique
~e
St-Louis
Co~tseru.
(14 août 1820) (l):
t. m, livrais,
31-37 (M).
Litt.,
xxt.pp.
la science
de son frère Abel
a dû lui venir
en aide.
La biche de Sertorius,
le
20). Ici certainement
le renard
dans
la robe
du jeune
lui permettent
de faire
de
caché
pigeon de Mahomet,
Spartiate
«
l'érudition
Il ne peut oublier
la politique
En fait
de charlataneries
(pp. 20-23).
je ne balancerais
« pas à mettre
les mouchoirs
de Makandal
sur la même
le
~e'moH
dont
s'était
ligne
que
/aMt<tM'
« gratifie,
il y a peu d'années,
un gigantesque
de toutes
les folies
des fléaux
de Dieu
parodiste
qui
« l'avaient
Il
ici
évidemment
à
V.
immédiatement
20).
précédé
qui
oppose
(p.
s'agit
deNapotéon
Hugo
le grand
« d'héroïques
». Condé
siècle où l'on faisait
son bâton
de maréchal
dans les
jetait
jongleries
a son grenadier
un charlatan
mais
Chevert
était lui aussi
d'une
toute
autre
lignes
assiégées.
parlant
manière.
« habile
V. Hugo ne manque
à François
de Neufchâteau
annoça et là' des éloges
pas de donner
tateur
si
commentateur
Les
sont faites
», « savant
&. « bon poète
quelques
critiques
qu'il se permet
de les recevoir.
gentiment
que ce dût être un plaisir
pour Neufchâteau
V. Hugo parle
de
la
réclamation
de
a l'égard
de C~o~'
et de la réfutation
longuement
l'Espagne
« dont les recherches
». La question
sont extrêmement
qui en a été faite par Neufchâteau
piquantes
devant
V. Hugo termine
sur le nom
de
l'Académie
va bientôt
être tranchée.
portée
par un M'ra<Mm
Ltorente
le
Conserv.
avait
nommant
Florente.
en le
~.t«..
que
estropié
A la p. HO de Litt.
et Philos.
on
a reproduit
la p. 22 du Co?Merc.
et par le fait
mêlées,
/.tM.,
même
une plaisanterie
trouve à la Ire livraison
du t. i du Conserv.
Litt.,
Cette
qu'on
pp. 38-39.
doit
de
V.
se
la
bien
à
ici
ne
l'avoir
commise
être
plaisanterie
trop
propos
pour
pas
Hugo qui
rappelle
H la fait suivre
alors.
d'une
autre
sur
le
de
Kant.
Le
thermomètre
de ce système,
plaisanterie
système
ce sont les variations
de prix de la perruque
du philosophe
et Philos.
CoM~'er~.
mèlées,
(~!«.
p. HO;
Litt.,
p. 22).
V. Hugo caché sous le voile de t'anonymat
est très curieux
et très intéressant.
('<) Ce compte-rendu
ne se gêne pas pour dire sa façon de penser
et émai))er
sa prose
de réflexions
de mots
piquantes,
dont on goûte
il fait de discrètes
la saveur
l'on comprend
les faits auxquels
allusions.
toute
lorsque
Il commence
sur l'objet
de la séance,
sur le public,
sur les immortels
arrivant
par un long début
les uns après
les autres.
il
)t
voudrait
Pour
lui en attendant
l'Académie
l'ouverture,
songeait.
que
fut séparée
du reste
de l'Institut:
sur
fauteuil
il
serait
heureux
de
lire les noms
française
chaque
de ceux qui l'ont occupé
a
le jour de chaque
on rappellerait
haute
voix le nom des ancêtres
réception
du
académiques
récipiendaire.
Le discours
du nouvet
de Pastoret,
fut plein d'étégance.
La péroraison
fut touélu, M. le Marquis
sur
a
chante
les vertus
des Bourbons
ici longuement).
M. Layatui
il a évité
répondu
(V. Hugo appuie
comme
Pastoret
toute allusion
aux idées politiques
de Volney.
V. Hugo
aurait
chez
Pastoret,
désiré,
une répudiation
des
de
son
franche,
circonspecte,
prédécesseur.
quoique
principes
M. Raynouard
de 1821.
le prix d'éloquence
a lu le rapport
sur le quadruple
concours
Pour
le
était
et
li
(<M
&<M'eaM
et
à
/)e<e''Mt?Me/'
les
<'om<eM;'
<'orn<eM?'
de
sujet
coM/)f<e/'
qualités
yjro/)<'<M
la <yt&MHe. V. Hugo,
avoir
de la chaire
eut été oubliée,
est heureux
de
après
regretté
que l'éloquence
M.
féliciter
Armand
Malitourne
mention
honorable.
N'oublions
qui a eu la première
pas que c'est l'un
de ses amis.
V. Hugo
à l'égard
ancien
use d'une
fine moquerie
de M. Delamalle,
avocat,
qui a obtenu
le prix.
Pour
il indique,
sans insister,
les deux
mentions
le ~et!OMe?He)~ <<e ~/a<e~Ae?'6e6'
honorables
2e
a accordées.
La
a été donnée au no 33
S'MM< /<M?'M!<M re?'M?H.
V. Hugo aurait
que l'Académie
pu
donner
le nom que cachait
le
sien.
Parlant
de
(<M jMf</ et
cette épigraphe
c'était
)'/?M<ttM<:OM
puisque
de t'Epitre
de M. Mennechct
offre
de t'étéde Mcnnechet
obtenu
le prix il dit:
qui avait
«L'épitre
« gance,
de la précision,
et ingénieux;
mais elle ne renferme
des détails
pas plus de poésie
gracieux
ZD
ZD
« que le sujet.
»
tt faut voir là évidemment
la petite
d'un concurrent
malheureux.
vengeance
En donnant
le nom du vainqueur
du concours
sur )'~Me:~He?HeM<
~/M<Me/, M. X. B. de Saintine,
V. Hugo en profite
Saintine
a
avec
Lebrun
le prix
de poésie
sur
1817,
le
pour dire, qu'en
partagé
/~OK/;eM?' de <'e<M(/e
« personne,
n'a
oubtié
brillant
concours.
»
ce
n'aime
afurme-t-it,
ajoute
qu'il
mais qu'il porte à l'auteur
un véritable
intérêt.
Sa pièce, « pleine
de vers
n'est
pas le sujet
heureux,
« cependant
du
ni
de
ni
de
a
la
auteur,
exempte
prolixité,
prosaïsme.
Ajoutons,
louange
jeune
qu'ette
« n'est que très modérément
En général,
nous le disons
avec peine,
et parce
libérale.
nous
avons
que
–89–
12
1820
23
29
6'e/e
du t. n de l'Essai
sur l'InCompte-rendu
dans
les Lettres
~t~'e/tce
CAM?~e/to:'SM,
Laurentie.
Le
est
loin de partager
par
critique
toutes
les idées de fauteur
cf. Z,e~'esC/<Hmt. u, lettre
d820,
xx,
penoises,
pp. 41-51.
Signé L. (Laurentie).
Naissance
matin.
du
duc
de Bordeaux
de Victor
à Adolphe
Tt'ébuchet
Hugo
cf. Le /y<ï?'o,
12 mai
1386
Co/'?'<s'/w:a!<!Kce
1815-1835,
pp.il--)2.
Lettre
3 )I
)i y a, dans le Figaro,
N.-B.
trois erreurs
de
lecture
mais
dans
la
insignifiantes,
Corye~pOMdance
un tiers de la lettre
est supprimé.
à 2 h. 35 du
<
Du 29 auti
V. Hugo compose
l'ode sur la naissance
</M
1~ oet. duc de Bordeaux
à
cf. Lettre
de V. Hugo
du 20 octobre
cf. G. SIMON, L'EnSuint-Va!ry,
de V. //M~/o, pp. 222-223
et la lettre de
/a/tce
A). Foucher
du 6 octobre.
Octobre
fi
Lettre
de M. Foucher
a Mme Hugo,
pour
sur le /)/Me/
remercier
Victor
de son article
~M ?'ec?'M<e?Mp/t< et, de l'envoi
de son
Of/e -s'M7'
la KMM~'MMCe <<M (~MC' ~C ~0?Y<gaM~
Cf. ~g<<)'M a /<ï /<«?tcec, p. 34.
Entrefilet
de la 0Mo//f/!eMHe
sur le Co?tse?'?~a<eM?' Z!«e'?'aM'<
<( Parmi
les productions
« remarquables,
consacrées
a célébrer
la nais«. sance du duc de Bordeaux,
on cite une ode
« de M. V.-M. Hugo qui doit être insérée
dans
« le prochain
numéro
du Co~<'?'u<ï<eM?'Z~e« ?'aù'e.
Ce recueil
périodique
qui a des titres
« a la protection
du gouvernement
et pour
le« quel devraient
souscrire
les amis des
tous
de la p7'o~o.«7!OK
<<'a<;cM~a!<ï'o?! coK/o/e<
/?'e~
le duc .Dec~M,
ancien
pair de France,
du Conseil
des
ancien
Ministres,
président
ministre
de i'fntp.rieur
et de la police générate
du royaume,
a soumettre
à la chambre
de
1820
de Coussergues,
membre
par M. Ctauset
de la chambre
des députes,
conseiller
a la
Cour de Cassation,
chevalier
de l'ordre
roya!
militaire
de
officier
de
l'ordre
et
St-Louis,
de la Légion
d'Honneur.
royal
C/HM06.s'ua<ïOH&.s'M?'
/'<'c?'<~M6/ï'e'pa?'
le duc 7)cca~eA';
sel <<e CoM.Me?'</Me.s' eo/t~'e
de France
par M. le comte
d'Argout.
pair
(i)
CoH~e~'u. Z,!«.,
t. «r, livrais.
xxti, pp. 50-64.
« promis
et cela, bien plus par la faute
de notre
de tout dire,
ces deux concours
étaient
médiocres
« vénérable
sur
Académie
forcés
de travailler
de méchants
française,
que par celle des concurrents
»
« sujets.
V. Hugo avait
mais malgré
probablement
raison,
soi, on ne peut oublier
qu'il avait été concurrent
malheureux
et qu'il jugeait
ses juges.
à V. Hugo de reproduire
cet article
traite
des questions
essentiellement
difficile
(1) Il était
qui
deux
afin de
V. Hugo, dans le Co?Me/'u..&;«.,
avait
tenu pourtant
à parier de ces
ouvrages
politiques
ses opinions.
et prouver
restait
dans
la critique
montrer
Pour
son article
qu'il
cependant
justifier
fait au commencement
une
littéraire
et qu'i) ne dépassait
les limites
de son recueil,
il avait
point
«
il
la
forme
vaille
le
fond
série d'inductions.
Pour qu'uu
son objet,
est utile que
ouvrage
remplisse
les maté« et nécessaire
La
Httéraire
doit donc apprécier
les
matériaux
le
titre.
critique
que
justifient
« riaux
et juger
la forme,
c'est a dire,
si l'ouvrage
est polémique,
voir,
sur quelles
preuves
reposent
« les arguments
et de quel style ils sont revêtus.
»
H résume ensuite
le volume
de Clausel
de Coussergues,
fortement
sur l'accusation
solenappuyant
discutant
lonnelle
à la tribune
contre
le comte
l'assassinat
du duc de Berry,
portée
Decazes,
après
il
«
du
comte
cherche
sur la prétendue
terreur
de 4845. Dans
les 06M~a<tO?M
guement
d'Argout,
des
d'accusation.
en vain,
contre
i'acte
dit-il,
preuves
« porte
)i compare
les styles
des deux parties.
Celui de Clausel
de Coussergues
de la
l'empreinte
« conviction
il
dans
dans
la
et le cachet
de la probité.
est simple
et clair,
l'exposition
récapitulaDu reste
« tion.
ii est rapide et précis.
il est semé de traits
et
d'observations
spirituelles.
piquants
»
< M. Clause]
aux
« on n'y trouve
de mouvement,
point d'éclat.
point
peu de cbaieur.
répond
« injures
M.
est
bien
loin
aux calomnies
»
calme,
par une dignité
par un froid silence.
d'Argout
« de ce ton dont la modération
fait i'énergie.
« Tu te fdches,
Son exorde
est au moins maladroit.
« yM/)!'<ey, lui dit V. Hugo,
<<oMe <M as tort.
»
«
du lecteur
Voici la conclusion
de f'articie
Nous réclamons,
en terminant,
pour cet
l'indulgence
« article,
le silence
écrit maJgré
tant d'entraves,
et dicté du moins
par une intention
pure.
Dépiorant
du
des feuilles royalistes,
nous n'avons
défenseur
des prérogatives
pas voulu
qu'un généreux
« obiigé
« trône
sans
une
voix
amie
et
et des libertés
du peuple,
au milieu
de nous
être
accueilli
par
parût
90
7
1820
Octobre
«
«
«
«
«
«
«
«
véritablement
se fait
reroyalistes,
les plus'
et
par les doctrines
marquer
pures
les aperçus
littéraires
les plus ingénieux
et
les plus profonds.
Dire que la
quelquefois
rédaction
en est principalement
aux
confiée
soins de M. V. Hugo
et de ses frères,
c'est
en faire
le seul éloge
ne puisse
être
qui
»
contesté.
N.-B.
La xxne livrais.
est certainement
parue
vers le 13 septembre,
V.
en
fait
puisque
Hugo
mention
dans sa lettre
il son cousin,
du 21 sepà propos
de fa Société
de
tembre,
Académique
Nantes.
lettres
parCiausetdeCoussergues.
ln-8,
imp.
Projet.
n°
etc.
B.
19
août
Paris,
Dentu,
F.,
1820,
Dentu,
no 3060
2990.
2eëdit..
26 août,
3' edit.,
19
n"
d'une
septembre,
3251,
réponse à
augmentée
du comte
l'écrit
d'Argout.
On souscrit
un ou plusieurs
volumes,
pour
a Paris,
aux bureaux
du Con.s'gru.
rue
Lilt.,
des Bons-Enfants,
34. Prix de chaque
livraison
1 fr. 50. Cf. La ~KO/t~tenKp,
6 octoséparée.
bre 820.
7
Observations.
in-8,
par le comte
d'Argout,
Paris.
chez
les
marchands
Paris,
B. F., 26 août,
no 3061.
imp.
Dupont,
de nouveautés.
Poésie.
imitée
de ~o?t~.<Ce;)/t<se,
:~y~e
Ader:
CoK~pt'f.
t. in,
/,<«.,
<yM:eM, par J.-J.
livrais.
xxn, pp. 41-42.
Z.<«e')'M<M?'e /'?Y<7<pa~e. La Mto?'< <<Mdue de
« -S'. ~4. R. ~M!e la DMc/te~.«'
~e)'?'
poème
</c ~c?'?'
de Coriolis
d'Espar M. le marquis
t. ))f, livrais.
xxn,
pinouse:CoMS<;?'u.«.,
43-46.
Cet
article
est
d'Abel
pp,
(J.).
Hugo.
Second
</<ë<!<?'e /a'tpat.<.
Spectacles.
Z,WoMMte
M pre'6'aM/!0?ts,
comédie
en cinq
actes et en vers,
CoHsero.
par M. Désaugiers
t. in, livrais.
64-H7. (A.).
Cet
Litt.,
xxtt,
pp.
article
est d'Abel
Augo.
~/e7~/ty~.
jL!/<
t. )n, [ivrais.
Fïe/0,
xxt),
fragment
pp. H7-74.
Hugo).
Variétés.
Nouvelles
/<era:')'e.s',
Co?!e?'u.
t. )n, livrais.
Litt.,
xxo,
CoK.fe?'(?.
A. H. (Abel
pp.
etc.
78-80.
A la p. 79, il y a une vingtaine
de lignes sm' la
et les philosophes
tin xvtnc,
philosophie
qui est
bien dans le ton et les idées de V. Hugo. Cette note
sur
parle d'une phrase prononcée
par Kousseau
« Le vieittard
Voltaire.
à
x' qui l'a communiquée
bien
de
fauteur
être François
Neut'ebapourrait
teau.
44
de Chazet.
La nuit et /a~'o)<?'nee
Alissan
~M 29 septembre
naissance
du duc de
de divers
avec pièces
auteurs,
Bordeaux,
In-8,
Ponthieu.
B.
F..
14
octoParis,
imp. Dupont,
bre 1820.
Lettre
V.
BtKM,
231.
Lettre
annonce
ode sur
« J'espère
«
«
Alissan de Chazet, protecteur
de V; Hugo, cite
des vers de divers auteurs,
mais
ne cite rien de
V. Hugo.
de
V.
Hugo
de V.
à
Saint-Vah-y
1830,
pp. 222,
Hugo
avant
Hugo
l'envoi
de
La MH~MMce
au
deux
duc
de
MaiHé.
cf. Eo.
223 et
H lui
d'une
exemplaires
<<M ~MC de ~o?'</eaM.'c.
bien
voudrez
en accepter
que vous
un
et mettre
l'autre
sous
les yeux
de Son
Altesse
A cette
ode
./)/OM.~Mr.
est
Royale
une autre
dont
jointe
pièce
j'ose
également
faire
a
A.
R.
S.
hommage
aujourd'hui
que ta
«
«
« France
« [ation.
Cf.
et
»
nos
Catalogues
princes
ont
CAa?'<!Uf<y,
enfin
une
conso-
n° 423.
« reconnaissante.
Nous lui avons
rendu
aussi clairement
nous
l'avons
satisfaits
témoignage
que
pu
« si, dans notre
a
»
il
su lire notre
littéraire,
suffrage
approbation
politique.
V. Hugo,
s'est
sûrement
cet
article
il a écrit dans
/~t«. e<P/t?7os.
m~e'M
quand
plus tard,
rappelé
« Une grande
M. Donnavient de s'émouvoir,
ces jours-ci,
à propos de M. Decazes.
querelle
politique
«dieu
contre
M. Decazes;M.
contre
M. Donnadieu;
M. Clausel
de Coussergues
contre
d'Argout
V.
« M. d'Argout
de
et
les
de
sont
Cette
est
évidemment
1834
souvenirs
» (p. 112).
phrase
Hugo
peutIl
être un peu confus,
comme
l'a prouvé
E. Birë ('F. //M.~o avant
aurait
dû
dire
~~50,
pp. 186-187).
M. Clausel
de Coussergues
a écrit contre
M. Decazes,
M. d'Argout
a répondu
à M. Clausel
qui a répondu
à M. d'Argout.
9t
20
(~û~'e
1820
19
21
Poésie.
Ode sur la naissance
7/CM?'C/<a?'?Y~M~M~r!'c-.D!eM~OMHe
duc
de Bordeaux,
d'Artois,
/r<t7:cc
(1).
CoM~'ero.
t. in, livrais.
7.z«.,
83. V.-M. Hugo.
a réuni dans.un
Recueil
Richard
morceaux
de prose
sur
les poésies,
discours,
Nous voula naissance
du duc de Bordeaux.
drions
citer Dureau
de la Malle.
et une ode
de M. Hugo
dont
nous
avons
déjà
par!é.
au Co~u.
cf.
La
Elle est insérée
~ï'«.,
19 octobre
~820.
0Mo<!f/!CKnp,
La
librairie
Lettre
de la maréchale
Oudinot
à V. Hugo,
de Berry
au sujet de
de la part de la duchesse
l'ode ~M?' la naissance
du duc de /~or</e<ÏM.K
cf. G. SiMOK, /K/'aH<-6
de V. ~M'7o,
pp. 222223.
/.ï'/<f'?'a<M?'e
Zc/sde
F!
any/a~e.
0~6orMe.
M~ïa?H
traduites
~/e/~<X/<,
~a?'
de l'Anglais
par A. D.
t. m, livrais.
CoHA'p?'
Z!«.,
xx]!i, pp. 96102. J. J. A. = J. J. Ader.
du <S'ec?'e/'?'aHfM~<
~a/)p07'<
~M?' le co/tde ~ea~pw~
/<ï!?'e;!e7'Me<
cours
en 1820.
d'éloquence
t. )u, livrais.
CoM~'u.
/«.,
xxn), pp. 103H3.
A. =-AbeiHugo.
ZïM<7'?'c
N.-B.
t) fait, l'éloge
de son ami Maiitom'ne
il
une
dizaine
de
vers
de l'ode de son frère
et
cite
~M?' la ??:o/'< </M PrtHce
de Condé. C'est
Eugène
un excellent
fraternetie.
exemple d'affection
N.-B.
Il est évident que
avant le 21 octobre,
puisque
tre de la maréchale
Oudinot
ciant V. Hugo au nom de la
de 6\
A.
de
petit-fils
xx)n,
R.
pp.
81-
la livrais, xxm parut
nous avons
une letremer(2d octobre)
duchesse
de Berry.
de .< A. R. ~r
/e
Ode .Mr la naissance
duc de Bordeaux,
suivie
d'une
Ode sur
la
Par
??tor/ de S. A. 7~. ~/yr
le duc de Berri.
Victor-Marie
de l'Académie
des
Jeux
Hugo,
Moraux.
Paris.
Boucher,
Paris,
Boucher,
]n-8,imp.
0.75
(Extrait
du
Conserv.
PéHcier.Ponthieu,
t. n), livrais.
xxm, pp. 81-86).
Z!«.,
édition
ne !?f<rtc<M?',
Cf. Odes et Ballades,
cf. Odes
et Ballades,
édition
de
pp. 89-95
Nationale,
pp. 72-76.
l'Imprimerie
/!eH'<<; poétique.
bouïsse,
Gasp.
/C/<0?M7Ke
(~).
Co?<se?'u.
Z!«.,
96. U.
~M/. /~cyMtOM<
Descombes,
Gabriel,
t. ni,
livrais.
xxn),
de
LaAug.
pp.
86-
a
en 1820 et même
dans l'édition
de 1822 (Odes
et Poésies
qu'on lisait
diverses)
(1) L'épigraphe
« L'enfer,
<0!M les
été abrégée.
Voici le commencement
sa rMtMe, tente
qui a disparu
~Mt y)rcMe~<
les ~e'MO?M de la ~o/M~<e,
la milice
de ct'c~OM'e:
de <M:&MH
cherchent
a corro?K/)ye
«MoyeM~
« fidèle.
Le ciel ~?'e?t< ait secours
de ses e;t/aK~
etc.
»
prodigue.
les
a
Voici d'autre
cette
ode
subis.
part
changements
que
5
On
lisait,
en
Et viens voir si ta noble
vers
1820
et
1822
épée (1828).
Page 91,
épée
grande
Une race de rois à leur trône
e'AraM/e
isolé (1822).
Page 91, vers 12. En 1820
Les trois derniers
vers
ont
été transformés.
Les voici
tels
Page 92.
qu'on les lisait en 1820 et
1822.
Sois aux sombres
soucis qui nous rongent
encore
Ce qu'est le flambeau
de j'aurore
Aux vapeurs dont la nuit couvre son char de deuil.
Maudis
la trahison
et proclamas
ta foi.
93, vers 13. On lisait en 1820 et 1822
Page
vu naitre.
en 1820 et 1822
chercher
MM; lieux
Dis, qu'iras-tu
qui t'ont
Page 94. vers 7. On lisait
10.
les
vers
On lisait en 1820 et 1822
Voit Palerme
en fureur,
Messine
dans
larmes,
ti commence
nu))e part cet article
par
~2) V. Hugo n'a reproduit
qui n'a rien de bien intéressant.
rendre
d'un
M.
ancien
maire
d'Issoire.
C'est
un
~oMM~<yeaZ)<'<!</e,
par
prospectus
compte
Reymond,
dans
rimé pour la commune
de Chanonat
veut
é)ever
un
monument
à
Delille.
«
Mettre
du
talent
qui
« un prospectus,
voilà ce qui était M~M~et difficile
et c'est ce qu'a fait M. Reymond.
Ce prospectus
« est partout
la
du
chantre
des
la
et
frafcheur
plein d'élégance;
plusieurs
passages
rappellent
grâce
« Jardins.
» V. Hugo
donne
de longs
extraits
ou l'on
rencontre
des vers « charmants.
harmo»
et de fermeté.~
«nieux.
beaux
pleins de chaleur
a envoyé
de Castelnaudary
V. Hugo les fait connaître
en citant
M. de Labouïsse
plusieurs
pièces.
Dans le
de trois
morceaux
A F/eoMoye,
le t~e?'
le Baptême.
plusieurs
passages
~4~0~/te,
seul
de Labouïsse
chante
le cerisier,
le pêcher.
L'abricotier
l'amandier,
~er~er
<4</o/p/!e,
l'abricotier,
ne plaît, pas à V. Hugo car ce nom lui « semble
». Il termine
sa critique
par cette
peu harmonieux
d'être
citée
nous interdise
de plus longues
« Nous regrettons
qui mérite
que le défaut
d'espace
phrase
« citations,
M. de
où l'on aurait
des preuves de ces sentiments
pu trouver
monarchiques
que
professe
« Labouïsse,
if est difUciie d'être
et sans lesquels
vraiment
Peu de beaux
vers
ont été inspirés
poète.
« par la trahison
et la révoite.
»
A propos
il s'amuse
a. se moquer
de
de M. Gaspard
Descombes
de Gallus,
qui a traduit
l'églogue
au dire du Co?M<t<M<!OMHe<. M. Descombes
est bien auM. Tissot,
le premier
de MM poètes
e/e'~ta~MM
-92
2t
1820
Oc/o~'e
21
?'f'o~?~~e
~e/an~s'.
Aa~K~e
e)t /'M(?cM?' des
<<e
Jc.SM/f.
/'a.s'<ono??:e
CoH.')'p~u.7.i[«.,t.m.)ivrais.xxm,pp.H3H5.
J. =AbeU)ugo.
Revue
/~</<?'at?'e.
<<Mc f/e ~e)'<
et du
~'M<?'eMMe de ~K?'<
<tM.x C/<a~My.'s-?/xe'<
/M<66a;M/Z.e<oM?'K«M.
~a?'
O~c.s'M?' /M p.T/)/o<<.s' (/M c/ieua/aya?'
Le Zo7'?v«M.
~ar y.
t. m, livrais.
CoM.s'p?'
Lill.,
xxnt,
pp.
IV
(/<? /<t ~'oc!<'<e'~ea</e'M:ï~'e'OKc<)M6/Hp
o!e /a /.o/?'6-eK?'c,
que <~M Z)e'~M?'<p~e?t<
<eKMe /e~3
aoM< .0,
~OK~/M /.)?'M«~otcc
~e
/?-e<eaM
(1).
CoM.SM'H. Zï~
L m, livrais.
xx)n,
pp. H9~20. M.
Lettre
de V. Hugo
Co~'e~on~f~ce
de V. Hugo
Lettre
H6-
a M. Finaud
27
Lettre
de V. Hugo a Saint-Vairy.
Eo. B~R! V. /yM.yo f<HaM.< ~30,
119.J.=AbeiHugo.
24
(Tou)ouse).
pp. 363-364.
~5-~35,
à Agier.
2t
28
p. 231.
de M. Le
N.-B.
Abel se tnoqoe agréablement
et il lui oppose 22 vers de Soumet
dont
Lorrain
)~ pièce a été, en 4813. couronnée
a )'Académie
avec
celle
de
Mme
française
Dufrenoy.
~VoueM!~e
4
/,nK:.f ~Y~7/ ait &c/'c~aM de //e/u'ï
V suivi
de j~a/<s'Aë7'<«'.s',
dithyrambe
qui a concouru
a ('Académie
en 1820,
française
par le Comte
de Pons,
officier
de la garde
Caspard
royale.
Paris,
)n-8, Irnp. Boucher,
Boucher,
Pélicier,
B. F., 4 Novembre
n° 3948.
Ponthieu.
1820,
La naissance
</e //eMrt
7)~
~/e7~</c.
CoM~
A~<
t. i!), livrais.
xxtv,
pp. 'i48155. A. H. (Abe)ifugo).
Fa?'të<<s-VoMt~/c.s
etc. Co/t/«e'?'a!?'e.s'.
t. m, livrais.
xx!V. p. 168.
«'?'u. Litt.,
Une petite note des Variétés semble appartenir
« L'on attend
a V. Hugo.
avec
un
impatience
4
~!co?M<eDoMMa<M,)ieu./)/e'wfwc/)OM?'/e
tenant
des armées
du Roi,
commangénéral
deur de l'ordre
et militaire
de Saint
Royal
officier
de la Légion
Louis,
d'Honneur;
grand
sur la plainte
en calomnie
lui
contre
par
portée
les sieurs
et Regnier,
auteurs
Rey, Cazenave
et signataires
d'une
pour
pétition
quelques
habitants
de Grenoble.
MM H:c'MM!?'e
Réponse
~'ye?(e?'a//)onMH<<<eM;par
Saint-Aulaire
(2).
Con.s'eru.
Zt«.,
142 (V)
Cf. jLï~.
dessus
de lui, car sa traduction
mérite
des étoges.
et des conseils.
de la grSce et de la précision
reconnait
présente
que sa traduction
ni
d'abandon
ni
de
vivacité.
dénuée
V.
et
de
M.
~o'y'ye?',
poM?'
le Comte
de
t. )n, livrais.
xxiv. pp. d34e< Philos.
mêlées,
p. 112.
lui donne
Hugo
que sa phrase
les
Il
deux.
n'est
poétique
de M. Cabriet.
n'e manquent
ZM~<aHce~aMKaM!ta~M/aMor<<<'MMeaM!aM<ec/t<r:e,
«
H cite une douzaine
de vers
harmonieux
et touchants
».
douceur
ni de facilité.
à
mon
sur
à
de
M.
contient
de « bons
frère
la poésie,
Richomme,
T/ep~e
son penchant
conseils
».
ples et d'excellents
ni
de
exem-
du Co?MerM. Z!'«.
ce compte-rendu
dans
le cadre
La
(d) V. Hugo a quelque
peine à faire rentrer
de
Nantes
surtout
de
recherches
C'est
avec
en
société
académique
s'occupe
scientifiques.
plaisir
qu'il
« il veut payer
à une société
semble
surun tribut
de louanges
parte,
qui dans une ville commerciale,
« tout avoir à cœur la prospérité
de l'agriculture.
» V. Hugo a d'autres
raisons
ne peut
évidemqu'il
Dans le rapport
il
est
heureux
de
ment
donner
au public
de ses lecteurs.
du secrétaire
général
Bretons
et des essais
« trouver
les noms
de plusieurs
savants
recommandables
par de bons ouvrages
M. de la Boëssiëre.
et agriculteur,
ancien
les
« utiles.
On y remarque
général
royaliste
qui pratique
vit
à
« vertus
M.
l'abbé
de
la
loin
des
hommes
et
cherche
encore
les
servir;
répubiicaines
Trappe
qui
« M. Trébuchet,
savant
e6'<MHa6<e que modeste,
un
très
et
croit
aussi
est
distingué
qui
antiquaire
V.
M.
Ed.
fticher
dont
le
amateur
curieux
et non
< M'e~e qu'un
(c'est nous
qui soulignons
Hugo);
dans
M. Athenas
et une foule
« talent
et les connaissances
ont été si justement
loués
ce recueil
« d'autres
instruits
suit rarement
la science
utile. »
hommes
et peu connus,
parce
que la célébrité
amis
V. Hugo encadrait
ainsi admirablement
de son oncle par l'éloge
des
de son oncle.
Ce
t'étoge
n'avait
en
effet
d'autre
but
de
faire
à
Trébuchet.
Marie
Joseph
compte-rendu
pas
que
plaisir
de celui
est une répétition
(2) Cet article
7
livrais.
octobre
xxu, pp. 50-64,
1820).
« Nous autres,
dit V. Hugo dès le début
le
paru
du
présent
93
mois
précédent
article,
nous
dans
autres,
le Conserv.
qui
nous
Litt.
occupons
(t. H!,
de
1820
./Vou<<?
« ouvrage
de Chateaubriand
sur
de M. le Vicomte
« les affaires actuelles ». L'auteur
presse Chateaubriand de publier
ce volume dont par discrétion
il ne veut pas révéler le titre.
Avant
le 10
111
N.-B.
Réponse
Fuin, Paris, Ladvocat
2e édit., 14 octobre,
no 3932.
~eMOt~e /MM/'
n'ai rien trouvé aB.
Trébuchet
vient faire ses étudesde
Adolphe
Cf.
droit à Paris
et descend
chez Mme Hugo
Lettre
de son père du 18 novembre.
au 7)/~Ht)!ye, etc.
In-8. )mp.
B. F. 7 octobre,
no 3362
no 3394;
3e edit.,
4 nov.,
Vicomte
F.
/)oMMf!eM,
etc.
Je
des M<0?'cef<M;E de
Exposition
de ~?'f<~M?'6 et d'ar/)e!M<M7'e, de A'c«~<M?'c,
de
à /~H?'~ el envoyés
c7«<ee<M?'c, coMroKng'~
/~OMtc. ~'o~?'a<<
de ~Me
la
Duchesse
de
y)/. A'/K~o/t
Z.!«.,
~e?'~<;
par
(d). Co'<sc?'H.
t. t!i, livrais.
xxtv, pp. 146-147
(Signé
M.).
~eaMa:4?'<
un
Nodier
dans
le Défenseur
publie
la phrase
où V. Hugo
pris
qui sert
a la /~a/t~e
~Vox're dans les Odes
d'épigraphe
t. )n, tivrais.
et Ballades:
cf. le Z)e'eKse;<?',
1820.
xxxn!,
p. 294, 11 novembre
V. Hugo envoie
a Gaspard
de Pons la pièce
cf. GASPAHu
intitulée
/OM.s<?<)n/'e<
t. n!, p. 169;
DKPuNs.)<pK.ï;
/joe'<~Me.<,
E. Muu<, F. //M~
at'aM< ~~0,
pp. 344-345;
255-256.
F. //M</o ?Y<coM<e, t. t, pp.
Cb.
article
7)/
les Rédacteurs
~'o/'?'e.s'po?t~HC<
~M CoK.s'e?'H<ï<eMrZ,t«<'?'<i!<re(2).
~'OM.s'<'?~.
t. i!<, livrais.
Litt.,
xxtv, pp. 185')58, V.-M. Hugo.
de
du. privilège
de faire entendre,
de spectacles
et de beaux-arts,
nous jouissons
et de prose,
à rogner
les ongles,
à
en temps,
des vérités
utiles.
On ne s'est
que nous croyons
pas borné
temps
aux journaux
on leur a mis un baillon
et nous,
iimer
les dents
que nous n'avions
politiques,
parce
a
la
aussi
sans
oublier
ni dents,
on n'a pas songé
nous ôter
ni ongles,
voix.:
cherchons-nous,
que ce
»
est littéraire,
à justifier
en même
recueil
temps son titre de CoK.swun<eM7'.
de talent ».
« écrites,
avec beaucoup
trois ou quatre
dit-il,
pages du ~/e'to:re
V. Hugo cite ensuite
<:
En
infortuné
duc
Il veut. lui aussi ajouter
sa page au ~e'/MOtre
et il s'adresse
au duc Decazes:
vérité,
« Decazes
vous n'êtes
encore
d'Etat,
qu'ambassadeur,
que pair de France,
que duc, que ministre
quoi
ait sersait et. comme
l'a si bien prouvé
M. d'Argent.
entré
riche
« que cordon
bleu
comme
chacun
a
le
de
louer
une
maison
vous en êtes sorti
« vice f<M /~ot de 7'a/tce,
/)aK);y'e,
peine avez-vous
moyen
contre
vous
on publie
encore
« de campagne
de 24.000
francs
hé bien
de tribulations,
pour comble
d'une
libelles
sont
ces vilains
et, ce qu'il y a de plus
affreux,
grossis
<:desMe~e.<;<<t//aMi<:<<M7'<<,
fi
faut
convenir
« liasse
de pM'c<M justificatives,
que
qui sont encore
plus libelles
que tout le reste.
à
et
leurs
« les royalistes
sont bien ingrats
toutes
les
bontés
de
votre
excellence,
que
procédés
après
« votre égard
/«..
& (Co~eru.
p.. 139.)
sont peu dëticats.
faire
aux
de côté
dans cet article
Les questions
littéraires,
on le voit, sont
laissées
pour
place
ses
à prouver
L'auteur
met un matin
a attaquer
le duc
de pure politique.
Decazes,
plaisir
questions
un coup
d'encensoir
à un illustre
membre
de la chambre
M/<r<M et à donner
en passant
opinions
au
ministre
avait
adressé
un défi
qui se renferma
haute, M. de Chateaubriand,
qui avec autorité
jadis
il répond
M. de Saint-Aulaire
fait comme
le duc
alors dans sa toute puissance.
Decazes,
par un fier
M. Berryer.
x toutes les assertions
silence
capitates~de
dans
un peu transformées
V. Hugo termine
son article
par deux ou trois phrases que l'on retrouve
« M. Decazes
le texte
du Conserv.
Z:«.
Litt.
et Mt<o.<.
(s'en
répondra-t-il
??~M
(p. -112). Voici
dans
Toutes
ces
dans
Z/M.
et
Philos.
enfin
lui-même
?
querelles
(batailles,
<: méiera-t-i),
mêlées)
où de preux
chevaliers
allaient
« 7~t«. et Philos.
nous rappe)ient
les anciens
temps
provoquer
M~"M)
vu
« dans son fort quelque
félon.
Au
bruit
du
cor
un
nain
Nous
avons
plusieurs
paraissait.
déjà
géant
»
« nains
nous
n'attendons
le
plus que
géant.
apparaître
et Philos.
sous la date
ti est évident,
en
1834
les
mêlées,
qu'en
composant
pp. 1-tt et 'tl2 de Litt.
« on nous
avait sous
les yeux
le CoK.s'e/'u.
Il y puisait
d'avril
')820, V. Hugo
quelques
lignes.
et
du 7 octobre
bien d'avrii
1820. Mais avec ses deux articles
le ~)/OK«.<<ere, etc.
», qui sont
promet
nous
du reste,
le morceau
du 4 novembre,
il composait
une partie
citant
même
textuellement
que
à
du
4
novembre.
son article
devons
de restituer
«
«
«
«
«
vers
e
H nous montre
n'a pas grande
Cet article
cependant
que V. Hugo sait aborder
importance.
traitant
des sujets
H s'occupe
de trois ou quatre
tableaux
tous les sujets.
plus particulièrement
»
« Nous louons,
la poésie
où nous en trouvons
ou poétiques
dit-il,
vestige.
partout
antiques
«
la
fin
la
Duchesse
de
Berri.
Tout
Paris
a voulu
voir ce
it a réservé
le portrait
de Madame
pour
avec plaisir que nous
il nous a été doux de suivre
la mode,
et c'est
« tableau
en cette circonstance.
le plus vrai, le
« payons
à l'artiste
un tribut
bien mérité
de louanges.
Sa composition
est de l'effet
en
même
le
Koi.
« plus touchant
et le plus dramatique.
Tous les Français
font le
éloge que
contraen priant
humblement
ceux
de MM. les
Artistes
nos jugernents
« Nous terminons
que
et il y a si loin d'un
« rieraient,
sans scrupule
nous ne sommes
de les casser
simplement
qu'amateur,
»))
« <ï/M6[<e<t7' à un coH/taM~<t/'
())
discuter
(2) Cette lettre
demande
pourquoi
n'est
article
qu'un
a
consacré
V. Hugo
sur
littéraire
trois grandes
.94
Lafont
élégie de M. l'abbé
à un ouvrage
pages
qui nous
une
d'Aussonne.
On
absolument
parait
se
4
A'
1820
't88
Lettres
Trébuchet
deMarie-Joseph
et a Sophie
Trébuchet
Hugo.
N.-B.
dit ~6 octobre
ou les /r/
monument
et.hist.o<(!??tM~e~/ar~:
poétique
mémoire
<)e Mfn'ie-Ant.oinett.c
riqueé!evë!')!a
reine
de
et du jeune
~'Autriche,
France,
roi, son
fits~parM.Lafontd'Aussonne.
a Adolphe
[nédites
cf.
~/)yjgn(/:c<
t) est heureux
de l'excellent
de son fils
voyage
Hitéraire
et,
Conseils
Causerie
politique.
a.Paris.
Remerciements
à Sophie.
paternets.
26-29
Chateaubriand
dinaire
et ministre
de Prusse
~820.
Fin
nov.
Lettre
cf.
d'Adolphe
est
nommé
envoyé
plénipotentiaire
26 et
l'Eloile,
Trébuchet
a
29
à
)n-8.
crime
Paris, Imp.
H.)<28oct.,no3885.
extraorla cour
Egron.
Paris,
Pichard.
etc.
7'Ae<7'<'
<?'aClovis,
-9/jec/ae/e.
/'rf<npait'.s'.
en c/M</ actes
«;MKe<
/ja/'
yc'<e
('<).
novembre
son
Le
208
père.
Inédite.
H est
n'en
possédons
qu'un
fragment.
du
des rehttinns
et, de Mme Hugo.
générai
question
< J'oubliais
de te dire que Victor
et Eugène
suiils en sont
a leur
« vaient
les cours
de droit,
« 3e année
un
»
Abel travaille
chez
négociant.
Nous
CoM.s'e?'ï«,t.in,!tvrais.xxv,pp.20<(H.).
N.-B.
Clovis
représentée
par les
tragédie.
'omédiens
ordinaires
le
d9
octobre
1820.
dn Roi,
In-8. Imp. Fain
Paris.
Ladvocat,
et Barba.
B. F., 4 nov., n' 3910; 2e édit
11 nov., no 4074.
seulement
132 vers suivis de 30 pages de notes
et d'anecdotes.
de nutte valeur.
Cette élégie
comprend
a
vers
H est vrai que V. Hugo n'a pas prodigué
ses éloges:
du talent.
certains
sont
l'auteur,
dit-il,
de
méiancotie.
Mais
il
n'a
craint
de
faire
des
réserves.
d'autres
de
et
fouettants.
pas
pleins
grAce
Marie-Antoinette
ette-mëme
son propre
Latent.
a fait une faute de goût
prononce
étoge.
f élégie est
stances
faibles la déparent.
un peu longue.
quelques
par ailleurs
)cs meilleures
n'ont
V. Hugo en parlant
ainsi est généreux
encore:
tes stances
qui) a citées comme
Il y a dans l'élégie
même
s'il n'a
tes plus faibles.
de
on se demande
valeur,
pas choisi
pas grande
mais
y
a
si
ébauche
de t ode que V. H!!go écrira
sur Louis XVtL
Lafont
comme
une lointaine
a
peu de
ce
serait
faire
i\
V.
la
des
deux
franchement
entre
valeur
poétique
que
injure
Hugo de ie
rapports
un pNM)~ef/Me/jatfMf<M-Y~e.s'tëc~e
dans
te
avec Latent
d'Aussonne
égaré
comparer
qui semble
méritait
son élégie,
sont bien plus intéressantes,
mais l'ouvrage
ne
xïxe. Les notes
pas un
qui suivent
Litt.
article
du CoMse~'M.
dans les deux faits suivants.
est très royntiste,
ce qui
nous croyons
les trouver
Les raisons
L'étégie
un
Les notes,
suite,
se
terminent
a V. Hugo
de montrer
ses opinions.
par
qui lui font
permet
Extrait
du CoM~e/'M..Lt«.,
?ME'W<e, rédigé
«~OM?'MN< </M plus
grand
par
MM. Hugo ». (Le crt'MM du
C'était
un moyen
H s'agissait
des dernières
volontés
de Jacques
Oetitte.
16 octobre,
pour
p. 40).
d'affirmer
d'autres
rédacteurs
V. Hugo de prouver
sa reconnaissance
et en même
temps
qu'il y avait
au CoKA'e?'N. Litt.
cet article.
On n'y trouve
en effet aucune
de ces idées générâtes
qu'il
(-t) V. Hugo n'a pas reproduit
a développer
dans
Litt.
et Philos.
mêlées.
Peut-être
est-ce
cela
aimait
et qu'it a reproduites
pour
que
sur le théâtre.
est l'un des moins
bons qu'il ait produits
cet article
Plus intéresson sujet.
Son début
semble
un peu cherché
et V. Hugo a bien de la peine a amener
assez
clair est le
le Clovis
de Lemercier
et celui de Viennet;
sante
est la comparaison
qu'il fait entre
». V. Hugo ta débarrasse
d'une
foule de scènes
de la pièce
est « un imbroglio
résumé
qui
tragique
embrouillent
le
fil
de
sans
resserrer
l'action.
de nœuds
accidentels
qui
l'intrigue
épisodiques,
de
« Le style n'est guère
au dessus
du plan
il est diffus,
et manque
essentiellement
négligé.
du critique.
)) n'aime
« poésie.
» Deux pages
de citations
pas tes vers qui partent
appuient
l'opinion
Il
trivialement
H applaudirait
de ~a?/~
et de liberté,
ce sont « des vérités
triviales,
plus
exprimées
avec les amis de l'auteur
les deux vers suivants
volontiers
Vos soldats
irrités
demandent
son trépas
Ctovis ne reçoit point la loi de ses soldats.
contribuent
et les affaires
actuelles
de l'Europe
beaucoup
à la beauté
de ces
« Le jeu de Tahna
« vers.» »
fut plus indépendant
de la politique,
car on sent trop
de V. Hugo
On souhaiterait
que le jugement
a ses lecteurs,
tt
il n'a
dans cet article
souvent
impartialité
jadis
promise
que, royaliste,
pas cette
&
a
&
les
des vers
Corneille
accuse
Viennet
d'avoir
Brifaut,
Voltaire,
preuves
qu'it
apporte
emprunté
la
lui a
Evidemment
le
succès
de
à l'appui
semblent
bien faibles,
ne
dire
pièce
pour
pas
davantage.
Le succès
dit-il
dans
sa conclusion.
« Si elle était tombée,
nous aurions
été plus indutgent,
déptu.
des
libéraux.
Le
des amis de l'auteur
vient des applaudissements
rangés sous le LM6'<re, évidemment
une
citation
et un piètre jeu de
à V. Hugo
de faire,
en terminant
son article,
mot lustre
permet
mots.
-95.
9
/)eee?H~'e
n
0
1820
Œ'MU?'e.! co~H/j/e~M
Z.a/M~e
a?t~/<!tse.
de Lord
~y~'07! (1~ article).
t. Ht, livrais.
CoH6'er~.
xxvf., pp. 212Lill.,
216 (A. de V.) = A. de Vigny.
N.-B.
Le 2e article
ne parut
jamais.
de /'c.sprt<
et de l'abus
<M~e
par
joAtyKC a!;<7-an< /e~c/e,
t. )n, livrais.
Co'ts~'u.Zt~
xxvj,
223. A. S. = Alex. Soumet.
De
philosoPortalis.
pp. 216-
7''er<Ma?t<~
de S. A. R.
C/ta?'/M
Eloge
duc de /~e?'?'
d'Artois,
par Maquart.
livrais.
Co7~e?'u.
Lill.,
t, m,
xxvt, pp. 224228. A.=Abe)Hugo.
</<e'~<)'e /?v<ytpa/.s.
L'accident
eH
comédie
e?t 3 actes
et eM prose
de
voyage,
7)/. Georges
~)Kt;a/.
Con~'e?'<
t. m, livrais,
Lill.,
xxvf, pp. 235237,A.H.=AbetHugo.
Second
V. Hugo
assiste
à la représentation
et CM!7/aM??:e de Rougemont.
~te
t. tu, )ivrais.
se?'u. Lill.,
xxvo,
pp.
6 janvier
1821.
Variétés,
seru.
Litt.,
M~Mue/~e.! littéraires
t. ni, livrais.
xxv<,
de EuCf. Con279-284,
CoHp<6'
246-248.
pp.
de ces
JI est assez probnbte que quelques-unes
JI est question
d'un
nouvelles
sont de V. Hugo.
« dont la réputation
naissante
ne
jeune officier
« tardera
à
la
devenir
de
ce)ébrité )). C'est
pas
de
Pons
ou
A. de Vigny.
évidemment.
Gaspard
ti est question
d E. Deschamps
etde sa traduction
de Guiraud
et de son Pélage, d'Amédée
d'Horace,
de
de
l'ode de V. Hugo ~M)' la
i'édition
Tissot,
dit ~«c de j9o7'~eaM~
a
?ta<.<saxce
imprimée
Nantes.
Poésie.
Le' 4
?toucMt6/'e
~<«?!6'M.
t. m, livrais.
Z!«.,
1820
(Saint-
C/!a?'/P~).
Conserv.
xxvt, pp.
210. V. M. Hugo.
Cf. Litt.
et Philos.
t. t, pp.
M:<?/e~,
de 1820.
182, la ~'a/K<-C'/<Hr/M
Au 24<= vers,
Héros.
~/<!?'<yr remplace
~CaM.E-~4)'
Annales
~/K~pe.
Salon
de ~<M9, par C. P. Landon,
peintre
S. A. R. Ms'' le duc de Berri,
membre
etc.
2e vol. Composé
d'honneur,
Légion
six dernières
livraisons
(1).
CoHsgrt?.
t. m, livrais.
A:
xxv), pp.
230 (M.).
B. F.
Salon
de
etc.
~9,
royale Paris
Paris, bureau des
~MMe
B. F. 30 Sept., no 3431.
Revue
Z/«e''a:'t'p.
~'p!e
7)/. le Chevalier
de /o~<G'M!
Co?t.s-<a<<07~'
?'c/e«.s'e.s',
In-8.
Annales
209151-
de
de la
des
229-
tmp.
du
à
Dieu
par
aM<cM7' des
H:o?Y</e.s- et poli-
</(/M~
C'a?'M!eK .~<tc?'M??t, aMc~o?'e /!a~M/p/<o
Carr.
/)<Me?'<M/o/t
.~K?' la C'e'.s-M?'e, <?'af/M!<e
de
H. jSo;</a?'
l'anglais,
~f<?'~4.
A
A. R. 7!/M:e la Duchesse
de Berri,
à
/'oeca~!OH
de <« naissance
le duc
de
~<?.A~'
~o?'</eaMX
CoM~'eru.
243, 245-246
/)ar~
Lill.,
(U.).
j8e'y'<'M~?'</eZa6<ïMy?!e(2).
t. m, livrais,
xxvi,
pp. 242-
N.-B.
Z~<ye s Dt'eM, etc. fn-8. !mp. Boucher,
Paris, B. F., 30 sept., n" 3447.
Dissertation
~M/' la ce'6'M?'< etc.
!n-8, fmp.
Gueffier.
Gueffier
et
Maradan.B.
F..
Paris;
Paris,
14 oct., no 3606.
Nous n'avons
rien trouvé à B. F. pour les deux
autres.
dans cet article
et la conclusion.
Le début
est une
que le début
(1) I) n'y a d'intéressant
attaque
les libéraux,
MM. Juge, Bousquet-Deschamps,
de
Villars
enfin
M.
« a
contre
et
Pontignac
Kératryqui
« oublié
sur )e salon
certaines
car depuis quelque
ce grand
à
épftres
métaphysiques
temps,
publiciste
« la suite des ex-conseillers
et
à
du jour,
d'état,
des
Hoyer-Coiiard
Guizot,
verse,
propos des affaires
« flots d'encre
doctrinaire,
encre
a
dit
noire
~'OMh'e.
»
qu'on
p)aisamment
beaucoitp
plus
</Me
La conclusion
est une attaque
contre
les Musées ou plutôt
la valeur
des tableaux
renferment.
qu'ils
« La dernière
a
selon
la
n'est
richesse.
Socrate
voulait
nous,
exposition
prouvé
que l'abondance
pas
« que sa maison
fut petite,
nos
musées
sont-ils
si
Les
vrais
chefs-d'œuvre
sont-ils
pourquoi
grands?
« moins
vrais
rares
les
amis?~o~
musées
sont
des
a-t-on
car beaucoup
de
que
temples,
dit;
d'accord,
« temples
sont des hospices.
»
en quelques
de ces quatre
volumes.
(2) V. Hugo rend compte
lignes
H félicite
le chevalier
de Port de Guy d'avoir
et noblement
souffert
longtemps
pour la cause
roya« Ses vers, écrits
de verve,
liste.
sont pleins
et
de
chaleur.
Le
des
écritures
style
d'énergie
y est imité
« avec beaucoup
de bonheur;
nous avons
d'autant
meilleure
grâce à iouer les vers de M. Port de Guy,
« que nous ne partageons
toutes
ses opinions,
sans toutefois
lui céder
en royalisme
»
pas complètement
A propos du Cf<?MeM McrMMt,
V. Hugo écrit
« Des idées
et
morales
sont
rendues
religieuses
y
« d'une
manière
et
tant
de
bons
conseils
ne
ingénieuse
énergique.
quel dommage.
que
puissent
« être compris
»
de la plupart
de nos libéraux
Dans la pièce de M. Bérenger
de Labaume,
il y a des vers charmants.
V. Hugo
en cite quelquesuns dont « l'un est adressé
à nos libéraux
à
montrèrent
tant
de
la
naissance
de l'enfant
qui
stupeur
« qui est pour eux, suivant
la belle et énergique
de M. de Labaume,
M
l'inévitable
~ot.
expression
-96
9
1820
Z)cceM:<y-f
2:i
Le duc de Rohan
Cf. La Quotidienne,
2S
Chateaubriand
Cf. L'Etoile
part pour Ber)in.
et le JoM?'Ma<
de Paris,
28déc.
1820.
est
ordonné
sous-diacre.
24 dé'c. 1820.
Lettre
de V. Hugo
Le Figaro,
22 août
à son
1888.
oncle
Trébuchet,
cf.
:'<*
Lettre
d'Abel
a son oncle Trébuchet
Hugo
Cf. Revue
des
n" 94, nov.
Autographes,
n" 75.
1885, p. 12 et Catalogues
C~?'~uay,
.~4
Le prospectus
d'un ouvrage
en 30 vol. in-8,
intitulé
le Génie
du
?"/te'~<?'<; ~pa~MO/,
par
M. A. Hugo,
rédacteur
du
Conservateur
Littéraire
se distribue
en ce moment
et paraît
devoir
fixer
l'attention
du monde
Httéraire.
Cette entreprise
dont
et l'utilité
l'importance
a déjà
semblent
incontestables
son
mérité
auteur
une foule de suffrages
honorabtes.
Cf.
31 déc. 't820.
r~o:
–97–
;i
CHAPITRE
IV
1821
1821
()
./a~M!e?'
~'Of'.S'tf.
–7,P ~<ï/:~'OK.U.~«., t. Ht, 7,t'«<?'<!<M?'c /?'aHpa:'xc. ~'<3~e?'a/CK?'
a:<
iivrais.xxvx,pp.249-25~.
Le ComteAlfred XIXe siècle; par A. J. C. Saint-Prospet-.
deVigny.
(Deuxième
édition)
(d).
CoK~?');.
t. m, livrais.
Z~
Z~t.ni,)iv)'ais.
xxvn,
Z')o.s'<o!<;Co?).~ru.
pp. 259A.
265 (Signé
cf. /<.
c<' Philos.
yM~/p'M,
xxvx,pp.251-252. S.Saint-Vatry.
V.)
0~ f<0K!t:M~7/ï?*p!'7!M~
(extraitd'une t. ), p. i53. Défiez-vous de ces gens. etc.
traduction
inéditedesOdesd'HoraceCoM- N.-B.
~'0<'M?'t!a<eKy
aM A'AYe.s.tgc/6, ct(;
.s'67'u.
/«.. t. nf,livrais,xxvn,p. 253.Emile 2e édit. !n-<2. Irnp. Pi))et, Paris
Paris,
Richard.
B. F., 2 déc. d820, no 4445.
Deschamps.
7'Ap'e
Jean
~e
/«e'?'<ï<M?'ces/;)a~MO/e.Zo/)p</e
Fe'~a'.Ze.! Spectacles.
/Y/Mp<ï~,
7'~Mf/e ~/aa~'</ CoK~e?'/< t. m, ~OM~o~/?~, tragédie en 5 actes. ~ay
de
livrais,xxvx,pp.254-259.
A.==A.Hugo.
fo?'?HOM< (2).
de l'article
Le commencement,
se trouve
dans Litt.
et Philos.
avec
un seul
mêlées,
changeLes cinq premières
sont une citation
comme
le prouve ce bout de phrase négHgé.
« Que
ment.
lignes
coKC<!<re</e4' paroles
de j9MC<o~ ? Rien,
MMO~t ~M'ii faut observer
avec ses yeux.
»
V. Hugo
Dans les pages du CoH~eru.
Litt.
avec
de cette 2e édition
de
qui suivent,
parle
éloges
« On retrouve
a chaque
l'écrivain
vif et piquant,
l'Observateur.
l'observateur
habile,
page
quoique
« parfois
le
et
le
»
cite de longs
raiiteur,
fidèie.
systématique,
philosophe
compatissant
Français
s'amuse
ensuite
en rappelant
les titres
des chapitres,
à faire
des réflexions
amusantes
ou
extraits,
continue
ses citations
sur
réflexions
savantes,
pleines
pour terminer
par que)ques
toujours
d'a-propos,
« le talent
très distingué
de M. Saint-Prosper.
On regrette
son
ne
soit
aussi
que
style
pas toujours
« flexible
son
et
n'écrive
avec
autant
de
de
de correction
concision,
que
esprit
qu'il
pas
pureté
que
que
Peut-être
aussi ces légers
dans un ouvrage
~de rapidité.
de mérite,
sont-ils
un
calcul
défauts,
plein
« adroit
de l'auteur.
On sait pourquoi
ëiève de Socrate,
la queue
à son chien.
Alcibiade,
coupa
« ~'O&sM'Mo/eMT'
ait A'Ye
est un livre attachant,
un peu abstrait
siècle
et parfois
même
quoique
« obscur.
)t présente
d'idées origina)es,
son succès
neufs,
beaucoup
d'aperçus
d'images
pittoresques;
« ne peut
de
s'accroitre
encore.
M.
avant
manquer
Espérons
que
Saint-Prosper
publiera
peu une
« 3~ édition,
où seront
tous
ies
travers
du
siècle.
Ces
nombreux
tout
variés
signalés
sujets,
qu'its sont,
« entrent
naturellement
dans son
ainsi
naïvement
dans
son
cadre
car,
que le disait
Montaigne
des
diversité
d'herbes
tout
sous
le
nom
de
« chapitre
noms,
y ait,
quelque
qu'il
~'eHt~o/~)e
« salade.
»
(i)
du Co/Meru.
Zt'M. a été coupé
en deux
morceaux
trouver
(3) L'article
pour
place dans
de
on
a
mis
au
Philos.
commencement
un
mêlées,
plus
qui
préambuie
n'appartient
article
du Co/Meru.
mais à son article
sur Don Carlos,
du même
numéro
de ta revue
Litt.,
A
la
fin
Don
Carlos
évidemment
Jean de Bourgogne.
/.tM.,
pp. ~79-280).
remplaçait
L'articte
du Co?Meyu.
Litt. commence
dans Litt.
au haut
de ia p.
et Philos.
mêlées,
les /M'eM?ëyM
scènes
de ce«e~éce.
» Il y peu
de changements.
A deux ou trois reprises
le nom de l'auteur
Au bas de la p. d42, V. Hugo
a supprimé
remplacé
par une périphrase.
98
Litt.
et
à cet
pas
(Conserv.
d40 « dès,
V. Hugo a
tout
un
1821
ti
.m~'
Le combat
de
7)Ve'<<t?:~s.
&'e?'u.Z<«..
t. fu,!iv[-ais.,xxvn,
=
A. H.
Abel Hugo.
Variétés,
.s'<;?'u. j~
nouvelles
t. i!
<aM!'<?aHa:
littéraires,
livrais.
xxvti,
6'OM-
pp.268-274,
6'OMetc,
pp. 286-288.
de cet
Une partie
article
certaineappartient
ment
à V. Hugo.
On rappelle
le programme
des
Jeux floraux.
On espère
MM.
Pichat
et
Soumet
que
feront
leurs tragédies
paraître
prochainement
qui
des talents
d'un ordre si élevé. On se moprésagent
et de ses cours
au collège
de
que de M. Tissot
France.
On annonce
avec éloge
le prospectus
du
Cc'/tte <~M <Ae'<~re espagnol,
en 30 \o!.
ouvrage
A.
On
in-8. par
de la fondation
de
Hugo.
parle
la Société
<<M Bonnes
Lettres
et de la création
académie
d'une
de médecine.
royale
«
J'ai
« numéro
lu dernièrement,
un
hasard,
par
du 6'OM~'t)~eM?'«<Mu'eoù)'on
a prétend
de
a donné
a tous
que Lope
Véga
« les personnages
de ses comédies,
la physio-
t. of.Hvrais.xxvn.
6 janC'OK.<e?'!).j6!'«.,
vier 1821, pp. 274-278,
cf. Litt. et /M<o.s'.
E.
140 144 et 101-102
et FMro~<M<6Ve'c.9. pp.
~r sept. ~833, livrais.
~<e'r<M?'6',
v), p. 98.
N.-B.
Jean
de ~OM/'y/o.~Me, tragédie
en 5
surie
théâtre
actes, représentée
français, par les
comédiens
ordinaires
du roi, le 4 décembre
1820,
M.
GuiHeun
de Formont..
tn-8, imp. Firminpar
Didot. Paris, M'"e Cellis et Harba. 13. F.
30 déc.
1820, no 4811.
Second
<Ae'~<?'e français.
en 4 actes
/«M?HC, comédie
/)oMCa?'/o~,
tragédie
M.Lefebvre(l).
CoK~eru.
j~!«'t.
t!
279-284.
y a deux
H. et le 2"
M.
~M~eMe et Guilet en prose.
en 5 actes,
par feu
n~ livrais,
xxvn,
pp.
le 1~ est signé
articles,
'Cf. Z:'«.
et PAï/o.s-.
c'est le début
de t'articte
~<?/e'e.s-, pp. ') 39-140,
sur Z)o?! Carlos.
morceau
sans grandes
transformations
et 102. (Ce morceau
a été reproduit
qu'il a reporté
pp. 101
dans i'ËMrope
1er septembre
livrais.
</«e'?'a!<
1833,
v;, p. 98.)
L'article
continue
ont été nécessaires
au haut de la page pour
p. '143, mais quelques
changements
recoudre
ensemble
les deux parties;
ces changements
sont sans importance.
La dernière
de
«
l'article
~M
</M;M
la
telle </M'e«e
est
phrase
<a</ef<t'e
/'a?'<e.
n'appartient
On lisait
& la place
« Ou u)ie!~x encore,
Litt.
il f'a!)ait comme
M. Lemercier,
étabiir
pas au Conserv.
« une double
nous
montrer
le
duc
ie Dauphin
et Tanneguiconspiration,
conspirant
pour assassiner
< Duchatet
sacrifiant
son honneur
au salut de son
maître
nous pensons
la
ainsi
que
pièce
conçue.
<: serait restée
au théâtre
si elle avait
surtout
été exécutée
avec ie taient
dont M. de Forment
a donné
« des preuves
dans plusieurs
de son
talent
nous
aurons
lieu de rendre
parties
ouvrage,
auquel
dans
le
article
nous
»
consacrerons
au
de
cette
« justice
prochain
que
style
tragédie.
de quelque
a propos de Eugène
et CMi~MMe.
H ne~veut pas rendre
(1) V. Hugo se contente
lignes
des deux actes qui ont été joués.
« On nous accuserait
de trouhter
le repos
des morts.
L'aucompte
M.
a mieux
il a fait pis aussi,
car il a mis son nom au roman
des ,')/tM!0/t<: leur,
fait;
Rougemont,
« Mat~M.
Ducis qui préférait,
faire
un
mauvais
mauvaise
disait-il,
plutôt qu'une
ouvrage
action/aurait
« mieux aimé
faire une mauvaise
comédie
roman
immoral
et
»
qu'un
irréligieux.
On avait empêché
la représentation
les amis et les ennemis
de fauteur
s'étaient
battus
et après
ie 3c acte les acteurs
A continuer.
avaient
du renoncer
Le ./OMr/tf<< <<e~7)~n<6',
du 10 décembre,
rendit
de
l'incident
et
V.
lui
a
certainement
compte
Hugo
emprunté
quelques
expressions.
C'est dans
le VoM~Ha~ des Debats
du
21
de
.')
de la )''o représentation
C.,
octobre,
(article
propos
de Clovis,
de Viennet)
V.
a
l'idée
forme
le début
de son
article
sur Don Carlos
que
Hugo
puisé
qui
et
Philos.
Le
les
ne l'en
~«.
m~s,
pp. 139-140).
parterre
ignore
historiques,
l'exposition
sujets
instruit
le journal
du lendemain
trouvera
les renseignements
désirés.
Le
pas assez et c'est dans
qu'il
même
a
d
lui
fournir
sa
documentation
sur Raynouard.
Schiiieret
(25 décembre)
Lefebvre.
journal
V. Hugo fait un résumé de la pièce, accuse
le. poète d'avoir
embelli
le caractère
de
historique
Don Carlos.
Le style offre des prosaïsmes,
mais le 5e acte
est écrit
de verve.
V. Hugo
fait toute une
de
citations
de
vers
fort
«
Mais
les aristarques
du lustre
ont couvert
de
concis,
beaux, touchants.
page
« bravos
d'assez
mauvaises
tirades
sur ies/)/M,ies
etc.
etc.
»
V.
se
demande
!H~MMt<eM7~,
Hugo
si l'on a eu raison
de choisir
l'assassinat
«
de Don Carlos
M.
Lebrun
nous a
pour
sujet
tragique.
« montré
une reine décapitant
sa sœur par politique;
M. Lemercier
nous peint un roi déshéritant
son
« (its par démence
M. Lefebvre
nous en fait voir
un autre
tuant
le sien
par jalousie
amoureuse
« convient-il
de traduire
sur la scène
éterneHement
le de/trap~ye~es?
aussi allonsNon, sans doute
<: nous bientôt
a
M.
roi
roi libérateur;
à
applaudir,
Pichat,Enée,
fondateur,
grâce
Léonidas,
grâce
« M. Guiraud,
roi
libérateur
et
fondateur
tout
ensemble.
N'interdisons
d'ailleurs
aucune
des
Pélage,
« ressources'
de l'histoire
aux auteurs
s'il le faut, les pr~y'M
abandonnons-leur,
tragiques
d'autrefois,
« t'tH~MMt~tOM.
si
vieille.
Dans
siècles,
nos jacobins,
nos
nos
teutoaujourd'hui
quelques
radicaux,
nos carbonari
seront
aussi du domaine
de l'histoire
sûrs
les
« nions,
auteurs
ancienne,
soyons
qu'alors
« n'auront
d'aller
chercher
des crimes
leurs
dans
les
annales
des trônes,
plus besoin
pour
tragédies
« dans les archives
»
du Saint-Office.
-99-
6
1821
y<!MUte)'
du temps
de Charlesdes Espagnols
Si on l'eut dit de Caldéron,
« Quint.
j'en aurais
mal lu
& déduit
l'avait
mais puisque M. A.
de Lope de Véga,
il m'a fallu
« qu'il
s'agit
lu du tout, et
« conclure
pas
qu'il ne l'avait
« je suis fâché
n'ait
eu ce
pour lui qu'il
pas
« plaisir.
»
nomie
Cf.
12
20
N.-B.
.OoM Carlos,
tragédie.
représentée
sur le 2' théâtre
le
mercredi
20 déc.
français,
1820. In-8, imp. Fain
B. F., 17 féParis, Dufour.
no
647.
vrier,
La l''s et unique représentation
et
de Eugène
GMt~aMMe eut lieu le 9 déc. 1820.
~Vttto'~c
t.
livrais.
Littéraire,
vn),
i82i.
Lettre
sur
p. 352, 6 janvier
première
la Littérature
espagnole,
par L. Rincovedro.
Le Génie
du thédtre
avec un
espagnol
une notice biographique.
précis
historique.
un examen
rédacteur
critique.
par A. Hugo,
du CoH~e?'f.
30 vol in-8,
Litt.,
souscription.
Boucher.
Annonces
nouveaux
dans
la
d'ouvrages
Minerve
t. i, livrais,
Littéraire,
ix, p. 434,
·
12 janvier
182~.
Poésie.
G'/0?'U!M<Ë7~ÏC.
t. ni,
livrais.
Conse?'u.
Z.«.,
xxvni,
pp.
289-290
Le comte J. de Rességuier.
au bas de la p. S89., une note qui
On trouve,
de V. Hugo, sur la grâce et l'éléest certainement
facilité
de
ces
vers.
gante
Histoire
de la France,
/e
générale
depuis
la paix
IX, jusqu'à
?'e~Me de CAa~M
~e'He?'a/ee?t
M.
ornée
de
~j!5;
Dufau,
par
plus
de 230 portraits.
xe et xie Hvrais.
(1).
Conserv.
/«.,
306-312,
signé V.
t.
f!t,
ii vrais,
xxvm,
pp.
le commencement
de l'article
du CoM~e/'c.
Litt.
dans Litt.
et Philos.
(1) Nous retrouvons
m~
65.
Faisons
les
deux
«
Tout
AM~oytCM
se
laisse
p.
remarquer
que
premières
lignes
qui
faire
par
/M<OM'c.
etc. » ont
été ajoutées
L'article
du
Conserv.
Litt.
commence
à
.S'tK<~f«/
après
coup.
cette introduction,
V. Hugo
le marin.
fait le procès
de Vely
de si près,
Après
qui a vu l'histoire
l'a
vue
de
si
loin
et
Villaret
de
si
bas.
Pour
il
lui
de Garnier
d'avoir
attelé
son
Garnier,
quj
reproche
talent
à ces trois
médiocrités
consécutives.
M.
Dufau
aurait
le corinthien
dû, comme
Lacoëthès,
« refuser
de forger
une branche
d'acier
un
arc
fer.
?
»
de
pour
V. Hugo cherche
à montrer
ensuite
du monde
veulent
à distance.
être peints
que les événements
« Nous ne pouvons,
en général,
l'histoire
à mesure
de génies
forts
peindre
que nous la faisons
peu
« savent
se soustraire
aux préventions
et voilà pourquoi
il est plus
ce nous
difficile,
contemporaines,
« semble,
d'être
bon publiciste
d'être
bon
historien,
»
que
Il revient
à Ht. Dufau,
la fin du xvie siècle
et celle
du xvme,
des rapprochements
qui a fait entre
autant
douloureux.
Il
lui
d'avoir
été trop impartial,
d'avoir
loin
singuliers
que
reproche
poussé
trop
« cette timidité
de jugement
dont on fait, je ne sais pourquoi,
une qualité
de l'historien
». Il lui sait
de ses réflexions
sur les Jésuites.
gré pourtant
sages et modérées
Le style lui parait
un peu négligé.
La critique
est juste
et éclairée
vif, rapide,
animé,
parfois
en est sobre,
mérite
un
l'auteur
chez
historien.
Chez
de
de lieux
grand
jeune
lui, point
phrases,
point,
total.
à
d'effet
deux
de citations
communs;
peu d'effets
partiels,
beaucoup
V. Hugo apporte
pages
H
de son dire.
est heureux
en parlant
du président
de rappeler
le souvenir
de LavoiBrisson,
i'appui
sier et de faire une réflexion
sur
le
du
de
Paris.
générale
premier
président
parlement
Nous la retrouvons
dans Litt.
et Philos.
Me~c'M, p. 64, sans aucun
changement.
V. Hugo,
la simplicité
de
M.
J'abandonne
Dufau,
après
quelques
éiogessur
élégante
pour
parler
La digression
de Voltaire.
une
trouve
dans
Z!'«. et Philos.
comprend
grande
page qu'on
reproduite
à nouveau
son article
de 1820, V. Hugo
lui a fait subir
Me/e'M,
pp. 84, S5 et 36. Mais en imprimant
de nombreux
changements.
A la p. 54
« Quels mots
aurait-il
mis au dessous
de pareilles
choses ? » Le
Conserv.
Litt.
avait
écrit
»
Les
deux
suivantes:
«
Un
ce serait
celui-ci:
:«Oue)s<aMe<!M.:c.B
spectacle
curieux,
lignes
« Voltaire
la
»
cause
sont
une
addition
de
1834.
l'effet,
Marat,
jugeant
jugeant
A la p. 55, il y a des additions
et M. Ed. Biré a déjà
montré
encore,
plus
importantes
qu'ici
V. Hugo dit, en 1834, justement
le contraire
de ce qu'il disait
en 1820 (E. BthË,
t~. Hugo
avant
~.90,
Etudions
les deux textes.
Au milieu
de la p.SS,
nous
lisons:
«Peut-être
pp. 180-181).
rapidement
« n'eut-il
borné
à la France.
Le sentiment
national
eût
émoussé
la pointe
point eu ce tort s'il se'fut
« amère
de son esprit.
ne
se
faire
cette
illusion
?
»
En
V.
de
contenté
Pourquoi
pas
1820,
Hugo s'était
« Peut-être
»
dire
n'eut-il
à tracer
les fastes
de sa patrie
Plus bas
point eu ce tort, s'il se fut borné
iOO-
~0
1821
20
J~M~er
Les ./Vy?M~AM
Con~'er~.
/«.,
J. L.
290-292:
fèvre).
Littérature
~v/~M!<
de
su?'
la neige.
t. ni. livrais.
(probablement
/ranpa!6'e.
~c/ttMe~
champs.
Co?<xe?'u.
j~ï~
293-297
A. S. =
La
par
Cf.
xxvni,
Jules
c< ~«~.s'
64,65.
N.-B.–Laxe)ivrais.
1820, no d009.
La xt<: livrais.cst&B.F.
pp.
Le-
cloche,
poème
M. Emile
Des-
t. ))!, livrais.
xxvm,
Alexandre
Soumet.
7~
M:67t''e.s',
est,
pp. 54,
H.F.:
:)6sept.
55,
23
56,
mars
1820.no33~.
pp.
La traduction
d'E. Deschamps
est encore
inédite. A. Soumet
se fait donc son éditeur et publie
78 vers de ce poème. H en profite
pour faire un
du
d'E.
pompeux
éloge
père
Deschamps.
.L'Or/eHKï'~e,
par M. Lebrun
national
poème
des Charmettes
en 28 chants,
(4e et dernier
article).
Co/tscrt).
t. ni, livrais.
Z.!«.,
xxvm,
pp.
297-305:
A. = A. Hugo,
Cayac/M
et réflexions
le
Mora/c.
par
L. C.
Vicomte
Conserv.
t. )!<, livrais.
~ï«.,
xxvtn,
pp.
G. de P. = Gaspard
312-317
de Pons.
La vengeance.
~/e/<!n~e6'.
Co?)~eru.
t. n!,
7.
318-322:
J. = Abel
Hugo.
~VoMHc//p.
livrais.
xxvm,
pp.
Second
</te~<re français.
MtajL'tM<?'ï~?~
comédie
en <?'0!~
ae<M et en prose,
ladroil,
par M. Picard.
Conserv.
t. ni, livrais.
Z:«.,
xxvni,
pp.
323-324
A. H. = Abel Hugo.
Janvier
V. Hugo
La fille
d'0<a!7/,
compose
(date
dans
les
Odes
et
édition
Ballades,
indiquée
283
et
dans
de /??:ne MM?'!e<M)', p.
t'e~to~
Nationale,
~r!me?'!e
p. 202).
<x Pour moi
nous lisons (toujours
bien
soit plus grand
et plus a
p. 58)
cosmopolite
que l'historien
« mon gré., je ne hais pas l'historien
Le
est
selon
le
second
est plus
l'humanité,
patriote.
premier
plus
« selon la cité. Le conteur
me charme
sa partialité
d'une
nation
même
dans
souvent,
domestique
« étroite,
trouve
chose
»
En
V.
«
Pour
et je
de fier.
avait écrit
1820,
moi, je n'aime
quelque
Hugo
»
« pas, je l'avouerai,
historien
et
trouve
chose
de
fier.
soit
qu'un
cosmopolite;
je
quelque
A la p. 56, nous trouvons
tout en haut
ou cinq
de 1834, ou en tout cas
quatre
lignes
'qui sont
à
»
l'article
etc.
n'appartiennent
point
que nous analysons:
« Voltaire
a toujours
l'ironie
à sa gauche.
Au lieu de cet éloge de Voltaire,
V. Hugo recommandait
it M. Uufau
de soigner
son
et de
style
les détails
et de ne tenter
l'histoire
des peuples
La raison
étrangers.
prodiguer
un peu moins
jamais
tirée
des
la
convenances
du langage,
nous
retrouvons
dans
Litt.
et Philos.
mêlées,
qu'il en donne,
56.
Mais
là
encore
V.
a
article.
Voici
deux
ne
transformé
son
contenait
p.
phrases
que
pas le
Hugo
« Un historien
CoHMrM.
Litt.
ne trouverait
expressions
qui sententl'homme
étranger
jamais certaines
« du pays.
Nuance
toute
»
A
la
chinoise
et toute
charmante.
exclamaplace de cette dernière
phrase
« Cette délicatesse
tive. il y avait celle-ci
d'un
»
serait-elle
d'expression
étranger?
La conclusion
de l'article
n'a jamais
de Chateaubriand,
été reproduite.
C'est un é)ogedeW.
Scott,
V.
de Lamennais.
C'est la première
fait allusion
a Lamennais.
fois, croyons-nous,
que
Hugo
« Ces vérités
semblent
avoir
d'un
Sir
Walter
écrit
l'histoire
été senties
Scott
contemporain
« d'Ecosse.
Un de nos compatriotes
nous
fournit
un exemple
encore
M. de Chateauplus éclatant
« briand
écrit l'histoire
de France.
dans notre
littérature
de cet homme
Quel vide remplira
l'ouvrage
suivant
la
belle
de
M.
de
est
si
f<Ma/t<da;t.'<
la
Nous
Lamennais,
« qui,
expression
posséderons
gloire
<( alors notre
histoire
écrite
un
nos
hommes
d'état
par
historique,
par un homme
personnage
jugés
nos écrivains
nos grands
hommes
enfin
immortalisés
une
seconde
« d'état,
appréciés
par un écrivain,
« fois par un grand
»
homme.
-d(M
1821
Janvierfévrier
./aMU!e/'
Fondation
de
la
Société
des
~OH/iM
Lettres.
Les Lettres
ont deux notes
Champenoises
intéressantes
sur la société.
Le 9 février
(t. iv,
lettre xxfx,
elles donnent
les noms
pp. 65-69)
des fondateurs,
membres
donateurs.
influents,
Le ~7 février
lettre
(t. iv, pp. 107-1~6,
xxx)
elles donnent
le nom
des littérateurs,
parmi
sont
cités
Abel
V.
et
lesquels
Hugo.
Le t/OMr?<a< des 7)~M<.s' (~ février)
en parle
lui aussi
assez ionguement.
Février
Commencement
de février
<:
)t I
Lamennais
arrive
à Paris
et descend
chez
rue du Cherche-Midi,
15.
Saint-Victor,
Cf. D'IlAussoNviLLK,
~c«reA'</e7,c[M!CMMa's
à
la 6f<yo?tKe Co~M, p. 106. « Je serai probable« ment à Paris,
à la fin de janvier
cf. LA»
~/M Lamennais
X'MCOHMM. Lettres
à
VEILLE,
Benoit
le 3 ou 4
<4~
p. 127. « J'arriverai
»
février.
Annonce
du
Génie
etc.
par Abel Hugo.
yoM~:a<
de Nantes
6 février
1821.
rieure,
Première
dit
et
thédtre
de
la
espagnol,
Zo!re-/H/e-
conférence
de Frayssinous,
à
sur
l'Incrédulité
des jeunes
18 février.
Quotidienne,
Saint-Sulpice,
cf. La
gens
Destitution
de Tissot,
latine
au collège
de
DeHHe
cf. Le Journal
1821.
de poésie
professeur
successeur
de
France,
des Débats,
11 février
<~2
aux
Jeux
Rességuier,
de M. Poitevin-Peitavi,
l'éloge
mars 1823.
15
Séance
d'ouverture
Le JoK/'na/
de Paris,
17
Poésie.
Z'M~e.
Elégie.
Co?:xe?'u.
t. m, livrais.
Z:«.,
329-330:
Alex. Soumet.
floraux,
prononce
le 31
imprimé
des Bonnes
19 février
Lettres
1821.
xxrx,
cf.
~«e'/v<<«re
/?'aMca<s'<?.
/OM!<;A- (<e ~~e
jOes6o)'~eA'- ~</More
(t).
~'o?t.s-c?'< /«..
t. m, H vrais, xxfx, pp. 338345
V.
pp.
littéraire
n'a jamais
été reproduite
et pourtant
elle est curieuse
(1) Cette critique
à
par V. Hugo,
V. Hugo semble
étudier.
accabler
Mme Uesbordes-Vaimore
de louanges,
mais à y regarder
de plus près.
il n'a donné tant
de compliments
en même
sa véritaMe
La coupe
que pour faire passer
temps
pensée.
était amère,
il a mis beaucoup
de miel sur les bords.
Voici le début:
« Je viens de tire. pour la 3e fois, ce volume
de poésies,
et je suis
à en faire
décidé
un grand
« éloge;
car je suis décidé à beaucoup
citer.
J'étais
contre
Mme Desbordes-Vaimore
prévenu
j'avais
« lu son nom dans
t'~4<MM/tacA
des ~MtMes; et, avant
d'ouvrir
le livre, j'avais
un long préampréparé
« bule d'article
en plusieurs
Le premier
roulait
sur la fadeur
des poésies
en générât
points.
étégiaques
« je démontrais
le ridicule
de ces éternettes
lamentations
découvert
amoureuses
j'avais
qu'il n'y a rien
<: de tel que d'être
mourant
vivre
et
citais
à
à
tort
et
travers
pour
de Voltaire,
longtemps;
je
l'exemple
80 ans
aux détails
de la vie privée, je montrais
« qui fut mourant
le mourant
puis, descendant
mar« chandantavec
son libraire,
ou corrigeant
son désespoir
amoureux
sur une épreuve.
Le second
point
« traitait
des dames
toutes
les
auteurs;
modernes
et même
je pesais
féminines,
gloires
anciennes,
~2
t7i
1821
477
Feu~te?C7(aM< du vieux
tiré du roman
~o'/a~Mp,
de Jean 6'6oya?'.
Conserv.
t. m, livrais.
/«
xxix, pp. 330331
Le comte France
d'Houdetot.
N.-B.
/'OM!M
de ~Me
D<M<w<<M- ~a<?More,
3e éfiit.!n8,imp.Didot,
Paris,
François-Louis.
B. F., jerj,j,]iet
d820, n" 2439.
Z.!«erM/M7'e
Robert
anglaise.
Southey.
le dernier
des <?o~/<.?, poème.
7~o~e/'<e/i;,
Co?t~eru.
t. n), livrais.
Litt.,
xx<x, pp. 332338
A. = Abel
Hugo.
Le
~<ï//<e?~?',
poème,
~ar
~oyy'iia.
Conserv.
Z..<«., t. Hi. livrais.
350
G. de P. = G. de Pons.
Gabriel
de
La
Mta<!Me'e
sance
xxix,
pp.
346-
a ~Mce?'~ey.
Costumes.
-~f7an'y<
Voyage
~/o°M?'
/ya6!<a<!OK~. Une ?:occ.
Co/~eru.
t. m, livrais.
/.t«.,
xx!x,
pp. 352362
J. A
du
~9
Olt la ?!a<x~e/e/n6?'e,
de
~o?'~eHM.K,
poème,
maire
de Brioude~).
de ~/y?'
/e duc
M. de Tallayrat,
par
CoM~eru.
t. )n,
Z!<
346.
N.-B.
livrais.
xx!x,
pp.
345-
La
MMt< (~M ~3 /'ec?'te?',
in-4,
imp.
B.
3U
no
3433.
F.,
't820,
Dupont:
sept.
dit 59 M/)~
La matinée
n'est pas A B. F.
Cet article
est-il d'Abel Hugo comme le prétend
M. L. de la Sicotière
dans la Revue de j3re<a</?te
et de Vendée,
25 mars
1882 (cité par E. BiRË~
V. //M<yo avant
le
1830,
p. 165), nous n'osons
car Abel
ou bien il est tout de fantaisie,
croire,
d'ailleurs
ses
n'avait
frères,
que
Hugo,
pas plus
visité
Auverné.
La correspondance
entre
jamais
suffites Trébuchet
et les frères
Hugo le prouve
samment.
6'oc«''<e
des
Bonnes
prospectus).
Co~.te/
t. ni,
Litt.,
367.
On trouve
parmi
V. Hugo.
Lettres
(extrait
livrais.
xxfx,
les membres
du
pp. 362Abel et
« contemporaines,
à l'avis
finalement
de ce poète
qui n'aimait
pas à voir ~'eMcre ~a/M'
j'en revenais
»
« des doigts
de rose.
ont fait évanouir
ces pensées
hosMais les premiers
vers du livre,
et de poésie,
pleins de charme
V.
dans
les
vers
de
Mme
Desbordes-Valmore
il
a
de
la
tiles et
mélodie,
y
Hugo est vite convaincu
que
du
et de la douceur,
des faits touchants,
des observations
en
un
mot
de
de la grâce
cœur,
qui partent
ou cinq pages),
la poésie
et un talent
charmant.
V. Hugo multiplie
les citations
les
(il y en a quatre
aimables.
entremêlant
de notes
critiques
toujours
La conclusion
suivante
termine
son article
« Ce volume
ait publiés
est un des recueils
les plus remarquables
depuis
poétiques
qu'on
long« temps. La critique
des
de
un
des répétitions,
l'obscurité,
y peut reprendre
négligences,
quelquefois
« emploi
telle
de certaines
etc.,
trop fréquent
expressions,
que sensible,
pauvre,
petit,
qui sentent
« l'affectation
à force de naturel
la poésie
de Mme Desbordes-Valmore
est essentiellement
et
rêveuse,
« rien n'est plus éloigné
la
m'arrêterai
à
ces
de la mélancolie
Je ne
que
mignardise.
point
légères
dans
vers
constamment
harmonieux
des
hémisne
même
des
«imperfections,
je
reprendrai
point
« fiches
et tombe
tel que inexplicable
ou des rimes
comme
mien
et chagrin,
monde
durs,
casM/
« taches
à
Fauteur.
La Muse
faciles
à effacer.
Il est une observation
plus importante
que je soumettrai
« de Mme Desbordes-Valmore
est triste,
ce n'est presque
au ciel qu'elle
va
et. chose singulière,
jamais
« chercher
ses consolations;
en quelque
sorte
à Dieu que dans
trois
ou quatre
elle ne songe
élégies
ne devienne
«touchantes
sur la mort
de son enfant.
Sa douleur
est toute
à moins
terrestre,
qu'elle
« maternelle.
du triomphe
H me semble
n'a encore
obtenu
que la moitié
que Mme Desbordes-Valmore
« réservé
un
à un talent
tel que
le sien
ses vers
vont au cœur:
leur
qu'elle
imprime
passionnés
»
«caractère
religieux,iisirontat'ame.')
tt faut remarquer
car on n'est
la note
franchement
cet article,
point
religieuse
qui termine
à rencontrer
à cette époque
de V. Ilugo.
habitué
de pareilles
idées sous la plume
« plein
dans un poème
a chanté
la mort du duc de Berry
(~) V. Hugo rappelle
que M. de Taiayrat
« de sombres
». Le poème qu'ii donne
ne lui est nulet d'émotions
touchantes
inspirations
aujourd'hui
« dont
et la facture
lement
inférieur.
V. Hugo
cite une
douzaine
de vers
le désordre
est poétique
« éiégante
«
Nous ne nous lassons
dans
ce recueil
les ouvrages
M. Puis il ajoute
pas de mentionner
« sur la naissance
V ce glorieux
nos
et
la
muse
de Henri
enfant
française
inspirera
longtemps
poètes;
« pourrait
»
ces
du
/H
te
erit
cantatio
~eM.
adresser
lui
paroles
psaume
MM!/)e/'
103
1821
17î
/e~
Fa7'!e'<M,A'OM!)e/~Z<«e'?'a!?'ps,etc.
CoHxpru.
t. ni, livrais.
Litt.,
368.
367-
xxix,pp.
Il y est parlé de la C7?/<eMKM<redeJ.
Lefèvre, de
t'/M??<o;'<a<t<f' de f<!Me de Joseph
d'un
Rocher,
poème de J.-J. Ader, sur la /7'OK<.<e. V. Hugo a du
contribuer
a cet article
pour une large part.
18
Avant
le 28
28
Février
FévrierJ\)ars
Conférence
de Frayssinous
à Saint-Sulpice,
contre
l'Athéisme.
Cf. La Quotidienne,
20 février
1821.
V. Hugo
l'ode sur
cf.
()M!'6M'on
compose
Odes et Ballades.
p. 68.
V. Hugo
lit a la Société
des Bonnes
Lettres
son
ode
sur 0Mï6c?'07t
cf. Annales
de la
et </e.< ~?'<s,
Littérature
t. n, livrais.
xxn,
3
mars
1821.
p. 368,
V. Hugo compose
Regret.
née par les Odes et Ballades,
V. Hugo
Adèle
rencontre
La date est
p. 345.
dans
la
rue.
donLa
correspondance
interrompue
depuis
longva
recommencer
entre
eux.
Cf.
Les
temps
Annales
et littéraires,
4 février
~o//<~Mes
1912, pp. 1H-H2.
à
F!.s-oK,)uetellmarsà
V.Hugo
compose
la société
des Bonnes
Lettres.
~fa?~
Cornmencernent
de mars
Lettre
Annales
1912,
d'Adèle
Foucher
à V. Hugo
e< littéraires,
~o/<<«/MM
cf. Les
4 février
p.112.
de la séance
des Bonnes
LetCompte-rendu
tres du 28 février.
« Le nom
encore
peu
« connu
de MM. Hugo,
devaient
à
qui
remplir
« eux seuls
cette
séance
avait
attiré
peu de
« monde.
MM. Hugo
ont été accueillis
avec
« l'indulgence
s'attacher
à leur âge
qui devait
x et à leurs
sentiments.
M. Victor
est
Hugo
« venu réchauffer
la prose de son frère par
« une ode sur Quiberon,
qui a été fort ap« plaudie
et qui mérihnt
de l'être,
parce
que,
« malgré
on
un
trouve
obscurités,
quelques
y
« sentiment
et une poésie animée.
»
profond
~KM/es
et ~cs~r/s,
~e/aZ:«cr<!<M7'e
t. n,
livrais.
xxn, p, 368, 3 mars d82i.
)i
Conférence
de Frayssinous,
àSaint-Sulpice,
sur t'C/KtOM de la t'e/t~ïOM et de la société
cf.
La OMo<<~eMMe,
~2 mars d821 et la Gazette
de ~'aMce,
19 mars 1821.
13
Lecture
aux Bonnes
d'une
ode sur le xv)u"
Cf. La CMO<f//e?iHe,
la Z~<c'?'~<M?'e
et des
1821
p. 415) 10 mars
V. Hugo,
Lettres,
par
siècle intitulée
F~ïon.
12 mars
les ~4n?t<e.! de
Arts
xxui,
(t. n, livrais.
!eC'o?t~'M<eMr~t«e-
<04
Lettre
de V. Hugo à Adèle Foucher.
Cf. Lettres
à la fiancée,
pp. 37-40.
Samedi,
commencement
de mars
1821
14
15
16 au
19-20
21-22
~0?-~
t-M~'e (t. in, livrais.
xxx, pp. 408-410)
31 mars
les Ze~'e.s'
xxxiv"
let1821
C/<MM!pe~o~e~,
H semble
1821.
tre, p. 265, 20 avril
que V.
a fait lire par un autre
son ode
Hugo indisposé
(cf. 31 mars
1821).
Lettre
d'Adète
Foucher
à V. Hugo
cf. Les
/t?tMa<c.s' ;.)o<ï/t</Mes
et /~<e'?'<!M'c6',
4 février
4912, p.H2.
Mort de t'abbé
dans
l'établissement
Carron,
dit
a 3 h. 35 du maUn,
de ~/a?'!e-7'/i~'ese,
des
Feuillantines,
t. tv, tivrais.
XLvm,
qu'il
dirigeait,
impasse
cf. Le De'/eK~eMy,
n°12;
p. 401, 17 mars 1821.
d'Adète
Foucher
à V. Hugo
19
Lettre
cf. ~4nMa<e.s' ~o/!<!</Mese~ ~!«e'?'at)'e~,
11 février
1912,
p.138.
Lettre
d'Ade!e
Foucher
à V. Hugo
cf. /iMnales
11 février
/)o<!<!</Me.s' et ~<6!!re~,
1912,
p.138.
Adèle Foucher
écrit à V. Hugo
cf.
MH<~es
et <~<e'<ï!?'e~,
11 février
1912, p.
politiques
139 et Lettres
à la /ta/tce'e,
46.
p.
21
V. Hugo habite
et
déjà, 10, rue de Mézières
22, rue des fossés de M. )e Prince,
Saint-Valry,
la lettre de V. Hugo
à de Rességuier,
d'après
du 2) mars
cf. ~/e?'cM?'e de /<Kce,
décembre
1902, p. 588.
22
Chateaubriand
est nommé
de la
président
société
des Bonnes
Lettres
à la place
de Fontanes
cf. ~K7m~e~<~e
et des
Littérature
1821.
Arts,
t. )i, livrais.
xxvn,
p. 40, 7 avril
23
Deux frères
qui serecommandentégatement
à l'attention
et par leur jeunesse et
publique
leur
ont fait
les frais
de cette
talent,
par
séance
des Bonnes
28 février).
Lettres,
(séance
M. Abet Hugo qui s'occupe
d'un grand
travail
sur la littérature
en a lu quelques
espagnole
extraits.
M. Victor Hugo, jeune poète plein de
et d'énergie,
a lu une ode sur Quiberon
vigueur
Cf. Lettres
qui a été très applaudie.
C/ta~peM0!~es, t. iv, lettre xxxft, p. 188, 23 mars 1821.
Conférence
de Frayssinous,
à Saint-Sulpice,
sur t'Mea/:07t
(/e.~ e/<«n<.s
cf. Le ./OMrna<
</es ~e6a~.<
26 mars 1821.
25
28? `I
Lettre
d'Adc!e
nales
~o<!<Me&
29
V. Hugo déjeune
avec
le duc de Rohan
et
t'abbé
H dîne
avec
Soumet,
Frayssinous.
MHe Duchesnois,
M))e Leverd
et Mme Sophie
ensuite
à la 1" représentation
Gay. 11 assiste
du y)/M/<<'e </e Chapelle,
de Mme Sophie
Gay
cf. P. //M</o raconté,
t. i~, pp. 130:133.
30
V. Hugo
Feuillantines
?'H<;un<e,
est
Foucher
a V.Hugo:
et ~«e'y'st/'es,
pp.
mené,
par )educ
voir Lamennais:
t. ti, pp. 133-135.
cf.
An139-140.
Foucher
cf.
16
Foucher
cf.
19
de V. Hugo
à Adèle
Foucher
cf.
à la fiancée,
p. 45.
cf.
Lettre
de V. Hugo à J. de Rességuier:
E. BtnÉ, F. Hugo
avant
1830,
133,
pp. 131,
232
AnMAND
de
note
et
Mercure
PuAviEL,
t. xuv,
décembre
1902.
France,
pp. 587-588,
Les deux se complètent.
21
Lettre
Lettres
Lettre
Lettres
de
à la
V.
à Adèle
Hugo
/!<mc~e,
pp. 41-4~.
de V. Hugo
à Adèle
à la ~a~c~e,
pp. 43-44.
Lettre
Lettres
de V. Hugo
à Adèle
à la /ta!7tc~e, p. 46.
cf.
23
à Adèle
cf.
Foucher
Hugo
~Hc~e.
pp. 47-48.
Lettre
de V. Hugo a M. Pinaud
(Toulouse)
cf. Correspondance
~5-jf~35,
pp. 364-366.
Il envoie
l'ode sur 0Mt&e?'OH.
25
Lettre
Lettres
Lettre
de
Lettres
à la
Lettre
de
Lettres
à la
Foucher
V.
V.
Hugo
T~aMc~;
à
Adèle
pp. 49-50.
Foucher
28
cf.
29
de Rohan.
aux
cf.
F. //M~o
–105–
u
~/<~
1821
3~
d'une
traduction
Ode ri ~a/~<M.9
(extrait
des Odes d'Horace):
Con.t:.
inédite
7.
Emile
Dest. ni, livrais.
369-370.
xxx,
pp.
champs.
<e/?:an</e..Team
Chrétien
Zt«e?'<M?'e
Le Pelit
/e?'7'e.
~omaM
6'o?t.s'<H.
6'p!e<
A. =Abe)
t. )n, livrais.
xxx, pp. 375-382.
Litt.,
Hugo.
Le Cc~Kï~a~
de Fen~'e
Con~/e7</K~e~.
~c?'c. ~/«.,
t. ni, livrais.
xxx,
pp. 393-408.
A. H. = Abel Hugo.
sous le titre
Le CoM.s'e?'<Lt«.,
Société
des
~0/t/te.s'
~e~yc~'
et sous la signature
F. de i3.,
un bref compte-rendu
donne
de, séances
de
février
et de mars.
II se contente
de nommer
les lecteurs
et le titre de la lecture.
Le 28 février
M. A. Hugo,
sur la ~<
de i'acadëmie
<M?'e~KO/e.
M. V.Hugo,
des Jeux floraux,
ode intitulée
0M<6e~M.
ou ~7/te.s'ccHe de ~< Tere/t /794,
~'e'MK~'e
en 5 actes
et en prose,
avec
drame
?'<<
cette épigraphe
Que /'p.xeMju/e
</« passé
vous
~f'M:MKÏ'&fCOK~'e/'MUe/H/'(t).
C'on.s'p?'< Zï~
385. V. cf. Litt.
63, avec ce titre:
/H<CM?'.
t. J", livrais.
xxx, pp. 382e< Philos.
?/ee~,
pp. 6tMMe
/cc/M?'e
c~M
~/o~i~'M
N.-B.
Z'e'Mïty/'e'
Paris, Goujon,
Fouguernv,
1820, n" 4140.
etc.
In-8.
~79~,
tmp.
H.
