Joyeuse st-Valentin! - Centre Jeunesse de Laval
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Joyeuse st-Valentin! - Centre Jeunesse de Laval
Portes ouvertes le 27 février prochain 2013-2017 Page 9 Vol. 22 No1 - Février 2014 Merci à tous les généreux donateurs! Pages 4 à 7 Joyeuse St-Valentin! Une tournée fort stimulante plan d’amélioration issu de notre dernière démarche d’agrément, en plus d’échanger avec vous sur les enjeux de la planification stratégique, particulièrement sur un nouvel énoncé de vision organisationnelle que l’équipe de direction désire promouvoir pour les quatre prochaines années. Par ailleurs, le deuxième objectif que je vise en tant que directrice générale, est de favoriser un climat d’échange qui représente pour moi une occasion privilégiée d’entendre vos bons coups ainsi que de recueillir vos préoccupations et de répondre à vos questions. J’ai l’immense plaisir d’être actuellement engagée dans la tournée de tous les services du Centre jeunesse de Laval et du Centre de réadaptation en dépendance Laval. Ces rencontres, qui ont débuté en décembre dernier et qui se poursuivront jusqu’à la fin mars 2014, visent deux grands objectifs. Je vise tout d’abord à vous présenter les grandes orientations opérationnelles et stratégiques qui guideront notre établissement au cours des quatre prochaines années. Pour ce faire, je souhaite présenter le sens de notre Sommaire février 2014 Mot de la directrice générale2 Coup de chapeau 3 Petites nouvelles d’ici 4à8 Nouvelles de la DRH 9 à 13 Nouvelles de la DSR 14 à 17 Nouvelles de la DSJF 18 Les indissociables 19 Nouvelles du centre de documentation20-21 Au calendrier 22 Nouvelles de la DSG 23 Écho du comité des usagers 24 Nouvelles du CCPAS 25 Écho du conseil multi 26 Concours-sondage La Capitale 27 Chronique financière La Capitale 28 2 - Journal Le Bon our - Février 2014 Ces rencontres se déroulent selon diverses formules et formats, en fonction des besoins spécifiques de chacune des directions ou encore de la réalité de vos services respectifs. À ce jour, j’ai eu la chance d’échanger avec l’ensemble du personnel de la Direction des services de gestion, de la Direction des ressources humaines, de la Direction des services professionnels, de la Direction générale et du Centre de réadaptation en dépendance Laval. Les rencontres avec le personnel de la Direction des services de réadaptation ainsi qu’avec celui de la Direction des services aux jeunes et à leur famille sont bien amorcées et se poursuivent toujours. Lors de ces rencontres, vous recevez un exemplaire du Plan d’amélioration 2013-2017 accompagné d’une fiche synthèse qui résume les 14 objectifs de ce plan, regroupés dans chacun des quatre grands axes stratégiques d’amélioration : l’Engagement qualité, la Continuité, l’intégration et la fluidité des services dispensés à la clientèle sous le signe de la collaboration, l’Adaptation de l’offre de service et, finalement, la Sécurité de la clientèle et du personnel dans une perspective intégrée de gestion du risque. Alors que les valeurs organisationnelles demeurent inchangées, la vision organisationnelle a quant à elle été renouvelée afin de mieux refléter nos enjeux à venir. Une vision est en quelque sorte un idéal à atteindre porté, non seulement par l’équipe de direction, mais par l’ensemble du personnel et des gestionnaires. La vision proposée met de l’avant la volonté de l’établissement de placer les services à ses différentes clientèles sous le signe de l’innovation, de la performance et de la concertation au sein de son milieu et Mot de la directrice générale Danièle Dulude dans la région; elle vise à anticiper les besoins émergents dans nos environnements interne et externe; elle évoque également l’importance d’être proactifs dans la mise en place de stratégies et de moyens permettant de s’adapter en continu à la réalité de nos clientèles et du personnel; puis elle souligne enfin l’importance de mesurer les effets et les impacts de nos actions. Fidèles à vous-mêmes, vous m’avez réservé un accueil des plus chaleureux lors de mes premières rencontres, empreint d’ouverture et de générosité dans vos commentaires. Ceuxci sont lucides dans les difficultés et écueils que vous nommez, mais également tournés vers des solutions constructives. Vos propos sont éclairants et, comme observés tout au long de notre troisième démarche d’agrément, sont convergents et complémentaires entre eux. Plusieurs d’entre vous me parlez notamment de votre préoccupation face à la stabilité du personnel, à la sécurité de la clientèle et du personnel et aux problèmes émergents chez notre clientèle, notamment en santé mentale, tant pour notre mission jeunesse que pour notre mission dépendance. Vous me dites par ailleurs unanimement que vous souhaitez être davantage entendus pour ainsi contribuer à la recherche de solutions. J’ai beaucoup de plaisir à entendre vos bons coups et les réalisations dont vous êtes particulièrement fiers. Vous abordez également la question des changements vécus, souvent très exigeants, qui vous ont amenés à sortir de votre zone de confort, mais vous constatez, pour une majorité d’entre vous, la plus-value de ceux-ci au plus grand bénéfice de nos clientèles et de la qualité des services que vous leur offrez. Bref, ces rencontres sont des moments très riches et stimulants qui me confirment que nous travaillons tous ensemble à construire et à consolider un centre jeunesse et un centre de réadaptation en dépendance de grande qualité et résolument tourné vers l’avenir! Chapeau Mario! Coup de chapeau Direction des services de gestion Chaque année, le Centre jeunesse revêt ses plus beaux atours durant la période des Fêtes. Tous les arbres de Noël, ayant chacun leur personnalité, valent le coup d’œil. Des aires de réception aux cafétérias, de la chapelle, pour le coquetel de la directrice générale, à l’extérieur sur le terrain de stationnement, les arbres sont à l’honneur et admirés des jeunes, du personnel et des visiteurs. Et que dire des décorations de toutes sortes dont plusieurs aimeraient pouvoir imiter? Les gens ont été émerveillés devant les superbes arrangements dont la couronne sous forme de gouvernail à la Maison des navigateurs, les raquettes de neige à la réception du siège social, la crèche montée à la chapelle. Et tout cela grâce à une personne qui a le souci de mettre de la couleur dans notre environnement et qui d’année en année, repense ses chefs-d’œuvre. Merci Mario Breton pour ton implication. Merci de nous faire partager ton grand talent. Mario Breton Journal Le Bon our - Février 2014 - 3 Noël au Centre jeunesse : des donateurs encore très généreux! Petites nouvelles d’ici Mathieu Vachon Service des communications La grande distribution de cadeaux de Noël aux jeunes du Centre jeunesse de Laval et du Centre de réadaptation en dépendance Laval a encore une fois connu un franc succès cette année! La générosité des gens fut remarquable alors que plus de 500 cadeaux et paniers de Noël ont été distribués aux petits comme aux grands, hébergés ou suivis dans le milieu, qui proviennent de familles dont la situation est précaire, tant au plan social que financier. Il va sans dire que ces enfants sont plus vulnérables à la période des Fêtes car ils doivent vivre ce moment familial, généralement heureux pour la plupart d’entre nous, dans une certaine solitude. Bien sûr, les intervenants s’assurent qu’ils profitent de festivités de toutes sortes mais le fait de recevoir un cadeau d’un étranger leur permet de constater que des gens pensent à eux en cette période remplie d’émotions. C’est particulièrement le cas aux centres Cartier et Notre-Dame de Laval, ainsi que dans les foyers de groupes, où des célébrations ont eu lieu à la mi-décembre avec tous les jeunes hébergés, puis la veille de Noël avec Fidèles à leur habitude, les employés de la CIBC ont offert des celles et ceux qui n’avaient pas la chance de retourner dans leur famille. cadeaux à tous nos jeunes hébergés à l’occasion de la fête de Noël dans les unités filles et garçons. Mesdames France Lévesque Le Centre jeunesse a également contribué cette année à la fête de et Isabelle Paiement attendent fièrement les intervenants qui Noël de l’Association des familles d’accueil de Laval qui a eu lieu le doivent venir chercher les 280 cadeaux minutieusement choisis en 14 décembre alors qu’une cinquantaine de cadeaux reçus des fonction des suggestions fournies par les jeunes. Mentionnons que donateurs leur ont été remis. la CIBC offre également des cadeaux d’anniversaire aux usagères du Centre Notre-Dame de Laval tout au cours de l’année. L’établissement tient à dire un énorme MERCI aux généreux donateurs qui, année après année, mobilisent leur entourage autour d’une cause fort importante. Il faut également souligner l’implication de bénévoles et de précieux partenaires pour cette belle réussite. Grâce à eux, nos jeunes peuvent vivre Noël... le sourire aux lèvres! Les intervenants ont également joué un grand rôle dans cette campagne en proposant des suggestions de cadeaux et en venant chercher les cadeaux afin de les remettre à leurs jeunes! Les employés et les citoyens de la région de Laval ont aussi été très généreux en versant des dons en argent ainsi que des dons matériels qui ont été remis au Grenier du comité des usagers qui s’est chargé de les redistribuer à nos jeunes dans le besoin. Steve Larouche et Mélissa Gravel du service de traduction de la firme d’avocats Stikeman Elliott, remplissent leur voiture de surprises qui seront remises à des jeunes suivis dans la communauté. Si l’on avait à traduire notre gratitude, nous pourrions dire « Thank you very much and hope to see you next year! ». 