Presse The Rabeats - Théâtre de Saint-Malo
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Presse The Rabeats - Théâtre de Saint-Malo
FRANCE SOIR : "En hommage aux Beatles, quatre amis ont créé le groupe des Rabeats. Cette année, ils fêtent leurs dix ans. Yesterday, Michelle, Hey Jude, Please Please Me, autant de tubes légendaires qui ont traversé les frontières et les générations. Depuis dix ans, les Rabeats s’attachent à perpétuer la mémoire des Beatles sur scène. Quatre garçons dans le vent qui emmènent le public dans l’ambiance des années 60. Coupe au bol, costards noir serrés, les Rabeats ne se prennent pas au sérieux et misent sur la sincérité. « Sur scène, on est comme dans la vie. On ne calcule rien », explique Sly. Et d’ajouter : « Notre groupe n’est pas un coup monté. » Si à l’origine, les quatre amis appartiennent à des groupes différents, ils se retrouvent dès qu’ils en ont l’occasion pour faire des bœufs et partager leur passion pour les Beatles. D’amateurs, ils passent professionnels et enchaînent les tournées dans toute la France. Très vite, les fans des Beatles prennent les quatre hommes au sérieux. Jamais dans l’exagération, les Rabeats s’évertuent à rendre hommage à leur groupe favori sans jamais verser dans la caricature. « Le plus important pour nous est de faire des concerts familiaux », souligne Sly. Il n’est d’ailleurs pas rare de voir dans les salles de concert des grands-parents accompagnés de leurs enfants et de leurs petits-enfants. Les Beatles, une histoire de famille ? « J’ai découvert les Beatles grâce à mes parents. Chez moi, il y avait des 45-tours du groupe. Je me revois encore les mettre dans le tourne-disque. Ce jour-là, j’ai été scotché à jamais », se rappelle le chanteur. Comme Sly, beaucoup de spectateurs ont découvert les Beatles en famille. Ironie du sort, Laurette, la fille du batteur, et Clémentine, la fille du bassiste, sont devenues des fans inconditionnelles du groupe britannique. La preuve que la mémoire des Beatles n’est pas près de s’éteindre. n Album live au Bataclan dans les bacs. Et en tournée dans toute la France : Bourges le 6 février, Zénith de Caen le 13 février, Zénith de Dijon le 14 février, Reims le 13 mars, Lille le 20 mars, Zénith d’Amiens le 28 mars, Saint-Etienne le 24 avril." - Ingrid Bernard LE TELEGRAMME : .. le groupe Les Rabeats a enthousiasmé, voire même enflammé, le public venu nombreux applaudir ces quatre jeunes Picards, qui interprètent des titres du groupe légendaire Les Beatles. De « Yesterday » à « Please, please me » ou « Love me do », les Rabeats ont repris avec brio leurs plus grands tubes. Le public a terminé debout, les mains en l'air, dansant avec frénésie et reprenant en choeur tous les refrains. SUD-OUEST : "Oh my Dax ! Mardi soir, un souffle très british a fait chavirer les arènes. Pourtant nul besoin d'accabler Albion d'une nouvelle perfidie, les responsables sont quatre garçons dans le vent bien de chez nous. Les Rabeats, c'est leur nom, font tout comme les Beatles. Coupe au bol, chemise près du corps et tubes légendaires, c'est tout l'univers des idoles de Liverpool qu'ont revisité les Rabeats. Le mimétisme est poussé jusque dans la langue et les moindres détails de ces « lapins » (rabbits en anglais) d'un nouveau genre : « Good evening everybody ». Le ton est donné et le concert peut débuter. « Hard Day's Night », « Yesterday » ou « Help », les plus grands succès des Beatles sont revisités. Il n'en faut pas plus pour conquérir le courageux public dacquois, présent malgré les nuages et le froid. Les plus vaillants ont pris d'assaut le centre de l'arène au plus près de la scène. Les plus prudents sont, eux, restés dans les gradins. La pluie peut bien tomber, le rock'n'roll a déjà pris ses quartiers. Partout on fredonne, on chante, et on danse. Rock, twist ou slow, il y en a pour tous les goûts. Et quand les Rabeats reprennent « She loves you », toutes les arènes se lèvent. Un spectateur ravi s'écrit : « Moi je leur donne une oreille ». Pour « Hey Jude », le public succombe à la ballade des Rabeats. Les spectateurs se tiennent par les épaules et se balancent briquets au vent. Les Rabeats profitent de l'étincelle pour embraser les arènes. La foule entière succombe pour « Twist and Shout ». Le spectacle a fait des heureux. « C'est presque mon époque. À 98 %, ce sont les mêmes. Je suis ravi », sourit