Pontfueu.
F., i8nov.
Odes,
parAntoine-Char)es.Zao6'oo/t,~4/)o<~.M /~e/<yï'OM (2).
lout feK~eMr.
6oK.s'c?'u.
388. M.
N.-B.
)n-8. fmp.
no 678.
~v!«..
Odes,
Didot,
t. in,
par
Paris.
livrais.
xxx,
pp.
Antoine-Charles,
B. F., 17 février
385eLc.
482f,
son article
du CoM~ru.
7/t«.
mais avec quelques
(1) V. Hugo a reproduit,
presque en entier
suppressions.
se terminait,
ainsi
~Proctbés
et Cyestris.
Page Gi, la t''s phrase
soutinrent,
jadis contradictoire« nient
une thèse à peu près aussi oubliée
de nos jours que les problèmes
de M. Gosse, ou le gros livre
<: de M. Guizot sur les Francs et les Gaulois
».
finissait
« Comme
tout
le monde
n'a pas ce volumineux
par cette
phrase
Page M, le 1'~ alinéa
à sa disposition,
« recueil
un moment
et l'effroi
de mes lecje vais le feuilleter
pour l'amusement
« leurs
».
au lieu de Les
on lisait « Les AraAcadémies,
Page 6i, avant-dernière
ligne
collège des lettres
« démies,
sanctuaire
».
des lettres
le
')'
aiinéa
a
vu
ses premières
« après
le risible.
transformées
l'odieux
vient
63
Page
lignes
« Tournez
la page.
Vous êtes à une séance
des Jacobins
dans Zt'«.
et Philos.
Mc/ee.s'.
», lisons-nous
«
Le 6'ott.s'e?'
Zt'M. disait
Je m'aperçois
et j'ai
de faire rire mes iecsérieux,
que je deviens
promis
« leurs.
Pour
tenir ma promesse,
le n" suivant
».
m'offre
une séance
des Jacobins
la
22e
V.
a
car
nous
63,
une
« j\e continuons
après
supprimé
phrase
Page
ligne,
Hugo
pas
« tombons
dans l'atroce
et c'en est trop ».
A'/w/)/e,
V. Hugo n'a pas reproduit
Nous allons
en donner
de larges
extraits.
)a fin de son article.
« La révolution
naturalisera
le drame
dans notre
l'on
ne
faire
littérature,
pourra
guère
parce que
« que des pièces de ce genre
bâtard
sur cette
monstrueuse.
La royale
époque
y est toujours
tragédie
« souiiiée
le
et
la
farce
de JugeC'est ce qu'a senti avec beaucoup
par
bourgeois
populacière.
« ment l'auteur
dont j'annonce
).a fable de sa pièce est d'une
vérité:
le plan est
l'ouvrage.
dépiorabie
« théâtral,
l'action
se noue avec art, se dénoue naturellement,
c'est à dire horriblement.
car la nature
« de ce temps
ia était borribie.
Des contrastes,
ia
habilement
font succédera
piaiménagés,
peinture
« sante
des Brute
de cabaret
et des Aristide
de carrefour,
le tableau
des
Soion
du
club
et
effroyable
« des Lycurgue
de la commune.
Les personnages
sont
fidèlement
dessinés
et opposés
entre
eux avec
« talent.
an
il
est
sait
trivial
être
avec
Ics assassins,
et élevé
avec les
Quant
vrai, fauteur
style,
« victimes.
« Ajoutons
du drame
n'est point
inférieure
a la partie
nous
que la partie
comique
tragique
« pensons
cet
n'est
nuiiement
du
aussi
son
que
ouvrage
indigne
personnage,
distingué
par
rang et
« ses lumières
on l'attribue.
A'OM optes aM~y't,
sic non o/x't
que respectable
par son
âge,
auquel
« nocet aMC<o/
me pardonne
il faut bien que cet article
de citer en terminant
un peu de latin
qu'on
« contienne
au moins
une ligne purement
»
littéraire.
ont déjà
de signaler
ce petit
recueil.
Deux des trois odes
(2) V, Hugo est heureux
qu'ii contient
obtenu
un honorable
succès.
« Elles
la religion
et la monarchie,
à une époque
où il y
défendaient
« avait
il le faire,
surtout
les hommes
les Laocoons
de
quelque
courage
pour
qui en se constituant
« notre
a
voir d'un
moment
a l'autre
arriver
sur eux les serpents
sous
âge, étaient
exposés
vengeurs
« la forme
de destitutions
ministérielles
H semble
les dangers
a pu courir
en 1819
que V. Hugo grossit
plaisir
que M. Antoine-Charies
il
ses
sur
il
odes
Z~~m?:
et la /OH.
Avec plus de raisfu
aurait
du
quand
publia
pu le féliciter
'e
)06
3i
1821
/a/.s
Le
vision
43 mars,
M. V. Hugo
lire
une
devait
sur ie\'i)~siècte(on
a voulu
écrire
le
il ne!)
d'indisxvn~siècie);
pu, pour cause
position.
Le 27 mars,
M. A. Hugo,
.s'M<<e </<; .s'on <s'coM~ A'M?' /« Z,t«ër«<M?'<;
e.ayKo<e.
Cf. Co?:~Y'?'
t. or, livrais.
~<<
xxx,
pp.
mars
4821.
408-i.)0,34
34
~ay'tf/ë'.s',
A-e~'u. //<<
noM~e~M
/t</<<ït?'e.s',
t. t!), livrais.
xxx.
pp.
7)/e'M!0!'rp.! </e la société
<e//tM/o<to/t
de
sciences
et arts (année
C6!??t6?Y/
agricutture,
-)820)~).
Co7~e?'u.
~!M., t. m, livrais,
xxx,
pp. 388389. U.
N.-B.
Cambrai
etc.
.cMOt/'M.
B. F., 9 mars 1821,
In-8.
!mp.
n° 943.
Hm'cx,
les /Peo!ac<eM?'
C'o?'?'e~/)OHf/«H<;e.
j4 ./U~.
du
CoH~eruM<eM7'
.s'M/' << Zfto~?'M~t«~'aï/'e,
?tOMue~e des CoM<eM:/<o/'«!?t.s' (2).
p/ne
t. tn, livrais.
Co/t.!eyu.
Litt.,
xxx, pp. 389392, Victor-Marie
Hugo.
etc.
C'f~t4t0-4t2.
On tronvc
dans cet. articte
nouveties,
quctqnes
mises )& sûrement
V.
Il
par
Hugo.
y est question
des Jeux noraux,
du
de !a séance de t'académic
Poitevin~2tevricrl82t,etde!'ciogcdeM.
PcitaYi.pat'M.tecomteJutcsdcXesseguiet'.
montré
e/t ~5
en écrivant
La nécessité
de ?'e;ttWM?'
et de rétablir
courage
qu'il avait
Ro?ta/)a/'<e
~MBOM/'&OH.S'.
Mais V. Hugo
veut faire de la politique.
Plus loin )ë nom de Sinon
lui permet, une petite attaque
contre
le duc Decazes. « Quelqu'un
t'outre
ce
du personnage
me démodait
si
~'MO~
de
jour
(il s'agit
« 1 Enéide de Virgile,
de
la
ruse
et
de
la
n'était
actuellement
ambassadeur
Anen
type
fourberie)
pas
« g)eterre.
.a
est quelquefois
malicieuse
L'ignorance
V. Hugo félicite
fauteur
de son « style rapide et pressant,
parfois
obscur,
par l'heureuse
quoique
« audace
de ses métaphores,
la pompe de ses rimes et l'élégante
de sa versification
.x
pureté
En terminant
le
couvrait
fauteur.
«
il lève un peu
voile de l'anonyme
Sous ce nom se cache,
qui
un de ces Français
combattu
dans
nos armées,
consacrent
« nous dit-on,
avoir longtemps
qui, après
«
un brave
leurs
loisirs
A leur muse et teur muse
au trône.
C'est tout simplement
officier
aujourd'hui
son
de ses vers pour gagner
ses épaulettes,
et ne se sert point de
« qut ne s'est point servi
épée pour
sa réputation
»
« faire
littéraire.
Antoine-Chartes
cachait
Charles
Perrin-Brichambault
ou Perrin
de Brichambau)t,
en effet Antoine
V.
ne
sont pas fameux.
colonel
de génie.
C'était
un pauvre
les éloges
de
poète et ses vers, malgré
Hugo,
La politique
la critique
de V. Hugo.
ou t'amitié
ont
été pour beaucoup
dans
Antoineprobablement
Chartes
était de plus membre
de la société
des Bonnes
Lettres.
a un gros volume,
la raison
en est dans
l'abonV. Hugo regrette
de consacrer
un petit article
H a distingué
~w le e/tMr<< <<e
des vers
dance
des matières.
des observations
par M. Servois,
«
de M. Delcroix.
Le docteur
a
fait
un
sur
la
vaccine.
V.
est
étonné
Peysson
poème
Hugo
que l'auteur
« ait abordé
il y a peu d'années
Franun pareil
le beau poème
couronné
par l'Académie
après
sujet,
« c.aise.
si bien alors l'art de Jeûner,
ne s'est jamais,
Le poète éminemment
distingué,
qui célébrait
« que nous sachions,
mis en tête de le pratiquer:
M. Peysson,
nous
n'en
doutons
pas, le pratique
qui,
« avec beaucoup
de succès,
aurait-it
dû entreprendre
de le chanter
? CMt~Me ~MMm .M
(1)
à cette
nous montre
bien l'état
d'âme de V. Hugo et le désir qu'il a de faire preuve
(2) Cette lettre
il va mettre
son nom et ses prénoms.
d'un nrdent
Cette
fois d'ailleurs
époque
royalisme.
Voici de larges
extraits
de cet article
« Les spéculations
libérales
de librairie
se multiplient
comme
les conspirations
chaque
jour
si l'audace
des factieux
est
« amène son ~'ros/<ec<M~ et son explosion,
et il serait
curieux
de rechercher
ou
l'insolence
des
factieux.
Je
des écrivains,
des écrivains
par l'audace
pense
« inspirée
par l'insolence
« d'ailleurs
a
est
bien
tant
soit
le
moteur
des
hommes
surtout
f
intérêt
personnel
peu
entreprises,
que
a. la fortune
et & la gloire
M. Tou« entreprises
commerciales
en dupant
le bon public,
on marche
honneurs
de
f~KM
?
9
ne vient-il
les
pas d'obtenir
< quel, déjà rente par la petite
/);'o~?':e<e,
« En fait de spéculations
de ce genre,
c'est
de la Biographie
;tOMt;e</e des coM~eM/joratHs,
par
vais
vous
Je
il
votre
attention
ce
« MM. Arnault,
A. Jay, Jouy et Norvins,
entretenir.
que je
signalerai
souvent
des
mouvements
d'indiet rapide
lecture,
interrompue
par
« qui m'a frappé à une première
est précédé
d'un
Tableau
vous
sans
doute.'
Le
Dictionnaire
et
de
dégoût
que
partagerez
«gnation
« <troMO~</t</Me
<<M e~ë/te/HeM~
se soit plu a
que l'on
<<e~Mt~ ~7~7,
~tM</M'N ce ~OMr, où il semble
»
le
dernièrement
un
élève
du
libéralisme
insultait
en
face.
« insulter
trône
comme
l'autel,
dans
cet
la fille
de
V. Hugo donne
alors
ses preuves
~/Mf~tMte
est toujours
ouvrage
Royale
ou encore
le P)'ë<eM<<M<.
/~KM ~f<
S. M. Louis XVH n'est
Louis XV1H est ~M~'teM)'
jamais
le /~oz
H est question
21
mars
)804
est
le
de
la
MMM'<
du
duc d'Enghien
de f/~Hy)e~'eM/'
Le
jour
~Va/M/e~M.
est assassiné
Charc/t~'c/t~Kt
M 7'eM<re~' eyt France,
Le 13 juillet
1793. Marat
c<<M'M
par
</<tt aua:~
Cadoudal
et ses coMp~tce~
sont
condamnés
lotte Corday.
dans sa. prison
s'e7r«/t~/e
Georges
Pichcgru
:'< mort.
des
5
et
sont
des
<tf?MM«Me!MM.
Au
13
Les massacres
6 octobre
1789
vendémiaire,
~oM~Mees
107
3t
1821
j~
La C/y<e?KHM<?'e,
de M. Soumet,
de l'académie
des Jeux
vient
d'être
à l'unanimité
floraux,
reçue
aux Français.
Ce bel ouvrage
le tour
de
prendra
la
du
même
auteur,
Cléopdtre,
reçue
depuis
i2 ans, et sera joué incessamment.
On annonce
ensuite
de deux
oul'apparition
« dignes
de tout l'encouragement
des royavrages
« listes qui voudront
sans doute
faire pour la reli« gion et la monarchie,
ce que les libéraux
font
« contre
elle nuit et jour.
» Il s'agit des oeuvres
de
Bossuet
et d'un ouvrage
de Saint-Prosper,
jeune
éèrivain
et
)) intitulé
royaliste
distingué
~ay<yrologe
Mars
V. Hugo
Révolutions
Ballades,
Fin
mars
7'oya~.
compose
date
p. 43.
Le CoH~'ua<eM?'
l'ode
donnée
/!«~'aM'e
le Poète
dans
dans
les
Odes
cesse
les
et
de paraître.
Avril
4
7
Conférence
de Frayssinous,
à Saint-Roch,
t'œuvre
du Bon Pasteur
Ce ~«e KOM.!
pour
avons
à c?'a!7:e
et ce </Me HOM.s' avons
à
en ~?'H/!ce
cf. La
e~e'er
p~Mr /a religion
6 avril
')82<.
~Mo~i!eKKe,
Des
travaux
littéraires
commmencés
depuis
et
MM.
frères
désilongtemps
auxquels
Hugo
rent se livrer
exclusivement
ne leur
presque
permettant
plus de consacrer
aujonrna)
qu'ils
ont fondé le temps
et les soins
que demande
une
telle
ils nous
ont offert
de
entreprise,
réunir
leur recueil
aux Annales
et de prendre
V. Hugo
à Aimé
Martin.
II lui
de
de littérature
la place
répétiteur
a
l'Ecole
française
polytechnique.
Cf. //t~'M!e'<<p
des C/<e?'e~eM~,
25 oct.
't888, t. xxi, p. 607.
La fille <0-7'<i'!7:,
ode.
Annales
de la
Littérature
et des ~h'<
t. ut, livrais.
7 avril
xxvn,
d82).
d3-i6,
pp.
Victor-M.
Pas d'épigraphe.
Il n'y a que
Hugo.
des différences
de ponctuation
avec
le texte
des Odes et Ballades.
Cf.Za/oM<5juin1822,
pp. 339-340.
Lettre
demande
de
les /ac<M<.E.
Ne
trouvez-vous
V. Hugo,
s'écrie
Bonaparte
dissipe
pas, Messieurs,
ZD une fleur de phiian« thropie
dans cette apologie
de la mitraillade
de St-Roch ? »
V. Hugo utilise
ensuite
le ~oca&M/aM'e
des </e'KO?KtMa</OMA' de /)ay<t.s'.
Les <'o/tM~OM~M
sont
des républicains
se
font
<7/'(<eM~
de sans
les patriotes
gloire de la dénomination
culottes;
i'auguste
surnom
de chambre
tM/roMM~e
est une </e'KO?HMM<!o?t ~erMOt/'e
)c 10 août,
]c 2 septembre,
le
21 janvier.
iei6
octobre
sont des
on
lit
dans
ce
vocabulaire
le
mot
yoM?-?M'Mre?Kf<~Ma~M.~Ennn
on n'y trouve
« votants;
oubli
il n'est
pas le mot
inutile,
ne songe à ly
/f;t/<
personne
qui
« chercher.
»
Sur le texte même
de la Biographie,
V. Hugo
se résigne
à ne faire
seule
observation.
qu'une
« Elle sera consacrée
à signaler
au mépris
une attaque
bien obscure
et un mensonge
bien grossier
« contre
la gloire du grand
Moreau.
attribuait
la
victoire
de Ilohenlinden
à Augereau.
» La Biographie
Victor
a
avec
restitue
Moreau
la
lui
mais
raison,
n'oublions
Hugo.
gloire
qui
appartient,
pas qu'en
est pour les royalistes
le « grand
Moreau
V. Hugo,
1821, Moreau
c'est
de plus
ie chef et le
», pour
d'armes
de son père.
compagnon
V. Hugo après
sa rectification
continue
ainsi
« Soit
soit
voilà
comment
les
ignorance,
perfidie,
<: nouveaux
écrivent
l'histoire.
Du reste,
MM. Arnault,
et Norvins,
ont
fait
biographes
Jay. Jouy
déjà
<un
articietrèsnatteur
sur M. Arnault,
et ils en préparent
sans
doute
de non
moins
à
glorieux
« MM. Jay,
Jouy et Norvins.
« Comme
un peu vives, permettez-moi,
de m'en
je me suis vu forcé a'quelques
attaques
Messieurs,
« rendre
en
et
de
me
dire
bien
cordialement
votre
collaborateur
et ami.
Victorresponsable
signant,
« Marie Hugo.
»
V. Hugo dans son dernier
du CoHM~.
article
ne se contente
Litt.,
ardempas, on le voit, d'être
ment
il
mène
une
à
fond
contre
les
royaliste,
charge
hbéraux,
contre
Bonaparte
etie pauvre Augereau.
sur certains
mais
le
désir
évident
d'afficher
Peut-être,
points,
tort,
son royalisme
lui fait
n'avait-il
pas
les
bornes
d'une
ste
et désintéresst'e.
dépasser
critiqua
J!
i08
5
7
1821
Avril
à la rédaction
de
part avec nos collaborateurs
Lesta)entsdeMM.
l'idences dernières.
Hugo,
tité de leurs
doctrines
et littéraires
politiques
nous ont fait
avec celles
que nous professons
avec
d'emleur proposition
autant
accepter
de
nous
avons
pressement
que
plaisir
les rangs
de
notre
complets
regretté
que
ne nous permissent
de donner
rédaction
pas
les
du
dans
les Annales
à tous
écrivains
Z!«.
la place
méritent
Conserv.
d'y
qu'ils
être
Nous espérons
ne pas
occuper.
cependant
de leur
et
de toute
coopération
part
privés
à
nous
bien
nous
aideront
comptons
qu'ils
cette
variété
de tons
notre journal
jeter dans
ont droit d'exiet de matières
que les lecteurs
objet
que
ger dans un ouvrage
qui n'a pour
de les distraire.
Le directeur
des Annales.
(Au
la
de
la
27"
verso
de
couverture
livraison,
7 avril
contient
la fille
1821). Cette livraison
~'0-7'«!t'<!
et un article
de Matitourne.
et des Arts,
Cf. ~t/!HM/e.! de << Z.<«e'</<M?'e
7 avril 1821.
t. nt, livrais,
xxvn,
Conférence
de Frayssinous,
a Saint-Sulpice,
la duchesse
voici le
à laquelle
assiste
de Berry
sujet: Z)tK)!7n'<e</e n~<ye 6'a<n<p?'e~to/tjU<M'.s'OM
e<a6~.s'e?Ke?t<
~e'Mte <y«ï est MM Hwae~e
et.
Le Z~e'tpM.s'eMy', -)0 avril ~82~.
8
14
Sur la couverture
des .4/t/K<
de /a Littéà la suite
~~<Mi''e et </e.s' -4?'<.s', on ajoute
des
noms
des rédacteurs
ceux de A. Matitourne.
cf. ~t/tK<~e~
V. Hugn, A Hugo, dans cet ordre
de /M ~!«e'?Y<<M?'e
et des .4?~.s', t. )n, livrais.
14 avril
1821.
xxvin,
16
Sermon
à Saint-Sulpice,
de
Frayssinous,
de la
f/e'/aM.s'e'.s', en présence
pour les e/i/s'
duchesse
de Berry
cf. ~.M ()MO<M/«;HHe, 15 et
17 avril 1821.
de Vigny
a V. Hugo,
Lettre
d'A.
signalée
dans la 6'o/'?'<s'OH(/a/tc<?
~.M 5-~35,
p. 13.
V. Hugo
Avant
le
entre
le 28 février
et le 21
reçoit,
21 Avril avril,
une lettre
de Chateaubriand
qui le félicite de son ode sur
cf. C'o?'?'es0Mï&e?'OH,
lettre
de V. Hugo
à
~5-J'~35,
jt)OK~<Kce
A. de Vigny,
2t avril
t821, p. 15.
Epigraphe
parce
pleure
Cf.
d'Arven).
cf. Les
1823
pp. 141-143;
avec
281-283
Ecoutez
la
est
fiancée
jeune
qui
délaissée
(ballade
13 juin
Littéraire,
qu'elle
Le Courrier
Tablettes
?-oM:aK<:</Mes,
cf. Les Odes
et Ballades,
la date
Janvier.
1823,
pp.
à J. de Rességuier
cf.
Lettre
de V. Hugo
F. ~M.<70 avant
ED. BiRÉ,
~30,
pp. 134 et
PRAVIEL.
de France,
cf. ARMAND
~rCMre
219
décembre
1902, t. xuv,
pp. 589-590.
17
à A. de Vigny
de V. Hugo
cf. CorC'est
le
~5-~3.5,
7~joon</o'Kee
pp. 13-16.
la
contenu
de la lettre
nous fait préciser
qui
est le samedi
saint.
date. Le 21 avril
21
18
Avant
21
te
Avril
21
V.
cf.
commence
V/CM f/M/K/e
Hugo
1815-1835.
Lettre
de V.
Correspondance
21 avril
1821, p. 15.
Hugo a A. de Vigny,
Dans
les /.e«?'e& a /a y~Kce'e
(pp. 171-172,
lettre
du 16 fév. 1822) il est question
du mois
de mai
Peut-être
a-t-il
commencé
a
1821.
l'écrire
en mai, après y avoir travaillé
en avril
et peut-être
même
avant.
Lettre
Lettres
de V. Hugo
tres à la /!<M:c6e., pp.
la couverture
des ~)/u<M<c.s', le nom de
V. Hugo est placé avant
ceux
de Ch. Nodier,
A. Hugo
Ancelot,
Amar,
Destains,
Matitourne,
cf. ~t«na<e~'
de la Littérature
et des Arts,
21 avril
1821.
t. ui, livrais.
xx!x,
Sur
d09
à Adèle
51-52,
Foucher
Let54-56.
53-54,
26-27-28
1821
Avril
29
à Saint-Sulpice
Conférence
de Frayssinous,
Nos devoirs
coMt/~e
nos
devoirs
chrétiens,
1'
CO~MtC /r<i!Mpa!6';
cf. La
()MO~ÏC?:?!e,
mai ~82).
30
Lettre
de la Maréchale
Oudinot
au marquis
de Lauriston.
Elle
demande
au nom
de la
duchesse
de Berry une pension
pour V. Hugo
cf. Ca/a/o~Mes
n" 405.
67ta?'<!uay,
~a:
Premiers
Mme
jours de lancée,
mai
Hugo tombe
p.59.
malade
cf. Lettres
à
la
3
La séance
a
des Jeux
floraux.
d'une
ode intitulée
par la lecture
eut l'honneur
de AL V. Hugo,
0M!&e/'o/<,
qui
d'être
admis
l'an dernier
les membres
parmi
cf. Anitales
</e
de ce célèbre
corps littéraire
la Z!«~Y<<M?'e
et des ~ty'<.9, t. n',
livrais.
19 mai 1821
cf. Le.lourxxxm,
pp. 279-280,
Ma~ de /t.s'.
28 mai 1821
cf. Le /a~esM
<</a/tc,2tmaii82i.
4
son ode ~M/'
Lettres
V. Hugo lit aux Bonnes
cf. ~iM/t~/e-s'
le ô~p/e'/Me (/M </MC de Bordeaux
t. tu, livrais.
de /H Zï'</<'?v<~M?'e
des ~4?'/s,
xxxt, 5 mai 1821.
3-5
a propos
de l'ode
~M~'
/)e'/en6'eM?'
C'est
la plus
&a/)/<?~c (/M f/Me de ~o?'</<'a~x:.
des pièces
L'auteur
est
remarquabte
publiées.
à peine âgé de 19 ans. Il compte
déjà
parmi
l'élite des écrivains
cite
royalistes.
Le journal
22 vers
cf. Le ~e'/eM.s~M?', t-. v, n"s 2 et 3,
3 et 5 mai )82L
pp. 40-41,
3-5-8
7
~caf/~Kïe
été terminée
Note
du
Annonces
des /~H:MMe<'s
d'A.
/s'<oy'<</MM
sur la couverture
du jUë'/e?tt'eMr
des 3,
Hugo.
5 et 8 mai.
Lettre
de M. Finaud,
à V. Hugo
Toulouse,
de l'Imprimerie
cf. <3<c.< et /~f</<<7~.s-. édition
Nationale,
pp. 548-549.
Ode .!M?' le 6ap~/Me
</M f/Mc de /~or~~M.'c.
« On
trouve
chez
une ode de
Lenormand
« M. Victor
Hugo, jeune poète déjà connu
par
« une foule de productions
annoncent
à
la
qui
« fois un beau
talent
et d'excellentes
doc« trines.
se distingue
Celle dont nous
parlons
« comme
toutes
les autres
par une versifica« tiou soutenue,
mouvements
par des
poéti« ques et par des sentiments
honorables.
Nous
« citons
au hasard
les vers
en
qui suivent,
de ne pouvoir
cit'T
le poème
«regrettant
« entier
le feu du génie
Où étinceite
pindari« que. » 22 vers
sont
er.suite
cf. La
cités
7 mai 182t.
QMo<<eK/tc,
.1)0
le 6a~<~e
Ode sur
de S. A. 7!. HenriZ)!<?M</OKH~ <?'C/<ar~e?'o!!na?:ït/<!?'!e
duc
de Bordeaux,
Victor-Marie
lois,
par
des Jeux
floraux,
ln-8.
Hugo de l'Académie
Pelicier.
Paris,
[m p. Ant. Boucher.
N.-B.
On ne trouve
sur cette
ode aucune
indication
à la Bibliographie
de la France,
mais
elle fut composée
et puMiee entre le 21 avril et le
5 mai. Le 21 avril, V. Hugo écrit à de Vigny qu'ii
ne l'a pas commencée.
Le 4 mai, V. Hugo la lit
aux Bonnes Lettres.
Le 5, les ~MMa~de /a Littéra<Mre
et des Arts
l'annoncent
en vente chez
Pelicier et le Z~e/eMMMy en publie des extraits.
Cf. RosERT,
CoM?'oK?ïe~e
et </e?'os~
cyprès
ode sur
le &c,~<g
du
duc
de Bordeaux,
des
par Victor-Marie
Hugot (sic) de !'Académie
Jeux floraux,
cf. Odes et ~*oe.e~
pp. 413-122
cf. 0des et Ballades,
diverses,
pp. 71-82
pp.
97 1U4.
On trouvera
de cette ode.
au
8 juin
1822,
les
variantes
Avant
le 5
1821
Mai
i4
Ode ~M?' /<' 6o,p<eM!e f/M f/Mc de ~o?'f/eaM.E.
a reçu une foule d'odes,
Le JoM7'?K!/ de Paris
à citer
les plus
se borne
stances,
épîtres.i)
« La première
de ces mentions
remarquables.
à l'ode de
« honorables
est due sans contredit
« M. Victor
Ce jeune poète,
déjà auteur
Hugo.
du. 2 février
« de très belles odes sur l'attentat
de l'enfant
des miracles
a
« et la naissance
« encore
eu cette fois de très heureuses
inspice
morceau
« rations.
C'est surtout
pour
plein
nous
« de verve
et de chaleur
que
regrettons
à
nous con« la sobriété
des citations
laquelle
et nous
nous
« damne
le défaut
d'espace
les
« bornons
à transcrire
ici une des strophes
» Le journal
cite 6 vers,
« plus remarquables.
inconnus
que V. Hugo
puis nomme des poètes
à vaincre
cf..7oM?'K~
n'avait
pas de gloire
i4 mai d82i.
de Paris,
18
.H7' la H~<
Entrefilet
a propos
de l'Ode
sance
f/M f/MC Bordeaux,
par
Mety-Janin
t. iv, lettre
cf. les Lettres
C'/«</M/~MO<s'e.
18 mai 182t.
xxxvi,
25
à la société
V. Hugo a dû faire une lecture
des Bonnes
cf. ~4?tMr</p~ de la /.ï«eLettres
t. nt, livrais,
?'a<M~'e et dg~~?'
xxxi, 5 mai
1821.
()Mi!'6e?'o;t, ode
par
maître
ès JeuxFtoraux('t).
M. Victor-Marie
Hugo,
a. été composée
du il au 17 février
Cette o<)e, d'après
le manuscrit,
1821 (Odes et Ballades,
56
et
Elle
a
été
le
février
à la société
de l'Imprimerie
28
des
Nationale,
lue,
1821,
pp.
498).
<<e
la
Littérature
et
des
t.
n.
livrais.
3
mars
Lettres
Arts,
xxn,
(~)MHM<M
p. 368,
1821~.
a
Toulouse
fut
à la
le
28
où
elle
lue
/<M~M,
mars,
(Co/'?'e~o?t~a;tce
p. 363)
t'envoya.
mai.
du 3
le dernier
vers de la l~ strophe.
Dans
le Recueil
des Jeux
on
on corrigea
1822,
MoraMa;,
sur
A la même
<MM'e ~t<r <'?<?!~f7'6'.
On lit maintenant
/'MMt~e?'s.
FMKMe/t<
Apparaissent
la
2e
n'est
dans
le
Recueil
f<M
Ye~a:
Floraux.
Enfin
on
fit
on ajouta
qui
pas
disparaistrophe
époque
V.
le
9
iui-même
de
la
Zt«e'?'a<M;'e
et
des
A
tre une coqui)ie
juin,
par
Hugo
(Annales
signa)ée,
Arts).
et Ballades,
enfin une patrie,
la 9e strophe
j4mM, on va vous rendre
p. 63) on avait
imprimé
(Odes
au lieu de
on va.
Bannis,
de l'Imprimerie
Nationna)e
vient de nous donner
variantes
le manusL'édition
quelques
d'après
crit (cf. pp. 308-309).
des variantes
aux vers 1 et 3.
A la l''c strophe,
nous avons
(1)
édition
Bonnes
V. Hugo
séance
En
lisait
1 Sur son sanglant
bonheur
en vain le crime veille.
3 L'anathème,
sans
cesse
u, son orelHe,
parlant
3
nde)e.a
son etoHe.
toujours
a beaucoup
à V. Hugo.
I) en a fait deux ou
La composition
de la 14e strophe
semble-t-il,
coûté,
celle où nous apparait
l'influence
trois rédactions,
conservant
la moins
religieuse,
négligeant
davantage
et du G'e'MM du christianisme.
Voici cette dernière
de Chateaubriand
1Alors
tous les démons
bannis des autres
mondes,
2 Avaient fait pour ie nôtre un sénat digne d'eux
3Tel
un dragon,
issu de cent dragons
immondes,
4
Rassemble
en lui leurs traits hideux.
dans la fange,
5 Le colosse de fer s'est dissous
6
le ténébreux
En.vain
archange
7
en le créant,
S'applaudissait
8 Ce sénat que le crime encor admire et vante,
9 Qui vomissait
)e meurtre
et semait
l'épouvante.
10
Eu son sein portait
son néant.
Citons
encore
certains
vers
biffés,
2 L'ange
des
imposteur
variantes
du mal
-<it-
son
qui montrent
sourit en le créant
effort
et le travail
de sa pensée.
26
j~a:
~821
Mai
de l'Académie
F<c/o?'M~o,
~eav!
des
des Jeux
/~0?'<!Ma; A'M?' /'ï'MSMr?'ec<<OK
de Pons,
officier
C?'<'c~, par le comte
Gaspard
Pé)icier.
chez Boucher,
de la garde
royale,
des ~47tMS<es de
cf. Annonces
de la couverture
t. in, livrais.
et des Arts,
la /</g?'a<Kre
xxxv,
des Lettres
C/tam2 juin
cf. Annonces
182t
t. v, lettre xxxvm,
p. 70.
penoises,
de
ni à la bibliographie
Cette épître
n'est
nationale.
ni à la bibliothèque
la France,
Recueil
de l'A cadémie
des Jeux
Floraux,
B.
26
mai
n"
2086. Cf.
49-53
1821,
F.,
pp.
cf.
Odes et poe'~tM diverses,
1822, pp. 29-38;
ne uar!'e<My,
Odes
e< Ballades,
édition
pp.
cf. Odes et Ballades,
édition
de l'Im6t-68
Nationale,
prirnerie
pp. 51-56.
.<!?:
3
du 3 mai
La lecdes Jeux Floraux
Séance
ture
d'une
très belle ode de li. Victor
Hugo,
Floraux
terminé
maître
ès Jeux
dignement
cette belle séance.
Cette ode avait
pour
M.
elle
a
été
lue
le
comte
titre
0M!6e?'c?t,
par
f/e /?'ance,
de Rességuier
cf. la Ca~e~e
3 juin.
Recueil
de
t'Académie
des
(année
182))
(1).
?tHa/~
de /<: Z!«e'a<M?'e
livrais,
xxxvt,
379-392,
pp.
9 juin 1821.
Jeux
e~ des ~4?'
Vietor-M.
Floraux
t. m,
Hugo,
6
Tous les crimes,
impur mélange,
7
Formaientce
sénat digne d'eux;
8 Cette hydre vomissant
le meurtre
et t'épouvante
8Tel
un affreux dragon.
de ce monde
n'empruntant
redoutaient
vante,
9 Que
les rois,
que l'imposture
difformités
de
monstre
les
immonde,
9 Que
chaque
en son corps hideux.
10
Les rassemble
A la dernière
strophe
nous avons
trois variantes
aux trois premiers
enfin,
On dit que, de nos jours, p~a/yM~
ces ~Mjox par/ut'e~.
Dans la plaine
homicide
ou ces preux sont tombés,
e~i pleurs,
t~MKe?:<, les yeux
/)r:e;' les vierges pures.
vers.
n parle
les origines
de la Z'~e des fleurs.
de i'induigence
de i'Académie,
du
(1) V. Hugo raconte
«
du
des
Jeux
floraux
l'une
des
vénérables
associations
des vieux souvenirs
plus
qui font
corps
cortège
au ridicule
de
montrer
encore
« littéraires
de l'Europe.
C'est s'exposer
que
quelque
respect
pour tout
mais nous ne reculerons
devant
le ridicule,
« ce qui est venu a nous
de l'ancienne
[''rance
jamais
traditions
et
des
institutions
« lorsqu'il
de témoigner
en faveur
des
séculaires.
Et
paternelles
s'agira
a quelque
séduit
et
à
la
« en cela,
l'institution
des Jeux
floraux
chose
son
qui
qui impose
fois
par
à l'antiquité
ses
à
»
« origine,
elle appartient
formes,
chevaleresque
par
l'antiquité
héroïque.
a
de
l'année
et
en
les
ensuite
étudier
le recueil
't821
revue
morceaux
passe
qui
V. Hugo s'attache
du
chevalier
de
une
Ode
au
AWHMet/.
)!
Le
ode
aux
cite
avec
le composent
~a~ay~.s-,
poète,
Foucry,
de
Hoimon-Durand.
L'amitié
le porte
à citer
le
YeMKg
MtOM~</t<
qu'il a pour l'auteur
plaisir
poète
mais
il n'hésite
non
mais
des réminisdeux
pas à lui faire
remarquer
pas des plagiats
pages,
une
et
Durand
lisent.
aiment
et
de
et
de
Soumet.
C'est
savent
cences
preuve
que Hugo
par
Miiievoye
suivant
de
lui-même
étudie
encore
une
les beaux
eoeur
vers,
l'expression
Hugo
V. Hugo
Z~~re
de Saint-Maurice
il s'attarde
à ?<M/)oe/e de Chartes
une seconde
<!<M: 7)/ftse~ de M. ChjUiHon,
/'(;<re
« où chaque
d'un ami
Hocher.
fois à l'ouvrage
/'tttt/<«</<<</f/a«t<
poème de M. Joseph
vers porte
». V. Hugo cite le début « plein de douceur
et de majestés
« l'empreinte
d'un talent
élevé et religieux
du poète à t'~me
immorteue
d'une
sœur
idée qui
invocation
charmante
qui n'est
plus,
puis « une
».
V.
« serait
si
elle
n'était
touchante
citations
Hugo,
profondément
après
de longues
ayant
ingénieuse
« Ces beaux
vers terminent
trait à la bonté
divine
finit ainsi son étoge
le
dignement
poème
qui, bril« iant d'images
aux lettres
un homme
un poète ».
Il
et d'harmonie,
promet
religieux
et )a
religion
discours
couronné
M.
de
ia
Servière
«
sur
examiner
en
détail
le
de
les
~t~eran'a pas d'espace
pour
II passe aussi très rapidement
sur ie discours
en vers la ~e~M/tcf
« <M/'M classique
e< TOM!aK<Me
(<'MK
du rapport
de M. Finaud.
les f/erHte~aeceM/.s'
ode par M. le
de M. Carré,
l'extrait
F:e!7~<r(/,
M.
le
de
M.)'oitevin-Peitavi«dans
undiscours
ComteJuiesdeKességuierafaiti'éioge
Marquisd'Aguitar.
rare », discours
intéressant
« écrit
avec une éiégance
soutenue
et une pureté
et souvent
« toujours
». V. Hugo continue
de son ami
« Cn retrouve
en tête de deux élégies,
le
encore,
« éloquent
i'éioge
d'heureux
et
ce
nom
est
« nom de M. de Rességuier,
!/une,intitulée
C/o/'Mt«a,aété
toujours
augure.
la
?HO/~
f/'MMe
Fille
de
est
« insérée
dans
le Co/Me/'f.
l'autre
de
At«.,
Kt/<H~e
également
remplie
H2
9
.<!?
1821
en ce moment
au théâtre
une
répète
de M. Soumet
sur le même
tragédie
sujet
que
de Mely-Janin
)'0res<e
(c'est-à-dire
C7</<p?Mcf.
l'Eloile,
nes<re);
6 juin.
Le duc de Rohan
est ordonné
cf. le
diacre
17 juin.
Journal
de Paris,
On
Ht
l't
V. Hugo a dû faire une lecture
à la société
des Bonnes
Lettres:
cf. les .<4?ma/e.<
de la
Littérature
et des ~4?'<s, t. m, livrais.
xxxv,
1821.
2 juin
2')
sur V. Hugo
à propos
/)~/eK<<'M?'
des poésies
lyriques
de M. Dorion (un Nantais).
« On n'a pas assez rendu
au talent
de
justice
« M. Hugo. » Cf. le Défenseur,
t. v, n° 33,
p. 337, 21 juin.
de Mme Hugo.
Mort
Elle
est enterrée
au
27" division,
chemin
MontPère-Lacbaise,
voisin.
Son tombeau
est reproduit
dans l'Illusdu 30 mai 1885.
tration
27
Note
du
Du 27 juin
au 21-22 juillet,
de travailler
à /7a?t d'Islande
la fiancée.
p. 172.
V. Hugo cesse
cf. Lettres
à
de V. Hugo
Désespoir
et rire
cf. Lettres
à la
29
Bal chez M. Foucher.
qui a vu Adèie danser
fiancée,
p. 60.
30
une
à
L'~<M<7p consacre
colonne
grande
de Gaspard
de Pons, sur )'/H~M?'?'ec<<OM
t'ép!tre
« Cette
Le journal
termine
ainsi
Grecs.
:t M. Victor
« pièce
est adressée
Hugo,
jeune
« poète
dont tous les pas ont été des succès.
« Il n'est
un amateur
de beaux
vers qui
pas
« ne lui conseille
de faire
une réponse.
» Cf.
n° 242, samedi
30 juin
1821.
l'Etoile,
Lettre
cf. Fty~'o,
de
V. Hugo a son
22 août 4888.
oncle
Trébuchet
30
./Mt7~e<
3
« M.
le général
et ses fils, MM. Hugo,
Hugo
« jeunes
écrivains
ont fait une
monarchiques,
cruelle.
Mme
leur
et
a perte
Hugo,
épouse
« mère,
de leur
être
enlevée
à un âge où
vient
« sa famille
et ses amis,
dont
ses
vertus
fai« saient
le bonheur,
de la
pouvaient
espérer
« posséder
longtemps
3
~:eM7i<~
juillet.
«
«
«
«
encore.
Cf.
La
Quoti-
et d'harmonie.
charmante
de M. de Rességuier,
ont dernièrement
L'éiégie
que les ~K?t<t~
aussi voulu
suffisait
aux lecteurs
une idée
de ses jolis vers.
Nous avons
leur
publiée,
pour donner
son
car
M.
le
de
n'est
comme
de
faire eonnaitre
excellente
Comte
pas
beaucoup
prose
Rességuier
de ce temps,
dont on connalt
la prose quand
on a lu leurs
vers ».
poètes
« On ne parierait
ici d'une
ode sur ()Mt6e?'OK,
V. Hugo
termine
ainsi
son compte-rendu
point
« qui se trouve
ne
une
faute
dans la seconde
du recueil,
s'il
partie
d'impression
également
s'y trouvait
« assez grave
les
du
volume
rectifier.
Au
lieu
de
que
possesseurs
pourront
«
«
«
«
charme
enfin une patrie,
Amis, on va vous rendre
i) faut lire
etc.
Les auteurs,
des fautes
Bannis,
qui ont essuyé
d'impression;
f)
petite observation
typographique.
n'y a que les bons ouvrages
qui puissent
comme
il n'y a que les femmes
vraiment
belles
belles
pression,
qui restent
ou d'une
toilette
sans élégance.
Victof-M.
Hugo.
nous
braver
en dépit
cette
passeront
les fautes
d'imd'nn
faux jour
113
<K
15
1821
./Mt7/~
3
«
«
«
«
«
«
«
7
14
« L'épouse
de M. le générai
vient
de
Hugo
mourir
dans la force de l'âge et lorsqu'elle
semblait
devoir
a sa famille
de
promettre
années
de vie et de bonheur.
Cette
longues
aussi
dame,
distinguée
par son esprit
que
son
était
mère
des
caractère,
par
respectable
de
littérateurs
ce
jeunes
monarchiques
»
nom.
Cf. La G'a~e~e
de France,
3 juillet.
Les journaux
à la suite
des jourfrançais,
naux anglais
du 4 juillet,
annoncent
la mort
de Napoléon
survenue
le 5 mai. Cf. ie./OK?'tta~
des Débats,
7 juillet.
Vers
tantes
Hugo
d5
~i
<9
20
23
le ~4, Adolphe
Trébuchet
part
pour
où il arrive
le 32
cf. Lettre
d'Eugène
a Marie-Joseph
août.
~0
Trébuchet,
pour Dreux.
H reste
un
de V. Hugo pour Dreux.
Départ
chez Gaspard
de Pons.
jour à Versailles,
Départ
Arrivée
28
30
Fin
juillet
Juillet
Foucher
Lettre
de V. Hugo
1815-1835,
poMofaKce
Hugo à Dreux.
Dans
les premiers
de septembre
on
jours
au théâtre
trajouera
français
C/y~MtKe~v,
de M. Soumet.
gédie en 5 actes,
pour la représentation
de retraite
au bénéfice
de Thénard
cf. le ./OM?w/7 de Paris,
19 juillet.
de V.
Lettre
cf. Odes
à son oncle
de V.Hugo
22 août 1888.
cf. Figaro,
deV. Hugo à M. Foucher
Lettre
à la fiancée,
pp. 62-63,
qui en
des fragments.
de V. Hugo et de M. Foucher.
de M. Pinaud,
à V. Hugo
Toulouse,
e< Ballades,
édition
de l'Imprimerie
p. 549.
cf.
Lettre
de V.
nales
politiques
1912, p. 159.
Deux
aux
lettres de Marie-Joseph
Trébuchet
fils Hugo,
avec une lettre
cf. Letd'Adolphe
tre d'Eugène
~82d.
~0 août
Hugo u son oncle,
CA~y:
p. 350.
~0!~
Abel
intituté:
~no/M
~aoûH82i.
3
un article
dans
l'e
Hugo pubtie
~ay«?'<e'.<o</r!~Me,7~0M!a?!c<?~e.s'~aA. H.)
cf. )'<oi!
(4 colonnes
signées
à une attaque
de )'~o:~e
Réponse
de i'articted'A.
7'o:'?'. à propos
Hugo.
du ~!7'0!?'est
aussi
du 3 août.
du
/5-55,
Corres-
Trébuchet:
cf. Lettre.s
contiennent
166
30
de Vigny
(Rouen)
pp. 17-20.
Hugo
et
à M.
Foucher:
littéraires,
cf. ~/t18
février
Lettre
de V. Hugo à M. Foucher
cf. Lettres
à la fiancée,
en contiennent
un
p. 64,
qui
cf. Annales
et littéfragment
politiques
18 février
autre
raires,
19i2,
p. 159,
fragment.
à Chateaubriand
remet
le diplôme
ès ./CM.K 2'o?'aM.K
cf. i'~oï/e,
30
la ()Mo<!</ïen7te,
et les
3~ juillet,
juillet
~82~
Annales
de la Littérature
et des Arts,
t. iv.
livrais.
xf.iv, p. 208, 4 août d82i.
le Fa~o~
de
Odes et Ballades,
à A.
cf.
14
La lettre est datée du 30, mais c'est une erreur,
elle est du 20, puisque V. Hugo
ZD dit qu'il est arrivé
la veille & Dreux.
p.d59.
V. Hugo
de ~Va~'f
compose
par les
de V. Hugo
C'M'?'e.~oM</<ïMC'e
Lettre
Du 25 juillet
au mois d'octobre,
V. Hugo se
à 7/aM f/s'~tx/e.
H achève
remet
le 15~ chacf. Lettres
à la fiancée,
pitre
p. d72.
Lettre
de M. Foucher
à V. Hugo
cf. ~)Mnales
-) 8 février
et littéraires.
)9t2,
politiques
V. Hugo
date donnée
à M. Finaud
p. 366.
Lettre
Rencontre
Nationale,
25
de la famille
de V.Hugo
à J. de Rességuier:
cf.
16-17
et
~<M5-35,
Correspondance
pp.
A. PftAVtHL,
/e?'CMre
de 7'a?:ce,
décembre
14 juillet
1902, p. 591. On a mis
par erreur
1822.
Lettre
~/<-
L'attaque
~4
27
28
1821
Ao~<!
3
4
10
est à Montfort-t'Amaury,
V.Hugo
ami
cf. Lettre
de
Saint-Valry
M. Foucher
du 3 août.
à
Lettre
de M. Foucher
?t<y/M politiquces
et liltéraires,
159-160.
pp.
Lettre
d'Eugène
chet cf.
Figaro,
deux
fragments,
Vers le
10 août
Lettre
inédite.
Vers le
10 août
A. de Vigny
Paris:
cf. Lettre
buchet.
10 an 14
Lettre
V. Hugo
d'Abel
Hugo
19 mai
le reste
et Gaspard
d'A. Hugo
V.
l'aris
V.
cf. ~4~Hugo
18 février
1912,
oncle
rentre
Hugo
cf. ~Mna/e.s'
Lettre
de V. Hugo
à M. Foucher,
de
datée
cf. Lettres
à la /ïaHcec,
Montfort-l'Amaury
cf. !Myo
t. x, pp.
119?'aeoK<e,
p. 64;
cf. ~MM~e.!
120
/<«e?'a:'y'e.<.
y)o/<<ï<yMM
18 février
1912, p. 159.
K
de Y', Hugo a M. Finaud
po?~a/iee~6'j'5-/535,
p. 367.
Lettre de V. Hugo a Saint-Va!ry
V. ~«yo
avant
1830,
pp. 233-235.
14
Trébuchet,
de Pons
sont
à
à son oncle
Tré-
de Vigny
à V. Hugo:
cf.
a Saint-Valry,
du 14 août.
Lettre
du duc de Rohan
de V. Hugo il Saint-Valry,
13
son
Hugo à
a son oncle
Trébu1886, qui en contient
est inédit.
a son
Hugo
V.
chez
Lettre
à V. Hugo
cf.
du 14 août.
de
Lettre
à
Montfort-l'Amaury
et <t</e'?'aï?'M,
;jo/<</</M~'
de
p.160.
14
15 au 20
V. Hugo
rend
à Rocher
visite
est à
qui
Paris
cf. Lettre
de V. Hugo
à Saint-Valry,
du 14 août.
H part avec Rocher
pour la Rocheil y reste trois jours
et en repart
le
Guyon,
21
cf. ~4/tM/e.f
et ~!«e'?'a<rex,
politiques
18 février
19)2,
p. 160.
V. Hugo a dû écrire
au duc
Lettre
de V. Hugo à Saint-Valry,
de
16li
Lettre
de M. Foucher
à V. Hugo
cf. V. Hugo
t. it, p. 124; cf. Annales
raconté,
pO<t<«/MeS
et <:«e'?'a~,
18 février
1912, p. 160.
18R
La CoM?'oKy(pe~'c~/)~
et de )'<MM ou le
la 7Vs:a?<(;e
et
le jBap~me,
Deuil,
par
l'ode
sur
Robert,
le
contient,
115-122,
pp.
de Bordeaux,
du duc
Baptême
par VictorMarie
de l'Académie
des
Jeux
Hugot
(sic)
Horaux.
19
Lettre
de M.
MM/es po/Mp.s1912, p. 160.
21-23
25
27î
cf. Anfévrier
à propos
de t'jE'/o~e
de
</e q/jM'd.s' et de ?'o';es. Le journal
de i'ode de V. Hugo
cf. l'Etoile,
Note
Corres-
cf. E. BfHK,
16
de V. Hugo
à M. Foucher,
datée
de
f< la fiancée,
la Roche-Guyon
cf. Lettres
t. tt, p. 116;
cf.
p. 64; cf. F. //M~o racoM<e,
18 février
~MKa~s'/JO/t<!fyM~e<~<e'?'<M?'e~
1912, p. 116.
20
Lettre
de V. Hugo
Ka~'
et
/JO/:<<(/M~
1912, p. 160.
cf. A nfévrier
23
de V. Hugo a Saint-Vatry
cf. E. Bu<n.
Y. ~M'yo avant
1830,
p. 231.
de Vigny
Lettre
de V. Hugo A.
cf. EHNxsï
15
février
Revue
de Paris,
Dupuy,
1902,
p.865.
27î
de
Lettre
Le 2) août V.Hugo
la Roche-Guyon.
quitte
le 22 il est à Mantes
et il arrive
a Paris
le 23
au matin
cf. Annales
et litté~o/t~Mes
1912,
~«/'(;A', 18 février
p. 160.
V. Hugo
à la séance
assiste
annuelle
t'Académie
cf. Lettre
de V. Hugo
à A.
du 27 août.
Vigny,
V.
cf.
cf.
à M. Foucher
Hugo
t. n, pp. 123-124;
cf. Anet littéraires,
18
février
Lettre
V. Hugo
?~coK<e,
nales
po/ï~'</Mes
1912, p. 160.
Rohan
cf.
du 14 août.
à V. Hugo:
Foucher
et //«e/'a!'ycs,
18
Lettre
de
de
Lettre
la CoMroKne
cite 10 vers
27 août.
H5
à M. Foucher:
)8
littéraires,
1821
Août
29
au banquet
assiste
Hugo
Lettres
Chateaubriand
que préside
de V. Hugo
à Saint-Valry,
27
31 août.
0Mo~(/!eKMe,
Avant
Lettre
de la duchesse
de Berry
une pension
Prade).
pour demander
de V. Hugo
cf. Nouvelle
Revue,
~909, p. 270.
septemb.
V.
des
Bonnes
cf. Lettre
cf. la
août;
au comte
en faveur
13 mars
.S'c/)<eyM~'e
4
Abel
~'arïc/M.
Le
</e?'M!M'
des
Hugo.
comédie
en
Goths
Ultimo
fameuse
(~
Godo),
3 journées
de Lope de Véga. Article
signe H.
cf. l'Etoile,
n° 308, 4 septembre
(Abe~ Hugo)
)821.
6
Le généra)
Hugo
Chabris
le maire
de
Thomas
cf. DUFAY,
p.
15
civilement
devant
épouse
Marie-Catherine
(Indre)
F. T/M~o à vingt
ans,
23.
favorable
et ordonnance
Rapport
de 500 fr. en faveur
de
gratification
Alissan
de Chazet,
entre le 27 juin et
a envoyé,
à ce sujets
une
tembre,
comte
Pradel
cf. G. VAu'mmo,
i5 mars ~909, pp. 270-271.
Revue,
Abel
La
sabia
A. H.)
182).
~07:cc//a
cf. l'Eloile,
une
pour
V. Hugo.
iei5
sepau
note
Nouvelle
Lettre
V. Hugo
de V. Hugo a Saint-Vatry
auaK~
/~50,
pp. 235-236.
cf. E. B)MM,
T'~eo~o~
n" 323,
19
Hugo.
(article
signé
i9 septembre
23
F~~c
à la Trappe
Trébuchet.
Adolphe
du 6'OKsero.
/~<.
(signé A. T-t.) C'est l'article
un journal
de
d'après
que le journal
imprime
à son oncle,
Marseille
(Lettre
d'Eug.
Hugo
1'
cf.
le ./OM?'/tf</
novembre
des
1821)
23 septembre
1821.
/)c&a~,
26
Abel Hugo publie
dans )~<o<7e une variété
Il y a
T~er~oM le /~OM.E, chanson
norvégienne.
bien des ressemblances
entre
cette nouvelle
et
xxxvni
et xxxix
les chap.
de Han
xxxvn,
~s/aM'e.
29
Trébuchet
les Sites
de
Marie-Joseph
publie
et de la Sèvre,
dans le ./OMy-Ka/
~'a:'K<ï'ac?'<'
de Nantes
e< de la Zo~'6-/M/e?'<eM/
29 sep18:21.
tembre
Octobre
à l'Odéon
cf.
Français
2
La C/y/eM:MM~'e
de Soumet
du comité
des
retirée des serres
t'~0!7c,2octobrei82i.
est
3
Annonces
dans )'~0!7e
de l'épître
adressée
sur i'/?MM?'y'ec<tO?t
à V. Hugo par G. de Pons
des
G'?'cc.s- et de l'ode
de Holmodurand
(DuMtOMra~:
cf. t'~o!<
/e~'eMMe poète
range))
3 octobre
1821.
Lettre
de V. Hugo
a son
cf. le /a?'o,
10 mai
1886.
rue du Dragon,n"
30.
Lettre
Ap<eA'
116
de V. Hugo
a
M la ~f<?<
pp.
oncle Trébuchet
V. Hugo
habite
Adè!e
67-68.
Foucher
cf.
!6
Oc~o~'e
1821
7
Lettre
d'Adèle
?ta<e.s
/)o<(yMe.!
1912, p. 161.
à V. Hugo
cf. ~nFoucher
et /ï~e'?'a!'7'e~,
18 février
10
Annonce
avec
par A. Guiraud
de
é)oges
cf. t'~o~e,
20
Lettre
d'Adète
Foucher
à V. Hugo
cf. AnM~/es ~o<ï<!</Me.s' et //«e'?'azres,
18
février
lettre
a été reçue
Cette
1912,
par
p. 161.
V. Hugo le 20 octobre.
aux
t'O~g
10 octobre
à Adè)e
Lettre
de V.Hugo
Foucher:
cf.
/Le<e.~
à la fiancée,
Cette
lettre,
pp. 69-72.
non datée dans l'original,
doit être du 8 octobre,
car elle répond
à une lettre
d'Adèle
du 7 octobre.
Crées,
1821.
Lettre
de V. Hugo
à Adèle
/.e«?'e.s' à la fiancée,
pp. 72-76
t.
122~23.
?'ccoM<e,
n, pp.
Lettre
21
d'Adèle
Foucher
à V. Hugo,
qui l'a
cf. ~tns/cs
le 21 octobre
reçue
~o/!<!</M~
18 février
et /<e'?'n!'?'e.<,
1912, p. 161.
27
Lettre
d'Adè!e
Ma/es
~o/!<ï~M~'
1912, p. 162.
29
à V. Hugo,
Lettre d'Adè)e
Foucher
reçue le
30:
cf. ~MKa/f.s'
et /<«ey'<t!?'M',
~o<<<~MeÂ'
18 février
19i2, p. 162.
En
Lettre
V.
Foucher
à V. Hugo
et <~e?'a~'e.s',
18
cf. ~4Hfévrier
octobre
a un
Hugo pense
que Soumet
approuve
ce'c,
pp. 172-173.
Octobre
et
novemb.
V. Hugo
travaiiïe
au rapport
académique
de
demandé
sur
François
Neufchateau,
par
cf. ~e«)'~
<t la lancée,
Gil ~/aA'
p. 173.
à
de V. Hugo
Il la fiancée,
pp.
Adète
77-78.
Foucher
cf.
cf. Y. /~M~o
Foucher
cf.
20
2H
a Adète
de V. Hugo
27
Foucher:
cf.
a la fiancée,
p. 79.
Lettre
il son oncle Trébuchet
de V. Hugo
30 oct.19 mai 1886 (trois
2 nov.
cf. te/</a?'
erreurs
sans
cf. Co~'MpoH~aMcp
1815-1835,
importance)
sont supprimées).
pp. 20-22 (sept a huit lignes
Lettre
Ze«?'es
grand
sujet
tragique
M
cf. Z<'«~e.f
<a /taK-
~Voue7?ï~re
1
`
5
10
à son
Lettre
d'Eugène
Hugo
chet.
Inédite
cf. ~1/~eH~tcc.
Ouverture
des cours de droit
21 octobre
1821.
dienne,
oncle
Trébu-
Lettre
Lettres
cf. la ()Mo<
Lettre
Lettres
d'Adèle
Foucher
à
Annales
et littéraires,
politiques
1912, p. 162 et 25 février
1912,
Adèle
80-82.
Foucher
cf.
1
a
Adè)e
Foucher
cf.
2
pp.
82-84.
V. Hugo
a J. de Rességuier:
cf.
cf.
~~5-35,
22-24;
6'o?'Mjt)OM~<:Mce
pp.
A. PRAVIEL,
de .France,
décembre
~/ercM7'e
59~-592.
Le
texte
du
7)/e?'eM?'e
1902,
pp.
au
une
texte
de la Corre.~onajoute
ligne
dance.
7
Lettres
est nommé
aumônier
Frayssinous
premier
du roi. JI laisse
un moment
ses confépour
M. de Trevern
rences.
le remplace
et commence
le
12
novembre
à Saint-Thomas
cf. le VoMy?~
des Débats,
5 nod'Aquin
vembre
cf. l'Eloile,
11 novembre
1821
1821
cf. les Annales
de /H Zt«<a<M?'e
et des Arts,
17
t. v, livrais.
et
novembre,
Lix,
p. 201
livrais.
t.xrv, 22 décembre,
pp. 375-384.
V.
p.
cf.
Hugo
18 février
180.
V. Hugo les a reçues le 10 novembre
mais elles
dù
2
et
le
ont
être écrites entre le
10 novembre.
11
sur les Bonnes
sur les
Lettres,
Long article
sur les cours,
les professeurs,
attaques
subies,
les
conférenciers.
Abel
Genoude,
Hugo,
Victor
Rocher.
cf. le ./OM~'Ka/ des
Hugo,
11 novembre
1821.
~)e'6«~
16
Lettre
d'Adèle
Foucher
à V. Hugo,
reçue
17
cf. ~MMa~s
et
littéraires,
politiques
25 février
1912, p. 180.
de V. Hugo
à
à /a fiancée,
pp.
cf.
de
à
la
Lettre
de
Lettre
de
Catalogues
il lui
V.
Hugo
/<aMcee,
V. Hugo,
Paris,
C/t<ïr<ïHay,
a son père,
n" 114.
Btois
de la tnaindie
et de la mort
de sa
parle
H lui envoie
de ses études
et de ses projets.
mère,
ses essais littéraires
lui
ont
valu
d'être
nommé
qui
« Nous
membre
de la 2e académie
du royaume.
« voudrions,
mon
donner
cher
quoique
papa,
« renommée
littéraire
an nom
nous
te deque
« vons,
mais elle n'égaiera
la renommée
jamais
« mi)it.aire
»
que tn y as attachée.
Les Catalogues
CAa7'Mt;<M/ (no 200)
signaient
à son
à la
une lettre
de V. Ilugo
relative
père,
de sa mère.
est
faussement
mort
Cette
lettre
datée
de d820 et ne fait qu'un probablement
avec
cette lettre
du i2 novembre
182).
le
~1–
t
1821
Novembre
20
d'Adèle
à V. Hugo,
Lettre
Foucher
reçue
le 20
cf.
nnales
<?<
/!«erat/'e.
~o<:<</MM
25 février
181.
d9i2,
p.
28
à V.Hugo:
cf.~4?<Lettre
d'Adèle
Foucher
25 février
e~ littéraires,
nales
po/:<«yM~
le 28
1912, p. ~8~. V. Hugo a reçu cette lettre
d'Adèle.
novembre,
jour de la naissance
Lettre
de V. Hugo
Adèle
Foucher
cf.
V. Hugo remit
/.<'</?'e&' à la fiancée,
pp. 85-86.
cette lettre en même
temps
que la suivante
elles sont toutes deux sur la même
feuille.
121.)
de V. Hugo :'). Adète Foucher
à la fiancée,
cf. F.
pp. 87-88
?-neoM<c, t. n, p. 122.
13
Lettre
Lettres
cf.
//M~o
de V. Hugo au baron
Lettre
à proTrouve,
lecture
a faire aux Bonnes
Lettres
pos d'une
cf..4Mta<eM?'
décembre
i9i0.
<aK<o~rap/<c.s',
i4
V. Hugo
a Adèle
Lettre
de
Lettres
à /? /«!Mcc'e, pp. 89-92.
Lettre
Z<'«rp.<
de
/a
V.Hugo
fiancée,
a
pp.
Adèle
93-97.
Foucher
cf.
17
Foucher:
cf.
24
/)cceM!~y'e
Ouverture
<7
)4
Saint-Augustin,
cf. la Quotidienne,
rue NeuveBonnes
Lettres,
n° 17, ancien
hôtel de Gêvres
1821.
6 décembre
Lettre
d'Adèle
8
cf. Annales
février
1912, p.
à V. Hugo,
reçue le
et littéraires,
~5
~O/~Z~MM
182.
Lettre
vendredi
ra/p.s',
des
Foucher
tt. V. Hugo,
d'Adète
Foucher
14
cf. A nnales
politiques
25 février
1912, p. 182.
le
reçue
et litté-
Abel
l.'i
17
21
29
/ïoM<a!Mce.< M:aM?'MfyMM.
Le
Hugo.
<Oc/tM/!
14
cf.l'Etoile,
Ca~<
(signé
H.);
1821 et 7 janvier
décembre
1822.
V. Hugo
a Adèle la pièce A toi
envoie
cf.
cf. Odes et BalLettres
à la fiancée,
p. 106;
~«/e~,
pp. 350-354.
Foucher
cf.
cf. F. Hugo
:< Adè)e
Lettre
de V. Hugo
Foucher
Z.e</r<?~
la fiancée,
Les
pp. 99-100.
du 7 et du 8 sont sur la même
feuille.
Lettre
de
Lettres
/a
V.
Adèle
Hugo
/:sHcee,
p. 101.
Lettre
de V. Hugo
à Adèle
Lettres
à la fiancée,
pp. 102-104
t.
125-126.
raconté,
i!, pp.
Foucher
cf.
lettres
7
8
cf.
13
Foucher:
cf.
cf. F. Hugo
14
de V. Hugo
à Adèle
cf.
Foucher;
à la ~a~cee,
Les lettres
pp. 105-106.
du 14 et du 15 sont
sur
la même
15
17
Lettre
Lettres
du
13,
feuille.
à V. Hugo,
reçue
et /t«e'ra!?'e~,
le
25
Lettre
Lettres
cf.
17
Adèle
Foucher
108-110.
cf.
21
le
Lettre
Lettres
à
de V. Hugo
à la ~a7:<e,
p.
à
de V. Hugo
à la fiancée,
pp.
à Adè)e
Lettre
de V. Hugo
Foucher
Les
Lettres
à la /!aMee'<?, pp. 110-112.
feuille,
du 21 et du 22 sont sur la même
cf.
lettres
22
Adèle
Foucher
112-113.
cf.
24
Adèle
Foucher
113-114.
cf.
27
cf.
28
cf.
29
Nodier
sur Walter
cf. la Quotidienne,
Lettre
d'Adèle
22
cf. Annales
février
1912, p.
Foucher
Scott
Lettre
d'Adèle
Foucher
a V. Hugo, reçue
samedi
29 décembre:
cf. ~MM~M
politiques
25 février
et littéraires,
1912, p. t82.
V. Hugo
est invité,
comme
membre
de
l'académie
des Jeux
a dîner
chez
le
floraux,
comte
de Chabrot,
de la Seine.
C'est
préfet
A)is-!an
de Chazet
transmet
l'invitation.
qui
V. Hugo, sur cette invitation,
le samedi
écrivit,
29 décembre,
a 4 heures,
à Adèle
Foucher
une lettre qui est inédite.
Décembre
raconté,
à Adèle
de V. Hugo
à la ~<Mcee,
pp. 98-99
t. fi. pp. 120-121.
et
dé-
Article
de Ch.
/c~owa?~<.s'M:c.'
cembre
1821.
joc/z/Mes
182.
Lettre
Lettres
V. Hugo
la Peste
)'C</e sur
de
compose
/ce<OMe.'
cf. Lettres
à la /:a/<cee.
p. 173;
cf. Odes et Ballades,
le ~OMfpp. 2R3-269,
ment.
H8
de V. Hugo
;'t
a la /îa?!<;ee, pp.
a
Lettre
de V. Hugo
/y'<s
/M't<'f'e,
pp.
Lettre
Lettres
Adèle
107.
Foucher:
de
a Adè)e
Foucher
Hugo
/f.s
/a
/tH/c'e,
pp. H5-H)i.
V. Hugo
a Adètu Foucher
Lettre
de
cf. F.
116-118;
/e.s'M/a/<K~e<'e,pp.
t. <[. p. 122.
?'acoM/e,
Lettre
T/M~o
CHAPITRE
V
1822
1822
Janvier
2
5
7
8
12
entre
Querelle
de
cher à propos
à la fiancée,
pp.
d'Adète
Lettre
Ma/e.< /)o/<yMM
p.208.
Lettre
d'Adète
nales
politiques
208-209.
pp.
V. Hugo
et
Chateaubriand
123-124.
la
Foucher
a V. Hugo
cf. ~/tet littéraires,
3 mars
1912,
d'Adèle
Foucher
Lettre
samedi
cf. Annales
12)
3 mars 1912, pp.
?~ù-M,
à V. Hugo
politiques
209-210.
22
Lettre
d'Adèle
Foucher
a V. Hugo
mardi
cf. ~M~a/M
22)
politiques
?'a!re.s-, 3 mars 1902,
p. 210.
29
30
Foucher
à un
pp. 142-143.
bat
à
de V. Hugo
o, la fiancée,
pp.
&
Lettre
de V. Hugo
Lettres
à la fiancée,
pp.
à
Lettre
de V. Hugo
7.e«?'es
à la fiancée,
pp.
Lettre
Lettres
Let-
le
(reçue
e< litté-
cf.
Foucher
Adèle
142-143.
Adèle
Foucher
144-146.
Foucher
Adète
147-149.
cf.
cf.
cf.
Adè)e
Foucher
cf.
de V. Hugo
à la fiancée,
pp. 150-152.
à son
ce jour-lit
une lettre
V. Hugo a écrit
dans
le général
père,
Hugo. Elle est signalée
à la fiancée,
25 janvier,
les ~e~res
p. 154.
Lettre
Lettres
.~Mr le Nil, par V.-M. Hugo
cf.
La
n" 52, pp. 112-114,
25 janvier
1822.
d'Adèle
Foucher
a V. Hugo (reçue
le
Lettre
samedi
cf. Annales
et <<«e26)
~o/!<«/Mes
3 mars
?Y«?1902, p. 210.
~/oM'e
Foudre,
Lettre
Lettres
à la société
des
Bonnes
sur la /<«c/'H<M)'c
dramacf. ~iMMa/e.! de la Litléra<«yM<; e~ayno/e
<M/'6'e<</e.s' Arts,
t. Vf, livrais.
Lxvm, p. 104 et
livrais.
Lxx, p. 178.
soutenir
une
V. Hugo va à l'Odéon
pièce
cf. ~t~na~e.!
et littéroyaliste;
po/<</K~
3 mars 1902, p. 210.
~<«'s',
Abel
Lettres
pp.
Adèle
Foucher
128-135.
de V. Hugo
a Adèle Foucher
cf.
à la fiancée,
pp. 136-141.
à J. de Rességuier:
Lettre
de V.Hugo
cf.
cf.
~5-~35,
25-26
Co~)OMf/<mce
pp.
et
E. BiHH, V. ~«.'70 avant
1830,
pp. 131-132
de France,
cf. A. PRAViEL, Mercure
137
décembre
1902,
pp. 592-593.
le
(reçue
et <!«ecf.
a
Lettre
Lettres
a
La séance
extraordinaire
de l'Académie
d'une
de
été terminée
Réponse
par la lecture
de TVcM/c/eaM
a un nouveau
3/. /?'a?~o<~
cf. le
sur
/'aM~K?'
de
Gil Blas
système
de Paris,
10 janvier
~822.
Journal
d'Adèle
Maladie
tres à la fiancée,
25-26
de V. Hugo
Lettre
à la fiancée,
Lettres
Foucher
a V. Hugo
cf. An3 mars 1912,
e< littéraires,
17
25
de V. Hugo
à Adèle
Foucher
cf.
M/a ~aMcee,
pp. 123-128.
cf. Ze«?'M
Lettre
de V. Hugo a Mme Delon
H /M /<aKce'c, p. 125.
Lettre
Lettres
famille
Foucf. Lettres
fait
Hugo
une lecture
~9
Lettre
Z6«?'g.s'
a Adè~e Foucher
Hugo
fiancée,
pp. 153-155.
Foucher
de V. Hugo
à Adèle
M la fiancée,
pp. 156-157.
de
M
V.
4
4 9?
8
):<
177
19
:'U
2)
~4i.
cf.
25
cf.
31
1822
Janvier
La. pièce en question
Tuteur
ou l'Ecole
de
5 actes et en vers, par
doit
être
Le .Père et le
en
la yeMHCMc,
comédie
MM. Théodore
et Achille
représentée,
Dartois(oud'Artois)deBournonvi)ie;
théâtre
le 28 janvier
sur
le
second
1822~
français.
)n-8. )mp. de Guiraudet,
Paris. Paris,
Barba.
B. F.,
9 mars
n' 1163.
La 2e représentation
eut
1822,
lieu le 30 janvier.
30 janv.2 février~
Janvier
Lettre
d'Adèle
cf.
février):
3 mars
ra!'r~,
a V. Hugo
~4M?ia/c.s'
po//<!</MM
210.
1902,
p.
Foucher
V. Hugo
travai!!e
à ~4M<y 7<o6.!a?'<
tres /a/taMc'<e,
cf. E. BinÉ,
p. 173
avant
1830,
pp. 449-457.
le
(reçue
et litté-
cf.
F.
LeiHugo
Z''eu?'!f/'
1-1 (i
V. Hugo travaille
à ~M?/ ~o~ar<
<rc.9 à la fiancée,
cf. E. BiRÉ,
p. 173
avant
~~30,
pp. 449-457.
V. Hugo reçoit
le mardi
écrite
samedi
9 février.
une lettre
5, mercredi
d'Adèle
6,
Lettre
cf. Let~M~o
t4
15
16
21
V.
Ze~a/a/~cc'e,
Foucher,
vendredi
8,
ode par M. V. Hugo, cou~7oMe .!M?' le /V!
ronnée par t'académie
des Jeux Floraux,
ïn-8.
Paris
[mp. Guiraudet,
(c'estun
tirage
à part de
B.
la Foudre,
du 25 janvier
F., 9 fé1822).
n-702.
vrier 1822,
<0
de
Foucher
à V. Hugo,
écrite
d'Adèle
le
le même
10, de 2 h. à 4 h. et reçue
cf. ~MM~/e.!
jour:
politiques
et littéraires,
10 mars
1912, p. 231.
Lettre
dimanche
Hugo
à Adè)e
Foucher
pp. 158-159.
à
de V. Hugo
à la /ta?tce'e,
pp.
de V. Hugo
à
Lettre
Ze/M
à la /ïaMccc,
pp.
123
et
racoM<e\t.u,pp
Lettre
-Le«r~
cf.
1
cf.
8
Foucher
cf.
cf. F. Hugo
9
Adè)e
Foucher
159-160.
Adè)e
460-163
125.
Lettre
Ze~'es
à Adète
de V. Hugo
à la /?aMc~,
p. 164.
Foucher
cf.
Lettre
Z~t'es
à Adète
Foucher
de V. Hugo
à la /t<!Hce'e, pp. 165-166.
cf.
10
Deux lettres
de V. Hugo
à Adète Foucher
cf. Zc/c.sla /taMc<;e,
cf.
167-173
pp.
P'. //Myo raeoK~e,
t. n, p. 127.
Lettre
de V. Hugo
à Adète
Foucher
cf.
.Z~es
à la /<aKcee,
p. 174.
16
V. Hugo
va a la messe
à Saint-Su tpice
cf.
Lettres
à la /<M?iee'e, p. 165.
GenAdèle Foucher
part inopinément
pour
à V. Hugo ce billet inédit
« Je
tilly et envoie
c: pars aujourd'hui
Cela
se décide
à Gentilly.
<t à t'instant.
Je voulais
de
profiter
de la sortie
s maman
mais je suis
constampour t'écrire,
« ment
»
contrariée.
La Vengeance
de /H ~/<!<~oHe,
fragment
Abel
cf.
tiré de l'italien,
la Foudre,
par
Hugo:
15 février
205-209.
1822, pp.
Lettre
d'Adèle
Foucher
à V. Hugo
cf. ~4?tet /<<«''?'aù'p.s',
10 mars 1912,
nales
politiques
p. 232.
La
de la y)/a<<07tc. In-8.
Vengeance
Imp.
Paris
Abel
C'est
un
Guiraudet,
(signé
Hugo).
à part de la 7<'OM</re B. F., 16 février
tirage
1822, no947.
V. Hugo a passé
sa soirée
avec quel(jeudi)
de génie
et plusieurs
hommes
ques hommes
à /a fiancée,
de talent
cf. Lettres
p. 177.
V. Hugo n'a-t-il
fait
erreur
et mis jeudi
pas
de séance
aux Bonnes
vendredi,
pour
jour
Lettres.
Lettre
/r~
~20
de
V.
à Adè)e
Foucher
Hugo
~KCëc,
pp. 175-176.
cf.
20
21
1822
~eu~
22
2~
LetAbel Hugo a eu du succès
aux Bonnes
sa leçon
sur la littérature
dramatres, dans
et dahs
ses traductions
de
tique
espagnole
morceaux
de poésie:
cf. rt~MH/e~e
plusieurs
la Z,f<ra<M?'ee<
des ~4/'<
t. vt, livrais.
Lxxtv,
2
mars
1822.
p. 308.
Lettre
d'Adèle
Foucher
a V. Hugo,
samedi
23:
cf.Hns/es
/)0/<<<</«M
't0
mars
1912,
raires,
pp. 232-233.
Février
Soumet
est
très
C<?//eH!nM<?'c
p. 173.
occupé
par
cf. Lettres
reçue le
et /«~-
de V. Hugo
à Adète
Foucher
cf.
à la fiancée,
pp. 176-178.
à Adèle
Lettre
de V. Jlugo
Foucher
cf.
Lettres
f< la fiancée,
pp. ~79-180.
Lettre
de V. Hugo à J. de Rességuier
cf.
E. BntÉ,
V. /7M~o
avant
1371830,
pp.
138 et 337-338
A. PnAV)ML,e?-eMre</e
cf.
décembre
~aMce,
1902, pp. 594-595.
Lettre
Lettres
28
24
25
sa tragédie
de
à la
fiancée,
~f<!?'S
2
Lettre
d'Adète
nales
po/!<«/Mcs
p.
3
Foucher
à V. Hugo
cf. Anet littéraires,
10 mars 1912,
233.
Première
conférence
de Frayssinous
à SaintcAre'eMne
7'o~ï<ncect'M!7c,
Sutpice~Sh.:
et philosophique:
cf. yoM?'a/
des
Débats,
27 février
1822
et la Quo<<e?!7te,
5 mars
1822.
Le -/OM?'?ta/ des ~)e'6M~ du 5 mais
annonce
le premier
M. l'abbé
consistoire,
que, dans
1~ aumônier
du roi, sera précoFrayssinous,
nisé évéque
in partibus
d'Hermopotis.
M. Abel Hugo,
dans
la séance
des Bonnes
Lettres
du 5 mars,
s'est fait écouter
avec plaisir dans ses analyses
du théâtre
de
espagnol
cf. ~4MMa/M de la jGï«e'?'a<M~'e
Lope de Véga
et des
t. vt,
tivrais.
Lxxv.
~t?'
p. 338,
9 mars 1822.
9
10
11
)2
13
Lettre
samedi
d'Adèle
Foucher
à V. Hugo,
reçue le
9 mars
cf. Annales
et
politiques
10 mars
littéraires,
1912, p. 234.
V. Hugo va à i'égtise
de Saint-,Sulpice
pour
voir de loin Adèle Foucher.
H va aussi
probablement
à la messe
cf. Lettres
à la /:a7tce'e,
p.193.
Annonce
éiogieused'Tt'/eKa,
dans
JoM?'?tM<
des Débats,
le
d'A. de Vigny,
du 11 mars 1822.
Lettre
Lettres
sa penpour
pp. 206-207.
Adèle
Foucher
182-184.
cf.
1
cf.
2
cf.
4
cf.
lui
cf.
de
de V. Hugo
Adète
Foucher
cf.
à la fiancée,
p. 191.
à Adèle Foucher
Deux lettres
de V. Hugo
cf. jLe«''e.s- à /« /tMHce'e, pp. 192-194.
Lettre
mention
9
10
cf.
11
à Adèle
Foucher
cf.
de V. Hugo
H la /!<ïnc<'e, p. 197.
Foucher
cf.
à Adèle
de V. Hugo
à la lancée,
pp. 203-207.
Il en est fait
de V. Hugo à son père.
à la /KïKce'e, p. 206.
dans les jLc~rM
1~
de
Lettre
Lettres
<H
Lettre
Lettres
les ministères
à la fiancée,
Foucher:
Lettre
Lettres
p.251.
V.
court
V.Hugo
sion
cf. Lettres
Adèle
181.
de V. Hugo
à Adèle
Foucher
« la /ta?tcp'e,
pp. 185-188.
a Adèle
Lettre
de V. Hugo
Foucher
Lettres
« la /ta?tCfe,
pp. 189-191.
au général
V. Hugo écrit
Hugo,
pour
a
demander
de consentir
son mariage
à la /t«MCc'e,
Z,e<<s'
p. ')89, qui parlent
cette lettre
sans en rien citer.
Lettre
Lettres
une
dé V. Hugo
à
à la fiancée,
p.
à
de V. Hugo
à la fiancée,
pp.
Lettre
Lettres
le mardi
12 mars,
lit à la
Saint-Valry,
société
des Bonnes
Lettres
une ode intitulée
La Mtpr< de j8o?K;AaMtjo
cf.
?tMa/e.s'
de la
~/«e'?'<!<Mr<' e< des Arts,
t. vi, livrais.
Lxxvi,
16 mars
1822.
pp. 346-349,
à V. Hugo
Lettre d'Adèle
Foucher
cf. An7)K/g.s' ;)o/t</</Me.< et <<«e'HtrM,
17 mars 1912,
lettre
de son
reçoit
Hugo
père,
une
favorable
à
son
maapportant
réponse
à la fiancée,
cf. Lettres
riage
p. 197.
15-1 H
Lettre
Lettres
Adè)e
Foucher
Hugo
/<Q!?tce'e, pp. 195-196.
V.
15
–121–
1fi
1822
15
.s
Z'AeM?'e de la ?/:<)?'<, nouvelle
par
cf. la /OM~'c,
Abel Hugo
t. iv, pp.
15 mars
1822.
Lettre
d'Adè)e
7ta/M;JO/!<~Me.s'p/
p.252.
A. H. ==
341-345.
t-
à V. Hugo
cf. An17 mars 1912,
~/e'?'a!?'e.s'.
Foucher
))!
la Fille
la ~'oMHH~6M/p,
//e/e'Ha,
de Jephté,
la /e~!MC
la
<!f/M//C?'C, le Bal,
Paris.
/?'o/t.
)n-8.
Guiraudet,
Paris,
Imp.
=
Pélicier
A. de Vigny)
(~sans nom d'auteur
B. F-, 16 mars
1822, n-' 1349.
19
d'Adè!c
Lettre
nales
politiques
Foucher
a V. Hugo
cf. /JM17 mars
et /«e?'a~'e~,
1912,
p.252.
Lettre
d'Adè)e
nales
politiques
252.
p.
Foucher
a V. Hugo
cf. ~4H17 mars 1912.
et littéraires,
21
23
24
/~oeM:e.s'.
19
Lettre
Lettres
Z'7/eM?'<? de /a /Mo?'<. tn-8.
Imp. Guiraudet,
Paris.
En prose.
Abel Hugo
à
Signé
(tirage
la /OK~'c,
le
de i'articie
dans
part
paru
15 mars
1822)
B. F., 23 mars 1822, n° 1435.
Lettre
Lettres
à V. Hugo
Foucher
cf. ~)Met /e')'aù'<?.s',
17 mars 1912,
Lettre
Ze/es
Lettre
d'Adèie
Ma/e.!jt)o//</</Mp.s'
p.253.
24
de V. Hugo
Lettre
n
(30, rue du Dragon)
M. de Lourdoueix,
chef de division
au MinisH lui envoie
tère de l'intérieur.
deux odes et il
de la peine qu'il
se donne
le remercie
pour
lui
cf. Revue
aM~M6'<!?!i!eM?!C, t. x, p. 449.
15 avril
1907.
a
la
Frayssinous
prêche
Saint-Sulpice
Nécessité
de /« ?'6'<on
~o~?' le 6oH/teM?'
cf. la ()«o<tf/!e?<?tp,
26 mars 1822.
social
de V. Hugo
a
à la /?aMc~
pp.
:),
de V. Hugo
à la /taMceg;
pp.
a
de V. Hugo
à la /?aHee'c,
pp.
Adèle
Foucher
208-209.
cf.
2~
Ade)e
Foucher
209-2{i.
cf.f'.
22
Adèle
Foucher
21i-2i4.
cf.
23
~'oM!?<aM<-
24
j~e'?v<<M?'<?.
T/e'/e'/ta.
la
Poèmes,
~H /<'ï7/f <<e Jephté,
/a T'c~/tHte
bule,
la /'?'s'oH,
etc.
le Bal,
(1).
3
Article
de
colonnes
signé V.-M.
du 24 mars d822:
cf. Lill.
I'~o//c
mêlées,
pp. 93 et 159.
M6<M/<c?'e,
Hugo dans
et Philos.
n'a reproduit
de cet
article
dans /«.
et Philos.
?7M7ëe6'. Les deux
(1) V. Hugo
que sept lignes
de la p. 93 sont le commencement
de l'Eloile.
de l'article
Les cinq dernières
premières
lignes
lignes
de la p. 159 sont la conclusion
de l'article
Voici cet article,
son intégrité
dains toute
presque entièrement,
inédit,
« Voici enfin des poèmes
d'un poète,
des poésies
Nos lecteurs
auront
qui sont de ia poésie
peut« être peine il. croire
cette chose merveilleuse;
mais qu'ils
ouvrent
le volume
ou qu'ils
lisent
cet article,
« si ce n'est
de nailre
pas trop prétendre
que de demander
pour une jeune gloire qui vient
quelques
« moments
de cette attention
si vivement
soUicitée
les
folies
du
siècle,
par
impuissantes
qu'ils cessent
« pour
un moment
d'attacher
leur
aux grandes
du corps social,
entière
commotions
la
pensée toute
« machine
n'aura
sans
doute
le
de
se
ces
politique
pas
temps
déranger
pendant
qu'ils
parcourront
« colonnes
et peut-être
auront-ifs
de
i'âme
chose
dans
cette feuille.
quelque
plus
lorsqu'ils
jetteront
« Qu'ils se rassurent
ils n'auront
entièrement
les objets
de leur médid'ailleurs,
point abandonné
« tation
babitueffe.
Le poème
s'offrira
le
à
leurs
estencoredu
domaine
d'T/e/e'Ma, qui
premier
regards,
« de ia politique
du moment;
car l'auteur
fut inspiré
de la Grèce.
D'un
autre
côté
par les affaires
« par une
comme
si la muse avait
voulu
le poète d'avoir
attaché
un
inspiration
mystérieuse,
punir
« drapeau
a sa lyre pour attirer
la foule,
~Me'MS est un des morceaux
de son recueil
où son talent
« brille
le moins
avec
d'éclat.
de côté les défauts
mettez
de la composition
et
Toutefois,
singuliers
« vous serez intéressé,
de cette malheureuse
ému. entraîné
fiancée,
par les douleurs
qui aime,
qui sait
« qu'elle
est aimée
et que le plus grand
des malheurs contraint
à se dérober
il ce plus grand
des biens,
« de peur qu'ii n'empoisonne
toute sa vie par des plaisirs
aux supplices
a subis.
pareils
qu'elle
Ajoutez
« à cet attrait
de curiosité
et de pitié un style où se trouve
à chaque
dans
pas des vers tels que ceux-ci
« lesquels
la grâce
d'une
habilement
accroit
le
charme
d'une
rêverie
et
expression
négligée
profonde
« vraie.
))
V. Hugo cite ici 24 vers dont voici le premier
et le dernier.
Au cceur privé d'amour
c'est bien peu que la gloire
D'un
puis
il continue
« Ces vers
semblent
écrits
fraterne)
avec
ec)a.t i))u[hinent
la plume
de cet
_)-);)_
ies cieux.
André
Chënier
qui
avait
quelque
chose
là,
de ce
1822
En
~/<M-.<
2<t
Lettre
de Lamennais
à V. Hugo
cf. ~4?~leur <<'«M<o</?'«p/M.s', juin-juillet
1876.
p. 99
seutement
sont citées
cf.
sept ou huit lignes
n°s -)38 et 141
la letC«<a<o~M<~
C/<o?'auay,
tre est datée
de la Chênaie.
~0
une poésie:
Le
/'?'/?Saint-Vatry
publie
dans
les Annales
de la Zi!'<a/M?'ec<
temps,
t. vt, livrais.
des Arts,
Lxxvnt,
4d6-4d8,
pp.
30 mars
1822.
V. Hugo
mars
compose
son
ode
sur
Lettre
~e/M
de V. Hugo
f/ la /?f<neec,
il Adè)e
Joncher
pp. 245-248.
cf.
BoKa/)a?'<e.
« jeune
et brillant
et qui reçut, il a quelques
années
sa coupoète, dévore
par l'échafaud
républicain
« ronne de gloire
des
mains
d'un
homme
noble
et illustre
alors
l'envie
encore
la
auquel
disputait
«sienne
propre.
« Cette
fraternité
et celui de M. le comte
entre
le talent
d'André
Chénier
Alfred
de
remarquable
« Vigny se décèle
dans
le
nouveau
Prenons
un
tableau
recueil.
partout
gracieux.
V. Hugo cite 10 vers dont voici les premiers
et le dernier.
La harpe
tremble encore et la flûte soupire.
Car la Walse bondit dans son sphèrique
empire
la Vierge
Sone et foule
en passant
les bouquets de sa tête.
« Certes
la vérité
la vivacité des coupes,
des détails,
pour le luxe des images.
« je crois qu'il est impossible
de rien trouver
de supérieur
a ce morceau
dans
« Choississons
»
une peinture
terrible.
V. Hugo cite 12 vers.
TH)!cSodomea.vucettefeu)!t)eiu)pudente
cncor.
ses pas qu'il écoutait
« Après
avoir cité ces grands
la variété
du beau talent
de M. de Vigny,
montrer
nous
vers, pour
voudrions
transcrire
de la T~MMe adultère
et de la Fille
de ./e/)/t<<
cette
foule de vers touchants
si l'on trouvait
dans la Bible
comme
tout il coup
chose
de Virgile
et dans
qui frappent
quelque
mais la plupart
à être vus en situation,
nous préférons
de ces traits
demandant
t'Evangite
renvoyer
au volume
le lecteur
lui-même
lui
bien
d'autres
Nous
ne détaencore
qui
présentera
jouissances.
chons
rien du 6'OMMtay/t~M~,
drame
de soixante
et
vers,
également
qui a ses actes et ses péripéties,
certainement
bien d'être
lu en entier.
Citons
les derniers
vers
d'une
charmante
qui mérite
élégie
intitulée
ils
d'un
voit
celle qu'it aime
suivent
les plaintes
antique,
Symètha
partir
jeune
grec qui
Zn
et dont l'absence
»
causera
sa mort.
V. Hugo cite 10 vers.
Dans le port de Pyrée un jour fut entendue
N'entendit
«
«
«
'(
«
«
«
«
t'éetatde
l'ensemble,
tout
André
Chénier.
Qui.
d'une
plus
aile
invisible
avait
ému
sa lyre.
d'un
effet
« Ici la naïveté
est déchirante
aussi
il faut peut-être
trouver
des idées
pour
profond
« atter chercher
»
ce que le ~/as</Me de fer mourant
a de plus lugubre
a dire son
confesseur,
V. Hugo cite 22 vers.
« Les vers de M. Alfred
de Vigny
sont tous aussi beaux
ont cela de particulier
que d'autres,
qu'ils
« sans
être
beaux
comme
cette nativité
de talent
est digne
d'attention.
Terminons
nos
d'autres,
« extraits
cette
belle
//c'<ëKa.
tirée
de
des
Turcs
dans
par
strophe
gracieuse
t'hymne
V. Hugo cite 10 vers sur la ~'eW.i.
« Ces jolis
si riches et si harmonieux,
se louent
d'eux-mêmes.
Nous avons
cité et
vers,
beaucoup
« nous
avons
mal
fait de ne pas citer davantage
ce que nous
car
nous regrel,t.ons
maintenant
tout
« avons
laissé dans le volume.
au succès
si mérité
d'André
Ce recueil
sans doute
Chénier,
participera
« nous osons
le prédire.
Les rapports,
de M. de Vigny
avec celle
que l'organisation
poétique
présente
« du jeune Chénier,
tout
le
de
même
et
monde,
personnettequi
frapperont
que l'originalité
primitive
« les caractérise
tous
deux.
talents
sont frères,
ces sœurs
dont parle
ils se
Ces deux
comme
Ovide
« ressemblent
sans
être
André
s'est
& étudier
M. de Vigny
Chénier
borné
a.
pareils.
l'antique.
a comme
cet article
a pu le faire voir, emprunté
avec le plus
rare
bonheur
les couleurs
grecques.
« hébraïques
et modernes.
de la peine
dans
Les gens qui aiment
il gâter
leur jouissance
et cherchent
« leur plaisir trouveront
d'un
de taches
tant de beautés,
des incorrections
nées
beaucoup
systèparmi
« me, des négligences
nous
nées de la paresse.
l'émotion
Nous, qui respectons
poétique,
profondément
« nous garderons
d'entrer
dans ce débat
à tourmenter
se tourmentent
fauteur,
que les critiques
« nous jouirons
en
en égoïstes
de tant
si clairvoyanls
de talent.
Tous ces hommes
qui sont
graves
« grammaire,
en versification,
en prosodie
et si aveugtes
en poésie,
nous rappellent
ces médecins
qui
<t connaissent
»
la moindre
l'âme
et
la
vertu.
fibre
de la machine
mais
nient
humaine,
ignorent
qui
Victor-M.
HuGO.
-123
1822
Avril
4 (jeudi
saint)
5
<!
6
7
9
10
V. Hugo
voir Adète
et 22).
va deux fois
cf. Lettres
Article
sur l'ode
tulée ~KO~~ar/e,
cf. l'Etoile,
Etoges:
à Saint-Sulpice
à la fiancée,
pour
pp. 219
intide M. Victor-M.
Hugo,
Z. On cite 10 vers.
signé
1822.
5 avril
n°503,
dont
la
J. de Rességuier
le Pèlerin,
publie
finale rappelle
la finale d'O. 7'a<<< cf. ~mna/es
<<e /H Zï<<:<M?'6
et des Arts,
t. vii, livrais.
6 avril
-t822.
i.xxix,
pp. 11-12,
V. Hugo part pour
Lettres
à la fiancée,
avec
Gentilly
pp. 222-224.
Ade)e
cf.
Pâques.
V. Hugo
aux
Bonnes
Ancelot
lit
pour
l'ode .s'M?' la /~e~<e de 7~a?'ce/OMe
cf.
Lettres,
t. vu,
~4MH~/e.s' de la /</6'7'a~M?'e
et des Arts,
livrais.
Lxxx, p. 71, 13 avril 1822.
Abel Hugo.
Les
article
~OM?'&o?M,
signé
mais
te
5
Abel
le
Ch.,
)ui)ietI822,
revendique:
cf. i'F/o~e,
10 avril
t.
1822,
v, pp. 28-30.
cf.
de V. Hugo
à J. de Rességuier
Lettre
V. Hugo
avant
E. B)nÉ,
1830,
132,
pp.
cf. A. PRAVJHL,
~6'?-cM?'e~7''ra7<cp,
138, 237;
595-596.
décembre
1902, pp.
Foucher
cf.
de V. Hugo
à Adèle
Lettre
et
à la /!aHc~,
Lettres
Hugo
pp. 219-221
t.
122.
n, pp. 121,
raconté,
3
cf.
5
Lettre
Lettres
à Adèle
Foucher
de V. Hugo
à la fiancée.
pp. 22~222.
4
cf.
de V. Hugo
à Adèle
Foucher
à la fiancée,
pp. 222-224.
ode par Victor-M.Hugo.
In-8.
~Mo~a~oa?'
Pélicier.
B. F.,
Paris.
Paris,
Imp. Guiraudet,
n" 1636.
L'ode
a dû paraître
6 avril
1822,
ce jour là l'Eloileen
le 5 avril,
avant
puisque
les variantes,
fait l'éloge
et cite 10 vers. Pour
1822.
voir au 8 juin
Lettre
Lettres
Les Catalogues
une lettre de V.
son frère Eugène.
gène, cette lettre
C'/Mïya~ay
(n° 200) signalent t
à
à son père,
relative
Hugo
S'il s'agit
de la folie d'Euest faussement
datée.
114
Artic)e
sur l'ode de M. Victor-M.
intiHugo,
M.
tulée /~MOKf/?'
cf. la Foudre,
signé
10 avril
1822, t. v, a" 67, pp. 31-32.
)33
Lettre
d'Adèie
nales
;)o/~t~Me.s'
Foucher
cf. ~KV.Hugo:
17 mars 1912,
et littéraires,
p.234.
14
A Saint-Sulpice,
à h.,conférencedeFraysà
la duchesse
d'Ansinous
assistent
laquelle
et la duchesse
de Berry
ce ~M'
goutême
des propagateurs
des auteurs,
/'<M< pen~e?'
et o~M
des lecteurs
des livres
cf.
!e~
Journal
des Débats,
15 avri);
Quotidienne,
16 avril
de ~'aKce,
15 avril.
Ga~e~e
19
Frayssinous
le 19
polis,
5 mai 1822.
20
Joseph
duction
20 avril
est préconisé
évêque
d'Hermoavril:
cf. Journal
des Débats,
Kocher publie
de la Bible
de
1822.
un article
Genoude
cf.
de V.Hugo
à J. de Rességuier:
134 et
E. BmË,
V. Hugo
avant
~~30,
pp.
cf. A. PftAVtKL, ~/c/'CM/'6
e~e France,
219
décembre
1902, pp. 589-590.
17 7
de V. Hugo à J. de Rességuier
cf.
Lettre
)32 et
E. Bn<
V. Hugo
avant
1830,
pp.
de France,
cf. A. PRAV)EL. ~ercM7-e
242
décembre
1902, pp. 596-597.
19
Lettre
sur la tracf. Etoile,
Ancelot
un article
sur /y<<M.
de
publie
ît compare
lui aussi
à
Vigny.
Eloges.
Vigny
Chénier:
cf. ~)7:K<~es
</e/M/,ï«<<~M?'ee<
des
t. vn, livrais.n,
20 avri) 1822.
Arts,
pp. 73-83,
21-24
Les Catalogues
CAs~'auay
(n° 377) signaient le manuscrit
de l'ode La Lyre
autographe
et la Harpe,
avec des ratures,
des corrections
et des variantes
inédites.
le manuscrit,
D'après
l'ode aurait
été composée
du 21 au 24 avril.
22
un article
de trois
Me)y-Janin
(M. J.) publie
grandes cotonnessur/ye/~Ha,
de Vigny. Etoges
et critiques
cf. la Quotidienne,
24 avril 1822.
124-
1822
Avril
26
Abel
aux Bonnes
Lettres,
Hugo,
parle de la
d'/H<~
e~e C~s~'o,
Maxias
de
tragédie
par
Lacerda:
cf. ~HMa/s'
de la Z.<«e'?'a<M?'<?e<
<<<s'.4?'<.s'. t. vn, livrais.
Lxxxn,
p. 136, 27 avril
1822.
27
Article
sur l'ode
de V. Hugo,
deux cotonncs
du rez-dc-chausséc
27 avril
tion
cf; la Quotidienne,
28
DernièreconférencedeFrayssinousaSaintZ)t.S'6'OM?'.S'.SM?' les M!S'.S'/0?).S'
Sulpice
y)/OM«eM?', 1er mai 1822.
30
Bonaparte,
et une cita1822.
cf.
le
6'/<tMe-/yf/,7'oM
inédit traà Pise,
fragment
duit de Lord
cf. la
Byron,
par Abet Hugo
30 avril.
