Joyeuse st-Valentin! - Centre Jeunesse de Laval

Transcription

Joyeuse st-Valentin! - Centre Jeunesse de Laval
Portes ouvertes le
27 février prochain
2013-2017
Page 9
Vol. 22 No1 - Février 2014
Merci
à tous les généreux
donateurs!
Pages 4 à 7
Joyeuse St-Valentin!
Une tournée fort stimulante
plan d’amélioration issu de notre dernière
démarche d’agrément, en plus d’échanger
avec vous sur les enjeux de la planification
stratégique, particulièrement sur un nouvel
énoncé de vision organisationnelle que l’équipe
de direction désire promouvoir pour les quatre
prochaines années. Par ailleurs, le deuxième
objectif que je vise en tant que directrice
générale, est de favoriser un climat d’échange
qui représente pour moi une occasion privilégiée d’entendre vos bons coups ainsi que de
recueillir vos préoccupations et de répondre à
vos questions.
J’ai l’immense plaisir d’être actuellement
engagée dans la tournée de tous les services
du Centre jeunesse de Laval et du Centre
de réadaptation en dépendance Laval. Ces
rencontres, qui ont débuté en décembre
dernier et qui se poursuivront jusqu’à la fin
mars 2014, visent deux grands objectifs.
Je vise tout d’abord à vous présenter les
grandes orientations opérationnelles et
stratégiques qui guideront notre établissement
au cours des quatre prochaines années. Pour
ce faire, je souhaite présenter le sens de notre
Sommaire
février 2014
Mot de la directrice générale2
Coup de chapeau
3
Petites nouvelles d’ici
4à8
Nouvelles de la DRH
9 à 13
Nouvelles de la DSR
14 à 17
Nouvelles de la DSJF
18
Les indissociables
19
Nouvelles du centre de documentation20-21
Au calendrier
22
Nouvelles de la DSG
23
Écho du comité des usagers
24
Nouvelles du CCPAS
25
Écho du conseil multi
26
Concours-sondage La Capitale
27
Chronique financière La Capitale
28
2 - Journal Le Bon our - Février 2014
Ces rencontres se déroulent selon diverses
formules et formats, en fonction des besoins
spécifiques de chacune des directions ou
encore de la réalité de vos services respectifs.
À ce jour, j’ai eu la chance d’échanger avec
l’ensemble du personnel de la Direction des
services de gestion, de la Direction des ressources humaines, de la Direction des services
professionnels, de la Direction générale et du
Centre de réadaptation en dépendance Laval.
Les rencontres avec le personnel de la
Direction des services de réadaptation ainsi
qu’avec celui de la Direction des services aux
jeunes et à leur famille sont bien amorcées et
se poursuivent toujours.
Lors de ces rencontres, vous recevez un
exemplaire du Plan d’amélioration 2013-2017
accompagné d’une fiche synthèse qui résume
les 14 objectifs de ce plan, regroupés dans
chacun des quatre grands axes stratégiques
d’amélioration : l’Engagement qualité, la
Continuité, l’intégration et la fluidité des
services dispensés à la clientèle sous le signe
de la collaboration, l’Adaptation de l’offre
de service et, finalement, la Sécurité de la
clientèle et du personnel dans une perspective
intégrée de gestion du risque.
Alors que les valeurs organisationnelles
demeurent inchangées, la vision organisationnelle a quant à elle été renouvelée afin
de mieux refléter nos enjeux à venir. Une
vision est en quelque sorte un idéal à atteindre
porté, non seulement par l’équipe de direction,
mais par l’ensemble du personnel et des
gestionnaires. La vision proposée met de
l’avant la volonté de l’établissement de placer
les services à ses différentes clientèles sous
le signe de l’innovation, de la performance et
de la concertation au sein de son milieu et
Mot de la directrice générale
Danièle Dulude
dans la région; elle vise à anticiper les besoins
émergents dans nos environnements interne
et externe; elle évoque également l’importance
d’être proactifs dans la mise en place de stratégies et de moyens permettant de s’adapter
en continu à la réalité de nos clientèles et du
personnel; puis elle souligne enfin l’importance
de mesurer les effets et les impacts de nos actions.
Fidèles à vous-mêmes, vous m’avez réservé
un accueil des plus chaleureux lors de mes
premières rencontres, empreint d’ouverture et
de générosité dans vos commentaires. Ceuxci sont lucides dans les difficultés et écueils
que vous nommez, mais également tournés
vers des solutions constructives. Vos propos
sont éclairants et, comme observés tout au
long de notre troisième démarche d’agrément,
sont convergents et complémentaires entre
eux. Plusieurs d’entre vous me parlez notamment de votre préoccupation face à la stabilité
du personnel, à la sécurité de la clientèle et du
personnel et aux problèmes émergents chez
notre clientèle, notamment en santé mentale,
tant pour notre mission jeunesse que pour
notre mission dépendance. Vous me dites par
ailleurs unanimement que vous souhaitez être
davantage entendus pour ainsi contribuer à la
recherche de solutions.
J’ai beaucoup de plaisir à entendre vos bons
coups et les réalisations dont vous êtes particulièrement fiers. Vous abordez également
la question des changements vécus, souvent
très exigeants, qui vous ont amenés à sortir
de votre zone de confort, mais vous constatez,
pour une majorité d’entre vous, la plus-value
de ceux-ci au plus grand bénéfice de nos
clientèles et de la qualité des services que
vous leur offrez.
Bref, ces rencontres sont des moments très
riches et stimulants qui me confirment que
nous travaillons tous ensemble à construire et
à consolider un centre jeunesse et un centre de
réadaptation en dépendance de grande qualité
et résolument tourné vers l’avenir!
Chapeau Mario!
Coup de chapeau
Direction des services de gestion
Chaque année, le Centre jeunesse revêt ses plus beaux atours durant
la période des Fêtes. Tous les arbres de Noël, ayant chacun leur
personnalité, valent le coup d’œil. Des aires de réception aux cafétérias,
de la chapelle, pour le coquetel de la directrice générale, à l’extérieur
sur le terrain de stationnement, les arbres sont à l’honneur et admirés
des jeunes, du personnel et des visiteurs.
Et que dire des décorations de toutes sortes dont plusieurs aimeraient
pouvoir imiter? Les gens ont été émerveillés devant les superbes
arrangements dont la couronne sous forme de gouvernail à la Maison
des navigateurs, les raquettes de neige à la réception du siège social, la
crèche montée à la chapelle.
Et tout cela grâce à une personne qui a le souci de mettre de la couleur
dans notre environnement et qui d’année en année, repense ses
chefs-d’œuvre.
Merci Mario Breton pour ton implication.
Merci de nous faire partager ton grand
talent.
Mario Breton
Journal Le Bon our - Février 2014 - 3
Noël au Centre jeunesse :
des donateurs encore très généreux!
Petites nouvelles d’ici
Mathieu Vachon
Service des communications
La grande distribution de cadeaux de Noël aux jeunes du Centre jeunesse de Laval et du Centre de réadaptation en dépendance Laval a
encore une fois connu un franc succès cette année! La générosité des
gens fut remarquable alors que plus de 500 cadeaux et paniers de Noël
ont été distribués aux petits comme aux grands, hébergés ou suivis dans
le milieu, qui proviennent de familles dont la situation est précaire, tant
au plan social que financier.
Il va sans dire que ces enfants sont plus vulnérables à la période des
Fêtes car ils doivent vivre ce moment familial, généralement heureux
pour la plupart d’entre nous, dans une certaine solitude. Bien sûr, les intervenants s’assurent qu’ils profitent de festivités de toutes sortes mais
le fait de recevoir un cadeau d’un étranger leur permet de constater
que des gens pensent à eux en cette période remplie d’émotions. C’est
particulièrement le cas aux centres Cartier et Notre-Dame de Laval, ainsi
que dans les foyers de groupes, où des célébrations ont eu lieu à la
mi-décembre avec tous les jeunes hébergés, puis la veille de Noël avec
Fidèles à leur habitude, les employés de la CIBC ont offert des
celles et ceux qui n’avaient pas la chance de retourner dans leur famille. cadeaux à tous nos jeunes hébergés à l’occasion de la fête de Noël
dans les unités filles et garçons. Mesdames France Lévesque
Le Centre jeunesse a également contribué cette année à la fête de
et Isabelle Paiement attendent fièrement les intervenants qui
Noël de l’Association des familles d’accueil de Laval qui a eu lieu le
doivent venir chercher les 280 cadeaux minutieusement choisis en
14 décembre alors qu’une cinquantaine de cadeaux reçus des fonction des suggestions fournies par les jeunes. Mentionnons que
donateurs leur ont été remis.
la CIBC offre également des cadeaux d’anniversaire aux usagères
du Centre Notre-Dame de Laval tout au cours de l’année.
L’établissement tient à dire un énorme MERCI aux généreux donateurs
qui, année après année, mobilisent leur entourage autour d’une cause
fort importante. Il faut également souligner l’implication de bénévoles
et de précieux partenaires pour cette belle réussite. Grâce à eux, nos
jeunes peuvent vivre Noël... le sourire aux lèvres!
Les intervenants ont également joué un grand rôle dans cette campagne en proposant des suggestions de cadeaux et en venant chercher
les cadeaux afin de les remettre à leurs jeunes!
Les employés et les citoyens de la région de Laval ont aussi été très
généreux en versant des dons en argent ainsi que des dons matériels
qui ont été remis au Grenier du comité des usagers qui s’est chargé de
les redistribuer à nos jeunes dans le besoin.
Steve Larouche et Mélissa Gravel du service de traduction de
la firme d’avocats Stikeman Elliott, remplissent leur voiture
de surprises qui seront remises à des jeunes suivis dans la
communauté. Si l’on avait à traduire notre gratitude, nous pourrions
dire « Thank you very much and hope to see you next year! ».