4 - Journal Le Bon our - Février 2014 Noël au Centre jeunesse : des donateurs encore très généreux!...suite Pour la première fois cette année, le Centre médical Brunswick situé à Pointe-Claire a tenu à participer à la fête de Noël du Centre jeunesse. Médecins et employés se sont donc concertés pour faire plaisir à près d’une soixantaine de jeunes hébergés à Cartier et Notre-Dame de Laval. Josée Girard et Gillian Belec étaient bien émues de nous visiter, mais pas autant que nous en voyant les magnifiques emballages des cadeaux offerts. Grands donateurs depuis déjà plusieurs années, les parents de l’école Charles-Perreault de Laval se sont à nouveau donnés la main pour offrir plus de 250 jouets, vêtements et autres présents aux enfants et adolescents suivis dans la communauté, dont une cinquantaine à des enfants en famille d’accueil. Mathieu Vachon du Service des communications accueille Mme Eberth Pierre Louis à la chapelle où nous avions organisé un centre de distribution des cadeaux à l’intention des intervenants qui a été dirigé de main de maître par Céline Thouin, ex-attachée de direction aux ressources humaines. Un merci tout spécial au docteur Nicolas Raymond, un parent de l’école totalement dédié à la cause de nos jeunes. Petites nouvelles d’ici Mathieu Vachon Service des communications L’équipe du cabinet d’orthodontie du Dr Christian Fournier de Laval participe à l’achat de cadeaux au bénéfice de nos jeunes enfants pour une troisième année. Fidèle à la tradition, le Dr Fournier offre quant à lui, des cadeaux à une dizaine d’ados! Nous saluons Dominique Laplante qui a pris en charge les liens avec le Centre jeunesse. Habitués de l’opération cadeaux de Noël du Centre jeunesse, les employés des services judiciaires du Palais de justice de Laval se sont littéralement dépassés cette année en amassant la somme de 900 $, grâce notamment à un dîner pizza qui fut fort populaire. Les fonds seront remis au pavillon Le Passage et à la Maison des navigateurs, deux nouvelles ressources qui accueillerons graduellement des usagers au cours des prochains mois. Journal Le Bon our - Février 2014 - 5 Noël au Centre jeunesse : des donateurs encore très généreux!...suite Petites nouvelles d’ici Mathieu Vachon Service des communications La livraison des cadeaux de Mme Josée Lapointe et de Me Fernand Deveau représente à tous les ans un événement remarqué au Centre jeunesse. C’est donc le 18 décembre que Danièle Dulude, directrice générale, s’est rendue à l’atelier de production du SSIR au Centre Cartier pour assister au débarquement des quelque 90 sacs remplis de diverses surprises qui ont été remis aux jeunes hébergés le soir du 24 décembre. Cette grande générosité est rendue possible grâce à l’implication de Mme Lapointe et de Me Deveau ainsi qu’à la participation de certains partenaires d’affaires. Touché par des reportages sur les jeunes du Centre jeunesse qu’il avait vus à la télévision, M. Alberto Vega, président de « Services d’Entretien Fany », a décidé de partager la chance qu’il a d’avoir une entreprise florissante. M. Vega désirait offrir des paniers de Noël à des familles démunies. Nous avons donc identifié 12 familles de jeunes suivis dans la communauté qui étaient très heureuses de recevoir diverses denrées et gâteries à temps pour la période des Fêtes. M. Vega et ses acolytes remettent ici des paniers à Roxanne Briand, Isabelle Thériault, Guylaine Milot et Corinne Bergeron D’Amours, toutes intervenantes aux services dans le milieu. 6 - Journal Le Bon our - Février 2014 Le froid n’arrête pas la générosité des employés lors de la Guignolée annuelle C’est le 4 décembre qu’avait lieu la traditionnelle Guignolée du CJ de Laval, CRD Laval et CRDITED de Laval. Malgré le froid, les efforts de sollicitation des employés et de la clientèle de nos établissements ont permis d’amasser la rondelette somme de 1462,96 $, soit environ 200 $ de plus que l’an dernier. Ce montant a été remis au Centre de bénévolat et moisson Laval, en plus des denrées non périssables qui ont été ramassées tout au long du mois de décembre aux entrées de nos installations. Merci pour votre grande générosité! Noël TVA – une collecte de fonds… mais aussi une activité de visibilité! Petites nouvelles d’ici Mathieu Vachon Service des communications C’est du 16 au 20 décembre qu’a eu lieu la campagne annuelle de Noël au profit des fondations des centres jeunesse pour une huitième année consécutive. C’est ainsi que lors de chacune de ces journées, des reportages d’Harold Gagné ont été diffusés à TVA/LCN et le Journal de Montréal a également publié des histoires dans sa version papier ainsi que sur son site Web. Bien sûr, cette activité annuelle vise à ramasser des dons provenant d’auditeurs et de lecteurs qui, après avoir entendu et lu les histoires touchantes, ont désiré contribuer à faire une différence dans la vie d’un enfant. Ce sont donc 32 439 $ qui ont été amassés. Ces sommes sont sans compter les dons matériels reçus, notamment des billets pour les matchs des Canadiens, des tablettes électroniques, des vêtements et des jouets qui ont profité à nos jeunes. Fait à souligner, le centre d’appel pour tout le Québec était situé au Centre jeunesse de Laval pour une troisième année. Grâce à une installation professionnelle mise en place par le Service des systèmes d’information et les services techniques, nous avons pu recevoir confortablement 745 appels au cours de la campagne. Des bénévoles du Centre jeunesse de Laval prêtes à répondre : Nancy Bélanger, Guylaine Lehoux, Sophie Chenette et Sonia Bessette. Mais au-delà des sommes recueillies, cette activité mobilisatrice constitue une excellente tribune pour sensibiliser la population à la cause des jeunes des centres jeunesse du Québec. En effet, les reportages et les articles visent à démontrer toute l’ampleur de la détresse dans laquelle se retrouvent les enfants et leur famille. Ils permettent par ailleurs à la population de constater le large spectre d’intervention de nos établissements et met de l’avant le travail essentiel de nos intervenants. Le Centre jeunesse de Laval tient à remercier sincèrement tous ceux et celles qui ont offert ces dons, TVA et le Journal de Montréal ainsi que les bénévoles ayant travaillé au centre d’appel, généreux de leur temps, provenant des centres jeunesse de Laval, Montréal, Laurentides, Lanaudière, Montérégie ainsi que de l’ACJQ. Journal Le Bon our - Février 2014 - 7 Noël au Centre jeunesse : de petites attentions pour le personnel Petites nouvelles d’ici Le 11 décembre avait lieux deux activités traditionnelles, soit la distribution de bûche de Noël dans les centres de réadaptation et dans les foyers de groupe et le coquetel de la directrice générale. Sur l’heure du dîner, Danièle Dulude s’est rendue à la cafétéria du Centre Notre-Dame de Laval afin d’offrir des morceaux de bûches aux gens sur place pour ensuite faire le tour des unités de vie des deux centres, accompagnée de plusieurs membres de la direction. En fin d’après-midi, la chapelle de l’établissement a fait place au coquetel de Noël. 8 - Journal Le Bon our - Février 2014 Portes ouvertes! Recrutement du personnel le 27 février 2014 Nouvelles de la DRH ressées té in es n on rs pe s de s ou -v Connaissez à relever et es un je os n de ès pr au à travailler tre jeunesse? n ce en er ll ai av tr de fi dé le Informez les gens et invitez-les à venir se familiariser avec les divers métiers du Centre jeunesse de Laval à l’occasion des « Portes ouvertes » pour le recrutement du personnel dans plusieurs titres d’emploi de l’établissement. Nouveauté cette année Nous vous invitons à nous recommander des personnes qui souhaiteraient devenir famille d’accueil. Où : à la salle 1 (siège social) du Centre jeunesse de Laval Quand : le 27 février 2014 de 10 h à 16 h Au programme : - Kiosques d’information sur le Centre jeunesse de Laval et le Centre de réadaptation en dépendance Laval et sur les défis au quotidien - Rencontres avec le personnel dans tous les titres d’emploi - Analyses de curriculum vitae sur place par le personnel des ressources humaines - Kiosque d’information sur les familles d’accueil Pour information : Nathalie Hotte Direction des ressources humaines 450 975-4150, poste 4077 Journal Le Bon our - Février 2014 - 9 Le cybermarché de la formation! Le Service de formation et du développement organisationnel est très fier de vous informer de la disponibilité de nouveaux services. En effet, de nouvelles modalités de formation, soit le webinaire, les visioconférences et des tableaux blancs intelligents (TBI) sont maintenant disponibles et à l’essai depuis cet automne. Nouvelle entrée dans une ère technologique, la formation 2.0, désignée comme le « cybermarché de la formation », permet l’apprentissage par des moyens électroniques où l’internaute devient acteur de son développement. Cette méthode permet une participation interactive à des formations qui semblaient auparavant inaccessibles. Fini les formations trop loin pour s’y rendre ou trop longues pour s’absenter du bureau; l’accessibilité est maintenant au bout de l’écran, et ce, à de moindres coûts! Nouvelles de la DRH L’équipe du Service de formation et du développement organisationnel Mentionnons également que, toujours dans un souci d’améliorer nos services, nous émettons des attestations de formation continue. Nous offrirons aussi sous peu la possibilité aux employés d’obtenir des unités d’éducation continue (UEC) pour ainsi faire reconnaître ces formations auprès des différents ordres professionnels qui les requièrent. Une liste des formations reconnues et accréditées vous sera fournie sous peu. Pour en savoir plus, communiquer avec nous par courriel au 13CJ Formation. Nous en profitons pour vous rappeler les étapes à suivre pour une demande de formation (pour des formations qui ne sont pas déployées par notre service) : 1- L’employé fait une demande à son supérieur immédiat. Pour ce faire, il utilise le formulaire disponible sur le portail et fournit toutes les informations pertinentes concernant la formation : le lieu, la date, le nom du formateur (ou l’organisation formatrice), le coût et les modalités d’inscription. 