503 N°7 - Site web 503

Transcription

503 N°7 - Site web 503
503 LE JOURNAL
http://503lejournal.free.fr
[email protected]
Equipe rédactionnelle :
Aurélie 3A-SE
Benoît 2A
Diane 3A
Fabien 3A-SE
Florian 3A
Grégory 2A
Guillaume 2A
Jean-Yves 3A☻
Pierre 2A
Ont collaboré à ce numéro :
(Par ordre d’apparition)
Eva 3A
Jean-Louis et les Stéphanois
Elodie Eric François 3A
Nicolas 3A
Antoine 3A
Johan 2A
Lydie 2A
Perrine Jean-Damien Thomas 3A
Club Q
Matthieu 2A
Thierry 2A
Forum
Remerciements :
M. Meyzonnette pour sa participation
au dossier Saint-Etienne
Mme Delmotte et la reprographie
pour la publication du journal
Diffusion mensuelle
N°7 – Octobre 2003
503 Le Journal
Edito – Octobre 2003
Jean-Yves L. , Diane B.
N’en déplaise à certains, le 503 n’est pas mort, loin de là !
Après un bon mois de vacances supplémentaires, nous revenons, pour le
meilleur comme pour le pire, mais surtout boostés par le vent de
renouveau tant attendu qui souffle sur l’équipe. Saluons donc
chaleureusement l’arrivée au sein du Team 503 de Pierre Mermillod, de
Grégory Duchêne, de Benoît Marcon et de Guillaume Cassar : merci à tous
ces 2A qui nous ont rejoints, et espérons que beaucoup d’autres 2A et 1A
décident à leur tour de franchir le pas !
V
oici le premier numéro de l’année
2003/2004, le septième depuis la
naissance du 503, mais surtout le
premier que connaîtront nos chers 1A
actuels… Nous vous épargnerons
l’exposé sur l’histoire du journal, qui
s’inscrirait dignement dans la plus pur
tradition des tragédies grecques
antiques, les plus curieux pourront faire
un tour du côté de notre site web pour
en savoir plus :
http://503lejournal.free.fr
1A, retenez bien cette adresse :
vous pourrez entre autre y trouver un
trombi online (dans lequel vous figurez
déjà…), ainsi que les précédents
numéros du journal, téléchargeables
au format pdf ; leur lecture vous
procurera, outre un bon moment de
détente, un très bon aperçu de l’école
vue par les élèves : des coups de
gueule ou de cœur, mais surtout de
précieuses
informations
sur
l’administration, les collègues de
promo, la vie étudiante et associative et
les sorties… Tel est l’esprit du journal.
Cet esprit parlons-en : si le journal
recense un certain nombre de membres
actifs, c’est en revanche à l’ensemble
des élèves, membres ou pas,
qu’appartient la rédaction d’articles.
Le mot d’ordre est « libre expression »,
sachant toutefois que pour être
efficace, celle-ci se doit avant tout
d’être pertinente.
De l’épais dossier appuyé par des
chiffres
officiels
au
dossier
complètement fictif et monté de
toutes pièces mais si drôle, de
l’article informatif en provenance de
clubs au roman photo complètement
loufoque en passant par les bons tuyaux
en matière de sorties, la diversité des
articles publiés est telle que chacun est
à même d’en rédiger ; la prétendue
timidité, le soit-disant manque de style
ou d’inspiration ne peuvent de fait
constituer une excuse, bonne ou
mauvaises…
Ça y est, vous avez écrit un article ?
Alors ne perdez pas de temps et
envoyez
le
de
suite
à
[email protected] ! Vous avez une
idée d’article mais aimeriez avoir un avis
avant de vous lancer, ou vous désirez
monter un dossier factice mais vous
avez besoin d’aide ou de moyens
techniques ? N’hésitez à nous contacter,
sur l’irc en nous rejoignant sur
#503lejournal, ou en personne :
cherchez Diane, Florian ou Jean-Yves
en 3A, nous nous ferons un plaisir de
vous aider !
Nous disposons maintenant d’un
« staff » plutôt encourageant pour le
journal, mais il appartient désormais
autant à vous qu’à nous de le remplir de
manière conséquente. Le moindre
moment, le moindre sentiment peuvent
être prétextes à l’écriture. Nous ne
recherchons pas le dernier Pulitzer,
simplement quelques lignes jetées ici ou
là, et qui sont autant de tranches de vie
à partager (mon mal est délicieux, je
sais…). C’est une chance, pas une
contrainte : après, il ne nous restera
plus que le « courriers des lecteurs »
des magazines !
Team 503
DETOURS
PAUVRES IMBECILES
N
aron, qui appartenait à la race rigellienne à
longue vie, était le quatrième de sa lignée à
tenir les dossiers galactiques.
Il avait le grand livre qui contenait la liste des
nombreuses races qui, dans toutes les galaxies,
possédaient une intelligence, et le livre bien plus petit
où étaient inscrits les noms des races qui avaient
atteint la maturité et s'étaient qualifiées pour la
Fédération galactique. Dans le premier livre, un
certain nombre de celles qui étaient enregistrées
étaient barrées; celles qui, pour une raison ou une
autre, avaient échoué. Le malheur, les imperfections
biochimiques et biophysiques, l'inadaptation sociale
avaient prélevé leur droit de passage. Dans le petit
livre, pourtant, aucun membre enregistré n'avait été
jusqu'à présent barré.
Et maintenant, Naron, grand et incroyablement âgé,
levait la tête, alors qu'approchait un messager.
- Naron, dit le messager. Grand Naron!
- Bon, bon, que se passe-t-il ? Pas tant de
cérémonies.
- Un nouveau groupe d'organismes a atteint la
maturité.
- Excellent, excellent. Ils évoluent rapidement
maintenant. Il ne se passe guère d'années sans qu'il
y en ait un nouveau. Et qui sont ceux-là ?
Le messager donna le numéro de code de la galaxie
et les coordonnées du monde en son sein.
- Ah! Oui, dit Naron. Je connaît ce monde.
Et d'une écriture élégante, il le nota dans le premier
livre et transféra son nom dans le second, se servant,
comme d'habitude, du nom sous lequel la planète
était connue de la plus grande fraction de la
population. Il écrivit : Terre.
- Ces nouvelles créatures, dit-il, ont établi un record.
Aucun autre groupe n'est passé si rapidement de
l'intelligence à la maturité. Pas d'erreur, j'espère.
- Non, monsieur, dit le messager.
- Ils possèdent bien la puissance thermonucléaire,
n'est-ce pas ?
- Oui, monsieur.
- Bon, c'est le critère, gloussa Naron. Et bientôt leurs
vaisseaux partiront en expédition et contacteront la
Fédération.
- Actuellement, Grand Naron, dit le messager , les
observateurs nous disent qu'ils n'ont pas encore
pénétré dans l'espace. Naron était stupéfait.
- Pas du tout? Pas même une station spatiale?
- Pas encore, monsieur.
- Mais s'ils possèdent la puissance thermonucléaire,
où donc font-ils leurs expériences et leurs
explosions?
- Sur leur propre planète, monsieur.
Naron se leva et, du haut de ses six mètres, il tonna :
- Sur leur propre planète.
- Oui, monsieur.
Naron sortit lentement son stylo et fit un trait sur la
dernière adjonction dans le petit livre. C'était un acte
sans précédent, mais Naron était très sage et pouvait
voir l'inévitable tout aussi bien que n'importe qui dans
la galaxie.
- Pauvres imbéciles, murmura-t-il.
Isaac ASIMOV
Nouvelle proposée par JM
Un salon, deux protagoniste assis chacun dans un fauteuil.
Stefen1 : Stefen, je dois te dire quelque chose pour que ma sincérité envers toi ne soit pas bafouée.
Stefen2 : Tu sais bien que tu peux tout me dire Stefen, tu es comme un frère pour moi !
S1 : Mais, Stefen, je suis ton frère !
