PACS - La FNMR

Transcription

PACS - La FNMR
le médecin
Radiologue
d e
F r a n c e
Mensuel • Numéro 293 •
PACS :
Comment et
lequel choisir ?
Juin 2007
•
ISSN 0754-7749
Édito Comptabilisons, maîtrisons …
Plusieurs événements impor tants
pour le corps médical et la FNMR
vont se produire durant ce mois de
juin.
❏ La finalisation des discussions
concernant la mise en place du supplément archivage, en accord avec
Dr Jacques Niney
l‘avenant n° 23, et la baisse de 40 %
du supplément numérisation qui sera concomitante à
cette mise en place.
Hasard du calendrier, cette Revue est consacrée aux
PACS et prouve indirectement l’utilité et l’urgence d’associer l’archivage à notre pratique médicale. Cet archivage étant source d’économies (en évitant les examens
redondants) et d’amélioration de la qualité des soins envers nos patients.
Une fois de plus la FNMR, par son anticipation, permettra aux médecins radiologues d’évoluer tout naturellement vers un exercice moderne (DMP, téléimagerie, etc …).
❏ En raison de l’ONDAM trop bas, voté par le
Parlement à la fin de l’année 2006 en toute connaissance
de cause, le Comité d’Alerte s’est manifesté, ce qui implique une demande d’économies. La FNMR ne pourra
accepter toute nouvelle mesure répressive à l’égard de
la profession, parce que les conséquences financières de
la première attaque du mois de mars, applicables au 1er
juillet 2007, ne sont pas connues et que les négociations
sont en cours.
L’effet volume que l’on nous opposerait est un prétexte
Sommaire
absurde. Une fois de plus il est bon de rappeler que les
médecins radiologues ne sont pas auto-prescripteurs,
que l’imagerie par son rôle central est indispensable
pour la prise en charge des patients et que l’externalisation hospitalière n’est pas anecdotique. Petit rappel :
lorsque nous avons proposé la mise en place du Guide
du Bon Usage des Examens radiologiques, il a fallu attendre plus de deux ans pour que l’on commence à s’y intéresser...
Comme nous l’avons souligné au mois de mars, les propos hypocrites n’ont plus cours : on se targue de maîtrise médicalisée, mais, dans le même temps, on ne fait
qu’appliquer une maîtrise comptable contre laquelle
toute la profession et les syndicats ne cesseront de se
mobiliser. Les médecins n’accepteront pas d’être, une
fois de plus, des boucs émissaires commodes.
❏ Le Gouvernement s’installe progressivement, les rôles
se distribuent, nos interlocuteurs sont encore plus nombreux et le pouvoir financier sur les dépenses de santé
revient à Bercy. Ce dernier point ne peut que nous inquiéter si l’on s’en réfère à un passé pas si lointain.
Parler du passé de la Fédération est, bien entendu, lié à la
célébration de son centenaire qui se déroulera le vendredi
15 juin 2007 en soirée.Tous les médecins radiologues syndiqués vont donc célébrer cet événement et se retrouveront pour l’Assemblée générale qui se tiendra le samedi
16 juin 2007.
Docteur Jacques NINEY
Président
Elections bureaux
Côte d’Or et PACA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62
PACS
Enquête PACS méthodologie (J. P. Masson) . . . . . . . . . . . . 04
Fiche jury PACS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
Les sociétés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
Grilles d’évalution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
Retour d’expérience du choix d’un PACS (S.Taïeb) . . 52
Juridique
La délicate question de l’archivage des examens
d’imagerie médicale (C. Maisse) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57
Actualité
Congrès de l’ISMRM à Berlin (mai 2007)
(R. Lavayssière) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64
Attributions ministérielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
Statistiques
Dépenses Assurance Maladie : mars 2007 . . . . . . . . . . . 71
Formotion
FORCOMED : Calendrier des formations
du 2ème semestre 2007 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72
Petites Annonces . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74
Infos professionnelles
La vérité des chiffres (D.Aucant) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60
3
Annonceurs
ACTIBASE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
CARESTREAM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65
CMPS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 02
FUJI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 05
GUERBET . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76
PLANMED OY . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
PMFR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75
RIMAGE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 09
SERVAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59
UNIPREVOYANCE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63
WAID . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 & 39
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
DR JEAN-PHILIPPE MASSON
Secrétaire général de la FNMR
Enquête PACS :
méthodologie
En 2006 la Commission informatique
et téléradiologie de la FNMR a réalisé
une enquête comparative concernant
les solutions proposées par les différents fournisseurs de RIS du marché
français. Cette étude a été très favorablement accueillie par la profession.
Dr J.-P. Masson
Nous avions, dès cette publication,
aver ti nos lecteurs que nous réaliserions en 2007 la
même enquête sur les " PACS ".
Les hasards du calendrier et des négociations avec les
caisses font que la publication de cette étude coïncide
pratiquement avec la mise en place de l’avenant n°23 instaurant un " forfait archivage " en contre par tie de la
baisse du " Z num ".
❏ Présentation dans les locaux de la FNMR pendant 1 h 30 à un jury composé de quatre radiologues libéraux, un radiologue d’un centre anti-cancéreux, un informaticien et un cadre de centre de
radiologie.
❏ Réunion du jury pour " noter " les différents systèmes présentés selon la grille publiée dans les pages suivantes.
Vous pourrez constater, comme pour l’enquête " RIS ",
notre souhait d’être le plus transparent, objectif et neutre possible.
Tous les produits testés sont de qualité.
Il a cependant été nécessaire de faire un classement. Il a
été particulièrement difficile à réaliser, certains systèmes
Cette enquête est donc par ticulièrement impor tante étant notés de façon quasi identique. Compte tenu des
dans ce contexte afin d’aider nos confrères à faire un écarts de notes (sur 20), quelque fois non significatifs (3
constructeurs avec deux dixièmes de différence entre
choix entre les différents systèmes.
eux), nous avons décidé d’abandonner le classement par
Nous avons contacté tous les fabricants de PACS du mar- étoiles.
ché. Leur accueil a été très intéressé et nous avons audité Dans l’esprit de cette étude comparative, nous avons été
tenus de faire un classement avec les
quatorze sociétés. Douze d’entre elles
notes obtenues.
ont été retenues pour la comparaison.
De façon surprenante, vous trouverez
Les deux autres n’ont pas été classées
“ Tous les produits
des ex aequo.
car, soit ne correspondant pas réelletestés sont
Cela montre que les constructeurs esment à une solution PACS, soit trop
de qualité.”
saient de vraiment " coller " à la dejeune dans ce domaine avec des promande de la profession, et c’est très poduits insuffisamment aboutis. Elles sont
sitif pour nous.
néanmoins citées dans la revue, hors
concours.
Il est essentiel de prendre en compte que ce classement
La méthodologie de l’audit a été rigoureusement la doit être absolument interprété en fonction des appréciations faites par le jury.
même pour toutes les sociétés :
❏ Envoi d’une fiche de demande de renseignements dont vous trouverez les réponses données
par les sociétés elles-mêmes.
❏ Envoi de la grille d’audition, avant la présentation, afin que les intervenants sachent ce qui nous
préoccupait le plus. Cette grille peut d’ailleurs vous
servir comme base d’un cahier des charges pour
faire un appel d’offre.
4
Certains systèmes sont plus orientés " grosse structure "
que d’autres.
Nous espérons que cette enquête vous permettra d’y
voir un peu plus clair en sachant que, de toutes façons, il
est indispensable que vous vous fassiez vous-même votre
propre opinion à travers des contacts directs et des démonstrations avec les constructeurs qui vous semblent
correspondre le mieux à votre type d’exercice. ■
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
PACS FNMR - Commission Télémédecine
Février 2007
Fiche Jury PACS :
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
11.
12.
13.
Configuration de l’application
Système d’exploitation
Stockage long terme
Stockage court terme
Station de travail
Accès des images par le Web
Outils
Partage d’image
Outils d’administration
Gestion d’onduleurs
Archivage distant
Interfaces
Compatibilités DICOM 3.0
1. Configuration de l’application
1
2
3
4
Nom du produit
Zone de commercialisation (Monde, Europe, USA, …)
Type d’architecture
(Cluster, centralisé, distribué, …)
Matériels :
(indépendant du matériel, dépendance obligatoire, …)
Informations complémentaires :
2. Système d’exploitation
1
2
3
4
5
Système d’exploitation du serveur d’image
Système d’exploitation du serveur web
Type de sécurité (SSL, …)
Système d’exploitation du serveur de base de données
Base de données et version
Informations complémentaires :
3. Stockage long terme
1
2
3
Matériels (DVD, NAS, …)
Capacité maximale en TB
Type de compression s’il y a lieu
Informations complémentaires :
6
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
4. Stockage court terme
1
2
3
4
Matériels (RAID, …)
Capacité maximal en TB
Stockage possible sur plusieurs serveurs
Type de compression s’il y a lieu
Informations complémentaires :
5. Station de travail
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
Connexion utilisateur
Utilisation d’une worklist
Système de recherche patient étendu
Notification automatique des examens prioritaires
Accès aux anciens comptes rendus (sans les images)
Possibilité de définition de protocole utilisateur
Gestion de l’interruption de session utilisateur
Affichage couleur et niveau de gris
Marquage d’images clé
Traitement 3D
Traitement MIP
Outils spécifiques radiologue (mesures, angles, surfaces…)
Informations complémentaires :
6.Accès aux images par le Web
1
2
Application spécifique pour les radiologues
Nombre de moniteurs maximum supportés
Informations complémentaires :
7. Outils divers
1
2
3
4
5
Recherche patient
Compression d’images
Manipulation d’images
Sélection d’images
Mise à jour automatiques des outils et/ou du logiciel
Informations complémentaires :
8. Partage d’image
1
2
Fonctionnalité d’impression pour l’utilisateur
Possibilité de lire un CDROM DicomDir externe
Informations complémentaires :
7
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
9. Outils d’administration
1
2
3
Outils de gestion des utilisateurs
Outils de gestion du matériel et des paramètres de compression
Paramétrage du fail-over
Informations complémentaires :
10. Gestion d’onduleurs
1
2
Unité UPS de sauvegarde (onduleur)
Délai de vérification
Informations complémentaires :
11.Archivage distant
1
2
3
4
Archivage distant
Système d’administration des archives distantes
Alerte automatique des problèmes sur l’archive distante
Mise en place de test de crash
Informations complémentaires :
12. Interfaces
1
2
3
4
5
Conforme à IHE
Compatibles avec les RIS
Gestion de dossier électronique
Système de dictée numérique ou vocal de compte rendu
Autres
Informations complémentaires :
13. Compatibilités DICOM 3.0
1
2
3
4
5
Query Retreive SCP
Query Retreive SCU
Worklist
Gestion de procédure
Jpeg 2000
Informations complémentaires :
8
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
1 AGFA
1.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
AGFA - GEVAERT
Sigle ou nom commercial utilisé
AGFA
Numéro de SIRET
775 729 197 000 19
Adresse du siège social et des éventuels établissements
274-276 avenue Napoléon Bonaparte
B.P. 301
92506 Rueil-Mammaison Cedex
Date de création de la structure PACS
1991
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
SA
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Jean-Louis Mouly
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
78 Mo €
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
5,1 Mo €
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
23
Informations complémentaires :
1.2 Produit PACS
Nom commercial principal
IMPAX
Numéro de version en commercialisation
6.2
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
Janvier 2006
Système d’exploitation et/ou technologie
Windows. 2003 ou Unix (Solaris)
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
Otacle 10 g
SQL 2000
Plateforme de développement principal (Nom & version)
Indépendant du matériel (Dell, HP, IBM, Sun(serveur))
_
Couche middleware (Exemple Citrix)
Serveur
Nombre de sites installés
Public
20
Privé
7
Répond au cahier des charges IHE
Oui
Liste des RIS compatibles
Tous type de RIS (interface HL7)
ex : XPlore, SIR 5, Sitilog, Q Doc
Informations complémentaires :
10
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
Clients
PACS
1.3 Service et support
Lieu, implantation
Rueil - Malmaison
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Téléphonique
Sur site
En ligne
Jours et heures d’ouverture du support technique
Prise des appels : 8h00 - 18h00
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
6
Délai de réponse moyen
Pour la hotline : 1 heure maximum
délai d’intervention moyen de 6 heures
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Contrat « Advanced »
Informations complémentaires :
1.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
Licence flottante pour les utilisateurs (radiologues, cliniciens,…)
Licence fixe pour les serveurs
Prix de la configuration standard
_
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
_
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
231,12 € HT du lundi au vendredi 8h - 18h00
403,91 € HT en dehors des heures précisées ci-dessus
Informations complémentaires :
11
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
2 FUJI
2.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
FUJIFILM MEDICAL SYSTEMS FRANCE
Sigle ou nom commercial utilisé
FUJIFILM
Numéro de SIRET
348 827 759 00013
Adresse du siège social et des éventuels établissements
30 rue Mozart
92578 Clichy Cedex
Tél. : 01 47 15 55 15
Date de création de la structure PACS
1998
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
SAS
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Tsunéo Sakai
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
89 076 627 €
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
2,5 M €
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
2,8
Informations complémentaires :
2.2 Produit PACS
Nom commercial principal
SYNAPSE
Numéro de version en commercialisation
V.3.1.0
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
Aux USA : 1999 (V.1.0)
En France : février 2004 (V.3.0) MR01
Système d’exploitation et/ou technologie
Windows.
Technologie 100% web
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
Base de données unique : Oracle 9i
Plateforme de développement principal (Nom & version)
ASP, C++, PL SQL
Couche middleware (Exemple Citrix)
Serveur
Nombre de sites installés
Public
4
Privé
14
Clients
Répond au cahier des charges IHE
Oui
Liste des RIS compatibles
Waid, Serval, XPlore, Quadrat, Sirilog, Penarenda, ACCEL
(liste non exhaustive)
Informations complémentaires :
12
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
2.3 Service et support
Lieu, implantation
Hotline : Siège de Clichy 30 rue Mozart
Tecniciens en région + support au siège
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
N° vert appel hotline, fax, en ligne, envoi de mail et de SMS vers
les techniciens et hotline
Jours et heures d’ouverture du support technique
Du lundi au vendredi : 8h30 - 18h30 (Prise en compte de l’appel)
7/7
Hotline avec prise en mains à distance
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
7
Délai de réponse moyen
Immédiat
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Oui
Informations complémentaires :
www.fujifilmmedical.fr
2.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
Sur la base de 40 000 examens d’imagerie
Licence Site : nombre de postes illimité, nombre d’accès illimité,
nombre d’utilisateurs illimité
Prix de la configuration standard
Archivage en ligne (Système Haute Disponibilité)
3 consoles avec 2 écrans de diagnostic (calibrables)
Gestion de projet/Déploiement
≈ 260 000 € TTC
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
10%
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
1 500 € TTC
Informations complémentaires :
13
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
3 GE HEALTHCARE
3.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
GE Medical Systems
Sigle ou nom commercial utilisé
GE Healthcare
Numéro de SIRET
315 013 359 00155
Adresse du siège social et des éventuels établissements
Siège Europe : 283, rue de la minière, 78530 Buc
Siège France : 11, avenue Morane Saulnier,
78457 Vélizy
Date de création de la structure PACS
1999 en France
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
Société en commandite simple (SCS)
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Jean Emmanuel Picard (France BeLux)
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
160 200 000 € HT
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
4 000 000 € HT
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
22 (France BeLux)
Informations complémentaires :
L'activité PACS a débuté en 1993 en Europe avec le premier site sans film à Hammersmith, Londres, UK.
3.2 Produit PACS
Nom commercial principal
Centricity PACS
Numéro de version en commercialisation
Version 3.0
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
juin 2006
Système d’exploitation et/ou technologie
RedHat Enterprise Linux 4.2, Microsoft 2003 Server
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
Sybase ASE 12.5.x, Microsoft SQL Server
Plateforme de développement principal (Nom & version)
Selon le composant: JAVA, CORBA,.NET, C++
Couche middleware (Exemple Citrix)
ORION, Microsoft IIS
(Citrix est supporté pour la diffusion Web)
Serveur (noyau)
Clients (stations)
Public
25
> 200 stations
Privé
18 (incluant 3 CRLCC)
> 100 stations
Nombre de sites installés
Répond au cahier des charges IHE
Oui, participation au Connectathon IHE depuis 2001. Profils
IHE disponibles sur site
http://www.gehealthcare.com/usen/interoperability/ihe.html
Liste des RIS compatibles
Centricity RIS, Xplore EDL, Sirilog Medasys, QDOC/QPlanner
Agfa, SIR5 WAID, HIS/RIS développés « maison »
14
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
3.3 Service et support
Lieu, implantation
Centre de Support Européen à Distance (Remore Operating
Centerl, à Buc, 78
Siège Service France à Velizy 78
Diverses succursales régionales en France (implantations GE
Healthcare)
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Tous types de support :
Virtual Online Center, pour la prise directe d'appel client par les
techniciens PACS en astreinte, dans le cadre du contrat de base.
Support 24h/24 7j/7 avec surveillance automatique des systèmes
PACS et remontée des alarmes vers le support technique en astreinte (optionnel).
Interventions sur site
Jours et heures d’ouverture du support technique
• Jours et heures d'application du contrat standard : du lundi au
vendredi de 8h30 à 17h30
• Horaires étendus (en option) :du lundi au vendredi de 8h30 à
20h00, le samedi de 8h30 à 17h00
• Jours et horaires d'ouverture du centre d'appels : du lundi au
vendredi de 8h00 à 19h00, le samedi de 8h00 à 12h00
• Support 24h/24 7j/7 avec surveillance automatique des systèmes PACS et remontée des alarmes vers le support technique
en astreinte (optionnel)
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
12 personnes spécialisées PACS en intervention sur site + 15
personnes en support à distance (Buc, UK, RFA).
Délai de réponse moyen
1/2 heure par télémaintenance
4 heures max sur site pour panne bloquante
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Oui, selon le taux de disponibilité souhaité par contrat (de 98%
à 99.9% selon l'architecture technique mise en place).