2- Si la formation est acceptée, le supérieur et le directeur acheminent le formulaire complété et signé au Service de formation et du développement organisationnel. 3- Lorsque la demande est acceptée par le Service de formation et du développement organisationnel, celui-ci procède à l’inscription et au paiement de la formation. INFO COMITÉ SECOURISTE En ce mois du cœur… Votre comité secouriste est heureux de vous informer que nous avons fait l’acquisition de cartouches juvéniles pour le défibrillateur. Ces cartouches spécifiques servent lors de l’intervention du défibrillateur pour les jeunes de moins de 55 livres. Les cartouches sont associées aux défibrillateurs localisés à chacune des réceptions des centres Notre-Dame de Laval et Cartier et du siège social, ainsi qu’au centre sportif. D’ailleurs, nous tenons à vous rappeler que les différents secouristes sont habilités à utiliser les treize défibrillateurs disponibles aux différents endroits (NDL, Cartier, siège social, incluant le CRD Laval). 10 - Journal Le Bon our - Février 2014 Le Service de la santé et de la sécurité du travail Nouvelles de la DRH Le mois de la santé du cœur! Le Service de la santé et de la sécurité du travail Chaque année, février est reconnu au Canada comme le mois de la santé du cœur. Cette initiative, organisée par la Fondation des maladies du cœur du Canada, vise à sensibiliser le public aux maladies du cœur. Depuis plusieurs années, le Service de la santé et de la sécurité du travail s’associe à la Fondation et propose à tous l’opportunité de s’informer sur différents sujets cardiovasculaires préventifs et de participer au concours annuel. Cette année, la Fondation des maladies du cœur ne propose pas de concours. Toutefois, elle invite les gens à consulter leur site Internet et rappelle certaines démarches à suivre afin de réduire les risques de développer une maladie cardiovasculaire et assurer une bonne santé du cœur. En fait, bien que certains éléments soient incontrôlables (sexe, âge, antécédents familiaux), une majorité de facteurs peuvent être contrôlés par de saines habitudes de vie! Principaux facteurs de risque contrôlables Invitation à tous Conférence midi pour le mois du coeur Démystifiez les saines habitudes de vie Mythe ou réalité La tension artérielle Le jeudi 20 février En diagnostiquant et en traitant adéquatement l’hypertension artérielle, vous pouvez réduire vos risques d’AVC (accident vasculaire cérébral) jusqu’à 40 % et de crise cardiaque jusqu’à 25 %. La plupart du temps, l’hypertension artérielle ne présente aucun symptôme, alors il faut la faire vérifier au moins une fois tous les deux ans par un professionnel de la santé. 12 h à 13 h (Apportez votre lunch) Le cholestérol Un taux élevé de cholestérol peut entraîner l’accumulation de plaque contre les parois des artères et les rétrécir, ce qui nuit à la circulation du sang et augmente vos risques de maladies cardiovasculaires. Le diabète Un taux de sucre (glycémie) supérieur à la normale est toxique pour les vaisseaux sanguins. Il endommage notre tuyauterie et fait vieillir cette dernière prématurément. Ainsi, le diabète, particulièrement lorsqu’il est mal contrôlé, augmente les risques d’hypertension artérielle, d’athérosclérose (rétrécissement des artères), de maladie coronarienne et d’AVC. Embonpoint Près de 60 % des adultes canadiens souffrent d’embonpoint ou d’obésité, ce qui cause de plus en plus d’inquiétude. Effectivement, cette situation est un important facteur de risque associé aux maladies du cœur et aux AVC. Par ailleurs, une simple élimination de 5 à 10 % de notre poids de départ (ex. : 10 à 20 livres pour une personne qui pèse 200 livres) améliore systématiquement les trois facteurs de risque précédents. Voilà un investissement payant! Salle 1 du siège social Consommation excessive d’alcool Oui chez certains (mais pas tous), une consommation modérée d’alcool peut s’avérer positive pour le cœur. Toutefois, dépasser les maximums recommandés apporte non seulement des inconvénients, mais annule l’effet positif que peut avoir ce dernier sur notre santé. Boire trop d’alcool, sous quelque forme que ce soit, peut faire augmenter votre tension artérielle et provoquer une maladie du cœur ou un AVC. Si vous ne buvez pas, ne commencez pas nécessairement à le faire. Améliorer son alimentation en général, augmenter son niveau d’activité physique et éviter de fumer procurent des avantages beaucoup plus notables sur notre santé qu’une consommation modérée d’alcool. Si vous consommez de l’alcool, limitez-vous à une ou deux consommations par jour, et ce, jusqu’à un maximum hebdomadaire de neuf chez les femmes et de quatorze chez les hommes. Attention, ceci ne s’applique pas à tous. Les personnes qui souhaitent éliminer du poids, qui souffrent déjà de certaines maladies du cœur comme l’hypertension ou d’un niveau de triglycérides élevé dans le sang, de maladies du foie ou de maladies mentales, qui prennent certains médicaments, qui ont des antécédents personnels ou familiaux d’abus d’alcool, qui sont atteintes de cancer, les femmes enceintes et celles qui tentent de le devenir ainsi que les femmes qui allaitent devraient éviter ou limiter davantage leur consommation d’alcool. Si vous vous inquiétez des effets de l’alcool sur votre santé, consultez votre médecin. (Suite page 12) Journal Le Bon our - Février 2014 - 11 Nouvelles de la DRH Le mois de la santé du cœur!... suite Sédentarité Les personnes sédentaires courent deux fois plus de risques de subir une maladie du cœur ou un AVC. Être inactif est aussi dommageable pour la santé du cœur que de fumer un paquet de cigarettes par jour. La Fondation des maladies du cœur recommande de bouger 30 minutes presque tous les jours en tentant d’augmenter progressivement, et ce, pour atteindre 60 minutes par jour. Pour y arriver, il faut y mettre du plaisir et en faire une priorité. Tabagisme Cesser de fumer est la chose la plus importante que vous pouvez faire pour votre santé. Aucun médicament n’aura cette efficacité. Le tabagisme ou l’exposition à la fumée secondaire comportent plusieurs effets négatifs pour la santé. Au niveau cardiovasculaire, ceci contribue à l’accumulation de plaque dans nos artères, fait augmenter le risque de caillots sanguins, réduit l’apport en oxygène dans le sang, fait augmenter notre tension artérielle et fait travailler notre cœur plus fort. Le tabagisme fait presque doubler les risques d’AVC ischémique. Stress Trop de stress peut engendrer une multitude de phénomènes négatifs pour notre santé. Le lien entre le stress, les maladies du cœur et les AVC n’est pas entièrement compris, mais certaines personnes très stressées, Le Service de la santé et de la sécurité du travail ou stressées pendant de longues périodes peuvent afficher un taux de cholestérol plus élevé, une tension artérielle plus haute et être plus sujettes à l’athérosclérose (rétrécissement des artères). Sans compter que ce dernier peut nuire au maintien d’un poids optimal. Par ailleurs, il est certain qu’indirectement, le stress mène généralement à dormir et à manger moins bien, à fumer davantage et à négliger l’activité physique. Bref, bouger plus, manger mieux et cesser de fumer contribuent non seulement à ajouter des années à notre vie, mais surtout à ajouter de la vie à ces années! Vous souhaitez avoir plus de détails, consultez le site Web de la Fondation des maladies du cœur au www.fmcoeur.qc.ca. Ce lien vous permettra également d’avoir accès à une évaluation et un plan d’action personnalisé de vos facteurs de risque (L’évaluation de risque cardiovasculaire). À la santé de votre cœur et à celui de vos proches! Véronique Therrien Nutritionniste Réf. : Fondation des maladies du cœur. Merci à toi! À : Lucie Trudeau Sous une apparence timide et toujours réservée se cachent un plein feu d’énergi e et un souci des autres. Toujours à l’aff des nouveautés documentaires et sou ût cieuse de répondre aux demandes de tous les services et des directions, Lucie fait un boulot extraordinaire au Centre de doc umentation. Il m’apparaît important de souligner son travail exceptionnel dans recherche de didactiques et de recueils la d’information qui correspondent à nos diffé rents champs d’intérêt et aux besoins de nos services respectifs. Merci Lucie! De : Jean-Alain Nadeau, Service de la santé et de la sécurité du travail 12 - Journal Le Bon our - Février 2014 La reconnaissance… un petit pas à la fois Nouvelles de la DRH Chaque geste, chaque parole, chacune de vos interventions, chacune de vos initiatives, et votre soutien laissent une empreinte de GÉANT. Si vous êtes témoins de petits pas qui laissent des empreintes positives autour de vous, nous vous offrons l’opportunité de les partager avec tous. Tout simplement, profitez de cette page pour dire merci. L’apport de chacun mérite d’être souligné. À qui s’adresse ce message : Votre message : Votre nom : Service : Retournez ce coupon à Josée Jolicoeur à la Direction des ressources humaines ou faites-lui parvenir un message par courriel à [email protected] Journal Le Bon our - Février 2014 - 13 Le Mois de l’histoire des Noirs 2014 • Le Mois de l’histoire des Noirs se célèbre chaque année durant tout février. C’est une fête reconnue mondialement qui se veut un temps pour se rappeler, commémorer, et souligner l’apport des Noirs dans l’histoire du monde. À l’origine américaine et maintenant célébrée à l’international, cette