Francis, 52 ans. La magie des Beatles n'a rien perdu de son éclat et ces Rabeats en sont la plus belle preuve." - Nicolas Allix LA NOUVELLE REPUBLIQUE : "C'est tout sauf un coup monté", résume Sly (guitare et chant). "Nous faisons simplement ce que nous aimons faire". Deep, grand gaillard qui joue la basse dans le groupe, acquiesse avec conviction. Ces "Lapains" - on notera le jeu de mot "Rabbits" et "Rabeats" - se taillent une solide réputation en jouant au plus près du texte le répertoire des Beatles. Nous les avons croisés hier quelques heures avant leur entrée en scène. Si le mimétisme instrumental, vocal et physique - perruques et lunettes à la Lennon - est plus que surprenant, ce n'est pas du cirque. Il est vrai que l'effet est confondant. La simplicité et l'humour de ces lapins "beatlellisés" force immédiatement la sympathie. "On vait le choix entre ça et le talent !" Gamins, va... Il suffit d'entendre "Im'The Walrus" (préféré de Sly)à ou Strawberry Fileds For Ever, ou "Paperback Writer" (Deep) pour ressentir que le talent est bel et bien là... Ce qui est vrai, c'est qu'ils joueront samedi en Angleterre pour le départ du Tour de France ! Quant à l'avenir plus lointain, c'est comme le reste : pas calculé !" - Alain Vildart LE MONDE : "En répétition, les Rabeats ne laissent pas deviner leur prochaine métamorphose. Ces quatre gaillards d'Amiens se coulent pourtant dans la peau de Paul, John, George et Ringo dès qu'ils enfilent leur blouson "sixties" et les perruques adéquates sur leur crânes dégarnis. Premier groupe français du genre à connaître le succès, les Fab Four de Picardie ont rempli deux Olympia. Leur secret : un mimétisme vocal et instrumental saisissant. Même entre les morceaux, le chanteur-guitariste, Sly, parle avec l'accent de Liverpool. La première moitié du show exploite la vélocité pop des débuts - She Loves You, All My Loving, Help... Plus troublant, les chansons composées par les Anglais après leurs adieux à la scène (en 1966). L'interprétation de Revolution, Hey Jude ou A Day in the Life donnent-elles une idée de ce qu'aurait pu être les versions live des Beatles ? La fraîcheur candide des Rabeats gomme la face plus tourmentée de ces titres, comme si les Beatles de A Hard Day's Night jouaient les chansons du double blanc. Emporté par une vitalité gravée dans la mémoire collective, le public se laisse aller avec plaisir à ce divertissement familial." - Stéphane Davet LE JOURNAL DE SAONE ET LOIRE : "Vendredi soir à Montceau, pas de chaises cassées ni de fans en transe se jetant sur la scène. Depuis les années soixante et la Beatlesmania, les temps ont changé. Mais il y a quelque chose qui transcende les époques : le répertoire des Fab Four. Interprétés par les quatre Picards des Rabeats, ces morceaux mythiques ont enthousiasmé des spectateurs venus en nombre pour écouter le concert gratuit organisé par la municipalité. Ce qu'il y a de magique avec ces quatre-là, outre leur costume british et leur frange épaisse, c'est l'énergie qu'ils déploient sur scène. Quand le chanteur lance « Help », tout le public reprend : « I need somebody ». Bon choix donc, pour une Fête de la musique qui se veut populaire, que ces Rabeats qui ont attiré toutes les générations : des quinquas qui ont vécu la frénésie des sixties, des quadras bercés par des mélodies devenues classiques et des plus jeunes, qui n'ont pas boudé leur plaisir et qui, surprise, connaissent le répertoire des scarabées aussi bien que leurs parents. Au premier rang, Ludivine, Julie et Laurianne, à peine soixante ans à elle trois, ont vécu le concert « comme si c'était les vrais ». La maman de l'une des jeunes femmes, Marie-Thérèse, n'est pas moins enchantée : « On n'est vraiment pas déçues. Quelle ambiance ils mettent ! » Jean-Marc, en spécialiste des quatre garçons dans le vent, a surtout pris plaisir à les entendre chanter des morceaux jamais joués sur scène par les Beatles. De « Love me do » à « Back in USSR » en passant par « Let it be » et « Twist and shout », c'est toute la nostalgie d'une folle époque qui a fait vibrer Montceau. Et à laquelle les centaines de spectateurs n'ont pas manqué de donner un nouveau souffle."