7~0M</re, t. v, n" Lxx<, pp. 123-127,
1822.
En
avril
V. Hugo compose
La Lyre et la //a/)e
Odes
et Poésies
diédition
verses
1822, pp. 103-111
/!<;fa?'ite<M?',
pp. 251-255.
-4 l'Académie
des ./CM.7; F/o?'aMA':
Odes et
Poésies
édition
He/;a?'te1822,
pp. 13t-134;
avec
la date:
mai
<?-.
1822.
pp. 271-272,
Cette
ode fut lue à Toulouse
le 3 mai 1822,
en avril
elle fut donc
et envoyée
composée
1822.
La
pp.
357.
Chauve-Souris:
édition
179-185;
Odes et Poésies
~<S~,
ne ~a?'/c/Mr,
355pp.
Le 7YMaye:
Odes et Poésies
édition
ne varietur,
188
pp.
et
Le
CaMeAp~~?':
Odes
édition
ne varietur,
189-192
Odes et Po~
Le ~a/ï'K
ne UH?'ïe<M?', pp.
édition
196
~~3~,
pp.
359-360.
185-
Poésies
~6'
pp. 361-362.
:/<
pp.
363-364.
193-
~fa< t*
3
5
7
H
aux
la pièce
Jeux
Floraux
que
adressa
at'Académie
et
une
ode
de
V.Hugo
J. de Resscguieroù
il est question
de V. Hugo.
OM /es ca?tAbet Hugo.
Le coMM/e ~o'cc/eM?'
<<t<<M/s e7~<6/M
à )a
mais
Lucifer,
(signé
n" Lxxn,
table
Abel Hugo)
cf. la T~oM~'e,
t. v, pp. 144-~51,
5 mai ~822.
On
lit
Lettre
de V. Hugo (Gentilly)
cf. Lettres
cher
à la lancée,
aux Bonnes
Lecture
Lettres
de /?OMta?:ces
t~e/t~eeMneA- sur Henri
de la Roehejacqueiein
et Lescure,
cf. ~?t?:a<es
de la
par A. Hugo
t. vo, Hvrais.
~<'«<a<M?'ee<~c.s'~)?'
Lxxxtv,
mai
1822.
p. 202,
Le 7)/<;<<o?tna!7'e
/t<.s'~r«/Me
(B. F.. H mai, n" 2150) parle
V. Hugot
(sic) et de ses odes,
~e?'</MM et le /t~M6<eMp?~
//eM?-t /V.
Deux
Foucher
229.
</e la yeMKe&se
avec
de
é)oges
les Ft'ey/ye-s- de
de la s<M<Mp de
~25
lettres
cf.
à
Adè)e
Foupp. 225-226.
de V. Hugo
(Gentilly)
o la fiancée,
Lettres
à Adèle
pp. 227-
<!
7
1822
14
~t
aux Bonnes
Lecture
Lettres
par Abel Hugo,
sur la tragédie
cf. ~)MKM/~
du FïCM-K~/eHf/o:
</c la Z!«e'7Y<<Mre
et des ~4r~,
t. vit, Hvrais.
Lxxxv,
p. 236, 18 mai 1822.
est lue
ode,
~MOMapa?'<e,
par Saint-Vatry~
aux Bonnes
tel 4 mai:
cf. ~Hna/e.<
Lettres,
de la /«c'?'<7<M?'e
et des .4r/.s', t. vu,
Hvrais.
18 mai 1822.
).xxxv,
p. 225-228,
17
V.
lettre
19
Lettre
d'Adète
?ta/e.s' po/<<Ke~
-24
25
~7
2!'
est à
Hugo
à Lamennais.
Paris
d'où
il
adresse
une
Foucher
à V. Hugo
cf. Anet <«e'?'a!?'
17 mars 1912,
et A. Foucher
font une promenade
cf. /,e<<?.s'
M la /t<ï/!ce'e, p. 235.
Abel Hugo.
Les Z:'6emM;x
en ac<!OM (signé
atatabte
Abel Hugo)
cf. la ~'OM<~?'e,
Lucifer,
t. v, n° <.xxv<, pp. 243-246,
25 mai 1822.
Hugo
à Paris
12
de V. Hugo (Paris)
~5-~35,
Co?'?'e~oH(/aHce
17
Lettre
à Lamennais
pp. 26-28.
de V. Hugo
Lettre
(Gentilly)
cher
cf. 7.e«?'e~ à /M /?f//t6'e<
p.254.
V. Hugo
en bateau
V.
venir
Lettre
de V. Hugo
& Adète
Fou(Gentilly)
cher:
cf
Z.e«?'e~
à /a/KïMcee,
pp. 229-231.
Cette lettre doit être du dimanche
19 mai au
lieu du 12 comme
la lettre
trouve
qu'on
pp.
et
datée
dix
heures
du
soir.
232-234,
le 27 mai
quitte
GentiHy
pour
cf. Ze«rM
la /tMMcec, p. 237.
cf.
a Adète Foupp. 235-236.
Le </<uoMp?y!pK< <~M)<.s' la /'c.s'<e,
ode
par
M. Victor-Marie
maître
floHugo,
ès-jeux
raux (1).
T~cMC!~ de /~4e~e'/K<'<?
af~' VeMa; ~o?'at<~c,
cf. O~e.s' et /'oe'.M'es <ue?'.s'M
le
pp. 32-55
~eMOMpM~
121-129:
cf. Of/<< e<j3a/pp.
~</M.
pp. 263-269.
Lettre
d'Adèie
nales
po/t~'t/M~'
Foucher
à V. Hugo
cf..4~17 mars 1912,
e< /!<<K'7'c.s-,
de V. Hugo a Rességuier
cf. E. BmÉ,
F. ~M.~0 nuaM< ~~30,
cf. PuAVtRL,
p. 338
~e~cK?'e
de 7'aKcc,
décembre
1902, pp. 597598.
p.254.
Lettre
d'Adète
na/e.s' po~ï</</M~
a V. Hugo
Foucher
cf..4n17 mars 1912,
e< ~'«e/'aù'e.
Lettre
de V. Hugo (Paris)
a Adè!e
cf. ~e~res
à la /?a:Kc<
pp. 237-238.
p.
Lettre
254.
Abe)
Nouvelle.
Ze.< /ïaMpa!7/e.!
</M Fn!!?oa?e.
Hugo.
Chanson
traduite
du morhistorique
A. H. et à la table Abet Hugo)
toque (signé
cf. la /~OMa!?-e, t. v, n<'Lxxvn,
30
pp, 269-271,
mai 1822
Foucher:
juin
Page 265,
et 1822).
Versl2etl3.
ode
vers
a subi
6. Et
quelques
l'étreint
en
changements
dans
ses bras-
Le monstre
l'une à l'autre
oncha.ine
ses victimes
Ils les traine aux mêmes
abîmes.
Odes et ~<!«a<<e~.
'Lettre
de V. Hugo (Paris)
cf. Ze~y'e.s- à la /ta7tce'c,
pp.
30
a Adèle
239-240.
juin
1822
remplace-
Sous
et en
Et
1828.
Les
voici
en suivant
~W<?'et'M~ de ses bras
Foucber
l'édition
(Jeux
Floraux
miHe traits amis, par cent nœuds
tégitimes.
Le monstre
enchaîne
ses victimes.
Jeux Floraux
et Odes et Poésies
6h'ue?'~6~.
Vers 20. Dans
)e~ecMe:7<<es
Jeux
Floraux,
on )isait:e<M<!K~;
tigres
(corrigé
Poésies
<e/<'6').
le /<e<;Me:7 des ./eK~' f/o~ax~.
on lisait:
destin
Page 267, vers 3. Dans
quel grand
Odes et Poésies
~?e?'~e~).
Vers 8. On
lisait
des .M.c
Floraux
et Odes
et Poésies
(/<ecMet/
<<t~ey'~e~)
Kn
a
1828
on
mis
~a/M'
ce
monde
stérile.
d'argile,
-~26-
28
29
V. Jtugo compose
tWoMtMC ~eM?'eM.r,
puisle
trouve
dans
les
et
Poésies
diOdes
qu'on
~o'se.~duSjuin.
(1) Cette
ne varietur.
26
Lettre
de V. Hugo (Paris)
à Adèle Foucher
cf. Ze«?'~
à la /~Kcee,
pp. 238-239.
./M!M
Avant
25
dans
Odes
et
(corrigé
dans
~M/- ce
globe
1822
./M!/Ï
est ordonné
à
Le duc
de Rohan
prêtre
cf. au 8 juin le récit de l'ordinaNotre-Dame
V. Hugo
a dû assister
a
tion par Saint-V:t)ry.
l'ordination.
ABEL HUGO. /~OHt~HCeS
/t!.S<0/</M<
duiles
de /'e.s'pa//MO/,parA.Hugo.In-~2.
B. F..
Paris.
Boucher,
Paris,
Péticier.
4822, n" 2S37.
traImp.
~juin
ÂBE!. HuGo. /!oMK<Mcp~'oe /t/.s'/o?'/H
de 7'py(/e
don /<o</?'<
j5'a/tM
/)o.s'<e?'o de /o.s' Todos
en /eM~Ma</e
a?!<~«o;
recopilado
por Abet
In-42.
Paris.
PeHBoucher,
Paris,
Hugo.
Imp.
et Baudry.
B. F.,
cier, Rodriguez
juin ~822,
n°2608.
sur les leçons
d'Abet
et les
Entrefilet
Hugo
aux
cf.
lectures
de V. Hugo
Bonnes Lettres
1822.
i'~o~e,
~juin
A. mais
ABKL HuGo. Les /~e~<c/</<s'
(signé
cet
au n° 84, 5 juillet.
Abel Hugo
revendique
t. v. n" 78,
cf. la ~OM</?'e,
article)
pp. 286288.
Lettre
de V. Hugo
a Adèle
Foucher
cf.
« la /<a?tcp'e,
/.e«?'~
Le texte de
pp. 24~-242
i.) lettre prouve
avec Adèle et
qu'il est a Paris
a
non
comme
on l'a imprimé
dans les
Gentilly
Lettres
a la fiancée.
lui
V. Hugo va voir te duc de Rohan
pour
de Marieun exemp)aire
de l'ouvrage
porter
sur y</tMe (/e /c<M~Me
cf.
Joseph Trébuchet
a son
Lettre
Trébuehct
du
père,
d'Adolphe
Inédite.
8 juin.
d'Adèle
Foucher
a V. Hugo
cf. j4KLettre
24 mars
Ma/ex ~o/~tt/MM
et /!«<a/y'e.s',
')912,
272.
p.
Lettre
Inédite.
Sédition
d'Adolphe
Il parle
du
des Odes
Lettre
de V. Hugo
.'). Adè!e
Foucher
cf.
7.c~'e.s'
a la /?<ïMc<e, p. 243. Cette lettre a été
certainement
écrite de Paris
certaines
d'après
inédites.
V. Hugo
a dû rentrer
avec
parties
Adèle a Gentilly,
le samedi
soir, 8 juin.
Odes
a son père.
Trébuchet
duc de Rohan
et de la
et Poésies
diverses:
cf.
et
Poésies
diverses,
par Victor-M.
Fo.ï; <M6[6<!<
in deserto.
Hugo.
Epigraphe
Paris.
tn-8,
Guiraudet,
ij-~34 p. Imp.
Paris,
B.
n<'27~.
F., 8 juin ~822,
Péticier(~).
~4y~eH~!ce.
deux
on la retrouve
dans l'édition
ne ~sWe~M?',
(t) La ~'y'c/Mce contient
pages
pp. S-6.
24 odes et 3 poésies diverses.
Le volume
renferme
Les voici dans
l'ordre
où V. Hugo
les a placées
les
transformations
a
il
en '1822, avec
fait subir
cette époque
ou tes changements
qu'il leur
que l'on
dans l'édition
de 1828 et par conséquent
dans l'édition
trouve
ne varietur.
L
Le poète (~a/t.s- les ~euo~M<to?t4',
en 1821, mais non encore
pp. 3-8, ode composée
et
Ballades,
pp. 39-43).
(Odes
à Alexandre
En 1822, elle était dédiée
Soumet
et portait
outre l'épigraphe
d'A. Chénier
d'Horace
ad ~MOKM:
Dictus
ob /<oc <eMM'e <?'M,
tirée de t'épître
<eo/tM.
ra~M/f/Me
Voici les changements
cette
ode
a
subis.
que
Odes et Ballades,
le crime,
livide
on )isait
en )822
p. 40, 23<' vers. Quand
Python
crime,
Python
per/Me.
44 et 1S
vers
On lisait
en d822
Page 41,
Page
Sans briser
d'autres
destinées.
la
de
chaîne
tes jours
~oM/M'e
42, vers 12
Page
NexaMp~M~
42, vers 20
?'/e?: de
~'NKC/te;' d'autres
destinées,
la chaîne
de tes jours 9
En 1822
l'avenir!
a M;t jour
mortuaire.
23 et 24, et page 43, vers
Page
Que n'cs-tu né sur les rivages
Des j't&&as et des Cosroës,
d'un ciel sans nuages,
~M.'c rayons
Prophète
42, vers
Sans
~e?'
`.'
?
Ne)'aeo<t<e/j/«.s')'avenu'.
En
1822
Prophète
1
a..so/t
/teM)'e dernière.
En 1822
loin de nos rivages
Que n'es-tu
~M.'c e/MM/M où t'ët/tta Coesroës,
~Ye sous un beau ciel sans nuages,
d27 î
imprimée
une
autre
Quand
le
8
1822
8
9
./M/
une lettre
assez
curieuse
Saint-Valry
publie
cf. ~4K?!a~
sur l'ordination
du l'"juin
de la
e< des j4 7'
t. vu, livrais.
Lxxxvm.
Z!«~7'a<M~'e
A. de Saint-Valry,
8 juin 1822.
pp. 313-317.
Lettre
raconté,
tO
de Lamennais
à V. Hugo
t. n, pp. 141-142.
cf. F. Hugo
/.e.s-<!7~aK~eKCOMcoM.~c~ome;)o/!<ïque, ?Mo?'a<ee<~«cra!~e.
article
d'Abel Hugo
cf. la ~oM~'e,
t. v, n" 79, pp. 314-319,10
juin
1822
Asmodée
et
et
a
la
table
Lucifer
signé
Abel Hugo.
conte
traduit
de l'esMt6?'M!7/eMxe,
//e<o~ë
pagnoi.ArtictesignéA.H.:cf.LaFoM6~?'e,t.v.
n" 79, pp. 320-323,
10 juin 1822 (a la table
Abel Hugo).
En
43, vers 16
Mais pour l'aiglon,
fils des o?'a</M,
Page 43, vers 17
Ce n'est qu'à travers
les nuages
Page 43, vers 18
Page
Qu'il
tt.
~t'enef
1822
Mais
pour
)'aigton
fils des
nuages.
En 1822
Ce n'est
En
son vol M?'.< le soleil
qu'à
travers
les orages.
1822
Qu'il
mo;i<e
au palais
du
soleil
Odes et Ballades,
~eK~K'e, pp. 9-18.
pp. 45-S1.
dans
Ode
en plaquette,
le 25 septembre
le CoMMt'M.
le
1819,
imprimée
reproduite
Litt.,
5 février
1820.
Nous retrouvons,
en 1822, le texte de la plaquette
et du CoHM?'f.
sauf
« Ave,
Litt.,
)'épigraphe
te ~a<M<o!M< (Tacit.)
aussi la correction
6'a;s<t?', Mor!<Mt't
qui est de 1822. A la même époque
appartient
faite il l'avant
dernier
vers (Odes et Ballades,
V.
a
<eMr~
détruits
p. 51)
remplacé
Hugo
champs
par
leur temple
en ~eM!<. Toutes
les autres
sont postérieures
à 1822.
corrections
[H.
La
Les
Odes et Ballades,
Kte?'f/M de ~e~MK,
pp. 18-28.
pp. 52-89.
Ode imprimée
dans le Recueil
des Jeux
5 juin
et dans le Conserv.
Litt.
Floraux,
1819,
L'épiest
la
même
cette
des
Floraux
les
vers
de
Guiraud
n'ont
été
Jeux
1828.
graphe
que
placés
qu'en
toutes
les corrections
on) été faites en 1822
on les trouvera
en se reportant
a ce que
Presque
nous avons
dit au 8 juin
1819.
Deux ou trois vers sont
a noter.
cependant
sur ces festons
Odes et Ballades,
ces chaînes
insultantes.
p. 54, le 3e vers se lisait ainsi
Pourquoi
C'est en 1822 qu'a été supprimée
la 4e strophe.que
nous avons donnée
au 5 juin 1819.
lisait
au
vers
18.
On
encore
cœMr
~'atrotM
et
non
autre
JM~
Charlotte,
Page 58,
Charlotte,
est
de
mais
toutes
autres
corrections
sont
les
de
1822.
1828,
qui
religieuses
IV.
0<<M et Ballades,
()Mt6e/-oK,
pp. 29-38.
pp. 61-68.
Ode
lue aux Bonnes
28
à Toulouse
le 28 mars,
le
février
lue & Toulouse
Lettres,
1821, envoyée
:< mai 1821, imprimée
dans le Recueil
des Jeux
Floraux
(cf. 26 mai 1821 pour les corrections).
V.
Rétablissement
de'la
statue
de /feKW IV, pp. 39 48.
Odes et Ballades,
pp. 75-80.
Ode imprimée
dans le Recueil
des ./e:M; F/o/'atM;,
le 5 juin 1819, puis dans
le Conserv.
Litt.,
6 mai 1820.
Odes et Ballades.
des vers 18, 21, 22 ont été faites en 1822.
Page 76. Les corrections
que nous avons
indiquées
vers
En
c'est
le
du
CoM~erc.
la correction
18.
1822
encore
texte
est de 1828.
Litt.
Page 77,
est de 1822.
Page 78, vers 16. La correction
les corrections
sont de 1822, sauf le dernier
vers où on lisait
est grand,
Page 79. Toutes
qu'il
cet airain.
sont de 1822, sauf le vers 13 où on lit encore
Ecartons
tout
Page 80. Les corrections
présage.
VI.
La mort du duc <~e Z)er/'t/.
Odes et Ballades,
pp. 49-59.
pp. 81-88.
Ode imprimée
dans le Co)Me?'u.
4
mars
en
a
Un certain
nombre
~t'M.,
1820, puis
part.
tirage
corrections
sont de 1822.
el
Odes
~a/<f«/M.
81.
Les corrections
aux vers 1 et 3 sont de 1822.
Page
est de 1822.
Page 82. Au vers 3, la correction
Au vers 13, on lit encore
la voix
MtM?'MtMraM<f.
comme
dans le Co?Me?*N. Litt.
–128–
le
le
de
~822
jMW
14
Première
des
représentation
a. l'Odéon.
V. Hugo
de
Guiraud,
tainement.
~5
yt/acc/~&e'M,
cery assiste
La
~'0<a!«.
Yictor-M.
fille
Poésie,
par
cf. la FoMf<?'e,
t. v, n° 80, pp. 339-340,
Hugo
15 juin
cf. Odes
et Poésies
1822;
diverses
au 8 juin.
Abel
La
~e?'K!~?'e
a.s'.s'eMt6/e'e
des
traduit
de l'allemand
/aKM-M~.
Fragment
de Spietzz
cf. la Foudre,
t. v, n°80,
pp. 34315
1822.
.A.
H.
et
a
la table
346,
juin
Signé
Abel Hugo.
Hugo.
/te~
Saint-Valry.
cf. Annales
Wer~e
t. vn,
livrais.
Arts,
15 juin
1822.
c/'MK jeune
poète
de la ~«~'a<M?'c
Lxxxtx,
pp.
M la
e~ des
365-368,
sont de 4822.
Pages 84 et 85. Les corrections
au coeur.
le texte
du Conserv.
Litt.:
les maux que cause
Page 87, vers 13. C'est encore
vers
8 et 13. C'est encore
le texte du Conserv.
Litt.
Page 88,
VII.
La MatMa/tce
</M duc de ~oy~e~M~c,
Odes et Ballades,
pp. 89-95.
pp. 61-70.
Ode imprimée
dans le CoMse/'u.
il part.
Un seul
Litt..
21 octobre
1820,
puis tirage
en 1822, au texte de 1820. Dans l'édition
ne M/'te<M7',
il est iapagc
9,1, vers 12
<;hnnge.
isolé a rempiacu
leur trône
c'&raK/e.
corrections
faites
a cette
ode l'ont
Toutes
les autres
rieurement
A 1822.
mot a été
leur trône
été posté-
VIII.
Le &ap<<?we <<M <<MC de /~or</eaM.'K, pp. 71-82.
(Mc.f et /)a/<a~<s'.
pp. 97-104.
Ode imprimée
en plaquette,
avant
le 5 mai 1821, lue aux Bonnes
Lettres
le 4 mai,
!e
imprimée
18 août 1821, dans
CoM?'oKMe de cyprès
pp. 115-122.
et de roses,
par Robert,
Voici les différences
existent
l'édition
de
1822
et
Fédition
Me M<M'<e<M?'.
entre )
qui
Odes et Ballades.
Ou va-t-on?
la nuit perfide
dans
on lisait en 1822
On marchons-nous?
dans
Page 98, vers 1
l'ombre
vide.
Vers 8
Les troupeaux
c/tNMeK<
les pasteurs:
on lisait
les troupeaux
les pasteurs;
/bM< fuir
Les <MK&rM sans cercueils.
on lisait;
les .~)ee<e.s'
sans cercueHs
sur
veillent
Page 100, vers 6
son berceau.
Voici les deux
textes
Page 102, les vers 12, 13, 14 ont été changés.
7')'t!e.
autel, e/ta?'<&<, lois. t.o;nber sous une épée
Les vertus
sans honneur,
les forfaits impunis
Et lui, des vieux
o'OMM cherchait
l'ombre
sublime,
1828
sur
Page
102,
Page 104,
toi versera
Et le <t'dMe et la Croix,
tomber
sous une épée
Les vertus sans soM~t'e/t. les forfaits impunis
Et lui. des chevaliers
cherchait
)'ombre
sub)uue,
et 1880.
')822.
vers 17. En 1822 on lisait
au lieu de </OM?'</e voyageuse.
CoM/)e voyageuse
vers 2 Quand
surtoi
)'huiie
austère
Quand
<'M~Mf
~f/j<KM<K
remplace
l'huile
austère
(1822).
le /)r~?'e
IX.
Odes et Ballades,
Vision,
pp. 83-93.
pp. 105-110.
Cette
ode a été composée
avant
le 13 mars
V.
devait
la lire ce jour-ta
1821,
puisque
Hugo
lionnes
Lettres.
Elle a du être imprimée
)a
Ire
fois
dans
cette
édttion
de
1822.
pour
Cette ode était
dédiée
en 1822, comme
d'ailleurs
en 1828. a M. le comte
de Pons,
Gaspard
cace qu'on
ne retrouve
Kg Ma;'te<M~
it y a quelques
à signaler.
plus dans l'édition
changements
Odes et Ballades.
vers 2
Page lOti,
/Me.!eeK~
dans
Page
10H,
dernier
On
la nuit
vers
nu dans
En
ma
en
dédi-
1822
/<e<OMt'/te dans la nuit
profonde,
nuit.
Qui mette au ciel la sombre
Page 107, vers 8
Et la roue, aux /?amMM bruyantes,
Page 107, vers 16
Te voilà
lisait
aux
profonde,
1822
Qui ~MM/e au ciel
la sombre
nuit,
En 1822
Et la roue,
aux
traces
bruyantes,
En 1822
Te voilà
présence,
nu sous
ma
présence,
–129–
<7el
1822
,/M~
15
Les Odes
et /'oesi!'e.s' <~e~e.$
de V. Hugo
sont annoncées
du
de France
par la ~a~e~e
15 juin 1822.
17
de V. Hugo de Gentilly
a Paris:
cf.
Voyage
/.c~/?'
à /<<a?tc<e,
17 juin,
p. 244.
V. Hugo asssiste,
sans
a une pièce
Adè)e,
de théâtre
une lettre inédite
d'Adèie,
(d'après
21
du
H s'agit
juin,
vendredi).
probablement
dont la première
des~/<yce/<a&<;e~,
deGuiraud,
a eu lieu le 14juin.
représentation
19
Page
Page
109, vers 2
Un roi bon,
Lettre de V. Hugo (Paris)
Adèie
cf. /.e«?'M
à /M lancée,
p. 244.
Foucher
En 1822:
une belle
109, vers 14:
~/o?i .<M!<
propice
Un roi
reine.
sage,
une grande
reine.
En 1822:
ou terrible,
C'est
moi dont
le xoM/~e ;HOi4'!&/e
X.
Odes et Ballades,
~;<o~.a/My'<e,
pp. 93-101.
pp. 111-116.
Cette ode a. été composée
en mars
en
le 6 avril 1822.
1822, imprimée
plaquette
Voici les différences
entre
l'édition
de 1822 et l'édition
ne cctyte~Mr.
qui existent
Odes et Ballades.
vers 10. Et dans leur gloire
Et dans
Page H2,
t'M~t'e, CH <<Mas~re féconde,
remplace
et
leur
t??:??to?tde.
gloire
M/)M/'e
grandeur
Vers 13. ~a~Mere,
de lois affranchie,
De ?:o~OM~'
de lois affranchie.
remplace
vers. Qui livre au méchant.
le pervers,
Page 113, dernier
remplace
qui livre au méchant
/:erMcr6'.
US.
Les 6 premiers
vers ont été transformés.
Page
Ses aigles,
sous vingt cieux pa?'eMees,
qui volaient
de ses longues
~M nord.
années
Guidèrent
l'immense
appareil
Mais là parut l'écueil de sa course hardie.
Les peuples
un sanglant
incendie
sommeillaient
Fut. i'aurore
du grand révei)
d828-d880.
Vers 8.
voulut,
/'aM<o?Ke ennemi,
remplace
Les vers 21, 22 et 23 ont été transformés.
Voici
Des <)'t!neA' restaurés
écoutant
la /<!M/a!'e
Il brillait
de loin comme urz phare,
~o/:<r<t~
&?'a!<
l'écueil
/'ecMe!7
eowMe
OM
/iaM<o/:n!e?'.
MMp/tare.
Voici
XI.
Cette
nos
Quand
villes.
ce bruit
les
sous vingt cieux ses aigles joarMmee~,
Rappelant
Le nord de ses longues
armées
Vit venir )'im)nense
appareil
Mais là parut l'écueil de sa course hardie.
Et le jt)Ao?'e .<aMueMt- d'un grand
incendie
Fut l'aurore
du grand révei)
d822.
Voulut,
les 2 textes
Tous
éclata
leur
les 2 textes
faible
spectre
ennemi.
ses pas dans son ile e&a;t~a/e<t<
nos ntMro:7/e~.
Exil~ des champs de batailles
Il ~e
/<
se <Mt'uiMa!<
6<e~ e/ta~/M
<OM<e/t</er.
</e&a/a<«e.!
1828-1880.
Vers 24. Il mourut
ce bruit
accoM/'M< vers
17
i822.
dans
nos
villes,
rempiace
)) mourut
Quand
La
ode
et la /~M-pe,
Odes et Ballades,
Lyre
pp. i03-m.
pp. 251-255.
a été composée
en avril 1822, du 21 au 24, d'après
les Catalogues
no 377, et
C/ts~'acay,
cette édition.
Elle a été reproduite
dans les ï'M&/e«e~
de
imprimée
pour la Ire fois dans
romantiques
48-2)
texte que l'édition
de 1822).
1823, pp.
(c'est le même
En 1822. il n'y a pas de dédicace
a Lamartine.
On la trouve
en d828. Remarquons
en passant
que
la 2e épigraphe
aux
Actes
des
a
été
V.
Au
lieu
de
empruntée
Apôtres
arrangée
par
Hugo.
~'<cœat<
dabat
4e
Et eœ/MrMM< loqui
t~artM
/Mloqui,
/~y'OMf -S'/jtr/<M.s- Sanctus
e/o</Mt, on lit, ch. 2e, verset
Sanctus
dabat
illis.
guis ~rOM< 6't<M~
e/O~Mt
Trois corrections
seulement
ont été faites n) l'édition
de 'i822
Odes
et Ballades.
16
ton maître,
a d'un signe
austère
252, vers
Dieu,
a
Page
remplace
Dieu, ton maitre,
d'un bras austère.
le monde
Son être emplit
Page 253, vers 4: Son être emplit
remplace
l'espace.
255.
vers
Et
18
frémit
de
l'éternité
Et
frémit
sous l'éternité.
Page
remplace
XIL
Moïse
sur le Nil, pp. H3-')20.
Odes et Ballades,
pp. 257-261.
Cette ode composée
en février
1820 a été imprimée
vers le 5 juin
1820 dans
le Recueil
des Jeux
Floraux.
En 1822, V. Hugo n'a fait qu'un
en
la
changement
réimprimant.
Odes et Ballades,
dernier
vers
Chanter
les
Monter
les
p. 260,
lyres éternelles
remplace
lyres.
~30-
1822
20
21
22
./M/
Abel
-Lc.s' .«cc/:a'6<'e.
en
Hugo.
tragédie
5 actes,
M. Alexandre
Guiraud:
cf. la
par
t.
20 juin
FoM~'g,
v, n"81,
366-368,
pp.
1822,
signé A. H.
Ze <oMt&eaM e~M ~e?t<~e'eM
ZM~'a/j/t:
cf. la /OMf<?'e, t. v, n" 8i, p. 369, 20 juin
1822,
signé J. A. et à la table Abe) Hugo.
à propos
Entrentet
de la /Vo<«,'e 6'M)' .4M?«*
de ~?'e<a</Ke,
Trébuchet
cf.
par Marie-Joseph
21 juin
1822.
la ()MO~!eK/te,
Cet entreutet
est de Victor Hugo ou de l'un de ses frères.
Entrefiiet
d'A. Hugo
Y. Hugo
par
des
à Adèle
Deux
lettres
de V. Hugo
(Paris)
Foucher
cf. Lettres
à la fiancée,
pp. 245-246.
V. Hugo malgré
t'en-tête
de la lettre
écritcette
il doit
rentrer
tous
lettre étant, a Paris,
mais
a
les soirs
a Gentilly
et remettre
ses lettres
Adèie.
sur
les 7!o/MaHce.s/t~<o?'«yMC.s'
et les Odes
e< ~'o6.'<ps </ï'Hf?'s'
de
cf. la ()Mo<«/~eKMe,
22 juin.
XiH.
Le Dévouement,
Cette ode,
composée
Ancelot,
qui remplace
ye?<a: Floraux
(cf. le
Odes et Ballades.
Page 265, vers 6. Au
Les vers 12 et 13 ont
Le monstre
l'une
t) les trame
Odes et Ballades.
pp. 121-129.
en décembre
1821, a été lue ie !) avril
V. Hugo,
puis le 3 niai 1822 aux Jeux
25 mai,
pour les corrections).
lieu de
Et i'étreint
<<aK~ ses
été refaits.
Voici les 2 textes
à l'autre
ses victimes
enchaîne
aux menées abtmes
bras
Sous
pp. 263-269.
des Bonnes
Lettres
1822, à la Société
et imprimée
dans le Recueil
Floraux,
hideux
on
mille traits
Le monstre
lisait
Et, i'étreint
amis. par cent nœuds
enchaîne
ses victimes
1828-1880.
Page
267,
vers
8
7)MHS ce monde
<<e.
légitimes,
1822.
A'/e't/e
remp!acc
6'M?' ce ~<o&e d'argile
(1822).
A r~ca~MHM
des YeMx Floraux,
Odes et Ballades,
pp. 131-134.
pp. 271-272.
la
date
donnée
l'édition
Me
a
été
au
moins
en avril 1822,
ode, malgré
par
M<e<M/
composée
fut iue il Toulouse
le 3 mai.
puisqu'elle
il l'édition
de '1822, M. GusTAVE S)MON(//e;t/aMce
de
L'édition
Me ua/'te~ur
est identique
//M</o,
de
la
272
en
modifiant
un
vers.
Le
manuscrit
p.
peu le dernier
peut-être
p. 197), cite la 1'~ strophe
modification.
Au
lieu
de
Et
fait
asseoir
dans
vos
il
écrit.
Et
fait
asseoir
à
cette
banquets
porte
vos banquets.
XIV.
Cette
XV.
Le Ge'Mte, pp. 13S-I45.
Odes et Ballades,
pp. 273-279.
a
1820
l'édition
de 1828. en juillet
l'édition
Cette ode
été composée
en juin
1820 d'après
d'après
a cette date
E!)e a été imprimée
dans
ie Conserv.
Zï«.
le 5 août
1820. En se reportant
Me varietur.
t'état
de cette ode dans l'édition
de 1822.
on verra suffisamment,
croyons-nous,
XVI.
La Fille
Odes et Ballades,
d'Otaïti,
pp. 147-1SO.
pp. 281-283.
dans
les
Annales
de lit At«e/Y(<Mre
et des
Cette ode a été composée
en janvier
1821,
imprimée
le 7 avril 1821, sans épigraphe
Arts,
(voir a cette date les autres
réimpressions).
de 1822, V. Hugo avait
mis comme
Ë'eoM<e~ /M~eMMe/ï<ï/tee'e
Dans l'édition
épigraphe
qui pleure
Ballade
de
est de
est
d'Arven.
tirée
de
/)o/07'!<<a
d'Alfred
délaissée,
L'épigraphe
Vigny
/w.7'ee qu'elle
dans l'édition
ne uf<We<Mr, il n'y a que des différen1828. L'édition
de 1822 est exactement
reproduite
ces de ponctuation
qui ne changent
pas le sens sauf pour le 1< vers de la p. 283 (<Me.f et /</a~e.s').
<M veux
On lit en 1822
partir
aux MOM~, etc.
XVII.
~'7/omMte
~M/'eM~,
pp. 151-153.
cette
ode
Odes
et Ballades,
mais
composée
pp. 285-287.
c'est
évidemment
fut
On ne sait
à quelle
époque
juin 1822.
un peu de l'édition
de 1822 diffère
ne t!r<te<M7'.
L'édition
Sur
vers 4. Au lieu de
un lit aux pieds de vermeil
on lisait
Page 286,
orne mon lit de vermeil.
la p. 287 n'existait
la p. 286 et-cornmence
qui termine
Page 286. La strophe
la trouve
dans l'édition
de 1828.
3.
Au
iieude:
on lisait
en
vers
tes/e~MKM
def'Ëurope.
Page 287,
avant
en 1822
pas
1822:
le mois
La pourpre
en 1822,
les
pp. 157-161.
en février
1821,
Odes
offre
et Ballades,
pp. 343-345.
en 1822 le même
texte que
–~3~–
l'édition
maison
beautés
l'Europe.
XVIII.
Le Regret,
Cette ode, composée
de
He tw:e<M?'.
de
21
1822
~M<~
22
.L de Rességuier.
Clémence
Poésie,
Isaure,
ode
cf. ~4HHa/~
de la ~'«e~~M~'e
et des
xc. pp. 406-407,
22 juin
~4?'/A', t. vu, livrais.
1822. I! consacre
dont
quatre vers n V. Hugo,
H fait )'ë)oge.
24
d'AHssan
de Chazet
au ministre
de
Rapport
la maison
du Roi.
11 lui envoie
les Odes
e<
~'o~.s'<He?'~e~
de V. Hugo et demande
pour
lui une pension
cf. (JAmuKL VAmm!«(,
~VoM15
mars
273-274.
1909. pp.
?~/e~e<;M<
25
Entrefiiet
très
sur
les
éfogieux
Poésies
« L'auteur,
~/uc?'.s'M
qui
« encore
atteint
sa vingtième
année,
« pris place parmi
les poètes
lyriques
« célèbres.
)) cf.oK?'Mf</
de Paris,
1822.
2<~
Odes
et
n'a
pas
a déjà
les plus
25 juin
Annonces
des Odes
el Poésies
diverses
de
V. Hugo et des /<oMtMHCM historiques
d'Abe)
cf. l'Eloile,
26 juin
1822.
Hugo
XIX.
~)K vallon
de CAer~y,
pp. 163-169.
fut composée
en juillet
1821. Les
Cette
ode
même texte.
Odes
éditions
et Ballades,
pp. 347-350.
de 1822,
J828. 1880 donnent
A toi, pp. 171-177.
Odes et Ballades,
pp. 351-354.
Ces vers furent
a Adèle le 45 décembre
182)
leur composition
envoyés
bre ou décembre
1821.
Trois petits changements
seulement
sont à signater.
Odes et Ballades.
Voici les deux textes
Page 352, les vers 12 et 14 ont été refaits.
absolument
le
XX.
Sombre
Avec
au lieu
un rire
Page 353,
La iumiere
du bonheur
que j'avais
affreux
tu
le vers
13 a été
à jamais
ma)heur
tant
reue.
Sombre
~'M< ~eue
lui
ne me fut
Avec
au lieu du
un rire
affreux
remonte
bonheur
donc
que ma /o</e
te malheur
à novem-
a cru
a M?'M
1828-1880.
aussi transformé
1822.
La lumière
point ravie
1828-1880.
à mes yeux
~'a /)f)«t< été ravie
)822.
XX!.
La C/taKt?e-6'oMrM,
(Mes
et Ballades,
pp. 179-185.
pp. 355-337.
Cette ode fut composée
en avril 1822 et imprimée
la
Ire
ibis dans
la présente
pour
édition,
puis
un mois après
dans la /OMo're
du 5 juillet
1822.
reproduite
lisons dans t'édition
ne Ma?-?'e<M/' est de 1828. En 1822, on lisait à sa
L'épigrupite
que nous
place
la phrase
suivante
Fille
de la nuit
fo/e.<M
67-K?Ke<Me, /;OM~MO!
ainsi
sur Ma tête avec
tes ailes
MOM'M et froides
Edda.
Un seul vers a subi un petit changement
Odes et Ballades,
~«tre
vers, au lieu de
on lisait
p. 356, au dernier
par la ,gloire,
~Hpe~afMla vie. Cette correctiou
doit être de 1828.
XXH.
Le 7VM~<
en avril
Composée
aucune
retouche.
pp. 185-188.
1822, imprimée
Odes
pour
et Ballades,
la Ire fois
pp.
dans
359-360.
la présente
édition,
cette
ode
n'a
subi
XXIII.
Le CaMC/tfMar,
Odes et Ballades,
pp. 189-192.
pp. 361-362.
Ecrite
en avril
ici pour <a Ire fois, cette
1822, imprimée
ode avait
trois épigraphes
dont deux ont
en
1828
sa tête e'Moy-Me et rit.
disparu
somnia,
Aegri
HoRAT, et 7/ soulève
CH. NODIER, ~?Kar/-a.
V. Hugo a fait deux corrections
à l'édition
de 1822. On s'était
du dernier
vers
beaucoup
moqué
de la p. 361 (Odes et Ballades).
On lisait en effet:
Tant6t
d'une eau morte
il traîne
son corps
bleu.
)) l'a remptacé
celui que nous
lisons
maintenant
yaHM<
<<'MMc eau dormante
par
il lève son front
est de 1828). Le 10e vers de la p. 362 a été retouché
6<eM
(la correction
La nuit d'un
pas léger <OMche ton front
a été remp)acé
La nuit d'un
vermei),
sur ton front
par
pas léger court
vermeil.
132
1822
./<«'/<
30
Juin
A'e'CM~<i\'ouvene.
cf. la /~M~c,
Hugo
30 juin
<822.
C'est
RM/rf<t)M
juillet
Abel
t. v,
des
Entrefilet
des jLe«re.'< C/«t/M/)Oï6'M
a prode V. Hugo sur .Ro~a/e
et
pos de l'ode
de ses Odes e< Poésies
(/<M/s'e.scf.
propos
t. )x, lettre
74..
Lettres
C/taH~e"~<A'e.s',
ou
juillet,
Juin-
la table
signée
n" 83. pp. 415-419,
un lointain
croquis
S. F. sur la notice
~4/tMC </e
signé
de Trébuchet.
à peu près
C'est
le
~re/H~He,
texte
article
du
./oM?'/ta/
même
de
que
la signature
~Vf<K<e.s' du 5 juillet
~822, portant
ou
S. F. Cet article
est d'Adolphe
Trfbuchet
S. F. équivaudrait
alors
a Son
des fils Hugo.
cf. ~.c«~.sFils ou Ses Fils
C/t«?M;)e<iO!s'e~,
t. ix, lettre 75.
Article
./?«7/<'<
Juillet
?i
`??
Soumet
obtient
une pension
de 1.000 fr.
de plusieurs
couron« comme
auteur
poésies
« nées par l'académie
et vivement
française
de toutes parts
M (jA~itKL VAU« recommandé
i5 mars 1909,
7VoM~e//e /Me,
rmEK,
p. 274,
note.
Victor-M.
.Poe'.s'/e. ~<
C/taMUë-6'OM?'
par
t. v), n° 84, pp. 18-19,
cf. la Foudre.
Hugo
1822. (Voir (Me.f
~822.
Odes p<
el jooe'.s'~
5 juillet
diverses,
(/<M?'e~
poésles
5
jutHet
8 juin 1822).
Lettre
de V. Hugo
à sou père
cf. Co?'
cf. Pi~tHE
pondance
~~5-~5.5,
66-167
pp.
35-37.
Ce
DupAY, V. T/M~/o à vingt
ans,
pp.
dernier
la Co?'yMpon<<a?)ee.
complète
ouvrage
XXIV.
Le ~a<tH,
Odes et Ballades,
pp. 193-196.
pp. 363-364.
fut
en avril
ode
(tans
cette édition
1822, cette
Composée
imprimée
mais
ne
l'a
retouchée
deux
vers
ont
été
transformés.
V. Hugo
pas
depuis
vers
1 et 3.
0</(M et Ballades,
p. 364,
Un soleil
Sur
aussi
beau luire
u~on tombeau
a. ton désespoir
muet
Luire
et noir
a tes yeux
Sur mon
noir
pour
des
odes
se trouvent
en
pleurs
et muet
H.
le texte
diverses
avec
cette
~'<a<~
7<«e:
aux
donné
Jeux
Du sang
pour
le reste
au ~i juin
1819.
En
1828,
aussi
épigraphe
beau
tombeau
/<ïC!M
et 1828.
MOH. OMt?t<6;M
cf.
t. n. pp. 263-270,
mais le
pp. 199-209;
7/M.f/o )'f/.eo/t<e,
dans F. //M.yo )'acoM<e,
Le premier
commence
pp. 264-265.
par
et voici le dernier
/)eMiat?t. MM/'M <OM< OM&/të. Voir pour
cette
c!t;M~<yMe ?to<a?M<t A'MH< tibi MO/'M, //or~<.
Floraux.
Voir au 5 juin
1820.
U).
/jM /)e7'M!e/
cf.
Bar<<e.<, pp. 219-232;
7/M.~a /'acoM<e,
vers ont été négligés.
Ainsi on ne trouve
Certains
pas 24 vers
Ire et le dernier.
Tu nous braves comptant
sur ta nombreuse
Voir
un soleil
1823
les Poésies
L –~ay~KOK~
d'~scoH.
Elégie,
26
vers
poète a négligé
que l'on trouve
Les <<MM~c~oM/'A' OH< /'Mt.
ces mots
au S juin
1820,
poésie
fois.
°
1880.
A la suite
MM~t (Ovide).
la 1"
des
héros
morts
pour nous.
pp.
211-217.
V. ))ugo
t. i, pp. 271-283.
lit p. 280-281
qu'on
tu'mcc
a réimpritné
dont
voici
le
Il.
VMt//e<
1822
5
CM eyt/f?'
Abel Hugo.
~/M !?t~?'?'o~M<ou'c
3 juillet.
t. vt, n" 84, pp. d5-17,
cf. la /OM<e,
mais le contenu
indique
qu'il
signé Asmodée,
est d'Abe) Hugo.
a Adèle FouDeux lettres
de V. Hugo
(Paris)
cf. /.e</?'e.s à la ~a~eee,
cher
pp. 247-250.
5
Deux lettres
de V. Hugo à Adèle Foucher:
a la fiancée,
cf. Lettres
pp. 251-252.
)t lui donne
Lettre
de V. Hugo à son père.
sur
sa position
et la
des
détails
intimes
fr. que te roi lui a accordée
de 1.200
pension
n" 200.
cf. Catalogues
C/~raray,
13
Article
du yoM?'/<a/
de A~</t<es, sur Trébudes /.c«r~'
C~a?Hsemblable
à l'article
chet,
')822 et a celui des
~eHOt.s'e~, de juin-juillet
d823.
AMKM /~?'M'ï'gKMes
du 3 avril
9
a V.Hugo:
cf. ~/tLettre
d'AdèieFoucher
24 mars d9~2,
M<!<e~ po<!<i!'f/«~
e< <:Me?'a!'?'<
p.
X)
272.
Ahe)
Hugo.M<0!eco?!~M~o?'a!'Me.
cf. la /oM<e,
t. v~, n" 85,
/M:«e<
'10jui!!et~822.
Entrefilet
de V. Hugo
t'ot/e,
~2
~4
sur les
é!ogieux
et les ~faec/<a6ce.!
Odes e< .PoMï'<?.<;
de Guiraud
cf.
~juit)et1822.
a V. Hugo
cf. AnFoucher
24 mars 19~2,
e< ~<e'7'?'<
272.
le recueHd'Me.s'de
EntrefHetetogieuxsur
V. Hugo a jeune homme
d'une
si haute
espérance ))
cf. -/OMrMa/ des Z)e'6a<.s', ~4 jui))et
est peut-être
de Lamennais.
<822. Cet article
Lettre
1)i
pp.
A.Hugo.
Lettre
d'Adèle
Ha/~
po/<Me.sp.
~M!<
25-29,
d'Adolphe
Trébuchet
Nouvel
entref)!et
ou ptutôt
teur des
0</M de V. Hugo
d822.
/)<'<)~.f, ~6juH)et
à son
père.
de !'édiannonce
cf.OMy'Ha<
des
une
de
favorable
pension
Rapport
pour
fr. demandée
~200
par Hugo et Soumet,
rapla
demandée
ne
reçut pas
port qui
signature
cf. GABttiKL VA)jTH)!<n.VoM!e7~M<d5
mars
~909, p. 274.
20
20 au 25
de
sur
les
Artictc
Saint-Valry
/oeA'!e.s' </tue/e~
de M~ V.-M. Hugo
Ma/e~ de ~H Z.!«e'?'~<M?'6 et des Arts,
livrais.
xcfv, pp. 65-70.
Lettre
du généra!
a
Hugo
nant une lettre
à M. Foucher
main d'Adèle.
L'existence
de
par !a 6'o?'?'e.~oKf/aMce
prouvée
un
67-168.
On en trouve
pp.
P.
de )a réponse dans
fragment
t. x, pp. d45-146.
23
Lettre
d'Eugène
Hugo
chet
cf. ~4~/)fK</)!'ce.
30
La/'OM<
(t. v.,
fait )'é!oge de
juillet)
artic!e
sur la /~o~<e,
à son
Odes
et
cf. ~4?tt. vti),
conteVictor,
demandant
la
cette
lettre
est
~~5-3.5,
avec
fragment
/7M</o ?'a<oM<e,
oncle
Trëbu-
no 89,
Victor
30
~25-~29,
pp.
et d'Abet
Hugo,
Le Béqui!)ard.
signé
–~34–
Lettre
Lettres
de V. Hugo
à la Fiancée,
à Adète
Foucher
pp. 253-254.
cf.
18
20
Lettre
de V. Hugo à J. de Rességuier
cf.
cf.
~a-~3o,
29-30;
C'oy~~o7~aKce
pp.
E. BMÉ,
V. Hugo
avant
1830,
pp. 253-254;
cf. A. PRAVIEL,
~/e?'CM7'e de /?'aHce,
décembre
1902, pp. 599-600.
Lettre
Lettres
de V. Hugo
à Adèle
à la fiancée,
p. 255.
de V. Hugo à son père
1815-1835,
juoHa~Mce
pp. 167-168
DUFAY, F. Hugo à vingt
ans, pp.
le texte.
compléter
Lettre
cf.
23
Co~'e~cf. PiERRE
26
Foucher
cf.
38-40,
pour
1822
~o~<
40
Lettre
d'Adète
HM/e6'~o<<<MeA'
pp. 272-273.
a V.Hugo:
Foucher
cf.JMet <!«e?'aM'e.s',
24 mars 4942,
Lettre
de V. Hugo
a Adè!e
Foucher
/.e~'es
M /M /tMce'e,
p. 256.
Lettre
de V. Hugo
a Adète
Foucher
Ze~'M
« <M /?a?tce<
pp. 257-238.
Lettre
de V. Hugo
à Adète
Foucher
~.e/e.sM la /<aHce'e, pp. 259-260.
La V~OMf/rp contient
une ode de E. Michctet,
<< 7 ./<««e<
à ~«~<<.
Deux
Z<OM/'Ke'e
vers
de ()«~f.)t
de V. Hugo
servent
d'épigraphe.
43
46
273.
a V. Hugo:
cf. ~t/t
Lettre
d'Adète
Foucher
24 mars 4942,
?~<<e.! po<<<z</Me.s' et <ï«e'~(M?'
p.
273.
décerne
La société
d'émulation
de Cambrai
a Abel Hugo
son ode sur
<«
un
prix
pour
6a<Mt~P ~ë Z)e7KÏ!'t!
cf. le ./OK7'/M< </ë /'«?'<,
cf. le ~/oH!<eM?' <7M<Nc?'.s'e/, 27 août
26 août
cf. )'~o<<e,
29 ao&t.
20
a V. Hugo:
cf..i/tLettre
d'Adete
Foucher
et <ï</e'?'M<c.s', 24 mars 1912,
?tH<e.s- ;jo/<~ueA'
donné quelques
Hgnes
p. 273. Ou a simplement
de la tettre.
2)
son brevet
V. Hugo va au ministère
pour
cf. /.e«?'e.!<~ /H /t'aKc~e,
p. 263. La 2" partie de
2~ août.
ta lettre est du mercredi
22
le ')'
numéro
est du
Le /~e</(dont
août
annonce
les Oc/e.s- et ~'06'&'<&s' <~z~822)
dans
un
entrefilet
très
uer~'eA' de V. Hugo,
étogieux.
24
25
5
cf.
7
cf.
8
Lettre
a V. Hugo
cf.<
/tLettre
d'Adète
Foucher
24 mars 4942,
Ma~e~ y.'o/ï<t</Me~e</<«e'?'f/<e.s',
p.
cf.
de V. Hugo à son père
cf. Co?'?'e.s'469-470
et pour
~o/t(/a/t<;e~~5-35,
pp.
Pitsmu! DuFAY, t~. /7M~/OM m/t~/attx,
comp)éter
pp. 41-42.
Lettre
de V. Hugo
à Adèie
Foucher
cf.
Ae«7'M « /a /tf/Kce'e,
pp. 262-263.
43
de V. Hugo
à Adè)e
Lettre
Foucher
cf.
~eM?*e.s' à la /t<7Kce'e, pp. 263-264.
Les deux
lettres
sont sur le même
papier.
Lettre
de V. Hugo
à Adèie
Foucher
cf.
7.e~7'<
à la /<fmee'e.
La 2" partie
pp. 265-266.
de ta lettre,
à partir
c'est-à-dire
du 2" atinéa,
est. du mercredi
24 août.
44
Lettre
jLe~re.s'
Foucher
cf.
22
de V. Hugo
a Adè)e
Foucher
<a ~/?ice'c,
pp. 268-269.
cf.
2:<
à Adèie
de V. Hugo
Foucher
cf.
à la /taKce'e,
pp. 270-272.
Adèle Foucher
Deux lettres
de V. Hugo
cf. Ze«?'e&- à /M /ta?tce'e,
p. 273 et pp. 274-275.
2<i
Deux lettres
de V. Hugo
cf. ~ë~y-~
à /H /taMM'e.
p.
Deux lettres
de V. Hugo
H la /tH/~<'e,
cf. 7.e«/'e.s'
279-280.
28
Lettre
Ze<~e.s'
de V. Hugo à Adè)e
à la /ta?t<e'e,
p. 267.
20
cf.~MLettre
d'Adète
Foucher
a V. Hugo:
e< /!«<'?'HM'c.s', 24 mars 19~2,
MM/es joo<ï<;</M<
n'en
citent
et y
p. 273. Elles
qu'une
phrase
allusions.
font de nombreuses
Ch.
Légion
M.
Nodier
est
d'Honneur
nommé
chevalier
de
cf. )'~7oï~,
25 août.
la
27
auteur
d'un
recueil
de
Hugo,
nous
avons
avec
étoges,
poésies
parte
nous
fassions
connaître
désire
que
que c'est
le
son
M. Abel Hugo,
frère,
qui a remporté
de poésie
de la société
de Cambrai
cf.
prix
Journal
de .Pa?'M, 27 août.
28
coLe
7<e'e!7
un article
de deux
publie
lonnes
sur les (Mes
et /oe'sïe.s'
</<t)<'?'.s'e.s' de
V. Hugo
de t'expresénergie
grandes
pensées,
de poésie,
sion, éctat
goût
presque
toujours
admirable
richesse
noblesse
de
sûr,
d'images,
sentiments.
Victor
dont
V. Hugo obtient
une pension
de i.OOO fr.
cf. GABmHL VAUTniEH, /VoM~<<e ~euM~, 45 mars
4909,
p. 275.
cf. AnLettre
d'Adète
Foucher
à V. Hugo
24 mars 4942,
KH~.< /)o/!<z'~Mex et //</era!?'e~,
seulement
sont citées.
p. 273. Deux lignes
Lettre
~«?'e~
a
Adè)e
Foucher
276 et pp. 277-278.
a Adè)e Foucher
et pp.
pp. 278-279
cf. Co~'Mà son père:
de V. Hugo
470-4 7d et pour
/S/5-3a,
pp.
pOK~nce
DurAY. V. //M~o ta mn.~
ans,
comptéterP~uŒ
la 6'oc!f'<e
cf. BHLTO[<e'mo!?'e6'6~e
pp. 44-46;
34
<~e.s' 6'c/eM(.'M et /,e«?'e.s'
~où'-e<-6'Ae~
mars
4902, pp. 30-34.
Lettre
d3S
27i
2')
34
~0!<<
1822
:t!
d'Adèfe
Foucher
a V. Hugo;
cf..4)tLettre
24 mars
/ta~
//«cra~'e.
<9t2,
po/<~</Me.s'c<
a huit
seulement
p. 273. On a donné
sept
lignes de cette )ettrc.
6~<e~e
1
Article
les Odes
X., sur
signé
deux
</n;er.s'eA' par M. Victor Hugo
cf. t'~ot/e,
1822.
~septembre
cf. Cor/v'.<de V. Hugo a Lamennais
/&75-~<§3o,
poyt</«Hce
pp. 30-31.
a Adèie Foucher
Deux lettres
de V. Hugo
cf. 7.e~
à ~< /?a?iee'c.
p. 281 et pp. 282283.
et ~'oe'A'
colonnes
Lettre
« l'auteur,
Article
encore ado)escent.,
éiogieux
« est au premier
et des penseurs
rang des poètes
« contemporains
observations
Quelques
trop
de choses dans un vers, trop de pensées dans une
obscurité.
froideur
allécontrainte.
strophe.
dans
les
odes
poHtiques.
gorique
2
Lettre
d'Adè)e
?<«/e<s'/)o<t<!f/Ke.s'
p.274.
9
Foucher
/</<p'7'a!?'e.
sur la ~/<a:
Entrefilet
cf. la ()Mo<«//eM?!c,
Hugo:
1
Lettre
V.
3
de V. Hugo
a .L de Rességuier
cf.
35-36
1815-1835,
Co?'re~)OH</OMC<'
p~
(la
date
d823
est fausse
le
contenu
luid'après
cf.
E.
F.
avant
.N<'),
Bnu.
//M~o
métne)
cf.
A.
~/ey'cM~
de
PitAvmL,
338-339
pp.
décembre
France,
1902,
pp. 600-602.
6
Lettre
de V. Hugo
a Adèle
Foucher
/f<
Lettres
fiancée,
pp. 285-286.
cf.
7
de M. Foucher
M.
cf.
9
cf. AnHugo
24 mars
1912,
Trébuchet:
cf.
~~p<'Mo!ec.
de
Lettre
/f<
~.e~'M
est nommé
bibliothécaire
de SaintSoumet
~c.s' ~&a<.9,
2 septembre
Cloud
cf.OM?'M<x/
de 7-*fM'!6', 13 septembre;
cf.
cf.oM?'Ma<
12 septembre
1822.
y)/oK!<<;Mr KM!'He?~<
13H
21
ambassadeur
de France
a,
a Paris
il s'en va au congrès
des Z)e&o'
13 sepJoM?'na/
Lettre
d'Adèie
?tn<ps /)o~<t</MM
cf. AnFoucher
à V. Hugo
p< <<e?'<ï!'?'e~,
24 mars 1912.
L'mc'Hac/t
</e.s' Z)aMe.! pour 1823 contient
trois
odes
de V. Hugo
La
<0<a!<t
le C'e'H!e. ode a M. le vicomte
de
(pp. 37-39),
Chateaubriand
~/0!e
SM?' le 7V!7
(pp. 47-52),
B. F., 21 septembre,
n°4272.
(pp. 113-H 7)
du
de Lauriston,
ministre,
marquis
a V. Hugo
une
annonçant
que le roi lui donne
fr. en même
de 1.000
temps
qu'a
pension
./VoMUC//e
Dorion
cf. GAB~tEL \AUTH!E)!,
TP~MP,
15 mars
1909, p. 275.
28
cf. AnAbel Hugo.
La &a/<tt7/c f/e Z)e?<a!M
/<H<e~ de la 7,<<<M)'c
et </e.s' j4?'<s, t. V)H.
A. Hugo.
28 septivrais.civ;
pp. 383-389.
1822.
tembre
5
13
45.
de V. Hugo
à son père:
cf. Cor?'Mcf.P)):nnE
~5-~35,
poKo'aKce
pp. 173-175;
F. /~Myo à vingt
DUFAY,
ans,
pp. 49-52,
qui
la
complète
6'or~~jooH~Mce.
18fi
de V. Hugo à Adolphe
Co?-?'M/<oM~Mee
~~5-35,
23
Lettre
274.
Lettre
a Adète
Foucher
Hugo
/!a;?tc<M, pp. 286-287.
cf. Corresde V. Hugo
à son père;
cf. PiMutE
/jo?!~aMce~5-7~35,
pp. 172-d73
47-48.
JI
ans,
DupAY, V. T/M~o à vingt
pp.
rectifie
une faute
de la Co?~'M/)OMa!c!ncc
cf.
de la Société
des Sciences
BELTON, dlénzoires
31 mars 1902.
et Lettres
du
Zoù'-e<-C/<er.
p.
25
V.
Lettre
Chateaubriand,
Londres,
arrive
de Vérone:
cf.
tembre.
p.
de
Lettre
</e /)f7:a!!7td'A.
9 septembre
1822.
2
V. Hugo
a Adolphe
Trébuchet:
cf. C'M'e~)OM(/a~tce
31-32;
1815-1835,
pp.
26 mai 1886.
cf. 7'ya?'o,
a Adèle
Lettre
de V. Hugo
Foucher
cf.
à la /ta/ice'e,
Lettres
pp- 284-285.
Lettre
Lettre
d'Adèle
Foucher
a V. Hugo
cf. ~MMM/e.! ~o<!<t~Me.s- (?< ~<«e?'a!?'<'6', 24 mars
1912,
au
commencement
de
la
p. 274,
page.
ti-7
l
Lettre
Trëbuchet
pp. 31-32.
cf.
Lettre
de V. Hugo
a son oncle,
le colonel Septemb.
Louis Hugo, aTuHe:
cf. PfE~HM DnFAY, F. ~My~)
f/ vingt
en cite deux
ans,
pp. 57-58.H
fragdu colonel
il
ments
dans une lettre
son
Hugo
frère le général,
du 9 octobre
1822.
<3S–
1822
6'e/)/e?M6?'e
29
tout
un rez-de-chaussée
Méty-Janin
publie
de huit
colonnes
sur
les Odes
et
Poésies
de V. Hugo.
H fait quelques
~e.scritiques
et sur la nouvelle
sur la préface
école. Mais
on rendra
à de hautes
ju tice à l'auteur
appelé
destinées
cf. 0MO<«/<eKMe,
29 seppoétiques
tembre
1822.
29
de 0 Mahony
Article
dans la /<'oMf/y'<?, t. vt,
n" 401, p. 383, ainsi daté
29 xey~eMt6?'e
Paris,
~S~(l).
Septemb.
Les~p«rMC/<a?M~e;to:
(t.fx,)ettre8~,
contiennent
un
entrefilet
sur !:)
pp. 265-266)
notice
Elles
.4Mned'e~'e<a~nede'rrébuchet.
annoncent
comme
la 2~ édition.
prochaine
Puis
vient
immédiatement
a
266
après
(pp.
sur
les Odes
et /06's<e.s'
272) un long article
</«;e~c~
de V. Hugo,
article
bien
fait
et très
A. V.
serait-il
d'A)fred
de
étogieux,
signé
Vigny?
Annonces
des
Odes
et Poe'~ïes
diverses
article
aimable
de I'~tpo</OH,
t. t, livrais.
vx, pp. 174-178.
p. 120 et livrais.
et
tv,
Oc~o~'e
5
Abel
ou le Po:Kï?'<
C~'ue/t
nouHugo.
velle
cf. la /OM</?'e,
5 octobre
1822, t. n.
n" 402, pp. 18-d9,
signé A.
Paris
se rendre
Chateaubriand
quitte
pour
au Congrès
de Vérone
cf.oM?'a/
de /~?'
7 octobre
~822.
Lettre
pour
~M~
de V. Hugo
lui annoncer
a Lamennais,
son
mariage
n° 220.
C/:a?'aM?/,
Cette
lettre
avec celle du
Correspondance
fait
icr
<toub)e
septembre~
~5-~M~,
la Chênaie,
cf. Catalo-
d
emploi,
semble-t-il,
trouve
dans ]a
qu'on
V. Hugo
pp. 30-3t.
de 0 Mahony
mérite
mention.
La Foudre
est censée
le
(1) L'article
plus qu'une
simple
composer
n" du 29 septembre
'1842. A. de Beauchamp
célèbre
dans un tableau
du
l'anniversaire
historique
29 septembre
date
de
la
naissance
du
duc
de
Bordeaux.
Le
comte
0
rend compte
de la
1820,
Mahony
du 27 septembre
séance
de l'Académie
1842.
De nombreux
immortels
sont morts;
de
libébeaucoup
raux
la vie;
ont
sont
perdu
François
Jouy,
Aignan~NépomuceneLemercicr,
natif
de Neufchnteau
les
victimes.
De
vrais
les
ont
Lamartine.
V. Hugo
Lamennais,
Nodier,
royalistes
remplacés
parmi
n'a pas encore
été jugé digne
d'entrer
dans
l'illustre
assemblée
s'est
trompé
(0 Mahony
puisqu'il
y
On )naugure
la statue
entra
en 1841).
d'abord
du comte
de Muistre
l'Académie
de
n'avoir
que
regrette
au nombre
de ses membres.
Bona)d
fait son é!oge.
Le cardina)
de Bausset
découvre
la
pas compté
« Le secrétaire
a
statue.
ensuite
donné
lecture
de
la
couronnée.
Le
perpétue!
pièce
sujet
indiqué
le
duc
de
Bordeaux
lui-même
était
La
considérée
cowMe
A'OMrce
des
7'e~.</tOM
« par Mgr
<Mtt'oMe
« f/?'aM</e.s' ~e~SMS et des <y?'f<M~M ac<t'o?M. M. Victor
s'est
montré
un si beau
Hugo
digne de tratter
a
et
dans
cette
les
brillantes
son
talent
nous
avait fait
couronné,
circonstance,
« sujet
espérances
que
il y a 18 ans.
La pièce
est terminée
« concevoir
du Prince
nous montre
par un éloge délicat
qu'il
à. la gloire
« conduit
la
et
étant
la
lui-même
vivante
de la vérité
dans
par
religion,
preuve
développée
tout
Les
murmures
les
ont
il
flatteurs
l'auteur
est
allé
recevoir
l'ouvrage.
plus
accompagné
quand
si bien méritée
et un public
a une couronne
MrCMMeMt français
lui a prouvé
qu'il savait
apprécier
« cette production
d'une
Académie
vraiment
digne
française,
« On a lu ensuite
des stances
de M. de Lamartine
intitulée
La Mtë/'e <MM..0er<M.
Tous les yeux
« se sont
vers la tribune
de lit mère de notre
mais
elle s'était
retirée
en entendant
portés
Henri,
« l'annonce
de son éloge.
« La séa<!ce a été terminée
d'un
d'un
de M. le vicomte
par la lecture
politique
fragment
ouvrage
« de Chateaubriand
& Mgr le duc de Bordeaux.
dédié
t) est intitulé
La charte
selon
la M:OK<!rcA!<.
« Si l'on peut en juger par un morceau
détaché
et
a été trouvé
sera le cheftrop court,
l'ouvrage
qui
« d'œuvre
de ce célèbre
il a été couvert
d applaudissements.
»
écrivain
-~37–
<8
Oc~-e
1822
fi
Lettre
raconté,
de Lamennais
à V. Hugo
t. )t. pp. 146-147.
cf. V. /~K~o
12
de V. Hugo
et d'Adète
Foucher.
Mariage
son beau-père,
rue
V. Hugo va habiter
chez
n" 39.
du Cherche-Midi,
15
de
sur le y'?-a/
Artic!e-entrefHet
de Trébuchet.
et sur ~MMe </<?jS?'p<ay?te,
15 octobre.
cf. le Réveil,
signé.'
19
Le ?'r~t.s<f,
n" 4689.
tobre,
20
J. de Rességuier
tobre et va pour
cf. Correspondance
23
à
~/<ïcc/t<7.&<?'M. de Guiraud,
neuf
Il n'y
avait
eu d'abord
que
H y en eut cette
fois deux
représentations.
octocf.OM?'7<a<
de Paris,
seulement
23,25
27 octobre.
cf. )e Journal
des Débats,
bre
24
par
A. de Vigny.
B. F.,
Vigny
Pas
19 oc-
arrive
a Paris
vers )e 20 ocvoir V. Hugo qui est absent
~~5-~<S35,
p. 368.
des
Reprise
)'0déon.
de
(?) à Gimel, directeur
t'0déon.t)consenta)a
reprise
des/<!cc/:a6e'~(?)
du
c'est le désir
de Lauriston.
marquis
puisque
d'auH abandonne
la distribution
des billets
cf. Cataloteur à MM. de Rigny
et A. Hugo
n<'s 163 et 224.
<<es CAap'~a'y,
Lettre
de A. Soumet
non
de Vigny,
cf. le Réveil,
signé.
25 oc-
28
non
sur
le Trapiste,
Entrefilet
signé
28 octobre
1822.
cf. l'Etoile,
Vigny
de
29
du ~OM<<PM?' sur les fortes
d'Alfred
de
et Poésies
de Vigny et les Odes
diverses,
V. Hugo (1)
cf. ~7o?n<gMr M?t:up?'se/,
29 octobre, p. 1520, signé X.
25
Article
On dirait
bre1822.
sur
les .Po<~M,
style V. Hugo
n'a pas
mennais
attendu
le 1er octobre
à Lapour
parler
sa
de son
comme
le
prouve
mariage,
avec son père: cf. Coy/'e~jOMf/ance
correspondance
du 13 septembre
1822.
;M5-M,
p. 172, lettre
1er
il
dut
écrire
la
Le
octobre,
pour
indiquer
lui répondit
date
exacte
et Lamennais
par )a letdans
?'atre du 6 octobre
qu'on trouve
//K~o
t.
146-147.
conté,
u, p)<.
D autre
du 1er septembre
semble
part, la lettre
n'a pas été adressée
faussement
datée ou du moins
1er
Lamennais
à la Chênaie,
le
quilta
septembre.
aller
à
vers
ta
mi-août
et
la Chênaie,
Paris,
pour
qu'a la mi-septembre
Co~M/~OKn'y rentra
(cf.
et
~aKce avec le baron
de t~o«M,
j'p. i07-i08
V. Hugo, le
Lettres
a Benoit
~y,
p. 153).
1er septembre,
ne pouvait
la présence
de
ignorer
Lamennais
à Paris.
Lettre
Lettres
Lettre
V. Hugo
à
de
à /H /t<ïnccc,
pp.
Adèle
Foucher
cf.
288-289.
de V.
à Guiraud
cf. ~/e7aH~c.<
Hugo
e~<<<s/o~'e
de h'«e'?'a~M?'c
7'e/ï'yïeK~e
publiés
à propos
du Jubilé
de Mgr de Cabrières.
Paris,
t.
194.
m, p.
Picard,
in-8,
1899,
4
cf. E. Bn:K.
V. Hugo a Samt-Vatry:
Miré cite deux
V. T~M~o aH~
1830,
p. 273.
lettre
et la date
ainsi
« la
de cette
lignes
»
veille
de son mariage.
H
a son
de V. Hugo
cf. Correspère
cf. PrunRR
7~9-35,
/M/«/aMC~
pp. 176-177
it
V. 7/M~o
M vingt
63-65.
DuFAY,
a/s',
pp.
erreurs
de lecture
cf. RKLTON,
rectifie
quelques
des Sciences
et Letjyg'MtOïy'p.s' de la Société
31 mars
<?'~ du /C/«'?',
1902,
pp. 49-SO.
19
Lettre
de
V.
cf.
Lettre
Lettres
à la
a
Hugo
~aMcc'e,
pp.
Adèle
Foucher
290-291.
de
Lettre
Article
V. Hugo
Co~'e~o~f/aHce
Lettre
cf.
de
a A). Pinaud
~5-~3o,
(Toulouse)
pp. :~8-369.
de la part des
des ennuis
les poètes
nouveaux
commençait
par parler
que souffrent
(1) L'auteur
«
H
sur
deux
Ils nous paret des indifférents.
faisait
ensuite
un bon paragraphe
les
critiques
poètes.
double
nous
ne nous
c donneront
de n'avoir
couronne
triomphe
peut-être
qu'une même
pour leur
« pardonnerions
sur un front
ces deux talents
ont
pas de l'arrêter
plus fongtemps
que sur
f'autre
ils
« une
même
le cœur:
tous
deux
sont doués de force
et de grâce
ont tous deux
initié la
source,
« poésie
au secret
des plus intimes
émotions.
La moindre
serait
une grande
préférence
injustice
« et cependant
doubler
nos
en
les
variant.
Si
tout
est
rien
n'est
entr'eux,
pour
plaisirs
pareil
égal
»
ni
le système
de composition,
ni la facture
des vers, ni le coloris
et les mouvements
du slyle
L'auteur
faisait
une citation
de ~'y/M~Aa
de Vigny,
de ses modèles
Théocrite,
parfait
Virgile,
«
ii continuait
de
V.
La
même
la
même
nouveauté
de conA. Chénier.
par l'éioge
originalité,
Hugo
« ception
un
de
M.
Laissant
a
nos
est
des plus grands
charmes
des ouvrages
Victor
poètes
Hugo.
iyri« ques,
leurs
savant
désordre
et
tout
ses devanciers,
leurs
invocations
leur
exclamations.
pompeuses,
« le cortège
usé de leur mythologie
n'a adopté
le rythme
et les formes
de l'ode que
on dirait
qu'il
« comme
un beau moule
où se précipitent
sans confusion
les brûlants
d'un cœur jeune
et put',
soupirs
« et les MtM/M
<MKe
M.
de
l'ode
<~Me
c~7'f7!eMHe.
Victor
est
le
créateur
<M/wa<t'o?M
Hugo
c
pathétique
« et pensée. » Suivait
une citation
de A toi.
terminait
en parlant
des pompeux
des critiques
acerbes
adressait
aux
Le critique
éioges,
qu'on
la
mais
deux poètes.
Ils devaient
s'en glorifier
et en profiter.
Ils peuvent
contre
versification
pécher
non contre
la poésie. « La haute
ne
descend
à
cette
aMa; Mo~
elle est
critique
pas
~Merre
/)e<t<c
« surtout
l'art de distinguer
i'énorme
distance
le &MM du beau,
sait que les
qui sépare
parce qu'elle
« ouvrages
vivent
»
et
l'éclat
des
beautés
et
non
l'absence
des
défauts.
plaisent
par
par
–~38–
1
24
1822
7Vo~e?H~-e
7
de ~7!MMe.!<re,
Première
représentation
au Théâtre
Pour
la oide Soumet,
français.
)e Réveil.
du
tique de cette pièce on peut lire
7 novembre
)e ~o?(~e'n'
~7/npe?'sc/, du 8 nodu 8 novembre
)e./OM?'Ma/</e/a?'s',
vembre
du 9 novembre
le
le JoM?'H<
~e.! Débats,
du 9 novembre
le J/oK~t'Mr
~/M!Réveil,
la Ca~/e
de France,
ue?'M/, du 9 novembre
du 40 nodu 9 novembre
la ~MO<<eKKC,
de Méty-Janin).
vembre
(article
9
de
Première
représentation
Il faut lire pour
met, à l'Odéon.
du 9 et du 10 novembre
Réveil,
la ()MO<!<eMne,
10 novembre
de Méty-Janin,
(article
qui lâche
et ne garde
et de lieu,
temps
le ./OM?'MM/ de Paris,
d'action)
novembre
le Journal
(attaques)
du 11 novembre;
le Réveil,
du
17
21
de
Soula critique
le
)'.&'<o</<?, du
du 11 et du 14
les unités
de
l'unité
que
du 10 et du H
des Débats,
25 novembre.
sur
les Odes
et
Article
de Z. (Hoffman)
cf.o~?'Ha/
des
Poésies
diverses
de V. Hugo
17 novembre
article
favorable.
1822,
Débats,
L'auteur
de t'ode~Kapa?'<e,
par le tonguement
il signale
à V. Hugo deux écuei)s
l'obscurité
et l'exagération
romantique.
Entrefilet
la 1" édition
des
des
Débats
annoncent
qui
que
diverses
est
Odes et Poésies
cf.OK?'7tf</
des Débats,
presque
épuisée
21 novembre
1822.
38
~/o!'sc ~M!' le Nil est imprimé
t)ac/!
des ~/M~M c/<n?'eHne~,
B. F., 30 novembre
pp. 182-187.
La fille d'Otaïti
MMe/< des J/M~e.s'.
est imprimée
dans
t'ma-
Paris,
1822,
Lefuel,
n"5~62.
dans
t'~4 /ma-
cf. Corresde V. Hugo
à son père
cf. PfERH!
5-~35,
pondance
pp. 177-178
V. Hugo
à vingt
DupAY,
ans,
qui cite cette
du même jour,
et en donne
une autre
lettre,
d'Adèle
à son beau-père
(pp. 66-67).
49
Lettre
de V. Hugo an ~/oM~eMr
Universel;
26 novembre
cf. Moniteur
Universel,
1822.
la date
Dans
le journal
on trouve
p. 1628.
20 no20 septembre,
mais c'est évidemment
cf. E.BmÉ,
vembre
faut lire
F.K~o
qu'il
F.
l'aavant
cf.
279-282
~~30,
Hugo
pp.
t. t, pp. 431-436.
conté,
20
Lettre
Les
~/M.!e.? c/tre'<eKne.!OM
choix
de Poésies
con?'e/ï'~«'M.!e~ et wo~'a~.s(Paris,
Masson)
~M)' le Nil, pp. 182-187.
tiennent
J/o~g
Z'a/Mta/Mc/:
dédié
<ïM.x </e?KOMe//e&' (Paris,
la
contient
CKHa~~HKe,
Eymery)
pp. 1-3.
B. F., 30 novembre
1822, n" 5257.
/)ece~!6?'e
5
à V. Hugo
à propos
Lettre
de M. Langlois
à
/Me~ de Ca.s'<?'o, lue et reçue
de la pièce
<t
l'unanimité
au PanoraMa
</?'ftM~t~Me,
cf. Odes et Ballades,
interdite
par la censure
édition
de l'Imprimerie
Nationale,
p. 552.
7)!ï'<f<<tOM.s'
/Me7ï<yM~,
9"
tinë,
édition,etc.
Le
7'7'a~M~,
poème
de Vigny, 2<=édition,
etc.
par
A.
de
Lamar-
Alfred
par le comte
(Premier
article)
(1):
a été négligé
(1) Voici le dernier
qui
celle de M. de Lamartine
est peut-être
« De toutes
dans notre
les renommées
époque,
qui s'élèvent
Encore
les neuf
éditions
du
« la seule qui ait atteint
du premier
bond toute
sa hauteur.
incroyables
ait
des ~/e<<t<a<tOK~
Il semble
« ~o/t<f<M'f
les neuf éditions
ont-elles
rougi
que ce siècle
parodié
un
absurde
et
de
bon
à
et
ait
voulu
« d'avoir
une fois
expier
par
engouement
applaudi
propos,
qu'il
139
7
1822
Dece~-c
Avant
le 10
V. Hugo
compose
Louis
40
V. Hugo
lit
Bonnes
Lettres.
42
La 0Mo<ï~!e/Mte
Louis
XVII
avec
publie
« On a pleuré
une note
très
aux
é)ogieuse
« beaux
vers
de cette
muse
de vingt ans.
« qu'on
écoute
ces nobles
chants
et qu'on
dise
« si les muses
libérales
atteindre
a ce
peuvent
« degré
d é)évation
et de sentiment
»
cf. la
H décembre.
Quotidienne,
43
Louis
XVII
7 décembre
cf. le Réveil,
samedi,
1822,
n~29,
et Philos.
M~e'M,
p. 2: cf. Z<«.
pp.i55-)56.
avec
deux
qui reproduisent
petits changements
sans importance,
les trois
premiers
paragra«Ceux
ne
savent
admirer.
phes
qui
pas
« leurs
et
la
nature
teur
»
pesanteurs
assignent.
XVII.
à la
Société
des
Lamartine.
~/<</ï/a<!OH.s'~oe'<<yM~,parA.de
9e édition,
etc.
Le Trapiste,
poème
par M. le comte Alfred
de Vigny,
2~ édition,
etc.
et dernier
(Second
cf. le /<e'ue!
tO décemmardi,
article)
(t):
bre
n° ~32,
2 et 3
cf. Litt.
<
d822,
pp.
7-<o.s-.
~55
« Quand
Mi6'/e~,
pp. d53, 't54,
« une langue.
user les bords du chapeau
« de Piron.
»
Le J/f)K!<'M?'
~/t!'Me?~'e/
Louis ~YF7/:
pubtie
cf. ~/o/t<<<'M?' t//<s~,
décembre
p. 4695,4
4822.
«
«
«
«
«
«
«
'<
«
«
<'
<
«
<
«
«
«
«
«
«
«
«
«
«
«
«
«
«
«
«
«
«
«
«
«
a
«
«
la maiadresse
d'avoir
reconnu
et salué
un vrai
ton,
talent.
Les belles élégies
de M. de Lamartine
ont obtenu
tout le succès qu'eiies
ont mérité,
et mérité
tout ]e succès
ont obtenu.
Fëheitonsqu'elles
en ce jeune
et
nous
et
lui.
de
ses
le
charme
de
sa poésie,
poète,
pour
pour
L'originalité
couleurs,
la mé!anco)ie
dans l'ensemble
de ses ouvrages,
à Fauteur
des ~/efh~profonde
empreinte
assignent
<tOM~ une des places
les plus élevées
nos
Hâtons-nous
de dire (car l'espace
nous presse
parmi
poètes.
et nous
serons
de
remettre
à
un
second
n
article
ce
nous
reste
dire
des
deux
obligé
nouvelles
qui
éditions
hâtons-nous
de dire que M. le comte
Alfred
de Vigny
n'est pas moins
que nous annonçons),
de son talent,
la richesse
de son imagination,
la fraîcheur
de sa pensée,
appeié,
par la. flexibilité
et
la
vérité
de
sa
à
briller
au
le
la
éminent
de
fittérature.
Dans
un proiagruce
poésie,
rang
plus
chain
numéro
nous citerons
vers
</M 7'7'cp!~<e
et f/f.< ~/e<<a<i'o?M
«M~f/~ô'.
Le critique
quelques
est heureux
il
n'a
à
»
quand
pas
critiquer,
(d) Voici la fin de l'article
qui a été supprimée
« Cette histoire
de tant
de prétendus
auteurs
est-loin
d'être
celle
des deux jeunes
poètes
qui font
ie sujet
de cet article.
Tous
deux originaux,
ils marchent
tous deux à la gloire
par des chemins
mais
d'un
sûr.
Notre
intention
n'est pas d'établir
un paraiiëie
différons,
entre
deux
pas également
talens
n'ont
de
commun
leur
Kous
aurions
désiré
entrer
dans
défaits
qui
que
supériorité.
quelques
sur les rapports
de ia poésie
avec la versification,
art bien plus difnciie
et bien moins
vulgaire
qu'on
ne pense
mais
nous
nous
est temps
d'en venir
aux citations
notre
apercevons
qu'il
que
premier
article
a promises,
et que nous offrons
au )ectcur
comme
un dédommagement
de notre
prose.
« Le recueil
de M. de Lamartine
est enrichi
de deux odes, d'une
et d'une
Cette deréiégie
épftre.
nière
wef~'<<'t<tOM
est la plus belle des quatre
des deux odes,
celle sur la naissance
</M </M(; <<e
était
et
fauteur
a
refaite
nous
connue,
semble
ia piusremarquabfe.
~oy</MMM;qui
déjà
Elle
que
abonde
en beautés
mâles
et neuves.
Nous croyons
devoir
seulement
il M. de Lamarfaire
observer
fine qu'il lui arrive
de mêler
les couleurs
et mythologiques,
de parler
de
quelquefois
religieuses
de Betbféem
i'étoi)e
et du feu de Vesta,
de Dieu et des dieux,
défaut
faut laisser
aux
étrange
qu'il
et
harmonieuses
odes
de
ce
a
si
et
longues,
paies
lyrique
qu'on
singulièrement
appelé
grand
auquel
M. de Lamartine
est tellement
dans
un genre
où pourtant
ne brille
sa
toute
supérieur
pas
supériorite.
« Un des morceaux
les plus achevés
de tout ce volume
est sans contredit
le passage de Ja nouvelle
méditation
intitulée
où l'auteur
raconte
l'une
de ces journées
de rêverie,
~t)7oM/,)/t?'e,
qui
« (Et) s'il est au sommet
ne se peuvent
raconter
de ia verte colline.
» (V. H. cite 24 vers).
« H est impossible
de jeter
dans
la poésie
de charme,
de grâce
et de rêverie.
M. de Vigny,
plus
vers lequel
de si beaux vers sont la transition
)a plus naturelle,
nous semble
avoir égatement
tiré le
de
la
des
tableau
plus grand
parti
description
objets
physiques,
lorsqu'il
peint
Hmposa'nt
que )a
nature
du
autour
ses
soldats
dans
les
solitudes
du
Montdéploie
Trapiste
haranguant
intrépides
Serrât:
La lune alors
un nuage.
» (10 vers cités).
plus belle écartait
« Nous croyons
inutile
de faire
au
lecteur
)'éc)at
de ce coloris
et la largeur
de ce pinremarquer
ceau.
Entre
toutes
les beautés
dont
le 7'<'e/jM<e
étincèie
nous choisirons
encore
un passage qui, a
tous ses autres
un singulier
d'à propos
« Soit que la main
mérites,
mérite
de Dieu ie couvre
joint
où se retire.
vers
()0
cités).
« Ces vers,
sont
au nombre
des plus beaux
faits M. de Vigny
et tous les poètes,
qui
qu'aient
étaient
dans la première
édition.
« Ajoutons,
en terminant
)e compte
a rendre
de ces deux nouvelles
que nous avions
éditions,
que
les corrections
les plus heureuses
et les plus sages
leur donnent
un nouveau
Les
vrais poètes,
prix.
tels que MM. de Vigny
et de Lamartine,
sont aussi sévères
tels
peureux-mêmes
que les faux poètes,
MM.
tels
et
tels
)e
sont
autrui.
»
que
pour
~40
iO
Z~eeM~-e
1822
13
la 2e édipour
24 mai 1823.
V. Hugo traite
avec Persan
tion des Odes
cf. le ./)/?'où',
Abel Hugo a lu aux Bonnes
Lettres
un discours
sur la littérature
et a trouvé
espagnole
MM. Ancelot,
l'occasion
de venger
Guiraud
et
des injures
radicales
dont
ils ont été
Soumet
cf. le Réveil,
19 décembre.
l'objet
14
La Quotidienne
annonce
pour le 20 décembre la 2~ édition
et les
des Odes de V. Hugo
Tablettes
cf. la Quotidienne,
?wna?t~up.s'
14 décembre.
Les
Annales
(t. tx, livrais.
ZOM~~F7/.
de la Zï«e'?'a<M?'e
cxv,
pp.
e< des
354-356),
~4?'<
publient
~7
il 25 exemplaires
des odes
Le Roi souscrit
cf. la
de V. Hugo
cf. I'.Ë'<o//<?, 47 décembre
18 décembre
cf. le 7?e'ue/
18
()M~ï6~pmHe,
décembre.
18
V. Hugo
//<!M f/t'/aMf/g
Avant
le 20
V. Hugo
Nouvelles
18
V. Hugo
avec
Persan,
signe un traité
pour
des
et
la réimpression
Odes
Ballades.
L'édition
de 1'liiiprimerie
Nationate
des Odes
et Balce traité,
~a<<c6' donne
pp. S52-5S3.
20
Article
non signé.
vend
écrit
0</f.s'.
1.000
fr.
cf. le J/n'ou',
./eAouK/t
du
très
curieux
Nous le résumons
la
et
1~ édition
de
24 mai 1823.
la
journal
(2).
T~'c/Ncc
des
le Réveil,
Lettre
de
/MM</<!HC6'
Hugo
1815-1835,
de V.
22
Figaro,
Lettre
cf.
Louis
bre,
V.
pp.
a M. Pinaud
pp.
à son
Hugo
août
1888.
ode
XVII,
3-4 (1).
cf.
cf.
Co'y'e.
369-370.
oncle
le Réveil,
Trebuchet
11
décem-
11
l'ode de la note suivante.
Le journal
accompagne
«'M.
Victor
a termine
la. soirée
(Bonnes
Hugo
« Lettres)
la
lecture
ode
sur
d'une
Louis XVII. 1.
par
« Le jeune poète
tour
à tour énergique,
sensible
« et gracieux
a excité
de véritables
transports.
« Chacun
de ses vers était accuei))i
par une salve
« d'applaudissements.
L'ode sur ~OM!'s AT/7
sera
« insérée
dans la 2e édition
des Poésies
de M. Victor
« Hugo qui va paraître
incessamment
mais nous
« croyons
servir
de
nos
lecteurs
en fa
l'impatience
« donnant
toute entière
des aujourd'hui
»
cf. la
12 décembre:
cf. le ~/OM?<eMr </Mt()Mu<<~<'M?te,
les
13
cf.
~4?Mt6t<e.s' </e/e[/«cdécembre
~<xf/,
?'f/<M?-e et des Arts,
14 décembre
cf. )a 2'i édition
des Odes,
cf. tes Odes et ~</a<<e6'
1823
pp. 697:
de V. Hugo
à M. Tézenas.
H lui recom)nande
tibraire
de Blois,
non
breLebarbier,
de la facultéde
continuer
veté,
qui a été privé
son
commerce
cf.
Ca~a/o~Me~
OA~rauay,
n° 282.
Lettre
Lettre
~o~MHce
DupAY,
texte.
de
V.
V. Hugo
n son
père
178-179
~S~5-5,
pp.
à
ans,
T/M~o
vingt
pp.
cf.
Co~'Mcf. Pnsn'tK
71-72.
Même
nombre
de corrections
cette
ode. A part les fautes
(!) V. Hugo a fait un certain
d'impression,
du Réveil,
les textes
du
des~MMa~de/a~:«e/'a<Myee<
de )a())tO<<dteMMe,
~/oM:<eM7'Htt;e~e<,
sont identiques.
de~~i?'<~
Voici les principales
nous les indiquons
en suivant
le texte de l'édition
Me uay'te<Mr.
corrections,
Odes et Ballades.
« son oei) doux.
M
Page 69, vers 8: Au lieu de « son ceii &<e;t », on lisait
3:
«
«
«
» a remplace
vers
Vers
7'eK<e
« entre
».
7
Page 70,
M:a/'<y?'e
a remp)acé
Mar<<
H.
« ,')aMf<;M7'? » remptacé
« 6'et~eM/'
».
« yoM Dieu
« t~ts,
Vers 19
Vers 20:
» a remplacé
D~eM').
« CM le MeM?'<e
d'/tor?'eM/'
avide
» a remplacé
« ozi le c/'MMe de M<K</ avide
».
Page 7i, vers 3
Vers 5
« lente
» a remplacé
vie »
Vers 1S
<< ~o/t~Me vie » a remp)acé
pas de mère
« je n'avais
« je n'avais
».
Vers 24
« Et des peuples
» a remplacé
«.Et les peuples
».
pas ma mère
«
»
«
7:
bénis
tes
a
».
revers
bénis ces revers
Vers 't4: Le texte de l'édiPage 73, vers
remplacé
tion Me M/'te<M/'
est celui du Réveil
et des ~)?tMa/e~ mais
la (~MO~teMMe
avait écrit
7'~M ~e~MeM?'
et le ~/OH!<eM?'
e?t ses.
~OM 6'e<~?tCM?'
CM ses.
Ce sont
évidemment
des fautes
d'impression.
est-il de V. Hugo ? Nous n'osons
mais il est certainement
de i'un
de ses
(2) Cet. article
l'affirmer,
intimes
ou
de
son
frère
Abel.
En
tous
l'a
fut-il
amis
en
cas, Victor
approuvé,
peut-être
l'inspirateur.
L'auteur
«
des
cet
essaim
de
se
sont
de
levés depuis
triomphes
multiplies
parle
jeunes
poètes qui
« peu avec leurs
belles lyres
et leurs
chastes
» t) veut « associer
A ces jeunes
si
inspirations.
gloires
« récentes
»
H
«
autres
renommées
futures
et prochaines
veut
des avanquelques
peut-être.
profiter
« luges de la position
rendre
service
et
aux
talents.
au
et
aux
»
et
lettres.
pour
pubHc.
jeunes
)i parle
d'abord
de Jules ~e/e&we,
de deux tragédies
et les ~/e~;tauteur,
dit-on,
C~/<eHUte~<'
tt
a
un
souvenir
catM.
excellent
des Deux
Puis vient
Z)!M'(Mtd de
)''7'MMf<<Mt~MO?t,
gardé
~t~eM~e~.
couronné
aux Jeux floraux
une
7)<;<M(;/te?KfM<
ti cite
ou 7/o~Mo?t-/)MraMd,
ode
Le
de
la
7'e?'e.
pour
il son tour des éloges
d'une
autre
ode
F~dt'eM.
reçoit
que)ques
strophes
~atH<-)~t/
pour son
une
citation,
«tiiaut
féticiter
de pareils vers,
le poète
et
7/</Mt<te à ~a ~te/'</e dont on fait
longue
« l'académie
les
couronne
Ensuite
vient
de
dont
on
le
Co/Mqui
Po?M,
poë'ue
Ga.s'~nyd
rappelle
n va insérer
«
tant
et Discrète.
une
intitu)ée
dans
le
recueil
va
être
incessamment
pièce
qui
)'/?t/t;t!
.–141–
11
<66
~t
1822
Décembre
28
viennent
de
?'omsH<<yM~
Persan
cf. la 0MO<!<c7tMe,
paraître
28 décembre
cf. l'Eloile,
29 décembre
cf. le
28 et 30 décembre.
Réveil,
29
Le /~o.?'?'cï</e,
de
cf. )e /~C!
paraître
31
2e édition
des Odes
cf. le Réveil,
aujourd'hui
30 décembre.
l'Etoile,
En décembre
Les
La
Tablettes
chez
Jules
Lefèvre,
29 décembre.
vient
de V. Hugo
31 décembre
de
paraît
cf.
V. Hugo a dû composer
V~ouaA
et la /edes 0</M.
ti écrit
aussi
face de la 2" édition
A G.
l'édition
de
y (A Gentilly)
d'après
Nationale
des Odes
et Ballades,
l'Imprimerie
p.
Décembre
1822
553.
Deux
articles
de
é)ogieùx
livrais,
xx,
p. 257 et livrais.
Victor Hugo.
(t.
l'Apollon,
xxt, p. 297) sur
L'~4MMMa:e
de Lesur
/t!s~<~Me,
(p. 853),
dit qu'on
a remarqué
année
«
un
recueil
cette
« d'Odes e< </e Poésies
de M.-V. Hugo,
diverses,
« d'un style chaud,
».
vigoureux
ne contiennent
« publié
sous le titre piquant
de ?'a&<e«e~roMaMf!yMM.))
romantiques
» (Les Tablettes
de /s gloire
mais
autres
et Le Désir
bien deux
Cynégire
pas ce morceau
militaire).
« poète
Sarde
La série des jeunes
de Vignet
pas
~F!Me<
qui ne tardera
poètes continue
par
a
un
accessit
à
l'Académie
et
~P'eAaM
eu
« sans doute
à se révéler
aux amis des lettres,
qui
par
«
et
riche
de pensées
« est éclatante
et de hardiesse
et le style
dont la poésie
de hauteur
plus encore
&
«
de
la
vie
ouvratravaille
dans le secret
<: d'images,
d'importants
privée
par y! E. D~cAo'Mt~s.
qui
<[ ges. »
« Nous terminons
cette liste de noms,
de l'article
et inattendue
La finale
est curieuse
dignement
Ce jeune
sont promis
à de belles gloires,
a dont
~'M</ëMe /?M~o.
poète
plusieurs
par le nom de
vers se
et pourtant
tous les amis des beaux
« cherche
l'oubli
comme
s'il désespérait
de son temps
de Condé,
étincelantes
d'un talent
et M. le Prince
ses deux odes sur Mgr le duc d'Enghien
« rappellent
de
Nous
connaissons
ce
de M. Eugène
écrivain,
jeune
<: qui n'est
cependant
pas tout celui
Hugo.
des
en
vers
et
en
s'il
le
au
bel
avenir
veut,
littéraire,
fragments
prose
qui prouvent,
<( appelé,
plus
bien rares.
d'âme
et
une
de
une
foule
de
beautés
une
neuves,
conception
originalité
« par
vigueur
cette
sur
ne nous permette
a Nous regrettons
mémoire
strophe
Buonaparte
qui étonne
que
que notre
chose de
de 10 vers).
Il y a dans ces vers quelque
« et émeut
comme
un passage
de Tacite
(citation
du génie.
M. Eugène
est peut-être
« fort
et d'abondant
en pensées
Hugo
qui annonce
que ce talent
lutter
avec
sa
destinée
« aurait
tort
de se condamner
au silence,
il doit savoir
ne peut
quand
qu'on
la sienne
H
< on la porte
en soi comme
lui
est la gloire.
un peu; mais n'était-ce
un moyen
Cet éloge étonne
pour secouer
employé
par l'amitié
pas peut-être
avait
dans
la
folie.
deux mois
sombré
et relever
Hugo qui depuis
l'intelligence
d'Eugène
–~2–
CHAPITRE
VI
1823
./<M!u<<
1823
i
Entrefilet
2~ édition
2
du ~/troïr
sur l'ode le Ce/ne
Article
qui est
n se moque
de
dans )'M<Mme~
des ~MMiM.
dit Jourdain,
Chateaubriand,
~e~o?'<eM/' d'eau
dont la vie y est racontée
chapitre
par
chapi2 janvier
d823.
tre
cf le ~?'o:r,
3
sur les séances
EntreStet
de la QMo~ta~'eMKf
et sur l'ode
de décembre
des Bonnes
Lettres
de V. Hugo
Louis
~F7/.
admirable
Lettre
et.
phe
4
Les
élogieux
des Odes,
de
M.-J.
de la ()Mo</<pMKe
de V. Hugo.
Trébuchet
a son
sur
la
fils Ado)-
~)e?tc~<ce.
Recueil
orné
~o?HaM<!</Me~.
inédits
et d'une
de quatre
portraits
vignette,
MM. Colin
et Boutanger.
par
lithographies
Paris.
PerIn-i2.
Paris,
Imp. de Debusscher,
B. F., 4 janvier
san et chez
Pélicier.
1823,
n"22~).
Tablettes
Jéhovah,
368-369,
pp.
ode
M.
cf. Tablettes
Victor
Hugo;
~OMMM<!</M~,
cf.
Odes
et
pp. 335-337.
N.-B.
V. Hugo
n'a
fait
qu'un
petit changeà cette ode. On le trouve
ment
à la p. 336 des
Odes et Ballades,
vers
8. On lisait
dans les Tablettes
Ou sur les bords
du monde
?'OMMM<MM
an lieu de
Ou dans
M?t coin
du monde,
Il
n'y avait pas non plus d'épigraphe.
Ballades,
introuvable
la Bibliothèque
Nationale
(1) On a souvent
par)é de ce petit volume
presque
puisque
ici que ce qui peut avoir un rapport
avec V. Hugo
elle-même
ne le possède
pas. Nous n'en dirons
prochain
et ses amis.
Ils s'étaient
fait dans ce volume
une part considérable.
Chateaubriand.
E. OesAncelot,
Mme
E.
A.
Jules
Desborde-Valmore,
Géraud,
Guiraud,
Lamartine,
Lefèvre,
Delphine
champs,
Gay,
A.
Ch.
L.
Th.
G.
de
J.-B.
A.
de
Nodier,
Péiicier,
Pons,
Soumet,
Soulié,
Lamennais,
Saint-Valry,
Vigny
à l'ouvrage
les trois frères
une large
contribution.
