GLAP-Box v3 from Scratch sur base x86 - Mon Club-Elec
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GLAP-Box v3 from Scratch sur base x86 - Mon Club-Elec
. GLAP-Box v3 from Scratch sur base x86 par X. HINAULT – Juin 2012 – www.mon-club-elec.fr = comment installer de A à Z un système Linux embarqué : • auto-bootable et auto-connectable au réseau ethernet ou wifi ! • gérable sous interface graphique ! • accessible à distance (accès au bureau distant) et sans fil (par wifi) ! • permettant retour vidéo distant et sans fil de 1 ou plusieurs webcam ! Synthèse du système installé : Cette installation de la GLAP-Box repose sur : > Xubuntu 12.04 LTS > Open JDK 7 > Arduino 1.0 > Processing 1.5.1 > Opencv 2.4,2 : librairie de reconnaissance visuelle et traitement d'image > Librairies Processing suivantes > Librairie GSVideo 1.0 pour capture vidéo > Librairie Artoolkit NyAR4psg 1.2.0 et lot de 100 marker pré-définis > Librairie GUI ControlP5 0.7.5 > Librairie JavacvPro qui implémente Opencv2.4 sous Processing > Librairie Artoolkit et lot de 100 marker pré-défini Caractéristiques techniques de la GLAP-Box v3 > Accès distant par VNC depuis n'importe quelle plateforme supportant vnc ! > Compatible avec une webcam Eye PS3 (fonctionne « out of the box ») de Sony permettant la capture d'un flux vidéo à 125 fps ! > Synthèse vocale haute qualité pico tts (comme sur Android) ! > Immédiatement opérationnelle pour la reconnaissance visuelle ! > Programmation à distance et sans fil du système embarqué ! > Logiciels de scan réseau et d'analyse de bande passante réseau installés ! > Partage de fichier par NFS à distance et sans fil ! > Logiciel de VoIP Ekiga installé ! Et aussi : > serveur SSH installé > Drivers pour clé USB wifi N installés > Logiciel Scilab de calcul numérique installé 1. Matériel nécessaire 1. Accessoires de la GLAP-Box v2 • bloc secteur régulé 12V/2A (pour alimenter la GLAP-Box). Voir ici par exemple : http://www.gotronic.fr/art-adaptateur-psu22rs-8144.htm • clé Wifi G ou N • webcam usb « plug and play » : webcam HD C270 Logitech • une paire d'enceintes amplifiées alimentables par le port USB idéalement 2. Accessoires utiles • une clé USB 4G formatée en FAT 32 pour créer la clé USB-live d'installation du système Linux de base (Xubuntu) • un écran VGA + câble VGA (utilisation transitoire lors de l'installation et parfois utile pour dépannage) • souris + clavier USB (utilisation transitoire lors de l'installation du système et utile pour dépannage) • câble éthernet (pour connexion filaire pour dépannage ou usage filaire) 2. Installation du système Linux de base 1. La distribution choisie Plusieurs possibilités sont possibles. Mon choix s'est porté sur la distribution Ubuntu dans sa version Xubuntu. Parmi les distributions possibles (pour une vue d'ensemble, voir : http://distrowatch.com/ ), la distribution Ubuntu est un bon choix en raison de sa simplicité de mise à jour, sa souplesse d'utilisation, etc... Le choix pour la version Xubuntu s'est fait en raison de l'environnement de bureau XFCE 4.8 qui est plus léger que Gnome 3.x ou Unity et parce qu'il est plus adapté à l'usage pour une utilisation avec des tableaux de bords à la façon Gnome 2.x. dans le cadre d'une utilisation avec « accès au bureau distant ». Pour plus d'infos sur l'environnement de bureau XFCE, voir le site : http://www.xfce.org/ Aspect type de l'environnement de bureau XFCE. 2. Télécharger la dernière version Xubuntu La première chose à faire consiste à télécharger la dernière version de Xubuntu, sur le site officiel de cette variante d'Ubuntu : http://xubuntu.org/ On obtient ainsi une image ISO de la distribution. La version actuelle est la version 11.10. Sur la page de téléchargement, choisissez la version « PC (Intel x86) Desktop CD » : 3. Créer un clé USB-live à partir de l'image ISO. Une fois que l'on dispose de l'image ISO de la distribution, on va créer une clé USB-live à l'aide de cette image ISO. Cette clé USB-live va ensuite être utilisée pour installer la distribution sur la GLAP-Box. Pour créer la clé-USB live, plusieurs options sont possibles et sont détaillées ici : http://doc.ubuntufr.org/live_usb A partir d'un autre système Ubuntu, la solution la plus simple consiste à utiliser USB-creator. Aller dans le menu Système > créateur de disque de démarrage. Vous obtenez cette fenêtre : Sélectionner l'image voulue, puis le disque correspondant à la clé USB (NE PAS SE TROMPER +++) et enfin cliquer sur « Créer un disque de démarrage ». L'opération prend quelques minutes. Une fois terminé, débrancher la clé USB-live ainsi préparée : vous allez pouvoir maintenant installer votre système Linux de base sur votre GLAP-Box. 4. Préparer votre GLAP-Box avant la mise sous tension Commencez par préparer votre GLAP-Box comme une unité centrale de PC : • connexion de l'écran, • du clavier, de la souris • connecter également la prise Ethernet de la GLAP-Box sur votre Box internet ou autre routeur. • connecter également la GLAP-Box à son alimentation, qui devra pouvoir fournir 2A en 12V idéalement. Puis branchez la clé USB-live que vous venez de préparer sur l'un des ports USB de la GLAP-Box. 5. Sélectionner la clé USB-live comme disque de démarrage Remarque : les détails des captures d'écrans suivantes ne correspondent pas au cas de la GLAP-Box mais permettent de comprendre la procédure à suivre. Allumez l'écran et mettez la GLAP-Box sous tension : vous devez obtenir un écran du type : A CE MOMENT PRECIS, FAITES QUELQUES APPUIS SUR LA TOUCHE F2 afin d'obtenir l'écran de configuration du bios ayant l'allure suivante : A l'aide des flèches <= et =>, se positionner dans la rubrique boot : Tout d'abord, se positionner dans la rubrique « Hard drive order » à l'aide des flèches HAUT/BAS, valider avec entrée et placer en première position la clé USB-live qui (doit apparaître dans la liste) à l'aide des touches +/- du pavé numérique (le + fait monter d'un niveau le disque sélectionné, le – le fait descendre). Une fois fait, valider. Ensuite, se placer dans la rubrique « Boot device Priority » à l'aide des flèches HAUT/BAS, valider avec entrée et placer en première position le « HARD Disk Drive » (qui doit apparaître dans la liste) à l'aide des touches +/- du pavé numérique (le + fait monter d'un niveau le disque sélectionné, le – le fait descendre). Une fois fait, valider. Voilà, à ce stade le plus dur est fait. A présent, appuyez sur F10 puis valider avec Y pour enregistrer les changements. A ce moment là, la GLAP-Box va redémarrer et se lancer à partir de la clé USB-Live. 6. Installation de la distribution Xubuntu sur la GLAP-Box Au redémarrage, après l'écran d'accueil Intel, vous devez obtenir un écran de sélection de la langue : Choisissez le français. Vous obtenez ensuite le menu-suivant ou équivalent : Choisissez « Installer Xubuntu » : l'installation va commencer !! Toute une série d'écrans vont se succéder comme pour une installation Ubuntu classique. Les capture d'écrans qui suivent reprennent la page : http://doc.ubuntu-fr.org/tutoriel/installer_ubuntu_avec_le_live_cd Une première fenêtre vous demande de sélectionner la langue : Ensuite, cocher les 2 cases de la fenêtre suivante : Ensuite, sélectionner l'opération à réaliser : ici supprimer ce qu'il y a sur le disque dur et installer Xubuntu : Choisissez d'installer sur le disque entier (40GB) (à la différence de l'écran suivant qui présente l'hypothèse d'une installation en dual-boot) : Ensuite choisissez votre fuseau horaire : Le clavier : Ensuite, créer un compte utilisateur : par défaut utiliser glapbox pour tout ! Et cocher se connecter automatiquement. Ensuite, c'est parti pour un long moment... Vous pouvez aller prendre un ou deux cafés (équitable bien sûr !) ! Cette pause est sponsorisée par : Plus d'infos sur : http://www.maxhavelaarfrance.com/ Une fois vos cafés terminés, vous devriez vous retrouvez devant un écran vous demandant de redémarrer le système : Validez et n'oubliez pas d'enlever la clé USB-live au moment de l'écran d'accueil Intel de redémarage (sinon, çà redémarre sur la clé USB-live). Vous devriez alors vous retrouvez avec le bureau du nouveau système installé : 7. Mettre à jour la distribution de base Une fois la GLAP-Box redémarrée, l'accès au réseau internet via le réseau local étant toujours actif, la première manipulation conseillée consiste à mettre à jour la distribution de base. Cliquer sur l'icône XFCE (en haut à gauche du tableau de bord supérieur), menu système > Gestionnaire de mise à jour. Vous obtenez un écran du type : Cliquer sur « Installer les mises à jour», saisissez le mot de passe et patientez à nouveau. C'est reparti pour un moment. Encore un café... ? Une fois terminé, redémarrer quand on vous le demande. Voilà, cette fois, çà y est, vous avez installé le système de base et vous l'avez mis à jour. 3. Etapes de post-installation du système Xubuntu de base 1. Personnaliser l'environnement de bureau XFCE On peut réaliser tout une série d'adaptation du bureau XFCE standard de façon à obtenir un bureau plus facile à manipuler en accès au bureau distant par VNC. NB : par la suite, « aller dans XFCE » désignera le bouton XFCE du coin supérieur gauche du tableau de bord. 1. Régler la hauteur du tableau de bord supérieur On peut commencer par diminuer la taille du tableau de bord supérieur : Clic droit sur le tableau de bord > choisir l'item « tableau de bord »> préférences du tableau de bord : Dans la fenêtre qui s'affiche, régler la hauteur du tableau de bord en réglant la taille en pixels : fixer 20 par exemple. 