moovcare tm pressbook june 2016

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moovcare tm pressbook june 2016
MOOVCARE TM
PRESSBOOK JUNE 2016
Sivan Innovation - 19 Hartom Street – 97775 Jerusalem – ISRAEL
Standard : +33 (0)1 83 64 45 98 - E-mail : [email protected]
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SUMMARY
FRANCE / GENERAL PRESS
La Parisienne – june 6th 2016
Le journal du centre – june 6th 2016
La montagne – june 6th 2016
La république – june 6th 2016
Le berry – june 6th 2016
L’écho républicain – june 6th 2016
Le figaro – june 6th 2016
Paris-normandie – june 6th 2016
Santé magazine – june 6th 2016
Six-actualités – june 7th 2016
20 minutes – june 7th 2016
Sciences et avenir – june 8th 2016
Top santé – june 8th 2016
France TV Info – june 8th 2016
Ouest France – june 9th 2016
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FRANCE / TRADE PRESS
Socrates Leornado – june 11th 2016
JIM – june 11th 2016
Fondation du souffle – june 13th 2016
La lettre du cancérologue – june 17th 2016
Tic santé – 17 juin 2016
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INTERNATIONAL / GENERAL PRESS
TVA CANADA – June 6th 2016
ABS CBN – June 7th 2016
I24News – June 7th 2016
Tech Qianlong – June 8th 2016
Health Day – June 9th 2016
American Herald – June 10th 2016
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INTERNATIONAL / TRADE PRESS
Asco News – June 6th 2016
Semana – June 6th 2016
Cure Today – June 7th 2016
Health canal – June 7th 2016
New vision – June 7th 2016
Healio – June 7th 2016
Info Europa – June 7th 2016
Ofweek – June 8th 2016
Santé magazine – 6 juin 2016
PM Live – June 8th 2016
Forbes – June 9th 2016
Medical times – June 10th 2016
Pharmaphorum – June 10th 2016
E-med – June 11th 2016
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Sivan Innovation - 19 Hartom Street – 97775 Jerusalem – ISRAEL
Standard : +33 (0)1 83 64 45 98 - E-mail : [email protected]
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Articles
FRANCE / GENERAL PRESS
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GENERAL PRESS / La Parisienne – 6 juin 2016
Cancer du poumon : une application française propose un
suivi personnalisé – 06 Juin 2016
Une application mobile française inédite permet de proposer des soins plus tôt aux patients
atteints d'un cancer avancé du poumon, voire d'accroître leurs chances de survie, grâce à
une meilleure communication entre malade et médecin, selon une étude présentée lundi
aux Etats-Unis.
L'analyse de l'évolution des symptômes décrits par les patients a servi à concevoir un logiciel
(MoovcareTM) permettant un suivi personnalisé à distance et une détection précoce
d'éventuelles rechutes ou complications.
Grâce à "cette application, nous pouvons détecter des complications et des signes de
rechute et proposer des soins plus tôt", a expliqué le docteur Fabrice Denis, spécialiste du
cancer du poumon à l'Institut inter-régional de cancérologie Jean Bernard au Mans (ouest
de la France), concepteur de l'application et auteur de l'étude.
La survie moyenne des patients de cette étude, présentée à la conférence annuelle de
l'American Society of Clinical Oncology (ASCO) à Chicago, a été de 19 mois, au lieu de 12
mois dans le groupe témoin qui a reçu un suivi médical standard.
La qualité de vie des patients utilisateurs de MoovcareTM a également été jugée meilleure.
"Cette approche ouvre une nouvelle ère de suivi médical: les malades, en contact continu
avec leur cancérologue, peuvent donner et recevoir des informations", a-t-il estimé.
"Cette étude confirme l'importance d'améliorer la communication entre le médecin et le
patient", selon le docteur Gregory Masters, un cancérologue professeur de médecine à la
faculté de médecine Thomas Jefferson à Philadelphie, qui n'a pas participé à cette étude.
Après une chimiothérapie, un traitement radiologique ou une intervention chirurgicale,
une partie des 133 patients de l'étude a été choisie au hasard pour utiliser cette application
tandis que les autres ont eu un suivi médical standard: visites chez le cancérologue et un
scanner tous les trois à six mois.
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GENERAL PRESS /La Parisienne – 6 juin 2016 (suite)
Traitement mieux adapté
Les patients équipés de l'application avaient le même calendrier de visites médicales mais
trois fois moins de scanners programmés. Ils l'ont utilisée pour évaluer eux-mêmes leurs
symptômes chaque semaine.
L'application analyse au fur et à mesure les données pour douze symptômes et transmet
les résultats au cancérologue. En cas de changements spécifiques, le médecin est alerté et
adapte le traitement.
Un an après le début de l'étude, 75% des patients équipés de l'application étaient encore
en vie, contre seulement 49% dans le groupe témoin.
Les taux de rechute étaient similaires dans les deux groupes avec 51% et 49%
respectivement. Toutefois, l'état général des patients au moment d'une rechute était assez
bon parmi ceux qui utilisaient l'application, ce qui a permis à la grande majorité (74%) de
pouvoir suivre le traitement recommandé.
Par comparaison, seulement un tiers de l'autre groupe était suffisamment robuste pour
supporter un nouveau traitement.
L'application a également permis de réduire de 50% le nombre moyen de scanners par
malade et par an.
Ce système n'a pas vraiment accru la charge de travail des cancérologues, ajoutant
seulement à leur emploi du temps quinze minutes par semaine de suivi pour 60 patients.
Cela a même entraîné une diminution des appels téléphoniques des patients au cabinet de
leur médecin.
La tumeur du poumon est le cancer le plus fréquent dans le monde avec 1,8 million de
nouveaux cas en 2012 et 1,59 million de décès, selon des chiffres cités par l'ASCO.
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GENERAL PRESS / Lejdc.fr (le journal du centre) – 6 juin 2016
Cancer du poumon : une application française
propose un suivi personnalisé
(AFP) - Une application mobile française inédite permet de proposer des soins plus tôt aux
patients atteints d'un cancer avancé du poumon, voire d'accroître leurs chances de survie,
grâce à une meilleure communication entre malade et médecin, selon une étude présentée
lundi aux Etats-Unis.L'analyse de l'évolution des symptômes décrits par les patients a servi
à concevoir un logiciel (MoovcareTM) permettant un suivi personnalisé à distance et une
détection précoce d'éventuelles rechutes ou complications.
Grâce à "cette application, nous pouvons détecter des complications et des signes de
rechute et proposer des soins plus tôt", a expliqué le docteur Fabrice Denis, spécialiste du
cancer du poumon à l'Institut inter-régional de cancérologie Jean Bernard au Mans (ouest
de la France), concepteur de l'application et auteur de l'étude.
La survie moyenne des patients de cette étude, présentée à la conférence annuelle de
l'American Society of Clinical Oncology (ASCO) à Chicago, a été de 19 mois, au lieu de 12
mois dans le groupe témoin qui a reçu un suivi médical standard. La qualité de vie des
patients utilisateurs de MoovcareTM a également été jugée meilleure.
"Cette approche ouvre une nouvelle ère de suivi médical: les malades, en contact continu
avec leur cancérologue, peuvent donner et recevoir des informations", a-t-il estimé.
"Cette étude confirme l'importance d'améliorer la communication entre le médecin et le
patient", selon le docteur Gregory Masters, un cancérologue professeur de médecine à la
faculté de médecine Thomas Jefferson à Philadelphie, qui n'a pas participé à cette étude.
Après une chimiothérapie, un traitement radiologique ou une intervention chirurgicale,
une partie des 133 patients de l'étude a été choisie au hasard pour utiliser cette application
tandis que les autres ont eu un suivi médical standard: visites chez le cancérologue et un
scanner tous les trois à six mois.
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GENERAL PRESS / Lejdc.fr (le journal du centre) – 6 juin 2016
Traitement mieux adapté
Les patients équipés de l'application avaient le même calendrier de visites médicales mais
trois fois moins de scanners programmés. Ils l'ont utilisée pour évaluer eux-mêmes leurs
symptômes chaque semaine.
L'application analyse au fur et à mesure les données pour douze symptômes et transmet
les résultats au cancérologue. En cas de changements spécifiques, le médecin est alerté et
adapte le traitement.
Un an après le début de l'étude, 75% des patients équipés de l'application étaient encore
en vie, contre seulement 49% dans le groupe témoin.
Les taux de rechute étaient similaires dans les deux groupes avec 51% et 49%
respectivement. Toutefois, l'état général des patients au moment d'une rechute était assez
bon parmi ceux qui utilisaient l'application, ce qui a permis à la grande majorité (74%) de
pouvoir suivre le traitement recommandé.
Par comparaison, seulement un tiers de l'autre groupe était suffisamment robuste pour
supporter un nouveau traitement.
L'application a également permis de réduire de 50% le nombre moyen de scanners par
malade et par an.
Ce système n'a pas vraiment accru la charge de travail des cancérologues, ajoutant
seulement à leur emploi du temps quinze minutes par semaine de suivi pour 60 patients.
Cela a même entraîné une diminution des appels téléphoniques des patients au cabinet de
leur médecin.
La tumeur du poumon est le cancer le plus fréquent dans le monde avec 1,8 million de
nouveaux cas en 2012 et 1,59 million de décès, selon des chiffres cités par l'ASCO.
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GENERAL PRESS / Lamontagne.fr– 6 juin 2016
Cancer du poumon : une application française
propose un suivi personnalisé
(AFP) - Une application mobile française inédite permet de proposer des soins plus tôt aux
patients atteints d'un cancer avancé du poumon, voire d'accroître leurs chances de survie,
grâce à une meilleure communication entre malade et médecin, selon une étude présentée
lundi aux Etats-Unis. L'analyse de l'évolution des symptômes décrits par les patients a servi
à concevoir un logiciel (MoovcareTM) permettant un suivi personnalisé à distance et une
détection précoce d'éventuelles rechutes ou complications.
Grâce à "cette application, nous pouvons détecter des complications et des signes de
rechute et proposer des soins plus tôt", a expliqué le docteur Fabrice Denis, spécialiste du
cancer du poumon à l'Institut inter-régional de cancérologie Jean Bernard au Mans (ouest
de la France), concepteur de l'application et auteur de l'étude.
La survie moyenne des patients de cette étude, présentée à la conférence annuelle de
l'American Society of Clinical Oncology (ASCO) à Chicago, a été de 19 mois, au lieu de 12
mois dans le groupe témoin qui a reçu un suivi médical standard. La qualité de vie des
patients utilisateurs de MoovcareTM a également été jugée meilleure.
"Cette approche ouvre une nouvelle ère de suivi médical: les malades, en contact continu
avec leur cancérologue, peuvent donner et recevoir des informations", a-t-il estimé.
"Cette étude confirme l'importance d'améliorer la communication entre le médecin et le
patient", selon le docteur Gregory Masters, un cancérologue professeur de médecine à la
faculté de médecine Thomas Jefferson à Philadelphie, qui n'a pas participé à cette étude.
Après une chimiothérapie, un traitement radiologique ou une intervention chirurgicale,
une partie des 133 patients de l'étude a été choisie au hasard pour utiliser cette application
tandis que les autres ont eu un suivi médical standard: visites chez le cancérologue et un
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trois fois moins de scanners programmés. Ils l'ont utilisée pour évaluer eux-mêmes leurs
symptômes chaque semaine.
L'application analyse au fur et à mesure les données pour douze symptômes et transmet
les résultats au cancérologue. En cas de changements spécifiques, le médecin est alerté et
adapte le traitement.
Un an après le début de l'étude, 75% des patients équipés de l'application étaient encore
en vie, contre seulement 49% dans le groupe témoin.
Les taux de rechute étaient similaires dans les deux groupes avec 51% et 49%
respectivement. Toutefois, l'état général des patients au moment d'une rechute était assez
bon parmi ceux qui utilisaient l'application, ce qui a permis à la grande majorité (74%) de
pouvoir suivre le traitement recommandé.
Par comparaison, seulement un tiers de l'autre groupe était suffisamment robuste pour
supporter un nouveau traitement.
L'application a également permis de réduire de 50% le nombre moyen de scanners par
malade et par an.
Ce système n'a pas vraiment accru la charge de travail des cancérologues, ajoutant
seulement à leur emploi du temps quinze minutes par semaine de suivi pour 60 patients.
Cela a même entraîné une diminution des appels téléphoniques des patients au cabinet de
leur médecin.
La tumeur du poumon est le cancer le plus fréquent dans le monde avec 1,8 million de
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Cancer du poumon : une application française
propose un suivi personnalisé
(AFP) - Une application mobile française inédite permet de proposer des soins plus tôt aux
patients atteints d'un cancer avancé du poumon, voire d'accroître leurs chances de survie,
grâce à une meilleure communication entre malade et médecin, selon une étude présentée
lundi aux Etats-Unis. L'analyse de l'évolution des symptômes décrits par les patients a servi
à concevoir un logiciel (MoovcareTM) permettant un suivi personnalisé à distance et une
détection précoce d'éventuelles rechutes ou complications.
Grâce à "cette application, nous pouvons détecter des complications et des signes de
rechute et proposer des soins plus tôt", a expliqué le docteur Fabrice Denis, spécialiste du
cancer du poumon à l'Institut inter-régional de cancérologie Jean Bernard au Mans (ouest
de la France), concepteur de l'application et auteur de l'étude.
La survie moyenne des patients de cette étude, présentée à la conférence annuelle de
l'American Society of Clinical Oncology (ASCO) à Chicago, a été de 19 mois, au lieu de 12
mois dans le groupe témoin qui a reçu un suivi médical standard. La qualité de vie des
patients utilisateurs de MoovcareTM a également été jugée meilleure.
"Cette approche ouvre une nouvelle ère de suivi médical: les malades, en contact continu
avec leur cancérologue, peuvent donner et recevoir des informations", a-t-il estimé.
"Cette étude confirme l'importance d'améliorer la communication entre le médecin et le
patient", selon le docteur Gregory Masters, un cancérologue professeur de médecine à la
faculté de médecine Thomas Jefferson à Philadelphie, qui n'a pas participé à cette étude.
Après une chimiothérapie, un traitement radiologique ou une intervention chirurgicale,
une partie des 133 patients de l'étude a été choisie au hasard pour utiliser cette application
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trois fois moins de scanners programmés. Ils l'ont utilisée pour évaluer eux-mêmes leurs
symptômes chaque semaine.
L'application analyse au fur et à mesure les données pour douze symptômes et transmet
les résultats au cancérologue. En cas de changements spécifiques, le médecin est alerté et
adapte le traitement.
Un an après le début de l'étude, 75% des patients équipés de l'application étaient encore
en vie, contre seulement 49% dans le groupe témoin.
Les taux de rechute étaient similaires dans les deux groupes avec 51% et 49%
respectivement. Toutefois, l'état général des patients au moment d'une rechute était assez
bon parmi ceux qui utilisaient l'application, ce qui a permis à la grande majorité (74%) de
pouvoir suivre le traitement recommandé.
Par comparaison, seulement un tiers de l'autre groupe était suffisamment robuste pour
supporter un nouveau traitement.
L'application a également permis de réduire de 50% le nombre moyen de scanners par
malade et par an.
Ce système n'a pas vraiment accru la charge de travail des cancérologues, ajoutant
seulement à leur emploi du temps quinze minutes par semaine de suivi pour 60 patients.
