CENTRE D`INTÉRÊT ING-SYS-1
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CENTRE D`INTÉRÊT ING-SYS-1
C ORDEUSE - M AX PID - D OS H YDRO - D OSEUR PONDÉRAL - O UV. P ORTAIL - T RIEUR - H EXAPODE - C HARIOT C ENTRE D ’ INTÉRÊT ING-SYS-1 A NALYSER ET DÉCRIRE LES SYSTÈMES INDUSTRIELS D ÉCRIRE UN SYSTÈME P ROBLÉMATIQUE : Pour présenter un système dans son aspect général, dans un premier temps, il convient de • connaître sa fonction principale • le contexte dans lequel il évolue • les exigences principales qu’on attend de lui. Dans un second temps, pour décrire, puis analyser le système de façon plus complète, l’étude porte sur : • ses constituants • l’organisation structurée de ses constituants 1 Description du système Q - 1 : Donner un diagramme d’utilisation (uc) du système étudié. Q - 2 : Construire un diagramme de contexte du système (à partir d’un bdd). Q - 3 : Qu’est ce qui pourrait faire disparaître le produit ? Q - 4 : Dresser un tableau de fonctions de service du système. Q - 5 : Elaborer un diagramme d’exigence du système (req). 2 Décomposition de la chaîne fonctionnelle Q - 6 : Elaborer un diagramme de définition de bloc du système (bdd). Q - 7 : Compléter la description d’une ou des chaîne(s) fonctionnelle(s) du système en listant pour chaque classe d’élément du diagramme de bloc interne (ibd) suivant, le ou les instances présentent sur le système. CI ING-SYS-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 1/2 T HÈME : D ÉCRIRE UN SYSTÈME : Chaine d’information consigne utilisateur :IHM entrée consigne acquise :Codeur Unité de : :IHM sortie information traitement information information traitée codée transmise consigne traitée :Capteur :Interface PONDÉRAL grandeurs acquises 2/2 Ordre transmis grandeurs à mesurer Pré-ac: tionneur Action: neur Trans: metteur Effec: teur Energie de sortie Energie transmise Energie convertie Energie distribuée Energie exploitable Energie stockée Energie d’entrée T HÈME : D ÉCRIRE UN SYSTÈME Unité d’ali: mentation - O UV. P ORTAIL - T RIEUR - H EXAPODE - C HARIOT : Chaine d’énergie Unité de : stockage C ORDEUSE - M AX PID - D OS H YDRO - D OSEUR CI ING-SYS-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) ibd [block] Chaîne fonctionnelle [Description] D IRAVI - C HARIOT - H EXAPODE - P ORTAIL - P OMPE DOSEUSE - C ORDEUSE - M AX PID C ENTRE D ’ INTÉRÊT ING-SYS-2 R ÉALISER L’ ANALYSE FONCTIONNELLE ET STRUCTURELLE DES SYSTÈMES A SSOCIER PUIS VALIDER DES CRITÈRES DE PERFORMANCE À UN SYSTÈME . P ROBLÉMATIQUE : Le diagramme des cas d’utilisation permet de faire apparaître ce pourquoi le produit doit être créé (ou a été créé). Afin de caractériser les services principaux attendus du produit par le client, des critères de performances sont associés avec un niveau et une flexibilité à chacune de ses fonctions de service. La satisfaction ou non de ces critères traduira la conformité entre le besoin caractérisé et le produit, le but étant de réalisé un produit le plus proche possible du besoin exprimé par le client. 1 Cahier des charges fonctionnnelles req Système [Exigences fonctionnelles et techniques] FS «requirmennt» Fonction globale Critère Niveau Limite FS2 Id = "1" Text = "Le système doit permettre à l’utilisateur de . . . " 2 Analyse générale du système 3 Critère de performances Q - 1 : Donner un diagramme diagramme des cas d’utilisation (uc) du système dans le cas de son utilisation en en mode normal. Q - 4 : Dégager plusieurs critères de performances pour le système étudié. Q - 2 : A partir de ce diagramme, caractériser la fonction globale en lui associant des critères. Q - 5 : A l’aide du document spécifique, mettre en place une démarche expérimentale pour observer ces critères de performance. Q - 3 : Compléter la description de la chaîne fonctionnelle du système. Q - 6 : Conclure. CI ING-SYS-2 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 1/2 A SSOCIER PUIS VALIDER DES CRITÈRES DE PERFORMANCE À UN SYSTÈME :Chaine d’information consigne utilisateur :IHM entrée consigne acquise :Codeur Unité de : :IHM sortie information traitement information information traitée codée transmise consigne traitée :Capteur :Interface grandeurs acquises Ordre transmis 2/2 :Chaine d’énergie grandeurs à mesurer Energie de sortie Effec: teur Energie transmise Trans: metteur Energie convertie Action: neur Energie distribuée Energie exploitable Energie stockée Pré-ac: tionneur - C ORDEUSE - M AX PID Energie d’entrée Unité de : stockage DOSEUSE A SSOCIER PUIS VALIDER DES CRITÈRES DE PERFORMANCE À UN SYSTÈME Unité d’ali: mentation D IRAVI - C HARIOT - H EXAPODE - P ORTAIL - P OMPE CI ING-SYS-2 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) ibd [block] Chaîne fonctionnelle [Description] S UPPORT : S CILAB C ENTRE D ’ INTÉRÊT SLCI-1 M ODÉLISER ET SIMULER LES SYSTÈMES LINÉAIRES CONTINUS INVARIANTS . C OMPARER LES RÉSULTATS DES SIMULATIONS NUMÉRIQUES AUX RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX . P ROBLÉMATIQUE : Le cours présente la modélisation d’un moteur électrique à partir des équations de la physique. Il s’agit de modèles de connaissance. L’objectif du Tp réside dans l’implantation de ces modèles de connaissances dans Scilab et dans l’étude de performances liées au système. 1 Présentation : La chirurgie endoscopique 1.1 La chirurgie endoscopique manuelle Photo 1 : chirurgie endoscopique manuelle Photo 2 : instrument chirurgical "pince" Photo 3 : Outil "pince" Il s’agit d’utiliser des outils chirurgicaux de très petite taille, placés à l’extrémité de tiges tubulaires tenues par le chirurgien ; la partie inférieure des tiges est insérée dans la zone à traiter, à travers trois petits orifices réalisés dans le corps du patient (entre les côtes par exemple pour une chirurgie cardiaque). Ces outils chirurgicaux sont actionnés par un système de câbles fins qui passent à l’intérieur des tiges tubulaires et sont commandés par le chirurgien à l’aide de leviers placés sur la partie supérieure des tiges. 