S2 : …
S1 : J’ai tellement peur que tu me haïsse pour ce que je veux essayer de te dire. Je ne sais par où commencer.
S2 : Par le début Stefen. Tu sais, la vie nous réserve bien des surprises, et quoique tu puisses dire, rien ne peut
briser l’amitié qui nous lie.
S1 : Bon, je me lance, c’est à propos de Pamela…
S2 : …Pamela ! Mon amour de toujours, ma douce et belle Pamela ? La voisine d’en face ?
S1 : Non, pas elle, notre sèche d’aquarium. Elle vient de rendre sa dernière encre. Je suis désolé… Le docteur a
dit qu’elle n’avait pas souffert.
S2 : Mais comment peux-tu m’annoncer cela ? A moi ? Ton frère ! N’as-tu donc aucune compassion ?
Pamelaaaaaaaa !
Le rideau se baisse
Benoit 2a
Paperasses, administration
et autres petits plaisirs
Ce « mini » guide n’a pas la prétention de vous apprendre tout sur tout ni d’être exhaustif
mais a pour but d’aider tout supopticien dans ces folles aventures que sont les taches
administratives et éclairer certains sur les notions de bases.
1/ La sécurité sociale
Etudiant « normal » λ :
En début d’année chaque étudiant λ a à remplir une demande d’immatriculation dans laquelle il précise la caisse
de sécurité sociale qu’il a choisi : lmde ou smerep.
En tant que simple étudiant il ne cotise pas à un autre régime et doit donc s’acquitter d’une somme environnant les
170€.
Important pour les budgets sensibles : le chèque est tiré vers le 15 novembre, ce qui est une très mauvaise
surprise quand on l’a oublié !!! (Surtout à 1 mois de Noël)
L’apprenti α :
Alors là ça se gâte. L’apprenti est un salarié à part entière de l’entreprise qui l’emploie mais son statut particulier
l’exonère de toute charge sociale y compris de la sécurité sociale : son salaire brut est son salaire net. En tant que
salarié, l’apprenti α est donc affilié au régime général et n’a pas à avoir de sécurité sociale étudiante.
Au moment de l’embauche, l’entreprise le déclare à différents organismes mais n’a pas l’obligation de s’occuper de
ses problèmes de Sécu !!! C’est donc à α de se faire immatriculer auprès de la caisse primaire d’assurance
maladie de son lieu de résidence en fournissant les justificatifs suivants (liste approximative : désolée j’ai jeté le
papier) :
• Bulletins de salaire (au moins le 1er)
• Extrait de naissance ou copie du livret de famille (c’est mon préféré celui-là)
• Des renseignements tels que le numéro URSSAF de l’employeur (c’est sur le bulletin de salaire)
• Ancienne carte vitale
• Contrat de travail
Petit conseil : faire la demande par téléphone. Tout est envoyé par courrier et il ne reste plus qu’à renvoyer
l’imprimé et les justificatifs.
Petit problème pour les élèves résidant en cité universitaire : l’administration était persuadée que les élèves
devaient avoir une Sécu étudiante pour pouvoir garder leur logement : ce n’est pas vrai et j’espère qu’au moment
où vous lirez cet article tous les apprentis auront récupérer leur 177 euros.
Le boursier β (qui n’est pas apprenti) :
Il fait tout comme α mais il est exonéré des frais de sécurité sociale. Dans la pratique, à Supop, ça signifie qu’il
retire un dossier au secrétariat de l’école, le renvoie et sera remboursé aux alentours de Juin !! (faut savoir être
patient).
2/La CAF (Caisse d’Allocations Familiales)
A l’entrée dans un nouveau logement, le mieux est de se précipiter sur Internet pour remplir la demande en ligne
sur www.caf.fr : demande d’aide au logement pour les étudiants. Si le logement se situe dans une résidence
conventionnée, l’allocation sera directement déduite du loyer, sinon elle sera versée sur le compte de l’allocataire.
Il est bon de savoir qu’on ne touche en principe pas d’allocations avant le 2ème mois complet passé dans le
logement.
Petite précision : la CAF et le CROUS n’ayant aucun rapport, le fait de remplir un dossier social étudiant ne
lance pas la procédure d’allocations.
Autre précision : la CAF a la mauvaise habitude de donner l’argent et de vérifier les dossiers ensuite.
Résultat : elle peut se mettre à réclamer de l’argent sans explication.
Paperasses, administration et autres petits plaisirs
Suite…
3/Remboursement des frais d’inscription
La procédure existe : il faut remplir un dossier au secrétariat et le cas sera étudié par une commission. La
procédure est longue et pas toujours concluante (pas d’explications en cas de refus) mais on peut toujours tenter
le coup non ?
4/Dossier social étudiant
Ca c’est pas pour tout de suite mais il ne faudra surtout pas l’oublier en Avril-Mai. La demande se fait sur Internet
et il ne reste qu’à attendre de recevoir le courrier chez vous pour le renvoyer avec les pièces justificatives. Sans ce
dossier, vous pouvez oublier votre logement en cité U et/ou votre bourse pour l’année suivante.
Petites précisions : Si vous logez à Bures ou Flemming, il ne sert à rien de demander un logement à l’Ile puisque le
déménagement de l’un à l’autre est impossible (la directrice y veille au grain).
Si vous avez d’autres questions n’hésitez pas à les poser aux 2 ou 3A : certains sont au courant des détails !!!
Eva 3a
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
1
2
3
4
5
6
7
8
Horizontalement :
1- Pyridine – Organisation indépendantiste
– Egare.
2- Enseignée à Supop.
3- Sustenté – Coffret allongé.
4- Bande radio – Qu’il obtienne – Qui
traverse.
5- Aussi enseignée à Supop – Autorité
gouvernementale.
6- Masculin – Euro – Classement.
7- Battue –
8- Touché – Qu’il retourne.
Verticalement :
1- Vecteur infectieux...Il se reconnaîtra.
2- Utilisé quand on chantonne.
3- Île habitée par les Islais – Appris.
4- Essentielles pour le tableau noir.
5- Rétrécir.
6- Manipulée dans tous les sens.
7- Amplificateur opérationnel.
8- Propre – Cour de Justice de l’ONU.
9- Clownerie.
10- Elément mathématique.
11- Détruisis – Naf-Naf.
12- Appartient à – Etat de parfaite
conservation.
Par Pierre M. et Grégory 2A
L’AMPHI, SA VIE, SON ŒUVRE
Ceci constitue un support de base (plus ou moins adapté au lecteur) permettant de
profiter pleinement et sereinement des cours en amphithéâtre (à savoir l’amphi, la salle en
pente avec plein de table et de tableaux avec des trucs louches dessus). Vous l’avez vu pour
la plupart la première fois le jour de la rentrée, tout décoré, avec le joli laser tout mignon
tout plein qui déchire bien sa maman, mais qu’en est il après un an de tests et d’exo
occupations (grosse sèche en fait). Mes conclusions, je vous les donne, à vous d’en faire
plus ou bien bon usage.
Ceci constitue une étude de la vie en amphi, et qui dit étude, dit une certaine rigueur dans la structure.
Donc je me plierai à ces obligations en développant cinq thèmes majeurs : le concept de « taux d’occupation » ;
comment ne pas s’emmerder ; comment suivre le cours ; comment et pourquoi arriver en retard ; comment et
pourquoi partir en avance.
