Interview de Christophe d`Alençon, tapissier à Issy les Mouline

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Interview de Christophe d`Alençon, tapissier à Issy les Mouline
Interview de Christophe d'Alençon, tapissier à Issy les Moulineaux - France
Click on the underlined words to get their explanation. Surely you will notice
that the words in bold typography into this interview are both used in English
and French. Words in italic between these brackets () show the right way of
saying in French and into these ones [] what happens during the conversation
and of course which you can not see. Words in red color can be unformal,
«street talk» or even slang. In some explanations, the french word «ici»
means that the definition fits just in this very context. Sometimes, I have tried
to find the best synonym in English, though I am aware that my knowledge is
quite incomplete. If you want to help and correct mistakes, please feel free to
leave a comment on my website. Thank you.
–
- Vous aimez votre métier.
–
- Ben, vu le temps que j'y passe...
–
- Il vaut mieux ! rires. Il n'y a pas des choses que vous n'aimez pas ou que vous préférez ?
Qu'est-ce que vous n'aimez pas par exemple dans le métier. Il y a sûrement des choses que
vous aimez moins ?
–
- Non, c'est global. C'est comme si vous demandiez à un cuisinier. Est-ce qu'il n'aime pas faire
une recette un jour ou un autre ?
–
- Oh il y a certainement, oui, certainement des choses qu'il aime moins faire que d'autres, qui
l'amusent moins. Ou peut-être dans la partie de son métier qui l'intéresse le moins. C'est de
faire les achats sur le marché. Non, ça à mon avis c'est la partie drôle.
–
- Non, je comprends bien, mais si vous voulez, il y a plusieurs postes. Il y a ce qui me prend
beaucoup de temps, c'est de gérer la boîte. Oui.
–
- Par exemple, la comptabilité. C'est moins drôle.
–
- Voilà. Parce qu'en fin de compte, que vous fassiez de la tapisserie ou n'importe quoi, le seul
truc qui compte c'est le business, le chiffre (d'affaire). C'est ce que vous donnez aux banquiers
et ce qui vous reste dans votre poche. C'est tout. Moi j'ai le pot de générer ça par de la
tapisserie où je passe douze (12) heures par jour, c'est pas un problème.
–
- Mais il y a aussi l'aspect créatif, esthétique, autre que le business pur ?
–
- Non, non. Je dirais que ce qui me pénalise aujourd'hui, c'est que je ne prends pas le temps
de faire (créer) mes modèles.
–
- Qui les fait dans ce cas-là ?
–
- Non, ce n'est que moi.
–
- Et donc vous êtes en retard sur... ou vous n'anticipez pas c'est ça ? Vous n'avez pas de
temps pour créer ?
–
- Pour créer, pour le mettre ici, (en vitrine)
–
- C'est justement une des questions que j'allais vous poser. C'est à dire, est-ce que vous
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travaillez uniquement sur commande ou est-ce que vous avez la possibilité aussi de travailler
à vos propres créations et de les proposer ensuite ? Et justement, visiblement c'est cette
partie-là que vous n'avez pas le temps de travailler ?
–
- Bon j'ai pas le temps, mais j'ai des clients qui me téléphonent en me disant : "Tiens
D'Alençon, faites-moi un canapé" et ainsi de suite. "Okay, pas de problème ! Vous venez, on
prend une page blanche, on le fait"
–
- Et c'est vous qui l'imaginez ?
–
- Bien sûr !
–
- Et le client n'a aucune idée de ce qu'il veut et il vous fait confiance.
–
- Voilà. Alors ça, grosse connerie de ma part, c'est que je ne les ai pas tous pris en photo. J'en
ai fait pour Lacroix, celui qu'on voit un peu de temps en temps à la télé (télévision) qui est
blanc avec des cornes noires. Il a été fait ici. Il était tellement gros qu'il a pas pu sortir de là.
–
- Et comment vous avez fait ?
–
- Eh ben, je l'ai recoupé en une nuit et on l'a sorti. Et heureusement, parce qu'il ne rentrait pas
chez Lacroix sans ça.