- F.P. LA VOIX DU NORD : "The Rabeats remontent le temps. Coupe au bol, lunettes rondes et jean serré de rigueur, l'illusion fonctionne à merveille. Le public n'a pas besoin de fermer les yeux pour apprécier les tubes incontournables : I want to hold your hand, Drive my car... " "Les Rabeats ont attiré sept cents personnes qu'ils ont littéralement enthousiasmées pendant plus de deux heures de concert. Ils ont interprété les succès les plus célèbres de leurs idoles, mais aussi des tiitres moins connus ou encore des tubes que les Beatles ont enregistrés en studio sans jamais les jouer et les chanter sur scène. Les Rabeats ont ainsi, peut-être, comblé un vide chez certains spectateurs. [...]Ce qui est bluffant, c'est la réaction du public. Quand le groupe le lui demande, celui-ci se lève, tape dans les maisn et danse. Et continue sur sa lancée. Il ne manque à vrai dire pas grand chose pour pouvoir établir un rapprochement avec l'hystérie provoquée à chaque apparition des Beatles au plus fort de leur popularité. Les Rabeats ressuscitent une époque que les moins de quarante ans ont à peine pu connaître. Cela n'a pas empêché ces derniers, voire de plus jeunes, d'être présents en nombre, ni de se laisser conquérir." L'UNION : " Ambiance surprise-partie des années 60 vendredi soir au Forum avec, à la place des platines, les Beatles ou presque. Ca tapait du pied et ça se dandinait dans les fauteuils jusqu'à ce que certain se lévent et esquissent quelques pas. Il n'en faudra pas plus pour que la salle se transforme en un dancing ou le twist était roi. [...] Bref, la prestations fut très appréciée. Comme le faisait remarquer Françoise et Christian, venus de St Quentin "Contrairement à ce que l'on pense, c'est un art difficile de copier un mythe comme celui-là". Patricia, de Noyon, et Annie, de Compiègne, étaient fans des Beatles il y a quarante ans. Elles le sont tout autant des Rabeats aujourd'hui. "On a leur disque et leur DVD. Ce que font ces jeunes, c'est génial il arrangent un peu les morceaux mais sans les dénaturer. On pense que c'est ce qu'auraient fait les Beatles si le groupe existait toujours". A la fin du concert, beaucoup de jeunes en redemandaient, criant à tue-tête, Sly, Flamm, Deep et Mars'l. Qui sait, peut-être le début d'un Rabeatsmania ? " - Lucie Lefebvre VIVRE AU FEMININ : " Non, ce ne sont pas Beatles, mais ces quatre garçons dans le vent savent donner le change. Amoureux fous du groupe anglais mythique, ils assurent. Plus vrai que nature ! mais qu'on se le dise, avec plus de 500 concerts à leur actif en France ainsi que la première partie de Pascal Obispo, les Rabeats sont devenus une valeur sûre. Pour le feeling, c'est le nec plus ultra de la discographie. Ils ont construit leur tour de chant comme un hommage à leurs prestigieux inspirateurs..." ROLLING STONE : "Quelques temps déja que The Rabeats traînent une réputation d'excellent tribute-band du Fab Four. Le meilleur du lot ? Non, pour ça, la place est prise depuis belle lurette par The Rutles (ce fameux groupe monté de toute pièce par la smala Monthy Python en vue d'un docu d'anthologie), et on ne reviendra pas là-dessus ! The Rabeats, donc. Quatre garçons dans le vent du Nord de la France qui enquillent date après date avec toujours la même obsession : reprendre le catalogue Scarabées avec une application sans faille. Et rien n'y manque : les costards et les coupes de douilles au cordeau, les Gretsh rutilantes, l'estrade circulaire pour le batteur. Et malgré quelques téléscopages spatio-temporels ("I Am The Walrus" ou "Revolution" associés à l'époque "garçons-coiffeurs", mouais...) on se laisse vite prendre au jeu." - Xavier Bonnet NICE-MATIN : "Même son pop-rock britannique, mêmes costards sombres, mêmes franges épaisses... L'illusion était parfaite hier soir au Théâtre de Verdure de Nice, on aurait pu se croire à un concert des Beatles. Sauf qu'il s'agissait des Rabeats. Rencontre avec ces quate amoureux des "Scarabées". Pourquoi reprendre les chansons des Beatles ? : C'est pour nous le meilleur groupe du monde, leur musique n'a pas d'âge et elle est extrêmement variée. Cela va du slow de l'été comme "Let It Be" ou le gentillet "Michelle" qui ne fait pas de mal aux oreilles de Mémé, jusqu'au punk de "Helter Skelter", prémisses du heavy-metal ! Et puis les gens viennent pour une certaine magie "Beatles" qui'ls n'ont jamais pu voir. Nous jouons parfois nos compositions mais toujours dans l'esprit Beatles. Et quand à la fin du concert les connaisseurs viennent nous voir pour nous dire qu'ils ne