2. Réduire la taille de la police par défaut On a intérêt, pour une meilleure visibilité lors de l'accès au bureau distant ultérieur, à réduire la police par défaut du système. Allez dans XFCE > paramètres > gestionnaire de paramètres : Dans la fenêtre qui s''ouvre, Sélectionner Apparence : Dans la fenêtre qui s'ouvre, clic sur « Police par défaut » : Sélectionner une taille de police en 8 par exemple, valider. 3. Régler la hauteur du tableau de bord inférieur Idem et se positionner sur tableau de bord 2 > fixer la taille à 20 ou moins... 4. Réduire la taille par défaut des icônes Clic droit sur le bureau et sélectionner « paramètres du Bureau » : Dans la fenêtre qui s'ouvre : • sélectionner l'onglet « icônes » • fixer la taille de l'icône à 20 ou moins • cocher « utiliser une taille de police personnalisée » et fixer à 8 • puis fermer. 5. Changer le fond d'écran Télécharger une image sur le web et l'enregistrer dans Téléchargements et la mettre en fond d'écran avec clic droit Bureau > ajouter image > choisir fichier 6. Modification du tableau de bord XFCE pour aspect "Gnome 2.x like" Notamment : 2. • ajout de « raccourci » • ajout du Terminal dans le tableau de bord et modifier apparence (Editer > Préférences ) • ajout du lanceur synaptic dans le tableau de bord • déplacer les bureaux du tableau sup (à droite) dans le tableau inf (à droite) en faisant clic droit > déplacer Activer extinction immédiate à l'appui sur On/Off Ici, on va activer l'extinction lors de l'appui sur le BP ON/OFF de la GLAP-Box : ceci permet d'éteindre proprement la GLAP-Box dans toutes les situations. Allez dans XFCE > paramètres > gestionnaire de paramètres : Dans la fenêtre qui s''ouvre, sélectionner Gestionnaire d'alimentation > Général > Appui sur le bouton d'alimentation > Eteindre puis Fermer 3. redimensionner bureau XFCE > Paramètres > Gestionnaire de paramètres > Affichage > Fixer la résolution selon souhait. 800X600 est un bon compromis. Plus la résolution de l'écran sera élevée, et plus de bande passante sera utilisée pour la connexion VNC. De plus, si on accède à la GLAP-Box depuis un netbook de contrôle, une petite résolution est préférable. NB +++ : Ne pas désactiver l'utilisation des écrans... !! 4. Rendre le système vraiment « embarqué » 1. Démarrage sans login Fait au moment de l'installation. Sinon ?? 2. Désactiver l'économisateur d'écran XFCE > Paramètres > Gestionnaire de Paramètres > Economiseur d'écran > Mode = désactiver l'économiseur d'écran 3. Désactiver mise en veille XFCE > Paramètres > Gestionnaire de Paramètres > Gestionnaire Alimentation > Sur secteur > • > onglet Action > Mettre en veille > sur Jamais (réglage à 0) • > onglet écran > Moniteur > Mise ne veille et Extinction > sur Jamais (réglage à 0) 4. Démarrage Ubuntu 10.04 (Grub2) sans écran connecté à la carte mère(base mini-ITX) => pas de problème avec Xubuntu 11.10 Divers ? Gestion énergie : laisser activer "éteindre disque dur quand possible" et "diminuer luminosité" 5. Etapes spécifiques à l'utilisation d'un netbook Si on utilise un netbook, il faut par ailleurs désactiver la mise en veille à la fermeture de l'acran 5. Activation de l'accès au bureau distant par VNC 1. Activation du serveur VNC Dans le cas de l'utilisation de XFCE, la procédure est la suivante : Pour installer le serveur VNC vino , il faut • • • installer le paquet vino : XFCE > Système > Gestionnaire paquets Synaptic > installer paquet Vino créer un lanceur vino ou faire $ vino-preferences (et pas sudo vino-preferences +++) • clic : autoriser d'autres utilisateurs à voir votre bureau • décocher accès confirmé • +/- mettre mot de passe il faut ensuite, avant une connexion, lancer le serveur... Dans une console, faire : /usr/lib/vino/vinoserver (et pas sudo /usr/lib/vino/vino-server ) • si on veut que le serveur soit toujours actif, on peut le mettre dans mettre au démarrage . Dans Xfce 4.8, c'est dans Applications > Paramètres >Session et démarrage > onglet Démarrage automatique > Ajouter /usr/lib/vino/vino-server et çà marche ! Ensuite, côté client : • rechercher avec Nmap l'adresse attribuée à la GLAP-Box (l'autre possibilité est de la rechercher en ligne de commande depuis la GLAP-Box elle-même à l'aide de ifconfig) • se connecter à l'aide du logiciel client VNC en utilisant l'adresse réseau voulue. Dans un Terminal, par exemple, faire xtightvncviewer et saisir l'adresse. 2. Activation de la connexion wifi automatique • Se connecter une première fois au réseau en question, en utilisant l'accès VNC ethernet. • Aller dans XFCE > Paramètres > Connexion Réseau > Onglet sans-fil > choisir la connexion voulue et : ◦ cocher Connecter automatiquement ◦ et cocher Accessible aux autres utilisateurs 6. Installation des logiciels système utiles sur la GLAP-Box Bon à savoir : pour toutes les lignes de commandes, le copier/coller fonctionne depuis le PC de contrôle vers le Terminal dans la GLAP-Box (via menu Editer > Coller). L'inverse fonctionne aussi en via le menu Editer > copier puis « coller » sur le PC de contrôle. 1. Ajout du Moniteur système Gnome Le moniteur système de Gnome est visuel et permet de bien voir l'activité des processeurs, ce qui est très utile pour les optimisations de code. Ce moniteur système s'intègre bien dans XFCE. Installation > Depuis Synaptic : installer le paquet gnome-system-monitor Utilisation : > Depuis le menu XFCE > Système > Moniteur systeme Exemple de capture pendant la compilation des sources OpenCV sur la GLAP-Box Ajouter également un raccourci dans le tableau de bord supérieur. 2. Onboard : clavier virtuel Le clavier virtuel pourra être utile pour des saisies à la souris seule dans certaines situations. On commence par fixer le paramètres de OnBoard : XFCE > paramètres>paramètres de Onboard > fixer les paramètres voulus, notamment clavier étendu. Ensuite, mettre le lanceur dans le tableau de bord : XFCE > Accessoires > Onboard : garder le clic gauche souris enfoncé et se déplacer jusqu'au tableau de bord puis relâcher. Sinon, autre possibilité : clic droit sur la tableau de bord > item « tableau de bord » > ajouter des greffons > choisir lanceur > ajouter > puis clic droit sur le lanceur vide > propriétés > ajouter (+) > rechercher onboard > valider Pour déplacer le lanceur : clic droit sur le lanceur > déplacer > clic à l'endroit voulu. 3. Installer l'éditeur gedit L'éditeur gedit n'est pas installé par défaut sous XFCE et est pourtant un éditeur bien pratique ! Installation : • soit dans synaptic > installer le paquet gedit • soit en ligne de commande : sudo apt-get install gedit Utilisation : 4. • soit en ligne de commande : gksudo gedit (si on veut les droits admin dans gedit, ce qui est souvent pratique) • soit par le menu : XFCE > accessoires > gedit Installer logiciel de gestion de la webcam (GUVCview ) Le logiciel GUVCView permet d'utiliser et tester simplement le bon fonctionnement d'une webcam connectée à la GLAP-Box. Installation : • soit dans synaptic : installer le paquet guvcview • soit en ligne de commande : sudo apt-get install guvcviewer Utilisation : • depuis le menu : XFCE > multimédia > guvcview • On pourra utilement aussi mettre le lanceur dans le tableau de bord supérieur Truc d'utilisation : • ce logiciel permet de disposer simplement d'un retour vidéo grâce à la GLAP-Box : lancer simplement Guvcview depuis votre PC et regarder et regardez ! • le réglage de la webcam se fait dans l'onglet Video et fichier. Plus la vidéo est petite, plus l'image est fluide ! • pour quitter, fermer la fenêtre « Réglages GUVCViewer » • GUVCview supporte le fonctionnement multiwebcam (testé jusqu'à 8 webcams simultanément !) Bon à savoir : • webcam actuelle qui fonctionne directement avec la GLAP-Box (branchez et çà marche !) : ◦ • 5. la C270 de Logitech (HD la webcam Eye PS3 de Sony fonctionne également directement « Out Of The box » et permet une capture à 125 fps ! Contrôleur de volume son pulse audio (pavucontrol) Ce logiciel est une interface graphique pour le contrôle graphique du son avec Pulse Audio. Pratique. Le logiciel par défaut dans XFCE est mixer, une interface pour ALSA. Installé par défaut sur Xubuntu 12.04. nmap A installer depuis synaptic > paquet pavucontrol Disponible dans : XFCE > Multimédia > Contrôle de volume pulseaudio 6. Scanneur de réseau (nmap et Zenmap) Ce logiciel servira pour scanner le réseau sur lequel se trouve la GLAP-Box et obtenir les IP des postes présents sur le réseau (ainsi que les ports ouverts sur le réseau) : utile pour le dépannage ou les installation réseau. A installer depuis Synaptic > paquet Zenmap et nmap Utilisation : • nmap est ensuite accessible en ligne de commande. Pour scanner le réseau 192.168.1.x, on fera : ◦ • 7. $ sudo nmap 192.168.1.1-255 (pour trouver les adresses du réseau) zenmap est accessible depuis XFCE > Internet > Zenmap Analyseur de bande passante (bandwidth) réseau ( cbm, bmon) Plusieurs utilitaires permettent de visualiser la bande passante utilisée par le réseau, ce qui est très pratique pour évaluer le débit de la communication wifi par exemple entre le PC de contrôle et la GLAP-Box. A installer depuis synaptic : • paquet cbm (le mieux, se démarre en ligne de commande) • et aussi : bmon ? S'utilise en ligne de commande : $ cbm Trucs d'utilisation : • Adapter la taille de la fenêtre manuellement (clic-droit sur la bordure de la fenêtre > redimensionner) puis, pour que la fenêtre reste au premier plan, faire clic droit sur la bordure de la fenêtre et sélectionner « Toujours au dessus ». • Appui sur la touche b fait switcher l'affichage en Bit/seconde et Ko/seconde. 