Untitled - Atelier d`Architecture Ramdam

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Untitled - Atelier d`Architecture Ramdam
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Atelier d’Architecture RAMDAM
SARL au capital de 12 000€ - Siret n°509 821 963 00022
D e retour des Etats-Unis où il a nourrit son sens et
son intérêt pour les grands territoires et les constructions
durables au sein du CMPBS, Olivier Misischi rejoint l’AREP
où il développe de nombreuses études urbaines. Son
parcours en tant que chargé de projet chez Fabienne
Gérin-Jean Architecte lui permet aujourd’hui de cultiver
au sein de l’atelier Ramdam ce rapport entre Urbanisme et
Architecture.
Franck Dibon & Olivier Misischi
Architectes DPLG - n° d’Ordre S13026
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01 44 61 44 24
01 76 50 11 35
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www.atelier-ramdam.com
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[email protected]
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8, Rue des Dunes - Paris 19ème
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Identité & Profils
Prix / Distinctions:
Prix SAUR 2010 de l’Audace et de l’Innovation
Sélection 2010 Wallpaper Architect Directory
Lauréat Concours Betwin 2009
3ème prix Fondation Willmotte 2009
Mention CO2 CAUE Sarthe 2009
Publications :
Inside/Outside Office Design 2010
Wallpaper*, juillet 2010
Concept Magazine, n°135, juillet 2010
Architecture à Vivre n°52, janvier 2010
AMC Hors-série spécial bois 2010
Ecologik, n°12, octobre 2009
Prix W2009 Latina, Fondation d’Entreprise Wilmotte
Architecture à Vivre n°50, septembre 2009
Petites Machines à Habiter, CAUE Sarthe 2009
S es travaux sur les équipements
publics et les logements emmènent
Franck Dibon à Barcelone chez
Nabito Arquitectura avec qui il
développe, entre autres, le projet
lauréat à l’Europan 9 pour la ville de
Ljubljana. A partir de 2007, il conçoit
et réalise plusieurs bâtiments publics
et de logements pour le compte de
Fabienne Gérin-Jean Architecte avant
de cofonder l’atelier Ramdam et d’y
apporter ce savoir-faire.
L ’atelier RAMDAM est né de notre attachement à l’espace public. Son nom évoque
l’effervescence du Bazar, image d’une ville ouverte, libre, publique et mixte.
Avec la certitude que l’architecture se conçoit à partir d’un processus de création
basé sur la rencontre et l’échange, nous affirmons qu’il ne peut y avoir de durabilité sans
métissage culturel. RAMDAM appelle à dépasser les limites normatives et défend une vision
en mouvement du développement durable. Assumant les acquis de la modernité, RAMDAM
propose une approche humaniste centrée sur la liberté des usages et parie sur l’émergence
d’un comportement écologiquement responsable.
Notre travail interroge la notion de l’habiter, dans ce qu’il a de concret et quotidien.
Chaque projet est abordé, quelle que soit son échelle, avec la même envie d’explorer sa
spécificité. Sans a priori formel, esthétique ou conceptuel, nous nous efforçons de révéler
la dimension poétique du lieu, en tissant des liens étroits entre le sens donné par l’usage
et la force du signifiant enfoui dans l’imaginaire collectif. En cela, RAMDAM revendique son
appartenance à une culture urbaine mondialisée, riche de ses multiples identités.
Cette diversité constitue, pour nous, une source d’inspiration inépuisable. A notre
sens, elle ouvre le terrain de l’innovation et rend possible l’émergence de solutions en
adéquation avec les enjeux planétaires actuels.
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Livraison 2013
SCI « Au Bon Coin »
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201 m² SHAB
400 000 € HT
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Saint-Denis (93)
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5 logements locatifs sociaux - restructuration et extension
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« Au Bon Coin »
Bureau Thermidor (BET Environnement)
ITEC (BET TCE & Economie du projet)
Michèle Constantini (Photographe)
L a rénovation et l’extension de cet immeuble
du début du 20
ème
siècle, emblématique des berges
du canal Saint-Denis est un enjeu à plus d’un titre.
Immortalisé par Robert Doisneau en 1945, il a depuis
traversé les décennies en subissant de nombreuses
transformations. L’angle qu’il constitue entre le canal
et les rues du quartier résidentiel en font un repère
incontournable des ballades au bord de l’eau.
Dédié au logement social, le projet de restructuration
s’accompagne d’une extension contemporaine à
ossature bois qui se developpe au dos de l’immeuble
existant.