1.2 La chirurgie endoscopique robotisée CI SLCI-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 1/11 C OMPARER LES RÉSULTATS DES SIMULATIONS NUMÉRIQUES AUX RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX S UPPORT : S CILAB Un nouveau pas a été franchi autour des années 1990 lorsqu’une équipe chirurgicale utilisa trois robots à actionneurs électriques pour positionner et commander chacun des trois instruments. Le chirurgien est alors plus confortablement installé devant un poste de commande et de contrôle (Photo 4) pour commander à distance les robots et donc les outils chirurgicaux. Les trois robots appelés "robots esclaves" (photo 5) portent les instruments, dont l’endoscope. Photo 5 : les trois robots esclaves Photo 4 : chirurgie robotisée - la console 1.3 Evolution du robot esclave Les recherches menées à partir des années 2000 portent sur une structure de robot esclave, qui permet d’améliorer la précision des mouvements opératoires. Une représentation de ce robot est fournie ci-dessous en figure 6 page suivante. Figure 6 : La structure du robot esclave "EndoXirob" CI SLCI-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) Photo 7 : la plaque d’interface entre le bras et l’instrument 2/11 C OMPARER LES RÉSULTATS DES SIMULATIONS NUMÉRIQUES AUX RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX S UPPORT : S CILAB 2 Présentation de la chaîne fonctionnelle étudiée 2.1 Introduction L’étude menée dans cette partie consiste à valider le choix des composants du robot qui permettent de respecter les niveaux des critères associés à la fonction de service "Permettre à l’instrument chirurgical de se mouvoir avec des performances dynamiques comparables ou meilleures que celles réalisées par un chirurgien humain ". Un schéma de principe donne ci-contre la structure du mécanisme permettant le déplacement de l’instrument chirurgical. L’étude sera effectuée uniquement pour l’axe "d’élévation" selon Z1. 2.2 Cahier des charges On donne ci-après un extrait du cahier de charges fonctionnel du système. Critères associés à la fonction Niveaux Précision Ecart statique ≤0,2 mm Retard de traînage ≤ 0,1 s pour une rampe à 0,1 m/s Rapidité Temps de réaction à 5% du moteur ≤ 100 ms 2.3 Structure de la partie opérative L’actionneur est un moto-réducteur (1) à courant continu Gammatic n◦ RH-8D-6006. Le premier étage de transmission du mouvement se fait par une courroie crantée (2) qui s’enroule sur des poulies de même diamètre pour entraîner l’arbre intermédiaire (3) à la même vitesse que le moteur. Une roue dentée (3’) de diamètre primitif 1 = 38,4 mm solidaire de l’arbre intermédiaire (3) engrène avec une crémaillère (4) solidaire de la partie supérieure mobile du robot. Cette crémaillère est guidée en translation suivant l’axe Z1 par rapport CI SLCI-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 3/11 C OMPARER LES RÉSULTATS DES SIMULATIONS NUMÉRIQUES AUX RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX S UPPORT : S CILAB à la partie inférieure du robot considérée comme fixe dans cette partie du sujet, et notée " Bâti ". Un système de contrepoids non représenté permet d’équilibrer l’ensemble mécanique. Figure 9 : chaîne cinématique simplifiée de l’axe d’élévation 2.4 Structure de la commande en position de l’instrument chirurgical La figure 10 ci-dessous représente la schéma-bloc de l’axe d’élévation du dispositif de commande de l’instrument chirurgical : Figure 10 : déplacement en translation de la main du chirurgien capteur+codeur + filtre - atténuateur consigne de + position angulaire − amplificateur moto réducteur position angulaire mécanisme de transformation de mouvement déplacement en translation de l’instrument capteur La console permet de capter le déplacement de la main, de le coder, de le corriger éventuellement afin d’élaborer la consigne de position angulaire du rotor du moteur. La position angulaire est ensuite transformée en position linéaire de l’instrument par le mécanisme de transformation de mouvement à crémaillère. CI SLCI-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 4/11 C OMPARER LES RÉSULTATS DES SIMULATIONS NUMÉRIQUES AUX RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX S UPPORT : S CILAB 3 Etude de la boucle d’asservissement en position du moto-réducteur 3.1 Evaluation de la fonction de transfert du moto-réducteur On rappelle les équations temporelles : um (t) = R.i(t) + L. Cm (t) = kc .i(t) di(t) + e(t) ; dt ; e(t) = ke .ωm (t) dω (t) = Cm (t) − Cr (t) − fv .ωm (t) J. m dt avec : kc = 2, 1 N.m/A : constante de couple ke = 2, 1 V.s/rad : constante de f.e.m f v = 0, 04 Nm.s/rad : coefficient de frottement visqueux équivalent J = 7.10−3 kg.m2 : moment d’inertie équivalent à toutes les pièces en mouvement um (t) : tension appliquée aux bornes de l’induit i(t) : intensité du courant traversant l’induit e(t) : force électromotrice induite par la rotation du moteur ωm (t) : vitesse de rotation à la sortie du réducteur Cm (t) : couple moteur ramené à la sortie du réducteur Cr (t) : couple résistant induit par les frottements secs R = 10 : résistance de l’induit L = 2, 2 mH : inductance de l’induit Les transformées de Laplace des fonctions um (t), i(t), e(t), ωm (t), Cm (t) et Cr (t) seront respectivement notées U M (p), I(p), E(p), Ω M (p), C M (p) et CR (p). On considère toutes les conditions initiales nulles. Le schéma blocs du moteur prend alors la forme suivante : fv Tension de commande + U M (p) en V − CR (p) 1 R + L.p I(p) kc − + − + 1 J.p Ω M (p) motoréducteur en rad/s ke Q - 1: Implanter le schéma-bloc ci-dessus dans Scilab. Les paramètres suivants seront retenus pour la simulation : • Temps de simulation : 0,15 s (dans Simulation / Setup / Temps d’intégration final) • Période de l’horloge : 0,0001 s • Ymin=0 ; Ymax=2. • Refresh period= Temps de simulation. La lecture du schéma bloc conduit à : CI SLCI-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 5/11 C OMPARER LES RÉSULTATS DES SIMULATIONS NUMÉRIQUES AUX RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX S UPPORT : S CILAB J.p.Ω M (p) = kc .I(p) − Cr (p) − fv .Ω M (p) = = " kc .(U M (p) − E(p)) − Cr (p) − fv .Ω M (p) R + L.p kc . (U M (p) − ke .Ω M (p)) − Cr (p) − fv .Ω M (p) R + L.p # kc .ke + fv .