8. Logiciel de communication Voix et vidéo sur IP (Ekiga) Le logiciel Ekiga est un logiciel libre de communication vidéo et voix sur IP qui peut s'utiliser : • soit sur réseau local • soit en utilisant un serveur web L'intérêt de ce logiciel avec la GLAP-Box est qu'il permet un retour de la voix + son sur le réseau local ! Installation : • dans synaptic : installer paquet Ekiga Utilisation • menu XFCE > Internet > softphone ekiga. Truc d'utilisation : • A noter qu'à la première utilisation, une procédure d'initialisation permet de créer un compte gratuit sur serveur dédié. • Il est nécessaire de lancer également Ekiga sur le PC de contrôle. 9. Logiciel de calcul numérique scilab Le logiciel Scilab est un logiciel de calcul numérique potentiellement utile Installation : Dans synaptic : installer le paquet Scilab Utilisation : disponible dans 10. Plugin speedial pour Firefox • • +/- Speed dial avec lien Arduino, Processing, Mon club elec, Reference, Google, Routeur Egalement activer l'option « Toujours demander » pour les téléchargements Installation de logiciels systèmes utiles pour le système embarqué : 11. Logiciel de synthèse vocale (espeak) Le logiciel espeak permet la synthèse vocale en ligne de commande à partir d'une chaine de caractères Installation : Dans synaptic, installer les paquets espeak (déjà installé ) et gspeaker (interface graphique) Utilisation : • espeak est accessible en ligne de commande (info avec $ man espeak ) • gspeaker est disponible dans XFCE > Multimedia > gspeaker Truc d'utilisation : • en connectant une paire d'enceintes (alimentées sur le port USB de préférence), on peut tester simplement la synthèse vocale en lançant gspeaker. 12. Logiciel de synthèse vocale pico TTS (Svox) Voix féminine de qualité impressionnante, disponible sous Android... et donc aussi sous Ubuntu. Vraiment bien. Installation : $ sudo apt-get install libttspico-utils Utilisation : Truc d'utilisation : • en connectant une paire d'enceintes (alimentées sur le port USB de préférence), on peut tester simplement la synthèse vocale à l'aide des lignes de commande ci-dessous à saisir dans un Terminal : $ var="À propos d'Ubuntu Ubuntu est une distribution GNU/Linux qui réunit stabilité et convivialité. Elle s'adresse aussi bien aux particuliers qu'aux professionnels, débutants ou confirmés qui souhaitent disposer d'un système d'exploitation libre et sécurisé. « Ubuntu » est un ancien mot africain qui signifie « Humanité ». Ubuntu signifie également « Je suis ce que je suis grâce à ce que nous sommes tous ». La distribution Ubuntu apporte l'esprit Ubuntu au monde logiciel. " pico2wave -l fr-FR -w test.wav "$var" aplay test.wav Plus simplement : pico2wave -l fr-FR -w test.wav 'salut' aplay test.wav 13. Logiciel de lecture de fichiers sons (mplayer) Mplayer est probablement l'un des meilleurs lecteur vidéo / audio. C'est le lecteur qui sera utilisé sur le système pour la lecture de fichier sons en ligne de commande. Installation : Dans Synaptic > installer les paquets mplayer et mencoder Utilisation : Accessible en ligne de commande (documentation par la commande $ man mplayer ) 14. Logiciel de lecture et streaming audio et video VLC VLC est un autre lecteur vidéo dont la réputation n'est plus à faire et qui permettra notamment le streaming vidéo sur réseau ou encore la lecture de webTV en streaming. Installation : Dans Synaptic : installation du paquet VLC Utilisation : 15. • soit depuis le menu XFCE > multimédia > VLC • soit en ligne de commande (documentatin par la commande $ man vlc ) Noter que VLC est moins pratique à utiliser en ligne de commande que mplayer. Logiciel de capture et traitement des fichiers audio (Audacity) Audacity est un logiciel qui permet de traiter les fichiers audio, de les modifier, de les capturer, etc... Pour certaines opérations, ce logiciel est très utile pour améliorer les fichiers sonores. Installation : Depuis synaptic : installer le paquet audacity Utilisation : Depuis le menu XFCE > multimédia > audacity 16. Utilitaire de disque Gnome disk utility Permet la gestion des disques du système Installation : installer le paquet gnome-disk-utility Utilisation : dans le menu XFCE > Système 17. Créateur de disque de démarrage Unetbootin est un créateur de disque de démarrage à partir d'image *.ISO Installation : Paquet Unetbootin Utilisation : dans le menu XFCE > Système 18. Logiciel de visualisation de série d'images Stopmotion est un logiciel qui permet de visualisation sous forme animée une série d'image. Ce logiciel est utile et pratique pour la visualisation d'image capturées avec la GLAP-Box. Installation : paquet stopmotion Utilisation : XFCE > Multimédia >stopmotion 19. Logiciel de VoIp Skype Skype est un logiciel de vidéo et voix sur internet que l'on ne présente plus... Installation > Ajouter le dépôt Partner (Synaptic > configuration > dépôts > cocher partner) > Ajouter le paquet Skype Utilisation : XFCE > Internet > Skype 20. et aussi : pour la création d'image système remastersys.. 7. Installation de logiciels spécifiques potentiellement utiles 1. Framework « mono » Mono is an open source implementation of Microsoft's .NET Framework. Est nécessaire pour l'exécution de certains logiciels, notamment certains utilitaires de calcul solaire (voir : http://sidstation.loudet.org/sunaltitude-fr.xhtml ) Site : http://mono-project.com/Main_Page Installation : Sous Xubuntu 12.04, installer mono complete 2. +/- utilitaires solaires : Dans certaines applications, on peut avoir besoin de calculer précisément la position du soleil. Il existe des utilitaires sous Linux en ligne de commande qui permettent de faire cela. Pré-requis : • Le paquet Mono-complete doit être installé • pour les graphiques, le paquet gnuplot doit être installé Liens utiles : • http://sidstation.loudet.org/utilities-fr.xhtml • http://sidstation.loudet.org/suntimes-fr.xhtml • http://sidstation.loudet.org/sunaltitude-fr.xhtml • http://sidstation.loudet.org/sunazimuth-fr.xhtml (au lever et coucher... pas toutes les heures...) Installation : Pour chaque logiciel, il faut télécharger l'archive : • http://anonsvn.loudet.org/SunAltitude/tags/ • http://anonsvn.loudet.org/SunAzimuth/tags/ • http://anonsvn.loudet.org/SunTimes/tags/ Une fois l'archive extraite et les fichiers mis dans des dossiers, on obtient 3 fichier pour chaque application : un exécutable Windows, un fichier .sh pour Linux et un fichier d'aide. Il faut rendre exécutable le fichier *.sh : Clic droit sur le nom > Propriétés > modifier les permission > cocher « autoriser exécution » Ensuite, il faut ajouter pour chaque logiciel le chemin à la variable $PATH : (pas obligé çà dans la mesure où l'appel depuis Processing nécessite le chemin de l'exécutable...) sudo gedit /etc/bash.bashrc et ajouter la ligne correspondante à chaque fichier /home/xavier/Téléchargements/utilitaires_soleil/SunAltitude-1.0.1.0-bin Refermer le Terminal ensuite, enlever le ./ dans le fichier *.sh et ajouter le chemin où se trouve le fichier SunAltitude.exe ce qui donne selon le programme (cette étape est obligée!) : exec mono "$HOME/Téléchargements/utilitaires_soleil/SunAltitude-1.0.1.0-bin/SunAltitude.exe" "$@" ou exec mono "$HOME/Téléchargements/utilitaires_soleil/SunAzimuth-1.0.0.0-bin/SunAzimuth.exe" "$@" Voilà, avec çà on doit pouvoir lancer l'utilitaire comme on veut... Réouvrir un Terminal... Vérifier que le chemin a été ajouté à la variable d'environnement $PATH avec la commande : $ echo $PATH Utilisation : Une fois fait, vérifier dans Synaptic que le paquet mono complete est bien installé. Ensuite ouvrir un terminal et saisir une ligne de commande correspondant au programme utilisé. Par exemple pour sunaltitude : • se placer dans le répertoire où se trouve le fichier *.sh du programme. Ou même n'importe où normalement... si vous avez bien fait ce qui est noté précédemment. $ cd Téléchargements/divers/SunAltitude-1.0.1.0-bin ou $ cd Téléchargements/utilitaires_soleil/SunAzimuth-1.0.0.0-bin • ensuite lancer l'exécution par exemple avec une commande du type : $ ./sunaltitude --day 04082012 --latitude 40 --longitude 3 --altitude 0.2 --verbose --step 3600 • ne pas mettre de ./ devant sunaltitude si vous l'exécutez d'un répertoire quelconque, ce qui donne : $ sunaltitude --day 04082012 --latitude 40 --longitude 3 --altitude 0.2 --verbose --step 3600 Cette commande donne la liste des positions du soleil toutes les heures pour la date et la position indiquée : Values for 04/08/2012 at 0.20 km height. Location: 40° 00' 00.00" N 003° 00' 00.00" E (JN10MA) Interval is 3600 seconds. Column 1 is the time (HH:MM:SS). Column 2 is the sun center angle with respect to the horizon, in degrees. Column 3 is the minimum height at which the sun upper limb is visible, in km. Time Alt (°) Height (km) 00:00:00 -32.35 1185.94 01:00:00 -30.35 1025.87 02:00:00 -25.31 687.22 03:00:00 -17.88 330.46 04:00:00 -8.76 78.53 05:00:00 1.49 0.00 06:00:00 12.46 0.00 07:00:00 23.83 0.00 08:00:00 35.30 0.00 09:00:00 46.49 0.00 10:00:00 56.78 0.00 11:00:00 64.70 0.00 12:00:00 67.47 0.00 13:00:00 63.41 0.00 14:00:00 54.83 0.00 15:00:00 44.27 0.00 16:00:00 32.97 0.00 17:00:00 21.49 0.00 18:00:00 10.16 0.00 19:00:00 -0.72 0.80 20:00:00 -10.81 119.25 21:00:00 -19.68 403.09 22:00:00 -26.72 773.80 23:00:00 -31.25 1095.90 24:00:00 -32.62 1208.67 Pour avoir la position à une heure donnée, faire : $ ./sunaltitude --day 04082012 --latitude 40 --longitude 3 --altitude 0.2 --verbose --step 3600 --start 10:00:00 --end 10:00:0 Pour obtenir un graphique (sous forme de fichier) : $ ./sunaltitude --day 12082007 --latitude 40 --longitude 3 --altitude 0.2 --graph 'test.png' Pour le détail complet de la ligne de commande, faire : $ ./sunaltitude –h ce qui donne : SunAltitude v1.0.1.0 : (c) 2007-2009, Lionel Loudet DESCRIPTION: Calculation of sun altitudes and minimum sun visibility on a given day. Either a data table or a PNG graph (requires gnuplot) is generated. If a data table is generated, values are displayed on the standard output. Column 1 is the time (HH:MM:SS). Column 2 is the sun center angle with respect to the horizon, in degrees. Column 3 is the minimum height at which the sun upper limb is visible, in km. USAGE: SunAltitude [--help|--h|--?] --day <DDMMYYYY> --start <HH:mm> --end <HH:mm> --longitude <longitude> --latitude <latitude> | --locator <locator> --height <height> --step <step> [--refract|--r] [--verbose|--v] [--gnuplot "<path_to_gnuplot>"] [--graph null|<path_to_png file>] [--height <plot height>] [--width <plot width>] Options: help Shows this message. day Date for which the values are calculated. Format is DDMMYYYY (e.g. 12012006 for 12 January 2006). start Start time of the calculations range. Format is HH:mm (e.g. 04:30). Default is 00:00. end End time of the calculations range. Format is HH:mm (e.g. 18:15). Default is 24:00. longitude Value between -180 and 180 expressing the longitude of the location in degrees. String representations are accepted. Positive values in the eastern hemisphere. Default is 0. latitude Value between -90 and 90 expressing the latitude of the location in degrees. String representations are accepted. Positive values in the northern hemisphere. Default is 0. locator Maidenhead locator of the location. If set, latitude and longitude options must not be defined. altitude Real non negative value expressing the height of the observer for which the sun altitudes are calculated. Expressed in kilometers. Default is 0km (ground level). step Positive integer value representing the interval in seconds between two computations. Default is 600 (10 minutes). refract Indicates if the atmospheric refraction is accounted for. verbose Shows legend. gnuplot Path to the gnuplot executable. If empty, default is: on Windows platforms [Program Files Directory]\gnuplot\bin\wgnuplot.exe. on Linux platforms /usr/bin/gnuplot. graph Path to the png file that will be created -- requires gnuplot set to null or true if the image is to be sent to stdout. height height of the png image, in pixels. Default is 400. width width of the png image, in pixels. Default is 745. pour sunazimuth, de la même façon : 3. GnuPlot, utilitaire de tracé Utilitaire de création de graphique en ligne de commande Installation : installer le paquet Gnuplot Utilisation : utilisé par certains logiciels 8. Installation IDE développement Arduino + Processing + librairies 1. Installation des paquets nécessaire pour Arduino et Processing Sous 12.04 : Préférer installation de OpenJDK 7 _jdk et pas seulement jre) 1. Installation de Java JDK (pour Arduino et Processing) L'environnement Java est indispensable pour la bonne exécution d'Arduino et de Processing. Plusieurs solutions sont possibles, mais Processing nécessite à priori l'installation du Java JDK Sun 1. Installation du java open jJDK (à préférer) Sous 12.04 : Préférer installation de OpenJDK-7-jdk et pas seulement jre) Installation : paquet OpenJDK-7-jdk 2. Installation de Sun Java JDK (obsolète..) Depuis le rachat de Sun par Oracle, préférer le openjdk 2. Librairie pour la compilation C (pour Arduino) Ces librairies sont nécessaires au logiciel Arduino pour réaliser la compilation du code avr-C. Installation : Dans Synaptic, installer les paquets : • • • 2. g++ (le compilateur GNU C++) gcc-avr (compilateur C pour les microcontrôleurs AVR) avr-libc Installation de l'espace de développement embarqué : 1. Installer le logiciel Arduino Le logiciel Arduino est l'IDE qui permet de programmer la carte Arduino embarquée connectée à la GLAPBox. Installation : • Une version est disponible depuis les dépôts et donc dans Synaptic, mais ce n'est pas forcément la dernière... • Lancer Firefox (depuis le menu XFCE > Internet > Firefox et aller dans Edition >Préférences et cocher l'option « Toujours demander où enregistrer » si ce n'est déjà fait... Réduire le Zoom au besoin (Affichage > Zoom > Réduire ou CTRL et - ) • Aller sur le site Arduino à l'adresse http://www.arduino.cc/ , aller dans la rubrique download et télécharger l'archive Linux 32 bits en l'enregistrant dans le répertoire système Téléchargement (ou tout autre de votre choix... ) • Ensuite, ouvrir le dossier contenant l'archive et l'extraire sur place (clic droit > ouvrir avec gestionnaire d'Archives) • Ensuite, aller dans le dossier Arduino-xx et faire un clic droit sur le fichier Arduino > Propriétés > Onglet Permission > vérifier que la case « autoriser l'exécution comme un programme » est cochée. • Ensuite, on peut créer un lanceur sur le bureau : clic droit > nouveau lanceur > sélectionner le fichier Arduino, une icône, donner un nom, valider. On pourra télécharger le logo Arduino sur internet. Utilisation : • Veiller à être au moins en 800x600 pour lancer le logiciel Arduino. • soit double-clic sur le lanceur • soit en ligne de commande : • $ cd Téléchargement/arduino-1.0 • $ ./arduino • et même $ sudo ./arduino Mieux : pour éviter d'avoir à faire çà (c'est pas l'idéal d'être en sudo pendant l'exécution d'un programme !) et pour régler le problème une fois pour toute , une fois la carte Arduino connectée : Ajouter l'utilisateur au groupe système dialup qui gère les interfaces matérielles, dont ttyACM0 (NE PAS OUBLIER -a ++++ et modifier nomutilisateur ) sudo usermod -a -G dialout $USER Pour info, le groupe dialout est un groupe système qui gère le matériel (voir ici : http://www.debianadministration.org/articles/109 ). Pour vérifier que l'utilisateur a bien été ajouté au groupe dialout, faire : $ cat /etc/group et trouver la ligne de la forme : dialout:x:20:glapbox ensuite modifier les droits de /ttyACM0 avec la commande : sudo chmod a+rw /dev/ttyACM0 Source : http://blog.markloiseau.com/2012/05/install-arduino-ubuntu/ Trucs d'utilisation : • on pourra tester une compilation à l'aide de l'exemple Blink (Examples > Basics > Blink ) • on pourra également connecter une carte Arduino sur l'un des ports USB que la programmation de fait bien. A ce stade, vous disposez d'un système embarqué accessible sans fil permettant la programmation sans fil de la carte Arduino ! 2. Installer Processing Processing est un environnement de développement « véritable couteau suisse » permettant notamment l'interfaçage avec la carte Arduino mais également l'utilisation de librairies avancées de reconnaissance visuelle ou de contrôle du système en ligne de commande programmée. Installation Le logiciel Processing est l'IDE qui permet de programmer la carte Arduino embarquée connectée à la GLAPBox. Installation : • Lancer ) nouveau Firefox (depuis le menu XFCE > Internet > Firefox) • Aller sur le site Arduino à l'adresse http://processing.org/ , aller dans la rubrique download et télécharger l'archive Linux 32 bits en l'enregistrant dans le répertoire système Téléchargement (ou tout autre de votre choix... ) • Ensuite, ouvrir le dossier contenant l'archive et l'extraire sur place (clic droit > ouvrir avec gestionnaire d'Archives) • Ensuite, aller dans le dossier Processing-xx et faire un clic droit sur le fichier Processing > Propriétés > Onglet Permission > vérifier que la case « autoriser l'exécution comme un programme » est cochée. • Ensuite, on peut créer un lanceur sur le bureau : clic droit > nouveau lanceur > sélectionner le fichier Processing, une icône, donner un nom, valider. On pourra télécharger le logo Processing sur internet. Utilisation : • Veiller à être au moins en 800x600 pour lancer le logiciel Processing • soit double-clic sur le lanceur • soit en ligne de commande : • $ cd Téléchargement/processing-1-5-1 • $ ./processing Trucs d'utilisation : • on pourra tester une exécution à l'aide de l'exemple 3D RGB cube qui donne également une bonne idée de l'efficacité du retour graphique par l'accès au bureau distant. Sinon, pour que le port Série de type ACM (Arduino UNO) soit détecté par Processing, il faut créer un lien symbolique avec la commande qui va lier ACM0 à tty80 (ou tout autre numéro tty … utiliser un qui n'est pas déjà présent dans /dev/tty) à exécuter avant de lancer Processing : $ sudo ln -s /dev/ttyACM0 /dev/ttyS80 Pour rendre les choses définitives : Ouvrrir en root, le fichier /etc/rc.local, $ gksudo gedit /etc/rc.local et ajouter la ligne : ln -s /dev/ttyACM0 /dev/ttyS80 le fichier devient alors : # !/bin/sh -e # rc.local # This script is executed at the end of each multiuser runlevel. # Make sure that the script will "exit 0" on success or any other # value on error. # In order to enable or disable this script just change the execution # bits. # By default this script does nothing. ln -s /dev/ttyACM0 /dev/ttyS80 exit 0 Enregistrer et redémarrer. Au prochain lancement de Processing, le port Série sera reconnu sous la forme tty80 Divers : +/- Modifier la librairie Serie Java de Processing à partir de celle d'Arduino => à priori caduque... 