4 - Journal Le Bon our - Février 2014
Noël au Centre jeunesse : des
donateurs encore très généreux!...suite
Pour la première fois cette année, le Centre médical Brunswick
situé à Pointe-Claire a tenu à participer à la fête de Noël du Centre
jeunesse. Médecins et employés se sont donc concertés pour faire
plaisir à près d’une soixantaine de jeunes hébergés à Cartier et
Notre-Dame de Laval. Josée Girard et Gillian Belec étaient bien
émues de nous visiter, mais pas autant que nous en voyant les
magnifiques emballages des cadeaux offerts.
Grands donateurs depuis déjà plusieurs années, les parents de
l’école Charles-Perreault de Laval se sont à nouveau donnés la
main pour offrir plus de 250 jouets, vêtements et autres présents
aux enfants et adolescents suivis dans la communauté, dont une
cinquantaine à des enfants en famille d’accueil. Mathieu Vachon du
Service des communications accueille Mme Eberth Pierre Louis à
la chapelle où nous avions organisé un centre de distribution des
cadeaux à l’intention des intervenants qui a été dirigé de main de
maître par Céline Thouin, ex-attachée de direction aux ressources
humaines. Un merci tout spécial au docteur Nicolas Raymond, un
parent de l’école totalement dédié à la cause de nos jeunes.
Petites nouvelles d’ici
Mathieu Vachon
Service des communications
L’équipe du cabinet d’orthodontie du Dr Christian Fournier de
Laval participe à l’achat de cadeaux au bénéfice de nos jeunes
enfants pour une troisième année. Fidèle à la tradition, le
Dr Fournier offre quant à lui, des cadeaux à une dizaine d’ados!
Nous saluons Dominique Laplante qui a pris en charge les liens
avec le Centre jeunesse.
Habitués de l’opération cadeaux de Noël du Centre jeunesse, les
employés des services judiciaires du Palais de justice de Laval se
sont littéralement dépassés cette année en amassant la somme de
900 $, grâce notamment à un dîner pizza qui fut fort populaire. Les
fonds seront remis au pavillon Le Passage et à la Maison
des navigateurs, deux nouvelles ressources qui accueillerons
graduellement des usagers au cours des prochains mois.
Journal Le Bon our - Février 2014 - 5
Noël au Centre jeunesse : des
donateurs encore très généreux!...suite
Petites nouvelles d’ici
Mathieu Vachon
Service des communications
La livraison des cadeaux de Mme Josée Lapointe et de
Me Fernand Deveau représente à tous les ans un événement
remarqué au Centre jeunesse. C’est donc le 18 décembre que
Danièle Dulude, directrice générale, s’est rendue à l’atelier
de production du SSIR au Centre Cartier pour assister au
débarquement des quelque 90 sacs remplis de diverses
surprises qui ont été remis aux jeunes hébergés le soir du
24 décembre. Cette grande générosité est rendue possible
grâce à l’implication de Mme Lapointe et de Me Deveau
ainsi qu’à la participation de certains partenaires d’affaires.
Touché par des reportages sur les jeunes du Centre jeunesse qu’il
avait vus à la télévision, M. Alberto Vega, président de « Services
d’Entretien Fany », a décidé de partager la chance qu’il a d’avoir
une entreprise florissante. M. Vega désirait offrir des paniers de
Noël à des familles démunies. Nous avons donc identifié
12 familles de jeunes suivis dans la communauté qui
étaient très heureuses de recevoir diverses denrées et gâteries
à temps pour la période des Fêtes. M. Vega et ses
acolytes remettent ici des paniers à Roxanne Briand, Isabelle
Thériault, Guylaine Milot et Corinne Bergeron D’Amours,
toutes intervenantes aux services dans le milieu.
6 - Journal Le Bon our - Février 2014
Le froid n’arrête pas la générosité des employés
lors de la Guignolée annuelle
C’est le 4 décembre qu’avait lieu la traditionnelle Guignolée du
CJ de Laval, CRD Laval et CRDITED de Laval. Malgré le froid, les
efforts de sollicitation des employés et de la clientèle de nos
établissements ont permis d’amasser la rondelette somme de
1462,96 $, soit environ 200 $ de plus que l’an dernier. Ce montant
a été remis au Centre de bénévolat et moisson Laval, en plus des
denrées non périssables qui ont été ramassées tout au long
du mois de décembre aux entrées de nos installations.
Merci pour votre grande générosité!
Noël TVA – une collecte de fonds…
mais aussi une activité
de visibilité!
Petites nouvelles d’ici
Mathieu Vachon
Service des communications
C’est du 16 au 20 décembre qu’a eu lieu la campagne annuelle de
Noël au profit des fondations des centres jeunesse pour une huitième
année consécutive. C’est ainsi que lors de chacune de ces journées, des
reportages d’Harold Gagné ont été diffusés à TVA/LCN et le Journal de
Montréal a également publié des histoires dans sa version papier ainsi
que sur son site Web.
Bien sûr, cette activité annuelle vise à ramasser des dons provenant
d’auditeurs et de lecteurs qui, après avoir entendu et lu les histoires
touchantes, ont désiré contribuer à faire une différence dans la vie d’un
enfant. Ce sont donc 32 439 $ qui ont été amassés. Ces sommes sont
sans compter les dons matériels reçus, notamment des billets pour les
matchs des Canadiens, des tablettes électroniques, des vêtements et
des jouets qui ont profité à nos jeunes.
Fait à souligner, le centre d’appel pour tout le Québec était situé au Centre jeunesse de Laval pour une troisième année. Grâce à une installation
professionnelle mise en place par le Service des systèmes d’information
et les services techniques, nous avons pu recevoir confortablement
745 appels au cours de la campagne.
Des bénévoles du Centre jeunesse de Laval prêtes à répondre :
Nancy Bélanger, Guylaine Lehoux, Sophie Chenette et
Sonia Bessette.
Mais au-delà des sommes recueillies, cette activité mobilisatrice constitue une excellente tribune pour sensibiliser la population à la cause des
jeunes des centres jeunesse du Québec. En effet, les reportages et les
articles visent à démontrer toute l’ampleur de la détresse dans laquelle
se retrouvent les enfants et leur famille. Ils permettent par ailleurs à la
population de constater le large spectre d’intervention de nos établissements et met de l’avant le travail essentiel de nos intervenants.
Le Centre jeunesse de Laval tient à remercier sincèrement tous ceux
et celles qui ont offert ces dons, TVA et le Journal de Montréal ainsi
que les bénévoles ayant travaillé au centre d’appel, généreux de leur
temps, provenant des centres jeunesse de Laval, Montréal, Laurentides,
Lanaudière, Montérégie ainsi que de l’ACJQ.
Journal Le Bon our - Février 2014 - 7
Noël au Centre jeunesse :
de petites attentions pour
le personnel
Petites nouvelles d’ici
Le 11 décembre avait lieux deux activités traditionnelles, soit la distribution de bûche de Noël dans les centres de réadaptation et dans
les foyers de groupe et le coquetel de la directrice générale. Sur l’heure du dîner, Danièle Dulude s’est rendue à la cafétéria du
Centre Notre-Dame de Laval afin d’offrir des morceaux de bûches aux gens sur place pour ensuite faire le tour des unités de vie des
deux centres, accompagnée de plusieurs membres de la direction.
En fin d’après-midi, la chapelle de l’établissement a fait place au coquetel de Noël.
8 - Journal Le Bon our - Février 2014
Portes ouvertes!
Recrutement du personnel
le 27 février 2014
Nouvelles de la DRH
ressées
té
in
es
n
on
rs
pe
s
de
s
ou
-v
Connaissez
à relever
et
es
un
je
os
n
de
ès
pr
au
à travailler
tre jeunesse?
n
ce
en
er
ll
ai
av
tr
de
fi
dé
le
Informez les gens et invitez-les à venir se familiariser avec les divers métiers du Centre jeunesse de
Laval à l’occasion des « Portes ouvertes » pour le recrutement du personnel dans plusieurs titres
d’emploi de l’établissement.
Nouveauté cette année
Nous vous invitons à nous recommander des personnes qui
souhaiteraient devenir famille d’accueil.
Où : à la salle 1 (siège social) du Centre jeunesse de Laval
Quand : le 27 février 2014 de 10 h à 16 h
Au programme :
- Kiosques d’information sur le Centre jeunesse de Laval
et le Centre de réadaptation en dépendance Laval et sur
les défis au quotidien
- Rencontres avec le personnel dans tous les titres d’emploi
- Analyses de curriculum vitae sur place par le personnel
des ressources humaines
- Kiosque d’information sur les familles d’accueil
Pour information :
Nathalie Hotte
Direction des ressources humaines
450 975-4150, poste 4077
Journal Le Bon our - Février 2014 - 9
Le cybermarché de la formation!
Le Service de formation et du développement organisationnel est
très fier de vous informer de la disponibilité de nouveaux services. En
effet, de nouvelles modalités de formation, soit le webinaire, les
visioconférences et des tableaux blancs intelligents (TBI) sont maintenant disponibles et à l’essai depuis cet automne. Nouvelle entrée dans
une ère technologique, la formation 2.0, désignée comme le « cybermarché de la formation », permet l’apprentissage par des moyens
électroniques où l’internaute devient acteur de son développement.
Cette méthode permet une participation interactive à des formations qui
semblaient auparavant inaccessibles. Fini les formations trop loin pour
s’y rendre ou trop longues pour s’absenter du bureau; l’accessibilité est
maintenant au bout de l’écran, et ce, à de moindres coûts!
Nouvelles de la DRH
L’équipe du Service de formation et
du développement organisationnel
Mentionnons également que, toujours dans un souci d’améliorer nos
services, nous émettons des attestations de formation continue. Nous
offrirons aussi sous peu la possibilité aux employés d’obtenir des
unités d’éducation continue (UEC) pour ainsi faire reconnaître ces
formations auprès des différents ordres professionnels qui les
requièrent. Une liste des formations reconnues et accréditées vous
sera fournie sous peu. Pour en savoir plus, communiquer avec nous par
courriel au 13CJ Formation.
Nous en profitons pour vous rappeler les étapes à suivre pour une
demande de formation (pour des formations qui ne sont pas déployées
par notre service) :
1- L’employé fait une demande à son supérieur immédiat. Pour ce
faire, il utilise le formulaire disponible sur le portail et fournit
toutes les informations pertinentes concernant la formation : le
lieu, la date, le nom du formateur (ou l’organisation formatrice), le
coût et les modalités d’inscription.