Cela a même entraîné une diminution des appels téléphoniques des patients au cabinet de
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La tumeur du poumon est le cancer le plus fréquent dans le monde avec 1,8 million de
nouveaux cas en 2012 et 1,59 million de décès, selon des chiffres cités par l'ASCO.
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Cancer du poumon : une application française
propose un suivi personnalisé
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patients atteints d'un cancer avancé du poumon, voire d'accroître leurs chances de survie,
grâce à une meilleure communication entre malade et médecin, selon une étude présentée
lundi aux Etats-Unis. L'analyse de l'évolution des symptômes décrits par les patients a servi
à concevoir un logiciel (MoovcareTM) permettant un suivi personnalisé à distance et une
détection précoce d'éventuelles rechutes ou complications.
Grâce à "cette application, nous pouvons détecter des complications et des signes de
rechute et proposer des soins plus tôt", a expliqué le docteur Fabrice Denis, spécialiste du
cancer du poumon à l'Institut inter-régional de cancérologie Jean Bernard au Mans (ouest
de la France), concepteur de l'application et auteur de l'étude.
La survie moyenne des patients de cette étude, présentée à la conférence annuelle de
l'American Society of Clinical Oncology (ASCO) à Chicago, a été de 19 mois, au lieu de 12
mois dans le groupe témoin qui a reçu un suivi médical standard. La qualité de vie des
patients utilisateurs de MoovcareTM a également été jugée meilleure.
"Cette approche ouvre une nouvelle ère de suivi médical: les malades, en contact continu
avec leur cancérologue, peuvent donner et recevoir des informations", a-t-il estimé.
"Cette étude confirme l'importance d'améliorer la communication entre le médecin et le
patient", selon le docteur Gregory Masters, un cancérologue professeur de médecine à la
faculté de médecine Thomas Jefferson à Philadelphie, qui n'a pas participé à cette étude.
Après une chimiothérapie, un traitement radiologique ou une intervention chirurgicale,
une partie des 133 patients de l'étude a été choisie au hasard pour utiliser cette application
tandis que les autres ont eu un suivi médical standard: visites chez le cancérologue et un
suivi médical standard: visites chez le cancérologue et un scanner tous les trois à six mois.
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trois fois moins de scanners programmés. Ils l'ont utilisée pour évaluer eux-mêmes leurs
symptômes chaque semaine.
L'application analyse au fur et à mesure les données pour douze symptômes et transmet
les résultats au cancérologue. En cas de changements spécifiques, le médecin est alerté et
adapte le traitement.
Un an après le début de l'étude, 75% des patients équipés de l'application étaient encore
en vie, contre seulement 49% dans le groupe témoin.
Les taux de rechute étaient similaires dans les deux groupes avec 51% et 49%
respectivement. Toutefois, l'état général des patients au moment d'une rechute était assez
bon parmi ceux qui utilisaient l'application, ce qui a permis à la grande majorité (74%) de
pouvoir suivre le traitement recommandé.
Par comparaison, seulement un tiers de l'autre groupe était suffisamment robuste pour
supporter un nouveau traitement.
L'application a également permis de réduire de 50% le nombre moyen de scanners par
malade et par an.
Ce système n'a pas vraiment accru la charge de travail des cancérologues, ajoutant
seulement à leur emploi du temps quinze minutes par semaine de suivi pour 60 patients.
Cela a même entraîné une diminution des appels téléphoniques des patients au cabinet de
leur médecin.
La tumeur du poumon est le cancer le plus fréquent dans le monde avec 1,8 million de
nouveaux cas en 2012 et 1,59 million de décès, selon des chiffres cités par l'ASCO.
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GENERAL PRESS / Lechorepublicain.fr– 6 juin 2016
Cancer du poumon : une application française
propose un suivi personnalisé
(AFP) - Une application mobile française inédite permet de proposer des soins plus tôt aux
patients atteints d'un cancer avancé du poumon, voire d'accroître leurs chances de survie,
grâce à une meilleure communication entre malade et médecin, selon une étude présentée
lundi aux Etats-Unis. L'analyse de l'évolution des symptômes décrits par les patients a servi
à concevoir un logiciel (MoovcareTM) permettant un suivi personnalisé à distance et une
détection précoce d'éventuelles rechutes ou complications.
Grâce à "cette application, nous pouvons détecter des complications et des signes de
rechute et proposer des soins plus tôt", a expliqué le docteur Fabrice Denis, spécialiste du
cancer du poumon à l'Institut inter-régional de cancérologie Jean Bernard au Mans (ouest
de la France), concepteur de l'application et auteur de l'étude.
La survie moyenne des patients de cette étude, présentée à la conférence annuelle de
l'American Society of Clinical Oncology (ASCO) à Chicago, a été de 19 mois, au lieu de 12
mois dans le groupe témoin qui a reçu un suivi médical standard. La qualité de vie des
patients utilisateurs de MoovcareTM a également été jugée meilleure.
"Cette approche ouvre une nouvelle ère de suivi médical: les malades, en contact continu
avec leur cancérologue, peuvent donner et recevoir des informations", a-t-il estimé.
"Cette étude confirme l'importance d'améliorer la communication entre le médecin et le
patient", selon le docteur Gregory Masters, un cancérologue professeur de médecine à la
faculté de médecine Thomas Jefferson à Philadelphie, qui n'a pas participé à cette étude.
Après une chimiothérapie, un traitement radiologique ou une intervention chirurgicale,
une partie des 133 patients de l'étude a été choisie au hasard pour utiliser cette application
tandis que les autres ont eu un suivi médical standard: visites chez le cancérologue et un
suivi médical standard: visites chez le cancérologue et un scanner tous les trois à six mois.
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trois fois moins de scanners programmés. Ils l'ont utilisée pour évaluer eux-mêmes leurs
symptômes chaque semaine.
L'application analyse au fur et à mesure les données pour douze symptômes et transmet
les résultats au cancérologue. En cas de changements spécifiques, le médecin est alerté et
adapte le traitement.
Un an après le début de l'étude, 75% des patients équipés de l'application étaient encore
en vie, contre seulement 49% dans le groupe témoin.
Les taux de rechute étaient similaires dans les deux groupes avec 51% et 49%
respectivement. Toutefois, l'état général des patients au moment d'une rechute était assez
bon parmi ceux qui utilisaient l'application, ce qui a permis à la grande majorité (74%) de
pouvoir suivre le traitement recommandé.
Par comparaison, seulement un tiers de l'autre groupe était suffisamment robuste pour
supporter un nouveau traitement.
L'application a également permis de réduire de 50% le nombre moyen de scanners par
malade et par an.
Ce système n'a pas vraiment accru la charge de travail des cancérologues, ajoutant
seulement à leur emploi du temps quinze minutes par semaine de suivi pour 60 patients.
Cela a même entraîné une diminution des appels téléphoniques des patients au cabinet de
leur médecin.
La tumeur du poumon est le cancer le plus fréquent dans le monde avec 1,8 million de
nouveaux cas en 2012 et 1,59 million de décès, selon des chiffres cités par l'ASCO.
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GENERAL PRESS / Lefigaro.fr– 6 juin 2016
Une application mobile pour mieux surveiller les
cancers du poumon
Par Cyrille Vanlerberghe - le 06/06/2016
FIGARO DEMAIN - Une application sur smartphone améliore sensiblement la survie de
patients en traitement contre le cancer du poumon en accélérant leur prise en charge en
cas de redémarrage brutal de la maladie.
Grâce à une idée simple mais brillante et une application sur smartphone originale, le
Dr Fabrice Denis, du centre de cancérologie Jean-Bernard (Le Mans), a eu l'honneur de
présenter ses résultats lors d'une session orale au grand congrès mondial de cancérologie
de l'Asco à Chicago, qui rassemble chaque année plus de 35.000 participants. Au terme
d'un essai clinique d'un an et demi, il a prouvé que son application pouvait améliorer
sensiblement la survie de patients venant de recevoir un traitement contre le cancer du
poumon, en accélérant leur prise en charge en cas de redémarrage brutal de la maladie. Un
résultat spectaculaire qui ne nécessite qu'un accès à Internet et des compétences
informatiques minimales, pour utiliser un smartphone ou un site Web.
L'une des difficultés pour les patients traités pour un cancer du poumon est d'être pris en
charge suffisamment vite en cas de rechute. En temps normal, le suivi est réalisé avec un
scanner espacé tous les trois à six mois. Mais cela peut ne pas être suffisant pour détecter
assez tôt une tumeur qui peut croître très vite. «L'idée de l'application, appelée Moovcare,
est de demander au patient de remplir chaque semaine un très court questionnaire de
santé avec 12 symptômes simples à décrire, comme la fatigue, la perte de poids, la fièvre ou
encore la toux, explique Fabrice Denis en manipulant l'application, très simple d'utilisation,
sur son smartphone.
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GENERAL PRESS / Lefigaro.fr– 6 juin 2016 (suite)
Nous avons mis au point un algorithme de traitement qui, en combinant les différents
symptômes rapportés, permet d'envoyer un message d'alerte à l'équipe soignante si on
soupçonne une rechute.» L'équipe soignante prend ensuite contact avec le malade pour
faire des examens supplémentaires et reprendre s'il le faut un traitement.
L'une des difficultés pour les patients traités pour un cancer du poumon est d'être pris en
charge suffisamment vite en cas de rechute. En temps normal, le suivi est réalisé avec un
scanner espacé tous les trois à six mois. Mais cela peut ne pas être suffisant pour détecter
assez tôt une tumeur qui peut croître très vite.
« L’idée de l'application, appelée Moovcare, est de demander au patient de remplir chaque
semaine un très court questionnaire de santé avec 12 symptômes simples à décrire, comme
la fatigue, la perte de poids, la fièvre ou encore la toux, explique Fabrice Denis en
manipulant l'application, très simple d'utilisation, sur son smartphone. Nous avons mis au
point un algorithme de traitement qui, en combinant les différents symptômes rapportés,
permet d'envoyer un message d'alerte à l'équipe soignante si on soupçonne une rechute.»
L'équipe soignante prend ensuite contact avec le malade pour faire des examens
supplémentaires et reprendre s'il le faut un traitement.
16
Taux de survie bien meilleur
Lors d'une étude précédente, Fabrice Denis a pu prouver que l'état de santé général d'un
patient pouvait être un indicateur fiable d'un retour du cancer. «75 à 90 % des rechutes
donnent très vite des symptômes visibles», explique le cancérologue. L'étude présentée au
congrès de Chicago a permis de prouver l'efficacité de la technique sur 133 patients. La
moitié d'entre eux utilisaient l'application et les autres étaient suivis par un scanner tous les
3 ou 6 mois, suivant leur condition. Et les résultats sont clairement positifs.
«Il y a eu trois fois moins de décès au bout de 18 mois parmi les utilisateurs de l'application,
se félicite Fabrice Denis. Grâce à l'application, on peut détecter la rechute plus tôt et
relancer un traitement sur un patient qui est encore dans un bon état de santé générale.»
Au bout d'un an, le taux de survie était de 75 %, contre 49 % pour les patients qui n'avaient
fait qu'un scanner régulier.
Des résultats si clairs que l'étude a volontairement été arrêtée au bout de 18 mois, pour
permettre à tous les volontaires de l'essai d'avoir accès à l'application. L'application
Moovcare, développée par l'entreprise Sivan Innovation, fait l'objet d'une demande
d'autorisation de mise sur le marché en tant que dispositif médical.
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Standard : +33 (0)1 83 64 45 98 - E-mail : [email protected]
GENERAL PRESS / Paris-normandie.fr – 6 juin 2016
Cancer du poumon : une application française
propose un suivi personnalisé
Une application mobile française inédite permet de proposer des soins plus tôt aux patients
atteints d’un cancer avancé du poumon, voire d’accroître leurs chances de survie, grâce à
une meilleure communication entre malade et médecin, selon une étude présentée lundi
6 juin aux Etats-Unis.
Une application mobile française inédite permet de proposer des soins plus tôt aux patients
atteints d’un cancer avancé du poumon, voire d’accroître leurs chances de survie, grâce à
une meilleure communication entre malade et médecin, selon une étude présentée lundi
6 juin aux Etats-Unis.
L’analyse de l’évolution des symptômes décrits par les patients a servi à concevoir un logiciel
(MoovcareTM) permettant un suivi personnalisé à distance et une détection précoce
d’éventuelles rechutes ou complications.
Grâce à «cette application, nous pouvons détecter des complications et des signes de
rechute et proposer des soins plus tôt», a expliqué le docteur Fabrice Denis, spécialiste du
cancer du poumon à l’Institut inter-régional de cancérologie Jean Bernard au Mans (ouest
de la France), concepteur de l’application et auteur de l’étude.
La survie moyenne des patients de cette étude, présentée à la conférence annuelle de
l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) à Chicago, a été de 19 mois, au lieu de 12
mois dans le groupe témoin qui a reçu un suivi médical standard.
La qualité de vie des patients utilisateurs de MoovcareTM a également été jugée meilleure.
«Cette approche ouvre une nouvelle ère de suivi médical: les malades, en contact continu
avec leur cancérologue, peuvent donner et recevoir des informations», a-t-il estimé.
«Cette étude confirme l’importance d’améliorer la communication entre le médecin et le
patient», selon le docteur Gregory Masters, un cancérologue professeur de médecine à la
faculté de médecine Thomas Jefferson à Philadelphie, qui n’a pas participé à cette étude.
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GENERAL PRESS / Paris-normandie.fr – 6 juin 2016 (suite)
Après une chimiothérapie, un traitement radiologique ou une intervention chirurgicale,
une partie des 133 patients de l’étude a été choisie au hasard pour utiliser cette application
tandis que les autres ont eu un suivi médical standard: visites chez le cancérologue et un
scanner tous les trois à six mois
Traitement mieux adapté
Les patients équipés de l’application avaient le même calendrier de visites médicales mais
trois fois moins de scanners programmés. Ils l’ont utilisée pour évaluer eux-mêmes leurs
symptômes chaque semaine.
L’application analyse au fur et à mesure les données pour douze symptômes et transmet
les résultats au cancérologue. En cas de changements spécifiques, le médecin est alerté et
adapte le traitement.
Un an après le début de l’étude, 75% des patients équipés de l’application étaient encore
en vie, contre seulement 49% dans le groupe témoin.
Les taux de rechute étaient similaires dans les deux groupes avec 51% et 49%
respectivement. Toutefois, l’état général des patients au moment d’une rechute était assez
bon parmi ceux qui utilisaient l’application, ce qui a permis à la grande majorité (74%) de
pouvoir suivre le traitement recommandé.
Par comparaison, seulement un tiers de l’autre groupe était suffisamment robuste pour
supporter un nouveau traitement.
L’application a également permis de réduire de 50% le nombre moyen de scanners par
malade et par an.
Ce système n’a pas vraiment accru la charge de travail des cancérologues, ajoutant
seulement à leur emploi du temps quinze minutes par semaine de suivi pour 60 patients.
Cela a même entraîné une diminution des appels téléphoniques des patients au cabinet de
leur médecin.
La tumeur du poumon est le cancer le plus fréquent dans le monde avec 1,8 million de
nouveaux cas en 2012 et 1,59 million de décès, selon des chiffres cités par l’ASCO.