Ω M (p) = J.p + R + L.p ⇒ Ω M (p) = kc .U M (p) − Cr (p) R + L.p kc 1 R + L.p .U M (p) − .Cr (p) kc .ke kc .ke + J.p + fv + J.p + fv R + L.p R + L.p On néglige dans un premier temps l’influence de la perturbation CR (p) Sur le système, on a pratiqué un essai en charge, en donnant au moteur un échelon de tension um (t) = 24 V. Avec un capteur de vitesse dont le gain est de 0,166 V.s/rad, on a tracé sur le document réponse la courbe de tension image de ωm (t). Q - 2: Introduire le capteur de vitesse dans le schéma bloc et simuler le système pour obtenir la courbe de tension image de ωm (t). Vérifier la cohérence entre la simulation et la courbe expérimentale. Tension (V) image de ωred (t), en fonction du temps t : En absence de perturbation l’expression de la vitesse de rotation est : Ω M (p) = kc kc R + L.p .U M (p) .U M (p) = kc .ke kc .ke + (R + L.p)(J.p + fv ) + J.p + fv R + L.p CI SLCI-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 6/11 C OMPARER LES RÉSULTATS DES SIMULATIONS NUMÉRIQUES AUX RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX S UPPORT : S CILAB La fonction de transfert est donc du deuxième ordre. Or la courbe de réponse mesurée est caractéristique d’un système du 1er ordre (tangente non nulle, temps de réponse égale à 3 fois la constante de temps. . . ). En négligeant l’inductance L, la fonction de transfert devient effectivement bien du 1er ordre ce qui valide cette hypothèse. Q - 3: Justifier par la simulation l’hypothèse précédente portant sur l’inductance. Pour cela copier-coller le schéma bloc initial et faire apparaître dans la même fenêtre les deux simulations (avec l’outil MUX ), l’une avec L=2,2 mH et l’autre avec L=0 mH. Reproduire la simulation avec L=220 mH. Conclure quand à la pertinence de l’hypothèse. Dans la suite du problème, on négligera l’inductance L du moteur. La fonction de transfert simplifiée devient: H1 (p) = Ω M (p) U M (p) avec G s = kc kc Gs kc .ke + fv .R kc .ke + fv .R = ≈ R.J R.J + L. fv J.L 1 + T.p .p 1+ .p + .p2 1 + kc .ke + fv .R kc .ke + fv .R kc .ke + fv .R = kc J.R = 0, 437 rad/(s.V) et T = = 1, 46.10−2 s kc .ke + fv .R kc .ke + fv .R Q - 4: En remplaçant le deuxième système parallèle par un simple bloc du premier ordre, par la simulation du système, justifier que les valeurs précédemment données pour G s et T sont satisfaisantes. 3.2 Réglage de la commande en position du moto-réducteur La boucle d’asservissement de la position angulaire de l’arbre de sortie du réducteur est définie par le schéma-bloc figure 11 ci-dessous. Figure 11 : Consigne de position angulaire Θc Adaptateur C Ampli consigne de Tension de ε + A position numérique − commande U M Capteur (codeur) Moto-réducteur Vitesse Ω M M(p) du moteur 1 p Position angulaire du moteur Θ M C La consigne de position θ(t) en radian est élaborée par le calculateur, à partir des informations envoyées par la console. La mesure de l’angle de rotation du moteur se fait numériquement à l’aide d’un codeur incrémental placé sur son rotor. L’ensemble est assimilable à un gain pur C = 2865 inc/rad (inc signifiant " incréments " : unité de mesure numérique). Il est donc nécessaire d’adapter la consigne avec le même coefficient C. Le convertisseur-amplificateur de gain A variable élabore la commande du moteur.Indépendamment des résultats précédents, on prendra : GS = 0,437 rad/(s.V) GS M(p) = avec 1 + T.p T = 14,6.10−3 s La nouvelle fonction de transfert F(p) de la commande en position du moteur (figure 11) prend l’expression suivante : " # C C 1 ⇒ 1 + .M(p).A .Θ M (p) = .M(p).A.ΘC (p) Θ M (p) = .M(p).A. C.ΘC (p) − C.Θ M (p) p p p CI SLCI-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 7/11 C OMPARER LES RÉSULTATS DES SIMULATIONS NUMÉRIQUES AUX RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX S UPPORT : S CILAB C GS C .M(p).A . .A C.GS .A Θ M (p) p p 1 + T.p = = F(p) = = C C GS ΘC (p) p.(1 + T.p) + C.GS .A .A 1 + .M(p).A 1 + . p p 1 + T.p ⇒ Il s’agit alors d’une fonction de transfert du second ordre ayant les valeurs suivantes pour caractéristiques : 1 F(p) = 1+ K=1 1 T .p + .p2 C.GS .A C.GS .A ; ω0 = r C.GS .A T K = 1+ et z = p2 2.z .p + 2 ω0 ω0 1 ω0 1 . = p C.GS .A 2 2. T.C.GS .A Q - 5: Déterminer les valeurs de A permettant d’obtenir : • le système le plus rapide sans dépassement • le système le plus rapide • z = 0, 54, valeur préconisée par les ingénieurs dans l’optimisation des critères de précision, rapidité et stabilité. Q - 6: Compléter le schéma bloc sous Scilab. Q - 7: Déterminer sur les courbes simulées (réponses indicielles) les temps de réponse à 5%. 102 10 T r−5% .ω0 T r−5% .ω0 Q - 8: Comparer ces valeurs à celles données par les abaques ci-contre et ci-dessous. Conclure. 101 5 100 −1 10 z 0 10 1 10 0 0.5 z 1 1.5 Temps de réponse à 5% réduit T r−5% .ω0 en fonction du coefficient d’amortissement, en échelle logarithmique (à gauche) et en échelle linéaire (à droite) CI SLCI-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 8/11 C OMPARER LES RÉSULTATS DES SIMULATIONS NUMÉRIQUES AUX RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX S UPPORT : S CILAB Dans la suite, nous conserverons pour z la valeur préconisée par les ingénieurs. Indépendamment des résultats trouvés précédemment, nous prendrons A = 46, 9.10−3 V/inc et ω0 = 63, 4 rad/s. 3.3 Etude de la précision de la commande en position du moto-réducteur Pour piloter un déplacement de 1 mm de l’instrument chirurgical, le moteur doit effectuer une rotation d’un angle θ0 =5,24.10−2 rad (le déplacement de l’instrument étant proportionnel à la rotation effectuée par le moteur). Q - 9: Tracer l’erreur statique Err (t) en radian lorsque la consigne est un échelon de position : θc (t) = θ0 .u(t) avec θ0 =5,24.10−2 rad. Que vaut l’erreur statique quand t tend vers l’infinie ? Retrouver ce résultat par le calcul. Pour affiner l’étude de la précision de l’asservissement, il est nécessaire de prendre en compte le couple résistant négligé jusqu’alors. On adopte le schéma de la figure 12 ci-contre pour introduire cette perturbation. Figure 12 : CR (p) M(p). R kc ΘC (p) C + − ε(p) A U(p) M(p) La perturbation est telle que Cr (t) = Cr .u(t) avec Cr = 0,2 N.m . − Ω M (p) + 1 p Θ M (p) C Q - 10 : Afin d’utiliser le schéma bloc du moteur une seule fois, transformer le schéma bloc de la figure 12 pour ajouter rapidement la perturbation au schéma schéma bloc précédemment construit sous Scilab. Q - 11: Déterminer l’expression de l’erreur statique Err−s en fonction de R, kc , C, A et Cr pour une consigne en échelon θc (t) = θ0 .u(t) Q - 12: Faire l’application numérique pour la valeur de A trouvée à la question 11. En déduire la précision en mm de la position de l’instrument chirurgical. Vérifier la validité du cahier des charges. Retrouver ces différents résultats par simulation. 