paparazzi - A l`oeil

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paparazzi - A l`oeil
PRÉ-DOSSIER DE PRESSE
EXPOSITION
PAPARAZZI !
PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
DU 26 FÉVRIER AU 9 JUIN 2014
Jean Pigozzi, Mick Jagger et Arnold Schwarzenegger, Hôtel du Cap, Antibes, France, 1990
© Jean Pigozzi
PAPARAZZI !
PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
SOMMAIRE
1. PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE L’EXPOSITION........................................ 3
2. PARCOURS DE L’EXPOSITION ........................................................... 4
3. LISTE INDICATIVE ......................................................................... 10
4. LE CONCOURS PHOTOGRAPHIQUE .................................................... 11
5. VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE............................................ 12
6. CONTACTS PRESSE ....................................................................... 14
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PAPARAZZI !
PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
1.
PRÉSENTATION GÉNÉRALE
DE L’EXPOSITION
PAPARAZZI !
PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
DU 26 FÉVRIER AU 9 JUIN 2014
GALERIE 3
Le Centre Pompidou-Metz consacre une exposition pluridisciplinaire sans précédent au
phénomène et à l’esthétique de la photographie paparazzi à travers plus de 600 œuvres
(photographies, peintures, vidéos, sculptures, installations…).
Parcourant un demi-siècle de photographies de stars, l’exposition se penche sur le
métier de chasseur d’images, en abordant les rapports tout aussi complexes que
passionnants qui s’établissent entre le photographe et la célébrité, jusqu’à révéler
l’influence du « phénomène paparazzi » sur la photographie de mode.
En associant les grands noms de la discipline, tels Ron Galella, Pascal Rostain et Bruno
Mouron ou Tazio Secchiaroli, à des œuvres de Richard Avedon, Raymond Depardon,
William Klein, Gerhard Richter, Cindy Sherman ou encore Andy Warhol, qui se sont
interrogés sur ce mythe moderne, l’exposition Paparazzi ! Photographes, stars et artistes
a pour ambition de définir les caractéristiques d’une esthétique paparazzi.
Un catalogue coédité par le Centre Pompidou-Metz et les éditions Flammarion
accompagne l’exposition.
Commissaire :
Clément Chéroux, conservateur au Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, chef
du cabinet de la photographie
Commissaires associés :
Quentin Bajac, conservateur en chef de la photographie au MoMA, New York
Sam Stourdzé, directeur du Musée de l’Elysée, Lausanne
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PAPARAZZI !
PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
2.
PARCOURS DE L’EXPOSITION
L’exposition est constituée de trois grandes parties : Photographes, Stars et Artistes.
TAPIS ROUGE (INTRODUCTION)
Le visiteur est accueilli d’emblée par les flashs des paparazzis émanant d’une
installation de Malachi Farrell intitulée Interview (Paparazzi), se trouvant ainsi luimême propulsé au rang de star. Grâce à un ensemble de photographies représentant des
paparazzis chassant en meute – dans une sorte de mise en abyme –, ce préambule a
pour fonction de faire ressentir au visiteur la pression dont la star fait l’objet.
PHOTOGRAPHES
Une profession
Le métier de paparazzi est plus complexe qu’il n’y paraît. Les paparazzis se doivent
d’être ingénieux, mettant en place des opérations parfois délicates et risquées. Chacun
d’entre eux possède ses trucs et ses anecdotes, autant d’éléments fondateurs du grand
récit du « paparazzisme ».
A travers une série d’entretiens avec des paparazzis et une présentation de leurs outils
de travail (de l’appareil espion au téléobjectif, en passant par leurs déguisements), ainsi
que des photographies de Francis Apesteguy, Olivier Mirguet, Jessica Dimmock,
Christophe Beauregard et un extrait du film Reporters de Raymond Depardon, cette
section explore les arcanes du métier de paparazzi.
Des mythologies
C’est en 1960 que Federico Fellini invente la figure populaire du « paparazzi » en
contractant les termes « pappataci » (petits moustiques) et « ragazzi » (jeunes garçons).
