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MUSINÉMA
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“La totalité de
ma démarche est
centrée sur l’émotion,
la sensation physique,
le ressenti.
Élaborer un nouveau
projet est avant tout
un jeu, le concert en
est l’aboutissement
et la continuité.”
Romain
DESJONQUÈRES
Le quatuor
, créé sous
l’impulsion du compositeur Romain Desjonquères,
est le seul ensemble de violoncelles jouant
en direct des musiques de film. Il est dès
sa création invité dans des manifestations
prestigieuses telles que le festival
de violoncelle de Beauvais 2009.
“La salle plongée dans le noir, quelques notes
de violoncelles tandis que la toile s’illumine,
vous voilà parti pour 1h30 d’émotions.
Porté par la musique du film,
vous vous laissez aller à frissonner,
à rire ou à espérer tant le jeu de l’acteur
Harold Lloyd est irrésistible.
Quelle surprise pour le spectateur
de découvrir ce qu’est le ciné-concert,
ce qu’il provoque toujours en nous !
Car c’est bien la magie des compositions
de Romain Desjonquères qui anime
encore davantage ces images en noir
et blanc. Enfin, la salle se rallume
en silence, puis dans un flot
d’applaudissements vous
redécouvrez ceux qui vous
ont fait voyager à travers le temps,
ces quatre machinistes sans
lesquels rien n’aurait été possible.”
Lucie BEUCHER
3
Valérie
MONTEMBAULT
4
Élève de Marcel Bardon, médaillée d’or
du conservatoire de Créteil à l’âge de 16
ans, licenciée de l’école Normale de Paris
en enseignement, elle entame sa carrière
avec l’OPPL (Orchestre Philharmonique
des Pays de la Loire) en même temps
que l’enseignement au conservatoire
d’Angers. Elle rentrera plus tard en tant
que violoncelliste et comédienne dans
la compagnie Patrick Cosnet, et travaille
également avec le chanteur Michel Boutet.
Laurent
GUITTEAU
Élève de Valérie Montembault, puis de Claude Zanotti
au Conservatoire d’Angers, il se passionne pour
l’intégration du violoncelle dans les musiques
actuelles. Il explore les possibilités du violoncelle
électrique, tout en restant attaché à la culture
classique, et en continuant à la pratiquer.
Cet habitué des studios (on a entendu son violoncelle
au Studioscope - 49, à Karma Studio - 49,
au studio Garage - 75, au studio Davout - 75...)
travaille en parallèle avec le chanteur Benoît Gautier.
Il prépare un projet solo pour 2010.
Jean-Baptiste
NOUJAIM
Élève de Claude Zanotti
au Conservatoire d’Angers,
il y obtient le Diplôme
d’Études Musicales
(D.E.M), ainsi que ceux
de formation musicale,
d’analyse, de piano
complémentaire et de
musique de chambre,
avant de rentrer au
CESMD de Poitiers.
Il enseigne dans
les écoles de
musique d’Angers
et ses alentours,
se produisant
par ailleurs
dans diverses
formations
de musique
de chambre.
Romain
DESJONQUÈRES
Compositeur, violoncelliste,
il effectue le cursus d’écriture
avec Henry-Franck Beauperrin,
titulaire des grandes orgues de
la Cathédrale d’Angers, puis celui
d’Orchestration, au Conservatoire
d’Aubervilliers, avec Guillaume
Connesson.
Il compose sa première symphonie
en 1999 et sort dans la foulée
son premier album.
Les années qui suivent le voient écrire
de nombreuses oeuvres pour musique
de chambre et pour orchestre.
En 2007, il reçoit une commande
de l’orchestre national du Chili.
Il mène en parallèle sa carrière
de compositeur de musique de films :
le premier projet sur lequel il travaille,
‘’0,01’’ (production : FOKUS 21),
sera primé au Festival de San Sebastián.
Il a à son actif 3 longs métrages et plus
d’une quinzaine de courts métrages.