–
- Et maintenant, avec les appareils photo numériques est-ce que vous prenez des photos de
tout ? De tout ce que vous faites ?
–
- J'en ai un là (au magasin)...je ne m'en sers pas.
–
- Oui, vous l'oubliez, vous ne le prenez pas quand vous allez faire une vitrine ? Vous ne le
faites pas systématiquement ?
–
- Là non, les vitrines, non, même pas.
–
- C'est dommage !
–
- Oui oui, non mais si vous voulez, c'est quelque chose dont je vais m'occuper très
sérieusement cette année.
–
- Oui ? Dans l'objectif d'un site (website) ou d'un blog.
–
- Oui, tous les dix (10) ans, en fin de compte, c'est cyclique, tous les dix ans, il faut se remettre
en cause. Mais quand je dis en cause, c'est vraiment en cause à 100%.
–
- Bien, là les technologies ont tellement évolué que ce serait dommage de ne pas en profiter ?
–
- Nous on a un métier, comme je vous dis, c'est beaucoup de relationnel. Le coup d'Internet,
j'ai eu quelques clients qui me disent : "Tiens, est-ce que vous avez Internet ? Je vais vous
envoyer des photos pour faire des devis". "Ouais, Okay". Donc ça passe par chez moi, donc je
reçois (les photos) le soir . Je leur réponds "Ça fait ça, ça fait tel prix"...
–
- Ah vous le faites ça ?
–
- Oui !
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–
- C'est dommage que ça ne se sache pas. En même temps, cela dit...
–
- Jamais eu de nouvelles !
–
- Ah oui ? Donc vous faites un devis gratuit et les gens ne prennent même pas la peine de
répondre ?
–
- Non. Mais c'est logique. C'est un support, on va parler d'Internet, c'est un support où je peux
être là toute la journée et je vais avoir cent (100) e-mails en disant "Voilà, D'Alençon, nani
nana..."
–
- Vous ne ferez plus que ça.
–
- Oui, et ce qui est extrêmement important pour moi, c'est les gens qui rentrent : "Bonjour"
"Bonjour". Moi, quelque chose de bien ficelé, que ce soit les trois (3) canapés, ça me prend
une demi-heure. Là, je suis arrivé, on a pris un papier, un crayon, j'ai dit "Tiens, on va vous
faire ça. Ça vous plaît ? Oui ? OK, c'est combien ? Ça fait tant (Cela fait tel prix). Et après, on
parle de la pluie et du beau temps.
–
- Est-ce que vous êtes cher ?
–
- J'crois pas (Je ne crois pas) Non, je ne crois pas parce que premièrement, vu le boulot que
j'ai, j'ai 80 ou 90% de mes devis qui sont acceptés. Avec Annick Goutal, je leur ai fait presque
un audit de toutes les plantades qu'il y a eu sur leur magasin qui a été restauré en cinq (5)
mois. Je travaille sans devis avec eux.
[Le téléphone sonne]
–
- « Oui, allo ? »
[Reprise de l'interview]
–
- Alors vous disiez que vous ne faites même pas de devis ? Par exemple chez Annick Goutal.
–
- Non, non. On est en telle confiance que je peux passer à 2 ou 3, ou a 5 000 Euros, on ne me
dira rien du tout par rapport aux prestations de service. Je suis impressionné par le nombre de
clients que j'ai fidélisés depuis plus de vingt (20) ans.
–
- Ça veut dire qu'ils sont satisfaits, hein ?
–
- J'en ai... on se suit depuis presque le début où j'ai commencé. J'ai quand même cinquante
deux (52) balais donc j'ai assez de recul pour voir comment ça se passe.
–
- Et que fait votre femme dans le métier ?
–
- Elle, elle s'occupait de tout ce qui est matelas. Réfection des matelas à l'ancienne. Ça, on a
arrêté, terminé.
–
- C'est à dire les matelas en laine, les choses comme ça qui ne se font plus, quasiment ?
–
- Voilà, ça a baissé. Donc ça, on les fait avec le biais d'un ami à nous qui a toujours une
bécane et puis voilà quoi. On s'est mis à deux, et puis elle s'occupe quand je ne suis pas là de
mes clients, elle s'occupe de faire mes courses et ainsi de suite.