Les deux édifices se nourrissent l’un de l’autre dans un
dialogue qui les enrichit. L’intervention a pour objectif
à la fois la conservation du passé ouvrier du canal et la
volonté d’exprimer les grandes mutations en cours sur
le territoire de Saint-Denis. Ainsi, la façade mitoyenne
du domaine public fluvial, autrefois aveugle, offre
désormais des percements pour mettre en lumière le
nouveau rapport au canal.
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Existant.
Projet.
L ogement
Au Bon Coin
R+2
Répartition des 5 logements
R+1
RDC
Phasage de l’opération en site occupé
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Résidence Bel Air
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Livraison 2014
Plaine Commune Habitat
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1998 m SHAB
3,4 M€ HT
Patricia Leboucq (Architecte Mandataire)
SIBAT (Economie du projet)
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Saint-Denis (93)
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Construction de 31 logements sociaux
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BBC RT2012 - H&E
S itué aux portes de la vieille ville de SaintDenis, le quartier Franc-Moisin offre une diversité de
typologies urbaines allant du tissu faubourien ancien
aux grands ensembles des années 60. Déclinaison de
l’éclectisme du quartier voisin, le projet traduit, par
un jeux d’empilement, comme une superposition de
petites unités d’habitation, la richesse et la diversité du
tissu dionysien. Il offre différentes échelles de lecture,
du domestique au collectif.
Jouant sur la compacité, le projet se concentre
sur deux rues principales. La porosité de l’îlot ainsi
obtenue,
permet
l’augmentation
des
surfaces
plantées et le prolongement des espaces verts au sein
de la construction, brouillant la frontière entre privé et
public.
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L ogement
Plan de RDC
Plan de R+2 (Etage courant bâtiment A)
Plan de R+1
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Résidence Bel Air
Coulée verte
Entrée véhicules
Entrée piétons
Square
Entrée piétons
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L ogement
L’emploi dominant de la brique garantit l’unité de l’ensemble tout en permettant l’identification du logement à travers de multiples variations.
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Livraison 2014
Paris Habitat OPH
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3,8 ha
5,8 M€ HT
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Paris 12
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Requalification du groupe immobilier Contenot-Decaen.
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Square Contenot-Decaen
Fabienne Gerin-Jean Architecte (Mandataire)
Jean-Michel Rameau (Paysagiste)
INCET (BET TCE, économiste)
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arrondissement de Paris,
S itué dans le 12
le groupe immobilier Contenot-Decaen a été construit
dans les années 50 et s’inscrit dans un jardin arboré de
près de 4 hectares. Le développement de nouveaux
logements dans la partie Nord du site implique une
requalification et une mise au norme des espaces
extérieurs et communs de l’existant.
L’étude diagnostic a permis de cibler les enjeux et
les priorités de l’intervention. Elle a comme objectifs
d’améliorer la qualité de vie dans et autour du parc
grâce à des solutions permettant une nouvelle
répartition des flux piétons et véhicules, l’intégration
de nouveaux services, une meilleure gestion du tri
des déchets, du gardiennage et de l’accessibilité aux
personnes âgées.
Ces aspects techniques et fonctionnels évoluent en
parallèle du dessin d’un nouveau paysage pour le parc
végétal visant à renouveler et à mettre en valeur sa
richesse existante.
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L ogement
Vue de l’existant
La requalification des espaces paysagers du square vise à supprimer les voiries au profit des habitants.
L ogement
Rue de
Rue de la Brèche
aux Loups
Square Contenot-Decaen
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Gravell
Rue C
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Plan des aménagements extérieurs
D i a g n o s t i c d e l ’e x i s t a n t
Circuits OM
Zones de gardiennages
Plan des aménagements extérieurs et superposition des composants du diagnostic
Essences des arbres
Flux piétons
Eclairages
Occupation des RDC
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L ogement
Vue de l’existant
Le dessin d’un nouveau paysage pour le parc vient améliorer sa qualité de vie grâce à une nouvelle répartition des flux piétons et véhicules.
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REHA session 2
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Concours 2012
Paris Habitat
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20 700 m SHON
9 400 000 € HT
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Paris 13ème, rue de Tolbiac
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Requalification de 154 logements et construction neuve de 30 logements
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Requalification à haute performance énergétique de l’habitat
Thermidor (BET environnement)
Gumpp & Maier (Partenaire industriel)
Acthys (Partenaire industriel)
N otre projet vient s’appuyer sur les points
forts du site.