Il crée le Quatuor Musinema en 2007,
réalisant ainsi la synthèse de ses trois
activités de violoncelliste, de compositeur
pour le concert et de compositeur pour l’image.
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Harold Lloyd
Ciné-concert autour
de Harold Lloyd :
deux films entrecoupés
par un entracte
1922, muet, 60 minutes,
pour tous publics dès 5 ans
6
Mildred est une jeune femme
atteinte d’une maladie inventée
de toutes pièces par son
médecin, le docteur Von Sauls
qui trouve là une source
de rente. Un ami de la famille
convainc le père de Mildred
de confier cette dernière
au Docteur Jack, un médecin
de campagne préférant distribuer
la bonne humeur qu’administrer
des remèdes...
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1920, muet, 30 minutes, pour tous publics dès 5 ans
Harold vient de perdre son grand amour et n’attend plus
rien de la vie. De son côté, Mildred vient d’hériter
de la maison de son grand-père, mais à condition
d’y vivre au moins un an avec son mari. Elle épouse
Harold, et tous deux se rendent dans la maison
du grand-père, habitée par un vieil oncle prêt
à tout pour garder la place...
Harold Lloyd
Les films de
parlent
d’optimisme et d’humanité. Les gags s’enchaînent
les uns aux autres en avalanche, à un rythme
effréné et avec une imagination absolument
délirante. Leur dimension historique
est aussi particulièrement touchante :
outre le fait que nous voyions comment
vivaient nos arrières-grands-parents,
imaginez que dans ces films un enfant de 5 ans
est aujourd’hui bientôt centenaire, et qu’une
personne de 80 ans était née avant 1840 !
Ces films nous raccrochent à une réalité
datant de plus d’un siècle et demi.
Écrire un ciné-concert demande
de construire un discours narratif
en se basant sur l’analyse du film avec
l’intention de privilégier une émotion
ou un message particulier.
La leçon de ciné-concert précède
la projection de l’un ou l’autre des films :
.Le Manoir Hanté
.Docteur Jack
Pendant une demi-heure, sur un ton
décontracté et humoristique,
Romain Desjonquères ouvre les oreilles
du public sur les différents thèmes,
la construction de la musique et l’analyse
du film. La profondeur de la présentation
et le langage s’adaptent au public
concerné (enfants ou adultes,
connaisseurs ou novices).
La leçon de ciné-concert a été donnée
par exemple en 2009 devant
500 enfants de 7 ans, au festival
de Violoncelle de Beauvais.
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9
leçon de
ciné-concert
La
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ciné-concert pour 4 violoncelles
électriques et processeurs d’effets.
DISPONIBLE À PARTIR DE SEPTEMBRE 2011
1927, muet, 2h00, à partir de 12 ans
Métropolis est une œuvre mythique
et visionnaire, présentant une mégalopole
tentaculaire, une civilisation sous contrôle
en proie à une course à la technologie.
Ce film futuriste de 1927 a été le premier
film à être intégré au patrimoine mondial
de l’UNESCO.
“Électrifier le quatuor m’est apparu
une nécessité absolue pour travailler
sur ce classique devenu si actuel.
De même que Métropolis a ouvert
une nouvelle porte sur le cinéma
du XXème siècle, l’électronique ouvre
des champs musicaux inédits...”
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Crédits photos
Lucile CHARRIER
Contacts
MANAGEMENT :
Lucie BEUCHER
33(0)6 25 58 18 03
[email protected]
DIRECTION ARTISTIQUE :
Romain DESJONQUÈRES
33(0)6 74 77 73 58
[email protected]
www.romaindesj.com
Remerciements
‡Daniel CARCEL et Olivier HUARD
pour leur soutien
‡Jacques BAUER
‡Le CRR d’Angers
‡Les écoles de musique
de Segré et Pouancé
‡Harold
‡Raymond
conception graphique :
- www.laius.fr - 02 41 20 89 71