Informations complémentaires :
3.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
• Licences stations d'interprétation Centricity
concurrentielles ou fixes
• Licences Applications Avancées Centricity AW Suite
concurrentielles ou fixes
• Licences de diffusion Centricity Web concurrentielles
• Licences serveurs Centricity par tranches de 25 000 examens
par an
Prix de la configuration standard
Prix d'une configuration pour la connexion de 6 modalités
d'imagerie, 50 000 examens/an, 3 stations d'interprétation, 25
licences Web, 1 an stockage en ligne : de 150 à 200 K€ TTC
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
Contrat de Base Standard: de 12 % à 18 dépendant de la configuration et du type de contrat (évolutions logicielles, surveillance
24h/24, etc.).
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
Dépend du contrat de maintenance.
En régie : 1200 € TTC
Informations complémentaires :
Une solution PACS étant une solution « sur mesure » , le prix de la configuration est très variable, selon les demandes d'intégration avec des fournisseurs tiers ( SIR, SIH, Dossier Médical), l'activité du site, le type d'écrans demandé, le taux de disponibilité souhaité, etc…
15
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
4 GLOBAL IMAGING
4.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
GLOBAL IMAGING ONLINE
Sigle ou nom commercial utilisé
Numéro de SIRET
410 235 469 000 21
Adresse du siège social et des éventuels établissements
49 rue Rouelle
77 015 Paris
Date de création de la structure PACS
Août 2000
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
SA à directoire et conseil de surveillance
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Mr Jean Claude GALISSON (Directeur Général)
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
2,7 M€
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
2,7 M€ (Société dédiée à la vente et au service sur les PACS)
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
17 personnes
Informations complémentaires :
Centre de développement basé à Paris - France.
Partenariats :
❏ Alcatel pour le développement de la télé radiologie en Afrique
❏ INSEP pour le création d'une base de données de pathologies du sport et le transfert d'examens en urgence pour les sportifs de haut niveau,
❏ Bizcom pour le développement et la commercialisation d'un terminal DICOM tactile parliculièrement adapté au bloc opératoire.
Référencé au de sein de Brümammo : Centre de seconde lecture de mammographie numérique à Bruxelles.
4.2 Produit PACS
Nom commercial principal
DIAM
Numéro de version en commercialisation
Version 2.2
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
Mai 2003
Système d’exploitation et/ou technologie
Microsoft Window 2003 Server
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
Mysql 4.1
Plateforme de développement principal (Nom & version)
Microsoft Visual C++, PH4
Couche middleware (Exemple Citrix)
Citrix, Microsoft TSE
Nombre de sites installés
Serveur
Clients
Public
10
300
Privé
80
1 200
Répond au cahier des charges IHE
Forte implication dans l'IHE : 17 acteurs validés dans 8 profils d'intégration
- Participation aux Connectathons en Europe depuis 2005 (Voir
IHE Integration Statement 2006)
Liste des RIS compatibles
Tout RIS et autre dossier patient ou de spécialité compatible HL7
/ IHE : Actibase, EDL, Medicae, Radio 3000,. Serval.
Ipatient, Emed, SAP, Middlecare, etc.
Informations complémentaires :
DIAM est un " Full Web PACS " radiologique mais également cardiologique. La gamme de produits DIAM comprend :
❏ DIAM4 Server, DIAM Store (stockage et archivage),
❏ DIAM Viewer (logiciel de visualisation des images Dicom ou compressées),
❏ DIAM Box radio et/ou cardio (stations de travail - visualisation haute résolution 10 bits),
❏ DIAM Report (réalisation et gestion des comptes rendus sur site ou à distance),
DIAM CD (solution de gravure de CD/DVD),
❏ DIAM CD Importer (Historisation de CD étranger),
❏ DIAM Anywhere (logiciel de réalisation de diagnostic à distance),
❏ DIAM Worklist (logiciel de diffusion des listes de travail vers les modalités DICOM).
Le PACS DIAM peut être interrogé à partir de PC et/ou de Mac.
Solutions multi sites.
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LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
4.3 Service et support
Lieu, implantation
49 rue Rouelle - 75015 Paris
Antenne technique à Montpellier
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Hotline téléphonique,Télémaintenance,
Fax, sur site.
Le tout appuyé sur une CRM,pour la traçabilité
Jours et heures d’ouverture du support technique
Du lundi au vendredi de 8h30 à 18h
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
5 personnes
Délai de réponse moyen
Prise en charge de la demande en moins d'une heure, déplacement à J + 1 si problème non résolu.
95% des problèmes résolus en télémaintenance
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Oui sur option et à la demande du client
Informations complémentaires :
4.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
4 niveaux de licences Web PACS en
fonction du besoin en nombre :
- de modalités radiologiques et/ou cardiologiques
- d'accès concurrentiels
- de station d'interprétation
- de clients à connecter
Solutions « logiciel pur » possibles
Licence site disponible
Prix de la configuration standard
125 000 K€ HT pour la solution décrite ci-dessus avec un stockage
en ligne de 3To utiles (logiciels et matériels inclus)
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
10%
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
180 € de l'heure hors garantie ou contrat de maintenance
Informations complémentaires :
17
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
5 INTRASENSE
5.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
INTRASENSE SAS
Sigle ou nom commercial utilisé
INTRASENSE
Numéro de SIRET
452 479 504 00014
Adresse du siège social et des éventuels établissements
Siège social :
Cap Oméga, rond-point Benjamin Franklin
34960 Montpelier Cedex 2
Direction commerciale :
7, rue Charles V 75004 Paris
Date de création de la structure PACS
2004
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
SAS
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Stéphane Chemouny, Président
Patrick Mayette, Directeur Général
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
CA 2006 (est.) 280 K€
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
CA 2006 (est.) 280 K€
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
18 personnes
Informations complémentaires :
INTRASENSE a fait marquer l’ensemble de sa gamme logicielle MYRIAN CEIIa. Cette classe IIa est la seule qui permet un usage diagnostique.
INTRASENSE a fait certifier toute sa gamme ISO 13485 et le reste de son activité ISO 9001 - 2000.
INTRASENSE est certifiée MICROSOFT CERTIFIED PARTNER.
INTRASENSE développe et commercialise des stations de revue, d’interprétation et d’aide au diagnostic pour les PACS, les modalités ou en
stations autonomes, fixes ou portables.
5.2 Produit PACS
Nom commercial principal
MYRIAN
Numéro de version en commercialisation
V1.1 (V1.2 prévue pour le second trimestre 2007)
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
Juillet 2006
Système d’exploitation et/ou technologie
Windows XP (Vista en préparation)
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
BDD propriétaire cryptée en local sur chaque station d’interprétation
Plateforme de développement principal (Nom & version)
Visual C++ . Net 2003
Couche middleware (Exemple Citrix)
Aucune
Serveur
Nombre de sites installés
Clients
Public
12
Privé
30
Répond au cahier des charges IHE
Oui + Dicom 3.0
Liste des RIS compatibles
Sur projet
Informations complémentaires :
L’offre d’Intrasense est constituée d’une gamme de consoles baptisée Myrian, allant du viever universel (Myrian Pro) à la station de diagnostic 3D (Myrian Expert), totalement compatible Dicom 3.0 et ayant vocation à constituer des postes d’interprétation au sein de
PACS. Ces stations, mises au point avec des radiologues, sont extrêmement conviviales et faciles à prendre en mains. Elles sont disponibles en 4 langues (français, anglais, chinois, japonais) et parfaitement documentées. Des intégrations ont déjà été menées avec succès avec
de grands éditeurs de PACS (Agfa, Kodak, Mekeson, GE…) ou de plus petits (eMedic, etc…)
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LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
5.3 Service et support
Lieu, implantation
Montpellier : Equipe SAV / Support clients (Direction)
Techniciens et équipe support basés à Montpellier, Paris, Cholet
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Téléphone + fax + déplacements + téléinterventions
Jours et heures d’ouverture du support technique
Lundi au vendredi, 8h30 - 18h30
Possibilités d’extension de couverture sur devis
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
6 personnes
Délai de réponse moyen
Réponse sous 4 heures en général
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Oui, sur demande
Informations complémentaires :
Grande réactivité de notre fonction support
Formations sur site
Adaptation à des contraintes spécifiques
5.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
Poste d’interprétation proposé dans une fourchette de 1 500 à
8 000 € HT selon la configuration par poste.
Licences disponibles par poste (avec nombre illimité d’utilisateurs)
Prix de la configuration standard
Licences de site disponibles sur devis avec gestion dynamique du
nombre d’accès concurrents
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
Maintenance corrective + préventive annuelle : 12% du prix liste
des licences
Maintenance corrective + préventive + évolutive annuelle : 18%
du prix liste des licences
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
800 € HT
Informations complémentaires :
Intrasense a été retenu par des acteurs significatifs fabricants de modalités ou de PACS pour la qualité et le niveau fonctionnel de ses
consoles ainsi que pour leur prix compétitif. Ces consoles sont proposées en consoles principales ou d’appoint au sein des installations.
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LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
6 KODAK
6.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
Kodak Pathé
Filiale à 1001 du groupe Eastman Kodak
Sigle ou nom commercial utilisé
Kodak Heatth Group
Numéro de SIRET
40308743000019
Adresse du siège social et des éventuels établissements
26 rue Villot, 75012 PARIS
Etablissements à Toulouse et Chalon Sur Saone
Date de création de la structure PACS
Avril 1996
HealthCare Information Systèmes -HCIS
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
SAS La division HCIS fait partie de Health Group, Division de
Kodak Pathé
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Christophe Chapot, Directeur commercial HCIS
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
(CA de Heatth Group France)
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
(CA de la division HCIS)
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
45 (19 dédiés + 12 equivalents temps plein, ressources partagées
avec Health Group France
14 ingénieurs Recherche & Dévelopement
Informations complémentaires :
6.2 Produit PACS
Nom commercial principal
Carestream
Numéro de version en commercialisation
10
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
Juin 2006
1 version majeure chaque année
Système d’exploitation et/ou technologie
Windows et/ou Solaris (serveurs)
Au choix, en fonction des volumes de données et de la complexité des configurations
Windows et MAC OS (Clients)
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
Oracle (9i, 10)
9i pour les configurations dites "grille"
Plateforme de développement principal (Nom & version)
Propriétaire
Couche middleware (Exemple Citrix)
Propriétaire
Sauf Rice et Jpeg pour les algorythmes de compression
Serveur
Clients
Public
32
275
Privé
13
48
Nombre de sites installés
Répond au cahier des charges IHE
Oui
Liste des RIS compatibles
Sans restriction. Protocoles d'interfacages ouvert basés sur les
standards [HE, HL7 et Dicom (Integrations réalisées avec EDL,
Actibase,WAID, Medasys)
Informations complémentaires :
20
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
6.3 Service et support
Lieu, implantation
Paris,Toulouse,
Gênes (Italie), Rochester (USA), Shangai (Chine) pour le support
niveau 2 24/24
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Téléphonique / sur site
Jours et heures d’ouverture du support technique
7/7, 24/24
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
7
Délai de réponse moyen
Moins de 30 minutes
(Rappel téléphonique, Sur site en moins de 4 heures)
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Non
Garantie de taux de disponibilité + procédures de continuité de
service
Informations complémentaires :
6.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
Par accès concurrentiel
Banque de licences virtuelles, disponible depuis tous les postes
locaux ou distants
Prix de la configuration standard
175 340 €
Software et Services d'installation, paramètrages et formation inclus - Hors Hardware
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
20%
Software uniquement, mise à jour software comprise
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
1 280 €
Deplacement compris de manière forfaitaire
Informations complémentaires :
21
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
7 MCKESSON
7.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
MCKESSON Information Solutions France
Sigle ou nom commercial utilisé
MCKESSON France
Numéro de SIRET
RCS Bordeaux 414 876 177
Adresse du siège social et des éventuels établissements
Espace France
Bât. E & F
4, voie Romaine - Canéjan,
33612 Cestas Cedex
Date de création de la structure PACS
Novembre 2002
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
SAS au capital de 3 991 062,11€
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Han Knooren PDG MCKESSON France
Gaëtan Bourrée Responsable imagerie
Laurent Morin Directeur ventes
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
24,38 M€
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
11 (au 31 12 06)
Informations complémentaires :
7.2 Produit PACS
Nom commercial principal
Laurent Morin
Numéro de version en commercialisation
11
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
2005
Système d’exploitation et/ou technologie
Windows.2003 / Windows XP
Plateformes intel
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
Oracle 9
Plateforme de développement principal (Nom & version)
_
Couche middleware (Exemple Citrix)
_
Serveur
Clients
Public
_
_
Privé
_
_
Nombre de sites installés
Répond au cahier des charges IHE
Oui
Liste des RIS compatibles
XPlore, Crosswa Ris
Informations complémentaires :
22
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
7.3 Service et support
Lieu, implantation
Bordeaux
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Hot Line 24/24 en langue française
Système d’astreinte en dehors des heures ouvrées
Jours et heures d’ouverture du support technique
7j/7 365j/an
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
6
Délai de réponse moyen
Immédiat pendant les heures ouvrées,
dans la 1/2 heure en dehors
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Selon les sites et les installations
Informations complémentaires :
7.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
_
Prix de la configuration standard
_
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
_
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
_
Informations complémentaires :
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LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
8 MEDASYS
8.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
MEDASYS SA
Sigle ou nom commercial utilisé
MEDASYS
Numéro de SIRET
31955723700074
Adresse du siège social et des éventuels établissements
Siège : Espace technologique de St Aubin
91193 Gif/Yvette
Agence : 5, rue Claude Chappe
69370 St Didier du Mont d’or
Date de création de la structure PACS
1980
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
SA
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
J. M. Lucani, président du directoire
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
11,9 M€
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
3,1 M€
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
136
Informations complémentaires :
Philips commercialisait le PACS EasyAccess (éditeur SECTRA) jusqu’en 2005.
Depuis Philips commercialise le PACS iSite (acquisition société STENTOR).
8.2 Produit PACS
Nom commercial principal
DX Server
Numéro de version en commercialisation
6
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
2005
Système d’exploitation et/ou technologie
Windows
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
Oracle 8i
Plateforme de développement principal (Nom & version)
C++, C#
Couche middleware (Exemple Citrix)
Net (partie)
Serveur
Nombre de sites installés
Public
Clients
}
Privé
Répond au cahier des charges IHE
Oui
Liste des RIS compatibles
Tous les RIS compatibles IHE
Informations complémentaires :
Plus grosses références françaises
❏ CHU Bordeaux
❏ CHU Amiens
❏ CHU Besançon
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LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
2000 +
PACS
8.3 Service et support
Lieu, implantation
Gif sur Yvette (91)
St Didier du Mont d’or (69)
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Téléphonique (Hot Line)
Télé-maintenance
Jours et heures d’ouverture du support technique
8h - 19h du lundi au vendredi
Possibilités 24/7
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
8 techniciens et ingénieurs support
Délai de réponse moyen
< 4h
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Oui
Informations complémentaires :
8.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
_
Prix de la configuration standard
_
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
_
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
_
Informations complémentaires :
25
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
9 MEDICASOFT
9.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
MEDICASOFT
Sigle ou nom commercial utilisé
MEDICASOFT HEALTHCARE TECHNOLOGY
Numéro de SIRET
390 756 781 000 48
Adresse du siège social et des éventuels établissements
1 voie Félix Eboué
94 000 Créteil
Date de création de la structure PACS
2005
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
SARL
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Albert Méguira
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
500 K€
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
150 K€
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
4
Informations complémentaires :
9.2 Produit PACS
Nom commercial principal
VITALIS
Numéro de version en commercialisation
1.0
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
Juin 2005
Système d’exploitation et/ou technologie
Windows.
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
MySQL 4.1.9-max
Plateforme de développement principal (Nom & version)
Visual Studio 6. 0.
Couche middleware (Exemple Citrix)
Serveur
Clients
Public
2
20
Privé
2
3
Nombre de sites installés
Répond au cahier des charges IHE
En cours
Liste des RIS compatibles
ACTIBASE (en cours pour les autres)
Informations complémentaires :
26
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
9.3 Service et support
Lieu, implantation
Créteil
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Téléphonique
E-mail
Fax
Jours et heures d’ouverture du support technique
Lundi au vendredi 9h - 18h30
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
2
Délai de réponse moyen
d+1
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Oui
Informations complémentaires :
9.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
Par serveur
Par poste
Par accès cocurrentiel
}
Voir infos complémentaires
Prix de la configuration standard
Serveur d’archivage 3To
3 postes d’interprétation (à 2 écrans)
20 licences concurrentielles
100 K€
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
13%
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
700 € HT
Informations complémentaires :
Nous distiguons dans notre plateforme PACS 3 entités distinctes
1 Le serveur d’archivage Vitalis Archive
2 Les stations de travail Labworks
3 Les licences de diffusions web Vitalis.online
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LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
10 PHILIPS
10.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
PHILIPS France Division Systèmes Médicaux
Sigle ou nom commercial utilisé
PMS : Philips Medical Systems (i.e.: International)
PSM: Philips Systèmes Médicaux (i.e. : France)
Numéro de SIRET
_
Adresse du siège social et des éventuels établissements
PHILIPS France Division Systèmes Médicaux
Business Line Healthcare Informatics
64, rue carnot
92156 Suresnes cedex
France
Date de création de la structure PACS
Depuis 15 ans au sein de PMS.
Depuis 6 ans au sein de PSM.
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
_
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Oran MUDROGLU (International),Ton van den HOVEN (EMEA),
Jerome THIEBAUD (France)
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
Philips Medical Systems : 6,5 Milliard €
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
_
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
_
Informations complémentaires :
Philips commercialisait le PACS EasyAccess (éditeur SECTRA) jusqu’en 2005.
Depuis Philips commercialise le PACS iSite (acquisition société STENTOR).
10.2 Produit PACS
Nom commercial principal
PACS iSite
Numéro de version en commercialisation
R 4.0
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
Première version 2000.
Dernière version (4.0) : 2007
Version antérieure (3.5) : 2006
Système d’exploitation et/ou technologie
Windows.
