Vendredi 2 octobre à 10h00 et à 15h00 - NIMES

BEAUCAIRE
Programmation théâtrale du Casino
Dossier de presse
Saison 2009/2010
Contact presse - Service communication - Ville de Beaucaire
04 66 59 90 04 / 06 61 51 74 03
[email protected]
Le Casino de Beaucaire est vivant.
C’est vous qui le faites vivre, vous qui avez été près de 2000 à faire d’un pari une
merveilleuse réussite. Vous, les 900 jeunes, de nos écoles qui avez donné joie et
gaieté à ce lieu.
Nous avons rendu à Beaucaire un théâtre à la hauteur de son histoire.
Par une programmation ambitieuse, cet espace est devenu un centre de culture et
de divertissement incontournable.
Tous les arts s’expriment pour notre plaisir à tous.
Bonne saison 2009-2010 à tous.
Jacques BOURBOUSSON, Maire de Beaucaire
Le théâtre a toujours fait partie de l’histoire des hommes.
La tragédie grecque, la comédie, les œuvres de nos grands classiques de Molière à
Camus, la musique, le chant, la danse, l’opérette, la pastorale, cette « commedia
dell’Arte » bien de chez nous, le spectacle humoristique… ont toujours été pour nous
des plaisirs.
Ainsi, pour cette nouvelle saison se côtoieront l’Auberge du cheval blanc, William
Mesguich, Camus, Musset, Michel Galabru, André Chiron et bien d’autres…
Sur le fronton de certains théâtres sont inscrits ces mots latins : « Deus nobis haec
otia fecit » - « Dieu a fait pour nous tous ces plaisirs ».
Ensemble, spectateurs et artistes, faisons que Beaucaire devienne le centre de ces
plaisirs dans la convivialité si chère à notre Terre d’Argence.
Benoît DESPIERRES, Adjoint aux festivités
Pour cette deuxième saison…
Je souhaite que vous ayez autant de plaisir à voir ces spectacles que j’en ai eu à les
choisir pour vous.
Théâtralement vôtre
Michel GRISONI, Conseiller artistique
C'est parce que depuis 1984, le cinéma n'a plus pignon sur rue dans notre belle ville que
l'association "Les Têtes à Clap" a décidé, à la demande et grâce à la ville de Beaucaire, de faire
renaître le 7ème art dans ce lieu qu'est le Casino Municipal.
Le plus souvent théâtre mais aussi parfois salle de projection, il devint un temps "Palais du
Ciné" dans les années 20.
Pour la saison à venir, Les Têtes à Clap vont donc ressusciter cette communion artistique en
proposant tout au long de l'année des Projections-Rencontres en présence d'illustres invités
du 7ème art, ainsi qu'un Festival scolaire, pour que vive le cinéma à Beaucaire.
Ludovic Duplissy, Président de l'association "Les Têtes à Clap"
2
Dimanche 11 octobre à 15h00
L’Auberge du cheval blanc
Opérette en 2 actes de Ralph Benatsky
Grand succès à Mogador
Opéra d’Avignon
Opéra de Toulon
Livret de Robert Gilbert
Mise en scène : Jacques Duparc
Direction musicale : André Mornet
Chorégraphie : Brigitte Lipari
Décors, costumes et accessoires : Opéra Théâtre d’Avignon
Editions : Raoul Breton
Avec :
Jacques Duparc
Michel Grisoni
Katia Blas
Kevin Levy
Fabrice Todaro
Charlotte Filou
Aurore Delplace
Jean Michel Bayard
Hugo Marcellesi
Michèle Dupoirieux
Patrice Sarriez
Gérard Gauthier
La jolie Josépha est
la patronne de
l’Auberge du cheval
blanc, l’hôtel le mieux
fréquenté de Saint-Wolfgang, un coquet village du Tyrol ; elle est secondée par
Léopold, son maître d’hôtel, que les beaux yeux de la patronne ont troublé.
Mais Josépha ne répond pas à cet amour, car elle ne pense qu’au séduisant Guy
Florès, un jeune avocat français qui, tous les étés, vient passer ses vacances au
Tyrol.
Parmi les touristes, débarquent Bistagne, un authentique marseillais, et sa fille
Sylvabelle. Bistagne est en procès avec un certain Cubisol, dont l’avocat est
justement Guy Florès, lui-même conquis par le charme de Sylvabelle !...