3. Installation de compléments utiles • • • +/- sources de sons +/- rép prog exemple Arduino +/- rép prog exemple Processing 3. +/- Installer des librairies Arduino utiles 4. Installer des librairies Processing complémentaires utiles 1. Pour mémoire, les librairies implémentées par défaut dans Processing Suite à l'installation standard, les librairies suivantes sont déjà installées : • dxf : librairie utilitaire pour conversion fichier au format dxf • javascript : librairie permettant l'interface entre Processing et le javascript pour intégration de code Processing dans des pages web • minim : librairie de gestion du son dans Processing • net : la librairie permettant la gestion de serveur / clients réseau dans Processing • opengl : librairie essentielle implémentant Opengl et la 3D dans Processing • pdf : utilitaire de conversion pdf • serial : librairie pour la gestion de lexec mono "SunAltitude.exe" "$@"a communication série sur le port USB (avec Arduino notamment) • video : librairie vidéo par défaut basée sur QuickTime (non libre) 2. Principe général d'installation des librairies dans Processing La procédure d'installation des librairies est sensiblement la même pour toutes les librairies que l'on souhaite ajouter : > Télécharger l'archive de la librairie > Décompresser l'archive > Copier le répertoire correspondant à la librairie dans le répertoire ~/Téléchargements/Processing-15/modes/java/librairies > Veillez à ce que le nom du répertoire de la librairie soit exactement le même (majuscules/minuscules) que le sous-répertoire des fichiers de la librairie !! > Relancer Processing : la librairie est typiquement disponible dans le menu Sketch > Import Library. Si elle apparaît dans le menu, elle est utilisable. 3. Librairie libre pour la capture et la lecture vidéo : GSVideo La librairie GSVideo implémente dans Processing le framework « GStreamer » qui dispose de toutes les fonctions utiles pour la lecture vidéo. A la différence de QuickTime utilisé par défaut, Gstreamer est opensource et libre. Il est prévu de Gstreamer soit utilisé par défaut à partir de Processing 2.0, mais en attendant, il est nécessaire d'installer la librairie GSVideo Voir le site officiel de Gstreamer : http://gstreamer.freedesktop.org/ 1. Pré-requis : paquets nécessaires Les paquets de la librairie gstreamer doivent être installés : > Dans Synaptic > installer le paquet gstreamer0.10 Ceci installe notamment les sous-ensemble suivants : • GStreamer Core Plugins • GStreamer Base Plugins • GStreamer Good Plugins • GStreamer Ugly Plugins • GStreamer Bad Plugins • GStreamer OpenGL Plugins • GStreamer Non-Linear Multimedia Editing Plugins => pas installé par défaut Sous Ubuntu 12.04LTS, il faut de plus faire ceci en ligne de commande : • 2. sudo apt-get install libgstreamer-plugins-base0.10-dev libgstreamer0.10dev libglib2.0-dev Installer la librairie GSVideo > Récupérer l'archive : http://sourceforge.net/projects/gsvideo/files/gsvideo/ > Extraire de copier/coller le répertoire GSVideo dans le répertoire ~/Téléchargements/Processing-15/modes/java/librairies > Relancer Processing : la librairie doit être présente dans le menu Sketch > Import Library 3. Programme de test > Aller dans le menu Files > Examples et choisir un exemple, > par exemple, Movie > Speed, ce qui donne : Voilà, GSVideo est installé : avec une webcam, vous pourrez faire à présent de la capture de flux video avec la GLAP-Box dans Processing ! 4. Infos utiles > Le site officiel pour les dernières infos : http://gsvideo.sourceforge.net/ > PS : Andres Colubri, l'auteur de la librairie, fait partie de l'équipe Processing 2.0 et est en charge de l'implémentation à venir dans la future version Processing 2.0. > Bon à savoir : Gstreamer est très intéressant également pour la lecture de « flux vidéo » sur un réseau, grâce à la gestion de « pipeline » Gstreamer (enchaînement d'instructions de traitement). On pourra ainsi lire un flux de caméra IP directement dans Processing ou encore streamer un flux webcam sur le réseau local depuis Processing ! > L'utilisation des pipeline avec Gstreamer est un sujet très intéressant en soi ! 4. Librairie GUI pour Processing controlP5 L'interface Processing est surtout orientée graphisme et traitement d'image : elle ne comporte pas d'outils standards pour créer des interfaces GUI. Plusieurs librairies existent pour cela, l'une d'entre elle étant controlP5. >Télécharger l'archive ici : http://www.sojamo.de/libraries/controlP5/ > Créer un dossier controlP5 et extraire dedans l'archive > Copier coller le dossier controlP5 dans le répertoire ~/Téléchargements/Processing-15/modes/java/librairies > Relancer Processing : la librairie doit être présente dans le menu Sketch > Import Library > Lancer un programme de test depuis le menu File > Examples > controlP5 5. 6. La librairie UDP hypermédia • Cette librairie est utile pour réaliser des communications réseau en UDP (protocole allégé par rapport à TCP). Un complément utile à la librairie réseau Processing • Dispo ici : http://ubaa.net/shared/processing/udp/ • A installer dans mode/java/librairies Autres librairies Processing En fonction de ses besoins, on trouvera sur le site Processing près d'une 40aine de librairies disponibles qui s'installeront sur le même principe : http://processing.org/reference/libraries/ Ici, nous nous concentrons sur les librairies utiles dans le cas d'un système embarqué avec reconnaissance visuelle, mais la GLAP-Box dispose d'un potentiel énorme d'utilisations variées . 5. 1. Installer les librairies Processing avancées : Librairie native de reconnaissance visuelle OpenCV La librairie OpenCV est une librairie open-source de vision par ordinateur. Elle va permettre, à partir d'une interface Processing par exemple, l'analyse en temps réel d'un flux vidéo webcam afin d'y reconnaître des objets, des visages... permettant secondairement des comportements interactifs avancés. 1. Installation au préalable des paquets nécessaires : voir > http://opencv.itseez.com/doc/tutorials/introduction/linux_install/linux_install.html#linuxinstallation Remarque : mettre à jour le système au préalable si pas fait récemment Dans Synaptic, installer les paquets suivants : Notamment : • GCC 4.x or later. This can be installed with sudo apt-get install build-essential 2. • CMake 2.6 or higher • Subversion (SVN) client • GTK+2.x or higher, including headers : paquet libgtk-3-0 et libgtk-3-dev • pkg-config : installé par défaut • libpng, zlib( zlibc?), libjpeg (libjpeg62-dev), libtiff (libtiff4-dev), libjasper (libjasper-dev) with development files (e.g. libjpeg-dev) • Python 2.3 or later with developer packages (e.g. python-dev) cf Python-all-dev • SWIG 1.3.30 or later (only for versions prior to OpenCV 2.3) • libavcodec-dev • libdc1394 2.x-dev • Pour pouvoir utiliser le multhread (multi-coeur), il faut également utiliser TBB, et vérifier que les paquets suivants sont bien installés : libtbb2 et libtbb-dev • et aussi : ffmpeg (03/2012) - à partir du ppa suivant : https://launchpad.net/~jonseverinsson/+archive/ffmpeg une fois activé : installation avec sudo apt-get ffmpeg Récupérer les sources A présent, on télécharge les sources (l'enregistrer dans le répertoire Téléchargements ou autre à votre convenance ) : >> soit depuis le site officiel opencv >> soit directement depuis le lien http://sourceforge.net/projects/opencvlibrary/files/opencvunix/2.3.1/OpenCV-2.3.1a.tar.bz2/download Puis ouvrir le dossier de téléchargement puis Extraire l'archive (clic droit sur l'archive > ouvrir avec le gestionnaire > Extraire) On peut aussi utiliser les dernières sources avec : cd ~/<my_working_directory svn co https://code.ros.org/svn/opencv/trunk 3. Compiler les sources > Ouvrir un Terminal > se positionner dans le répertoire obtenu : $ cd ~/Téléchargements/OpenCV-2.3.1 > créer un répertoire de compilation et se placer dedans : $ mkdir rep_compil $ cd rep_compil > Lancer le Cmake ( ../ fait remonter d'un niveau..) : $ sudo cmake ../ A noter que l'on peut ici utiliser des arguments pour paramétrer cmake , par exemple : cmake -D CMAKE_BUILD_TYPE=RELEASE -D CMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr/local -D BUILD_PYTHON_SUPPORT=ON .. Pour activer le multi-thread, utiliser le paramètre (la bonne !): $ sudo cmake -D WITH_TBB=ON ../ On doit obtenir : Pour utiliser l'interface visuelle, on peut faire à la place cmake-gui $ sudo cmake-gui ../ On obtient : Si on veut activer le « multi-thread » : cocher WITH_TBB > Lancer ensuite la compilation : $ sudo make Là c'est parti pour un moment... Compter facilement 15 à 30 minutes... Il peut ya avoir quelques messages de « warning » : c'est normal. Jusqu'à obtenir après quelques minutes voire dizaines de minutes : Si tout c'est bien passé, vous obtenez à nouveau l'invite dans la console : bravo, le plus dur est fait ! > Ensuite, on finalise l'installation (ne pas oublier +++) $ sudo make install 4. Finalisation de l'installation > A présent, il faut fignoler l'installation. Editer le fichier : $ sudo gedit /etc/ld.so.conf.d/opencv.conf > Ajouter la ligne : /usr/local/lib et enregistrer et fermer > Ensuite, lancer la ligne de configuration de la librairie : $ sudo ldconfig > Puis éditer le fichier suivant : $ sudo gedit /etc/bash.bashrc > Ajouter les lignes : #-------- opencv ---PKG_CONFIG_PATH=$PKG_CONFIG_PATH:/usr/local/lib/pkgconfig export PKG_CONFIG_PATH > Enregistrer puis quitter/relancer un terminal pour prise en compte des chemins indiqués. > Voilà, à priori, c'est bon pour l'installation de openCV sous Ubuntu ... 