Un petit paragraphe pour expliquer grossièrement le pourquoi de l’existence de l’amphi, à savoir la
personne étrange, debout, bien habillée (la, en fait, c’est très variable), qu’on appelle dans une langue que tout
taupin à vite fait d’oublier le « prof », abréviation d’un mot à présent disparu dans les méandres de l’esprit d’un
étudiant ingénieur supopticien. D’autres mots existent, décernés par un petit groupe d’élu ayant détecté sa
présence. Cette personne, ce « prof » dispense ce que l’on appelle un « cours », à savoir un mécanisme de
transmission de connaissances qu’il a lui-même (ou elle-même) presque appris(e). Ne me demandez pas à quoi ça
sert, ça a vaguement à voir avec notre avenir, un truc du style. C’est ici qu’intervient un chiffre extrêmement
intéressant, un chiffre magique : le « taux d’occupation (TO) », c'est-à-dire le nombre de personnes présentent en
amphi à l’heure des « cours ». On a longtemps pensé qu’un autre chiffre était en étroite corrélation avec le TO : la
quantité de conneries dites en cours (QC), aussi bien par les élèves que par le prof. Une théorie mathématique
extrêmement poussée a donc été développée dans ce sens afin d’obtenir la courbe QC = Γ(TO ) présentée cidessous :
QC
QCmax
1
2
3
4
TO
4 zones se dégagent nettement sur cette courbe, que je vais essayer d’interpreter :
zone1 : Là, ya personne, ou quasiment personne, et pourtant, tellement de conneries sont dites !
Explication : déjà, si il n’y a personne, c’est que c’est relativement chiant ou/et inintéressant (le relativement est
très important, la preuve, TO est non nul). Bon, on devine tout de suite d’où viennent les inepties proférées : du
« prof » Et des « Elève » qui osent essayer de suivre. Il est théoriquement impossible de dépasser la quantité de
conneries dites dans ces cours là. Nous l’appellerons QCmax.
Zone2 : Là, par contre, QC atteint un minimum, que l’on ne notera pas, parce que c’est pas drôle quand
personne ne dit de connerie. En fait, la zone 2, c’est la zone de l’équilibre, là ou le prof dit des trucs super
intelligents, ou simplement par trop de conneries, mais qui nous font super chier Nous, les étudiant ingénieurs
Supopticiens (j’ose pas trop donner d’exemple, faut avouer que là se situent la majorité des cours).
Zone3 : QC augmente dangereusement, de façon totalement anarchique, bon, bah ça reste suffisamment
mystérieux en fait, car je rappelle que cette courbe est le fruit de calcul d’une extrême complexité, et le résultat
n’est pas toujours facile à interpréter. Après ces longues lignes vides de sens, j’essayerai tout de même d’expliquer
la Fameuse zone3. Deux causes majeures sont à mettre en œuvre. Déjà TO est relativement élevé, ce qui veut
dire que pas mal de connerie sont susceptibles d’être racontées par les élèves. Deuxièmement, si il y a autant de
monde pour autant de conneries, c’est que quelque chose d’exceptionnel a du arriver, genre une soirée où les
gens ont mauvaise conscience et hésitent à sécher (bon, ça, j’y crois pas trop…) ; ou, plus pertinent, que le prof dit
des trucs cons et marrants, ce qui entraîne les élèves à venir en discuter en cours, dans la convivialité légendaire
de l’amphi.
Zone4 : Bon, là c’est évident que le QC est uniquement du au TO important, car comme on dit, plus on est
de Supopticiens, plus on dit des conneries.
Je tiens à ajouter une précision sur ce graphique : La courbe ne prend pas en compte le nombre de cours
que vous allez suivre pour un TO donné. Je m’explique : par exemple, peu d’entre vous, chers lecteur, vont vivre
un amphi de zone1, alors que la majorité d’entre vous vont commencer à traîner dans des amphi de zone 2 pour
au final ne suivre que des amphi de zone 4.
Rentrons dans le vif du sujet, là où j’explique mes méthodes, et d’autres…. Pour ne pas s’emmerder en
cours. Déjà, j’exclue toute réponse du style « pour suivre le cours » ou encore « moi j’aime l’optique, alors les
cours ne m’ennuient pas ». Nan, ça, ça ne marche pas, en plus ces réponses sont le sujet de la prochaine partie.
Bon, en fait, ça se résume à quelques occupations assez réduites, à savoir toute celles qui se font sans être trop
trop vues par le prof (vous commencer à assimiler ce mot maintenant). Je cite par exemple dessiner sur la table ou
une feuille, faire passer des feuilles au sujet plus ou moins intéressant dans l’amphi (ça moi j’aime bien, mais c’est
assez chiant pour ceux qui veulent suivre, hum hum, ce texte n’est peut-être pas pour eux…..), faire des
championnats de F1 (voir la dernière page), des morpions, jeu de carte quelconque, sans oublier les mots croisés
du 20 minute, évidemment. En fait tout ça ce n’est vraiment pas discret, le prof il capte tout de suite, mais tant qu’il
ne dit rien et que ça occupe, c’est bon à prendre. Du coup, ça motive à faire des trucs pas discrets du tout, genre
aller chercher un verre d’eau ou carrément aller faire un baby ou un billard au 2ème. Bon, je vais m’arrêter là en fait,
parce que sinon ça fait un peu long. Enfin, ça a aussi pour but de meubler un amphi...
La suite dans un autre numéro. (peut-être…)
Benoit 2a
Settlers 42
Juste deux mots sur le pourquoi du titre : afin de faire du lisomat, équivalent s’il en est de
l’audimat mais pour les nourritures spirituelles qui ne s’écoutent pas mais se lisent, je me
suis dit que ‘Settlers’, ça attirerait tous les geeks qui lisent le 503, tous les anglophobes qui
vont se demander ce que ça peut bien vouloir dire, et tous les lecteurs assidus qui ont vu les
titres de ce numéro et qui savent que 42, c’est le département de la Loire. Si ça c’est pas du
marketing à pas cher…Bref, on peut commencer.
L
a révélation m’est apparue, non sous la forme d’un petit être un peu étrange et auréolé de brume et de
lumière bleue, comme c’est généralement l’usage ; mais en toute simplicité, sur la bande FM, sans vraiment
d’effets spéciaux. C’est conduisant à allure modérée dans les artères de St Etienne, que j’ai appris la mort
d’Eliah Kazan, dans les titres. J’ai alors eu ce désagréable sentiment de toucher quelque chose du bout du doigt,
ce nom s’est mis à papillonner dans ma tête, me susurrant à l’oreille qu’il ne m’était pas tout à fait inconnu. Fort
heureusement, France Info est du genre à donner des détails, et cette légère torture mentale ne s’est pas
éternisée, puisque la biographie du Monsieur en question suivait. Impeccable, les infos que je recevais
concordaient avec mes souvenirs brumeux. Eliah Kazan, le réalisateur de « À l’Est d’Eden », avec James Dean.
Mais aussi le vilain délateur, celui qui n’a pas hésité à balancer ses copains à l’occasion de la Chasse aux
Sorcières américaine. Seraient-ce les rouages de mon cerveau qui sont de jour en jour plus tortueux, la mort de cet
homme m’a fait me poser certaines questions. Comme nombre d’anciennes
vedettes, Mr Kazan avait échappé aux feux des projecteurs, pour ne ressurgir
Puis j’arrivai
qu’à titre posthume.
chez moi, et je
compris
‘My Godness’, m’exclamai-je, car il m’arrive assez souvent de
m’exclamer en Anglais. Quel triste sort que celui de devenir anonyme après
avoir connu son heure de gloire. Pas d’immortalité sans canonisation, à
moins d’être issu d’une longue lignée de coupeurs de têtes dont il ne peut, au final, en rester qu’un seul. Et rares
sont ceux qui peuvent prétendre à un souvenir impérissable. J’en étais donc à des considérations comme la
petitesse de l’homme qui n’est qu’une fourmi devant l’Univers, et encore une petite fourmi, et que finalement nous
sommes peu de chose et qu’ainsi va la vie. Puis j’arrivai chez moi, et je compris. C’est à ce moment là que je vis
enfin l’apparition toute de bleue voilée, venue des cieux pour me dire la vérité, mais
maintenant que j’en parle je n’en suis plus si certain.
mais là
n’est pas la
question
Certes, au week-end d’intégration j’ai fait la connaissance de quelques
élèves de première année, ceux qui connaîtront le campus de l’X – ou pas, mais là
n’est pas la question. Le vrai problème est celui de l’exile. Qu’apprends-je ? Certains
des nouveaux venus ne savent même pas qu’il existe une peuplade de SupOpticiens, retranchés dans les vertes
montagnes de la Loire! Et mes chakras de se fermer les uns après les autres, c’en était fait de nous, nous
sombrions dans l’oubli le plus pernicieux.