fête remonte à 1926, alors que Carter G. Woodson choisit la deuxième semaine de février pour fêter la « Negro HistoryWeek ».Cette semaine marquait également l’anniversaire de deux hommes qui ont beaucoup influencé la population afroaméricaine : Frederick Douglass et Abraham Lincoln. Février marque également la fondation du NAACP (la mort de Malcolm X). • Le « National Freedom Day » (Jour de la liberté nationale, le 1er février) commémore, depuis 1948, la signature par Abraham Lincoln, en 1865, d’une résolution commune qui deviendra le XIIIe amendement de la Constitution des États-Unis d’Amérique, visant à abolir l’esclavage. Nouvelles de la DSR Fabiola Geneste Éducatrice à l’Unité La Frontière Quelques suggestions (pour jeunes et adultes!) : • Regarder un film, un documentaire sur l’esclavage ou sur le racisme pour ouvrir la discussion • Essayer des restaurants antillais (du « soul » food) • A ménager une vitrine avec des affiches, des produits d’origine africaine • Jouer à des jeux questionnaire sur des faits historiques • Visiter un musée avec des artefacts de l’esclavage • Préparer une présentation de personnages noirs québécois qui ont marqué l’histoire québécoise ou canadienne • Visiter une galerie d’art • Visiter des sites Web informatifs Au Canada, c’est en décembre 1995 que la première célébration a eu lieu lorsque la députée Jean Augustine a déposé une motion sur la reconnaissance des Noirs à la Chambre des communes du Canada. Le Mois de l’Histoire des Noirs au Québec : 2013 marquait le 50e anniversaire du fameux discours prononcé par Martin Luther King « I have a Dream », soit le 28 août 1963. Discours marquant dans l’histoire, car il faisait référence au rêve de Martin Luther King de vivre dans un monde où l’être humain serait reconnu pour ce qu’il est et ce qu’il représente et non pour la couleur de sa peau. Un discours pacifique qui demandait à chacun de faire sa part afin de transformer ce rêve en réalité. Site historique des Noirs : Aujourd’hui, il y a encore du chemin à faire, mais c’est par de petits gestes comme la sensibilisation à cette célébration que nous ferons la différence. Je vous invite donc à commémorer ce mois à votre façon. http://moishistoiredesnoirs.com/index.php/fr/le-mois http://www.collectionscanada.gc.ca/anti-esclavage/index-f.html Vidéo et information : http://www.cic.gc.ca/francais/ministere/media/multimedia/video/mhn/ liveaction.asp#transcription Questionnaire : http://www.cic.gc.ca/francais/multiculturalisme/noirs/jeux.asp Un peu d’histoire des Canadiens noirs de Montréal : http://moishistoiredesnoirs.com http://www.cic.gc.ca/francais/multiculturalisme/noirs/personnes.asp Alors comment comptez-vous commémorer le Mois de l’histoire des Noirs cette année? 14 - Journal Le Bon our - Février 2014 Nouvelles de la DSR Le Service aux jeunes contrevenants... suite Jeanne Belcourt Corinne Bergeron D’Amours Équipe du Service aux jeunes contrevenants Dans la grande famille du Centre jeunesse de Laval se trouve, à l’entrée du 306 Cartier, une petite équipe d’intervenants dévoués aux jeunes et à leur famille qui se démarquent par un cadre légal spécifique dans lequel ils évoluent. Que font-ils donc, ces intervenants du Service aux jeunes contrevenants ? C’est dans l’optique d’apporter un éclairage sur notre pratique que nous avons tenté de faire ressortir quelques éléments principaux de notre réalité. La Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (LSJPA) qui encadre nos interventions vise à protéger la société des jeunes ayant commis un ou des délits avant dix-huit ans. • Concrètement il faut donc viser l’arrêt de tels gestes. Cette pratique de la « bonne mesure au bon moment » selon « l’approche différentielle » est basée sur le respect des différences de chacun en lien avec la sanction attribuée au jeune en fonction du geste qu’il a commis (gravité, risque de récidive, etc.) et sur les moyens adaptés à sa situation pour l’aider à s’intégrer socialement et à se responsabiliser. Elle permet également de rétablir ou maintenir à ses yeux l’image d’une autorité juste malgré le cadre restrictif et punitif de la Loi. À cette fin, le soutien du délégué devra être soutenu auprès du jeune. • Comment pouvons-nous aider les jeunes à cesser de tels actes ? • Comment les persuader du bien-fondé de respecter les lois, l’autorité, des valeurs pro-sociales ? Bien sûr, il s’agit là d’un processus d’apprentissage propre à chacun, relié à plusieurs facteurs : personnel, familial, environnemental, etc. Pour favoriser cet apprentissage auprès des jeunes, une action demeure centrale pour les intervenants du Service aux jeunes contrevenants : À ce niveau le policier a un pouvoir discrétionnaire d’intervenir ou de référer au procureur des poursuites criminelles et pénales (PPCP) celle de valoriser l’engagement des jeunes contrevenants à un processus de responsabilisation face à eux-mêmes, aux victimes, ainsi qu’à la société. C’est en utilisant la « bonne mesure au bon moment » dans le parcours du jeune ayant commis un délit que peut s’amorcer chez lui une prise de conscience quant à l’impact des gestes posés. D’où arrive le jeune qui a commis un délit dans notre service et de quelle façon ? Le graphique ci-dessous montre le parcours d’un dossier avant d’arriver au Service aux jeunes contrevenants et les différents niveaux d’intervention selon la gravité présentée par le délit, le risque de récidive, etc. À cette étape, le procureur analyse la preuve. Dans le cas d’un délit pouvant être considéré comme une erreur de parcours et dont le risque de récidive s’annonce minime, le procureur peut décider de référer au programme de sanction extrajudiciaire. Intervention policière Avertissement À ce niveau, le délégué peut être appelé à rédiger un rapport prédécisionnel (RPD) et à assurer un suivi de probation Probation avec suivi Mesure extrajudiciaire Plainte Acheminement de la preuve au procureur aux poursuites pénales et criminelles Judiciarisation Sanction extrajudiciaire Peine Évaluation par le délégué Probation sans suivi Absolution conditionnelle (Suite page 16) Journal Le Bon our - Février 2014 - 15 Nouvelles de la DSR Le Service aux jeunes contrevenants... suite Que se passe-t-il lorsque le jeune est référé par le tribunal au programme de sanction extrajudiciaire à nos bureaux ? Il convient de rappeler que ce programme se situe à un niveau d’intervention de conscientisation, d’éducation et de responsabilisation, en opposition à une intervention de réadaptation visant le changement de comportement par l’utilisation de moyens plus encadrants. Le jeune est référé à nos bureaux par le tribunal (procureur aux poursuites criminelles et pénales : PPCP). Parfois, il a été convoqué préalablement au tribunal avant d’être référé au programme de sanction, alors que d’autres fois, il n’a pas eu besoin de s’y présenter. Par la suite, l’adolescent est confronté à l’attente et à l’inconnu (délais administratifs liés à la référence de son dossier aux contrevenants) d’une décision qui sera enfin prise par le délégué et des conséquences probables face au délit. Pour ajouter à ce climat d’inconfort lié à l’attente, l’adolescent reçoit une convocation à son domicile pour une rencontre où il devra s’expliquer sur les gestes commis (délit), devant ses parents qui sont aussi convoqués. La Loi exige la présence d’un ou des deux parents. Cette mise en contexte illustre en partie l’état d’insécurité existant à l’arrivée du jeune et de ses parents à l’entrevue, qui se manifeste souvent par une panoplie de réactions. Elles peuvent aller de la colère à la résistance, à la collaboration, en passant par le déni, une minimisation de sa responsabilité ou une rationalisation, ce qui réduit passablement la motivation interne du jeune au changement. C’est en tenant compte de ces paramètres que le délégué amorcera un travail d’information, de sensibilisation et d’évaluation auprès du jeune et de sa famille. Il est primordial que l’adolescent se conscientise de l’ampleur des impacts de son geste quant à la victime, la société et son propre avenir. À ce sujet, la possibilité de l’ouverture d’un dossier judiciaire amenant la perte d’emploi, des restrictions au voyage et des dommages à l’image de soi sont autant de facteurs qui aident l’adolescent à se conscientiser de son erreur et à le dissuader de répéter ces gestes. Le programme de sanction extrajudiciaire offre à l’adolescent l’opportunité d’éviter ces conséquences lourdes et déterminantes pour son avenir. L’évaluation réalisée par le délégué permettra d’approfondir le degré de reconnaissance du jeune quant à la commission des gestes délictueux. Pour ce faire, le récit de l’événement raconté par l’adolescent est comparé au rapport de police que détient le délégué en vue de confronter ou de confirmer les dires du jeune. Cet exercice peut être laborieux, selon le degré de résistance du jeune à se responsabiliser, et peut être exécuté de façon directe mais non hostile afin de susciter la réflexion chez celui-ci. Cette étape permet à l’évaluateur de mesurer le niveau de reconnaissance du jeune face à son délit et d’amorcer un travail de conscientisation et de responsabilisation en lien avec sa situation. À ce travail s’ajoute une cueillette de données quant à son évolution personnelle, familiale, scolaire, son mode de vie, ses fréquentations, ses antécédents s’il y en a. Une étape centrale dans le travail de responsabilisation de l’adolescent est celle d’explorer son degré de remords et d’empathie face à la victime. En effet, la réalité de la victime est 16 - Journal Le Bon our - Février 2014 Jeanne Belcourt Corinne Bergeron D’Amours Équipe du Service aux jeunes contrevenants directement abordée sous l’angle des torts subis, tels que les pertes