Une patronne veuve, harcelée par son maître d’hôtel fougueusement amoureux, un
avocat en vacances qui cherche l’aventure, un play-boy qui fait tomber les filles à la
pelle, un industriel marseillais qui vient se reposer pour préparer la défense de son
procès et même l’Empereur d’Autriche venant faire une petite thalasso dans cette
paisible région…
L’Auberge du cheval blanc réunit tous les ingrédients d’une folle histoire, faite de
bouillonnantes et gourmandes anecdotes, de rencontres et de déception,
d’escalades et de chassés-croisés… Et où l’arc-en-ciel a vite fait de remplacer
l’orage…
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Samedi 31 octobre à 20h30
Vincent PIGUET
« J’avais pas prévu ! »
Variété Humour
Originaire de Valence, Vincent Piguet
est un comédien de 36 ans, qui a été
poussé sur les planches par son
comique naturel.
La finesse et l’originalité de ses textes,
ainsi que son sens inné du spectacle
l’ont rapidement propulsé parmi les
meilleurs comiques français. Il fait rire,
danse, chante.
Il est ce qu'on appelle un véritable
performeur.
Habitué des cafés-théâtres lyonnais et
parisiens, il se produit également
partout en France. En avril 2009, il
s’est classé 2ème sur 176 humoristes
aux Duels pour Rire de Toulouse,
dans le cadre du festival « Le
Printemps du Rire ».
Vincent Piguet a assuré bon nombre
de 1ères parties (Titoff, Tex, Stéphane Guillon, Albert Meslay, Christelle Cholet
«L’Empiafée»…).
Sur un rythme effréné Vincent Piguet invite le public dans son univers décalé.
Un accessoire, une mimique, et on découvre un personnage parfois absurde,
toujours attachant. Cependant un banal événement va venir bouleverser son show et
faire comprendre beaucoup de choses au public.
Vraiment très drôle, intelligent, nouveau et parfois même émouvant, « J'avais pas
prévu » est le spectacle que les personnalités adorent :
« C’était génial ! » (Bernard Pivot) ; « Que du bonheur ! » (Rocco Siffredi) ;
« Standing Ovation! » (Jean Jacques Debout) ; « Bravo » (Christine) ; « Je me suis
éclaté ! » (Ayrton Senna). Il paraîtrait même que Tarantino veut les droits.
Alors Vincent Piguet dans «J'avais pas prévu», c'est clair : FONCEZ !!!
« Un One Man Show comique qui bascule en véritable pièce à intrigue. Original et réussi ». Le
Dauphiné Libéré
« Nouveau, subtil, vraiment drôle, parfois même émouvant, J’AVAIS PAS PREVU est notre coup de
coeur 2008 ». 20 Minutes
« Vincent PIGUET nous fait rire et réfléchir. Une histoire bien ficelée. Un rebondissement final à
couper le souffle. Jubilatoire ». La Tribune
« La révélation comique de la scène lyonnaise ». Le Progrès
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Samedi 7 novembre à 20h30
Dimanche 8 novembre à 15h00
Jean-Charles Latent
ou le triomphe de la psychanalyse
Théâtre comédie intellectuelle
Ecrite et mise en scène par Eric Ruffiat
Avec la troupe théâtrale « La bande à Riri » :
Christel Benoit-Marhuenda : Trystedent
Sophie Dalle-Vedove : Anne Sophie de la Dentellière
Géraldine Garreau : Madame Lopez
Richard Loubaud : Gérard Potin
Laurent Marhuenda : Jean-Charles Latent
Stéphanie Millet : Madame Bouchbet
Claudia Vandin : Robert Tapioca
Comment réussir dans une petite province quand on
est un peu psychologue et surtout sans scrupule ?
Le psychanalyste Eric Ruffiat nous entraîne sans complexe dans une paisible ville de
Varles. Il vient enfin de vendre à prix d’or son médiocre cabinet à un jeune confrère
apparemment naïf : Jean-charles Latent. Mais le candide remplaçant se révélera très
vite bien différent de ce qu’il paraissait… Gonflé de méthodes innovantes, il
manipulera un à un les notables de Varles au travers de consultations
abracadabrantes. Peu à peu le piège « charlatanesque » se refermera sur tous ceux
qui croiseront son chemin.
Du « Knock » pur jus revisité à la mode psy.