5. Installer la librairie JavacvPro qui implémente OpenCV dans Processing La librairie javacvPro implémente la dernière version de la librairie openCV dans Processing. Installation : > Télécharger l'archive depuis le site http://www.mon-clubelec.fr/pmwiki_reference_lib_javacvPro/pmwiki.php > et l'enregistrer dans un répertoire appelé librairies_processing (à créer si besoin) dans le répertoire Téléchargements > Ouvrir le répertoire et Extraire l'archive > Copier/coller le répertoire javacvPro obtenu dans le répertoire Processing-1-5/modes/java/libraries IMPORTANT : au terme de cette installation, les fichiers utilisation pour la reconnaissance visuelle de visage sont dans le répertoire : /usr/local/share/OpenCV/haarcascades 6. Tester l'installation > A ce stade, lancer Processing > Ouvrir un exemple de la librairie javacvPro et testez-le : normalement, l'exécution ne doit provoquer aucune erreur ! Exemple de détection de Blob ! Pour les exemples utilisant la reconnaissance de visage, en cas de message d'erreur, bien vérifier le chemin utilisé pour les fichiers de description, qui doit être : /usr/local/share/OpenCV/haarcascades A ce stade, la GLAP-Box dispose de la librairie OpenCV installée et utilisable dans Processing grâce à la librairie javacvPro, permettant ainsi la création d'applications interactives utilisant la webcam, la synthèse vocale et le contrôle de moteurs, etc... avec Arduino ! 2. 1. Librairie ARToolkit pour Processing (reconnaissance de « markers », réalité augmentée et 3D positionning) La librairie nyar4psg > Une autre librairie très intéressante et utile sur la GLAP-Box est l'implémentation de la librairie ARToolkit pour Processing. Cette librairie, qui se base sur la reconnaissance de « marker » à partir d'un flux vidéo de webcam, permettra de réaliser des applications de réalité augmentée (AR pour Augmented Reality) sur un flux webcam et/ou surtout du 3D positionning, ce qui est potentiellement très utile sur un robot mobile. > La meilleure option que j'ai trouvée pour utiliser ARToolkit dans Processing est la librairie java NyARToolkit qui dispose d'un "port" pour Processing !! Que demande le peuple ?! > NyARToolKit est à la base une librairie Java de ARTOOLKit (site japonais) ici : http://nyatla.jp/nyartoolkit/wp/?page_id=357 (voir aussi : http://nyatla.jp/nyartoolkit/wp/?page_id=198 ) > Cette librairie a été portée sous Processing : http://nyatla.jp/nyartoolkit/wp/?page_id=357 C'est à priori, le plus facile à mettre en oeuvre dans Processing... !! > Bien qu'elle soit écrite en Java, cette librairie est étonnamment rapide en exécution ! 2. Pré-requis : fichiers de « markers » prêts à l'emploi > En plus de Processing et de GSVideo, pour utiliser ARToolkit, il est nécessaire de disposer de fichiers de descriptions de « markers » pour pouvoir utiliser nyar4psg simplement. La solution la plus simple consiste à télécharger des « markers » prêts à l'emploi (une centaine, mais on peut aller jusqu'à 4000...!) : > Pour avoir les exemples de patterns (et pour créer des « Markers ») voir : http://www.cs.utah.edu/gdc/projects/augmentedreality/ et télécharger le fichier ici : http://www.cs.utah.edu/gdc/projects/augmentedreality/download.html > Extraire l'archive > Les « markers » ou « pattern » (une centaine ), sont dans le répertoire : ~/Téléchargement/paternMaker/examples/gif > Pour les premiers tests, sélectionner quelques markers de son choix et les imprimer. Exemple ici avec le "marker" 99 : 3. Installation de la librairie nyar4psg > Télécharger ici : http://sourceforge.jp/projects/nyartoolkit/releases/ (choisir l'archive pour Processing bien-sûr ! ) > Décompresser et copier dans Processing 1-5 / modes / java / libraries > RENOMMER le répertoire de la librairie en NyAR4psg > VEUILLEZ à ce que le nom du répertoire soit exactement le même que le nom du fichier *.jar du sous rép /libraries notamment les majuscules... !! +++ > Relancer Processing : la librairie doit être présente dans le menu Sketch > Import Library 4. Programme de test Un programme de test est disponible ici : http://www.mon-club-elec.fr/pmwiki_mon_club_elec/pmwiki.php? n=MAIN.OutilsProcessingARToolkitPremierProg 5. +/- librairie de communication réseau udp 9. Procédures de fonctionnalités système avancées 1. Partage de fichier NFS... Voir la page : Mise en place d'un partage de fichier NFS via réseau wifi entre le PC embarqué et le PC fixe, Voici la rocédure Côté serveur = sur la GLAP-Box. Le Serveur est le pc embarqué sur lequel on veut accéder aux fichiers à distance... cf version simple ici : https://help.ubuntu.com/11.10/serverguide/C/network-file-system.html Dans notre cas, l'adresse IP du serveur sera 192.168.0.3 1. Installation paquets nécessaires sur le serveur (= la glapbox) Installation dans le gestionnaire de paquets Synaptic des paquets : nfs-kernel-server et nfs-common (est installé en même temps que nfs-kernel-server) Ce qui donne en ligne de commande : $ sudo apt-get install nfs-kernel-server nfs-common 2. Vérification ports Vérification du fichier /etc/default/portmap $ cat /etc/default/portmap 3. Paramétrage du dossier partagé On va partager ici le répertoire /home/glapbox/ du PC embarqué (serveur) Edition du fichier /etc/exports $ gksudo gedit /etc/exports Ajouter dans le fichier exports : # pour avoir tous les droits root : /home/glapbox 192.168.1.0/255.255.255.0(rw,sync,no_root_squash,no_subtree_check) # autorise accès par client 192.168.1.x en lecture / écriture Autres exemples à titre informatif : # /home/hinault/mon_nfs 192.168.1.1/24(rw,sync,no_root_squash) # autorise en lecture/écriture les adresses 192.168.1.1-24 #/home/hinault/mon_nfs 192.168.1.13 (rw,sync,no_root_squash) # autorise en lecture/écriture l'adresse 192.168.1.13 #/home/xavier 192.168.1.0/255.255.255.0(ro,sync,all_squash,no_subtree_check) # autorise accès par client 192.168.1.x en lecture seule #/home/xavier 192.168.1.0/255.255.255.0(rw,sync,all_squash,no_subtree_check) # autorise accès par client 192.168.1.x en lecture / écriture ATTENTION à l'adresse du réseau utilisé +++ : 192.168.0.0 et notamment le numéro du réseau... ! IL FAUT IMPERATIVEMENT QUE LA RACINE DU RESEAU UTILISEE COTE CLIENT SOIT DECLAREE DANS CE FICHIER. Ainsi, 192.168.3.0 si réseau 192.168.3.1-255 Si on utilise 2 réseaux différents (1 wifi et 1 ethernet par exemple), on peut déclarer successivement les 2. On peut aussi faire : /home/xavier 192.168.1.0/240/24 (rw,sync,no_subtree_check) # autorise accès par client 192.168.1.x en lecture / écriture Autre point important : « par defaut, si, au niveau du serveur on ne met que l'option rw, lors d'une requete de l'utilisateur root d'un serveur client, le serveur nfs change l'UID et le GID root en nobody (c'est le "root squashing"). on a donc pas les droit d'acces root sur le dossier importé par nfs. Heureusement il existe une option no_root_squash pour éviter cela. Donc la solution est d'ajouter l'option "no_root_squash" coté serveur ("master" pour moi). On a donc dans le fichier /etc/exports : /home slave1(rw,no_root_squash) slave2(rw,no_root_squash) ... » pour que les modifs soient prises en compte, on fait : $ sudo exportfs -a ou $ sudo exportfs -ra -a : exporte tous les répertoires -r : ré-exporte tous les répertoires 2. Configuration autorisations dans hosts.deny On ouvre hosts.deny et on interdit tout par défaut $ gksudo gedit /etc/hosts.deny Ajouter les lignes #pour partage NFS # Tout interdire sur portmap, nfsd et mountd # les autoriser par hosts.allow portmap:ALL lockd : ALL mountd:ALL rquotad : ALL statd : ALL #nfsd:ALL 3. Configuration autorisations dans hosts.allow On ouvre hosts.allow et on autorise les adresses voulues : $ gksudo gedit /etc/hosts.allow ON ajoute les lignes : #partage NFS #Autoriser ces clients à se connecter avec services portmap, nfsd, moundt portmap:ALL lockd:192.168. mountd:192.168. rquotad:192.168. statd:192.168. #nfsd:192.168. 4. Redémarrage serveur NFS On relance NFS $ sudo /etc/init.d/nfs-kernel-server reload ou mieux, on redémarre le service : $ sudo /etc/init.d/nfs-kernel-server restart On obtient quelque chose comme çà : glapbox@glapbox:~$ sudo /etc/init.d/nfs-kernel-server restart [sudo] password for glapbox: * Stopping NFS kernel daemon [ OK ] * Unexporting directories for NFS kernel daemon... [ OK ] * Exporting directories for NFS kernel daemon... * Starting NFS kernel daemon 5. Vérification $ rpcinfo -p Ce qui donne quelque chose comme çà : glapbox@glapbox:~$ rpcinfo -p program no_version protocole no_port 100000 2 tcp 111 portmapper 100000 2 udp 111 portmapper 100024 1 udp 54229 status 100024 1 tcp 48158 status 100021 1 udp 53570 nlockmgr 100021 3 udp 53570 nlockmgr 100021 4 udp 53570 nlockmgr 100021 1 tcp 59175 nlockmgr 100021 3 tcp 59175 nlockmgr 100021 4 tcp 59175 nlockmgr 100003 2 udp 2049 nfs 100003 3 udp 2049 nfs 100003 4 udp 2049 nfs 100003 2 tcp 2049 nfs 100003 3 tcp 2049 nfs 100003 4 tcp 2049 nfs 100005 1 udp 54077 mountd 100005 1 tcp 39749 mountd 100005 2 udp 54077 mountd 100005 2 tcp 39749 mountd 100005 3 udp 54077 mountd 100005 3 tcp 39749 mountd Si problème, redémarrer le serveur NFS : $ sudo /etc/init.d/nfs-kernel-server start [ OK ] [ OK ] 6. Récupérer ip du serveur On note l'ip du serveur dont on va avoir besoin pour le montage depuis le client : $ ifconfig [Obtenir le Code] On obtient dans mon cas : 192.168.0.3 Désactiver le pare-feu (au moins la première fois) non ! $ sudo ufw disable Sinon, il y a aussi une procédure pour fixer les ports utilisés et utiliser un parefeu en même temps... Mais si on n'est pas connecté à internet, on peut à priori monter comme çà, sans pare-feu.... au moins mettre un wep quand même non ? => C'est terminé sur le PC "serveur NFS".... 