4 Validation de la chaîne complète de positionnement de l’instrument 4.1 Structure - Modélisation La figure 13 ci-dessous propose une modélisation par un schéma-bloc de la chaîne complète de commande en position de l’instrument chirurgical. Figure 13 : capteur-codeur Déplacement en translation de la main C1 élasticité de la partie supérieure boucle d’asservissement transformation de mouvement consigne de position position angulaire de l’arbre déplacement en translation déplacement F(p) H4 (p) H3 (p) angulaire en rad de sortie du réducteur en rad de la crémaillère en m en translation de l’instrument On y retrouve : CI SLCI-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 9/11 C OMPARER LES RÉSULTATS DES SIMULATIONS NUMÉRIQUES AUX RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX S UPPORT : S CILAB • la consigne donnée par le chirurgien convertie en une consigne de position angulaire du moteur, • la boucle d’asservissement du moteur étudiée en partie 4, • le mécanisme de transformation de mouvement pignon/crémaillère, • la partie supérieure de l’instrument qui possède une certaine élasticité dont il faut tenir compte dans la commande Indépendamment des résultats trouvés dans les parties précédentes, on considérera que lorsque la boucle est correctement réglée, nous avons : 1 F(p) = 1 + 0, 014.p + 0, 00017.p2 Par ailleurs, on rappelle (figure 9) que le moteur entraîne en rotation la roue dentée (3’) sans changement de vitesse et que cette roue de diamètre Φ1 =38,4 mm provoque alors un déplacement de la crémaillère. Le déplacement de la crémaillère étant égal à la portion d’arc déroulée, H4 (p) = Φ21 mm/rad. En régime permanent, la position de la crémaillère est donc l’image de la position de la main, aux écarts près. Si on souhaite qu’en régime permanent, le déplacement de la crémaillère soit identique au déplacement en translation de la main du chirurgien, le produit des gains C1 , H1 et H4 doit être égal à 1. D’où 1 1 2 C1 .H1 .H4 = 1 ⇒ C1 = = en rad/m = Φ1 H1 .H4 Φ1 1. 2 Or pour augmenter la précision de l’opération chirurgicale, on désire que la crémaillère se déplace 10 fois moins que la main. Pour cette nouvelle exigence, C1 = 1 . 5.Φ1 4.2 Analyse du déplacement de l’instrument chirurgical par rapport à la crémaillère La partie supérieure du robot est constituée d’un assemblage de tubes minces en fibres de carbone. Il en résulte une certaine élasticité de la liaison reliant la crémaillère à l’instrument chirurgical. D (p) Pour identifier la fonction de transfert H3 (p) = Dinstrum(p) de cette partie, on a imposé à la crémaillère un échelon de déplacrem cement dcrem (t) = 20.10−3 m à partir de la position d’équilibre. Figure 14 : déplacement de l’instrument en mm en fonction du temps en s. 35 30 25 20 15 10 5 0 t 0 0.125 0.2 CI SLCI-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 0.4 0.6 10/11 0.8 1 C OMPARER LES RÉSULTATS DES SIMULATIONS NUMÉRIQUES AUX RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX S UPPORT : S CILAB Q - 13 : Par simulation, montrer que H3 (p) est assimilable à une fonction de transfert du second ordre de gain statique 1, de coefficient d’amortissement 0, 19 et de pulsation propre 25, 6 rad/s. On retiendra dans la suite : Ainsi H3 (p) = 1 1 + 1, 48.10 .p + 1, 53.10−3 .p2 −2 4.3 Analyse du déplacement de l’instrument par rapport au déplacement de la main Le chirurgien impose avec sa main une rampe de déplacement de 100 mm / s pendant 0,5 s puis maintient la consigne constante (Figure 15). Figure 15: déplacement de la main du chirurgien dmain (t) en m en fonction du temps en s. dmain (t) 0.05 0.04 0.03 0.02 0.01 0 -0.1 0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 t 0.6 Q - 14: A partir de la figure 15 et des éléments de la bibliothèque Scilab, simuler dmain (t), le déplacement de la main du chirurgien au cours du temps. Q - 15 : Construire alors le schéma bloc global du système et tracer la réponse de l’instrument en fonction du déplacement de la main du chirurgien. Comparer avec la courbe donnée ci-dessous: Figure 16 : déplacement de l’instrument en mm en fonction du temps en s. 0.06 consigne 0.05 déplacement 0.04 0.03 0.02 0.01 0 0 0.1 CI SLCI-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 0.2 0.3 11/11 0.4 t 0.6 C OMPARER LES RÉSULTATS DES SIMULATIONS NUMÉRIQUES AUX RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX D IRAVI , M AX PID, C ORDEUSE , F ILOMÈNE , P ILOTE AUTOMATIQUE , D OSEUR P ONDÉRAL , ROBOTINO C ENTRE D ’ INTÉRÊT SLCI-2 M ODÉLISER LES SYSTÈMES LINÉAIRES CONTINUS INVARIANTS E TABLIR DES MODÈLES DE CONNAISSANCE ET DE COMPORTEMENT P ROBLÉMATIQUE : L’ingénierie système a permis de mettre en place les structures des systèmes sous forme de chaînes fonctionnelles. Afin de prévoir le comportement du système, il s’agit d’être capable de proposer une équation reliant l’entrée et la sortie. Le but de ce Tp est de mettre en place des modèles de connaissance et de comportement pour relier les grandeurs de pilotage (consignes) aux grandeurs de sorties. 1 Rappels D ÉFINITION : Modèle de comportement D ÉFINITION : Modèle de connaissance Modèle obtenu à partir de lois physiques. Cette moModèle dans lequel le sous-système est remplacé par délisation est analytique et possède un sens physique une boîte noire. Le comportement réel est identifié au fort. mieux à partir de résultats expérimentaux. 