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Vendredi 27 novembre à 20h30
La Chute
Théâtre
D’Albert Camus
Adaptation : Catherine Camus et
François Chaumette
Mise en scène et scénographie :
Raymond Vinciguerra
Assistant à la mise en scène :
Michel Panier
Création Vidéo : François MourenProvensal
Création au Théâtre Gyptis Marseille
Coproductions : Compagnie Tetra-Art / Théâtre Gyptis - Marseille / Ville de Beaucaire
/ CAES du CNRS de Marseille
Avec :
Philippe Séjourné : Jean-Baptiste Clamence
« Puisqu'on ne pouvait condamner les autres sans aussitôt se juger, il fallait
s'accabler soi-même pour avoir le droit de juger les autres. »
Albert Camus, La Chute, 1956.
« Camus était un artiste ; […] dans un mélange d'austérité et de sensibilité, il prenait
la responsabilité de parler pour ceux qui n'ont ni les moyens ni l'opportunité. […] »
Catherine Camus.
La Chute est la dernière œuvre achevée de Camus. Initialement, ce texte constituait
une nouvelle appartenant au recueil L'Exil et le Royaume, mais il a rapidement pris
beaucoup d'ampleur et est devenu un court roman indépendant. Il s’agit plus
précisément d’un discours, proche de la confession orale (à un destinataire muet).
"L'homme qui parle dans La Chute se livre à une confession calculée. Réfugié à
Amsterdam dans une ville de canaux et de lumière froide, où il joue à l'ermite et au
prophète, cet ancien avocat attend dans un bar douteux des auditeurs complaisants.
Il a le cœur moderne, c'est-à-dire qu'il ne peut supporter d'être jugé. Il se dépêche
donc de faire son propre procès, mais c'est pour mieux juger les autres. Le miroir
dans lequel il se regarde, il finit par le tendre aux autres.
Où commence la confession, où l'accusation ? Celui qui parle dans ce livre fait-il son
procès ou celui de son temps ? Est-il un cas particulier ou l'homme du jour ? Une
seule vérité en tout cas, dans ce jeu de glaces étudié : la douleur, et ce qu'elle
promet."
Porter ce texte au théâtre, c’est faire sonner la parole de Camus ; c’est trouver
l’équilibre entre le corps et l’esprit, quand la philosophie se fait chair. Diriger l’auteur
pour incarner Clamence, c’est explorer toutes les facettes de l’homme, mais aussi
toutes celles du jeu, celles du « je » en somme ».
Raymond Vinciguerra
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Vendredi 11 décembre à 20h30
La Belle et la Bête
Théâtre - Spectacle tout public dès 6 ans
Mise en scène : William Mesguich
Adaptation et collaboration artistique :
Charlotte Escamez
Costume : Alice Touvet
Décor : François Marsollier
Production Théâtre de l’Etreinte
Création au Théâtre Mouffetard
Avec :
Sarah Fuentes
Benjamin Julia ou William Mesguich
Rebecca Stella ou Charlotte Popon
Régis Ivanov
« Il y avait une fois » un riche marchand qui avait trois filles. La cadette était
surnommée « La belle enfant ». Caché au fond d’un bois sombre se trouvait le
château de la Bête, un monstre d’une grande laideur. Un jour, le marchand cueillit
une rose dans le jardin de la Bête, alors la Belle, pour sauver son père, dut rejoindre
la Bête… »
« Jouer est un jeu. Les enfants le savent
très bien. En grandissant il y a ceux qui
l’oublient, d’autres qui s’en souviennent.
Je suis de ceux qui s’en souviennent. »
Roland Dubillard
Adapter La Belle et la Bête, c’est comme
un rêve à réaliser. Alors voici la suite du
rêve…
Charlotte Escamez
La poésie et la beauté de ce conte seront
mises à l’honneur et la magie suscitera
surprise et amusement.
William Mesguich
Avec le soutien du Conseil Régional d’Ile
de France et du Théâtre Victor Hugo de
Bagneux.
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A l’occasion du marché de Noël des 11, 12 et 13 décembre 2009
Dimanche 13 décembre à 15h00
La marche des santons ‘’ Lou pichot Mounde di Santoun ‘’
Pastorale
Eglise Saint Paul - Impasse Saint Paul - Rue de l’Hôtel de Ville
Entrée libre
« Lou pichot Mounde di Santoun » est une nouvelle pastorale.
Inspirée des souvenirs « calendal » d’une petite fille de Provence, issue d’une famille
santonnière de l’Arlèsie.