7. Accéder au partage de fichier depuis le client 1. Installation des paquets utiles Installer dans synaptic : 2. • nfs-common • (et nfs-server tant qu'on y est... ? ) Création d'un point de montage sur le client Dans une console : $ sudo mkdir /mnt/nfs 3. Montage du serveur (embarqué) sur le client (fixe) On utilise ici l'adresse du serveur : 192.168.1.x C'est l'adresse obtenue par ifconfig sur la Glap-Box. On peut également obtenir cette adresse par nmap. $ sudo mount -t nfs 192.168.1.x:/home/glapbox/ /mnt/nfs ou $ sudo mount -t nfs -o rw 192.168.1.x:/home/glapbox/ /mnt/nfs Voilà, si pas de message d'erreur, c'est bon... Ne pas oublier le / avant le nom du chemin de montage après l'adresse... A noter, pour automatiser le montage NFS depuis le poste client, on pourra utiliser un sccript comme par exemple : #!/bin/bash # script montage NFS # par XH - Aout 2011 echo "--- script de Montage NFS côté client ---" $disque read -p "Quelle est l'adresse du serveur NFS (192.168.x.x ou équiv.) ? " adresse #saisie de l'adresse echo "L'adresse IP du serveur NFS à monter est :" $adresse read -p "Quel est le répertoire du /home du serveur NFS à monter sur le client (/xavier ou /glapbox/Bureau ou équiv) ?" repertoire #saisie du répertoire echo "Le répertoire du /home du serveur NFS à monter sur le client est :" $repertoire echo "Le script va monter "$adresse":/home"$repertoire"/ sur /mnt/nfs" read -p "<OK>" # pour attendre entrée pour continuer sudo mount -t nfs -o rw $adresse:/home$repertoire/ /mnt/nfs echo "Opération terminée" read -p "<OK>" # pour attendre entrée pour sortir exit 0 ; 4. Test Saisir dans la console pour voir si le montage nfs est bien en place : $ mount | grep nfs ce qui donne nfsd on /proc/fs/nfsd type nfsd (rw) 192.168.0.03:/home/xavier/ on /mnt/nfs type nfs (rw,addr=192.168.0.03) Aller dans répertoire /mnt/nfs : on doit voir le contenu de la GLAP-Box ! On peut dès lors réaliser des échanges de fichiers entre la GLAP-Box et le PC de contrôle en toute simplicité ! On pourra également créer un lanceur sur le bureau du client vers le répertoire /mnt/nfs pour accéder facilement au contenu du répertoire. A noter que pour ouvrir un dossier à partir d'un lanceur, il faudra faire : 5. • sous Ubuntu : nautilus /rep • sous xubuntu : thunar /rep Bon à savoir Si on veut démonter le partage NFS du côté client, dans un terminal on fait : $ sudo umount /mnt/nfs pour démonter côté client : sudo umount /mnt/nfs/ 2. Accéder à la GLAP-Box en SSH (sécurisation de l'accès VNC) Pour sécuriser et tunneliser l'accès à la GLAP-Box, il est possible de configurer la GLAP-Box en serveur SSH. Cette technique repose sur la technique de la clé publique et de la clé privée. Seuls les clients autorisés et reconnus pourront se connecter à la GLAP-Box (sous réserve de « fermer ») toutes les autres possibilités d'accès. Cette technique est utile lorsque la sécurité est primordiale, mais par contre, le débit de connexion de l'accès au bureau distant est réduit par la sécurisation. Voir http://www.mon-club-elec.fr/pmwiki_mon_club_elec/pmwiki.php? n=MAIN.GLAPBOXProcedureConnexionVNCviaSSH 1. Sur le client SSH (= le PC d'accès distant à la GLAP-Box) Installer les paquets : • xvnc4viewer • openssh-client (déjà installé sous Ubuntu normalement) On va générer les clés privées et publiques à utiliser. Dans une console saisir, taper : $ ssh-keygen -t dsa Ceci va lancer la génération des clés publiques et privées . La procédure va demander un passphrase (équivalent mot de passe). L'ensemble aboutit à : • la clé privée va être sauvée dans /home/user/.ssh/id_dsa • la clé publique dans /home/user/.ssh/id_dsa.pub Ces 2 clés sont donc sur le poste client (celui qui va accéder au serveur). NE JAMAIS DIVULGUER LA CLE PRIVEE QUI DOIT RESTER SUR LE POSTE CLIENT !! Seule la clé publique va être transmise au serveur (voir ci-dessous). 2. Sur le serveur SSH (=la GLAP-Box ) : Les opérations à effectuées sur la GLAP-Box (le serveur) sont : > installer dans Synaptic les 2 paquets • x11vnc • et openssh-server > Créer le répertoire .ssh et fichier de stockage de la clé publique : $ sudo mkdir .ssh $ sudo gedit ~/.ssh/authorized_keys2 > Copier/coller dedans la clé publique obtenue sur le poste client. Pour ce faire ouvrir sur le client le fichier /home/user/.ssh/id_dsa.pub en faisant : $ gedit /home/user/.ssh/id_dsa.pub Copier la clé obtenue. > Configuration du poste serveur SSH > Editez le fichier SSH-serveur : $ gksudo gedit /etc/ssh/sshd_config > Mettez PermitRootLogin no (plus prudent) > AuthorizedKeysFile /home/glapbox/.ssh/authorized_keys2 ou %h/.ssh/authorized_keys2 > PasswordAuthentication no Passez de yes à no pour interdire l'utilisation du mot de passe et forcer l'usage de jeux de clefs public/privé (plus sûr). > UsePAM no > Enregistrer et relancer SSH : sudo service ssh restart 3. Connexion du client à la GLAP-Box par SSH Ensuite, on peut lancer la connexion SSH depuis le client : 1. Connexion simple en console On peut se connecter et prendre et accéder à la GLAP-Box en mode sécuriser dans un Terminal sur le client avec la ligne de commande (où 192.168.1.x est l'adresse de la GLAP-Box) : $ ssh [email protected] Bien remarquer que la l'invite s'est changée : on est enligne de commande sur la GLAP-Box depuis le PC de contrôle. 2. Connexion VNC via SSH Mais on peut faire beaucoup mieux : on peut se connecter en accès au bureau distant par SSH ce qui sécurise la connexion. Pour lancer la connexion VNC via SSH, on fait dans un Terminal sur le client (où 192.168.1.x est l'adresse de la GLAP-Box): $ ssh -L 5901:localhost:5900 [email protected] Si message d'erreur ou de warning, accepter... Bien remarquer que la l'invite s'est changée : on est enligne de commande sur la GLAP-Box depuis le PC de contrôle. ATTENTION A BIEN UTILISER LE BON user !! NB : cette ligne a pour effet de « lier » le port 5900 ssh sur localhost 5901 NB2 : La connexion SSH nous donne en fait une console serveur sur le client : on contrôle le serveur depuis le client. puis, dans un nouveau Terminal, sur le client, on lance VNC avec au choix : xtightvncviewer à l'adresse 127.0.0.1:5901 ou aussi avec xvnc4viewer 127.0.0.1:5901 Remarque : La connexion sécurisée SSH est plus lente que la connexion VNC directe sans SSH. 3. Déconnexion SSH Pour se déconnecter : pour se déconnecter du serveur, saisir la commande exit dans la console de connexion SSH. 3. Installation du « wake on lan » = réveil sur réseau (ne marche pas..) Doc utile ici : http://doc.ubuntu-fr.org/wakeonlan et ici : http://cvardon.fr/tutos/reseau_WAKE_ON_LAN.html Avant tout quelques précisions : • la fonction wake On Lan est capable de réveiller soit un PC en veille, soit un PC éteint... • la carte réseau du PC doit rester allumée lorsque le PC est éteint si la fonction WOL est bien activée sur le PC... Liens utiles : Cf exemple : http://www.debian-fr.org/wake-on-lan-sur-stable-t15146.html 1. Activer « wake on lan » dans le Bios Tout d'abord activer le wakeOnLan dans le Bios (rubrique power...) Appui sur F2 au démarrage. 2. Config en ip fixe Ensuite Configurer en ip fixe. J'ai essayé sans, et çà ne marche pas. En fait, çà semble logique : si on est en DHCP, l'IP est attribuée par le routeur sur requête du PC... qui est éteint et donc ne peut rien demander au serveur DHCP... Par contre, il faut que l'IP fixe utilisée soit en dehors de la plage des adresses DHCP du routeur (pour moi une Livebox)... La plage sur la livre box est de 10 à 50, le routeur ayant l'IP xxx.xxx.xxx.1 Sous 12.04, il y a quelques modifs par rapport à avant... Une page bien faite ici : http://sorrodje.alterit.org/index.php?article21/ubuntu-12-04-server-configuration-dns-et-ip-fixe Donc, on édite en sudo le fichier /etc/network/interfaces sur la glapbox $ sudo gedit /etc/network/interfaces Puis copier : # The primary network interface auto eth0 # nom de l'interface iface eth0 inet static address 192.168.1.10 # adresse IP fixe à utiliser – hors plage DHCP ++ netmask 255.255.255.0 # sous-masque du réseau gateway 192.168.1.1 # passerelle = le routeur dns-nameservers 8.8.8.8 # serveur DNS – spécifique 12.04 LTS ATTENTION : NE PAS UTILISER DE COMMENTAIRES... sinon problèmes... # The primary network interface auto eth0 iface eth0 inet static address 192.168.1.10 network 192.168.1.0 netmask 255.255.255.0 gateway 192.168.1.1 dns-nameservers 8.8.8.8 3. Installer WOL sur pc à réveiller Installer le paquet eththool Une fois fait, dans un Terminal, taper la commande ifconfig pour avoir la liste des interfaces. On doit avoir une interface ethernet appelée eth0 Ensuite, vérifier que la fonction wol (wake on lan) est activée pour cette interface avec la commande : $ sudo ethtool eth0 On obtient une série d'infos du style : Duplex: Full Port: MII PHYAD: 1 Transceiver: external Auto-negotiation: on Supports Wake-on: g Wake-on: d Link detected: yes Si on obtient : Wake-on: d c'est que la fonction wol n'est pas activée. Pour l'activer, faire : sudo ethtool -s eth0 wol g Pour info, -s permet la modification des paramètres de l'interface. Pour rendre cette opération permanente, il faut l'ajouter au fichier /etc/rc.local qui est exécuté en root au démarrage. Ouvrir le fichier avec $ gksudo gedit /etc/rc.local et ajouter la ligne suivante à la fin du fichier, avant la ligne exit 0 ; ethtool -s eth0 wol g Pour que la carte réseau ne s'éteigne pas à l'extinction ? Gksudo gedit /etc/default/halt Ajouter la ligne NETDOWN=no ? et wol= 1 ? modifier aussi /etc/init.d/halt ? En fait, il semble que networking est appelé avant halt donc l'instruction netdown=no est sans effet... voir le rép /etc/rc0.d/ (on voit que networking est avant halt..) (au sujet rc0.d voir : http://www.debian.org/doc/manuals/debianreference/ch03.fr.html) il faut modifier aussi : sudo gedit /etc/init.d/networking au niveau de la rubrique stop) et ajouter ifconfig eth0 up et aussi : ethtool -s eth0 wol g voir ici : http://doc.ubuntu-fr.gorg/wake-on-lan Il faut réussir à ce que le PC à réactiver s'éteigne avec la carte Réseau allumée. A noter que c'est le cas avec sudo halt dans un Terminal mais pas avec éteindre ? Ensuite noter l'adresse MAC de l'interface eth0, toujours à l'aide de ifconfig. C'est le nombre après Hwaddr sous la forme xx:xx:xx:xx:xx:xx Ensuite, il faut générer la trame à envoyer vers le PC à réveiller, appelée aussi « paquet magique ». Pour cela, on utilise un logiciel : installer le paquet wakeonlan ensuite dans une console, faire : wakeonlan xx:xx:xx:xx:xx:xx Pour réveiller avec port et numero réseau : wakeonlan -i 192.168.1.255 -p 22 70:71:BC:4B:C4:64 10. Installation de quelques ressources divers utiles => sons => prog d'exemple... 