Chateaubriand
et surtout
Hugo avaient
apporté
tes ~4M/to.<<;A'de /a
s'inscrivait
déjà publiés dans la Revue
pour six morceaux~
fragments
~MttatHe,
Littérature
et des Arts,
l'avoir
été ailleurs.
il semblait
avoir la première
après
place mais en réalité
mais
lui appartiennent
A. Hugo l'emportait
surlui.
morceaux
autres
Quatre
sont signés par lui,
quatre
à son
frère Eugène,
la 7)MYt:ë/'e
aMeM~/K'e
des
aussi
deux qui, on ne sait
sont attribués
pourquoi,
la /oM(~'e
de De/t<ïtM cousous son nom dans
(15 juin
1822~ et la ~rt<at«e
7''7'f//M:A'M<yM,
imprimée
ronnée
de Cambrai
et imprimée
dans
les ~)KMa/es
de la Littérature
et des Arts
par l'Académie
à
les
a-t-on
attribués
est-ce
une
erreur
de
est-ce
l'éditeur,
pour
(28 septembre
-1822). Pourquoi
Eugène,
faire
à
atteint
la.
fotie
?
On
ne
sait
Deux
morceaux
sont
par
que penser.
anonymes
plaisir
Eugène~
dans
la
mai
aussi
l'oeuvre
d'Abel
Les fiançailles
</« Vaivode,
Foudre
imprimées
')822)~ et le
(30
la
d821
7
Par
dans
/oM</re
décembre
et
contre
le /);<e< <<!t
d'Ochali,
Cap<
paru
(~
janvier
18~2).
les Tablettes
Roœuvre
Victor
~t'ect/Mee,
d'Eugène
Hugo. est mis au rang des anonymes.
plaça dans
de ses odes
La Zy/'e et <« /~a7'/)e, lIoïse
sur
/e Nil, ~M fille d'Otaïti
et enfin
quatre
mantiques
143
~i
1823
4
./<M~ïe?'
Saint-Valry
fait
&/c«e.<
/~OH!a?!<~MM,
V. Hugo
cf. Annales
des Arts,
t. x, livrais,
1823.
un
sur les 7'aarticle
contenant
de
rétoge
de la Littérature
et
cxvm,
p. 6, 4 janvier
Le /~M'?'<c!'<
poème suivi d'autres
poésies,
M. Jutes
Lefèvre.
In-8.
par
Imp.
Rignoux,
Paris.
B.
4
Paris,
F.,
1823,
Amyot.
janvier
n" 34.
9
10
de V. Hugo à son père d'après
Pi~utE
V. Hugo
à vingt
Mais
DUFAY,
ans,
pp. 75-77.
cette lettre
est du 9 janvier
le
4824, comme
contenu
l'indique.
Article
du ~?'o:'?',
à propos
de la religion
au théâtre
H se moque
et en poésie.
un peu
des Tablettes
et du déshabillé
Romantiques
des
)) signale
Job
comme
portraits.
sujet
encore
V.
a
là
vierge.
Hugo
peut-être
puisé
son amour
cf. le ~ro:r,
~0 janpour Job:
vier 1823.
Lettre
~5
la ')''s représentation
de 7)/M<A:e
au
Après
théâtre
de l'Odéon,
l'anniversaire
de Molière a
été célébré
par une pièce de vers de Romieu
de la Litté1'aetd'AbetHugo.Les~MKa~M
~M?'e et des Arts t'attribuaient
à tort à V. Hugo,
les autres
l'attribuaient
soit à M.
journaux
soit a M. A. Hugo.
Hugo
XiIi
Lettre
de Lamennais
à V. Hugo
<~M;' d'autographes,
t. xix, p. 122,
Le général
vend sa maison
Hugo
Lazareets'étabtitaD)ois,ruedeFoix,73:ef.
PfMHXE DUFAY,
~M~O
vingt
79.
22
Article
d'une
/~owaH<:<y«e.
Abel. Article
24
25
Reprise
Lettre
colonne
Rien
sur
aimable
cf.
cf. ~47M<ïi867.
ans,
sur
les
à son
père
de Saintpp.
de V. Hugo
poM~a?tC6'o-3o,
Lettre
Lettre
à M. Finaud
p. 371.
de V. Hugo
à son
cf. Figaro,
22 août 1888.
oncle
cf. 6'o?'?'e.tTrébucbet
Odes,
par Victor-M.
Hugo. Deuxièmeédition,
de deux
odes
nouvelles.
In-18.
augmentée
Paris.
rue de l'ArParis,
Imp. de Debuscher,
n° 22 (Persan)
et chez Pélicier.
bre-Sec,
Ce volume
contient
26 odes.
Les
2 odes
sont
les v~ et xxv;<' (Louis
ajoutées
XVII et
Trois
sont
~eAouaA).
poèmes
supprimés
les
~'M/ers
~4~co/
Raymond
Idylle,
6<ïr</M.
La préface
de cette
nouvelle
édition
des
Odes
se trouve
dans
les Odes et
reproduite
Ballades,
pp. 5-8.
Nous indiquons
ici la date de la Bibliographie
de la France
11 janvier,
n° d20) mais
(B. F.,
cette 2~ édition
a dû paraître
le 31 décembre
suivant
l'Etoile
et le Réveil
et même
la Quo~!M:ne.
77-
Tablettes
un mot sur
Victor,
le ~?'o~
22 janv.
de Clytemnestre.
d'A.
Trébuchet
cf.
~4~-
pendice.
.Janvier
un article
sur les TaL'Apollon
publie
fait l'éloge
de Victor
<e/<o~aM<!</Mf.s-et
et d'Abel
cf. l'Apollon,
t. m, livrais.
Hugo
xxn, pp. 46-49,8'
V. Hugo compose
la ~'e'ce
de la
édition de //a!K <aM~e.
Ve'AoMMA. Cette dernière
ode était
en même
dans la 2e édition
des Odes mais comme
imprimée
temps
il semble
ont
de
que les 7'a~eMc.s'
des Odes on peut
Ao?Ma/t<MM
précédé
quelques
jours
l'apparition
dire que c'est ici la dre édition
de Ye'/tONa/t.
L'ami de Hugo, L. Th. Pé)icier,
morceaux
réimprimaitdeux
dans
le
Coitserv.
Litt.
Le
~M~a?:
t.
n.
)ivrais.
parus
et le
(Conserv.
Litt.,
xn, mai 1820, pp. 44-45),
C!?Me<:ey'e
de Luben
t. < livrais.
(Co)Meru.
Litt.,
Citons
x], juillet
d820,
pp. 234-235,
signé *).
mémoire
deux
de Guiraud,
~/<<<a<!0?t
M ~M'e
pour
de Lamartine,
le Roi des ~JM~e~
de
élégies
les
DeMa:
de
J.
une
étude
sur
le
i.atouche,
de Nodier
Aveugles
Lefèvre,
genre
romantique
(avec trois
autres
de
la
Pauvre
de
fe
de
Hoffman.
fragments~
)'o~~o<,
Saint-Valry,
fille,
Soumet,
Classique,
)44
8
H
7~M'<e~
1823
ode par M. Victor Hugo
cf. AnJéhovah,
nales
de la Z.t<<M?'p
et des Arts,
t. x,
livrais.
février
~823.
cxxfi,
pp. 139-~40,/)~
Les Lettres
contiennent
un
C'/taM~eHO~'M
des
rendu
Tablettes
7~ocompte
(96e lettre)
«
elles
font
comme
~na/t~t~Mps
remarquer
« une espèce
de phénomène
qu'à côté du nom
« déjà célèbre
de M. Victor Hugo,
se trouvent
« ceux de MM. Abel et Eugène
ses frères
Hugo,
« par le talent
»
autant
que par la naissance.
!p
A
le 4
4
8
Première
reml
l'e eédition
lion
dee ~/fm
an
~aM ~s~<ï?!~e
vient
de paraître
san
cf. le Réveil,
4 février
~823
dont l'entrefilet
)'ou', 4 février,
est
Article
savoyardes,
du
4 vol. in-12.
//SM (<</(ïMf/e,
)mp. de NicoParis.
Paris.
rue de l'Arbrelas-Vaucluse,
10 fr. B. F., 8 février
Sec, n" 22. Prix
1823,
n° 6~9(1);
cf. 2e édition,
T/an
<<s/aH~e,
2<! édition,
4 volumes in-12.
Paris.
Imp. Lebe),
Lecointe
et Durey.
Prix
10 fr. B. F..
Paris,
26 juillet
4 vol.
cf. 3e édition,
1823, n<- 3137
in-12.
libraire.
LacheGosselin,
Paris,
Imp.
n" 731
vardière.
1829. B. F., 7 février
1829,
cf. 4e édition.
Paris.
Plassan,
Paris,
imp.
2
vol.
in-8.
B.
F..
1~
ltenduel,
1833,
juin
n°2887.
~<n</e.
s 11111e,
l
Réveil
(non signé)
de A. Guiraud.
sur
chez Percf. le ~télogieux.
les Elégies
La
mo?~
du duc
de
~e?'?'y,
M. Victor Hugo:
cf. ~Ma~es
de la
<M?'c et des .4?'<.f, t. x, livrais.
cxxm.
~6C.
ode par
Littérapp. i6i-
&
édition
rue de l'Arbre-Sec
n' 22
Persan,
éditeur,
(1) La première
porte au bas du titre
Paris,
MDCCCXxut. Elle contient
4 tomes,
1'
tome
ch. ) & x)t incl.
2e tome
237 pp. ch. xn a
viii-316pp.,
xxiv inc).
3e tome
4" tome
<')). xxxvu
incl.
347 pp.,
a la fin.
237, pp., ch. xxv à xxxvt
Cette
édition
des
nombreuses
ont
de
l'édition
ne t)ar?e<;<?'.
comprend
épigraphes
qui
disparu
unes
sont
à
noter.
ch.
i
Le
avait
au
une
Quelques
emprunté
qui a disparu.
générai
Hugo
épigraphe
« Je ne démêle
pas. disait le roi Cornu,
it nous faut donc attendre
Qui diable ce peut-être
Car de ce point jamais rien ne nous est venu.
La /<<'uo«e des enfers),
(Le général
Au ch. x, une épigraphe
à Soumet
a disparu.
empruntée
Tu le sais, le cœur d'une
mère
Est inépuisable
en douleurs.
Le ch. xu contenait
une longue
du comte
de Maistre,
~'o~f'e.!
de ~<e<e?')OM7'y/
sur le
épigraphe
bourreau
autour
on
fait
)e
vide.
Ce
nous
V.
son
a
duquel
qui
prouve
que
Hugo pour
ouvrage
largement
utilisé
les Soirées
de ~<e'<e;'6'6oMr.
Au ch. xxx, on trouve
dans 1 édition
?te far:e<M/'
une épide Régnier
une
de BM.<M'<yM<,
les Contes
sous /a tente.
N'est-ce
graphe
qui remplace
phrase
pas
de
cette
faire
mettre
sa
à
ses
ch.
en
Au
façon
original
propre
prose
xxxvt,
épigraphe
ouvrages.
est
encore
il
était
Adélaïde
de
Braninconnu
.N<~e&Me,
Régnier
remplacé
par
t~/M<yeK.Auch.xL,
tôme a pris la place de J. Lefèvre
H qui V. Hugo avait
six
vers
de
.Pay'MZHa.
Au
cl),
emprunté
xuv,
a pris la place de Kotzebue.
Ch. Nodier
Au ch. XLVIII, six vers de /'6t)'tA'~Mt de Lefevre
ont encore
disAu dernier
une épigraphe
de Ed. Geraud,
« Ainsi
Les CM/'apt~ dans
les bois, Ballade
paru.
chap.
»
tous les forfaits
leur
salaire
a
elle aussi.
reçurent
disparu
Bien d'autres
auteurs
n'ont
trouvé
de
citons
en quelques-uns
dont
les noms
nous
pas
remplaçants
sur
les lectures
de V. Hugo
Le Prieur,
renseignent
Aboutt'Haybb,
arabe,
SchHler,
Lessing,
poète
de
le
baron
chantde
Fafnir
Calderon,
Edda.
Mille et Une Nuits,
etc.
Lope
d'Eckstein,
Vega, Goethe,
on
le
se
contente
au
le
titre
d'un
lieu
du
nom
de
voit,
l'auteur.
V. Hugo~
parfois
d'indiquer
ouvrage
avaient
trois et quatre
Ces
ont dû disparaître
en
Quelques
chapitres
jusqu'à
épigraphes.
épigraphes
d833
ou 1841, car nous les trouvons
dans les trois
n'avons
éditions
premières
(nous
pu voir celle de
-1833).
La 2e édition
une épigraphe
au dessous
du titre
« Souvent
le M~/Me effet naît
de causes
portait
».
contraires
Cette
édition
un
de
moins
la
ire
la
raison
bien
(Anonyme)
compte
chapitre
par
que
dans
la
-t~e
on
avait
là
oublié
de
mettre
un
xux.
Ce
devrait
être
une
des
inconsimple
que
chap.
V.
à
de son prote.
typographiques
que
gruités
Hugo reprochait
l'ignorance
stupide
4 tomes
1er tome
Elle comprenait
xxxv-244
ch.
<
a
x<
2e tome.
285 pp., ch. xn il
pp.,
incl.
xxtv incl.
3e tome,
268 pp., ch. xxv à xxxix
4e tome,
248 pp., ch. XL à la fin.
incl.
Le 1er tome était
de deux préfaces,
celle
de la Ire édition
et une seconde
précédé
beaucoup
plus
l'on
trouvera
dans
l'édition
ne
varietur.
longue
que
La 3e édition
ressemble
à la seconde
on retrouve
la division
en 4 tomes,
presque entièrement
145
<9
1823
Février
9
Second
article
sur les 7'a6/~<<~
Réveil
Il parle
de la poésie
du recueil
7ïoM:HK/Mp~.
il
et
ne cite pas le nom de V. Hugo (article
non
signe).
d2
Annonce
des Elégies
de Gui~mx/H~M,
raud
cf. 7oM?'M«~ de Pa/'<.s', )2 février
4823.
Annonce
des ~e'6H<
')3 février
février.
du
de
//<<
f/Hf/e:
cf. JoM?'a/
')2 février
cf. t'ot/e,
~823;
cf. le CoM.s~M«o/t7ie/,
1823;
-)5
i3
/.M 7/:ot'<
Cette
Hugo.
des Odes de
Trouvé
cf.
15
La /OMf/?'<; parlant
des ~e'~te~
~'<ï~o!/a?'</e~
de M. A. Guiraud
dit ceci
« Les derniers
hon« neurs
de la société
des Bonnes
Lettres
ont
« été accordés,
à M. Victor Hugo M
je crois,
cf. la /OM~?'c,
t. vn), n" d28, p. 2(H, d5 février
~823, Rochefort.
7
~8
2t
V. Hugo reçoit
cf.~e~<r,24mai~823.
Article
~V~~a?!
150 fr. pour
de 2 coionnes
cf. le /~eï/,
Le duel
est imprimé
des
(extrait
24
</« duc
</e /~<;y'?'f/, ode,
Victor
ode est extraite
de la 2" édition
M. V. Hugo,
3 fr.. Persan
et
in-~8,
le ~'ue~,
J3 février
~823.
~<M
très éiogieux
~8 février
~'A'/aK~e
sur 7/~M
-t823.
du
de Eugène
est
/)re'e</)ï'ce,
Hugo,
dans le /~et/
du 21 février
4823
l'ablettes
~OMta/Ke.s-).
entrefilet
assez
sur
Long
éiogieux
~'7~/a7~e.'
cf. la 0Mo<eHKe,
24 février
~a'M
823.
Littérature.
d'autres
poésies,
Le
suivi
~'<?,<c<
poème,
Lefèvre,
par M. Jules
in-8,
cf.
le
4 fr.50,
AmyotetTrouvé
(~)
/~et/,met'~9
février
n°
deux
credi,
1823,
203,
colonnes
non signées
cf. Litt.
et /M7o~.
M~/e'e~,
pp.
« Ceux qui observent
137-159
avec un curieux
les divers
comme
la
plaisir
changements.
scorie
desséchée
d'une
vieille
se
plaie
qui
cicatrise.
»
ie nombre
des pages
est le même.
sont cependant
à noter.
La préface
de la 2e édition
Quelques
points
est
ici de la phrase
suivante
note
M
édition.
)) suffit
pa/'<eM<t~eM!eK<
ajoutée
précédée
/a/)/'e'(<e
de hre cette
note pour voir qu'elle
n'est
a été particulièrement
point de 1829 mais de 1823 et qu'elle
à
ia
2e
et
non
à
]a
3e
édition.
ajoutée
Nous retrouvons
de la dre et de la 2e édition
)es épigraphes
cependant
au ch. vu, l'épigraphe
empruntée à Lessing
au
ch.
on
a
une 2e épigraphe
~xr,
« D'où vient
cette frayeur
disparaît
ajouté
qui trouble les jours
d'une
a-t-il
une voix dans
le sang,
une parole dans
prospérité
coupabie.?
Pourquoi
y
la pierre
». (Chateaubriand,
GeKt'e du c/trM~'aKMwe~.
et f/tt~OA'. Me/e'M
de l'article,
(d) Litt.
c'est-à-dire
la première
reproduisent
le commencement
mais
avec quelques
colonne,
voici.
changements
graves
que
il faut signa)er
un changement
de ponctuation
« C~<e opinion,
Page ~S8, 5o ligne,
aride
Ae?'!<aCelle
.~e remplace
aride,
o/):'nto?t
/e~Me.
héritage
ia 8e ligne et avant la 9e il y avait
« <~Mt a~eMe la HENRiADE une
Page t58, après
et les
e~o~ee
MARTYRS un ?'0/MaH. »
au lieu du nom de CorHet~e,
V. Hugo avait
mis /!actMc.
Page 1S8, il la fin du §, )8e ligne,
a
la
9e
on lisait
Chateaubriand
iS9,
au lieu du Dante.
Page
ligne,
à
la
i'7e
«
la
?'OMh~e
rec'M/era.
» on lisait
Page <59,
ligne
« L'opinion
déplorable
que nous
avons signalée
dans cet article
reculera.
»
Le Réveil
avait
mis ia note suivante
au bas de )a page
Nous insérons
cet article
sans
partager
toutes
les opinions
de notre
collaborateur
sur la théorie
nouvelle
établir
des progrès
de
qu'il
prétend
la littérature
de notre
Les
de
M.
Jules
il
accorde
des
si
époque.
poésies
éclaLefèvre,
auquel
éloges
ont été jusqu'à
tants,
de
ou
de
présent
notre
collabol'objet
louanges
exagérées
critiques
excessives
rateur
une juste
ii a préféré
s'abandonner
à son admiration
et n'a
pouvait
garder
mesure
voulu
les
nous
sommes
loin
de
lui
en
faire
un
mais
remarquer
beautés,
l'auteur
du
que
Parricide
reproche,
annonce
avoir besoin
de ces ménagements
son livre,
trop de talent
à
ia
fois
les élopour
qui justifie
et
les
a
est
un
des
bizarres
et
des plus remarquables
ges
critiques
qu'il
reçus,
recueils
de poésie,
plus
été publiés
le
commencement
de
cette
qui aient
année.
depuis
146
)9
1823
/e!«;
25
Février
de deux colonnes
cf. le Réveil,
(2" article)
de V. Hugo,
Cacus,
t.
~rM:o?'!e<!Ùt,
Lycée
1823.
108, février
Article
sur
Han ~Vs~K~e,
25 février
1823.
est imprimé
dans le
livrais.
11, pp. 106-
V. Hugo
obtient
une
nouvelle
2.000
fr.
cf.
GAB!t)EL
VAUTHtKK,
Revue, 15 mars i909,
p. 275 note.
de
pension
~OMU6</e
J~<n'A
Mars
V. Hugo
va habiter
rue de Vaugirard,
n°90.
3
Le ~oM7'Kf<< de Paris
annonce
7/</t! f/'7s<a?~/e.
« Nous parlerons
de ce roman
qui,
« par sa bizarrerie,
doit piquer
la curiosité
»
cf.oM?'M<~
de Paris,
3 mars
1823.
7
de V. Hugo
/y<!M f/an~e
de
critique
deux
B. L.
cf.
VoM~Kf~
colonnes,
signée
7 mars 1823. Cet article,
de Paris,
dur dans
certains
est au fond
très
endroits,
juste et,
il V. Hugo ses défauts,
il ne
tout en signalant
méconnaît
pas ses quatités.
10
Abel Hugo.
cf. )e Réveil,
La FeM~MMc'e
't0 mars -)823.
de V. Hugo :t son frère
Lettres
et .1
Eugène
son père, à Blois
cf. ~o?'?'MpoH~aKce
~5cf. PtERKKDUFAY, F.~M~O
1835,
pp..180-182
<t vingt
ans,
pp. 80-83.
de la Madone:
la partie
de l'article
qui a été négligée
dont
ici un peu tardivement
ne doutons
nous
la première
annonçons
pas que le poète
soit appelé
a l'une
des plus belles
destinées
littéraires
notre
qui illustreront
pubtication~ne
époque.
Nous ne doutons
écrivains
dont le talent
renconpas également
qu'il ne soit un de ceux de nos jeunes
le plus de contradicteurs.
Pour arriver
à la gloire qui lui est réservée,
trera
M. Jules Lefèvre a beauà vaincre
dans le public
et en tui-même.
Son imagination
forte et hardie
est souvent
coup d'obstac)es
dans
rude et téméraire
ses conceptions
son expression,
neuve
et pittoresque,
est fréquemment
bizarre,
dans
ses couteurs,
franches
dans
les
sont
indécises
l'ensemble.
détails,
Quelpresque
toujours
parfois
il
le
il
le
torture.
réunit
les
les
Son
vers,
quelquefois
style,
qualités
plus différentes,
quefois
néglige
qui
en même
les défauts
les plus contraires,
tantôt
si simple
tantôt
trivial,
présente
temps
qu'it devient
en
est
de
traits
de
du
on
si figuré
A.côté
Mi!ton
ou
trouve
des
locutions
Dante,
qu'il
sauvage.
dignes
la
de Dorât
ou de Marivaux
de
la
et,
de
mélange
singulier
grandeur
mignardise,
de la force et de
M.
t'afféterie.
On pourrait
le talent
de
Jules Lcfèvrc,
tel qu'it apparaît
dans ce remarquable
comparer
à un jeune chêne
de
a
le
recueil
sève
et
de
dont
on
orné
inculte
et vigoureux
verdeur,
plein
feuillage
a tel genre
de quelques
roses artificielles.
On ne saurait
dire également
s'il est plutôt
propre
qu'à tel
on
trouve
dans
son
les
autre
mêlées
livre
et toutes
ces
poésies lyriques,
dramatiques,
élégiaques
muses
ont envoyé
a M. Lefèvre
de belles inspirations.
Nous appliquerions
volontiers
a ce poète ce que
Mad. de Staël dit de Goëthe,
?'eMeMt<e
à la Ma<M?'e qui ~/w/Mt<
/oM< et </e <OM<. Qu'il se garde
qu'il
bien de voir ici dans cette appréciation
réuécbie
de son talent
autre
chose que l'expression
d'une
haute
nous
ne
non
lui
conseils
dont
il
n'a
et. sincère
donner
des
car l'
estime,
prétendons
plus
pas besoin
pas
H porte
nous sommes
encore
sur son talent.
en tui le feu
persuadés
qu'il en sait bien plus que nous
du
au
en la vivifiant.
Loin de nous d'oublier
le respect
ce noble
talent,
sacré qui épure
l'imagination
don
de t'fhuequiétëvet'homme
au dessus
de l'homme.
Des imperfections
n'effacent
passagères
pas
des beautés
et
nous
voudrions
voir
les
imiter
ces
ancienssectateurs
de
immortelles,
critiques
Zoroastre,
il se levail. dans les nuages,
n'en adoraient
le soleil.
qui, même
quand
pas moins
sa belle couronne
attende
se décourager,
se développer
Que M. Lefèvre
donc, sans
qu'it laisse
son talent
et fort dans la veille et la méditation,
les hommes
tels que lui sont. maîtres
de l'aveoriginal
de la médiocrité.
nir, ce juge inexorable
Dans un 2< article
nous justifierons
ce que nous avons dit des poèmes
par des citations
singulièrement remarquables
de M. Jules
Lefèvre.
Voici
Nous
147
5
1823
/)/a~.
12
consacre
deux
colonnes
dans la
à Han ~Ys/aHcfe.
H y a critiques
0!<o<ï'en?:e
H affirme,
et louanges.
sans
rire,
que ce roman a eu « un débit authentique
et légitime
de
12.000
E.
B<MÉ. F.
exemplaires
»
Hugo
avant
en cite une partie,
/~30,
pp. 295-296.
17i
200 fr. pour //aK<<ïM~e:
V. Hugo reçoit
24 mai 1823.
cf. Le ~?-o:?-,
19 et 21
Ch.
Nodier
Abel Hugo.
21 mars 1823.
El
cf.
Viejo
le Réveil,
Lettre
DUFAY,
19
à son frère Abel
à t'!M~< MM. pp.
de V. Hugo
à son père
V. Hugo
ans,
à vingt
pp.
cf. PiERRE
83-85.
<55
et
19
Lettre
d'Eugène
Hugo
PiKR!ΠDUFAY. V. Hugo
87.
cf.
86-
22
Entrefilet
du Réveil
sur Han
~&<H«~.
On
le traduit
à Londres,
Vienne et Berlin.
On en
a tiré trois mélodrames
la Porte
Saintpour
et la Gaieté
cf. le Réveil,
Martin,
i'Ambigu
22 mars
1823.
Lettre
de V. Hugo à Charles
Nodier
à prode ce dernier
sur Han
d'Ispos de l'article
lande
la Quotidienne
du 42 mars)
cf.
(dans
n'* 131.
Catalogues
CAayauay,
~3
Le
l'auteur
des
Trappiste,
poème,
par
~*o~?t~
et M!o~c?'HM,
etc. B. b\,
a?!<ï'~MM
n" 1270,
22 mars
1823.
L'Etoile
l'annonçait
dès le 20 mars.
Le 25 mars
la Foudre
en
un compte-rendu
donne
par Emile de Pluyette.
27-28
Venise
ou le Conseil
des
cf. le Réveil,
27 et 28 mars
28
fait un long article,
ni classique,
Më)y-Janin
ni romantique,
sur les ya&/c«M~o??!aK<Mex:
cf. la Quotidienne,
28 mars
1823.
31
J. de Rességuier
de M. Poitepublie
i'étoge
le 12 février
1821. B.
vin-Peitavi,
prononcé
1823, no 1271.
F., 31 mars
Mars
~/aKCM
Eugène
Hugo.
cf. Le ~ce'e~4~'mo?':ca!M,
mars 4823.
Dix, par
1823.
A. Hugo
à T'a/M~Me
t. i, )iv. )! p. 172,
Lettre
d'Adète
cf. PtKRRM
Hugo
pp. 87-89.
Avril
Avrit
~4c/~M:eMtde,
t.
Armoricain,
1823.
par V. Hugo
liv. )v, pp.
cf. Le
258-261,
Lycée
avril
d'un
extrait
inédit
à
~coK&/f/.c,
voyage
Guérande
et ses environs
Trébupar Adolphe
chet
cf. Le Lycée
liv. iv,
~4?'?KO?'!ca!'M, t.
avril 1823.
pp. 255-2S7,
t~
3
Ode à V. 7/M~o, par Jules
Dehesmes
d'Avicf. Ze/e/«!M~eMOMes,
t, x)i, lettre
gnon,
103, p. 420, i"avriH823.
Article
sur~MHe
deïrébucbet,
<~e~ye<ayKe,
de
du
l'article
5 juillet
dans
1822,
le
copie
yoM?'Ka~ de Nantes
et de /H Z.o:?'e-7K/'er<eM?'6
avec la même signature
cf. les ZM?tM parit. u, liv. xxn,
3 avril
.9!'e?tKes,
pp. 3<2-3t4,
méchante
4823,
revue,
petite
irréligieuse,
et
anti-monarchique
philosophique.
~48
et de Victor
Hugo
V.
DUFAY,
Hugo
au général
à 20 ans,
MarsAvril
1823
Avril
10
Lettre
d'A.Trébuchet
a son
père:
cf. Ap-
~6Kd'!Ce.
121-~
a l'Odéon
du CoM!<e
Première
représentation
yM/ïeMdeGuiraud:cf.)c./OM?'?:a~</e/~?'s'
12 avril
1823.
I! revient
sur cette pièce le 13,
le 14, le 24 avril.
13
Ar)ic)es
n'a
13-199
·
19
29
de t'~<o:esur
moitié
réussi.
le CoMf/e./M/tcM
qui
qu'à
Articles
sur le CoM)/e VM/teM.
de t'jE'c/aï?'
sur le rôle de la génération
Long début
poés'ë)ève
cf.
La
Foudre
et
~c/oï?',
tique
qui
~3~i9avnH8M.
Entrefilet
de l'Eclair
celui du
qui rappelle
du
«
La
Réveil
22 mars
censure
drama« tiquevient,
de défendre
aux théâtres
dit-on,
« du boulevard
la représentation
de plusieurs
« mélodrames
tirés du fameux
roman
de y/an
« <aM</e
»
cf. L'Eclair
et la FoM(/?'c,
19 avril
i823.
Le
/<&?'e a été composé
Repas
le manuscrit
Gentilly.
d'après
édition
de l'Imprimerie
~M/<a~e~,
p.
Avril
Avril-Mai
498.
V. Hugo compose
de 7/an ~'7.an~e.
le 39 avril,
à
cf. Odes et
Nationale,
la Préface
de ia2~
édition
Article
intitulé
Du côté gauche,
du côté
et du ceM/re
droit
de la 7!e'/)M6/~Me
des
cf. 7'a6<e«<s'
lettres,
6''M:He?~~«e~
signé X.
livrais.
« MM. Hugo,
beauxxxm,
pp. 18-28.
« coup plus
et sur
inégaux
(que Lamartine)
« tout moins séduisants,
ont obtenu néanmoins
« de la muse lyrique
des beautés
d'un
ordre
« très
un vrai talent.
»
élevé et qui signalent
~<ï< i
3
La duchesse
visite l'Académie
d'Angouiême
M. Pinaud
fait l'éloge
des Jeux
floraux.
des
de )'cadémie
et entre autres
de V. Hugo
poètes
la naissance
célébrait
précédente
qui l'année
du duc de Bordeaux
cf. ~H~a/e~
de la 7~<<<?'a<M?'e et des Arts,
t. xt, livrais,
cxxxvi,
~0 mai 1823.
11
annonce
la
Un journal
f/s'~H~e
d'après
la lettre
de //<ïM ~s'~a«cfe
teurs
7)/0!r.
2~ édition
de Han
du 17 mai des édiau
du
rédacteur
~77
aux
Lettre
des éditeurs
de 7/aM ~67anf/e
47 mai
rédacteurs
du y)/:?'o!'r
cf. Le ~Mo'où',
cf. E. BmË.,
V. 7/M~o avant
1830,
pp. 2962~7.
22
Entrefilet
du
~/u'0t?'.
]) n'a
la
pas
reçu
lettre
de V. Hugo,
dans
le 7)?'MjoeaM
parue
6/a/fc.
H l'aurait
insérée
avec
cf. Le
plaisir
22 mai 1823.
J7:?-~t/
Lettre
de V. Hugo (Gentilly)
du Miroir
cf. Le D?'<)eaM
cf. E. BihH. F. ~M~oau<M<~&30,
Le 7)!/t?'o<r l'a reçue seulement
149
rédacteurs
6~aMc, 21 mai
pp. 297-298.
le 226u
23mai.
aux
~9
~823
2:!
Lettre de Persan
aux rédacteurs
</M ~yo:?'
cf. Zc ~?'o!?'.
24 mai
cf. E. B<RÉ. F. ~«</o
f<ca7t< ~~0,
pp. 298-299.
27
Lettre
Mai-Juin
~/)eH<ee.
V. Hugo
de
M.
Foucher
M. Trébuchet
de V. Hugo
à son père
cf. Corres~/a
1835,
cf.
~OM</aMce
182-~83
pp.
PtEHBE
V. //M~O à vingt
DutAt,
ans, pp. 92-94.
Lettre
cf.
est à GentiHy.
Lettre de V. Hugo aux
cf. Le ~0!?',
26 mai
avant
~30,
p. 300.
24
rédacteurs
du ~zro:')'
cf. E. B)RÉ, F. Hugo
./M!M
Juin
Article
de Saint-Prosper
sur
les
V. Hugo
cf. Lettres
C/t<!?HpeHO!
lettre 109, pp. 13-20.
Odes
de
t. xm,
Ii
Abel Hugo et Romieu
font jouer
à f'Odéon
Un «-~7'opo.s- ~M?' ~c~'?'e e< y/to?M<
C'oy~M//e
cf. yoM?'M«/ de Paris,
cf.
6, 7, 12, 16 juin;
/OM</?-e, 10 juin.
8
Lettre
de Lamartine
a V. Hugo,
datée de
Saint-Point
cf. Revue
de Paris.
par Mâcon
Z<ïM«ï/'<<Me et V. //M~o, Lettres
tMe'<~ï'<<'s, par
M. G. Simon,
13 avril 1904, pp. R71-672.
I:<
2)
de V. Hugo
Co~on~aMee
Lettre
cf.
(Gentilly),
/<~5-5,
à M. Finaud
p. 372.
9
La Fille
de V. Hugo,
est impri<0-?'aK!,
mée par le CoK/'?'!e7'jL<«M'a!?'e,
n° 7, pp. 105106, 13 juin 1823.
L. Thiessé
un article
sur //«?:
a!
publie
lande.
C'est une fine moquerie
contre
l'auteur
de /~tM (<x/aM</e;
c'est
une excelanonyme
lente critique
cf. ~ercMre
du
~'<M<?,
t. ), livrais,
cf. E. Bnu:
xi, pp.
S13-528
avant
.1830,
/yM~o
pp. 293-294.
a propos
21-35
Lettre
de Saint-Vatry
//an
(/A'/f/M</e.
24
Article
sur i'~4-7~'o~o.9
de Xonneu
étogieux
et A. Hugo
le 6 juin
à
(Monnières),
joué
l'Odéon
cf. Le 7)/!?'o<?'. 24 juin.
C'est
le dernier numéro
1.
du journa).
2'i
a Saint-Vah'y
de 'i'hiessé
Réponse
de //CM
o!s'f/e
cf. E. B)RM.
f<~MK< 1830,
pp. 294-295.
Juin
Trébuchet.
6'<e<!M;E
du
Marie-Joseph
de Nantes
et de 6'/«!<eM?/&taM<
7~0M//f<y.
cf. Lycée
/t?'?Ko?'/caï'M.
t. t, livrais.
v). pp.
378-383.
Juini 823.
V. Hugo
V. Hugo
à propos
a Thiessé
)'~H!e.
compose
écrit
son article
sur
de 0Me/t<tH /)M?':oa?'
Waller
de
à propos
F. Hugo
Lettre
Scott
de V.Hugo
à son père:
cf. Cor?'MTMMa~Mce
cf. P.
~~5-35,
pp. 184-186;
V. Hugo
DUFAY,
à M!~< <!7M, pp. 96-98.
M. Dufay cite à )a suite
une lettre d'Adèle
au
général,
p. H9.
27
Lettre
de V. Hugo
datée de Genti))y:
cf.
30
à son oncle
Le ~<!?'o,22août
Trébuchet,
1888.
./?«7/<-<
r
.Juillet
S
Fondation
0</c à
de ta.M.!e/'?v<Mp~<.s'c.
)'t6'/o?' //Kf/o qui a concouru
M. Durand-Vrandau)mon:ef.
prix
par
CMet<</e~eM.'t;/J!'o~MM.'c,pp.ix-xj.R.F.,5
n°2788.
juiHet.~823,
Lettre
pour
de V.Hugo;)
son
cf. Co?'?'e.<père:
;~)M~?<cc
cf.
~o-35,
J 87-~88
pp.
PjEtt!tE Dub'AY, F. //M~O à vingt
ans,
pp. ')00~Ot.
le
Ile5
150
<<'r
1823
Juillet
21
C«~e«ë
de France
annonce
l'apparition
des 3e et 4e volumes
de )'s'aï
.<!<?' /'<Md!/y'ecf. G'a~<<;
de France,
reMce, de Lamennais
21 juillet
1823.
23
Lettre
de Lamennais
<eM?' d'autographes,
27
du général
Lettre
ehet
cf. ~en</tcp.
29
La
il
V. Hugo
cf. ~M!a~876, p. 99.
juin-juillet
Hugo
(Blois),
a A. Trébu-
7/aM
La
annonce
la ~yMA'e /a/t0MO<!fh'e?!Ke
de France
G'a~e~e
donne
le somp<!t.s'c. La
maire
du premier
numéro
et cite t'articte
de
V. Hugo
sans
donner
son nom. (Le premier
numéro
donc vers le 27 ou 28 juillet).
parut
Article
de plus
d'une
colonne
On est très élogieux
/?'aM{:a!'&e.
cf. L'Etoile,
31 juillet
champs
sur
pour
1823.
la J~M.s'e
E. Des-
Article
sur /<m
de la 7~</tdo?-e
d'7.s7a/;d<?.
et beaucoup
de critiques
louanges
Quelques
31 juillet
cf. La /a?tdo?-e,
1823.
En juillet
Fin
juillet2 août
V. Hugo
Ballades,
/'?'«K~<s'e
Lamennais.
de V. Hugo
à son père
cf. Co?'rMcf.PiEn~E
/)o/t</MMce~~5-~M5,
pp. 188-190:
à vingt
V. Hugo
i)UFAY,
ans,
pp. 102-104.
Lettre
l'ode La Zt&ey'/e (Odes et
compose
et l'article
de la ~V«.s'e
pp. 147-153)
sur
l'Essai
sur <Mdt/yc?'e/tce,
de
imp.
B.F.,
f/s/Hn~e,
Paris.
Lebe),
26juiHetl823,
2~ édition,
4 vol.
in-12,
Lecointe
et Durey.
Paris,
n" 3137.
N. B.
Voir au 8 février
édition.
pos de la première
Lettre
~oMt/aKce
OuFAY,
't823 les notes
de V. Hugo
a son père
:~5-~3o,
pp. 190-192
«
ans,
Hugo
vingt
pp.
~4
2t;
pro-
cf.
Correscf. Pinnm!
105-107.
2i)
Littéraire.
Z)M?'M?a?'<<
Fin
0MeH<t
Critique
<)M/co.M<tï.!a/MCoM?'</eZoM~
par Sir juiiktWatter
traduit
de l'Anglais,
etc.
Scott,
2aont
(1)
cf. La ~VM.s'e /?'aMp«Me,
1.1, livrais.
i, pp. 2945 (n" de juillet,
mais à B. F., 2 août, n" 3269),
cf.
et Phil.
mêlées,
signé Victor-M.
Hugo
t. t, pp. 245-257.
numéro
de la 7UM.s-e /'?'aKp«tA'<;
Le premier
contient
un /?'a~weM<
deyea?u:<;
d'~4?'c, de
la ~6MMf 7)/<<a</e, de Saint-Valry;
Soumet;
de Guiraud;
un article
sur
les
~/eï//e/'a'/c,
V. Hugo
a dû tra7)7<BM?' de E. Deschamps.
vailler
avec ses amis a t'~uMM<-7~o~o.s'.
d'être
(1) Voici ie~ changements
qui méritent
signalés
Litt.
et Philos.
24G
on a supprimé
un parallèle
entre
mêlées,
page
Après le premier
alinéa,
W.
Scott.
a
ei
voulu
le
Louvre
)a
et
monarchie
de
Napoléon
Napoléon
rajeunir
recrépir
Chartcmagne.
sa
W. Scottmieux
mission
de
ce
n'a
celle
de fondateur
comprend
poète que
géant
aveugle
compris
E.
ë)RÉ.
MMMM<
V. 7/M.~o
~.M<3, p. 313).
(cf.
248
le
1er
d'un éloge
des ~ar~r~,
alinéa,
Page
Après
suppression
cet,.admirab)e
poème
qui
mérite
la palme
de
)a
en
vers
sans
//e/M-tCK/e,
épique.
Critique
poésie
gazette
(cf. BmË, p. 3)5).
)a note au bas de la page contenait
une discussion
sur Gt< ~<M de Lesage,
les travaux
Page 249
de Llorente
et de Neufch~teau.
Au lieu « de l'éloquence
M~e~te de Rousseau
M
on lisait « )'é!oquence
&«<aM<6
de
Page 2SO
Rousseau.
»
l'alinéa
la p. 251 et commence
281
la p. 252 a été ajouté
en 1834.
Page
qui termine
les deux
alinéas
ont été remaniés
On a supprimé
un reproche
Page 252
premiers
pour le style.
fait à W. Scot.d'avoir
choisi
Louis XI quand il y avait tant d'autres
rois quiméritaientmieux(cf.
Brn);,
p. 313).
2H6
On lisait dans la ,M~g
ce /MMM'e /bM au lieu de ce pauvre
?'7't<'OM<e<.
Page
V.
terminait
en remerciant
W. Scott de sa préface
touchante
et ingénieuse.
Son
Page 237
iiugo
vieux
à
instant
le
sourire
et
les
iarmes.
Il
faut
ne
rire
de
marquis
provoque
chaque
pas
quelques
ont
vécu
dans
!'exi!
et
meurent
dans
)a
des français
ce
sont
les
infortunes
vieillards,
pauvreté.
qui
de l'honneur.
Pour nous,
nous avons
chose
de plus ridicuie
toujours
pensé
qu'il peut y avoir quelque
ia
le
vieillesse
et
maiheur
biRÈ.
(cf.
pp. 314-31S).
que
1823
~o!<<
4
ti
du premier
Le Journal
t/es Débats
parle
« Un exade La ~/M.s-e Française.
numéro
du roman
« men aussi ingénieux
que profond
« de (~MCH~M Z)M?'!oar<~ par
M. Victor
Hugo
« montre
dès a présent
avec quelle
hauteur
et
« quelle
la critique
sera
exercée
originalité
<~p.!
& dnns
celte
feuiiïe
cf. Le Journal
4 août 1823.
Débats,
3
p.109.
a propos
des Lettres
F~MLa 7''OM<p,
du vicomte
cite des vers des
déennes
Wa!sb,
par
Vierge de Fe?'<~MK. Cette ode est attribuée
n"
cf. La /oM~'e.
t. fx,
elle à Abel Hugo
13,
p. 301, 5 août ~823.
Lettre
de M. Finaud,
Toulouse,
de la ~/K.!e /?'/ïMp<e
édition
de l'Imprimerie
a propos
~a//<
p. 553.
Dans un article
il y a des
lique,
Han
d'Islande
~823.
155
Reprise
de Paris,
~4
Les
deville
30
Les
deville
de ~aM/
16 août
à V. Hugo,
cf. Odes et
Nationale.
intitulé
Catéchisme
allusions
moqueuses
Le
cf.
Corsaire,
il t'Odéon
1823.
romancontre
14 août
a son père
cf. Corresde V. Hugo
cf. PiKtUŒ
pp. 194-196
/)OK6~HC6 1815-1835,
<!H~. pp. H0-i12;
cf.
F. Hugo à vingt
DUFAY,
des sciences
BHLTON, ~MeM:o!'?'es de la Société
dit Zc~p<-67<e~
vol. xvi, livrais.
et lettres
t,
31 mars 1902, pp.26-27.
6
de V. Hugo à A. Trébuchet
jf~5-~35,
~oM~aKce
pp. 33-34
26 mai 1886.
garo,
22
Lettre
cf. )e Journal
en ~a~/tc,
Français
a-propos-vauMM. Abel
à l'Odéon,
en 1 acte,
par
cf. Z'~o<7e,
24
et Alphonse
Hugo
Vulpian
cf. La <pMo<:</<eMMe, 25 août
Le YoK?'août
Le Co?'sM!'?'e,
25
nal
des
25 août
Débats,
août (article
aimable).
Lettre
cf. Corcf. Fi-
en Espagize,
à-propos-vauMM.
etc.
Abel Hugo
et
par
in-8.
Tastu.
Paris;
Alphonse
Vulpian,
imp.
n"
Il.
30
août
3702.
Ponthieu,
4823,
Paris,
F.,
30
Français
en 1 acte,
Second
En août
Fin
;L son père
cf. Co?'?'
de V. Hugo
cf. PfEHXE
:M
5-95,
~on<~<c<?
pp. 192-193
H
à vingt
DUFAY.
V. Hugo
ans,
pp. 107-109.
au généra),
à la suite une lettre
d'Adèk
joint
Lettre
août
AoûtSept.
numéro
de La
-VM~e 7''y'<ï)tff«'se.
V. Hugo compose
Le ~~c,
M:oKjD~p,
Actions
de y~ce,
M:e~ amis.
Outre l'article
de V. Hugo,
le n° 2 de La
~Mc
contient
des vers de Pichald,
Française
Mme nesbordes-Vatmore,
Jules
J. de
Lefèvre,
un article
de St-Valry
et un de
Kességuier.
E. Deschamps.
Le CoM?'?'te?' Littéraire
de Strasbourg
prétend que Abel Hugo.
écrivain
de marque,
a
dû fonder
des o!<!M:M, ou
Le Co't.s'M~OMM~
Le Corsaire,
ou Le Diable
6o!<<'M.E, ou La
25~
/aK</o?'e
cf. Le Courrier
Littéraire,
i823.
numéro,
août-septembre
Littéraire.
Essai
sur
l'indifféCritique
M.
l'abbé
rence
en matière
de religion,
par
de la Lamennais,
t.
et !v (1).
t. i, livrais.
Cf. La ~Me
n, pp..
yraMpaMe,
n" 2, août
1823
n°
91-105;
(B. F., 30 août,
Victor-M.
3719).
Signé
Hugo.
Cf. ~!«.
et /<!7o~.
yM~e'M, t. !,pp.
259-265.
en reproduisant
son artic)e,
a fait un certain
nombre
de suppressions
intéressantes.
(1) V. Hugo,
~t~.
et PAt~.
de l'enthousiasme
avide
excité le
Mte/e'M, p. 26d, lignes
8, 9, 10, il parlait
qu'avait
Ce'Mte c~M CA/'M<!«MMMe.
avait contin~~é
donnée
aux
)2, il disait
t~age ?2
lignes
que )'FMatSM?'~Y/!<<t/~e'Mce
l'impulsion
écrits
de Chateaubriand.
esprits
par les admirables
863
la
d'un « sentiment
20, il parlait
Page
Après
ligne
purement
d'impuissance
personnel
qui
d52
Fin
d'août
1823
K
12
16
Sept.Octobre
tS'e/~e?H~'e
Annonce
des ~e'/noù'M
du Général
cf. La ()Mo<ï</teKneet.~<?./OMnta~MZ)~6a~.
3 septembre.
Hugo
La ~for/~e~'oc?'<7<e,
de Lamartine,
parait
chez
Ladvocat
cf. La 0MO<!<eH?!e,
des 3 et
12 septembre
cf. L'Eloile,
des 3, d2 et 15
septembre.
article
de Z<<oï/e
sur les ~<a:Long
tions
de
2~ vol.,
Lamartine,
po~<ïf/Mes
qui
le
20
et
en
sur
paraîtra
particulier
septembre
ie Poète
~OM?'aK<
cf. l'Etoile,
16 septembre
1823.
de V. Hugo
a son père
cf.
po/M~Mce
1815-1835,
pp. 196-197
à vingt
DUFAY, F. Hugo
~M~, pp.
On y ajoute
une lettre d'Adèle
au
et un /'os<c?'<jo<MH!
de
pp. H4-116
Lettre
Con'escf. PiEMK
113-114.
général,
Victor.
~4 ??:on p~e,
ode (t)
cf. La -Mse
f?'<!?tt. i, livrais.
m (15
mais
çaise,
septembre,
n" 423~),
à B. F., 4 octobre,
cf.
pp. 141-145
Odes et Ballades,
cf. A~OM!?c//M
pp. 137-d41
Odes, 1824, pp. 39-47.
Le
troisième
numéro
de La ~fM~e ~'ancontient
des vers de Mme Amable
Tastu,
çaise
de Ulric
cite
trois
vers
de
Guttinguer
(qui
V. Hugo),
de Ancelot
et des articles
de G. Deset E. Deschamps.
jardins,
Saint-Valry
13
Sept.octobre
Oe~o~'e
)<'
Lettre
du généra)
recommander
Feraudi
n" 220.
y'Muay,
Hugo
aH,abbepour)ui
cf. Catalogues
à V. Hugo
pp. 320-324.
3
Lettre
de Vigny
~30,
~M~o avant
4
V. Hugo
écrit
La ~fo?'<
&?'6M!/
cf. Odes et Ballades,
Nationale,
primerie
p. 554.
de
i
C/t<ï-
cf. E. BfnÉ.
Mlle
édition
V.
de ~'OHtde l'Im-
de V. Hugo
à son père
cf. Co~
cf. PtEXRE
~.5-~35,
pon~ance
pp. 197-198
Il
a?is, pp. 418-119.
DuFAY, V. //M</o M vingt
une lettre d'Adèle
au généra),
ajoute
pp. 117118.
Lettre
4
« lui interdisait
à l'occasion
du 2e volume
de l'Essai.
Dans
d'aborder
le sujet
de la controverse
agitée
« une discussion
a.
de
article
d'élever
où il s'agit0
d'autorité
ce n'est pas
l'auteur
cet
qu'il
appartient
« la voix. »
V. Hugo a supprimé
son article
et toutes
les
réflexions
aussi toutes
les citations
qui ornaient
petites
il
11
a
V.
avouait
encore
ne
voulait
lui ont suggérées.
ainsi supprimé
qu
pas
qu'elles
sept pages.
Hugo
Chateaubriand
se prononcer
sur les doctrines.
11 faisait
allusion
aux « pages
merveilleuses
écrites
par
Il
fait
certains
sur
les Juifs,
de
mémoire
en
mémoire.
a
disparaître
éloges
qu'il
pftges qui passent
difficile
adressait
à Lamennais
« Nous ne savons
si l'on partagera
notre
émotion
mais il nous parait
« d'épancher
de céleste
dans
les paroles
humaines
douceur,
plus
joie,
plus de
plus de consolante
« ravissante
de Sion
rendaient
d'ellesmélancolie.
On croirait
entendre
les soupirs
que les cithares
« mêmes,
»
la
aux saules
de Babylone
durant
suspendues
longue
captivité,
ne désespère
264
le
!<
alinéa,
on
lisait
«
M.
de
Lamennais
Que
Page
après
pas de ceux aux« quels
il apprend
à espérer.
On peut appliquer
à ce prêtre
illustre
ce qu'on
a dit poétiquement
de je
« ne sais quel écrivain
la
est
lui
mission.
»
une
gloire
que
pour
La ~Me
a fait quelques
à cette ode,
en 1824 et en 1828.
française
(t) V. Hugo
changements
contenait
une
note
de
36
sur
la
vie
du
de
180S
à
tirée
du
Diction1813,
lignes
Hugo
longue
général
il n'était
naire
des <yeHeraff.x
de Courcelles
de la Révolufrançais
par M. le chevalier
pas question
H
avait
tion.
n'y
pas d'épigraphe.
0
Odes et Ballades.
on lisait
~/aM chercher
de David
les traces
en 1828).
(Corrigé
Page 137, vers 4
e~ace'M.
on lisait
fortune.
en 1824).
Page 139, vers 13
y/'OM/x'parIa
(Corrigé
attendre
son réveil.
en 1824).
vers
on
lisait
courtisans
9
Page 140,
Vingt
royaux
(Corrigé
vers 11
Ne compte
en sa pénible
attente.
en i828).
on lisait:
plus, craintive
(Corrigé
de
vers 19; on lisait
L'astre
heureux
luit.
au lieu de
Brennus
luit.
L'étoile
(Coren
1828).
rigé
dans les Odes et Ballades
le ler vers.
V. Hugo a écrit/)/oy<M<
ta tente
Page 141. il faut corriger
et non ta tête. C'est ici une erreur
typographique.
ton étendard.
on lisait
ta <'6[K?!tërc.
Page 141, vers 9
puisque
remplacé
par
puisque
(Corrigé
en 1824).
–153
20
1823
9
20
Octobre
Mort
de Léopold-Victor
fils de Victor
Hugo,
né le 12 juillet
PIEHRE
DUFAY,
Hugo,
V. Hugo
à vingt
donne
l'acte de décès,
ans,
p. 122.
Annonce
Octobre
de 7/a?: d'Islande,
du beau talent
de
digne
son
auteur
»
cf. La
1823.
Oct.-nov.
l'ode
Ballades,
Lettre
t;~
de V.Hugo
à son père,
cf. Corres.5-y~3o.
cf. PiERHK
po~a~ce
p. 200
V. ~M~O à vingt
DUFAY,
ans,
pp. d23--)24.
Lettre
de V.Hugo
à son père
cf. PiERmt
DUFAY, V. Hugo
ans,
à vingt
pp. 126-127.
à
Trébuchet
consacre
trois
pages
Adolphe
la 2" édition
des
Odes et poésies
diverses,
de V. Hugo
cf. Lycée
t. n,
~4~'H:o?'ï'ea!M,
livrais,
T.
x, pp. 283-286,
signé Adolphe
le 9, V. Hugo
compose
Après
cf. Odes
et
fo?M&ye <MM en fant
pp. 389-390.
R
de V, Hugo
à son père
cf. Cor/'Mcf.
PjRME
1815-1835,
~OM<~Mce
p. 199
Une
DUFAY, F. T~M~/o à ~!H~< ans,
p. 120.
lettre
d'Adè)e
est ajoutée,
p. 't21.
de la 2" édition
a ouvrage
singulier,
« M. Victor
Hugo,
20 octobre
Foudre,
Lettre
Lettre
au sujet
de V. Hugo
au
de sa souscription
vicomte
de Sennes
à 7/aM e~aM~e.
)H
ti
30
~1
iv de La ~M~e ~'aMp~~e
fn° du
15 octobre),
contient
des vers
de Chenedollé,
de Mme Verdier,
d'Alfred
de Vigny,
de Ch.
Nodier
et des articles
de Soumet,
Ho)moduet J. de Rességuier.
rand,
Saint-Vairy
Le numéro
7VoueM!~7'e
Hugo
compose
cf. Odes et Ballades,
Nationale,
p. 555.
15
La Foudre
du 15 nov.
contient
trois
articles intéressants.
Le premier
197-201),
(pp.
Du Z)euo!?'
dans
sur le livre de Lamennais
les temps
est signé
S. V. (probableactuels,
Le deuxième,
sur La Litment Saint-Valry).
<e/'a~e
La
Z!Me'?'a<M~e
clas~'OM~M<Mp,
Le
La
~/Msc
~/e?'CM?'g
~'aKpaMe,
sique,
est
B.
Le
troisième
(pp.
202-206),
signé
~OM:f!K~aK
~'7~/aH(/c,
(pp. 206-209), intitulé
est signé S. V. (Saint-Valry
probablement)
(1).
Annonce
des Mémoires
du général
Hugo
cf. La Quotidienne,
20 novembre
1823.
20
2~
V.
la 6'M~?'?'c f/'jF~a~Me
édition
de l'Imprimerie
13
de V. Hugo
à son père
cf. Co?'?'c~Nov.
cf. PiEKMDuFAY,
F. samedi
~OMf/Mce,pp.20')-202;
M7~, pp. 127-~28
cf. BELTON,
T/M~O à vingt
~M~'e~
de la Société
des ~'cï'eKee~e/
Z~/?'M
du
t. xvi, livrais.
ZoM'-c<-C/<e?',
t, 31 mars
37.
-t902,p.
Lettre
0
dit
Ce'e'?'<i'/
t. i et n,
~/eMtO/rM
/~M~o,
2 vol. in-8,
Paris.
B. F.,
22
Pochard,
imp.
n° 4995.
Ils sont
d'un
novembre,
précédés
P?'e'e!~ AM/o?'</Me
</eA' ~e~ewe/t~
ont
qui
conduit
~M?' le /?'dMe d'Espagne,
/Va/)o/eo/t
par Abel Hugo fils (cit pages).
à tire. Le premier
sont intéressants
est une attaque
à fond contre
Lamennais.
(i) Ces trois articles
La chose
est à noter
dans un journal
ami de V. Hugo,
surtout
si l'article
est de Saint-Vairy,
ce que
Le 2e article
des
divisions
et
nous n'osons
affirmer.
des
talents
politiques
littéraires,
de la
parie
jeunes
de <'artic)e
de Thiessé
contre
Han
~MM française,
article
fera
(f/~aK~e,
en
fait
de
scanqui
époque
a fond contre
da)e
suit alors une attaque
cet article
et le jt/eycMre
du AV~fe .stge~,
rival de la J~M.s'e
sens.
H
lui
aussi
Le
3e
abonde
dans
le
même
des
divisions
littéraires
où l'on
mêle
française.
parle
la politique
/~aK <~7.~aM</e a été attaqué
révolutionnaire
et par les feuilles
par la fraction
royalistes.
est pourtant
un homme
de talent
des opinions
L'auteur
qui professe
généreuses.
~54
1823
Novembre
25
Article
de La Foudre
sur la 2e édit.
des
Odes
de Victor
cf. La
Foudre,
Hugo
(4)
247-252
novembre.
25
(E. D.),
pp.
Article
de La Foudre
sur les ~/p'MîO!'?'es
du généra)
cf. La Foudre,
274Hugo
pp.
277 (B.), 30 novembre..
30
Article
sur ~4m?te de 7~'e~a~ng,
de Trébude Feraudy
chet
et sur les Fables
cf. La
de V. Hugo.
Foudre,
pp. 283-285,
peut-être
La Fille
~/M.M,
pp.
En
nov.
Nov.-déc.
<<'0-yaM!
261-262.
V. Hugo compose
Odes et Ballades,
cf.
-L'~rc
de
pp. 163-165.
Almanach
7'rïompAc
des
cf.
Le numéro
v de La ~M~e Française
(a" du
15 novembre)
vers
de Baourcontient
des
Mme
Lormian,
Michel,
Dufrenoy,
Adolphe
A. Guiraud,
des articles
de Soumet,
E. Desd'A. Hugo)
et G. de M.
champs
(qui fait l'éloge
vend
à Ladvocat
les Nouvelles
Hugo
d'Adèle
au
cf. lettre
Hugo
généra)
dans PIEIIRE DUFAY,
F. //M~o
Hugo, 2 décembre,
à vingt
ans,
p. 130,
Nov. au
V.
2 déc.
Odes
.Oeee~~e
1~~
V.
un
traité
avec
Ladvocat,
Hugo
signe
cf. Odes et. Ra<pour une 3' édit. des Odes
édition
de l'Imprimerie
<a</es,
Nationate,
p. 555.
2
Lettre
d'Adèle
Hugo
PfKHHE DUFAY, V. Hugo
131.
au gé/iéra)
Hugo
à vingt
ans,
pp.
6
Précis
des euene~en~
historique
qui ont
sur
le trône
d'Esconduit
Joseph
Napoléon
in-8,
Pochard,
~a</Me, par Abel Hugo,
imp.
Paris.
des ~M<ou'es
du général
Extrait
Hugo.
à 60 exemplaires,
ne sevend
contient
pas,
B.
F., 6 décembre,
pièces justificatives.
5435.
7
29
cf*
129*
Tiré
des
n°
La
des vers de Soumet,
()MO<!<<<eMMe parle
Victor
et tant
Guiraud,
Méty-Janin,
Hugo
d'autres
sur
la guerre
Cf. La
d'Espagne
7 décembre
1823.
Quotidienne,
Ch.
senal
1823.
Nodier
est nommé
cf. Journal
de
(2) L'auteur
lui plusieurs
des
bibliothécaire
30
Paris,
de cet article
cite
idées qui serviront
à l'Ardécembre
abondamment
la préface
a V. Hugo pour composer
155
des
la
de V. Hugo et l'on
de CroMK)eM.
préface
Odes
trouve
chez
1823
Décembre
Décemb.
des
Cyclopes,
par V. Hugo
t. «, livrais.
Le Lycée
~4?'M!o?'tca~,
xu,
décembre
1823.
429-430,
Z'~H~'e
V. Hugo
-S'OMt6rcMï7
172.
compose
cf. Odes
La
~/ot'<
et Ballades,
de
~e
pp.
cf.
pp.
de
167-
La ~/M&e /a?ipat~e
(n° v) du 15 décembre,
mais du 27 à B. F.), contient
des vers de Delde Nestor
de Lade Brifaut,
Gay,
phine
de L. Belmontet,
des
articles
de
marque,
de Guiraud
les ~?!0!?'~
du
Soumet,
(sur
de Ho)modurand,
de SaintHugo),
général
de V. Hugo,
de E. Deschamps.
Vatry,
En 1823
de mois.
V. Hugo
Sans date
compose
A
mes
vers
mes
odes
Odes
et
Ballades,
(~4
pp.
H9-d24);
Z,M<où'e(0<~e<~a~aafc.s-,
Za
~H?;~
~Vo~
(Odes et Balpp. ~25-~27)
Le
et
lades,
pp.
129-136)
Sylphe
(Odes
La
Ballades,
~?'f<n<we?'e
pp.
439-443)
et Ballades,
(Odes
pp.
445-447)
Epitaphe
et Ballades,
~OH
e~pp.
319-321);
(Odes
et Ballades,
(Odes
/f<~ce
pp.
365-370)
A
Ballades,
G.y
/'ay(Odes et
pp. 371-372)
et
~'?tco?-e
.BM//a6~
sage (Odes
pp. 373-376)
et
.S'o/t
Ballades,
M/o<(0o~
377-379;;
pp.
7VoM (Odes
et Ballades,
Z/.4Mpp. 381-382)
~c/<?'s<
Le <
(Odes et Ballades,
313-318);
et Ballades,
nier 6'Aa?!< (Odes
pp. 173-176).
à son oncle
Hugo
26 mai 1886.
Trébuchet
~M?' ~o~<ï:'?'~
~M~
/'y'ayM:en<.
/?'e!7!p<i!6'e,
t.
n° 6, pp. 427-436
de
décembre,
(numéro
i B. F., 27 décembre),
V. Hugo (i).
Cf. Z.ï'
dée.
Fin
Lettre
de V.
cf. Le 7''<ya?-o,
et Philos.
M~
t.
pp.
236-243.
note
de la .')/;Me /aMpaMe
lecteur.
Ce fragment
est tiré d'une
(1) Une
renseignaitje
Notice
et
MM' la vie
les H'cy'
de ~o«a:e
choix
de lettres
dë' cet écrivain
qui précède
célèbre,
publié
par
A. Bouiiand
et C'o.
Ce choix de lettres
fait partie
d'une
collection
sur
imprimée
par Firmin-Didot,
en
deux
in-!2et
in-8
raisin.
Elle
sera
fin,
formats,
ornée
des
papier
publiée
des
grand
portraits
divers
auteurs.
L'éditeur
rien
collection
& la jeunesse
destinée
pour que cette
soit
n'épargnera
particulièrement
des
de
tous
les
amateurs
de
bons
et
beaux
livres.
Elle
également
digne
bibliolhèques
sera,
par son
extrême
d'être
donnée
en étrennes.
choix
de
lettres
susceptible
sera
d'une
élégance,
Chaque
précédé
notice
et
raisonnée
sur
l'auteur
elles
seront
biographique
auquel
empruntées.
Le choix
de lettres
et la rédaction
des ~Vo~'cMsont
confiés
à M. V. Hugo.
La iro livraison
paraîtra
Je 10 décembre
1823. (elle parut en -1824 et il ne contint
de Voltaire
et de Mme de Séque des lettres
vigné).
Dans Litt.
et Philos.
?M~/e'M f'articie
commence
au bas de la page
A'OMMf/'
Voltaire.
il y
c 236
a pas mal de variantes.
voici les changements
importants.
«
18<
et
19e
Au
de
)a
lieu
~Kce/<e
» on lisait
« soit tK/~we
~Mce~e.
»
Aulieu
Page 239,
lignes
de « coMpa&/e
«
on
lisait
»
ouvrage
?'e~aoM~a?t<
ouvrage.
<BMwe </?'aM:a<t~Me a remplacé
Page 240, 10' ligne
c/te/d'a'Mwe
~'a'?M6[~MM.
La /by'ee
ce K'e~
c'est
242, Ile )igne
Page
ceci
empas Protée,
./M~!<e/remplace
~~oKr
à ee<0~/Mpe
si M&'e',y<7waM les temples
~yMM<e/' MHe comparaison
?t'OH<&?'K<e
Protée
<e
~ateM~
pour
meM:e e?tcen~ </Me /jOMy ./M/):<e7'.
reuo~M/tOK
242, ISe iigne
révolution.
fatale
Page
rempiace
~ep<o/'a&/e
18~' )igne
choses
MMM<MeM~M
MO?M<rMo~t<M.
remplace
19~ iigne
révolution
remplace
e/)o</MC.
21e iigne
le /~M.s' /'e</oi<<a~/e
des soplcistes
remplace
le ~/<M <<c!ey'eK~
!<' ligne
Note,
ait jeté remplace
eK<~e.
-d56-
30
Fin déc.
VII
CHAPITRE
1824
1824
Janvier
Hh
15
17
Lettre
de Lamartine
de Paris,
Lamartine
M. G.
inédites,
par
676-678.
pp.
à V. Hugo
cf. T~ë~Me
et F. Hugo,
Lettres
15 avril
Simon,
1904,
livraison
de la A/M~e /?'~?tpaMe.
Septième
On y trouve
des
vers
de Mme
DesbordesA. Guiraud,
J. de Rességuier,
Mme
Valmore,
A. Tastu,
V. Hugo,
un article
de Guiraud
des articies
de G. de Pons,
(Nos </oe~?te.s'),
A. de Vigny
et E. Deschamps.
A la 7e livrais.,
on donne
la date du 15 janle 15 de
vier et on indique
que La Muse paraît
mois.
On la trouve
a B. F. au 24
chaque
janvier.
Poèmes
et chants
ornés
de
élégiaques,
In-18.
Didot,
gravures,
par A. Guiraud.
imp.
Paris.
Boulland
et Cie,
Ladvocat
B.
Paris,
n° 366.
1824,
F., 17 janvier
()MO<!</te~e
un entretitet
du 17 janvier
contient
sur
cet
ouvrage.
Lettre
de V. Hugo a son père
cf. PIERRE
DUFAY, F. ~M~o à vingt
a?:
pp. 75-77.
la donne
comme
étant
de 1823 mais
Dufay
le post-scriptum
le contenu,
surtout,
indique
est
de
1824.
qu'elle
ZaBaMe./Vot?'e,Ode(l).
t. n, livrais.
vu, pp. 43-49.
et Ballades,
pp. 129-136.
~/M~e/anpa!
V. Hugo
cf. Odes
Lettre
de V. Hugo
à son
cf. PiERKE
père
DuFAY, V. //M.</o<ï u!M~<aKA',pp.
133-134,
qui
au même,
donne
une lettre
d'Adèle
132pp.
133. Dufay,
le
donne
simmanuscrit,
d'après
ce /M?t</ï ~9
c'est nécessairement
le
plement
19 janvier.
dans l'épigraphe,
le nom
après
(1) On a supprimé
cette phrase
est empruntée
cf. le /)e'/e)MeM?',
auquel
en suivant
)e texte
des Odes
Voici les corrections
on lisait p~'eMey son coursier
131, vers 14
Page
vers 23
Et levant
des voix sépulcrales
la cloche
du
dernier
vers
0« tremble
de 1824).
(Correction
Page 135. Les vers 15, 16, 17, 18 sont transformés.
est sans dangers.
Un tel triomphe
Mais qu'ils n'éveittent
pas les preux de ces rnuraiDes
ombres
ont
des batailles
Ces
qui jadis
gagné
Les prendraient
pour des étrangers.
Odes et Ballades.
de Ch. Nodier,
le titre de l'article
~NtM<cAe<
t. )n. livrais.
novembre
1820.
xxxm,
p. 294,11
et Ballades.
au lieu de
/t<~e/
de 1824).
(Correction
au lieu de –Ott,
levant.
(Corr. de 1824).
M'&ra~t/e
la cloche.
soir
au lieu de
Qui
les 2 textes
Pour eux il n'est point de danger
Les héros qui veittaient
sur ces hautes
murailles
Les ombres
ont
des
batailles
qui jadis
gagné
Ne combattent
que l'étranger.
~/tMe /rancf!<e
et Odes de 1824.
Voici
de 1824;
celles
de la p. 135 ont été faites
Les corrections
de la p. 131 ont été faites
pour l'édition
en 1828 seulement.
A la fin de t'ode,
La ~/tMe française
avait
mis cette note
Cette
ode fait partie,
ainsi que celle
d'un
du même
insérée
au 1er volume
de la ~:Me (A mon ~ere)
volume
d'odes
inédites
auteur,
qui
en
ce
moment
chez
3
fr.
50.
Nous
rendrons
de
ce
nouveau
recueil
d'0</M
Ladvocat,
paratt
prix
compte
de M. V. Hugo.
–~57–
15.
19'
1824
En janv.
Janvier
V. Hugo compose
Le CAaH< de /?'~He
Le CAa?t<
~</af/e.s-,
((M<M~
pp. 297-30~;
du 6'7'<yKe (Oo'e.s- et ~<ï</e.<,
pp. 303-306)
et ~<
Le C/!a/t<
f/M 7"OM?'no< (Odes
pp.
Janvierfévrier
307-3H).
V.
Hugo
compose
~a/~a</eA',
pp. 435-437,
~te
date
/<'e:cf.
't824.
et
Me~
-et;e~'
Février
15
la Préface
des ~OM!;e//M
V. Hugo compose
et 6a//<!</M,
(?<~
cf. 0<~
pp. 9-2i.
de La ~/M~f 7'a?!paMe
La 8e Hvraison
(B.
vers
de
Mme
28
contient
des
CéréF..
février)
de Mme Sophie
Barbé.
de Ch. Nodier,
Gay,
des
articles
de Louis Belmontet,
de ViHebois,
et de
E.
de Hességuier,
de Saint-Prosper
Deschamps.
~/<ï~
<1
6
Tablettes
d'une
Universelles
parlent
entre
t'.Ë'<o<7<? et t'0?'?ow:M!ea
propos
dispute
L'/?<0!/<'
est contre,
l'Oridu
romantisme.
L'Etoile
les Romantiques.
/~aM:M:p est pour
« le principe
d'autorité
a appelé
à son secours
a
Univerdu Père
Lamennais
cf. ?'a&~<~
6 mars,
668 livrais.,
selles,
pp. 176-178.
7
consacre
deux colon~o'6'afp~e
de France
Odes par Victor-M.
nes aux~oMue~es
Hugo,
lui
des
abstracF.
B.
On
article
reproche
signé
on le
des
tions
obscurités,
métaphysiques,
et politique
de
félicite
du caractère
religieux
est une des conses œuvres.
Son ~M~cAr~
Son Bonaparte
les plus étonnantes.
ceptions
de
cf. 6'a~e«e
est imposant
et mystérieux
7 mars 1824.
France,
11
Les
des jeunes
La Pandore
se moque
dévoués
au culte de la contemplation.
les
avec les morts,
confèrent
tristes,
les vampires,
lutins,
fées,
revenants,
des
tombeaux.
les secrets
naissent
bien
bien pensionnés,
bien mangeants,
vantés.
bien
bien imprimés,
Epris
à
l'infini
ou à
ils rêvent
alors
gloire
Lettre
de V. Hugo à Charles
Nodier,
aproarticle
doit
dans
la
d'un
paraître
pos
qui
(~Mo« Est-ce
à
lidienne.
que t'aigte
consentirait
« juger
franc ? w
»
le vol du moineau
cf. Catalogues
n" 404.
Charavay,
8
poètes,
Ils sont
esprits,
ils conIls sont
placés,
de leur
l'incom-
préhensible.
obscur
et
« Le plus
le moins
intelligible,
des congré« sans contredit
le plus distingué
« ganistes
pleureurs
dont je viens de parler
a Le critique
fait
ensuite
« est M. V. Hugo.
de la vie de V. Hugo
qui d'après
l'historique
en 1822
un recueil
lui a 27 ans. H a publié
de grandes
d'odes
où il y a de beaux
vers,
haineuse.
Ses Noumais une politique
pensées
mériTous ses chants
~f.s'
odes sont mieux.
les rangs
des
tent d'être
lus. Le poète
déserte
Choix
de Lettres
de ~Mp
Sévisur
sa vie et ses
<MHe
notice
07'H~</e ~OM portrait
(le portrait
Moral
y~c,
précédé
ouvrages,
et
manque).
3 vol.
In-18.
B. F.,
Boulland
158
Paris.
Paris,
Didot,
Imp.
i3 mars 1824, n" 1313.
i3
-<
1824
de l'honneur
contempteurs
ve en est dans~o~
pM/aKce
11 mars 1824 (non signé).
i2
Annonce
peau
blanc,
des ~Vouu<M
d2 mars
~824.
national
cf. La
Odes
la preu7'aH~o~,
cf. le .D?'a67<T;)/o?'a/</e.e<e.e
Fb/<<xu'<ela
vie
cédé <Z'Mnp /to<<ce .s'M~'
et les ouvrages
<<('ee<ec?'n)<ï!H
ej/c&?'ee~07'6'f/e~o?ipo~<a/<(l).
3 vol. in-i8.
BoutDidot, Paris.
Paris,
Imp.
land
B. F., 13 mars
-t824, n" d314.
Cf. Litt.
et /<!7os.
??~/eM,
pp. ~S et 416,
't64 et pp. 23), 243.
des Lettres
Le choix
moral
de Mme de Sévigné
et de
Voltaire
est précédé
d'une
de
Préface
en
retrouve
le
commencement
115
et
On
dans Litt.
et une
e<M:<o~.MM/e'e.
H6,
pp
on
V.
a
164
doit
encore
de
à
~<
vieilHugo
reproduite,
p.
respect
/a~eMM<.s's'e </M'a
phrase
que
/)/M~
Dans les trois lignes,
cette phrase,
il a résume
la demi-page
lesse.
qui précèdent
précédente.
il indiquait
Les deux préfaces
sont identiques.
avoir parlé
du style épistoiaire,
les modèles
Après
Mme de Sévigné,
mais
ils
ne
sont
sans
du genre
Voltaire,
Jean-Jacques,
pas
danger
pour la jeunesse.
« il faut environner
de Sévigné
elle-méme
ne peut être lue par les jeunes filles
d'une chaste
et
Mme
« religieuse
sollicitude
les premières
d'une
et les premières
émotions
d'un
âme
impressions
jeune
d'un
« jeune
cœur
et l'on ne saurait
cette
vënérabte
l'on
doit
trop répéter
pensée
antique
sage, que
« encore
de respect
à la jeunesse </M'a la vieillesse
». V. Hugo citait
ensuite
le nom des epMioplus
dont il offrait
une collection
choisie
J.-J. et J.-B. Rousseau.
laires
Voltaire,
Frédéric,
Montesquieu,
La
Boiteau.
Lamotte,
d'A)emhert,
Voiture,
Racine,
Diderot,
Ftéchier,
Balzac,
Harpe.
Bussy-Rabutin,
etc.
Mmes de Sévigné,
Villars,
Maintenon,
Aïssé, Simiane,
Staal,
Tencin,
Lafayette,
(L'enGraffigny
ZD
était
nous
n'avons
trouvé
Vottaire
et
Mme
de
que
Sévigné).
treprise
grande,
cette collection
ne blessera
la religion
« C'est toujours
dans les lettres
Rien
dans
et la morale.
« d'un
de son cœur et
homme
plus que dans tous ses autres
l'empreinte
qu'il faut chercher,
ouvrages,
de sa vie.
aux suppressions,
elles nous
sont indiquées
intention
la
trace
Quant
par une
trop pure
à
nous
les
Ce
la
mora)e
conseille
est
que
justifier.
que
toujours
approuvé
par le
« pour
songions
« goût.
»
La préface de l'éditeur
dans le Choix moral
de Lettres
de Mme de Sévigné
les pp. v a
comprend
xix
à
d'une
Notice
Nous
n'avons
Elle
est
suivie
6W
~/?Me
de
trouvé
nulle part
xxx)
(pp.
Sévigné.
viij.
est pourtant
bien son œuvre.
dans les œuvres
de V. Hugo cette Notice
t'éditeur,
qui, d'après
les femmes,
Il commençait
par rappeler
quelques
phrases de J.J. Rousseau contre
puis il affirmait
Il
le
)eur
en
en
Balzac
et. Voiture, qui écristyle épistolaire
appartenait
propre.
critiquait
passant
que
« son
de la postérité.
Mme de Sévigné
fut auteur
à son insu
V. Hugo admire
vaient
sous les regards
»
en
« aisance,
son naturel
son style
sa familiarité,
Son livre est unique
son genre,
animé,
exquis,
on
à
« il est des choses
ont
une
telle
cherche
les
imiter,
qui
empreinte
d'originalité,
que plus
plus on
« les rend
»
inimitables.
V. Hugo raconte
ensuite
la vie de Mme de Sévigné
de quelques
réuexions
cette vie
agrémentant
toute
dans
Lettres.
Les
qui est
un vrai tableau
de la cour de Louis X)V, il en étuU termine
en montrant
offrent
que ces Lettres
a été souvent
les uns )a trouventpye'eteKM,tes
die le style.
Mme de Sévigné
critiquée
autres ~a;t.s'e'MMVoltaire
une
caillette.
V.
cherche
il prouver
lit fausseté de ces critiques.
On a
te
l'appelait
Hugo
La Fontaine.
de vrai, dit V.
Mme de Sévigné
à Cicéron,
H y a quelque
chose
comparé
Montaigne,
lui s'applique
une page de La Harpe sur notre Farter,
Hugo,
qui cite pour conclure
page qui d'après
à
Mme
de
aussi bien
Sévigné.
à reproduire
ces quelques
sur
H y aurait
vraiment
intérêt
dans
les œuvres
de V. Hugo
pages
Mme de Sévigné
elles sont charmantes
et l'on dirait
parfois
que V. Hugo a pris Mme de Sévignépour
modèle
il
s'en
est
d'assez
son
et
approché
près.
les
Lettres
de Vollaire
en entier
dans Litt.
et
La./Vo<ce
se trouve
reproduite
qui accompagne
la
avaient
~Me
Philos.
Une partie
Mt~e'es,
déjà
paru dans
/wtpaMe
pp. 231-243.
(les pp. 237-243)
Le
du
J/o;'a<
mais
les
231-236
ici
la.
fois.
texte
Choix
(décembre
1823)
pp.
paraissent
pour
première
et celui de ~tM. e<tt/(M.
M~e'e.! n'offrent
dont
voici les plus importantes
que de rares variantes
»
« poème
».
« poème blafard
de la Ligue,
était simplement
de la Ligue
Page 232, ligne 28
V. Hugo n'avait
le mot /~tce//<;
on lisait
en tou!cs
les lettres
pas osé écrire
Page 233, ligne 26
son odieuse
y.
avait
on a supprimé
deux lignes
ou V. Hugo racontait
recueilli
que Voltaire
Page 236, ligne 3
la petite fille du Grand
Corneille.
(1)
/t<<'M?'.
-d59-
t3
~/<M'&
~824
Nouvelles
ca?n??<!<~
Odes,
su~t.
par
Paris,
Victor-M.
Ladvocat
Hugo.
(Imp.
Nos
Pi-
nard),MDCCCXXtV(1824).!n-18.xxviij.-232p.:
B. F., 13 mars
n° 1370(1).
1824,
Les
N.-B.
dans les premiers
te de /7'CKce en
le 11.
ont dû paraître
~YoMt;e/~
Odes
puisque la 6'6t~e<jours de mars
parle dès le 7 et La Pandoredès
se trouve
aux Odes et Ballades,
édition
ne ~arte~M?',
1824), elle est
pp. 9-21 (février
(1) La Préface
exactement.
reproduite
a
édition
avec les changements
Ce volume
contient
28 odes. Les voici, dans l'ordre
de cette
qu'on
introduits.
depuis
Elle a gardé
ce
[.
A M:e.< vers,
en 1828,
mes odes
(t. t. pp. 121-129).
pp. 1-10, est devenue,
sans
trouvé
Nous n'avons
titre dans les Odes et Ballades,
que deux petits changements
pp. 119-124.
importance.
l'instant.
il y avait
/M vers,
voici
Au ler vers, au lieu de ~/M odes, c'est l'instant.
au lieu de Vous, ô mes chants.
Vous, o mes vers.
121, au vers 11, i! y avait
Page
II.
Le poète,
Odes et Ballades,
pp. 245 249.
pp. 11-18.
Ah
H y avait deux
à cette ode en 1824.
Voici celle qui a disparu
ceux que ravissent
épigraphes
c<BMr
Th.
J/e7o<.<e~
irlandaises.
ces chants
sont loin de croire
fi l'amertume
son
Moore,
qui ronge
Pour le reste,
V. Hugo n'a rien changé.
III.
Trois
Odes et Ballades,
/M<ot~
pp. 19-23.
pp. 125-127.
un
Trouvent
vers ont subi une transformation.
Odes et Ballades,
p. 126, vers 5, on lisait
au lieu de Trouvent
un but pareil
des routes
contraires.
but pareil
en <eMr~' sentiers
contraires
par
Vers
dresse.
14. /oK(<e.
remplace
au lieu de Et la
vers se lisait
Et la <<e/'H<e/'e <o?K&e et <e premier
&e/'cesK
Pf)ge 127, le dernier
tombe
et <e (/crM:e/'
6e/'ec<tM.
/)yeM:'e/'e
IV.
La Bande
Odes et Ballades,
Noire,
pp. 129-136.
pp. 25 38.
nous l'avons
livrais.
On
Cette ode a été imprimée,
vu, dansi:)
11,
vn, pp. 43-49.
~MM/a?!p6[Me,t.
mars
soit
1828.
L'édition
au
les
corrections
faites
cette
ode
soit
en
en
1824,
1824,
peut voir,
15 janvier
la
trivialité
«
Noire
est une t?M<!<Mune
note
sur
du
titre.
La
.CaM<<e
de 1824 portait
(p. 26)
petite
« <tox laissée
de cette révotution,
la trivialité
est souvent
des choses
et, en partant
par la révolution
« un défaut
».
note
n'a
été
dans
l'édition
ne
varietur.
inévitable
Cette
pas
reproduite
V.
A MMM père,
Odes et Ballades,
pp. 137-141.
pp. 39-47.
dans
la ~/MM /<ïMpa~e,
t. ), livrais.
1823. En
Cette ode a été imprimée
m,
septembre-octobre
mais
dont l'une
a disparu
en 1828. La voici
~VoM~ eMMM nos forfaits
1824, il y avait deux épigraphes
MOiM eMMe~ nos gloires,
Holmodurand.
de 1824.
En lisant
ce que nous avons dit en septembre-octobre
1823 on verra
quel était le texte
VI.
Le repas
Odes et Ballades,
libre,
pp. 49-54.
pp. 143-145.
la
note
suivante
t~ est aisé
de voir que la composition
de
En 1824, cette ode était précédée
de
cette ode est <!K<er!'eM7'e a la mémorable
guerre
d'Espagne.
le 29 avril (1823).
le
elle
aurait
été
Cf. Odes et Ballades,
manuscrit,
composée
D'après
à Gentilly
498.
édition
de l'Imprimerie
Nationale,
p.
vers
ont
été
transformés.
Voici les deux textes
Les quatre
premiers
dieux de l'Olympe
immolant
l'Evangile
Lorsqu'aux
l'Evangile
Lorsqu'à, l'antique
Olympe immolant
d'un
tribunal
Et
d'un
vil
tribunal
Le préteur
fragile
prêtant
l'appui
fragile
appuyant
odieux
A leur temple odieux
Ses temptes
Le
avait
avait proscrit
des chrétiens
les chrétiens
Livide,
pleins de joie.
juge
proscrit
pleins de joie.
~YoMM«e~ Odes.
Odes et Ballades.
a subi un petit
Au lieu de
CAercA<eM<<eKOM'e/<e~!M;
changement.
on
cAeMttM;
/'<eM~;
VII.
La Liberté,
Odes et Ballades,
pp. 55-64.
pp. 147-153.
l'édition
de 1824, une seule
est restée,
voici celle que l'on
Des deux
que contenait.
épigraphes
<(
OMest
du
là
aussi
est
/<!
/t'<'er<e–
NM~' CorM~At'e/M
St-Paul,
l'esprit
Seigneur,
épître
supprimée
ibi /!&M'<fM. 2 Corinth,
n[. 17.
Voici le texte
de St Paul
~/6! aM~e~
Domini,
Spiritus
Odes et Ballades.
on lisait,
Au lieu de
Liberté
Liberté,
pur flambeau
guide,
pur flambeau.
Page 148, vers 3.
est complètement
remaniée.
Voici les deux textes
La fin de la strophe
Page
lisait
145, le premier
Cherchaient
vers
Car mon luth est de ceux dont les voix
les infortunes,
Pleurent
toutes
Mes hymnes
Trainant
importunes
160
dévoués
ne vont point sur
dans la lutte une chaîne
l'aréne
a
13
1824
0
yt/ft~
./VoMue//<M
cle é!ogieux
t. 11, Hvi-ais.
16
Entrefilet
~où'M
du
/~Mpa~,
Me~,
par
de Soumet
<x, 15 mars
sur
aimable
gênera!
16 mars
ArtiVictor-M.Hugo.
cf. ~/M6'e /?'<2/tpf<!xe,
1824, pp. 161-173.
Hugo
1824.
le
t. m
cf. /.e
des
J/
C'o?'.«ï!'?'e
Bénissent toutes les vertus.
Mes hymnes
dévoués
ne traînent
point la chaîne
Du vil gladiateur,
mais ils vont dans l'arène,
Du linceul
des martyrs
vêtus.
Odes et Ballades.
Dans
condamnés
Page
Mais du manteau
d'azur vêtus
Mon luth n'est point de ceux dont les voix importunes
Ne savent
toutes
les infortunes
pas pleurer
Etbénir
toutes.les
vertus.
Nouvelles
Odes, 1824.
l'édition
de 4824, l'expression
vêtus
~'a~Ky
aux
descendaient
dans le cirque,
bêtes,
4
150. Le vers
a pris une tournure
reiigieuse
de cette note
Les
était
accompagnée
coMuer<~
d'une
<M)t!~Me 6/eMe.
La correction
n'avait
qu'il
pas en 1824.
martyrs
est de
1828.
Et les sages,
menteurs
aux paroles
Odes et Ballades.
~tume~'
Et les sages,
menteurs
aux
Nouvelles
L'édition
des Odes et Ballades
de i'tmprimerie
Nationale
nous a donné
Nous les indiquons
en suivant
l'édition
Me ear:e<M/
tous les fléaux,
Page 150, vers 8 .S'M~ son propre
forfait
jetant
M?t <'c/t6[K</e d'oubli,
vers 16
Promettre
vers 19
de vos rois brisez ~e~M~
(<'atyaMt/
Nations,
sa parole
est féconde;
Rn ~e;)A'e/
fraternels,
152, vers 8
Page
vers 9
77 uoM~Mt être humble
et souffrant!
la Liberté
vers 10: Frères,
<~<t'OK A'OMt/~e par des crimes,
La Liberté,
COM?'MHK6[H< les victimes,
sourit,
vers 11 ~/ëre
des dévoùments
sublimes,
vers 12 Les M:<Me en MM commun
or~Me:7,
Unit
et
vers 15
Malesherbes
~o/M<'?'<;Mt<.
doctrines.
pompeuses
Odes.
variantes.
quelques
VIII.
La guerre
Odes et Ballades,
pp. 155-162.
d'Espagne,
pp. 65-76.
Les journaux
dans les Nouvelles
Odes
il semble
ont parlé de cette ode avant
son apparition
qu'elle
a du être imprimée
quelque
part.
<e
V. Hugo
n'a
mot
on le trouve
dans
les Odes et Ballades,
p. 160, vers 9
changé
qu'un
a
un
Vieux
<e Louvre
e'MMt. La note des Odes et Ballades,
été aussi
Louvre
peu
p. 543,
remplace
servum
modifiée
selons
c'est
<a
MH
tort
0
imitatoi-es,
nous,
remplace
~ecMS.
Nationale.
l'édition
de
Voici quelques
variantes
le manuscrit,
données,
d'après
par
l'Imprimerie
Me varietur,
Edition
vénérable
Page0 155, vers 1 Oh 1 que la Royauté,
et poudreuse,
vers 3 ~e.~9<eK<<!M<!K<e t/MS//a en leur nuit <e'/te'&retMe,
une tête rebelle,
dresse
Page
156, vers 5 Son bras, quand
/'o~y<te<7
le Louvre
e'WM réponde;
Page 160, vers 9 (?«'<: y'~Aa/K~ya./o.yeiM;,
vers
Son
aux
8
/MKM<e,
Page 162,
épée,
pervers
au glaive
cé)este.
vers 9: Est pareille
IX.
de Triomphe,
Odes et Ballades,
L'Arc
pp. 77-81.
pp. 163-165.
Cette ode est devenue
Z'~t?'c de Triomphe
de l'Etoile,
c'est le seul changement.
X.
V.
de ~o/K~~eK~,
Odes et Ballades,
pp. 82-92
a fait disparaitre
tout
une épigraphe
pour
changement,
Hugo,
Z.MM<'i?te.
~'aM/KOHe. A. Guiraud.
~ya<t</Mat<
XL
La
mort
de
Odes et Ballades,
pp. 93-102.
pp. 289-295.
Deux mots
seulement
ont été changés.
Odes et Ballades.
trace.
Page 292, vers 1 marche
remplace
vers
10
secret
éternel
secret
?M~?'Met//eMa:.
remplace
Page 293,
XII.
de /re;te.
Le Chant
Odes et Ballades,
pp. 103-110.
pp.
Un seul mot changé
Odes et Ballades,
dernier
vers
riches
p. 298,
/i~ca'<o?K6M.
pp. 167-172.
Une femme
mourut
qui
/Me,
297-301.
hécatombes
remplace
XHL
Le Chant
du C!<yMe,
Odes et Ballades,
pp. 111-118
pp. 303-306.
En 1828, V. Hugo a fait. disparaitre
une épigraphe,
tirée des ~ar~/rs
de
Chateaubriand
dant
le peuple
s'assemblait
à /'(MM~/ttf/ttM<re
Ha fait
deux corrections
</e Fe~asteH.
saintes
:.Cepen-
–i61–
21
1824
~arA-
22
Le
met
cite
vers
bien
cf.
24
Corsaire
dans
la
se moque
de l'article
de Sou~/M~e /?'a?tp<e
sur V. Hugo.
H
vers
du poète
tirés
de A mes
quelques
et ~4 toi
il trouve
doit être
que Soumet
fier de comprendre
ces belles
choses
[a
Le
22
Corsaire,
Annonce
cf. Journal
des
des
mars
1824.
./VoMf<es
Odes
V. Hugo
1824.
de
24 mars
Débats,
Odes
et Ballades.
de Nubie.
Page 304, vers 6: d'FyfesMte
remplace
vers 10: Les parfums
Cent parfums.
remplace
XIV.
Le Chant
du Tournoi,
Odes et Ballades,
pp..119-128
En 1828, Victor Hugo a supprimé
une épigraphe
d'A. Soumet
Appelle
11 a changé
trois
Odes et Ballades.
Page 307, vers 3:
vers 5:
9:
vers
Page 308,
XV.
Odes
tour
Le ~e~t'o:
de la /);'oe/t<He
aux jeux ~Met't'/e?'~ les ~e!y?:eM?'s d'alentour.
mots.
vert dragon
dragon.
remplace
grand
Croix
<oM?'
d'Aragon
<<<7~o?t.
remplace
Les maisons
les
palais.
remplace
pp. 129-137.
Odes
et Ballades,
pp. 439-443.
Bachelette.
remplace
La Cy-aM~ëre.
Odes et Ballades,
pp. 139-144.
pp. 445-447.
de D~cis (7/<MM~<)
lisait en 1824,
La 7MO?'< c'est MM MMtMet~
L'épigraphe
qu'on
1828, par celle de Shakespeare
que nous lisons dans les Odes et Ballades.
La strophe
termine
la
446
a été très heureusement
remaniée
en 1828. Voici
qui
p.
Page
XVI.
en
Le ~y~Ae,
et BaMa(<M.
441, vers 3
307-311.
/)aMO!M~e
Ou montre-nous
ta bible, et les belles images
Le ciel d'or, les saints bleus, les saintes
à genoux,
la
le
L'enfant-Jésus,
et
bœuf. et les mages
crèche,
Fais-nous
lire du doigt, dans le milieu des pages,
Un peu de ce latin, qui parle à Dieu de nous.
Odes et Ballades.
a été remplacée,
les deux
textes
Ou montre-nous
ta bible aux figures dorées,
Les saints vêtus de blanc, protecteurs
des hameaux,
Les vierges,
de rayons
dans leur joie entourées,
Et ces feuillets,
où luit en lettres ignorées
Le langage
inconnu
qui dit à Dieu nos maux.
Nouvelles
Odes, 1824.
XVII.
Odes
Odes et Ballades,
Epitaphe,
pp. 145-150.
pp. 319-321.
et Ballades.
t/M<!HC< remplace
et vice versa.
Page 3)9, le vers 3 a été remanié
a/)~e/
mes MeaK~.
Page 320, vers 3 M0?t Me'a?t< remplace
XVIII.
~<w enfance,
Odes et Ballades,
pp. 151-159.
pp. 365-370.
En
1824. il y avait
de Virgile.
Géorgiqaes
deux
épigraphes.
En 1828,
Bettantùm
V. Hugo
en
a fait
Primus
tabor
animos atque arma
Virg. Georg.
disparaître
une
empruntée
aux
videre
De nombreux
ont été faits à cette ode.
changements
Odes et Ballades.
des eaKOHS remplace
l'airain
des eoMM~.
Page 366, vers 8
l'affût
La strophe
la p. 366 et commence
la p. 367 a été complètement
remaniée.
qui termine
Et j'accusais mon âge
Ah dans une ombre obscure,
Et j'accusais
mon âge. et je disais
« 0 Gloire
vivre
laisser
Grandir,
refroidir
sans murmure
donc
aussi
connu
de
la
victoire
?9
Quand
serai-je
Tout ce sang jeune et pur, bouillant
chez mes pareils,
Mon sang dormira-t-il
dans mes veines
9
perdu ?
sur l'acier d'une armure.
Faut-il
un combat,
célébré
Qui dans un noir combat,
qu'en
par l'histoire,
Coulerait
à Hots si vermeils
U ne soit jamais répandu
».
Odes et Ballades.
Nouvelles
Odes, 1824.
.F/ore~ee
Je vis 7'MWM, Florence.
Page 368, vers 16: Puis
?'M?'tM, puis
remplace
vers
7
Les
rt/'e~ remplace
Et les 7'M.
Page 369,
369-370.
dernière
a
La
été entièrement
en 1828.
Pages
strophe
ajoutée
XtX.
Une /'<;e, pp. 161-166.
Odes et ~a<~</e6\
pp. 435 437.
En 1824, elle était intitulée
Ballade
avait
et
cette
Elle apparaît
comme
ces figures
épigraphe
dont
le poète
voit les yeux
étinceler
à travers
le feuillage
daH~
sa
du
sombre,
<yMaM<
promenade
il rêve de l'amour
et (/M ciel. Th. Moore.
Amours
des ~)~M.
soir,
i62
1824
28
V. Hugo
nerre
cf.
202-203,
Hugo.
Mars
avec M. de Clermont-Tondéjeune
1815-1835,
Co~'e.~onf/uMce
pp.
lettre
du 27 mars
1824 au général
Article
Trébuchet
cf. Lycée
d'Adolphe
tes 7'OMtaM/ï'~Mes
t. m. livrais.
xv,
T.t.
Adolphe
Trois
Odes
Page
vers
les 7"a&
~?'?Ko?'ïca~M,
mars
1824,
287-291,
pp.
Lettre
de V. Hugo à son oncle
Cf. Le F~a~o,
26 mai 1886.
vers ont été
et Ballades.
436,
sur
de V. Hugo
à son père
cf. Cor?'e~cf. BEL202-203
1815-1835,
~o~aMce
pp.
des Sciences
TON, 7)/e?KOï?'cs de la Société
et
~M Loir-et-Cher,
Lettres
t. xv), livrais.
34 mars 1902,
Betton
ajoute
p. 32.
cinq à
six lignes
à la Correspondance:
cf. PfEnnE
V. //M~o à vingt
DUFAY,
ans,
pp. 135-136.
Lettre
vers
437,
XX.
9 et
10:
8
Fait
MM~M* l'air
G.
y, pp. 167-171.
Un seul
mot changé
Odes et Ballades.
Page
XXI.
Odes
Page
Odes
Joigne à la harpe du trouvère
Le gantelet
du chevalier.
Nouvelles
Odes,
~/M~t<
<e peK<
pp.
371-372.
remplace
et Ballades,
vers8:~t&?'eremp)aceseMtMe.
Paysage,
pp. 173--179.
et Ballades.
374, vers 16 et 17.
375,
vers
XXtt.
7
XXIV.
En
1824,
Odes
et Ballades,
naissent
sous le chaume
de l'aïeul.
Odes et Ballades.
Et
des
Ces
373-376.
pp.
magiques
Les contes
sous le chaume
palais qu'enfantent
rians de t'aïeu).
~YoMMMes Odes, 1824.
i!M/- des bords.
remplace
à toi, pp. 181-186.
O~M et Ballades,
Il y avait
en 1824 ces mots
est changée.
Encore
seule
L'épigraphe
XXIII.
Son Nom,
Cette
ode n'a jamais
bords
pp. 187-191.
été retouchée.
Odes
pp. 377-379.
~< nunc
et semper.
pp. 381-382.
et Ballades,
~c<!o?~
de grâces,
Odes et Ballades,
pp' 193-199.
V. Hugo
avait
mis une épigraphe
de Gilbert:
J'ai
il avait donné
comme
source
actuelle
puis a l'épigraphe
pp. 383-386.
M:o~ ca*My
présenté
Salomon.