Technologie Web/iSyntax
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
MicroSoft SQL
Plateforme de développement principal (Nom & version)
_
Couche middleware (Exemple Citrix)
_
Serveur
Clients
Public
_
_
Privé
_
_
Nombre de sites installés
Répond au cahier des charges IHE
Oui
Liste des RIS compatibles
Tous les RIS compatibles IHE
Informations complémentaires :
Solution PACS " clé en main " :
❏ Philips fournit le matériel et les logiciels.
❏ Philips installe et administre la solution.
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LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
10.3 Service et support
Lieu, implantation
Support central sur Suresnes
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Téléphonique
Remote
Sur site
Jours et heures d’ouverture du support technique
24 h /24, 7 jrs /7, 365 jrs /an
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
_
Délai de réponse moyen
_
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Oui
Informations complémentaires :
Philips s’engage :
❏ sur un taux de disponibilité de sa solution
❏ sur un délai d’affichage des images archivées
Support en 24/7/365
Surveillance proactive de la solution PACS via HeartBeat
Sauvegarde des données (avec engagement de restauration des données)
10.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
Licence site, pas de limitation :
❏ Sur le nombre d’utilisateur
❏ Sur le nombre de poste
Prix de la configuration standard
Annuellement : ~2,50 € HT / examen envoyé au PACS
_
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
Inclus dans la prestation
Informations complémentaires :
Estimation budgétaire nécessite les infos suivantes :
❏ Nbre d’examens /modalité
❏ Nbre moyen d’images /examen
❏ Nbre de radiologues, de cliniciens
❏ Nbre de sites distants
❏ Nbre de station d’interprétation (+ résolutions des moniteurs)
❏ Interface avec RIS
❏ Interface avec Dossier Patient
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LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
11 SIEMENS
11.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
Siemens Medical Solutions
Sigle ou nom commercial utilisé
Siemens Medical Solutions
Numéro de SIRET
_
Adresse du siège social et des éventuels établissements
39-47 Boulevard Ornano
93527 SAINT DENIS
Date de création de la structure PACS
Siemens Monde : 1991
Siemens France : 2004
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
SAS en France
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Siemens Monde : A. SINGH
Siemens France : C. POPULU
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
_
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
_
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
Siemens Monde : 900
Siemens France : 35
11.2 Produit PACS
Nom commercial principal
Beya AICH
Numéro de version en commercialisation
Syngo Imaging XS 25 (PACS)
Syngo Suite XS 25 (SIR / PACS)
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
2006
Système d’exploitation et/ou technologie
Windows
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
Sybase 8
Plateforme de développement principal (Nom & version)
C++
Couche middleware (Exemple Citrix)
Legato Disk Xtender pour l’archivage
Serveur
Clients
Public
60
1265
Privé
240
5060
Nombre de sites installés
Répond au cahier des charges IHE
Oui
Liste des RIS compatibles
Tout RIS conforme au standard HL7/DICOM et compatible IHE
Informations complémentaires :
Siemens offre une solution intégrée SIR/PACS syngo Suite XS. syngo Suite XS apporte les éléments nécessaires à la réalisation
d’unWorkflow numérique complet et optimal. Cette solution est modulaire et s’intègre parfaitement avec tous les systèmes SIR et/ou
PACS conformes aux standards de communication dans le domaine de la santé. Elle comporte un module SIR syngo Workflow et
le module PACS syngo Imaging XS, sujet de cette analyse.
Le concept syngo Imaging XS est :
❏ Simple et compact
❏ Économique
❏ Évolutif et modulaire
30
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
11.3 Service et support
Lieu, implantation
Saint Denis et agences régionales
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Hotline
Prise en main système à distance
Jours et heures d’ouverture du support technique
Lundi au vendredi : 9h-19h
Samedi – prise d’appel : 9h -12h
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
21
Délai de réponse moyen
< 4h
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Non
Informations complémentaires :
11.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
Possibilité de licence par poste de travail ou licence flottante en
client serveur pour tous les modules (station de visualisation, interprétation, 3D, etc. …)
Prix de la configuration standard
100-200 k€ TTC
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
12 %
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
255 € HT / heure
Informations complémentaires :
31
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
12 TELEMIS - ELECTRON
12.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
TELEMIS - ELECTRON
Sigle ou nom commercial utilisé
TELEMIS - ELECTRON
Numéro de SIRET
319 937 710 00030
Adresse du siège social et des éventuels établissements
7, rue Jean Monnet
31240 St Jean
Agence parisienne :
48, rue du Général Roguet
92 110 Clichy
Date de création de la structure PACS
1999
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
SAS
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Stéphane Kétélaer, Président
Patrice Roulive - Jean Morillon, Directeur Général
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
Avril 2005 – mars 2006
2,5 M€
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
Idem
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
14 personnes en France et 15 personnes en Belgique
Informations complémentaires :
12.2 Produit PACS
Nom commercial principal
TELEMIS MEDICAL
Numéro de version en commercialisation
3.90
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
Novembre 2006
Système d’exploitation et/ou technologie
Windows, Macos, Linux
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
MySqL
Plateforme de développement principal (Nom & version)
JAVA
_
Couche middleware (Exemple Citrix)
Serveur
Nombre de sites installés
Clients
Public
_
France 7
Europe 32
Privé
_
France 6
Europe 21
Répond au cahier des charges IHE
Oui
Liste des RIS compatibles
SFR liste des RIS agréés IHE
ex : EDL, AGFA, RESSOURCES INFORMATIQUES etc
Informations complémentaires :
32
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
12.3 Service et support
Lieu, implantation
St Jean (Toulouse) Siège social
Paris (agence)
Louvain La Neuve (Belgique)
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Téléphonique
En ligne
Intervention sur site
Jours et heures d’ouverture du support technique
Standard : lundi - vendredi 8h - 18h
Optionnel 7j/7 8h - 18h
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
3 personnes HELPDESK
Délai de réponse moyen
Entre 0 et 60 minutes
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Oui, en option
Informations complémentaires :
12.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
1- par poste
2- licence site
Prix de la configuration standard
1- par poste (Hardware inclus) 100 000 € HT
2- licence site : nombre de licences illimité + Hardware + autres
options 250 000 € HT
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
Services : 9%
Upgrade
10%
Update
}
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
Inclus dans le contrat de maintenance
Informations complémentaires :
33
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
13 VEPRO
13.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
VEPRO France
Sigle ou nom commercial utilisé
VEPRO
Numéro de SIRET
434 978 706 00027
Adresse du siège social et des éventuels établissements
Villantipolis 4
473, route des Dolines
06 560 - Valbonne
Date de création de la structure PACS
Avril 2001
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
SAS
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Richard et Sonia Heymann
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
France 1 685 K€ (≈ 2 000 K€ en 2006)
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
France 1 685 K€ (≈ 2 000 K€ en 2006)
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
France 15
Informations complémentaires :
13.2 Produit PACS
Nom commercial principal
MEDIMAGE
Numéro de version en commercialisation
7.0
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
Décembre 2006
Système d’exploitation et/ou technologie
Windows.
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
PSQL 8.0
Plateforme de développement principal (Nom & version)
C++ et . Net
Couche middleware (Exemple Citrix)
N. A
Serveur
Clients
Public
43
115
Privé
11
36
Nombre de sites installés
Répond au cahier des charges IHE
Oui
Liste des RIS compatibles
Plus de 500 RIS à travers le monde.
En France, « RIS maison », Penaranda Informatique, ACCEL,
Medasys, R. I, …
Informations complémentaires :
Nous disposons d’un outil universel d’interfaçage
34
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
13.3 Service et support
Lieu, implantation
Sophia Antipolis (06)
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Téléphone
Jours et heures d’ouverture du support technique
24 h /24 - 7 jrs /7
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
4
Délai de réponse moyen
Immédiat
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Oui
Informations complémentaires :
13.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
Type de licence par fonction.
Type de licence : site, station ou flottant.
Prix de la configuration standard
Inférieur à 80 K€ TTC incluant formation, installation
et 12 mois garantie
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
≈ 12%
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
700 € HT
Informations complémentaires :
35
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
14 WAID
14.1 Société
Nom officiel (déclaré au registre du commerce)
WAID
Sigle ou nom commercial utilisé
WAID
Numéro de SIRET
342 504 297 000 58
Adresse du siège social et des éventuels établissements
445, rue Ampère, CS 30385 13 799 Aix en Provence '
Date de création de la structure PACS
1997
Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …)
S. A.
Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS)
Patrice Taisson - Président du directoire
Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services
11 750 000 €
Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS
5 500 000 €
Nombre d’employés (de la filiale PACS)
21
Informations complémentaires :
14.2 Produit PACS
Nom commercial principal
MedSeen PACS
Numéro de version en commercialisation
2.3 1
Date de la première commercialisation (de la dernière version)
Version 2 - 2005
Version 2.3 - 2006
Système d’exploitation et/ou technologie
Windows 2
Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version)
SQL serveur (2000 en version courante et
2005 en version 2.4 début 2007)
Plateforme de développement principal (Nom & version)
Visual studio 5
Couche middleware (Exemple Citrix)
Sans middleware. Client/serveur ou WEB au sein du plateau
technique, et technologie WEB en dehors du plateau technique.
Serveur
Clients
Public
17
170
Privé
35
105
Nombre de sites installés
Répond au cahier des charges IHE
Oui cf tableau connectathon 2006 3
Liste des RIS compatibles
SIRS5 Full intégré, et les autres RIS via IHE
Informations complémentaires :
WAID livre 2 versions majeures par an contenant des évolutions fonctionnelles
WAID est « Microsoft Certified Partner »
3
WAID participe activement au comité IHE depuis 2002. Jean Marc Chevilley est membre du comité IHE France.
1
2
Conformément à la directive n° 33/42/CEE, les logiciels WAID sont de la classe IIA pour le diagnostique
36
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
14.3 Service et support
Lieu, implantation
Aix en Provence
Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …)
Téléphonique + via télémaintenance
Et avec déplacement selon le type de contrat
Jours et heures d’ouverture du support technique
Du lundi au vendredi de 8h à 20h et le samedi de 8h à 12h
(plus astreinte sur les autres périodes)
Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention)
6 personnes (3 personnes en niveau 1
et 3 personnes en niveau 2)
Délai de réponse moyen
1 heure
Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement
Oui
Informations complémentaires :
14.4 Les tarifs publics
Configuration de base :
- 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage
en ligne pour 1 an.
Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel)
Par serveur pour la partie stockage.
Par poste pour les postes d'interprétation.
Licence par site pour le WEBPACS (en intranet et extranet)
Prix de la configuration standard
- Cette configuration est basée sur le postulat d'un scanner de
dernière génération (nb important de coupes), nous amenant à
une estimation d'un espace conséquent de 6 Téraoctets. Les
écrans sont de véritables écrans médicaux certifiés pour le diagnostique : 2 stations bi-écrans de 2 méga-pixels, 1 station biécran de 3 méga-pixels. Ces éléments pèsent de façon importante dans le prix de la configuration.
Ce déploiement serait accompagné d'une gestion de projet de
notre part, avec assistance à maîtrise d'ouvrage.
- Nous signalons que l'intégration avec le RIS de WAID serait
sans aucun surcoût.
141 K€ HT
Si nous passions sur un scanner de 16 barrettes ou
inférieur → 120 K€
Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat)
1 065 € TTC mensuel
Prix d’une intervention sur site
(Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement)
975 € HT
Informations complémentaires :
II convient de signaler qu'un certain nombre de critères influencent de façon majeure le coût global principalement sur la partie Hardware
• Nombre de téraoctets pour le stockage.
• Technologie du serveur (Baie SCSI, SATA ou stockage de type NAS)
• Qualité et marque (médicale ou non, nombre de méga pixels) et nombre des écrans.
37
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
Rédactionnel
JEAN BAPTISTE FRANCESCHINI
Directeur Ventes-Marketing - WAID, groupe SOFTWAY MEDICAL
PACS : intérêts cliniques et économiques
accélèrent le processus d’équipement
Qu’il s’agisse de confort et de sécurité pour le patient ou de fiabilité et de performance pour
le praticien, nombreux sont les critères qui motivent l’équipement en réseaux d’images.Aujourd’hui
plus qu’hier, cet équipement prend de l’importance dans la chaîne du service rendu au patient.
Une évolution constante
du recours à l’imagerie
patientes sont rassurées et sécurisées en sachant
que l’historique de leurs images est soigneusement gardé chez leur médecin radiologue.
Les actions de dépistage et la limitation des
risques participent à une démarche de fond qui
doit permettre de réduire notre retard d’équipement par rapport à nos voisins européens.
L’industrie du matériel d’imagerie propose de
nouvelles machines toujours plus puissantes. Les
vertus de l’imagerie et son intérêt économique
conduisent les professionnels de santé à recourir à ces technologies de façon de plus en plus
systématique, ce qui génère de nouvelles questions sur la gestion et le stockage de ce flux exponentiel d’informations, mais aussi sur son exploitation.
Les bénéfices du PACS dans
cet environnement en mutation
Le stockage en un même lieu sécurisé de l’ensemble des images du cabinet et leur mise à
disposition " on demand " vers un groupe d’utilisateurs in situ ou distant se sont longtemps
heurtés aux limites technologiques des infrastructures réseau. Les évolutions de la dernière décennie ont résolu ce problème avec succès, qui
plus est avec des coûts revus à la baisse lorsque
l’on parle d’accès distant. Dans le même esprit,
la notion de stockage a, elle aussi, été bouleversée avec des systèmes performants dits " on line
" où les industriels proposent une offre complète
à des prix bien plus compétitifs. Aujourd’hui, les
contraintes techniques et économiques n’empêchent plus les cabinets de ville d’envisager la mise
en œuvre d’un PACS.
Si les premières expériences furent menées dans
le secteur hospitalier, pour faire face aux volumes
massifs d’images, les cliniques privées s’engagèrent très vite dans la même direction.
❏ Obtenir un flux pleinement numérique de l’information en réduisant la production de films et
la manipulation de milliers d’enveloppes représente un gain de temps important pour la plupart des secrétaires et manipulateurs. Le radiologue reçoit ainsi, sur une console multi-modalités
et multi-constructeurs, le flux de ses images. Il
profite des outils métiers sur une station unique
lorsque les stations primaires ou secondaires servent aux manipulateurs pour la production.
Dans le même espace de travail, le radiologue
peut alors faire son diagnostic et réaliser son
compte rendu numérique face à ses écrans, dès
lors que la connexion avec son RIS est opérante.
❏ La diffusion des résultats est un facteur déclenchant dans la plupart des équipements. Cette
troisième brique permet une grande souplesse
d’utilisation pour un accès à distance des résultats
et des images. A destination des radiologues du
cabinet, susceptibles de se déplacer ou de se
trouver sur différents sites du groupement, ou à
des fins d’avis complémentaires, c’est un véritable atout que les praticiens perçoivent dans cette
fonctionnalité, d’autant qu’ils peuvent aussi communiquer ces résultats à leurs correspondants en
respectant une logique de confidentialité.
Il convient de rappeler qu’un " bon PACS " pour
une activité libérale comporte des facteurs différentiateurs du PACS dédié au secteur hospitalier. Les cabinets privés sont effectivement dépourvus d’informaticiens à demeure, et
privilégient donc une solution clé en main qui
s’adapte à leurs réalités.
Le PACS relève clairement du domaine informatique autant que de l’image. L’informatique
en milieu libéral se résume le plus souvent au
logiciel de gestion du cabinet, le fameux " RIS ".
Ces deux là, RIS et PACS, sont donc voués à
marcher main dans la main, sous peine de ne
jamais délivrer les avantages du PACS.
Ce facteur est déterminant dans la réussite du
projet.
Voici deux ou trois ans que la tendance s’est
amorcée au sein des cabinets de ville, avec un niveau de sensibilité souvent fonction de la notion
de groupement. Et, comme tous les bouleversements apportant de réels avantages dans un domaine d’activités, la démocratisation de cet équipement remporte chaque jour plus d’intérêt
auprès des radiologues libéraux.
Le PACS par SOFTWAY MEDICAL
❏ Archiver les images de ses patients, et pouvoir
les comparer, à la demande, à l’examen en cours
sur une station bi-écran est un réel bénéfice pour
le radiologue. Sur certains types d’examens
comme la mammographie, l’intérêt est encore
plus évident lorsque l’on sait que de nombreuses
patientes oublient ou perdent leurs précédents
clichés. Le confort et la performance sont immédiatement perçus par le praticien, et au-delà, les
L’expérience acquise en matière de réseau d’images par la société WAID a permis au groupe
SOFTWAY MEDICAL de lancer son offre
" MEDSEEN PACS " en capitalisant sur un réel
savoir-faire. Ses outils de mesure et ses viewers
sont déjà installés sur plus de 1300 consoles en
France. L’originalité de cette offre réside dans le
fait que WAID propose également un RIS, luimême installé dans plus de 750 cabinets de
38
radiologie. L’offre est donc disponible en solution
modulaire (le PACS pouvant s’interfacer avec les
autres RIS du marché), ou globale, appelée
MedSeen RIS-PACS.
Le concept est simple : Le RIS étant en amont
de la collecte des rendez-vous et des identités
patients, il est aussi directement informé de l’état
d’avancement des examens par les modalités.
Connecté à l’historique des comptes-rendus et
des images, le radiologue bénéficie alors de toutes les informations sur les examens passés et en
cours pour le patient concerné. Il pourra, de sa
console de travail, récupérer les images de toutes les modalités, quel que soit le constructeur.
Au cours de son interprétation, il pourra procéder à la comparaison des images et à la production de son compte-rendu, sans changer d’espace
de travail. La consultation du dossier médical sur
l’écran de contrôle du RIS lui sera proposée. Bien
évidemment, il pourra faire appel au système de
reconnaissance vocale embarqué dans la solution
RIS (SpeechMagic by Philips), à moins qu’il ne
préfère rester au système numérique. Quoi qu’il
en soit, le flux complètement numérisé enrichira
les données du dossier patient, les rendant ainsi
disponibles pour les utilisateurs, qu’ils soient sur
site ou à l’extérieur.
Si réussir la mise en œuvre de son PACS passe
par la réussite de la connexion avec le RIS,WAID
a abordé le sujet simplement : RIS – PACS, une
solution, un partenaire. Plus qu’une simple
connexion, la solution MedSeen RIS-PACS est
pleinement intégrée et la différence est de taille.