connaissent pas la-dite chanson, ça nous fait plaisir." - M.Ch LE COURRIER PICARD : "Près de 1700 personnes ont assisté au concert des Rabeats au cirque Jules-Verne. Devant leur public, ils ont mis une ambiance du tonnerre. Beaucoup de groupes se sont inspirés de la musique des Beatles, eux préférent tout simplement la jouer. Sur scène, Sly le chanteur, Deep le bassiste, Marcello Mysterioso le guitariste et Flamm à la batterie se glissent dans la peau des quatre garçons de Liverpool. Dans les gradins ou massés devant la scène, les plus vieux ont retrouvé hier soir leurs vingt ans et les petits jeunes ont découvert que toutes ces chansons n'ont rien perdu de leur efficacité. Quelques filles sont même venues déguisées. Mini jupe très année soixante ou tenue plus baba-cool, au choix. Chez eux, devant leur public, les Rabeats ont mis un point d'honneur à mettre une ambiance du tonnerre. Sur la piste, les couples n'ont pas hésité à danser quelques rocks endiablés. Un cirque entier s'est mis à chanter avec eux pour Kansas City/Hey Hey Hey, ou les paroles en français de Michelle. Et dans la salle baignée par les lumières jaunes, pas un seul spectateur n'a pu s'empécher de fredonner Yellow Submarine. Les Rabeats ont trouvé le secret pour remonter le temps et donner la pêche à tout le monde ! "- Estelle Thiébault "Pourquoi aime-t-on autant les Rabeats ? Bah, parce qu'ils ressemblent terriblement aux Beatles, qu'ils jouent des morceaux des Beatles. Et même qu'on croirait les Beatles, les vrais. Les ceusses de Liverpool. Au fil des ans, ils ont affiné leur répertoire, passant d'interprétations copies conformes, à des manières d'adaptations où l'on sent leur coup de patte. Car les quatre garçons dans le vent sont sensibles, créatifs et sincères. Il faut les entendre balancer Love Me Do, Please Please Me ; il faut les entendre sussurer Yesterday ou Michelle. C'est fou, ça fait du bien. Les Rabeats sont habités par un touchant feeling..." - Philippe Lacoche L'EST-REPUBLICAIN : "Pas un superlatif de la langue française ne suffit à définir ce qui s'est passé samedi soir derrière les murs de l'espace Georges-Sadoul. Le groupe The Rabeats a littéralement enflammé et réchauffé les coeurs des spectateurs totalement conquis. On en parle depuis quelques temps déjà, entendant par-ci, par-là, que quatre picards font un véritable tabac à chaque prestation de leur hommage aux Beatles, on veut bien le croire mais en attendant on se demande comment quatre artistes peuvent aujourd'hui sans s'y perdre interpréter un tel répertoire. Ceci dit, piqué par la curiosité ou poussé par une certaine envie de retrouver la folie des sixties, on ne résiste pas à l'invitation des Rabeats et de leur Tribute To The Beatles. Il ne restait ainsi plus un siège de libre samedi soir dans les rangs de l'espace Georges-Sadoul où certains avaient même choisi de suivre le spectacle en fond de salle pour ne pas manquer une miette de ce qui promettait d'ores et déjà d'être une belle soirée. Assis dans leurs fauteuils, jeunes et moins jeunes avaient bien du mal à tenir en place, impatients de voir s'ouvrir le rideau rouge et de découvrir enfin ces "Beatles des temps modernes" dont on ne cesse plus de parler. Sous les hourras du public, le moment tant attendu est enfin arrivé au son des premières notes de A Hard Day's Night. Dans un décor aux couleurs changeantes, les quatre musiciens, vêtus du costume de scène des idoles, ont enchaîné les morceaux avec un dynamisme et un talent incroyable. Liverpool ou St-Dié, les Beatles ou les Rabeats, tout s'est confondu et a emporté l'ensemble de la salle dans un extraordinaire vent de fraîcheur et de bonheur. Petits et grands, jeunes et moins jeunes se sont laissés aller ensemble dans la frénésie d'un instant pas comme les autres. D'un même mouvement les jeunes spectateurs ont quitté leurs sièges pour gagner le devant de la scène et danser au son des standards du groupe mythique, impeccablement interprétés par de véritables artistes qui jouent la carte de la complicité avec un public conquis. De Let It Be à Hey Jude, en passant par Twist'n'Shout, Help et tellement d'autres encore, on a dansé, tapé du pied et frappé dans les mains dans un même élan. Un moment magique comme seuls les artistes savent en faire naître. Les Beatles ? Les Rabeats ? La générosité et le talent, tout simplement." - Isabelle Gack