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–
- Vos courses, c'est essentiellement quoi ? C'est les tissus ?
–
- Oui, c'est d'aller dans le Faubourg...
–
- Le Faubourg ??
–
- Le Faubourg Saint-Antoine, Déjà, elle s'occupe de la logistique, c'est pas mal.
–
- Est-ce que vous changeriez de métier ?
–
- Ouais !
–
- Qu'est-ce que vous aimeriez faire ?
–
- Peintre. Pas en bâtiment hein !
[Le téléphone sonne]
–
- C'était de vous les tableaux ? [dans la vitrine]
–
- La question est la bonne. Non, non, j'en fais d'autres... «Oui allo ? Ouais !»
[Reprise de l'interview]
–
- Ici on doit recevoir à peu près 2 000 (deux mille) coups de fil par mois.
–
- Vous me parliez des tableaux. On était en train de parler des tableaux...
–
- Oui, je fais des tableaux, mais ils sont en Bretagne. C'est une autre paire de manches. Donc
après je vends tout, je me casse et je fais mes tableaux en Bretagne.
–
- Vous arrêterez quand ? C'est quoi l'échéance, le pallier où vous vous dites "Ben voilà, je suis
arrivé là et puis j'ai envie d'arrêter" ?
–
- Si c'était possible, je dirais que j'arrêterais maintenant. Je continuerais autre chose.
–
- Ah oui. Quoi ?
–
- Les tableaux en Bretagne. Parce que ce qu'il faut savoir c'est que j'adore ça.
–
- Mais quand vous parlez de tableaux, c'est en acheter, en revendre ?
–
- Non, non, je fais des tableaux.
–
- Vous les peignez vous-même.
–
- C'est pas de la peinture. Moi, je fais des tableaux en cuir. Le plus petit doit faire cinquante par
cent (50 x 100 centimètres) et le plus grand fait cent quarante par deux cents (140 x 200
centimètres). Donc, ça c'est des choses à voir. Pour l'instant je ne les montre pas. Si. Il y en a
qui les connaissent.
–
- Pourquoi vous ne les exposez pas là [dans le magasin] ?
–
- Ils plaisent ! Mais j'attends de me faire une petite collection.
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–
- Vous en avez déjà vendus ?
–
- Non. Je ne veux pas les vendre.
–
- Non [rires]
–
- Par contre, on m'a déjà demandé de les acheter.
–
- (Par conséquent) La reconversion est assurée, quasiment.
–
- Non non, parce que le milieu (de la) peinture, je connais extrêmement bien. C'est à dire que
j'ai deux passions, j'ai mon métier plus la peinture. J'achète des tableaux, je ne sais pas
combien j'ai de tableaux mais j'en ai pas mal. Je dois avoir à peu près... soixante dix tableaux,
je ne sais pas. De peintres impressionnistes et tout ça. Des peintres vivants. J'ai des clients qui
sont artistes-peintres et 95% tirent la langue. Parce que la peinture c'est comme le showbusiness, ils peuvent faire aussi Peinture Academy sur la 6. C'est des milieux extrêmement
fermés, extrêmement pourris et si c'est pas vu à la télé... Je connais un type, Joly, un peintre
[http://francois.joly.perso.cegetel.net/galerie.htm], lui il fait de l'hyper-réalisme, et il s'est fait
connaître par Internet et il en vend (des tableaux) aux Etats-Unis. Parce que, attention, moi je
ne suis pas là en train de dire « Internet c'est de la merde, non ! Mais après, si vous voulez, il
faut se donner les temps, les moyens, les structures bien définies de ce que l'on veut.
–
- Il faut prendre le temps de réfléchir.
–
- Les Pages Jaunes, ils m'ont dit "Vous me passez les photos, ceci et celà". Je me connais, je
me connais ! Je suis un bordel organisé ! Donc, il y a un moment où il faut se dire stop ! Donc
je ne fais pas. Je ne fais pas les choses, entre guillemets, à moitié.