Nous ? Qui ça, nous ? Diable, que la foudre me terrasse dès que je sors de ce TGV !
Je m’aperçois bien tard que je n’ai pas fait les présentations, ni posé le décor de cette
aventure, aveuglé que j’étais par ma peur et mes doutes.
Dossier Saint-Etienne – Settlers 42
E
n des temps ancestraux, nous n’étions encore que des petites boules poils pas plus grosses que ça, le
Ministre de l’Education Nationale et de la Recherche, célèbre pour sa chasse au mammouth, décida que
« merde alors, ça va bien suffire que St Etienne ce soit rien que de l’industrie lourde ». D’où la décision de
créer une antenne de SupOptique dans cette ville. J’en conviens, le « D’où » est un peu rapide, mais à vrai dire je
n’en sais guère plus, et ce serait hors sujet. Les décisions sont prises dans des sphères bien au-dessus de nos
humbles têtes, ya rien à comprendre, c’est comme ça pas autrement, pas la peine de discuter, j’ai reçu des
instructions (c’est pour toi, Marcel).
C’est bon, j’y viens, j’ai bien le droit de faire rouler quelques tambours, non ? Et j’ai une réputation de gros
lourd à défendre, après tout.
Septembre 2002 :
- Tu sais qu’une antenne de SupOp a été créée à Saint Etienne, Loire.
- Où ça ?
- Bein, St Etienne, gros, « allez les verts », les terrils, tu sors des fois ? - - Aïe, je vois le
genre. Et qui c’est qui va s’y coller ?
- Y paraîtrait que ça se fera au classement.
- Ils envoient les meilleurs ? C’est bon ça, je suis peinard.
- Ou pas : c’est plus que c’est les meilleurs qu’auront le droit de choisir.
- Gottferdom ! Où ça tu dis que c’est, déjà ?
Comme on le voit dans cet extrait de la vie quotidienne des élèves, St Etienne était alors un peu vu comme
St Hélène. C’est pourquoi la précipitation n’était pas de mise pour s’inscrire. Heureusement, grâce aux efforts
conjugués du 503 et de l’Admin, une campagne de communication correcte a été mise en œuvre, ce qui a permis
de convaincre les derniers récalcitrants. Il fallait 12 ou 14 élèves, ce sont 16 d’entres eux qui postulaient à la fin de
l’année, conquis à la fois par le programme de cette antenne, et par les kirs et la charcuterie de cette petite
auberge du Pilat… (Diddl, je te dédie une chanson d’Elton John).
Allégorie de bon goût pour un saut dans le temps
Septembre 2003, c’est l’arrivée dans cette nouvelle Ecole de 15 élèves de SupOp, heureux, bronzés et
séduisants, et de David B. , un breton qui a tout compris puisqu’il vient suivre la formation de SupOpSE alors qu’il a
déjà un diplôme d’ingénieur.
Octobre 2003 : Prise de conscience collective des Stéphanois qu’il est de leur devoir d’informer leurs homologues
Orcéens de ce qu’il se passe à Saint Etienne, pour de vrai, pas seulement les promesses sur papier glacé.
Toute l’antenne stéphanoise se joint à moi pour vous souhaiter une bonne lecture, et
que ces quelques pages vous soient aussi agréables qu’utiles.
Spécial dédicace :
3A et + : retrouve tes héros préférés.
2A : Fais le bon choix.
1A : Fais pas ton malin, c’est bientôt TON dilemme !
La verte pieuvre, Fabien 3a
Dossier Saint-Etienne – Settlers 42
L’antenne stéphanoise, c’est quoi ?
M
ême si le nom de l’Antenne est encore mal défini, l’esprit de cette branche un peu spéciale de l’Ecole
Supérieure d’Optique (Pfiou ! J’ai encore failli dire SupOptique, ou, pire, SupOp !) est bien établi. Il s’agit en
effet de nous offrir la possibilité de glisser en douceur dans le monde de l’ingénieur. Non que la formation
d’Orsay soit un chouia (trop) théorique, loin de moi cette idée, mais force est d’admettre que moult élèves ne
savent pas exactement à quoi s’attendre à la sortie, si tant est qu’ils choisissent de débuter une carrière
d’ingénieur. Ce qui est loin d’être une évidence, au vu du nombre de SupOpticiens qui ont choisi l’an passé de se
mettre au service de la recherche. Est-il normal qu’une Ecole d’ingé sorte deux tiers de thésards, voilà un débat
sans doute passionnant mais qui ne tient pas sa place en ces lignes.
Toujours est-il que le cursus de l’antenne stéphanoise est résolument tourné vers l’ingénierie. J’en veux
pour preuve les parcours des intervenants qui nous tiennent lieu de maîtres de conférences. En effet, même si tous
n’ont pas les deux pieds dans l’industrie, ils en tous une excellente expérience, acquise « sur le terrain ».
Les cours qui nous sont dispensés sont, bien
Les cours spécifiques de St Etienne :
évidemment, différents de ceux que l’on peut suivre en restant à
Orsay. Sinon, personne ne se serait casser la tête à créer une
• Imagerie et Vision
antenne à part, vu le travail que cela représente. La spécialisation
• Design
de cette troisième année est axée à la fois sur le traitement des
• Métrologie
images, et la conception optique. Heureux les élèves qui,
• Systèmes et Capteurs
dispensés de TP, se trouvent responsables d’un projet à mener à
bien. Au choix, équiper le télescope (Comment ? Je ne vous ai
• Gestion
pas parlé du télescope posé sur le toit du bâtiment ?!) d’une
• 33% d’anglais en plus
optique adaptative, d’un spectro, ou encore d’un accès via
• TP Projets
Internet. Pour les fondus d’astro, une étude de planètes hors
Système Solaire est en cours. Et enfin pour les frileux que la
coupole effraie, d’autres projets sont en développement. Et comme nous sommes de bons éléments, ces projets
auront été accomplis d’ici la fin de l’année, ce qui signifie notamment que chaque année, les projets vont changer.
Gros avantage : on se sent pionnier et il faut faire preuve d’imagination pour résoudre les problèmes qui se
présentent ; il incombe également aux élèves de se charger de commander les pièces, etc… Inconvénient majeur :
impossible de recopier les comptes-rendus des années précédentes, changement de taille, non ?
L’autre point clé de cet enseignement est l’alternance, toujours dans l’esprit découverte de ce monde
mystérieux qu’est celui du travail. Ni stage ni CFA, le stéphanois passera donc les mois de Novembre, Février, et
d’Avril à Août en entreprise. Ce n’est pas un stage : les indemnités proposées sont souvent bien plus élevées. Ce
n’est pas non plus un CFA, nous ne sommes pas payés tous les mois, mais gardons une bonne partie des
vacances scolaires (héhéhé).
Il s’agit donc de passer tout en douceur du cocon étudiant au monde réel. Je ferai
bien une métaphore basée sur la chenille et le papillon, mais ça risque d’être lourd, vous
avez compris l’esprit de la chose et c’est l’essentiel.
Si l’idée est bonne, qu’en est-il en réalité ?
Dossier Saint-Etienne – Settlers 42
En vrac…
20% de la troisième année à St Etienne
1 ordinateur portable par personne (à rendre en mars /)
27 semaines d’alternance étalées, 5 semaines de vacances
300€ par mois le 60m² à deux pas de l’Ecole, cheminées comprises
1 micro-ondes, 1 cafetière, 1frigo, 1 lecteur CD dans le foyer
550m d’altitude, voilà un chiffre qu’il est utile
14 pouces de diam. pour le télescope
1 stade Geoffroy Guichard
Des étudiants séduisants (ou pas)
D e s b â tim e n ts q u i o n t m o in s d e 4 0 a n s
Une ambiance studieuse en toute circonstance
Des salles de cours à taille
humaine
Dossier Saint-Etienne – Settlers 42
L'option de 3° année à Saint-Etienne : un mois, déjà !