2 Questions Dans la partie modélisation, la sortie est reliée à l’entrée par des blocs constituant un mélange entre la chaîne d’information et la chaîne d’énergie. Consigne de trajectoire Correcteur + − Distributeur Vérin Tuyère Position de la fusée Coordonnée de la position Accéléromètres Schéma bloc global du système d’orientation de la fusée. Q - 1 : Avec la vision schéma bloc (et non pas diagramme de blocs internes (ibd) ), construire le schéma bloc reliant la consigne d’entrée à la sortie. Vient ensuite l’étude du système avec les modèles de connaissances et de comportement permettant d’établir par une équation différentielle à coefficients constants, une relation entre la consigne et la sortie. Ces équations passées dans le domaine de Laplace permettent d’exprimer, de façon linéaire les relations entre entrée et sortie de bloc: Yc (p) + − C(p) Ks Q(p) A(p) − + Kh P(h) F(p) Y(p) Kb Schéma bloc du pilotage d’un des servo-verins. Q - 2 : Suivre la démarche proposée dans le sujet propre à chaque support pour exprimer les fonctions de transfert des blocs tracés à la question précédente. CI SLCI-2 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 1/1 E TABLIR DES MODÈLES DE CONNAISSANCE ET DE COMPORTEMENT M AX PID, S USPENSION DE MOTO , C ORDEUSE , F ILOMÈNE , P ILOTE AUTOMATIQUE , D OSEUR P ONDÉRAL C ENTRE D ’ INTÉRÊT SLCI-3 M ODÉLISER LES SYSTÈMES LINÉAIRES CONTINUS INVARIANTS I DENTIFIER ET CARACTÉRISER UN MODÈLE DE COMPORTEMENT. P ROBLÉMATIQUE : L’étude précédente a permis de construire les schémas-bloc de différents systèmes. Les réponses temporelles des systèmes à des échelons permettent d’identifier leur comportement. L’objectif ici est de déterminer les caractéristiques (gain statique, constante de temps, coefficients d’amortissement,. . . ) des comportements (fonctions de transfert) des systèmes à partir de leurs réponses temporelles. 1 Définition 1.1 Premier ordre 1.2 Deuxième ordre D ÉFINITION : Système du premier ordre D ÉFINITION : Système du second ordre On appelle système du premier ordre d’entrée On appelle système du second ordre d’entrée e(t) et de sortie e(t) et de sortie s(t), un système régi par une s(t) un système régi par une équation différentielle de type: équation différentielle de type: S (p) K H(p) = = K E(p) 2.ξ p2 H(p) = 1 + .p + S (p) ds 1 + τ.p ω0 ω20 1 d2 s 2.ξ ds = K.e(t) τ. + s(t) = . + s(t) = K.e(t) . + dt E(p) ω20 dt2 ω0 dt 2 Questions Q - 1 : Rappeler les expressions temporelles des réponses indicielles pour un système du premier ordre et du second ordre. Q - 2 : A partir du document joint, obtenir la réponse du système à un échelon du système. Q - 3 : Déterminer les caractéristiques du système ; (K, τ) pour un premier ordre. (K, ξ, ω0 ) pour un second ordre. Q - 4 : Suivant le comportement observé (premier ordre - second ordre) remplir le tableur joint afin de vérifier l’identification. CI SLCI-3 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 1/1 S YSTÈMES DU 1 ER ET 2 ND ORDRE M AX PID, O UVRE P ORTAIL , P ILOTE AUTO , P LATEFORME , D OSHYDRO , D IRAVI , S USPENSION DE M OTO C ENTRE D ’ INTÉRÊT CIN-1 P RÉVOIR ET VÉRIFIER LES PERFORMANCES CINÉMATIQUES DES SYSTÈMES E TABLIR LA RELATION ENTRÉE - SORTIE P ROBLÉMATIQUE : Après l’étude des systèmes linéaire continus et invariants permettant, à partir d’une consigne, de positionner une entrée, nous étudions ici la transformation du mouvement, depuis l’actionneur, jusqu’à l’effecteur. Les positions relatives entre solides étant données, il convient d’établir la relation liant les paramètres d’entrée aux paramètres de sortie. 1 Introduction : système bielle-manivelle #» y2 #» y1 #» y0 #» x1 B A → − y1 #» x2 θ10 #» x 0 → − y0 → − y2 → − y1 → − x1 #» y3 → − z1 C #» x3 θ32 D → − y3 → − z0 → − y θ10 → − x0 → − x2 → − z2 → − y2 2 → − z1 → − y θ21 → − x1 0 → − x3 → − z3 → − z2 θ32 → − x2 → − x2 → − z2 → − z0 θ21 +→ θ10 − x0 2 Modélisation de la chaîne d’action Q - 1 : Repérer l’actionneur de la chaîne d’action principale, ainsi que l’effecteur sur le support étudié. Q - 2 : Attribuer à chaque solide un repère et définir les orientations relatives des différents repères. 3 Loi entrée-sortie Q - 3 : Traduire sous forme vectorielle la ou les fermetures géométriques reliant l’actionneur à l’effecteur. Q - 4 : Etablir la relation entrée-sortie du système. CI CIN-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 1/1 E TABLIR LA RELATION ENTRÉE - SORTIE M AX PID, P LATEFORME , O UVRE P ORTAIL , P ILOTE AUTOMATIQUE , D IRAVI , D OS H YDRO C ENTRE D ’ INTÉRÊT CIN-2 P RÉVOIR ET VÉRIFIER LES PERFORMANCES CINÉMATIQUES DES SYSTÈMES M ODÉLISER LES LIAISONS ENTRE SOLIDES R EPRÉSENTER SCHÉMATIQUEMENT UN MÉCANISME P ROBLÉMATIQUE : Déterminer les possibilités de mouvements relatifs de pièces d’un mécanisme afin d’en qualifier les performances cinématiques. Nous étudions ici la nature des surfaces de contact entre les différentes pièces d’un mécanisme afin d’obtenir leur mouvement relatif. Une modélisation à partir des liaisons standards est proposée pour la description et la représentation du mécanisme. 1 Modéliser les liaisons entre solides Q - 1 : Actionner le mécanisme et observer le mouvement des pièces. Q - 2 : Repérer les différentes classes cinématiques. Q - 3 : Identifier la nature des surfaces en contact. Construire un tableau à double entrées pour mettre en évidence les surfaces en contact. Q - 4 : Déterminer les liaisons normalisées entre les solides composant le mécanisme. Nature des surfaces en contact C1 C2 Liaisons normalisées C1 C2 C3 X Plan/plan sphère/plan C1 X cylindre/plan C2 X C3 C3 ... .. . C1 C2 C3 X Appui plan Ponctuelle X lin rectiligne ... X .. . 2 Représenter schématiquement le mécanisme Q - 5 : Etablir le graphe des liaisons du mécanisme. Q - 6 : Construire le schéma cinématique du mécanisme. Q - 7 : Associer un paramétrage au schéma cinématique. CI CIN-2 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 1/1 M ODÉLISER LES LIAISONS ENTRE SOLIDES R EPRÉSENTER SCHÉMATIQUEMENT UN MÉCANISME S UPPORT : L OGICSIM . JAR - L OGI . EXE - X COS C ENTRE D ’ INTÉRÊT LOG-COM-1 M ODÉLISER , PRÉVOIR ET VÉRIFIER LES PERFORMANCES DES SYSTÈMES COMBINATOIRES P RÉVOIR PUIS SIMPLIFIER DES EXPRESSIONS LOGIQUES . S IMULER UN SYSTÈME COMBINATOIRE . P ROBLÉMATIQUE : Il est possible de représenter les valeurs hexadécimales (10 chiffres arabes + 6 premières lettres de l’alphabet) à l’aide d’un afficheur 7 segments. Les valeurs hexadécimales étant codées sur 4 bits, on cherche à réaliser le câblage entre les digits et les segments. a f g e b c d Q - 1 : Construire la table de vérité de l’afficheur 7 segments en parallèle avec celle du code binaire naturel. Q - 2 : Construire les tableaux de Karnaugh correspondant