Une application mobile française inédite permet de proposer des soins plus tôt aux patients
atteints d’un cancer avancé du poumon, voire d’accroître leurs chances de survie, grâce à
une meilleure communication entre malade et médecin, selon une étude présentée lundi
6 juin aux Etats-Unis
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GENERAL PRESS / Santémagazine.fr– 6 juin 2016
ASCO 2016 : Cancer du poumon, une appli pour
détecter les rechutes
Une étude présentée au congrès mondial de cancérologie (ASCO), qui se tient du 3 au 7 juin
à Chicago, montre l’intérêt d’un suivi régulier à distance à l’aide d'une application numérique
chez des patients traités pour un cancer du poumon.
« Il s’agit d’une application numérique qui vise à améliorer le suivi des patients atteints d’un
cancer du poumon qui, après traitement (chimiothérapie, radiothérapie) sont à fort risque de
récidive », explique le Dr Fabrice Denis, cancérologue, radiothérapeute à l’Institut Jean
Bernard au Mans.
Disponible sur tablette ou smartphone, cette application permet au patient d’entrer
toute une série de données sur son état de santé (perte de poids, toux, essoufflement, fièvre,
douleur…), autant de symptômes qui peuvent être le signe d’une rechute. Ces données sont
ensuite analysées par un programme informatique, et à la moindre anomalie, le médecin est
averti par mail et se met en relation avec le patient.
Plus efficace que la surveillance par scanner
L’application est expérimentée depuis quatre ans. L’étude SENTINEL présentée ce lundi à
l’ASCO, a porté sur 133 patients qui ont été suivis avec cette application numérique. Elle
confirme son intérêt : une détection plus précoce de la rechute qui permet d’optimiser le
traitement et d’augmenter le taux de survie (75% contre 49% avec la surveillance par
scanner).
Cette application appelée Moov Care, développée par la société franco-israélienne, SIVAN
Innovation, sera disponible dès septembre prochain pour les spécialistes (cancérologues et
pneumologues). Des discussions sont en cours avec les autorités de santé afin qu’elle soit
remboursée.
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GENERAL PRESS / Sixactualités.fr– 7 juin 2016
MoovCare : une application qui simplifie le
suivi en partie auto-géré des malades d’un
cancer du poumon
PAR ERIC FRANÇONNET ·
Afin de permettre aux patients atteints en France d’un cancer du poumon, une application
mobile permet de les suivre à distance et de les faire se rendre moins fréquemment pour
des examens en milieu hospitalier. Un gain d’autonomie et de temps sont le double
bénéfice pour le malade qui voit ainsi sa vie beaucoup moins dramatiquement bouleversée
par cette maladie. Nous nous permettons de vous rappeler que le cancer du poumon est
l’un des plus répandus : le nombre de nouveaux cas par an est d’environ 1,2 million partout
dans le monde dont 45 000 en France. Il demeure parmi les plus fatidiques en dépit de
progrès thérapeutiques indéniables.
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Une application mobile baptisée « MooveCare » qui va rendre plus confortable le
quotidien des cancéreux du poumon a été présentée lors de l’ASCO
Le congrès, à la notoriété planétaire, de la Société américaine d’oncologie clinique, du 3 au
7 juin à Chicago, a mis -ce qui est assez rare pour être souligné- une étude française à
l’honneur, présentée ce lundi 6 juin par le Docteur Fabrice Denis. Elle se démarque par son
caractère quelque peu insolite : elle ne met pas en avant une percée thérapeutique se
révélant majeure mais une application mobile inédite, appelée MoovCare, qui a pour
l’instant rempli l’ensemble des promesses de son ressort : une diminution notable du
nombre de scanners, une amélioration de la qualité de vie mais surtout de la survie à un an.
En bref, que du bonus, quant à la simplification d’un suivi et une santé révélée gagnante qui
libèrent le patient, prétendant loin d’être idéaliste, à une vie -presque- normale. Notons que
ce protocole en ligne est destiné aux malades en rémission et libéré de tout traitement avec
un facteur cependant véritablement très élevé d’une rechute parfois difficile à esquiver.
Voici le panel des options offertes au patient, usager sérieux de MoovCare : remplir une fois
par semaine une liste de 12 critères simples, avec entre autres, son poids ou l’intensité de sa
douleur.
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GENERAL PRESS / Sixactualités.fr – 7 juin 2016 (suite)
Ce sont donc des données personnelles essentiellement préventives mais qui peuvent
prévenir du pire ressuscitant et nous le savons plus un cancer, nouveau ou de retour, a un
diagnostic précoce, plus les chances de survie sont élevées. Il a été également déclaré que le
scanner pouvait, plus que l’application intuitive, se révéler de très loin moins fiable car il
intervient souvent trop tard et que le critères simples, avec entre autres, son poids ou
l’intensité de sa douleur. Ce sont donc des délais d’attente entre deux passages est beaucoup
trop long fréquemment.
Une étude aux résultats de très bon augure sur un panel humain : « MoovCare » est dans les
starting-blocks pour une course universelle séduisante
Une étude a été diligentée pour démontrer les bénéfices de MoovCare avec un essai clinique
multicentrique de phase 3, comme dans le cadre englobant les médicaments. Le panel de
cobayes humains s’est élevé à 133 patients qui ont été répartis avec un pur hasard dans deux
groupes distincts : pour les uns un suivi avec un scanner tous les 3 mois, pour les autres un
suivi avec l’application mobile. Les résultats jouent en la faveur des utilisateurs de MoovCare
: ils ont subi 4 fois moins de scanners que les autres et, à souligner, autre statistique notable
penchant en la faveur de la toute nouvelle appli, la survie au-delà de 1 an (étape souvent
critique) est passée de 49 à 75 %. Selon ses concepteurs à qui nous pouvons adresser des
éloges, l’application aurait déjà, de coup de com en coup de coeur, séduit les autorités de
santé en France et notamment cette haute instance qu’est l’HAS. « Nous avons discuté avec
la Haute autorité de santé ; nous avons été bien accueillis. Les démarches pour obtenir une
autorisation de mise sur le marché ont déjà été entamées, se réjouit Régis Senegou, aux
commandes de sa société Sivan innovation, qui a développé l’application.
Nous espérons avoir un remboursement pour l’automne 2017. » L’application se décline déjà,
signe annonciateur d’une conquête marketing, en plusieurs langues : « L’international va
être une ambition très rapide, confie Fabrice Denis.
Aux Etats-Unis les associations de patients pourraient être très intéressées par l’appli qui
remet le patient au cœur de sa prise en charge, et aussi qui limite largement les coûts. Ici un
scanner coûte près de 4000 dollars. »
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GENERAL PRESS / 20 minutes– 7 juin 2016
Cancer du poumon: Une application française
permet un premier suivi en direct entre le
patient et son médecin
HIGH-TECH Moocare permet un suivi personnalisé à distance et une détection précoce
d’éventuelles rechutes ou complications…
Une nouvelle application mobile française permet de proposer des soins précoces aux
patients atteints d’un cancer avancé du poumon, voire d’accroître leur espérance de vie
grâce à une meilleure communication entre le malade et son médecin.
Réalisée par les équipes du docteur Fabrice Denis, spécialiste du poumon à l’Institut interrégional de cancérologie Jean Bernard au Mans (Pays de la Loire), une étude a permis
d’assurer que le logiciel Moovcare, créé suite à l’analyse de l’évolution des symptômes
décrits par les patients, permettait effectivement un suivi personnalisé à distance et une
détection précoce d’éventuelles rechutes ou complications.
Les utilisateurs de Moovcare ont une vie jugée « meilleure »
Dans une étude présentée ce lundi aux Etats-Unis lors de la conférence annuelle de
l’American Society of Clinical Oncology (Asco, Chicago), le docteur a expliqué que la
survie moyenne des patients ayant participé à cette étude a été de dix-neuf mois contre
douze mois dans le groupe témoin qui a reçu un suivi médical standard. La qualité de vie
des patients qui ont utilisé Moovcare a également été jugée « meilleure ». « Cette approche
ouvre une nouvelle ère de suivi médical : les malades, en contact continu avec leur
cancérologue, peuvent donner et recevoir des informations » a expliqué le docteur Fabrice
Denis, également concepteur de l’application.
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GENERAL PRESS / 20 minutes– 7 juin 2016 (suite)
Trois fois moins de scanners programmés
« Cette approche confirme l’importance d’améliorer la communication entre le
médecin et le patient », a, de son côté, estimé le docteur Gregory Masters, cancérologue
professeur à la faculté de médecine Thomas Jefferson à Philadelphie (Pennsylvanie).
Après une chimiothérapie, un traitement radiologique ou bien une intervention
chirurgicale, une partie des 133 patients de l’étude a été choisie au hasard afin d’utiliser
cette application. Ils ont bénéficié d’un calendrier de visites médicales standard avec
trois fois moins de scanners programmés et l’application leur a permis d’évaluer euxmêmes leurs symptômes chaque semaine. Si des changements spécifiques
étaient détectés, le médecin était alerté et adaptait d’emblée le traitement.
Bilan : un an après le début de l’étude, 75 % des patients équipés de l’application étaient
encore en vie, contre seulement 49 % des membres du groupe témoin qui avait hérité
d’un suivi médical standard (visites chez le cancérologue et scanner tous les trois à six
mois).
Une commercialisation début 2017 ?
De plus, 74 % des patients utilisant l’application ont pu suivre le traitement
recommandé, contre seulement un tiers du groupe témoin, trop affaibli pour supporter
un nouveau traitement. Des taux de rechutes similaires ont cependant été observés
dans les deux groupes : 51 % et 49 % respectivement.
Moovcare n’est encore qu’un prototype, mais elle pourrait être commercialisée début
2017par la société israélienne Sivan Innovation. Aucune information sur le prix n’a filtré,
sachant que l’application nécessite de « mobiliser une infirmière ou d’autres personnels
dans le cabinet pour regarder les données transmises par les malades et y répondre, ce
qui est le vrai coût supplémentaire de ce système », a lâché le docteur Patricia Ganz,
cancérologue de la faculté de médecine de l’université de Californie (Los Angeles).
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GENERAL PRESS / Sciencesetavenir.fr– 8 juin 2016
ASCO 2016. Cancer du poumon : une application
pour gagner 7 mois de vie
Publié le 08-06-2016 à 09h23 Par Sylvie Riou-Milliot
De notre envoyée spéciale au congrès mondial sur le cancer de
Chicago (ASCO). Une présentation française a été remarquée : un
programme informatique qui permet de détecter plus rapidement
les signes de rechute du cancer du poumon.
SUIVI. "Cocorico" de rigueur à l’Asco, le congrès mondial sur le cancer qui se tient à Chicago
du 3 au 7 juin 2016, avec une présentation made in France applaudie en conférence de
presse. Un travail made in Le Mans (Sarthe) illustre comment le suivi des patients atteints
de cancer du poumon peut être largement amélioré par un algorithme. Résultat : 7 mois de
survie supplémentaires ! Le Dr Fabrice Denis oncologue à l’institut interrégional de
cancérologie Claude Bernard (Le Mans) a présenté ce jour les résultats d’un travail astucieux
mené pendant un an sur 121 patients. Tous étaient suivis pour un cancer du poumon inclus
dans l’étude une fois leurs différents traitements (chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie)
achevés.
Meilleure détection des rechutes
Un premier groupe (une soixantaine) recevait un suivi dit standard (rendez-vous réguliers
avec l’oncologue et scanners). Le second utilisait en plus, chaque semaine l'application
Moovcare et notifiait, via son ordinateur, une tablette ou un smartphone, l’apparition de
différents symptômes ( fatigue, toux, essoufflement, douleur, perte d’appétit, fièvre…),
autant de signes évocateurs d’une rechute. Ce report pouvait d’ailleurs être effectué soit par
le patient, soit par ses proches. A la fin de l’étude, la médiane de survie était de 19 mois dans
le second groupe contre 12 dans le premier. Soit 75% des patients du groupe 2 encore en
vie, contre 49% dans le groupe 1.
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GENERAL PRESS / Sciencesetavenir.fr.fr – 8 juin 2016 (suite)
Pourquoi ? "Parce que si la maladie rechute, ce n’est pas forcément le jour du rendez
vous avec l’oncologue", signale le Dr Denis. En fait, l’algorithme analysait le report des
symptômes et envoyait alors immédiatement un mail au cancérologue, ce qui a permis
d’avancer les dates de rendez vous pour proposer plus rapidement des traitements
adéquats. L’application, développée par la société franco-israélienne SIVAN Innovation,
est testée depuis 4 ans. Elle devrait être disponible en septembre prochain et son
remboursement est à l’étude.
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GENERAL PRESS / Topsante.com– 8 juin 2016
Cancer du poumon : une application pour
diminuer les rechutes Le 08 juin 2016 à 09h06 - par Laurene Levy
L'application MoovCare améliore le suivi des patients atteints de cancer du
poumon. Cet algorithme simple permet de détecter plus tôt les risques de
complication ou de rechute, et d'y réagir plus rapidement.
Elle s'appelle MoovCare. Cette nouvelle application santé, présentée lors du congrès annuel
de l'American Society of Clinical Oncology (ASCO) qui se tient à Chicago du 3 au 7 juin 2016,
améliorerait le suivi des patients atteints de cancer du poumon . Ce meilleur suivi
diminuerait le nombre de rechutes, améliorerait la qualité de vie et augmenterait la survie
à un an des malades. MoovCare fonctionne sur smartphone, tablette et ordinateur.
Détecter les risques de complication et de rechute
L'entreprise Sivan innovation , à l'origine de cette application, explique sur son site internet
que MoovCare fonctionne grâce à un algorithme qui analyse les symptômes cliniques du
patient. Une fois par semaine, le patient renseigne lui-même une liste de 12 critères tels que
son poids ou l'intensité de sa douleur. Si l'application repère une anomalie, elle envoie une
alerte à l'équipe médicale, qui contacte le patient pour réaliser un examen ou redéfinir un
traitement. Cette technique permet de diminuer le nombre de rechutes mais aussi de
réagir plus rapidement en cas de complication.
Une communication constante entre patient et médecin
Cette application a été testée lors d'un essai clinique de phase 3 sur 133 malades atteints
d'un cancer du poumon de stade III ou IV. L'étude a été réalisée par une équipe de
chercheurs français dirigée par l'institut Inter-regional de Cancérologie Jean Bernard, au
Mans. Avec ou sans l'application, tous les patients ont consulté leur médecin et réalisé
un scanner tous les trois à six mois. Résultat : la survie des patients qui ont utilisé
l'application a été de 19 mois, contre 12 mois sans l'application. Et à un an, 75% des patients
du groupe utilisant Moovcare étaient en vie, contre seulement 49% pour le groupe sans
l'application. La qualité de vie, évaluée grâce à des questionnaires, s'est également avérée
meilleure pour les patients bénéficiant de l'application. "A travers un suivi personnalisé
grâce à cette application pratique et simple, nous pouvons détecter les complications et les
signes de rechute, et offrir un soin approprié plus précocement", a souligné le docteur
Fabrice Denis, en charge de l'essai clinique, dans un communiqué de l'ASCO . "Cette
approche introduit un nouveau mode de suivi dans lequel les patients peuvent
constamment communiquer avec leur cancérologue entre les visites", a-t-il ajouté.
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GENERAL PRESS / Francetvinfo.fr – 8 juin 2016
Une application pour détecter les récidives du
cancer du poumon
Une application mobile française inédite permet de proposer des soins plus tôt aux patients
atteints d'un cancer avancé du poumon, voire d'accroître l'espérance de vie, grâce à une
meilleure communication entre le malade et son médecin, selon une étude présentée ce 7
juin au congrès de l'ASCO, aux Etats-Unis. Le Magazine de la santé avait consacré un
reportage aux premiers tests de cette application en décembre 2013.