Les santons, comme chacun sait, prennent vie à certaines périodes de l’année. Cette
légende, riche et intense en émotions, rires et traditions, a donné naissance à des
descriptions humoristiques de scènes de vie pastorales.
Cette très jolie aventure, est possible grâce à :
• L’association Reneissenço, nos amis acteurs bénévoles
• Michel Grisoni, Metteur en scène
• Patrice Blanc, Conseiller Artistique
Les textes sont d’Elisabeth Ferriol qui fut et sera toujours cette simple fille de
Provence, spectatrice ou actrice de ce ravissant et passionnant Monde des Santons.
Ce soir les santons nous content leurs impressions de retour de la crèche.
8
Dimanche 17 janvier à 15h00
L’Entourloupe avec Michel Galabru
Le triomphe de la farce du fripon déguisé en Galabru !
Théâtre comédie
Une comédie d’Alain Reyraud-Fourton
Mise en scène : Jean Galabru
Avec :
Michel Galabru
Prenez un industriel peu scrupuleux, Michel
Galabru, et une invention stratégique qui
intéresse certaines grandes puissances.
Ajoutez-y des associés complices, des
espions abusés, des morts violentes et
saupoudrez le tout d'humour et de cynisme.
Laissez mijoter pendant deux heures jusqu'à
l'apparition de quelques millions de dollars.
Vous avez alors une magnifique
ENTOURLOUPE qui ne manquera pas de
surprendre tout un chacun.
Cette comédie créée en 1983 avec Michel
Galabru a été jouée plus de 700 fois au
Théâtre des Nouveautés puis en tournée
internationale.
L'Entourloupe ne prétend ni à la morale ni à
l'humour le plus subtil. L'auteur ne s'attarde pas non plus aux traditionnelles
grivoiseries d'un maigre théâtre de boulevard. Au contraire, il raconte une histoire qui
sonne juste, et rythmée à merveille par un Michel Galabru aux épaules larges, à la
face rustique et à l'accent râpeux.
Le public devient une véritable victime ravie, car on ne s'ennuie pas une seconde
tout au long de cette énigmatique affaire. La mise en scène est très vive et les
dialogues sont menés à un rythme d'enfer !
Les retournements de situation et les cadavres sont servis avec une verve folle, sans
jamais laisser deviner la chute excellente de cette pièce, qui est, par ailleurs une
anthologie de jeux de mots et d'esprit.
« En ces temps modernes où la télévision et le cinéma saturent et banalisent nos
vies, il devient urgent pour la survie de nos âmes et de nos sens, d'aller au théâtre
car le théâtre est indispensable à ce qui nous rend humain. »
Michel Galabru
9
Samedi 6 février à 20h30
Les Renés
Après 6 ans de succès
au Festival d’Avignon
Spectacle humoristique
Les Renés présentent leur nouveau spectacle " Tempête
sur Concouillargues " Drame burlesque politique en un
acte !
D’après : « Tempête sur l’Elysée » de Patrick Font (sur
une idée de Jean Jacques Perroni)
Avec :
André Domingues dit Dédé en bulles
Jean-Patrick Douillon dit Doux Douille
Robert Guiraud dit Roby
On y retrouve tous les personnages du midi rural chers
aux Renés : La secrétaire de Mairie, le premier adjoint,
le maire, mais aussi, un chargé de communication
embauché à Paris, un garde champêtre Breton et
d’autres surprises...
Tout est paisible dans le petit village de Concouillargues, mais ce matin là, le drame
éclate. On a enlevé la femme du maire et la rançon demandée pour sa libération est
des plus farfelue. Tellement farfelue qu’on ne peut vous la révéler sans gâcher une
partie du spectacle, il faudra donc venir la découvrir au milieu d’une bonne dose de
rigolades, de situations burlesques, de bons mots et de loufoqueries dans ce
nouveau spectacle...
Une pièce de théâtre qui se joue à cent à l’heure et où l’on n’a même pas le temps
d’être haletant tant elle est haletante...
Entre le suspens et le rire, difficile de reprendre son souffle !
« Sabre au clair, ils
abordent la soirée pour
déclencher des vagues
de bonne humeur.
Chansons cinglées,
sketches sanglants,
actualités cinglantes.
Rien de ce qui fait rire ne
sera épargné. Partout où
ils passent, les galères
de l'ennui sont coulées.