à l’allumage des segments de l’afficheur. En déduire leurs expressions la plus simple. Q - 3 : Réaliser le câblage sous le logiciel mis à disposition. CI LOG-COM-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 1/2 S UPPORT : S IMULER UN SYSTÈME COMBINATOIRE . S UPPORT : L OGICSIM . JAR - L OGI . EXE - X COS 11 10 0 01 00 01 11 10 .B B 1 .B 2 B3 00 .B B 1 .B 2 B3 10 11 0 01 .B B 1 .B 2 B3 0 .B B 1 .B 2 B3 00 00 01 11 10 01 11 10 00 00 00 01 01 01 11 11 11 10 10 10 a= b= c= b c d e f g Nb B3 B2 B1 B0 1 1 1 1 1 1 0 0 0 0 0 0 0 1 1 0 0 0 0 1 0 0 0 1 0 a 00 2 3 01 4 5 11 6 7 10 8 d= 9 a A f B g b C e D E d F 00 01 11 10 0 10 .B B 1 .B 2 B3 11 0 01 .B B 1 .B 2 B3 0 .B B 1 .B 2 B3 e= 00 c 00 00 00 01 01 01 11 11 11 10 10 10 f = CI LOG-COM-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 00 g= 2/2 S UPPORT : S IMULER UN SYSTÈME COMBINATOIRE . S UPPORT : L OGICSIM . JAR C ENTRE D ’ INTÉRÊT LOG-SEQ-1 M ODÉLISER , PRÉVOIR ET VÉRIFIER LES PERFORMANCES DES SYSTÈMES SÉQUENTIELS D ÉCRIRE PUIS RÉALISER UN SYSTÈME À PARTIR D ’ UN BESOIN DE MÉMORISATION P ROBLÉMATIQUE : Afin de déterminer la position des systèmes, des codeurs incrémentaux sont utilisés. Ces derniers permettent de déterminer un déplacement, le nombre d’incréments lui étant proportionnel. E XEMPLE : MaxPID, le chariot filoguidé, le pilote automatique, etc. . . Après une prise d’origine, pour connaître la position, il convient de compter le nombre d’incréments. L’objectif de ce Tp est la description puis la réalisation d’un compteur à partir de bascules. 1 Présentation du problème Le système représenté ci-contre est un pilote automatique de bateau à technologie électrique destiné à équiper des voiliers de petite taille. A tout instant, le pilote compare le cap suivi par le bateau (mesuré à l’aide d’un dispositif nommé compas) au cap à suivre préalablement mémorisé. Si un écart est constaté, le système réagi déplaçant le tige dans le sens rattrapant la perte de cap. La chaîne permettant d’effectuer la translation de la tige est composée d’un moteur électrique à courant continu couplé à un réducteur (deux roues dentées) qui entraîne en rotation une vis. Un simple système vis écrou permet alors d’assurer la translation. Pour assurer sa fonction principale, le pilote doit maîtriser le déplacement de la tige. On se propose d’étudier le dispositif de mesure. L’arbre de sortie du moteur est lié à un pignon qui entraîne une roue dentée en rotation. Cette roue est sur le pilote automatique directement reliée à la vis. La rotation de cette pièce est mesurée à l’aide de deux capteurs à effet Hall. Ils détectent le passage des deux marqueurs magnétiques disposés sur la roue dentée. Chaque capteur émet donc une impulsion par tour (les marqueurs disposés sur la roue étant spécifiques à l’un des deux capteurs). La présence de deux capteurs est utile pour déterminer le sens de rotation. Pour mesurer la translation de la vis, il suffit de connaître le pas de la vis ainsi que le nombre de tours effectués par celle-ci. En comptant le nombre d’impulsions émises par un capteur, on peut donc en déduire le déplacement de la tige. Nous allons donc réaliser un compteur numérique en utilisant les portes logiques à notre disposition. On utilisera une hor- CI LOG-SEQ-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 1/6 S UPPORT : L OGICSIM . JAR S UPPORT : L OGICSIM . JAR loge sur le logiciel LogicSim (voir séance de TP spécifique) pour simuler les impulsions émises par l’un des deux capteurs à effets Hall. 2 Les bascules 2.1 Les bascules JK et RS Ces dispositifs réalisent une fonction de mémoire, c’est à dire que la valeur de la sortie Q (et de son complément) est mémorisée (1 ou 0) tant que l’on ne commande pas son changement. Bascule RS de LogicSim Bascule JK de LogicSim La différence essentielle entre ces deux composants tient dans la présence d’une entrée C1 (avec C pour Clock) sur la bascule JK, ce qui rend son fonctionnement synchrone là où la bascule RS reste asynchrone. Dans le fonctionnement synchrone de la bascule JK, on utilise 3 entrées : J, K et C. L’entrée J commande la mise à 1 de la mémoire (Q = 1) et l’entrée K la mise à 0. Le fonctionnement est dit synchrone car la commande ne prend effet que sur un front montant (passage de 0 à 1) de l’horloge C (↑ C). Par exemple, si J = 1, K = 0 et si C passe de 0 à 1 alors la mémoire passe à 1. De même, si K = 1, J = 0 et si C passe de 0 à 1 alors la mémoire passe à 0. En revanche, si l’horloge est figée sur 0 ou sur 1, tout changement de J ou de K est totalement inopérant et la sortie Q conserve sa valeur. Dans le fonctionnement asynchrone de la bascule RS, on utilise 2 entrées S et R (Set et Reset). L’entrée S commande la mise à 1 et l’entrée R la mise à 0 et ce indépendamment d’un quelconque signal d’horloge C. L’évolution n’est pas synchronisé avec un signal externe. Q - 1 : En cablant sous LogicSim une bascule JK reliée à des boutons de commande et à des Leds de contrôle, compléter la table de vérité de la bascule JK ébauchée ci-contre (le symbole "x" indique que la valeur est indifférente). ↑C Q J K Q 0 0 x x 0 0 1 x x 1 1 0 0 0 1 0 0 1 1 0 1 0 1 0 1 1 1 1 0 0 1 1 0 1 1 1 1 0 1 1 1 1 Q - 2 : Faire de même sur feuille libre pour une bascule RS. Commenter l’évolution de Q (complément de la sortie Q). 2.2 Les bascules D Q - 3 : En cablant une bascule D sur LogicSim, donner la table de vérité de ce composant. Expliquer alors en une phrase la fonction réalisée par une bascule D. Bascule D de LogicSim CI LOG-SEQ-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 2/6 S UPPORT : L OGICSIM . JAR S UPPORT : L OGICSIM . JAR 3 Réalisation d’un compteur avec des bascules JK 3.1 Principe du compteur Pour compter de 0 à 9 de manière synchrone, nous allons utiliser 4 bascules JK en complétant le schéma de principe ciaprès. Nous allons déterminer les relations entre les sorties Qi et les entrées Ji et Ki pour permettre de piloter un afficheur alphanumérique. Vous trouverez ci-après une explication du principe retenu pour réaliser le compteur. QD QC Q B QA 0 0 0 0 0 0 0 1 Les sorties des bascules représentent les bits de codage du chiffre que l’on souhaite afficher comme 1 0 le montre le tableau ci-contre. On souhaite qu’à chaque front montant du signal impulsion, le 2 0 0 1 0 compteur soit incrémenté de 1 (augmente de 1). 