L'analyse de l'évolution des symptômes décrits par les patients a servi à concevoir un logiciel
(Moovcare®) permettant un suivi personnalisé à distance et une détection précoce
d'éventuelles rechutes ou complications.
Grâce à cette application, "nous pouvons détecter des complications et des signes de
rechute et proposer des soins plus tôt", a expliqué le docteur Fabrice Denis, spécialiste
du cancer du poumon à l'Institut inter-régional de cancérologie Jean Bernard au Man,
concepteur de l'application et auteur de l'étude, qui a impliqué 133 patients. "Cette
approche ouvre une nouvelle ère de suivi médical: les malades, en contact continu avec leur
cancérologue, peuvent donner et recevoir des informations", a-t-il estimé.
Dans cette étude, présentée à la conférence annuelle de l'American Society of Clinical
Oncology (ASCO) à Chicago, la survie moyenne des patients utilisateurs du dispositif a été
de 19 mois, au lieu de 12 mois dans le groupe témoin qui a reçu un suivi médical standard
(visites chez le cancérologue et scanner tous les trois à six mois). Leur qualité de vie a
également été jugée meilleure.
Être plus réactif pour adapter le traitement
Les patients équipés de l'application avaient le même calendrier de visites médicales,
mais trois fois moins de scanners programmés. Ils ont utilisé le dispositif pour évaluer euxmêmes leurs symptômes chaque semaine. L'application analyse au fur et à mesure les
données pour douze symptômes et transmet les résultats au cancérologue. En cas de
changements spécifiques, le médecin est alerté et adapte le traitement.
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GENERAL PRESS / Francetvinfo.fr – 8 juin 2016 (suite)
Selon les données présentées à l’ASCO, un an après le début de l'étude, 75% des patients
équipés de l'application étaient encore en vie, contre seulement 49% dans le groupe témoin.
Les taux de rechute étaient similaires dans les deux groupes avec 51% et 49%
respectivement. Toutefois, l'état général des patients au moment d'une rechute était assez
bon parmi ceux qui utilisaient l'application, ce qui a permis à la grande majorité (74%) de
pouvoir suivre le traitement recommandé. Par comparaison, seulement un tiers de l'autre
groupe était suffisamment robuste pour supporter un nouveau traitement.
L'application aurait également permis de réduire de 50% le nombre moyen de scanners par
malade et par an.
Une mise en œuvre difficile sur le terrain
Ce système n'aurait pas vraiment accru la charge de travail des cancérologues, ajoutant
seulement à leur emploi du temps quinze minutes par semaine de suivi pour 60 patients.
Cela aurait même entraîné une diminution des appels téléphoniques des patients au
cabinet de leur médecin, a noté le Dr Denis.
Mais la Dr Patricia Ganz, une cancérologue de la faculté de médecine de l'Université de
Californie à Los Angeles, a souligné lors d'une conférence de presse qu'il fallait en
fait "mobiliser une infirmière ou d'autres personnels dans le cabinet pour regarder les
données transmises par les malades et y répondre, ce qui est le vrai coût supplémentaire de
ce système."
Pour le Dr Greg Master, "il faut réfléchir à la manière de mettre en œuvre un tel système, qui
nécessite un changement dans la manière dont les équipes médicales travaillent et aussi
pour éduquer les malades". Cette technologie «pourrait aussi effrayer les patients mal à l'aise
pour utiliser une application de mobile", a-t-il pointé devant la presse. Mais, a ajouté ce
cancérologue, «cette recherche aide certainement à avancer" dans l'utilisation des nouvelles
technologies pour les soins des malades.
Le Dr Denis a précisé que cette application, encore un prototype, serait commercialisée
début 2017 par la société israélienne Sivan Innovation, mais que son prix n'avait pas encore
été déterminé.
La tumeur du poumon est le cancer le plus fréquent dans le monde avec 1,8 million de
nouveaux cas en 2012 et 1,59 million de décès, selon des chiffres cités par l'ASCO.
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GENERAL PRESS / Ouest France – 9 juin 2016
Cancer du poumon. L'application qui détecte
les rechutes Santé - Publié le 09/06/2016 à 10:39 - Jérôme LOURDAIS.
Douze questions auxquelles on répond sur son smartphone ou son ordinateur.
L'application d'un médecin sarthois s'avère plus efficace et moins anxiogène que le
scanner.
Un taux de décès divisé par trois ! C'est le bilan d'un protocole de surveillance du cancer du
poumon testé par le Dr Fabrice Denis, oncologue à la clinique Victor-Hugo, au Mans. Seul
Français sélectionné par la société américaine de cancérologie dans son palmarès des
recherches les plus importantes de l'année, cet expert en « e-santé » présente son étude,
aujourd'hui, au congrès mondial de cancérologie de Chicago. Son idée : remplacer le
scanner par une application numérique.
Actuellement, après un cancer du poumon, les patients passent sous les rayons X tous les
trois mois pour détecter une rechute. Examen coûteux, agressif pour l'organisme, inutile
quand tout va bien, et souvent anxiogène. « La vie des patients est rythmée par cette
échéance ; beaucoup n'arrivent pas à faire des projets au-delà », constate le Dr Denis. Son
système, utilisable sur ordinateur, tablette ou smartphone, s'avère plus pratique et plus
efficace.
Le médecin alerté par mail
Chaque semaine, le patient (ou un proche) se connecte sur l'application Moovcare. Il répond
à douze questions sur son état de santé : poids, appétit, fatigue, douleur, toux,
essoufflement, déprime, fièvre, sang dans les crachats, palpation d'un nodule sous la peau,
changement dans la voix, gonflement brutal du visage. Un algorithme analyse les
symptômes pour détecter une rechute. Si c'est le cas, le médecin reçoit un mail d'alerte et
appelle le patient. Dans la foulée, examen clinique, imagerie et, le cas échéant, traitement.
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GENERAL PRESS / Ouest France – 9 juin 2016 (suite)
Expérimentée depuis quatre ans, cette méthode inédite permet de repérer la quasi-totalité
des rechutes, cinq semaines avant le scanner trimestriel.
« Plus on détecte tôt, plus l'état général du patient est conservé. On peut avoir un
traitement plus musclé et qui dure plus longtemps, explique le Dr Denis.
Souvent, des patients qui ont des symptômes attendent le prochain bilan. Si on ne va pas
les chercher, ils ne viennent pas et leur état se dégrade. »
Trente fois moins cher
Cette innovation a aussi le mérite de rapprocher le patient du médecin. « Le scanner
ne voit que la tumeur, pas le patient autour. Une tumeur ou une métastase de 2
cm peut distiller des toxines dans tout le corps, qui provoquent des infections,
des embolies, souligne le Dr Denis. Si les gens savent s'écouter, ils deviennent
acteur de leur suivi. »
Autre intérêt : de sérieuses économies pour la collectivité. Pour une année de vie
gagnée, l'application coûte trente fois moins cher que le scanner trimestriel ! De
quoi séduire la Haute autorité de santé (HAS) qui doit bientôt examiner ce logiciel.
« Juridiquement, un logiciel peut faire partie des prestations remboursables par
l'Assurance maladie. Pour l'instant, il n'y en a pas sur le marché, mais ça devrait
arriver bientôt », indique le Dr Grégory Emery, en charge de l'autorisation des
dispositifs à la HAS. Il distingue « les applis gadgets » de celles possédant « un haut
niveau de preuve scientifique d'amélioration de la santé, comme c'est le cas pour
Moovcare ».
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TRADE PRESS / Socrates Leonardo– 11 juin 2016
Cancer du poumon : une nouvelle application
mobile pour le surveiller
Une nouvelle application a été mise en place pour surveiller l’état de santé des malades
atteintes d’un cancer du poumon. Ceci permet d’accélérer la prise en charge des patients
en cas de crise brutale.
Une solution pour pallier les rechutes brutales
Les prises en charge des malades ne sont jamais assez vites en cas de rechute pour
faire baisser le taux de mortalité élevé. Un patient atteint de cancer de poumon fait un
diagnostic tous les trois à six mois à l’aide d’un scanner. Toutefois, cet espace de
temps n’est pas su sant pour détecter la croissance anormale d’une tumeur. Comme tout
cancer, celui du poumon peut développer progressivement ou soudainement une tumeur.
Afin de pouvoir surveiller l’état de santé des malades, le Dr Fabrice Denis du centre de
cancérologie Jean-Bernard dans Le Mans a conçu une application mobile à forte détection.
Il a effectué un essai clinique pendant un an et demi avant de présenter son prototype au
congrès mondial de cancérologie de l’Asco à Chicago.
Comment fonctionne cette application ?
Elle est d’abord nommée Moovcare et est à installer sur votre Smartphone.Il faut bien
évidemment une connexion internet pour utiliser cette application. Le patient est amené à
remplir un questionnaire permettant au médecin traitant de détecter à temps un
redémarrage brutal de la maladie. Il s’agit d’un algorithme de traitement focalisé sur 12
symptômes typiques d’une rechute. Le patient doit remplir systématiquement toutes les
semaines ce questionnaire. Un message d’alerte est automatiquement envoyé au médecin
traitant en cas d’éventuelle rechute. L’équipe médicale contacte alors le malade en vue d’un
diagnostic et d’examens médicaux vérifant son état. Cette application améliorera la survie
des malades puisqu’elle permet de détecter à temps les mauvais signes, permettant un soin
et un traitement en temps voulu.
Sur les 133 patients qui ont fait l’objet d’un essai clinique, le taux de survie a passé de 49 %
à 75 %.
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TRADE PRESS / JIM.fr– 11 juin 2016
Une appli française fait le buzz à l’ASCO
Chicago, le samedi 11 juin 2016 –
Beaucoup d’applications pour
téléphone portable développées dans
le champ médical relèvent de
simples
gadgets.
Mais
certaines
constituent des atouts qui pourraient
devenir incontournables. Le docteur
Fabrice Denis, spécialiste du
cancer du poumon à l’Institut interrégional de cancérologie Jean
Bernard au Mans a ainsi présenté la
semaine dernière au congrès de
l’American Society of Clinical Oncology
(ASCO) les résultats
encourageants de l’utilisation d’une
application promue par la start up
israélienne Sivan Innovation dans le suivi du cancer du poumon.
Suivi hebdomadaire
Moovcare est un logiciel développé par l’équipe du docteur Denis pouvant être utilisé
aisément par quiconque a une maîtrise rudimentaire des smartphones et d’internet. Il
suppose pour le patient de renseigner une fois par semaine une douzaine d’items
concernant notamment sa fatigue générale, son poids, sa toux, d’éventuels épisodes
fiévreux, etc. Ces données sont analysées par un algorithme dont l’objectif est de détecter
un risque de rechute ; le cas échéant un signal immédiat est envoyé à l’équipe en charge
du patient. L’utilisation de Moovcare a été l’objet d’un essai randomisé de phase III dans le
centre où exerce Fabrice Denis auprès de 133 patients. A la fin de leur traitement ou après
une intervention, la moitié de ces malades atteints d’un cancer du poumon s’est vue
proposer (de manière aléatoire) d’utiliser l’application.
L’autre partie des patients a bénéficié d’un suivi classique, reposant sur une visite de
contrôle tous les trois à six mois.
Interruption prématurée de l’étude pour appliquer le traitement à tous !
Si le taux de rechutes a été similaire dans les deux groupes (ce qui n'est guère étonnant) le
diagnostic de ces dernières a été plus précoce chez les patients utilisant l’application,
confirmant que les rechutes « sont souvent détectables entre deux visites programmées »
a fait observer Fabrice Denis lors de sa présentation à l’ASCO. Détectées plus
précocement, les rechutes ont pu être traitées plus efficacement. L’état général des
patients au moment de la mise en évidence de ces dernières était en effet meilleur et
permettait d’envisager une prise en charge plus active chez les malades ayant recours à
l’application.
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TRADE PRESS /JIM.fr– 11 juin 2016
Ainsi, un an après le début de l’étude, 75 % des patients dans le groupe Moovcare étaient
encore en vie, contre 49 % dans le groupe témoin, des résultats si encourageants qu’ils ont
conduit à l’interruption prématurée de l’étude pour que l’ensemble des malades puissent
bénéficier de l’application. Moins de scanners et moins d’appels
Cette étude confirme les bénéfices d’une communication très régulière entre les
cancérologues et le patient pour améliorer le pronostic d’un cancer, communication facilitée
par les nouvelles technologies. Ces dernières par ailleurs n’entraînent pas un surcroît de travail
insurmontable pour les équipes : la gestion des alertes aura mobilisé pendant quinze minutes
par semaine l'oncologue pour soixante patients, tandis que le nombre d’appels au centre a
été réduit, ainsi que le nombre de scanners.
Forte de ces résultats Sivan Innovation espère pouvoir faire agréer son application comme
dispositif médical.
Aurélie Haroche
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TRADE PRESS / Fondation du souffle - lesouffle.org– 13 juin 2016
Cancer du poumon : une application mobile pour
mieux surveiller les rechutes
Publié le 13 juin 2016 dans Cancer du poumon
Une application sur smartphone améliore sensiblement la survie de patients en traitement
contre le cancer du poumon en accélérant leur prise en charge en cas de redémarrage brutal
de la maladie.
Grâce à une idée simple mais brillante et une application sur smartphone originale, le Dr
Fabrice Denis, du centre de cancérologie Jean-Bernard (Le Mans), a eu l’honneur de présenter
ses résultats lors d’une session orale au grand congrès mondial de cancérologie de l’Asco à
Chicago, qui rassemble chaque année plus de 35.000 participants. Au terme d’un essai
clinique d’un an et demi, il a prouvé que son application pouvait améliorer sensiblement la
survie de patients venant de recevoir un traitement contre le cancer du poumon, en
accélérant leur prise en charge en cas de redémarrage brutal de la maladie. Un résultat
spectaculaire qui ne nécessite qu’un accès à Internet et des compétences informatiques
minimales, pour utiliser un smartphone ou un site Web.
L’une des difficultés pour les patients traités pour un cancer du poumon est d’être pris en
charge suffisamment vite en cas de rechute. En temps normal, le suivi est réalisé avec un
scanner espacé tous les trois à six mois. Mais cela peut ne pas être suffisant pour détecter
assez tôt une tumeur qui peut croître très vite.
«L’idée de l’application, appelée Moovcare, est de demander au patient de remplir chaque
semaine un très court questionnaire de santé avec 12 symptômes simples à décrire, comme
la fatigue, la perte de poids, la fièvre ou encore la toux, explique Fabrice Denis en manipulant
l’application, très simple d’utilisation, sur son smartphone. Nous avons mis au point un
algorithme de traitement qui, en combinant les différents symptômes rapportés, permet
d’envoyer un message d’alerte à l’équipe soignante si on soupçonne une rechute.» L’équipe
soignante prend ensuite contact avec le malade pour faire des examens supplémentaires et
reprendre s’il le faut un traitement.
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TRADE PRESS / Fondation du souffle - lesouffle.org– 13 juin 2016 (suite)
Taux de survie bien meilleur
Lors d’une étude précédente, Fabrice Denis a pu prouver que l’état de santé général d’un
patient pouvait être un indicateur fiable d’un retour du cancer. «75 à 90 % des rechutes
donnent très vite des symptômes visibles», explique le cancérologue. L’étude présentée au
congrès de Chicago a permis de prouver l’efficacité de la technique sur 133 patients. La
moitié d’entre eux utilisaient l’application et les autres étaient suivis par un scanner tous les
3 ou 6 mois, suivant leur condition. Et les résultats sont clairement positifs.