Son intégration harmonieuse dans le tissu urbain, son
large square arboré en coeur d’îlot accessible au public,
ou encore le caractère traversant de ses logements,
ont su dessiner des objectifs clairs de réhabilitation :
- Rééquilibrer les typologies de logements en offrant
davantage de petits et moyens appartements, au
profit d’une occupation transgénérationnelle.
- Tirer parti d’une rénovation thermique ambitieuse
pour reconfigurer les logements, et offrir ainsi de
nouveaux usages et plus d’espaces à vivre aux
habitants.
- Apporter une isolation thermique performante sur
toutes les façades, de niveau passif, avec des panneaux
préfabriqués de grande dimension, (système TES
Energy Façade).
- Optimiser l’ensoleillement des logements en
profitant au mieux de l’orientation de chaque corps de
bâtiment.
Tourné vers le coeur de l’îlot, le projet s’articule
autour de coursives côté jardin. Celles-ci génèrent des
espaces de transition intermédiaires, venant créer des
façades vivantes en interaction avec l’espace public et
ainsi renouer avec la vocation première de ce projet de
logement social.
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L ogement
1
Double peau isolante
en panneaux de bois
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préfabriqués
Extensions non-chauffées
3
type loggias
Occultations solaires
4
Cages d’ascenseur
pour accès PMR
ETAT EXISTANT
ESPACES PUBLICS
Reconfiguration du square par la
création d’un axe de circulation
traversant. Séparation de l’espace public
et des espaces privés.
CREATION D’UN NOUVEAU BATIMENT
Construction de 30 nouveaux logements
dans un bâtiment au nord de la parcelle,
permettant de densifier le site et de
proposer une opération tiroir avec le
bâtiment B.
ZONES VEGETALISEES
Augmentation des espaces verts sur
l’ensemble du site, par la création de
zones de transition entre public et
privé, et de jardins résidentialisés.
Coursives et loggias sont autant d’espaces entre-deux. Donnant sur le vaste parvis public, elles font vivre le lieu.
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Livraison Novembre 2009
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Paris 11
200 m SU
130 000 € HT
SIBAT (Economie du projet)
Lola Moreau (Graphiste) , Michèle Constantini (Photographe)
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BET SIBAT
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Restructuration des espaces de travail et nouvelle identité visuelle
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Espace SIBAT
S ibat, bureau d’étude TCE basé à Paris,
souffrait d’un manque d’identité tant au niveau de
ses espaces de travail qu’au niveau de ses visuels. Il
s’agissait donc d’affirmer l’identité de l’entreprise en
profitant de la restructuration de ses bureaux pour
renforcer sa visibilité.
Les locaux existants, sans caractère, n’offraient aucun
espace d’accueil et se résumaient en un long couloir
aveugle débouchant sur des espaces de réserves. Loin
de vouloir effacer le couloir, l’intervention renforce son
caractère structurant en prolongeant l’un de ses côtés.
Peint d’une couleur bleue, il traverse de part en part
les locaux.
A chacune de ses extrémités, sont disposés les espaces
collectifs. Dans l’entrée, un hall spacieux donne sur une
salle de réunion vitrée, laissant pénétrer la lumière.
Une banque dissimule la bureautique et se joue des
reflets. A l’extrémité opposée, le mur faisant face au
couloir est recouvert entièrement d’un revêtement
miroir, renvoyant la lumière extérieure à la manière
d’un périscope. Le bleu du mur, présent et clairement
identifiable, devient le support de l’identité visuelle de
SIBAT, fil conducteur grâce auquel se décline son logo,
sa signalétique, son book et investi l’ensemble de sa
communication.
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B ureaux
Un pliage astucieux dessine un banc d’attente, une banque d’accueil et délimite les espaces.
B ureaux
Espace SIBAT
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Bureau
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Bureau
Bureau
Bureau
Bureau
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Bureau
Réunion
Secrétariat
Entrée
Repro
Asc.
Bureau
Bureau
Tel un périscope, le miroir d’angle reflète subtilement le long couloir.
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B ureaux
La salle de réunion traitée telle une boite de verre permet de prolonger la lumière et ses reflets dans la circulation intérieure.
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Etude de faisabilité
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Paris 2
, rue Montorgueil
90m SHON
200 000 € HT
JLA AND PARTNERS (Stratégie d’image et design)
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Centre Cerise
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Restructuration et valorisation du hall du centre Cerise
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Centre Socio-Culturel Cerise
L e lieu, avec l’accueil comme maître mot,
constitue le premier « outil » de la redéfinition du
centre Cerise pour les années à venir. Aujourd’hui le
besoin d’être identifié, reconnu et fréquenté est une
façon de relancer l’appel à l’engagement solidaire,
mixant activités culturelles et soutien social. C’est
dans cet optique que le projet a été abordé : traduire
physiquement et visuellement le concept d’accueil en
rendant le lieu plus attractif dés sa perception depuis
la rue. Il s’agit de solliciter les passants et les visiteurs
qui peuvent être à la fois utilisateurs des services
proposés par le centre, mais surtout acteurs engagés
dans le bénévolat.