2- Si la formation est acceptée, le supérieur et le directeur acheminent le formulaire complété et signé au Service de formation et du
développement organisationnel.
3- Lorsque la demande est acceptée par le Service de formation et
du développement organisationnel, celui-ci procède à l’inscription
et au paiement de la formation.
INFO COMITÉ SECOURISTE
En ce mois du cœur…
Votre comité secouriste est heureux de vous informer que nous avons fait l’acquisition
de cartouches juvéniles pour le défibrillateur. Ces cartouches spécifiques servent lors
de l’intervention du défibrillateur pour les jeunes de moins de 55 livres. Les cartouches
sont associées aux défibrillateurs localisés à chacune des réceptions des centres
Notre-Dame de Laval et Cartier et du siège social, ainsi qu’au centre sportif. D’ailleurs,
nous tenons à vous rappeler que les différents secouristes sont habilités à utiliser
les treize défibrillateurs disponibles aux différents endroits (NDL, Cartier, siège social,
incluant le CRD Laval).
10 - Journal Le Bon our - Février 2014
Le Service de la santé et
de la sécurité du travail
Nouvelles de la DRH
Le mois de la santé du cœur!
Le Service de la santé et
de la sécurité du travail
Chaque année, février est reconnu au
Canada comme le mois de la santé du cœur.
Cette initiative, organisée par la Fondation
des maladies du cœur du Canada, vise à
sensibiliser le public aux maladies du cœur.
Depuis plusieurs années, le Service de la santé et de la sécurité du
travail s’associe à la Fondation et propose à tous l’opportunité de
s’informer sur différents sujets cardiovasculaires préventifs et de
participer au concours annuel.
Cette année, la Fondation des maladies du cœur ne propose pas de
concours. Toutefois, elle invite les gens à consulter leur site Internet et
rappelle certaines démarches à suivre afin de réduire les risques de
développer une maladie cardiovasculaire et assurer une bonne santé
du cœur.
En fait, bien que certains éléments soient incontrôlables (sexe, âge,
antécédents familiaux), une majorité de facteurs peuvent être contrôlés
par de saines habitudes de vie!
Principaux facteurs de risque contrôlables
Invitation à tous
Conférence midi pour le mois du coeur
Démystifiez les saines habitudes de vie
Mythe ou réalité
La tension artérielle
Le jeudi 20 février
En diagnostiquant et en traitant adéquatement l’hypertension artérielle,
vous pouvez réduire vos risques d’AVC (accident vasculaire cérébral)
jusqu’à 40 % et de crise cardiaque jusqu’à 25 %. La plupart du temps,
l’hypertension artérielle ne présente aucun symptôme, alors il faut la
faire vérifier au moins une fois tous les deux ans par un professionnel
de la santé.
12 h à 13 h (Apportez votre lunch)
Le cholestérol
Un taux élevé de cholestérol peut entraîner l’accumulation de plaque
contre les parois des artères et les rétrécir, ce qui nuit à la circulation du
sang et augmente vos risques de maladies cardiovasculaires.
Le diabète
Un taux de sucre (glycémie) supérieur à la normale est toxique pour les
vaisseaux sanguins. Il endommage notre tuyauterie et fait vieillir cette
dernière prématurément. Ainsi, le diabète, particulièrement lorsqu’il
est mal contrôlé, augmente les risques d’hypertension artérielle,
d’athérosclérose (rétrécissement des artères), de maladie coronarienne
et d’AVC.
Embonpoint
Près de 60 % des adultes canadiens souffrent d’embonpoint ou d’obésité,
ce qui cause de plus en plus d’inquiétude. Effectivement, cette situation
est un important facteur de risque associé aux maladies du cœur et aux
AVC. Par ailleurs, une simple élimination de 5 à 10 % de notre poids
de départ (ex. : 10 à 20 livres pour une personne qui pèse 200 livres)
améliore systématiquement les trois facteurs de risque précédents.
Voilà un investissement payant!
Salle 1 du siège social
Consommation excessive d’alcool
Oui chez certains (mais pas tous), une consommation modérée d’alcool
peut s’avérer positive pour le cœur. Toutefois, dépasser les maximums recommandés apporte non seulement des inconvénients, mais
annule l’effet positif que peut avoir ce dernier sur notre santé. Boire trop
d’alcool, sous quelque forme que ce soit, peut faire augmenter votre
tension artérielle et provoquer une maladie du cœur ou un AVC.
Si vous ne buvez pas, ne commencez pas nécessairement à le faire.
Améliorer son alimentation en général, augmenter son niveau d’activité
physique et éviter de fumer procurent des avantages beaucoup plus
notables sur notre santé qu’une consommation modérée d’alcool.
Si vous consommez de l’alcool, limitez-vous à une ou deux consommations par jour, et ce, jusqu’à un maximum hebdomadaire de neuf
chez les femmes et de quatorze chez les hommes. Attention, ceci ne
s’applique pas à tous. Les personnes qui souhaitent éliminer du poids,
qui souffrent déjà de certaines maladies du cœur comme l’hypertension
ou d’un niveau de triglycérides élevé dans le sang, de maladies du
foie ou de maladies mentales, qui prennent certains médicaments, qui
ont des antécédents personnels ou familiaux d’abus d’alcool, qui sont
atteintes de cancer, les femmes enceintes et celles qui tentent de le
devenir ainsi que les femmes qui allaitent devraient éviter ou limiter
davantage leur consommation d’alcool. Si vous vous inquiétez des effets
de l’alcool sur votre santé, consultez votre médecin.
(Suite page 12)
Journal Le Bon our - Février 2014 - 11
Nouvelles de la DRH
Le mois de la santé du cœur!... suite
Sédentarité
Les personnes sédentaires courent deux fois plus de risques de subir
une maladie du cœur ou un AVC. Être inactif est aussi dommageable
pour la santé du cœur que de fumer un paquet de cigarettes par jour.
La Fondation des maladies du cœur recommande de bouger 30 minutes
presque tous les jours en tentant d’augmenter progressivement, et ce,
pour atteindre 60 minutes par jour. Pour y arriver, il faut y mettre du
plaisir et en faire une priorité.
Tabagisme
Cesser de fumer est la chose la plus importante que vous pouvez
faire pour votre santé. Aucun médicament n’aura cette efficacité. Le
tabagisme ou l’exposition à la fumée secondaire comportent plusieurs
effets négatifs pour la santé. Au niveau cardiovasculaire, ceci contribue
à l’accumulation de plaque dans nos artères, fait augmenter le risque
de caillots sanguins, réduit l’apport en oxygène dans le sang, fait
augmenter notre tension artérielle et fait travailler notre cœur plus fort.
Le tabagisme fait presque doubler les risques d’AVC ischémique.
Stress
Trop de stress peut engendrer une multitude de phénomènes négatifs
pour notre santé. Le lien entre le stress, les maladies du cœur et les AVC
n’est pas entièrement compris, mais certaines personnes très stressées,
Le Service de la santé et
de la sécurité du travail
ou stressées pendant de longues périodes peuvent afficher un taux de
cholestérol plus élevé, une tension artérielle plus haute et être plus
sujettes à l’athérosclérose (rétrécissement des artères). Sans compter
que ce dernier peut nuire au maintien d’un poids optimal. Par ailleurs, il
est certain qu’indirectement, le stress mène généralement à dormir et à
manger moins bien, à fumer davantage et à négliger l’activité physique.
Bref, bouger plus, manger mieux et cesser de fumer contribuent non
seulement à ajouter des années à notre vie, mais surtout à ajouter de la
vie à ces années!
Vous souhaitez avoir plus de détails, consultez le site Web de la
Fondation des maladies du cœur au www.fmcoeur.qc.ca. Ce lien
vous permettra également d’avoir accès à une évaluation et un plan
d’action personnalisé de vos facteurs de risque (L’évaluation de risque
cardiovasculaire).
À la santé de votre cœur et à celui de vos
proches!
Véronique Therrien
Nutritionniste
Réf. : Fondation des maladies du cœur.
Merci à toi!
À : Lucie Trudeau
Sous une apparence timide et toujours
réservée se cachent un plein feu d’énergi
e et un souci des autres. Toujours à l’aff
des nouveautés documentaires et sou
ût
cieuse de répondre aux demandes de
tous
les services et des directions, Lucie fait
un boulot extraordinaire au Centre de doc
umentation. Il m’apparaît important de
souligner son travail exceptionnel dans
recherche de didactiques et de recueils
la
d’information qui correspondent à nos diffé
rents champs d’intérêt et aux besoins de
nos services respectifs.
Merci Lucie!
De : Jean-Alain Nadeau,
Service de la santé et de la sécurité du
travail
12 - Journal Le Bon our - Février 2014
La reconnaissance…
un petit pas à la fois
Nouvelles de la DRH
Chaque geste, chaque parole, chacune de vos interventions, chacune de vos initiatives, et votre
soutien laissent une empreinte de GÉANT.
Si vous êtes témoins de petits pas qui laissent des empreintes
positives autour de vous, nous vous offrons l’opportunité de les
partager avec tous.
Tout simplement, profitez de cette page pour dire merci. L’apport de chacun mérite d’être
souligné.
À qui s’adresse ce message : Votre message : Votre nom : Service : Retournez ce coupon à Josée Jolicoeur à la Direction des ressources
humaines ou faites-lui parvenir un message par courriel à
[email protected]
Journal Le Bon our - Février 2014 - 13
Le Mois de l’histoire des Noirs 2014
• Le Mois de l’histoire des Noirs se célèbre chaque année durant
tout février. C’est une fête reconnue mondialement qui se veut un
temps pour se rappeler, commémorer, et souligner l’apport des
Noirs dans l’histoire du monde. À l’origine américaine et maintenant
célébrée à l’international, cette fête remonte à 1926, alors que Carter
G. Woodson choisit la deuxième semaine de février pour fêter la
« Negro HistoryWeek ».Cette semaine marquait également l’anniversaire
de deux hommes qui ont beaucoup influencé la population afroaméricaine : Frederick Douglass et Abraham Lincoln. Février marque
également la fondation du NAACP (la mort de Malcolm X).