«Il y a eu trois fois moins de décès au bout de 18 mois parmi les utilisateurs de l’application,
se félicite Fabrice Denis. Grâce à l’application, on peut détecter la rechute plus tôt et
relancer un traitement sur un patient qui est encore dans un bon état de santé générale.»
Au bout d’un an, le taux de survie était de 75 %, contre 49 % pour les patients qui n’avaient
fait qu’un scanner régulier. Des résultats si clairs que l’étude a volontairement été arrêtée
au bout de 18 mois, pour permettre à tous les volontaires de l’essai d’avoir accès à
l’application. L’application Moovcare, développée par l’entreprise Sivan Innovation, fait
l’objet d’une demande d’autorisation de mise sur le marché en tant que dispositif médical.
Source : Le Figaro Santé
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TRADE PRESS / La lettre du cancérologue – 17 juin 2016
La lettre du cancérologue Publié le 17 juin 2016
Thomas LEROY D’après Denis F et al., abstract LBA9006
Les essais s’étant intéressés au rythme optimal de surveillance après traitement des cancers
du poumon de stade III/IV sont rares, voire inexistants. Cette étude française, randomisée,
multicentrique, de phase III avait pour objectif d’étudier l’intérêt d’une surveillance par
scanner comparée à une surveillance par questionnaire web (basé sur 12 critères cliniques),
permettant d’anticiper des récidives. En pratique, un algorithme permet d’envoyer des
alertes au clinicien si une récidive ou une toxicité du traitement est suspectée. Le critère de
jugement principal était la survie globale. Cette étude a montré une amélioration de la survie
globale de 20 % à 9 mois (HR = 0,325 ; IC95 : 0,157-0,672 ; p = 0,0025) en faveur de la
surveillance par autoquestionnaire web. Les alertes ont permis de dépister une récidive dans
74 % des cas, une situation médicale dangereuse dans 20 % des cas et des symptômes
intercurrents nécessitant des soins de support dans 9 % des cas. Lors de la récidive, 77 % des
patients étaient OMS 0 ou 1 contre 33 % dans le bras contrôle et 74 % permettant leur
éligibilité à un traitement considéré comme optimal. Par ailleurs, la qualité de vie des
patients a été améliorée comparativement à la surveillance par scanner (p < 0,01). Cette
amélioration de la qualité de vie a permis un allongement de la survie sans progression (p =
0,0017). L’auteur a ainsi souligné l’importance de l’introduction précoce des soins de support
(figure).
Cette stratégie révolutionne le suivi du patient et permet par une intervention simple une
amélioration de la survie et de la qualité de vie des patients. D’autre part, elle permet une
réduction des scanners réalisés, donc des dépenses de santé engendrées. Des évaluations
similaires sont en cours dans d’autres localisations tumorales.
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TRADE PRESS / ticsante.com– 17 juin 2016
Le suivi des symptômes par smartphone peut allonger la survie dans le
cancer du poumon avancé (phase III française)
(Par Sylvie LAPOSTOLLE, au congrès de l'ASCO)
CHICAGO, 17 juin 2016 (TICsanté) - Le suivi des symptômes grâce à une application pour
smartphone peut allonger la survie de patients atteints d'un cancer du poumon avancé,
selon une étude de phase III française présentée le 6 juin à Chicago au congrès de
l'American Society of Clinical Oncology (ASCO).
Le Dr Fabrice Denis de l'Institut interrégional de cancérologie Jean-Bernard du Mans a
rapporté les résultats d'une étude de phase III randomisée multicentrique ayant évalué
l'application Moovcare qu'il a développée et qui devrait être mise sur le marché en janvier
2017 par la société israélienne Sivan Innovation. Son étude a été retenue pour être présentée
lors des conférences de presse de l'ASCO.
Après avoir terminé la chimiothérapie, la radiothérapie ou la chirurgie, 133 patients atteints
d'un cancer du poumon de stade III/IV (à petites cellules ou non à petites cellules) ont été
randomisés entre un suivi personnalisé avec Moovcare et un suivi classique qui repose sur
des visites et des scanners de contrôles tous les trois à six mois.
Les patients qui utilisaient l'application avaient le même programme de visites mais trois
fois moins de scanners prévus. Chaque semaine, ils ont renseigné leurs symptômes dans
l'application. Les soignants pouvaient aussi entrer des données pour le compte des patients.
L'application utilise 12 symptômes (asthénie, toux, dyspnée, anorexie…) et les résultats sont
envoyés à l'oncologue. Un algorithme analyse les modifications et adresse des e-mails
d'alerte au médecin qui appelle son patient et programme au besoin une visite, a expliqué
le Dr Denis.
La sensibilité du dispositif a déjà été évaluée dans deux essais prospectifs auparavant (86%100%).
L'étude a été arrêtée précocement car l'analyse intermédiaire a montré un bénéfice en
survie avec l'application. Sur 121 patients évaluables, la survie globale à un an était de 75%
avec l'application contre 49% sans, soit un gain de 26% de survie à un an, a indiqué le Dr
Denis.
La médiane de la survie était de 19 mois versus 12 mois, soit un gain de 7 mois.
Le risque de décès était réduit de 67% dans le groupe de patients suivis avec l'application.
Le taux de rechute était similaire (51% vs 49%), mais le bénéfice peut s'expliquer par le fait
que les rechutes étaient décelées plus tôt avec le suivi par e-santé, ce qui a permis aux
patients de recevoir des traitements optimaux car ils étaient en meilleur état général au
moment de la rechute: 77% avaient un score d'état général de 0 ou 1 à la rechute contre
seulement 33% dans le groupe contrôle.
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TRADE PRESS / ticsante.com– 17 juin 2016 (suite)
En outre, les patients suivis par l'application ont eu une réduction de 50% des scanners de
contrôle. La qualité de vie globale des patients (évaluée par les échelles FACT-L, FACT-G et
TOI) était meilleure avec l'application.
De plus, l'examen des données transmises par les patients n'a pas alourdi la charge de travail
des médecins. En moyenne, les oncologues passaient 15 minutes par semaine pour suivre 60
patients et le nombre d'appels téléphoniques a diminué.
Interrogé sur le prix de l'appareil, le Dr Denis a indiqué que l'étude avait utilisé un prototype
et que le prix du dispositif qui sera lancé en 2017 n'est pas encore connu. L'étude a été
promue par l'Institut de cancérologie de l'Ouest (ICO) et a été financée par Sivan Innovation,
a-t-il indiqué à l'APM.
Le Dr Denis a un contrat de collaboration avec la société israélienne pour le financement
d'autres études dans d'autres cancers. Il faut modifier l'algorithme et la fréquence de
renseignement des symptômes. Une étude est en cours dans le lymphome.
Interpellé sur le gain important de survie chez ces patients, il a expliqué qu'en appelant "un
patient toutes les semaines, cela donnerait le même résultat, mais ce n'est pas réalisable.
C'est simplement utiliser la technologie pour améliorer la communication et proposer une
surveillance personnalisée".
"Beaucoup de patients touchés par un cancer du poumon portent une certaine culpabilité
à propos de leur diagnostic et ne veulent pas déranger les médecins ou les infirmières avec
leurs symptômes. Ce dispositif est juste un moyen de susciter l'implication des patients dans
leur suivi", a commenté Gregory Masters, porte-parole de l'ASCO.
Le Dr Denis a indiqué que les caractéristiques des patients (stade de la maladie) étaient bien
équilibrées entre les groupes. Ceux qui ont vraiment tiré un bénéfice important de la
surveillance personnalisée étaient les patients avec un stade IIIB-IV (26% dans les deux bras).
Au contraire, les patients sous traitement d'entretien n'ont pas eu de gain de survie.
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GENERAL PRESS / TVA CANADA- June 6th 2016
Meilleure communication entre malade et médecin
Cancer du poumon: une application propose un suivi
personnalisé
La qualité de vie des patients utilisateurs de MoovcareTM a également été jugée meilleure.
«Cette approche ouvre une nouvelle ère de suivi médical: les malades, en contact continu
avec leur cancérologue, peuvent donner et recevoir des informations», a-t-il estimé.
«Cette étude confirme l'importance d'améliorer la communication entre le médecin et le
patient», selon le docteur Gregory Masters, un cancérologue professeur de médecine à la
faculté de médecine Thomas Jefferson à Philadelphie, qui n'a pas participé à cette étude.
Après une chimiothérapie, un traitement radiologique ou une intervention chirurgicale,
une partie des 133 patients de l'étude a été choisie au hasard pour utiliser cette application
tandis que les autres ont eu un suivi médical standard: visites chez le cancérologue et un
scanner tous les trois à six mois.
Les patients équipés de l'application avaient le même calendrier de visites médicales mais
trois fois moins de scanners programmés. Ils l'ont utilisée pour évaluer eux-mêmes leurs
symptômes chaque semaine.
L'application analyse au fur et à mesure les données pour douze symptômes et transmet
les résultats au cancérologue. En cas de changements spécifiques, le médecin est alerté et
adapte le traitement.
Un an après le début de l'étude, 75% des patients équipés de l'application étaient encore
en vie, contre seulement 49% dans le groupe témoin.
Les taux de rechute étaient similaires dans les deux groupes avec 51% et 49%
respectivement. Toutefois, l'état général des patients au moment d'une rechute était assez
bon parmi ceux qui utilisaient l'application, ce qui a permis à la grande majorité (74%) de
pouvoir suivre le traitement recommandé. Par comparaison, seulement un tiers de l'autre
groupe était suffisamment robuste pour supporter un nouveau traitement.
L'application a également permis de réduire de 50% le nombre moyen de scanners par
malade et par an. Ce système n'a pas vraiment accru la charge de travail des cancérologues,
ajoutant seulement à leur emploi du temps quinze minutes par semaine de suivi pour 60
patients. Cela a même entraîné une diminution des appels téléphoniques des patients au
cabinet de leur médecin.
La tumeur du poumon est le cancer le plus fréquent dans le monde avec 1,8 million de
nouveaux cas en 2012 et 1,59 million de décès, selon des chiffres cités par l'ASCO.
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GENERAL PRESS / ABS_CBN - June 7th 2016
Lung cancer: Mobile app could extend life
expectancy
Agence France-Presse
Posted at Jun 07 2016 09:46 AM
CHICAGO - A new mobile application could help doctors better provide care to patients
with advanced lung cancer, perhaps even extending life expectancy, according to a study
presented in the United States Monday.
The app, named Moovcare, enables patient-doctor communication even at a distance,
using remote monitoring to quickly detect relapses or complications.
"This approach introduces a new era of follow-up in which patients can give and receive
continuous feedback between visits," said lead author Dr. Fabrice Denis, a cancer
researcher in Le Mans, France.
Study participants who used the app reported an improved quality of life and on average
survived 19 months, seven months longer than the control group that received standard
medical care.
"With new technologies like this app, we can make communication even simpler, which is
great for doctors and even better for patients," said Gregory Masters, a lung cancer expert
who did not work on the study.
BETTER ADAPTED TREATMENT
Developed by Denis, a lung cancer specialist, the app is still at prototype stage, but the
Israeli firm Sivan Innovation plans to roll it out commercially in 2017 at a price yet to be
determined.
Sivan Innovation and the Cancer Institute of Western France co-funded the study whose
results were presented the annual American Society of Clinical Oncology (ASCO)
conference.
Researchers randomly selected 133 patients to test the app or receive standard medical
care following chemotherapy, radiation treatment or surgery.
Patients who used the app had the same medical visiting schedule -- doctor visits and CT
scans every three to six months -- but used the app to assess their own symptoms weekly.
If the app detected specific changes in any of a dozen symptoms, doctors received alerts
to adapt treatment accordingly.
One year after the study began, 75 percent of patients using the app were still alive, in
contrast to 49 percent in the control group.
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GENERAL PRESS / ABS_CBN - June 7th 2016
Relapse rates in both groups hovered around 50 percent, but 74 percent of those using
the app were strong enough to continue treatment following relapse. Just one-third in the
control group were considered healthy enough for more procedures.
Doctors did note that while corresponding with patients via the app did not significantly
add time to their work weeks, the app could burden medical facilities with additional
costs, if nurses or other staff must also help monitor patients who were using it.
An estimated 224,000 people will receive a lung cancer diagnosis in the United States
alone this year. It is the most common cancer worldwide, with 1.8 million new diagnoses
and 1.59 million deaths in 2012, according to statistics cited by ASCO.
43
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GENERAL PRESS / i24news - June 7th 2016
Israeli firm Sivan Innovation plans to roll out app
commercially in 2017
A new mobile application could help doctors better provide care to patients with
advanced lung cancer, perhaps even extending life expectancy, according to a study
presented in the United States Monday.
The app, named Moovcare, enables patient-doctor communication even at a distance,
using remote monitoring to quickly detect relapses or complications.
"This approach introduces a new era of follow-up in which patients can give and receive
continuous feedback between visits," said lead author Dr. Fabrice Denis, a cancer
researcher in Le Mans, France.
Study participants who used the app reported an improved quality of life and on average
survived 19 months, seven months longer than the control group that received standard
medical care.
"With new technologies like this app, we can make communication even simpler, which is
great for doctors and even better for patients," said Gregory Masters, a lung cancer expert
who did not work on the study.
- Better adapted treatment Developed by Denis, a lung cancer specialist, the app is still at prototype stage, but the
Israeli firm Sivan Innovation plans to roll it out commercially in 2017 at a price yet to be
determined.
Sivan Innovation and the Cancer Institute of Western France co-funded the study whose
results were presented the annual American Society of Clinical Oncology (ASCO)
conference.
Researchers randomly selected 133 patients to test the app or receive standard medical
care following chemotherapy, radiation treatment or surgery. Patients who used the app
had the same medical visiting schedule -- doctor visits and CT scans every three to six
months -- but used the app to assess their own symptoms weekly.
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GENERAL PRESS / i24news - June 7th 2016
If the app detected specific changes in any of a dozen symptoms, doctors received alerts
to adapt treatment accordingly.
One year after the study began, 75 percent of patients using the app were still alive, in
contrast to 49 percent in the control group.
✕Relapse rates in both groups hovered around 50 percent, but 74 percent of those using
the app were strong enough to continue treatment following relapse. Just one-third in the
control group were considered healthy enough for more procedures.
Doctors did note that while corresponding with patients via the app did not significantly
add time to their work weeks, the app could burden medical facilities with additional
costs, if nurses or other staff must also help monitor patients who were using it.
An estimated 224,000 people will receive a lung cancer diagnosis in the United States
alone this year. It is the most common cancer worldwide, with 1.8 million new diagnoses
and 1.59 million deaths in 2012, according to statistics cited by ASCO.