Ps. cxxv,
/'tHMOceMce,
Voici les changements
Odes et Ballades.
Page 383, vers3et4:
Votre
Page
1824.
371,
Ces magiques
palais qui
Dans les beaux contes
Page
Mars
transformés.
Joigne la harpe du trouvère
Au gantelet
du chevalier.
Odes et Ballades.
Page
Trébuchet.
384,
soufte
vers
vers
vers
mourante
de ma lampe
vivant
rallume la splendeur
Odes et Ballades.
Votre
souffle
vivant
au Dieu
vers.
5.
de
à ma lampe
mourante
a rendu
sa splendeur.
Nouvelles
Odes, 1824.
~7e~e au calice
amer.
6 ~Ve~e à ses preMM/'s~OM/'s.
remplace
sur
dans
l'abîme.
13 je marchais
l'abîme;
remplace
/e planais
20
L'extase
<'a?He?te.
L'effroi
~Mt précède.
remplace
qui
Et mon âme.
~/c;ts ~to?t ~~e.
remplace
Page 385, vers 1
aux vers 3 et 4.
La dernière
a subi la même
transformation
strophe
que la première
XXV.
A mes amis,
Odes et Ballades,
pp. 201-205.
pp. 387-388.
lit
les
et
est de 1828.
i) y avait
actnetiement
dans
Odes
~a~ades
L'épigraphe
qu'on
Il n'y a pas eu d'autre
seuls mots
Et Mt ~t/'ead/a
ego
changement.
XXVI.
A /'<wt~-e
d'MK enfant,
Odes et Ballades,
pp. 207-211
pp. 389-390.
Pas de changement.
XXVII.
/<M<ec/t7-!s<,
pp.
Un seul mot a été changé.
Odes et Ballades.
213-222.
Odes
et Ballades,
pp.
313-318.
Les mortels.
Les peuples
remplace
Page 315, vers 5
XXVIII.
Le der;tt'er
Odes et Ballades,
chant,
pp. 223-229.
pp. 173-176.
Odes et Ballades.
un écho faible.
échos.
Page 174, vers 5: Mille
remplace
En
vers 9:
remplace
quand
l'orage
gronde,
forage
qui gronde,
La dernière
de
la
174
et
la
2e
de
la
175
ont
été
en 1828.
strophe
p.
p.
ajoutées
–163–
en
1824
27
ces
1824
do
Avril
LadO~Hvrais.dp)a~/M.!e/?'a«p<y,t.s'econtient
vers
de Soumet,
d'A.
de Rességuier,
de
un article
contre
les classiques
de Ch.
Vigny,
un article sur Delphine
Nodier,
Gay de Guiraud.
Le Co?'a!?'e
annonce
et
Og, roman nouveau,
en profite
de Jean Sbogar.
de
pour se moquer
des
30
.No?t<f7~M~e:cf.ZeCor.?'e,30avriH824.
Avrit-Mai
Le
~/e?'cM?'e
du
XIXe
siècle
contient
un
de P. F. Tissot
sur les Nouvelles
long article
« M. Hugo est, dit-on,
Odes de V. Hugo.
l'un
« des élèves
de M. Chateaubriand
qui, dans
« sa
ne
prédilection
paternelle,
l'appelait
a jamais
sublime
»
cf. ~/e?'cM?'e
que l'enfant
du XIXe
t. v, pp. 285-304.
siècle,
~/a< 1
5
11
13
15
du généra)
Lettre
chet
cf. Appendice.
Lettre
d'A.
Hugo
Trébuchet
(Blois)
a A.
à son père
Trébucf. Ap-
yx'H~:cc.
la dédicace
Le roi vient d'agréer
de )Y/~o<?'e de la campagne
en ~3.
<f,Ë'.s'pa'/Me
par
MM. Abel Hugo et Couché
le
fils, 1re livrais.
15 mai, chez
Lefuel
et Pillet
cf. Cf~eMe
de
7''rf<KCC, 13 mai 1824.
La livrais.
X)" de la /)/M~e /?'f<?ipa!g
contient
des poésies
de Pichald,
de Mme Desbordesde Ch.
Nodier
aux
7*0Valmore,
(Adieux
d'A. Guiraud,
M:<?.M<:<yMe~),deJ.
deRességuier,
un artic)e
de V. Hugo sur Eloa,
deux articles
de E. Deschamps.
OM /M 6'c'M?' des ~?~M,
Eloa,
mystère,
par
le comte
Alfred
de Vigny,
avec
cette
épigraC'est
le
l'ai
phe
.!e?'peK<, dit-elle,
je
écouté,
et il M!'a trompé.
Genèse
cf.Me
(1)
/rHKt.
livrais.
n,
xi, pp. 275-286,
Victorçaise,
M. Hugo
cf. Z<«. e/ Philos.
H!<M,
pp. 276,
277,
278.
n'ont
V. Hugo
les classiques
en tournant
275-276,
en
pas été rééditées.
(1) Les pages
y attaque
dérision
toutes
les sources
de poésie
où ils puisaient.
Dans une longue
de 28 lignes
il se moque
phrase
du Tartare,
du Pinde,
de la Vache to, de Silène,
des sources
de
ta
fontaine
du
Castatie.
d'Hippocrène,
ruisseau
du Permesse.
H veut être de son pays, de son siècle,
de sa religion.
Les deux dernières
de
la
ies
277
et
278
sont
dans Litt.
et Philos.
t. i,
lignes
p. 276,
pp.
M:e~M,
Idées CM A(Ma/
)\
Trois
il
9e
a
une
284,
/~OM?'
Ko:M
§
changements
p.
ligne,
y
suppression
7'e?~/e/Me/'
da?M Ho<re idée /)r!KC!pa/e,
ces
deux
les
22
et 23 se
opérations.
285,
/'eMar~KOtM
que
p.
lignes
ainsi
lisaient
Nous Me MOM.t arrêterons
~M/'
MMe
idée
sans
doute
au prepM.<
qui paraîtra
paradoxale
mier
e<MOM<
/aM.<e?*o?M?
</e
habiles
~e~'atK
etc.
aperçu
plus
<<'ea;amtMey'jusqu'à
quel point.
Le d~
de la p. 279 constitue
v
de
Z?'«.
et
M?'<o~.
286
et 287 avec quelques
M:~e'M,
)e
pp.
Au
V.
commencement
du
a
la
liaison
a?MëMeM~
changements.
§ v,
Hugo
supprimé
CM?'e/<o?MKo<M
M<!<ttreMeM!e/t< a ~'aM<eMy <<OM,
tout
ce
a
à
A.
de
a
l'attribuer
Milton.
puis
qui
rapport
Vigny,
pour
c'est le Paradis
c'est ce poème (Eloa)
Ainsi, § v, p. 286, 3e ligne,
6'M~/MMe~
/~ey'(/M remplace
5e figne,
He
et
d2e
Eve
entrainée
la
e?tc/tC[?tteK~'
et l'imprudence
remplace
lignes,
par ia curiosité,
compassion
~a
la
~ceM?'
des
T't/tce
des
/je/t<tQM
remplace
jusqu'à
a;«yM entrainée..jusqu'aM
/'e/)''OMMe~. V. Hugo
a ajouté
/M
ensuite
première
/e?M?Me CM eo?t<<'«;< avec
<e~)r<;?M!e<'
</<'M<o?t(pp.
286-287);
p. 287,
2e ligne,
au lieu de Eloa on lit i'a'Mc/'e
de .')/t7<o?t.
La fin de la p. 279,
281, 282. 283, 284, 285 et les six premières
280,
de ia p. 286
ies'pp.
lignes
n'ont
V. Hugo dans ia ~<6'e
faisait
de longues
citations
pas été reproduites.
du poème
/WMtpat.se
(te
du
remords
du démon
au moment
d'o~
peintures
i'Ether,
du Chaos,
démon,
d Eioa,
portraits
de consommer
son crime,
la
chute
d'Eioa.
La
285
renferme
des
sur le
dialogue
qui précède
p.
éloges
tafentd'A.
de Vigny
sur son imagination,
son
V. Hugo parle
ensuite
qui va se perfectionnant,
style,
de l'obscurité
de son nom à lui.
La fin
de la p. 286 se retrouve
dans
/.t«.e<P/!t/o.
a
pp. 283-284.
M:e7<'M,au§ni,
V.Hugo
a
la
6e
suivante
Cette
supprimé
aura
obéi à
ligne la phrase
fois ci, du ?MOHt4', la ~/MM française
l'usage.
164
15
1824
jMat
24
JoM?'Ha/ de /~a?'i!'x parlant
de fa séance
des Jeux Floraux
annonce
n'y a pas eu
qu'il
« Vous
de sonnet
couronne,
verrez
que M.
« Lam.
ou M. V. H.. auront
eu la malice
« d'adresser
à l'académie
des sonnets
roM:a?<« tiques.
))
Aussi
les voilà bien punis
H prétend qu'il y a une croisade
contre
les Romanà Paris,
à l'Académie,
Auger
tiques
d'Aguilar
aux Jeux
Floraux
de Toulouse
cf. VoM~'na~
de Paris,
24 mai 1824.
25
Le Drapeau
&/<!M6' publie
un rez-de-chaussée de huit colonnes
sur les Nouvelles
Odes
Cet article
est très é)ogieux
de V. Hugo.
pour
il
le jeune
dont
raconte
la
vie
et
les
poète
de la
succès.
On fait deux longues
citations
<?Mer?'e ~payne
et de <??'at!o!'H:ëre
(20 et
« L'art apprendra
à M. V. Hugo ce
40 vers).
« qu'il
doit perdre,
la nature
lui a donné
le
Il est à 23 ans le pre« génie
et l'inspiration.
« mier
comme
Soumet
est le
poète
lyrique
« premier
cf. /)r<j6<ïM
poète
tragique
»
&/<ïnc, 25 mai i824.
Le
Lettre
de V. Hugo à M. Magalon.
Il le
cite d'être
rendu
à la liberté.
« Si l'un de
« doit
des
remerciements
à l'autre,
« moi »
cf. Catalogues
n"
Charavay,
félinous
c'est
428.
21
./Mt~
7
Article
contre
Eloa
6ea'< que l'impression
moins
bon que ses
de Vigny.
Rien
de son livre,
vers:cf.<ï/~?«~o?'e,
de plus
rien de
7 juin 1824.
V. Hugo
compose
cf. Odes et Ballades,
Nationale,
p. 556.
A ~7. Chateaubriand:
édition
de l'Imprimerie
~4
Odes
~VbM~e/
Variëtës.
par M. \Hugo
(Z. = Hottman).
lui consacre
trois
colonnes
et
Le critique
il y a quelques
élodemie.
Au commencement
ensuite
des attaques
contre
ges puis viennent
des
de V. Hugo
cf.OM~ta/
le Romantisme
14 juin 1824.
Débats,
15
conLa livrais.
x)i° de la ~/M.s'e/?'f<Kpf«.s'c
d'A.
de Brifaut,
tient
des poésies
Guiraud,
un article
de
d'E.
d'A. de Vigny,
Deschamps,
une revue poétique
V. Hugo sur Byron,
d'E.
de
une étude
de mœurs
SaintDeschamps,
.~Mr
cf.
Co?'o!oM, jLo)'~ jSyroM (d)
Georges
t. n, livrais.
~Mse/y'anpaMe,
xne pp. 327-339.
Victor-M.
cf. Litt.
et Philos.
M!<?/ee.
Hugo
t. t, pp. 267-278
cf. ~4MMa/es
?'o?M6!?t<KM,
~~7pp. 1-11.
Valry.
10 dans
a été reproduit
deux
fois
les ~MHa/M
1827-1828, -?M?' /~ore<
(i) Cet article
?'OM!aM<Me~.
avec la /!«e?'a<M;'e
2" dans Litt.
et Philos.
t. pp.
MtOt/erHe,
mêlées,
B)/?'o?t et ses rapports
pp. 1-1't
de
sa
Mo~.
Sur
Lo7'<< ~/ro?<,
à propos
267-278,
La p. 267 dans
Litt.
et Philos.
M~ee~'
textuellement
la ~/<Me /~a?:pM!~e
a partir
de la
reproduit
8e ]is;ne
en e?'o<7'e les ingénieuses
Ce qui
j'idce
la
/M&/M.
précède
reproduit
que renferme
p. 327 de la J/M.s'e,
Le reste de l'article
assez fidèlement
et c'est l'un des écrits de V. Hugo qui a subi le
est reproduit
moins
de transformation.
et Philos.
Mte~'es
à la piace de
//t«.
p. 2G9, (te )igne~ <BM~)'es remplace
chants
p. 270, 8e ligne,
on lisait MMt?Ke
V. Hugo avait écrit jBMOMa/)<!r<e et non ZfoMa~a/e
contre
p. 271, ')e ligne,
p. 272,
i65
15
1824
25
./M<M
La /aM</o?'e
i'artie!e
de V. Hugo
critique
sur
dans
la
rll2tse ft~ctnçuise
a
)a~/M~<?'«~pH:.s'e
sur Byron.V.Hugoa
l3yron.
Iluâo
oubiië
ie dicton
0Ht .!e ?'M~em6/e
poputaire
.aMCMt6/e
cf. La /~aMf/o?'e,
~824.
25juin
Lettre
de
V. Hugo
à son père
cf. Cor?'Mde ~5-~35,
cf.
203-204
pOK~ance
pp.
PlEtUtE DUFAY, V. Hugo
M vingt
SH~, pp. 140142.
I) corrige
de la Corresponune erreur
<~<ïKce, Coe</o<yo?t mis pour Coëtlosquet.
de V. Hugo à son oncle Trébuchet,
lettre
dans
la
(charmante
intime),
signalée
n° 153, mars
AeuMe
des ~M<o~'aj9/«~,
1893
et dans les Catalogues
de Cha~'aM<o~?'ajoAes
vente
du 10 mars 1892
cf. Cataloravay,
~MM, nos ~96 et 232.
Lettre
27
Jûia
Juillet
d
a V. Hugo. H ['informe
de Soumet
de
« Je m'attends
de sa Cléopâtre.
t'ajournement
« à beaucoup
consolerai
à
d'injures
je m'en
« votre
et iivré aux tigres de
précieuse amitié
« l'opposition,
le Chant
f/M c:'?'je relirai
« que »
cf. (.a/n~o~MM
n" 285.
C/<a?'aMay,
2
La
velles
i2
15
Lettre
la Préface
/MM</o/'<? attaque
des NouOdes a propos
de l'horloge
qui est une
et des dO.OOO vaillants
.4/c«/
(.p~-y~e
a tort de descendre
Hoff!nan
jusqu'à
régenter
un écolier
M.
V.
H
comme
doit
être
Hugo.
de ce débordement
et de
effrayé
d'ignorance
mauvais
le domaine
des letgoût qui inonde
2 juillet
tres
cf. La /<M</o?-e,
i824.
Article
de la <9MO<!</ï'e/!Me sur fa~/M~e /?'r<net Les
çaise
cf. La~Mo~/eMHe,
12 juillet,
et Ballades,
Odes
édition
de l'Imprimerie
Nationate,
pp. 553-554.
Lettre
de E. Desch:)mps,
A. Soumet,
GuiJ. de Kességuier
à V. Hugo. Ils donnent
raud,
leur démission
de rédacteurs
à la ~/M~e /'?'a?tcf. Odes et Ballades,
édition
de l'Imçaise
Nationale,
primerie
p. 554.
Entrentet
a 20 lignes
de comé)ogieux(13
sur la 2~ livrais.
du bel ouvrage
d'A.
mande)
sur la guerre
cf. 6'<rfp«c
Hugo
d'Espagne
Lettre
nal des
tre
est
de V. Hugo
La
Débats).
antérieure
la trouve
à Hoffman
( Z. du VoM?'de cette letcomposition
de quelques
jours au 26.
à cette date dans
les Dépuisqu'on
6a~
V. Hugo
la défense
des romantiprend
et de ses TVoM~e~'
Odes
contre
les
ques
de l'article
du 14 juin.
E. Biré en a
attaques
cité une partie
dans
F. T/M~/o avant
1830,
cf. Journal
des Débats,
26 juilpp. 369-372
let 1824.
26
de V. Hugo au rédacteur
des Débats
à propos
de la disparition
de la ~/MM /?'aHH est absolument
à la dispariçaise.
étranger
tion
de ce recueil
à la fondation
il
duquel
s'honore
d'avoir
cf.
Journal
des
pris
part
29 juillet
1824
La même
lettre
fut
Débats,
adressée
à la Quotidienne
cf. Odes et Ballades. édition
dei'fmprimerieNationate,
p. 554.
28
Lettre
~a/:c<15juiHetl824.
d9e ligne,
On lisait,
il y a une suppression
~At/OM/)At'e
remplace
/)At7o~o/)/n.'<'?Me
p. 273, 15e iigne,
importante.
deux illustres
dont
/e
il
est
au
MCOMc<
.s'M
u/'at,
génies,
p/'eMMe?' est,
4'M~e'rteMy
nM<f/M<~ay
e7euH<!OM </<te~ar
<a /ta«<eM/'
de sa Mo/'a~e,
Chateaubriand
et Byron
/);'o~e
p. 274, 2~ ligne, ~oë~e
13c
on
lisait
au
lieu
<er~eA'<7'e~
de
15~
au lieu de poe'MM;
remplace
/'e'e~;
!/)<e?'/jyë<e
)igne,
ligne, ~a~M
26e ligne,
<<a/t.s'
ses moins
~e~/M œM~rM
p/iM /OMa&/<Kf /jy'o<<Me<<o)).! au lieu de Me/He da/ts
p. 275,
3e ligne,
8" ligne,
V. Hugo a supprimé
coM:Me dit V/orace
note,
p/'o/bK~
remplace
e7/'<!?~e
après
ces mots les /io?/:M!es Me <o~e/'eM<
'tQs iigne,
p. 276, note,
poe'M
remplace
poé/KM.
Les ~t?t?ta<M
de ??toyceaM~e c/iOM:s
de <:«e'y'a<Mre
M:o~erMe
~ecMet<
~~27?'o?Ha/t<Me~
In 18, imp.
de Ha!zac,
à Paris.
Urbain
Canel
B. F., 5 janvier
no !)) contenaient
une
Paris,
1828,
la
de
l'article
de
J/tMe
Nous
nous
servons
de
~t<
et
~/<?7os.
Me~eM
partie
grande
/'7'a'/tpaMe.
pour
ia
Elle
&.
la
Des
et
23
finissait
reproduite.
commençait
indiquer
partie
page 269, ligne
eA'pt't~aMa;
a la p. 277, laissant
de côté t'aiinéa
7.<: Mto/'< de Zfy/'o~t. Eiie ne contenait
qui commence
par ces mots
note
des pp. 275-276.
Elle reproduisait
exactement
le texte
de la yVM&'c /a?tpa:e
et
pas la longue
seulement
une
note
On
coKK<M<
/e
<OMcAaM<
af<!eM
a~reMe
ci
Lord
se
ajoutait
petite
/}~oH,
qui
place
ia 2e ligne de la p. 277 de Zt«.
et ~/<t7o~. ??~M.
après
i66
1824
jM<e<
17
31
Og, parodie
(de //a?t
Rétif de la Bretonne,
par Vignon
VerJacob,
in-12,
imp.
Locard
et Davi,
B. F.,
sailles
Paris,
Hubert.
17 juillet
1824, n° 3730.
de Hotiman
à propos
des
Second
article
cf. JoM?'?~~
des Débats,
31
Nouvelles
Odes
a!s/aM~e),
juiHet1824.
Juillet
d'A. Trébuchet
sur 7/a~
(~'Zs~nf/e.
de critique
cf. Lycée
et un semblant
Ë)oges
~4y?H07'<ca!'M, t. iv, livrais.
xix, pp. 58-62.
Article
de V. Hugo au rédacteur
des Débats
a propos
du 2~ article
d'Hoffman.
Les Débats
refusèrent
V. Jlugo
au
l'insertion,
l'envoya
le ~3 août et a
6/<ï!tc' qui l'imprima
Z)?'ape«;<
la <Ta~e«c
de /Hne<'
le ~2 août.
qui t'inséra
Voir aussi
n° d48.
<~<a/o<«M
C/<(!?'aua'y,
La Co?'e~/)OM(/f</«:e
~~5-35
contient
une lettre
de V. Hugo à HoS'man
(pp. 37-38)
sans date.
Elle devrait
se placer
entre
le 26 et
le 31.
Lettre
31
Juillet
j4o!<<
Article
contre
Eloa
nal de Paris,
3 août
14
2t
d'A. de Vigny
1824.
cf. VoM?'-
a donné
naissanque le romantique
tels que le Renégat,
j~an
ouvrages
le ~o/t~'c,
le DnmMc.
on a
~'7~~a7t~e,
cérébrales
sont beauremarqué
que les fièvres
cf. La
coup
plus
fréquentes
qu'autrefois
14 août 't824.
PaM~ore,
Depuis
ce à des
./VoMpe//eA' odes par V. Hugo.
assez
Critique
violente
du poète et du romantisme.
On reconnaît
du talent
à V. Hugo
cf. 0?'
cependant
t. t, livrais.
V), 2d août
d824,
/~MMe,
pp.
246-255,
(X.).
Lettre
de V. Hugo au rédacteur
du /)~'ape<ïM
blanc
d'insérer
sa réponse à
pour lui demander
Hodman
les Débats
cf. Draque lui refusent
~ef/M &<aHc, 13 août 1824.
10
Lettre
de V. Hugo
au rédacteur
de la Ga~e«e
<<p ~<'a?tce,
sur
le même
cf. La
sujet
Gf~e~e
12 août 1824.
f<e 7~-a?tce,
Lettre
~e?t;te
de V. Hugo au rédacteur
de lit ()MO<
sur
le même
et. Catalogues
sujet.'
n~ 105 et 301.
CAa?'afay.
de V. Hugo a Guiraud
cf. ~/e7an~e.!
Lettre
in-8.
de Z:<)'«<M?'e
et <f/<ou'e
?'e/<y<ex~e,
t. n[, p. 195.
Paris,
Picard,
2t~
6'e/~eM~'e
6
22
Septc~nbre
Lettre
de Lamennais
à V. Hugo.
H l'invite
à choisir
un jour pour
dîner
puissent
qu'ils
ensemble
cf. FKUGÈRK,
Lamennais
avant
l'Essai
.!M?' l'Indifférence.
cf. Ca<ap. 299
cf. CM<a~Hex
Cliara/o~Me ~OHe<, n" 81U
n" 220.
ray,
Gui~4uëMe??~H<
de Charles
X, ode par
raud
cf. Gazette
de 7~-a'Kce, 22 sept. 1824.
César
ricain,
le Rubicon
passe
t. tv, livrais.
xx), pp.
cf. Lycée
262-263.
~trMO-
Lettre
Trébuchet.
de
Il
Léopoldine
273 et 300.
Lettre
de
Les
V.
de
Littérature
Paris,
V.
Picard,
a son
Hugo
lui
annonce
cf.
oncle
6'«<a/o~Me.!
V. Hugo
a Guiraud
et <&/oM'e
t.
/'MKe?'ot!~es
n!,
la
Marie-Joseph
naissance
C/auay,
t
de
n"
cf.
y)/e7aH~c.<
In-8,
re/ïy!'eM~e,
p. 195.
de
XVI[[
Louis
mourut
~K7/
le
Hugo
(Louis
16
cf.M?'Ka<~e.f
Débats,
Drapeau
bre)
23 septembre
et 6'a~e«e
de 7~'MMce,
cf. Odes
et Ballades,
pp. 193-~99.
ode
par
septem6/c
d824
ou cinq petits
Cette
ode a subi quatre
changements.
le texte
Les voici en suivant
des Odes et Ballades.
au lieu de
A ta p. ~94, vers 2, on lisait ec?'c<M!~
au vers 11 ~o?t c<'reMe</ au lieu de ~/a
couches;
a remplacé
A la p. 196, vers 1
main
~e'pOMtMe.
Loin du M'!M<MMle vers 11 se lisait ainsi
bras;
A la p. d98, vers
H.MMtfK<
qu it~'e/M'o/H~ naguère.
ou
lisait
~Vace
NM
<<e~tM
<
toits au lieu de
5,
.Do/MM aM~c ~M/e~ e'~aMa;.
A la p. 199, vers 7, on
au lieu de tayjOM/e,
lisait
Ia.~oM/)e
(ce
change
devait
être une erreur
typographique).
167
22
23
1824
Octobre
1
à Hugo (1~ octobre
Lettre de Soumet
d'après
le timbre
de la poste).
Soumet
est indigne
de l'épithète
de belle
donnée
à l'ode surLouis
par les Débats
de son cher et immorte)
ami. H lui a voué une
Il
admiration.
Saint
l'appellerait
pieuse
Fïc/o?'
si un
~a:
~tc~or
n'avait
traduit
et fait
le Voyage
f/M poète
cf.
Anacréon
/K<<;?'/?:<?'6
des chercheurs,
t. IX, p. 95,
10 février
1876.
TVo~e/M~'e
i3
V.
7~u«e
Hugo
des
reçoit
Deux
Lamartine
~/oK</e~,
à dîner
15 sept.
cf.
de V. Hugo
Lettre
mie
cf.
française
~~30,
pp. 40-41.
d907,
p.340,at'tic)edeM.Doumic.
i6
ami
de V. Hugo,
Lettre
de Guttinguer,
à
Tissot pour le remercier
des compliments
faits
sur
son volume
de poésie
cf. Catalogues
n" 278.
C'/tara~ay,
25
de Soumet
à l'Académie
Réception
se
cf. Ga~e~c
de /~a?!ee
(Ch. de
novembre
')824 (3 ou 4 colonnes),
nal de Paris,
26 novembre.
françai23
R.),
et ./OM?'-
à M. Villars,
Correspondance
de
l'Acadé~~5-
de NeufchâLettre
de V. Hugo
à François
cf. Correspondance
teau
~~5-j!<935,
pp.
cf. /K~'Me<ù'cï?'e
des
42-43
chercheurs,
t. xviiL,
10 juin 1885.
pp. 348-349,
de V. Hugo
à M. Raynouard.
H
Lettre
lui demande
des billets
la réception
de
pour
MM. Soumet
et de Quéien
cf. Catalogues
no 140.
C~ara~ay,
Lettre
de
V.
au baron
d'Ekstein
cf. Correspondance
~o-~35,
39-40,
pp.
du
dimanche
28
novembre
Les
(datée
1824).
n" 383, donnent
une
Catalogues
CTtarauay,
lettre
du même
au même
et datée
du
29
novembre.
V. Hugo félicite
M. d'Ekstein
pour
ses articles
de critique
littéraire
insérés
dans
la même
6~Ke.
C'est évidemment
le Drapeau
lettre.
Hugo
14
15
16
28
-Z)ceey/c
i
F. sur t'Ty~ou'e
de la
article
signé
Long
Caw~ayKe
af/~joa~Ke
en ~3
par A. Hugo et
décembre
Couché
cf. 6'arp~e
de France,
4824.
10
de malice,
intitulé
Les ~4~/s
Article
plein
contre
V. Hugo.
On se
TVoK~eaM.E, tout entier
de Han
sans
le nommer
<s/a7!</e,
moque
V. Hugo
est appelé
M. VHOGO.
La moquerie
cf. La .PaM<~o?'e,
ne manque
pas de finesse
d824.
dO décembre
19
une lectuGuiraud,
Soumet feront
V.Hugo,
de la Société
des
re à la séance
d'ouverture
le 2i décembre
cf. Caf~c
Bonnes
Lettres,
d824.
de France,
~9 décembre
22
Second
Hugo
1824.
Lettre
de V. Hugo à Roger
de l'Académie
à ses armes.
Il lui demande
Cachet
française..
a son très
l'autorisation
de se dire
indigne
»
cf.
confrère
Catalogue
c/'aM/o~'ap/te~
vente
du
10
mars
1892.
C/<a?'<!uay,
d'Abel
articte
de F. sur
l'ouvrage
cf. Gazette
de France,
22 décembre
Lettre
cf. ~s?'o,
168
de V. Hugo à son
22 août 1888.
oncle
Trëbucbet
19
23
/~eceM<~re
1824
23
1824.
de Lamartine
à V. Hugo
cf. Revue
de Paris,
15 avril 1904, pp. 678-679,
~aM«ï7'<<He et V. Hugo,
/.c«re.s
Me~:<e.s,
par M. G.
Simon.
Lettre
Sans mois,
Lamennais
FEUGÈRE,
<h~'rene6,
n"18i.
Lettre
de
t'MpoM~Mcc
V. Ilugo à A. de Vigny
1815-1835,
pp. 43-45.
cf.
Co?'-
sans jour.
à V. Hugo.
Invitation
a dîne!
cf.
Lamennais
avant
l'Essai
SM?' l'Incf. ~a<a<o~MM
p. 297
C'/t~?'auf<y,
~69
WO
~2
29
APPENDICE
AVERTISSEMENT
Les
au
tout
inédites
26 mai
Lettres
long
que
nous
l'histoire
quelques-unes
i" août,
1886,
publions
de
ses
ont
8 août,
ici intéressent
parents
dans
paru
la
août,
et
de
Victor
sa
car
Hugo,
famille.
Elles
elles
sont
nous
racontent
la plupart,
pour
t2 mai, 19 mai,
Je T~ayo
1888,
(15 juillet
22 août 1888).
Mais M. Macé de Challes
(pseutexte
qu'un
de M. Decamp),
n'a parfois
au public,
donné
qui les a présentées
ou fautif.
Nous
cru qu'il n'était
avons
de les publier
incomplet
pas inutile
intégrakment. en les révisant
Nous
avons
mis entre
crochets
soigneusement,
sur l'original.
[ ]
les parties
dans le /~<r/'o.
imprimées
donyme
Nous
tenons
à
remercier
la
famille
Liberge,
de Nantes,
qui aimablement
Claire Trébuchet,
nous
ces Lettres
et nous a permis
de Jes publier.
Mlle
décédée
communiqué
à Nantes
le 14 janvier
elle aussi,
à son père Adolphe
1908, possédait
Trébuchet,
grâce
une correspondance
très abondante
avait
mise gracieusement
à notre
qu'elle
dispoet dont nous
sition
avons
abondamment
pronté.
a
à
Lettredu<((;itoyen~Detairan~citoyen~Tréb))chet,
à J'hôpitafmiHtaire
de Port
Employé
A Port Brieuc.
(Saint-Brieuc).
N* année
Nantes, ce 23 thermidor,
;'e/). (10 août -<795~.
CITOYEN
Brieuc
AMI,
J'ai
du
8 courant,
hier
la vôtre
reçu
votre
a reçu
la
sienne
en
même
papa
tiré
vous
nous
avez
d'inquiétude
temps,
cricar
nous
votre
situation
présumions
rasmais
nous
sommes
maintenant
tique,
sures.
Nous
avons
aussitôt
ici,
que
sçus
les grands
succès
des
vous,
Républicains
il
à
chacun
s'en
est
Quiberon,
réjoui,
doit
nous
arriver
bon
nombre
de
trouet les
réduire
enfin
la Vendée
pes
pour
Auverné
les
12
comme
depuis
jours,
routes
sont
interceptées
plus
que
jamais,
nous
n'avons
de
leurs
noupoint
sçu
velles
leur
depuis
départ,
je les recommande
à leur
bon
les
ange
pour
qu'il
de tous
fâcheux
accidents.
Vopréserve
tre sœur
et votre
autre
tante
se portent
elles
ont été bien
bien,
enchantées
d'apde
vos
nouvelles.
prendre
Nous
n'entendons
de vopoint
parler
tre tonton
votre
seudepuis
j'ai
départ,
lement
entendu
dire
divorcé
était
qu'il
et remarié
avec
une
à Valencienautre
il
est
à
de
n'avoir
nes
plaindre
pas
écouté
qui
les
lui
a
sages
prédit
que
volontés
conseils
de
son
père,
ce
lui
arrive,
ce
qui
l'on
doit
restoujours
et les metpaternelles
conçoivent
l'espéquelques-uns
satisde
faire
vendanges,
quelle
l'on
l'on
à faire
ce que
faction
goûterait
attrois
ans!
il faut
est
privé
depuis
aintendre
ce bienfait
de la Providence
qui
prouve
les
pecter
tre
à profit.
Vous
êtes
avec
un
commis
mur
d'âge
met
votre
à l'épreuve,
diqui
patience
tes-vous,
il vous
par son peu d'expérience
faut
vaincre
le feu
de
votre
cajeune
ractère
et le plier,
est beau
cela
quand
on
le
rend
sociable.
Je
faire,
et
peut
si
vous
Chouans,
terribles,
une
bonne
sont
les
uns
et les
autres
qui
est
de
voir
chacun
impatient
disfois
ce chancre
politique
paraître
rance
nous
angénérale
qu'on
accréet que
les bruits
paraissent
l'on
se
Ce sera
alors
que
pourra
d'un
sort
l'espoir
plus heuréjouir
et-que
de membres
reux
sera
tant
flatteur,
que
et
des
familles
se
rejoindront
dispersés
que
nonce
diter.
la
paix
l'absence
rend
que
chement
augmente
dez
des
nouvelles
a reçu
papa
où
deloupe,
aussi
désirer
fruits.
doux
Il
chère
l'amitié.
de
a
il me
demanda
bien,
était
il me
dit
qu'il
il aurait
ambulances,
son
changement,
votre
de lui
une lettre
il est
maintenant,
en
la paix
pour
environ
3
comme
( ?) vint apporter
est
nan
toujours
qui
il m'assura
checoul
?),
y
et
le
Vous
mais
rapprodemanvotre
frère,
de la Guail
paraît
les
goûter
Pisemaines
que
de Coune lettre
à Machoul
(Mase
portait
qu'il
de
vos
nouvelles,
dans
les
toujours
bien
désiré
il n'a
pu y
avoir
réus-
fille
sont
sir.
Votre
tante
Trébuchet
et
sa
-~73-
y invite
et
pour
se
font
vements
surmonter
les
mouse
faut
il
sentir,
qui
en la place
des
autres
et penser
.mettre
nous
serions
bien
aises
de l'indulque
en pareil
aurait
nous
qu'on
pour
gence
ces réflexions
nous
sont
souvent
uticas,
comme
vous
êtes
doué
de
bonnes
les
vous
ne
qualités
je ne doute
point
que
preniez
Mais
ce
je
que
laisse
entretenir
je vous
là
le
des
dis en bonne
sérieux
pour
ont
fait
qui
part.
vous
vos
loi-
objets
dans
les temps
de vos petits
plaisirs
sirs
du
oh
je veux
parler
jardin,
qu'il
sont
est
les
agréable,
capucines
superbes
ainsi
les
à
fleurs
pois
qui
que
font
une
verdure
émaillée
de fleurs
charcela
flatte
la vue
et l'odorat,
les
mantes,
voisines
en
les
des
tant
elles
sont
tenmais
elles
se
distées
de,
posséder,
Je
ferai
la popensent
permissions.
trouve
en flagrant
lice
si j'en
quelqu'une
un medélit.
Ce que
nous
être
croyons
est devenu
un artichault
lon d'eau
qui a
dérobent,
APPENDICE
fruit.
Le
cerisier
maintenant
du
toute
un regret
beauté,
j'ai
qu'il
tout
mon
écussonné
fait
pas
j'ai
ble
celà
sans
avoir
pu
y
pour
tous manqué
Les jardiniers
m'ont
Les
rosiers
ah
les perfides.
role,
de
aucune
le
fleur,
pied
produit
est
de
soit
ne
Lettre
de Sophie Hugo a son grand-père
Le NorNantes.
mand,
Juge, rue de Maupertuis,
(d)
possiréussir.
de pan'ont
Paris,
MON
CHER
~9 ?!Ot;eM&e
~7~7.
PAPA,
il attend
votre
figure
où
l'endroit
transplanté,
pour
Les
ne lui
convient
potées
point.
mon
attente
il semfenêtre
ont
trompé
Vos
ble
votre
absence
les
afflige.
que
elles
vous
tourterelles
se
bien,
portent
leur
adressent
tous
les
jours
agréable
elles
font
mélodie,
quelquefois
enrager
couche
dans
la
votre
mère
nourrice
qui
lettres
de mon
frère
et de Hugo
[Des
vous
notre
heureuse
arannoncé
ayant
a eus
lieu
rivée
ici et mon
mariage
qui
il y a quatre
il ne me
reste
plus
jours
du
bonheur
me
vous
qu'à
parler
qu'il
sera
sans
doute
promet
qui
parfait
puistrouvé
dans
mon
toutes
j'ai
époux
que
les
caractérisent
l'honnête
qualités
qui
homme
suis
je
que
je serai
persuadée
infiniment
lui.
Sa
sensiheureuse
avec
et
chambre
les réveillent
bilité
celui
fait
triste
être
encore
dès
davantage
l'aurore.
jours
mignonnes.
Maintenant
parlons
tous
se
maison,
portent
vos
mies
Siette
qu'elElles
sont toumonde
du
de
chacune
bien,
vous
souvent
mandent
tres
de vous,
d'amitié
que
vous
assurer
vous
d'elles,
ou
mémoire,
sortez
point.
ont aussi
un
vigne
retour
il est
de
la
la
de
delet-
plaignent
beaucoup,
si
on
des
reçoit
sensibles
aux
sont
marques
Je puis
vous
leur
témoignez.
que
êtes
pour
La
si
vous
êtes
bien
proche
dire
mieux
Métaireau
et
éloigné
de
leur
vous
n'en
.ses
filles
cœur
bien
tendre
pour vous,
le mord'elles
vous
seriez
s'il
dépendait
heureux
du
monde.
Votre
tel
le
plus
souvent
informé
de
Savariau
s'est
cousin
ainsi
la
bonne
dame
Guérivous
que
vous
connaissent.
neau
et tous
ceux
qui
attachement
et
Pour
suis
avec
moi,
je
amitié
Votre
Concitoyen,
attachement
ses
pour
parens
ressent
tout
déjà
pour
vous
qu'il
et la
me garantie
la bonté
de son
cœur
c'est
durer
de
ses
sentiments
moi
pour
à vous
mon
cher
mon
papa
que
je dois
bonheur
en consentant
à mon
union
avec
mon
ble
je
son
cher
Hugo
à tous
vos
extrêmement
Mon
mari
vous
avez
mis
bienfaits
aussi
reconnaissante.]
fait
ses
efforts
une place
frère
le
en
comsuis-
]
pour
pro-
curer
à mon
avantageudése s'il ne réussit
ce ne sera
pas
pas
faut
de
soins
et
de démarches
nécesbien
la
saires.
Voulez-vous
nous
envoyer
malle
que
grande
une voie
sure
par
se pourra
dut
qu'il
venir
si promptement.
avons
moins
(nous)
et la
elle
ne
pas
laissez
coûteuse
nous
par-
votre
m'avez
dit
[Jeannette
que
intensertion
était
de nous
donner
quelques
Viviettes
cela
nous
fera
bien
plaisir.
chez
nous
et le linge
étant
extrèvant
votre
seVotre
vient
de recevoir
papa
vous
lui marconde
lettre
dans
laquelle
croîavoir
Laissez
La
Charmante.
quez
et ménagez-les
car
elles
tre
vos
ongles
vous
vous
sedoivent
vous
être
utiles,
mement
cher
ici
si
vous
vouliez
avoir
la bonté
deux
d'y joindre
paires
de draps
seet
deux
ou
trois
nous
vous
napes
bien
rions
comme
je prévois
que
obligées
voula malle
ne sera
si vous
pas
pleine
de nous
liez aussi
avoir
la bonté
envoyer
douze
livres
de
dix
livres
de
caffé
et
riez
ne
sucre
du prix
les
marchandises
L.
bien
cesse
DELAIR.
de
cette
charmante
qui
passé
d'être
très
pas
que
désagréaen défaire
de vous
ble, tâchez
promptesont
bonnes
à
douceurs
ment,
pareilles
Votre
vous
écrira
demain.
éviter.
papa
Vous
recevrez
sa lettre
avec
celle-ci.
Je
vais souper
et boire
à votre
santé.
Grand
vous
fasse.
bien
à trente
cinq
vingt
coloniales
n'onts
ville
de
dans
cette
immense
prix
nous
enverriez
la note
et de suite
vous
en ferions
le montant
passer
(l)Cf.F<o,i5août.l888..
de
sols
point
vous
nous
ou
APPENDICE
si cela
vous
était
égal
je vous
reçu
metaussi
de
dire
à Jeannette
de
prie
à ma mëtre dans
la malle
deux
robes
fleurs
blanfond
avec
des
re une
rouge
fleurs
fond
bteue
avec
des
ches
et une
un
blanches
ques
drez
veut.
ne
aussi
j'en
ait
r
pour
queltiende ménage
j'en
arrangement
ne
Mon
frère
à ma
compte
sœur.]
il craint
de
son
violon
qu'il
point
cher
soit
en route
adieu
mon
casser
santé
vos trois'
d'une
bonne
jouissez
le
prie
à leurs
té
ce
égallement
longtemps
attache-
TREBUCHET
MON
CHER
fille
HUGO.
et du
dont
tout
PAPA,
6 ~amef/
6 janvier
par
faire
mien
mon
l'est
pas,
de
détours
mettre
.en
au
bataillon de
Lettre de Hugo, adjudant-major
d'infanterie
de ligne, capita 20s demi-brigade
de
de guerre
taine
près le conseil
rapporteur
la indivision
militaire
an citoyen
Trébuchet
rue
des Carchez le citoyen
Lenormand,
juge,
Inédite.
mélites Nantes.
de l'an
votre
malà la valeur
de
le
faire
l'estimation
porter
avaient
étant
neufs,
je vous
zèle
et
capable.
Si l'administration
boursement
ne
NorVoulez-vous
bien
que
permettre
Marion
trouMr Delair
Jeannette
mand
et
de notre
souvenir
vent
ici l'assurance
Jeansincère
amitié.
de notre
prie
[Je
les couteaux.]
oublier
nette
de ne pas
]
/.c 17 ?t!0<e
dans
de
réponds
mon
activité
tout
me
ce
rem-
rendent
ment.
Je suis avec respect
Votre
très
obéissante
trouvèrent
et ensuiplusieurs
citoyens
de
ces
vérifier
la signature
l'administration
citoyens
par
municipale,
vous
m'en
adresserez
un
et l'autre
vous
à l'administration.
l'enverrez
Je crois cetvite
mesure
nécessaire,
pour
presser
vement
le remboursement
des
effets
volés.
rien
de votre
côNe
donc
négligez
besoin
vous
chérissent
qui
vous
conserve
ciel qu'il
tendres
et
respectueux
se
qui
d'en
qu'ils
certifier
te de
et
papa
enfants
effets
le et
1798).
hier
votre
lettre
très
tard,
J'ai
reçu
et malgré
cela
mon
cher
Trébuchet,
je
me
suis
rendu
à la maison
Longueville,
retourné
ce
fermée.
suis
elle
était
J'y
m'a
fait
voir
une
matin
et
on
réponà la lettre
se que
l'on
venait
de
faire
d'Orléans.
vous
aviez
écrite
que
été ausavoue
Je vous
pas
que
je n'ai
de cette
si satisfait
réponse
que je croyais
vu dans
l'absence
véridevoir
l'être,
j'ai
du
chef
de
l'admitable
ou
prétendue
des moyens
de lenteur
nistration
qui m'ont
si l'on
nature
à tout
annuller
de
paru
à cette
affaire.
met
de
la
négligence
à faire
Aussi
prompteje vous
engage
un
inventaire
des
sans
tarder
ment
et
-175-
je
ce
est
honnête,
tardera
Si
elle
ne
des
moyens
il faudra
se
pas.
alors
elle
prendra
contre
lesquels
Instruisez-moi
garde.
vous
qu'elle
donc
afin
annoncera,
de
que
la
presse.
Dans
le cas
où
elle
ne
se
conduira
il n'y
aura
de
bien,
pas
plus
ménagealors
ment
à garder
et je vous
donnerai
un
lui
de
ne
conseil
fera
qui
regretter
vous
pas
avoir
satisfait.
et moi
Sophie
quoique
votre
évènement
malheureux
d'en
sons
et vous
prions
de
notre
famille,
l'égard
de
notre
papa.
bien
affligés
de
vous
embrasà
faire
autant
et notamment
HUGO.
Des
choses
J'ai
réfléchi
honnêtes
que
au
des
Cn
de Naneux-mêmes
dans
la
avait
citoyens
donner
tes
ne pouvaient
pas
le certificat
de ce qu'il
y
faites
en
un
malle,
cependant
frère
et
ferai
mon
par
signer
moi-même.
rai
mais
estimez
N.-B.
vit lui-même
tite
note
Donnez
à sa
tout
Marie-Joseph
sur la lettre
suivante
qui
compréhensibles
les
Delaire.
l'état
valeur
et
le
au
juste,
primitive.
Trébuchet
de Hugo
nous
je le
signe-
rend
écrila
pe-.
plus
événements
écrilettre
je lui
que
le vol
lui
qui
apprenait
sur
la route
de Pa«que.
j'avais
éprouvé
et par
«ris
à Orléans,
laquelle
je l'enà faire
des
démarches
auprès
« gageais
« de l'entreprise
de toute
maresponsable
»
lui
sont
confiés.
« nière
des
effets
qui
à
« Réponse
« vis
de
Blois
la
APPENDICE
Lettre
<)u Capitaine
buchet.
Tré-
beau-frère
Inédite.
~a~<.
27
Vous
aurez
cher
de
15
pluviôse
(Jeudi
française
mon
a son
Hugo
sans
l'an
6 de
à
Trébuchet,
République
bien
été
m'accuser
né-
été
si longtemps
à
gligence,
puisque
j'ai
vous
mais
c'est
de
écrire,
qu'attendant
en jour
le résultat
de l'affaire
dont
jour
vous
m'aviez
vous
le
chargé,
je voulais
en vous
noudonnant
de mes
présenter
velles.
J'ai
vu
au
moins
le trouver
première
être
fort
qu'alors
prendre
sai d'après
le
Cn
vingt
j'ai
entrevue
avoir
avant
dans
Fadat,
après
fois
chez
lui
causé
avec
lui
et
l'un
rien
nous
de
contents
il n'eut
de renseignements
avions
pu
été
de
ma
sa
devait
l'ordonnance
la
lettre
dont
il
d'attendre,
voici
le
Paris
le 22
FADATTE.
été d'autant
étonné
plus
cette
lettre
que
je m'attendais
conversation
eue
que
j'avais
à une réponse
favorable
datte,
térêts
nistration
du
et
m'é-
de
la
Fa-
voulant
et ne plus
fis
la réponse
ci-dessous,
je lui
suis certain
a reçue.
qu'elle
HUGO
Je
stile
d'après
avec
ce
à vos. intéintimider
son
admilui montrer
de ména-
/*f~
CI
AU
Cn
/~Mf~
6.
FADATTE,
les
persuadé.
Citoyen,
que
Cn
lenteurs
dans
l'affaire
du
apportées
mon
se
seraient
Trébuchet,
beau-frère,
et
terminées
une
décision
favorable
par
conciliation
de
tous
les
intérêts
lésés.
Mais
votre
lettre
d'hier
annonce
assez
m'étais
ouvertement
contenu.
pluviôse
ne
J'ai
quoisans
adresde vos
demande
un double
il
le présenter
au
conducpertes
teur
à la charge
il paraissait
vouduquel
loir
faire
tomber
le remboursement,
mais
ne répondait
voyant
qu'il
pas je lui adressai plusieurs
avoir
lettres,
après
cependant
été
infructueusement
le trouver
et
pour
de
me
pressé
répondre,
puisque
j'avais
chargé
crivit
de
Signé
gement,
que je
paru
l'autre,
terminer
.Je lui
être
et encore
moins
peut
de ce délit
responsable
qui
à la charge
du
proprié-
vous
donpouvoir
ner
une
satisfaisante.
réponse
plus
J'ai
de vous
saluer
l'honneur,
Citoyen,
de tout
mon
cœur.
prêt,
de
ne
l'entrepreneur,
est
entièrement
taire.
Je suis fâché
1798).
/fE?'!et'
doute
la
conducteur
les
seul
la
intentions
de
lui
faire
de sa malle,
supporter
perte
pour
vous
dans
les détails
néavec
que j'entre
la conduite
va
cessaires
à légitimer
qu'il
tenir
envers
vous.
an 6.
CITOYEN,
Le
Le
tre
malheur
ne
ami,
devant
être
arrivé
peut
sous
la
C" Trébuchet
a un titre
qui prouve
sa malle
à votre
ada été
confiée
que
c'est
l'extrait
de
la
feuille
ministration,
de
votre
Démore.
diligence
signé
Lors
d'une
vérification
de la
première
voiture
à Bourg-Egalité,
on s'est
aperçu
au
être
Cn Trébuchet,
voconsidéré
comme
du conresponsabilité
attendu
le vol de la malle
a
ducteur,
que
eu lieu par effraction
et qu'il
n'a
pu être
en
aucune
manière
toutes
les
paré
précaùtions
été
le bureau
ayant
prises
par
et le conducteur
la préservation
de
pour
cet
article.
J'ai
à cet
pris
mations
convenables
avait
de
n'y
pas
du
conducteur
et
son
était
magasin
et
la
avec
toutes
les inform'assurer
s'il
pour
de la part
négligence
été
convaincu
j'ai
que
baché
avec
sa
chaine
recouverte
attachée.
bache
Comme
des attaches
de cuir
avaient
été
couque
et que des effets
avaient
été enlevés.
pées
On a dit au Cn Trébuchet
sa malle
que
en faisait
et plein
de bonne
foi il
partie
a eu
assez
de
confiance
en
vous
pour
croire
ne lui mentait
moi
qu'on
pas
qui
suis
son
fondé
de pouvoir
par
procuration
en doute
le vol de
je révoque
légale,
le
~ac~'o/!
égard
vol
de
et
la
malle
pendant
a
la
eu
nuit,
la malle
dans
la voiture
parce
que
je
n'ai
aucune
ait été compripreuve
qu'elle
se dans
les effets
dont
elle a été chargée
bien
vos
vos
comje sais
que
registres,
lieu
le
t7<:
APPENDICE
vos
mis,
vous,
vous,
voudront
certifier
garçons,
pour
mais
vos
faits
étant
registres
par
vos
vos
étant
vos
commis,
garçons
étant
à votre
ne peuvent
salariés,
service
aux
termes
de l'article
351
de la loi du
3 brumaire
tester
ni pour
ni contre
vous.
Je
n'aurai
donc
aucune
la
preuve
que
malle
du
Cn Trébuchet
ait
été
comprise
dans
le chargement
de la voiture,
partie
le
12
et
nivôse,
manifeste
q'uerie
égard.
Ma loyauté
ne me
cacher
ma
conduite,
vous-même
l'importante
moi
boursement,
j'en
naux
il n'appartient
la décider.
Mais
en
taxer
je pourrai
la conduite
comme
la
tenue
à
son
permet
vous
de
pas
avez
question
appelle
eux
qu'à
des
vous
tranché
du remaux
tribuseuls
tribunaux
assez con-
atteignant
pas
la conduite
naître
avez tenue
enque vous
le Cn Trébuchet
vers
et qu'il
sera
important
le public
ne
désormais
que
puisse
être
dupé,
je vous préviens
que son intentention
est
la
que
soit
à Paris
déclaration
et
ci-jointe
à
placards
sera
si vous
Nantes,
lui faites
il peut
perdre
louis,
vingt-cinq
en sacrifier
autant
la conrenverser
pour
fiance
le public
a jusqu'à
ce moment
que
eu dans
votre
administration
Voici
cette
déclaration
ci-dessous.
« Ne
des
vous
affichée
en
et où besoin
fiés
Messageries
« Je
malle
lui
à l'Administration
pas
de la 'Maison
Z.OM~M<?t~c.
ai
confié
le
12
Nivôse,
livres
90
pesant
pour
qu'elle
à Nantes.
aucune
Je n'ai
transportée
ve que
cette
malle
ait été
comprise
le chargement
de la voiture
partie
et cependant
on m'a
déclaré
qu'elle
été
prise.
« J'ai
demandé
n'avait
qu'elle
été enlevée
teur,
nistration
s'est
m'a
ne
déclaré
pouvait,
de
ponsable
un
remboursement,
de l'avis
du
une
soit
preudans
le 12
avait
puisconduc-
pas,
à force
ouverte
l'Admiri de mes
déclarations
et
le
Cn
Fadatte,
par
qu'elle
ni son
être
resconducteur,
la
« L'Administration
perte
Signé
éprouvée
des
par
Messageries
confiance.
tionales
mérite
de
plus
rue
Mont-Martre
a toujours
lement
les objets
lui ont
qui
moi.
NaCelle
rendu
fidèété
confiés,
le
an
Pluviose,
TRÉBUCHET,
de
Citoyen
j'eusse
6.
Nantes
J'attendrai
26 de ce mois
jusqu'au
pour
devant
le Juge
de Paix
cette
afporter
faire
et pour
la présenter
à l'opinion
pules placards
et j'agirai
comme
par
blique
d'avoir
l'honneur
de vous
le dire,
je viens
'd'ici
je ne reçois
époque
non
d'une
l'avis
mais
vous,
indemnité,
lui
du
remboursement
des
du
effets
Trébuchet.
La
de
à me plaindre
si
n'aurais
pas
ma
malle
dans
ses
voitures.»
Paris,
si
justice
ne fera
vous
d'escro-
et je
remis
par
à
cette
conduite
la vôtre.
de loyauté
plus
de
plaisir
d'honnêteté
viez
d'abord
de
ceCa
tiens
est légitimée
voulu
chez
vous
me
un
serais
fait
que
je
J'aurais
et je
conserver
avec
et de confiance
vous
le ton
m'a.
que vous
inspiré.
HUGO.
Signé
C'est
le
27,
aujourd'hui
Trebuchet
et l'Administration
rien
vous
avez
senti
répondu
mon
cher
Fadat
n'a
sans
doute
effets
des placards
semquels
produiraient
blables
à ceux
dont
surtout
je la menace,
à Nantes
voilà
et
à Orléans.
Mais
seulement
mon
c'est
à vous
à
manifeste,
sur la marche
consulter
notre
bon
papa
croit
la
qu'il
venable.
Je
un tort
infini
et
conplus
faire
peut
qu'on
de telles
afpar
Fadat
ne peut
rien
contre
n'offre
tel
moyen
puisqu'il
Mais
si notre
trouvait
papa,
à
de
forcer
Fadat
moyen
plus
prudente
sens
bien
à Fadatte
et que
fiches,
l'auteur
d'un
que la vérité.
un
sûr
plus
la
faudrait
ne pas
baje pense
qu'il
à le prendre.
remis
au dossier
toutes
les pièces
J'ai
de cette
ma lettre
et celle
de Faaffaire,
donc
dat
y sont
jointes.
Répondez-moi
payer,
lancer
après
avoir
consulté
son
est
dessein
que
maintenant,
faire
en
et
je
notre
verrai
papa,
nous
que
ce
qu'il
sur
ce
fassions
y a à
conséquence.
à merveille,
elle
Mon
se porte
épouse
a cependant
été
malade
jours,
quelques
elle
vous
embrasse
d'un
bon
ainsi
ccëur,
nous
vous
que moi, et tous deux
chargeons
de
mille
choses
affectueuses
notre
pour
bon
et sa famille.
papa
–t77
23
APPENDICE
Vous
de ma
verrés
bien
l'écriture
illisible
par
à la hâte,
lettre,
que
je l'écris
je
n'ai
en effet
eu tant
jamais
d'occupations
une
que
depuis
quinzaine.
Je crois
bien
définitivement
que
je n'irai pas en Angleterre.
Martin
et sa femme,
Louis,
saluent.
( ?) vous
Le Cn Delaire
et sa famille
ainsi
que notre
papa.
Et moi
embrasse.
je vous
et
Maphte
vous
saluent
5 et 11
ries
en
de y'a/t 6 ( FeHf/re~
~0 ~t.
Je
en
CHER
reçois
date
du
à
7 79S).
votre
petite
lettre
a .été
27 germinal
en
l'objet
ai écrite
et il
rempli
par une
que je vous
de jours,
la vôtre
dey a peu
puisque
mandant
des
sur
l'affaire
renseignements
de Trebuchet
et des nouvelles
de la santé
de
mon
et
de
la
épouse
mienne,
je
vous
ai
donné
tous
les
désiriés.
Maintenant
en
jurisconsulte
apporte
affaire
vaincre
( ?)
tome
un
dans
une
changement
étrange
comme
la nôtre,
et pour
s'en
conon
n'a
consulter
qu'à
Bourgeix
sur
le droit
commun
de la France
2, titre
9, chap.
?
I, paragraphes
consultation
ces.
sur
les
avec
fort
le
Cn
Ter-
embarrassé,
faite,
je
ne
francs
accepteembarras
m'a
les circonstande
concilier
me
D'abord
le
désir
à faire
un
portait
sacrifice
et je
léger
ne pouvait
faire
mieux
pensais
que Fadatte
de
remettre
500
mais
que
son
francs,
défenseur
bien
instruit
des
lois
et s'obstinant
à ne rien
donner
ou à ne donner
renseignements
je vais vous
de
notre
af-
que vous
entretenir
faire
avec
car je crois
inutile
de
Fadatte,
vous rappeler
à vous écrique mes retards
eu d'autres
re, n'ont
causes
de
que celles
ne rien
dire
de décisif
et que
l'esque
à différer
poir
au lenqui invite
toujours
demain.
Vous
savés
n'est
en usage
qu'il
pas
que
les voyageurs
détaillent
en menu
tous
les
effets
contenus
dans
les
malles
ou
paaux
quets
qu'ils
et
déposent
Messageries
si cette
formalité
s'observait
il fauque
drait
un registre
Cepour
chaque
départ.
le défaut
de cette
pendant
formalité
prévenu
les
lois
anciennes
et nouvelles,
par
ma
trouvé
rasson,
je me suis
la question
par
m'a
qu'il
obtenir
de
150
puis
plus
cette
somme
?
Cet
rai-je
fait
sur
toutes
appesantir
PAPA,
l'instant
lois
il était
Fadatte
se préjet dont
chargé,
tend
dans
le droit
de ne rien
et
payer
au surplus
il s'en
réfère
à ce que
fera
son
défenseur
officieux,
dix
qui
depuis
ans
est chargé
de semblables
affaires.
Dans
MON
les
le poids
de sa malle
et l'Adminisque
tration
Fadafte
à la rigueur
ne lui est redevable
de
150
livres.
Je
me
suis
que
consulté
avec le Cn Terrasson,
mon avocat, >,
il est
infiniment
infiniment
insadroit,
il a conféré
avec
Fadatte
de l'obtruit
Lettre du Capitaine
Hugo au grett'e du jerconseii
de guerre,
M Paris, Maison commune,
place de
au
au
TribuGrève,
citoyen
f.enormand,.)uge
nal civil, rue MauperLuis
No -19, Nantes. inédite.
/?o/'<'<
que
du
Message29 août
1790
article
4,
5 et du
10 avril
art.
paragraphe
1791,
22
et 23.
L'omission
de cette
formalité
n'est
usitée
nulle
réduit
à la
qui
part,
de
150
livres
le
prétention
seulement,
assés
malheureux
voyageur
pour
perdre
ses effets.
Mais
dans
le cas de détails,
il
en est bien
différent.
Nous
sommes
dans
le premier
Trebuchet
cas,
n'a
fait
porter
HUGO.
Paris,
ainsi
date
même
150
il me fallait
nécesque
francs,
sairement
un parti.
Ce défenseur
prendre
bien
instruit
en
à n'accorder
persistant
150
vu mon
que
refus
de
francs,
pourra
les
recevoir
les
consigner
juridiquement
et faire
retomber
sur
notre
les
compte
frais
de la procédure
intentée
que j'aurai
alors
les frais
à une
cenqui s'élèveront,
taine
de livres
ne me
feront
même
pas
sentir
le gain
de ma
me
cause,
puisqu'il
restera
à peine
50
francs.
D'un
autre
côté
en acceptant
les
150
francs
purement
et simplement,
à payer
sur
j'aurai
cette
somme
le défenseur
officieux.
J'ai
cru
devoir
laisser
à ce dernier
toute
la
latitude
terminer
possible
pour
et
pour
obtenir
ce qu'il
en
sus
de la sompourra
me
fixée,
les
pour
indemnité,
lois.
par
Je lui ai dit de faire
sentir
au défenseur
de
1T8
Fadatte
que
si
Trebuchet
n'obtenait
APPENDICE
que
s'en
150
francs
l'Administration
à
aurait
ne
le discrédit
cela
repentir
par
que
tant
à
de verser
sur
elle,
manquera
pas
Nantes
où
l'on
serait
dans
qu'à
Paris,
le cas d'en
l'on
conférer
et où
racontedes
rait
les procédés
tenait
dans
qu'elle
circonstances
tous les voyaqui intéressent
geurs.
Dans
dont
enj'ai
à tmon
frère,
je lui dis que
je
voyé
copie
lui
comme
escroc,
l'attaquerai
puisqu'il
sera
de prouver
la malle
impossible
que
a été perdue
mais
a
ce moyen
d'attaque
été
annulé
une
lettre
de Trebucher
par
la malle
lui a été prise
qui convient
que
en route
de la bonne
cette
pièce,
preuve
foi de mon
Faa beaucoup
rassuré
frère,
datte
ma
que
lettre
cette
à
Fadatte
accusation
avait
fait
trou-
bler
(trembler).
mon
cher
Enfin,
papa,
me
touchent
Trebuchet
de
les intérêts
autant
les
que
miens
et je ferai
le mieux,
propres
pour
de
dicter
des
conditions.
faute
pouvoir
Ma
famille
sera
sensible
à votre
bon
du
C" Delaire.
souvenir
ainsi
celle
que
Je
vous
embrasse
de
tout
mon
cœur,
en fait
autant
et nous
mon
vous
épouse
tous
deux
Cn
Delaire
prions
et le
d'assurer
de
notre
notre
famille
attachement.
I-lUGO.
du Capitaine
Lettre
Hugo et de
he!u)-t're''e
Trebuchet. )nédite.
~ar/x.
prairial
AU
PETIT
6 ~M)t6<: 21 mai
FRÈRE
son
Sophie
/7'3~).
TREBUCHET,
J'avais
bien
à
mon
Fadatte,
promis
cher
affaire
dans le cas
frère,
que votre
d'un
mauvais
lui
nuirait
infinisuccès,
ment
le sacrifice
lui
conplus
que
qu'il
venait
de
faire
asde
600
francs
pour
ou éteindre
le souvenir
d'un
évésoupir
nement
dans
tous
les
tendait
cas,
qui
la publicité,
à faire
tout
le
par
perdre
crédit
de
son
Mais
Fadatte,
entreprise.
sûr
de sa
n'a
peut-être
trop
réputation,
les
suites
consulté
d'une
conduite
pas
l'homme
de loi
de
suggérée
par
chargé
ses
affaires
celui-ci
n'avait
et
ne
devait
~79
avoir
d'autre
but
son
que
et l'autre
n'aurait
qui
pas
de même,
malheureusement
de cause,
gain
dû l'envisager
de son
a été
avis.
est-il
c'est
Qu'en
résulté,
que
j'ai
fait
à beaucoup
de personnes
de la
part
fin de votre
affaire
et que nombre
de ces
nées
au département
de l'ouest
personnes
et du midi
des
relations
commerciapour
les et autres
ont craint
cas de perqu'en
te elles
en viennent
à essuyer
les mêmes
vous
et elles
se sont
adrespertes
que
sées
ailleurs.
Plusieurs
Nantais
ont
pris
la voiture
de la rue
Mont
Martre
de 10
francs
moins
et apparemment
chère,
plus
sûre.
Ainsi
a .été dupé
de
Fadatte
donc,
de tenacité
et je ne calcule
trop
pas jusles
torts
ce
n'est
en
qu'où
iront
pas
est maintenant
d'atpublic
qu'il
possible
taquer
dres
mais
cet
de
c'est
il a suivi
les
il est
inattaquable
dire
qu'on
peut
entrepreneur
la
loi
et
en public
or-
j'ai
et ce
cette
essuyé
raisonnement
telle
cause,
perte
par
contre
on
ne
lequel
peut
est
le
destructeur
de
arguer
rien,
plus
son
crédit.
Je n'ai
mis
dans
cette
affaire
à
l'intérêt
que
js mettrai
toujours
eu
seul
n'ai
je
obliger,
qu'un
faire
c'est
de
n'avoir
mieux
chagrin
pu
et en effet
il était
d'en
impossible
agir
autrement
et de réussir
d'une
autre
mavous
vu d'ailleurs
avés
les raisonnière
nements
ai apportés
et vous
que
je vous
les avés
et bien
sans
doute.
jugés
jugés
que
vous
s'étonne
de
ce
Sophie
toujours
que
vous
lui parlés
de réponses
à des
lettres
vous
lui .avés
elle
n'en
que
adressées,
a reçu
de vous,
c'est
réellement
aucune
ce que
vous
certifier.
Ecrivez
lui
je puis
donc
mon
et soyez
cercher
Trébuchet
tain
car
vous
déjà
pluqu'elle
répondra
sieurs
Elle
fois
elle
a
a
parlé
écrit
de
à
vous
écrire.
M.
Charbry
et a retante
également
(ou Chailvy
?) et à notre
à ses
lettres.
çu des
réponses
Je
voudrais
mon
cher
cébien,
frère,
der
au désir
de ma
et
nouvelle
famille,
vous
aller
tous
à Nantes.
On
embrasser
une nouvelle
m'a
donné
qui pourrait
peutêtre
me
faciliter
ce
on
m'a
asplaisir
suré
de guerre
n'allaient
les conseils
que
des
affaires
être
pureplus
que
chargés
ment
mis
militaires,
des
par
et
militaires,
non
des
délits
comce qui
diminue-
APPENDICE
la
masse
de mes
occupamon
cher
Trébuchet,
je fedu directoire,
rais
valoir
pour l'obauprès
l'activité
du
tention
d'un
limité,
congé
fants
service
à Paris
français
ra beaucoup
tions.
Alors,
me
voir.
que
j'ai
et je ne
soit
accordé
Embrassez
pa, et assurez
attachement
vous
ris
Je
depuis
doute
pas
le temps
pour
toute
sincère.
mille
dit
vous
fait
bon
de
famille
de
mienne
honnêtes.
moi
votre
notre
La
choses
embrasse
de
je suis
que
il ne
qu'alors
aller
de vous
tout
mon
pamon
Pa-
prisonniers
l'état
d'activité
c'est
échanges
nous
plus
qui
valent
du Capitaine
buchet(~).
letaucunes
reçue
cher
frère
et
les
retu me fais de ne t'avoir
proches
que
pas
m'ont
d'une
fois
surprise
répondu
plus
de t'asle temps
Aujourd'hui
je n'ai
que
et
surer
de la
sincérité
de mon
amitié
de
te prier
de mon
d'être
auprès
papa
et
de mes
tantes
de ma
sœur
de
Louis
n'ai
réellement
de
toi
mon
de toute
ma
généralement
de
mes
sentiments
prette
d'attachement
n'oublie
pas
mand
ainsi
que
j'embrasse
te et Marion
Jean
craint
oublier
sa commission
des
nouvelles
de
ses
re
fois
tu
nous
que
si tu as pris
quelques
famille
de
non
l'inter-
respect
et
nor-
plus
Jeannetque
tu n'aye
que
il désirerai
savoir
la premièparents
dis
écriras
nous
informations.
Adieu
bonne
et te
souhaite
une
je t'embrasse
et te prie
santé
de croire
au sincère
chement
de ta sœur
et amie.
Fe
atta-
HUGO.
On publie
officiellement
la nouvelle
suivante
le bombarl'Anglais'
a commencé
dement
et
d'Ostende
a fait
descendre
4000
hommes
sur
nos
côtes
entre
cette
ville
et Dunkerque,
hommes
1600
républicains
ont
ont
fait
2000
attaqués,
et tué
100
les réhommes,
prisonniers
n'ent
ont
La
16.
publicains
perdu
que
flotte
continuait
le
bombardeanglaise
ment
d'Ostende
sur
les 8 heures
du matin
lui a fait
Muscart
(2 plairial)
signifier
si elle
ne cessait
il alle feu
que
lait
faire
fusiller
les prisonniers
et le feu
a
les
cessé.
Nantais
les
Cette
nouvelle
surtout
ceux
doit
qui
réjouir
ont
des
bien
6000
Hugo
Par;
le 9 fructidor
/'?'aKF<!Me (Dimanche
HUGO.
Je
tres
Angleterre,
lequel
2000
toujours
seront
rendus
Lettre
cœur.
bien
[Eh
lence
est-il
si ? Est-ce
lébrer
je
son
suis
n'y
depuis
bitude
moins
~80-
anglais.
à son bean-ft'ère
Tt'é-
OM 6 de la République
26 aoùt ~79<9~.
Le
siEh
bien
frère,
vous
avés
choile dieu
que
désirés
céavec
moi
que vous
vous
culte,
je
préviens
que
et qu'ayant
nullement
disposé,
l'hade cinq
lustres
contracté
mon
près
de
parler,
de ternes à
aussi
depuis
qu'ayant
la vérité,
contracté
celle
enraciné
dans
tourester
d'écrire,
je veux
à
et c'est
à vous,
tes deux,
donc
j'écris
envers
taisés
envers
vous
moi,
qui vous
envers
votre
futur
neveu
ou
votre
sœur,
nièce.
Notre
Nantes
cance,
soins
est-il
de
bon
retour]
papa
une
heureuse
?
A-t-il
fait
à votre
à
est-il
rendu
amitié,
affectionnés
? Si comme
je le
sire,
il
est
sortira
de
nous
seils
de
au
à
vavos
dévous
milieu
de vous,
je
fait
à cet effet
mon pléet vous
charge,
l'embrasser
autant
de
de
nipotentiaire,
vous
sous
trois
mois
fois,
espérés
que
à Paris
de lui
dide parents
compter
lui écrire
et qu'il
re que
nous
espérons
la
s'est
qu'il
ne fussent
prescrite,
que deux
pour
mon
à Nantes,
mots.
Mais
point
de vos pleins
cher
vous
frère,
rappelés
ce que
vous
et
dites
lui
tout
pouvoirs
et de
sende
d'aimable
trouverés
joli,
timental.
bien
une
c'est
vous
chose,
que
[Savés
et que
vous
voir
cet
je
je désire
hyver,
Une
loi
ne pas
désirer
en vain.
crois
Conentre
les deux
nouvelle
qui répartit
attribuée
règle
répondre
s'il n'est
toute
guerre
au
premier,
tous
en-
dans
car
se
font
les
hommes
de
et
2000
en
avec
(l)Cf.Z.ef)'o<ï''o,l"Mût.d888
la
d'abord
besogne
d"
me
permettra
APPENDICE
demander
au
courir
jusqu'à
r'embrasserons
Mon
cher
dans
te-t-on
cousine
de
bon
mes
permission
nous
Alors
cœur.
de
nous
ma
tantes,
sœur
et
à
se porte-t-il
compose
faites-vous
? A quoi
que
n'êtes
moments
passés
précieux,
vous
au
pas
employé
département.
sœur
se porte
ma foi
[Votre
bien, bien
et le travail
ne l'incomdispose
qu'elle
mode
nullement.
Elle
elle a fait
s'amuse,
la
qui
Et vous
vous
vos
mais
elles
les a bien
choipeu
d'amies,
très
bien.
Il est
vrai
sies,
que
notre
position
est
différente
celle
dans
laque
vous
nous
avés
alors
nous
vus,
quelle
étions
nous
seulement
en
n'éménage,
tions
très
à notre
aise,
que
peu
aujourd'hui
cela
va
mieux.
alors
l'inJ'avais
de l'armée
d.'Ande faire
quiétude
partie
et
nous
n'en
avons
fait
partie
gleterre
sur
Ce
le
tableau.
n'est
mon
que
pas,
craint
les
et
ami,
que
j'eusse
dangers
les
mais
une
noufatigues,
je délaissais
velle
et cela
n'est
épouse,
pas
régalant.
La
cée
aura
guerre
avant
que vous
au moment
où
dans
le
recommenma letreçu
nos arlirés
peut-être
n'eussiés
vous
tre,
mées
auront
brillé
déjà
tout
est
en
mesure
et
Si par
la
circonscription
veniés
à être
classé
dans
chés
ce soit
dans
la
que
des
procurerait
avantages,
trouviés
cas
la
par
tout
la
victoire,
ira
bien.] 1
vous
militaire,
un corps
ta20e, on vous
y
si
vous
vous
de
rejoindre.
en fait
auSophie
à ne nous
engageons
vous
embrasse,
tant ] et nous
vous
oublier
de personne
de la famille
auprès
ni auprès
du
Cn
Delair
de
chez
vous,
du
et
Delaire
de
Paris.
citoyen
[Je
du Capitaine
bunhet('t).
Lettre
se porcomment
Le
cousin
et la
Trébuchet,
la famille.
Mathis,
tout
ce
souhait.
la
directoire
Nantes.
HUGO.
dit
bonjour.
Boulay-Paty,
Conseil
des
500
m'a
chargé
le choses
de
sa
honnêtes
bon
papa],
veuiiLés
bien
membre
du
de dire
milà notre
part
le lui
dire.
Mon
est charcher
frère,
votre
réponse
ma
femme
et
moi
l'avons
lue
mante,
avec
une
entière
et tous
satisfaction
vive,
deux
nous
vous
en
votons
des
remerciements.
vous
n'encensés
le
Puisque
que
dieu
de
la
de
la
douce
amitié,.
tendre,
mes
soins
aux
votres
fêter
j'unis
pour
cette
divinité
si chère
aux
bons
cœurs
et si souvent
les mauvais,.
défigurée
par
malheureusement
rares.
pas assez
Votre
est
ma
foi
défense
excellente,
tout
à fait
et la persuasion
excellente
en la
suffit
au
qui
pénètre
lisant,
juge
assurer
votre
succès,
pour
avés
raison.
Vous
trouverez
ci-joint
notre
bon
vous
qui
Papa,
les
adresses
chères,
trouve
des
mettez-y
en joye
ainsi
personnes
la
sienne
et
donc
vous.
une
bonne
lettre
pour
à mettre
aimez
sont
qui vous
et qu'elle
le
santé.
désirs
d'aller
les mêmes
tout
à
des
désirs
vifs,
réflexion
me
cependant
enfant
et je me dis le petit
frappe
pourra-t-il
cette
route,
supporter
longue
je
nous.
le pense
et le degré
de ses forces
toujours
[J'ai
vous
mais
voir,
fait
une
vifs
fera
si nous
prudemment
pouvons
juger
nous
mettre
en voyage,
car
vous
ne doutés pas,
mon
cher
veut
frère,
que
Sophie
être
à
mère
de
son
tout
fait
enfant,
à un
ne
veut
l'abandonner
qu'elle
pas
sein
avant
d'avoir
de lui
essayé
étranger
donner
veut
en nourrissien
qu'elle
ne faire
cousant
elle-même
son poupon,
ler dans
ses veines
de famille,
qu'un
sang
et
souvent
source
des
habitudes,
trop
le
il
la vie.
Né
d'honnêtes
gens,
leurs
et il ne sucera
principes,
doit avoir
dans
de sa mère
aucun
des vices
le sein
tant d'êtres
dans la société.
qui dégradent
en
se
de
nourrir
son
Sophie
chargeant
elle
aura
des
obéit
à la nature
enfant,
ne
mais
aussi
de jouissances
que
peines,
se
de
procurera-t-elle
(1) Cf. Z.e~a'-o.i"
~8)
Tre-
Paris, le 26 /'ruc<:</ot' an 6 de la /!epf<&~</Me
12 Mp<eM6;'<; ./79~.
française
('e?'er~:
guide
vous
[Louis
Le
citoyen
son beau-frët'c
Hngo
pas,
août
elle
1888.
jouira
du
pre-
APPENDICE
mier
sourire
pérer
sous
de
ses
cher.
plus
ce
yeux
mon
des
moi
en
est
qui
à
à
tenant
et
(Nancy
à
les
Louis.
mais
instruit,
il
d'autres
que
à
l'être.,
et dans
peut
tricht
et
tingué
té
la
ne
a
là ], il
de
et
tout
autre,
c'est
chet,
il
amis,
parents
est
ceux
étranger.
le
peuvent
qui
vent-ils
que
faire.
pas
Je
il
est
plutôt
que
cher
Trebuoù
on
ces
doute
j'ai
laire,
sa
été
famille
ne
et
plusieurs
n'ai
je
de
Paris
est
cas,
fort
la
du
~)'<,
çaise
/<*
où
et
s'aide
ne
doi-
cepenà
mar-
du
Cn
,De-
pour
saluer
le
plaisir
qu'u-
trouver
Mlle
Archambeau,
d'y
suis
vos
comretourné
j'y
pour
y faire
et n'y
ai trouvé
Néanpliments
personne.
moins
de vocroyés
que
je m'acquitterai
Je
ne
m'amuse
buchet
à
faire
plaisir
de
dire
pas,
j'écris
que
de
quoi
pas
ver
vous
engage
toujours,
mon
/faM-
faut
Je
cher
-182-
amis,
expressions
servent
source
et
d'elle
pleines
beaux
ces
ces
périodes
repousse
à nulle
leur
souvent
vous
(l)Gf.?-o,8MÙt.i888.
ai
élégance
à
des
ou
de
mon
ne
sans
donné
bon
pas,
mé-
Quand
parents
stile
part
découlent
de
qu'on
brillantes
ment
que
A
franchise.
discours
lorsqu'il
autre
chose
auteur
le
pense
n'en
qui
à
éloges
mentir
avec
Tré-
ne
je
que
Cher
pour
des
la
j'aime,
mon
cœur
que
et
phrases
ce
pour
à
mes
porté,
mon
jamais,
des
donner
pour
rite
commission.
Je
]
&?'M??!an'e an 7 de la République
octobre
-~79~.
(Lundi,
pense
pas,
sentiment
fois
tre
finis
mon
Epiembrasje vous
je
et
des
fois
eu
que
j'ai
je lui
TrëHugo à son beau-frëre
Capitaine
chez
an Tribunal
buchet,
Lenormand,
-L'ge
f-ivi! (1). premier
conseil
de guerre
permanent
de la 17e division
militaire,
greffe du 1er conseil de guerre
à Paris,
maison
commune,
place
de Grève.
au
'fer
batailHugo adjudant-major
lon de la 20e demi-brigade
d'infanterie
de ligne,
du
le''
conseil
de
rapporteur
près
guerre.
Lettre
des
départ
commission
rapai-
HUGO.
rien.
ans.
le
Depuis
qu'ils
cousin
Mathis
et que
demain
Trébuchet,
[Allons,
t-re, ma longue
épitre
se bien
franchement.]
res-
vous
que
soyez
conscript
cher
de suite,
au contraire
je pense
qu'étant
d'un
de
conscript
âge
plus
éloigné
vous
finir
chez
vous
Vendémiaire,
pourrés
cinq
Trebuchet
re-
insurmontable.
dehors
des
dant
vos
Louis
vous
et ils se
notre
attachement
à toute
Témoignés
notre
famille
et dites
lui que
si Sophie
n'écrit
à personne
c'est
sa
depuis
que
a un dégoût
étonnant
elle
grossesse
pour
lire
et pour
et que
est
écrire
ce
dégoût
dis-
obtenir
D'ailleurs
en
fait
sa
écrirai.
Maes-
et
parents
des
troupes
dans
avec
pellent
plaisir,
ment
bien.
Veuillez
dire
au
à
pas
s'est
l'état
ses
de ma part.
son
et
Epouse
de votre
souvenir
Delaire,
leur
dire
plus
de
il
Corps
mon
avec
que
d'obligeant
Martin,
mercient
Cns
aux
témoigner
vous
trouverés
un
sugrades
meilleurs
pas
autant
qu'on
siège
dans
mieux,
à
Trebuchet,
tout
ce
des
peut
mon
a peu
18
beaucoup
qualités,
ne
y
procurer
n'est
qu'il
pourquoi
que,
servir
discipline,
tout
il
offre
vaut
y
com-
depuis
Franconie,
bonnes
avantageux
Si
vous
je
que
au
sais
et
que
brave
Fleurus,
je
marine
la
encore
est
Lieu-
il
occupent
sont
n'en
qui
Louis
depuis
se-
second
vrai
l'est
qui
et
périeurs
à la vérité.
est
temps
frère
brillante,
reçu
peu
encore
II
grands
jeune
livré
étude
si
pu
el-
est
l'Infanterie
et
n'ai
il
de
troupes
ne
l'enveloppera
Dans
d'avancement
grade
cette
moment
conscription
me
officier.
je
à
qui
suite
de
s'est
la
mois
votre
li-
la
procurer
commencer.
premier
dans
vous
vous
ami,
âge
Mon
temps
quelque
ra au
et
Par
mathématiques.
vous
pourraient
de
famille,
sommes
mon
bien,
et,
notre
me
reconnaissants.
toujours
avantages
à
Trebuchet,
de
vous
devriez
[Vous
vrer
aux
encore
prosaura
de
qu'elle
cher
nouvelles
et
Sophie
en
serons
les
verra
et
]
Continués,
donner
l'innocence
que
ne
ne
le
sent
s'y
qu'à
prouil
le
quand
nécessité.
mon
avis
et
[je
APPENDICE
vous
dans
ai 'félicité
sur
ce .que
vu
j'avais
vos
ai dit
ce que
lettres,
je vous
sont
d'ije vous
répète,
qu'elles
pleines
dées
neuves
et justes
votre
stile
et que
être
trasi vous
peut
plus
qu'ordinaire,
vaillez
à le. soigner,
si vous
vous
donnés
de
à l'étude.
le
disais
Je
l'application
à Sophie
votre
derencore
en recevant
nière
du
et elle
de
3 Vendémiaire
était
mon
avis.
A votre
on
a du
âge
temps
de reste
et lorsqu'on
le divise
bien
on en
on
trouve
et pour
l'utile,.
pour
l'agréable
talents
nécessaires
et
acquiert
quelques
vous
avés
commencés
cette
marche.
déjà
vous
vous
êtes
adonné
aux
mathéDéjà
d'étudier
vous
même
matiques
Essayés
une
l'italienne
est
exemple
langue,
par
facile
et il faut
de temps
peu
pour
l'apNos
nous
rendent
cette
conquêtes
et
elle
offre
beauindispensable
Ah!
si la carrière
des
coup
d'agréments.
armes
embrassée
tôt
trop
pour
que
j'ai
mes
militaire,
j'ai
goûts
puisqu'à
peine
été
forcé
d'abandonner
les
eut
sciences,
au dessin,
à
prescrit
que
je m'adonnasse
à
la
l'allemand,
musique
que
j'avais
commencés.
me
récréeAujourd'hui
je
le matin
en traçant
un léger
rais
paysale jour
et je me
allemand
ge, je parlerais
prendre.
étude
le soir.
On ne peut
tradésennuyerais
plus
vailler
sa propre
instruction,
quand
pour
telon
des
fonctions
publiques,
remplit
tous
les encore
celles
absorbent
que
qui
mes
instants.
Si la paix
se fait
je répatems
rerai
le
si
je m'apperçois
perdu,
occupations
les
voir
répartition
Conseils
le
j'ai
passé
habituelles.
diminuer
un
des
affaires
devait
me
là n'empêchera
pas
nous
ne travaillerons
vons
entre
les mains
tient
de huit
plus
tems
Je
dans
à
la
peu
parce
que
entre
les
deux
le
faire
croire,
ce-
que
de quelques
mois
Nous
a-,
beaucoup.
une affaire
qui concents
pièces,
dont
finira
guère
qu'en
nivose.
s'en
charCollègue
du
pour
jugement
d'en
profiter.
Si
mon
le
tems
tacherai
J'ai
la
lettre
de
reçu
du
Cousin
pa et la note
était
jointe,
j'y
répondrai
en
attendant,
mon
jours,
chet,
assurés
ma
toujours
famille
de notre
souvenir.
vous
embrassons
de
bon
notre
bon
paqui
y
de
peu
Trebu-
Mathis
sous
Cher
soeur
et
notre
et
Sophie
cœur.
moi
HUGO.
Bien
lair.
des
Le
Cn
choses
Delair
~)n
buchet.
Capitaine
inédite.
9
C"
vous
Martin,
Dedisa
vous
aiment
toujours
à votre
souvenir.
bien
il son
Tré-
Hugo
A'/H<Me
29
(Samedi,
'le
au
et sa
famille
des
choses.
sent
aussi
bien
femme
et Louis
et se rappellent
Lettre
honnêtes
<t;t
7 de
</<'ceM&t'e
bean-frëre
/M&<i</Me
~79S~.
/'?'H)t-
S'il
mes
m'attendais
ne
j'aurai
ge,
vacance
et
çaise
ne soit plus
trop
tard.]
amume paraît
vous
vous
êtes
que
à St-Fiacre
notre
bon
sé
et
que
papa
sa
excellente
a été
satisfait
de
récolte
aussi
devés
et en quantité,
.m'a-t-il
écrit,
vous
bien
vous
être
amusés
en vendange.
vos
aurait
bien
désiré
Sophie
partager
ma
il
et sans
sa
rotondité,
foi,
plaisirs
vous
fut
allée
eut
été
qu'elle
possible
Moi,
et
moins,
ou pluviose.
/~a's.
qu'il
Il
voir.
a trois
et quatre
cents
majorité
rolles
cette
affaire
concerne
chaufvingt,
sept
feurs
de la même
elle
nécessitera
bande,
à Paris
de plus
de deux
cents
tél'appel
la
mon
cher
Trebuy a longtemps,
ai écrit,
c'est
chet,
que
je ne vous
parce
mille
soins
'dije n'ai
que
pu le faire
vers
m'ont
au
que
je ne
occupé
point
ma
sais
comment
réparer
je ferai
pour
envers
mes'
et
mes
parents
négligence
les uns
et les autres
il faudra
amis
que
là facileet ils en viendront
m'excusent,
ment
ils sauront
que
je ne les ai
quand
un
pas
tention
quand
traient.
Je
ne
moment
de
mes
délaissés
leur
donner
occupations
sais
pas,
je ne peins
comme
je peine
nuit
et
presque
autrement
quand
et surtout'
sogne
si
vous
j'écrit
que
plus
me
dans
l'inde
temps,
le
permet-
pourrés
comme
et
je
Il n'en
me
un
lire,
chat
quatre
griffonne
être
peut
jour.
de bel'on
est
chargé
à la veille
de
quitter
APPE!~DiCE
des
rien
fonctions,
laisser
ne
qui
en arrière.
permettent
de
re
séant
à
curité
d'obsl'espèce
surêtre
réduit,
ne sera
pas
elle pourmoi
Paris
mais
laquelle
je vais
dans
un
cantonnement
Vous
avés
plus
fréquemment.
vous
vous
occutant
gagné
depuis
que
fait
de votre
cela
me
éducation,
pés
que
un
conContinués,
plaisir
inexprimable.
moi
detinués
les
mathématiques,
pour
tems
mes
devoirs
m'ont
fait
puis
quelque
délaisser
les muabandonner
les sciences,
rien
donner
ses, et ne plus
( ?) aux plaisirs.
et je m'appliJe
vais
à la campagne
si je puis
car
les soins
m'y
querai
qu'on
l'avoue
de
aussi
honorablement
quitter
des
fonctions
aussi
délicates,
desquelles
avec
les meilleures
on
souvent,
intentions,
ne
se tire
comme
on
le désirerait.
pas
avec
sa
La
calomnie
ne m'atteindra
pas
m'en
aux
cent
patte
griffes,
j'ai
pour
cependant
m'eussent
d'occupations
entretenir
laissent
destine,
J'espère
votre
que
frère
presque
absolument.
également
m'écrirés
vous
trop
occupé
vous
ne le
pas,
que
permis
peu
et
moins
de
vous
à
tout
sans
charme
quelque
pour
ra m'offrir
le temps
nécessaire
qui m'est
à [réparer
le vide de travaux
studieux,
que
trois
lesans,
pendant
j'éprouve
depuis
consacré
en entier
quels
je me suis
pour
la chose
H m'est
doux
je vous
publique.]
J'aurais
désiré
pas
repos.
parce
que
ne
vous
écrit
délaisserés
pas
ma
femmon
Adieu,
Trebuchet,
petit
vous
embrasme et mon
fils et son père,
sent
ainsi
toute
votre
famille.
que
Louis
est
caporal.
HUGO.
Lettre
du Capitaine
buchet.~).
Hugo
le bouclier
de l'opinion
publipréserver,
la
Division,
et
l'ordre
de
que
général
à notre
dont
bon
j'ai
envoyé
copie
papa.
l'aspas
Paris,
je vous
[Je ne regrette
et mon
doit
moins
le resure,
Epouse
des
encore.
Elle
n'a
y jouir
pu
gretter
de
son beau-frère
Tré-
offre
et si elle
chaque
jour,
plaisirs
qu'il
à Idalie
s'est
distraite
quelquefois
( ?),
à Mousseaux
à Tivoli,
a passé
ou
elle
dans
notre
antibien
de tristes
journées,
Commune.
elle a voulu
que maison
Quand
sortir
elle
a été
couverte
de
elle
boue,
a été
d'être
rendue
aux
avant
fatiguée
a risqué
elle
de
promenades
publiques,
fouler
cela,
Paris.
le 15 ;)/MKin.<e ~<i 7 de la République
çaise ~<-<:t'/e''
~799~.J.
goûter
forcé
/rM-
voir
trouver
courses
femmes
Treavec
mon
cher
reçu
plaisir,
la lettre
vous
m'avés
écrite
buchet,
que
le 26 du
mois
et dans
dernier,
laquelle
vous
votre
les
craintes,
m'exposés
que
bon
sur
mon
cœur
vous
fait
ressentir
de fonctions
vous
craignés
changement
soient
d'un
moindre
traitement
qu'elles
et que le séjour
de Courbevoye,
n'ait
pas
J'ai
sans
tions
ris pour
de vingt
plus
mon
cher
frère,
que
fonctions
doit
m'offrir
nous
doute
que je
de Rapporteur
ne
l'étais
dans
d'un
Conseil
un cabriolet,
et tout
avec
piéton
la déa bien
suffi
sans
doute
pour
est
d'une
où
l'on
ville,
toujours
de courir
une
et deux
heures
pour
un
ne
le
au
de
ami,
pas
risque
de
A Courbevoye,
elle aura
peu
à
faire
trouver
pour
quelques
des
elle
aimables,
jouira
plaisirs
croître
Abel
elle
verra
campagne,
de la
et elle
sera
bien
satisfaite.]
autant
moi
être
que
d'y
et je suis
malheureusement
autant
de charmes
de
que celui
vous
remercier
de l'intérêt
Je dois
vous
à ce qui
nous
que
prenés
regarde,
et vous
dire
comment
ma nouj'envisage
velle
situation.
à mon
Je vais
vivre
Corps
plus
ignoré
pour
Paris.
le
tements,
je
conviens
Elle
désire
rendue
bientôt,
encore
à PaVous pensés,
jours.
la cessation
de mes
moins
que
d'appoincela
est
vrai,
et
indemnités,
de moins,
eh
chauffage
que
logement,
an 2.000
francs
j'aurai
par
bien
avec
cette
diminution
serai
je n'en
la raison
mal,
que
je vais
pas
plus
par
à la campagne,
où mes chevaux
me
vivre
et où je n'aucoûteront
beaucoup
moins,
les fonc'de Guer-
(t;Cf.Z.e~yaro,SMùti888.
~84
rai
pas
tant
les
avantages
de dépenses
à faire.
Au reste
dont
ce jour
j'ai joui jusqu'à
APPENDICE
n'ont
été
et
ne
seront
avantages
éphémères
je quitte
aujourd'hui
venir
demain.
Savés-vous
bien
je considère.
d'aller
Sophie
voir
prospérer
neur
de former
se
couvrir
mes
est
j'en
sans
toujours
que
et cette
chose
encore
me
peut
bataillon
capable
et l'amitié
de
un
gloires,
camarades.
Pour
du
le nerf
de la guerre
vivre
aye assés
pour
et
que
re-
tout
dans
cela
ce que
C'est
le plaisir
qu'éprouve
à la campagne,
celui
d'y
notre
l'honjeune
enfant
de
dettes
des
sans
de
tous
reste,
l'argent
et pourvu
que
en paix,
je vis
soucis.
de tout
embrasse
son cœur
à elle.
joins
bon papa
et à notre
Renouvelas
à notre
famille
l'assurance
de notre
attachement.
Sophie
et je me
vous
Dites
ma
à
sœur
il y ait
quoique
que
nous
de ses
que
n'ayons
reçu
longtems
nouvelles
nous
ne l'en
aimons
moins
pas
et que je la prie
de permettre
à son frère
le militaire
cœur
de l'embrasser
de bon
et d'embrasser
aussi
lui notre
tante.
pour
il
Louis
se porte
si bien
bientôt
que
ne
notre
pourra
plus
passer
par
porte,
tant
il devient
et grand.
gros
Bien
des
choses
honnêtes
au
Cn Delaire.
de
qualité
commune.
Rapporteur
de Grève
est couverte
d'eau,
[La place
tant
la Seine
est grande,
on ne vient
chez
moi
et
la
bateau,
je désire
qu'en
que
se
en
et
ne
chemin
présente
noye
pas
vous
arrive
saine
et entière.]
Ecrivés
moi
et
toujours
à la
en
maison
ma
HUGO.
suivi
Paris,
ventôse <!M7 ~3
au 3e bataillon
beau-frère
Tré-
ce qu'il
se fait
sautille
à
cher
tout
voilà, mon
[Me
Trebuchet,
fait instaHé
dans
mes nouvelles
fonctions
le seize
à l'école
midepuis
je suis
logé
mon
fils m'y
et mon
ont
litaire
épouse
(~ Cf. LeFigaro,
1" août
tSS8.
aime
le bruit
des
tambours
entendre
du matin
au soir
aux
fanfares
de
guerriers
perbe
musique
au bruit
perçant
yeux ne peuvent
à feu
ches
que
une
magnifique
qui
qu'il
la su-
de
la
20e,
qu'il
s'égaye
des trompettes
et que ses
suivre
loin
ces boutrop
conduit
au grand
galop
artillerie
Tout
ce
légère.
enfants
de son âge,
l'amu-
les
qui effraye
se et le satisfait]
aussi
sa bonne
est-elle
au Champ
de Mars
midi
toujours
depuis
à le promener
heures,
et là
jusqu'à
cinq
lui
faire
le bon
air.
prendre
[Voilà
là ceux
les plaisirs
de mon
fils,
de
mon
épouse,
mon
cher
voici,
voi'Tre-
les plus
constants.
les miens]
[Du
au soir
mon
bataillon
je manie
je
de tous
les détails
m'occupe
qui le concernent
et que
l'absence
du
laisse
chef,
en partie
à ma
surveillance.
Ensuite
les
rends
au
Conseil
de
jours
pairs
je me
où je travaille
à terminer
les afguerre
buchet,
matin
faires
qui me restent.]
]
Nous
devrions
être
à
les
du
service
fatigues
Courbevoye,
de
Paris
mais
et
les
élections
nous
retiennent
ici
peut-être
nous
elles
seront
y rendrons-nous
quand
faites
du moins
on en parle.
Nous
avons
su
le
9
les
pluviose
effets
du tremblement
de terre
qui a eu
lieu
le 6 sur
les rives
de l'Océan
et qui
étendu
à vingt
l'intérieur
de
charmé
d'apprendre
ne vous
ait
causé
toute
notre
famille
été
Ma?'s .<799,).
l'une
comme
l'autre
ne semblent
la maman
pas
s'y
déplaire,
parce
qu'elle
étend
la vue
sur
les
fertiles
coteaux
de
sur
la
les plaines
Vaugirard,
qui bordent
sur
des
avenues
le printemps
Seine,
que
va rendre
le petit
Abel
charmantes
par-
s'est
dans
de Hugo,
Lettre
adjudant-major
de la 20e demi-brigade
à son
huchet(i).
et
quitte
pour
Les
inondations
la
au moins
myriamètres
la République,
je suis
ce
que
phénomène
aucun
malheur
et que
en
ait
peur.
ont
.été
comme
vous
aussi
grandes
à Paris
Nantes.
Nous
avons
été'
qu'à
de sortir
de la maison
commune
obligés
en bateau
et l'on
ne traversait
aupas
trement
la place
de Grève,
les quais
du
la Grève
ont
Louvre
et de
été
inondés
jusqu'au
premier
étage.
Ce que
vous
me dites
de certaine
personne
me
fait
deviner
elle
n'a
pourquoi
à la lettre
pas
répondre
que
je
daigné
–185–
2t
APPENDJCE
lui
avais
écrite
quelque
mariage.
frère
Louis
est
Mon
où
il est
Commandant
de
seize
une
garnison
ferai
un
temps
après
détaché
de la
à
mon
Chelles
avec
place
lui
hommes
je
avec
en lui disant
plaisir
grand
vous
l'embrassez.
quel
plaisir
du
mon
cher
frère,
Je
vous
embrasse,
et
mon
mon
meilleur
de
cœur,
épouse
autant
et
tous
trois
mon
fils
en
font
nous
embrassons
notre
bon
papa
réunis,
de lui et de
et vous
d'être
prions
auprès
de notre
affection.
notre
famille
l'organe
Huco.
souaux
civilités
et au
bon
Sensibles
et de
venir
du Cn Delaire,
du Cn Marion
bon
nous
les
remercions
de
Jeannette,
de notre
bon
soucœur
et les assurons
venir.
Adressez-moi
mes
lettres
à
nouvelle
adresse,
Commune.
jusqu'à
la Maison
puisqu'elles
cesser.
au 3e bataillon,
à son
de ligne
se
du
ou
les
Nancy,
Vous
devez
re, de recevoir
/7orea/
être
une
vous
cy,
lorsque
sein
de l'ancienne
vous
cesserez
de
rez
instruit
que
au
particulière
perdre
qu'estimé
un
an
7 ~/at-6<!