• Le « National Freedom Day » (Jour de la liberté nationale, le
1er février) commémore, depuis 1948, la signature par Abraham
Lincoln, en 1865, d’une résolution commune qui deviendra le XIIIe
amendement de la Constitution des États-Unis d’Amérique, visant à
abolir l’esclavage.
Nouvelles de la DSR
Fabiola Geneste
Éducatrice à l’Unité La Frontière
Quelques suggestions (pour jeunes et adultes!) :
• Regarder un film, un documentaire sur l’esclavage ou sur le racisme
pour ouvrir la discussion
• Essayer des restaurants antillais (du « soul » food)
• A ménager une vitrine avec des affiches, des produits d’origine africaine
• Jouer à des jeux questionnaire sur des faits historiques
• Visiter un musée avec des artefacts de l’esclavage
• Préparer une présentation de personnages noirs québécois qui ont
marqué l’histoire québécoise ou canadienne
• Visiter une galerie d’art
• Visiter des sites Web informatifs
Au Canada, c’est en décembre 1995 que la première célébration a eu
lieu lorsque la députée Jean Augustine a déposé une motion sur la
reconnaissance des Noirs à la Chambre des communes du Canada.
Le Mois de l’Histoire des Noirs au Québec :
2013 marquait le 50e anniversaire du fameux discours prononcé par
Martin Luther King « I have a Dream », soit le 28 août 1963. Discours
marquant dans l’histoire, car il faisait référence au rêve de Martin
Luther King de vivre dans un monde où l’être humain serait reconnu
pour ce qu’il est et ce qu’il représente et non pour la couleur de sa peau.
Un discours pacifique qui demandait à chacun de faire sa part afin de
transformer ce rêve en réalité.
Site historique des Noirs :
Aujourd’hui, il y a encore du chemin à faire, mais c’est par de
petits gestes comme la sensibilisation à cette célébration que nous
ferons la différence. Je vous invite donc à commémorer ce mois à votre
façon. http://moishistoiredesnoirs.com/index.php/fr/le-mois
http://www.collectionscanada.gc.ca/anti-esclavage/index-f.html
Vidéo et information :
http://www.cic.gc.ca/francais/ministere/media/multimedia/video/mhn/
liveaction.asp#transcription
Questionnaire :
http://www.cic.gc.ca/francais/multiculturalisme/noirs/jeux.asp
Un peu d’histoire des Canadiens noirs de Montréal :
http://moishistoiredesnoirs.com
http://www.cic.gc.ca/francais/multiculturalisme/noirs/personnes.asp
Alors comment comptez-vous commémorer le Mois de l’histoire des
Noirs cette année?
14 - Journal Le Bon our - Février 2014
Nouvelles de la DSR
Le Service aux jeunes
contrevenants... suite
Jeanne Belcourt
Corinne Bergeron D’Amours
Équipe du Service aux jeunes contrevenants
Dans la grande famille du Centre jeunesse de Laval se trouve, à l’entrée
du 306 Cartier, une petite équipe d’intervenants dévoués aux jeunes et
à leur famille qui se démarquent par un cadre légal spécifique dans
lequel ils évoluent.
Que font-ils donc, ces intervenants du Service aux jeunes contrevenants ?
C’est dans l’optique d’apporter un éclairage sur notre pratique que nous
avons tenté de faire ressortir quelques éléments principaux de notre
réalité.
La Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (LSJPA) qui
encadre nos interventions vise à protéger la société des jeunes ayant
commis un ou des délits avant dix-huit ans.
• Concrètement il faut donc viser l’arrêt de tels gestes.
Cette pratique de la « bonne mesure au bon moment » selon « l’approche
différentielle » est basée sur le respect des différences de chacun en lien
avec la sanction attribuée au jeune en fonction du geste qu’il a commis
(gravité, risque de récidive, etc.) et sur les moyens adaptés à sa situation
pour l’aider à s’intégrer socialement et à se responsabiliser.
Elle permet également de rétablir ou maintenir à ses yeux l’image d’une
autorité juste malgré le cadre restrictif et punitif de la Loi.
À cette fin, le soutien du délégué devra être soutenu auprès du jeune.
• Comment pouvons-nous aider les jeunes à cesser de tels actes ?
• Comment les persuader du bien-fondé de respecter les lois, l’autorité,
des valeurs pro-sociales ?
Bien sûr, il s’agit là d’un processus d’apprentissage propre à chacun,
relié à plusieurs facteurs : personnel, familial, environnemental, etc.
Pour favoriser cet apprentissage auprès des jeunes, une action demeure
centrale pour les intervenants du Service aux jeunes contrevenants :
À ce niveau le
policier a un pouvoir
discrétionnaire d’intervenir
ou de référer au
procureur des poursuites
criminelles et pénales
(PPCP)
celle de valoriser l’engagement des jeunes contrevenants à un processus de responsabilisation face à eux-mêmes, aux victimes, ainsi qu’à la
société. C’est en utilisant la « bonne mesure au bon moment » dans le
parcours du jeune ayant commis un délit que peut s’amorcer chez lui
une prise de conscience quant à l’impact des gestes posés.
D’où arrive le jeune qui a commis un délit dans notre
service et de quelle façon ?
Le graphique ci-dessous montre le parcours d’un dossier avant
d’arriver au Service aux jeunes contrevenants et les différents niveaux
d’intervention selon la gravité présentée par le délit, le risque de
récidive, etc.
À cette étape, le procureur
analyse la preuve. Dans le
cas d’un délit pouvant être
considéré comme une erreur
de parcours et dont le risque
de récidive s’annonce minime,
le procureur peut décider
de référer au programme de
sanction extrajudiciaire.
Intervention
policière
Avertissement
À ce niveau,
le délégué peut être
appelé à rédiger un
rapport prédécisionnel
(RPD) et à assurer un
suivi de probation
Probation
avec suivi
Mesure
extrajudiciaire
Plainte
Acheminement de la preuve
au procureur aux poursuites
pénales et criminelles
Judiciarisation
Sanction
extrajudiciaire
Peine
Évaluation par
le délégué
Probation
sans suivi
Absolution
conditionnelle
(Suite page 16)
Journal Le Bon our - Février 2014 - 15
Nouvelles de la DSR
Le Service aux jeunes
contrevenants... suite
Que se passe-t-il lorsque le jeune est référé par le
tribunal au programme de sanction extrajudiciaire à
nos bureaux ?
Il convient de rappeler que ce programme se situe à un niveau
d’intervention de conscientisation, d’éducation et de responsabilisation,
en opposition à une intervention de réadaptation visant le changement
de comportement par l’utilisation de moyens plus encadrants.
Le jeune est référé à nos bureaux par le tribunal (procureur aux
poursuites criminelles et pénales : PPCP). Parfois, il a été convoqué
préalablement au tribunal avant d’être référé au programme de
sanction, alors que d’autres fois, il n’a pas eu besoin de s’y présenter.
Par la suite, l’adolescent est confronté à l’attente et à l’inconnu (délais administratifs liés à la référence de son dossier aux contrevenants)
d’une décision qui sera enfin prise par le délégué et des conséquences
probables face au délit.
Pour ajouter à ce climat d’inconfort lié à l’attente, l’adolescent reçoit une
convocation à son domicile pour une rencontre où il devra s’expliquer
sur les gestes commis (délit), devant ses parents qui sont aussi convoqués. La Loi exige la présence d’un ou des deux parents.
Cette mise en contexte illustre en partie l’état d’insécurité existant
à l’arrivée du jeune et de ses parents à l’entrevue, qui se manifeste
souvent par une panoplie de réactions. Elles peuvent aller de la colère à
la résistance, à la collaboration, en passant par le déni, une minimisation
de sa responsabilité ou une rationalisation, ce qui réduit passablement
la motivation interne du jeune au changement.
C’est en tenant compte de ces paramètres que le délégué amorcera un
travail d’information, de sensibilisation et d’évaluation auprès du jeune
et de sa famille. Il est primordial que l’adolescent se conscientise de
l’ampleur des impacts de son geste quant à la victime, la société et son
propre avenir. À ce sujet, la possibilité de l’ouverture d’un dossier judiciaire amenant la perte d’emploi, des restrictions au voyage et des
dommages à l’image de soi sont autant de facteurs qui aident
l’adolescent à se conscientiser de son erreur et à le dissuader de
répéter ces gestes. Le programme de sanction extrajudiciaire offre
à l’adolescent l’opportunité d’éviter ces conséquences lourdes et
déterminantes pour son avenir.
L’évaluation réalisée par le délégué permettra d’approfondir le degré de
reconnaissance du jeune quant à la commission des gestes délictueux.
Pour ce faire, le récit de l’événement raconté par l’adolescent est
comparé au rapport de police que détient le délégué en vue de confronter ou de confirmer les dires du jeune. Cet exercice peut être laborieux,
selon le degré de résistance du jeune à se responsabiliser, et peut être
exécuté de façon directe mais non hostile afin de susciter la réflexion
chez celui-ci. Cette étape permet à l’évaluateur de mesurer le niveau
de reconnaissance du jeune face à son délit et d’amorcer un travail de
conscientisation et de responsabilisation en lien avec sa situation.
À ce travail s’ajoute une cueillette de données quant à son évolution
personnelle, familiale, scolaire, son mode de vie, ses fréquentations, ses
antécédents s’il y en a. Une étape centrale dans le travail de responsabilisation de l’adolescent est celle d’explorer son degré de remords
et d’empathie face à la victime. En effet, la réalité de la victime est
16 - Journal Le Bon our - Février 2014
Jeanne Belcourt
Corinne Bergeron D’Amours
Équipe du Service aux jeunes contrevenants
directement abordée sous l’angle des torts subis, tels que les pertes
matérielles et monétaires, les conséquences physiques, psychologiques
et émotives. Là encore, la conscientisation et la responsabilisation sont
privilégiées dans l’intervention auprès de l’adolescent.