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GENERAL PRESS / TECH QIANLONG - June 8th 2016
肺癌末期患者的福音!新型手机App提供更好照护
2016-06-08 10:00 环球网
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来源标题:肺癌末期患者的福音!新型手机App提供更好照护
据台湾“中央社”6月7日报道,根据7日在美国发表的研究,一种新型手机应用程序(App)可为肺癌
末期患者提供更好的照护,甚至延长患者寿命。
46
据报道,这款App名为Moovcare,可让医师和病患远距对话,医生还可通过App远距监控
,迅速察觉病患是否复发或出现并发症。研究主要执笔人、法国勒曼(Le Mans)的癌症研究专家戴
尼斯(Fabrice Denis)表示:“这种作法开启追踪的新时代,病患每次上医院的间隔期间,可持续给
予和接收回应。”
使用这种App的受试者表示生活质量改善,平均存活时间则为19个月,比接受标准医疗照护
的对照组多活了7个月。此款App由身为肺癌专家的戴尼斯研发,仍在原型阶段,但以色列公司
Sivan Innovation打算2017年上市,价格未定。
责任编辑:龙娱平(QL0004)
作者:程君秋
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GENERAL PRESS / Health Day - June 9th 2016
Better Lung Cancer Survival? There's an App for That
Study found tracking symptoms, alerting doctors to trouble early led
to longer survival
By Dennis Thompson
THURSDAY, June 9, 2016 (HealthDay News) -- A new
smartphone app may help lung cancer patients live
longer and better by monitoring their symptoms and
alerting doctors to potential problems, researchers
report.
The Moovcare smartphone and web application
proved so effective that researchers ended the clinical
trial early, said study author Dr. Fabrice Denis, a
researcher at the Institut Inter-regional de Cancerologie Jean Bernard in Le Mans, France.
About 75 percent of high-risk lung cancer patients were alive one year after they started
using the Moovcare app, compared with 49 percent of patients provided typical cancer care,
Denis said.
Patients also lived seven months longer, on average, when using Moovcare -- about 19
months compared to an average of 12 months for nonusers.
Further, Moovcare patients required less regular CT scanning. "The number of imaging scans
were reduced by 50 percent per patient per year," Denis said.
Cancer expert Dr. Patricia Ganz called the results "a tremendous advance."
"If we had a drug or some new intervention that caused this level of survival benefit, wouldn't
we want to go out and use it?" said Ganz, director of cancer prevention and control research
at the UCLA Jonsson moderated a briefing Monday at the American Society of Clinical
Oncology (ASCO) annual meeting in Chicago, where Denis shared the findings.
Lung cancer is the world's top cancer killer. There were 1.8 million new lung cancer cases
worldwide in 2012, the researchers said in background information, and an estimated 1.6
million deaths due to the disease.
Comprehensive Cancer Center, in Los Angeles. Ganz The Israel-based maker of Moovcare,
Sivan Innovation, helped fund the trial, Denis said. The app is still in prototype, but is
expected to go on the market in January 2017.
Patients used Moovcare once a week to report on 12 clinical symptoms that are associated
with a relapse of lung cancer or a potentially dangerous medical condition associated with
the disease, Denis said.
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GENERAL PRESS / Health Day - June 9th 2016
Their self-reported data was analyzed by an algorithm that triggered an email alert to the
patient's cancer care team if it looked like the risk was high for a relapse or a medical
emergency, he said.
For this clinical trial, Denis and his colleagues recruited 133 patients with stage 3 or 4 lung
cancer, and randomly assigned them to use either the Moovcare app or undergo standard
follow-up.
Standard follow-up consisted of a doctor visit and CT scan every three to six months,
depending on the stage of the patient's lung cancer, Denis said.
Moovcare patients had the same number of planned doctor visits but underwent planned
CT scans only every six to 12 months.
The idea was that Moovcare would allow doctors to address health problems promptly,
rather than allowing illness to brew between scheduled visits, Denis said.
Because relapsing patients often wait weeks before seeing a doctor, they aren't always able
to receive the best cancer care possible because they've become too sick to handle the
toxic effects of chemotherapy, Denis explained.
The clinical trial proved that to be true. About 74 percent of Moovcare patients undergoing
a lung cancer relapse had good enough health to endure optimal cancer care, compared
with only 33 percent of patients receiving standard care.
Moovcare patients also received supportive care when they needed it, improving their
quality of life, Denis added.
That led to an overall survival and average survival advantage for patients using Moovcare,
Denis said.
However, it will only work if doctors restructure their practices to make sure someone is
heeding the incoming Moovcare alerts, Ganz said.
"You actually need someone in the office practice, whether it's a nurse or some other
person, who is looking at the data as it's coming in and triggering a response," Ganz said.
She added that the real cost of the system would be in additional personnel rather than the
technology itself.
Dr. Gregory Masters is a lung cancer specialist at Christiana Care's Helen F. Graham Cancer
Center, in Newark, Del. He said, "The study shows this is one way to engage patients and
allow them to take more of an active role in their care, which is really a critical factor."
However, Masters added that Moovcare might not the best follow-up care option for
patients who are very infirm or are uncomfortable with smartphone or computer
technology.
"This is one way to monitor symptoms, and certainly the survival data looked really
encouraging, but we have to figure out how we would actually implement it," he said. "We
want to make sure this is worth implementing a whole new system for monitoring
patients."
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GENERAL PRESS / American Herald - June 10th 2016
MOBILE APP FOR PATIENTS WITH LUNG CANCER
JUNE 10, 2016 BY LIAM BRADFORD
This mobile app for patients with lung cancer improved life expectancy and quality of life
While the Internet and mobile applications provide tons of
entertainment for smartphone users, there are cases when
technology does more for the humankind than offering
amusement. Such as situation is exemplified by Moovcare, a
new mobile app for patients with lung cancer.
Even though it is still a prototype, this mobile feature already
proved its efficiency during the trial period. Through constant monitoring of the general
health condition of patients and alerts sent to doctors whenever a problem was detected,
amazing results were registered. More than 70 percent of the patients diagnosed with
severe lung cancer were still alive after one year from the moment they started using the
application. When comparing that to the standard 49 percent of patients still alive after a
year without using Moovcare, one can imagine why this application is such a breakthrough.
Furthermore, the users of this application lived seven months more than those who didn`t.
Not only that this mobile app for patients with lung cancer improved life expectancy and
quality of life, but it managed to also reduce by 50 percent the number of CT scans required.
The mechanism behind Moovcare is very simple. The users of the application were required
to report once a week on twelve different sensitive symptoms that may indicate a relapse.
All the data gathered from patients was further analyzed by the algorithm of the
application and sent via e-mail to the doctors in case any risk was involved.
Being able to take action promptly whenever a problem is detected proved to be a gamechanging strategy when fighting this illness. Considering the fact that it is the world`s
deadliest disease with over 1,5 million deaths every year, this mobile app for patients with
lung cancer will certainly be very helpful if it goes on the market in 2017, as planned. Also,
the application will be affordable as the cost of the technology used is not high.
However, supplementary costs may be generated due to the additional personnel needed
to supervise and verify the reports sent via e-mail by the application. Cancer expert Patricia
Ganz explains:
“You actually need someone in the office practice, whether it’s a nurse or some other person,
who is looking at the data as it’s coming in and triggering a response.”
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Articles
INTERNATIONAL / TRADE PRESS
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TRADE PRESS / ASCO News – June 6th 2016
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TRADE PRESS / Semana – June 6th 2016
La app que prolonga la vida de los pacientes
con cáncer
Un estudio mostró que los pacientes con tumores en el pulmón viven más si reportan
síntomas a sus médicos a través de una aplicación digital.
Un estudio hecho por investigadores franceses mostró que utilizar una aplicación digital
mejora la supervivencia de pacientes con cáncer de pulmón avanzado. Se trata de Moovcare
y gracias a ella los pacientes vivieron en promedio 19 meses comparado con 12 meses para
aquellos que no la usaron. La aplicación será lanzada en enero de 2017 y aun no se ha
establecido qué precio tendrá (Lea: Cáncer de próstata en barrigones).
El estudio fue hecho entre 133 pacientes con cáncer avanzado de pulmón. A un grupo se le
hizo el seguimiento tradicional, que incluye visitas al médico y exámenes cada 3 a 6 meses.
Al resto se le pidió que se inscribiera en este tipo de aplicación, que busca hacer seguimiento
a los pacientes. Si bien había también visitas periódicas al médico, no se les pidieron tantos
exámenes sino reportar síntomas.
La aplicación analizó 12 tipos de signos propios de la enfermedad y por medio de un
algoritmo se analizó dicha información, de manera que si hay algo relevante, la aplicación
envía un correo electrónico al médico quien programa una consulta antes de lo planeado
para adaptar el tratamiento de acuerdo a las manifestaciones de cada paciente.
Al cabo de un año los científicos encontraron que 75 % de los pacientes con la aplicación
aún estaban vivos, mientras que en el grupo del seguimiento convencional apenas 49 % lo
estaban. Es decir, hubo tres veces menos muertes con la aplicación. La evidencia fue tan
positiva que, por razones éticas, el estudio debió ser terminado para que todos los
participantes pudieran beneficiarse de la aplicación (Lea: Llamada de alerta: la OMS
considera el celular como un posible cancerígeno).
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TRADE PRESS / Semana – June 6th 2016
Los expertos encontraron que, si bien las recaídas sucedían en igual porcentaje, en ambos
grupos el reporte de los síntomas era mucho más rápido a través de la aplicación, lo cual
ayudó a que el médico actuara más rápido para cambiar el curso de tratamiento.
“A través de este seguimiento personalizado, con una sencilla aplicación, pudimos detectar
complicaciones y signos de recaídas, lo cual se tradujo en un tratamiento apropiado mucho
más temprano”, señaló Fabrice Denis, investigador del Instituto interregional de
Cancerologie Jean Bernard en Le Mans (Francia). El experto agregó que esta aplicación
introduce a la oncología a una nueva era de seguimiento en la cual los pacientes pueden dar
y recibir retroalimentación continua entre las visitas a su médico(Lea: El desempleo aumenta
el riesgo de cáncer).
La aplicación serviría para otros tipos de cáncer, pero, según Denis, deberá adaptarse a cada
tipo de enfermedad, pues como se sabe el cáncer no es una sola enfermedad sino cientos
de ellas. Además, señaló que esta no debe ser la única manera de hacer este tipo de
seguimiento, ya que hay personas que no están familiarizadas con la tecnología y en ellas
“posiblemente no funcionaría tan eficientemente, como sucedió con los pacientes del
estudio“, dijo el experto en conferencia de prensa durante la reunión de la Asociación
Americana de Oncología Clínica (ASCO) en Chicago.
Aunque los investigadores encontraron que para lo médicos revisar la información de la
aplicación no representó una carga en su trabajo diario. Muchos creen que, para llevarlo a la
práctica, los centros oncológicos deben formar un equipo médico especializado para
analizar los datos consignados por los pacientes. Algunos ven con escepticismo esta
implementación, pues generaría costos y demandaría mucho mas tiempo por parte de los
especialistas.
A pesar de estas limitaciones, la noticia fue bien recibida y es una inspiración para que otros
centros oncológicos desarrollen otro tipo de estrategias para estar en mayor contacto con
sus pacientes y así lograr monitorear mejor el tratamiento de su cáncer.
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TRADE PRESS / Cure Today– June 7th 2016
Web App Boosts Survival for Patients With Lung Cancer
Patients with lung cancer who participated in a web-based system for reporting and
tracking their symptoms achieved dramatic gains in survival compared with individuals
who were followed with typical protocols, according to study results presented during the
2016 annual meeting of the American Society of Clinical Oncology (ASCO), a gathering of
over 30,000 oncology professionals in Chicago.
The MoovCare system made a difference for patients because it resulted in early detection
of dangerous conditions or recurrences, resulting in healthier individuals who were better
able to undergo optimal therapy and earlier supportive care that improved quality of life,
said lead study author Fabrice Denis, during an ASCO presscast.
The median overall survival (OS) rate for patients who used the MoovCare system was 19
months compared with 12 months for participants in the control group, after 20 months of
follow-up. Additionally, 75 percent of the patients followed through MoovCare were still
alive at one year versus 49 percent with standard procedures.
There also was a 50 percent reduction in the average number of imaging tests per patient
per year with the use of the app, said Denis, a researcher at the Institut Inter-regional de
Cancérologie Jean Bernard in Le Mans, France. These improvements were achieved even
though the relapse rates were similar for both groups—49 percent among those who used
the app and 51 percent among those with typical follow-up, researchers reported.
However, performance scores stayed higher among patients who used MoovCare. As a
result, 74 percent of these patients were able to undergo optimal therapy upon relapse
compared
with
33
percent
who
had
not
used
the
app.
Denis said the need for an app in lung cancer is particularly pressing. “There are no standard
follow-ups to detect relapse in patients,” he said. “Relapses are frequent and often
symptomatic… Symptomatic patients often wait, leading to health degradation and
nonoptimal therapy.”
MoovCare consists of a software application that patients or their caregiver use to report
their symptoms. The algorithm analyzes the information for signals of potential relapse or
complications and, if necessary, notifies the oncology care provider via email. The app can
be accessed on mobile and desktop devices.
Denis and colleagues tested the system in a phase 3 trial conducted at five medical centers
in France. Results were reported for 121 patients in the intent-to-treat analysis who were
randomized to use either the MoovCare system or routine follow-up. The trial was stopped
early at the interim analysis because of the positive results.
The study population consisted of patients with nonprogressive non–small cell lung cancer
or small cell lung cancer at stages 2A through 4. All patients underwent chemotherapy
before starting the trial and were permitted to continue tyrosine kinase inhibitor therapy or
maintenance therapy throughout the study.
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TRADE PRESS / Cure Today– June 7th 2016
In response to questions about MoovCare’s practicality, Denis said the system is easy to
install on a computer and would simply require a doctor or nurse to monitor the emails
However, Patricia Ganz, an ASCO commentator who served as moderator for the presscast,
said drawing benefit from such a system would necessitate changes in US practices. She
said that similar experiments in the United States had found that information patients
submit electronically does not generate action because of the cost of deploying personnel
to monitor the data.
“We’re trying to restructure how we deliver care so that we can be responsive to these
kinds of changes and these tools where patients can report their symptoms and how
they’re doing on a regular basis,” said Ganz, a professor at the UCLA Fielding School of
Public Health/Department of Health Policy and Management. “If there’s staff in the office
who can respond [it would] really make a difference in preventing emergency room visits,
hospitalizations and so forth.”
ASCO spokesman Gregory Masters, a lung cancer specialist at the Helen F. Graham Cancer
Center in Delaware, said the MoovCare system presents “one way to engage patients and
allow them to take a more active role in their care.”
He said this is particularly important in lung cancer. “Lung cancer is a unique cancer in
some ways because many of these patients have a lot of guilt about their diagnosis,” said
Masters. “I think we see that more in lung cancer patients than in many other patients.
Some patients don’t want to bother the doctor or the nurse or the health care team with
their symptoms or they think [their symptoms] are not important.”
Sivan Innovation, an e-health company headquartered in Jerusalem that developed
MoovCare, said the system is the first web application based on telemonitoring. The
company said it would seek regulatory approvals for marketing it as a medical device and
that a CE mark procedure is underway in Europe.
The company also said it would start rolling out the application in France in 2017, and then
elsewhere in Europe, the United States, Israel and other countries. MoovCare also is in
development for approximately 15 other cancer indications, notably lymphoma, in a
partnership with Takeda France, the company said.
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TRADE PRESS / Healthcanal – June 7th 2016
Mobile-Friendly Web Application Extends Lung Cancer Survival
07/06/2016 05:33:00
CHICAGO – A Web-mediated follow-up application (Moovcare™) improves advanced lung cancer
survival, according to a French multicenter randomized phase III study. Researchers analyzed the
association and evolution of self-reported clinical symptoms over time. The median overall
survival of patients who used the application was 19 months, compared to 12 months for those
who received standard follow-up care. Patient quality of life was also better among patients who
used the application. The study will be featured in a press briefing today and presented at
the 2016 American Society of Clinical Oncology (ASCO) Annual Meeting.