matérielles et monétaires, les conséquences physiques, psychologiques et émotives. Là encore, la conscientisation et la responsabilisation sont privilégiées dans l’intervention auprès de l’adolescent. Ces étapes, ainsi que l’ensemble des informations recueillies au cours du processus d’évaluation, aident à tracer un profil global de l’adolescent et permettent au délégué de décider quelle est la meilleure mesure de sanction possible (la bonne mesure au bon moment pour le bon jeune). La collaboration de l’adolescent et sa perméabilité aux enseignements apportés par le délégué au cours du processus d’évaluation demeurent des indices de mesure importants quant au désir du jeune à apprendre de son erreur (délit) et à réparer. La dimension de la réparation s’adresse d’abord en faveur de la victime et de la société à qui il a engendré des coûts (salaire, police, avocats, intervenants, administration, etc.) et ensuite au jeune, pour favoriser la reconstruction de son image et de son lien avec la communauté. Cet apprentissage de la responsabilisation se concrétise par une entente signée (jeune/délégué) quant à l’exécution par l’adolescent de la sanction choisie par le délégué en guise de réparation des torts commis par son geste. Parmi les sanctions proposées par la Loi, nous retrouvons les heures de travaux communautaires, les dédommagements financiers, les dons, les participations à des programmes d’habiletés sociales, les lettres d’excuses, les médiations adolescent/victime. La réalisation de ces sanctions est coordonnée par notre partenaire MAJL (Mesures alternatives jeunesse de Laval) qui suit l’exécution de la sanction du début à la fin et nous informe de la réussite ou de l’échec de la mesure de sanction. Quelques mots sur les situations de non-collaboration ou de refus du jeune à adhérer à la réalisation de la sanction Cela peut se traduire par la non signature d’une entente et le nonrespect de l’entente, et amène la référence du dossier au tribunal qui verra à décider de la suite. En conclusion Pour conclure, observons que le défi principal du délégué est d’arriver à maximiser cette seule opportunité qu’est « la » rencontre d’évaluation pour toucher significativement le jeune afin qu’il soit convaincu de cesser toute action dommageable. Une rencontre dans le parcours du jeune et qui se veut déterminante pour ses choix ultérieurs! Une rencontre pour viser l’atteinte de l’objectif qu’est la protection du public. Illustration d’un cas type Jonathan se fait arrêter par les policiers dans un parc pour un délit de possession simple de stupéfiant (0.5g de cannabis). À la suite de l’exécution de leur pouvoir discrétionnaire, le rapport de police est acheminé au procureur des poursuites criminelles et pénales (PPCP) qui décide de l’orienter en sanction (voir graphique précédent). Jonathan et sa mère sont convoqués pour l’évaluation de sanction. Les deux sont présents à la réception du 306 Cartier, en attente d’être reçus par le délégué. Imaginons donc leurs pensées. Que va-t-il arriver à mon fils? Va-t-il être en prison? Son avenir est-il menacé? Vais-je devoir payer une amende? Vont-ils réussir à lui faire comprendre le bon sens, eux? Vont-ils me dire que je suis une mauvaise mère? C’était intéressant. J’ai découvert mon fils sous un autre jour! Je suis soulagée, j’espère qu’enfin il a compris et qu’on ne reviendra plus jamais ici. Je crois que cette étape était nécessaire dans sa vie pour éviter la poursuite dans la délinquance. Nouvelles de la DSR Jeanne Belcourt Corinne Bergeron D’Amours Équipe du Service aux jeunes contrevenants O Qui est-ce que je viens rencontrer? C’est le juge? C’est un tribunal ici? Est-ce que tout le monde va le savoir que j’ai fait un délit? Est-ce que je vais aller en prison? O Le Service aux jeunes contrevenants... suite Est-ce que je devrais dire la vérité? Non! Je ne dis rien, pour ne pas me mettre dans le trouble! Peut-être que le « juge » en sait plus que moi sur la situation? Peut-être que j’ai intérêt à dire la vérité! Mais qu’est ce que ma mère va dire, si elle apprend toute la vérité sur mon méfait? Ha! Je vais juste en dire une partie. J’ai bien essayé de ne pas tout dire. Impossible de contourner ses questions! En plus, elle (déléguée) avait le rapport de police. Je suis soulagé je n’irai pas en prison et cette fois j’ai compris. Je suis prêt à assumer les conséquences de mes actes et faire en sorte de ne plus revenir ici. Journal Le Bon our - Février 2014 - 17 « Des nouvelles de SOCEN » ou l’enfant au coeur de nos interventions Nouvelles de la DSJF Lyne Di Staulo Chef de service à l’application des mesures - équipe Norman Bethune Gestionnaire responsable de SOCEN au Service de l’application des mesures Suzanne Archambault, APPR au Service développement des pratiques et des programmes, Coordonnatrice régionale SOCEN Saviez-vous que… L’implantation de l’approche SOCEN se déploie depuis 2010 dans le cadre d’une collaboration interdirections impliquant directement les services de l’application des mesures, des ressources et de développement des pratiques et des programmes. Un petit rappel… L’approche SOCEN cible les enfants âgés entre 6 mois et 18 ans hébergés en famille d’accueil, et vise à améliorer la qualité des soins qui leur sont dispensés. Concrètement, elle se veut un moyen pour guider les interventions afin d’améliorer les expériences et les conditions de vie des enfants de façon à promouvoir leur développement et favoriser la résilience. SOCEN est une approche conviviale, un lieu de rencontre et de synergie entre les différents acteurs impliqués dans la situation d’un enfant, qu’il s’agisse de la famille d’accueil, de l’intervenant au Service des ressources, de l’intervenant au Service de l’application des mesures, de l’enfant et de ses parents. SOCEN s’appuie sur un cadre d’analyse ciblant plusieurs dimensions du développement de l’enfant, les capacités parentales ainsi que les facteurs familiaux et environnementaux contribuant à la sécurité, au développement et au bien-être de l’enfant. Où en sommes-nous dans l’implantation? Au terme du cinquième groupe de formation qui aura lieu en février et mai 2014, le Centre jeunesse de Laval comptera 32 enfants SOCEN et 23 intervenants formés au Service de l’application des mesures (dont un en langue anglaise). Il y aura également sept intervenants formés au Service des ressources ainsi que 23 familles d’accueil. SOCEN a influencé nos pratiques et le vécu des enfants de différentes façons. Concrètement, les intervenants témoignent : « Cela m’a permis d’identifier les forces de l’enfant et de son milieu. » « J’ai pu observer le lien relationnel entre la famille d’accueil et l’enfant. » « Je n’avais pas réalisé à quel point l’enfant était attaché à sa famille d’accueil. » « J’ai pris connaissance des “occasions” et des “risques” dans l’environnement de l’enfant. » En effet, SOCEN permet aux intervenants de créer un lien avec les parents d’accueil, de faire des découvertes sur les besoins des enfants qui n’auraient pas été identifiés autrement et de mieux comprendre ceux-ci. L’approche permet aussi une vision globale et systémique de l’environnement de l’enfant, de recueillir des témoignages importants provenant autant des jeunes que de leur famille d’accueil et de faire participer davantage les enfants dans l’élaboration de leur plan d’intervention. À travers un personnage de bande dessinée, le jeune enfant devient le héros de sa propre histoire qui l’accompagne dans les différents défis qu’il doit traverser, dont la réalisation de son rêve. Se faisant, il fait appel à ses forces et apprend à mieux se connaître. Quelques témoignages d’enfants en lien avec l’approche SOCEN : « J’ai réalisé que j’aimais ma famille d’accueil. » « J’ai appris des choses à propos de mon passé et de ma famille d’origine. » « Oui, ben, on est plus… on parle plus. Je suis plus ouverte. » Enfants Familles Intervenants SAM Intervenants ressource Quant à nos familles d’accueil, elles rapportent que SOCEN leur permet de mieux connaître les besoins de l’enfant et d’en observer les progrès. 32/±119 23/±80 23/48 6/7 Il n’est pas toujours facile d’intégrer « une nouvelle approche » à notre pratique dans un quotidien déjà bien rempli. Cependant, les retombées positives de SOCEN nous encouragent à aller de l’avant. D’ailleurs, SOCEN s’inscrit à travers nos programmes cliniques intégrés axés sur le partenariat et une vision écosystémique où l’enfant, ses intérêts et besoins, occupent la place centrale. *Capacité à atteindre 18 - Journal Le Bon our - Février 2014 Les indissociables : Sommes-nous sensibilisés au phénomène de l’usage non médical des médicaments psychotropes? La consommation inappropriée de drogues illicites est un problème de santé publique largement documenté et bien connu. En revanche, étiez-vous au courant que le phénomène récent de l’usage non médical des médicaments psychotropes (UNMMP) est méconnu et négligé au Canada? Cette étude lève le voile sur cette pratique et nous amène à en prendre conscience, peut-être pour une première fois. Un étudiant en maîtrise de la faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke, Faicel Hessi, sous la direction de Karine Bertrand professeur et chercheur associé à la même faculté, a dédié son mémoire de recherche à ce sujet. Voici une présentation de certains éléments du résumé de cette étude. L’objectif général de cette étude vise à décrire et comprendre l’expérience de l’UNMMP chez de jeunes adultes (18-24 ans). L’équipe de recherche y est parvenue 1) en identifiant les enjeux de cette pratique pour les jeunes adultes; 2) en examinant la manière dont l’UNMMP s’inscrit dans la trajectoire de consommation d’autres drogues; 3) en explorant le point de vue des jeunes adultes