1799)
frè
mon
cher
étonné,
lettre
timbrée
de Nanme
encore
au
croyez
de la France
capitale
l'être
lorsque
d'une
[charge
moment
où
aussi
chéri
père
des
bons
moment
6 Mai
citoyens
et pour
consolations
vous
semission
venais
de
sa famille
je
de
je
n'ai
pas
s'il
bon-
un
perdu
apporter
à ma
était
des
possible
ne mère
et pour
le but
de ma
remplir
mission.
Ma
chère
et mon
Abel
Sophie
ont été
du voyage,
et sont
au
avec
moi,
sein d'une
famille
qui les chérit.]
Vous
vous
de mon
silence
sur
plaignez
vos
doivent
être
fondées
Abel,
plaintes
(4)/.e~a)-o,t"MÙtt888.
~86
fait
embrasser
mille
il ne fait
jour
que
dormir.
Tous
disent
plus
souvent
délicats,
oh
la
petit
bonhomme,
le compliment,
les
vais
faire
aussi
fois.
sauter,
Tout
le
rire,
a les
qu'il
s'entend-il
jolie
petite
comme
s'il
rit aux
éclats
fille,
long
téter
traits
dire
et ce
comprenait
à ceux
qui
lui parlent
ainsi:
Il a les yeux
bien
ouun amour,
un teint
de Vénus
c'est
verts,
de
son
aussi
est-il
adoré
de
sa
mère,
et de ses
Ta.
Ta.
père
Joignez
tantes.]
fille
à tous
ces
attraits
dont
une
jolie
force
dans
les
bras,
qui si elle accroît
la
en fera
dans
l'âge
proportion
un luron
des plus
nerveux.
Ne
mon
cher
Trebuchet,
croyez
pas,
dans
soit
ses promenades,
Abel,
que mon
à des
confié
à de jeunes
filles,
étourdis,
il
/e 17
je
lieu
de
mon
vous
en
je
parle
père
[Si
vous
me
croirez
Abel,
partial
je ne veux
vous
dire
répéter
que ce que j'en entends
et d'avance
dis que c'est
la 'vérité.
je vous
et ne
Dès
il gazouille
s'éveille,
qu'il
On soulève
le rideau
de sa
pleure
jamais.
couchette
et
il
sourit
à quiconque
lui
sa
rend
le premier
ce service.
Si c'est
et
maman
il veut
lui dire
chose
quelque
offre
reins
avec
Lettre
de Hugo,
adjudant-major
20e demi-brigade
d'infanterie
beau-frère
Trébuchet
(d).
ont
l'assemblage,
et dans
les
de leurs
échapperait
des
bonnes
raisonnables
route
nous
avons
que
il est
quelle
presque
une
il lui
mains
et nerveuses.
faite
et dans
resté
toujours
faut
La
lasur
les genoux
de sa mère
ou sur les miens,
me
loin
de
lui
faire
le moindre
mal,
semble
ainsi
tout
le monde,
avoir
qu'à
ses
Voilà
accru
je
physiques.
quaHtés
crois
le portrait
de votre
d'Abel,
premier,
de
votre
cher
neveu.
plus
rendu
Je repartirai
d'ici
le 30. Je serai
à
Paris
le 6 du mois
prochain,
parce
que
m'arrêter
à Toul
et vous
je dois
pourrez
m'adresser
vos
lettres
à. l'école,
militaire,
sous
la
donne
en
je vous
qualité
que
tête
de la présente.
bien
mon
TrebuJ'aurais
cher
désiré,
le temps
de ma
mission
n'eut
que
été limité,
fait
deux
ou trois
j'aurais
pas
lieues
de plus
et j'aurais
été
emcents
brasser
mon
mes
ma famille
tantes,
papa,
eut vu ses parents
et vous aussi.
Sophie
vous
eussiez
tous
vu mon
et
fils,
chéris,
chet,
APPENDICE
G
tous
contents.
nous
eussions
été
réunis,
sont
il faut
mes
ordres
Mais,
impératifs~
et je vais
le 6 prairial,
que je sois à Paris
affaires
mes
en y laissant
quitter
Nancy
fondé
mains
d'un
entre
les
domestiques
si la chose
ou
de ma
mère
de pouvoir,
sa
famille
et
a balancé
entre
Sophie
la mienne,
elle
fut
retournée
à Nantes
si elle n'eut
de me repas eu l'espérance
à Nancy
voir
facilement
en
allant
plus
n'est
distant
de Worms
d'envique
qui
elle
ron
et d'où
peut
myriamètres,
vingt
est
avoir
possible.
embrassez
mon
cher
Trebuchet,
Adieu,
et pour
mon
fils
ma
femme,
pour
pour
et suret bons
nos
chers
moi,
parents,
de
sorte
de
me
donner
tout
faites
en
à Paris.
leurs
-nouvelles
à mon
retour
Nous
sommes
tous
à
J'ai
vous.
d'enfans
an 7 de la République
1799).
et
se
que
près
même
Mayence
situation
mon
pu
font
lui.
les huit jours.
et comme
elle
ne peut
elle
qu'y
venu
mon
chez
retour
moi
autant
de
satisfaction
aimer
et généralement
autant
mon
moi,
pour
Pa-
grand
mon
cousin
Mathis,
prie
moi
ainsi
pour
que ma couet dites-lui
je ne lui
sine
que
quoique
reai pas moins
je n'en
aye pas répondu,
enmis
les pétitions
m'a
adressées
qu'il
du Cn Boulay-Paty,
tre les mains
qui m'a
à
assuré
les avoir
et déposées
apostillées
Voyés
je
embrassés-le
cœur
ce
prévoir
départ
préà
laissé
tous
mes
effets
j'aurais
dispenj'y
Nancy,
lorsque
étais,
à Paris
famille
du
retour
sé ma
petite
Malbien
et je l'aurais
quittée
arrangée.
ce déheureusement
je n'ai
pu pressentir
et d'autant
moins
encore
que j'avais
part,
des
lettres
dans
mes
qui me
reçu
foyers
à l'école
miun long
séjour
promettaient
litaire.
(t) Cf. Le Figaro,
tous
pa.
le leur] ]
est
que
et si quelil éprouve
un double
chagrin
c'est
l'eschose
me
consoler
peut
que
le 8 Mesde revoir
Abel
et Sophie
poir
tacheà Metz.
Je
sidor
à mon
passage
et
si je
rai
de
les
revoir
quelquefois
de les raptrouver
occasion
quelque
puis
emavec
de moi,
procher
je la saisirai
pressement.
Si
j'eusse
cipité,
j'aurais
donnent
Embrassés
vie
le plus
de ma
pénible
[Le moment
est
mon
cher
Trébuchet,
arrivé,
je pars
de mon
et je suis
forcé
de
me
séparer
Tous
cher
Abel
chérie
et de mon
épouse
la
route
ont
hier
tristement
deux
pris
celle
de Nancy
et demain
je vais
prendre
Worms,
dans
la
nouvelles
j'ai
n'était
qu'il
d'autant
à Paris,
ce
dont
été
plus
j'ai
bien
de la
avec
fâché,
plus
que
j'aurais
de
satisfaction
fait
sa connaissance,
parlé
vous
et satisfait
à vos désirs.
il se forMon
Abel
est toujours
gay
tifie
et
n'ait
jour
quoiqu'il
que
chaque
son
mois
il dit déaujourd'hui,
septième
maman
distinctement
et
peu
jà
papa
Lettre de l'adjudant-rnajor
Hugo à son beau-frère
Lenonnand.
chez )e citoyen
Tt-ébuchet
juge au
n° 49 (1).
Tribuna)
civil, rue Maupertuis,
de
mes
décider,
par la
et aimée,
y est connue
bien.
être
Cn Conaud
est
Le
(?)
à
mon
pendant
absence
du
C"
Boulay-Paty
appris
HUGO.
/'aW~, le 25 prairial
française
(13juin
de
fini
si
de plus
que
ce
n'est
pas
par
je
répondu,
comme
au
mais
c'est
qu'ici
négligence,
de Guerre,
Conseil
je n'ai
pas une minuécrite à moi et que peut-être
je ne vous
raison
du
rais
sitôt
départ,
pas
si, pour
là suspenmes
n'étaient
occupations
par
la
~87
Dites-lui
Commission.
n'ai
pas
dues.
de
l'adresse
[Voici
A la C°"e Hugo
Rue
des Maréchaux
Nancy.]
Au
Sophie
la
jeune,
?
81,
la
mienne
chez
Ville
sa mère,
vieille
à
]
Voici
quelle
Cn
Hugo,
sera
à
Worms,
du
armée
Da-
nube.
mon
Je vous
prie,
à ma
sincère
amitié,
bornes.
sans
La
1" août 1888.
vous
famille
Labrosse
cher
elle
frère,
vous
vous
de
est
croire
vouée
salue
ainsi
APPENDICE
mon
Mes
amitiés
aux
grand
papa.
Delair
et
Brosson.
jeunes
Ne
m'oubliés
de
notre
fapas
auprès
mille.
de me donner
de vos nouvelles
Tachés
que
et
Poste
promptement
tre
lettre
en
sorte
ce
pour
restante
qu'elle
Messidor,
sance.
soit
rendue
en
prendra
y
Sophie
Votre
adressés-moi
à Metz,
vofaites
le
7 de
connais-
ami,
HUGO.
Toutes
les
fois
une
lettre
simple
sés-la
trois
pour
surement.
plus
un
an,
jusqu'à
la
mode
dans
les enfants
s'y
Lettre de )'adjudant-major
Hugo, armée du Rhin,
4e division
militaire,
quartier
général
Nancy,
au citoyen
lieutenant
d'une
comTrébuchet.,
la
franche
de
rue
MauLoire-tnférieure,
pagnie
pertuis, n" 19, Nantes (1).
demeurait
lui
donner
y
fran-
cher
Paris/mon
mon
épouse
frère,
j'aet mon
fils
à
chez
ma
mère,
cette
destinaj'avais
préféré
tion
comme
parce
que
je regardais
possible
me
revit
et
qu'elle
fois,
quelque
recevrait
que j'étais
persuadé
qu'elle
plus
facilement
de mes
nouvelles
si elle
que
eut
été
à Nantes,
beaucoup
trop
éloigné
de notre
mes
se sont
armée
espérances
réalisées
et pour
nis
aux
et
d'une
moi,
que
je
manière
puisque
suis employé
adjudants
généraux
combien
de
je ne sais
ici, ma~s il serait
possible
et alors
l'hyver
j'aurais
passer
famille.
cette
S'il
résignerais
dre
le bon
(i)
Cf.
Le
rude
en
encore,
tems
Figaro,
elle
agréable
pour
nous
sommes
saison
était
mais
quand
réu-
comme
de cette
adjoint
division,
tems
je resterai
que j'y restasse
la satisfaction
de
au
sein
de ma
autrement,
sais
[je
il vient.
je
bien,
veut
elle
qu'il
parce
vos
nourtette
c'est
que,
dit-elle,
et que
départemens
mieux
portent
qu'ailleurs.
c'est assés jusqu'au
neuvièla mère
comme
l'enpour
Je pense
que
me mois,
pour
car
si celui
ce ne doit
fant,
(ci)
profite
être
de
la santé
de
sa
qu'aux
dépens
mère
et je craindrais
de Sophie
que celle
n'en
fut
un
luron
avec
de l'apaltérée,
cette
En
quittant
vais
envoyé
elle
Nancy,
porte
toujours
son
Abel
et
I! a heureusement
fait deux
pétit
d'Abel.]
dents,
j'espère
pousseront
que les autres
de même
et je regarderai
comme
un grand
bonheur
s'il
à tous
les dangers
échappe
de l'enfance,
l'équi
chaque
jour
jettent
et le deuil
dans
les familles.
La
pouvante
vérole
a fait
ici
des
petite
je
ravages,
crois
mon
fils
en
sera
que
exempt
vous
m'adresserés
que
à l'armée,
affranchissols
elle
me parviendra
19 </te?'mt</or an 7 de la République
~YaMC!
çaise ~6 coM< ~799~.
se
Sophie
rit
encore
me
pren-
)88-
Je
Trébuchet,
que
missent
d'aller
re connaissance
voudrais
mon
bien,
circonstances
cher
les
me perrevoir
d'aller
faiNantes,
avec
ma
et de
famille,
ce que
cher.
de plus
j'ai
des
nouvelles
de
notre
de nos
de Nantes,
parents
vous
présenter
Donnés-moi
et
papa
grand
il y a longtemps
rien
et
que
je n'ai
reçu
en recevoir.
Dites
de notre
que je désire
bien
des
choses
honnêtes
au C" Depart
laire
et
aux
Cns
Delaire
fils
de
Paris.
des
renreçoit
chaque
jour
[L'armée
forts.
Les
bataillons
auxiliaires
s'organisent
et avant
peu je pense
que nos armées
victorieusement
l'offenreprendront
sive.] ]
Donnés
moi
de vos
de celnouvelles,
les de votre
et de l'Etat
de la guerPays
re qui
fait.
s'y
Louis
doit
être
nommé
actuellement
sous-lieutenant
de Grenadiers,
le C" Moulin
membre
du Directoire
m'annonce
(?)
a apostillé
la demande
faite
qu'il
que j'ai
de ce grade
et je m'attends
à
lui,
pour
de jour
à autre
sa commission.
recevoir
Je
vous
embrasse
de tout
mon
cœur.
HUGO.
aux
Adjoint
des
Maréchaux,
Nancy
aoûtiSM.
année.
(Meurthe),
rue
généraux,
Vieille
à
ville,
division
militaire.
adjudants
?
81,
4e
APPENDICE
Lettre de Hugo, adjudant-major
a ta 20e de ligne,
aux
adjoint
capitaine
rapadjudants
généraux,
2e
du
du
conseil
de
Armée
porteur
guerre.
de guerre
de
second
conseil
Rhin,
permanent
2e
la 4e division
au
du
conseil
militaire,
greffe
de guerre,
à Nancy,
rue Callot, n' '102, à son
Trébuchet.
Inédite.
beau-frëre
de
ce
où
la
8 ceH~e?/an'e
(36 Mp<eM&e
an 8 de la
~799~.
je
si
Que
ce
bon
Je
qu'il
du
serais
la
bataille
de
Novi,
Lecourbe
Piémont,
dans
succès
la
vallée
de Mas-
celle
deux
nous
nous
qu'à
journées,
ses
forces
étant
infiniment
retirés,
rieures
aux
nôtres,
numériquement
lement.
A peine
nous
retirions-nous
la rive
de ce fleuve,
gauche
que
a
Papa
sais
qu'il
de
détacher
douze
mille
la Hollande,
de sorte
que
a .été de suite
ce qu'il
en restait
réparti
dans
les
fortes
et
cantonneplaces
s'attendant
à
voir
d'un
moment
mens,
à l'autre
l'ennemi
à passer
le Rhin,
et
de
de
n'ayant
plus
moyens
l'empêcher.
Néanmoins
nous
avons
dans
nos
appelé
nous
l'annonce
qui
compagnée
hors
de tout
Nous
vous
remerdanger
cions
tous
deux
de l'intention
vous
que
l'inavez
eue
à ne pas
nous
dans
jetter
et nous
vous
au nom
de
quiétude,
prions
tout
ce
avés
de plus
cher
a
que vous
engager
nagements.
vailleur,
veut
âge
réussi,
a perdu
d'Airolo,
après
quelques
et l'on
à la jonction
s'attend
de ces
séna,
deux
La passage
du Rhin exégénéraux.
notre
sur
cuté
armée
et sa marche
par
ont
forcé
le
AuSchwetzingen
général
trichien
Charles
à se rendre
à marches
forcées
sur
et quand
nous
il n'en
était
7ïë;)M&<Me
et moi,
mon
avons
cher
frère,
Sophie
été
de
la maladie
sensiblement
affligés
de notre
l'eussions
et nous
grand
papa,
été bien
si en nous
annonçant
davantage,
accette
vous
ne l'eussiez
nouvelle,
pas
de
a
Joubert,
devait
prénos
succès
en Italie,
elle a été liparer
mais
les
ont
été
forcées
vrée,
troupes
de
leurs
reprendre
primitives.
positions
dans
Néanmoins
a pénétré
Championnet
le
le
Nancy,
française
plan
France
se
fatigue
et il doit
repos
mon
heureux
en prendre.
cher
Trebu-
lui prél'embrasser,
je pouvais
chet,
senter
mon
mon
Si je poufils,
épouse.
vais
la famille
à laquelle
connaître
j'apSera-ce
doncenvain
partiens.
que j'en
formerai
le désir ? Me
voilà
à cent
myriales franmètres
de vous,
quand
pourrai-je
tous.
chir
aller
vous
embrasser
pour
supéseusur
l'armée
ordre
vers
a reçu
hommes
démébeaucoup
est
tragrand
son
sans
cesse,
sommes
les moins
places
exposées,
auxiliaires
des
départemens
dissement
de l'armée,
et au
nouvelles
les
d'une
troupes,
les bataillons
de
l'arronde ces
moyen
nous
tirerons
de ces
places,
ou
de passage,
les
vieilles
pour
couvrir
en
a repassé
partie
le
au
delà
Rhin,
plus
Neud'Ehrenbresthein,
que
les garnisons
Kehl
et Huningue,
Cassel,
vied,
qui gardent
ces
forts.
Ce
a déterminé
ce
qui
la suite
d'umouvement
était
rétrograde
dont
le but était
ne combinaison
militaire,
partie
en cas
opposer
attendant
des
les
renforts,
points
princiVoilà
notre
situation
elactuelle,
paux.
à l'autre
le peut
d'un
instant
beaucoup
s'améliorer
et j'ai
lieu
de penser
qu'elle
a encore
chose
d'imposant,
puisquelque
le P.
n'a
encore
tenté
Charles
que
pas
de faire
de ses nombreux
équipages
usage
de pontons.
très
Nos
sont
départemens
tranquilles,
conon
bien
les
tranquilles,
y acquitte
de
tributions,
Quand
encore
?
Ah,
loin
L'armée
mon
ami,
de
moi.
dont
je
il
ne
découvrir
mandée
ral
put
l'espoir
que
en
est
fais
reste
l'armée
du
Masséna,
par
afin
chasser
entièrement
Danube
com-
que ce
l'ennemi
un
ensuite
génédes
l'armée
des
Alpes.
Une
y
fournit
il faut
mais
quisitions,
Ils
avaient
prêtres.
semblemens
à des
et détacher
lignes
grises,
corps
de vingt
mille
hommes
d'Aipar la vallée
rolo
sur le Milanais
où le Général
Chamles
devait
Austro-Ruspionnet
attaquer
ses
et faire
sa
tant
avec
cette
jonction
colonne
détachée
de l'armée
du Danube,
qu'avec
on
ses,
des
i8i)
toutes
les
sur
réles
veiller
formé
des
rasdéjà
fontaines
miraculeusur
ils en
avaient
formé
la chaîne
ont
les
été
dissipremiers
Vosges,
la persuasion,
les derniers
par
par
de troupes
détachements
qui les ont
pés
des
battus
il n'en
partie
à
et dispersés,
est plus
du
de
tout
y
sorte
question.
qu'à
présent
APPENDICE
Me
voilà
Conseil
encore
une
fois
rapporteur
d'un
de Guerre
force
je crois
qu'à
de
finirai
en
faire
ma
plaider,
je
par
De tous
tems
elle
n'a pas
été
profession.
la plus
cela
mauvaise,
pour
je ne dis pas
elle
ne
rien
et
deme
moi,
rapporte
finis
la.
Nantes,
qu'excepté
n'est
pays
pas
trop
Bretagne
qui
toutes
ses richesses,
agréable,
malgré
qui
ne valent
la tranquillité
de ce pays,
pas
où l'on
dort
Sosans
inquiétude,
excepté
a
24 heures
phie
cependant
qui
pendant
trois
mois
n'ai
touché
un
puis
je
pas
le
dis
tous
ceux
denier,
mais
je
pour
ont
célébré
Bartolet
et Cujas
et qui
qui
ne s'en
sont
mal
trouvés.
pas
Mon
Abel
a eu la petite
il en
vérole,
est un peu masqué
sur le nez, mais
comme
elle
ne le défigure
et qu'au
mipas,
eu
peur
Adieu,
ma
par
ont
haillons,
les habitants
la
je
tous
deux
de
ces
et
ne
ferais
de même,
mon
pas
si vous
ne m'eussiez
donrétablissede son
heureux
vous
de lui témoigner
prie
né la nouvelle
ment
dont
je
tout
notre
plaisir.
trouppe
qui
un
superbe
Commune
comparaisons
que je n'ai pas reçu la lettre
la gravous
nous
annoncés
de
notre
cher
grand
papa,
sais
ce qu'elle
est devenue
et puism'a
évité
des
je rends
inquiétudes
à ceux
l'ont
aux
ouqui
placée
qu'elle
grâce
bliettes,
je ne
cher
Trebuchet,
arrivant
ici
[En
j'ai
mon
retrouvé
mon
bien
épouse
portante
et
Abel
bien
babillant
à faire
rire
gai,
surtout
ne pleurant
pas ] je voudrais
que
ici
ville,
imite
la
Maison
qui
là c'est
la Meurthe
y voit
rapide
qu'on
ressemble
en tout
à la
et tortueuse
qui
Nous
Chère
et
dormante
marécageuse
rions
cette
petite
c'est
de la République
je vous dirai
par
laquelle
ve
maladie
et
pouilleuse
pillarde.
se plaît
ici.
Elle
beaucoup
par
Sophie
trouve
des
sites
court
les
où
elle
bois,
et compare
tout
ce qu'elle
voit
charmans,
la Chère
et du
fameux
aux
de
rivages
Là
une
foChateaubriant.
c'est
épaisse
à
allés
ain-
de vous
écridifféré
ayant
au lendemain
par
toujours
vos
de
recevoir
de
nouvell'espérance
les
et de
chère
famille.
si
notre
Jugés
rien
du être
en ne trouvant
j'ai
surpris
car
chez
moi
de ce qui
vous
était
relatif
dite,
ressemble
pour
moi,
tous
tre silence
et
re en remettant
de
l'Isle
et
font
aux
verte,
peur
petits
enfans
barbes.
Ce sont
par leurs
longues
de très
Aussi
vilaines
depuis
gens.
que
ont
elles
ne
nos
femmes
les
vus,
jolies
les désirent
et préfèrent
les volonplus
mautaires
à toute
cette
race
français,
qui
couvre
édifice
papa
Embrassé
aArrivé
mon
cher
Trebuchet,
d'hier,
avoir
assés
les Vosprès
cotoyé
longtems
été au pied
du Donon,
et être
avoir
ges,
remonté
aux sources
de la Sarre, je m'attendais
en retrouvant
ma
et mon
Sophie
a lire
au moins
une
de vos
Abel,
lettres,
étant
de
voextrêmement
étonné
parti
sommes
? Ici nous
plus
Aun'avons
de sales
que
d'horribles
Russes
trichiens,
qui sont
que
très
contens
Les
de leur
precaptivité.
miers
sont
on
ne
mal
vêtus,
peut
plus
une mauvaise
les couvre
et la micapote
avec
sère
s'en
sert
se couvrir
pour
eux
rêt
Trebuchet,
mon
fils
et
Nancy, le 19 9 $'e?'M:?ia<.ax
française
(9 avril ~~00~.
brigandages
nous
heureux,
couverts
de
comme
pointus
Charles.
Lettre
de Hugo, capitaine
du lerconrapporteur
à
seil de guerre
etc.
son beau-frère
Trébuchet
chez le C" Lenormand-Dubuisson,
rue Maupertuis ~).
leurs
sont
du prince
mon
cher
HUGO.
tétait
encore
et
très
peu
puisqu'il
que
d'enfants
sevrés
ont été sauvés
depuis
que
cette
funeste
maladie
existe
ici.
Vous êtes donc
entouré
de vos
toujours
vilains
finiront-ils
donc
chouans,
quand
autres
bonnets
convenir
est un
femme,
embrasser
notre
bon
si que
notre
famille.
lieu
de
la
nous
entoure,
contagion
qui
il a eu grâce
au sein
de sa mère
le
bonheur
de s'échapper,
nous
sommes
on
ne peut
eu
contens
ait
aussi
plus
qu'il
heureusement
cette
maladie.
a eu
Sophie
lui tous
d'une
bonne
mèles soins
pour
son
à son
sein
doit
salut
re, c'est
qu'il
les
des
par
(1) Ci. Le Figaro,
je
190
8 août
1888.
APPENDICE
vous
puissiez
la nous
ferait
me
[Vous
re
dans
les
dire
Chargé
cédure
très
nous
revoir
en
à tous.
famille,
ce-
plaisir
vous
allé
faidirés,
qu'êtes
et je vais
vous
le
Vosges
de l'instruction
d'une
proasvolumineuse
contre
des
eu besoin
de me rendre
sur
sassins,
j'ai
les
visiter
leurs
lieux,
d'y
d'y
repaires,
entendre
les témoins,
à la prode donner
cédure
le développement
nécessaire.
J'ai,
l'avoue
un pays
je vous
parcouru
unique
en son
Couvert
de
la
suite
des
genre.
Alpes
monts
appelée
Vosges,
est
couvert
de
le
sommet
Nous
vous
félicitons
d'être
votre
place.
Sensibles
au bon
souvenir
nous
vous
de
mille,
prions
notre
reconnaissance.
gner
Ma
Abel
et moi,
femme,
sons
tous
du meilleur
cœur
de
Ne
des
chaque
ferai
cette
la renqui détrempant
tourbe,
aussi
molle
les
marais
et exque
les hommes
et les
chevaux
à se
posent
sans
d'être
secourus.
Le
noyer
espoir
brillant
paysage
y est
]
Vous
connaissez
là
les
causes
de
par
mon
silence.
bien
charmé
les
Je suis
que
vôtres
dans
vous
été
ayant
l'espoir
que
donner
de plus
agréacelles
vous
nous
que
que
n'avons
avés
adressées
et que nous
pas
Dites
donc
à notre
bon papa
comreçues.
bien
nous
sommes
charmés
de
son
en-
nous
tier
rétablissement
et combien
nous vouen
drions
l'embrasser
lui
pouvoir
pour
notre
joye.
témoigner
Si notre
désire
être
congrand
Papa
servé
et qu'il
ne le soit
cela
nous
pas,
fera
de la peine
à lui, mais
par
rapport
si consultant
mieux
son
c'est-àintérêt,
dire
sa
il préfère
une
vie
douce
santé,
et paisible
au
tracas
des
tribunaux,
nous
serons
contens
de le voir
aussi
tranquilmoins
nous
serons
le, parce
plus
qu'au
en
de
le
cela
que
lui
et
sir,
La
lettre
est
présente
elle
l'heure,
vous
embraset vous
prions
d'aucune
des
auprès
de nous.
parleront
négligés
mois,
autant
de
m'écrire
pas
au moins,
de mon
le promets.
je vous
une
côté
fois
j'en
ar)uee du Rhin,
à son beau-
~Ve~!M</et:, le 22 /~o?'eo< an 8 de la République
(12 niai .<~00~.
française
J'ai
tre
mon
reçu
hier,
vous
m'avés
que
vous
me
quelle
malheurs
arrivés
suite
à
envoyée
cher
écrite
donnés
les
à Nantes
ma
Sophie,
la
frère,.
et dans
letla-.
détails
des
je
dont
l'ai
je
de
reel-
cevais
aussi
une
dans
lettre,
laquelle
le me
ses
affreuses
peignait
inquiétudes.
Je n'ai été informé
de ce terrible
évènement
le Moniteur
donque par
qui ayant
né
le
nom
des victimes
sur le sort
sans
les
des inm'épargna
de ma famille.
Sans
détails
dont
il est
eussent
été les mien-
quiétudes
ce
journal,
plein,
qu'elles
jugés
vous
sachant
si près
nes,
Je vous
remercie
toujours
cher
du
frère,
soin,
que
de
m'instruire
vous-même
plosion,
de
tout
Voilà
et
de
me
de
ce
château.
mon
beaucoup,
vous
avés
pris
de
cette
exrassurer
sur
le sort
nous
qui
appartient.
Louis
maréchal
des
logis
de la gendarmerie
dans
les
déorganisée
de l'Ouest;
partements
Si, mon. cher Tre-
conserver.
Nous
ne désirons
ce qui peut
et lui faire
plaiconserver
la
santé.
dont
dans
la
je vous
parle
celle
que
est datée
vous
qui
de notre
falui en témoi-
Lettre de l'adjudant-major
Hugo,
de Memingen,
quartier
général
frère. Inédite.
pluies
dent
surs
oublier
dans
HUGO.
lines
dont
les
vallées
sont
de
remplies
tourbe
recouverte
d'herbes
aromatiques
si elles
offrent
des
délicieux,
paturages
elles
offrent
aussi
des
les
dangers
après
eu de
nouvelles
nous
personnes
de
neiges,
glaces
et
de
et
ofsapins
toujours
verts,
qui
fre un coup
d'œil
étonnant.
Des
rocs
aiet détachés
de
terre
gus
qui
dépouillés
s'élèvent
et quelques
uns
par
jusdegrés
surmontent
de colqu'aux
nues,
beaucoup
avés
bles
ne
conservé
tout
à
j'ai
reçue
du
6 de ce mois.
19)
ce
donc
on juge à propos
de l'attacher
à la
de Nantes,
recommande
'de
place
je vous
le guider
sa
conduite
et lui
faire
dans
bien
sentir
ne
se
maintenir
qu'il
peut
buchet,
dans
son
excellente
nouveau
conduite.
grade,
Guidés
que
alors
une
par
la sien-
APPENDICE
ne lui procurés
ami,
que
quelde vos
connaissances
et faites
ques-unes
tous
vos efforts
d'en
faipour
l'empêcher
re de
mauvaises.
Louis
n'a
cultivé
pas
son
éducation
dans
son
enfance
il préne,
mon
de
résulter
de vie, qu'il
travaille
à son
instrucet se fasse
un peu à la société.
mon
cher
à mo.n
Trebuchet,
Témoignés,
à mon
cousin
Mathis
et à
papa,
grand
notre
famille
ma
de l'acreconnaissance
fait
je sais
et je
pareils
procédés
leur
voudrais
être
à même
de
en
faire
connaître
moi-même
toute
ma
satisfaction.
Je ne désire
c'est
qu'une
chose,
que
mon
frère
travaille
à se
concilier
leur
estime.
Je vous
qu'ils
de
écrivais
lui
que
ont
mon
se
rendre
et
reçois
bienêtre
pour
elle,
que par
on
a une
famille
se
de la voir
l'âge
en
qui
peut
à moi.
rapport
et
est
qu'on
ne
on
former,
lui
de
moyens
travail
du malheur
des
autres,
que
puissent
à cet
me
conmes
enfants,
égard
server
un pareil
attachement
à celui
que
à ce qui appartient
à mes
deux
je porte
familles.
Je
vous
embrasse
bien
sincèrement
vous
avés
dû
de ce pays
recevoir
déjà
une
mon
lettre
de moi,
elle
vous
donne
plan
tion
flatteur
le prix
du
sœur,
Quand
dans
doit
aucun
des
négliger
assurer
une honnête
ou du moins
aisance,
un sort
but
detel a toujours
été
mon
connu
votre
chère
sœur,
puis
j'ai
je
que
n'ai
aucun
des moyens
de le remnégligé
Je préfère
le tenir
de mon
plir.
longtems
férait
le
à
l'instruction
et
il
doit
jeu
se bien
a perdes moments
repentir
qu'il
dus.
Sa
s'est
dans
les
jeunesse
passée
il y a contracté
les habitudes
du
camps,,
il
faut
soldat,
aujourd'hui
qu'il
répare
le temps
établisse
un nouveau
perdu,
qu'il
cueil
sentir
votre
adresse.
Si
à
vous
ne
l'aviés
continués
m'adresser
me vous
l'avés
fait.
Embrassés
moi
pour
tre
famille.
vos
pas
lettres
grand
papa
allait
épouse
lettres
je
que
elle
n'annonce
reçue,
comet
no-
HUGO.
à Nantes
des
dans
lesquelles
encore
ouvertement
l'idée
contraire,
point
me
font
son
elle
état,
penser,
qu'attendu
et ne s'encaissera
agira
plus
prudemment
une
au risque
de se
dans
pas
diligence
faire
ainsi
son
intéressant
presser,
que
Abel.
Je préfère,
comme
lieu
de préj'ai
voir
les hostilités
seront
bientôt
susque
fasse
ses couches
à Nanpendues,
qu'elle
la
incessamment
et
cy où
j'irai
joindre
Lettre
de Hugo, adjudant-major,
quartier
général de Memingen
armée
du
Souabe,
Rhin,
en
Général
Trébuchet
Moreau, à son beau-frère
(1).
la conduire
de forces,
le sein
de
mon
appris
par
vous
m'aviés
frère,
que
vous
me
donniés
que
des
nouvelles
de notre
en Souabe,
Memingen
République française
flatter,
la
mon
cher
épouse,
écrit
à Nancy.
et
dans
votre
lettre,
dont
grand
papa
la santé
continue
à notre
satisfaction
commune
à s'améliorer.
Elle
a dû
ou
doit
vous
et vous
sous
annonrépondre
peu,
cer
le
28
que
depuis
germinal
[je suis
de Nancy
me
rendre
du
parti
pour
près
chef
de
de
la
réserve
de
l'état-major
cette
La peine
lui a fait
ce
armée.]
que
vous
me
que
mon
cher
Trebuchet,
je
vous
avoue
trouve
infiniment
je me
que
honoré
de la confiance
m'accorde
qu'on
et que tous
à la conmes
efforts
tendent
mais
s'il
fallait
rester
server,
que
longde ma
temps
séparé
Sophie,
je la
quand
sais dans
de vives
inquiétudes,
je prendrai
peut-être
ces
d'un
sur
an 8 de
~~00~.
J'ai
son enfant
aura assés
lorsque
dans
une
voiture
à moi,
dans
la voir,
sa famille
elle désire
la connaître
et certainement
je désire
je
ne négligerai
rien
nous
pour
que
soyons
tous
deux
satisfaits.
Je
m'en
fais
une
véritable
fête.
Je
vous
remercie
dites
d'obligeant,
le 13 prairial
(Lundi 2 juin
ce
l'a déterminé
départ
ler
faire
un
voyage
de s'y
distraire
des
sent
propre
un autre
Si les espéranparti.
sort
brillant
me
plus
peuvent
c'est
assure
à cause
je vous
plus
de
mon
état,
(t) Cf. Le ~/<
192
absence
ce que
à me
dans
demander
d'alsa
famille
et
reschagrins
qu'elle
senti
mon
j'ai
par
à une épouje devais
S MuL 1S8S.
APPENDICE
se
chérie
consentais
se rendit
et,
de
je
tout
lui
ai
répondu
mon
cœur
à ce
mais
a beaucoup
à prendre
tant
précautions
son
fils
fait
des
dents,
pour
qui
que
elle
est
forteenceinte,
pour
qui
je l'ai
ment
à n'entreprendre
ce voyaengagée
avoir
consulté
le
médecin
ge
qu'après
du
soin
de sa
santé
et
que
j'ai
chargé
s'être
mise
le cas de le faire
dans
après
avec
toutes
si
les commodités
possibles
donc
sirs
rien
soient
près
de
vous,
ne
à
s'oppose
elle
satisfaits,
ma
famille
pour
où je ne doute
samment
la sienne,
soit
infiniment
sera-t-il
tinue
à
de
je
que
qu'elle
elle
comme
accueillie.
que si
ce
que
quittera
retourner
ses déinces-
qu'elle
pas
Peut-être
vers
ne
bien
concampagne
ne
soit
qu'elle
de
comme
nous
avons
lieu
pas
longue
le
la
vous
empenser,
j'aille
joindre,
brasser
et
connaissance
avec
une
faire
famille
ce sera
avoue
que j'aime
je vous
un
bien
beau
moi,
jour
puisse-t-il
pour
arriver
bientôt.
trois
reVoilà
couriers
que
je n'ai
pas
possible
être
heureuse
la
et
des
nouvelles
de
cela
m'inçu
Nancy,
deen recevoir
quiète
cependant
j'espère
main
est
très
exacte
parce
Sophie
que
à m'en
donner
de mon
côté
je lui écris
tous
les
deux
et aussitôt
presque
jours
un
c'est
elle
je
que
j'ai
moment
que
de
mes
commissions
envers
ma
charge
elle
écris
famille,
je n'y
plus
seule,
,qu'à
et
et
comme
elle
demeure
tard
faire
mes
main
tention
ne l'eut
lettres
rassure
courir;
la
qui
lui
écrire
souvent
cas de recevoir
des
le
mais
rassuraient,
et
peu
elle
ne
se
suis
trouvé
à pluje me
d'inquiétudes
sieurs
et aux
bacombats
trois
grandes
tailles
nous
à Lugen,
avons
livrées
que
Moeskirch
et Biberach
et j'ai
eu le bonheur
de
Les
évènen'être
blessé.
pas
néments
se passer
seront
qui
pourront
cessairement
moins
chauds
ceux
qui
que
ont
eu
lieu
et
l'acharnedans
lesquels
ment
ple.
lui
et
ont
l'opiniâtreté
la
Rassurés
écrirés.
Bien
des
grand
embrasse
donc
choses
et
à
papa
ainsi
que
été
aussi
de
ma
notre
vous.
Mon
adresse
est
Au
Cn HuGO,
adjoint
de
la
réserve
tat-Major
en
Souabe.
Rhin,
lettres
et dit
va met.
sans
quand
part
famille,
en
exemvous
à
notre
je
HuGO.
de
chef
l'armée
de
les
l'Edu
nous
somsans
doute
que
le
8
maîtres
de
la
ville
et que déjà
de nos troupes
d'Augsbourg,
sont
sur
le territoire
de la Bavière.
Nous
attendons
des
nouvelles
du PreConsul
mier
pour
pousser
plus
avant.] J
Vous
savez
mes
depuis
Lettre
et
nécessairement
elle
se
dissipeil le faut
sa santé,
mon
aussi,
ra
pour
vous
à
ne
cher
Trebuchet,
je
engage
des
aucun
de la distraimoyens
négliger
re des noires
idées
dont
elle se charge
l'iil faut
elle aime
bien,
donc
magination
toute
la
à
scrupuleuse,
mise
dans
toujours
qu'un
s'imagine
dans
il
l'intervalle
s'est
écoulé,
que
qui
m'être
arrivé
chose
de fâpeut
quelque
cheux.
Je
l'assure
de
la
gémis
je vous
voir
dans
un
état
de
sensibilité
pareil
dans
laparce
l'impossibilité
que je sens
de
la rassurer
assés
tôt.
quelle
je suis
à moins
Elle
devrait
se
faire
un
peu
amis
d'elle
avec
elle
depuis
que
s'est
fois renplusieurs
et l'aurait
été
davantasi mon
atexactitude
elle
je l'ai quittée
due
très
malade
si ma
ge
grande
aux
connaît
personnes
qu'il
qu'il
tre une lettre
dans
le trou
son papa.
pour
Il est dans
mon
absence
consol'unique
lation
de
voir
qui ne veut
per[sa mère
sonne.
Si elle
se rend
dans
sa famille,
il faudra
bien
ses
ses
qu'elle
voye
parents,
éloigner
je puis
dans
le cas de lui
serait
des
évènements
malheuvous
assure
ainsi
qu'il
c'est
je
se
conduire
reux
faut
chez
ma
mère
lui communique
elle
y mange,
qu'elle
ce qui
la concerne.
C'est
mon
Abel
qui
porte
à la poste,
il les tient
à sa
des
postes
croire
à
de
Hugo
.Bo)?:&ae/i,
française
le
à son
15 7/ieMt~or
f)'et!<4~M!«e<
sommes
au
[Nous
mon
cher
Trébuchet,
idée
des dangers
que
rassurer
le requand
(i)
193
Cf.
Le
~aro.
beau-f't'ët'eTrébuchet('l).
8 Mût
an
cœur
nous
1888
8 de la République
1800).
de
la
tenons
Bavière
gar-
APPENDICE
nison
dans
Munich
en est
la Capitale.
Nos
en possession
de
troupes
la Souabe
et de
cours
du Danube
Neudorf.
Bombach
d'où
jusqu'à
je vous
écris
est à trois
lieues
Nous
d'Ingolstadt.
nous
de
la
réduction
d'Ulm.
occupons
qui
sont
tout
le
s'est
décidée
Sophie
où
être
Nancy
j'espère
tidor
prochain.]
]
Embrassés
pour
famille
et
pa ma
partient.
Je vous
à
rendu
moi
tout
embrasse
m'attendre
en
à
fruc-
mon
grand
ce qui
vous
paap-
aussi.
HUGO.
mon
adresse
[Voici
Au
Cn
HUGO
chef
de
adbataillon,
au chef ~de l'Etat-Major
du
centre
joint
de l'armée
du
Rhin.
Au
Général
de
l'Armée.
Quartier
En
Bavière.]
du
Lettre
bnisson.
Capitaine
Inédite.
Hugo
A
mon
retour
été
confiée
je
mon
cher
vous,
d'une
Nous
cœur,
puyé
des
beaucoup
apostilles
je puis
utile.
émarger,
vous
être
Dans
mes
lettres
mon
frère
Louis,
jointe
enfin
et de
des
choses
honnêtes
vous
embrassons
mon
cher
grand
une
au
de
Cn
tout
DEnotre
papa.
Trébuchet.
Au
maison Caii!é '.).
/,MM6U!f.
Ma
femme
me charqui n'écrit
jamais
à notre
aimable
sœur
ge de dire
qu'elle
de bon
cœur
les nœuds
d'amour
approuve
vous
avez
formés
et
elle
désire
que
vous
qu'ils
L'interprète
sœur
qu'il
rendent
entièrement
heureux.
de Sophie
aussi
à sa
répond
ne démentira
la marjamais
d'attachement
et
d'intérêt
n'a
que
qu'il
cessé
de lui montrer
et il l'embrasse
de
tout
son
cœur.
Mes
empetits
garçons
brassent
leur
leur
oncle
et
petite
cousine,
me
si apféliciter,
dont
le faire
je vais
être
assés
heureux
pour
est
voit
destination
à Paappelé
Je
aM ~0
à
en
une
Lettre
de Hugo a son beau-frère
rue Viiiidieli,
citoyen Trébuchet
Inédite
(1).
et je vois
grand
papa,
les
vous
ocqu'ayant
perdu
places
que
vous
désirés
entrer
comme
cupiés,
juge
dans
les tribunaux
Je vais m'ocspéciaux.
d'en
faire
la demande
cuper
vous,
pour
dans
la supposition
comme
vous
me
le
où il en serait
établi
un
dans
prescriv,és
le département
vous
habités.
que
J'aurai
sur
HUGO.
mission
qui m'avait
ici
une
lettre
de
trouve
ordres
être
pense
est j'en
serai
d'autant
plus
content
cela
me permettra
de suivre
que
activement
les
démarches
comque
j'ai
les unes
faire
mencées,
TREpour
placer
BUCHET
dans
les
les
postes,
autres
pour
faire placer
mon jeune
frère
dans
aspirant
la marine.
J'attache
à la réusbeaucoup
site
de ces
deux
démarches
finiront
qui
leur
à chacun
un état.
par
procurer
Présentés
de la part
de ma
femme
et
de la mienne,
à mes
frères
et sœurs
et
à notre
famille
de notre
sinl'hommage
cère
attachement.
quelconque.
si cela
ris,
Bien
LAÏR.
à M. Lenormand-Du-
/.M/tg't):7/e. le 4 germinal
(25 m~<
:~0~ f~
des
j'attends
leur
tante.
HUGO.
Embrassés
de
pa et
adresse
veau.
la paix
qui
de périls
après
beaucoup
gloires.
Pendant
mon
absence
ma
femme
était
allée
en passer
le temps
dans
ma
famill'ai
le,
retrouvée
ici
bien
je
portante,
ainsi
ses
enfants.
Elle
a
fait
vacciner
que
le plus
jeune.
Nous
sommes
maintenant
ici
et
seuls,
notre
que
pour
famille.
nous
ne
vous
je
Ne
notre
pagrand
changés
pas
mon
la donne
de nou-
(i) La lettre, dont ce fragment fait partie, contenait
deux ou trois pages qui ont été déchirées. Cette lettre
a été envoyée de Lunéville, probablement
à la même
celle
adressée
à
M. Lenorépoque que
qui précède
mand-Dubuisson.
194
APPENDICE
Lettre
du
huchet(l).
Capitaine
son
Hugo.
/<e <<'e,
/~or<o-et'?'~o.
fW~:
5~M!7/e< ~~0.9~.
le
ce
be:u]-frereTré-
~6 «tM.</<<o?'SK 11
tems
enfin
de vos
mon
nouvelles,
[J'ai
reçu
cher
et ce qu'il
Trébuchet,
y a de mieux
c'est
les Anglais
les
ont laissé
que
passer
deux
fois.
Il y avait
deux
ans
que
avais
je n'en
reçu
aucune.]
Les
détails
vous
me
donnez
sur
que
votre
famille
dans
jouissés
infiniment
de
et
le
bonheur
dont
votre
m'ont
ménage
voudrais
plaisir,
je
dans
une
position
avec
vos
moyens
je
voir
vous
fait
vous
cependant
plus
car
vous
agréable
vois
dans
la nécessité
de végéenglouti
ter
et malheureusement
je ne
longtems
vous
soutenir
d'aucune
de
puis
auprès
connaissances
mois
qui
depuis
sept
[mes
travaillent
à !me tirer
de la 20e où je me
ruine
Peut-être
et qui ne peuvent
réussir.]
si
la
guerre
procurer
faudra
me
le
un
alors
fait
détermine
se
le.
sur
le
à même
s'engage
trouver
me
pourrai-je
emploi
que
je
espérer
à vivre
plus
sois
et
continent
de vous
il
mais
comme
on
votre
sœur
lucratif,
placé
que
quelque
temps
seu-
Nous
sommes
ici
dans
un
brulant
pays
où
tout
est
d'une
affreuse
rareté
et par
d'un
fou.
L'isle
est belconséquent
prix
mais
nous
le, d'un
y somaspect
riant,
mes
rationnés
pour
l'eau,
le pain
presque
six
et ne vaut
sols
la livre
rien,
y vaut
bœuf
12
et
c'est
souvent
sous
la
du
livre
buffle,
et le
à 40
beurre
est
tout
à proportion.
Je
couche
sur
une
et si je n'avais
mes
paillasse
pas
draps
de me contenter
de mon
je serais
obligé
tout
nud.
Votre
sœur
ne partage
grabat
cette
est
heureusement
pas
position,
[elle
en France
mes
affaires
et fait
tout
pour
(1)
Cf.
Le
~<M'o,
8 août
il en
est
de
malheureux.
fallu
[Peu
que
je ne fisse
partie
de l'expédition
de St Dom.,]
été
j'aurais
un
cadet.
Ne
le manche
joli
jettés
pas
la cognée,
encore
après
j'ai
quelques esd'être
mieux
et
les plus
pérances
gros
finissent
aider
les
par
pouvoir
plus
petits.
Il faut,
il est
de la patience,
vrai,
et comme
vous
en prenez
votre
moi,
par
attachement
à votre
et par
votre
épouse
tendresse
vos
enfants.
bien
Croyés
pour
si je ne
vous
c'est
fais
rien
que
pour
-~a-
car
pour
l'amitié,
de
la
bonne
suis
rempli
pu
efforts
placer
j'en
avoir
pour
d'inutiles
fait
j'ai
pour
mon
frère
d'esplacer
jeune
pétille
qui
et de moyens,
J. B. s'y est intéressé
prit
rien
vivement
et je ne sais
comment
n'a
las
d'être
balotté
il s'est
réussi
jetté
dans le barreau
où il a quelques
succès.
Je
voudrais
vous
voir
un
car
vous
état,
n'en
avés pas.
Il est vrai
vous
que vous
et que
intéressés
dans
les
affaires
par
Louis,
faire
pourrés
mais
chose,
quelque
jusques
autant
vous
mécontent
de
que
mes
enfants
avec
moi,
[J'ai
ainés
se portent
très
ils
bien,
suite
vous
la
vous-même
là
je suis
sort.
votre
les
deux
apprennent
Vicpetit
le
langue
italienne
plus
fait
des
dents
avec
de diftor,
beaucoup
aussi
bien
ficultés
et ne s'acclimate
pas
Il est
vrai
fait
ici
ses
frères.
que
qu'il
une
chaleur
extraordinaire,
on
la
comà celle
de l'Amérique.]
pare
diEmbrassés
bien
ma sœur
moi,
pour
tes-lui
d'avoir
fait
un
je la félicite
que
l'embrasser
et
bien
fils,
que
je voudrais
mes
la connaître,
mais
tous
que
projets
de semestre
des
rompus
par
( ?) ont été
Dites
à ma
sœur
la recirconstances.
et à notre
tante
que
quoique
je
ligieuse
de leurs
ne reçoive
nouvelles,
jamais
je
tandis
ne les aime
moins,
qu'elpas
que
bats
les
moi,
prient
pour
je me
pour
elle qu'ainsi
nous
nous
les uns
acquittons
d'amitié
dont
envers
les
autres,
excepté
je
1888.
heureux,
s'en
est
par
impossibilité,
volonté
et de
vous.
pour
Assés
heureux
la
en partie
le Congrès
par
qui
[Ruiné
ne m'a
valu
de brillantes
lettres,
je
que
suis
venu
dans
la
20e
m'achever'
voilà,
25000
fr. passés
que j'ai
dépensé
depuis
environ
trois
ans
et
si l'on
continue
à
me
restera
rien.
faire
il ne me
courir,
le
le
ramener.
J.B.
qu'elle
peut
pour
m'y
à notre
s'intéresse
et cependant
position
nous
n'avons
encore
réussir
à rien.]
pu
mon
il est dans
la vie des
Enfin,
cher,
ne
les
tiens
pas
quîttes.
APPENDICE
J'ai
mon
écris
grand
et
par
papa,
voici
la
poste
embrassés
l'adresse
enfans
vos
faut
m'envoyer
de ne pas
risquerai
embrasse
Je
vous
à
France
de
le
ses
pour
il
à laquelle
lettres
sans
je
quoi
les recevoir.
bien
bon
cœur.
de
il faut
son
grand
âge,
malgré
nous
sera
conservé.
espérer
qu'il
bien
mal
savez
a été
déjà
qu'il
s'en
est heureusement
il faut
et qu'il
tiré,
mon
cher
encore
cette
fois,
espérer
pour
moi-même
sans cetpas
frère,
je ne suis
cela
la marche
te espérance.
que
Malgré
et
papa
encore
Vous
HUGO.
est
vous
Envoyés
bin.
cit.
[Au
mon
HUGO
adresse
à
ma
tante
chef
à
de
Bu
de
m'indiquez
je ne la suive
volontiers
plus
ment
du
lieu
Rola
20<=
trop
sage
pour
que
le fais
d'autant
et je
pas
mon
que
grand
éloignevous
des
affaires
pourrait
vinssions
à
cas
nous
en
que
et
des
retards
facheux
dans
les inconvénients
que vous avez
isle
Porto
Bde
de ligne
Ferrajo
1/2
dans
à remettre
d'Elbe
par
Livourne,]
cette
ville
à Mr Joseph
NégoPoggialy
la faire
ciant
passer.
pour
de toute
noNe
m'oubliés
pas
auprès
entraîner
le perdre
dans tous
tre
avec
plein
épouse
représenter
par
qui
comme
elle
d'agir
pouvoir
bon
lui
notre
intérêt
pour
mon
Vous
saurez,
habite
Paris
Sophie
commun.
prévus.
J'adresse
famille.
Lettre'te
U!igoàsonbeau-irere')'rébuchet,rue
maison Caiiié, 9, Nantes,
Vandicf:,
inédite.
mon
cher
Tréviens
de
recevoir,
votre
lettre
du 5 pluviose
buchet,
qui m'a
Ce
néété transmise
M~ Poggialy.
par
de mes
noua du
vous
donner
gociant
combien
les communivelles
et vous
dire
Je
sont
difficiles
pendant
de
à travers
la nuée
l'hyver
entouré.
Je
me
corsaires
nous
ont
qui
Germinal
de
vous
écrire
en
proposais
notre
cher
et à
ainsi
papa
qu'à
grand
mais
il se
notre
tante
de Chateaubriant,
une
de le faire
et je
occasion
présente
à
que
par
me
la saisir.
vous
me
la sandites
sur
me
fait
infinité de notre
grand
papa
ment
de
et
mes
reaugmente
chagrin
de ne pas le connaitre.
que
Depuis
grets
m'a
la guerre
toujours
je lui appartiens
loin
vous
et
si
continue
retenu
de
je
fait
à m'éloigner
comme
je l'ai
depuis
mois
18
côtes
de
sitée.
Votre
trop
que
bientôt
quelque
me
verrai
sur
je
terre
anciennement
à
procuration
le
croira
de
se
mon
faire
et
semblera
convenable
années.
sommes
exposés
depuis
quelques
raisons
fallu
de
II
m'a
pareilles
pour
à un sacrifice
me
déterminer
aussi
grand
unbien
et je vous
avoue
c'en
est
que
sente
l'abj'en
que
malgré
que
grand,
solue
nécessité
il m'est
de m'y
impossible
Vous
n'avés
habituer.
jamais
quitté
qui
mettez
vous
à ma
votre
chérie,
épouse
moins
la
mienne
n'aime
je
pas
place,
mer
par
et souvent
m'empresse
Tout
ce
ma
cher
Trébuchet,
que
ses
enfants
et
avec
rue
neuve
des
petits
qu'elle
y demeure
me- suis
déterminé
?
Je
76.
champs
en considéà lui donner
cette
résidence
elle
rant
tous
les
évènements
auxquels
de siège,
aurait
en cas
exposée
pu être
nous
à
et
l'instabilité
cruelle
laquelle
yot~o-fe?'?'a;o.<e~OMeM<Mea;<
.<" ma'< 1804).
(Jeudi
cations
donc
vous
aimer
pouvez
de
situation
là
la
trouve.
la
dans
vôtre,
jugez
laquelle
je
mon
cher
Trébuchet,
auprès
Soyés,
aimable
de mon
votre
épouse,
grand
sa famille
l'interprète
pa et de toute
dites
mes sentimens
de vive affection,
mon
à tous
grand
plaisir
que
plus
embrasser
et
de
rait
celui
de
les
bons
ma
femme
et
mes
présenter
de
pade
leur
seleur
pe-
tits
garçons.
Tout
à
les
vi-
vous,
cher
mon
Trébuchet.
HUGO.
tendresse
alarmé
sur
vous
l'état
aura
de
sans
notre
doute
Louis
grand
196
est
officier
de
grenadiers
dans
APPENDICE
le
55e
St-Omer.
Bien
d'infanterie
régiment
des
choses
à
au
de
camp
Delaire
et
à
Mr
Delaire.
ma
ma
Embrassés
belle
sœur,
sœur,
ma
et
tante
Mme
Bellet
et
son
mari
celui
les
aimer
autant
pour
qui
espère
un
désire
les
connaître
tous.
jour
qu'il
Assure
mon
de mon
attapapa
grand
chement
et n'oublie
ma
respectueux
pas
sœur
ma tante
et toute
la famille.
Mon
adresse
est
actuellement
rue
St?
250.
Jacques
près
l'église
Lettre
de Sophie
Trébuchet(i).
Lettre
de Sophie )h)go
Trébuchet.
Inédite.
à son
frère
Marie-Joseph
Ta
lettre
du
7 mai
mon
frère
cher
ma
fait
le plus
elle
m'en
grand
plaisir
aurait
encore
fait
si je
ne
davantage
tu regardes
ma
à
voyais
que
négligence,
t'écrire
comme
une
de
mon
dépreuve
faut
d'attachement
toi.
Sois
donc
pour
bien
convaincu
les
torts
de ma
que
paresse
ne sont
ceux
de mon
cœur,
point
et
si tu
savais
combien
d'affaires
puis
et d'inquiétudes
m'ont
de toutes
espèces
un
an
tu
serais
certaiaffligées
depuis
nement
fait un voyage
plus
indulgent
j'ai
à Naples
avec
mes
enfants
et cela
m'a
de
six
mois
déjà
pris
plus
je
croyais
m'y
par
fixer
mais
il
de
il
est possible
à Nantes
HUGO
née
ta lettre
reçu
je l'ai lue avec
que les pièces
du
5 avril
mon
cher
d'attention
et notam-
beaucoup
y jointent
ment
fait
notre
l'arrangement
par
grand
et
la
1"= communautée,
père
par
signé
hors
moi
auqui
m'applaudis
beaucoup
eu
de cet arjourd'hui
que
j'ai
copie
de
de
n'avoir
rangement
point
envoyé
pour
signer
cette
la
1~
pièce
c'est
la 1~
et
cela
me
dans
le contrat
de mariage
de notre
pulé
de la somme
ayeule
que la moitié
qu'elle
en achat
de bien
serait
apportait
employée
fonds
lui
reviendraient
nul
qui
propres,
doute
c'est
avec
cette
le bien,
que
payé
à ses
enfans
somme,
qui, doit
appartenir
et non
la reprise
de cette
somme.
point
S'il
car
avait
en
tu
était
autrement
nous
serions
lésés,
conviendras
1747
qu'en
l'argent
une
valeur
beaucoup
plus
grande
a actuellement,
il faut
exaque celle
qu'il
miner
notre
le
contrat
de
de
mariageet
les
contrats
de
ayeule,
d'acquisition
la propriété
de
naître
la portion
notre
deniers
de
Saint-Fiacre
qui a été
conpour
avec
les
payée
mère,
laquelle
aussi
légitime-
sans
la
toutes
en font,
grande
nous
portion
appartient
de
ment
le bien
Monnière
que
apporté
femme
de notre
grand
père
par la seconde
à la seconde
communauté,
je
appartient
te déclare
donc
je ne signerai
rien,
que
de ces difeu connaissance
que
je n'aye
tes
que
attache-
ce sont
elles
férentes
parce
pièces
que
établir
nos
droits
et non
pas
qui doivent
fasse
un
de l'été
voyage
rais
bien
du
à t'embrasser
plaisir
faire
ta famille
connaissance
avec
ma
avec
belle
sœur
j'aime
que
connaître
les
d'après
éloges
que
les personnes
l'as
connaisse
qui
moi
embrasse
la bien
ainsi
pour
enfants
et crois
à mon
sincère
ment.
ose j'h
deux
par
qu'il
raisons
semble
les droits
de
commuque
nauté sur la propriété
de Saint-Fiacre
sont
mal
en ce que
fut
stiétablis,
puisqu'il
ne m'a
été
pas
raisons
qui sont
dans
lettre
une
que je
à la fin
J'ai
frère
ainsi
pouvoir
beaucoup
à détailler
trop
longues
mon
mari
est
colonel
du
régiment
Royal
Corse
dans
ce pays
ils
se
là
portent
fort
bien
de ses nouvelles
avant
j'ai
reçu
hier
écrit
avoir
sa procuraje lui
pour
tion
nous
avons
été
assez
étourdis
l'un
et
l'autre
oublier
le besoin
pour
que
j'en
aussi-tôt
pouvais
avoir,
que je l'aurai
reçu
la mienne
tu pense
bien
je t'enverrai
que
je n'en
pas un autre
que toi au
chargerai
reste
trëi'eM.n'ie-J
P<«'/t'.<ej'~ou<0'
/'<M'M,4.;M!H~OS.~
pouvoir
possible
iiugo:) son
petit
j'auet à
surtout
TRÉBUCHET.
(i)Ct'e/aro.l5Mù).i888.
i97
APPENDICE
des
ne peuvent
déclarations
en tenir
qui
lieu
surtout
dans
l'état
de
faiblesse
de
tête
où je trouve
réduit
notre
grand
père
son
d'ailleurs
tu me
dis
avancé,
par
âge
mon
par
que
quelques
acquiers
portés
du tems
de la l~e
comme
fait
père
grand
communauté
être
contestés
pourraient
par
la 2me parce
claine s'explique
qu'il
pas
la lecture
rement
des
différents
contrats
du
donnant
la date
certaine
d'acquisitions
tems
où elles
ont été faites,
tout
de
sujet
sera
détruit
et je serais
pour
très
fâchée
la
2"~
comque
fut
frustrée
dans
munauté
par
surprise
mon
de
ses
droits,
crois-moi,
quelqu'un
traitons
les
autres
comme
ami,
toujours
père
qu'on
présente
aventurier
vend
qui
enfans
à la merci
du
presque
tout
et
tous
laissent
la
avait
mon
t'avoir
désiré
grand
avait
et
père
consentit,
dit que sa
de nos
deux
sœurs
et paya
leur
pension
chez
notre
tante
ma tante
RoTrébuchet,
bin me prit
chez
elle
et mon
grand
père
mes
deux
frères
ainés
(je ne parle
garda
de toi puisqu'il
avait
annoncé
la vopas
en supde te garder
chez lui
même
lonté
le retour
de notre
mais
cette
posant
père)
de nos frères
fut t'elle
très
pesurcharge
les
dé-
cette
auraient
de cette
notre
de
comme
ta marraine
maison
de
je crois
que notre
père
y
encore
n'en
suis-je
pas sûre
j'ai
mort
nous
dans
la malheureuse
laissa
position
d'être
à charge
notre
famille
mais
nous
ne
sommes
aujourd'hui
que
à qui on peut
faire
croides enfants
plus
re
ce
discutons
veut,
qu'on
quelle
part
de
cette
notre
charge
grand
père
prit
d'abord
notre
oncle
se chargea
Lenormant
contestations
ma
part
nous
voudrions
l'être
nous-même.
La
raison
dans
seconde
qui
cas m'aurait
de signer
empêcher
claration
les
bases
m'en
quand
semblait
est
justes
[la rédaction
à la mémoire
pièce
injurieuse
est
qui
dans
lui
dis
sans
détour
pour
je
que
car
il jouissait
de
la
de
non,
portion
bien
à notre
du
de
échu
chef
sa
mère,
de plus
il avait
sa
mère,
disposition
une
somme
de quatre
mille
nous
francs
somme
aurait
été
appartenant
laquelle
facilement
à six pour
cent
an,
placée
par
c'était
l'intérêt
du
à
commerce
puisque
du petit
donc
le revenu
Nantes
j'évalue
sante
un
ses
voilà
premier
venu
de cette
l'idét
la lecture
déclaration
que
à devenir
audestinée
de famille
papier
rait
donné
de lui à nos
enfants
et petitset je suis
tu aies
étonnée
enfants,
que
souffert
d'une
manière
si
qu'on
présentat
défavorable
une
aussi
action
simple
que
de la vente
celle
de
son
mobilier
qu'il
bien
de
fortune
demande
tes
ou
était
forcé
de faire
les circonstances
par
où il se trouvait
à la veille
d'un
voyage
et
lointain
devait
durer
trois
années
qui
des
enfants
en bas
et
n'ayant
que
âge
de
veiller
à
par
conséquent
incapables
il est
nous
eut
leurs
faux
intérêts,
qu'il
pension
auraient
laisser
sut
on
de
car
je
notre
la charge
de mon
grand
père,
nous
fumes
mis
en pension
par
puisque
et sans
mon
lui-même,
que
grand
père
s'en
mêlat
en rien]
de plus
j'ai
toujours
entendu
à la
dire
tante
Trébuchet
qui
bien
à cette
savait
ce
s'était
qui
passé
et
celui
de
et
cette
te
300
au
moins,
je
à Nansi on aurait
trouvé
pas
aux
dans
ce tems,
une
environs
mes
ou
ils
frères,
certes
pour
une
aussi
bonne
éducation
reçu
me
fort
bien
les
rappelle
qu'on
à l'école
chez
Mr.
rue
Dupas
envoyait
St-Denis
mois
pour
à
mère
fr.
à
ou
on
payait
et
un
3
ou
4
fr.
par
onts
aussitôt
chacun
qu'ils
lire
et écrire
peu
d'arithmétique
les a fait
vu la note
j'ai
embarquer
la dépense
fut
faite
Auqui
pour
à cette
occasion
laquelle
dépense
guste
s'élevait
à
francs
et
à chaque
re66
tour
de voyage
c'était
avec
l'argent
qu'ils
touchaient
de leurs
appointements
qu'on
leur
achetait
ce
leur
était
nécesqui
voilà
des
faits
dont
une
j'ai
saire
parfaite
connaissance
ma
sœur
aînée
tomba à la charge
de notre
la
ayeul
après
avait
laissé
des
fonds
qu'il
pour
époque
notre
les trois
ans
payer
pension
pendant
il paraît
devait
durer
son
que
voyage
mais
s'était
toujours
qu'elle
trompée
est-il
vrai
et
honoré
pauvre
que
[mon
ne laissa
ses
enfants
à la
père
charge
de personne
et que
c'est
la mort
seule
mis dans
cette
malheureuse
qui nous
poà toi
notre
tante
Rosette
quant
sition]
mort
près
res,
haut
)H8
de notre
eut
lieu
à peu
oncle,
qui
dans
le tems
du départ
de nos
frèles
cent
écus
affecter
j'ai
que
plus
à leurs
devaient
donc
serdépenses
APPENDICE
vir
à
et tu m'ade
notre
sœur,
voueras
enfant
ne les déque la pauvre
dans
le ménage
de la tante
pensait
pas
dont
la maison
ne coutait
Trébuchet
toute
100
francs
Madelaine
était
pas
par
an
entrée
au
sur
la
de
couvent
promesse
lui
sa
dot
l'oncle
Lenormant
de
payer
et
sa
de
pension
noviciat
conséquemment
mon
n'en
à point
était
grand
père
été
et
chargé
lui
comptait
être
prises
nos
d'après
fait
connaître
celles
été
j'ai
de
peiné
voir
qu'on
devaient
qui
de notre
onconnue
bien
des
dépenses
la
sur
succession
cle puisque
sa volonté
était
et que
d'ailleurs
on ne
doutait
de
si il eut
eu le tems
faire
ses
il
nous
dernières
volontés
tous
les avantages
qui auraient
ce
aurait
été
qui
mon
puisque
grand
père
d'inventaire
à la mort
de
me la succession
de notre
toute
mobiiière
tombait
sible,
que
Il
dans
la 2"~
n'en
profitera
a passé
dans
tout
me
à parler
reste
me
concerne
quarts
te elle
voue
dans
déclaration
que
ma
du
bien
de
petite
portion
mère
dont
il me devait
compte
grand
il
si dans
le même
tems
et
dont
ans
ont
bien
depuis
payé
quinze
de draps
deux
deux
paires
napes,
zaine
de serviettes
et six
ou
douze
cet
de linge
dont
voilà
envoi
chons
veut
me
bien
faire
abandon.
Je
suis
semblables
fâchée
ne
misères
consentirai
d'obligation
voir
car
quand
suis
et
je
avoir,
petit
quoiqu'elle
rente
et
l'aise
mon
je
eut
n'eut
d'avoir
mais
point
je suis
bien
sure
été
confié
six
que
par
conséquent
été
eut
argent
rêts
accumulés
et
le
tout
remis
et ce
religieusement
à
j'y
à
de
rai
moyens
au
est
me
sacré
à
mes
dire
que
ma
dre
aucun
de
que
sure
vous
tout
m'auras
ses
pouridées
je
mes
que
mon
de
ce
dépenses
soient
quelques
rien
dans
ne
opinion
un
devoir
remp)ir
je dois
cependant
me
défend
de
yeux
position
à
de
pouvoirs
faire
des
te
pren-
ce
n'ayant
sujet
mari
m'auqui
mon
aux
partages
me
et
proposées
refuserai
que
Hugo
faire
des
revenus
fixes
sur
suis
revenus
pour
ce
engagement
à
tu
ses
juste
dispenser
point
torise
âge
quand
ferai
respecte
ce qu'il
mais
signer,
j'aplui
aidions
chacun
nécessaire
je
con-
déclaration
combien
ja
nous
que
peut
conditions
suis
que
je
se
s'engager
fonderait-
de
il
ressourd'autres
que
n'ayant
pas
un
ses
si demain
que
appointements
de fusil
venait
à sa famill'enlever
ce
ces
coup
le
enfants
me
trouverais
avec
trois
je
à élever
et
tout
bien
une
pour
pension
de
douze
francs
obcent
je pourrais
que
tu
tenir
du
vois
gouvernement
que
je
serais
loin
de
aider
à
notre
pouvoir
père
mari
je
667
ma
ans
ma
au's-
conserve
jouit
deux
dou-
jà.
si
hors
je serais
des
donations
tems
tre
à
ges
voie
mon
à ma
tante
cents
livres
de
assez
mal
à
les intéplacé
que
toute
t'en
à
grande
ménage
économie
pour
t'en
nir
ce
donner
mari
l'année
sur
de
mes
beaucoup
faire
les
frais
de
puis
idée
que
somme
leur
été
ap-
et
qui
le
d'ê-
voyam'en-
frais
de
plus
y
parvenir
te
dirai
je
dans
m'envoyer
trois
mille
eu
j'ai
que
des
la
qu'avec
pu
trois
décôté
loin
à
obligé
que
je
une
mois
par
un
ce
de
suis
je
dernière
je
Pouponneau
chose
dans
n'est
n'a
cette
francs
aux
à
si
espérer
fortune
d'inquiétude
faites
avaient
dépense
de
quoi
peine
mon
puis
de la
côté
présent
mari
mon
l'aise,
je
parlé
et
pas
quelque
à
quant
ducation
~99
dire
continuels
cent
point
ai
j'en
livres
été
du
sembla-
qu'un
m'arrivera
mari
heureux
prouvées
a
pu
toron
ne
mon
avenir
bien
j'espère
père
grand
ble
malheur
me
charger
loin
d'en
desi mon
que
n'aurait
fort
la
le
grand
dans
sa
triple.
veuille
je
je
père
prouvera
à la
parce
que
le passé
sur
relever
de
suis
forcée
m'aurait
te
somme
pas
que
censurer
grand
son
qu'à
consentir
lui
qui
annueiles
j'asurprise
crois
convient
notre
lettre
prouve
à
une
d'extraordinaire
loin
car
il paraît
pas
le même
gouffre.
de
l'article
qui
ne
n'attribue
y a
cette
femétait
trois
res-
mais
ne
qu'il
de
et
posde
toute
justice
fait
n'ayant
point
cette
francs
surplus
plus
duite
été
été
j'ai
passablement
d'y lire
que les dons
que mon
grand
m'avait
devaient
mon
fait,
engager
à consentir
à tous
les
arrangemens
crois
l'intérêt
de la fortune
de
que
dont
il me devait
fr.,
compte
depuis
à
c'est
dire
majorité
pendant
quatre
et
Au
pas
que
connaître
eut
fait
sa seconde
oncle
qui
les
pour
au
communauté,
667
me
garçons
entretien
à
coûte
et
ce
cent
payer
l'éfourqui
a
APPENDICE
été
les
un
objet
1600
fr,
nourriture
de
francs
300
et
à
en manque
grand
père
qui
(ditde
se chauffer
et
n'a
il)
pour
qui
pas
à ses premiers
besoins,
quoi
pourvoir
j'ade
me
voue
tout
cela
a bien
lieu
que
car
en supposant
ne resurprendre
qu'il
tire
à huit
cent
livres
de renque
sept
te
de
il n'y
a pas
de
ses
propriétées,
qu'avec
aux frais
restants
j'ai
pourvu
de
de cinq
personnes
qui comne
mon
trois
pose
(mes
garçons
ménage
faisant
dans
la pension
où
qu'un
repas
ils sont)
blanchisbois,
j'ai
loyer,
payé
enfin
est
tout
ce
nécessaire
sage,'
qui
notre
dans
une
et sentant
être
à l'aise,
mais
si son
maison
que
j'aurais
ménage
quoi
de la peine
à arriver
à la fin de l'année
était
bien
administré
il
ne
manquerai
sans
ne
des
à
faire
des
dettes
voulant
choses
nécessaires
point
pas
premières
la
l'instruction
de mes
enfants
Bellet
en parle
comme
déranger
j'ai
vie
presque
réformé
ma domestique
et fait
moi-même
d'un
homme
réduit
à l'aumône
ne
je
V4
ma
à cet état
mon
amitié
toi me
fait
croire
de choses
allarmant
cuisine
pour
puis
entrer
dans
tous
ces détails,
afin
te prie
de
m'écrire
la
dessus
toute
tes\
je
que
se fixent
et
la vérité
idées
enfin
sur
ma
sont
ses
revenus,
position,
quels
queltu n'attribue
à mauvaise
voles
sont
de lui,
que
point
personnes
auprès
quelle
ce qui serait
somme
il dépense
et ce qui lui
lonté,
an
impossibilité,
je te le
par
dans
le même
cas
serait
nécessaire
vivre
sans
répette,
je suis
qu'une
privapour
à la loterie
et qui
alors
autant
tions
je contribuerait
personne
qui jouerait
qu'il
la
me
sera
sa
se réveiller
riche
ou
à rendre
la fin de
ruinée,
pourrait
possible
seule
différence
entre
elle et
qu'il
y aurait
c'est
ce
n'est
volontairemoi,
que
pas
ment
suis
le
des
évèneque
je
jouet
mens,
rien
les attendre
et
je ne puis
que
les supporter
s'ils
malavec
sont
courage
dans
l'instant
de receheureux
je viens
voir
une
de Bellet
encore
inlettre
plus
m'a
convenante
que celle
que Lenormant
vie douce
s'il
fallait
cela
une
sompour
me
nos
considérable
et que
trop
moyens
à tous
ne
nous
de
lui
permissent
pas
fournir
il vaudrait
venbeaucoup
qu'il
de ou engage
les biens
sont'
à lui
qui
de
se laisser
que
manquer
choses.
Si l'état
de sa santé
pouvait
dre
une
fin
tu
prochaine
au
surplus
ces deux
je
pas
que
des
pouvoirs
dans
des
clair
les
quelques
faire
crainme
l'écrirais
un pouvoir
suf-
mes deux
couécritte
je suis fâchée
pour
sins
aient
assez
et
qu'ils
peu de bon sens
ne pas
pour
sentir
que le ton
de jugement
ne leur
pédant
qu'ils
prenent
en m'écrivant
va point
vis à vis de moi
qui suis de toute
manière
leur
égale,
sons
me
donnent
que
ne me persuaderons
leur
parole
envoyer
de
de suite
et je t'enverrais
fisant
pour
empêcher
l'apposition
lets
me
réservant
de faire
un
Nantes
si ce malheur
arrivait,
rai-
scel-
à
voyage
je t'aurais
ce pouvoir,
mais
la
mari,
ne m'autorisant
procuration
août
que
jusqu'au
premier
prochain
j'ai
attendre
une prolongation
préférer
de pouvoir
afin
de te donner
le mien
un
pour
envoyé
docteurs,
dois
sur
pour
affaires
sans.
voir
signer,
aussi
bien
les
qui me
regardent
qu'eux
contes
me font
ou par
ou
qu'ils
ineptie
me
faire
ne
sont
propour
peur
pas
leur
à me
donner
confiance
dans
pres
Bellet
me
menace
lumière
par
exemple
de la perte
de la somme
que doit
prélever
dès
des
aujoprd'hui
de mon
tems
plus
long.
J'aurai
à ta
lettre
du
répondu
plutot
mois
d'octobre
dernier
si je n'avais
pas
attendu
une
à qui
de mon
mari
réponse
écris
savoir
s'il
connaissait
j'avais
pour
le préfet
ou quelqu'un
qui put avoir
quelinfluence
sur
son
mon
mari
que
esprit
continuellement
de
lieu
mes
changeant
lettres
sont
souvent
ou
ne lui.
perdues
si mon
la. 1re communauté
grand
père
est forcé
ses biens
il suppose
d'engager
donc
cetseulement
que j'ignore
que non
te somme,
'mais
encore
la moitié
des
acde
la
de
la
tant
lre,
2me
quiers
que
des
communauté
ne
répondent
pas
plus
dettes
les biens
qu'il
pourrait
faire
que
du
me
dit
aussi
Bellet
mogol
grand
vient
une
de bois
corde
qu'il
d'expédier
avoir
été
parviennent
qu'après
renvoyées
dans
ou
six
endroits
ce
decinq
qui
mande
de tems
bien
beaucoup
je croyais
ne connaissait
te
qu'il
personne
qui
put
servir
et malheureusement
cela
s'est
vésois
si je me trouvais
rifié,
persuadé
qui
200
APPENDICE
à
ne
même
de
t'être
utile
pouvoir
je
serais
t'annoncer
point
paresseuse
pour
bonnes
et si cela
nouvelles
peut
quelques
m'arriver
un jour
un
je ressentirai
plaisir
vif que
celui
te
je pourrai
plus
que
faire
n'être
envers
mais
de
je te
prie
moi
ni rancuneux
et de
n'y
susceptible
bien
sincère
attachement.
croire
à mon
Je
t'embrasse
ainsi
ta
femme
et
que
tes
enfants.
HUGO
Lettre
de
/!<~
TREBBUCHET.
a
Trébuchât
Marie-Joseph
Sophie
""go(i).
Nantes.
chère
?0
<r7/
/~<T).
'Sophie,
tre
de l'ordre
dans
ses
affaires
de
famille
et de rédiger
deux
des
règlements
de ses
intérêts
deux
~/<7communautés,
blis
sur
dont
malses
titres
et papiers
son
il
fit
une
rechergré
grand
âge
che
difficile
et longue
et un examen
pénible.
Aussi
nous
rendîmes
au ciel
grâces
de ce qu'il
lui avait
inspiré
un tel projet,
et de ce qu'il lui avait
donné
assez
de forces
le mettre
à exécution.
Le
répour
sultat
de
asce
travail
important
qui
a
surait
d'une
manière
claire
et
juste
communauté
ce qui
lui
chaque
apparteun
nous
semblait
alors
devoir
éviter
nait,
des discussions
et peut-être
des
jour
procès
dans
la
qui
paraissaient
probables
confusion
où
se trouvaient
tous
ces
paaurait
été
de
dépiers
qu'il
impossible
brouiller,
chose
que notre
grand'père
pouvait
faire
lui seul.
Nous
nous
félicitâmes
donc
et
tous
de cette
essentielle,
opération
Je réponds
à ta lettre
du 12 Avril
que
et qui m'a
je n'ai
reçue
qu'hier
beaucoup
affecté.
Je
vais
combattre
tes
objections
et je me plais
à croire
les nouvelles
que
observations
te faire,
te rapque je vais
à des
sentiments
conforpelleront
plus
mes
à nos intérêts.
Je commencerai
par une observation
gé-
nous
nous
nérale.
à l'esprit
là
aurait
manqué
grand'père
et à la probité
justice
qui le
s'il
avait
cherché
dans
les
caractérisent,
lui
à favoriser
arrangements
rédigés
par
une
aux
de
l'autre.
communauté
dépens
Bellet
de
et moi,
sommes
ainsi
toi
que
la
et
comme
toi
communauté,
première
intéressés
à nous
assurer
que nos droits
étaient
entièrement
conservés
les dits
par
Nous
aurions
été
arrangemens.
ignorants
de
les
ats'ils
avaient
signer
portés
teinte
à ces
mêmes
et de
maudroits,
vaise
intérêts
Notre
de
foi
s'ils
avaient
été
de
la
deuxième
nuisibles
aux
communauté.
nous
avons
voulu
la
conservaTous,
tion
de
nos
droits
mais
rien
de
plus
nous
désirons
seulement
une
jouissance
assurée
et qui
ne pût
être
contestée
des
dits
droits.
Notre
donc
remplit
grand'père
nos
désirs
à tous,
co/K/7!e/!celorsqu'au
l'an
il s'occupa
de
metment
de
12,
)1) Cette
Trébuchet,
lettre est une copie,
de la lettre envoyée
nous
en
félicitâmes
pensions
été unanime,
ses
partager
cussion
bases
que
et que
biens
et sans
arrêtées
approuvées
Tu
dois
surtout,
parce
notre
approbation
nous
n'aurions
eu
à l'amiable,
sans
frais,
par
nous
par
te rappeler
l'an
12)
conformément
notre
grand'père
à l'exception
de
que
eut
qu'à
disaux
et
toi.
dans
que
je t'écrivis
ce
temps
une
lonlaquelle
je te
(dans
lettre
à ce sujet
gue
par
faisais
connaître
comment
nos droits
resavaient
été
Je
dois
donc
pectifs
réglés.
être
affecté
péniblement
aujourd'hui
que
les objections
tu fais
contre
je vois
que
cette
établit
avec
justice
opération
qui
nos
droits
à chacun
m'avait
semet qui
blé
propre
l'union
et
à
entretenir
entre
nous
tous
si nécessaires
l'intelligence
pour
faiterminer
nos
Aussi
je vais
partages.
re tous
mes
efforts
à tes
pour
répondre
d'une
manière
satisfaisante.
objections
Ire objection.
Les droits
de la l~c comdis
tu
munauté
sont
mal
établis
en
ce
la moitié
des
stipulé
que
notre
que
grand'mère
apfut
en mariage
et qui
portait
employée
en
achat
de
biens
fonds,
appartiendrait
à
ses
seenfants,
qui
conséquemment
à prélever
le bien
raient
autorisés
payé
Il
dit
avec
cette
fortune.
est
l'arpar
qu'il
6.000
n'est
pas
francs
1*~ que
nous
en fonds
prélèverons
à 'dire
la cond'experts
jusqu'à
d'héritage
ticle
tente par'Marie-Joseph
à Sophie.
--20)
2H
APPENDICE
à ce
Quant
de
tu
actuelle
que
tête
de notre
père,
je t'observerai
grand
déclarations
ne viennent
pas
que les dites
d'être
mais
actuellement
que
rédigées
au commencement
ainc'est
de l'an
12,
nosi
est
dit
et
alors
ci-dessus,
qu'il
intérêts
les
3.000
francs
sur
D'ale ler mariage.
pendant
acquets
faits
cet article
nous
avons
donc
Je droit
près
de
en
biens
nos
3.000
francs
prélever
de
et il est entendu
ce sera
fonds,
que
ces
les
avec
préférence
objets
acquis
currence
des
dits
nous
connaîtrons
3.000
ce que
francs
à l'instant
de nos
notre
grand
partages,
devant
nous
remettre
tous
nos titres.
père
nous
Au
en supposant
même
que
surplus
prélevions
francs
de
indistinctement
biens
sur tous
pour
les
sont
sur
lésés.
pas
la
faiblesse
tre
pleinement
grand
père
jouissait
toutes
ses
facultés
morales
et surtout
c'est
sa
ce qui
le prouve
mémoire
travail
même.
3.000
du 1"
de
de
le
ausTu me marques
Objection.
si que je t'annonce
acquets,
que quelques
à la 1"= communauté
pourraient
désignés
ne
être
la 2'
contestés
par
parce
qu'ils
sont
et tu ajouclairement,
pas
expliqués
3me
acquets
perdrions
la non
et surtout
nous
lit,
je crois
que
n'y
pas
vacar
tu conviendras
qu'attendu
des
leur actueiïe.
des propriétés
d'exnous
aurions
à estimation
vignobles,
de
francs
biens
3.000
pour
perts,
plus
en
cette
somme
n'a
du en procurer
que
étaient
à un
1747,
où les
biens
époque
très
haut
prix.
tu ne si2me objection.
Tu dis que
rien
tu n'ayes
vu les pièces,
gneras
que
doivent
étace sont
elles
parce
qui
que
tes
en profiter
pas
de
cette
2*~° communauté.
/i!H.f dépens
Je n'ai
voulu
te dire
y avait
point
qu'il
de
des
doutes
sur la véritable
destination
ces articles,
prouparce
que les contrats
des
veront
facilement
font
partie
qu'ils
te faire
du ler lit
mais
j'ai voulu
acquets
blir nos droits
et non pas des déclarations,
surtout
l'état
de faiblesse
de tête
où
dans
se trouve
notre
grand
père.
Mais
dis
ces
encore,
pièces
je te le
avec
de noconfondues
les autres
papiers
tre
de l'hébreu
auraient
été
père,
grand
que
tu
que
voudrais
la
qu'à
qui
ticles,
tels
de Bordiers
bre
seraient
à distinguer.
ché
ne
lecture
de la désimple
arnous
concerne,
plusieurs
les
maisons
par
exemple
que
nomen assez
grand
qui sont
moment
difficiles
au premier
entendre
claration
s'il ne les avait
lui-même
pour
nous,
pas
réunies
et ce sont
ces pièet classées
ces ainsi
mises
en ordre
servi
de
qui ont
base
conséaux
dites
déclarations,
qui
nos
droits,
quemment
présentent
d'après
Autant
la
par
surprise
vaincue.
2"~
et
fâque toi je serais
communauté
fut
frustrée
contu en
es sûrement
Une autre
raison,
4me objection.
ajout'aurait
de
tes-tu,
qui
empêchée
signer
est
cette
c'est
injudéclaration,
qu'elle
de
notre
rerieuse
à la mémoire
père,
comme
un
aventurier
vend
qui
présenté
à la
merci
des
tout
et laisse
ses
enfans
des pièces.
Je serais
fâché
qui résulte
les
tu signasses
Tous
que
aveuglément
titres
à toi ou à ton
seront
communiqués
fondé
de pouvoir.
Sur la 'déclaration
ou règlement
la
pour
ce
venus.
premiers
Je conviendrai
aurait
père
pu
convenables
plus
2me
à chaque
article
d'accommunauté,
la date
du contrat
~M~,
y est indiquée
ainsi
nul
doute
et par
la rédaction
et la
dits
date
des
les
articles
contrats,
que
à cette
2me communauté.
n'appartiennent
Les
contrats
ai vus.
Sur
existent,
je les
les
déclarations
la première,
il est
pour
dit
les
22
articles
détaillés,
après
que
notre
était
père
des
circonstances,
dirai
aussi
qu'il
me
un aventurier,
rais
ces
202
été
avec
toi
notre
grand
expressions
employer
faire
connaître
pour
que
à cette
vente
forcé
par
mais
je
impérieuses
ne le représente
pas comcar
si
que
des
cela
était,
de signer,
j'auavant
flé-
bien
peu délicat
fait
ce qui pouvait
d'avoir
supprimer
trir
la
mémoire
de
notre
Notre
père.
eu un style
fleuri
n'a
père
jamais
grand
écrit
à peu près
et élégant
il a toujours
ausil parlait,
sans
détour
comme
comme
avec
un
de
rudesse.
si quelquefois
peu
Mr
ont été
d'avec
objets
acquis
le
et
Jean
Guilbaud
Mignaud,
Braud,
et ces contrats
existent
autres,
également.
à ton fondé
Tout
sera représenté
de pouvoir
s'il
mérite
ta confiance,
ne siqui,
rien
sans
être
convaincu
tes
que
gnera
tous
ne
dis
APPENDICE
dans
l'article
Cependant
je remarque
que
dont
tu te plains, il dit qu'avant
de partir
son dernier
il fit une
vente
pour
voyage,
de tout
son mobilier,
et ces mots
dernier
font
connaître
le motif
de
la
voyage,
vente.
à l'embarras
dit
avoir
eu
Quant
qu'il
de nous,
à la mort
de
notre
cela
père,
me
resta
paraît
vraisemblable,
puisqu'il
de
et
notre
éducation
de
chargé
pourvoir
à nos
ainsi
cela
est
besoins
que
prouvé
entretiens
par
le
faits
payement
à Mme
des
veuve
pensions
dû
être
encore
nant
ment
touché
ferait
pour
nulle
nous
de
avancées
ne puis
à
dont
et
en
le
de
sup'1786
il ne
Auguste
dans
un
donnés
à
te trouvais
que
sœur
delà
et qu'au
résultat
tu
moi-même,
aussi
favorisée
moi,
que
puisde la
des
bienfaits
indépendamment
de notre
au
père,
compté
~1 t'avait
de la dite
somme
de
667
francs.
Relativement
somme
de
à
l'intérêt
de
667
francs
ainsi
tite portion
dans
les biens
il me semble
mère,
que tu
1" en
considération
mander,
l'on
a fait
fices
pour
que
si
2° parce
sœurs
que
les
prétention,
munauté,
enfans
cette
modique
que de ta pede notre
grand'
ne peux
les dedes
sacrites
frères
et
tu élevais
cette
de
la
2me comdemander
pourraient
également
leur
des
revenus
maiorité
compte
depuis
des
biens
de
leur
~a/Mf/7ïc/
laquelle
demande
aussi
fondée
proque la tienne,
les
duirait
en leur
seulement
faveur,
pour
250
biens
de Monnières,
estimés
environ
francs
de rente,
une somme
considérable.
donc
ma chère
SoSois
bien
persuadée,
et moi nous
sommes
dans
phie,
que si Bellet
le tems
de signer
cette
déclaempressés
nous
sommes
convainc'est
ration,
que
était
conforme
à l'équité
et
cus,
qu'elle
Je
te
conciliait
nos
intérêts
respectifs.
la
communauté
même
2'=
répèterai
que
à nous
faire
reaurait
eu des
objections
stile
assez
prouvaient
qu'il
bonne
éducation.
à ces
En
frais
de
nourriture,
ajoutant
d'entretien
et
les
d'éducation,
dépenses
notre
faisait
a chacun
de
que
grand
père
leurs voyages,
leur procurer
tous les
pour
effets
nement
naient
fois
était
plusieurs-
rappelle
reve-
de notre
il aurait
bien
père,
charge
grand
des
a débour712
francs
pu parler
qu'il
sés
en argent,
et au
contraire
toi,
pour
te tenir
à moi,
des
comme
667
compte
francs
nous
mta-is il a considérevenant
ré que tu avais
chez
Madame
Robin
reçu
notre
tante
les
frais
m'a
commune,
qu'il
et élevés
notre
non
par
père,
qui
grand
seulement
fit apprendre
à lire
leur
et à
chez
Mr Dupas
écrire
et chez
Mr Duval
au Pilory,
mais
encore
les mit
à la pension
Kerhervé
faire
leurs
études.
pour
A la vérité,
trop
léger
n'apprit
Auguste
mais
mon
frère
aîné
pas
chose,
grand
studieux
étudia
de succès
avec
assez
plus
le latin
et eut
une
belle
écriture.
Je me
une lettre
de lui écrite
de Brest
rappelle
à notre
dont
l'orl'écriture,
grand
père,
et
"une
que
de ses
me
Je
à Madelon,
entendu
Quant
j'ai
toujours
dire
notre
oncle
de
Rennes
s'était
que
à
la
moitié
de
sa
engagé
payer
dot,
avait
même
Stle curé
de
qu'il
chargé
Laurent
de compter,
et que
mon
grand
avait
l'autre
moitié.
père
compté
Pour
l'article
te concerne
qui
j'avouerai
à la
été
toi seule,
que
n'ayant
point
l'argent
mention
et ne nous
tiendrait
Une
semblable
idée
serait
de
pas compte.
ma part
une injustice
et une ingratitude.
Le
nous
ensuite
rend
des
compte
qu'il
4.000
francs
restants
me parait
et
juste,
en effet,
a pris
de chacun
les soins
qu'il
de nous
ont certainement
absorbé
au delà
des
667
francs
à chacun
qui revenaient
dans
cette
très
somme.
Je
me
rappelle
bien
mes
frères
en
sortant
de
chez
que
Mme
furent
comme
moi
nourris
Dugay
thographe
avait
reçu
insuffisants.
dénuevoyages,
ou
les
effets
étant
absolu,
perdus
et qu'il
à notre
fallait
volés,
grand
père
faire
de nouvelles
le voyadépenses
pour
ge suivant.
Dugay,
1781,
1783
et. 1784,
et
1782,
je rece
n'est
1786
marque
que
qu'en
qu'il
à toucher
chose
parvint
quelque
provenant
des
de
notre
appointements
père.
Je dois
donc
croire
les
dites
que
quatre
années
de pension
ont
été
ses fonds
car je
particuliers,
eut
antérieurement
poser
qu'il
bien
nous
trouverons
certainécessaires,
francs
reveque les 667
qui leur
de la succession
de notre
ont
père
lativement
la 1~
Notre
2(M
à
l'avantage
de
communauté
grand
père
a,
qui
la dite
après
résulte
pour
déclaration.
la guerre
ci-
APPENDICE
vile
qui avait
dépenses
des
mier
mariage
dification
de
maisons
de
cendiées
soirs
et
tout
dévasté,
les biens
fait
granson prela reeet des
sur
de
à St-Fiacre
pour
la maison
principale
bordiers
avaient
qui
pour
autres
rerestées
chez lui, et sont
bien
toujours
commandables
tous
les soins
par
qu'elles
ont eu et qu'elles
ont
lui.
Les
veilpour
les et les fatigues
ont
alsingulièrement
téré
la santé
de Jeannette,
l'équi dans
de
été
in-
la
des
réparation
presetc.
Toutes
ces
logements
été payées
avec ses fonds
la continuation
de
pendant
tat
de
où
se trouve
gêne
réduit
notre
sont
1° la guerpère
grand
re de la Vendée
de ses requi l'a
privé
venus
l'oet
années,
pendant
plusieurs
la paix
fut établie
à des
bligea,
lorsque
tant
faire
relever
énormes,
dépenses
pour
les
maisons
incendiées
et remplacer
son
mobilier
la culture
des
pour
que
vignes
épuisa
même
l'argent
temps
il
Juge.
Par
suite
de
reux
venu
de
qui
fut
ces
lui
privé
restait.
de sa
Dans
place
évênemens
le
de
malheuseul
re-
il
a donc
été
réduit
au
de son
attendu
la guerre
bien qui,
maritime,
des
qui
empêche
l'exportation
lui
a produit
très
vins,
année,
chaque
de chose.
J'estime
et quitte,
peu
que net
il n'a
retiré
annuellement
7 à 800
pas
francs
de ses propriétés
de
qui, en temps
valoir
12 à 1500
francs
paix
pourraient
de revenu.
Déduisant
de ces
700
francs
les
150
francs
de rente
les
produit
par
3000
dus sur les acquets
munauté
et les
de
225
325
francs
somme
bien
Jeannette
et Marion,
lui,
de
la
loyer,
insuffisante
2"~ comil restera
lesquelles
pour
sont
il
est
ne
toujours,
nuit
et
choses.
fr.
Jé présume
somme
de 1200
qu'une
sera
suffisante
subvenir
aux
besoins
pour
et
aux
de
notre
père
dépenses
grand
ainsi
le revenu
de
ces
dans
propriétés,
ces
tems
ne
malheureux,
pouvant
produire
nous
net
de
7 à 800
francs,
plus
la
2°
son
depuis
longtemps
abandonnées
état
de paralysie
bien
des
anpendant
nées
ce qui nécessita
des
achats
de médicaments
de toute
et d'avoir
auespèce,
de lui,
près
médecin,
gardechirurgien,
c'est
durant
cette
maladie
malade
qu'il
où
nage.
Ces
détails
doivent
te faire
voir
qu'il
n'est
ait contracté
pas étonnant
pour
qu'il
environ
francs
de dettes,
et qu'iné3.500
vitablement
il sera
d'en
contracter
obligé
si nous
ne nous
emd'autres,
beaucoup
de mettre
un
à cet
état
terme
pressons
elle a abandonné
cette
l'amiable,
prétention
et a signé
sans
la déclaréservation
ration
fait
de tout.
Cet
qui nous
profiter
doit plus
la
objet,
je pense,
que balancer
sans
fonpetite
perte
que tu appréhendes
sur
le prélief
des
dement,
3.000
francs
de biens
fonds.
causes
faiblesse
ni jour
ni
veille
quitter
cesse
de lui.
Marion
devient
auprès
la cuisine
et pour
faiindispensable
pour
re
les
choses
nécessaires
dans
le
mépeut
sans
dépenses
ayant
et
particuliers
la
2me communauté,
cette
dernière
communauté
aurait
eu le droit
à une
reprise
de
la moitié
de
ces
du
montant
toutes
une
mais
nous
donner
sommes
pour
de son
désir
de
tout
terminer
à
preuve
Les
de
le
aurions
viron
à
entre
nous
enrépartir
400
nécessaires
compour
deles
1200
francs
pletter
que
je pense
voir
Ainsi
si nous
convenons
de
suffire
tous
la
même
somme,
payer
également
ne
étant
7 héritiers,
les dits
400
francs
feraient
chacun
pour
qu'une
modique
somme
de
francs
nous
au57
an,
par
que
rions
lots
nous
francs
à
en sus
du produit
de nos
payer
tous
réunis
ne
respectifs,
préqui
mon
calcul
senteraient,
d'après
approximatif
net
ci-dessus,
8.00 francs
qu'environ
de
revenu.
Par
ce léger
sacrifice
d'une
cinquantaine
de francs
chacun
par an, nous aurons
la satisfaction
de mettre
nonous-mêmes,
tre grand
à l'abri
du besoin,
et nous
père
un bien
aurons
de nous conserver
l'avantage
qui maintenant
circonstances
tible,
ront
suite
des
par
est
guerre;
suscepces
circonstances
n'existelorsque
de doubler
de revenu
comme
plus,
la Révolution.
chacun
conEt puis,
avant
naissant
sans
de
la
sa
portion
l'améliorer
pourra
ploitation.