Et si la mauvaise herbe
de la morosité ne
repousse plus, le public
lui se pousse pour ne
pas les manquer... »
10
Samedi 20 février à 20h30
Le Clan des divorcées
Théâtre - Comédie délirante
Après leur succès au
Festival d’Avignon 2009
Un spectacle d’Alil Vardar
Mis en scène : Gilles Ramade
Avec :
Angela Clerc
Eric Collado ou Daniel Jean Colloredo
Julie Dorval
Claire Gérard
Lucie Peltier ou Virginie Stevenoot
Ou comment bien vivre sa rupture.
Trois femmes divorcent et partagent
le même appartement. A trois, elles
vont vivre la douloureuse mais
hilarante épreuve du divorce.
En assistant au Clan des divorcées,
non seulement vous allez beaucoup
rire mais surtout vous allez vivre un
vrai moment de bonheur !
Cette comédie absolument
irrésistible met en scène trois
femmes : Stéphanie d’Humily de
Malanpry, une bourgeoise qui quitte
un berger ardéchois, Mary Bybowl,
une british un peu délurée qui elle,
quitte un homme de plus et Brigitte
la rurale qui elle aussi divorce.
La saga de cette comédie a
commencé début janvier 2004 à
Toulouse, et a terminé à Avignon, à
guichet fermé.
En août 2004, la pièce est à l’affiche
de la Comédie République à Paris.
En décembre 2005, la troupe
déménagea à la Grande Comédie, là
aussi sans attendre, le succès est au
rendez-vous.
A ce jour plus de 400 000 spectateurs ont été conquis par nos trois divorcées.
« Des dialogues corrosifs et hilarants, une heure trente de hochements de tête approbateurs et de
fous rires. » Le Figaro Magazine
« Alil Vardar a tiré une comédie franchement drôle. » Le Parisien
« Dans le clan des divorcées, on ne rit qu’une fois mais ça dure une heure et demi. » Le Nouvel Obs
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Samedi 6 mars à 20h30
Armelle
Variété humour
Spectacle d'humour théâtralisé,
succession de chansons d'humour et
sketchs, dans lequel Armelle nous
embarque dans son univers original,
délicieux et drôle, accompagné de sa
galerie de personnages féminins de
différentes époques dans différents lieux,
tous aussi décalés, loufoques et hilarants.
Aller voir Armelle c'est avant tout assister
à un spectacle de théâtre joué par une
comédienne qui est certainement une des
plus importantes natures comiques des
prochaines années. Cela faisait un bon
moment qu'on lui proposait de faire un
spectacle : sa personnalité unique, son
univers, son charisme, tout justifiait une
telle démarche. Mais au lieu de ça, elle a
pris le temps. Elle a fait ses classes, elle a
travaillé au théâtre, au cinéma, à la
télévision. Elle a attendu le moment
opportun pour proposer au public, qu'elle
respecte avant tout, un spectacle dans lequel
elle se réalise vraiment.
Elle nous emmène dans son voyage où à travers chaque tableau, elle nous ouvre
une page dans laquelle on découvre une nouvelle facette de sa personnalité. Nous
sommes loin de la Maeva de " caméra café " où le grand public l'a découverte. On
découvre ici une comédienne, bien entendu drôle, mais également une artiste qui
n'hésite pas à aller au plus profond de ses personnages pour nous raconter à travers
eux sa vision du monde, de ce qui l'entoure.
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Festival vivant et toros
Vendredi 12 mars à 20h30
Alain Montcouquiol et Philippe Cornier
« Lecture et musique sur fond d’Espagne »
Poésie lecture
Soirée cabaret
L’écrivain Torero Alain Montcouquiol et le guitariste Philippe Cornier. Une sorte de
Mano à mano entre deux hommes amoureux de l’Espagne et qui disent leur passion,
l’un à travers les grands poètes de la péninsule, l’autre en l’accrochant aux cordes de
sa guitare.
Dans ce spectacle ils ont fait se rencontrer Federico Garcia Lorca le sublime poète et
Isaac Albéniz, génial pianiste de la fin du XIXème siècle. De même le grand Antonio
Machado et Manuel de Falla.
Philippe Cornier illustre de ses accords les textes des grands poètes espagnols que
déclame Alain Montcouquiol.