Ces étapes, ainsi que l’ensemble des informations recueillies au cours
du processus d’évaluation, aident à tracer un profil global de l’adolescent
et permettent au délégué de décider quelle est la meilleure mesure de
sanction possible (la bonne mesure au bon moment pour le bon jeune).
La collaboration de l’adolescent et sa perméabilité aux enseignements
apportés par le délégué au cours du processus d’évaluation demeurent
des indices de mesure importants quant au désir du jeune à apprendre
de son erreur (délit) et à réparer. La dimension de la réparation s’adresse
d’abord en faveur de la victime et de la société à qui il a engendré
des coûts (salaire, police, avocats, intervenants, administration, etc.) et
ensuite au jeune, pour favoriser la reconstruction de son image et de son
lien avec la communauté. Cet apprentissage de la responsabilisation se
concrétise par une entente signée (jeune/délégué) quant à l’exécution
par l’adolescent de la sanction choisie par le délégué en guise de
réparation des torts commis par son geste.
Parmi les sanctions proposées par la Loi, nous retrouvons les heures
de travaux communautaires, les dédommagements financiers, les
dons, les participations à des programmes d’habiletés sociales, les
lettres d’excuses, les médiations adolescent/victime. La réalisation de
ces sanctions est coordonnée par notre partenaire MAJL (Mesures
alternatives jeunesse de Laval) qui suit l’exécution de la sanction du
début à la fin et nous informe de la réussite ou de l’échec de la mesure
de sanction.
Quelques mots sur les situations de non-collaboration
ou de refus du jeune à adhérer à la réalisation de la
sanction
Cela peut se traduire par la non signature d’une entente et le nonrespect de l’entente, et amène la référence du dossier au tribunal qui
verra à décider de la suite.
En conclusion
Pour conclure, observons que le défi principal du délégué est d’arriver
à maximiser cette seule opportunité qu’est « la » rencontre d’évaluation
pour toucher significativement le jeune afin qu’il soit convaincu de
cesser toute action dommageable. Une rencontre dans le parcours du
jeune et qui se veut déterminante pour ses choix ultérieurs!
Une rencontre pour viser l’atteinte de l’objectif qu’est la protection du
public.
Illustration d’un cas type
Jonathan se fait arrêter par les policiers dans un parc pour un délit
de possession simple de stupéfiant (0.5g de cannabis). À la suite de
l’exécution de leur pouvoir discrétionnaire, le rapport de police est
acheminé au procureur des poursuites criminelles et pénales (PPCP) qui
décide de l’orienter en sanction (voir graphique précédent). Jonathan et
sa mère sont convoqués pour l’évaluation de sanction. Les deux sont
présents à la réception du 306 Cartier, en attente d’être reçus par le
délégué. Imaginons donc leurs pensées.
Que va-t-il arriver à
mon fils? Va-t-il être en
prison? Son avenir est-il
menacé? Vais-je devoir payer
une amende? Vont-ils réussir à
lui faire comprendre le bon
sens, eux? Vont-ils me
dire que je suis une
mauvaise mère?
C’était intéressant.
J’ai découvert mon fils
sous un autre jour! Je
suis soulagée, j’espère
qu’enfin il a compris et
qu’on ne reviendra plus
jamais ici. Je crois que cette
étape était nécessaire dans
sa vie pour éviter la
poursuite dans la
délinquance.
Nouvelles de la DSR
Jeanne Belcourt
Corinne Bergeron D’Amours
Équipe du Service aux jeunes contrevenants
O
Qui est-ce que je
viens rencontrer?
C’est le juge? C’est un
tribunal ici? Est-ce que tout le
monde va le savoir que j’ai fait
un délit? Est-ce que je vais
aller en prison?
O
Le Service aux jeunes
contrevenants... suite
Est-ce que je devrais
dire la vérité? Non! Je ne
dis rien, pour ne pas me mettre
dans le trouble! Peut-être que le
« juge » en sait plus que moi sur la
situation? Peut-être que j’ai intérêt à
dire la vérité! Mais qu’est ce que ma
mère va dire, si elle apprend toute
la vérité sur mon méfait?
Ha! Je vais juste en dire
une partie.
J’ai bien essayé de
ne pas tout dire. Impossible
de contourner ses questions!
En plus, elle (déléguée) avait le
rapport de police. Je suis
soulagé je n’irai pas en
prison et cette fois j’ai
compris. Je suis prêt à assumer
les conséquences de mes actes
et faire en sorte de ne
plus revenir ici.
Journal Le Bon our - Février 2014 - 17
« Des nouvelles de SOCEN »
ou l’enfant au coeur de
nos interventions
Nouvelles de la DSJF
Lyne Di Staulo
Chef de service à l’application
des mesures - équipe Norman Bethune
Gestionnaire responsable de SOCEN
au Service de l’application des mesures
Suzanne Archambault,
APPR au Service développement des pratiques
et des programmes, Coordonnatrice régionale SOCEN
Saviez-vous que…
L’implantation
de
l’approche SOCEN se
déploie depuis 2010
dans le cadre d’une
collaboration
interdirections impliquant directement les
services de l’application des mesures,
des ressources et de développement des
pratiques et des programmes.
Un petit rappel…
L’approche SOCEN cible les enfants âgés entre 6 mois et 18 ans
hébergés en famille d’accueil, et vise à améliorer la qualité des soins qui
leur sont dispensés. Concrètement, elle se veut un moyen pour guider
les interventions afin d’améliorer les expériences et les conditions de
vie des enfants de façon à promouvoir leur développement et favoriser
la résilience.
SOCEN est une approche conviviale, un lieu de rencontre et de
synergie entre les différents acteurs impliqués dans la situation d’un
enfant, qu’il s’agisse de la famille d’accueil, de l’intervenant au Service
des ressources, de l’intervenant au Service de l’application des mesures,
de l’enfant et de ses parents. SOCEN s’appuie sur un cadre d’analyse
ciblant plusieurs dimensions du développement de l’enfant, les
capacités parentales ainsi que les facteurs familiaux et environnementaux contribuant à la sécurité, au développement et au bien-être
de l’enfant.
Où en sommes-nous dans l’implantation?
Au terme du cinquième groupe de formation qui aura lieu en février et
mai 2014, le Centre jeunesse de Laval comptera 32 enfants SOCEN et
23 intervenants formés au Service de l’application des mesures (dont
un en langue anglaise). Il y aura également sept intervenants formés au
Service des ressources ainsi que 23 familles d’accueil.
SOCEN a influencé nos pratiques et le vécu des enfants de différentes
façons. Concrètement, les intervenants témoignent :
« Cela m’a permis d’identifier les
forces de l’enfant et de son milieu. »
« J’ai pu observer le lien relationnel
entre la famille d’accueil et l’enfant. »
« Je n’avais pas réalisé à quel point l’enfant
était attaché à sa famille d’accueil. »
« J’ai pris connaissance des
“occasions” et des “risques” dans
l’environnement de l’enfant. »
En effet, SOCEN permet aux intervenants de créer un lien avec les parents d’accueil, de faire des découvertes sur les besoins des enfants
qui n’auraient pas été identifiés autrement et de mieux comprendre
ceux-ci. L’approche permet aussi une vision globale et systémique
de l’environnement de l’enfant, de recueillir des témoignages importants provenant autant des jeunes que de leur famille d’accueil et de
faire participer davantage les enfants dans l’élaboration de leur plan
d’intervention. À travers un personnage de bande dessinée, le jeune enfant devient le héros de sa propre histoire qui l’accompagne dans les
différents défis qu’il doit traverser, dont la réalisation de son rêve. Se
faisant, il fait appel à ses forces et apprend à mieux se connaître.
Quelques témoignages d’enfants en lien avec l’approche SOCEN :
« J’ai réalisé que j’aimais ma
famille d’accueil. »
« J’ai appris des choses à propos de mon
passé et de ma famille d’origine. »
« Oui, ben, on est plus… on parle plus.
Je suis plus ouverte. »
Enfants
Familles
Intervenants
SAM
Intervenants
ressource
Quant à nos familles d’accueil, elles rapportent que SOCEN leur permet
de mieux connaître les besoins de l’enfant et d’en observer les progrès.
32/±119
23/±80
23/48
6/7
Il n’est pas toujours facile d’intégrer « une nouvelle approche » à notre
pratique dans un quotidien déjà bien rempli. Cependant, les retombées
positives de SOCEN nous encouragent à aller de l’avant. D’ailleurs, SOCEN s’inscrit à travers nos programmes cliniques intégrés axés sur le
partenariat et une vision écosystémique où l’enfant, ses intérêts et besoins, occupent la place centrale.
*Capacité à atteindre
18 - Journal Le Bon our - Février 2014
Les indissociables :
Sommes-nous sensibilisés au
phénomène de l’usage non médical
des médicaments psychotropes?
La consommation inappropriée de drogues illicites est un problème
de santé publique largement documenté et bien connu. En revanche,
étiez-vous au courant que le phénomène récent de l’usage non médical
des médicaments psychotropes (UNMMP) est méconnu et négligé au
Canada? Cette étude lève le voile sur cette pratique et nous amène à en
prendre conscience, peut-être pour une première fois.
Un étudiant en maîtrise de la faculté de médecine et des sciences de la
santé de l’Université de Sherbrooke, Faicel Hessi, sous la direction de
Karine Bertrand professeur et chercheur associé à la même faculté, a
dédié son mémoire de recherche à ce sujet. Voici une présentation de
certains éléments du résumé de cette étude.
L’objectif général de cette étude vise à décrire et comprendre
l’expérience de l’UNMMP chez de jeunes adultes (18-24 ans). L’équipe
de recherche y est parvenue 1) en identifiant les enjeux de cette pratique pour les jeunes adultes; 2) en examinant la manière dont l’UNMMP
s’inscrit dans la trajectoire de consommation d’autres drogues; 3) en
explorant le point de vue des jeunes adultes surconsommateurs à propos des représentations sociales entourant l’UNMMP.