Au-delà de la qualité de ses solutions, WAID a
une approche largement appréciée : la solution
peut être scindée en modules.Ainsi, le choix peut
se porter sur la station de travail multi-modalités
avec l’archivage, la station et la diffusion Web ou
la station de travail seule.
Connaissant l’importance à accorder à la mise en
œuvre et à l’accompagnement dans la réussite d’un
projet PACS, il convient d’être sensible à la qualité
d’intégration.La démarche de certification sera sans
aucun doute un avantage à l’actif de WAID, déjà
certifié classe IIA pour le diagnostic, qui brigue un
avenir de premier rang dans ce domaine.
Au sujet de WAID : La société WAID existe depuis 15 ans et équipe 750 cabinets de radiologie
et plus de 100 établissements publics et privés.
Elle fait partie du groupe SOFTWAY MEDICAL
qui regroupe WAID, R2I Santé (SIH) et MICROCONCEPT (médecine de ville). Le groupe, côté
au marché EURONEXT Paris, réalise un CA de
20 millions d'euros et emploie 200 personnes.
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
Société
AGFA
Effectifs
CA
Nombre de sites libéraux (en France)
Nombre de sites hospitaliers (en France)
Nombre d'installations PACS (AC)
Ratio Privé/Public
Ratio CA/Effectifs
Ratio Site/Effectits
23
5 100 000 €
7
20
26%
221 739 €
1,17
Produit
Nom commercial & version
Plateforme
Date 1ère commercialisation
Impax v6.2
Windows ou Unix
jan-06
Fonction & Norme
Norme ISO 9001 (Console)
HL7
IHE
Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette)
Gestion multi-dossiers
IHM Encours et Recheche multicritére
RIS Compatible
?
Oui
Oui
Jpeg,Wavelet
Oui
Oui
EDL Xplore, Sirilog, QDOC
Distribution & Diffusion
Intra service
Accés radiologue de garde
Intra Etablissement
Correspondant exterieur
Filming
Gravage sur support amovible
Oui
Oui y compris les Palms
Oui
Oui avec lien email
Oui mais pas souple
Oui
Exploitation image
Travail dès la 1ère image
Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...)
MIP/MPR
3D (+ nom du produit)
Outils spécifiques spécialités
Images clés
Comparaison examens dates différentes
Comparaison examens origine, format et support diff.
Exportation des images
Oui
Oui
Oui
Oui (Voxar)
Oui : Orthoview
Oui
Oui
Oui (sans intégration dans le PACS)
Oui
Archivage & Sauvegarde
Archivage court terme
Archivage long terme
Sauvegarde
Raid (avec compression Jpeg lossless)
Oui
Oui sans bande
Service & Support
Taux de disponibilité
Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7
Nb de personnes dédiées
Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte)
Ratio site/personnes dédiées
Télémaintenance
Tarifs
Prix configuration de base (hors archivage long terme)
A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€
Type de licence
Avis
Les plus
?
1
6
26,1%
4,50
Oui
200 K€
C
Fixe pour serveur, Flottante pour utilisateur
Complet et modulable. Maintenance raisonnable (13% incluant les upgrade majeurs). Lien email vers le correspondant.
Clé privé/public. Intégration RIS
Les moins
Interface en noir et blanc avec charte graphique peu lumineuse. Produit orienté hospitalier et peu vers le libéral
Avis général
L'interface noir et blanc le rend peu attirant au premier regard.A noter l'offre PACS/RIS pour les libéraux (FSE). Bonne
connaissance métier. Effort fait pour la sécurité.
10
10
NOTE SUR 20
CLASSEMENT
40
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
Société
FUJIFILM
Effectifs
CA
Nombre de sites libéraux (en France)
Nombre de sites hospitaliers (en France)
Nombre d'installations PACS (AC)
Ratio Privé/Public
Ratio CA/Effectifs
Ratio Site/Effectits
28
2 500 000 €
14
4
78%
89 285 €
0,64
Produit
Nom commercial & version
Plateforme
Date 1ère commercialisation
Synapse v3.1.0
Windows
fév-04
Fonction & Norme
Norme ISO 9001 (Console)
HL7
IHE
Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette)
Gestion multi-dossiers
IHM Encours et Recheche multicritére
RIS Compatible
?
Oui
Oui
Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette
Oui avec les onglets IE7
Peu de changement, mais multicritére
WAID Sir5, Serval Radioplus, EDL Xplore, Penaranda, Sirilog Medasys,Agfa Qdoc
Distribution & Diffusion
Intra service
Accés radiologue de garde
Intra Etablissement
Correspondant exterieur
Filming
Gravage sur support amovible
Oui
Oui
Oui
Oui + email avec lien
Oui
Oui
Exploitation image
Travail dès la 1ère image
Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...)
MIP/MPR
3D (+ nom du produit)
Outils spécifiques spécialités
Images clés
Comparaison examens dates différentes
Comparaison examens origine, format et support diff.
Exportation des images
Oui
Oui
Oui
Oui (Voxar)
Oui
Oui dossier Staff
Oui
Non pas de lecture direct du CDROM
Oui
Archivage & Sauvegarde
Archivage court terme
Archivage long terme
Sauvegarde
Oui
Oui en ligne (avec replication)
Oui sur bande
Service & Support
Taux de disponibilité
Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7
Nb de personnes dédiées
Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte)
Ratio site/personnes dédiées
Télémaintenance
?
1
7
25,0%
2,57
Oui
Tarifs
Prix configuration de base (hors archivage long terme)
A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€
Type de licence
260 K€
C
Site
Avis
Les plus
Licence Site, Ouverture vers les utilisateurs non-radiologues, Compression Ondelete (Modalité, Debit, type d'archivage),
Client Léger WEB, bonne intégration RIS
Les moins
Prix élevé. Intégration CDROM pas possible. Interface classique et ancienne. Faible réactivité de la société. Client
Windows uniquement
Avis général
La version 3 n'apporte pas les changements attendus. Prix excessif. Bonne intégration Web et Ris. Offre bien adaptée
pour liberaux malgré le prix
11,8
8
NOTE SUR 20
CLASSEMENT
41
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
Société
GE
Effectifs
CA
Nombre de sites libéraux (en France)
Nombre de sites hospitaliers (en France)
Nombre d'installations PACS (AC)
Ratio Privé/Public
Ratio CA/Effectifs
Ratio Site/Effectits
22
4 000 000 €
15
28
35%
181 818 €
1,95
Produit
Nom commercial & version
Plateforme
Date 1ère commercialisation
Centricity PACS version 3.0
Linux,Windows
juin-06
Fonction & Norme
Norme ISO 9001 (Console)
HL7
IHE
Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette)
Gestion multi-dossiers
IHM Encours et Recheche multicritére
RIS Compatible
Oui
Oui
Oui
Jpeg, Jpeg 2000
Oui
Oui avec sauvegarde
EDL Xplore,WAID Sir5,AGFA Qdoc, MEDASYS Sirilog
Distribution & Diffusion
Intra service
Accés radiologue de garde
Intra Etablissement
Correspondant exterieur
Filming
Gravage sur support amovible
Oui (Interface et fonctionalité idem ADW)
Oui, client léger WEB
Oui, client léger WEB
Oui, client léger WEB + Lien par email
Oui
Oui
Exploitation image
Travail dès la 1ère image
Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...)
MIP/MPR
3D (+ nom du produit)
Outils spécifiques spécialités
Images clés
Comparaison examens dates différentes
Comparaison examens origine, format et support diff.
Exportation des images
Oui
Oui
Oui
Oui (ADW)
Oui : Orthoview, FusionTEP (?), Mammographie
Oui
Oui
Oui (mais avec intégration dans le PACS)
Oui
Archivage & Sauvegarde
Archivage court terme
Archivage long terme
Sauvegarde
Oui RAID jusqu'à 15To
Oui WORM (Disque Optique)
Service & Support
Taux de disponibilité
Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7
Nb de personnes dédiées
Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte)
Ratio site/personnes dédiées
Télémaintenance
Tarifs
Prix configuration de base (hors archivage long terme)
A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€
Type de licence
Avis
Les plus
Entre 98% et 99,9%
3
12
54,5%
3,58
Oui
Entre 150 K€ et 200 K€
B
Fixes et flottante
Fonctionalité ADW complète dont 3D,VR, Société pérenne, Produit complet, lien électronique vers correspondant
Les moins
Interface medecine nucléaire moyenne, lien avec la radiothérapie trop chére, Offre encore insuffisament positionnée sur le libéral, fonctionalité extra radiologique insuffisante, pas de licence site, prix global elevé
Avis général
Bon produit, encore très dédié grosse structure. Progrès dans le produit et dans l'offre. Le prix reste cependant un
frein
NOTE SUR 20
CLASSEMENT
42
13,44
2
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
Société
GLOBAL IMAGING
Effectifs
CA
Nombre de sites libéraux (en France)
Nombre de sites hospitaliers (en France)
Nombre d'installations PACS (AC)
Ratio Privé/Public
Ratio CA/Effectifs
Ratio Site/Effectits
17
2 700 000 €
80
10
89%
158 823 €
5,29
Produit
Nom commercial & version
Plateforme
Date 1ère commercialisation
Diam v2.2
Windows
mai-03
Fonction & Norme
Norme ISO 9001 (Console)
HL7
IHE
Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette)
Gestion multi-dossiers
IHM Encours et Recheche multicritére
RIS Compatible
Non
Oui
Oui
Jpeg, Jpeg 2000.
Oui
Oui
Actibase, EDL, Radio 3000, Serval, SAP, Emed,
Distribution & Diffusion
Intra service
Accés radiologue de garde
Intra Etablissement
Correspondant exterieur
Filming
Gravage sur support amovible
Oui
Oui (en mode Web)
Oui
Oui par un lien
Oui avec sauvegarde du résultat
Oui
Exploitation image
Travail dès la 1ère image
Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...)
MIP/MPR
3D (+ nom du produit)
Outils spécifiques spécialités
Images clés
Comparaison examens dates différentes
Comparaison examens origine, format et support diff.
Exportation des images
Oui
Oui
Oui
Oui (Voxar)
Oui (OrthoView)
Oui
Oui
Oui (avec importation sur poste RIS)
Oui
Archivage & Sauvegarde
Archivage court terme
Archivage long terme
Sauvegarde
Raid, Nas
Raid en ligne
Sur bande
Service & Support
Taux de disponibilité
Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7
Nb de personnes dédiées
Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte)
Ratio site/personnes dédiées
Télémaintenance
Tarifs
Prix configuration de base (hors archivage long terme)
A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€
Type de licence
Avis
Les plus
?
1
5
29,4%
18,00
Oui
149,5 K€
A
Par modalités, par serveur, par utilisateur concurentiel
Lien Email vers le correspondant avec lien sécurisé. Filming avec sauvegarde du résultat. CD importer disssocié du PACS.
Recherche FullText des Comptes Rendu
Les moins
Produit en mode Web IE uniquement donc Windows. Politique tarifaire difficile à comprendre sur les modalités et les
modules. Pas de maintenance duVe 18h30 au Lu 8h30
Avis général
Produit vraiment formaté pour les libéraux. Bonne expérience et antériorité.Vision stratégique proposée sur 3 ans.
12,44
5
NOTE SUR 20
CLASSEMENT
43
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
Société
KODAK
Effectifs
CA
Nombre de sites libéraux (en France)
Nombre de sites hospitaliers (en France)
Nombre d'installations PACS (AC)
Ratio Privé/Public
Ratio CA/Effectifs
Ratio Site/Effectits
45
_
13
32
29%
_
1,00
Produit
Nom commercial & version
Plateforme
Date 1ère commercialisation
CareStream v10
Windows, Solaris
juin-06
Fonction & Norme
Norme ISO 9001 (Console)
HL7
IHE
Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette)
Gestion multi-dossiers
IHM Encours et Recheche multicritére
RIS Compatible
Non
Oui
Oui
Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette
Oui
Oui
HL7, EDL,ACTIBASE,WAID et MEDASYS
Distribution & Diffusion
Intra service
Accés radiologue de garde
Intra Etablissement
Correspondant exterieur
Filming
Gravage sur support amovible
Oui
Oui console WEB
Oui
Pas de lien image dans le compte rendu
Oui
Oui
Exploitation image
Travail dès la 1ère image
Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...)
MIP/MPR
3D (+ nom du produit)
Outils spécifiques spécialités
Images clés
Comparaison examens dates différentes
Comparaison examens origine, format et support diff.
Exportation des images
Oui
Oui
Oui
Oui (Voxar)
Oui (OtrthoView, Colon)
Oui
Oui
Oui
Oui
Archivage & Sauvegarde
Archivage court terme
Archivage long terme
Sauvegarde
Raid en ondelette
Archivage à distance
Sauvegarde à distance
Service & Support
Taux de disponibilité
Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7
Nb de personnes dédiées
Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte)
Ratio site/personnes dédiées
Télémaintenance
95,00%
3
7
15,6%
6,43
Oui
Tarifs
Prix configuration de base (hors archivage long terme)
A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€
Type de licence
175 K€
B
Flottante
Avis
Les plus
Bonne expérience sur les PACS.Archivage en ligne tout compris. Bonne intégration avec d'autres systémes. Client WEB
pour tous les utilisateurs (formation et maintenance simplifées)
Les moins
Maintenance très élevée de 20% du prix total. IHM peu pratique et peu fonctionnelle. Pas d'envoi de lien, mais d'une
image au correspondant (gros volume et peu sécurisé)
Avis général
Interrogation sur l'obligation d'archivage distant. Politique de tarif discutable. Bonne expérience, ancienne, sur les PACS.
12
6
NOTE SUR 20
CLASSEMENT
44
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
Société
MACKESSON
Effectifs
CA
Nombre de sites libéraux (en France)
Nombre de sites hospitaliers (en France)
Nombre d'installations PACS (AC)
Ratio Privé/Public
Ratio CA/Effectifs
Ratio Site/Effectits
11
_
0
13
_
_
1,18
Produit
Nom commercial & version
Plateforme
Date 1ère commercialisation
Horizon Medical Imaging v11
Windows
juin-05
Fonction & Norme
Norme ISO 9001 (Console)
HL7
IHE
Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette)
Gestion multi-dossiers
IHM Encours et Recheche multicritére
RIS Compatible
Non
Oui
Oui
Jpeg, Jpeg 2000.
Oui
Oui
Xplore, Crossway
Distribution & Diffusion
Intra service
Accés radiologue de garde
Intra Etablissement
Correspondant exterieur
Filming
Gravage sur support amovible
Oui
Oui
Oui
Oui mais pas de lien
Oui (basic)
Oui
Exploitation image
Travail dès la 1ère image
Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...)
MIP/MPR
3D (+ nom du produit)
Outils spécifiques spécialités
Images clés
Comparaison examens dates différentes
Comparaison examens origine, format et support diff.
Exportation des images
Oui
Oui
Oui
Oui (Voxar)
Oui (OrthoView)
Oui
Oui
Oui
Oui
Archivage & Sauvegarde
Archivage court terme
Archivage long terme
Sauvegarde
Raid, NAS avec replication
Bande, baie sécurisé
Sur bande
Service & Support
Taux de disponibilité
Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7
Nb de personnes dédiées
Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte)
Ratio site/personnes dédiées
Télémaintenance
Tarifs
Prix configuration de base (hors archivage long terme)
A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€
Type de licence
Avis
Les plus
?
3
6
54,5%
2,17
Oui
95,68 K€
A
Par serveur
Offre SIH-PACS. Grosse expérience PACS. Mise à jour gratuite si téléchargment
Les moins
MIP/MPR Basic. Console de travailVitréa (pas de developpement interne). Pas de lien vers le correspondant. Pas de référence dans le secteur privé. Pas de connexion RIS
Avis général
Produit plutôt destiné au monde hospitalier.A noter une ouverture tarifaire vers les libéraux.
10,36
9
NOTE SUR 20
CLASSEMENT
45
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
Société
MEDICASOFT
Effectifs
CA
Nombre de sites libéraux (en France)
Nombre de sites hospitaliers (en France)
Nombre d'installations PACS (AC)
Ratio Privé/Public
Ratio CA/Effectifs
Ratio Site/Effectits
4
150 000 €
2
2
50%
37 500 €
1,00
Produit
Nom commercial & version
Plateforme
Date 1ère commercialisation
Vitalis v1.0
Windows
juin-05
Fonction & Norme
Norme ISO 9001 (Console)
HL7
IHE
Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette)
Gestion multi-dossiers
IHM Encours et Recheche multicritére
RIS Compatible
Non
En cours
En Cours
Jpeg
Non
Oui mais limité
Actibase
Distribution & Diffusion
Intra service
Accés radiologue de garde
Intra Etablissement
Correspondant exterieur
Filming
Gravage sur support amovible
Oui
?
Oui
Non
Non
Oui
Exploitation image
Travail dès la 1ère image
Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...)
MIP/MPR
3D (+ nom du produit)
Outils spécifiques spécialités
Images clés
Comparaison examens dates différentes
Comparaison examens origine, format et support diff.
Exportation des images
Oui
Oui
Oui mais incomplet
Non
Non
Non
Non
Non
Oui
Archivage & Sauvegarde
Archivage court terme
Archivage long terme
Sauvegarde
Raid en jpeg
Robot et gravage de DVD
Oui sur bande
Service & Support
Taux de disponibilité
Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7
Nb de personnes dédiées
Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte)
Ratio site/personnes dédiées
Télémaintenance
Tarifs
Prix configuration de base (hors archivage long terme)
A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€
Type de licence
Avis
Les plus
?
1
2
50,0%
2,00
Oui
100K€
A
Fixe et flottante
Ergonomie et graphisme travaillé. Utilise les outils LAMP (Open source) permettant un prix bas. Export facile des images
sur une clé USB. Petite société réactive
Les moins
Produit très jeune avec peu de références. Pas de norme IHE. Fonctionalité sur console limitée (pas deVR)
Avis général
Incertitude sur la pérénité de la société. Réactivité importante sur evolution et sur support du fait de la petite taille de la
structure. Bonne connaissance du métier radiologique.