Le paparazzi se présente comme un anti-héros postmoderne. Depuis le film La Dolce
Vita, il est devenu une figure mythique de la culture populaire.
Des extraits de films de Dario Argento, Federico Fellini, Brian De Palma, Louis Malle ou
encore Andrzej Zulawski, des années 1930 jusqu’à nos jours, montrent comment le grand
public perçoit le paparazzi : personnage solitaire faisant souvent figure de perdant,
assez antipathique car dénué de morale et de scrupules, il incarne une sorte de figure
en creux ou de double négatif du reporter de guerre.
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PAPARAZZI !
PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
Extrait du catalogue : Aurore Fossard-De Almeida, « Le paparazzi à l’écran :
construction d’un mythe contemporain »
La récurrence du personnage paparazzi dans le cinéma de fiction, notamment
à partir de la fin des années 1990, est moins le signe d’un engouement pour
la profession que celui de la construction d’un « mythe contemporain »
(Roland Barthes, Mythologies, in Œuvres complètes II). Si le paparazzi est le
parent pauvre de l’histoire de la photographie, il est une source précieuse
d’inspiration pour la fiction cinématographique et télévisuelle. Alors que le
photoreporter de guerre est célébré par cette même histoire de la
photographie, la fiction trouve dans le paparazzi le personnage qui rend le
récit palpitant. Des conditions de production subversives – le vol –, un
moyen de diffusion qui parvient jusqu’aux masses – la presse – et un sujet
fascinant – la célébrité – sont les éléments qui définissent le paparazzi à
l’écran. En même temps, ces paramètres créent une tension narrative et
soulèvent des enjeux visuels majeurs pour la fiction cinématographique et
télévisuelle. Les particularités de cette pratique photographique hybride
permettent la construction d’un personnage à la fois typique et complexe :
d’une part la fiction construit un stéréotype du photographe en l’affublant de
caractéristiques récurrentes, d’autre part elle l’enrichit. En accédant à une
place de plus en plus importante dans le récit, le paparazzi multiplie ses
traits de « caractère » et gagne en nuances.
[…]
« Entre nous, on s’appelle “les rats” », déclare le paparazzi Pascal Rostain. À
l’image du surnom que les photographes eux-mêmes revendiquent, le
paparazzi apparaît à l’écran à la fois comme un insecte grouillant, rampant
et un animal carnassier. Qualifiés de « créatures » dans The Philadelphia
Story (George Cukor, 1940), de « vermine » dans The Public Eye (Howard
Franklin, 1992) ou de « parasites » dans Paparazzi (Paul Abascal, 2004), les
voleurs d’images sont représentés fuyant à quatre pattes dans The Picture
Snatcher (Lloyd Bacon, 1933) et fouillant dans les poubelles dans Paparazzi
(Alain Berbérian, 1998) ou Paparazzi (Paul Abascal, 2004). Interrogé sur sa
pratique, le paparazzi Francis Apesteguy déclare : « Quand j’mets mon jean
et mes baskets et un sac à dos, avec un “télé” dedans, j’me mets en mode
“rapace”. J’en ai une autre, moins belle, mais que j’aime bien aussi : être en
mode “chacal”. Le chacal, ça sonne, et puis c’est rusé, ça s’faufile, c’est
capable de tout, c’est dégueulasse, c’est sans scrupule. En fait c’est le plus
approprié. » Caractère dynamique s’il en est, l’animalité fait du paparazzi un
personnage instinctif. Il réagit au quart de tour, emporte l’essentiel de sa
proie et la laisse, scandalisée ou anéantie, loin derrière lui. Comme les rats
circulent sous les trottoirs de ceux qui orchestrent notre société, les
personnages paparazzi circulent dans les bas-fonds des industries
médiatiques et culturelles portées à l’écran.
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PAPARAZZI !
PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
STARS
Pleins feux
Le métier de paparazzi est une profession essentiellement masculine. Les victimes sont,
en revanche, majoritairement des incarnations de la féminité. A travers l’histoire de huit
femmes – Brigitte Bardot, Paris Hilton, Jackie Kennedy-Onassis, Stéphanie de Monaco,
Britney Spears, Diana Spencer et Elizabeth Taylor –, cette section montre l’évolution des
styles et des enjeux de la photographie paparazzi sur près d’un demi-siècle.
L’envers du décor
Toutefois, les célébrités ne sont pas uniquement les victimes passives des paparazzis.
Lorsqu’elles repèrent ces derniers, elles ont le choix de collaborer avec eux en se
laissant photographier ou, au contraire, de refuser la prise de vue. Leurs réactions
peuvent dès lors aller du simple refus poli à l’agression. A l’inverse, elles peuvent
également entrer dans le jeu du photographe en se montrant réceptives, voire complices.
Elles vont jusqu’à développer elles-mêmes leurs propres astuces afin d’échapper au star
system et à ses contraintes. Cette section offre un panorama des différentes réactions
des stars face aux objectifs des photographes à travers un ensemble de clichés des plus
grands paparazzis du XXe siècle – Daniel Angeli, Francis Apesteguy, Ron Galella,
Marcello Geppetti, Bruno Mouron et Pascal Rostain, Erich Salomon, Tazio Secchiaroli,
Sébastien Valiela ou Weegee.
Extrait du catalogue : Nathalie Heinich, « Les paparazzis, agent du capital de visibilité »
Les photos de paparazzis ne sont pas seulement des « instantanés » (candid
photographies) tels qu’ils commencèrent de se pratiquer pour les vedettes de
cinéma dans les années 1910 : ce sont des intrusions visuelles dans l’intimité
des gens en vue. Elles opposent donc, de part et d’autre de la frontière –
éminemment mouvante – entre vie publique et vie privée, leurs objets et
leurs auteurs, dans une bataille incessante pour le contrôle de
l’image. Comme en témoigne Salman Rushdie, « un personnage public n’est
heureux d’être photographié que quand il y est préparé (“sur ses gardes”
pourrait-on dire). Le paparazzo, lui, ne cherche que le moment où ce
personnage baisse la garde. C’est une bataille pour le contrôle, pour une
forme de pouvoir » (Salman Rushdie, « Diana’s crash », in Marc Augé et al.,
Diana crash, Paris, Descartes et Cie, 1998). Cette question du contrôle de
l’image permet d’ailleurs aux paparazzis de placer au second plan la question
de la préservation de l’intimité pour insister sur la duplicité des vedettes,
« prêtes à tout » pour se faire de la publicité quand elles en ont besoin, mais
déterminées à la « contrôler » étroitement dès lors qu’elles l’ont obtenue :
« Quand ces gens-là entrent dans le show business, ils passent un pacte
avec le diable. Et moi, je suis l’assistant du diable », déclare l’un d’eux (cité
par Jake Halpern, Fame Junkies. The Hidden Truths behind America's Favorite
Addiction, Boston, Houghton Mifflin, 2007).
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PAPARAZZI !
PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
ARTISTES
Les formes de l’appropriation
Les conditions dans lesquelles les paparazzis opèrent génèrent une esthétique
particulière : la rapidité et l’improvisation avec laquelle ils prennent la photographie ont
des conséquences sur la composition de l’image ; le téléobjectif, utilisé de loin, ou le
flash, employé de près, ont tendance à l’aplatir. La réaction des célébrités se protégeant
le visage de la main est ainsi devenue le leitmotiv de l’agression médiatique. Depuis les
années 1960, cette esthétique a inspiré nombre d’artistes du Pop Art, du Postmodernisme ou de courants plus contemporains, de Richard Hamilton à Paul McCarthy
en passant par Valerio Adami, Barbara Probst ou Gerhard Richter.