–
- Oui, il vaut mieux ne pas les faire du tout que les faire mal.
–
- Voilà. Si j'étais là en train de dire "Merde, j'ai de la clientèle qui me manque et ainsi de suite,
tiens, on va s'occuper d'Internet..."
–
- Ce n'est pas le cas !
–
- Et de plus, comme je vous dis, quand les gens vont chercher un prestataire de service sur
Internet, c'est qu'ils (n')en connaissent pas. On (ne) va pas dire "Tiens qu'est-ce qu'il a fait
D'Alençon aujourd'hui ? Ah, c'est marrant !". Non. C'est pas vrai. Je ne suis pas dans la
(rubrique) déco dans les Pages Jaunes. C'est pas la peine ! Là, j'ai des hôtels qui m'appellent
(au téléphone). J'ai tout un hôtel (à faire). J'ai dit "Alors, vous voulez vraiment un devis hein ?"
Ah, ils l'ont attendu ! Je leur ai fait. Ce que je leur ai dit tout de suite "Vous voulez un devis
comparatif ou vous voulez vraiment un devis ?" Parce que dans l'hôtellerie, je sais comment ça
se passe. Ils vont voir Boussac, Boussac a ses ateliers Hôtellerie. On va voir D'Alençon pour
avoir un devis comparatif.
–
- Oui, ils font un appel d'offre en fait
–
- J'y vais et je sais que ça ne m'intéresse pas. Je sais déjà le résultat des courses. Je ne suis
pas sélectif mais je sais. Je sais comment ça se passe. Alors, pourquoi je vais -excusez-moi
du terme- me faire chier à (faire un devis pour rien).
–
- Oui, et puis c'est sans doute moins amusant. J'imagine qu'il y a moins de dimension
(créative), moins de de liberté...
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–
- Non, non. Moi quand ça rapporte x milliers d'euros... (€)
–
Ah, là vous ne vous posez plus la question.
–
Attendez, moi j'ai une entreprise, j'ai du personnel, il faut que ça tourne.
–
- Mais ça paraît énorme quand même pour travailler à quatre (4) sur -je ne sais pas- la
réfection de tout un hôtel !
–
- Non !
–
- Vous arrivez à fournir ça ?
–
- Non, il y a quarante (40) fauteuils. On les prend vingt fauteuils (par) vingt (20) fauteuils.
Après, les rideaux, ça c'est ma tapissière qui les fait. L'hôtel qui est derrière, je leur ai fait deux
(2) étages ! C'est pas un problème. L'Hôtel Mercure, je leur ai refait tous les fauteuils de la
salle de restaurant gastro «Le Relais de Sèvres», Je leur ai fait 40 chaises démontées,
remontées en quinze (15) jours. Je leur ai dit "Je vous le fais", parce que c'est le groupe Accor.
Donc je leur ai dit "Vous êtes le groupe Accor, vous allez me payer en quatre vingt dix (90)
jours. Moi, je vous fais les chaises en quinze jours. Vous me payez en trente (30) jours.
Okay ? "
–
- Et ils ont accepté ?
–
- "Ben, il n'y a pas de problème Monsieur D'Alençon. On vous paye en 30 jours." Et puis c'est
tout ! Très bien. Okay.
[une cliente entre dans le magasin. Je dois partir, l'entretien est terminé]
–
« Bonjour Madame ! »
Merci.
-----------------------------------------------Fin de la deuxième (2ème) partie---------------------------------------–
Lexique et explications
Verbes
Se casser Partir, s’en aller, en parlant d’une personne. argot (street talk).
Tirer
la On tire la langue, comme quand on a soif, lorsqu’on manque de quelque chose.
langue
Ici, cela veut dire que les artistes-peintres ne gagnent pas suffisamment d’argent.
argot (unformal but o.k.).
Adverbes
quasiment
Presque totalement.
Adjectifs
pourri
gastro
En état de décomposition. Ici, cela signifie que le milieu de la peinture est
particulièrement difficile, malsain, injuste. Rotten.
Raccourci pour « gastronomique » Gastronomical.