Après avoir analysés et intégrés les atouts et les
handicaps de l’existant, l’enjeu a été de faire du centre
Cerise un lieu ouvert, que s’approprient les résidents
du quartier.
Le hall devient un nouveau lieu à part entière, un lieu
générateur, agissant, flexible, se développant sur 3
espaces :
- un espace en interaction avec la rue dans lequel on
pénètre en toute liberté.
- Un volume abaissé faisant seuil traité avec des
matériaux feutrés du sol au plafond.
- l’espace d’accueil du centre symbolisé par la banque
en bois.
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E quipement
ESPACE 1
ESPACE 2
ESPACE 3
Ambiance autour de la banque d’accueil
Plan schématique de l’intervention intérieure
Le hall d’entrée
Principe d’accueil des passants et du rapport à la rue.
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Concours 2011
Paris Habitat OPH
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100 m SU
150 000 € HT
JLA AND PARTNERS (Stratégie d’image et design)
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Paris (75)
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Création d’un concept d’aménagement des agences de Paris Habitat OPH
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Agences Paris Habitat
T rois éléments majeurs structurent l’agence.
A chacun de ces éléments est associé une ambiance
spécifique:
- Le comptoir d’accueil, généreusement éclairé et à
l’acoustique soignée, est le point focal de l’agence. La
banque d’accueil, adaptée aux PMR, est proportionnée
pour assurer la mise à distance nécessaire au confort et
à la sécurité du personnel en charge de l’accueil. Une
paroi physique permet de séparer clairement l’espace
dédié au public de celui réservé au personnel. L’accueil
est en liaison avec un back office et les bureaux.
- Le mur d’expression est constitué par une cimaise se
déroulant sur la longueur de l’espace accueil, il est le
support des informations, des événements et des expositions propres à chaque agence. Il incarne les valeurs d’échange, de partage et de reconnaissance personnalisée. Il dissimule les points de rencontre entre le
locataire et son référent ou une assistante sociale.
- L’espace d’attente, fonctionnel et confortable, est
matérialisé par une banquette généreuse et enveloppante se lovant dans l’angle opposé au comptoir d’accueil, à proximité du mur d’expression. Ainsi disposé,
il dégage le centre de l’espace d’accueil qui peut ainsi
s’adapter aux différentes affluences de la journée.
LISIBILITE & INTELLIGIBILITE
ab
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E quipement
communication possible vers
les espaces du personnel
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ORGANISATION SPATIALE
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5
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entrée
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Dans une configuration linéaire, le mur
d’expression offre un fond de scène, tandis
que l’accueil se situe à proximité de l’entrée
Dans une configuration en profondeur, le
mur d’expression oriente et accompagne le
visiteur jusqu’à l’accueil
2
Paroi séparative
en Chêne
1
entrée
Trois éléments majeurs structurent l’agence. A chacun de ces éléments est associée une ambiance spécifique:
1 Le comptoir d’accueil, généreusement éclairé et à l’acoustique soignée, est le point central de l’agence. Il
communique directement avec les bureaux. 4
2 Le mur d’expression, cimaise se déroulant sur la longueur de l’accueil, est le support des informations, des
évènements et des expositions propres à chaque agence. Il dissimule les points de rencontre. 5
3 L’espace d’attente est matérialisé par une banquette généreuse et enveloppante.
LE MUR D’EXPRESSION
4
Point Rencontre
Information
normalisée
4
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3
entrée
entrée
5
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3
Borne interactive
Informations et services rapides
Située à proximité de l’entrée
communication possible vers
les espaces du personnel
Affichage évènementiel
Petites annonces
LE BACK OFFICE
Cimaise stratifiée unie
Courrier et archivage
Mur signal
Photocopieur
Banque d’accueil
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L’ESPACE D’ATTENTE
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LE COMPTOIR D’ACCUEIL
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Réalisation 2009
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Paris 18
35 m SHAB
50 000 € HT
Michèle Constantini (photographe)
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Privé
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Réhabilitation d’un appartement
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La tête dans les nuages
S itué au dernier niveau d’un petit immeuble
encaissé en fond de cour, sur le flanc Est de la butte
Montmartre, le logement existant souffrait d’un
manque de lumière et d’un fort vis-à-vis.