“Through personalized follow-up using this convenient and simple online application, we can
detect complications and signs of relapse and offer appropriate care earlier,” said lead study
author Dr. Fabrice Denis, MD, PhD, a researcher at the Institut Inter-regional de Cancérologie Jean
Bernard in Le Mans, France. “This approach introduces a new era of follow-up in which patients
can give and receive continuous feedback between visits to their oncologist.”
About the Study
After completing initial chemotherapy, radiation therapy, or surgery, 133 patients with stage III/IV
lung cancer were randomly assigned to Web-mediated follow-up or standard follow-up. The
standard follow-up included doctor visits and CT scans every 3-6 months (or more often at the
researcher’s discretion).
Patients in the Web-application group had the same schedule of planned doctor visits but three
times fewer scheduled scans. They used the Web application to self-assess symptoms weekly.
Caregivers could also enter data on behalf of the patients. The application analyzed 12 symptoms
and reported results to the oncologist. An algorithm assessed specific changes in symptoms and
triggered email alerts for the doctor, who would then confirm the need of anticipated
exams/visits to adapt cancer treatment, including supportive care options.
Key Findings
At one year, 75% of patients were still alive in the Web-application group, compared to 49% in
the standard follow-up group. The study was stopped at planned interim analysis because of
good results.
Relapse rates were similar in both groups: 51% and 49% in the standard and Web-application
groups, respectively. The general well-being of patient (performance status) at the time of relapse
was good in the Web-application group, so the majority (74%) of those patients were able to
receive the full recommended treatment for the recurrence. In contrast, only one-third of
patients in the standard follow-up group were well enough to receive optimal treatment for
cancer recurrence.
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TRADE PRESS / Healthcanal – June 7th 2016 (suite)
Overall quality of life, assessed using standard quality-of-life questionnaires FACT-L, FACT G, and TOI,
was better in the Web-application group. Web-application follow-up also reduced by 50% the
average number of imaging tests per patient per year.
The findings are consistent with the results of two other studies using tele-health follow-up.
However, according to the authors, this is the first randomized trial showing a major improvement
in survival with Web-mediated follow-up versus standard follow-up. It is also the first time that an
algorithm for early detection of a symptomatic relapse or complication was used to trigger early
supportive care or treatment.
In addition, review of patient-reported symptoms did not add burden to the doctors: on average, it
took oncologists only 15 minutes per week to follow 60 patient and automated decreased the
frequency of patient phone calls to the office.
About Lung Cancer
Lung cancer is the most common cancer worldwide. In 2012, there were 1.8 million new lung cancer
diagnoses worldwide and an estimated 1.59 million deaths due to lung cancer.1 In the United States,
an estimated 224,000 people will be diagnosed with lung cancer this year.2 Despite advances in
surgery, chemotherapy, radiotherapy, targeted therapy, and immunotherapy, lung cancer remains
a devastating disease. According to the authors, almost all (80-90%) lung cancer relapses are
symptomatic.
This study received funding from the Institut de Cancérologie de l'Ouest / Sephira Inc. and Sivan
Innovation, the maker of the Moovcare application.
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TRADE PRESS / Newvision.co –June 7th 2016
Lung cancer: Mobile app could extend life expectancy
By AFP
Added 7th June 2016 08:22 AM
The app, named Moovcare, enables patient-doctor communication even at a distance,
using remote monitoring to quickly detect relapses or complications.
A new mobile application could help doctors better provide care to patients with
advanced lung cancer, perhaps even extending life expectancy, according to a study
presented in the United States Monday.
The app, named Moovcare, enables patient-doctor communication even at a distance,
using remote monitoring to quickly detect relapses or complications.
"This approach introduces a new era of follow-up in which patients can give and receive
continuous feedback between visits," said lead author Dr. Fabrice Denis, a cancer
researcher in Le Mans, France.
Study participants who used the app reported an improved quality of life and on average
survived 19 months, seven months longer than the control group that received standard
medical care.
"With new technologies like this app, we can make communication even simpler, which is
great for doctors and even better for patients," said Gregory Masters, a lung cancer expert
who did not work on the study.
Better adapted treatment
Developed by Denis, a lung cancer specialist, the app is still at prototype stage, but the
Israeli firm Sivan Innovation plans to roll it out commercially in 2017 at a price yet to be
determined.
Sivan Innovation and the Cancer Institute of Western France co-funded the study whose
results were presented the annual American Society of Clinical Oncology (ASCO)
conference.
Researchers randomly selected 133 patients to test the app or receive standard medical
care following chemotherapy, radiation treatment or surgery.
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TRADE PRESS / Newvision.co – June 7th 2016
Patients who used the app had the same medical visiting schedule -- doctor visits and CT scans
every three to six months -- but used the app to assess their own symptoms weekly.
If the app detected specific changes in any of a dozen symptoms, doctors received alerts to
adapt treatment accordingly.
One year after the study began, 75 percent of patients using the app were still alive, in contrast
to 49 percent in the control group.
Relapse rates in both groups hovered around 50 percent, but 74 percent of those using the app
were strong enough to continue treatment following relapse. Just one-third in the control
group were considered healthy enough for more procedures.
Doctors did note that while corresponding with patients via the app did not significantly add
time to their work weeks, the app could burden medical facilities with additional costs, if
nurses or other staff must also help monitor patients who were using it.
An estimated 224,000 people will receive a lung cancer diagnosis in the United States alone
this year. It is the most common cancer worldwide, with 1.8 million new diagnoses and 1.59
million deaths in 2012, according to statistics cited by ASCO.
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TRADE PRESS / Healio – June 7th 2016
Web applicationguided followup May improve
survival in highrisk lung cancer June 7, 2016
CHICAGO — Patients who selfreported symptoms using a web application experienced
earlier detection of relapse and improved survival, according to a results of a randomized
phase 3 trial presented at the ASCO Annual Meeting.
“We would likely see the same results if we called patients as often, but that is not possible,”
Fabrice Denis, MD, PhD, researcher at the Institut Interregional de Cancérologie Jean
Bernard in Le Mans, France, said during a press briefing. “Early relapse detection is essential
for lung cancer patients because 3 or 4 weeks with symptoms which go unreported can lead
to poor outcomes.”
Research shows that patients who selfreport symptoms are more likely to have their relapses
detected early and undergo earlier supportive care than patients who only communicate
with their physicians during scheduled visits.
Denis and colleagues sought to evaluate the effectiveness of using a mobile application to
monitor patient reported symptoms.
The analysis included data from 121 patients (median age, 65 years), 90% of whom had stage
III or stage IV lung cancer.
Researchers randomly assigned patients to a clinical routine assessment with a CT scan
every 3 to 6 months or at investigator decision (n = 61) or to followup using the web
application to send weekly reviews of selfscored symptoms between planned visits (n = 60).
Oncologists were alerted via email when a patient in the experimental arm reported a
predefined criterion, and the patient then underwent imaging. Patients also underwent
early supportive care when the symptoms warranted it.
The study was designed to detect a 12% improvement in 9month OS. Secondary outcomes
included performance status after first relapse, PFS and quality of life. Median followup was
9 months.
Overall, rates of OS were higher in the web application arm at 9 months (79% vs. 59%) and
12 months (75% vs. 49%).
Median OS for patients in the webapplication arm was 19 months compared with 12 months
for the control arm (HR = 0.33; 95% CI, 0.160.67).
Relapse rates were similar in the webapplication and control arms (51% vs. 49%).
However,patients in the webapplication
arm were more likely to be in a high health condition at relapse than the control arm. The
median ECOG performance status was 0 to 1 in 77% of the experimental arm compared with
33% the control arm. Patients in the webapplication arm also were more likely to receive
optimal therapy (74% vs. 33%; P < 0.001).
Patients in the webapplication arm underwent 50% fewer imaging procedures compared
with the control arm.
“If there was a drug that caused this level of benefit, we would use it,” Patricia Ganz, MD,
FASCO, director of the center for cancer prevention and control research at the Jonsson
Comprehensive Cancer Center and professor at Fielding School of Public Health and David
Geffen
School of Medicine at UCLA, said at the briefing. “Further, this is personalized medicine. The
data show that it is easy to use for patients and that performing tests as needed, instead of
on a schedule, is a more efficient use of resources.” – by Nick Andrews
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TRADE PRESS / Medpagetoday.com – June 7th 2016
Novel App Seems to Extend Lung Cancer Survival
Web app offers early detection of relapse, complications between
healthcare visits
CHICAGO -- When social media met personalized medicine, the result was longer survival
for lung cancer patients, a researcher said here.
In a multi-center phase III randomized trial, patients using a Web application that triggered
care based on reported symptoms did significantly better than patients getting standard
care (hazard ratio 0.33, 95 % CI 0.16-0.67, P=0.0014), according to Fabrice Denis, MD, PhD, of
the Jean Bernard Cancer Center in Le Mans, France.
The efficacy results were sufficiently impressive at a planned interim analysis that the trial
was stopped early, Denis told reporters at the American Society of Clinical Oncology annual
meeting.
The advantage of the application, Denis said, is that it allows healthcare providers to react
quickly to a change, rather than waiting for a scheduled visit. "Relapse doesn't occur during
planned visits," he said.
"If [patients] were doing poorly, then they were immediately put in contact with their
physician," commented Paul Bunn, Jr, MD, of the University of Colorado Cancer Center in
Denver. "So they didn't get sick in the interval between physician visits."
The improved outcomes associated with the application underscore the need for close
contact between patients and physician, Bunn, who was not involved in the study,
toldMedPage Today.
If the application were a pill, it would be big news, commented ASCO spokespersonPatricia
Ganz, MD, of the University of California Los Angeles, who moderated the press briefing "If
we had a drug or an intervention that carried this level of survival benefit, wouldn't we want
to go out and use it?"
The intervention, she noted, appears to be easy to use; is tailored to the patient; and allows
care to be delivered when needed, rather than on a schedule -- something that should
eliminate waste of healthcare resources.
The application, dubbed Moovcare, can be used on a computer or smartphone, Denis said.
Once a week, patients use the application to enter data on a suite of symptoms, including
such things as asthenia, cough, dyspnea, and anorexia. A computer algorithm analyzes the
information and, if warranted, triggers an email alert to the healthcare team, leading to a
phone call or a visit.
In principle, use of the application should result in more appropriate and timely care, better
control of symptoms, improved general health, and better cancer care, he explained.
To test the issue, the authors enrolled 133 patients and randomly assigned them to standard
care or to care mediated by the Moovcare application. When the study was stopped, 121
patients were evaluable, 60 of them in the Moovcare arm.
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TRADE PRESS / Medpagetoday.com – June 7th 2016
Patients were at high risk, but were without progression at enrollment, and had a good
performance status, with disease stages from II through IV but a relatively low symptom
burden. In both arms, patients had planned appointments and tests on a standard
schedule, every 3 or 6 months depending on their cancer stage. The primary endpoint of
the study was overall survival (OS).
Of the 121 patients in the survival analysis, 90% were stage III or IV and they had a median
age of 65.
After a median follow-up of 9 months, median OS was 19 months among those using the
Moovcare app, and 11.8 months among those getting standard care.
Importantly, performance status at first relapse was 0 or 1 for 81.5% of the patients in the
experimental arm, compared with 35.3% for those getting standard care (P<0.001).
Because imaging was done as needed rather than on a schedule, the experimental arm
saw a 50% reduction in imaging when calculated per patient per year, Denis said.
Denis said he'd expect similar outcomes if doctors phoned every patient every week, but
"it's not possible."
Lung cancer patients often delay reporting symptoms because they don't want to bother
the healthcare team, commented ASCO spokesperson Gregory Masters, MD, of the Helen
F. Graham Cancer Center in Wilmington, Del.
The important issue is to get a picture of symptoms and "this is one way to do that,"
Masters, who was not involved in the study, told MedPage Today. However, other
approaches might also work.
Ganz noted that similar experiments have been tried in the U.S. and have shown that the
key element is having someone -- usually not the physician -- in charge of responding to
the data and getting the patient in for evaluation.
"When the feedback information has just come to the doctor, there's not much action -this has been shown," Ganz told MedPage Today. So the main cost is not software or
computers, she said, but having someone to monitor the system, she added.
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TRADE PRESS / Info-eruopa.com – June 7th 2016
Cancer treatment untested in many patients with immune problems
Thousands of cancer patients could be spared chemotherapy every year following
significant advances in personalized medicine, experts have said. Because of this, patients
may find themselves stopping the pills before the first five years, resulting in risks not being
lowered.
Instead, targeted drugs created to bring the cancer under control can be selected – and an
earlier study of 13,000 patients saw a significant boost in the number of cases where
tumours shrank.
United Kingdom trial lead Dr Sara Erridge, consultant oncologist at the Edinburgh Cancer
Centre, said: “Our important study showed that giving temozolomide chemotherapy after
radiotherapy delays progression and significantly improves survival for this group of
patients”. Wagle and colleagues initiated The Metastatic Breast Cancer Project, a
nationwide study that encouraged patients to share samples and medical records in an
effort to hasten research. The study was funded by the National Cancer Institute (NCI) and
administered by SWOG, a global network of researchers who design and conduct cancer
clinical trials.
But they cause unpleasant side effects in about half of all patients including hot fiushes,
sleeping difficulties and the bone thinning condition osteoporosis.
It also found that prolonging treatment decreases the chance of a new cancer developing
in the healthy breast. “With genomic testing of tumors becoming increasingly available,
studies such as ours will help more patients benefit from precision medicine approaches”,
said lead study author John Hainsworth, senior investigator at Sarah Cannon Research
Institute in Nashville, Tennessee, USA.
Two patients discontinued therapy because of adverse events related to the drug.
The app, named Moovcare, enables patient-doctor communication even at a distance,
using remote monitoring to quickly detect relapses or complications.
Ibrance is for women with oestrogen receptor-positive breast cancer or HER2 negative
breast cancer that has spread around the body.
In the study, published in the New England Journal of Medicine, 1,918 post-menopausal
women with early-stage breast cancer were split into two groups of either five or 10 years
on AIs. An analysis by the charity Cancer Research UK found patients were not getting
tested in order to get a precision treatment.
Results of the study showed that patients who used metformin before being diagnosed
with breast cancer were more than twice as likely to die than patients who never used the
drug, while patients who began using metformin after their cancer diagnosis were nearly
50 percent more likely to survive than non-users.
A team at a Turkish hospital analysed data from 295 patients to show obese women were
both less likely to respond to treatment and more likely to see their cancer return.
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TRADE PRESS / Info-eruopa.com – June 7th 2016
Clinicians knew from previous studies that using tamoxifen for up to 10 years was better than
using it for 5 years, but there wasn’t corresponding data for aromatase inhibitors.
Extending aromatase inhibitor therapy for 5 years beyond an initial 5 years resulted in a 34%
reduction in recurrence without worsening quality of life in postmenopausal women with
early-stage breast cancer, according to study results presented during the plenary session of
the 2016 American Society of Clinical Oncology (ASCO) Annual Meeting.
Baroness Delyth Morgan, Chief Executive at Breast Cancer Now, said: ‘This a really important
study that could one day have a major impact on how we use aromatase breast cancer
treatments.