Si
tu le désirais
les
nos
morceller,
indivis
204
valeur
sous
la
et
les
après
partages
en
surveiller
l'ex-
et afin
de ne
point
trois
lots
resteraient
surveillance
de
ton
fondé
APPENDICE
de
chacun
la
et nous
en aurions
le cas que nous
nous
arrannotre
sœur
son
tiers.
avec
gerions
pour
serait
avantaJe
aussi
nous
pense
qu'il
avec
Beld'acquérir
conjointement
geux
de la 2'
communauté
let, les prétentions
à St-Fiacre,
aula raison
par
que nous
rons
des
conditions
et que les
favorables,
cerne
à l'ocexpressions
employées
casion
de la vente
de nôtre
et la
père,
3me est sur
la rédaction
de l'article
qui
te concerne.
la
Je
crois
avoir
refuté
1"~
et démontré
les
deux
autres
étaient
que
sans
elles
d'ailleurs,
importance
portent
sur si peu de choses,
les supposant
qu'en
pouvoir,
dans
moitié,
le
fondées,
cas pourrait
sans
valeur
à présent
doupresque
de prix
à la paix.
des
entraves
Si,
au
contraire,
impréà ces
vus
si avans'opposent
partages
il en résultera
notous,
que
tageux
pour
tre
étrans'adressera
à des
grand
père
biens,
bleront
gers
des
ses
bler
re
de
la
en
réperte
qui
nous
aurions
la trisnous,
de voir,
au décès
de notre
trounotre
bonne
intelligence
nis
t'en
ma
chère
conjure,
Sophie,
toi à nous
l'exécution
d'un
pour
commandé
notre
intérêt
et
par
jet
devoir
coup
je le
sonne,
désire
et
de
dont
l'inexécution
à un
chagrins
vieillard,
ces
promptement
parToutes
les pièces
sur
indispensables.
tages
les arrangements
antérieurs
sont
lesquelles
tu prente seront
établies,
communiquées,
beauqui,
per-
dras
la
seconde
ce qui
reste
consulter
à des
ce
a
qui
à faire
avocats
été
tu
mésintelligence
pourrait
faique ton refus
à
nos
re naître
et qui serait
bien
nuisible
intérêts
communs.
ma
chère
SoEnfin,
ton voyage
à Nantes
n'aura
jamais
phie,
rends-toi
donc
à nos
été plus
nécessaire
pourquoi
penserais-tu,
Sophie,
que
été assez
irréfléchi
donner
mon
j'aye
pour
à un acte
contraire
aux droits
approbation
de
la
1~ communauté
dont
comme
toi,
Au reste,
mon
les obje fais partie.
amie,
tu fais,
ne se réduisent
jections
que
qu'à
trois
la
1re est
relative
.aux
principales,
prélief,
tout
te
de
pourras
ton
choix
sur
les
dits
arrangements
nous
irons
ensemble
à St-Fiacre,
je te
ferai
tout
de connous
voir
opérerons
et ta
au
de
milieu
cert,
nous,
présence
en
resserrant
les
liens
de
notre
ancien
dans
la famille
une
évitera
attachement,
ner,
de
de
connaissance
et de tout
fait
titrés
rien
justificatifs,
je n'aurais
signé,.
car enfin,
mes
intérêts
ne sont-ils
pas les
mêmes
les tiens,
et pourquoi
veux-tu
que
suis
sur les
étais
moi,
que
qui
lieux,
qui
à même
de tout
de tout
examivérifier,
francs
com-
terminer
puissions
sais,
j'ai
plus
que
d'obligation
et qui
mais
nous
aime
tous
qui
bien
voir
toutes
nos
afvivement,
faires
se
afin
nous
dit-il
de
terminer,
content
et
Sois
mourir
sans
inquiétude.
été intibien convaincue
que si 'je n'avais
mement
est basé sur la
persuadé
que tout
la plus
et appuyé
de
justice
scrupuleuse
3000
1~
ce
sont
plus
que ces partages
à
nécessaires
ne
le
seront
cette
qu'ils
car
si
on
attend
là
époque,
jusque
je
crains
les raisons
déduites
bien,
par
plus
rien
ou
rien
a
ait
haut, qu'il
n'y
presque
Je
t'en
au nom
de toute
prie,
partager.
la famille,
viens
à Nantes
nous
pour
que
pronotre
à
dans
maintenant
tôt
réu-
causerait
qui
la
certainement
Néanmoins,
partages.
je pense
que,
pour
ta satisfaction,
il sera
facile
de changer
les
t'ont
inconveexpressions
paru
qui
nantes
dans
la déclaration
et leprécitée,
sera approuvé
quel
par nous
changement
tous
à la fin
de
cette
pièce.
tu
as
le
de
venir
à
Puisque
projet
de
Nantes,
au
décès
notre
grand
père
à
assister
nos partages,
pour
viens-y
plu-
grand
père
blée
et des
dissensions
entre
dont
nous,
les
absorber
entièrefrais
finiraient
par
ment
les
nous
restes
d'un
héritage
qui
notre
faute.
échapperait
par
Je
faible
avantage
en résulter
pour
ne balancerait
munauté,
point
les inconvénients
graves
qui résulteraient
cette
même
ainsi
communauté,
pour
que
la 2'
de ton
refus
aux
d'accéder
pour
à de
intérêts
pour
emprunter
gros
sur
sommes
qui seront
hypothéquées
doubiens
ou
personnels,
que
pour
son revenu,
il vendra
à rente
viagèet
inces
mêmes
biens
personnels
dépendamment
sulterait
pour
te perspective
les
vœux
à
tous,
car
vent
pars
notre
grand
si j'ai
reçu
répondu
jusqu'ici
faisant
une
espérer
con-
et
~05
aux
nôtres
tôt
plus
possible,
me
demande
soupère
ta réponse,
et je lui ai
en lui en
négativement,
c'est
le
favorable
pourquoi,
à
ses
désirs
je
lui
ai
APPENDICE
laissé
ta dernière
ainsi qu'à
lettre
ignorer
nos
tu
cointéressés
dans
l'espérance
que
te décideras
enfin
à venir
ici pour
tout
terminer
à l'amiable.
Beliet
et
Lenormand
auraient
été
bien
affectés
de
tes
à leur
leurs
intentions
plaintes
égard
sont
bonnes
et ils ont
d'attabeaucoup
chement
et
en
cette
considétoi,
pour
ration
tu dois
oublier
les expressions
de
leurs
lettres
ont
te blesser.
qui
pu
Ma
femme
et moi
te réitérons
l'offre
d'un
lit chez nous,
où nous
te recevrons
avec
le plus
et
le mieux
grand
plaisir
nous
sera
tu nous
ferais
qu'il
possible
de la peine
si tu nous
refusais.
ma
avec
Sophie,
j'attends
ta
à cette
l'impatience
réponse
dans
m'annonlettre,
l'espérance
qu'elle
cera
ton
et ton
inNantes,
départ
pour
de te réunir
à nous
tention
pour
procéder
à des
deveconjointement
partages
les circonstances
nus
dans
indispensables
Adieu,
bien
de
chère
actuelles.
Lettre
fille
Inédite
Trébuchet-Hugo.
Nantes
ne
à
serais
me
une
indifférence
mari,
ce
qui
encore
apportes
ton
frère
rendre
et
tes
mes
enfants
tion
de
traitée,
te
nuire
et
davantage,
à te
rangements
été
reconnus
pourquoi?
en
qu'elle
m'étonne
toi
de
que
c'est
le
aux
Crains-tu
pense-tu
au
profit
que
de
sans
me
celles
de
de
m'étonner
retard
?
et
tu
que
de
invitations
pour
les
ar-
et
qui
ont
proposé
paraît
avoir
été
j'ai
ton
ta
lais-
cause
cousins
qui
de
la
et respectés
justes
et petits
enfants,
seule
So-
me
de
serait
lieu
1809.
attendu
un oubli
ni
petite
(t).
tu
que
10
ans,
a
j'ai
sa
ce 4 mai
jamais
et
à mon
telle
part
égard
se
environ
9 à
depuis
donner
de
tes
nouvelles
ton
à
M. Lenormand-Dubuisson
Sophie
phie,
tes
non,
dans
tu me jugerais
bien mal ?.
cousins,
intention
je n'ai
pas eu une pareille
le règlement
fait
il y a
j'ai
que
environ
5
été
par
l'excep-
t'y
refuser,
capable
ta
frère,
dont
ton
une
et
tes
cousins
à
vouloir
frère
venir
cours
en
offrant
d'acquitter
et de m'assurer
le morceau
de
les derniers
de ma
triste
jours
ferai
parce
que je leur
dans
ils
bien,
lequel
demniser
de ce qu'ils
aura-t-il
donc
toi
que
Je
le
l'abandon
trouveront
t'a
à mon
semes
dettes
pain
pour
existence,
de mon
à
s'in-
me
fourniront,
n'y
refuserais
?
qui t'y
non.
Mais
dans
à croire
plais
que
où
tu
verrais
y persiste
je me
de
mon
bien
de faire
la cession
la
en faveur
de ceux
auront
qui
mes
névolonté
de m'aider
dans
me
cas
afin
tu fasque
je t'en
préviens
se
et je veux
cela
réflexions,
que
sous peu
encore
je vais
cependant
attendre
ta réponse
24 du courant,
jusqu'au
ne
si
d'ici
cette
époque
je
reçois
pas
et
une
solution
définitive
de toi,
j'agirai
failes moyens
nécessaires
prendrai
pour
cessités,
ses tes
termine
re
cesser
ma gêne.
t'embrasse
ainsi
Je
amitié.
suis
avec
Je
certifie
que
tes
enfants
et
de
lettre
copie
présente
écrit
à Sophie
à celle
j'ai
que
ma
femme
fille,
Hugo,
petite
à Paris
rue
St-Jacques
près
?
250.
LENORMAND.
conforme
Trébuchet
demeurant
l'église,
la
tous
à
moins
ans
envoyé
atcopie,
scrupuleuse
j'ai
apporté
tention
à établir
la justice
et les
droits
et
ceux
de
de
mes
deux
communautés
chacun
de
vous
tous
en
et
particulier,
sur
cela
ma conscience
est restée
parfaitement
tranquille.
L'état
de gêne
où je me trouve
à mon
a porté
ton
frère
de
86 ans
âge
grand
obligé
propre
bonne
de
Je
et
Lettre
de
Trébuehet.
Sophie
bien
Hugo
a son
frère
Marie-Joseph
~Od~9ma:09~.
de
Je
sœur
frère
a mis en tête de la
(1) M. Lenormand-Dubuisson
« Copie de la lettre que j'ai
lettre
la note suivante
la
ma petite fille.
écrit à Sophie
Trébuchet
Seule,
de
Lenormand-Dubuisson.
est
de
l'écriture
signature
-20H-
ne
t'ai
pour
(I) Marie-Joseph
mots
suivants
« ainsi
est
qu'il
mon
pas
répondu
plutôt
la
raison
a retarder
qui
Trébuchet
« Lettre
sans
constaté
par
cher
ma
les
a écrit
sur l'original
le
29
mai
1809
date
reçue
»
de la poste.
le timbre
APPENDICE
à
réponse
notre
sur
Hugo
mais
pour
crois
pas
tion
toutes
te
si
demain
bien
parler
les
qu'il
des
loin
engagements
obligée
de
faire
pour
senties
payer
les
ver
ne
je
que
notre
de
grand
revenu
les
biens
fr.
de
du
conçois
père
de
tous
rente
St-Fiacre
de
rente.
ils
estimation
il
ce
verai
on
les
servir
de
base
peut
faire
et
eue
ou
une
valeur
aujourd'hui
II
ce
me
que
posant
donna
que
ses
la
celle
ou
la
de
ils
guerre
valoir
la
à
St-Fiacre
estimation
de
cette
les
que
seraient
arrangements
basés
sur
avec
l'estimation
la
Ven-
effectivement
lecture
et écris
envoyé
2me communauté
pour
avant
étaient
de
qu'en
nous
ce
6000
notre
des
pour
par
un
somchose
de l'ar-
article
la
somme
de
me
des
dettes
parler
dit
dans
sa
lettre
à les payer
s'engagent
impossible
d'y contribuer
mon
que
il me
pour
réserve
te
remercie
de
tes
offres
obligeantes,
si j'avais
faire
le voyage
de
Nantes
pu
aurais
il
certainement
mais
j'en
profitée,
m'est
le moment
de quitimpossible
pour
ter
mes
il y en a deux
de maenfants,
lades,
à la fin
de l'été,
peut-être
irai-je
du plaisir
à t'embrasser
bien
ainj'aurai
si que ta femme
et tes enfants
que je désire
tous
connaître,
beaucoup
je vous
prie
tems
rien
de
Je
ont
qu'ils
un
supposant
coutera-t-il
l'état
d'après
des
quand
donneront
prédire
leur
que
la
par
trouvait
cette
ses
besoins
très fâchée
ceci fut entre
je serais
que tout
nous
un sujet
de brouillerie,
j'espère
que
non
et que
vous
tous
assez
raisonserez
nables
sentir
le droit
bien
pour
que
j'ai
de ne pas
prendre
quand
d'engagements
de ne pouvoir
les remplir.
je crains
doit
qui
auraient
puis
n'en
droits
trou-
qu'ils
donc
ma
ont
qu'ils
de
tu
le
je
dont
valeur
forte
reste
vente
il
en
pas
d'argent
seraient
qu'elles
hypothésur les biens,
nous
serions
dans
ce
quées
cas
'd'en
la
ce
rente
payer
obligés
qui
encore
le
tu
me
augmenterait
fardeau,
de
nous
parle
grands
avantages
pour
dans
ces
t'avoue
je
arrangements,
que
vois
rien
au reste
je n'y
que des charges
qu'ils
la
ils pouvaient
somme.
cette
dis
point
et ou
dée
me
si
serait
bien
ma
part
n'ayant
tu me
dis
toi
rapporte
doit
être
qu'on
plus
et
dévastations
vi-'
revenu
peut
favorables
dans
donc
le
qui
favorable
plus
les remettre
est
ne
en
fixer
pour
non
circonstances
de
Révolution
mettait
celle
Car
est
cette
valeur
pas
c'est
celle
qu'ils
le prix
en
qu'on
c'est
si
1000
ne
tu
la
n'est
aujourd'hui
suite.
fr.
grand
père
ses enfants
fr.
400
les
8000
fr.
ne
que
puisqu'il
fr.
de revenu
460
et que
que
de
St-Fiacre
nous
restait
en
Bellet
et à nous
nous
aurions
200 francs
de revenu
en
pour
à notre
sans
père
compgrand
J'oubliais
fond
qui
revenu
avant
s'agit
actuellement
ont
fond
de
pour
francs
rapporter
du
fr.
biens
6000
que
total
8000
que
cela
mais
et
rapportent
devraient
en
le
biens
que
des
francs
monter
sans
et
rangement
spécifier
sa mort
nous
aurions
un
tiers
de
après
cette
rente
de 500
francs
à payer
à notre
sœur
c'est-à-dire
166
fr.
10 s. et pour
toutes
nous
aurions
200
francs
ces, choses
de rente.
que
300
400
ne
Cette
que
francs
les
fr. à
fr.
de
ne vaut
me
insuffisante
à quoi
on s'engage
ce
je vois
estimés
fait-il
communauté
puisque
francs
400
valaient
700
que
14000
le
puisque
20000
fr.
les
se
s'éledis
pour
communautées
2
con-
me
biens
des
bien
de
acquiers
en sorte
auque nous
rente
d'un
fond
estimé
notre
c'est-à-dire
grand
père
rente
et que
réellement
ce
rapporte
si le bien
entier
aux
nous deux
faire
500
ter le supplément
je serais
du
fond
du
sont
estimés
fr.,
crois
tu
Comment
quand
à
donc
des
vois
que
je
la première
la
2"~
pour
que
estimé
pas
ne retire
20000
1000
fond
serais
j'aurais
doivent
réel
reste
engacar
part
revenu
Monnière
nous
ou
espèce
ma
ces
posi-
honneur
que
rentes
ces
de
de
cieuse
rentes
puisque
dessus
au
faire
vendre
notre
personne
mari
je
mon
je perdais
de pouvoir
de
cette,
ne
je
de
à
francs
ou on fait
la l~e communauté
rions
à faire
la
faites
propositions
franchement
rentes
à
écris
j'ai
père
acceptent
défend
nous
précaire
à
faire
ger
grand
les
tout
supaban-
deux
de
de croire
serait
me
conserver
à la mienne.
HUGO,
francs
votre
née
amitié
et
TREBUCHET.
sœur
Tu
14000
207
liras
ma
lettre
à
mon
grand
père
APPENDICE
verras
d'un
.tu
que je lui
parle
moyen
le tirer
d'embarras
concilierait
pour
qui
à la vente
de ses
biens
tout,
quant
personnels
à rente
à quelqu'un
de
viagère
ses
enfants
de nous
je suppose
qu'aucun
ne serait
assez
délicat
acheter
peu
pour
de
lui
il est
en
enfance
quand
presque
et le faire
accuser
à juste
titre
de mauvaise
foi.
Lettre de Marie-Joseph
inédite.
Trébuchet
Nantes
MA
CHÈRE
Sophie
~MM
Hugo.
1809.
SOPHIE,
ta
lettre
sans
le
29
date,
ainsi
est
constaté
qu'il
par
la poste,
notre
et
grand
père
le même
celle
tu
jour
que
a écrite
alors
tout
était
terminé
ennous
Ta première
irrévocablement.
sur ma réplique
sième
lieu
ton
de
notre
le 24 mai,
détertniner
convaincre
fus de te
ne pouvoir
grand
terme
tout
que
réunir
en laissant
t'avait
fixé
qu'il
se réunissait
Notre
te
nous
pour
tu persistais
dans
ton
reà ,nous.
En regrettant
de
de concert
avec toi dans
de
nous
senfamille,
de
premier
projet
de son
vivant
suivant
tage
communauté
et de
chaque
sus
du revenu
de nos
lots
faire
les
lui
ses conseils
et nous
dans
rer. par
diriger
nos
opérations.
Le seul
et qui
moyen
qui se présentait
fut
à
autorisé
la loi,
était
la vente
par
des biens
de noprix
d'argent
personnels
tre
père
qui
conséquemment
pougrand
de
payer
à
Guérin
les
supportables
par
dans
les 3.000
francs
de la 2"~ communauté,
sur
les mêmes
biens
francs
qu'également
les
3.000
francs
agir
arrangements
ne pouvait
être
différés
qu'ils
plus
de
et qu'il
était
instant
prenlongtemps
dre
un
faire
cesser
l'état
parti
qui
put
de gêne
de notre
et sauver
le resayeul
te de sa fortune.
nos
tions
faisaient
aussi
passer
pour
actuels
et les motifs
qui nous
Il a bien
voulu
nous
éclaiagir.
des
propriétaires
2/3 des biens
ils n'édans
paternels
lesquels
cependant
taient
la
fondés
la
moitié
et
que
pour
2"~ communauté
l'autre
moitié.
Mr
pour
a donc
l'acte
de cette
Angebault
rédigé
vente
des
biens
nous
paternels
laquelle
est
faite
1° moyennant
la délégation
de
4371
francs
de dettes
2° à la charge
mes
propositions,
par
formellement
ne vouton
à rien,
silence
long
à cette
lettre
et en troià répondre
à celle
retard
père
Angebault,
considéré
et
qué,
nos projets
devenaient
à
réponse
tu déclarais
laquelle
loir
acquiescer
Nous
un autre
moyen.
à Mr
cet
effet
adressés
avocat
estimé
et généralement
nous
lui avons
tout
communinos
et
antérieurs
arrangements
une somme
convenue
pour
la
lui
pour
portion
qu'il
fixer.
Son
était
de venintention
plaiser
dre
à Lenormand,
à Bellet
et
à moi,
chacun
un tiers
comme
pour
représentant
nos
ce
était
branches
qui
avantageux
la première
communauté
pour
représentée
par les enfans
Trebuchet,
qui à ce moyen
reçu
mai
dernier,
le timbre
de
a aussi
reçu
en
donc
trouver
sommes
à
vait
les
vendre
et
à chacun
J'ai
lui
tre
lettre
lait
nous
les
dits
dus
et
1.500
francs
biens
paternels
les acquits
par
3° en réservant
les
1.500
paternels
ils
dans
supportent
au
du
profit
d'acquits
les autres
1.500
francs
premier
mariage
sont
dus
la portion
mapar
d'acquets
de la
maternels
ternels
lesquels
acquets
communauté
non
dans
première
compris
la vente
nous
en entier.
appartiendront
Je t'envoie
une copie
de l'état
des
dettes
dont
nous
nous
sommes
chargés
par
un
parde
droits
en
payer
une
respectifs
à
qui ajoutée
l'acte
et de la répartition
précité,
ce sujet
entre
ma branche,
celle
let
et celle
de Lenormand.
somme
additionnelle
petite
ce revenu
fut suffisante
le faire
vivre,
pour
ce premier
devenait
inexéprojet,
dis-je,
cutable
ton opposition,
attendu
d'après
que
la loi 'déclare
de présucque les partages
cession
sont
nuls
toutes
les
parquand
ties
intéressées
Il faln'y
coopèrent
pas.
Suivant
faite
à
de Bel-
ma
branche
a
répartition,
à
fr.
2 sols,
mais
1.457
dans
payer
cette
somme
eu à payer
de suite
je n'ai
150
francs
à la veuve
Guérin.
que
Quant
aux
trois
autres
créanciers,
j'espère
qu'ils
ne
seront
décès
de
notre
payés
qu'au
grand
208
cette
père,
époque
où
nous
jouirons
sans
APPENDICE
aucune
aurons
de notre
charge
de facilité
plus
et
portion
nous
pour
où
nous
acquit~
ter.
ma chère
Enfin,
aussi
favorable
à
est
et
possible,
vente
est
cette
Sophie,
notre
communauté
qu'il
bien
certainement
les
les charges.
A la vé-
excèdent
avantages
le traité
rité
faisant
suite
à cet
acte
par
de
nous
nous
à faire
vente,
engageons
à notre
sa vie,
une
pendant
grand
père
annuelle
de 940
francs,
pension
qui ajoutés
aux
du
260
francs
montant
revenu
de
Monnière
Lenormand
seul
est
que
de lui
forment
la
somme
payer,
obligé
de
1~200
avons
francs,
que nous
jugée
ses
suffisante
à tous
bepour
pourvoir
ci à 'compter
940
francs.
soins
par an
Mais
940
il
francs
convient
ce
du
le
de
sur
ces
déduire
nous
retirerons
chaque
revenu
du
bien
de
Stêtre
produit
général
peut
dont
on
mais
francs,
année
que
dont
Fiacre,
de
à
12
1400
est
d'abandonner
obligé
moitié
le mettre
pour
les engrais
devenus
coûtent
beaucoup
venu
environ
640.
Reste
à
avancer
au
fermier
en
état
de
et
du
indispensables
ci pour
moitié
pour
la
faire
qui
reles
compléter
940
300.
Dans
somme
de
300
laquelle
ma branche
le tiers
ce
supporte
francs
à payer
100
annuellem'ent
francs
qui fait
à notre
Madelon
et moi
et
père
par
toi,
chacun
de nous
33 francs.
encore
il nous
a abandonné
36 barde vin dont
le produit
nous aidera
riques
soit
nos
frais
de
parbeaucoup,
pour
soit
lui payer
sa pension
juspour
tage,
grand
pour
Et
qu'aux
vendanges
II
résulte
de
toute
l'exactitude
prochaines.
cet
aperçu
établi
avec
ce
possible,
que
que
à nonous aurons
à payer
année
chaque
tre
nous
père
en sus de ce que
grand
n'excédera
francs.
toucherons,
40
pas
Tu
vois
aussi
cet
le
par
aperçu
que
revenu
de Monnière
n'était
pas
compris
dans
les
700
francs
portés
approximativement
dente
que
mier
ration
faire
St-Fiacre
dans
ma
précéet que
cette
somme
ne fait
du revenu,
le ferpuisque
de l'autre
en considémoitié,
est
de
dépenses
qu'il
obligé
pour
lettre,
la moitié
jouit
des
pour
graisser
les
vignes
qui
de-
puis
nombre
été.
Ainsi
maintenant
pas
ne
le
revenu
total
de
12
à
donc
point
environ
20.000
n'exagérais
ce bien
même
persuadé
rait
d'années
de
l'avaient
pourrait
1400
quand
francs.
qu'actuellement
à le vendre
peine
point
donc
francs.
être
Je
j'estimais
Je
suis
on
n'au18.000
francs,
Mr
Gareau
a
vendu
puisque
16.000
francs
le sien
qui n'est
pas
plus
considérable
le
et
était
en
que
nôtre,
très
Le
mauvais
état
le vendit.
lorsqu'il
au contraire,
est en bon
et à
nôtre,
état,
fin
la
de
la
nous
en
ferme
pourrons
avec
prendre
nous-mêmes,
l'exploitation
d'autant
rapport
crifier
sera
en bon
plus
qu'il
d'avantage
et que
nous
à san'aurons
plus
à un fermier
la moitié
du revenu
le cultiver
et l'améliorer.
dernier
aux
calrépond
paragraphe
pour
Ce
culs
que
Je
me
tu fais
ta dernière
lettre.
par
résume.
Cette
vente
est
légale
est
la
autorisée
loi
parce
par
qu'elle
de
elle
ne blesse
les
intérêts
personne.
les trois
branches
LenorBellet,
puisque
mand
et Trebuchet
y participent
pour
une
et que
n'en
personne
égale
portion,
est écarté
elle n'est
surprise,
point
puisdeux
mois
il en est question,
que
depuis
et que d'ailleurs
que tu en as été informé
notre
raide toute
sa
père
jouit
grand
à ton
elle
n'est
faite
excluson
point
ni pour
te nuire,
article
sion,
puisqu'un
du traité
à même
te met
d'y
participer.
Ainsi
donc
si tu refuses
concourir,
d'y
c'est
onéreuse
plus
que tu la trouveras
et nous
ne pourrons
être
que
profitable,
accusés
qu'il
à nous
d'avoir
agi
aura
dépendu
à
ton détriment,
de
toi
de
te
puisréunir
des avantages
qui peuvent
cet
dont
Mr
Anacte,
ainsi
t'envoie
lui-même
gebault
copie,
que
du
lettre
traité
en est
la suite,
qui
par
mettra
à la
ce
te
qui
chargée
poste
à même
de
une
détermination
prendre
connous
te prions
de nous
faire
que
naître
avant
le
de
ce
terme
28
mois,
du
délai
t'est
fixé
le traité.
Je
par
qui
désire
tes
intérêts
et les
beaucoup
pour
car
nôtres
soit
favorable,
que ta réponse
pour
résulter
jouir
de
si elle l'est,
tout
en conservant
tes droits
dans
tu t'éviteras
et
les biens
paternels,
à
nous
les
frais
de
separtage
qui
–20H
27
APPENDICE
raient
considérables
si
nous
étions
obli-
ce
juridiquement
que
partager
de faire,
car
norefus
nous
forcerait
tre
intention
est d'en
finir
et de connaîet
tre
nos
droits
d'une
manière
certaine
nous
connaissons
maintenant
que
légale,
gés
ton
de
nos
charges.
prendre
part
tout
ce
qui
d'indivis
plus
Si donc
à la vente
tu
ne
qui
veux
point
nous délaisse
est
nous
n'avons
paternel,
avec
toi que pour
les biens
dont
la succession
est
ouvermaternels,
te depuis
et que
cela,
d'après
longtemps,
à faire
le code
civil
nous
autorise
partager de suite.
Ton
toutes
meront
biens,
Traité
celui
aurait
adhésion
à cette
vente
aplanira
les
difficultés.
Nos
estiexperts
et partageront
de suite
tous
les
dans
le
ainsi
est
qu'il
expliqué
et les
lots
se
tireront
au
toi
et
m'écherra,
qui
chacune
un tiers.
vais
de mon
pour
preuve
sort.
Dans
Madelon
y
désir
de
Je
à
tout
concilier
et de te voir
participer
nos arrangements
de famille,
te faire
une
fixer
tes incertitudes
proposition
qui doit
me
et détruire
tes objections.
Je
charge
d'administrer
la portion
sera
définiqui
tivement
à ma
le
branche
assignée
par
à intervenir
nous
j'agirai
pour
partage
les revenus
et produits
je recevrai
trois
et je me chargerai
de toutes
les charges,
etc.
mais
comme
ces
revedépenses,
nus
seront
faire
face
à
insuffisants
pour
attendu
toutes
ces
il est
dépenses,
que
faire
les avances
de
je serai
que
obligé
ma
me seront
rembourpendant
gestion,
sées
toi
et notre
sœur
votre
par
pour
et cela
seulement
au décès
de notiers,
tre grand
où je vous rendrai
père, époque
à chacune
mon
à
compte
qui présentera
la recette
tout
ce que
retirer
j'aurai
pu
de nos
biens
communs
et à la dépense
les
de
etc.
pension,
frais,
payements
dettes
même
que
le tout
appuyé
et
justificatives
me reviendra
par
soit
sur
imputé
se trouveront
qui
j'aurais
de pièces
je consens
le résultat
pu
et
acquitter
quittances
ce
que
qui
de la Balance
vos
portions
respectives
d'autant
réduites.
a l'avantage
de con-
Cette
proposition
cilier
tes
intérêts
avec
à notre
utile
père,
grand
ser
un sol, tu coopéreras
ton
et
à
désir
d'être
sans
débourun projet
in-
2~0
et la conl'amélioration
dispensable
pour
servation
de ses propriétés
nos
qui entre
mains
seront
mieuxsurveillées
et pourront
un jour
nous
plus
dédommager,
par
de valeur,
des
sacrifices
nous
petits
que
sommes
de faire
obligés
aujourd'hui.
Si tu acceptes
cette
tu sens
proposition,
faut
tu m'envoies
sans
délai,
qu'il
que
ta
dont
le
modèle
est
ciprocuration
Tu
m'as
finissait
d'Hugo
si tu as le droit
écrit
la procuration
que
le ler août
ainprochain,
de me transmettre
main-
joint.
tenant
tes
avant
ponse
nouveau
et
pouvoirs,
le 28
délai
du
t'est
qui
Lettre
de Sophie
Hugo
Trébuchet.
Inédite.
ta
j'attends
terme
courant,
accordé.
à son
frère
rédu
Marie-Joseph
/'oW.<, 19 .<e/XeM&?-e1810.
Je
bien
à ta douleur,
mon
prends
part
cher
et quoique
avancé
de noami,
l'âge
tre
eut
du
nous
laisser
peu
grand
père
de le conserver
encore
d'espérance
longon n'est
de cetmoins
temps
pas
frappé
te
subite
et éternelle
d'avec
les
séparation
c'est
une
des
souffransiens
grande
ce de l'humanité
et que
homme
chaque
doit
ressentir
d'une
fois
dans
sa vie
plus
les objets
de ses plus
tendres
afpour
ce que
lui-même
fasse
fections
jusqu'à
à son tour
ceux qui restent
pleurer
après
lui
tâchons
donc
de
nous
soumettre
à
cette
Je
geante
chez
serait
je ne
nécessité
cruelle.
te remercie
bien
de
l'offre
oblitu
me
fais
d'un
que
logement
toi
si j'allais
à Nantes,
cela
me
très
et bien
certainement
agréable
mais
il ne
descendrais
pas ailleurs
m'est
tuellement
ver
et
pas
alors
connaissance
désire
depuis
tu
voir
que
de
Paris
acquitter
le pourrai-je
cet hile plaisir
de
faire
j'aurai
avec
ta
famille
ce
que
je
le pouje t'envoie
longtems
me
demande.
possible
peut-être
Adieu,
mon ami,
sincère
amitié.
ma
HUGO,
porte
née
toi
bien
et
TRÉBUCHET.
crois
à
APPENDICE
Mes
enfants
moi
et
sons
tous.
Je soussignée
se
de
Joseph
nous
embras-
de
an
et dernièrement
12
pluviose
par
Bellet
et moi
comme
fondé
de
pouvoir
de nos
ont
à l'esco-intéressés,
procédé
timation
et ensuite
aux partages
des biens.
Tu
te rappelles
ma
chère
sûrement,
TREBUCHET
époului
autorisée
par
frère
Marie
Joseph
Sophie
HUGO
à mon
donne
vous
pouvoir
TREBUCHET
de me
dans
les
représenter
affaires
de la succession
de notre
grand
René
d'apère
LENORMAND
promettant
vouer
tout
ce qu'il
fera
Paris
le
HUGO,
Lettre de Marie-Joseph
inédite.
Nantes,
MA
CHÈRE
19
septembre
née
du
6 juin
sœur,
que par ma lettre
1809,
t'ai
je
prévenu
que poussés
par les motifs puissants
fait
connaître,
que je t'avais
nous avions
tout en regrettant
de te voir
de notre
acquis
tous
ses biens
grand
père
personnels
par
acte
du
et traité
28 mai
1809
du même
dont
Mr.
avoue
jour
t'envoyer
Angebault
et
lettre
à la poste,
copie
par
chargée
moi
aussi
l'état
des
detje te fis passer
à 4371
tes de notre
montant
francs.
aieul,
Pour
te déterminer
à te réunir
à nous,
je
t'offris
la même
de faire
par
lettre,
pour
toi
comme
notre
soeur
Madeleine,
pour
persister
1810
TREBUCHET.
Trëbnchet,
il Sophie
«ot'em&t'e
le
Hugo.
1810.
SOPHIE,
fut
que
la
la
timbrée
et
j'ai
remplies
régulariser.
vente
a eu
forenregistrée,
et qui
ont
sufle tarif
des
Après
lieu
le 5 novem-
scellés,
bre jour
annoncé.
Tu
verras
le compte
de la vente,
par
?
1
le
restant
à
ci-joint,
que
parentre
les enfants
de la 1~ commutager
nauté
toutes
déductions
n'est
opérées,
que
de
fr.
70.
Je
ne
340
t'envoie
que
pas
du procès-verbal
de cette
venexpédition
te afin 'de t'éviter
des frais,
mais
tu pourras
en
faire
communication
prendre
tu voudras.
Pouponneau
quand
Etant
de notre
intérêt
de régler
miner
toutes
nos
promptement
dès
le
22
octobre
nos
dernier,
arbitres
nommés
par le règlement
onéreux
et
profitable
plus
que
que
ne voulais
les
point
partager
risques
nous
courions
de
si
notre
que
perdre,
angrand
père eut vécu encore
plusieurs
nées.
te
tu
ma
chère
Néanmoins,
Sophie,
aujourd'hui
n'existe
que mon
pauvre
père
grand
et que
la vente
dont
il s'agit,
plus,
présente
de l'avantage,
l'intention
de notre
sœur
et 'de moi,
est
tu
participes
que
comme
nous
aux
bénéfices
qui
peuvent
en résulter.
En conséquence
il te revient
un
tiers
'dans
ma
des
biens
portion
paet de
ternels
acquise
par moi et Madelon,
aussi
un tiers
dans
ce qui revient
a.
plus
chez
et
refus
été
faite
et qu'au
consecrètement
point
traire
toutes
tentatives
ont
été
failes
tes
de toi
te déterminer
à
auprès
pour
à la condition
bien
enteny concourir,
du
à
comme
tu
nous,
que
coopérerais
la charge
et à acquitter
la detsupporter
résultant
te,
de
cette
vente.
obligation
Ton
à cet
du
obstination
a donc
égard
nous
tu trouvais
cet
acpersuader
que
'de
se
contenter
de
celle
paix
que
m'avais
et il
adressée
précédemment
est
déterminé
en exigeant
seulement
s'y
qu'elle
malité
fi pour
ton
toutes
les avances
et payements
nécessaires à l'exécution
de nos engagements
avec
notre
tu
me
rembouret que
grand
père,
serais
seulement
à son décès.
Tu as laissé
cette
lettre
sans
et
certes
réponse
faite
nous
des
biens
l'acquisition
par
paest
de'ce
ternels,
indépendamment
qu'elle
n'a
rien
de contraire
à la délicalégale,
tesse
et à la plus
sévère
probité
puisque
a
n'en
été
exclu
n'a
personne
qu'elle
Dans
adresl'espérance
que tu m'aurais
sé
une
autre
authentiprocuration
plus
nous
avions
fait
annoncer
les
que
par
feuilles
la
vente
des
meubles
publiques,
le 5 de ce mois
le frippour
l'huissier,
et le juge
de
étaient
pier
paix
prévenus
et tout
était
préparé.
cette
nouvelle
N'ayant
point
reçu
procuration
et ne pouvant
différer
cependant
la
et fait
le juge
vente,
j'ai
prié
prier
de
tu
dans
ter-
affaires,
experts
du mois
2dt
APPENDICE
notre
de
branche
dans
les
biens
la
communauté
première
estimé
arbitres
ayant
séparément
communauté
ainsi
de
chaque
droits
maternels
les
experts
les biens
tu le
que
du
l'extrait
procèsci-joint
par
fad'estimation
A~* 2, il .a été
un droit
les biens
cile d'établir
dans
pamateret dans
la portion
ternels
acquis
la
communauté.
nelle
de
première
nos
droits
est
claiCe
de
règlement
verras
verbal
rement
voie
fait
par
A~°
copie
le
3.
partage
Bellet
dont
je l'enétant
et moi
de Lenoraux
( ?) droits
ainsi
te
sa
tante
je
que
à la fin
de cette
et
lettre,
l'expliquerai
en qualité
de
de plus
.vous
représentant
il
a paru
aux
vos
fondés
de
pouvoir,
aussi
arbitres,
simple
qu'avantaexperts
faire
seuaux intérêts
communs-de
geux
l'un
lement
deux
lots
des
biens,
pour
à
sauf
à nous,
l'autre
moi,
Bellet,
pour
personnellement
mand
et
de
dans
faire
raison
de votre
portion
établis
et rélot suivant
vos droits
à la fin du
II résulte
de
partage.
glés
tu
es
ce
comme
Madelon,
partage
que
fr.
dans
mon
lot
1397
intéressé
1° pour
des biens
ton tiers
dans
une
pour
portion
vous
notre
ci.
paternels
acquis
Et
2° pour
1145
ton
tiers
dans
pour
revenant
à une
tion
dans
les
la première
1397,88
fr.
16
la
porbranche
de
maternels
biens
communauté
dans
par
résultat
à
les
moi
toi
à me
avances
et dans
de
l'acte
à
laissent
lot,
de
char-
ma
6.4
ternels
et
maternels.
A la suite
de quoi,
(1).
de toute
solde
ou compte.
à notre
tu
as
Participant
acquisition
tu n'audroit
à 2006
fr.
6.4
autrement
fr.
rais
droit
94.
1451
qu'à
Il
détaillé
arrifait
un
compte
pour
RESUME
tu es exempte
ver
à
ce
résultat
frs.
555
et
il
lui
prouve
qu'elle
gagne
dans
touII y a eu grande
exactitude
tes
ces
Si tu veux
discuter,
opérations.
à deux
arbien
m'en
je veux
rapporter
bitres.
II s'agit
du mode
de paiemaintenant
fr.
Si
tu veux
des
ment
des
2006
6.
biens
il y aura
des
frais
fonds,
d'experdu
tise
occasionnés
le morcellement
par
intérêts
lot.
Je
te compter
juspréfère
de la somme
paiement
qu'au
sur
biens
à moi
échus.
Tout
de
de
cela
fr.
est
compté
quand
592
90
363
fr.
90.
La
maison
principale
revenu
net
mais
je n'en
elle
sera
hypothéquée
un
sur
en
réalité
rapporte
retirerai
commode
pour
revenu
il est
229
pas
l'exploita-
fr..
un
Grand
Total.
Sauf
mon
fr.
dont
une
somme
2006
ge
définitivement
redevable
je te suis
pour
solde
de tes droits
soit
comme
acquéreur
les
biens
soit
comme
héritier
dans
pa-
sol
tion.
à..
dans
ta portion
rembourser
faits
et les
payements
les
achats
(échanges)
vente
du
28
mai
de
1809.
Toutes
et
sont
détaillées
ces dépenses
redans
le compte
je te
justifiées
que
aussi
les reA~° 4 lequel
mets
présente
aux
cettes
faites
relativement
que
j'ai
est
article
biens
dont
il s'agit.
Chaque
nécesde notes
ou d'explications
appuyé
Les
saires
à l'intelligence
de mon
travail.
sont
au
même
au
soutien
jointes
pièces
à notre
sœur
et je te les
rendu
compte
le désires.
si tu
ferai
passer
le résultat
de ce compte
chacune
Par
fr.
18.8
déde vous
me
doit
563
qui
de
ses
des
fr.
4 montant
duits
2543
-2i2-
avait
aussi
des
dettes
pour
père
600
dus
à divers.
Nous
voulons
francs,
les payer
mais
ai pas
fait
compte.
je n'en
nous
avaient
Lenormand
et notre
tante
à Bellet
tous
leurs
droits
cédé
et à moi
dans
les biens
de St-Fiacre
(et il expliTon
la cession).
opposique
longuement
fit que
tion
aux
je ne t'en
arrangements
ai
Madelon
ne voulut
point
point
parlé
Bellet
non
son
fardeau,
plus
augmenter
les
chances
et
moi
nous
avons
couru
nous
devons
seuls
des avanalors
jouir
des
chandédommageront
qui nous
tages
des
ences
des
fonds
avancés,
courues,
gagements
pris.
te
Je
rappelle
voir.
venir
nous
(i) Nous donnons,
succinct.
résumé
l'espérance
Je
végète
pour
la
fin
donnée
de
à la Préfec-
de cette
lettre,
un
«
APPENDICE
du Secrétariat
chef
ture,
quoique
appoinen
tements
modiques.
Accepterais
place
si tranquillité
renaissait
dans
ce
'Espagne,
si place
en France,
serais
encore
pays
heureux.
Fais
connaître
tes
intenplus
tions
sur cette
lettre.
à 'Hugo.
Bonjour
de
t'assurer
de ma
bien
sincère
amitié.
Aussitôt
arrivée
à Madrid
et
je t'écrirai
te donner
de
bonnes
j'espère
nouvelles,
crois
bien
fois
tout
là,
qu'une
je ferai
mon
te tirer
de ta pénible
possible
pour
ne me
tu m'écriras
position,
quand
parle
Lettre
de Sophie
Inédite.
Hugo
a Marie-Joseph
point
que
je
Adieu,
moi
ma
de nos
de
arrangemens
ne t'en
la première.
parle
cher
embrasse
frère,
tes enfants
et crois
sœur,
vif désir
attachement
et au
que
t'être
utile.
Je
t'embrasse.
Trébur.het.
mon
~Sa~O~Mm~e~~O~~
mon
J'approuve,
rangements
pris
dit plus
tôt sans
ma
retenu
quinze
tu m'enverra
lit,
Ta
cher
tous
les arami,
toi et je te l'aurais
par
une
douleur
de rins
qui
dans
mon
clouée
jours
Ne
reste
te voir
bientôt
je, compte
tout
à loisir.
causerons
de
cela
mes
enfants
embrasse
t'embrasse,
moi
ta femme
et tes enfants.
HUGO
à.
née
notre
et
nous
Adieu,
rendre
pour
de
au
TREBUCHET.
pas
notre
auprès
sœur
de nos
et Madame
parens
Ma-
sœur.
mon
rejoindre
le
je n'ai
que
le 24 décembre
Général
Quartier
de
l'assurance
Monsieur,
MINISTRE
le
Ministre
en
L'Inspecteur
crétaire
Général.
Hugo à son frère Marie-Joseph
place Delorme, près le BouleLoire-Inférieure.
demain
part
pour
mon
cher
et
ami,
à Monsieur
le
~N~.
Lettre de Lebarbier
Revues & Monsieur
matems
DE
et
Chef
LA
~3
Gran-
le
Monsieur,
compte
duquel
de
son
ordre
par
aux
Revues,
de Rinard,
Trébuchet.
Général
vous
me
ma
GUERRE.
inspecteur
26 décembre
Trébuchet
a mis la note suivante
(<) Marie-Joseph
«J'ai
cette
lettre le 25 décembre." o
reçu
sur l'original
la
Armée.
Recevez,
considération.
TREBUCHET.
jPar~,9mf!M~
ri,
née
vous
m'avez
invité
à
vous
Monsieur,
Mr.
faire
connaître
devenu
qu'est
Hugo,
était
Maréchal
de
au
service
qui
Camp
l'honneur
de vous
J'ai
préved'Espagne.
nir qu'il
est du nombre
des
officiers
qui
étaient
au service
de sa Majesté
Cathoet
à passer
à
ont
demandé
lique,
qui
à se
celui
de France.
Il a été
autorisé
Pour
Je
HUGO
Paris
LE
Lettre
de Sophie
Trébuchet,
n°
vard, à Nantes,
sœur,
Let.tre du Ministre
de la Guerre,
Préfet de la Loire-Inférieure.
pays
cy, ce n'est
qu'en
Espagne
te faire
aie
donc
un
qu'il
pourra
placé,
de patience
et sois
sur
peu
que
je travaillerai
de manière
il sera
tems
quand
les
t'offrira
que
avantages
que
l'Espate
de
la
au
France,
gne
dédommagerons
amitiés
pour
à mon
de
j'ai
une
ce
Mille
m'oublie
en particulier
this.
reconnaissance
des
deux
mille
aux
intérêts
francs,
quant
qu'il
n'en
soit
la
et
si
pas
j'étais
question,
t'abandonnerais
même
le
maîtresse,
je
le pourrai-je
un jour,
priricipal,
peut-être
au
reste
sur
mon
cœur
et
repose-t-en
mon
amitié
toi.
pour
Le
crédit
mon
ne
rien
de
mari
peut
dans
famille
Se-
aux
.<?.
sur
Hugo,
demandez
le
des
APPENDICE
renseignements
ce mois,
était
eu
j'ai
nes
vu parce
pas
chez
moi
au
meure,
est
encore
se trouve
J'ai
votre
par
à Paris
il
du
lettre
y a trois
sa
mais
me
visite,
que
je
il ne m'a
de
moyen
de
vous
saluer
avec
une
considération.
parfaite
LEBARBIER
de
RINARD.
Lettre
du générât
Lucotte à Monsieur
Trébuehet,
chef du Secrétariat
de )a Préfecture~
i, place
Nantes.
Déforme,
let
lettre
de
que
m'écrire
vous
le 28
à
le
Général
Hugo
et n'a
pas
quitté
dans
la
même
est toujours
son
poste
maison
que
des
je n'ai
pas
reçu
longtemps
du général
mais
Hugo
je sais
bien
sa
femme
consacre
porte.
ses
moments
à l'éducation
de
ses
fils
seront
d'excellents
qui
sujets.
Depuis
nouvelles
se
qu'il
l'assurance
Monsieur,
Agréez,
mon
estime'.
Votre
Le
très
dévoué
Lieutenant
de
n Adolphe
20
/~<
MON
CHER
Trehuehet
avril
(~.
1820.
ADOLPHE,
Nous
n'avons
tardé
si longtemps
à réà l'aimable
lettre
nous
avons
pondre
que
nous
désirions
enreçue
que
parce
que
à Nantes
un
du
voyer
exemplaire
premier
volume
du
Conservateur
littéraire,
la poste
refusant
de se charger
des livraisons
II accompagne
cette
séparées.
lettre.
En vérité,
embarrassé
mon
mes
cousin,
cousins
mon
cher
cousin,
je suis bien
la commencer,
à
j'écris
pour
à
si j'écrivais
collectivement
serais
moins
je
empêché,
le
Thionville
demeure
je
Madame
dont
la famille
est liée
à
Hugo
la
mienne
cru
devoir
remettre
à
j'ai
votre
sœur
la lettre
à son mari
adressée
et lui communiquer
celle
vous
m'aque
vez écrite
Elle
va vous
donner
les
détails
vous
intéressent
sur
leur
comqui
mune
situation.
tous
trois
Hugo
juil-
dernier.
Monsieur
Abel
m'a-
MONSIEUR,
la
de
mais
ici
me
Pour
l'expression
manque.
des parents,
des amis,
vous
me sempour
ble
le
donc
trop
cérémonieux,
je prends
de t'écrire
comme
si je t'eusse
parti
déjà
vu et pour
commencer,
je te dirai
que ta
lettre
nous
a fait
à mes
frères
et à moi
.?aoM<4.
Je
à
réponds
vez fait
l'honneur
lettre
pas
des'il
sa
pas
indiqué
quoi
je ne sais
ou
où
non
j'ignore
et ses enfants.
Hugo
à Paris
Madame
l'honneur
ne
je
trouvais
18 de
semaine
l'ai
toute
serviteur,
Général,
vif plaisir,
eux-mêmes
plus
posent
Nous
avons
connaître
ne
nous
et tu ne
que nous
servateur
se proqu'ils
témoigner.
désiré
beaucoup
dont
notre
mère
plaisir
de
te
toujours
des
parents
a jamais
éloge,
parlé
qu'avec
nous
aurais
écrit
le premier
pas
aurions
saisi
l'occasion
du Con-
faire
connaissance
avec
pour
on est si heureux
de trouver
des amis
toi
les personnes
à
parmi
déjà
qu'attachent
nous les liens
du sang.
J'écris
cepter
teur,
nistériel
ce dans
à
mon
oncle
le prier
d'acpour
aussi
un exemplaire
du
Conservade
tout
miParis,
(si le Journal
confianest,
mérite
qu'il
quelque
ses assertions),
il s'occupe
quelde
sciences
et
de
littérature,
quefois
je
désire
donc
cet
lui
soit
que
ouvrage
L'autre
t'es
destiagréable.
exemplaire
né et tu auras
bien
la petite
complaisanà tes sœurs,
ce de le prêter
que je te
d'assurer
de mon
amitié.
prie
LUCOTTE.
12 mai
en a donné
1886,
quelques
avons
mises
entre
crochets.
A cette
lignes
lettre
une lettre
de Victor
trouve
qu'on
dans
la
très
incomplète
Correspondance
1815-1835,
en
la reproduisant,
6-7.
Le ft~aro,
n'a
commis
pp.
faute
insignifiante.
qu'une
(1)
-2i4-
Le
f:ya?'o,
nous
que
était
jointe
APPENDICE
ton droit
à Rennes,
l'Eco[Tu vas faire
le y est,
bien
dit-on,
j'aimerais
libérale
mieux
te voir
étudier
à Paris
deux
pour
raisons
1° parce
que les royalistes
y sont
en
assez
une
2"
grand
nombre],
pour
raison
besoin
de te dire.
que je n'ai
pas
te souhaite
à Rennes
Je
néanmoins
tout
le succès
dans
tes études.
possible
Si tu as quelques
à
commissions
petites
tu me prouveras
en m'en
Paris,
chargeant
cela
des
du
succès
le
chose,
voyez
qu'une
causer
à
maman,
peut
nous
sommes
Adolphe,
moins
vous
plaisir
ah
frères.
que
mon
n'y
cela
cher
écrivez
nous
non
Ecoutez,
souvent,
pas
à tous,
cela
est si froid,
mais
à chacun,
tantôt
à l'un
à l'autre,
afin
tantôt
que
nous puissions
et que nous
nous connaître
rien
à nous
le jour
n'ayons
apprendre
où
il nous
voir.
sera
de
nous
permis
à mon
amique tu attaches
quelque
prix
tié.
Je réclamerai
de toi le même
service
si j'avais
chose
à demander
à
quelque
ou à Nantes,
des livres
Rennes
par exemple.
Tu
n'as
la même
raison
nous
pas
que
Et
vos
nos
aimables
sœurs,
cousines,
assurez-les
bien
de notre
sincère
affecet
surtout
cette
Mademoition,
grande
selle
écrit
si
ditesbien,
Joséphine
qui
lui
nous
son
n'avons
oublié
que
jamais
les
lettre
'de
et que
dans
1815,
aimable
faire
attendre
ta
pour
réponse,
j'espère
la mienne
donc
la recevoir
suibientôt,
vra
promptement.
En
attendant
te le dire
que
je puisse
de
vive
voix
crois
moi
diverses
Ton
Lettre
de
Inédite.
Eugène
Hugo
sincère
ami,
ABEL
HUGO.
vés
à
pectueux
terprète
sincères
blissement
P.S.
COUSIN,
Vous
ne sauriez
croire
avec
joie
quelle
nous
avons
votre
lettre
et combien
reçu
nous
il est si doux.
en avons
été touchés
de
nouveaux
de
se
sentir
attaché
par
ne
liens
à la terre
et de voir
nous
que
tout
à fait
seuls
dans
sommes
pas encore
la
hucette
solitude
de
société
grande
maine.
Vous
nous
offrez
votre
brave
avec
ah
nous
homme,
jeune
l'acceptons
une
vaibien
de la joie,
non
comme
pas
de
ne
de
convenance
et
formalité
pomais
un noble
traité
d'alcomme
litesse,
à traverser
liance
afin
de nous
aider
coula vie,
ainsi
rageusement
entre
qui s'estiment
gens
dans
les
me
coule
sang
Vous
nous
de
parlez
vous
êtes
bien
téraires,
amitié,
convient
qu'il
et à qui le mêveines.
nos
bon
époque,
a été
un
de
sommes
de
ne
travaux
litde nommer
-215-
trou-
nos
plus
pouvoir
Adolphe,
tante
de
y
assurer
no-
notre
être
resl'in-
des vœux
le réta-
ami,
E.
mon
CHER
nous
attachement
et surtout
de notre
tante
auprès
nous
formons
pour
que
de
sa
santé.
Adieu.
Votre
~)t)!oM?Kat~MO.
MON
cette
où
grands
regrets
répondre.
mon
cher
Veuillez,
tre
oncle
et
notre
Trebuchet.
Adolphe
situations
Maman
et
oncle
quelques
tail.
jours
Lettre
de
dite~).
Abcl
fait
à
ses
toute
lui
elle
Hugo
HUGO.
compliments
sa
famille,
répondra
a Adolphe
à
dans
en
dé-
Trebucl'et.
Iné-
~5 mn< ~S~O.
Maman
faut
ne
lettres,
sur ce
mon
cher
Adolphe,
qu'il
les gens
de ses
pas assommer
d'être
de
son
avis
loin
je suis
dit,
mais
j'attendais
qu'elle
point;
à
vous répondre
vit à ton père pour
doit
le faire
de jour
les
deux.
Elle
même
d'écrire
et
se
jour
propose
mais
dans
l'incertitude
du
longuement
écritous
en
très
jour
d'une tcUr'ti du VicLor
()) KHect.u.it a'~iupag~Hu
dans
/K
T'Yf/at'n. )2 mai ~8Sfi.
<)u'on trouve
APPENDICE
où
cide
elle
à
commencera
la
Mes frères,
été
moins
ton
amitié,
sa
lettre
de
me
je
la
dé-
Lettre
mienne.
précéder
cher
n'ont
Adolphe,
pas
à tes
sensibles
louanges
qu'à
de ses amis
est
l'approbation
de
dans
le monde
et fait
plus
faire
mon
beaucoup
d'un
étranger,
quoiplaisir
que les éloges
soit
souvent
moins
désintéressée
qu'elle
Au reste,
ce
car
l'amitié
parfois.
aveugle
en mon'est
à me
pas à moi
répandre
tout
ce que
destie
mes
frères
et
pour
te
dire
c'est
nous
devons
je
puis
que
un grand
au Conservateur
toujours
plaisir
où nous
a pu approcher
1 époque
puisqu'il
à
avons
commencé
si
bons
parents.
Je
t'ai
envoyé
correspondre
avec
de
un
du
preexemplaire
encore
mier
volume
et si je ne t'ai
point
c'est qu'il
du second,
adressé
des livraisons
la fin du volume
faut
pour
que j'attende
de non
timen faire
la poste
partir
par
tu ne perdras
rien
attenbrés.
Ainsi
pour
la xni~
livraison
dre.
Tu
auras
vu par
Victor
mon
oncle
a du recevoir,
que
que
dra
eu
cette
n'avait
est
année
encore
ce
Mon
ma
29
nia:
1820.
tu connaissais
Tin
Adolphe,
d'une
le danger
mère,
quiétude
que cause
la douleur
de l'amalheureux
tu connais
des
convoir
tu nous
demandes
perdue,
cher
hélas
mon
ami,
solations,
quelles
auconsolations
nous
te donner
pouvons
tres
nous
les larmes
répandrons
que
de mère,
avec
Tu
n'as
pauvre
plus
et des
consolations
Adolphe,
n'apaiseront
ta douleur.
Il faut
savoir
la supporter
pas
montrer
toute
soit.
Tu dois
pesante
qu'elle
de courage
qui sont
plus
que tes sœurs
ta
que
toi.
et
à
tes
sœurs
de la
tu
auxquelles
de
l'hommage
sans
cesse
à
présent
de saine
morale
principes
t'a
donnés.
Fais
qu'elle
tu
se qu'en
faisant
bien
mère
absente.
Tu
ne te
tu
facilement
mais
plus
voyafaits
mère
montreras
tes
succès,
ta
mémoire
lir
les
de la
orages
embarrassé
de
seras
à ce que
re,
pense
mère
et fais-le.
lettre,
plus
mon
présente
aie
les
et de
probité
et
le bien
penfais
à ta
plaisir
consoleras
pas
auras
de
plus
Le souvenir
de
toi un talisman
forces
contre
la douleur.
ta bonne
mère
sera
pour
te fera
traverser
précieux
qui
Vicque
parce
Montor
veut
t'ajouter
mots
quelques
me
de
te préseizsieur
charge
Eugène
en
et moi
ter
ses
respects
je t'embrasse
moi
toute
d'embrasser
te chargeant
pour
A.
HUGO.
famille.
ta
ici
Iné-
cher
Enfin
finis
Trébuchet.
Tu pleureras
l'exemple
résignation.
la solitude
et devant
elles
ta mère
dans
arrêter
les
tu dévoreras
tes larmes
pour
de ton
leurs
ne pas
celles
pour
appeler
0 mon
tu ensois
ami,
père.
courageux,
doutres
dans
la vie par
le chemin
des
d'un
ferme
leurs,
pas
puismarches-y
tu n'es
à
seul.
Travaille,
porte
que
pas
d'aller
embrasser
des
le plaisir
pas
gerai
mais
tout
déjà
tant
parents
que
j'aime
bien
voir
en
désirant
de vous
je désire
la Vendée
n'ait
ce voyage
dans
pas
que
avant
sans
doute
ce qui se décidera
lieu,
peu.
Je
Paris
dois
que j'aurai
remplis.
la Vendée,
J'irai
dans
peutpeut-être
car
sait-on
être
avant
la fin de l'année,
alors
conce qui peut
arriver,
je ferai
Vendéens
sur
naissance
avec
ces braves
à Victor
des
détails
tu promets
lesquels
et alors
tu peux
compter
que je ne néglige
et
à Adolplie
Hugo
des
larmes
ce
ne
sont
pas
ta bienheureuse
mère.
Elle
atqu'attend
tu nous
des
tend
de toi,
demandes
plus
consolations
et tu en dois
à ton père qui
tu en
ses
ne vit plus
enfants,
que
pour
un
sans
doute
mettre
au nombre
des vœux
été
n'auront
qui
pas
Abel
dite(d).
femmes
à Toulouse,
prix
La pièce
concouru.
point
Eugène
dans
la xive
couronnée
insérée
qui
lettre.
Tu nous
suivra
de près
cette
parsi les
desseins
de
les
d'aller
à Nantes
la
maman
mis
à
vous
sont
exécution,
avant
verrez
avec
mes frères
probablement
à moi,
il me faula fin de l'année
quant
avait
de
failet quand
tu
jeunesse
ce que tu devras
fait'aurait
conseillé
ta
ami,
que si
songe
à tes
elle
yeux,
sans
elle
n'en
n'est
suit
à celle
d'Abel.
Le FiVictor
une
lettre
joignit
mai
On
en
trouve
aussi
)'a
donnée
(12
1886).
~<n'o
la Correspondance
des
dans
1815-1835,
fragments
7-8.
pp.
(1)
2)~
APPENDICE
moins
et de plus
toutes
pas
près
les
tions
à toutes
applaudissant
et heureuse
de la vertu
de son
Ton
cousin,
A.
HUGO.
Hngo & Adolphe
Nantes.
fneditc(~.
Trchuchet,
t'écrira
Eugène
de Abel
Delormcn
la
prends
un
ajouter
a vivement
mot
proposent
de
à
à
tout
à
qui
ne
fait
ne
si
tre
serve
j'ai
vos
ils
voyage,
partage
les
fatigues.
son
il
t'écris
n'y
Mr.
qu'au
pour
pas
moi
Vendée
vos
Decaze
a
coûté
en
parti,
et
te
'de présenter
prie
oncle
et d'embrasser
toute
en-
voyage.
que
let-
prochaine
En
mes
est
parce
alors
réponse.
en
beaucoup
n'eût
pas
qu'il
bon
longuement,
ta
mémoire,
m'appartiendra
la
pour
lorsem-
pour
soient
pas
bonne
se
m'y
transportent
vos
excursions
sans
craignait
est
nous
toujours
d'ailleurs,
sitôt
la
départ
on
t'y
vous
environs
de
pas
vivantes
enfin,
Je
de
toi
continue
étrangers,
arracher,
lieu,
avec
bonheur
de
verrai
partager
fin
parti,
ces
attendant
leur
descriptions
et je
idée
à
le
entretenir
moins
et
pour
voyage
messieurs
renouveler
le
En
les
Ton
intéressés
4,
1820.
Victor
d'amitié.
me
je
attendant
à
respects
la famille
réje
mon
pour
moi.
Ton
cousin
et
ami,
MON
A.
CHER
nous
avons
Trébuche),
4 aotit
t,
<SSO.
ADOLPHE,
ta
plaisir
bien
lettre,
(car
que,
tes lettres
nous
sont
quoique
particulières,
la 'description
tu
nous
communes
)
que
fais
de
la
nous
de
l'abbaye
Meilleraye
a vivement
mon
cher
continue,
intéressés
le plus
souvent
te
sera
Adolphe,
qu'il
à nous
donner
ainsi
des
possible
détails
sur
notre
seconde
en
attendant
patrie,
que
ne
juillet
de
lettre
auront
qu'ils
brasser.
;Y Adolphe
Hugo
Paris,
Nous
dernière
demain.
/'a;s-,
Je
bonnes,
fils.
Lettre
de Eugène
place De!orme(l).
sœurs
embrasse
tes
ami,
est impossible
de
et crois
qu'il
à votre
malheur
de
plus
part
de Paris.
parents
prendre
que vos
place
ac-
mon
Adieu,
moi
pour
Lettre
tes
lu
avec
puissions
la
bien
du
tu
sens
parcourir
cette
idée
avec
toi
t'effraie
de
nous
pas
que
sommes
Parisiens
et que l'aspect
des merveilles
de
la
ville
a
dû
nous
grande
du
du
ce
n'est
reste
dégoûter
monde
certes
à
sortis
des
nous,
pas
à peine
à te faire
les honneurs
des
bancs,
pomde
il est
ceux
pes
Paris,
probable
que
mais
sois
qui y vivent,
s'y
amusent,
persuadé
si
nous
un
après
que
soupirons
où
moment,
c'est
nous
celui,
après
quitterons
tout
ce fracas
aller
pour
goûter
de vous
les
délices
de
la camauprès
pagne.
avons
dernièrement
deux
exreçu
homards
nous
avez
envous
que
ils étaient
encore
très
nous
voyés
frais]
ne savons
comment
remercier
notre
oncle
de
ses
bontés
et
de
ses
attentions.
[Nous
cellents
Maman
lui
écrire
incessamment,
compte
elle
n'en
n'est
les emempêchée
que par
barras
du déménagement
dans
elle
lequel
se trouve
depuis
quinze
jours.
à la
de
Paris
l'état
Quant
politique,
est
assez
le gouvernement
a
tranquille
fait un pas vers
le côté
Mr.
Benoît,
droit
l'ami
intime
de Mr.
de Chateaubriant
a
de
été sur le point
d'être
nommé
Ministre
on ne peut
se discependant
ne travaillent
la
que les libéraux
une
des
populace
grande
partie
jeunes
de l'école
de Droit
et de Médecine
gens
dans
les
cabarets
les
se répandent
avec
l'Intérieur
simuler
HuGO.
Cette
)ct.trc
est
connue
encadrée
(1)
parduux
!ct.t.resdt;VicLor.
On les trouve
avec
fjuetfjuusfa.utes
dans
le
du)2ma.~SS(ietda.nsia.Co)'~</a)"o
h'L sont
.<S~5-~S35
mais
)'e.s'/Mti6<<M
(pp.
!)-)))
six
Cinq
lignes
duitosda.ns/e.y<odul2inaji886.
(i)
t.ruamcon<p!utcs.
de
celle
)ct.trc
ont
et,c
rc{H'u-
–2[7
:!S
APPENDJCE
soldats
et tâchent
de les
engager
leur
si les libéraux
ont
le
parti
dans
les élections,
il est
probable
à soulever
parviendront
quelques
qu'ils
légions
la consdu moins
ne peut
ils feront
auxquelles
proclamer
titution
des
cent
tel
est
jours
leur
et le gouvernement
espoir,
guère
s'y
quemment
Il vient
tre
jours
opposer
qu'en
les
de
troupes
d'éclater
il
un
horrible
de
Bercy
fré-
changeant
garnison.
a trois
ou
y
incendie
dans
les
journaux
magasins
en auront
donné
probablement
mais
je ne crois
pas
qu'ils
sent
des bruits
qui courent
de ce désastre.
II
constant
paraît
que
les
mis
a arrêté
dans
dessous
les
vous
détails,
instruila cause
sur
le
annoncent
journaux
des
incendiaires.
quales
vous
feu
même
a
qu'on
du
gens
d'un
commis
cependant
je tiens
la compaThory
lui-même,
que
d'assurances
n'avait
gnie
assuré
que pour
60.0000
francs
de batimens
et avait
refusé
d'assurer
les marchandises.
Il paraît
sensé
de croire
ceux
plus
qui
pagnie
de
Mr.
prétendent
de
Paris
c'est
des
vins
que
l'entrepôt
a fait
mettre
le
feu.
En
qui
effet,
sous
il était
décidé
Bonaparte,
qu'il
aurait
de magasins
à Bercy,
n'y
et
pas
tous
les
marchands
que
de
Paris
seraient
forcés
à la halle
aux
d'entreposer
le Roi ayant
ensuite
de bâvins
permis
tir
des
hors
des
la
magasins
barrières,
halle
aux
vins
est
devenue
inutile
et
l'administration
a été
ruinée.
Au reste,
il faut
n'en
seespérer
qu'il
ra
cette
fois-ci
comme
de
l'incenpas
die
de l'Odéon
de personnes
sont
trop
intéressées
à 'découvrir
la vérité,
pour qu'il
soit permis
à l'intrigue
et à l'intérêt
d'en
encore
une
mon
cher
Adieu,
rerions
bien
pouvoir
en Bretagne
mais
aussi
tu vinsses
que
droit
avec
nous
à
Ton
affectionné
fois
les
indices.
nous
désiAdolphe,
aller
cet
automne
nous
désirerions
bien
cet
Paris.
cousin,
mais
il
en
a fait
tirer
Conservateur],
ses
amis
et
quelques
exemplaires
pour
les
académiciens
de sa
connaissance.
J'oubliais
de te dire
de
ne plus
nous
écrire
à notre
ancienne
adresse,
mais
à
celle-ci
Madame
rue Mézières,
N"
Hugo,
St-Germain.
10,
faubourg
été
Les
port
c'est
la
prétendent
que
compagnie
d'assurances
le coup
qui a fait faire
pour
l'effroi
les
jeter
non
parmi
propriétaires
ils s'appuient
sur le nombre
des
assurés
incendies
est
considérablement
qui
augmenté
l'établissement
de cette
comdepuis
étouffer
Présente
nos
à notre
oncle
et
respects
assure
tes
frères
et ta
sœur
de notre
affection.
Ecris
nous
si tu ne reçois
exactepas
ment
le
Conservateur
littéraire.
[Nous
vous
six exemplaires
d'une
Ode
envoyons
vient
à Mr.
que Victor
d'adresser
de Chaelle
a été
insérée
teaubriand
dans
le
hiver
E.
faire
ton
LeLU'ede Monsieur
Madame Hugo,
.Va;t<<M.
–~8
«ocem&t-e 1820.
Nous
avons
mon
cher
Adolreçu
lundi,
phe, ta lettre
ton heureuqui nous
apprend
se arrivée
et l'accueil
si affectueux
que tu
as
de
nos
bons
reçu
de
Paris.
parents
Nous
avons
lu et relu
ces
dépremiers
tails
de ton
chacun
de nous
a
voyage
été
touché
des
de
ta
tenexpressions
dresse
et pénétré
de reconnaissance
des
marques
d'intérêt
nées.
Tous
nos
et
d'amitié
parents
qu'on
et
nos
t'a donamis
à
ont
aussi
ta lettre,
j'ai
communiqué
enchantés
de recevoir
de tes
nouvelles, particulièrement
la famille
Delajarrietla
te,
famille
Mr.
Cosson,
Delair,
etc.,
etc..
Les demoiselles
Cosson
et Mademoiselle
ont
dimanche
derGergaud,
passé
nier
la soirée
avec
ta sœur
et nous
avons
de toi.
beaucoup
parlé
qui
été
Le
14
de
ce
mois,
au rouj'ai
chargé
à l'adresse
lage
accéléré,
de
ma
sœur,
une
caisse
contenant
des
des
pommes,
et
du
et
châtaignes
beurre,
50
pesant
kilos.
Cette
caisse
arrivera
le 21 au soir,
à Passy,
barrière
de Paris,
chez
'Monsieur
Pasteau,
de
Mr
pour
rières,
HUGO.
Trébuchct. a son fitsAdotpherhex
rue Mcxiercs n" 10. Inédite.
commissionnaire,
entrepositaire
Les
caisses
Bonjour.
expédiées
s'arrêtent
Paris,
maintenant
aux barêtre
ouvertes
et visitées.
pour
Pour
APPENDICE
de celle
l'ouverture
possible
du
moins
ai
ou
je
envoyée,
que
à cette
il est néassister
opération,
pour
ou un de tes
cessaire
tu te trouves,
que
dans
la
cousins
à la barrière
de
Passy,
lettre
du
Dans
ta
22.
journée
première
si
les
tu
me
marqueras
objets
qu'eue
Tu
renferme
sont
en
bon
état.
arrivés
éviter
s'il
à ta tante
de mettre
les
diras
à
à l'air,
au soleil
et même
du feu pour
les faire
sécher
si
server.
Informe-moi
aussi,
le paquet
adressé
que je t'ai
médiaire
de
Monsieur
Thibault,
de moi et les
tenait
une lettre
des
Odes
de
Monsieur
de
l'éloge
la
m'a
Victor.
Richer
de
Sesmaisons
des
Chambre
à une
grande
Cette
dans
Roi
cette
tu
par
abbaye
?
faire
à la
du
s'occupe
et il réu-
rapporte.
connaissance
de
déjà
Mr le Comte
Humbert
Mr
Revelière
à la
et de
ont
été
élus
Ils
Députés.
majorité
nomination
et
au
ler
tour
de
a été
accueillie
le
le
cri
de
Vive
Elle
a été
aussi
nomle plus
grand
le
collège
par
Vive les Bourbons
avec
joie par
apprise
habitants
de
Nantes.
Le
soir
bre
des
au
en
l'enthousiasme
a éclaté
spectacle
de Lauriston,
de Mr le Marquis
présence
rendu
était
du collège,
s'y
président
qui
nouveaux
du
des
accompagné
députés,
du
Lieut.
Gai
de la Division,
du
Préfet,
déUne
Maire,
etc.
loge
magnifiquement
avait
de
et d'emblèmes
corée
draperies
été
On
donnait
Adélaïde
Dupréparée.
du
Duc
de Boret le Berceau
guesclin
à la naissanToutes
les allusions
deaux.
ont
ce de ce prince,
de la France,
l'espoir
été
avec
transport,
malgré
l'opapplaudies
de
factieux
d'une
qui
position
poignée
siffler
au
ont
eu
assez
d'audace
pour
les
commencement
du
spectacle
passade la
famille
de
ges
qui faisaient
l'éloge
enfin
ils ont
été
comnos
mais
Rois
et forcés
de se taire.
primés
par la masse
Tu
que
Mr.
sauras
mon
cher
aussi,
avoir
les
libéraux
après
Colas,
Ngt.,
se sont
rendus,
lui
de
bibliothèque
suivant,
premier
savoir
exemplaires
Il
leur
tête,
chez'
Mr
faire
de
d'une
hommage
en
de
leur
retémoignage
d'avoir
défendu
ce qu'ils
apla liberté
et les droits
dit p!CM/
pellent
La Révolution
nous
a appris
ce qu'ils
enet droits
tendent
liberté
~M peuple.
par
On
commencera
27
novembre
lundi,
rue des Bons
?
1820,
Enfants,
3, maison
la
la vente
des
livres
de
Silvestre,
as
reçu
l'interil con-
voyage
livraison
à
Saint-Aignan,
d'or
coupe
connaissance
châtaignes
la chaleur
et les con-
entendu
ayant
de
ton
relation
la
demandé
qui la contient.
Trappe,
Conservateur
d'un
sur
ouvrage
nit tout ce qui s'y
Tu
as
sûrement
la nomination
de
scrutin.
Haudaudine
est
vous
Adolphe,
diné
chez
Mr
ayant
2i9-
911
Mr.
XXX.
décembre,
Le
vendredi
se
vendront,
du
Histoire
de
Catalogue.
Paris
France
avant
Laureau,
Clovis,
par
1789.
28 in-12,
br.
des
?
912
du Catalogue.
Histoire
trade St-Grégoire
de Tours
Français
duction
de Marolle,
2 vol.
Paris,
1668,
bas.
in-8,
tems
ces
deux
je désire
Depuis
long
des
l'Histoire
ouvrages,
particulièrement
de ~-C/~o/y~
de T'OMIS qu'on
français
toi
ne
trouve
Informe
aujourd'hui.
plus
du prix
de cet
rends-toi
à
réel
ouvrage,
et tâche
la vente
le jour
que je t'indique,
de
l'avoir
à un
raisonnable.
prix
on vendra
ausLe samedi
25 novembre
un livre
au
même
lieu,
si, dans~Ie
porté
et
?
du
de
Mr
584
D.t,
Catalogue,
intitulé
Usages
Poullin
de
par
12.
Fais
~Q?H/-x
des
/YaMc.'K~,
et
inLumina,
Paris,
1769,
à un
de
l'acheter
me
feras
connaître
prix
et
différents
le
montant
de
ces
livres,
toucher
la première
te le ferai
par
je
à Mr
le
occasion.
N'oublie
d'écrire
pas
de
ses
bontés
Préfet
le remercier
pour
du
à m'instruire
aussi
toi, et pense
pour
aussi
en
raisonnable.
résultat
Nous
sorte
Tu
démarches
pour
Auguste.
une
lettre
de toi après
12 jours
demain.
Je t'écrirai
dans
10 ou
de nos
te donnera
nouvelles
Joséphine
la semaine
Je te
ferai
prochaine.
passer
Mr
Thil'intermédiaire
de
sa lettre
par
bault
de tes
attendons
Mr Allegret.
à me
donmon
cher
Continue,
enfant,
des
détails
sur
tout
ce qui
t'arrivener
à Paris.
Es-tu
insra
ou
t'intéressera
de
Droit
? Y as-tu
des
à l'école
tallé
amis ?
Les
des
connaissances
?
professeurs
ou
te
de
plaisent-ils
?
Es-tu
content
de
APPENDICE
? Ne
tu as reçu
de Mr
que
tes prorien.
Que
je connaisse
tes désirs,
tes plaisirs,
tes besoins.
jets,
Ouvre
moi
ton
mon
cher
cœur,
toujours
Ton
ton
endoit
Adolphe.
père
posséder
tière
Tu trouveras
en
confiance.
toujours
l'accueil
me cache
lui
un
ami
de
plein
sollicitude
pour
tées
Ma
mari
Blois
8.000
ensemble.
ton
donl'exta
par
pour
te
l'assurer
pour
de l'amitié
et de
et qui,
conseils
Laisse-toi
périence.
aussi
diriger
Tu
sais
tout
ce que
dit
à
tante.
je t'ai
cet
elle
comme
avoir
doit,
moi,
égard
ta tendresse
entière
confiance.
et ton
t'embrasTous
ceux
qui te connaissent
bonheur,
nera
les
sent
sonne
ton
et
te
ne
font
mille
t'embrasse
amitiés.
Mais
tendrement
plus
Mr
afin
Salliôn.
Je
les
ai
laissé
les lire.
décache-
tu puisses
que
de
tante
avec
moi
qui a causé
m'a
dit
était
maintenant
qu'il
où
il vivait
avec
une
pension
ils
ont
des
francs,
arrangements
son
à
de
mon
cher
au
Papa,
réponds-moi
il me
semble
vite,
qu'il
y a un an
besoin
de
receje t'ai
j'ai
quitté
de vos
ce sera
moi
nouvelles,
pour
Adieu,
plus
que
voir
une
consolation.
Dis
à ma
sœur
grande
fois.
la prochaine
que
je lui écrirai
ma
Je
t'embrasse
de tout
mon
cœur,
tante
et mes
cousins
se joignent
à moi.
Ton
fils
soumis
et
respectueux.
perque
père.
TREBUCHET.
A.
TREBUCHET.
Pour
ma
.SQ?M/
P.
doit
t'écrire
la setante
maine
Embrasse
toute
la maiprochaine.
son
Dis
à Louise
moi.
pour
que je penainsi
se souvent
à elle ainsi
ma sœur,
qu'à
ainsi
ainsi
qu'à
Prosper,
Auguste,
qu'à
ainsi
la
Louis,
petite
qu'au
petit
qu'à
de me donner
Ne manque
Hyacinthe.
pas
ma
vive,
me manchère
et les expressions
Sophie,
le
te
comme
quent
pour
l'exprimer
je
elle
est
un
lien
de
voudrais
plus
qui
m'attache
à toi et à tes
enfans
la
pour
vie.
à tous
s'ils
ont
Dis-leur
que
pour
Ma
reconnaissance
est
bien
leurs
nouvelles.
Embrasse
Mr
Delair
ne m'oublie
de
nos
pas
auprès
paà
rents
et amis
mes
présente
respects
à
Mr.
et Mme
Mes
amitiés
Delajarriette.
notre
moi
au souvenir
Bureau.
Rappelle
une tendresse
de frère,
Adolphe
j'éeux toutes
les affections
d'un
prouve
pour
Ces
si touchants
d'apère.
témoignages
mitié
neveux
m'avez
donque toi et mes
ont été dans
mon
malheur
une
bien
nés,
viendra
douce
consolation.
Un jour
peutêtre
où je pourrai
vous
donner
aussi
des.
des
sentiments
inaltérables
marques
que
et que
dois
vous
m'avez
inspirés
je vous
à tant
'de titres.
Excusez
le
temps
de
)''t':tgment
pët'e.)nédit.
lettre
de Adolphe
Je
n'ai
Trébuchet
tres
une
pour
pas
Mr
a son
Q
j'aie
de
Brosses
et
te
dire
que
Victor
et Euils en
de tout
mon
souvenir
de mes
cœur.
tantes
Rappelle
Reles
et de
Mme
Mathis.
ligieuses
yM~ycy~
soir
cher
Je reçois
à l'instant
ta lettre,
mon
il est impossible
de te peindre
la
papa,
ai ressentie.
Je te
remerjoie
que
j'en
cie de la bourse,
c'est
sans
doute
de l'oula
embrasse
de ma
bonne
sœur
vragé
Victor
me
de
une
fois
de plus.
charge
II
est
te
sa
reconnaissance.
témoigner
bien
la
ici valent
cela
m'est
très
pourquoi
il m'a
très
bien
Vicreçu,
moi.
Je joins
ici deux
letque
de
suivaient
les cours
de droit,
gène
sont
à leur
3me année
Abel
travaille
chez
un
négociant.
Adieu
une fois,
encore
je voudrais
passer tout
mon
à vous
écrire.
N'outemps
blie
de
bien
vite.
Je
me
pas
répondre
t'embrasse
moi
au
~YoMM&re~~O?
connaissances
c'est
sienne,
Du reste
égal.
tor .était
avec
d'Allory.
J'oubliais
BUCHET.
mon
barbouillage.
de relire
ma lettre.
Ma
de
et
mon
TRE
S.
de l'impression
de ses Odes.
très
content
le Roi
On
dit
ce soir
d'Espagne
que
s'est
mis
à la tête
de
quelques
troupes
contre
les
Cortès.
marcher
Adieu,
pour
l'autre
~u-
APPENDICE
mon
cher
attend
ma
lettre
Daniel
papa,
avec
la remettre
à Thiimpatience
pour
baud
et qui part
l'aîné,
qui s'en
charge
demain.
ne peut
te répondre
Daniel
pas
ce courrier.
par
Lettre
de Eugène
Hugo
à son
en
convalescence
dans
les
environs
nous
Blois,
serait
ici
pensions
qu'il
le
maintenant
nous
l'attendons
19,
le 30, nous
l'attendons
d'autant
avec
~arM,;<OaoM<
MON
Je
CHER
ONCLE,
à
dois
vous
écrire
je
Nantes
dans
tous
les cas
St-Fiacre,
comme
cette
dernière
adresse,
je
j'ignore
vais
vous
à Nantes
adresser
cette
lettre
comme
de coutume.
C'est
le dimanche
nous
29
juillet
que
Mr
avons
votre
lettre
reçu
première
par
de
des
ne
sais
ou à
la Jarriette.
manières
plus
vons
nous
si
II
est
la fois
à
qui
nous
à
de
Victor
difficile
d'avoir
franches
et
plus
Adolphe
ge, comme
le
départ
deux
jours
tinuellement
de
ses
nouvela été
sorti
j'ai
de ma
vue
ne
apporte
ments
plus
voyaet
à
cause
de
et nous
lui,
eu un
avait
heureux
tems
pensions
qu'il
la pluie
n'a
commencé
à Paparce
que
ris
le
dimanche
soir
22
à
que
juillet,
à la même
heure
où nous
peu près
voyons
sa
lettre
est
arrivé
chez
vous.
par
qu'il
ce Monsieur.
Nous
l'apolies
que
la joie avec laquelle
reçu avec toute
devons
un
ami
de
notre
recevoir
oncle
toute
pour
pour
'de
espérance
à son
arrivée,
la durée
de son séjour
à Paris.
Deux
letavoir
votre
jours
après
reçu
tre
Mr
nous
avons
repar
Delajarriette,
Vous
aviez
bien
vouçu celle
'd'Adolphe.
cher
en écrire
une
lu, mon
oncle,
partie
afin
rien
ne manquât
à notre
que
joie.
Nous
avons
lu avec
de plaisir
beaucoup
les détails
du voyage
Pendant
d'Adolphe.
la semaine
son
nous
qui a suivi
départ,
été
à tous
avions
attentifs
les
change-
onc)eTrëbuc))et(d).
d'impatience
que
est
subordonnée
ge
de
tems,
ne
des
encore
peut
pas
détails
sur
son
il le lui demande,
il
n'est
d'Adolphe
de suite
à Paris,
en
dans
tournée
donner
petit
car
à
voya-
depuis
resté
pas
il est conles
envi-
il
cependant,
quand
regretté
que la faiblesse
m'eut
de
lire
distinctement
pas
permis
son
nom
à la
de
placé
première
ligne
votre
lettre.
J'aurais
désiré
lui témoigner
à lui-même
le connaissions
déque nous
ne nous
avait
jà, et qu'Adolphe
pas laissé
rons.
moment
de la rup[Il paraît
qu'au
ture
avec
le ministère,
Mr
de
Chateaubriand
de lui faire
avoir
s'occupait
quelde ces places
honorables
l'on
qu'une
que
donne
aux
de
où
l'on
a
lettres,
gens
rien
à faire
et où
l'on
touche
des
apun petit
C'est
malheur
dont
pointements.]
toute
l'affection
à vo.ignorer
qu'il
porte
tre
famille
est
maintenant
devenue
qui
la nôtre.
Mon
cher
nous
avons
été
bien
oncle,
vivement
de tout
ce que Monsieur
touchés
la
nous
a dit
de
de
vous,
Delajarriette
on
les,
d'autres
qui ont
passages
crochets.
Figaro.
de cette
19
lettre
mai
1886,
nous
cite
les
deux
mettons
facilement
en
affaires
bien
plus
été également
manquéës.
cher
vous
nous
oncle,
tant
voyant
importantes
remerciez
nous
avons
eu pour
que
bien
à nous
de vous
plutôt
remercier
nous
avoir
un ami
pour
envoyé
aussi
Maman
le
disait
bien
agréable.
était
celui
la
qu'Adolphe
qui
répandait
dans
la
c'est
une
vérité
joie
maison]
nous
le désirons
bien
vivement
et le vide que
le départ
a laissé
au
d'Adolphe
milieu
de nous
nous
le fait
chaque
jour
désirer
davantage.
Nous
attendons
est
toujours
p~pa,
qui
Le
console
[Mon
de l'attachement
c'est
Adolphe
avez
à notre
douleur,
part
que vous
prise
et du désir
vous
avez
de nous
voir
que
à Nantes,
et nous
mon
cher
aussi,
oncle,
(1)
se
nous sentons
maintenant
plus que jaet une
des
choses
nous
regretque
terions
si nous
ne connaissions
la bonté
de
son
de
ce
serait
n'avoir
cœur,
p~
lui
rendre
maison
notre
mais
plus
gaie.
telles
ont
été
les
funestes
circonstances
où nous
nous
sommes
trouvés
durant
cetà peine
te fatale
avons-nous
eu la
.année,
que
mais
courts
entre
22)
APPENDICE
nous
voir
réunis
un instant,
qu'il
fallu
nous
consoler
plus
songer
qu'à
mutuellement.
C'est
bien
à nous,
mon
cher
plutôt
à vous
remercier
toute
l'afoncle,
pour
fection
vous
avez
la bonté
de
nous
que
joie
n'a
de
nous
ne savons
notre
reconnaissance,
à vous
assurer
témoigner,
comment
avec
auAdolphe
en a probabled'empressement
qu'il
à vous
Nous
peu
espérons
quitter.
nous
d'heureuses
nouvelqu'il
apportera
les de vous
et de notre
aimable
famille
car
vous
nous
avez
je dis
notre,
permis
de considérer
votre
famille
comme
la nôces,
tant
ment
vous
nous
nous
nous
la
que
et vous
nous
croiton
ne trompe
qui
exprimer
bornerons
sentons
bien
vivement,
rez parce
est un
qu'il
point.
I~ous
aussi
songeons
tits cousins
et à notre
à (nos pevous
nous
cousine,
de les regarder
comme
des frèpermettez
ah!
être
bientôt
réures,
puissions-nous
nis
comme
des
frères
doivent
toujours
l'être.
mon
cher
vous
rendre
Adieu,
allions
souvent
soit
que
à Nantes,
oncle,
visite
nous
soit
nous
soit absolument
que cela
impossible,
votre
puissiez-vous
passer
agréablement
automne
avec
nous ou sans nous,
et puissions-nous
être présents
à votre
souvenir
comme
notre.
Je
votre
vous
le
serez
continuellement
suis
avec
mon
respect,
dévoué
et affectionné
au
cher
oncle,
neveu.
E.
HUGO.
d'Abel
va paraître
d'ici
à 5
L'ouvrage
ou
6 jours,
il a été
les imretardé
par
Abel
est
désolé
de
ce retard,
primeurs,
il espère
les
dédommager
souscripteurs
les
additions
a faites
à son
par
qu'il
recueil.
LeLU'e de
inédite.
Eugène
Hugo
a son
oncle
Trébuche).
CHER
mille
commence
vous
demander
par
de
vous
écrire
sur
un
semblapardons
ble
ici
au
milieu
nous
sommes
papier,
des
embarras
d'un
et ce
déménagement,
n'est
même
une chose
facile
pas
que de
trouver
un
écritoire
et
une
place
pour
écrire.
cher
oncle,
voici
la
fin
des
attendons
de tous
les
d'affectémoignages
voulu
nous donque vous avez bien
celui-Ih.
nous
le plus
senest
ner,
pour
sible
et le plus
précieux.
Vous
avez
bien
voulu
nous
envoyer
tre
tion
et
mon
cher
dernièrement,
oncle,
l'ouvrage
de Mr Richer,
sur l'histoire
de Bretagne.
Vous
ne sauriez
croire
avec
intéquel
sur un pays
rêt nous avons
lu les détails
considérer
en quelque
que nous
pouvons
sorte
comme
notre
patrie
particulière.
11 est
bien
à désirer
la littératupour
re
entreMr
Richer
continue
cette
que
dans
de pareilles
prise
proqui, exécutée
Mr
Riet avec
le talent
dont
portions,
mancher
a déjà
fait
ne
preuve,
peut
de donner
à la France
un magnifiquer
Vous
me permettrez
en efque
ouvrage.
mon
cher
dans
fet,
oncle,
l'impossibilité
où je suis
moi-même
de vive
d'exprimer
voix
à Mr
tout
le
Richer
plaisir
que
ses
ounous
a procuré
la
lecture
de
de
vrages
être
auprès
nous
rien,
m'en
de
remettre
à ;vous
lui
l'interprète
le savons
comme
la
bien,
en
pour
ce
n'est
que
mais
quelques
on
opinions
nôtre,
peut
en
conclure
le reste
par
analogie
pour
des
lecteurs
et l'opinion
ne se
générale
individuelles.
compose
que
d'opinions
la charNous
avons
lu en même
temps
mante
vous
faites
des
description
que
nous
bords
de la Sèvre,
mon
cher
oncle,
besoin
de cela
désirer
pour
de vous et quand
nous
senous
aurons
assez
de bonréunis
avec
désirer
votre
aimable
d'autres
plainotre
ne
joie
distraire.
ne pas
famille,
pour
sans
sirs,
qui
augmenter
en
pourraient
que nous
Je voudrais
savoir
si Adolphe
a lu dans
le
des
Débats
l'insertion
de
journal
à la Trappe.
Cela
doit
lui
son
voyage
ONCLE,
Je
Mon
nous
n'avions
pas
d'être
auprès
rons
à Nantes
heur
en étant
/'a;'M,/e~"?:OHeM&)'e~<.
MON
et
montrer
faire
lui
ce
n'était
222
pas
nous
seulement
avions
pour
inséré
plaisir
que
dans le Conservateur,
et que
ce morceau
senti
tout
d'autres
nous
en avaient
que
vacan-
que
APPENDICE
le
mérite.
Il est
en
effet,
remarquable,
ce n'est
le
dans
Conservateur,
que
pas
mais
dans
le
de
Marseille
qui
journal
l'avait
le
des
Dérépète
que
journal
bats
son
a pris
la
relation
de
voyage.
Si
Adolphe
à la 'maison
faire
insérer
des
Débats,
bien
s'est
se
avoir
entendu
dire
rappelle
de
combien
il était
difficile
le journal
'des articles
dans
fier
et
il doit
être
bien
cela
et d'autant
plus
que
glorieux,
fait
sans
moindre
sollicitation,
son
article
dans
et
reconnaissant
qu'en
nous
avons
été
le
des
Débats
journal
aussi
a. pu l'êagréablement
surpris
qu'il
tre
la
lui-même.
Mon
cher
sais
de quelle
oncle,
je ne
me
servir
vous
exprimer
expression
pour
combien
nous
sommes
honteux
du retard
de
à
la
l'ouvrage
apporté
publication
nous
de
il a fallu
d'Abel,
voyons
que
ne
combien
d'affaires
il est obsédé
pour
lui
au
dernier
le
en vouloir
point,
pas
retard
nous
est d'autant
pénible
que
plus
être
il doit
vous
nous
sentons
combien
Il va cesser,
dans
parce
que,
désagréable.
Abel
où
se trouve
depuis
l'impossibilité
mois
trois
me
suivre
vais
les
affaire,
je
moi-même
de
charger
presser
mais
nous
n'en
aurons
pas
imprimeurs
d'excuses
à vous
adresmoins
un million
vous
auser pour
les 'embarras
nous
que
rons
de
cette
causés.
de
Mon
cher
oncle,
permettez-moi
au
dire
et de nous
adieu,
rappeler.
venir
de notre
aimable
famille
que
le
le moment
n'oublierons
jamais
vie
sera
celui
où
heureux
de notre
combien
vous
exprimer
pourrons
vous
une
sommes
attachés
autrement
vous
vous
présenter
mise
à répondre
que
j'ai
mable
lettre.
Mais
vous
on
est
aux
que
quand
avoués
on
n'est
le
pas
De
temps.
plus,
j'aurais
écrire
vous
qu'en
envoyant
excuse
res
ble
de
et
mon
Votre
très
mon cher
respect
et
humble
très
veu,
chainement.
nous
renvoyer
ai-
n'ignorez
pas
avec
les
prises
maître
de
son
voulu
ne
vous
les exemplaion fait
la Ta-
place
pour
lui, mais
je ne crois
mes
frères
veuillent
se décider
pas
que
à manger
à la maison
il sera
de
forcé
recommencer
ses
dîners
Je
vagabonds.
ne puis
encore
rien
vous
dire
sur
notre
position
faudra
Papa
bien
elle
est
II
toujours
provisoire.
un voyage
à Blois
si
que je fasse
ne vient
à Paris.
Je
voudrais
pas
pousser
à faire
Nantes
jusqu'à
tout
ce
gage
vous
pouvoir.
Adolphe
désire
embrasser
tous
Nantes
et
vous
serez
vois pas, c'est
je ne vous
En
plète
impossibilité.
s'il vous
recevoir
plait,
attachement.
tout
dévoué
respectueux
Votre
qui
dira
J'embrasse
verra
phe
bien
cet
nous
réunis.
Vigny
De
hiver
tous
je m'enen mon
combien
je
de
si
comqu'il
y aura
attendant,
veuillez,
de mon
l'assurance
neveu,
A.
plus
nous
et
sera
nos
parents
convaincu
que
sounous
que
votre
à Adolphe,.
votre
volonté
que
Dites-lui
nous
avons
loué
que
de la maison
dont
nous
occuet le rez-de-chaussée.
premier
vos
HuGO.
enfants.
Adol-
tous
nos
amis
lettrés
à Paris.
et de Pons
sont
par
oncle,
avec
l'assu-
obéissant
E.
HUGO.
lequel
Lettre
Lettre
de
(néditc.
Abel
a
Hugo
son
ne-
Trcbnchet.
onclc
.)/ai~?
cher
de
oncle,
nous
je
trois,
serais
si
le
je
plus
n'avais
9
couune
_<M~_
son
~eAdoiphcïrëbucnet.n
père.
Inédite.
/r/S~K~i~9~.
MON
pable
à
lenteur
dont
ouvrage,
vous
très
parviendront
proVous
avez
eu
la
bonté
de
les 30 fr dont
nous
étions
qui
redevables
soit
faite.
le second
le
pions
H y aura
la
lettre.
agréer,
Daignez
du
rance
profond
l'honneur
d'être
j'ai
Mon
sur
a
CHER
PAPA,
et
c'est
d'Abel
l'ouvrage
ne faut
bien
ici le cas de dire
déqu'il
la lisde rien.
Je t'envoie
avec,
sespérer
H y avait
te des
souscripteurs.
quelques
des
avaient
souscrit
pour
personnes
qui
Voici
exemplaires
enfin
cartonnés,
mais
il
eut
été
APPENDICE
trop
long
d'attendre
et nous
cette
nouvelle
préavons
les
enparation
préféré
tels
dans
ce cas
les
voyer
qu'ils
sont
des
ont
souscrit
souscripteurs
qui
pour
cartonnés
de
4 fr ne
exemplaires
paieront
3 fr.
Il s'est,
50.
que
je crois,
égaré
une
ou
deux
mais
souscriptions
je
tu as les
noms
de celles
pense
que
que
tu nous
a envoyées.
Tu trouveras
le
dans
même
toi et
un
vélin
paquet
exemplaire
pour
deux
du même
exemplaires
ouvrage
en
Tu
Espagnol.
n'y
comprendras
pas
chose
mais
c'est
Tu
grand
égal.
pourrais
en faire
remettre
un exemplaire,
peut-être
en
ton
nom
à la Bibliothèque
de
Nantes.
trente
Il
tout
le
tien
y a en
y compris
volumes,
dont
vélin
sans
quatre
ton
compter
exemplaire.
J'ai
mercredi
dernier
ton
reçu
ouvrage
sur
Anne
de Bretagne,
ce qui
m'a
fait
de plaisir.
Dumesnil
touchés
de
beaucoup
Madame
été
bien
souvenir
agréer
merciemens.
te
pour
au
Duc
et
leur
Victor
hier
lui
l'exemplaire
qui
était
destiné.
Cet
aimable
homme
jeune
a chargé
il
Victor
de
te
dire
combien
à cette
était
sensible
démarche
de ta part,
et il te prie
de recevoir
tous
ses
remerciemens.
Mes
été
cousins
ont
également
bien
flattés
des
eux.
Tu as
pour
de
Rohan
a
porté
exemplaires
qui
eu tort
d'appeler
étaient
le Duc
ne
on
jamais
de
l'appelle
pas
l'usage
même
de la
bienveillance
parlant
qu'en
il honore
dont
c'est
Victor,
trop
fort
Victor
car
et lui
sont
ensemble
comme
avec
Esmein
le moins
je suis
( ?) pour
ils
mon
cher
etc.
etc.,
s'appellent
ami,
Tu
à
aurais
dû ne pas
mettre
peut-être
Mr
~o/~e/g'/z~~y
ce n'est
ainsi,
Foucher
c'est
respect,
bon
bourgeois,
comme
à un
la considération
eut
voilà
les usages
de
on
est
très
scrupuleux
ces
de
peut
plus
intéressante
signatures
la fin font
Le style
en
le plus
bel
effet.
est parfait,
c'est
du moins
l'avis
de mes
cousins.
Ces
messieurs
de toi
s'occupent
les journaux.
Le journal
des
Débats
pour
et la Quotidienne
tice
ces
jours-ci
je
suis
ministre
été assez
du
saluts
à Paris
la
Victor
dessus.
et moi
les observations
que
faites.
J'aurais
aussi
bien
préféré
eusses
mis
en tête
de
ton
ouvrage
nom
et tes titres
c'eut
été
mieux
eu
au moins
tu étais,
car
sçu
qui
avec
de
moins
et où
Voici
avons
tu
que
ton
et on
cette
--22:–
doivent
la
un
annoncer
les
Foudre,
ta noLettres
et
autre
doiChampenoises
journal
vent
des
articles
sur
insérer
également
et
d'autres
toi
j'espère
journaux
que
en
encore.
cela
parleront
je
Malgré
crains
bien
ne
s'en
qu'il
puisse
pas
vendre
à Paris,
mais
du moins
ces différents
articles
feront
d'effet
à
beaucoup
Nantes
et Mr
Foucher
ont
cette
de ton
marque
ils m'ont
de te faire
chargé
et
leurs
rereconnaissance
Mr
Foucher
doit
t'écrire
remercier.
de
Rohan
à la
vient
on ne sait
comment
obta notice.