6,92
12
NOTE SUR 20
CLASSEMENT
46
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
Société
PHILIPS
_
_
_
_
Effectifs
CA
Nombre de sites libéraux (en France)
Nombre de sites hospitaliers (en France)
Nombre d'installations PACS (AC)
Ratio Privé/Public
Ratio CA/Effectifs
Ratio Site/Effectits
_
_
_
Produit
Nom commercial & version
Plateforme
Date 1ère commercialisation
PACS Isite R4.0
Windows
juin-05
Fonction & Norme
Norme ISO 9001 (Console)
HL7
IHE
Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette)
Gestion multi-dossiers
IHM Encours et Recheche multicritére
RIS Compatible
?
Oui
Oui
Jpeg, Jpeg 2000 (Compression BD prop.)
Oui
Oui
Aucun ?
Distribution & Diffusion
Intra service
Accés radiologue de garde
Intra Etablissement
Correspondant exterieur
Filming
Gravage sur support amovible
Oui
Oui
Oui
Oui mais pas de lien par email
Oui
Oui
Exploitation image
Travail dès la 1ère image
Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...)
MIP/MPR
3D (+ nom du produit)
Outils spécifiques spécialités
Images clés
Comparaison examens dates différentes
Comparaison examens origine, format et support diff.
Exportation des images
Oui
Oui
Oui
Oui (Voxar)
Oui : Orthoview
Oui
Oui
Oui (mais avec intégration dans le PACS)
Oui
Archivage & Sauvegarde
Archivage court terme
Archivage long terme
Sauvegarde
Raid (avec compression isyntax)
Sur place en ligne + Externalisé chez Philips
Oui externalisé
Service & Support
Taux de disponibilité
Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7
Nb de personnes dédiées
Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte)
Ratio site/personnes dédiées
Télémaintenance
Tarifs
Prix configuration de base (hors archivage long terme)
A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€
Type de licence
Avis
Les plus
99,99%
3
_
_
_
Oui
Environ 2,5€ par examen (+ cout des telecoms pour sauvegarde)
C
Site
Licence site. Bonne ergonomie multi dossier et ligne de vie patient. Produit en mode web. Engagement de dispo de
99,99%. Sécurité
Les moins
Pas de lien avec le correspondant. Client Windows (active X) donc pas compatible Mac. Pas encore de site installé. Cout
des liaisonsVPN à inclure.
Avis général
Ergonomie remarquable de la console de travail. Produit semblant fiable mais très nouveau sans site installé encore. Politique
de tarif à l'examen rendant difficile l'analyse des prix, externalisation de la sauvegarde avec les réserves que cela entraine.
11,96
7
NOTE SUR 20
CLASSEMENT
47
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
Société
SIEMENS SHS
Effectifs
CA
Nombre de sites libéraux (en France)
Nombre de sites hospitaliers (en France)
Nombre d'installations PACS (AC)
Ratio Privé/Public
Ratio CA/Effectifs
Ratio Site/Effectits
35
?
60
240
20%
_
8,57
Produit
Nom commercial & version
Plateforme
Date 1ère commercialisation
Syngo Imaging XS 25
Windows ou Unix
jan-06
Fonction & Norme
Norme ISO 9001 (Console)
HL7
IHE
Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette)
Gestion multi-dossiers
IHM Encours et Recheche multicritére
RIS Compatible
?
Oui
Oui
Jpeg
Oui
Oui mais peu d'ergonomie
HL7
Distribution & Diffusion
Intra service
Accés radiologue de garde
Intra Etablissement
Correspondant exterieur
Filming
Gravage sur support amovible
Oui
Oui (avec envoi selon planning de garde)
Oui
Oui avec lien email ou image
Oui mais limité
Oui
Exploitation image
Travail dès la 1ère image
Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...)
MIP/MPR
3D (+ nom du produit)
Outils spécifiques spécialités
Images clés
Comparaison examens dates différentes
Comparaison examens origine, format et support diff.
Exportation des images
Oui
Oui
Oui sur options
Oui (Voxar) en option
Oui : Orthoview
Oui, et très compliqué
Oui
Oui (sans intégration dans le PACS)
Oui
Archivage & Sauvegarde
Archivage court terme
Archivage long terme
Sauvegarde
Raid en Jpeg
Oui, support variable
Oui sur bande
Service & Support
Taux de disponibilité
Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7
Nb de personnes dédiées
Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte)
Ratio site/personnes dédiées
Télémaintenance
Tarifs
Prix configuration de base (hors archivage long terme)
A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€
Type de licence
Avis
Les plus
?
1
21
60,0%
14,29
Oui
Entre 100 K€ et 200 K€
B
Poste ou flottante
Logiciel non matériel dependant. Souris 8 fonctions très pratique. Portail de demande d'examen. IntrégationVoxar 3D.
Interface unifiée
Les moins
MIP/PMR en option. Pas de Jpeg 2000 ou wavelet. Pas de film composer
Avis général
Produit trés proche des interfaces scanner et IRM. Offre mal dimensionnée avec beaucoup trop d'options pénalisant le
prix.
9,72
11
NOTE SUR 20
CLASSEMENT
48
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
Société
TELEMIS ELECTRON
Effectifs
CA
Nombre de sites libéraux (en France)
Nombre de sites hospitaliers (en France)
Nombre d'installations PACS (AC)
Ratio Privé/Public
Ratio CA/Effectifs
Ratio Site/Effectits
14
2 500 000 €
6
7
46%
178 571 €
0,93
Produit
Nom commercial & version
Plateforme
Date 1ère commercialisation
Telemis Médical v3.9
Windows Mac OSX, Linux
nov-06
Fonction & Norme
Norme ISO 9001 (Console)
HL7
IHE
Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette)
Gestion multi-dossiers
IHM Encours et Recheche multicritére
RIS Compatible
?
Oui
Oui
Jpeg, Jpeg 2000
Oui
Oui avec sauvegarde
EDL Xplore,AGFA QDOC, Ressources Informatiques Radio 3000
Distribution & Diffusion
Intra service
Accés radiologue de garde
Intra Etablissement
Correspondant exterieur
Filming
Gravage sur support amovible
Oui
Oui client lourd
Oui client lourd
Oui client léger, pas de lien web (un peu lourd)
Oui
Oui
Exploitation image
Travail dès la 1ère image
Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...)
MIP/MPR
3D (+ nom du produit)
Outils spécifiques spécialités
Images clés
Comparaison examens dates différentes
Comparaison examens origine, format et support diff.
Exportation des images
Oui
Oui
Oui
Oui (Télémis, en base dans le logiciel)
Oui en option : Orthoview, FusionTEP (Télémis), Mammographie
Oui
Oui
Oui (sans intégration dans le PACS)
Oui
Archivage & Sauvegarde
Archivage court terme
Archivage long terme
Sauvegarde
Oui
Oui (en option)
Oui sur bande
Service & Support
Taux de disponibilité
Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7
Nb de personnes dédiées
Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte)
Ratio site/personnes dédiées
Télémaintenance
Tarifs
Prix configuration de base (hors archivage long terme)
A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€
Type de licence
Avis
Les plus
99,80%
1 et 3 (en option mais pas 24h/24h)
3
21,4%
4,33
Oui
Entre 130K€ et 220 K€
A et C
Fixes et Sites
Licence Site. Grande ergonomie. Ouverture vers les utilisateurs non-radiologues. Outils de radiothérapie et médecine
nucléaire. Produit complet (peu d'options à prévoir), Société à l'ecoute des clients et reactive. Produit ergonomique bien
ciblé libéral/Clinique. Facilité de diffusion des images dans un établisement de soin.Compatible Mac
Les moins
Augmentation recente des prix. Cout de la maintenance (19%). Client lourd pour radiologue à distance et non-radiologue. Lien avec correspondant complexe. Faiblesse des fonctions de travail d'image (MPR, 3D…)
Avis général
Bon produit, produit et offre adaptés aux libéraux, bon SAV, client web lourd, augmentation du prix récente.
14,88
1
NOTE SUR 20
CLASSEMENT
49
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
Société
VEPRO
Effectifs
CA
Nombre de sites libéraux (en France)
Nombre de sites hospitaliers (en France)
Nombre d'installations PACS (AC)
Ratio Privé/Public
Ratio CA/Effectifs
Ratio Site/Effectits
15
1 685 000 €
11
43
20%
112 333 €
3,60
Produit
Nom commercial & version
Plateforme
Date 1ère commercialisation
Medimage v7.0
Windows
déc-06
Fonction & Norme
Norme ISO 9001 (Console)
HL7
IHE
Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette)
Gestion multi-dossiers
IHM Encours et Recheche multicritére
RIS Compatible
?
Oui
Oui
Jpeg, Jpeg 2000
Oui
Oui avec des filtres
Penaranda Informatique,Accel, Medasys, Ressources Informatiques
Distribution & Diffusion
Intra service
Accés radiologue de garde
Intra Etablissement
Correspondant exterieur
Filming
Gravage sur support amovible
Oui
Oui
Oui
Oui avec lien email ou image
Oui
Oui et peut être utilisé pour lire des CDROM
Exploitation image
Travail dès la 1ère image
Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...)
MIP/MPR
3D (+ nom du produit)
Outils spécifiques spécialités
Images clés
Comparaison examens dates différentes
Comparaison examens origine, format et support diff.
Exportation des images
Oui
Oui
Oui
Oui (Vepro) en option
Oui : Nucleaire
Oui
Oui
Oui (sans intégration dans le PACS)
Oui
Archivage & Sauvegarde
Archivage court terme
Archivage long terme
Sauvegarde
Raid en jpeg et joeg 2000
DVD / Raid
Oui sur bande
Service & Support
Taux de disponibilité
Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7
Nb de personnes dédiées
Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte)
Ratio site/personnes dédiées
Télémaintenance
Tarifs
Prix configuration de base (hors archivage long terme)
A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€
Type de licence
Avis
Les plus
?
3
4
26,7%
13,50
Oui
Inférieur à 80 K€
A
Site, Fixe ou flottante
Possiblité de sauvegarde du contrôle de qualité des modalités. Ergonnie avancée. Possiblité de louer des espaces mémoire
à d'autres spécialités. Console très avancée. Produit ergonomique compatible avec une activité libérale. Bonne intégration
de la dictée numérique. Bon concept d'ensemble et spécifité unique.
Les moins
Client Windows lourd. Pas d'archivage externalisé. Société peu connue en France entrainant un manque de visibilité et de
stratégie. Réserves sur la diffusion des images dans l'établissement de soins
Avis général
Bon rapport qualité prix. Offre adaptée à l'activité libérale et facilement dimensionable au besoin.
NOTE SUR 20
CLASSEMENT
50
13,12
4
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
Société
WAID
Effectifs
CA
Nombre de sites libéraux (en France)
Nombre de sites hospitaliers (en France)
Nombre d'installations PACS (AC)
Ratio Privé/Public
Ratio CA/Effectifs
Ratio Site/Effectits
21
5 500 000 €
35
17
67%
261 904 €
2,48
Produit
Nom commercial & version
Plateforme
Date 1ère commercialisation
Medeseen PACS v2.3
Windows
juin-05
Fonction & Norme
Norme ISO 9001 (Console)
HL7
IHE
Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette)
Gestion multi-dossiers
IHM Encours et Recheche multicritére
RIS Compatible
Oui Classe 2IA
Oui
Oui
Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette
Oui
Oui
SIR5
Distribution & Diffusion
Intra service
Accés radiologue de garde
Intra Etablissement
Correspondant exterieur
Filming
Gravage sur support amovible
Oui
Oui (Outils identique à la console Rx)
Oui
Oui par un lien
?
Oui
Exploitation image
Travail dès la 1ère image
Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...)
MIP/MPR
3D (+ nom du produit)
Outils spécifiques spécialités
Images clés
Comparaison examens dates différentes
Comparaison examens origine, format et support diff.
Exportation des images
Oui
Oui
Oui
Oui (Mercury
Oui (OrthoView)
Oui
Oui
Oui
Oui
Archivage & Sauvegarde
Archivage court terme
Archivage long terme
Sauvegarde
Raid, SATA, NAS
DVD, ou NAS
Sur bande
Service & Support
Taux de disponibilité
Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7
Nb de personnes dédiées
Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte)
Ratio site/personnes dédiées
Télémaintenance
Tarifs
Prix configuration de base (hors archivage long terme)
A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€
Type de licence
Avis
Les plus
?
2
6
28,6%
8,67
Oui
169 K€
B
Par serveur, par poste et par site
Serveur dédié au 3D (calcul sur le serveur et non sur le poste) impliquant une vitesse accélérée. Bonne ergonomie IHM.
Offre RIS PACS. Répond à la norme IIA
Les moins
Maintenance de 14%. Pas de support pas 7/7. Systéme de licence compliqué.
Avis général
Bon produit, bien en adéquation avec les besoins des radiologues libéraux mais politique tarifaire un peu floue.
13,44
2
NOTE SUR 20
CLASSEMENT
51
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
DR SOPHIE TAÏEB
Centre Oscar Lambret - Lille
Retour d’expérience
du choix d’un PACS
Dr S.Taïeb
La décision de
mettre en place, en
2005, un PACS
dans notre centre
régional de lutte
contre le cancer
nous a paru une
évidence à plus
d’un titre afin de
2007 pour avoir un volant financier suffisant pour mener ce projet à terme :
objectif hôpital " sans films ". Nous
avions en mémoire les expériences
réalisées ici ou là, inachevées et/ou rapidement obsolètes du fait de l’absence
de suivi des investissements.
❏ Mais, également, désir de prendre le
train
de la modernité du numérique,
pouvoir :
exacerbé par une présence assidue au
❏ Gérer l’important volume d’images RSNA, à Chicago, en anticipant tous les
générés par un nouveau scanner 16 bienfaits organisationnels liés à l’archibarrettes, l’achat d’un mammographe vage numérique et qui étaient réguliènumérique, et une importante activité rement rappelés aux JFR.
d’IRM mammaire (1300 images par Sur le plan pratique il nous semblait
également que la technologie était
examen).
enfin stable et mature et que nous
❏ Répondre à la demande des clini- pourrions profiter des erreurs des
ciens d’avoir accès aux images et aux cinq années précédentes pour éviter,
à notre tour, de les
comptes rendus le
commettre.
plus rapidement posL’objectif
était donc
sible (tout en leur
“
L’objectif
était
clair
:
hôpital
sans
expliquant que audonc
clair
:
hôpital
films
dans
les
deux
cun PACS au monde
sans films dans
ans suivant l’initiation
ne permettrait de
les
deux
ans.”
du projet (septemleur donner les résulbre
2005-septembre
tats des examens
2007)
et retour sur
avant de les avoir
investissement
dans
les
cinq ans. Le
réalisés !).
budget prévisionnel était de 3 millions
❏ Répondre à la demande spécifique d’euros basés sur les chiffres de la pédes radiothérapeutes, des médecins riode 2000-2003.
nucléaires, des anatomo-pathologistes,
d’avoir un outil de gestion personnalisé
de leur propre production d’images. L’existant :
Dans un second temps, les cliniciens
également producteurs d’images (coe- ❏ Centre de lutte contre le cancer de
lioscopie, endoscopie, photos de lé- 176 lits d’hospitalisation et 27 places d’sions et de résultats de chirurgie répa- hospitalisation de jour, 68 médecins et
ratrice) ont, eux aussi, souhaité disposer scientifiques, 32 internes et 606,5 équivalents temps plein de personnel soid’un tel outil.
gnant ou non.
❏ D’échanger rapidement des images
avec nos correspondants radiologues ❏ Le département d’imagerie comprend :
travaillant dans le CHU voisin et dans 8,6 ETP de radiologues avec 3,2 postes
les structures privées de cancérologie vacants, 4 internes, 17 ETP de manipulateurs, 6 ETP d’assistantes médicales.
de la région.
❏ Profiter des moyens du plan hôpital
52
❏ Plateau technique (production éva-
luée à 5,2 TO/an) :
- Imagerie :
• 1 scanner 16 barrettes,
• Accès à 2 IRM de 1,5Tesla situées
dans 2 hôpitaux différents du CHU
voisin pour 32 heures semaine,
• 2 salles de radiologie numérisées,
• 2 salles de sénologie (mammographe numérique et mammographe analogique équipé en stéréotaxie numérique),
• 3 salles d’échographie,
• un mammotome,
• 2 postes mobiles (réanimation,
radio au lit et bloc opératoire).
- Radiothérapie :
• 4 accélérateurs et un cobalt, reliés à un système de dosimétrie
centralisé,
• un bloc de curiethérapie,
• arrivée prévue d’un cyberknife
(opérationnel depuis avril 2007).
- Médecine nucléaire : 2 gamma caméras, un TEP (1ère génération sans CT).
- Six blocs opératoires dont 2 équipés
en coelioscopie.
- Une activité d’endoscopie importante
avec production d’images polaroid.
• L’informatique et les systèmes
d’information.
- Réseau : intégralement à 100 MB, et
localement 1GB (entre l’imagerie et la
radiothérapie). 550 postes informatiques installés, à écran cathodique en
cours de renouvellement par écran
plat.
- SIH : plusieurs briques (AXIA, Qdoc,
Suzy) avec Dictée Numérique.
- SIR : Pas de SIR !
• Le groupe projet : Un radiologue
(chef de projet), le chef du département d’informatique, l’ingénieur biomédical, un manipulateur radio
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
pressenti pour être le futur administrateur du PACS, un chirurgien
en cancérologie gynécologique.
Nous avons été aidé pour la méthodologie de la rédaction du cahier des charges par un consultant
de CF conseil :Y. Ferré.
matique, aux antériorités du patient.
• Disponibilité d’outils de base sur
les images : zoom, mesures et MPR
• Intégration au sortir du bloc opératoire des vidéos ou des photos
réalisées pendant l’intervention et,
même, pour les chirurgiens coelioscopistes, un seul écran divisé en
deux avec, d’un coté la coelio, et de
l’autre, les images radiologiques au
bloc opératoire.
des scanners réalisés sur le 16 barrettes : réintégration au fil de l’eau
suivant les besoins lors des comparaisons.
c. Nous avions un archivage de deux
années de mammographies numériques à réintégrer intégralement.