surconsommateurs à propos des représentations sociales entourant l’UNMMP. Des connaissances à la pratique Geneviève Barlow Conseillère cadre Répondante à la recherche Quant au maintien de cette pratique, les jeunes interrogés l’expliquent par les avantages pratiques et le sentiment de sécurité que ces médicaments leur inspirent. Cette dernière perception sera d’ailleurs contredite par l’expérience de conséquences nuisibles. En conclusion, plusieurs situations dangereuses sont décrites par les jeunes. Une consommation concomitante et massive avec d’autres drogues est très fréquente, contribuant à amplifier davantage les risques sanitaires. Ces éléments de connaissance vont permettre aux personnes œuvrant dans le domaine de la dépendance de mieux cerner auprès de leurs jeunes usagers certaines pratiques à risques. La solution qui est envisagée à la suite des travaux? Il est impératif de contrer la perception illusoire que les jeunes entretiennent concernant la sécurité du médicament en utilisant des mesures préventives ciblées et efficaces. Pour en savoir davantage, la version complète du mémoire est disponible via le centre de documentation du Centre jeunesse de Laval. Selon les analyses sur le terrain, cette pratique devrait préoccuper davantage l’ensemble des services de santé, puisque les données des enquêtes américaines et canadiennes décrivent un essor inquiétant de cette pratique. En effet, l’UNMMP toucherait davantage les adolescents et les jeunes adultes, plus spécifiquement ceux qui sont déjà aux prises avec d’autres problèmes de consommation. Cette population vulnérable s’expose ainsi à plusieurs répercussions négatives autant sur le plan de la santé que sur le plan social. De plus, cette pratique s’accompagne de conduites à risque élevé de transmission de maladies graves telles que le sida ou l’hépatite C. L’équipe de recherche arrive à identifier deux trajectoires de l’UNMMP : • l’une concernant les médicaments opioïdes, dont la consommation est souvent associée à la recherche de sensations euphoriques; • l’autre concerne les médicaments psychothérapeutiques, utilisés surtout pour atténuer les effets négatifs d’autres drogues, ou encore pour amplifier leurs effets. En ce qui a trait à l’expérience de l’UNMMP, plusieurs thèmes sont abordés expliquant les différentes étapes du parcours de l’UNMMP. Ainsi, la curiosité, l’envie d’oublier une condition précaire ou encore l’usage à des fins sociales et récréatives sont quelques raisons citées par les participants, pour justifier leur initiation à l’UNMMP. Journal Le Bon our - Février 2014 - 19 Centre de documentation Nouveautés Le développement de l’enfant au quotidien. Du berceau à l’école primaire. Francine Ferland. Éditions de l’Hôpital SainteJustine. 2004. 234 pages. L’originalité de cet ouvrage vient du fait qu’il cerne toutes les sphères du développement de l’enfant : motricité, langage, perception, cognition, aspects affectifs et sociaux, routines quotidiennes, etc. L’auteur propose, à la fin de chaque chapitre, diverses activités permettant aux parents et aux éducateurs d’accompagner l’enfant dans son développement. Ce livre se veut un guide destiné à tout adulte qui vit au quotidien avec un enfant et qui souhaite partager avec lui la grande aventure du développement humain. L’effet Wow! Une conférence pratique, novatrice et remplie d’humour. Jasmin Bergeron conférencier. DVD. s/d. 75 minutes environ. On se souvient longtemps des personnes et des entreprises qui nous font vivre des wow parce qu’elles sont fascinantes et distinctes. Créer un effet wow autour de vous, c’est une façon de se distinguer et d’améliorer la satisfaction de vos clients, de vos employés, de vos collègues, de vos amis ou de votre famille. Cette conférence résume les meilleures stratégies pour créer des WOW autour de vous!. 20 - Journal Le Bon our - Février 2014 Lucie Trudeau Les voies de la réussite. Parcours différents vers un but commun : devenir ce que nous sommes. Jasmin Bergeron, Hugo Dubé, Isabelle Fontaine, Sylvie Fréchette, Christine Michaud, Jiang Min, Jimmy Sévigny. Éditions Un monde différent. 2008. 151 pages. Le WOW est un moment d’émerveillement que nous souhaitons vivre le plus souvent possible dans nos vies! Nous admirons les personnes et les entreprises qui génèrent continuellement des WOW chez les gens! Qu’ont-elles de différent? Qu’ont-elles en commun? Comment s’y prennent-elles pour se démarquer? C’est dans cette perspective que le chapitre « L’effet WOW! » écrit par Jasmin Bergeron a été développé. Jasmin résume les meilleures stratégies reconnues pour provoquer des WOW! Ce livre a été conçu en coopération avec plusieurs personnes qui ont su se démarquer dans leur vie personnelle et professionnelle par leur habileté à faire vivre des WOW. Des principes, des exemples et des témoignages que vous pourrez mettre en application rapidement vous seront suggérés afin de rendre votre expérience aussi enrichissante que possible! Le personnel éducatif face aux comportements défis. Manuel de gestion du stress dans l’intervention auprès de personnes avec déficiences intellectuelles. Annick Cudré-Mauroux. Éditions De Boeck. 2012. 144 pages. Quels impacts les troubles du comportement ont-ils sur le personnel soignant? Le ressenti des accompagnants peut-il nuire au traitement? Comment réduire le stress subi par ces derniers? Existe-t-il des méthodes ou techniques efficaces? Le personnel éducatif, lorsqu’il doit gérer les troubles du comportement de personnes présentant des déficiences intellectuelles, est régulièrement confronté à des situations difficiles. Malgré la disponibilité de plans d’intervention efficaces basés sur des modèles comportementaux, il n’en reste pas moins que certains éléments propres aux réalités de terrain mettent en péril leur application. L’une des principales raisons de ce manquement concerne le stress qui sous-tend leur implémentation. Face à cette problématique émerge un réel besoin de formation. Pratique et abordable, ce manuel de gestion du stress prodigue aux professionnels de l’accompagnement des conseils adaptés pour mieux gérer leur malaise. À l’aide d’exemples et de cas concrets, il développe une analyse permettant une meilleure compréhension des réactions au stress. Les techniques présentées, dérivées de la thérapie rationnelle développée par Ellis, se basent sur la logique de la résolution de problème et prennent en compte aussi bien la sphère cognitive, émotionnelle que comportementale. L’objectif, développer une meilleure gestion individuelle du stress s’insérant dans un cadre collectif d’intervention, permet une amélioration graduelle du bien-être des professionnels et des personnes qu’ils accompagnent au quotidien. Centre de documentation Nouveautés... suite Lucie Trudeau auxquels l’intervenant peut s’attendre). Divers types d’intervention à privilégier ou à éviter ont été ajoutés afin de guider l’intervenant dans ses actions auprès de la personne. Aliénation parentale et exposition aux conflits sévères de séparation : Où en sommes-nous? Claire Malo. Diane Rivard. Centre jeunesse de Montréal - Institut Universitaire. 2013. 22 pages pdf. Ce document fait le bilan des discussions et des prises de position d’un groupe de réflexion du CJM-IU. Il se veut un premier soutien pour la compréhension des situations d’aliénation parentale telles que rencontrées dans la pratique. Plus précisément, il vise à mieux faire connaître le phénomène, à distinguer les situations où l’aliénation est déjà bien ancrée, de celles plus courantes, où l’on retrouve un conflit sévère de séparation sans exclusion de l’un des parents, de même qu’à cerner les manifestations du phénomène et les rôles de chaque parent et de l’enfant. Il vise enfin, au plan plus clinique, à formuler des recommandations susceptibles de guider l’intervention. Ce document est disponible par l’entremise du centre de documentation et aussi par Signal, le catalogue de la bibliothèque du CJM-IU, à l’adresse : http://10.112.64.28 L’observatoire sur la maltraitance soutenu par le Centre jeunesse de Montréal Institut universitaire affilié à l’UQAM et l’Université de Montréal. L’Observatoire québécois sur la maltraitance envers les enfants est un espace sans frontière de soutien aux professionnels, aux institutions et aux organisations qui permet d’accéder à une source d’information spécialisée, fiable, à jour et qui facilite l’accès à un réseau de collaboration qui vise à mieux connaître, prévenir et agir sur la maltraitance envers les enfants. http://observatoiremaltraitance.ca Lucie Ouellet. Institut universitaire en santé mentale de Québec. Notions de base sur les maladies mentales – Guide pratique d’intervention. 