Par les membres de l'équipe responsable de l'option stéphanoise
O
ui, un mois déjà que les 16 élèves de l'option (15 supopticiens et un diplômé de l'ENSSAT, auditeur libre)
ont entamé leur parcours stéphanois. Bien que beaucoup de choses se soient passées depuis, nous nous
souvenons encore assez précisément de ce matin du 8 septembre, jour de la rentrée, où nous avons été
accueillis, avec café et petits gâteaux, par Gérard Corbasson et Nathalie Gibert, l'administrateur et la secrétaire du
pôle Optique et Vision, avec lesquels l'antenne de l'Ecole partage le même bâtiment. Il faut dire que jour là, nous
nous lancions tous un peu dans l'inconnu, le plus familier des lieux étant notre technicien, Jean-Yves Michalon,
arrivé là au début de 2003.
L'un des premiers problèmes, le logement à Saint-Etienne, n'a pas comporté de difficultés
majeures : les élèves ont trouvé des solutions diverses, entre la maison des élèves de l'Ecole des mines, la
colocation à quatre, les chambres chez l'habitant, ou encore le logement familial; Thierry Lépine a pu s'installer
avec sa famille une semaine avant la rentrée, et quant à Jacques Sabater et Jean-Louis Meyzonnette, le TGV est
leur home, sweet home!
Ces quelques premières semaines, les élèves ont pu trouver leur rythme, la situation géographique
de l'Ecole dans Saint-Etienne étant suffisamment centrale pour que, avec les transports en commun locaux, les
déplacements ne soient pas une difficulté ; en ce qui concerne les repas, le foyer, équipé pour le moment du
réfrigérateur de la "house" d'Orsay, permet à certains de prendre sur place celui de midi, et ce repas devrait
s'améliorer dès la semaine prochaine, car le four à micro-ondes tant attendu vient d'arriver !
Après les problèmes de logement et de restauration, il demeurait encore un point qui nous a
tracassés dès le début : dans ce cadre enchanteur de Saint-Etienne, les élèves arriveraient-ils à travailler ? Nous
devons avouer que, au fur et à mesure que les semaines avançaient, nous avons été rassurés à ce sujet, par nos
propres observations, et par celles des autres intervenants qui, pour la plupart, sont de l'Université Jean Monnet à
Saint-Etienne.
Mis à part quelques difficultés imprévues, mais qui devraient maintenant se résoudre assez
rapidement (panne prolongée d'un ordinateur portable, retard dans l'approvisionnement de certains matériels pour
TP-systèmes), le cursus devrait progresser comme prévu. Pendant la première semaine d'octobre, les élèves ont
présenté avec succès leur soutenance de stage de seconde année ; ils ont eu aussi l'occasion, en échange de
quelques services de leur part, de suivre une conférence internationale SPIE et de participer à l'assemblée
générale des Anciens Elèves ; cela leur a permis de rencontrer de nombreux industriels, scientifiques, et
fournisseurs en optique instrumentale, et de se familiariser avec l'état de l'art dans ce domaine.
En conclusion, à l'issue de ce premier mois, nous sommes convaincus que cette option
stéphanoise sera extrêmement enrichissante pour les élèves qui l'ont choisie.
Les membres de l'équipe responsable de l'option stéphanoise
Dossier Saint-Etienne – Settlers 42
Impressions côté élèves
Riche idée sur le papier, administration aux anges, c’est trop beau me direz-vous. Et
empressés de connaître l’avis des élèves qui vivent cette expérience toute nouvelle, vous
vous empressez de saisir un trombi pour en appeler certains et savoir de quoi il retourne.
Halte-là ! On fait bien les choses au 503, et c’est sans peur que nous nous sommes livrés à
l’interview des élèves de l’Antenne stéphanoise. Des impressions recueillies à chaud, sans
aucune pression ni censure
Les cours de l’option Instrumentation Optique dans les processus industriels sont particulièrement intéressants, du
fait de l’intervention de spécialistes chevronnés issus de l’industrie.
[David B, auditeur libre]
La résidence des Mines permet d’associer petit prix (grâce à l’APL, loyer équivalent à celui de l’Ile), et cadre
agréable : jogging dans les Monts du Pilat, salle de muscu, squash, tennis, et rencontre d’autres étudiants au
foyer.
La situation de la résidence, un peu excentrée, n’est pas forcément un inconvénient : une vingtaine de minute de
bus ou de vélo et une dizaine en voiture pour rejoindre le Pôle Optique. En contrepartie, on bénéficie d’un plus
grand calme, de la proximité du Pilat et d’un accès direct à l’autoroute.
Les projets sont passionnants, loin du cadre « classique » des TP.
[Maud F., Marie B., Caroline S., Christophe B., Julien Se.,
résidents à la Maison des Elèves des Mines de St Etienne]
La troisième année à St Etienne parait beaucoup plus « souple » que ce que pouvait être le cadre des cours à
Orsay : les TP projets en sont un bon exemple (pour cette année du moins). La proximité de St Etienne avec Lyon,
deuxième ville de France, n’en déplaise aux Marseillais, est un autre atout.
[Julien Gunther Sa., étudiant sceptique]
L’antenne stéphanoise est vraiment très intéressante : cours bien ciblés, petite promo, ce qui permet de réaliser
des apéros chez chacun. Grande facilité pour suivre les cours, ce qui n’empêche pas de bonnes rigolades. Pour ce
qui est de la ville de St Etienne, certes ce n’est pas Paris, mais c’est l’Eldorado comparé à Orsay ou Burnes sur
Yvette : Centre-ville sympa, beaucoup de jeunes, et plein de fifilles. Question logement, je conseille la colloc’, mais
évite les énergiques et rigolos du matin. Un autre conseil : la colloc’ mixte c’est encore plus sympa, on ne s’ennuie
jamais, pas vrai Mimi ?
[Tony C., AST2A, palmier sur la tête au WEI, blagues en solde]
Cette antenne sent le bon départ à plein nez : des cours passionnants (oui, un cours peut être passionnant), de
bons échanges en perspective avec les Mines, l’ISTASE et l’Université Jean Monnet. J’ai été très agréablement
surpris par la ville de Saint Etienne, charmante et pleine de bonnes surprises. L’alternance est un excellent moyen
d’apprendre la vie en entreprise, et si en plus ça rapporte un peu de sous…
[Fabien B., 3ans d’Ecole dont 2 en stage]
Merci à tous les Stéphanois pour leur participation active à la réalisation de ce dossier !
STAGES…
PARTEZ A L’ETRANGER !
Les stages à l’étranger
Une fois n’est pas coutume, nous avons décidé de reconduire cette année l’opération
« stages à l’étranger » : nouvelles destinations, nouveaux stagiaires, il n’en fallait pas plus
aux rédacteurs du 503 pour demander à leurs collègues de prendre leur plume afin de nous
faire partager leurs expériences. Quelques jours de harcèlement plus tard, nous disposions
de témoignages qui, nous l’espérons, sauront donner envie aux jeunes de partir et aux moins
jeunes de repartir… autre part !
USA – Washington (NIST – NASA)
Pour commencer, voilà quelques bonnes raisons de faire un stage aux Etats-Unis. Hormis
l’approfondissement de la langue, c’est surtout l’occasion de découvrir une culture, un pays et ses habitants.