0 1 1 3 0 4 0 1 0 0 Le principe du compteur consiste à faire en sorte que pour chaque chiffre affiché, les bascules se 5 0 1 0 1 mettent automatiquement dans les conditions nécessaires à l’affichage du chiffre suivant. 6 0 1 1 0 Par exemple, quand le chiffre 5 est affiché, nous avons : 1 1 1 7 0 8 1 0 0 0 (QD , QC , QB , QA ) = (0, 1, 0, 1) 9 1 0 0 1 Pour afficher le chiffre suivant, il faut donc faire en sorte qu’au prochain front montant de l’impulAu prochain front montant, on obtiendra donc (QD , QC , QB , QA ) = sion : (0, 1, 1, 0) et le chiffre 6 sera affiché. Ce fonctionnement souhaité se tra• la bascule A passe à 0, duit par des conditions à respecter sur les entrées Ji et Ki de chaque • la bascule B passe à 1, bascule pour chacune des combinaisons utiles des sorties Qi . • la bascule C reste à 1, • la bascule D reste à 0. 3.2 Commande optimisée des bascules JK Pour pouvoir réaliser un compteur avec ce type de bascules, il faut être capable d’en maitriser la commande, i.e être capable de commander efficacement le passage à 1 ou à 0 de la sortie Q de la bascule. On se place dans les cas pour lesquels ↑ C = 1 qui sont les seuls cas ou une évolution de Q est possible. Les 4 cas possibles sont les suivants : CI LOG-SEQ-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 3/6 S UPPORT : L OGICSIM . JAR S UPPORT : L OGICSIM . JAR • Quand ↑ C = 1, on souhaite que la sortie Q passe de 0 à 1 • Quand ↑ C = 1, on souhaite que la sortie Q reste à 1 • Quand ↑ C = 1, on souhaite que la sortie Q passe de 1 à 0 • Quand ↑ C = 1, on souhaite que la sortie Q reste à 0 Q - 4 : Pour chacun des cas envisagés ci-dessus, déterminer sous forme d’équations logiques les combinaisons des entrées J et K permettant l’évolution souhaitée (s’aider de la table de vérité). Factoriser et simplifier ces expressions afin de déterminer les conditions nécessaires et suffisantes pour commander la bascule. 3.3 Expression des entrées des bascules Le document réponse donne une ébauche d’une table de vérité " améliorée " donnant pour chaque passage les conditions à respecter sur les entrées J et K. le symbole "x" indique que la valeur est indifférente. Q - 5 : En vous appuyant sur les résultats des questions précédentes, compléter le tableau annexe 1. Ce tableau étant complété, on peut désormais exprimer les entrées Ji et Ki en fonction de l’état du compteur donné par les variables QA , QB , QC et QD . On utilise pour cela la méthode des tableaux de Karnaugh. Les tableaux vierges sont fournis sur le document réponse. Q - 6 : Compléter les tableaux de Karnaugh sur le document réponse. En déduire les expressions minimales des 8 fonctions Ji (QD , QC , QB , QA ) et Ki (QD , QC , QB , QA ). On utilisera pour cela les états " libres " des tableaux pour optimiser les regroupements. 3.4 Réalisation du câblage Q - 7 : Réaliser sur papier un schéma de câblage complet du compteur puis le câbler sur LogicSim en utilisant un afficheur en sortie et un bouton pour simuler l’horloge. Vérifier le fonctionnement en utilisant le bouton puis le remplacer par une horloge. 4 Compteur asynchrone On propose de réaliser le câblage suivant : Q - 8 : Tester ce câblage et montrer qu’il réalise bien un compteur. Préciser la valeur maximale de comptage. Q - 9 : Expliquer son fonctionnement en proposant un chronogramme montrant les évolutions de l’horloge et des variables de sortie. CI LOG-SEQ-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 4/6 S UPPORT : L OGICSIM . JAR S UPPORT : L OGICSIM . JAR Q - 10 : En quoi ce compteur est-il asynchrone ? Quels problèmes cela pose-t-il ? Q - 11 : Proposer une modification de cette structure permettant de compter de 0 à 9. 5 Annexes 5.1 Annexe 1 QD QC QB QA JD JC JB JA KD KC KB KA Passage de 0 à 1 0 ↓ 0 0 ↓ 0 0 ↓ 0 0 ↓ 1 0 0 0 1 x x x x Passage de 1 à 2 0 ↓ 0 0 ↓ 0 0 ↓ 1 1 ↓ 0 Passage de 2 à 3 0 ↓ 0 0 ↓ 0 1 ↓ 1 0 ↓ 1 Passage de 3 à 4 0 ↓ 0 0 ↓ 1 1 ↓ 0 1 ↓ 0 Passage de 4 à 5 0 ↓ 0 1 ↓ 1 0 ↓ 0 0 ↓ 1 Passage de 5 à 6 0 ↓ 0 1 ↓ 1 0 ↓ 1 1 ↓ 0 Passage de 6 à 7 0 ↓ 0 1 ↓ 1 1 ↓ 1 0 ↓ 1 Passage de 7 à 8 0 ↓ 1 1 ↓ 0 1 ↓ 0 1 ↓ 0 Passage de 8 à 9 1 ↓ 1 0 ↓ 0 0 ↓ 0 0 ↓ 1 Passage de 9 à 0 1 ↓ 0 0 ↓ 0 0 ↓ 0 1 ↓ 0 CI LOG-SEQ-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 5/6 S UPPORT : L OGICSIM . JAR S UPPORT : L OGICSIM . JAR 5.2 Annexe 2 CI LOG-SEQ-1 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 6/6 S UPPORT : L OGICSIM . JAR S UPPORT : AUTOMGEM C ENTRE D ’ INTÉRÊT LOG-SEQ-2 M ODÉLISER , PRÉVOIR ET VÉRIFIER LES PERFORMANCES DES SYSTÈMES SÉQUENTIELS C OMMANDER UNE MACHINE D ’ ÉTAT VIRTUELLE . P ROBLÉMATIQUE : Les diagrammes d’états (stm) permettent de programmer des machines à états finis. E XEMPLE : le doseur podéral, le trieur d’objet,. . . Avant de passer à l’implantation sur un automate réel, il convient d’éprouver numériquement (en clair, simuler) le fonctionnement attendu du système, sur un automate virtuel. Lorsque la phase de simulation est validée, l’implantation peut alors avoir lieu. 1 Prise en main du logiciel Pour le tutoriel, le but est de simuler la sortie et la rentrée de tige en continu d’un vérin. Pour cela nous allons: • créer un diagramme d’états (stm) qui s’occupe de faire sortir puis rentrer la tige d’un vérin. • créer le système virtuel avec une source hydraulique, un puits, un distributeur 4/2 et un vérin double effet. • créer la table de symbole permettant de relier le grafcet et le système virtuel Dans un second temps nous pourrons ajouter des temporisations puis des boutons marche/arrêt. Q - 1 : Construire le montage ci-dessous. Q - 2 : Proposer un diagramme d’états (stm) permettant de faire faire sortir la tige, la rentrée et ne plus rien faire. Pour dialoguer entre l’automate et le diagramme d’états (stm) , il convient d’utiliser une table de symbole. Les automates présents dans la salle de Tp ont leurs capteurs et leurs actionneurs définis par des variables numérotées: • i pour input (entrée → capteur) • o pour output (sortie → actionneur). C’est ce que l’on appelle les mnémoniques. Pour donner plus de sens physique aux variables ont leur donne un symbole. On notera ce symbole en minuscule pour les entrées (éléments constitutifs des réceptivités) et en majuscule pour les sorties (action ou ordre d’exécution). CI LOG-SEQ-2 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 1/3 S UPPORT : AUTOMGEM S UPPORT : AUTOMGEM Q - 3 : Construire la table ci-dessous: Symboles Variables Commentaires vr i0 Vérin rentré vs i1 Vérin sorti RT o0 Rentrer la tige du vérin ST o1 Sortir la tige du vérin Q - 4 : Parcourir la bibliothèque pour proposer quelques évolutions de la commande (pas plus de 10 min. . . ). 