Des connaissances à la pratique
Geneviève Barlow
Conseillère cadre
Répondante à la recherche
Quant au maintien de cette pratique, les jeunes interrogés l’expliquent
par les avantages pratiques et le sentiment de sécurité que ces médicaments leur inspirent. Cette dernière perception sera d’ailleurs contredite
par l’expérience de conséquences nuisibles.
En conclusion, plusieurs situations dangereuses sont décrites par les
jeunes. Une consommation concomitante et massive avec d’autres
drogues est très fréquente, contribuant à amplifier davantage les risques
sanitaires. Ces éléments de connaissance vont permettre aux personnes
œuvrant dans le domaine de la dépendance de mieux cerner auprès de
leurs jeunes usagers certaines pratiques à risques. La solution qui est
envisagée à la suite des travaux? Il est impératif de contrer la perception
illusoire que les jeunes entretiennent concernant la sécurité du médicament en utilisant des mesures préventives ciblées et efficaces. Pour en
savoir davantage, la version complète du mémoire est disponible via le
centre de documentation du Centre jeunesse de Laval.
Selon les analyses sur le terrain, cette pratique devrait préoccuper davantage l’ensemble des services de santé, puisque les données des
enquêtes américaines et canadiennes décrivent un essor inquiétant de
cette pratique. En effet, l’UNMMP toucherait davantage les adolescents
et les jeunes adultes, plus spécifiquement ceux qui sont déjà aux prises
avec d’autres problèmes de consommation. Cette population vulnérable
s’expose ainsi à plusieurs répercussions négatives autant sur le plan de
la santé que sur le plan social. De plus, cette pratique s’accompagne de
conduites à risque élevé de transmission de maladies graves telles que
le sida ou l’hépatite C.
L’équipe de recherche arrive à identifier deux trajectoires de l’UNMMP :
• l’une concernant les médicaments opioïdes, dont la consommation
est souvent associée à la recherche de sensations euphoriques;
• l’autre concerne les médicaments psychothérapeutiques, utilisés
surtout pour atténuer les effets négatifs d’autres drogues, ou encore
pour amplifier leurs effets.
En ce qui a trait à l’expérience de l’UNMMP, plusieurs thèmes sont abordés expliquant les différentes étapes du parcours de l’UNMMP. Ainsi,
la curiosité, l’envie d’oublier une condition précaire ou encore l’usage
à des fins sociales et récréatives sont quelques raisons citées par les
participants, pour justifier leur initiation à l’UNMMP.
Journal Le Bon our - Février 2014 - 19
Centre de documentation
Nouveautés
Le développement de l’enfant au quotidien.
Du berceau à l’école primaire. Francine
Ferland. Éditions de l’Hôpital SainteJustine. 2004. 234 pages.
L’originalité de cet ouvrage vient du fait qu’il
cerne toutes les sphères du développement
de l’enfant : motricité, langage, perception,
cognition, aspects affectifs et sociaux, routines
quotidiennes, etc. L’auteur propose, à la fin de
chaque chapitre, diverses activités permettant
aux parents et aux éducateurs d’accompagner
l’enfant dans son développement. Ce livre
se veut un guide destiné à tout adulte qui vit
au quotidien avec un enfant et qui souhaite
partager avec lui la grande aventure du
développement humain.
L’effet Wow! Une conférence pratique,
novatrice et remplie d’humour. Jasmin
Bergeron conférencier. DVD. s/d.
75 minutes environ.
On se souvient longtemps des personnes et
des entreprises qui nous font vivre des wow
parce qu’elles sont fascinantes et distinctes.
Créer un effet wow autour de vous, c’est
une façon de se distinguer et d’améliorer la
satisfaction de vos clients, de vos employés, de
vos collègues, de vos amis ou de votre famille.
Cette conférence résume les meilleures
stratégies pour créer des WOW autour de vous!.
20 - Journal Le Bon our - Février 2014
Lucie Trudeau
Les voies de la réussite. Parcours
différents vers un but commun : devenir ce
que nous sommes. Jasmin Bergeron, Hugo
Dubé, Isabelle Fontaine, Sylvie Fréchette,
Christine Michaud, Jiang Min, Jimmy
Sévigny. Éditions Un monde différent. 2008.
151 pages.
Le WOW est un moment d’émerveillement que
nous souhaitons vivre le plus souvent possible
dans nos vies! Nous admirons les personnes
et les entreprises qui génèrent continuellement
des WOW chez les gens! Qu’ont-elles de différent? Qu’ont-elles en commun? Comment
s’y prennent-elles pour se démarquer?
C’est dans cette perspective que le chapitre
« L’effet WOW! » écrit par Jasmin Bergeron a
été développé. Jasmin résume les meilleures
stratégies reconnues pour provoquer des
WOW!
Ce livre a été conçu en coopération avec
plusieurs personnes qui ont su se démarquer
dans leur vie personnelle et professionnelle
par leur habileté à faire vivre des WOW. Des
principes, des exemples et des témoignages
que vous pourrez mettre en application rapidement vous seront suggérés afin de rendre votre
expérience aussi enrichissante que possible!
Le personnel éducatif face aux comportements défis. Manuel de gestion du stress
dans l’intervention auprès de personnes
avec déficiences intellectuelles. Annick
Cudré-Mauroux. Éditions De Boeck. 2012.
144 pages.
Quels impacts les troubles du comportement
ont-ils sur le personnel soignant? Le ressenti
des accompagnants peut-il nuire au traitement?
Comment réduire le stress subi par ces
derniers? Existe-t-il des méthodes ou
techniques efficaces? Le personnel éducatif,
lorsqu’il doit gérer les troubles du comportement de personnes présentant des déficiences
intellectuelles, est régulièrement confronté à
des situations difficiles. Malgré la disponibilité
de plans d’intervention efficaces basés sur
des modèles comportementaux, il n’en reste
pas moins que certains éléments propres
aux réalités de terrain mettent en péril leur
application. L’une des principales raisons
de ce manquement concerne le stress qui
sous-tend leur implémentation. Face à cette
problématique émerge un réel besoin de
formation. Pratique et abordable, ce manuel
de gestion du stress prodigue aux professionnels de l’accompagnement des conseils
adaptés pour mieux gérer leur malaise. À
l’aide d’exemples et de cas concrets, il développe une analyse permettant une meilleure
compréhension des réactions au stress. Les
techniques présentées, dérivées de la thérapie
rationnelle développée par Ellis, se basent sur
la logique de la résolution de problème et prennent en compte aussi bien la sphère cognitive,
émotionnelle que comportementale. L’objectif,
développer une meilleure gestion individuelle
du stress s’insérant dans un cadre collectif d’intervention, permet une amélioration
graduelle du bien-être des professionnels
et des personnes qu’ils accompagnent au
quotidien.
Centre de documentation
Nouveautés... suite
Lucie Trudeau
auxquels l’intervenant peut s’attendre). Divers
types d’intervention à privilégier ou à éviter ont
été ajoutés afin de guider l’intervenant dans
ses actions auprès de la personne.
Aliénation parentale et exposition aux
conflits sévères de séparation : Où en
sommes-nous? Claire Malo. Diane Rivard.
Centre jeunesse de Montréal - Institut
Universitaire. 2013. 22 pages pdf.
Ce document fait le bilan des discussions et
des prises de position d’un groupe de réflexion
du CJM-IU. Il se veut un premier soutien pour
la compréhension des situations d’aliénation
parentale telles que rencontrées dans la pratique.
Plus précisément, il vise à mieux faire connaître le phénomène, à distinguer les situations
où l’aliénation est déjà bien ancrée, de celles
plus courantes, où l’on retrouve un conflit sévère
de séparation sans exclusion de l’un des parents,
de même qu’à cerner les manifestations du
phénomène et les rôles de chaque parent et
de l’enfant. Il vise enfin, au plan plus clinique, à
formuler des recommandations susceptibles de
guider l’intervention.
Ce document est disponible par l’entremise du
centre de documentation et aussi par Signal,
le catalogue de la bibliothèque du CJM-IU, à
l’adresse : http://10.112.64.28
L’observatoire sur la maltraitance soutenu
par le Centre jeunesse de Montréal Institut
universitaire affilié à l’UQAM et l’Université
de Montréal.
L’Observatoire québécois sur la maltraitance
envers les enfants est un espace sans frontière
de soutien aux professionnels, aux institutions
et aux organisations qui permet d’accéder à
une source d’information spécialisée, fiable,
à jour et qui facilite l’accès à un réseau de
collaboration qui vise à mieux connaître, prévenir et agir sur la maltraitance envers les enfants.
http://observatoiremaltraitance.ca
Lucie Ouellet. Institut universitaire en santé
mentale de Québec. Notions de base sur
les maladies mentales – Guide pratique
d’intervention. 2012. Pdf. 118 pages.
Ce guide a pour premier objectif de fournir
des notions de base sur différentes maladies
mentales, leur définition, les symptômes et
manifestations comportementales associées
ou qui les caractérisent. En psychiatrie, tout
comme en psychologie ou en médecine
physique, classer les troubles par diagnostics
vise à les décrire, à en prévoir l’évolution, à
appliquer un traitement approprié et à
stimuler la recherche des causes. La psychiatrie s’appuie sur deux modèles particuliers
de référence pour la classification des troubles
mentaux : le ‘Diagnostic and Statistical Manual
of Mental Disorders’ (DSM) de l’American
Psychiatric Association et la ‘Classification Internationale des Maladies’ (CIM) de
l’Organisation mondiale de la santé. Le présent
guide s’inspire donc de ces deux sources,
soit le DSM-IV-TR-révisé, 2003 et le CIM-10
(2003); d’autres sources de référence viennent
compléter certaines données psychologiques,
comportementales ou neurologiques : le traité
‘Psychologie’ de Myers (1997), le traité ‘Neurologie clinique et neurologie du comportement’
de Botez-Marquard et Boller (2005), le livre
‘Les personnalités pathologiques’ de Debray et
Nollet (2001). L’expérience terrain des auteurs
et de divers cliniciens consultés pour la version
finale du document s’ajoute à ces références. À
noter que ce guide ne se veut pas un dictionnaire exhaustif des maladies mentales; c’est
plutôt un résumé de divers tableaux cliniques
associant des problématiques particulières aux
troubles psychiatriques les plus fréquemment
retrouvés dans le milieu psychiatrique.