Il faut savoir que les Américains, malgré la conjecture actuelle, sont extrêmement accueillants et
serviables. D’autre part, effectuer un stage aux environs de Washington (NIST, NASA) offre un très large choix de
visites : New York, Baltimore, Philadelphie,…, et bien sûr la capitale avec ses monuments, ses musées (gratuits !),
ses manifestations artistiques et culturelles variées, sans oublier ses chaudes nuits à « Adams Morgan ». Bref, il y
en a pour tous les goûts !
Pour finir, point non négligeable, pendant la durée de votre « internship », vous serez gracieusement
rémunérés aussi bien au NIST qu’à la NASA.
Si après avoir parcouru ces quelques lignes, il vous vient l’envie d’aller faire un tour du côté de D.C.,
n’hésitez pas à nous contacter. Nous tenons à votre disposition une foule d’informations pratiques qui vous
éviteront bien des galères.
Elodie, Eric, François
Les stages à l’étranger
USA – Chicago
Le stage de deuxième année, moi je l’ai fait à Chicago, dans le département de chimie théorique de la
Northwestern University, une de plus grandes universités des Etats-Unis.
Bon, autant le dire tout de suite, ce qu’on m’a donné à faire n’était pas très intéressant et ne faisait ni appel
à mes capacités intellectuelles, ni à aucune des nombreuses connaissances acquises , bon gré mal gré, depuis 2
ans du régime Supoptique. Je devais étudier les propriétés optiques de structures de nanoparticules d’argent. En
fait, cela c’est résumé à changer les 2 ou 3 paramètres dans un programme déjà écrit et à faire tourner un gros
calculateur pour tracer pleins de graphiques…
Heureusement, il y avait plusieurs bons côtés à ce stage : même si ça n’était pas extrêmement intéressant,
le maître de stage est une pointure au Etats-Unis et dans le monde entier ; s’il y a un article d’écrit après (ce qui va
être mon cas) ou pendant le stage, on a son petit nom écrit à côté du sien, et ça, ce n’est pas négligeable… En
plus, le stage est payé $1500 par mois, et la ville de Chicago est vraiment très sympa : il y a pleins de musées
(l’Art Institute of Chicago par exemple, qui a une collection impressionnante, un musée d’histoire naturelle avec
pleins de squelettes de dinos, etc.), de restaurants, etc. Et comme c’est au bord d’un grand lac, c’est très agréable.
Je garde un très bon souvenir de ce stage à l’étranger.
Nico
Italie
L’Italie c’est super beau. On est quatre à y être allés : un à Palerme, en Sicile, et trois à Florence, en
Toscane. L’impression est la même pour tous : c’est génial. Voilà, le pays est magnifique, les gens sont super
sympas, la langue est belle, il fait beau et chaud, le rythme de travail est agréable, y’a plein de trucs à voir
(monuments ou paysages). Bref, il y fait bon vivre.
Ca vaut vraiment le coup.
Antoine
Les stages à l’étranger
Roumanie
Alors la Roumanie c’est un stage vraiment sympa où j’ai découvert pleins de choses intéressantes en
Astronomie avec le maître de stage idéal, toujours prêt à te donner un bon plan de voyage pour le WE, et là bas, il
y a vraiment des tas de beaux voyages à faire. Les roumains te feront toujours bon accueil et sont d’une très
grande générosité.
Cluj est une ville super étudiante avec pleins de bars bien cool et l’université regorge d’étudiants étrangers
à connaître absolument !
De plus les bières (qui sont excellentes d’ailleurs) et la vie sont pas chères là-bas ( y’a vraiment moyen de
pas se priver à moindre coût) et on y trouve les plus belles filles du monde. Franchement deux mois c’est vraiment
trop court. J’y retourne dès que je peux !
Johan
Hongrie
La Hongrie m’a vraiment surpris. A vrai dire, je m’attendais à tomber, non
pas dans un pays du tiers monde, mais dans une culture très différente de la nôtre,
et ce ne fut pas tant le cas. Même si le niveau de vie moyen est inférieur à celui de
la France, la Hongrie est une contrée très occidentalisée.
L’Université Technique de Budapest, comme l’indique son nom, est situé à
Budapest. Mais alors, vraiment en plein centre. Ce qui permet d’aller jeter un œil
au Danube, un paysage pas possible de jour comme de nuit. Budapest est
également la capitale mondiale des… (Ta gueule kokos) des bains thermaux, des
lieux où, bien évidemment, l’eau est maîtresse. Et les stagiaires de se délasser
dans des décors parfois sublimes, parfois d’une hygiène douteuse, pour des
sommes modiques. En parlant de somme modique, qu’en est-il du prix des choses
là-bas. Intéressante question, il est vrai, vu que le stage n’était PAS DU TOUT
rémunéré. En fait, pour se loger nous avons loué un appartement pour trois, tout
confort avec la télé, et à 10 minutes de la T.U.. Le tout pour 600€ par mois, soit
deux fois le prix pour les hongrois, délit de touriste oblige. Question nourriture
terrestre, les prix pratiqués sont inférieurs à ce que l’on connaît en France,
notamment pour les produits de première nécessité (80cts la pinte). Concernant le
stage, vous n’aviez qu’à venir à St Etienne pour nos soutenances.
Mais la Hongrie ce n’est pas seulement Budapest, et mon grand regret est d’avoir raté certains coins de ce
petit pays, pourtant vraiment bien desservi par les trains. L’événement de l’été à Budapest à ne pas rater si vous
passez par là, c’est le Sziget Fesztivàl. Le plus gros festival de musique d’Europe ( http://szigetfestival.com ), sur…
une île, en plein milieu du Danube, un espace d’environ 5 * 2 km, tout ça pour promener les papattes, écouter un
des 400 concerts de la semaine, ou boire un coup en essayant de parler Hongrois. ( if speak_magyar == false
{drink one more coup} ; ).
Une bien belle expérience, écrivez-moi si vous voulez plus de détails.
POLiPo-Fab’
Les stages à l’étranger
Sénégal
Deux mois de stage au Sénégal, c’est deux mois de découverte de la Taranga Sénégalaise.
Malgré la pauvreté qui prend aux tripes dès la sortie de l’avion, il y a des millions de choses à découvrir,
autant autour de la ville que dans l’arrière pays. Tout commence par un accueil chaleureux, qui dure pendant tout
le séjour, et la découverte d’un laboratoire où les gens sont très motivés pour faire de leur pays un pays
développé. Il y a de quoi s’en mettre pleins les yeux et plein le ventre tous les jours : outre la pollution de Dakar et
ses quartiers populaires, les alentours de la ville regorgent de petits coins sympas : les plages, les îles à visiter, les
villages…
Pour ce qui est de la nourriture, c’est pareil, les plats sont délicieux et ils deviennent encore meilleur quand
on sait manger à la sénégalaise : assis par terre autour d’un même plat pour toute la famille à manger avec la main
(ou la cuillère si vraiment on a du mal), bien sur pour apprécier, il faut plus qu’aimer le riz !!!!
Un stage au Sénégal c’est aussi la redécouverte des joies de la vie : la bonne humeur des gens déteint
très vite sur nous ; loin du stress, tu reprends le temps de vivre….. (Attention le retour en France est assez dur… ! )
Lydie
Les stages à l’étranger
Mexique
Franchement, le
Mexique on vous le
conseille pas…
Les lits sont pas du tout confortables…
La vue de l'appart sur la cité HLM d'en
face on s'en passerait bien…
C'est plein de marches partout, à
croire qu'ils connaissent pas les
ascenseurs…
Et quand on nous a dit qu'il fallait
choper la bouffe nous mêmes…
Sans compter un Océan
Pacifique qui ne fait vraiment
pas le poids face à notre
magnifique Yvette…
Bref la déprime quoi…
Trêve de plaisanterie, passons aux choses sérieuses, comme vous pouvez le constater par ces quelques
images, le Mexique est vraiment un coin à visiter…
Mais comme on n'est pas allés là-bas que pour les beaux paysages, il nous reste à parler du stage..