Extrait du catalogue : Marion Varinot et Nicolas Maubert, « Les droits des photographes
de la vie privée – Les paparazzis sous l’objectif du droit »
Alors que les paparazzis pourraient être assimilés à des journalistes
reporters-photographes et bénéficier du statut d’auteur, les juges refusent en
général de reconnaître une quelconque originalité à leur travail, les privant
de la protection que confère le droit d’auteur. Les termes utilisés par les
tribunaux pour leur refuser le statut protecteur du droit d’auteur sont souvent
sans appel. […]
Ces décisions se montrent en définitive assez sévères à l’égard des
photographes sportifs et des paparazzis puisqu’elles refusent de voir une
quelconque originalité dans leurs travaux, tout en se fondant sur des critères
dont les contours sont en réalité assez flous. Un photographe a-t-il
réellement un « comportement purement passif » lorsqu’il règle
soigneusement ses objectifs depuis sa « planque » choisie non seulement
pour sa discrétion par rapport au sujet photographié, mais également pour
l’arrière-plan et la luminosité qu’elle procure ? N’a-t-il pas participé à la
mise en scène du sujet lorsqu’il a minutieusement préparé le cadrage de la
photographie, choisi tel ou tel objectif et fixé le temps de pause ?
L’apparition éphémère du sujet implique-t-elle une absence d’originalité
dans le travail ? Le juge aurait-il la même approche avec un photographe
animalier ayant réussi, après une longue attente, à capturer un colibri en
train de s’abreuver dans la corolle d’une fleur ? Rien n’est moins sûr.
[…]
Alors qu’un paparazzi ne verra sans doute pas son travail élevé au rang
d’œuvre originale, un artiste qui s’inspirerait de l’« esthétique paparazzi »
(effet flouté, sujets marquant un signe d’opposition à la prise de
photographie, etc.) bénéficiera quant à lui de la protection du droit d’auteur.
Ce constat est vrai non seulement pour les artistes qui font croire à des
photographies « volées », alors que leurs clichés procèdent de poses
savamment étudiées (comme l’a fait Helmut Newton en son temps), mais
aussi pour certaines photographies vraiment prises à l’insu du sujet. Ainsi, le
photographe Luc Delahaye de l’agence Magnum a publié, en 1999, dans un
recueil intitulé L’Autre, quatre-vingt-dix portraits de personnes anonymes
photographiées à la dérobée. Le Tribunal de grande instance de Paris a
considéré que cet ouvrage était « incontestablement une œuvre artistique par
l’originalité de la démarche de l’auteur, photographe mettant son art au
service d’une observation sociologique, […] la manière dont il a su faire
passer l’expression des sujets et la qualité des images tenant, entre autres, à
la façon dont les personnages sont cadrés et leur regard capté » (Tribunal de
grande instance de Paris, 2 juin 2004, M. Bensalah c/ L. Delahaye Magnum,
Éditions Phaidon Presse Limited et SA Mk2). En d’autres termes, dès lors
qu’un artiste « à part entière » s’amuserait à incarner un paparazzi, les juges
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PAPARAZZI !
PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
inscriront son travail dans le cadre d’une œuvre de l’esprit et lui octroieront
la protection conférée par le droit d’auteur. Ce traitement différencié semble
n’être que le reflet de la mauvaise image qu’ont les paparazzis, perçus par le
plus grand nombre (y compris ceux qui lisent la presse people !) comme des
« voleurs d’image et d’intimité ».
Dans la peau du paparazzi
Depuis les années 1960, l’attitude des chasseurs d’images fascine nombre d’artistes et de
photographes de mode qui, le temps d’un projet, cherchent à se mettre dans la peau d’un
paparazzi. Les photographes tels Richard Avedon, William Klein et plus récemment Terry
Richardson ont été les premiers à se transformer en paparazzis à l’occasion d’une série
de photographies. Quantité d’artistes, dont l’Américain Gary Lee Boas, l’Anglaise Alison
Jackson ou encore le collectif autrichien G.R.A.M. ont également collectionné les stars à
la manière des paparazzis. A partir des années 1980, plusieurs artistes femmes comme
Malin Arnesson, Kathrin Günter ou Cindy Sherman ont, quant à elles, interrogé la place
de l’artiste en tant que star.