Puisque ce document est destiné aux intervenants et aux stagiaires, son format a été
pensé en fonction d’une consultation rapide,
chaque fois que le besoin s’en fait sentir. Il se
veut d’abord et avant tout, un document de
référence général et comme tel, il ne comporte
que les grandes lignes de chaque problématique (maladie, symptômes, comportements
Margaret E. Blaustein, Kristine M.
Kinniburgh. Treating traumatic stress in
children and adolescents. How to foster
resilience through attachment, selfregulation and competency. Guilford Press.
2010. 372 pages.
Grounded in theory and research on complex
childhood trauma, this book provides an accessible, flexible, and comprehensive framework
for intervention with children and adolescents
and their caregivers. It is packed with practical
clinical tools that are applicable in a range of
settings, from outpatient treatment centers to
residential programs. Rather than presenting a
one-size-fits-all treatment model, the authors
show how to plan and organize individualized interventions that promote resilience,
strengthen child–caregiver relationships, and
restore developmental competencies derailed
by chronic, multiple stressors. More than 45
reproducible handouts, worksheets, and forms
are featured; the large-size format facilitates
photocopying.
Modalités d’emprunt
Vous
pouvez
contacter
le
Centre de documentation par
courrier électronique ou par
téléphone au poste 4472.
Les heures d’ouverture sont
variables d’une semaine à
l’autre et elles sont annoncées
par le message d’accueil de
la boîte vocale. Vous pouvez
aussi prendre rendez-vous pour
choisir les ouvrages sur place.
Journal Le Bon our - Février 2014 - 21
Février à mai
Au calendrier
FÉVRIER 2014
7 : Rencontre des gestionnaires de l’établissement
11 : Accueil reconnaissance
11 : Séance du conseil d’administration
11 : C
onférence midi du conseil multidisciplinaire - À fleur de peau, une méthode de supervision clinique par mode d’expérimentation
entre pairs, par Michel Brien, analyste bioénérgéticien
27 : Journée Portes ouvertes de la Direction des ressources humaines pour le recrutement
MARS 2014
11 : C
onférence midi du conseil multidisciplinaire - Gérer efficacement son temps, par René Louis Comtois, fondateur et président de
Formations Qualitemps
18 : Journée Travail à la chaîne, Table sociojudiciaire
27 : Activité reconnaissance du temps des sucres
avril 2014
15 avril : Conférence midi du conseil multidisciplinaire – « Pas de parents! Pas de changements! L’intervention auprès des parents des
jeunes ayant une consommation problématique au CRD Laval », par Charles Lambert, agent de relations humaines, Centre de
réadaptation en dépendance Laval
mai 2014
6 : Colloque du conseil multidisciplinaire dans le cadre de son assemblée générale annuelle
8 : Souper bénéfice annuel de la Fondation du Centre jeunesse de Laval et du Centre de réadaptation en dépendance Laval
30 : Rencontre des gestionnaires de l’établissement
22 - Journal Le Bon our - Février 2014
Info Travaux
Nouvelles de la DSG
TRAVAUX RÉALISÉS
SIÈGE SOCIAL
- Enlèvement des vanités dans les bureaux du 304, boulevard Cartier
CENTRE NOTRE-DAME DE LAVAL
- Réaménagement du Service d’alimentation et de nutrition
- Réaménagement des espaces extérieurs – Phase V
TRAVAUX EN COURS
CENTRE NOTRE-DAME DE LAVAL
- Réfection de la toiture
SIÈGE SOCIAL
- Mise aux normes de l’ascenseur du 304, boulevard Cartier
CENTRE CARTIER
- Nettoyage des évacuateurs
TRAVAUX À VENIR
CENTRE NOTRE-DAME DE LAVAL
- Réaménagement du local Nutri-ados
- Réaménagement des cuisinettes des unités L’Interlude, L’Agora, Le Mirabel, et La Parenthèse (aile A)
➢ - Réaménagement du local cinéma-maison
SIÈGE SOCIAL
- Mise aux normes de la conformité handicapée au 304, boulevard Cartier
- Réfection du réseau de drainage aux 304 et 308, boulevard Cartier
CENTRE CARTIER
- Mise aux normes des ascenseurs
- Remplacement des revêtements de plancher dans les unités de vie
Journal Le Bon our - Février 2014 - 23
Un accompagnement… Pour qui?
Pourquoi?
Écho du comité des usagers
Marie-Josée Beaudet
Agente de liaison
« Tout usager a le droit d’être accompagné et assisté d’une personne
de son choix lorsqu’il désire obtenir des informations ou entreprendre
une démarche relativement à un service dispensé par un établissement
ou pour le compte de celui-ci ou par tout professionnel qui exerce sa
profession dans un centre exploité par l’établissement. » (art. 11, LSSSS)
Voici ce que nous dit la Loi sur les services de santé et les services sociaux en matière de droit à l’accompagnement d’un usager. Les usagers
ne sont souvent pas au courant qu’ils peuvent avoir recours à un accompagnement par la personne de leur choix lors d’une rencontre avec un
intervenant au Centre jeunesse de Laval ou au Centre de réadaptation
en dépendance Laval. Bien sûr, l’agente de liaison du comité des usagers peut effectuer un accompagnement et nous en parlerons bien sûr.
Mais il faut d’abord parler de l’usager qui veut être accompagné par la
personne de son choix, par exemple un parent, un ami, un voisin.
De prime abord, l’intervenant qui convoque un client ne peut refuser que celui-ci soit accompagné. Par contre, il est important que
l’accompagnateur connaisse bien son rôle et qu’il n’outrepasse pas
celui-ci. Son rôle en est un de soutien et il ne peut en aucun cas agir
de sorte à changer le cours de la rencontre et les décisions qui y seront
prises. Il peut poser des questions qui visent à préciser ce qui vient
d’être dit par l’intervenant s’il sent que la personne qu’il accompagne
n’a pas bien compris. L’accompagnateur agit comme une deuxième
paire d’oreilles, car lorsqu’on est envahi ou stressé, on ne retient pas
tout. Il peut être un aide-mémoire précieux, et prendre des notes au besoin. Il peut aider la personne à nommer les sentiments qu’elle ressent
et surtout lui apporter du soutien moral dans la salle d’attente, pendant
la rencontre et sur le chemin du retour. Bien sûr, si l’accompagnateur
entreprend d’argumenter ou qu’il amplifie les sentiments négatifs du
client en réagissant fortement, c’est contre indiqué. Le client pourrait
alors se voir refuser la présence de cet accompagnateur, pourvu que
les motifs lui soient nommés. L’accompagnateur pourrait aussi devoir
quitter temporairement la rencontre si on doit parler d’une tierce personne qui a le droit à la confidentialité et au respect de sa vie privée.
Par exemple, la voisine et amie qui accompagne Mme Tremblay (non
fictif) devrait sortir au moment où l’on discute du comportement sexuel
inquiétant de sa fille Jessica. C’est à l’intervenant d’en juger, selon les
motifs de compromission de l’enfant dont il est question et des autres
personnes impliquées.
Si un parent demande à être accompagné lors des visites supervisées
à son enfant, cela peut être refusé, car il ne s’agit pas d’une rencontre,
mais plutôt d’une activité clinique ou l’on veut voir le parent interagir
avec son enfant sans influence afin de travailler les habiletés parentales.
24 - Journal Le Bon our - Février 2014
Un intervenant peut suggérer au client d’être accompagné par l’agent
de liaison du comité des usagers lorsqu’il sent que son client vit de
l’incompréhension des services ou ne collabore pas. C’est, par contre,
le client qui doit en faire la demande. Lorsqu’un client sollicite le comité
des usagers, c’est souvent qu’il ne comprend pas bien le processus
clinique imposé, se sent incompris par l’intervenant ou lui prête des
intentions. Parfois, la relation tourne au vinaigre à la suite d’une décision qui a un lourd impact dans la vie du client, par exemple : placer
l’enfant alors qu’on croyait pouvoir le maintenir dans son milieu familial,
restriction ou coupure de visites. Un rapport pour le tribunal que le
client considère comme exagéré ou inexact peut parfois mener à un
arrêt de collaboration. De plus, lorsque le client a commis des écarts de
langage, il est parfois difficile de continuer à travailler ensemble. Il est
alors utile que l’agente de liaison soit présente afin de ramener le client
à l’essentiel, soit la sécurité et le développement de l’enfant dont il est
question et l’ordonnance que l’intervenant se doit de respecter. Quand
un client doit apporter des changements rapides dans ses comportements et dans son organisation quotidienne, il y a parfois des résistances qui s’installent. Pour ce qui est de l’intervenant, l’accompagnement
lui permet de se repositionner face au client et de trouver dans certains
cas un autre angle afin de rétablir un contact satisfaisant et propice au
travail qui doit se poursuivre.
Les rencontres de suivi entre un intervenant et un parent, les tables
d’orientation, de révision, les rencontres de suivi entre un éducateur et
un jeune sont toutes des situations où un accompagnement peut être
bénéfique. L’agente de liaison suit le client dans son processus afin de
lui apprendre à nommer ce qu’il vit au fur et à mesure, d’exprimer ses
besoins et de formuler ses demandes de façon claire. Le client peut
aussi discuter de sa situation sous le couvert de la confidentialité entre
les rencontres, en téléphonant à l’agente de liaison.
Le soutien qui est apporté à l’usager avec ou sans accompagnement
aux rencontres est aussi fort utile, car il permet d’évacuer le trop-plein
sous le couvert de la confidentialité. L’écoute active qui est effectuée
permet à l’usager de mettre des mots sur ce qu’il vit. Le client est toujours encouragé à collaborer, à se mettre en action et à être transparent
dans sa démarche. Il est informé de ses droits et se sent parfois apaisé
à la suite d’un bon bilan.