En récupérant les combles et supprimant les cloisons,
l’intervention a permis, tout en dégageant le volume,
d’atteindre le toit pour y percer des ouvertures
zénithales. Le logement est ainsi baigné dans une
lumière animant l’espace au gré des humeurs
changeantes du temps.
Bien qu’enclavé dans le tissu dense de la butte, une
impression étonnante d’espace et de liberté se dégage
du lieu, amplifiée par l’effet de verticalité que procure
l’escalier suspendu dans le vide, sous la lumière.
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tê
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L ogement
La légèreté de la structure de l’escalier permet une pénétration maximale de la lumière naturelle
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Réalisation 2013
Privé
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55 m SHAB
30 000 € HT
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Paris 11
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Réhabilitation d’un appartement et design du mobilier
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Appartement M
L a compacité du logement incitait
à préserver un maximum de surface libre.
L’intervention minimale prend la forme d’un
unique meuble s’insérant dans l’existant pour
ménager une salle de bain.
Pensé comme l’aménagement d’un bateau,
ce «mobilier» intègre bureau, bibliothèque,
rangements, salle d’eau, penderie. Il optimise
les fonctionnalités.
L’ ensemble est conçu en assemblage à ossature bois. La continuité de la vêture en chêne
du sol aux parois souligne l’intervention en la
parant de la préciosité d’un mobiler en marqueterie.
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L ogement
1/ Etat existant
2/ Opération de dépose
3/ Insertion de l’estrade en ossature bois
Plan de l’appartement
Baie vitrée
SALLE D’EAU
LA TERRASSE
Estrade
Rangements
Porte coulissante
Fenêtre en chêne
LA CHAMBRE
LE BUREAU
Parement bois 18mm
Isolation en fibre de bois
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Maisons Passives BeTwin
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Concours 2009 - Lauréat
Ecologik et Architectures à Vivre
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100 m + 120 m SHAB - Librairie 30m SU
450 000 € HT
Eva Thiebaud (Ingénieur Environnement)
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Ivry/Seine (94)
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Conception de deux maisons passives aux espaces partagés + Librairie
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Projet Lauréat
L e dispositif est constitué de deux espaces
complémentaires imbriqués :
L’espace de vie où se situent toutes les fonctions primaires des deux maisons, les chambres, la cuisine, les
pièces d’eau et le séjour. Cet espace est isolé et chauffé
par un système d’accumulation à eau situé au cœur du
bâtiment qui constitue le noyau autour duquel s’articulent les deux maisons. L’espace between enveloppe
les deux maisons au nord comme au sud et joue le rôle
de tampon entre l’extérieur et l’intérieur. Il intimise,
protège et assure la régulation bioclimatique des espaces de vie.
Au nord: L’enveloppe extérieure prend la forme d’une
façade légère, autoportante, qui vient faire écran à la
rue. Translucide et percée de fenêtres, elle filtre les regards et se joue de la relation public/privée, dedans/
dehors. L’hiver, elle limite les déperditions thermiques,
l’été elle vient prolonger les espaces intérieurs vers la
rue et le jardin.
Au sud: les espaces de vie s’ouvrent largement sur les
loggias et jardins d’hiver double hauteur qui s’offrent
comme des extensions appropriables par les habitants,
hiver comme été. Ils gèrent la régulation thermique et
participent à la ventilation naturelle.
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Maisons Passives BeTwin
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PLAN R+1
ECRAN PROTECTEUR: Une façade légère, autoportante, vient faire écran à la rue.
Translucide et percée de fenêtres, elle filtre les regards et se joue de la relation public/
privée, dedans/dehors. L’hiver, elle limite les déperditions thermiques, l’été elle vient
prolonger les espaces intérieurs vers la rue et le jardin.
PLAN RDC
ESPACES DE VIE: L’espace de vie traversant regroupe toutes les fonctions primaires des
deux maisons, les chambres, la cuisine, les pièces d’eau et le séjour. Cet espace est
isolé et chauffé par un système d’accumulation à eau situé au cœur du bâtiment qui
constitue le noyau autour duquel s’articulent les deux maisons. Elles sont isolées par
une façade bois à triple vitrage assurant l’étanchéité à l’air.