11. Installation de drivers matériels spécifiques 1. Installation de la clé USB Cisco Dual-Band Wireless-N USB Adaptateur – réf WUSB600N – v2 Par X. HINAULT - MAJ : 30 Aout 2011 1. Infos utiles > Ralink (Taîwan) est un rare fabricant qui a une politique de coopération avec le monde Linux voir : http://www.ralinktech.com/ Page des drivers Linux : http://www.ralinktech.com/support.php?s=2 > Linksys est une filiale interne de Cisco 2. Sources utiles > Le chipset de la clé est RT3572 de chez ralink : http://www.ralinktech.com/product.php?s=33 3. Explication procédure > Pour la clé USB WUSB600N v2, sous Ubunu 10.04, et suivantes, il faut compiler le driver à partir des sources. 4. Sources du driver : > http://www.ralinktech.com/support.php?s=2 RT Choisir le lien 3572USB 5. Liens utiles pour l'installation des drivers ATTENTION : plusieurs procédures trouvées sur le net concerne des versions antérieures à la v2 > LE LIEN : http://doc.ubuntu-fr.org/utilisateurs/lamoina/wifi_ralink_rt3572sta ! > Comparable pour version précédente : http://www.linuxquestions.org/questions/linux-wirelessnetworking-41/linksys-wusb600n-driver-and-dlink-dwl-ag132-driver-622449/ En vrac : > http://homecommunity.cisco.com/t5/Wireless-Adapters/UBUNTU-WUSB600N-v2-WORKS/tdp/318026 > pour la 10.10 : http://forum.ubuntu-fr.org/viewtopic.php?id=427652 > pour 10.10 64 bits : http://ubuntuforums.org/showthread.php?t=1590144 6. Télécharger et extraire l'archive des sources : > Aller sur le site http://www.ralinktech.com/support.php?s=2 et RTChoisir le lien 3572USB > saisir mail et nom et valider > Enregsitrer le fichier dans le rép de votre choix – Sous Ubuntu dans Téléchargements par exemple. On obtient un fichier : 2011_0427_RT3572_Linux_STA_v2.5.0.0.DPO.bz2 > Ensuite, clic droit et extraire le fichier on obtient une archive appelée 2011_0427_RT3572_Linux_STA_v2.5.0.0.DPO > Re-clic droit sur cette seconde archive et extraire : on obtient un répertoire appelé 2011_0427_RT3572_Linux_STA_v2.5.0.0.DPO > Voici le contenu du Rép obtenu : 7. Vérification détection clé USB > Connecter la clé USB wifi sur un port USB. En ligne de commande saisir lsusb ce qui donne quelque chose comme : On constate que la clé est bien détectée (ligne Linksys). Bien noter l'identifiant utilisé qui est : 1737:0079 8. 1. Modification des sources avant la compilation Se placer dans répertoire des sources > Commencer par se positionnner dans le répertoire de Téléchargement et se mettre dans le répertoire 2011_0427_RT3572_Linux_STA_v2.5.0.0.DPO. En ligne de commande : cd /home/glapbox/Téléchargements/cisco/ralink/2011_0427_RT3572_Linux_STA_v2.5.0.0.DP O (Le chemin est à adapter à votre situation) 2. Modifier le fichier config.mk > Ensuite, on édite avec les droits admin le fichier os/linux/config.mk en faisant en ligne de commande gksudo gedit os/linux/config.mk > Dans ce fichier, il faut modifier 3 lignes : # Support Wpa_Supplicant HAS_WPA_SUPPLICANT=y # Support Native WpaSupplicant for Network Maganger HAS_NATIVE_WPA_SUPPLICANT_SUPPORT=y HAS_LED_CONTROL_SUPPORT=y > Ensuite, enregistrer. 3. Modifier le fichier rtusb_dev_id.c > De même on édite le fichier suivant avec les droits administrateurs : gksudo gedit common/rtusb_dev_id.c > Dans ce fichier, on va ajouter l'identifiant de la clé en se basant sur le numéro obtenu lors du test de détection de la clé : #ifdef RT35xx {USB_DEVICE(0x148F,0x3572)}, /* Ralink 3572 */ {USB_DEVICE(0x1740,0x9801)}, /* EnGenius 3572 */ {USB_DEVICE(0x0DF6,0x0041)}, /* Sitecom 3572 */ {USB_DEVICE(0x0DF6,0x0042)}, {USB_DEVICE(0x04BB,0x0944)}, /* I-O DATA 3572 */ {USB_DEVICE(0x1690,0x0740)}, /* 3572 */ {USB_DEVICE(0x1690,0x0744)}, /* 3572 */ {USB_DEVICE(0x5A57,0x0284)}, /* Zinwell 3572 */ {USB_DEVICE(0x167B,0x4001)}, /* 3572 */ {USB_DEVICE(0x0930,0x0A07)}, /* TOSHIBA */ {USB_DEVICE(0x1737,0x0079)}, /* Linksys WUSB600Nv2 */ #endif /* RT35xx */ NB : Bien faire attention aux accolades !! NB2 : Au passage, on constate que de nombreux matériels utilisent le chipset 3572 4. Compilation des sources > Rester toujours dans le répertoire des sources... au besoin : cd /home/glapbox/Téléchargements/cisco/ralink/2011_0427_RT3572_Linux_STA_v2.5.0.0.DPO > passer en mode administrateur : sudo -s > nettoyer le make : make clean > lancer la compilation : make > lancer l'installation : make install (=> Faire $exit pour sortir du mode administrateur => faire après finalisation ...) 5. Finalisation > toujours en mode administrateur, ouvrir gedit /etc/modules > et ajouter la ligne, puis enregistrer : rt3572sta > Pour sortir du mode administrateur, faire : $exit > > Pour charger manuellement le module avant de relancer, on peut faire : sudo modprobe rt3572sta => la connexion doit se faire à ce moment > Enregistrer et redémarrer... Normalement, c'est bon NB : Cette procédure de compilation est à refaire à chaque mise à jour du noyau... 6. Remarques > D'une tentative avec ndiswrapper au préalable, persistait un fichier /etc/modprobe.d/ndiswrapper qui contenait des lignes d'alias pour la clé : j'ai tout supprimé, sar çà ne marchait pas... > Pour charger manuellement le module avant de relancer, on peut faire : sudo modprobe rt3572sta > le répertoire /etc/modprobe.d/ contient un fichier rt3572sta.conf qui contient la ligne alias ra0 et blacklist 2800 12. Accéder à internet via le poste fixe d'accès VNC. Le cas de figure est le suivant : • • le poste fixe d'accès VNC dispose de 2 interfaces réseau : ◦ une interface eth0 qui permet l'accès internet ◦ une interface ra0 qui permet la connexion wifi avec la GLAP-Box on souhaite accéder à internet depuis la GLAP-Box en « connectant » l'interface wifi et l'interface ethernet du poste fixe A priori, la solution passe par ce que l'on appelle un « pont réseau » . La manip est à faire sur le poste fixe. => non car le pont c'est sur le même réseau à priori ou entre 2 ethernet... La solution passe par l'ajout d'une route sur le poste fixe ? Glap-Box sur 192,168,3,127 avec routeur 192,168,3,1 et poste fixe 192,168,3,126 Poste fixe sur 192,168,1,10 avec routeur 192,168,1,1 On veut que Glap-Box puisse atteindre le routeur 2ème réseau 192,168,1,1 Pour avoir la liste des routes sur le poste client : sudo route -n Pour ajouter le routage du trafic 192,168,3 vers 192,168,1,1, on ajoute la route suivante au poste fixe ? sudo route add -net 192.168.3.0 netmask 255.255.255.0 gw 192.168.1.1 voir ici : http://doc.ubuntu-fr.org/routage Sinon, la solution la plus simple consiste à utiliser un routeur connecté à internet pour le réseau entre la GLAP-Box et le poste fixe. 13. Trucs à connaître 1. Pour obtenir un Terminal CTRL + T 2. Pour stopper un logiciel Ouvrir un Terminal Commande top Saisir le numéro du processus à stopper Touche k (pour kill) et saisir le numéro Puis saisir term => le processus est arrếté 14. Webographie • http://www.xfce.org/ • http://xubuntu.org/ • http://distrowatch.com/ 15. Cloner l'image du système Dans mon cas, j'ai installé le système sur un disque dur 40Go. Pour faire des petits, pas question de reprendre toute la procédure... d'où l'idée de cloner le système simplement. Ceci est rendu possible grâce à un utilitaire dédié, Clonezilla qui est en fait une image Debian qui permet de cloner un disque. Sources utiles > http://doc.ubuntu-fr.org/clonezilla Procédure : > Commencer par télécharger la dernière version de l'archive iso 'debian based' (donc compatible Ubunut) ici : http://clonezilla.org/downloads.php Laquelle choisir ? > Graver un CD avec Brasero à partir de l'image ISO. L'image n'est pas très grosse... > A priori, on peut aussi faire clé USB live, etc... Voir ici : http://clonezilla.org/liveusb.php Et ici : http://tuxboot.org/installation-screenshots.php çà n'a pas l'air si compliqué... Est basé sur Unetbootin : voir ici : http://unetbootin.sourceforge.net/ >> Installer le paquet unetbootin dans synaptic >> Graver l'ISO sur une clé USB >> Télécharger le fichier ici : http://tuxboot.org/download/files-on-sf.php >> rendre éxécutable (clic droit > permissions > exécutable) >> Lancer le logiciel : >>> hinault@hinault-desktop:~$ cd Téléchargements/tuxboot/ >>> hinault@hinault-desktop:~/Téléchargements/tuxboot$ sudo ./tuxboot-linux-25 >> suivre les étapes ici : http://tuxboot.org/installation-screenshots.php > Préparer le système à copier avec disque dur source et disque dur destination installés et aussi un lecteur de CD-ROM > Faire démarrer en bootant sur le CD-Rom ou la clé USB avec Clonezilla (entrer dans le bios avant... ) > Suivre ensuite la procédure indiquée ici : http://www.cyrilleborne.com/public/pdf/Cloner_Restaurer_une_installation_complete.pdf En fait, par rapport à cette procédure, on choisit l'option « disque vers disque » plutôt que « disque vers image » => Ne pas oublier d'enlever la clé USB de Clonezilla... => Trop top !