2 Simulation simplifiée du trieur d’objet sur Automsim 2.1 Comportement attendu 1. le pousseur sort 2. le vérin tapis sort 3. arrivé au niveau pd, le pousseur rentre 4. aiguillage avec un lot en A, un en B puis un en C suivant cet ordre 5. après chaque aiguillage, le vérin tapis rentre complètement 2.2 Description de l’installation CI LOG-SEQ-2 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 2/3 S UPPORT : AUTOMGEM S UPPORT : AUTOMGEM 2.3 Table des symboles _ST_ o0 Sortir la Tige Tapis _RT_ o1 Rentrer la Tige Tapis _SP_ o2 Sortir le Pousseur _SA_ o3 Sortir Tige A _SB_ o4 Sortir Tige B _SC_ o5 Sortir Tige C _tmin_ i0 Verin Tapis rentré _tmax_ i1 Verin Tapis sorti _pa_ i2 Présence en A _pb_ i3 Présence en B _pc_ i4 Présence en C _pd_ i5 Présence au début du tapis _am_ i6 Vérin A rentré _bm_ i7 Vérin B rentré _cm_ i8 Vérin C rentré _pm_ i9 Pousseur rentré CI LOG-SEQ-2 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 3/3 S UPPORT : AUTOMGEM S UPPORT : L E SYSTÈME DE DOSAGE PONDÉRAL ET LE TRIEUR D ’ OBJETS C ENTRE D ’ INTÉRÊT LOG-SEQ-3 M ODÉLISER , PRÉVOIR ET VÉRIFIER LES PERFORMANCES DES SYSTÈMES SÉQUENTIELS D ÉCRIRE , SIMULER PUIS VALIDER LA COMMANDE D ’ UN SYSTÈME À L’ AIDE DE DIAGRAMMES D ’ ÉTATS ( STM ) P ROBLÉMATIQUE : Pour piloter les chaînes de production, appareils ménager, manèges ou tout autre système séquentiel, SysML via le diagramme d’états (stm) permet de relier des variables d’entrée à des actions en sortie. Ce langage didactisé permet de gérer le fonctionnement de l’automate d’un point de vu global. Le logiciel, ici Automgen, crée un interface entre l’homme et la machine. Le but du de cette séance de Tp est d’utiliser ce langage pour décrire, simuler puis valider la commande d’un système séquentiel. 1 Déterminer le cahier des charges Q - 1 : Déterminer la liste des actionneurs et des capteurs du système proposé. Q - 2 : Etablir la table des mnémoniques. Q - 3 : Décrire en quelques lignes le comportement attendu du système. 2 Réalisation de la commande du système Q - 4 : Sur le papier, construire le diagramme d’états (stm) répondant au cahier des charges du support proposé. Q - 5 : Simuler le comportement de ce diagramme d’états (stm) . Q - 6 : Télécharger le diagramme d’états (stm) sur l’automate et qualifier le comportement. CI LOG-SEQ-3 - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 1/1 S UPPORT : AUTOM G EN D IRAVI , P ILOTE AUTOMATIQUE , M AX PID, O UVRE P ORTAIL , C ORDEUSE , S USPENSION BMW, P LATEFORME 6 AXES C ENTRE D ’ INTÉRÊT STAT M ODÉLISER , PRÉVOIR ET VÉRIFIER LES PERFORMANCES STATIQUES DES SYSTÈMES É TABLIR LES CALCULS PRÉLIMINAIRES DANS LE BUT DE DIMENSIONNER UN ACTIONNEUR OU UN TRANSMETTEUR . P ROBLÉMATIQUE : A partir des actions mécaniques sur le récepteur, l’objectif du Tp est de déterminer les actions mécaniques sur l’actionneur ou un transmetteur dans l’optique de le dimensionner. Pour dimensionner les actionneurs, il convient de connaître les actions mécaniques intervenant dans la chaine d’énergie. La puissance est l’association d’un terme de vitesse (V, ω, Q, U) avec un terme d’effort (F, C, δP, I). Si la commande ou l’actionneur impose la cinématique, alors le récepteur impose le terme d’effort. Inversement, à effort imposé par l’actionneur, la cinématique sera donnée par le récepteur. Connaissant donc les efforts sur le récepteur (l’effecteur de la chaine d’énergie), le but du Tp est d’établir les calculs préliminaires dans le but de dimensionner un actionneur ou un transmetteur. F ONCTION G LOBALE DU Matière d’œuvre entrante S YSTÈME Energie Source Energie Opérative A LIMENTER D ISTRIBUER C ONVERTIR A DAPTER E XÉCUTER Tâche opérative Interface Puissance Préactionneur Actionneur Transmetteur Effecteur C HAÎNE D ’ ÉNERGIE C OMMUNIQUER T RAITER ACQUÉRIR Interface Commande Unité de traitement Capteur et Conditionneur Chaîne d’execud’exétion cution Composants de dialogue CI STAT - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) C HAÎNE D ’ INFORMATION Informations échangées avec d’autres systèmes et les interfaces Hommes/Machines 1/1 Composants de dialogue Matière d’œuvre sortante S UJET COMMUN AUTOM G EN C ENTRE D ’ INTÉRÊT CH-FONC M ODÉLISER ET SIMULER UN SYSTÈME HYDRAULIQUE . D ÉTERMINER L’ INFLUENCE DES DIFFÉRENTS COMPOSANTS D ’ UNE CHAÎNE HYDRAULIQUE . P ROBLÉMATIQUE : Entre la source d’énergie et les actionneurs principaux d’une chaine fonctionnelle s’articulent différents composants dont les rôles sont spécifiques. Ainsi, quand certains s’occupent de distribuer l’énergie, d’autres peuvent la limiter, la bloquer, en réduire le débit. L’objectif de ce Tp est de mettre en évidence ces composants dans le cas de la commande hydraulique des gouvernes de l’A380. 1 Prise en main de Automgen Q - 1 : Ouvrir le document joint "exemple.agn". Le simuler. Q - 2 : Cliquer sur chacun des composants pour découvrir leurs différentes variations. Q - 3 : Inverser les positions 1 et 3 du distributeur. Constater le changement lors de la simulation. Q - 4 : Faire varier le limiteur de débit en prenant 5% et 75%. Q - 5 : Régler le débit à 100% mais placer un verin à une seule tige. Quelle différence y a-t-il entre le temps de sortie et le temps de rentré de tige ? Q - 6 : Construire un schéma hydraulique permettant le pilotage d’un vérin simple effet. 2 Commande des gouvernes de l’A380 Q - 7 : Compléter le schéma hydraulique ci-après. On prendra des commandes manuelles pour chacun des distributeurs. Q - 8 : Décrire le fonctionnement du système en vous aidant des simulations. CI CH-FONC - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 1/2 A IRBUS A380 AUTOM G EN CI CH-FONC - LYCÉE C ARNOT (D IJON ) 2/2 A IRBUS A380