Nouvelles du CCPAS
Départ de la présidente
Chers membres du CCPAS,
C’est avec émotion que j’ai quitté mes
fonctions de présidente du CCPAS, le
17 janvier dernier, pour relever de
nouveaux défis professionnels. Quel
bout de chemin nous avons parcouru
tous ensemble!
Je souhaite de tout cœur que le CCPAS
continue sur sa belle lancée et que
ses membres travaillent ensemble
pour l’amélioration de nos services.
Au revoir!
Joliane Grandmont-Benoit
Le CCPAS recrute!
Le 28 janvier dernier avait lieu le premier café-rencontre des agents
multiplicateurs du CCPAS. Lors de cette rencontre, plusieurs des points
d’amélioration découlant de notre première assemblée générale ainsi
que de la dernière visite du Conseil québécois d’agrément (CQA) ont été
discutés.
Donc, tout comme les 14 agents multiplicateurs déjà en place, vous
souhaitez jouer un rôle clé dans votre équipe, être le porte-parole de vos
collègues et avez à cœur l’amélioration des choses dans votre secteur...
allez rencontrer votre agent!
(Pour trouver votre agent, consultez le journal Le BonJour de décembre
dernier, ils y sont tous présentés)
Afin de s’assurer d’une bonne diffusion de l’information et que toutes vos
voix soient entendues, le CCPAS recrute des agents multiplicateurs supplémentaires dans d’autres secteurs. En effet, nous recherchons des
agents multiplicateurs dont le titre d’emploi se trouve parmi les suivants :
- Agent d’intervention, conducteur-agent d’intervention,
chef de secteur (1 représentant)
- Personnel de bureau (1 représentant de la Direction générale
et 1 représentant du CRD Laval)
- Auxiliaire en santé et services sociaux, « dame de module »
(1 représentant)
- Hygiène et salubrité, ressources matérielles (1 représentant
pour Cartier)
- Services techniques (1 représentant du siège social,
1 représentant pour Cartier-NDL)
- Surveillant en établissement (1 représentant pour
Cartier et 1 représentant pour NDL)
Au plaisir de partager avec vous!
Pour l’équipe du comité exécutif,
Nadine Charles
Présidente par intérim
Nouvelle présidente par intérim
À la suite du départ de la présidente, Joliane Grandmont-Benoit, comme
mentionné ci-haut, il a été convenu, par les membres du comité exécutif
du CCPAS lors du dernier comité, de ne pas procéder immédiatement à
son remplacement puisque des élections auront lieu en avril prochain
pour tous les postes des membres de l’exécutif (voir document Règles
de fonctionnement). Conséquemment, Nadine Charles, vice-présidente,
assurera la présidence par intérim jusqu’à cette période.
Le comité exécutif du CCPAS
Journal Le Bon our - Février 2014 - 25
Écho du conseil multi
Innovons ensemble…
Mission possible!
Le Conseil multidisciplinaire renoue avec la tradition et vous invite à
participer en grand nombre à notre Journée annuelle, le mardi 6 mai
prochain!
Sous le thème de l’innovation clinique, nous nous pencherons sur certaines pratiques inspirantes instaurées par des intervenants de différents secteurs de notre centre jeunesse. La qualité des pratiques
est une valeur inhérente aux intervenants de notre établissement qui,
malgré le contexte d’intervention parfois difficile, poursuivent leur quête
vers le développement de pratiques stimulantes en réponse aux besoins
de nos jeunes et de leurs familles.
Réservez votre journée du 6 mai et venez partager avec nous des ateliers inspirants!
LA VIE CLINIQUE VOUS INTÉRESSE… JOIGNEZ LE COMITÉ EXÉCUTIF
DU CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE!
Calendrier des conférences midi pour l’année 2014
Mardi 11
février 2014
À fleur de peau, une méthode de supervision
clinique par mode d’expérimentation entre pairs,
par Michel Brien, analyste bioénérgéticien
Lors de l’Assemblée annuelle du 6 mai, il y aura élection de 4 postes
qui deviendront vacants au sein du Comité exécutif du conseil multidisciplinaire.
(Durée de 2 heures)
Vous avez envie de participer à la réflexion et au développement de la
qualité des pratiques? Alors, surveillez sous peu les informations qui
vous seront acheminées pour poser votre candidature.
Mardi 11
mars 2014
Gérer efficacement son temps, par René Louis
Comtois, fondateur et président de Formations
Qualitemps
Mardi 15
avril 2014
« Pas de parents! Pas de changements! L’intervention auprès des parents des jeunes
ayant une consommation problématique au CRD
Laval », par Charles Lambert, agent de relations humaines, Centre de réadaptation en dépendance Laval
CONFÉRENCE MIDI « SPÉCIALE »
Le succès de la conférence midi de l’année dernière « Comment prendre
soin de soi comme intervenant » par Michel Brien, analyste bioénérgéticien, nous amène à récidiver…
Le Conseil multidisciplinaire vous invite à une autre rencontre avec
M. Brien « À fleur de peau, une méthode de supervision clinique », le
mardi 11 février 2014.
Exceptionnellement, la durée de la conférence midi sera de deux heures.
LE COMITÉ DES RÉPONDANTS
Les rencontres du comité des répondants se poursuivent pour échanger,
avec l’ensemble des équipes d’intervention clinique, de leurs préoccupations concernant leur pratique. Le prochain comité des répondants
aura lieu le 25 février 2014. Informez-vous auprès de votre représentant.
Pour le conseil multidisciplinaire,
Danielle Jourdain
4189 Jean-François Payette
Chef de service, présidente
Chantal Lachance
3880 Sarah Bouffard
Réviseur
3892
Chef de service, vice-président
4204
Éducatrice, Unité L’Âtre
Nicole St-Pierre
4482 Sylvie Rougeau
4313
ARH, CRD Laval
[email protected]
26 - Journal Le Bon our - Février 2014
Concours-Sondage La Capitale
Portes ouvertes
En déposant votre coupon-réponse dans les boîtes
prévues à cette fin, aux réceptions du siège social,
du Centre Cartier et du Centre Notre-Dame de Laval,
vous courrez la chance de remporter une cartecadeau d’une valeur de 40 $ chez Archambault
offerte par votre conseillère Danielle Belley, de La Capitale.
Le tirage aura lieu le 12 février 2014.
Les employés des points de service qui n’ont pas accès aux boîtes peuvent
faire parvenir leur coupon par courrier interne à la Direction générale. Les
photocopies du coupon sont acceptées; une participation par personne.
À propos de… Afin de recueillir de
manière continue vos idées en lien avec le
développement du Centre jeunesse de Laval
et du Centre de réadaptation en dépendance
Laval, nous vous invitons à nous communiquer vos propositions d’innovation, tant
sur le plan clinique qu’administratif, ou vos
commentaires.
Sujet :
Proposition :
Portes ouvertes
À chaque année, la Direction des ressources humaines organise une journée
« Portes ouvertes » pour le recrutement du personnel dans plusieurs titres
d’emploi de l’établissement.
Quelle date aura lieu cette journée cette année?
Merci de contribuer à l’avancement de
l’établissement.
À quel endroit seront installés les kiosques?
Johanne Plourde, du Service des ressources,
a remporté le tirage du concours-sondage
de décembre 2013. Danielle Belley, de La
Capitale, lui a remis une carte-cadeau d’une
valeur de 40 $ chez Archambault.
Quelle sera la nouveauté de cette édition?
Les deux DVD de la conférence de Jasmin
Bergeron : L’effet WOW! ont été gagnés
par Michèle Lefebvre, de la DSR, et Nadine
Mathelier, de la DSG.
Nom : Direction : Téléphone : Bonne chance à toutes et à tous!
* Un seul coupon par personne.
Les deux gagnantes des livres Les Voies de
la réussite sont Johanne Marier, de la DRH,
et Louhi Maoliha, réceptionniste
Le BonJour est le journal interne du Centre jeunesse de Laval et du Centre de réadaptation en
dépendance Laval. Il est publié par la Direction générale à l’intention du personnel de l’établissement.
Il est aussi distribué à certains abonnés de l’externe, partenaires et employés retraités.
Siège social : 308, boul. Cartier Ouest, Laval (Québec) H7N 2J2
n
Téléphone : 450 975-4150, poste 3813
Rédactrice en chef : Charlaine Laplante n Comité de rédaction : Marie-Josée Beaudet (comité des usagers),
Nadine Charles (CCPAS) Chantal Lachance (conseil multidisciplinaire), Carole Fournier (DSJF),
Pierrette Fournier (Fondation), Joliane Grandmont-Benoit (DSR), Josée Jolicoeur (DRH), Leila Khalaf (DSP),
Lyne Lauzière (Centre de réadaptation en dépendance Laval), Lucie Trudeau (Centre de documentation),
Camille Turcotte (DSG). n Révision : Johanne Boutin, Pierrette Fournier n Réalisation graphique et
impression : Les impressions Lithosol Dépôt légal : Bibliothèque nationale du Québec
La prochaine parution : 3 mars 2014 n Date de tombée : 17 février 2014
Journal Le Bon our - Février 2014 - 27
LEQUEL
CHOISIR?
CELI ou REER
Compte d’épargne libre d’impôt
Maximum 5 500 $ par année
Intérêts non imposables
Facile de retirer
de l’argent pour des
besoins ponctuels
Régime enregistré d’épargne-retraite
Maximum 18 % de votre
revenu annuel par année
Déduit du revenu
imposable au dépôt
Imposable lors
du retrait
Donne accès au RAP
et au REEP
Comme la situation est propre à chaque épargnant, l’une ou l’autre
de ces options peut être plus avantageuse pour vous. Je vous invite
à me contacter afin d’en discuter. C’est avec plaisir que je vous donnerai
les meilleurs conseils pour votre stratégie d’épargne.
Danielle Belley, B.A.A.
Représentante autonome
Conseillère en sécurité financière
Représentante en épargne collective*
Partenaire de
514 282-3296
1 866 665-0500, b. voc. 23296
Cell. : 514 247-2304
[email protected]
www.daniellebelley.com
* Pour le compte de La Capitale services conseils inc.
Cabinet de services financiers