Ventilation naturelle par cheminée solaire
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L ogement
Capteurs solaires thermiques à tubes sous
vide
Multiparois isolantes et translucides:
Complexe isolant naturel à base de cellulose
installé entre vitrage
Platelage bois sur toiture terrasse en ossature
bois, isolation thermique par insuflation
d’ouate de cellulose
Charpente bois préfabriquée
Charpente préfabriquée en acier galvanisé
Menuiseries bois avec
réfléchissant et stockant
triple
vitrage
Ouvrant toute hauteur avec complexe vitrage
+ isolant translucide à base de cellulose
Chape de béton quartzé avec système
chauffant sur plancher panneaux structurels
bois préfabriqués
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Green Machine ?
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Concours 2009
CAUE de la Sarthe
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150 m SHAB
40 000 € HT
Eva Thiebaud (Ingénieur Environnement)
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Le Mans (72)
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Rénovation thermique d’une maison des années 70
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Mention spéciale du jury
D ans un monde où les ressources naturelles
se font rares, la maison pavillonnaire nous apparaît
comme symptomatique de ce que fut le 20ème siècle,
consommateur et dispendieux, objet disséminé indifférent à son environnement, venant miter le territoire.
Le réchauffement de la planète est aujourd’hui enclenché et il nous appartient désormais d’amorcer la
mutation capable de rembourser la dette écologique
générée par ce type d’habitat et rendre durable ce qui
est aujourd’hui obsolète. La dette écologique équivaut
aux ressources de la planète nécessaires pour absorber
les émissions générées par notre mode de vie.
Notre intervention est un emballage étanche de la
maison existante par une isolation dont le rôle sera
double : réduire les émissions de la maison et absorber le CO2 en formant un puit de carbone. Cette isolation, à base de résidus de bois en provenance de
l’industrie forestière se veut l’expression « positive »
de la consommation des habitants. Son épaisseur est
autant en fonction de l’isolation de la maison que de la
quantité de CO2 à absorber. Le reste de la parcelle est
transformée en une « usine à oxygène », morceau de
terre restitué à la nature, offrant la place pour que la
biodiversité s’y reconstitue.
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L ogement
Empreinte écologique due au déplacement (en nombre de parcelles)
Les émissions actuelles du pavillon nécessitent l’usage de 4,3 ha de terre productive soit 64 fois la
surface de la parcelle. Les «absorptions» qu’offrent un chauffage au bois performant, une bonne
isolation thermique et l’usage systématique du recyclage permettent de résorber les 3/4 des
«émissions» générées par la famille (4 personnes) vivant dans le pavillon.
Le solde final reste toutefois déficitaire de 1,6 ha soit 18 parcelles.
A cela s’ajoute l’usage de l’automobile inhérent au mode de vie induit par ce type d’habitat. Ainsi, si
l’on estime que la famille vivant dans ce pavillon à deux voitures, une citadine et une berline, comme
c’est généralement le cas, sa consommation d’essence en une année s’élèvera à 2100 Litres.
Une forêt de 1,83 ha serait nécessaire pour absorber la quantité de CO2 émis dans l’atmosphère, soit
28 parcelles.
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Empreinte écologique de la maison (en nombre de parcelles)
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Green Machine ?
Plan RDC
Un tel mode de vie génère malgré tout un excédent qui ne peut être résorbé qu’en dehors de
la parcelle. Une partie de ce déficit pourrait être comblé par une reforestation du quartier
environnant.
Le développement de services de proximité et un usage plus compact du territoire permettraient
de réduire l’usage de la voiture. S’esquisse alors un nouveau visage du quartier.
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L ogement
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Domino
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Esquisse 2010
Wallpaper* Magazine
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100 m SHAB
190 000 € HT
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Londres, Angleterre
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Maison de ville unifamiliale
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Wallpaper* Architects Directory 2010
L a Maison Domino est conçue tel un
monolithe dont la stabilité dépend de la solidité
de ses voisins. Ce principe est exprimé par la mise
en équilibre du volume principal avec comme seul
support le mur mitoyen de la maison attenante.
La géométrie induite, au delà des significations
sur l’importance des rapport entre voisins, permet
la création d’espaces interstitiels. Ils sont autant
d’espaces servants de l’habitation que des locaux mis
en commun entre les habitants voisins.
Ainsi, le porche du rez-de-chaussée peut être imaginé
comme un garage, un passage couvert, une pièce
commune ou encore une boutique sur rue.
L’inclinaison de l’enveloppe habitable offre la
possibilité d’une quadruple orientation et permet des
nouvelles ouvertures et vues latérales.
Do
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L ogement
La cuisine est ouverte sur un vaste espace à vivre
La stabilité de la maison Domino dépend de la solidité
de ses voisins.
Les vides résiduels sont occupés par des terrasses, des espaces
communs, des boutiques, cellier ou parking.