“There isn’t a point at which we look at the woman and say ‘You’re done, it’s not going to
come back, ‘ ” said Dr. Lisa
Carey, a breast cancer specialist at the University of North Carolina who was not involved in
the study.
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TRADE PRESS / Ofweek– June 8th 2016
Moovcare:一款照顾肺癌末期患者的手机App
据台湾“中央社”6月7日报道,根据7日在美国发表的研究,一种新型手机应用程序(App)可为肺癌末期患
者提供更好的照护,甚至延长患者寿命。
据报道,这款App名为Moovcare,可让医师和病患远距对话,医生还可通过App远距监控,迅速察觉病患
是否复发或出现并发症。
研究主要执笔人、法国勒曼(Le Mans)的癌症研究专家戴尼斯(Fabrice Denis)表示:“这种作法开启追
踪的新时代,病患每次上医院的间隔期间,可持续给予和接收回应。”
使用这种App的受试者表示生活质量改善,平均存活时间则为19个月,比接受标准医疗照护的对照组多活了
7个月。
此款App由身为肺癌专家的戴尼斯研发,仍在原型阶段,但以色列公司Sivan Innovation打算2017年上市
,价格未定。
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TRADE PRESS / PM LIVE– June 8th 2016
Monitoring app boosts survival in lung cancer patients
Results
of
prototype
Moovcare
remote
monitoring device released at ASCO 2016
A web-based app has been shown to improve the
survival of patients with advanced lung cancer in
a phase III trial.
The
Moovcare
app
functions
as
a
remote
monitoring device and is used to report signs and
symptoms that a lung cancer patient may be
heading for a relapse or complication.
It can be used by patients or their carers to report
clinical symptoms over time, with the information shared with their physician.
According to the team behind the app, the median overall survival of patients who used the app
was 19 months, compared to just 12 for those who received standard follow-up care. Users of the
app - which can be used with mobile devices - also had higher quality of life scores.
After a year, three quarters of the Moovcare group were still alive, compared to around half of
patients
given
standard
follow-up.
The
results
are
consistent
with
earlier
trials
using telehealth approaches, said the researchers, but the trial is the first to show a significant
survival benefit for an app-based approach.
The difference seemed to come down to the general health and responsiveness of the patients
using the app. While relapse rates were around the same between the two groups, those using
the app tended to be healthier and so were more likely to be eligible for standard treatment for
a recurrence.
Presenting the data at the ASCO conference in Chicago this week, Fabrice Denis of the Institut
Inter-regionale de Cancérologie Jean Bernard in Le Mans, Franc, said Moovcare "introduces a
new era of follow-up in which patients can give and receive continuous feedback between visits
to their oncologist".
The 133 patients in the trial had all completed initial chemotherapy, radiation therapy or surgery
for their lung cancer and were offered the usual follow-up of doctor visits and CT scans every
few months. One group were given access to Moovcare and had the same schedule of doctor
visits but fewer scans, with the other following the usual follow-up protocol.
Around 50% of patients relapsed in each group, but 75% of the app users were able to receive
treatment for the relapse, compared to one third of the control group. There was also a 50%
reduction in imaging testing, which has the potential to reduce the cost of care.
Denis told a press briefing that at ASCO that the app also did not add to doctors' workload: in
fact it took oncologists only 15 minutes per week to follow 60 patients and actually decreased
the frequency of patient phone calls to the office.
Moovcare remains at the prototype stage but its developer - Israeli firm Sivan Innovation - has
said it intends to have it ready for a commercial launch in 2017
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TRADE PRESS / Forbes – June 9th 2016
The Surprising Degree By Which MoovCare, A Web
App, Helps Cancer Patients Live Longer
I’m not generally keen on health apps. So when I planned my last day at the cancer meeting
in Chicago, I considered skipping out on the first paper at the early press session with a
techy-dull title: “Improved Overall Survival in Lung Cancer Patients Using a Web
Application-Mediated Follow-up (Moovcare) Compare to Standard Modalities: Results of
Phase III Randomized Trial.”
I was astonished by the results. The app’s benefits were so clear that the study had to be
stopped early, said Dr. Fabrice Denis, an oncologist based at the Institut Inter-regional de
Cancérologie in Le Mans, France who presented the late-breaking report at
theASCO conference.
In the SENTINEL study, people with high-risk lung cancer were assigned to
access MoovCare, a symptom-reporting web tool, or routine follow-up. In this analysis of 121
evaluable patients receiving care at five medical centers, split between two trial arms,
median follow-up was 9 months.
The intervention prolonged life. Overall survival was 19 months in the group assigned to use
MoovCare, and 12 months in the group receiving standard follow-up for lung cancer after
surgery. This difference was highly significant from a statistical perspective (p=0.0014) and
from a clinical perspective.
Benefits of MoovCare included fewer deaths, less use of routine imaging tests and prompter
access to treatment when symptoms occurred. It appears to be a win/win/win.
“If we had a drug that caused this level of survival benefit, wouldn’t we want to go out and
use it?” said Dr. Patricia Ganz, an oncologist and professor at UCLA’s Jonsson Comprehensive
Cancer Center. She’s an expert in survivorship and health policy, not involved in the
MoovCare project, who discussed the findings.
Note, these were not young people using the app; the median age of the patients enrolled
was 65 years. Eligibility for the trial required Internet access and prior experience using
email. All had lung cancer for which monitoring was required. Most had advanced, stage III
or IV disease. At the time of enrollment, they needed have stable disease, but could be
receiving chemotherapy or a pill, such as a targeted therapy.
Patients assigned to use MoovCare were asked to provide weekly self-assessment of 12
symptoms. They or a caregiver submitted those updates using a smartphone or computer.
The technology is being developed by Sivan Innovation, a company based in Jerusalem.
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TRADE PRESS / Medicaltimes.ca– June 10th 2016
Better Lung Cancer Survival? There’s an App for
That
THURSDAY, Jun 9, 2016 (HealthDay News) — A new smartphone app competence assistance lung
cancer patients live longer and improved by monitoring their symptoms and alerting doctors to
intensity problems, researchers report.
The Moovcare smartphone and web focus valid so effective that researchers finished a clinical
hearing early, pronounced investigate author Dr. Fabrice Denis, a researcher during a Institut
Inter-regional de Cancerologie Jean Bernard in Le Mans, France.
About 75 percent of high-risk lung cancer patients were alive one year after they started
regulating a Moovcare app, compared with 49 percent of patients supposing customary cancer
care, Denis said.
Patients also lived 7 months longer, on average, when regulating Moovcare — about 19 months
compared to an normal of 12 months for nonusers.
Further, Moovcare patients compulsory reduction unchanging CT scanning. “The series of
imaging scans were reduced by 50 percent per studious per year,” Denis said.
Cancer consultant Dr. Patricia Ganz called a formula “a extensive advance.”
“If we had a drug or some new involvement that caused this turn of presence benefit, wouldn’t
we wish to go out and use it?” pronounced Ganz, executive of cancer prevention and control
investigate during a UCLA Jonsson Comprehensive Cancer Center, in Los Angeles. Ganz
moderated a lecture Monday during a American Society of Clinical Oncology (ASCO) annual
assembly in Chicago, where Denis common a findings.
Lung cancer is a world’s tip cancer killer. There were 1.8 million new lung cancer cases worldwide
in 2012, a researchers pronounced in credentials information, and an estimated 1.6 million deaths
due to a disease.
The Israel-based builder of Moovcare, Sivan Innovation, helped account a trial, Denis said. The
app is still in prototype, though is approaching to go on a marketplace in Jan 2017.
Patients used Moovcare once a week to news on 12 clinical symptoms that are compared with a
relapse of lung cancer or a potentially dangerous medical condition compared with a disease,
Denis said.
Their self-reported information was analyzed by an algorithm that triggered an email warning to
a patient’s cancer caring group if it looked like a risk was high for a relapse or a medical
emergency, he said.
For this clinical trial, Denis and his colleagues recruited 133 patients with theatre 3 or 4 lung
cancer, and incidentally indifferent them to use possibly a Moovcare app or bear customary
follow-up.
Standard follow-up consisted of a alloy revisit and CT scan each 3 to 6 months, depending on a
theatre of a patient’s lung cancer, Denis said.
Moovcare patients had a same series of designed alloy visits though underwent designed CT
scans usually each 6 to 12 months.
The thought was that Moovcare would concede doctors to residence health problems promptly,
rather than permitting illness to decoction between scheduled visits, Denis said.
Because relapsing patients mostly wait weeks before saying a doctor, they aren’t always means
to accept a best cancer caring probable since they’ve turn too ill to hoop a poisonous effects
ofchemotherapy, Denis explained.
The clinical hearing valid that to be true. About 74 percent of Moovcare patients undergoing a
lung cancer relapse had good adequate health to continue optimal cancer care, compared with
usually 33 percent of patients receiving customary care.
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TRADE PRESS / Medicaltimes.ca– June 10th 2016
Moovcare patients also perceived understanding caring when they indispensable it, improving
their peculiarity of life, Denis added.
That led to an altogether presence and normal presence advantage for patients regulating
Moovcare, Denis said.
However, it will usually work if doctors restructure their practices to make certain someone is
seeing a incoming Moovcare alerts, Ganz said.
“You indeed need someone in a bureau practice, either it’s a helper or some other person, who is
looking during a information as it’s entrance in and triggering a response,” Ganz said. She
combined that a genuine cost of a complement would be in additional crew rather than a record
itself.
Dr. Gregory Masters is a lung cancer dilettante during Christiana Care’s Helen F. Graham Cancer
Center, in Newark, Del. He said, “The investigate shows this is one approach to rivet patients and
concede them to take some-more of an active purpose in their care, that is unequivocally a vicious
factor.”
However, Masters combined that Moovcare competence not a best follow-up caring choice for
patients who are unequivocally noxious or are worried with smartphone or mechanism
technology.
“This is one approach to guard symptoms, and positively a presence information looked
unequivocally encouraging, though we have to figure out how we would indeed exercise it,” he
said. “We wish to make certain this is value implementing a whole new complement for
monitoring patients.”
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TRADE PRESS / Pharmaphorum.com June 10th 2016
Digital healthcare round-up: ASCO's apps,
public health and more
A round-up of this week’s top digital healthcare
news. Marco Ricci reports.
ASCO’s app-titude for digital health solutions
To kick off this week’s round-up, it makes sense to
tackle the biggest event in healthcare this week
– the annual American Society of Clinical Oncology
(ASCO) meeting.
Usually dominated by clinical research into new drugs, this year’s ASCO was also notable
for also notable for the large number of innovations in diagnostics and digital health. Of
particular prominence were mobile and web-based apps.
Moovcare is a web-based app that aids in follow-up
monitoring of advanced lung cancer patients. The app
allows patients to report symptoms which their doctor
can review and contact them if they believe the patient
may be relapsing.
Patients record symptoms once a week via a form that includes 12 fields and a free text
field. The form is then sent on to their doctor.
In a phase 3 trial including 133 patients who had completed initial chemotherapy,
radiotherapy or surgery for their cancers, the group given access to Moovcare (alongside a
usual doctor visit schedule and fewer scans) had a greater percentage of patients able to
receive treatment for relapse (75% of the 50% that relapsed). A 50% reduction was also seen
in image testing, reducing the overall cost of care for the Moovcare group.
Oncologists also reported a much lower burden of additional work than expected, with
many claiming it only took around 15 minutes per week to follow 60 patients and a decrease
in incoming patient phone calls.
Next in line came the Melanoma Institute of Australia’s (MIA) ClinTrial Refer Melanomaapp
which aims to increase patient trial enrolment to melanoma trials in Australia by providing
more access to information.
Study results showed that over a two-year period, trial recruitment increased by 127% from
97 patients to 220, showing that awareness of melanoma trials had been positively affected.
A final example of ASCO’s digital-focus this year came in the form of a slightly different app
from the previous two – this time attempting to reduce the financial burden experienced by
cancer patients.
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TRADE PRESS / Pharmaphorum.com – June 10th 2016
In a pilot study of 20 cancer patients, a web-based app entitled PAPNavigator (currently in
closed beta testing) attempted to reduce out-of-pocket treatment costs by connecting
patients directly to financial assistance options tailored to their individual circumstances.
In all three incidences, digital solutions to cancer-related issues met their objectives, proving
that electronic platforms deserve to be part of the ASCO conversation just as much as new
clinical research does.
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‫‪TRADE PRESS / E-Med.co – June 11th 2016‬‬
‫של הישרדותי לשיפור להביא עשויה רפואית אפליקציה‬
‫)‪-ASCO‬ה כנס מתוך( ריאות סרטן חולי‬
‫לשיפור ההישרדות הכוללת בשבעה חודשים‪ ,‬בהשוואה למעקב סטנדרטי‪ ,‬כך עולה מתוצאות מחקר חדש בשלב ‪,3‬‬
‫(‪ASCO) American Society of Clinical Oncology.‬שהוצגו במהלך כנס ה‪-‬‬
‫ו‪ 61-‬חולים )קבוצת הביקורת( קיבלו ‪Moovcare‬במסגרת המחקר הרב‪-‬מרכזי ‪ 60‬חולים השתמשו באפליקציה בשם‬
‫כל ‪ 3-6‬חודשים‪ ,‬או בהתאם להחלטת הרופאים‪CT .‬טיפול סטנדרטי‪ ,‬שכלל הערכה קלינית שגרתית עם בדיקת‬
‫האפליקציה דורשת שהמטופלים יעריכו את עצמם על‪-‬בסיס שבועי לפי ‪ 12‬מדדים שונים‪ ,‬כולל אסתניה‪ ,‬שיעול‪ ,‬קוצר‬
‫נשימה ואנורקסיה‪.‬‬
‫חציון ההישרדות הכוללת היה טוב יותר בקבוצת האפליקציה‪ ,‬בהשוואה לקבוצת הביקורת )‪ 19‬לעומת ‪ 12‬חודשים(‪.‬‬
‫הבדל זה תורגם לירידה של ‪ 67%‬בסיכון היחסי לתמותה‪.‬‬
‫שיעורי ההישרדות הכוללת לאחר שנה אחת היו טובים יותר בקבוצת ההתערבות‪ ,‬בהשוואה לקבוצת הביקורת )‪75%‬‬
‫לעומת ‪ ;(49%‬התועלת האבסולוטית עמדה על ‪ .26%‬תועלת זו הושגה למרות העובדה שהמחקר הופסק מוקדם –‬
‫לאחר ניתו הביניים לאחר תשעה חודשים – בשל תועלת חיובית‪ ,‬והחולים בקבוצת הביקורת חצו לקבוצת ה בעת‬
‫ההישנות‪ ,‬שיעור גבוה יותר של חולים בקבוצת ההתערבות קיבלו טיפול אופטימאלי )‪ 74%‬לעומת ‪ ,(33%‬אך אין‬
‫פירוט של הטיפולים שניתנו לחולים‪.‬‬
‫האפליקציה‪ ,‬או טכנולוגיה דומה‪ ,‬עשויה להיות הכי טובה במקרים של משאבים מוגבלים ומרפאות קטנות‪.‬‬
‫‪72‬‬
‫‪ASCO‬מתוך כנס ה‪-‬‬
‫לידיעה במדסקייפ‬
‫התערבות‪.‬‬
‫‪Sivan Innovation - 19 Hartom Street – 97775 Jerusalem – ISRAEL‬‬
‫‪Standard : +33 (0)1 83 64 45 98 - E-mail : [email protected]‬‬