Il faut avouer que ce n'est pas un stage très intensif (il faut se mettre au rythme mexicain) bien qu'on y
apprenne pas mal de choses, au contact parfois de chercheurs(euses) de renommée internationale. C'est
surtout une bonne occasion pour rencontrer un pays et des gens avec qui on gardera le contact…
Note des auteurs: On n'a pas vraiment mangé la tortue…
JD, Tom et Perrine
La
Le
gazette
du
club
Q
bô spectacle
Le spectacle du mois d’octobre
Nous vous proposons un spectacle de danse contemporaine « DV8 »:
Le mercredi 29 octobre au théâtre de la Ville pour 8€ seulement !
Il s’agit d’un chorégraphe qui a choisis des danseurs au physique atypique :
une femme obèse, un homme tronc…
En bref ; un spectacle coloré, rythmé, déjanté… ça va décoiffer !
Le spectacle du mois de novembre
Nous avons trouvé un spectacle théatro-musical « Cerveau Cabossé » :
Le jeudi 27 novembre au théâtre du Rond-Point pour 7€50 seulement !
Reixa est un auteur qui écrit comme il compose le rock !
Sarabande de sens et d’idées, cinq comédiens font exploser leur cerveau…
et celui des spectateurs avec mille millions de bêtises, de beautés et de
fantasmes.
Sortir…
Ce soir je vais voir… « La biscotte » au Café de la gare
Que ceux qui connaissent l’endroit essaient de me contredire, le Café de la gare vaut le détour, rien que
pour l’ambiance qui règne dans ce lieu magique. Une petite cour intérieure dans le quartier du Marais, environ
deux cent personnes qui bougent leurs corps sur des tangos endiablés ou des musiques africaines tribales tout
autour de bars qui accueillent à bras ouverts les quidams en attente d’un spectacle ou d’un cours de danse. Un
endroit à part.
Mais bon, cela ne nous explique pas complètement pourquoi il faut profiter des offres du club Q de
Supoptique, et aller voir le spectacle joué en ce moment au Café de la gare, « la biscotte ».
Tout d’abord je vous dirais pasque c’est marrant. Et ouais, c’est peut être con mais on rigole bien pendant
environ 1h30, et même si l’humour est parfois un peu « gras », au moins il est au rendez-vous. Les passages
rapides et soutenus de la pièce alternent plutôt bien avec les moments plus lents où nous avons droit à
l’explication de l’histoire, qui, il faut bien le dire n’est tout de même pas le clou de la pièce (En gros et pour pas tout
vous raconter, un quinquagénaire célibataire genre Bebel et j’me tape que des femmes mariées, voit arriver dans
sa vie une grosse grosse emmerdeuse…).
En fait on dit souvent que les acteurs ont été bon, tout ça, que la pièce ne serait rien sans eux… Mais il
faut bien le dire, on aime la pièce aussi beaucoup pour eux car ils arrivent à maintenir un certain rythme tout au
long de la représentation, en étant seulement deux sur scène. A la fin bien sur ils sont crevés, surtout lui qui est
assez monumental sur son canapé à faire tourner les serviettes (Ah… Patrick Sébastien…). Mais que dire d’un
certain passage de « elle » sur le divan… Messieurs, vous en redemanderez !!
En gros ce spectacle est vraiment sympa, et même si ce n’est pas du Audiard dans le texte, pour passer
un moment de détente c’est plus qu’acceptable !! Alors un petit conseil : comme le spectacle est à 22h, pensez à
arriver une demie heure à une heure avant pour prendre un verre devant le théâtre, c’est vraiment un bon plan.
Pour plus d’info, www.cafe-de-la-gare.fr.st.
Matthieu R.
2a
L’électron libre.
En y repensant, ça en devient complètement fou. J’ai bien du passer devant 100 fois, peut-être même 200,
voire plus… Bien sur, au début, cela m’avait intrigué. Beaucoup même. Un peu effrayant vu de loin. Si étrange. Et
puis, je m’y suis habituée. Ca m’était devenu si familier. C’était là et ça ne pouvait pas être autrement. Pourtant si
insolite. Et puis, c’est arrivé. Comme ça, sans explication. Je suis entrée…
Le 1er novembre 1999, un collectif d’artistes, baptisé « Chez Robert, électron libre » investit un immeuble
désaffecté, propriété du crédit Lyonnais, au 59 rue de Rivoli. L’idée est de réhabiliter le lieu pour en faire un centre
d’exposition et de création artistique, ouvert gratuitement au public et de prouver, par la même occasion, le bienfondé d’une politique culturelle alternative. L’état ne l’entend pas de cette oreille et condamne les artistes à être
expulsés en février 2000 . Un bras de fer juridique et médiatique s’engage alors. Pendant ce temps, l’Electron
Libre devient le squat le plus célèbre de Paris, avec pas moins de 40 000 visiteurs par an, soit le 3ème centre d’Art
contemporain le plus visité de la capitale. C’est ce succès populaire qui fait pencher la balance. Saisissant la balle
au bond, le collectif « Chez Robert électron libre » écrit un projet intitulé « L'essaim d'art, tentative de pérennisation
du squat de la Rue de Rivoli ». Fin 2001, ce projet est accepté par la nouvelle mairie de Paris. Le processus de
légalisation du squat s’enclenche.
… Et j’ai parcouru de fond en comble, dans les moindre recoins, cette immense caverne d’Ali Baba. 5 étages, à
eux seuls une œuvre d’art, renferment les ateliers des artistes, des espaces d’expositions permanentes ou
temporaires. Tous les styles artistiques sont présents. L’ensemble est un univers étrange , magique, en complet
décalage avec la rue qui l’héberge.
Le temps presse. Le projet de légalisation impose une rénovation de l’immeuble, pour raison de sécurité.
Pendant la durée des travaux, le collectif continuera d’exposer dans des locaux prêtés par la mairie. Puis
reviendra. Mais une part de la magie de l’Electron libre ne réside-t-elle pas dans ces mûrs qui renferme quatre
années de la vie d’artistes ? N’attendez pas aussi longtemps que moi. Osez et franchissez cette toute petite porte,
grande ouverte, au numéro 59.
Diane 3a
Lire
Le général Soledad était assis à même le sol. Il regardait dans la direction de la plante géante, morte, le
cœur de « son » village. Ce dernier avait disparu, ainsi que ses habitants. L’utopie d’un pays libre, ou plutôt libéré,
l’avait conduit là-bas, en enfer, la terre de toutes les désillusions. Quel gâchis. Avoir trahi l’Espagne, avoir traversé
la jungle pendant de longs jours en suivant ces phares mystérieux. Trois points lumineux, au loin, vers les pentes
escarpées de la cordière. Il pensait avoir tout oublié ; sa ferveur, son espoir, Elena son amour… Mais tout cet
amas de sentiments qu’il essayait de fuir n’était qu’enfermé dans un carcan de papier qui brûlait à chaque fois un
peu plus en regardant ses soldats se faire lapider pour l’exemple. Un village de déserteurs, une seule et unique
passion armée jusqu’aux dents : Celle d’un monde en dehors du monde.
Variation libre sur le roman LE GENERAL SOLITUDE écrit pas Eric Faye et paru aux éditions Le Serpent à Plume.
Benoit 2a
1
2
3
4
5
6
7
8
9
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
Horizontalement :
1-
Terme générique désignant autrefois
toute religion autre que catholique,
musulmane ou judaïque.
2- Interruption – Heures matinales.
3- La plus jeune des Trois Grâces – Jeu de
cartes.
4- Feuilletées – Intelligence Ultime.
5- Montgolfières.
6- Services de renseignement US – N’a pas
l’air en bonne santé.
7- Moine enquêteur dans Cadfael, Mr
Probert dans Gosford Park…
8- Premier studio de Miyazaki, temple de
l’animation japonaise – Yet Another LAN
9- Style ampoulé.
10- Pas très sympa pour un Italien – Surface.
11- Eliminer définitivement…
Verticalement :
1- Communauté utopique.