Méthodologie
La rédaction du cahier
des charges fonctionnelles
La méthodologie utilisée a été la suivante : sélection d’un panel d’utilisateurs
selon leurs relations aux images (producteurs, utilisateurs), interviews semi
guidées, test sur consoles des différents
viewers du marché et rédaction d’une
première version entièrement basée
sur les fonctionnalités attendues :
Préalables :
1) Les radiologues étant supposés capables d’utiliser n’importe quel système
pour visualiser leurs images (ils naviguent de consoles en consoles toutes
différentes selon les modalités), nous
avons décidé de privilégier les utilisa- 1) Analyse des besoins des utilisateurs
d’images ou analyse
teurs non radiolodu work flow du
gues pour l’ergopoint de vue du clininomie du viewer de
lecture.
“ Analyser les circuits cien prescripteur.
images de tous
En pratique, avec
2) Après plusieurs viles
producteurs.
”
cinq
à six utilisateurs,
sites de sites, nous
vous
avez un panel
avons estimé que les
assez
complet de
taches liées à l’utilisatous
les
dysfonctiontion numérique des
nements
dont
vous
êtes
la
cause et qui
images (insertion de CD venant de
obèrent
"
évidemment
"
les bonnes
l’extérieur, gravage de CD supplémenpratiques
cliniques.
Il
faut
simplement
taires pour les patients le demandant,
utilisation universitaire des images…) s’armer de patience et de diplomatie,
devait être décentralisées pour laisser tout écouter et tout écrire. Cela perune autonomie la plus complète possi- met néanmoins d’avoir une vision asble aux utilisateurs, le contrôle se fai- sez précise du service attendu. Nous
sant par la gestion de la base de don- avons réalisé également un questionnées PACS puisque toutes les taches naire de " satisfaction " qui a permis au
chef du département d’imagerie (réréalisées sont enregistrées.
gulièrement informé des interviews)
3) L’administrateur PACS resterait éga- d’attendre un peu avant de choisir la
lement manipulateur, d’où, création bonne corde pour se pendre : en bref
d’une équipe (six personnes) de réfé- rien n’était adéquat mais les utilisateurs
rents PACS. Le PACS devient ainsi une étaient assez contents du ser vice
modalité à part entière. Pas d’embau- rendu !!
che réalisée mais redéploiement du
Dans cette analyse nous avons été très
personnel.
loin dans le descriptif des fonctionnalités attendues.
4) Intégration des antériorités
a. nous avions un mini-pacs avec la
réanimation et la salle de réveil :ré- Par exemple :
• pas plus de trois clics de souris enintégration au fil de l’eau en fonctre l’ouverture du logiciel et la visuation des besoins des examens anlisation des images avec un accès
térieurs.
également très rapide, voire autob. Nous avions un archivage CD
53
Il y a eu également beaucoup de demandes sur des fonctions jugées indispensables par les cliniciens mais qui
relevait plutôt d’un SIR que du PACS :
gestion des prises de rendez-vous, suivi
en temps réel du parcours d’un patient
entre la demande d’examen et l’information de la disponibilité du compte
rendu et des images.
Et enfin une demande récurrente d’un
outil permettant la création de bases
de données à visée universitaire.
Enfin (last but not least) : que cet outil
soit facile à utiliser.
En parallèle à ces interviews les utilisateurs d’image étaient invités à tester et
à évaluer les viewers des différents
PACS du marché mis à notre disposition par les fournisseurs. Le chirurgien
qui, au sortir d’un test, nous a informé
qu’avec le produit qu’il venait d’essayer
" il était hors de question d’envisager
d’abandonner le film " (en termes peutêtre un peu moins choisis) nous a probablement rendu un grand service.
2) Analyse des besoins du point de vue
des producteurs d’images.
Il y a toujours plus de producteurs
d’images dans un hôpital qu’on ne
l’imagine. Ou peut-être, l’idée d’un dossier " images patient " a libéré des désirs cachés. Finalement, nous avons du
également analyser les circuits images
de tous les producteurs. L’idée directrice d’une mutualisation de tous les
outils dédiés aux images a permis de
synthétiser les différents circuits en
deux modèles :
- Automatisation du stockage et de
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
l’archivage dés leur production pour
les images produites en DICOM.
- Sélection et intégration à la demande pour les autres, mais réalisées par le clinicien producteur sur
des " PC de base ", la limite pour
l’intégration étant le poids des images, limité à 50 MégaOctets pour
les boucles vidéo. Il fallait donc prévoir des outils de Dicomisation décentralisés (et facile d’utilisation !).
Concernant la décision de donner la
priorité aux utilisateurs quant au choix
final du viewer de lecture, aucun des
radiologues, radiothérapeutes ou médecins nucléaires n’a émis d’objections.
3) Analyse des besoins / attentes des
administratifs (payeurs) du système.
Ici, l’analyse des besoins était relativement simple :
• améliorer la productivité,
• objectiver un retour sur investissement avec indicateurs suivis en
temps réel pendant cinq ans,
• faire l’analyse et anticiper les
risques consécutifs aux changements qui seraient liés à l’arrêt du
film,
• faire attention à ne pas dédier cet
outil aux seuls bénéfices des radiologues,
• anticiper les futures modifications
du SIH en privilégiant un système
ouvert capable également de s’intégrer au futur DMP (donc norme
Dicom et HL7),
• prévoir les échanges d’images
avec le CHU voisin et les cliniques
de cancérologie,
• trouver des indicateurs pour juger et mesurer l’amélioration de la
productivité,
• enfin, et encore, améliorer la productivité.
Message clair, reçu : à terme le PACS
(avec le SIR) devrait être en mesure
d’améliorer la productivité !!
Le cahier des charges.
Les besoins fonctionnels se répartissaient selon quatre axes :
1) Stockage, (archivage), et diffusion des
images produites en interne ou en ex-
54
terne, celles-ci secondairement réintégrées.
2) Outils de diffusion vers l’extérieur
des examens réalisés au centre et de
dépôt (type boite aux lettre) des examens réalisés à l’extérieur.
jet d’éclaircir tous les points de l’offre.
d) Finaliser une architecture répondant
aux besoins du centre.
Pour le lot 3 : l’analyse a été faite sur les
trois fournisseurs de la short-list
Pour le lot 4 : Celui-ci a été rendu sans
suite. En effet l’analyse des besoins d’un
SIR a objectivé le retard opérationnel
de notre " vieux " SIH et la décision a
été prise de changer celui-ci dans les
4) Nécessité d’un SIR à intégrer au SIH. deux ans et, donc, d’attendre pour le
Nous avons donc décidé de réaliser l’ap- SIR. Nous avons convenu avec l’admipel d’offre en quatre lots afin de ne pas nistration que l’amélioration (attendue)
exclure les fournisseurs qui ne pourrait de la productivité serait largement freirépondre qu’à une partie des besoins. née par l’absence de SIR. De ce fait,
Pour chaque lot étaient précisés les nous avons donc demandé aux fournisfonctionnalités attendues, les critères de seurs de PACS de reprendre dans les
choix, les attentes concernant la mainte- lots 1 et 2 les fonctionnalités d’un SIR
indispensable au bon fonctionnement
nance et la formation des utilisateurs.
d’un PACS : Work list par modalité, association en temps réel pour chaque
patient de l’état d’avancement des exaLe choix
mens et des comptes rendus le concerNous avons reçu huit réponses pour le nant. A tout moment, cette cartogralot 1, sept réponses pour le lot 2, huit phie doit être accessible, pouvoir être
triée par date, par
réponses pour le lot
par tâche
3 et sept réponses
“ Nous avons choisi modalité,
en cours ou termipour le lot 4. En tout,
le PACS que 90% des née pour être exploidouze sociétés, quautilisateurs avait
tée par utilisateur ou
tre d’entre elles protrouvé performant en profils d’utilisateurs.
posaient une offre
Seuls deux des trois
complète.
terme d’ergonomie
fournisseurs propod’utilisation. ”
saient ce service sans
Pour les lots 1 et 2 :
SIR.
nous avons établi
une short-list de trois sociétés à partir Pour le groupe chargé du choix il n’a
des critères de choix définis dans le ca- pas été possible d’établir des critères
hier des charges : complétude de l’offre différenciant ces deux fournisseurs :
– 8 points, qualité du service après égalité parfaite.
vente – 5 points, coûts – 4 points, évo- Nous avons donc choisi le PACS que
90% des utilisateurs avait trouvé perlutivité – 3 points.
formant en terme d’ergonomie d’utiliCes trois sociétés ont été revues pen- sation (le résultat était de 80% pour le
challenger).
dant deux jours afin de :
3) Matériel de stockage et d’archivage
mutualisable avec l’existant et le futur
géré par le département informatique
a) Faire évaluer une maquette du système par des utilisateurs représentatifs : huit médecins, six chirurgiens, six
radiologues, deux médecins nucléaires,
deux radiothérapeutes, deux physiciens de radiothérapie.
b) S’assurer de la bonne gestion de
l’ensemble des types d’images produites au centre.
c) Donner la possibilité au groupe pro-
Epilogue : " Le début du déploiement ou les ennuis qui arrivent
au moment ou vous vous y attendez le moins ! "
1. Découverte surprise qu’il faut installer un upgrade de l’outil de gestion de
rendez vous planifié depuis deux mois
pour finaliser l’intégration de cette
brique du SIH au PACS. Un seul pro-
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
PACS
blème : la nouvelle version ne sait pas le nouveau messie qui résoudra la totalire notre base de données patients. lité des problèmes liés aux
567 postes informatiques plantés en 24 (dys)fonctionnements du département
secondes. Il a fallu trois jours à quatre d’imagerie. A suivre …
personnes pour dépanner tous les postes - enfin presque - Certains postes 4. Tout allait trop bien : la formation de
n’étant pas prioritaires (postes méde- tous les utilisateurs potentiels était quacins par exemple et MON poste en siment terminée, le déploiement étage
particulier qui n’est toujours pas mis à par étage aussi. Il ne restait que le derjour six semaines après l’incident). Pour nier niveau. Les utilisateurs étaient toujours motivés et
votre information il
contents
et, un jeudi
faut trois semaines
matin
8h,
après trois
pour qu’un système
semaines
de foncqui parle Oracle 7
“ Heureusement
tionnement
arrive le
apprenne à lire en
que le fournisseur
bug,
GRAVE
: plus
Oracle 8 (dont deux
choisi
est
souple
aucun
examen
n’est
semaines de vacanet
réactif.
”
transmis
au
PACS
et
ces scolaires - l’abdonc
retour
à
la
case
sence de neige cette
films, consoles de
année en février a
modalités
et
téléphone.
Bref, le drame,
probablement aidé à l’apprentissage de
les
ricanements
de
ceux
qui n’y
la lecture ?).
croyaient pas et, surtout, des ingénieurs
2. Note de service générale : " Le chan- qui ne comprennent, ni pourquoi les
gement d’un générateur de radiothéra- examens sont bloqués dans le tuyau inpie nécessite une coupure d’électricité. formatique, ni pourquoi les requêtes
Le fonctionnement de l’unité informa- pour visualiser les examens de la veille
tique (située dans la zone de coupure) n’aboutissent pas non plus et donnent
sera donc interrompue du vendredi des listes incomplètes. La manière dont
18h au lundi 8h ". QUAND ? Le jour où certaines décisions sont prises dans un
vous avez réussi à obtenir que tous les hôpital reste étonnement mystérieuse.
interlocuteurs (informaticiens, ingé- Après 56 ans d’identification des femnieurs biomédicaux, fournisseurs du mes mariées par leurs noms de jeune
PACS et fournisseurs du nouveau logi- fille (les dames pouvant, comme chaciel de gestion) soient présents un ven- cun sait, changer de mari et donc de
dredi à 18h afin de faire ce fameux up- nom marital) une entité restée à ce
grade pendant le week-end. Je n’en ai jour inconnue à décidé de modifier
été prévenue que la veille (qui prétend cela. Les dames mariées seraient mainque les outils informatiques améliorent tenant reconnues par leur nom d’éla communication ??). On en reprend pouse. Ce jeudi matin là, les premiers
ainsi pour trois semaines de retard patients de la matinée étaient quasiavant de réunir tous le monde et faire la ment tous des femmes mariées et la
connexion entre la work list, le PACS
modification. Ouf ça marche !
et le système de facturation (AXIA) ne
3. A quoi sert le nouvel outil de ren- pouvait pas se faire. La priorité étant
dez vous ? Tout simplement à générer donnée au nom (donc de jeune fille
les work-lists à destination des modali- pour les antériorités radiologiques et la
tés. Et sans work-list pas de PACS. Dans work list, et d’épouse pour l’administraune structure hospitalière, six semaines tif) le PACS ne reconnaissait plus ses
de retard sont " relativement " monnaie petits !! La décision de donner, alors, au
courante et personne ne semble s’en PACS la priorité sur le numéro de paoffusquer sauf … les cliniciens qui pié- tients, puis le prénom puis la date de
tinent d’impatience.Vous avez du trop naissance en oubliant le nom a permis
bien gérer les techniques managériales de régler le problème et de retrouver
de " la pratique du changement " et toutes les antériorités. Heureusement
tout le monde attend le PACS comme que le fournisseur choisi est souple et
56
réactif.Au moins autant que le mari qui
nous a écrit pour s’insurger de ce que
sa femme soit appelée en salle d’attente par son nom de jeune fille (Non,
suffragette ne te retourne pas dans ta
tombe !!). Au moins autant que l’administratif qui suite à cette lettre a pris
cette décision et l’a appliquée avec une
célérité rarement vue : qui a dit que les
circuits de décision étaient longs à l’hôpital ??
A suivre …
CONCLUSION
Première bonne nouvelle : le prix des
PACS a baissé puisque dans l’enveloppe
impartie nous avons, en plus, numérisé
par plaques l’ensemble du ser vice,
acheté un mammographe numérique
et des consoles de lecture mammo et
équipé le bloc opératoire d’écrans. Mais
nous avions déjà un réseau, et une couverture en postes informatiques à la
hauteur.
Deuxième bonne nouvelle : la technologie est effectivement mature.Tous les
fournisseurs parlent un langage compréhensible en terme de fonctionnalités
et les normes sont respectées (IHE)
Enfin, la gestion du changement des pratiques ne paraît pas poser de problèmes majeurs : rares sont les utilisateurs
qui ne soient pas passés au numérique
(pour leurs photos de vacances par
exemple) et tous sont capables, très rapidement, d’utiliser un viewer d’images
numériques. De plus, la perspective de
ne plus dépendre des archivistes pour
avoir accès aux dossiers images des patients a dynamisé le processus.
Choisir un PACS reste néanmoins un
exercice complexe si l’objectif est d’avoir un outil totalement mutualisé entre
les différents utilisateurs, ce qui nous a
paru primordial dans l’optique d’un hôpital sans films. Complexe car synthétiser des demandes très diverses en
fonctions opérationnelles simples n’est
pas notre métier. Néanmoins nous
espérons avoir répondu au cahier des
charges de notre administration : " ne
pas acheter un outil à l’usage exclusif
des radiologues et être en mesure d’évaluer les gains de productivité ". ■
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
Juridique
CATHERINE MAISSE
Avocat à la Cour d’appel de Paris
La délicate question de l’archivage
des examens d’imagerie médicale
Ah l’archivage !
Qu’archiver et pendant combien d’années ?
Quand il ne s’agissait que de conserver les compte-rendus, la question se posait
déjà, mais avec l’évolution des techniques, la télémédecine, le DMP etc,
elle devient de plus en plus d’actualité.
C. Maisse
Premièrement :
est -on obligé d’archiver ?
Les enjeux de l’archivage sont maintenant plus importants
dans la mesure où du fait des technologies numériques, il est
également possible d’archiver les images réalisées.
La réponse est : oui.
Dans le cadre d’un exercice libéral, tous les praticiens ont
l’obligation de tenir un dossier du patient et de l’archiver.
Deuxièmement :
l’intérêt de l’archivage :
Il n’existe aucune dérogation pour les médecins radiologues.
L’archivage des examens d’imagerie répond à un quadruple
intérêt :
❏ La continuité des soins aux patients,
❏ La réduction du nombre d’examens et l’optimisation
de leur choix, comme le prévoit le guide
de bon usage des examens d’imagerie
“ Les enjeux de l’archi- médicale publié par la SFR,
vage sont maintenant ❏ La constitution d’un moyen de preuve
plus importants dans la en cas d’action en responsabilité civile,
mesure où du fait des ❏ La réponse à une demande de communication du dossier formulée par le patechnologies numétient ou ses ayants-droit.
Ceci résulte des dispositions de l’article 45 du Code de
déontologie :
" Indépendamment du dossier de suivi
médical prévu par la loi, le médecin doit
tenir pour chaque patient une fiche d’observation qui lui est personnelle ; cette fiche est confidentielle et comporte les éléments actualisés nécessaires aux
décisions diagnostiques et thérapeutiques.
Dans tous les cas, ces documents sont
conservés sous la responsabilité du médecin … "
riques, il est également
possible d’archiver les
images réalisées. ”
Cette obligation est renforcée par la loi du 4 mars 2002
sur les droits du malade.
Ainsi l’article L1111-7 du Code de la Santé Publique, précise :
De surcroît, avec le développement de la
téléradiologie, et le DMP, l’archivage de
ces examens sera une étape nécessaire.
Troisièmement : qu’archiver ?
Le développement de l’imagerie numérique pourrait permettre d’archiver, les images les plus pertinentes, permettant
de répondre ainsi aux quatre buts ci-dessus énumérés.
" Toute personne a accès à l‘ensemble des informations concernant sa santé. "
Un dossier du patient doit donc être constitué au cabinet
médical, même s’il n’a pas l’équivalent de celui mis en place
dans les établissements de santé.
57
Quatrièmement : pendant quelle durée
archiver ?
Les choses se compliquent.
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
Juridique
10 ans ?
C’est en effet le délai de prescription en matière de responsabilité médicale.
Celui-ci était auparavant de trente ans, conformément aux
règles fixant la prescription en matière civile.
L’article L.1142-28 du Code de la Santé Publique, issu de la
loi du 4 mars 2002, a ramené ce délai à dix ans, à compter
de la consolidation du dommage.