2012. Pdf. 118 pages. Ce guide a pour premier objectif de fournir des notions de base sur différentes maladies mentales, leur définition, les symptômes et manifestations comportementales associées ou qui les caractérisent. En psychiatrie, tout comme en psychologie ou en médecine physique, classer les troubles par diagnostics vise à les décrire, à en prévoir l’évolution, à appliquer un traitement approprié et à stimuler la recherche des causes. La psychiatrie s’appuie sur deux modèles particuliers de référence pour la classification des troubles mentaux : le ‘Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders’ (DSM) de l’American Psychiatric Association et la ‘Classification Internationale des Maladies’ (CIM) de l’Organisation mondiale de la santé. Le présent guide s’inspire donc de ces deux sources, soit le DSM-IV-TR-révisé, 2003 et le CIM-10 (2003); d’autres sources de référence viennent compléter certaines données psychologiques, comportementales ou neurologiques : le traité ‘Psychologie’ de Myers (1997), le traité ‘Neurologie clinique et neurologie du comportement’ de Botez-Marquard et Boller (2005), le livre ‘Les personnalités pathologiques’ de Debray et Nollet (2001). L’expérience terrain des auteurs et de divers cliniciens consultés pour la version finale du document s’ajoute à ces références. À noter que ce guide ne se veut pas un dictionnaire exhaustif des maladies mentales; c’est plutôt un résumé de divers tableaux cliniques associant des problématiques particulières aux troubles psychiatriques les plus fréquemment retrouvés dans le milieu psychiatrique. Puisque ce document est destiné aux intervenants et aux stagiaires, son format a été pensé en fonction d’une consultation rapide, chaque fois que le besoin s’en fait sentir. Il se veut d’abord et avant tout, un document de référence général et comme tel, il ne comporte que les grandes lignes de chaque problématique (maladie, symptômes, comportements Margaret E. Blaustein, Kristine M. Kinniburgh. Treating traumatic stress in children and adolescents. How to foster resilience through attachment, selfregulation and competency. Guilford Press. 2010. 372 pages. Grounded in theory and research on complex childhood trauma, this book provides an accessible, flexible, and comprehensive framework for intervention with children and adolescents and their caregivers. It is packed with practical clinical tools that are applicable in a range of settings, from outpatient treatment centers to residential programs. Rather than presenting a one-size-fits-all treatment model, the authors show how to plan and organize individualized interventions that promote resilience, strengthen child–caregiver relationships, and restore developmental competencies derailed by chronic, multiple stressors. More than 45 reproducible handouts, worksheets, and forms are featured; the large-size format facilitates photocopying. Modalités d’emprunt Vous pouvez contacter le Centre de documentation par courrier électronique ou par téléphone au poste 4472. Les heures d’ouverture sont variables d’une semaine à l’autre et elles sont annoncées par le message d’accueil de la boîte vocale. Vous pouvez aussi prendre rendez-vous pour choisir les ouvrages sur place. Journal Le Bon our - Février 2014 - 21 Février à mai Au calendrier FÉVRIER 2014 7 : Rencontre des gestionnaires de l’établissement 11 : Accueil reconnaissance 11 : Séance du conseil d’administration 11 : C onférence midi du conseil multidisciplinaire - À fleur de peau, une méthode de supervision clinique par mode d’expérimentation entre pairs, par Michel Brien, analyste bioénérgéticien 27 : Journée Portes ouvertes de la Direction des ressources humaines pour le recrutement MARS 2014 11 : C onférence midi du conseil multidisciplinaire - Gérer efficacement son temps, par René Louis Comtois, fondateur et président de Formations Qualitemps 18 : Journée Travail à la chaîne, Table sociojudiciaire 27 : Activité reconnaissance du temps des sucres avril 2014 15 avril : Conférence midi du conseil multidisciplinaire – « Pas de parents! Pas de changements! L’intervention auprès des parents des jeunes ayant une consommation problématique au CRD Laval », par Charles Lambert, agent de relations humaines, Centre de réadaptation en dépendance Laval mai 2014 6 : Colloque du conseil multidisciplinaire dans le cadre de son assemblée générale annuelle 8 : Souper bénéfice annuel de la Fondation du Centre jeunesse de Laval et du Centre de réadaptation en dépendance Laval 30 : Rencontre des gestionnaires de l’établissement 22 - Journal Le Bon our - Février 2014 Info Travaux Nouvelles de la DSG TRAVAUX RÉALISÉS SIÈGE SOCIAL - Enlèvement des vanités dans les bureaux du 304, boulevard Cartier CENTRE NOTRE-DAME DE LAVAL - Réaménagement du Service d’alimentation et de nutrition - Réaménagement des espaces extérieurs – Phase V TRAVAUX EN COURS CENTRE NOTRE-DAME DE LAVAL - Réfection de la toiture SIÈGE SOCIAL - Mise aux normes de l’ascenseur du 304, boulevard Cartier CENTRE CARTIER - Nettoyage des évacuateurs TRAVAUX À VENIR CENTRE NOTRE-DAME DE LAVAL - Réaménagement du local Nutri-ados - Réaménagement des cuisinettes des unités L’Interlude, L’Agora, Le Mirabel, et La Parenthèse (aile A) ➢ - Réaménagement du local cinéma-maison SIÈGE SOCIAL - Mise aux normes de la conformité handicapée au 304, boulevard Cartier - Réfection du réseau de drainage aux 304 et 308, boulevard Cartier CENTRE CARTIER - Mise aux normes des ascenseurs - Remplacement des revêtements de plancher dans les unités de vie Journal Le Bon our - Février 2014 - 23 Un accompagnement… Pour qui? Pourquoi? Écho du comité des usagers Marie-Josée Beaudet Agente de liaison « Tout usager a le droit d’être accompagné et assisté d’une personne de son choix lorsqu’il désire obtenir des informations ou entreprendre une démarche relativement à un service dispensé par un établissement ou pour le compte de celui-ci ou par tout professionnel qui exerce sa profession dans un centre exploité par l’établissement. » (art. 11, LSSSS) Voici ce que nous dit la Loi sur les services de santé et les services sociaux en matière de droit à l’accompagnement d’un usager. Les usagers ne sont souvent pas au courant qu’ils peuvent avoir recours à un accompagnement par la personne de leur choix lors d’une rencontre avec un intervenant au Centre jeunesse de Laval ou au Centre de réadaptation en dépendance Laval. Bien sûr, l’agente de liaison du comité des usagers peut effectuer un accompagnement et nous en parlerons bien sûr. Mais il faut d’abord parler de l’usager qui veut être accompagné par la personne de son choix, par exemple un parent, un ami, un voisin. De prime abord, l’intervenant qui convoque un client ne peut refuser que celui-ci soit accompagné. Par contre, il est important que l’accompagnateur connaisse bien son rôle et qu’il n’outrepasse pas celui-ci. Son rôle en est un de soutien et il ne peut en aucun cas agir de sorte à changer le cours de la rencontre et les décisions qui y seront prises. Il peut poser des questions qui visent à préciser ce qui vient d’être dit par l’intervenant s’il sent que la personne qu’il accompagne n’a pas bien compris. L’accompagnateur agit comme une deuxième paire d’oreilles, car lorsqu’on est envahi ou stressé, on ne retient pas tout. Il peut être un aide-mémoire précieux, et prendre des notes au besoin. Il peut aider la personne à nommer les sentiments qu’elle ressent et surtout lui apporter du soutien moral dans la salle d’attente, pendant la rencontre et sur le chemin du retour. Bien sûr, si l’accompagnateur entreprend d’argumenter ou qu’il amplifie les sentiments négatifs du client en réagissant fortement, c’est contre indiqué. Le client pourrait alors se voir refuser la présence de cet accompagnateur, pourvu que les motifs lui soient nommés. L’accompagnateur pourrait aussi devoir quitter temporairement la rencontre si on doit parler d’une tierce personne qui a le droit à la confidentialité et au respect de sa vie privée. Par exemple, la voisine et amie qui accompagne Mme Tremblay (non fictif) devrait sortir au moment où l’on discute du comportement sexuel inquiétant de sa fille Jessica. C’est à l’intervenant d’en juger, selon les motifs de compromission de l’enfant dont il est question et des autres personnes impliquées. Si un parent demande à être accompagné lors des visites supervisées à son enfant, cela peut être refusé, car il ne s’agit pas d’une rencontre, mais plutôt d’une activité clinique ou l’on veut voir le parent interagir avec son enfant sans influence afin de travailler les habiletés parentales. 24 - Journal Le Bon our - Février 2014 Un intervenant peut suggérer au client d’être accompagné par l’agent de liaison du comité des usagers lorsqu’il sent que son client vit de l’incompréhension des services ou ne collabore pas. C’est, par contre, le client qui doit en faire la demande. Lorsqu’un client sollicite le comité des usagers, c’est souvent qu’il ne comprend pas bien le processus clinique imposé, se sent incompris par l’intervenant ou lui prête des intentions. Parfois, la relation tourne au vinaigre à la suite d’une décision qui a un lourd impact dans la vie du client, par exemple : placer l’enfant alors qu’on croyait pouvoir le maintenir dans son milieu familial, restriction ou coupure de visites. Un rapport pour le tribunal que le client considère comme exagéré ou inexact peut parfois mener à un arrêt de collaboration. De plus, lorsque le client a commis des écarts de langage, il est parfois difficile de continuer à travailler ensemble. Il est alors utile que l’agente de liaison soit présente afin de ramener le client à l’essentiel, soit la sécurité et le développement de l’enfant dont il est question et l’ordonnance que l’intervenant se doit de respecter. Quand un client doit apporter des changements rapides dans ses comportements et dans son organisation quotidienne, il y a parfois des résistances qui s’installent. Pour ce qui est de l’intervenant, l’accompagnement lui permet de se repositionner face au client et de trouver dans certains cas un autre angle afin de rétablir un contact satisfaisant et propice au travail qui doit se poursuivre. Les rencontres de suivi entre un intervenant et un parent, les tables d’orientation, de révision, les rencontres de suivi entre un éducateur et un jeune sont toutes des situations où un accompagnement peut être bénéfique. L’agente de liaison suit le client dans son processus afin de lui apprendre à nommer ce qu’il vit au fur et à mesure, d’exprimer ses besoins et de formuler ses demandes de façon claire. Le client peut aussi discuter de sa situation sous le couvert de la confidentialité entre les rencontres, en téléphonant à l’agente de liaison. Le soutien qui est apporté à l’usager avec ou sans accompagnement aux rencontres est aussi fort