2- Acérées – Prince du pétrole.
3- Eut quelques problèmes – Se décida.
4- Aboriginal Tourism Association of
Southern Ontario (si si ça existe je vous
assure !) – Guerre sainte.
5- Dénudée – Amis des bêtes – Boxeur.
6- Est en anglais – Les courses à pied.
7- Morçau de viande (oups, parfois,
l’orthographe doit laisser place à de plus
grandes causes…).
8- Province canadienne – Note.
9- Exciter.
Par Benoit et Grégory 2A
Clubs
Hommage à Bulle (plop !)
« ‘spèce de fayot ! »
« Ouais, et alors, si ça te gène, t’as qu’à pas lire l’article ! »
Et hop ! (faut toujours commencer son article par « Et hop ! » ça fait dynamique) (Et puis après on sait
jamais quoi mettre) (ça fait nettement moins dynamique) (pffffffffffffffffffffffff…On va quand même pas
faire tout l’article comme ça ….) (Ben si !!) (euuuuuuh) (Allez ça va être lourd, arrête) (Boarf)
Les plus avertis des 2As et 3As auront reconnu le début d’un article du 503 de l’an dernier. Cet article,
ainsi qu’un autre, je l’avais écrit avec BuLLe (si vous le connaissez pas, vous avez perdu une grande partie de
l’esprit SupOp).
Histoire d’écrire un petit truc pour ce cher 503 (j’avoue, là, c’est vraiment du fayotage), je me lance
dans un article parlant à la fois du RoboTM et du LaserWave, 2 clubs marqués (pas forcément dans le bon
sens) par le passage de BuLLe.
Primo, le robo, il est prêt ! Enfin, le robo de l’an dernier. Sauf peut-être la caméra. Et la stratégie. P’is
la pince tombe tout le temps en morceau (n’est-ce pas Yep ). Bon, l’élec c’est pas parfait (Dath, faudra
refaire les branchements). Mais à part ça, on est prêt !!!! Pour l’an dernier !
Le problème, c’est que l’ANSTJ (le gens qui font la coupe) s’amuse à changer les règles juste quand on
est prêt ! Du coup, faut changer le robo. Y sont chiant à l’ANSTJ ! En même temps, on se venge bien. Depuis 2
ans que le club existe, on devient expert en rabotage de terrain. Là, on cherche des idées. Soit on lave, on
brosse et on astique le terrain, soit on fait un vrai trou dedans ! Si vous avez des idées (lance-grenades, acide
sulfurique, etc) n’hésitez pas à viendre !
Quand au laser, vous avez vu ce qu’on sait faire ! Maintenant, on va en mettre plein la vue aux autres
écoles !!!! Et pour ça, on a besoin de vous (© Coluche) Appelez vos potes de prépa (ceux qui ont intégré, les
5/2, on s’en fout pour l’instant !) pour qu’ils nous embauchent pour leur gala ! En parlant de ça, spécial thanks
à Big, qui va peut-être nous permettre d’aller au gala de SupAéro !
Allez, le titre de l’article c’était quand même « Hommage à un BuLLe », alors j’vous remets les 2 articles
qu’on avait écris lui et moi lors d’une mémorable soirée arrosée comme il se doit (de thé à la menthe et de
petits gâteaux, vous vous attendiez à quoi ? On est des gens sérieux nous !).
BoBiBaR
Message personnel 1 : YeP, mon CD !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Ah zut, il vient de me le rendre, ch’uis con
Message personnel 2 : C’est vrai, y’a pas beaucoup de filles dans ces 2 clubs. Mais j’arrive pas à comprendre pourquoi ! On est des
garçons gentils quand même ! Tiens, regardez moi par exemple ! (Comment ça je suis pas un bon exemple ? Qui a dit ça ?!)
Message personnel 3 : Non Thierry, tu ne diras rien sur Pipo et Molo, ce serait trop violent, même pour le 503.
Message personnel 3 : Cet article manque cruellement de thé à la menthe et de petits gâteaux.
Message personnel 5 : Vous en avez pas marre de lire mes messages personnels ! C’est pas pour vous, bordel !
Message personnel 5 : ‘tain, j’ai faim, j’mange quoi ce soir ? Bon, à la BuLLe, fromdu et thé à la menthe !
Message personnel 7 : 7 messages perso pour un article du 503, c’est pas un record ça ?
Message personnel 8 : Azazel, tu remarqueras que j’ai toujours écrit 503 et jamais Nep (ah tiens, si, zut alors)
Message personnel 9 : Alors comme ça, quand je vous dit de pas lire mes messages perso, vous continuez quand même ! Ben bravo ! Vous
avez pas de quoi être fiers de vous. Bande de pervers du zizi !
Clubs
Robo TaMamy
« Il est bien le nom soft de l’équipe comme ça hein ?
- Oué, oué, super ! »
Et hop ! (faut toujours commencer son article par « Et hop ! » ça fait dynamique) (Et puis après on sait
jamais quoi mettre) (ça fait nettement moins dynamique) (pffffffffffffffffffffffff…On va quand même pas
faire tout l’article comme ça ….) (Ben si !!) (euuuuuuh) (Allez ça va être lourd, arrête) (Boarf)
Bon ben le robot il est fini. Enfin, manque juste les roues…. Puis les moteurs peut-être. Enfin, la carte
mère est pas encore là non plus. Euh, ouais, bon, la méca est pas beaucoup plus avancée. Mais sinon ça roule
(euh, ben non justement, sans roues, c’est dur). Mais on n’est pas à la bourre cette année par contre !
(remarquez bien que le terrain est prêt)
Allez, faucon arrête cet article pour s’y remettre !
BüLLe et BoBiBäR
Message personnel 1: spéciale dédicace à Roms de la part du BuLLe pour son article dans la dernière Nep…. Pardon, le dernier 503 ;-)
« Euh, Roms, je t’aime ! Promis je me flagellerai très fort pour tous mes péchés ! »
Message personnel 2 : Emma et Nolwenn (vous vous reconnaîtrez), on pense à vous.
Message personnel 3 : Merci maman pour les biscuits et à Jeff pour sa théière (carburants de l’article ☺)
LaserWave (parce que y’a du laser et de la vève)
« C’est quoi encore ce titre de naze ?
-Laisse tomber, c’est moi le chef. »
Juste un petit mot pour vous dire qu’avec l’hiver arrive la fin de l’hibernation (allez comprendre) (et la
marmotte, elle met le papier alu dans le chocolat en hibernant l’été…) Plus que jamais, c’est le moment
d’appeler vos anciens potes de prépa pour qu’ils nous embauchent parce qu’on est balèze. L’armée des 1A est
prête (et les 2A et 3A sont toujours là !). Faites notre promo dans les écoles, vous aurez toute notre
reconnaissance (si si c’est promis… à défaut d’autre chose)
BuBuLLe et BoBiBaRBaR
Comme nous vous l’avions annoncé dans un mail, le concours d’affiche pour le
Forum de l’Optique 2004 est lancé ! ! !
Vous voulez entrer parmi le club restreint des
designer
qui ont réalisé une
affiche forum ? Vous rêvez de voir votre affiche sur tous les murs de
SupOptique et même partout en France ? Ou alors tout simplement vous voulez
gagner un peu de sous ?
Alors n’hésitez pas et
foncez ! ! Le concours d’affiche vous attend.
Faites-nous part de vos travaux avant le Vendredi 25 Avril par mail sous
format informatique à notre adresse : [email protected].
Nous vous rappelons les caractéristiques de l’affiche :
- format informatique : Paintshop, Photoshop,…,
- format d’image : 50*70 cm,
- résolution : 200-300dpi.
Et j’oubliais bien sûr
l’appâtant gain :
Pour vous donner des idées, voici
l’affiche gagnante de l’année dernière :
Merci d’avance de votre participation
et
bonne chance à tous,
Le Forum de l’Optique 2004
Solution des jeux :
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