Toutefois, la réduction de la prescription de trente à dix ans,
ne s’applique qu’aux préjudices causés à compter de la publication de la loi au Journal Officiel, c’està-dire à compter du 5 mars 2002.
La possibilité pour un praticien libéral de
voir sa responsabilité civile recherchée
dans un délai de trente ans, pour des actes
antérieurs au 5 mars 2002 n’est donc nullement à écarter.
20 ans ?
2/ Le délai de dix ans, nouveau délai de prescription en matière de responsabilité médicale, tout en notant que ce nouveau délai de dix ans part de la consolidation de la victime
et non pas de la première constatation médicale du dommage : le point de départ ainsi fixé est donc de nature à permettre des actions en responsabilité bien au-delà du délai de
dix ans lorsque la consolidation n’est pas acquise.
“ Les radiologues
libéraux auraient au
minimum, intérêt à
s’aligner sur le délai
de vingt ans (voir vingt
huit ans s’il s’agit
d’un mineur de moins
de huit ans). ”
En ce qui concerne les archives hospitalières, le régime antérieur fondé sur la nature des pièces médicales faisait co-exister plusieurs délais, allant de l’infini : affection de nature héréditaire susceptible d’avoir des
répercussions pathologiques ou traumatisantes sur la descendance, à cinq ans pour les autorisations d’autopsies et
de prélèvements d’organes.
Ce système a été modifié par le décret du 4 janvier 2006,
entré en vigueur le
5 janvier 2007.
Le nouvel article R.1112-7 du Code de la santé publique
prévoit que le dossier médical, quelque soit la nature des
pièces médicales, est conservé pendant une durée de vingt
ans, à compter du dernier passage du patient dans l’établissement, qu’il s’agisse d’une hospitalisation ou d’une consultation externe.
En ce qui concerne les jeunes enfants, leurs dossiers devront
être conservés jusqu’à leur 28ème anniversaire, soit pendant
une durée supérieure à la durée légale de
vingt ans.
Ce délai n’est applicable qu’aux établissements de santé et
non aux praticiens libéraux.
On pourrait penser que ces derniers auraient intérêt à s’aligner sur ce délai.
Ce n’est pas si simple.
30 ans ?
58
L’on se trouve donc en face de trois délais :
1/ L’ancien délai de trente ans pendant lequel le praticien
pouvait voir sa responsabilité recherchée, n’est pas éteint,
puisque le nouveau délai ne court qu’à compter du 5 mars
2002.
3/ Le délai de vingt ans qui n’est pas applicable en principe aux médecins libéraux.
Compte-tenu de ces différents délais, rien
ne permet dans le cadre juridique actuel,
de conseiller sans risque, un délai d’archivage inférieur à trente ans, voire plus, si le
patient est mineur, en rajoutant à ce délai,
les années qui séparent l’âge du patient
de sa majorité.
A tout le moins, on peut considérer que les radiologues libéraux auraient au minimum, intérêt à s’aligner sur le délai
de vingt ans (voir vingt huit ans s’il s’agit d’un mineur de
moins de huit ans) appliqué désormais par les établissements
de santé pour conserver les preuves nécessaires à la défense
du médecin en cas de plainte à son encontre, et pour garantir le droit d’accès des patients aux informations de santé les
concernant, très largement ouvert par la loi du 4 mars 2002.
Cinquièmement,
les précautions à prendre
en cas d’archivage
de données électroniques
Rappelons brièvement, les obligations inhérentes à cette
conservation des données : consentement exprès du patient, déclaration à la CNIL, respect de la procédure particulière prévue par les dispositions de l’article L 1111-8 du
Code de la Santé Publique, si les archives sont déposées auprès d’un hébergeur agréé.
Reste à étudier avec attention, les clauses du contrat avec l’hébergeur, afin que le médecin radiologue ne voie pas sa
responsabilité encourue dans des domaines qui ne relèvent
en aucun cas de sa compétence.
Bref, l’archivage est bien une affaire très sérieuse, à prendre
avec beaucoup d’attention et de considération ! ■
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
Infos professionnelles
DR DENIS AUCANT
Président de la C.S.L. du Doubs
La vérité des chiffres
Dans le cadre du Comité Paritaire Local
du Doubs, les parties signataires de la
convention suivent avec attention les
données de la maîtrise médicalisée et les
dépenses de santé car la réussite des accords passés avec les Caisses d’assurance
maladie doivent conduire à des accords
gagnants gagnants.
Dr D.Aucant
Au cours de l’année 2006 nous avons été alertés par des
chiffres de progression des actes en Z qui, sur certain mois,
étaient supérieurs de + 16 % au mois correspondant de l'année 2005.
Une action nous a semblé nécessaire mais pour cela il était
indispensable de connaître ce que recouvraient ces chiffres
qui amalgamaient radiologues, spécialistes faisant de l’imagerie, médecins nucléaires et radiothérapeutes.
En fin d'année la progression (tableau n° 1) était de 5,5 % par
rapport à 2005 donc restant supérieure à la moyenne nationale.
Pour les radiologues une croissance de + 2,9 % restait proche des chiffres nationaux et compte tenu des actions nationales contenues dans l’avenant n° 23 à la convention aucune
démarche supplémentaire n’a été actée pour l’instant.
Les dentistes, qui représentent le 2ème poste de dépenses en
imagerie, avaient une augmentation de 0,7 % et étaient eux
aussi dans les clous.
Les chiffres de radiothérapie étaient plus difficilement analysables puisqu’il n’existe pas de structure libérale dans le
Doubs et il ne s‘agit que d’activité privée de praticiens hospitaliers.
Le 3ème poste en valeur est celui de la médecine nucléaire
avec une progression de + 16 %. Cette tendance, qui se
retrouve sur le plan national, a amené la CNAMTS à baisser les actes de médecine nucléaire (hors PET SCAN)
de 5,9 %, la médecine nucléaire étant avec la radiologie,
dont le supplément numérique va diminuer de 40 %, la
spécialité qui, après les biologistes, s’est vue imposer des
baisses.
Par contre, cette étude permet de constater une augmentation nette de certaines spécialités autoprescriptrices :
• + 31,1 % pour la cardiologie,
• + 35 % pour la rhumatologie,
• + 19,4 % pour la rubrique autres qui comprend essentiellement les chirurgiens et les pneumologues.
On peut aussi constater sur l’étude faite sur l’ostéodensitométrie que la HAS avait considéré qu’environ 30 % rentraient
dans le cadre des actes pour lesquels elle avait donné des
circonstances cliniques de remboursement. On est un peu
au dessus de cette estimation chez les radiologues mais très
au dessus chez les rhumatologues où la quasi-totalité des actes sont passés en remboursables (tableau 2).
Il nous parait indispensable que les radiologues incitent leur
Comité Paritaire Local à mener ce type d’étude pour qu’une
véritable clarification sur les différents acteurs réalisant des
actes d’imagerie en Z aboutisse et que les radiologues ne
soient pas accusés de tous les maux et toujours désignés
boucs émissaires. ■
Tableau 1 : Doubs
Année 2005
Groupe
Activité
Montant
remboursé
Radiologues
Cardiologues
Radiodiagnostic
Dentistes
6 686 801
Montant
Année 2006
Part des mt
remboursable remboursés
Evolution 2006/2005
Montant
Montant
Part des mt
remboursé
remboursable
remboursés
Montant
Montant
6 883 259
9 000 483
76 %
+2,9 %
+8,8 %
remboursé remboursable
8 274
81 %
699 570
699 672
100 %
916 975
918 383
100 %
+31,1 %
+31,3 %
1 120 907
1 581 387
71 %
1 129 248
1 604 513
70 %
+0,7 %
+1,5 %
Rhumatologues
180 573
209 942
86 %
243 712
319 479
76 %
+35 %
+52,2 %
Autres
205 654
252 224
82 %
245 614
323 471
76 %
+19,4 %
+28,2 %
8 893 505
11 017 723
81 %
9 418 808
12 166 328
77 %
+5,9 %
+10,4 %
Total
Radiothérapie
346 674
346 682
100 %
226 342
226 342
100 %
-34,7 %
-34,7 %
Médecine nucléaire
962 033
963 040
100 %
1 116 145
1 119 743
100 %
+16 %
+16,3 %
10 202 213
12 327 444
83 %
10 761 295
13 512 413
80 %
+5,5 %
+9,6 %
TOTAL
60
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
61
Actes non
remboursables
Actes
remboursables
Cotation
11
21
ADI NR
ADI NR + CS
199
0
390
CS + HN
C2 + HN
TOTAL
0
0
ADI + C2
ADI NR + C2
0
159
ADI + CS
ADI
Quantité
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
21 475
0
12 072
0
1 533
624
0
0
11 411
0
4 577
0
483
0
0
0
6 351
rembt
payé
7 247
Base de
Montant
Radiologues
8 351
0
3 209
0
327
0
0
0
4 816
remboursé
Montant
226
2
5
0
3
0
96
117
3
Quantité
16 069
160
215
0
189
0
7 868
7 461
176
payé
Montant
15 615
80
115
0
69
0
7 868
7 363
120
rembt
Base de
Rhumatologues
11 746
68
85
0
46
0
5 837
5 626
84
remboursé
Montant
Tableau 2 : Remboursements du 01/04/2006 au 31/12/2006
616
2
204
0
24
11
96
117
162
Quantité
37 544
160
12 287
0
1 722
624
7 868
7 461
7 422
payé
Montant
27 026
80
4 692
0
522
0
7 868
7363
6 471
rembt
Base de
Total
20 097
68
3 294
0
373
0
5 837
5 626
4 900
remboursé
Montant
Infos professionnelles
Election Bureaux
➜ CÔTE D’OR
CÔTE D’OR : Suite aux élections du syndicat du 7 juin 2007, la composition du bureau est la suivante :
Président :
Dr Jean Paul MILLERY (Dijon)
Vice-Président :
Dr Etienne DECOURNET (Chenôve)
Secrétaire :
Dr Eric DROUOT (Dijon)
Secrétaire Adjoint :
Dr Daniel BIANCHETTI (Chevigny)
Trésorier :
Dr Jacques LORENZO (Beaune)
➜ PROVENCE ALPES CÔTE D’AZUR
Union Régionale PROVENCE ALPES COTE D’AZUR : Suite aux élections du syndicat du 23 mai
2007, la composition du bureau est la suivante :
Président d’Honneur :
Dr Philippe FOURNOT (Toulon)
Président :
Dr Eric GUILLEMOT (Fréjus)
1ER Vice Président :
Dr Jean Marie GIRALDI (Marseille)
Vice-Présidents :
Dr Gilles ARNAULT (Toulon)
Dr Olivier BARBANCON (Grasse)
Dr Jean CASABIANCA (Marseille)
Dr Michel MANTE (Briançon)
Dr Gilles POUZOULET (Cavaillon)
Secrétaire général :
Dr Jean Philippe COLIEZ (Cagnes sur Mer)
Secrétaire généraux adjoints :
Dr Eliane DALMAS (Marseille)
Dr Marie Corinne DI MEGLIO (Nice)
Dr Philippe MEENS (La Crau)
Dr Gérard VERNY (Manosque)
Trésorier :
Dr Yves SAUGET (Marseille)
Trésorier adjoint :
Dr Pierre BENZAKEN (Nice)
Membres du bureau :
Dr Jean Marie COESPEL (Six Fours les Plages)
Dr Alain VERDET (Toulon)
Représentants délégués auprès de l’ARH :
Dr Philippe FOURNOT (Toulon)
Dr Jean Marie GIRALDI (Marseille)
Dr Eric GUILLEMOT (Fréjus)
L’Union Régionale PROVENCE ALPES COTE D’AZUR a procédé à l’élection des ses administrateurs
auprès de la FNMR le 23 mai 2007 :
Titulaires :
Dr Gilles ARNAULT (Toulon)
Dr Pierre BENZAKEN (Nice)
Dr Jean CASABIANCA (Marseille)
Dr Jean Philippe COLIEZ (Cagnes sur Mer)
Dr Eliane DALMAS (Marseille)
Dr Eric GUILLEMOT (Fréjus)
Suppléants :
Dr Michel MANTE (Briançon)
Dr Gilles POUZOULET (Cavaillon)
62
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
Uniprévoyance
1PPQ
Actualité
DR ROBERT LAVAYSSIÈRE
Vice-Président FNMR
Congrès de l’ISMRM à Berlin (mai 2007)
Rien n’est permanent, sinon le changement.
(Héraclite)
Le Congrès de l’ISMRM est " le " congrès de la résonance magnétique sous
toutes ses formes. C’est l’occasion de faire le point sur les axes de recherche
et les futurs développements.
Ce 25° congrès a coïncidé avec le décès de Paul Lauterbur, disparu fin mars
2007, qui fût le premier président et fondateur, Prix Nobel de médecine
avec Peter Mansfield. Il n’est pas anodin de remarquer que Lauterbur
était un chimiste et que Purcell (Prix Nobel 1946), découvreur avec Bloch
Dr R. Lavayssière
du phénomène de la résonance, était un spécialiste du radar.
C’est dire à quel point l’IRM nécessite une approche multidisciplinaire !
orienté vers les médecins,
radiologues ou non, et vers les
techniciens auxquels la société
a réservé une section (SMRT,T
pour technologist). Les mises au
point sont très bien faites et
très ciblées, voire pointues… Il
existe, bien sûr, une revue scientifique de haut niveau, et une
revue destinée aux techniciens,
baptisée " Signal ".
Un congrès fleuve…
Pas moins de 5 000 congressistes ont assisté au 25°
Congrès de l’ISMRM (International Society for Magnetic
Resonance in Medicine) associée pour l’occasion européenne à l’ESMRM (European Society for Magnetic
Resonance in Medicine and Biology). L’ISMRM résulte de
la fusion, déjà ancienne, de la SMRM et de l’ISRM, soit
d’une société plutôt orientée vers les sciences fondamentales et la recherche et d’une société plutôt axée sur l’imagerie par IRM. Une des originalités de ce congrès est le
pré-congrès de deux jours consacré à l’enseignement
64
Le congrès lui-même est divisé
en enseignement (très) matinal
sur des thèmes spécifiques, en
séances plénières où des spécialistes reconnus viennent donner un avis autorisé et plus ou
moins intéressant, en séances
scientifiques sur des thèmes
précis le plus souvent en recherche fondamentale mais aussi en recherche clinique,
ou également sur des thèmes cliniques sur le modèle des
" cours catégoriels ". Des séances sont réservées aux sociétés estampillées " Gold Corporate Member " soit GE,
Philips et Siemens qui disposent d’une heure pour faire
parler leurs vedettes sur des sujets tendant à démontrer
leur suprématie dans tel ou tel domaine. Enfin, il existe des
réunions de groupes de travail sur des sujets aussi divers
que les agents de contraste ou le cancer avec un grand C.
Les posters affichés et posters électroniques ne manquent
pas à l’appel. L’exposition technique est de petite envergure mais suffisante.
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
Carestream
1PPQ
Actualité
Une vision forcément
parcellaire
Dans son préambule, le président du
congrès, le Pr Georg Bongartz, s’est enorgueilli d’un taux de rejet relativement élevé
soit 24,4 %. Ainsi, 5 119 abstracts ont été
soumis et 3 867 ont été acceptés. On peut
cependant trouver que ce taux de rejet
n’est pas assez élevé, certaines séances
étant saturées de communications très voisines et plus ou moins intéressantes : le comité de sélection a certainement calé !
Il n’est donc pas possible pour un seul individu d’avoir une vision complète, mais des
différentes séances,plénières comme scientifiques, et des conversations,on peut retenir que :
❏ les vieilles techniques n’ont pas dit leur
dernier mot : l’écho planar avait connu une phase d’oubli
avant de revenir au devant de la scène comme sont en train
de revenir des techniques anciennes comme la méthode de
Dixon (imagerie en eau et imagerie en graisse) en imagerie abdominale (LAVA Dual Echo) ou le T2 en SSFP, notamment en IRM mammaire. La mesure de l’élasticité des tissus
(élastométrie) est utilisée pour l’exploration des tumeurs du
sein mais aussi des fibroses hépatiques, associées ou non à
une cirrhose.
❏ Le champ de référence reste à 1,5 Tesla avec une décroissance de l’intérêt pour les systèmes à bas champ,
même pour les systèmes ouverts. On peut d’ailleurs noter
qu’Hitachi etToshiba étoffent leurs gammes d’aimants cylindriques à 1,5 T voire à 3T…
vaux. Sa place est reconnue dans de nombreuses indications et en par ticulier dans la détection des
lésions chez des patientes, mutées ou non, à risque. De
nouvelles techniques sont développées comme l’association d’imagerie parallèle et des technique variées (SPIRAL,
shutter speed, KWIC) dans le but de mieux quantifier les
phénomènes d’angiogénése et de perfusion à la fois dans
le diagnostic et la surveillance, sous et après traitement.
❏ L’IRM fonctionnelle est très utilisée dans la planification thérapeutique, pour l’exérèse aussi complète que possible des astrocytomes de haut grade par exemple, mais
aussi dans les essais cliniques, en psychiatrie notamment.
Les essais cliniques et thérapeutiques ont fait d’ailleurs l’objet de nombreuses communications voire de conférences
plénières émanant d’orateurs variés, venant aussi de l’industrie pharmaceutique. Une spécialité s’est développée
avec la mise en place " d’Imaging Consortium for Drug
Development ".