utile, car il permet d’évacuer le trop-plein sous le couvert de la confidentialité. L’écoute active qui est effectuée permet à l’usager de mettre des mots sur ce qu’il vit. Le client est toujours encouragé à collaborer, à se mettre en action et à être transparent dans sa démarche. Il est informé de ses droits et se sent parfois apaisé à la suite d’un bon bilan. Nouvelles du CCPAS Départ de la présidente Chers membres du CCPAS, C’est avec émotion que j’ai quitté mes fonctions de présidente du CCPAS, le 17 janvier dernier, pour relever de nouveaux défis professionnels. Quel bout de chemin nous avons parcouru tous ensemble! Je souhaite de tout cœur que le CCPAS continue sur sa belle lancée et que ses membres travaillent ensemble pour l’amélioration de nos services. Au revoir! Joliane Grandmont-Benoit Le CCPAS recrute! Le 28 janvier dernier avait lieu le premier café-rencontre des agents multiplicateurs du CCPAS. Lors de cette rencontre, plusieurs des points d’amélioration découlant de notre première assemblée générale ainsi que de la dernière visite du Conseil québécois d’agrément (CQA) ont été discutés. Donc, tout comme les 14 agents multiplicateurs déjà en place, vous souhaitez jouer un rôle clé dans votre équipe, être le porte-parole de vos collègues et avez à cœur l’amélioration des choses dans votre secteur... allez rencontrer votre agent! (Pour trouver votre agent, consultez le journal Le BonJour de décembre dernier, ils y sont tous présentés) Afin de s’assurer d’une bonne diffusion de l’information et que toutes vos voix soient entendues, le CCPAS recrute des agents multiplicateurs supplémentaires dans d’autres secteurs. En effet, nous recherchons des agents multiplicateurs dont le titre d’emploi se trouve parmi les suivants : - Agent d’intervention, conducteur-agent d’intervention, chef de secteur (1 représentant) - Personnel de bureau (1 représentant de la Direction générale et 1 représentant du CRD Laval) - Auxiliaire en santé et services sociaux, « dame de module » (1 représentant) - Hygiène et salubrité, ressources matérielles (1 représentant pour Cartier) - Services techniques (1 représentant du siège social, 1 représentant pour Cartier-NDL) - Surveillant en établissement (1 représentant pour Cartier et 1 représentant pour NDL) Au plaisir de partager avec vous! Pour l’équipe du comité exécutif, Nadine Charles Présidente par intérim Nouvelle présidente par intérim À la suite du départ de la présidente, Joliane Grandmont-Benoit, comme mentionné ci-haut, il a été convenu, par les membres du comité exécutif du CCPAS lors du dernier comité, de ne pas procéder immédiatement à son remplacement puisque des élections auront lieu en avril prochain pour tous les postes des membres de l’exécutif (voir document Règles de fonctionnement). Conséquemment, Nadine Charles, vice-présidente, assurera la présidence par intérim jusqu’à cette période. Le comité exécutif du CCPAS Journal Le Bon our - Février 2014 - 25 Écho du conseil multi Innovons ensemble… Mission possible! Le Conseil multidisciplinaire renoue avec la tradition et vous invite à participer en grand nombre à notre Journée annuelle, le mardi 6 mai prochain! Sous le thème de l’innovation clinique, nous nous pencherons sur certaines pratiques inspirantes instaurées par des intervenants de différents secteurs de notre centre jeunesse. La qualité des pratiques est une valeur inhérente aux intervenants de notre établissement qui, malgré le contexte d’intervention parfois difficile, poursuivent leur quête vers le développement de pratiques stimulantes en réponse aux besoins de nos jeunes et de leurs familles. Réservez votre journée du 6 mai et venez partager avec nous des ateliers inspirants! LA VIE CLINIQUE VOUS INTÉRESSE… JOIGNEZ LE COMITÉ EXÉCUTIF DU CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE! Calendrier des conférences midi pour l’année 2014 Mardi 11 février 2014 À fleur de peau, une méthode de supervision clinique par mode d’expérimentation entre pairs, par Michel Brien, analyste bioénérgéticien Lors de l’Assemblée annuelle du 6 mai, il y aura élection de 4 postes qui deviendront vacants au sein du Comité exécutif du conseil multidisciplinaire. (Durée de 2 heures) Vous avez envie de participer à la réflexion et au développement de la qualité des pratiques? Alors, surveillez sous peu les informations qui vous seront acheminées pour poser votre candidature. Mardi 11 mars 2014 Gérer efficacement son temps, par René Louis Comtois, fondateur et président de Formations Qualitemps Mardi 15 avril 2014 « Pas de parents! Pas de changements! L’intervention auprès des parents des jeunes ayant une consommation problématique au CRD Laval », par Charles Lambert, agent de relations humaines, Centre de réadaptation en dépendance Laval CONFÉRENCE MIDI « SPÉCIALE » Le succès de la conférence midi de l’année dernière « Comment prendre soin de soi comme intervenant » par Michel Brien, analyste bioénérgéticien, nous amène à récidiver… Le Conseil multidisciplinaire vous invite à une autre rencontre avec M. Brien « À fleur de peau, une méthode de supervision clinique », le mardi 11 février 2014. Exceptionnellement, la durée de la conférence midi sera de deux heures. LE COMITÉ DES RÉPONDANTS Les rencontres du comité des répondants se poursuivent pour échanger, avec l’ensemble des équipes d’intervention clinique, de leurs préoccupations concernant leur pratique. Le prochain comité des répondants aura lieu le 25 février 2014. Informez-vous auprès de votre représentant. Pour le conseil multidisciplinaire, Danielle Jourdain 4189 Jean-François Payette Chef de service, présidente Chantal Lachance 3880 Sarah Bouffard Réviseur 3892 Chef de service, vice-président 4204 Éducatrice, Unité L’Âtre Nicole St-Pierre 4482 Sylvie Rougeau 4313 ARH, CRD Laval [email protected] 26 - Journal Le Bon our - Février 2014 Concours-Sondage La Capitale Portes ouvertes En déposant votre coupon-réponse dans les boîtes prévues à cette fin, aux réceptions du siège social, du Centre Cartier et du Centre Notre-Dame de Laval, vous courrez la chance de remporter une cartecadeau d’une valeur de 40 $ chez Archambault offerte par votre conseillère Danielle Belley, de La Capitale. Le tirage aura lieu le 12 février 2014. Les employés des points de service qui n’ont pas accès aux boîtes peuvent faire parvenir leur coupon par courrier interne à la Direction générale. Les photocopies du coupon sont acceptées; une participation par personne. À propos de… Afin de recueillir de manière continue vos idées en lien avec le développement du Centre jeunesse de Laval et du Centre de réadaptation en dépendance Laval, nous vous invitons à nous communiquer vos propositions d’innovation, tant sur le plan clinique qu’administratif, ou vos commentaires. Sujet : Proposition : Portes ouvertes À chaque année, la Direction des ressources humaines organise une journée « Portes ouvertes » pour le recrutement du personnel dans plusieurs titres d’emploi de l’établissement. Quelle date aura lieu cette journée cette année? Merci de contribuer à l’avancement de l’établissement. À quel endroit seront installés les kiosques? Johanne Plourde, du Service des ressources, a remporté le tirage du concours-sondage de décembre 2013. Danielle Belley, de La Capitale, lui a remis une carte-cadeau d’une valeur de 40 $ chez Archambault. Quelle sera la nouveauté de cette édition? Les deux DVD de la conférence de Jasmin Bergeron : L’effet WOW! ont été gagnés par Michèle Lefebvre, de la DSR, et Nadine Mathelier, de la DSG. Nom : Direction : Téléphone : Bonne chance à toutes et à tous! * Un seul coupon par personne. Les deux gagnantes des livres Les Voies de la réussite sont Johanne Marier, de la DRH, et Louhi Maoliha, réceptionniste Le BonJour est le journal interne du Centre jeunesse de Laval et du Centre de réadaptation en dépendance Laval. Il est publié par la Direction générale à l’intention du personnel de l’établissement. Il est aussi distribué à certains abonnés de l’externe, partenaires et employés retraités. Siège social : 308, boul. Cartier Ouest, Laval (Québec) H7N 2J2 n Téléphone : 450 975-4150, poste 3813 Rédactrice en chef : Charlaine Laplante n Comité de rédaction : Marie-Josée Beaudet (comité des usagers), Nadine Charles (CCPAS) Chantal Lachance (conseil multidisciplinaire), Carole Fournier (DSJF), Pierrette Fournier (Fondation), Joliane Grandmont-Benoit (DSR), Josée Jolicoeur (DRH), Leila Khalaf (DSP), Lyne Lauzière (Centre de réadaptation en dépendance Laval), Lucie Trudeau (Centre de documentation), Camille Turcotte (DSG). n Révision : Johanne Boutin, Pierrette Fournier n Réalisation graphique et impression : Les impressions Lithosol Dépôt légal : Bibliothèque nationale du Québec La prochaine parution : 3 mars 2014 n Date de tombée : 17 février 2014 Journal Le Bon our - Février 2014 - 27 LEQUEL CHOISIR? CELI ou REER Compte d’épargne libre d’impôt Maximum 5 500 $ par année Intérêts non imposables Facile de retirer de l’argent pour des besoins ponctuels Régime enregistré d’épargne-retraite Maximum 18 % de votre revenu annuel par année Déduit du revenu imposable au dépôt Imposable lors du retrait Donne accès au RAP et au REEP Comme la situation est propre à chaque épargnant, l’une ou l’autre de ces options peut être plus avantageuse pour vous. Je vous invite à me contacter afin d’en discuter. C’est avec plaisir que je vous donnerai les meilleurs conseils pour votre stratégie d’épargne. Danielle Belley, B.A.A. Représentante autonome Conseillère en sécurité financière Représentante en épargne collective* Partenaire de 514 282-3296 1 866 665-0500, b. voc. 23296 Cell. : 514 247-2304 [email protected] www.daniellebelley.com * Pour le compte de La Capitale services conseils inc. Cabinet de services financiers