Alain Montcouquiol et Philippe Cornier se sont déjà produits : Museo de la Ciudad de
Mexico, Arènes de Vie Fezansac, Encuentras del Patrimonio Mundial de Morelia
(Mexique), Festival Querencia de Céret, Nîmes, Istres…
13
Festival vivant et toros
Samedi 13 mars à 20h30
Les Noirs, los Negros
Théâtre - Drame poétique
D’après Patrick Espagnet
Direction artistique, producteur
exécutif : Daniel Saint-Lary
Mise en scène : Bernard Murat et
Maxime Leroux
Assistante à la mise en scène :
Maud Ivanoff
Sscénographe & créations lumière :
Eric Rolland
costumes : Inge Zorn-Gauthier
Production : Arte y Toro
Avec : Maxime Leroux
Patrick Espagnet a été révélé avec le beau spectacle Chandelle proposé la saison
dernière. Les Noirs, los Negros (ed. Loubatières) est peut-être son œuvre la plus
aboutie. Un opus poétique consacré à la vie, aux combats, aux rêves (qui sait ?) et à
la mort des toros brave, aux histoires d’hommes et de femmes autour d’eux, aux
bouillonnements de leurs fêtes et aux drames qui s’y nouent.
Un recueil, d’une beauté et d’une sensibilité saisissantes, qui font dire à Pierre
Albaladéjo, qui a cosigné avec Vincent Bourg dit « Zocato » la préface, combien « la
brutalité apparente du phrasé et la délicatesse du propos s’enlacent, se marient, se
fondent dans un climat voluptueux et tragique ».
Cette poésie, ardente et profonde, est un voyage intense au cœur de l’un des pans
essentiels de la culture des « Suds », traduite en images incandescentes. Elle en dit
son âme. C’est comme une clameur à qui, au fond, il ne manquerait que la parole,
celle de l’acteur, pour prendre corps et l’espace scénique pour se mettre en regard.
Le spectacle proposé repose avant tout sur la puissance émotionnelle des mots
d’Espagnet. « Les mots qui vibrent, les mots qui tremblent, les mots qui vivent, les
mots qui restent » comme l’écrit si fortement Jacques Maigne. Mais les Noirs, c’est
aussi, à partir du texte d’Espagnet, une formidable et sensible évocation de l’art de la
tauromachie et de ses hommes.
Seul en scène, sous le regard complice et fraternel de Bernard Murat, Maxime
Leroux se joue des métaphores qu’autorisent les techniques d’images et de sons
d’aujourd’hui. Les Noirs sur scène, c’est aussi une évocation : celle du personnage
d’Espagnet, truculent, soiffard, jubilatoire, jouisseur, désespéré, complexe, donc
humainement fréquentable et la puissance irrésistible d’un grand comédien.
Avec le soutien de la Région PACA, du Département du Gard, de la ville de Nîmes,
de la Région Languedoc Roussillon, de la ville de Dax, de la ville d’Arles
Partenariat privé : BNP-Paribas, Groupe Accor, Planète Corrida.
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Festival vivant et toros
Dimanche 14 mars à 15h00
Chicuello II
Concert musique
La peña taurine a été crée en 1959 portant le nom du torero Chicuelo II (Manuel
Jimenez Diaz) décédé le 21 janvier 1960 dans un accident d’avion. Lors d’une
corrida à Nîmes, Chicuelo II déclencha un tel enthousiasme chez un groupe
d’aficionados qu’ils décidèrent de créer une peña portant son nom. Ce groupe de
supporters avec ses danseurs, portes drapeaux déambulaient dans la ville lors des
triomphes du Maestro et à l’occasion des Férias, à l’image des Bandas du sud Ouest
d’aujourd’hui. Cette Banda est devenue orchestre des arènes en 1962. Seulement 2
chefs se sont succédés depuis : René Vedel et Robert Marchand et 2 Présidents,
Jean Moureau et David Pizon.
L’orchestre Chicuelo II, dirigé par Robert Marchand, est formé de 25 musiciens. Il
joue principalement des musiques taurines (Pasos Dobles) lors de ses prestations
durant les nombreuses corridas organisées dans toutes les arènes de la région,
durant les Férias d’Arles et de Nîmes ainsi que toutes autres manifestations taurines.
Lors de ce concert vous pourrez écouter divers styles musicaux allant des grands
standards de Jazz en passant par la musique latine et bien sûr les plus grands Pasos
Dobles.