Extrait du catalogue : Quentin Bajac, « Migrations et appropriations – Les artistes et
l’esthétique paparazzis »
En 1997, l’accident mortel de Lady Di vient focaliser l’attention, comme
jamais auparavant, sur la figure des paparazzis. Le paparazzi y devient cette
figure extrême, mi-« fouille-merde » cynique, mi-héros anti-establishment,
dont le caractère et la production hors la loi suscitent tout à la fois
stigmatisation et fascination. À l’avènement du nouveau siècle, à une époque
où Internet vient redéfinir en profondeur les frontières entre sphères privée
et publique, une nouvelle génération, née le plus souvent dans les
années 1970 et 1980, entreprend de s’approprier ce langage, tout en
interrogeant cette relation, notre relation à ce type d’images : dans des
directions diverses, Olivier Mirguet et sa mise en abyme, entre approche
documentaire et artistique, du phénomène paparazzi, Viktoria Binshtok
explorant, grâce a l’esthétique du flash, les frontières entre abstraction et
figuration, Kathrin Gunther, paparazzi de sa propre intimité, jouant d’une
improbable alliance de la pratique introvertie de l’autoportrait et d’un certain
voyeurisme médiatique, ou Alison Jackson, interrogeant par ses clichés
impossibles tant la vérité photographique que notre appétit – malsain – de
spectateur, tous participent de ce phénomène. À tel point que celui-ci semble
aujourd’hui comme domestiqué, et que son écriture photographique, naguère
marginale, semble devenue monnaie courante. « Are we all paparazzi ? »
s’interrogeait en 2012 le Getty Center lors d’une de ses tables rondes
consacrée à la photographie de célébrités actuelles. À l’heure où, depuis
l’automne dernier, grâce à une société implantée aux États-Unis tout un
chacun peut louer les services de faux paparazzis (et de faux fans, et
d’agents de sécurité) pour s’improviser star d’un jour, réalisant la prophétie
d’Andy Warhol, on serait tenté d’ajouter : Are we all celebrities ?
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PAPARAZZI !
PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
KIOSQUE (CONCLUSION)
La presse people répond à la demande d’une industrie médiatique qui possède sa propre
rhétorique et ses règles de mise en page caractéristiques. En guise de conclusion, cette
dernière section interroge, à travers les œuvres de Jonathan Horowitz, Armin Linke, Paul
McCarthy ou Andy Warhol, le vecteur de diffusion des images paparazzis.
Conçue et produite par le Centre Pompidou-Metz, l’exposition Paparazzi ! Photographes,
stars et artistes sera présentée à la Schirn Kunsthalle de Francfort du 27 juin au 12
octobre 2014.
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3.
LISTE INDICATIVE
ADAMI Valerio
ANGELI Daniel
APESTEGUY Francis
ARGENTO Dario
ARNESSON Malin
ASCANI Massimo
AVEDON Richard
BANIER François-Marie
BARON Julian
BEAUREGARD Christophe
BETTMANN Otto Ludwig
BINSCHTOK Viktoria
BOAS Gary Lee
BRANIMIC Kvartuc
BURLOT Jack
CALLE Sophie
CANDE Daniel
CICCONI Umberto
DANZ Pascal
DEMAND Thomas
DEPARDON Raymond
DESPOTOVIC Dusko
DIMMOCK Jessica
DUSSAULX Romain
ELTERMAN Brad
ESCH Thierry
FARRELL Malachi
FELLINI Federico
GALELLA Ron
GARNER Philippe
GARRITTANO Settimio
GEPETTI Marcello
GINFRAY Michel
GINIÈS Michel
G.R.A.M. (Günther Holler-Schuster,
Ronald Walter, Armin Ranner, Martin
Behr, dits)
GRAPPASONNI Fratelli
GÜNTER Kathrin
HAMILTON Richard
HARRING Keith
HATAMI Sharock
HERNANDEZ Jonathan
HOROWITZ Jonathan
ISHAM Wayne
JACKSON Alison
KAHRS Johannes
KER Jean
KLEIN William
KRUGER Barbara
LALANDE Benjamin
LESEMANN Christian
LINKE Armin
LUBOMIRSKI Alex
LUDIN Ulf
MARTIN Xavier
MC CARTHY Paul
MEKAS Jonas
MIRGUET Olivier
MORIN Patrick
MOURON Bruno
PALECEK Jérémiah
PALMA (DE) Brian
PEDRIALI Dino
PENDZICH Erik
PERRIN Frank
PIGOZZI Jean
PRIESTER Max
PROBST Barbara
RICHARDSON Terry
RICHTER Gerhard
ROSS Alicia
ROSTAIN Pascal
SALOMON Erich
SANTOS Jaclyn
SECCHIAROLI Tazio
SHERMAN Cindy
SICCOLI Patrick
SMEAL Jim
TICKNER Liam
TURK Gavin
UT Nick
VOX Maximilien
WEEGEE
WHAROL Andy
WILCKE Willy
WYLER William
YOUNG Richard
ZULAWSKI Andrej
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PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
4.