Pardonne-moi
ces
mon
cher
aiservations,
Papa,
peut-être
mais
selon
les usaje tort
pas du moins
de
Paris.
Du
toutes
reste,
ges
malgré
ces
ne
ta
notice
est
on
choses,
petites
signature
fin
de
et
dans
la
et faciliteront
Bretagne
ton
nécessairement
la vente
de
ouvrage
car
tu sais
un
attache
en province
qu'on
aux journaux
de Paris.
Nous
grand
prix
deux
exemsommes
de
donner
obligés
de ta notice
plaires
en parle,
sans
cela
Il
ne
nous
restera
d'exemplaires
placeront
beaucoup
de
ges
à 1 fr.
Tu
pas
de
Victor.
à chaque
journal
qui
ils n'en
diraient
rien.
donc
beaucoup
pas
bien
ne
se
qui
je pense
car
même
à Paris
on a
à vendre
les ouvrapeine
avons
mis
le prix
(Nous
50).
trouveras
'dans
mon
deux
paquet
du recueil
de Victor
toi
pour
exemplaires
et le Préfet.
Si j'avais
su que
les ôuvrad'Abel
fussent
aussi
tôt
ges
prêts
j'aurais
ceux
de Vicen même
envoyé
temps
tu ne
mais
recevras
mon
pator
pas
Tu
celui-ci.
quet
longtemps
après
y trouveras
une longue
lettre
de moi
également
toi et
et une
de Madame
Dumesnil
pour
une
autre
Monsieur
Palis
pour
( ?).
Dis-moi
donc
comment
tu t'es
arrangé
avec
Mellinet
ton
pour
ouvrage.
à
J'oubliais
de te dire
que
je porterai
Monsieur
de
ton ouvrage
Je
n'ai
pas
de
répondre
apportée
de
la
bon
Brosse
en
les romances
même
d'Abel.
tems
que
mon
cher
temps,
papa,
à ta
lettre
m'a
jolie
que
Billiard
je ne te parlerai
que
De
famille
Lafosse.
Mr
Lafosse
royaliste,
le
a
été~
comme
je
te
l'ai
APPENDICE
II est
dans
la révolution.
de Chambre
du Roi,
valet
place assez
belle
et qui
ne se donne
qu'à
des
Mr
Lafosse
n'éDe
gentilshommes.
tant
riche
dans
Mr
Hue
et trouvant
pas
dit,
déjà
maintenant
ruiné
un
d'autant
Mr
parti
honnête,
plus
que
Hue
a quelque
lui et que
chose
devant
l'établissement
veut
former
qu'il
représentait
sous d'heureux
lui a donauspices,
né
sa
fille
aînée
de
28
ans
et
âgée
aurait
difficilement
mariée
qu'il
peut-être
a 45
de
fortune.
Mr
Hue
n'ayant
pas
ans.
Ce que
encore
te dire
c'est
je puis
me
de
cette
aimable
famille
comble
que
et
me
prévenances
beaucoup
témoigne
d'amitié.
dîne
encore
lundi
J'y
prochain
avec
Saint-Valry.
Victor
a dit à Pélicier,
chez
je
lequel
vais
remettre
les exemplaires
de ton
ouà Mellinet
3 douzaines
d'envoyer
vrage,
Tu
aurais
de son
recueil.
d'exemplaires
dû
à la
faire
sur
ton
recueil
imprimer
suite
du
titre
chez
Pélicier,
libraire,
tu en auras
que
alors
on
verra.
sûr
d'avoir
tous
ces
et chez
Mellinet,
etc.,
etc.
Mais
bien
j'espère
une
seconde
édition
et
Tu
être
toujours
peux
et
les
articles
annon-
est en notre
de te propouvoir
Tu en as déjà
et c'est
curer.
5 d'assuré
n'en
a pour
son
redéjà
plus
que Victor
cueil.
mon
cher
t'embrasse
Adieu,
papa,
je
et t'aime
et te respecte
comme
on aime
et
le
meilleur
des
respecte
pères.
qu'il
ADOLPHE.
P.
mille
S.
Mes
amitiés.
cousins
de Mr Angebault,
Lettre
a Ado)phe
Trébuchet,
Inédite.
vous
font
à
de Nantes
chanoine
(1),
Paris.
élève
en
droit,
1822.
A'am<M. 27 juin
MON
Je
que
ne
m'a
puis
fait
(1) M. Angebault
BON
vous
votre
devint
tous
AMI,
tout
exprimer
excellente
plus
tard
le
plaisir
lettre
évêque
Je
d'Angers.
')
l'ai
relu
lu,
et je suis
allé
en
à Monsieur
votre
père
tous
les
sentiments
partager
homlui
mage
pour
faire
que j'éElle
une
une
naïveté,
prouvais.
respirait
franchise
et je suis
bien
qui .m'enchantait
convaincu
vous
d'ailleurs
ne sauriez
que
feindre
avec
c'est
un
art
jamais
moi
le monde
commander
que
peut
quelquemais
et
fois,
bannit
que l'amitié
toujours
en
d'amis
à me
parlant
j'aime
rappeler
que
vos
je vous
tablettes.
ai
prié
de
faire
m'inscrire
sur
Vous
me parlez
de vos affaires
de conscience
avec
une
de
filiale
espèce
piété
à laquelle
naïvement.
je dois
répondre
Vous
mon
bon
n'est
savez,
ami,
qu'il
pas
dans
et
ma
manière
de
d'outrer
voir,
les devoirs
de la religion,
surun jeune homme
du monde.
Le
des
doit
être
le
devoirs
religieux
tous
nous
tous,
pour
parce
que
les
au même
mais
consébut
d'exagérer
tout
pour
principe
même
tendons
être
variées
suivant
en
serait
ridicule
de
presdu
les
crire
à un
homme
monde
jeune
de conduite
réclame
celui
règles
que
qui
est
renfermé
dans
le cloître.
cette
de
foi,
voici,
Après
profession
quences
les
états
mon
bon
à quelqu'un
doivent
et
il
me
consulterait
Paris.
J'en
m'ont
base
blie
réunir
mitié
les
ami,
connais
qui
avis
que
je donnerais
me
serait
et qui
cher,
sur
la
de
congrégation
parfaitement
été communiqués
à une
congrégation
à Nantes.
Le
but
les
statuts,
qui
de
et qui servent
étasemblable
est
de
principal
les
liens
de l'a-
et d'attacher
par
et de la religion
des
jeunes
gens
et destinés
à donner
bien
nés
chrétiens,
Les
de
le ton
dans
la société.
pratiques
consistent
dans
une
charéunion,
piété
la Sainte
une
conMesse,
que
quinzaine,
férence
amicale
sur
des
sujets
religieux,
la
et
à
conduite
appliqués
spécialement
devoirs
d'un
homme
du monde,
aux
jeune
une
une harmonie
concorde,
prescrite
par
le règlement
dont
la devise
Cor
porte
aux
tems
unum
et
a/M'/?M
M/M, comme
heureux
de
la
primitive
Eglise.
Quant
sont
aux communions
ou confessions,
elles
des
direcà la
abandonnées
prudence
et l'on
ne
a
teurs
prescrit
particuliers,
Vous
mêce
aucune
sentez
sujet
règle.
0)"
2U
APPENDICE
me
ce
On
serait
fort
que
imprudent.
au nouveau
aucune
n'impose
pratireçu
une petite
oraique aucune
prière
excepté
son
à la très
Sainte
de
la lonVierge
d'un
ave
l'on
maria
gueur
que
engage
à réciter
Le
but
chaque
jour.
principal,
le
est
d'unir
les
liens
de
je
répète,
par
la religion
des jeunes
chrétiens,
afin
gens
de
se
soutenir
au
milieu
par
l'exemple
de
la contagion
du
et
sous
ce
monde,
celle
de Paris
offrir
rapport
peut
depuissantes
la
contre
terreur
du resgaranties
en présentant
les
noms
de
humain,
pect
ceux
d'en
faire
qui se font
gloire
partie,
en commençant
Mr.
de Montmorenpar
le Ministre
cy,
préfet.
En
résumé,
en
qui
a
été
longtemps
soit
je ne dis
point
qu'il
de s'y associer,
mais
indispensable
je crois
sous tous
qu'on
peut
y gagner
beaucoup
et
à
vient
rapports
l'expérience
l'apde
mes
conseils.
pui
Quelle
que soit à ce
votre
détermination,
sujet
rappelez-vous
mon
bon
la
toujours,
ami,
que
religion
seule
dès
faire
nous
peut
ce
monde
la joie
de
rendre
même
heureux,
et
continuez
à
toujours
vos
amis
et la consola-
tion
de votre
bon
papa.
Permettez-moi
de m'associer
à
un peu
ses
si douces
le cœur
jouissances,
pour
d'un
car
vous
ce
père,
quand
m'écrivez,
vous
ne ferez
assez
souvent,
que
jamais
le plaisir
me
fait
croire
que
j'éprouve
aussi
de la famille.
Excusez
que
je suis
l'effusion
de
cet
in-folio,
la
plume
mitié
la
guide
s'arrêter.
Votre
affectionné
mais
ne
quand
peut
serviteur
et
l'aplus
ami,
ANGEBAULT
Chanoine
sec.
J'ai
l'intermédiaire
de
Gerreçu
par
ce que tu l'avais
de me regaud
chargé
ta petite
lettre
m'a
fait
mettre
grand
et je me suis
de porter
plaisir
empressé
de
suite
chez
Pélicier
les
exemquatre
de
ta
notice
m'ont
plaires
été
requi
mis
la
même
voie.
par
Je pense
autres.
Tu
qu'ils
m'as
te
de
ces
ment
entrer
exemplaires,
moitié
pour
nous
que
se
comme
les
placeront
24
envoyé
exemplaires
de
ta notice
les
y compris
4 derniers.
Sur
ce nombre
il y en a eu 8 pour
les
reste
donc
16. Il y en a mainjournaux,
tenant
11 de vendus,
ainsi
c'est
11 francs
dont
Pélicier
m'est
redevable
toi.
pour
Monsieur
Mellinet
de
la
venprofitant
d'exemplaires
de donner,
gés
et
la
nonces,
produit
fais
bien
de travailler
tion,
tras
ta
doit
dans
nécessairele nombre
été
obliles
anont,
qui
par
vente
des
autres.
Tu
à une
seconde
édi-
mais
si tu suis
mon
en
tête
de
l'ouvrage
les personnes
qualité,
avons
conseil
ton
tu
ne
qui
moins
met-
nom
et
te contu
que
naissent
sauront
du
pas
a été à même
de faire
les repar ta place
cherches
nécessaires
dont
tu
parles.
Victor
est pénétré
de la plus
vive
reconnaissance
la peine
pour
que tu te donnes
lui.
Nous
n'aurions
pour
pas
manqué
de
remettre
ta lettre
à Monsieur
Aimé
mais
il y a dans
ce moment
un
Martin,
article
sur
Victor
de
Mr.
Delamennais,
et qui
doit
être
inséré
dans
le journal
des
Débats
recours
à
il
est
leurs,
dans
sion
Mr.
n'exerce
ce journal.
de l'article
qu'il
des
est trop
rédacteurs
une
pas
grande
Ce qui retarde
l'impresde M: Delamennais,
c'est
M. Duvicquet
un
flatteur
en
chef
des
Débats
a
Aimé
donc
Martin,
inutile
d'avoir
d'ailqui,
influence
à
Mr.
Soumet
lui
qui
parlait
article
Comment
voulez-vous
que
/M/
Delamennais
je fasse,
aussi
nous envoie un article
où il traite
ce /~M/?~ /M/?!me
de vingt
ans
comme
un
écrigrand
vain.
mon
cher
ce n'est
Ainsi,
papa,
pas
répondu
de cet
Lettre
d'Adolphe
Trébochet
~<n'
MON
BIEN
CHER
son
père.
tnëdite.
14 juillet
ses
mais
son
oeuvres,
d'après
d'après
l'on
doit
d'un
du mérite
que
juger
vain.
Toutes
ces ganaches
littéraires
de la réputation
Victor
effrayées
que
et craignant
d'en
être
avoir,
écrasés~
feront
tout
ce qu'ils
pourront
pour
PAPA,
Perrin
demain
et je
part
pour
Nantes,
ne
veux
le
laisser
sans
lui
pas
partir
donner
une
lettre
toi.
pour
226
âge
écrisont
doit
ils
em-
APPENDICE
l'on
toute
la jusne lui rende
est due.
Cependant
je ne sais
un misérable
jourquel
point
un article
des
refuser
qu'un
pêcher
que
tice
qui lui
pas
jusqu'à
naliste
peut
écrivains
du siècle
veut
bien
plus
grands
lui envoyer.
te prie
de
Victor
également
faire
ses
remerciements
à
Mr.
agréer
Boësnier.
La lettre
de Mr.
n'est
Angebault
point
au dessous
C'est
de ce que tu m'en
as dit.
tout
ce qu'on
trouver
de
aipeut
plus
suis
on
ne
mable,
de plus
affecteux.
Je
touché
de ces
d'apeut
plus
marques
mitié
et
dis
de lui
j'ai
attachement
lui.
La
lettre
charmante,
lui parlerai
Mr.
Palis
lui
bien
tout
le
exprimer
qu'il
moi-même
a
su
m'inspirer
de
Foucher
Mr.
dîne
lui
écrivant,
Elle
amitiés.
pour
également
chez
lui et
un
elle
part
à Made
vous
fait
mercredi
seul
moins
de
23
ou
24
fis..
relié
convenablement.
Enfin
ce
je ferai
qu'il
dépendra
de moi
l'avoir
au meilleur
marpour
ché
possible,
je vais
y aller
aujourd'hui
et
si
Perrin
le
lui
peut
l'emporter
je
remettrai.
Jeudi
ma
malle
au
prochain
je mettrai
accéléré
ainsi
vous
la ré.roulage
pourrez
clamer
le jeudi
suivant.
Je
mon
examen
mardi
en huit,
passe
23
à. 10
heures
du
matin
et je
juillet
le soir
même
avec
et Rossel
Allory
pars
la diligence
d'Orléans.
par
me
n'ai
parle
vu
point
je vais
les
voir
ADOLPHE.
P.
S.
et
moi
la
Embrasse
toute
pour
famille.'
Je
t'écrirai
petite
grande
par
la poste
le jour
même
où
j'aurai
passé
mon
examen.
J'ai
les deux
tu m'areçu
journaux
que
vais
annoncés.
Lettre cle Eugène
Inédite.
mirlitons
si j'en
son
Hugo
oncle
Trébuchet.
23 juillet
je
temps.
gilet
proplus
et j'attenpre,
je
gilet
d'hiver
dais
mes
faire
mon
après
guêtres
pour
ce qui me
contrarie
on
ne peut
voyage,
plus.
de
Je
suis
bien
embarrassé
de
savoir
manière
les
livres
quelle
j'enverrai
que
ma
sœur
m'a
d'acheter.
Je crains
chargé
les recherches
faibien,
j'ai
d'après
que
tes depuis,
de ne pas avoir
cet ouvrage
à
Je
et t'empapa,
je t'aime
fils
le plus
tendre
et
Paris,
prochain
pour
Tréport.
J'ai
mon
mercredi
dernier,
reçu
paquet
oumais
vous
avez
je ne sais
pourquoi
blié
mettre
mes
et
le
d'y
guêtres
gilet
vous
fort
avez
que
depuis
longJe
n'ai
mets
un
comme
soumis.
cher
le
est
demain
je
de toi.
beaucoup
a fait bien
(?)
plaisir
en
Dumesnil
à tous
mille
désir
que
le sincère
mon
Adieu,
brasse
le
plus
dont
on
trouverai.
227
MON
Si
CHER
ONCLE,
les
dans
lescirconstances
pénibles
nous
nous
sommes
trouvés
quelles
depuis
la
mort
'de
notre
si des
affaires
mère,
et qui revenaient
le jour
au jour
urgentes
nous
ont
de réponquelquefois
empêchés
dre
avec
pu
mon
aux
de
marques
autant
d'assiduité
le
vous
désirer,
cher
à
Oncle,
ou
irréfléchie
votre
bienveillance
vous
auriez
que
n'aurez
attribué,
pas
une
indifférence
cou-
une
de
pable
interruption
nous
affectait
bien
correspondance
qui
n'a
vous
semplus
qu'elle
pu
peut-être
bler
quelquefois
pénible.
Nous
avions
des
nouvelles
de
vous
et
de notre
famille
de Nantes
par
Adolphe,
nous
savions
vous
nous
aimiez
touque
vous
soin
mon
vous-même,
jours,
preniez
cher
de nous
le rappeler
à tout
Oncle,
moment
d'affection
mulpar 'des marques
nous
votre
bonté
sur
tipliées
comptions
excuser
notre
insoucianpour
apparente
ce
une
de
c'était
plus
obligation
que
à vous
à
nous
aimions
et
avoir,
quant
notre
voix
affection
particulière,
notre
âme
qui
il
s'élevait
une
dans
nous
disait
que
vous
ne pourriez
en douter.
jamais
mon
nous
Aujourd'hui
Adolphe
quitte,
cher
et en perdant
Oncle,
pour
quelque
tems
ce second
nous
sentons
tout
frère,
a dû
vous
en coûter
nous
ce qu'il
pour
le céder
durant
années.
quelques
de
cet
Nous
allons
être
interprivés
APPENDICE
de
nos
vous
étiez
en
yeux,
présent
vous
aussi
nous
aimions
en
que
lui-même
et dans
ce moment
d'une
sénous
le besoin
sentons
paration
pénible
notre
cœur
dans
le vôtre
d'épancher
pour
de nous
de l'ennui
distraire
essayer
que
dont
il aura
joie
votre
bonaugmenté
heur.
Adieu
encore
une
mon
cher
Onfois,
et veuillez
cle,
comme
aujourd'hui,
pour
l'assurance
du profond
toujours
agréer
resavec
nous
pect
lequel
songeons
toujours
à vous,
et avec
je serai
lequel
toujours
va nous
rassurer
tion
en
en
prète
vous
c'était
sentiments
causer
sur
la
auprès
lui
à
de
nos
son
et pour
nous
départ
de votre
affeccontinuité
ne pouvez
la
que vous
nous
possédait,
espérons
te inépuisable
indulgence
lui
faisait
trouver
qui
l'oubli
faisaient
qu'ils
et
plaisirs
qui,
quand
C'est
d'elle,
assez
dans
Oncle,
auprès
cances
de
particulier
Votre
neveu
dévoué
sentant
à la vivacité
refuser
de la
respectueuse
nôtre.
Nous
vous
et
mon
cher
aimons,
Oncle,
nous
ne vous
disons
cela
vous
pas
pour
le
mais
nous
nous
prouver,
parce
que
à le
vous
êtes
complaisons
dire
pour
nous
le représentant
de notre
mère
sur
la
et en songeant
vous
avez
terre,
que
en partage
toutes
les vertus
reçu
qu'elle
gnés
étaient
mon
que
de
avec
lui
retrouver
cetses enfants
pour
de
la joie
dans
d'elle
leurs
pour
faisaient
punis.
cette
conviction,
nous
ne
nous
vous
de
n'aller
Adolphe
ce ne
E.
Lettre
de Monsieur
chet.. Inédite.
jouir
sont
pas
à Paris,
étaient
pas
du
J'ai
notice
soit
tôt
très
qu'ils
mon
excusons
soumis
HUGO.
à Monsieur
le 12 septembre
Trëbu-
1822.
MONSIEUR,
éloi-
penser
Foncher
Paris,
y
ils
et
et
reçu
sur notre
curieuses
tour
que
La
pas
ces vabonheur
Reine
noblement
reusement
de hautain
tère.
vous
des plaisirs
voir
retiennent
ce sont
des
qui nous
soins
et continuels
résultant
en
fatigants
de
notre
situation
encore
grande
partie
et du besoin
de nous
créér
un
précaire
état.
Avec
nous
à nos
quel
regret
songeons
aimables
frères
et sœurs
de
le
Nantes,
bonheur
de les embrasser
se recule
pour
nous
d'année
en année
et cependant
il ne
en
vivacité
le
désir
et
peut
augmenter
nous
de
les
l'impatience
que
éprouvons
connaître.
j'ai
lecture.
augmentée,
achevé
cette
cette
cher
lu la
Reine
dépeinte
ce
que
et
de
Les
n'avais
attribuez
et je
vous
Anne
2me édition
de
la
Anne.
Bien
qu'elle
d'avoir
siregrété
par
vous
cette
vindicatif
notes
sont
idée
de
plus
à St-Félix.
votre
plume
est
avez
masqué
heuPrincesse
avait
dans
le carac-
Votre
souvenirs
fait naître
ou rappelle
des
ouvrage
attachants.
îl nous
fait
aimer
notre
ancienne
en
il
et
cela
Bretagne
est utile
surtout
le phiaujourd'hui
que
s'efforce
de
losophisme
plus
que
jamais
la chaîne
lie au passé.
rompre
qui nous
Je
térêt
suis
pour
Ma
que
ma
on
ne
vous
famille.
p'eut
voulez
sensible
à l'inplus
bien
me
marquer
femme
vient
de
fille.
Sous
quelques
l'accroître
d'une
'notreacjours
sera
sur
Elle
vous
pied.
prie
ses salutions
comme
de mon
côd'agréer
té je vous
de recevoir
les témoignaprie
de mon
affectueuse
considération.
Ma
ges
femme
remercie
bien
Monsieur
Adolphe
et Mademoiselle
Trebuchet
de
leur
bon
petite
couchée
nous
mon cher
Oncle,
permettrezvous
d'être
de nos
prier
auprès
cousins
et cousines
l'interprète
affection
et
de
nous
consoler
de ne pas vous voir
cette
en sonannée
nous
n'en
serons
moins
geant
que
pas
à votre
présents
pensée.
nous
le plus
tôt qu'il
Renvoyez
Adolphe
vous
sera
nous
aupossible,
songez
que
rons
ici en tristesse
et en ennui
toute
la
Adieu,
vous
de
aimables
de
notre
souvenir.
Mes
notre
ment
228
enfants
sont
étudiant
et,
ce sentiment.
impatients
je partage
Le jeune
de
bien
Victor
revoir
sincèHu-
APPENDICE
go
sin.
a
dû
écrire
Votre
dernièrement
très
à
humble
et
son
tout
cou-
te
somme
de
celle
dû
qu'ont
les
de
mon
recueil
exemplaires
à Nantes,
si la
vente
en
est
Au
moment
où
je vais
publier
dévoué
serviteur.
FOUCHER.
Victor
Lettre
ù son
Hugo
onde
Trcbochet
et vous
le
pense
faut
terminer
les
de
comptes
Vous
me feriez
le surtenir
notre
en
terminant
plus
par
Adolphe,
cette
à cœur,
mon
cher
affaire,
j'ai
oncle,
de
vous
remercier
encore
une
fois
de
tout
ce que
dois
l'écouleje vous
pour
édition,
je
moi,
qu'il
la première.
(1).
~~</<'e<'m&re.<?.
MON
CHER
ET
BON
ment
de
eu
guère
tes à votre
Néanmoins
ONCLE,
bon
lire
pour
autre
ouvrage
et
de
en
la
publicavoquatre
convenir
pour
je m'empresse
lue
hier
j'ai
insérée
qu'a
désire
qu'elle
soit
aux
nécessités
de
relations,
et vous
aiactuelle,
pardonnerez
sément
à votre
neveu
ses
pauvre
longs
silences
si loin
d'être
de l'oubli.
qui sont
voilà
sur
mon
En
bien
moi,
déjà
long
excellent
oncle
et je sens
que
je ne tarirais
si je voulais
de vous
.essayer
pas
ma
ou
ma
félicité
actuelle
tenpeindre
donc aux
dresse
Bornons-nous
pour vous.]
/7M~
dire
encore
J'ai
d'imprimeur.
votre
francs
(sur
et
permettez-moi
un
mot
de
libraire
touché
vous
pour
parties
22
lettre.
journalisà la mienne.
sur la très
comme
toujours
des
diverses
annonvotre
2"
édipour
soit dit en passant
doit
l'une
de
de
vous
( ?) aux
le Réveil
ne vous
vos
livraisons
offrir
l'ode
Bonnes
de
ce
ennuie
Lettres
matin.
et
que
et
Je
pas
votre
aimafâcheuses,
prie,
prie
[vous
ble fille de l'aimer
comme
une
comfille,
me
une
soeur.
adieu,
Adieu,
je m'arrête
embrasse
ici et je vous
tendrement.]
de
et
16
d'An-
Votre
neveu
bien
dévoué.
profondément
VICTOR.
Paris
(<) Le Figaro,
de cette
ment
textuellement.
que
n'ai
trop.
cher
et excellent
excusez
Adieu,
oncle,
me
tout
ce griffonnage,
mes
trois
frères
de vous
ma. nouvelembrasser,
chargent
la vôtre
nous
l'aile famille
aime
comme
est en
mons.
Mon
de femme]
ange
qui
ce moment
mais
d'une
indisindisposée,
n'aura
de suites
pas
position
qui j'espère
édition
première
de Pélicier.
Auriez-vous
de prélever
bon oncle,
cet-
ne de Bretagne)
la bonté,
mon
je
Je
omphe.
Vous
êtes
nous
a-t-il
dit,
également,
l'un
des
d'un
nourédacteurs
principaux
à
veau
va
Nantes
journal
qui
paraître
dit que quel(Le Lycée
Nantais).
[Il m'a
mauvais
vers
de moi pourraient
vous
ques
mes
vie
choses
vous
occasion
édition.
de
nos
prochaine
ces
que
tion.
Adolphe
(qui
vous
être
bien
si j'en
cher,
juge
pour
toute
l'affection
lui
ceux
portent
que
connaissent
ses
charmantes
qui
qualités)
nous
a dit que vous
en prépariez
Adolphe
une
3me.
Un
tel
dans
un
siècle
succès,
comme
le
un
est
véritable
trinôtre,
lumes,
purement
d'imagination,
que
je
viens
de vendre
à
assez
avantageusement
un libraire
et qui paraîtra
vers
le milieu
de Janvier.
à celà
mille
autres
Ajoutez
à l'énumération
embarras
qui
échappent
et qui
soit
aux
suites
de mon
tiennent,
nouveau
aux
bonheur,
soit
conséquences
de mes
de mes
amitiés,
correspondances,
de
ma
ma
première
à me
louer
compte
apparition
remises
j'ai
soif
de
vous
écrire
et
[J'ai
je veux
ou
arracher
de gré
de force
aujourd'hui
un moment
de plaisir
à toutes
les occusans
nombre
mes
pations
qui envahissent
Vous comprendrez
journées.
facilement
que
de
bonnes
excuses
de vous
j'ai
trop
auprès
dirai
en ce
quand
je vous
je suis
que
moment
livré
au
double
soin
de
la seconde
édition
de ces Odes
vous
avez
que
été assez
tion
d'un
produire
envoyés
épuisée
?
ma
2"~
avec
jugerez
a publié
le cûtnmenceaoût
d888,
Il en a donné
la fin presaussi
Nous
[mettons
entre
crochets
les
11
décembre
1822
Monsieur
Monsieur
ruiiroduites.
22')
Trébuchet,
Chef
du
Bureau
APPENDICE
des Archives
fecture.
Place
et du Secrétariat
?
Delorme
1.
de Monsieur
Lettre
rue
du Dragon
Paris.
Inédite.
dernière
vivement
Pré-
à son fils Adolphe
Trëbuchet.~
no 45 faubourg
St-Gcrmain
à
~Vnn<e~.
Ta
m'a
de la
Nantes
lettre,
le
3 janvien
mon
cher
1823.
été bien
excellente
dame.
J'aurais
joyeux
à
de
la
Soaussi
d'assister
la
séance
a
ciété
Bonnes
où
Victor
des
Lettres,
obtenu
un
si beau
son
Ode
triomphe
de
la
est
il est
impossible
admirable
Adolphe,
affligé.
le
nouje craignais
Depuis
longtems
tu
et
veau
malheur
'dont
m'entretiens,
dans
ma précédente
tu as dû
voir
lettre,
étaient
mes
relativequels
appréhensions
ment
à l'état
de mon
neveu.
Je
pauvre
avec
voudrais
être
à Paris
pour
partager
toi
les
soins
sa
frères,
qu'exige
faites
en
sorte
triste
situation.
Surtout,
me
trouve
ne manque
de rien.
Je
qu'il
fort
en ce moment
néanmoins
si
gêné
à ses
ses
frères
ne pouvaient
subvenir
une
écris
le moi,
et je vendrai
dépenses,
de ma rente
sur l'état.
portion
Témoigne
à mes neveux
toute
la part
que je prends
à
et
ce
tes
cruel
événement
qui
me
rappelle
nous
ont
noudes
vivement
les malheurs
trop
qui
récemment.
Donne-moi
frappés
velles
le plus
tôt
te sera
qu'il
d'Eugène
nouvelles
Dieu
veuille
ces
possible.
que
soient
meilleures
les dernières
que
de Brian
( ?)
par les occasions
et d'Allory,
tout
a envoyé.
ce que tu nous
Tes
tantes
ont
été
on
ne
plus
peut
à tout ce que tu leur
dis d'affecsensibles
et elles
m'ont
bien
tueux
dans
ta lettre,
J'ai
reçu
recommandé
t'assurer
de
leur
attate
de
elles
m'envoyer
chement
prient
le plus
tôt possible
t'ont
les ordo
'qu'elles
endemandés.
Delair
a égatement
été
chanté
de ta jolie
il se -propose
de
lettre,
te répondre.
Nous
ensemble
avons
déjeûné
à ta
chez
lui
et bu,
avec
du
bon
vin,
santé.
Il
font
mille
t'écrire
ils
te
qu'ils
puissent
est à Rennes
amitiés.
depuis
quinDupré
il s'est
ze jours
son
droit
pour
y faire
enfin
décidé
à prendre
ce parti.
ta lettre
à sa mère.
J'ai
fait
remettre
le
donnes
sur
Les
détails
tu me
que
m'ont
beaubeau
dîner
de Mme
Dumesnil
trouvé
heuJe me serais
intéressé.
coup
des
convives,
reux
d'être
du
nombre
chez
cette
de me
trouver
avec
vous
tous
de
ému.
Dis lui,
lire
sans
être
profondément
ainsi
ainsi
sa charmante
femme,
qu'à
qu'à
la famille
tout ce que je voudrais
Foucher,
Dis
à Victor
leur
dire
moi-même.
que
de
le bonheur
dont
il jouit,
était
l'objet
seront
mes
tous
mes
désirs
vœux,
que
ses
frères
et
je verrai
accomplis
lorsque
assuré.
d'un
bonheur
toi, jouir
également
Présente
aussi
à
la
famille
dis-leur
mesnil,
de pouvoir
rait
ve voix.
Madame
J'ai
mes vœux
de bonne
année
DuFoucher
et
à
Mme
de
ces
vœux
sequ'un
les leur
de viexprimer
à
il y a huit
envoyé,
jours
Dumesnil,
Louise
qui
six
pour
fut
porter
affranchir
d'en
francs
de
le
panier
gibier.
le port.
à la poste,
oublia
de
J'ai
le
aux
macarons
gibier
préféré
j'ai
Châteaubriant
sçu que ces macarons
dans
la première
huin'étaient
bons
que
s'amolissaient
ensuite.
taine,
qu'ils
à tort
a indiqué
le
C'est
prix
qu'on
tu
trouveras
sur
de
beurre
que
lef~pot
Ce
beurre
est
destiné
paquet.
la
de
Corbron.
En
le
à Mme
baronne
mes
lui offrant,
cette
dame
prie
d'agréer
et ma reconnaissance
de ses bonrespects
toi.
coûte
ici
40
à 42
tés pour
Le café
de
droit
sols
la livre
il ne paie
point
dans
ton
entrer
à Paris.
On
croit
est.
qu'il
pour
dans
la capitale.
à meilleur
marché
envoi
de
J'ai
châtaignes
pensé
qu'un
ferait
à mes
neveux.
Je
t'adresplaisir
samedi
le rouserai
donc,
prochain,
par
trois
de
belles
accéléré
boisseaux
lage
seront
Victor
et
deux
châtaignes,
pour
Tu
sa femme,
et le troisième
Abel.
pour
a
encore
eu
la
bonté
de
me
tes bonnes
étrendonner
24 francs
pour
nes.
Ne manque
de lui en témoigner
pas
ta reconnaissance.
Van
Iseghem,
Lavigne.
et Esmein,
ont été
aussi
très
contents
de
attendant
recevoir
une
lettre
de toi.
En
en
paieras
sur ta
prix
230
le
port,
première
dont
note.
tu
porteras
le
APPENDICE
Mellinet
toi et tes
de t'envoyer
pour
chargé
de la
cousins
deux
exemplaires
armoricain.
livraison
du
première
Lycée
Je
te les ferai
le Commisparvenir
par
sionnaire
Briàn.
vous
de
prie
Me)!inet
de lui envoyer
instamment
toujours
queldans
ce
être inséré
que chose pour
journal.
J'ai
entre
m'a
que'nous
Ainsi
les
odes
été
et
déjà
publiées,
nues
ne
ici,
peuvent
le Lycée
armoricain.
les
Je
etc.,
Mr.
tient
de toi,
en regrettant
de
également
ne pas
t'avoir
avec
nous.
de Chateaubriand
La nomination
de Mr.
au ministère
a fait ici le plus
grand
plaisir
à tous
les
ne
royalistes
personne
s'en
moi.
J'ai
réjouit
plus
que
l'espénerance
être
utile
à mes
pourra
qu'il
et
veux,
peut-être
j'en
de la
Abel
bien
une
procurer
apprendrais
Dis-moi
joie.
la
nouvelle
ce
que
à
place
avec
tu
en
penses.
aussi
le Roi
J'ai
été
bien
content
que
ait
fait
25 exemplaires
des
poéprendre
sies
le goude Victor
cela
prouve
que
un peu
de lui.
vernement
enfin
s'occupe
Continue
à me
donner
sur
eux
toujours
ainsi
sur
tous
les
détails
possibles
que
tout
ce qui te concerne
ils auront
pour
moi
le plus
intérêt.
grand
ou dans
serait-ce
de
3 ou
impripar consites
de
la
lui
compte
exemplaires
femme,
de toi.
de
toi.
Je
dîne
chez
lui
toujours
alle jour
des
Rois
avec
ta sœur.
Nous
lons
aussi
la
soirée
quelquefois
passer
chez
Cosson
où
on
s'entreles
familles
Victor
qui 'ont
sont
très
conqui
insérées
dans
'être
Je
n'ai
encore
pu
Deobtenir
son compte
de chez
Mellinet.
d'exemvra-t-il
les
2 douzaines
compter
à Pélicier
des
de
Victor,
poésies
plaires
les lui a envoyées
?
qui
à Victor
Je
au surplus,
écrire
compte,
la première
occasion
de
Billiard
et
par
tout
cela.
je lui expliquerai
Tâche
de
faire
annoncer
~4/M~
donc
ma
notice
sur
séquent
Sèvre
et
de
la
Maine.
en
demander
plusieurs
vous
en enverrai.
sa
me
de
dans'la
Bretagne
Quotidienne
Ne
un
autre
journal
répandu.
annonce
et simple
pure
qu'une
n'a point
encore
4 lignes.
Mellinet
et
mé la 3me édition
de Clisson,
Bona-
Rossel,
parlé
beaucoup
Rossel
te prie
de
voir
souvent
toujours
son
un peu
fils et de stimuler
son
apaà un
thie.
Je
suis
allé
aussi
bal
donné
Mr.
par
beau-père
St-Quentin
d'Ando
Si tu. avais
été
ici tu y aurais
ny
(?).
été
ce sont
des
charmants.
invité
gens
Scheult
n'est
retour
de la camde
qui
s'inforpagne
que
depuis
quinze
jours
et réponds-moi
à ce
le
sujet
y consent
seraient
tôt
Ces
articles
plus
possible.
sous
son
Victor
nom,
imprimés
Hugo.
au surplus,
Je te ferai
observer,
que Melne doit
linet
articles
~cpublier
que des
dits.
les
familles
Doucet
et
Mercier,
my,
ils m'ont
tous
y faipourrions
re mettre
de
vers,
inconnues
pièces
Victor
d'Auà Nantes,
qui sont
signées
se trouvent
dans
le Conet qui
verney
à Victor
s'il
servateur
littéraire.
Demande
pensé
'les
autres
nourriture
ta
pour
de
et février.
janvier
Portière
de
9bre
et Xbre.
Ton
de janvier,
inscription
février
et mars
du
trimestre
d'octobre..
Loyer
de l'a réparation
Remboursement
de la montre
de M. Bosnier.
Je
je
tous nos amis,
Toutes
nos connaissances,
la
nous
avons
vus
à l'occasion
de
que
m'ont
de
toi
avec
nouvelle
année,
parlé
le plus
vif intérêt.
Je
ne te nomme
percar
il me
faudrait
nommer
tout
sonne,
le monde.
Le préfet
un très
beau
bal aua donné
suis
il
il m'avait
invité.
J'y
allé
quel
t'envoie
les
J'ajoute
donnés
par
24
Mr.
fcs
d'étrennes
Detair.
Total
60
te
nombreux
et
extrêmement
brillant.
était
charmantes
et richeLes
femmes
étaient
Les meilleures
choses
ment
étaient
parées.
servies
avec
les glaces,
le punch,
profusion,
les
les
les
pâtissirops,
etc.,
dragées,
ai vu
series
de toute
beauJ'y
espèce.
de ma
de personnes
connaissance,
coup
c.
de
port
en
ci-joint
à vue.
payable
pour
remets
Paris,
231
te
cette
deux
15,00
13,00
8,00
24,00
142,00
lettre
que je
sur
mandats
ont été très
reconMme
Bosnier
la
montre
de
tes
démarches
raccommodée.
Ils
m'ont
chargé
mille
choses
de leur
dire
part.
Mr.
et
naissants
est
bien
de
le
72,00 0
10,00
APPENDICE
Madame
beauqui s'intéresse
à
de lui
acheter
deux
coup
douzaines
en bois,
/7MConté,
ne de plomb
A~°
chez
Giroux,
~4//?Ao/!S~
au
même
endroit
où
tu
as
acheté
les
deux
cahiers
de papier
Envoie
ces
croquis.
occasion.
crayons
par la plus prochaine
et sa femme
Lavéant
me
vu,
que
j'ai
m'avait
de
toi
avec
intérêt.
toujours
enfants
te font
mille
carespetits
ses.
annonce
d'heureuses
Prosper
dispoil a été
fois
le presitions
plusieurs
mier
à son
école
et a obtenu
la croix
ce qui était
un grand
honneur
lui.
pour
ce
et
Lajarriette
te prie
toi,
de crayons
parlent
Nos
t'embrasse
se joint
à moi
qui
te 'prier
de
à l'occasion
pour
présenter
de
la nouvelle
nos
voeux
et nos
année,
à Madame
sentiments
à la faLemaître,
mille
à ma nièce
et à mes
neFoucher,
veux.
Ne
nous
oublie
non
aupas
plus
Joséphine
des
près
attachées.
autres
nous
sont
personnes
qui
Mes .amitiés
à Allory,
Brian.
trois
courriers
Depuis
je ne reçois
plus
le Réveil.
Tu as bien
fait
de ne pas
enles petits
enfans
en ont
voyer
d'étrennes,
et ta sœur
a reçu
d'Allobeaucoup
robe
de mérinos
et une
ry une
pèlerine.
Nous
sortons
fort
le soir,
toujours
tard,
de la préfecture,
ce qui
me
extrêgêne
mes
autres
pour
"mement
occupations.
Nous
avons
bien
à la cruelle
pris
part
Brian.
Tous
faite
tes amis
et
perte
qu'a
reçu
la préfecture
te font
mille
et mille
amitiés.
La famille
est
bien
reconLavigne
de l'envoi
naissante
de Mme
Collin.
mon
cher
accablé
de
Adieu,
Adolphe,
travail,
je ne sais comment
j'ai pu t'écrire
une aussi
lettre.
J'ai
tant
de plailongue
sir
à causer
avec
toi.
toujours
Compte
sur
la
tendresse
de
ton
Louise
père.
t'embrasse.
TRÉBUCHET.
Lettre
Victor
Hugo
son
1
MON
[Si
nous
Le
(1)
nous
que
frapper
Figaro.
mettons
/~?'s'.
CHER
l'affreuse
oncle
8 janvier
entre
1823.
ONCLE,
catastrophe
dans
notre
22
(1).
Trfbuchet
août
~888,
crochets.
qui
frère
a
publié
vient
chéri
les
de
ne
parties
232
pas
excusé
déjà
dans
d'avance
trop
de-
cruellement
votre
cœur,
je vous
à
manderais
'd'avoir
tant
tardé
pardon
vous
ce que ~je sens,
tout
tout
exprimer
ce que
d'heureux
vous
et
je désire
pour
les vôtres.
Maintenant
sompour
que nous
mes deux
cœurs
à vous
il me semaimer,
ble
aime
deux
fois
plus,
que
je vous
est pourtant
bien
difficile.
Votre
qui
notre
vient
nous
la
de
lire
Adolphe
de
bonne
lettre
où
vous
lui
tant
parlez
nous.
Mon
Adèle
en a été
touchée
autant
moi
car
est
mêelle
des
que
pénétrée
mes
sentiments
moi
le
pour
digne
que
frère
de notre
admirable
mère.
Notre
jours
pauvre
dans
un
sa santé,
frère
est
Eugène
état
bien
alarmant,
tousinon
raison.
du
moins
sa
pour
pour
La guérison
sera
extrêmement
Je
longue.
ne puis
à ce déplorable
malheur
songer
sans
rendre
au
ciel
de
ce
grâce
que,
nous
il n'est
était
réservé,
point
puisqu'il
arrivé
du vivant
de ma
mère.
Du
moins
cette
inconsolable
lui a été
réaffliction
servée
évidente
(faute
pour
épargnée
que
à
met
le Figaro),
et elle m'a
été donnée,
dans
moi,
un
moment
où
il
fallait
que
vint
servir
de
car
autre-
quelque
grande
catastrophe
à mon
bonheur
contre-poids
ment
.été plus
j'aurais
heureux,qu'il
à l'homme.
partient
J'ai
fond
vu
avec'
les offres
un
n'ap-
attendrissement
provou-
de service
vous
que
lez
bien
nous
faire
en cette
triste
conà notre
bien
sincère
rejoncture.
Croyez
frais
de cette
maladie
connaissance.
Les
sont
énormes
à la vérité
mais
mon
père
s'en
et
ce
nous
aurons
à
charge,
que
faire
notre
frère
n'est
au dessus
pour
plus
nos
de
Faites
faibles
de
d'Auce
vous
mon
voudrez,
verney
que
excellent
rendez
à Mr.
Victor
Huoncle,
les petits
de ce Mr.
d'Augo tous
péché
tout
ce que
vous
ferez
sera
bien
verney
votre
avec
autant
de
fait.
Je lirai
Lycée
de curiosité,
car
bien
plaisir
je suis
que
tous
nos
sûr
vaudra
mieux
requ'il
que
cueils
des
tout
moyens.]
vers
mauvais
Mr.
littéraires
de Paris.
viens
de publier
ma
deuxième
édi[Je
mon
libraire
s'est
la
de vous
tion,
chargé
faire
Serez
vous
assez
bon
pour
parvenir.]
de
son
exactitude
? Adolphe
m'informer
APPENDICE
de révous
êtes
embarrassé
que
ou
avec
brisant
avec
Pélicier
(en
gler
le
on
a enlevé
le nom)
le
cachet
pour
Comme
de Mr.
Mellinet.
j'ai
compte
petit
mon
avec
arrêté
Pélicier,
je
règlement
bien
Mr.
Mellinet
de vouloir
compprie
lui
suffira.
moi.
Ma
ter
avec
décharge
me
mon
Mille
pardons,
ces
détails
fastidieux.
volumes
bientôt
quatre
Cher
[Je
de
recevez
ainsi
tous
les souhaits
famille,
votre
bonheur
fait
pour
veu
dévoué
et respectueux.
VICTOR
Abel
M. et Mme
Foucher,
Ma
femme,
me
de
malade
et notre
chargent
pauvre
toutes
leurs
félicitations
pour vous à l'occasion
de la nouvelle
année.]
LeLtrcd'A()o)phcTrch~eLet.')sonpërc.h)C(tit.e.
/'af.s',<e
?.5 janvier
~S~.?.
MONCHERPAPA,
letta charmante
bien
tre,
grand
plaisir
être moins
car
en la lisant,
il me semblait
de vous
tous.
J'ai
reçu
également
éloigné
dans
la même
l'excellent
journée,
pâté
de m'ende lièvre
que tu as eu la bonté
de
et pour
voyer
lequel
je te remercie
tout
mon
et les châtaignes
cœur,
qui ont
J'ai
paru
à sa
avant
reçu
elle
m'a
fait
faire
un
femme.
hier
un
grand
plaisir
Ils
sont
on'
à
Victor
et
ne
peut
plus
de
ta
attention
sensibles
à cette
aimable
Abel
àinsi
bon
auquel
j'ai
part
que notre
Elles
n'ont
remis
le tiers
qui lui revenait.
route
à la différence
de
en
point
gelé
me
celles
avec
mon
pâté
qui
qui étaient
flatres
et à moitié
arrivées
toutes
ce
n'était
mais
c'est
pas
perdues,
égal,
le principal
de l'envoi.
J'ai
donné
pour
5 fr.
5 fr.
'de Victor
40,
.les
châtaignes
et 0.40
le port
et -le factage
pour
pour
les
faire
le garçpn.
De
0,50
pour
plus
sont
porter
5,90.
chez
Tu
Victor
n'as
pas
et Abel
besoin
de
écrite
de
fonds
Victor
à
a
causer
toi de tout
ce que
l'amitié
la
chargé
pour
tendre
plus
peut
inspirer.
Mon
oncle
est
arrivé
à
Paris
Hugo
avec
lui
huit
et il a amené
depuis
jours
Il
sa femme,
car
tu sais
est marié.
qu'il
est
venu
Il a fait
à ses
pour
Eugène.
prose.
votre
aimable
que
bien
ardents
que
neéternel
votre
tendant,
envoi
ainsi
de joie
beaucoup
ils
te
remercient
bien
femme
de tous
les témoignages
d'atout
mitié
contenus
dans
ta lettre
et de
à leur
ce
tu
leur
dis
relativement
que
frère
et à eux-mêmes,
et ils m'ont
Eugène
lui
sa
qu'à
sincèrement
paru
de tous
enverrai
atEn
Oncle,
vous
le premier
feras.
tu as
que
avant
voyer
tu me
que
La
lettre
dit
ce
qui fait
mes
lés en-
enfants
si que
à Victor
fort
toutes
sortes
de prévenances
ainsa
nouvelle
femme.
Il a envoyé
un service
de café
en porcelaine
et
beau,
leur
enfin
il
n'a
rien
négligé
Il a
attachement.
à me
voir
pour
son
prouver
fois
plusieurs
a-t-il
les
liens
de famille
resserrer,
dit,
et pour
des soins
me remercier
que j'avais
il
donnés
à Eugène
sa maladie,
pendant
me
voir
le premier.
voulait
même
venir
dernier
avec
Je
suis
allé
chez
lui
jeudi
avec
il m'a
embrassé
et m'a
Abel,
reçu
l'accueil
le plus
avec
les
dehors
amical,
Il m'a
de toi,
les plus
affectueux.
parlé
Il m'a
demandé
t'aimait
beaucoup.
qu'il
pour
demandé
si par son séjour
à Paris
il pouvait
m'être
de quelque
utilité
et que
si par
la suite
le lui dire
besoin
de lui il fallait
j'avais
moi avec le plus
et qu'il
s'emploierait
pour
à Nanj'irais
grand
plaisir.
Que
lorsque
tems
chez
fallait
tes, il
passer
quelques
un
lui
à Blois,
aurait
plaigrand
qu'il
tu devais
être
perque
de
la
tout
ce
viendrait
qui
que
serait
chez
lui avec
toujours
reçu
enIl m'a
le plus
grand
empressement.
fait
nomcore
dit
1810
il t'avait
qu'en
un
Démer
Préfet
'de Guadalacarra
par
sir à
suadé
maison
cret
tu
te
et
voir,
royal,
n'avais
te
qu'il
pas
l'avait
et
répondu,
lui
demandait
jours
Joseph
viendrais
ce~ que
tu
de ta Préfecture,
qui
belles
té
de
l'Espagne,
francs
150.000
lu
que
à toute
ner
avec
chargé
force
lui,
de
ne
écrit
il
pas
prendre
comme
ne
que
que
les
tous
est-
quand
possession
une
des
plus
t'aurait
an.
par
je restasse
que
à ta santé
a bu
l'oublier
et
auprès
rapporIl a vouà
déjeûet
m'a
de
233.–
30
toi
APPEXD:CE
Tu ne seras
je t'écrirais.
pas plus
étonné
de cette
que
je ne le suis
récepmon
cher
tion,
je t'avoue
que
je
papa
ne
attendais
et je croyais
m'y
pas
que
cette
entrevue
se serait
assez
froipassée
II
été
fort
naturel.
ce qui
eut
dement,
neveu
au marm'a
comme
son
présenté
lorsque
de
un
quis
C'est
Sully
qui
'descendant
avec
nous.
directe
du
ce
républicain,
Du
reste
mon
déjeûnait
de ligne
et
de
Sully
plus
ne
s'accorde
guères.
qui
oncle
est
fort
laid
ainsi
grand
que
sa
femme
toi
et
que
a l'air
et
il a peut
être
un pouce
plus
c'est
il est
fort
tout,
gros
extrêmement
il louche
bon,
beaucoup
tu ne le reconnaîtras
pas
je crois
que
ce
toi
portrait
et, je crois,
J'ai
reçu
qui
maigre.
les
deux
le
veux
fort
et
à
grand
du
Lyexemplaires
de
tu m'as
envoyés,
11 y a des morceaux
cpc
Armoricain
que
la part
de Mellinet.
fort
bien
d'autres
écrits,
ainsi
bles
je te citerai
extrêmement
failes
fragments
<Hn
dans
/'<i'o/z~M~e/7!<~
de Savoyage
et
aucune
d'intérêt
venay,
espèce
qui n'ont
sont
mal
les souvenirs
qui ensuite
écrits
Mr.
Richer
de l'Armorique
peut
par
qui
là
en prose
mais
laisse
bien
écrire
qu'il
ensuite
les
inla muse
pièces
poétique
titulées
Observations
Bretons,
/n/~
resur
la
etc.
Celtique
très
honoravue
etc.
bretonne,
figurent
et
à
blement
dans
ce
recueil
il serait
souhaiter
fût
ainsi
comqu'il
toujours
Au
la
reste,
j'exerce
posé.
critique
que
tout
entière
d'aici,
je ne l'exerce
pas
à
nous
nous
mis
moi
y sommes
près
deux
qu'il
Appel
Gaule
aux
notre
Quoi
jugement.
une
belle
annonce
fait
le Réveil
et je
dans
te fera
plaipense
qu'elle
pour
porter
en soit,
j'ai
a été
insérée
qui
te l'envoie.
sir et Mr
Je
Leboyer
n'aurait
japeut-être
de trouserait
bien
aise
le
de
ses
écoliers
pour
mais
pensé
qu'il
un
ver
à Paris
louer
dans
les
journaux.
Tu as une
bonne
idée
dans
le
mettre
morceau
aux
passer
ce sera
Victor
va
a mis
des
annonces
Lycée
remarquable.
où il
naux
de
un
afin
de les presser.
ouvrage,
sur
ce moment
un article
inséré
dans
les Annales.
sera
relativement
dera
l'anonyme
II
n'est
Tâche
tablettes
entièrement
imfaire
un
article
primé.
sur les
dans
le jourromantiques
nal
de Nantes.
mon
N'oublie
article
pas
sur
le livre
du soldat.
Ta
notice
sur
les
sites
de la
Maine
est
fort
remarquable
et il ne
sera
le morceau
le moins
pas
distingué
H paraît
de plaisir
c'est
sans
Je
pas.
mais
du
Cacus
fort
encore
pas
donc
de
livre
de
Mr.
Richer.
qu'il
y a à Nantes
beaucoup
cet hiver.
Je
vous
en félicite,
doute
suis
parce
que
je n'y
n'en
non
ici,
point
plus
manque
souvent
refuse
je ne
des
invitations,
d'abord
aller
parce
puis
partout
que
à la fois,
ensuite
auparce
j'aime
que
tant
aller
une
soirée
quelquefois
passer
chez
Madame
Dum.
ou autres
tranquille
me
serais
doute
Je
sans
inpersonnes.
finiment
amusé
dans
toutes
les
soirées
tu es allé,
où
connaissant
à Nantes
un
je
nombre
de demoiselles
et de jeugrand
nes
et étant
ensuite
au
milieu
de
gens
ma
famille.
Mais
ici c'est
exdifférent,
la
société
de
Madame
cepté
Dumesnil,
et
ne
et
de Madame
toutes
les autres
Foucher,
m'offrent
des
inconnues,
que
figures
ainsi
me
ces
je ne puis
plaire
parmi
Il faut
habipersonnes.
cependant
m'y
tuer
ce qui ne peut
se faire
tout
de
pas
suite.
J'ai
fait
à Madame
Dumesnil
de
part
ce
tu
me
dis
relativement
à elle.
que
Elle
est bien
touchée
de
vos
sentimens
et voudrait,
les mériter
ce que
dit-elle,
ma
sœur
a envoyé
lui a fait un grand
et je
me
suis
plaisir
déjà
acquitté,
je
de
ma
sœur
de
tous
ses
pense,
auprès
remerciemens.
est mieux
Eugène
depuis
quelques jours,
et si il continue,
son
l'empère
pourra
mener
souvent
lui
avec
au
lui
Val
presque
toujours
aussitôt
que la
dans
ses
idées
à
Blois.
Je
vais
le
ment
mon
bien
Grâce et il me demande
de vos
nouvelles.
Mais
fièvre
il retombe
reprend
et
dit
en
extravagantes
les façons.
Je crois
aura
qu'on
la peine
à le tirer
de là.
de
Corberon
te serait
infinisi tu pouvais
obligée
m'envoyer
par
commissionnaire
6 livres
de
café
choisi.
lui ai dit
Je
valait
de
qu'il
40 à 42
avertis-moi
garro-
234
voir
de
de toutes
bien
de
Madame
jourton
pour
Je fais
dans
ton
Anne
qui
Victor
à
son
man.
sols
et
mais
si elle
s'il
en
était
veut
augmenté,
néanmoins
APPENDICE
je
un
te
le
dirai.
Tu
lui
ferais
cellent
également
si tu voulais
lui envoyer
grand
plaisir
8 ou
10 livres
de bon
elle m'en
beurre;
remettrait
le prix
ici.
C'est
une
femme
si excellente
et qui
avait
ma
tante
pour
une
si vive
amitié
enchanje serais
que
té ~de pouvoir
de quelque
utilité.
lui être
Tu
me
à moi
un
ferais
plaisir
grand
de
un
de
beurre
me
glisser
petit
pot
fût.
dans
mon
paquet
quelque
petit
qu'il
On ne trouve
rien
à Paris
pour
déjeûner.
Le
de
était
joli
Prosper
compliment
fort
bien
moi
ce
écrit.
Embrasse
pour
et
charmant
enfant
travaille
si bien
qui
dis-lui
tard
je- le récompenseque
plus
rai de la peine
s'est
donnée
de m'équ'il
ont
crire
une
si jolie
lettre.
Mes
cousins
été
aussi
contents
de
ce
ait
qu'il
de
tout
à eux
et ils l'embrassent
pensé
leur
cœur.
Je joins
au reste
ici une
petite
lettre
cachetée
pour
Prosper,
je l'ai
de
lui
fera
plaisir.
parce
qu'elle
plus
Nous
avons
ici des
froids
extrêmement
la neige
ne quitte
la terpas
rigoureux;
re
et on
sait
cela
finine
pas
quand
rideux
mois
la
saison
est
ra
depuis
nes.
aussi
une
de
Le
Victor
dernier
quelque
ne
qu'Allory
Nantes.
Dis
à Mr.
crire
lui
pour
pour
nos
tantes
Ursulicontenait
d'Allory
paquet
chose
toi.
Je
pense
pour
à
tardera
pas à retourner
Lavéant
que
au dictionnaire
le
prendrai
je
vais
de
sousde
Mr.
voluJe
Langlade.
premier
me et s'il n'est
pas
trop
gros,
je te l'ende
verrai
le commissionnaire
Brian,
par
te remercient
de
Brian,
Rossel,
Allory
leurs
ton
souvenir
et
ils
te
présentent
respects.
La
famille
Madame
DumesFoucher,
mes
cousins
te
font
mille
amitiés
nil,
à toute
la
faainsi
ma
sœur
et
qu'à
mes
mille.
Ne m'oubliez
de
pas
auprès
et sa famille,
M.M.
LaIseghem
nos
la
etc.
Présente
Préfecture,
vigne,
à Monsieur
et
Madame
Boësrespects
la
de
nier,
Jarriette,
Bonamy,
Millet,
etc.
Embrasse
moi
l'exScheult,
pour
amis
ai écrit
Delair
je lui
le commissionnaire
par
Enfin,
d'Allory.
mon
cher
ne
m'oublie
de
papa,
auprès
personne
souvent
ici
parce
que je pense
à tous
nos amis
et parens.
Donne-moi
des
nouvelles
de Louise
ainque
j'embrasse
si que ma sœur
et toute
la petite
famille.
fait
maintenant
?
Que
Auguste
mon
cher
Adieu,
t'embrasse
Papa,
je
et
et
la vie le
suis, pour
le plus
respectueux.
fils
A.
Abel
demeure
8
St.
rue
du
Victor
le
plus
tendre
TRÉBUCHET.
G.
hôtel
ides
conseils
Monsieur
Foucher
8
Vieux
Colombier
rue du Cherche
de
chez
guerre
St.
G.
Le t. t.t'Cft'AdoipheTt'ebuchetiL
son
A~/7,
'Midi
très
et je pense
en est de mêgoureuse
qu'il
doit
me
à Nantes.
Mr.
Crouan
arqui
remettra
river
à Nantes
te
aujourd'hui
une
lettre
à ton
adresse
dans
laquelle
Madame
Hue
tu trouveras
une lettre
pour
et
Monsieur
Van
-2:~
Paris,
MON
CHER
père. inédite.
le ~0 avril
1823.
PAPA,
J'ai
hier
soir
ta lettre
du
7 Avril
reçu
et
le
je m'empresse
d'y
répondre
par
courrier
Il
est
vrai
d'aujourd'hui..
que
dans
le tems,
les
annoncèrent
journaux
l'Ecole
de médecine
était
ouverte
et
que
les
leurs
élèves
que
pourraient
prendre
dans
inscriptions
sonnes
de
dignes
vaient
culté
pour
là que
ouverts.
trompé,
ments
également
serait
remise
ce trimestre-ci,
je t'ai
Mais
ce
foi
mois,
plusieurs
sur ce chapitre
assuré
que toute
dans
et
perm'ala Fa-
son
état
premier
c'est
ced'après
les cours
étaient
écrit
que
malheureusement
je me suis
à ce sujet
les renseignej'ai pris
et on ne sait
même
les plus
exacts
si l'Ecole
s'ouvrira
cette
année.
On
pas
et même
ne prend
je
point
d'inscription
les '35
crois
est inutile
de remettre
qu'il
Les
fcs qu'Allory
m'a
celà.
envoyés
pour
nouveaux
ont
bien
été
insprofesseurs
tallés
mais
ils ne sont
aucunement
prêts
ceà commencer
leurs
cours.
On
pense
pendant
élèves
pourront
qu'ils
sera
permis
lorsqu'il
des
de
prendre
inscriptions,
à la fois
toutes
prendre
eues
cette
année.
n'ont
pas
que
aux
ils
celles
APPEKD:CE
Je
mon
troisième
examen
lundi
ou
au plus
car je ne saurai
tard,
au juste
le jour
et l'heure
demain
que
vendredi.
Je t'assure
celà
m'a
beauque
car il est fort
et difficoup
fatigué
long
cile
et je serai
très
secontent
lorsqu'il
ra terminé.
Je t'écrirai
le jour
même
par
mauvais
passe
mardi
la
poste.
m'a
Daniel
remis
les Lycées
armoricains
et tes lettres
de sa part
aux
j'ai
porté
celle
adressée
et ils
était
Jarry
qui leur
m'ont
remis
50
fcs
sur
il me
lesquels
reste
Victor
et ayant
15 fcs,
ayant
payé
avancé
23 fcs pour
mon
examen
y comet
les
faites
pris
dépenses
que
j'ai
que
tu ne m'as
encore
remboursées.
Ce
pas
sera
le prochain
envoi
sur
pour
lequel
ces
15 francs.
J'ai
fait
mes
je déduirai
il y a dimanche
huit
dernier
pâques
jours,
le jour de Pâques
bien
heumême,
j'étais
reux.
Tu
trouveras
dans
mon
ta
paquet
un
bouteille
de Pyrèthre,
ton
manuscrit,
article
le journal
de Nantes
sur
la
pour
dans
article
rappeler
tes.
II
j'ai
dit
les
autant
que
de
Chateaubriand
naît
le
également
il lui
de
parlera
mier
le voir.
Mr.
de
jour
qu'il
pourra
Chateaubriand
lui a promis
de faire
tout
ce
Nous
attendons
d'un
qu'il
pourrait.
à l'autre
l'insertion
dans
les Annales
jour
je
t'embrasse
soumis
et
voyage.
Cet
o-.vrsge
le
et
augmenté.
mon
ici,
t'aime
bien
respectueux,
P.
S.
t'embrasse
la suite.
Toute
la
famille
de
Paris
ainsi
ma
sœur
et
toute
que
Madame
vous
assure
Dumesnil
tous
de
sa
constante
amitié.
Persan
le
libraire
de Victor
vient
de
faire
faillite
et
ce
dernier
trouve
s'y
engagé
pour
fcs.
1.500
ce
est
très
malheureux.
qui
Pencher
:t Monsieur
Paris,
F
Trebuchct.
mai
~?.
MONSIEUR,
examen
a nécessitées
et nécessite
encore
m'ont
de m'occuper
sérieusement
empêché
de
mon
article
sur
Han
et
d'Islande,
me délasser
à l'œuvre
pour
je me mettrai
aussitôt
examen
sera
Tu
que mon
passé.
attendre
de
peux
que les six exemplaires
Buroleau
soient
vendus
nous
en repour
mettre
le prix.
Je
t'enverrai
par
missionnaire
de Brian
une
lettre
dame
Dumesnil
et un
exemplaire
me le
puis
Mt~o/zf<
de
réparer
fort
curieux
ADOLPHE.
Lettre
de Monsieur
Inédite.
de mon
article
sur
lui.
Toutes
les nouvelles
du
Conservateur
littéraire
sont
d'Abel
et sont
H.
ou A. H.,
tu
signées
les faire
insérer
dans
le Lycée.
Les
peux
études
et fatigantes
mon
appliquées
que
je
campagnes
serait
bon
peut-être
erreur.
Cet
article
est
les recherches
il est
dont
suis
de
terminer
obligé
Je
cher
Papa,
tendrement.
Ton
fils
particulièrement
comme
il conministre
de la marine,
cette
demande
le pre-
du
car il n'est
de moi
mais
de toi.
Il y
pas
a seulement
une
faute.
Tu
dis
le
que
nouveau
est menacé
du même
sort
village
cela
est absolument
l'ancien,
que
impossible
car il en est à plus
de deux
lieues
et je n'ai
mettre
dans
cet
cela
pas
pu
et
article
garde
remis
lui-même
à Mr.
et en la lui recommandant
la lettre
de Mr.
Letorzec
relation
l'aveu
de
tous
les
presque
il est mal
écrit
et rempli
de
royalistes
Ton
sur
Anne
de Brearticle
petitesses.
est sur le chantier
et je te l'envertagne
rai aussitôt
sera
terminé.
Je vais dequ'il
mander
à Abel
une
nouvelle
inédite
pour
votre
Tu
n'aurais
dû
metjournal.
pas
tre mon
nom
à .mon voyage
à Escoublac,
cette
avec
un ?
Lunes
où
se
des
sur ton ouvrage
de Mr.
si tu parles
de ses ouvrages
le journal
de Nantes,
bien
prends
sont
très
Victor
a
libéraux,
qu'ils
Conciergerie
trouve
un
de St-Edme,
de
J'ai
re.
ser
avons
dites
votre
votre
com-
de
Made
la
est fort
à vous
fai
remerciements
plusieurs
C'est
un arriéré
laisje ne puis
que
se
Nous
plus
prolonger
longtemps.
lu avec
vous
avidité
ce que
nous
de
de quelques
des
environs
points
lu
ville.
On serait
tenté
avoir
après
d'aller
établir
ses tentes
dans
notice,
le Comté
duits
de
croître
236
Nantais.
L'échantillon
des
provos
ne
ferait
pâturages
qu'acce désir.
Si les
rives
de vos
ri-
APPENDICE
vières
sont
en
beauté
aussi
supérieures
aux
beurre
rives
de la
Seine
votre
que
l'est
en
bonté
à celui
de' Paris,
il n'y
aurait
à balancer.
pas en effet
Je
voudrais
bien
aller
vérifier
mo.i-même
tout
cela
mais
vois
la
je me
pour
à
troisième
ou quatrième
fois
condamné
remettre
Notre
heureux
nier
part,
tits
pots
arriveraient
loir
quelque
merons
au
ce
lutte
qui
sagrément.
Votre
jeune
me
toujours
jours
gai.
Ma femme
ladie
nerveuse
les
enfants.
est
lui
pour
un
nouveau
est toujours
Adolphe
bon
sage,
toujours
et
les
des
laborieuses
en
faible
mêtou-
enfant
et le
ont
Ils
belle
du petit
les choses
Le
Lettre
dnGunéra)
Ruc
~u
Drngon,
tnëdite.
la
cher
à
noncé
guerre).
de
votre
vé
la
me
Hngon
)o,
Hugo
<\ Adolphe
Blois,
Trébuchât
27 juillet
me
note
contenue
dans
votre
vive
à
vous
HUGO.
5 xtat
en
famille,
promis,
et
le
.<S~
rais
demoiselle
à
en
désireriez
qu'elle
vous
sans
le
Bouche
et
lieu
à
chose
l'ayant
côté
grondé,
répondre
lettre
du
éprouma
fem-
jours
l'a
cesse
mariage
les
fêtes
m'ayant
remis
j'ai
écrire
à
Réfléchissez
237
vous
d'être
presque
réception
cependant
mais
exactitude,
à
la
qu'elle
donné
mon
jour
pressais
aimable
vous
a
vous
parce
an-
plutôt
quelque
temps
autre
d'un
il
eu
les
envoyer
manger
jour
pa-
gratitude,
tous
rappelant
auxquelles
arraché
aurais
adresAdolphe,
je vous
sé plutôt
de votre
cames
remerciemens
deau
est
arrivé
aussi
frais
qui nous
que
bien
si je n'avais
attendu
de
conditionné,
vous
la poste
la lettre
d'avis
de son
par
envoi.
ne
nous
étant
Cette
lettre
pas
la
Gl
j'ai
papa
qu'à
ai
et j'en
thèse
contrariée
de la jolie
1823.
cher
et
Léopold.
les plus
Ado)phe't'ëbuchet
faubou!'gSt-Gcr)n:)in
Adolphe,
votre
plus
tient
Lettre
du Général
chexsonpërc.tnu'tite.
qui
à
de
D.
Loire
InMon
de
heu-
de votre
au bon
souvenir
mille
choses
affectueuses
vos
et sœurs.
frères
Je
vous
embrasse
de
tout
mon
coeur.
Votre
oncle
affectueux,
Nantes.
(Ministère
très
en ont
et bonne
~/o<
chef
de la
TRÉBUCHET,
du départ.
été
s'est
trouvé
si
lait
de sa mère
a fallu
requ'il
Monsieur
Monsieur
la Préfecture
à
férieure
venue
d'Adèle
Rappelez-moi
et
dites
papa
de ma
à
part
FOUCHER.
Mon
couches
et son
reusement
trouvé
une
a déjà
rétabli
la santé
Ma
femme
vous
dit
affectueuses.
traînante
d'une
matoujours
est
à Gentilly
avec
tous
Je
vais
les
tous
rejoindre
les
et le double
jours
voyage
quotidien
à faire,
diminue
la petite
portion
que j'ai
de temps
commis
de la guerre
peut
qu'un
a sa famille
donner
et à ses
amis.
Veuillez
bien
les
asMonsieur,
agréer,
attachement.
surances
de notre
sincère
Sr
Votre
très
humble
et très
obéis..
A
chose.
directeur
car
Paris,
naissant,
mauvaise
qualité
à une
nourrice.
de
si
courir
dé-
le
la date
du
dépoint
porté
n'avons
si des
pu calculer
pede
crème
bien
emballés
vous
encore
assez
frais
vapour
Nous
nous
en inforde la poste
à notre
retour
de
malgré
que le temps
soit
convenable
la
il
saison,
peu
pour
être
à craindre
n'arrivaspourrait
qu'ils
sent
tournés.
Victor
a été dans
de grandes
inquiétu-
à un
autre
voyage
temps.
Victor
n'a
été
pauvre
pas
Hugo
dans le résultat
de la
pécuniaire
de ses
Il a eu afpublication
ouvrages.
faire
à des
et vous
voir
fripons
pouvez
de
dans
le Miroir
comme
il a été
dupe
ces misérables.
eux
dans
ce
Attaqué
par
il a été
réduit
à répondre,
journal,
genre
de
n'ayant
nous
trop
de
et
si
aujourd'hui
je mériteje ne m'emà votre
30.
sur
figurer
l'administration
quelque
où
temps
APPENDICE
à votre
et
ajouter
position
les
amis
de
trouver
parmi
de puissant
restent
quelqu'un
je
pour
rai
appuye.
Quel
à Blois
recevrons
Samedi
ment
à la
mon
Serdernier,
j'ai
prêté
cour
devant
le premier
Royale
et ce serment,
le preprésident
Séguier,
mier
de ma vie n'a
laissé
pas
que de me
faire
une
H contient
certaine
impression.
ce que
tous
les autres
contiennent,
/c-
vous
qui
motif
qui vous
et moi
nous
soit le
que
ma
femme
le
avec
tâcheme
qui
amène
vous
y
/~c
<~M
à la Charte
et
aux
lois
autres
formules
royaume
particulières
à la profession
d'avocat.
Un
arrêt
de la
référé
au
dos
de
notre
cour,
diplôme,
nous
donne
le titre
d'avocat
à la coar
plaisir.
plus
grand
Mr.
Lambert,
de temps
en temps
Voyez
à Lyon
son
affaire
marche
parfaitement
le centre
de la Franet s'organise
dans
à ce
écrit
à votre
père
sujet.
j'ai
ce
deux
ofdes
nouvelles
des
J'ai
reçu
et
donhabitent
Charenton
ficiers
qui
à Eusoins
nent
de ma
part
quelques
son
gène
le même.
Nous
ne
état
est
à
peu
est
trop.
à moi
femme
se joint
très
affectueusement
embrasser
moi
de tout
son
dire
comme
oncle
Votre
bien
Les
et
somme
2 fr. pour
Thibauld.
plus
Mr.
vous
pour
c'est-àcœur.
frais
autres
du
serment
dépetites
monte
à 64
fr.
qui
achetées
graines
pour
les
Serment
44
Souliers
Pantalon
francs
K
.12
?
»
8
2
Thibauld
HUGO.
général
Paris.
la robe
cette
voyer
affectueux,
Le
de
y compris
montent
à 44 francs.
J'ai
été oblipenses
de soufaire
deux
gé de me faire
paires
n'en
à
mettre
liers,
ayant
plus
que
mes
souliers
de
bal
du
Préfet
et
mes
un
et j'ai
acheté
bottes,
également
pantalon
d'été
de
8 francs
ce qui n'est
pas
soit
bon.
ai pas
un
cher
je n'en
qui
m'enmon
cher
Ainsi,
papa,
pourrais-tu
aller
à
Paris
pensons
pas
avant
les couches
d'Adèle..
à
n'écrit
vois
plus
Abel,
je le
trop,
tout
à fait
il s'occupe
personne
quand
raison
bien
une
de littérature.
Je connais
un
mais
me
à l'excuser
peu,
porte
qui
trop
Ma
Roi,
et
Royale
toujours
près
au
a
.66
P.
S.
ciements
fait
trop
remervous
article,
y avez
vous
devrais-je
pas
mot
Adèle.
pour
un
Ci-joint
gronder.
mes
oublier
J'allais
votre
pour
ne
beau,
Tu
une
chambre
mois,
ce
mon
loyer
mois
de
Adolphe
son
Trébuchet
père.
/rM
J'ai
ta
reçu
ainsi
Blon
que
te
et
je
çait
de
l'autre.
belle
lettre
Cette
de
pression
que
tu
pour
rendre
as
de
m'a
lettre
je
ta
puisqu'elle
et
joie
tu m'adresses.
que
contentement
sont
gement
de
me
qu'elle
bien
que
moi
Ces
un
et
digne
ton
fils.
garnies
nes.
~~4f.
On
de
donné
pouvais
contient
des
aux
m'annonl'un
et
plus
recevoir
l'ex-
puissant
je tâcherai
de
la bonne
de
de
général
félicitations
marques
m'ont
née
sieurs
ton
encoura-
qui
toujours
pas
opinion
mais
suite
chez
des
Archives.
plus
de
15
rien
cou-
mes
par
d'une
Mr.
place
de
Rue
convenait
qu'il
à
jours
avoir
DufougeBlois
est
à
préfet
Mr.
de
ne
malsai-
coûtent
de
je pourrais
de
la
Rue
où
Monsieur
La
par
la
chambres
sont
Royaume.
et
paie
dans
ces
plupart
ne
me
la
que
Dumesnil
prêtés
accompagné
de
St-Luc
par
cher
suis
je
parlé
ne
qu'elle
l'avait
obtenue
qu'alors
me
Mr.
238
la
frs.
ne
je
dans
que
été
de
18
Madame
du
Mr.
ou
plus
dernièrement
Archives
allé
15
puisque
et
que
logé
rn~eux
qui
pour
Les
meubles
Salaberry
et
ray
la
à
j'aurais
que
beaucoup
actuel
m'a
papa,
garnie
serait
puisqu'ils
sins.
27avriiparMr.
l'argent
remercie
récompense
ma
thèse
pour
du
~.< ~a:
suis
je
Inédite.
cher
12,50
que
maison
que
même
Lettre
mon
dis,
la
Rue
était
garde
don-
à
ces
mes-
pas
ne la
à
celui
place
a dit
garderait
semaines
3
la
Com-
place.
présente
et
que
les
APPENDICE
candidats
au
Mr.
de
l'intérieur
ministre
qui
ont
dû
aller
chez
ces
messieurs
nomme,
ce dernier
et il y a une
certitude
presentière
La place
est
que
que je réussirai.
de
section
des
1'600
francs
et est à une
de jusarchives
au palais
qui se trouve
tice.
Mr.
de la Rue
le
ayant
témoigné
cette
désir
de me
voir
je dois
y aller
Blonard
introuvable.
Je n'ai
pu voir
encore
les
Rossel
m'ont
dames.
je
qui
crois
de Meltes lettres
et celles
apporté
liriet
Abel.
Mr.
Guesdon
pour
qui est venu
me
voir
hier
aujourd'hui
pour
part
Nantes
et il se
de
cette
lettre.
charge
AnJ'écris
occasion
à MM.
par la même
à
Delair
et Lavigne.
J'ai
écrit
gebault,
semaine
avec
naît
indirectement
et
refais
de
Auguste
je lui
grandes
de ta
Abel
te remercie
bien
montrances,
lettre
à laquelle
il dit
ce
qu'il
répondra
dont
il ne fera
il dit derien
car
comme
un an qu'il
à son père
sans
puis
répondra
servir
un
Si j'étais
Mr.
Gauthier
et
qui
empressement
aux
placé
qui
montre
le
conme
pour
tout
particulier.
Archives,
j'abandonrelativement
projets
à
nerais
alors
mes
la
Préfecture
de
Je
pense
qu'il
police.
est
ton
à Mr.
inutile
d'envoyer
ouvrage
à Mesde
ainsi
d'écrire
Salaberry
que
sieurs
Foucault
et
Je
préfère
Levêque.
Mr.
sache
de Salaberry
je mets
que
que
il est très
toute
ma confiance
en lui, car
ne
de
ce
côté
et
susceptible
peut-être
me
servirait-il
s'il
apprenait
sonnes.
Et
utile
m'être
autant
de
avec
zèle,
pas
d'autres
que
je sers
perde
il
a tant
à cœur
puis
sera
le premier
à cherqu'il
l'avoir
en agira
qu'il
ainsi
à ton égard.
de dire
à Mr.
Il te prie
Mellinet
avec
le plus
qu'il
parlera
grand
de
son
frère
dans
son
plaisir
ouvrage
sur
non
au siège
de Stl'Espagne,
pas
car il est dans
la première
liSébastien,
mais
dans
vraison
est
qui
déjà
parue
entier
un
autre
et il refera
en
endroit,
la note
de Mr.
Mellinet.
Il recevra
également
les renseignements
sur
avec
plaisir
Mr.
Melle Capitaine
Dast
dont
lui parle
saura
personnes
qu'il
pouvoir
il l'a
fait
relativecomme
utiles,
Tu
et St-Luc.
à MM.
Dufougeray
en bonmon
cher
papa,
que je suis
mains
et que
nous
devons
concevoir
linet.
espérances.
grandes
chez
le lythographe
les carJ'ai
porté
tu me
recommandes
et
tes de visite
que
les avoir
à la fin de la semaine.
je dois
lui.
Mr.
Dufort
les
avec
emportera
si j'ai
Je
ne me
envoyé
rappelle
pas
si je ne
ma
thèse
à Mr.
de
Tréméac,
nues
une
cher
m'être
ment
vois,
nes
les
de
l'avais
cher
paserais
bien
de réparer
Je
pa,
les
exemtu
me
aise
renvoyasses
que
car
dont
tu
n'as
besoin
pas
je
plaires
un
seul
à disposer
ici.
Dis
n'en
ai pas
Dumesnil
à Mr. de Tréméac
que Madame
instamment
de la personne
très
s'occupe
et que
de mon
lui a recommandée
qu'il
pas
fait
je te prie,
oubli.
cet
mon
il
quitte
lequel
Paris
j'ai déjeuné
demain
ou
je
crois
vais
on
leur
a servi
Tu
bien
Hyacollation.
juges
que
Elle
cinthe
était
au comble
de
la joie.
contente
et s'habitue
chez
son
onparaît
ils
ont
elle
les
plus
cle
pour
grands
égards.
J'ai
fait
mes
le mardi
de
la
pasques
même
semaine
où
ma
thèse.
j'ai
passé
Mon
oncle
m'a
écrit
il y a quelHugo
jouer
ques
jours
de
toi.
Il
avec
et
elle
il
et
me
parle
longuement
l'affaire
il
dont,
paraît
que
t'avait
réussit
dans
déjà
parlé
parfaitement
certaines
villes
de France
et il serait
fort
heureux
s'établir
un
comptoir
qu'il
put
à Nantes,
car
mon
oncle
pourrait
faire
avoir
la direction.
Je dois
aller
Mr.
Lambert
directeur
de
général
tablissement.
nécessaires
je fais les démarches
pour
trouver
une
convenable.
place
Dufort
et moi avons
Mr.
joué à la baraurait
Paris
re
et je crois
-quitté
qu'il
me
voir
si je ne l'avais
rencontré
sans
Il dcit
dans
Paris.
retourner
l'autre
jour
Boësvu ici Mr.
à Nantes
vers le 15. J'ai
avec
fait
avec
me
quelquefois
promener
Je l'ai
mené
dîner
chez
MaHyacinthe.
dame
Dumesnil
et le soir
dernier,
jeudi
vedes
filles
de
la maison
sont
petites
Je
côté
lui
nier
encore
Tu
les mépaquet
t'amoires
de Jean
de
je crois
7'yo~M
voir
entendu
cet oudire
que tu désirais
donné
été
ainsi
Abel,
vrage
qui m'a
par
de Latour
d'Auque les origines
gauloises
Il
et que
vergne
je t'envoie
également.
fois,
plusieurs
après-demain.
239–
trouveras
dans
mon
t'en
voir
l'é-
APPENDICE
y
a
pour
dans
sa
qu'il
navet
y sont
Mes
mon
une
paquet
des
lettre
d'Allory
un
et
livre
mère,
souliers
envoie
à Joséphine.
Les
de
graines
Mr.
Thibault
m'a
demandées
que
aussi.
cousins
et cousine
la famille
FouMadame
t'assurent
aincher,
Dumesnil,
si que ta bonne
attacheClarisse
de leur
ment
le plus
sans
oublier
Josésincère,
ont
eu bien
de
le tems
phine
qu'ils
peu
voir
à Paris.
à moi
mon
cher
Quant
pat'embrasse
et t'aime
comme
le plus
et
le
des
fils.
plus
respectueux
pa, je
tendre
/~n-s'.
A.
P.
S.
Les
couteau
ont été
de
même
remis
11 mai
TRÉBUCHET,
:<<9;M.
av~.
la corde,
le petit
à leur
adresse.
J'ai
était
l'argent
qui
pour
et
mon
oncle
Clément.
Il
vous
Allory
embrasse
tous
ainsi
sa femme
et la
que
bien
Remercie
petite
Hyacinthe.
Joséphine de sa lettre.
Mille
amitiés
elle
pour
gants,
remis
et
les
à tous
deux
frères.
Mes
petits
respects
nos parents.
<)~~
mon
arQue
</c~
XMy Han
d'Islande.
Profite
le
pour
faire
insérer
de la bonne
où
disposition
est
Abel
le frère
de Mr.
Mellinet.
pour
Assure
bien
notre
attachement
le plus
dans
tout
ce
que
Lettre
de Monsieur
buchet.
inédite.
bonne
filial.
je
mère
de
mon
Je la comprends
te
dis
toi.
pour
&. Adolphe
ZD
Angeba.u)t
Tré
~tt:<es,3jMtH~~4.
SALUT
J'ai
été
au souvenir
server
et
HONNEUR
A MONSIEUR
ET
JOIE
L'AVOCAT,
bien
mon
bon
ami,
sensible,
bien me conque vous voulez
en
l'amitié
je vois
que
peut
tiers
se mêler
à Cujas
et
Barthole
je
ne connais
ces messieurs
mais
guère
j'estime
et je désire
et j'aime
le troisième
être
fort
bien
sur
ses papiers.
toujours
vos
cliens
et
votre
code
vous
Quand
-240-
moments
de donner
permettront
quelques
aux
existe
souvenirs,
rappelez-vous
qu'il
de la cathédrale
un exide Nantes,
près
lé qui
des
se trouvera
heureux
toujours
miettes
vous
laisserez
tomber
pour
que
lui.
Au
demeurant
aimasoyez
toujours
ble
la mélancolie
ne peut
gai et vertueux,
demeurer
sous la toque
d'un
avocat
plus
et
se
n'allez
laisser
l'ennui
cacber
pas
dans
les
de
votre
robe.
Je
vous
replis
le
dénonce
le plus
triste
comme
voisin
sur
avoir.
J'aime
que
oncques
puissiez
un
front
un air
oujeune
serein,
affable,
et sur
soit
cette
écrite
vert,
lequel
paix
de l'âme
d'une
bonne
consqui est le fruit
cience.
ce
mot
trouve
sous
se
Puisque
de vos
ma plume,
nombre
je veux
qu'au
amis
vous
surtout
cet 'excellent
comptiez
Mr.
en
Ronsin,
auquel
je vous
charge
vertu
de la sainte
obédience
d'aller
une
fois chaque
mois
offrir
de mon
l'hommage
En
attachement.
comptant
respectueux
bien
sur
mes
cela
fait
douze
fois
doigts
à
par an, si je ne me trompe,
certes
quant
moi
d'une
constitution
apparemment
plus
faible
croirais
malheureux
si je
je me
ne mangeais
le mois
fois
pour
qu'une
à la
mais
vous
mets
diète,
je vous
je
voudrais
vous
vera
l'époque.
affamé
voir
arri-
quand
le pactole
à l'avenir,
n'existe
Quant
plus,
mon
très
il a épuisé
toute
sa sourcher,
ce et on ne voit
de gens
en robe
guère
se
sur
ses
sais
promener
bords
j'en
bien
moi
un homchose,
qui suis
quelque
me
de robe
si vous
la croyez
meilleure
buvez
rifiée
l'eau
de
la
Seine
claà
mais
et dépurée,
prenez
garde
à Pal'air
l'on
contagieux
que
respire
ris et si vous
vous
trouviez
indisposé
ayez
soin
de recourir
inau médecin
que
j'ai
en
reladiqué.
Prenez-y
garde,
je suis
lation
avec
lui et je lui demanderai
peutêtre
des
nouvelles
de
ses
malades.
A Dieu
et à Marie..
On
me
dérange.
Tout
donc
à
vous
de
de
cœur.
ANGEBAULT,
Je
thèse
crois
vous
avais
écrit
vous
en
pour
n'avez
que vous
à
l'époque
remercier,
pas
reçu
C/M/
de
votre
mais
je
ma lettre.
INDEX
DESCORRESPONDANTS
DE
L'APPENDICE
ÂNGEBAUt.T, chanoine.)~
27 Juin 1822,
3 Juin 1824,
)))!).A!M
a
Marie-Joseph.
pp. 225-226.
p. 240.
il TnËHUCHET~ Marie-Joseph.
~Scpt.onbre'1822,
pp. 228-229.
il
!)uGO~Abe),
20
)823,
pp. 236-2:~7.
HuGO;
Huno,
pp.
pp. 222-223.
227-228.
il ÏHËBUCHET,
1811,
Victor,
LucOTTE~
a TnEBucHËT,
Décembre
1822,
a
TMÈHU<ŒT.
8 Juin
10 Avri)
180-181.
11 Mai
'12 Septembre
~798, pp. ')81-182.
22 Octobre
1798. pp, 182-183.
l:t
Mars
G Mai
1799,
6 Août 1799,
30 Septembre
9 Avril
pp. 183-184.
pp. 184-185.
1800,
pp.'185-186.
pp. 186-187.
p.
pp.
!') 'l'HËBUCHET,
.1820,
pp.
1822,
MiH'ic-Joseji
220-22.1.
pp.
223-225.
pp.
22(j-227.
pp. 233-235.
pp. 235-236.
1823,
1823,
1824,
,)8 Novembre
a
188.
1799,
p. 213.
18t3,
pp.
238-24U.
a HuGO, Sophie.
TnËBucHET,
Marie-Joseph,
20 Avril d809, pp. 201-206.
6 Juin 1809, pp. 208-210.
24 Novembre
1810, pp.2)1-2)3.
1798,
1799,
u PRÉFET de Nantes.
1822.
)4JuiHet.
26
1798,
Sophie.
Marie-Joseph.
Adolphe,
Novembre
25 Janvier
13 février
TnÉHUCHET, Marie-Josep
lsl3,
pp. 213-214.
TnHjtucHET,
'15)~vrier)798,pp.l7ti-178.
2t Mai 1798, pp. 179-180.
29 Novembre
a
]a guerre,
24 Décembre
A()o)phe.
pp.
pp. 232-233.
1823,
MtKtSTRE de
aTnÉnucHHT,Marie-Josep)t.
6 Janvier
1798, p. )75.
1798,
Marie-Joseph.
pp. 229-230.
3Aoutl814,p.214.
27Jui)leH823,p.237..
5 Mai '1824, pp. 237.238.
Août
p. 2)3.
a IfuGO,
LENOHMAXu-Dunuissox,
4 Mai .1809. p. 206.
p. 194.
1802,
9 Mars
)')7-20<.
pp.
)809,
LEBARR[Ë!t DE RiNA~n,
2C Décembre
a t.ENORMAKR-DuBUtssoK.
Sigisbert,
20 Avril 1798, pp. 178-)7').
'3) Juin 1799, pp. 187-)88.
25 Mars
!ai
8 Janvier
a TnÉBUCHET, Marie-Joseph.
)0 Aoù). )82d, pp. 221-222.
d822,
20 au 29
H
Avri)-Mail820,p.2)3.
4 Aoùt -)820, pp. 2)7-2)8.
20 Jui~et
p. 496.
1804,
pp. 20(i-208.
19 Septembre
)8<0, pp. 2tO-2iL
18 au 20 Décembre
)8t0,
p. 213.
a ÏRÉBUCHËT, Auoiphe.
't82d,
pp. 192-193.
-t800,
pp. 193--194.
4Juin)808,p.i')'?.
)2 Avrii t809,
)')TnÉuucHET,Marie-Josep)).
Mai )822 (?),?..223.
')cr Novembre
1800,
21Mai)'?98,p.l80
TnMHUCHRT,
))Jni))et-)820,p.2)7.
Eugène,
2 Juin
191-192.
pp.
A LHXOHMANf)-Du)!UiSSO
HUGO-ÏRÉBUCHET,
Sophie,
.19 Novembre
-n97, pp. 174-175.
a 'l'RÉnucHET,
Marie-Joseph.
Adolphe.
Avril )820,
pp. 2)4-2)3.
25 Mai )820,
pp. 2)5-2)6.
29 Mai )820,
pp. 2)6-217.
HuGO,
1800,
1er Mars
Pierre,
27 Mai
'12 Mai
4Juii!cL
.) 802 (?),?..194.
5 Juiiiet.)803,
pp. 195-196.
Marie-Joseph.
1795, pp. 173-174.
THHHUOtHT,
10 Août
)<'oucHË~,
TnËBucHET,
pp. 189-190.
190-191.
TnÉnucHET,
.18 Novembre
3 Janvier
1820,
p. 220.
Adolphe.
1820, pp. 2.18-220.
1823,
pp.
C
230-233.
–241
31
ADDENDA
Avril.
1816.
1819.
1819.
1822.
major
fondé
du 3 Mai et sur Victor Hugo,
Entrefilet
sur
la séance
des Jeux
Floraux
«jeune
17
a
le
Il
été
de
ans », qui
d'or.
remporté
lys d'or et l'amaranthe
envoyé
par M. Picf. Revue
Mai ~8~9, t. <i, p, 387 et 0</es~7?aMG!6~,
édition
de l'Imencyclopédique,
Nationale,
p. 536.
primerie
Octobre.
Lettre
de V. Hugo
à Guiraud
cf. LÉON SÉCHÉ, Le Cénacle
de la jNM4'e//Y<
çaise,
pp. 42-43.
–7)/aï.–
athlète
naud
1821.
(1822).–7
Le
demande
l'admission
de ses deux
et Eugène,
au
fils, Abel
Hugo
de Gaëte,
en 1796, et tenu par des religieux.
Abel seul est admis
cf. J. RAMco)!ège
BA)D, A~p~.soM.s'Jo.s'c/t
~oMa/)M?-<e,
~~Oô'O~,
p. 293.
Lettre
son père,
Ils deman~Vouem6?'c.
d'Eugène
Hugo
signée
par lui et par Victor.
dent a leur père une pension
convenable
et ils lui reprochent
des mots trop vifs empioyéspar
lui à l'égard
de leur mère.
(Communiqué
par M. Charavay.)
du 3 M:u et sur M. Hugo,
7)/Mt.
Entrefiiet
sur la séance
des Jeux
Fioraux
jeune
poète
de dix-sept
ans. I) a été envoyé
M.
Pinaud
cf.OM?~a/~e.<;
41
mai
1819
et
M".sDébats,
par
e< /af/M,
édition
de l'Imprimerie
Nationale,
p. 536.
1807.
./M!e~Lettre
pp. 264-267.
./uillet.
Article
pp. 469-171.
de
assez
dur
Lamennais
contre
a V.
V. Hugo
Hugo:
par
cf. G.
E.Héreau
SmoN,
L'.Ë'7!/<ïKce
cf. 7!guMe
de
V.
/~K.~o,
t. xv,
encyclopédique,
de V. Hugo
au Directeur
avec
de
~4o~.
Lettre
de la /~euMe eMC!/e/o~e'~«/Me
réponse
M. E. Héreau.
par M. Charavay.)
(Communiqué
de Nantes
d'A. Trébuchet
y)/yaHH:er.
Lettre
de V. Hugo à ses tantes
ursulines
cf. Lettre
à son père,
25 Janvier
1823, voir a t'.4/<?7t<ce.
à V. Hugo
8 Juin.
Lettre
de Lamartine
cf. Revue
de Paris,
~<?Ha?'«K<;
F. //M'/f).
Lettres
15 Avril 1904, pp. 671-672.
inédites
par M. G. Simon,
~3 Juillet.
Naissance
de Léopotd-Victor
Hugo.
16
1823.
6'e~<c/K67'e.
675.
13 TVo~eMt~e.
676.
Lettre
de Lamartine
a V. Hugo
cf. Revue
de Paris,
15 Avril
)904,
pp.
('73-
Lettre
de Lamartine
à V. Hugo
cf. /~efMp
f/e Paris,
c
15 Avril
1904,
pp.
(i75-
TABLE
DES
MATIÈRES
t'fpM
PHK)''ACE.
)-XtV
~-4
t'RKL)MiNA)RES
1815-~8
CHAPmtEPREM)K)(,
CHAt.iTHË
E
H,
5-)3
d849
CHAprrxKH),
~820.
S2-97
CHAPHHRiV,
d8~
98-~8
CHAfiTttK
V,
1822.
CHApnnEVi,
d82K.
CHAt'rntEVH,
1824.
di9~42
~3-~56
157--)(it)
Apt'KN)'i(:Ë.
m-240
)!<DKXDËL'Apt'KNm<
24i
ADDENDA.
242
Luçon.
–tmp.S.t'Mteu.u
-1
INDEX DES CORRESPONDANTS DE L'APPENDICE
ANGEBAULT, chanoine, à TREBUCHET, Marie-Joseph.
27 Juin 1822, pp.
3 Juin 1824, p.
DELAIR à TREBUCHET, Marie-Joseph.
10 Août 1795, pp.
FOUCHER, Pierre, à TREBUCHET, Marie-Joseph.
12 Septembre 1822, pp.
27 Mai 1823, pp.
HUGO, Abel, à TREBUCHET, Adolphe.
20 Avril 1820, pp.
25 Mai 1820, pp.
29 Mai 1820, pp.
11 Juillet 1820, p.
HUGO, Abel, à TREBUCHET, Marie-Joseph.
Mai 1822 (?), p.
HUGO, Eugène, à TREBUCHET, Adolphe.
Avril-Mai 1820, p.
4 Août 1820, pp.
HUGO, Eugène, à TREBUCHET, Marie-Joseph.
10 Août 1821, pp.
1er Novembre 1821, pp.
20 Juillet 1822, pp.
HUGO, Sigisbert, à LENORMAND-DUBUISSON.
20 Avril 1798, pp.
31 Juin 1799, pp.
25 Mars 1802, p.
HUGO, Sigisbert, à TREBUCHET, Adolphe.
27 Juillet 1823, p.
5 Mai 1824, pp.
HUGO, Sigisbert, à TREBUCHET, Marie-Joseph.
6 Janvier 1798, p.
15 Février 1798, pp.
21 Mai 1798, pp.
26 Août 1798, pp.
12 Septembre 1798, pp.
22 Octobre 1798, pp.
29 Novembre 1798, pp.
13 février 1798, pp.
13 Mars 1799, pp.
6 Mai 1799, pp.
6 Août 1799, p.
30 Septembre 1799, pp.
9 Avril 1800, pp.
12 Mai 1800, pp.
2 Juin 1800, pp.
4 Juillet 1800, pp.
1802 (?), p.
5 Juillet 1803, pp.
1er Mars 1804, p.
HUGO-TREBUCHET, Sophie, à LENORMAND-DUBUISSON.
19 Novembre 1797, pp.
HUGO-TREBUCHET, Sophie à TREBUCHET, Marie-Joseph.
21 Mai 1798, p.
4 Juin 1808, p.
12 Avril 1809, pp.
20 au 29 Mai 1809, pp.
19 Septembre 1810, pp.
18 au 20 Décembre 1810, p.
9 Mars 1811, p.
HUGO, Victor, à TREBUCHET, Marie-Joseph.
11 Décembre 1822, pp.
8 Janvier 1823, pp.
LEBARBIER DE RINARD, à TREBUCHET, Marie-Joseph.
26 Décembre 1813, pp.
LENORMAND-DUBUISSON, à HUGO, Sophie.
4 Mai 1809, p.
LUCOTTE, à TREBUCHET, Marie-Joseph.
3 Août 1814, p.
MINISTRE de la guerre, à PREFET de Nantes.
24 Décembre 1813, p.
TREBUCHET. Adolphe, à TREBUCHET, Marie-Joseph.
Novembre 1820, pp.
8 Juin 1822, pp.
14 Juillet 1822, pp.
25 Janvier 1823, pp.
10 Avril 1823, pp.
11 Mai 1824, pp.
TREBUCHET, Marie-Joseph, à HUGO, Sophie.
20 Avril 1809, pp.
6 Juin 1809, pp.
24 Novembre 1810, pp.
18 Novembre 1820, p.
TREBUCHET, Marie-Joseph, à TREBUCHET, Adolphe.
18 Novembre 1820, pp.
3 Janvier 1823, pp.
TABLE DES MATIERES
PREFACE
PRELIMINAIRES
CHAPITRE PREMIER, 1815-1818
CHAPITRE II, 1819
CHAPITRE III, 1820
CHAPITRE IV, 1821
CHAPITRE V, 1822
CHAPITRE VI, 1823
CHAPITRE VII, 1824
APPENDICE
INDEX DE L'APPENDICE
ADDENDA