Double hauteur et transparence multiplient les angles de vue
L’inclinaison de la maison Domino permet de multiplier
les apports de lumière naturelle.
L’inclinaison des façades assure la récupération et la rétention
des eaux de pluie.
Vue plongeante sur la toiture
RDC
R+1
R+2
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Le château dans le ciel
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Concours 2009
Fondation Wllmotte
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3000 m SHON
8.4 M€ HT
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Latina, Italie
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Revalorisation d’un chateau d’eau, bureaux de la compagnie des eaux.
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Prix SAUR de l’Audace et de l’Innovation 2010
3ème prix du concours Wilmotte 2009
L ’architecture élancée du château d’eau
domine un territoire historiquement dédié à la gestion
de l’eau. Le réservoir est un sommet en dehors de
la ville. Enrichi d’un programme contemporain et
ludique, il devient le symbole des enjeux écologiques
de notre temps. L’espace public s’en voit requalifié.
INFILTRATION: 2000m² d’activités tertiaires constituent
la base semi enterrée du château d’eau. L’accès au
réservoir amorce un premier parcours de la rue vers le
sous-sol animé autour d’un bassin.
EVAPORATION: le fût habillé d’inox miroir vient
dématérialiser le pied du réservoir. Déconnecté du
sol, ce dernier prend un aspect volatile et inaccessible.
Le visiteur est invité à le rejoindre grâce à l’ascenseur
situé au centre de la colonne.
VAPORISATION: déconnecté du monde extérieur, le
visiteur découvre au sommet la terrasse, une cime,
nouveau territoire de fêtes à l’esprit guinguette.
PRECIPITATION: autour du réservoir, se faufile une
rampe à travers “la canopée”. Elle guide le visiteur dans
un parcours en altitude. Au cours de ce voyage dans
les nuages, il perçoit la ville autrement, il la domine.
C’est le château dans le ciel!
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E quipement
En haut du château d’eau, un espace festif offre un panorama sur l’Agro Pontifica
Au sud, une canopé s’offre à la ville, tandis qu’au nord, s’ouvre un large
panorama sur les paysages de l’Agro Pontifica
La descente se fait par une longue rampe végétale dominant la ville de Latina
Les bureaux , situés au sous-sol, profitent d’un éclairage zénithal
Le projet reprend les étapes du cycle de l’eau
E quipement
Le château dans le ciel
Coupe/Détail
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E quipement
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Collège Saint-Exupéry
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Concours 2012
Conseil Général de la Vienne
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5 000 m² SHON
6,2 M€ HT
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Jaunay-Clan (86)
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Restructuration de l’externat et construction d’une demi-pension 700 couverts
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Restructuration et extension
Fabienne Gérin-Jean (Architecte mandataire),
SIBAT (BET TCE, Economie du projet)
NOVOREST (Cuisiniste)
L e projet s’attache à donner de la fluidité
à l’ensemble des entités pour palier radicalement
aux défauts constatés sur l’existant et pour donner
une nouvelle vie à l’établissement plus confortable,
conviviale et usuelle.
En disposant le nouveau bâtiment de restauration
à l’articulation des deux groupes de constructions
existantes, et en le greffant sur le factotum, cette
extension figure comme la nouvelle rotule de
l’équipement tout entier.
Ce bâtiment de plain-pied offre le confort optimal aux
usagers par sa disposition et son format. Il propose
une belle transparence visuelle sur la cour ; cour qui
est reformatée pour disposer d’un espace unitaire, en
absorbant les poches résiduelles existantes.
Le nouvel équipement de facture contemporaine
avec ses façades généreusement vitrées à l’ouest est
recouvert d’un toit qui englobe existant et bâtiment
neuf pour former une unité de matière. Il présente des
débords pour créer de larges préaux en front de cour
et entre administration et réfectoire. Enfin, ce dernier
peut fonctionner de manière autonome, pour des
activités extra scolaires ou associatives.