LE CONCOURS PHOTOGRAPHIQUE
A l'occasion de
photographique.
l’exposition,
le
Centre
Pompidou-Metz
organise
un
concours
Le concours sera lancé le 26 février sur wipplay.com et relayé par la page Facebook du
Centre Pompidou-Metz.
WIPPLAY propose à tous les passionnés d’images, amateurs et professionnels, de
participer à des jeux photographiques à travers un réseau social dédié et organisé
autour de manifestations culturelles, d’événements citoyens ou de tendances artistiques.
Simple concours photographique participant à la révélation de talents anonymes,
rencontre entre initiés, jeu de pistes ou de vitesse, WIPPLAY invite les internautes à
exposer leurs images sur la toile, à ciel ouvert ou dans des galeries, et à les faire
évaluer par les plus grands professionnels de l’image.
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PAPARAZZI !
PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
5.
VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE
Des visuels de l’exposition sont téléchargeables à l’adresse suivante :
www.centrepompidou-metz.fr / phototheque.
Nom d'utilisateur : presse
Mot de passe : Pomp1d57
PHOTOGRAPHES
Michel Giniès, Robert Redford et Costa Gavras sortent du restaurant Lapérouse
et sont assaillis dans leur voiture par les photographes, Paris, septembre 1976
© Collection Michel Giniès
Agence Pierluigi, Les photographes attendant Anita Ekberg à la passerelle de
l'avion (tirage original du film La Dolce Vita)
© Collection Michel Giniès
© Attribué à Pierluigi Praturlon / DR
STARS
Daniel Angeli, Liz Taylor
30 x 20 cm
© Daniel Angeli
Ron Galella, Jackie O. et Ron, New York, 1971
30 x 20 cm
© Ron Galella / A. Galerie
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PAPARAZZI !
PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
Jean Pigozzi, Mick Jagger et Arnold Schwarzenegger, Hôtel du Cap, Antibes,
France, 1990
© Jean Pigozzi
ARTISTES
Julian Baron, C.E.N.S.U.R.A. España 2011
© Julian Baron
Alison Jackson, Bush with Rubik's Cube
© Alison Jackson
William Klein, Antonia + taxi jaune, photographie de mode pour Vogue,
New York, 1962
© William Klein
Cindy Sherman, Untitled Film Still, 1980
Photographie en noir et blanc, 31,4 x 40,3 cm
Exhibition print (MP# 54)
Courtesy of the artist and Metro Pictures
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PHOTOGRAPHES, STARS ET ARTISTES
7.
CONTACTS PRESSE
CENTRE POMPIDOU-METZ
Annabelle Türkis
Responsable du pôle Communication et Développement
Tél : + 33 (0)3 87 15 39 66
Mél : [email protected]
Noémie Gotti
Chargée de communication et presse
Tél : + 33 (0)3 87 15 39 63
Mél : [email protected]
CLAUDINE COLIN COMMUNICATION
Diane Junqua
Tél : + 33 (0)1 42 72 60 01
Mél : [email protected]
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