❏ Le 3T ne fait pas encore l’unanimité, sauf en neurologie et en imagerie cardio-vasculaire. Il n’en
reste pas moins que ce segment représente une part croissante du marché…
La technique BOLD, bien connue en
Le problème du SAR (Specific
“ Les vieilles
neurologie, peut être appliquée à l’étude
Absorption Rate) qui quantifie la déposifonctionnelle rénale ou hépatique…
techniques n’ont
tion d’énergie et le risque d’échauffement
L’exploration
de la fonction rénale mobipas dit leur
des tissus revient fréquemment dans les
lise de nombreuses énergies, même si les
dernier mot. ”
communications. L’IRM mammaire à 3T
modèles disponibles sont imparfaits, à la
selon C. Kuhl (Bonn) ou H. Hricak (NY),
hauteur des enjeux : aux USA, la frén’a pas encore fait la preuve de son utilité,
quence de l’insuffisance rénale est en en
sauf spectroscopie dont les applications restent limitées. hausse de 4 % par an et absorbe déjà 6,3 % du budget de
L’imagerie cardio-vasculaire a tenu un peu moins de place Medicare. Si cette tendance se confirmait, l’intégralité du
que lors d’éditions précédentes.
budget y serait consacrée en 2030…
❏ L’IRM du sein fait toujours l’objet de nombreux tra-
66
❏ L’IRM interventionnelle est un sujet en pleine expansion
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
Actualité
avec l’utilisation de techniques de plus en plus sophistiquées, tifiques, certains auteurs et non des moindres, équipe du
notamment en terme de guidage, en recourant à des ai- Sloan Kettering à NY, ont montré que la spectroscopie promants cylindriques conventionnels. Il est clair que des tech- statique multi-voxels (baisse du citrate et hausse de la chonologies de rupture (" disruptive ") sont en train d’émerger line) avait un intérêt pour la localisation de lésions non visibles en T2 et/ou lorsque les biopsies sont négatives, pour le
dans certains endroits.
Une bonne part de l’intérêt allait aussi aux techniques de bilan d’extension et également pour la corrélation à l’agrestraitement avec contrôle IRM (" monitoring ") comme les sivité (score de Gleason). D’autres se sont intéressés à de
ultra-sons focalisés ou les techniques de cryothérapie, ap- nouveaux critères spectroscopiques, pic de Lactate surtout
pliquées aux tumeurs solides de l’abdomen et du pelvis ou plutôt que pic d’Alanine qui semble moins discriminatif.
du sein. Madame ClareTempany (Boston) a montré, dans un La spectroscopie in vitro peut mettre en évidence du gluexposé particulièrement dynamique, de nombreuses appli- cose dans la bile chez certains patients atteints de cancer
cations et des salles " multi-modalités " associant scanner, des voies biliaires ou du pancréas avec rupture de la barrière hémato-biliaire et aider au diagnosIRM et arceau avec capteur plan dans un
tic différentiel dans certaines cholestases
seul et même endroit ou " suite interven(pancréatite auto-immune, cholangite sclétionnelle ".
“ On assiste à un
rosante).
allongement de la
❏ La spectroscopie reste un sujet de
durée
des examens ❏ L’imagerie dite corps entier s’enricontroverse dans certains domaines.
ainsi qu’à la multipli- chit sans cesse de nouvelles séquences
Ainsi, elle pourrait être utile dans la quancation des images. ” ou de modification de séquences
tification (IDEAL-SPGR + PRESS) non inconnues. On assiste donc à un allongevasive des stéatoses, souvent hétérogènes,
ment de la durée des examens ainsi qu’à
quelle que soit leur origine et dont les
la multiplication des images, sans et avec injection de proconséquences sont souvent sous-estimées.
En IRM mammaire, la présence d’un pic de choline dans les duit de contraste (Dynamic Contrast Enhanced MRI). Cela
tumeurs malignes, inconstant donc non discriminatif, serait pose donc un problème de temps et de traitement d’iun indicateur de mauvais pronostic (chimiorésistance, at- mage (Station de travail et station de PACS). La solution
peut aussi venir de séquences mixtes type XETA
teinte ganglionnaire plus fréquente).
L’étude ACRIN consacrée à la spectroscopie de la prostate (Extended Echo Train Acquisition), couplée à la technique
a conclu de façon négative, mais au cours des séances scien- IDEAL (Iterative Decomposition of water and fat with
Echo Asymetr y and Least squares
Estimation) permettant d’obtenir des pondérations différentes au cours d’une même
acquisition, avec imagerie en eau et en
graisse, couplée ou non à l’injection de
Gadolinium. L’utilisation plus systématique
de séquences en apnée est aussi une solution partielle.
L’IRM se trouve souvent en concurrence directe avec laTEP, et l’emporte parfois… C’est
aussi le cas pour cer tains auteurs avec le
Whole Body MRI, ou IRM du corps entier, de
la tête au pied, avec acquisitionT1,T2 avec annulation du signal de la graisse (STIR) et imagerie de diffusion voire, en sus, imagerie T1
avec injection. Ce type d’imagerie est aussi applicable à l’imagerie des vaisseaux. Les constructeurs utilisent différentes méthodes pour
y parvenir et les résultats sont plutôt spectaculaires.
❏ L’imagerie de diffusion est sortie du domaine de la neurologie pour être mise à toutes les sauces avec des facteurs de b variant
entre 0 et 1000 voire plus. Il y a un certain in-
67
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
Actualité
térêt, à confirmer, pour la caractérisation des lésions hépatiques et des lésions mammaires, avec les habituelles valeurs
de chevauchement. Par contre, cette technique s’avère utile
pour la recherche d’adénopathie, avec ou sans hypertrophie ganglionnaire, et la recherche de localisations (ovaire)
dans les 2 m2 du péritoine. On observe aussi une baisse de
la diffusion dans les pancréatites auto-immunes.
La tractographie, grâce aux tenseurs de diffusion, peut être
appliquées à l’étude des nerfs et des fibres musculaires…
Kettering Cancer Institute à New York) dans sa conférence
donnée en l’honneur de Paul Lauterbur.
❏ Enfin, les travaux se poursuivent sur les USPIO (Ultra
Small Iron Oxyde Particle) depuis déjà presque dix ans
sans mise sur le marché, sauf cas particulier, malgré des résultats intéressants (ORL, prostate).
Enfin, selon Mme Hricak, nous allons vers la " P4
Medicine " : Predictive (dépistage biologique, biomarqueurs
en imagerie), Preemptive (dépistage moléculaire et génétique, traitement guidé par imagerie), Personnalized (quantitative) et Participatory (Public informé, Médecine fondée
sur la preuve).
Elle a insisté, non seulement sur l’importance des critères de
quantification, en allant jusqu’au Ktrans, mais aussi sur la volumétrie en 3D. C’est dire l’importance de l’association de
critères morphologiques et de critères dynamiques et fonctionnels. Si l’IRM est une méthode dont l’avenir est toujours
radieux, d’autres techniques deviennent très concurrentielles
comme c’est déjà le cas de la TEP (Tomographie en Émission
❏ La course aux canaux et aux antennes se poursuit, au- de Positons) qui pourra s’adresser aux tumeurs mammaires
delà du " marketing ", et des équipes de recherche ont mon- avec l’imagerie au 18 FDG avec la High Res PEM (Naviscan
tré des antennes à 96 ou 128 voire 256 éléments.Tout est ®), soit la mammographie en émission de positons, qui perloin d’être maîtrisé et l’on s’intéresse aussi à l’acquisition dite mettrait de détecter des tumeurs de 2 mm dont la présence
parallèle mais aussi à la transmission parallèle, qui est l’étape aurait été démasquée par des examens biologiques…
d’après… Enfin, on peut aussi imaginer une transmission D’autres traceurs plus spécifiques sont également à l’essai
sans câble. C’est dire que la recherche dans le domaine du comme le 18F Estradiol ou le 68Ga Herceptin. Il est également possible de quantifier l’hypoxie, qui
" hardware " a encore de beaux jours
est un facteur de résistance au traitement,
multidisciplinaires devant elle…
avec le 124I IAZG.
Cependant, comme l’a rappelé Mme
❏ L’utilisation des produits de contraste
“ Limportance
Hricak, le cancer devient une maladie
courants doit rester réfléchie, notamdes critères
chronique et il faut réfléchir au mode de
ment chez l’insuffisant rénal depuis la desde quantification. ”
surveillance.Ainsi, un patient suivi pendant
cription de la fibrose néphrogénique sycinq ans peut subir jusqu’à 27 examens
témique dont 200 cas au moins ont été
par TEP-Scanner, soit une irradiation qui
rapportés, à l’origine de quelques décès.
ne peut plus être négligée.
Cette entité est surtout rapportée avec
des chélates de type linéaire qui sont moins stables, par op- L’avenir de l’imagerie cancérologique est la quantification
position aux chélates cycliques, avec un risque de libération, multiparamétrique, le cancer étant gouverné par une cenmême très faible, de gadolinium libre. La plus grande pru- taine de gènes et près de 1000 protéines alors que de
dence s’impose donc dans l’emploi de ces produits et no- nouveaux modèles se développent et que l’on sait mieux
tamment dans la gestion des doses, y compris en imagerie utiliser des index comme le Ki 67 ou le p Akt. Les nanovasculaire où la tendance était d’utiliser des volumes plus systèmes et les nanovecteurs permettront d’aller de plus
en plus loin…
importants.
La place accordée à la cancérologie a été amplement démontrée dans les différentes communications mais aussi de
façon très claire et brillante par Hedvig Hricak (Sloan
Conclusion
On sort d’un tel congrès aussi agité qu’un proton dans un
champ magnétique soumis à un bombardement RF. On
peut aussi être médusé devant ce foisonnement d’idées et
ce rassemblement d’auteurs, et de cerveaux, qui ne manquent pas de conclure leurs exposés par un remerciement
aux financeurs variés, institutions et " trusts " divers sans oublier les organismes d’État avec les " grants ". Il est clair que
certaines régions du monde sont plus en avance que d’autres qui en restent à la pré-histoire de l’IRM, peut-être en attendant que le vent de la mondialisation leur apporte la
bonne parole ??? ■
68
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
Actualité
Attributions ministérielles :
Les décrets d’attribution des membres du gouvernement sont parus au Journal Officiel
du vendredi 1er juin (n° 125). Nous présentons les principales compétences en matière
de santé et d’assurance maladie partagées entre trois ministères.
Le ministre du travail, des relations
sociales et de la solidarité, Xavier
Bertrand, est en charge de l’action
sociale et de la protection sociale
ainsi que de la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles.
Il élabore et met en œuvre les règles
M. Xavier Bertrand
relatives aux régimes de sécurité soMinistre du travail,
ciale et aux régimes complémentaides relations sociales
res en matière d’assurance vieillesse,
et de la solidarité
d’accidents du travail et de maladies
professionnelles, de prestations familiales ainsi que celles relatives à la gestion administrative des organismes de sécurité
sociale.
Il a, conjointement avec le ministre de la santé, de la jeunesse
et des sports, autorité sur l’inspection générale des affaires
sociales. Il dispose également, en tant que de besoin, de la direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins.
❖❖❖❖❖
Mme Roselyne BachelotNarquin, Ministre de
la santé, de la jeunesse
et des sports
Le ministre de la santé, de la jeunesse et des sports, Roselyne
Bachelot-Narquin est en charge de
la santé publique, de l’organisation
du système de soins, de l’assurance
maladie et maternité.
Le ministre de la santé met en œuvre les règles relatives à la politique
de protection de la santé contre
les divers risques susceptibles de
l’affecter ; il est responsable de l’organisation de la prévention et des
Nominations au cabinet de Madame Roselyne
Bachelot-Narquin
Directeur de cabinet : Georges-François LECLERC
Directeur Adjoint : Antoine PERRIN
Chef de Cabinet : Julien MARION
Chef de Cabinet Adjoint : Luc PETREQUIN
Responsable du médicament : Philippe SAUVAGE
70
soins ; il est également compétent en matière de professions médicales et paramédicales.
Le ministre de la santé, de la jeunesse et des sports a autorité sur :
la direction générale de la santé ;
la direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins ;
Il a, conjointement avec le ministre d’Etat, ministre de l’écologie, du développement et de l’aménagement durables, et le
ministre de l’économie, des finances et de l’emploi, autorité
sur la direction de l’action régionale, de la qualité et de la sécurité industrielle lorsque celle-ci exerce ses compétences
en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection.
Il a également et conjointement avec le ministre du travail,
des relations sociales et de la solidarité, il a autorité sur :
l’inspection générale des affaires sociales ;
le secrétaire général des ministères chargés des affaires sociales ;
la direction de l’administration générale, du personnel et du
budget ;
et conjointement avec le ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité et le ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique, sur la direction de la sécurité sociale et la direction de la recherche, des études, de
l’évaluation et des statistiques.
❖❖❖❖❖
Le ministre du budget, des comptes
publics et de la fonction publique,
Eric Woerth, est responsable de l’ensemble des comptes publics et de la
stratégie pluriannuelle en cette matière. Il est chargé, en liaison avec le
ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité et le ministre
M. Eric Woerth, Ministre
de la santé, de la jeunesse et des
du budget, des comptes
sports, de la préparation de la loi de
publics et de la fonction
publique
financement de la sécurité sociale
et en suit l’exécution. Il est responsable de l’équilibre général des comptes sociaux et des mesures de financement de la protection sociale.
Il dispose, en tant que de besoin, de la direction générale des
collectivités locales et de la direction de l’hospitalisation et de
l’organisation des soins.
LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
Statistiques
Les dépenses de l’Assurance
maladie : mars 2007 :
Le taux de progression de l’ONDAM s’élève à 4,2% au mois de mars.
Il résulte pour partie de la progression des dépenses de soins de ville (4,7%) et des versements aux établissements de santé
publics ou privés.
Dans l’agrégat des soins de ville, la progression des honoraires (5%) est supérieure à la moyenne alors que celle des prescriptions (4,4%) est légèrement inférieure.
Les dépenses liées aux actes techniques (4,7%) sont légèrement inférieures à celles des honoraires médicaux (4,9%) alors
que les honoraires dentaires sont largement au-dessus (5,9%).
Dépenses de l’Assurance maladie - mars 2007
(Tous risques - Régime général - France métropolitaine)
Prestations
En milliers d’€
Consultations
En %
1 508 442
4,4%
237 060
1,3%
1 400 183
4,7%
127 725
13,9%
Total honoraires secteur privé (médicaux et dentaires)
4 025 929
5,0%
Total prescriptions
7 281 041
4,4%
Total soins de ville
13 832 807
4,7%
Total Objectif de dépenses méd chir obst (ODMCO)
8 288 899
-0,5%
Total dotations annuelles de financement des MIGAC
1 362 287
17,4%
3 171 942
5,4%
404 991
7,3%
13 228 119
2,7%
2 620 488
9,4%
29 681 413
4,2%
Visites
Actes Techniques (*)
Forfaits scanner et IRM
Total dotations annuelles de financement
et autres versements du secteur public
Total OQN et autres versements du secteur privé
Total versements aux établissements de santé publics et privés
Total versements aux établissements médico-sociaux
Total ONDAM
(*) Les actes en K, KE, Z, ZN, PRA, KC et forfaits chirurgicaux sont regroupés dans un seul agrégat : " Actes techniques "
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LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007
Formation
ASSOCIATION FORCOMED
62, bd Latour-Maubourg 75007 PARIS
Tel : 01.53.59.34.02 - Fax : 01.45.51.83.15
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CALENDRIER DES FORMATIONS DU 2ème SEMESTRE 2007
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Vous pouvez également cocher la formation de votre choix et envoyer ce formulaire à FORCOMED
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FORMATIONS DESTINÉES AUX RADIOLOGUES
❏ " Dépistage Organisé : Seconde Lecture Mammographique "
9-10 Novembre
PARIS
❏ " Mammographie Numérique : Contrôle de Qualité et Lecture "
5-6 Octobre
LILLE
23-24 Novembre PARIS
7-8 Décembre
PARIS
❏ " Radioprotection en Radiodiagnostic : Patients et Professionnels " (durée : 1 journée)
28 Septembre
PARIS
29 Septembre
PARIS
16 Novembre
PARIS
17 Novembre
PARIS
30 Novembre
PARIS
1er Décembre
PARIS
❏ " Personne Compétente en Radioprotection – PCR Renouvellement "
6-7 Juillet
PARIS
7-8 Septembre
AVIGNON
12-13 Octobre
PARIS
23-24 Novembre
BORDEAUX
7-8 Décembre
PARIS
❏ " Echographie Obstétricale de Dépistage du 1er Trimestre "
14-15 Décembre PARIS
❏ " Echographie Obstétricale de Dépistage du 2ème Trimestre "
27-28-29 Septembre
PARIS complet
15-16-17 Novembre
PARIS
❏ " Echographie Obstétricale de Dépistage du 3ème Trimestre "
14-15 Septembre
PARIS complet
30 Nov.-1er Déc .
PARIS
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Formation
Votre Nom :
Votre n° fax :
❏ " Médicolégal en Imagerie Sénologique et Obstétricale "
14 Décembre
PARIS
❏ " Coroscanner au Quotidien "
13 Octobre
PARIS
FORMATIONS DESTINÉES AUX RADIOLOGUES
ET AUX PERSONNELS DES SERVICES D’IMAGERIE
❏ " Qualité en Imagerie Médicale (en collaboration avec Guerbet) "
21-22 Septembre PARIS
FORMATIONS DESTINÉES AUX MANIPULATEURS
❏ " Organisation du Dépistage du Cancer du Sein - Contrôle de Qualité dans les Cabinets de Radiologie "
9-10 Octobre
PARIS
5-6 Décembre
PARIS
❏ " Contrôle de Qualité en Mammographie Numérique "
4 Octobre
LILLE
22 Novembre
PARIS
❏ " Formation à la Radioprotection des Patients (Manip+ACIM) "
12-13 Septembre PARIS
17-18 Octobre
CAEN
19-20 Octobre
CAEN
24-25 Octobre
LYON
26-27 Octobre
LYON
7-8 Novembre
PARIS
12-13 Décembre PARIS
FORMATIONS DESTINÉES AUX PERSONNELS
DES CABINETS : MANIP,ACIM, SECRÉTAIRES, …
❏ " Formation Hygiène "
11-12 Octobre
PARIS
❏ " Formation ‘Secrétaires 1’ :Accueil et Information des Patients "
13 Septembre
PARIS
12 Décembre
PARIS
❏ " Formation ‘Secrétaires 2’ : Gestion des Dossiers Patients – Optimisation de l’Outil Informatique "
14 Septembre
PARIS
13 Décembre
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Directeur de la Publication :
Dr Jacques NINEY
Rédacteur en chef :
Dr Robert LAVAYSSIERE
Secrétaire de rédaction :
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Président :
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