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E nseignement
Vue sur le CDI
Existant
Vue sur la cour depuis la cantine
Construction neuve, nouvelle rotule de l’équipement
Le préau devient l’axe fédérateur du collège
E nseignement
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Collège Saint-Exupéry
Construction Neuve
Plan du Rez-de-Chaussée
Requalification
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E nseignement
La construction neuve vient s’implanter à l’alignement de l’existant, le long du passage public menant du Bd Ballanger au parc des sports
E nseignement
Collège Saint-Exupéry
Membrane PVC
Isolation renforcée
Double peau métal perforé
Façade existante conservée
Enduit sur isolation renforcée
Volet roulant aluminium
Plafond CF
Plenum technique
Menuiserie aluminium
Console de fixation
Enduit sur isolation renforcée
Volet roulant aluminium
Menuiserie aluminium
Poteau Acier dans coffrage CF
Bardage métal
Détail de la façade et de la double peau
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E nseignement
Une résille métallique vient unifier la construction neuve et la requalification
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Lycée Jean Rostand
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Livraison février 2012
Région Île-de-France
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11 000 m² SHON
21 M€ HT
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Villepinte (93)
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Extension et requalification en site occupé
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Collaboration avec F. GERIN-JEAN Architecte
Architecte d’exécution
DUFAY (Architecte associé),
SNC Lavalin (BET TCE, Economie du projet)
Javier Callejas (Photographe)
L e projet s’attache à donner de la fluidité
à l’ensemble des entités pour palier radicalement
aux défauts constatés sur l’existant et pour donner
une nouvelle vie à l’établissement plus confortable,
conviviale et usuelle.
Pour se faire, on dispose de l’impact du nouveau
bâtiment le long du passage public venant refermer
une figure rectangulaire simple et efficace. Le choix
de démolir le plot central existant permet de dégager
une grande cour fédératrice, unique, formée de sousensembles appropriés à différentes activités de détente
(passages couverts, préaux, emmarchements/abrités,
promontoire, patio, allées et cheminements).
Ce vaste vide central, cerné sur trois côtés par les
bâtiments scolaires existants et neufs, redonne une
échelle cohérente à un Lycée de cette envergure
et permet en un seul balayage panoramique
d’appréhender l’ensemble de l’établissement. Toutes
les entités programmatiques s’ouvrent sur cette cour
centrale et cette figure simple garantie une facilité de
fonctionnement.
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E nseignement
La construction neuve vient s’implanter à l’alignement de l’existant, le long du passage public menant du Bd Ballanger au parc des sports
Les planchers nervurés existants sont mis au jour
Une résille métallique vient unifier la construction neuve et la requalification
La salle de documentation située dans la requalification
E nseignement
Lycée Jean Rostand
Construction Neuve
Requalification
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Passage public
Rue Guy Mousset
Parc des sports
Boulevard Ballanger
Plan du Rez-de-Chaussée
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E nseignement
E quipement
Lycée Jean Rostand
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E quipement
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Agences du conseil Général d’Ille-et-Vilaine
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Livraison Novembre 2009
Conseil Général d’Ille-et-Vilaine
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4500 m SHON
5 M€ HT
SIBAT (BET TCE, Economie du projet & HQE)
Michèle Constantini (Photographe)
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Fougères, Vitré, Bain-de-Bretagne (35)
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Constructions de trois agences de développement local
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Architecte d’exécution - Collaboration avec F. BULLE Architecte
BBC
L e temps était la donnée majeure du projet.
Le calendrier de l’opération prévoyait 6 mois d’études
et 9 mois de chantier pour livrer trois agences réparties
sur trois sites différents du territoire départemental. A
cette contrainte s’ajoutait la volonté affichée du Conseil
Général d’être dans une démarche respectueuse de
l’environnement .
Le choix du bois présentait le double avantage
d’optimiser les délais grâce à une forte préfabrication
et d’offrir des matériaux seins, durables et de qualité.
Le projet, orienté Nord-Sud, consiste en la répétition
d’une trame de 1m, alternant des pleins et des vides.
Les bâtiments sont conçus très basse consommation
et respectent les principes de l’habitat passif: une
forte étanchéité à l’air et une ventilation double flux
contrôlée. Façade sud, une structure en acier galvanisé
permet de supporter des plantes grimpantes qui
joueront le rôle de paravent et de filtre solaire en été.
Les bâtiments sont conçu avec un minimum de
technicité, dans un souci d’éco-responsabilité, la
régulation thermique du bâtiment est laissée aux
usagers sensibilisés au problème. Avec leur forme
simple et épurée, les 3 agences départementales
incarnent l’archétype du bâtiment durable clairement
identifiable, nouvelle image du Conseil Général.
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Pose d’un plancher LENO*
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Agences du Conseil Général 35
L’isolation thermique des bâtiments a été
assuré par l’insuflation de ouate de cellulose
recyclée.
Les trois édifices ont passés avec succès
deux tests d’étanchéité, lors du clos couvert
et avant réception des ouvrages.
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B ureaux
L’ossature bois des bâtiments est un assemblage de panneaux préfabriqués et de planchers LENO*
8, rue des dunes