Noms communs
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boîte
appareil
numérique
plantade
matelas
réfection
bécane
logistique
échéance
cuir
boulot
site
taf
déco
connerie
truc
Synonyme : une entreprise, une compagnie. argot (unformal but o.k.).
photo Digital camera.
Erreur, travail mal fait argot (unformal but o.k.) Mistake, error.
Mattress.
Rénovation.
Machine argot (unformal but o.k.). Machine.
Logistic.
Deadline.
Leather.
Travail, argot (unformal but o.k.)
Ici, le mot site désigne un site Internet. Website.
Travail en argot (street talk).
Raccourci pour « décoration ».
Mistake, something wrong. argot (strong)
Terme générique pour désigner une chose. Exemple : vous voyez un
objet que vous ne connaissez pas et vous dites «C’est quoi ce truc ?»
Stuff.
Expressions
j'ai le pot
ne prennent même
pas la peine
moment x
hein ?
Se faire chier à faire
quelque chose
bien ficelé
J'ai la chance de (faire, avoir quelque chose).
People do not bother (to do something).
A un moment précis. Like D-Day means this very day.
Ici, cela signifie «N'est-ce pas ?». Isn't it ?
To bother to do something argot (strong, not to use).
Une action ou un objet bien faits, bien finis. Well done, nicely
presented.
on parle de la pluie et On parle de tout et de rien. Casual conversation mostly for the sake
du beau temps
of the conversation and human touch.
J'ai 52 balais
J'ai 52 ans. argot (street talk) I am 52 years old.
à l'ancienne
De façon traditionnelle et/ou artisanale. Traditional, old way to make
artefact.
coup de fil
Un appel téléphonique. Recevoir un coup de fil, donner un coup de fil.
une autre paire de C’est un autre problème, souvent compliqué.
manches
ben
Altération de : Eh bien. Well.
Vu à la télé
Un produit qui porte le label «Vu à la télé» a été diffusé à la télévision,
dans une publicité ou une émission.
Euh
Huh...
En fait
Réellement. Actually.
ouais
Altération de : oui, (really common in french language, unformal but
okay).
C’est de la merde
Ici, cela signifie : ça ne vaut rien. argot (strong, not to use) Just shit,
no worth at all.
ce que je veux dire
Une reformulation plus précise de ce que l’on veut dire. What I
par là
mean…
Merde
Zut ! argot (strong, not to use) Oops !
x milliers d’Euros
Any amount of Euros.
Si vous voulez
Précède une explication, ou une explication différente.
Bordel organisé
Un bordel est une maison où travaillent des prostituées. Ici cela
signifie que le tapissier arrive à s’organiser dans le chaos ambiant.
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argot (very strong, not to use) .
Le sens exact dans le contexte de cette interview
le business pur
Le relationnel
Simply business, nothing else.
Ici : les relations humaines et/ou professionnelles que l'on crée avec
des clients.
"Bonjour" "Bonjour"
Ici cela signifie que les contacts humains sont importants. Les gens
se recontrent et se saluent.
Vous me passez les Vous nous envoyez les photos, etc (et tous les documents
photos, et ceci et cela
nécessaires à la fabrication d’un site Internet).
nani nana...
Remplace une énumération. Synonyme : Etc.
cher
Ici, cela signifie «Est-ce que vos tarifs sont élévés ?» Expansive
« Peinture academy »
Like the popular show «Star Academy» broadcasted on M6 Tv.
Marques et noms propres
Faubourg Saint- La rue du Faubourg Saint Antoine, dans le 11ème arrondissement de Paris
Antoine
concentre de nombreux magasins de meubles, de tissus, et de boutiques
d'artisans du meuble et de la décoration.
La 6
M6, télévision commerciale française hertzienne,
Les
Pages The french « Yellow Pages », create –poor- websites for small
Jaunes
companies and craft industry.
Boussac
Boutiques et ateliers de décoration et de tapisserie.
Annick Goutal
Parfumerie de luxe.
Lacroix
Christian Lacroix est un couturier renommé.
Bretagne
Région de l'Ouest de la France
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