15
Vendredi 9 avril à 20h30
Les caprices de Marianne
Last days
Théâtre
Reprise à Marseille
Théâtre du Gyptis
Avec des danseurs hip hop
D’Alfred de Musset
Mise en scène : FrançoiseChatôt
Assistante de Mise en scène : Agnès Audiffren
Scénographie : Claude Lemaire
Lumière : Roberto Venturi
Chorégraphie : David Llari
Musique : Dominique Viger
Costumes : Eliane Tondut
Création : Compagnie Chatôt-Vouyoucas
Coproduction : Compagnie Chatôt-Vouyoucas /
Théâtre Gyptis & Compagnie Sun of Shade /
David Llari
Avec :
Agnès Audiffren
Guillaume Clausse
Cathy Darietto
Pierre-François Doireau
Maïa Jarville
Grégoire Roger
Philippe Séjourné
et les danseurs Christophe Lepage, Nassir Moktari et Mined Yahiaoui.
La pièce se passe à Naples (un Naples imaginaire). Elle raconte l'histoire de Cœlio,
un jeune homme qui tente désespérément de conquérir Marianne, elle-même déjà
mariée. N'osant l'aborder, il fait appel en premier lieu à Ciuta, une vieille femme qui
accepte d'aborder la jeune Marianne pour essayer de la convaincre de parler à
Cœlio, tentative qui malheureusement n'aboutit pas car Marianne veut rester fidèle à
son époux Claudio. Cœlio, ne sachant que faire, et décidé à obtenir l'amour de
Marianne, va faire appel à son ami Octave, un libertin, cousin de Claudio, mari de la
dulcinée. Celle-ci continue de refuser ses avances mais tombe peu à peu amoureuse
d'Octave : par caprice, elle lui offre même un rendez-vous où elle lui annonce sa
décision de prendre un amant, mais surtout lui avoue à demi-mot son amour.
A sa création en novembre 2008, un public nombreux et très varié a
chaleureusement salué la création de ce classique dans une version originale. Avant
sa tournée, une reprise du spectacle au Gyptis s’imposait naturellement.
16
Vendredi 16 avril à 20h30
Clinic
Théâtre comédie
De et avec la Bande Dehouf
Après leurs triomphes au Théâtre
Trevise et à la Comédie de Paris…
les médecins déjantés de CLINIC
s’installent au Palais des Glaces à
partir du 2 octobre 2009.
Dans cette clinique loufoque, les
patients sont traités en cobayes.
L’équipe, constituée de quatre fous
furieux, s’active surtout aux dépens
des
malades.
Ces
quatre
énergumènes, tour à tour patients,
médecins
ou
infirmiers,
complètement barrés et amoraux,
passent l’univers médical à la
moulinette.
Des
gags
d’une
redoutable efficacité, des comédiens
d’une exceptionnelle inventivité…
Voilà un spectacle qui soigne. Il
soulage, dynamise, dédramatise et
met de l’humour dans un endroit bien sérieux. Attention à ne pas mourir de rire !
« Avec Clinic, on prend le risque de mourir de rire » Télérama
« Fourmillant de mille et une idées, ces grands enfants font preuve d’un talent fou et d’une grande
originalité. » Le Figaro Magazine
« Avec un gag toutes les trente secondes…, ils sont là, impitoyables… sans se soucier du public qui
étouffe de rire dans la salle. » France Soir
« Le remède idéal pour anesthésier la morosité du moment. » A Nous Paris
17
Vendredi 30 avril à 20h30
Médée
Théâtre tragédie
De Jean Anouilh
Mise en scène : Florence Kleinbort
Compagnie : Les Didascalies
Avec :
Florence Kleinbort : Médée
Laure Rivolier : La Nourrice
dist. en cours : Le Garde
Jean-Luc Bosso : Créon
David Faure : Jason
Voilà dix ans que Jason et Médée vivent ensemble de fuites, de larcins, de crimes...
Ils ont deux enfants, deux jeunes garçons, fruits de cet Amour qui les dépasse.
Mais voilà que Jason, un beau
matin, las de cette vie sans
repos, avide de confort et de
calme, abandonne Médée pour
épouser Créüse, fille de Créon,
Roi de Corinthe...
Et voilà une Médée trahie,
chassée une fois de plus,
oubliée de cet homme pour qui
elle a tué, volé, menti, triché.
Voilà une Médée acculée à la
vengeance ; une vengeance qui
sera cruelle et dont personne ne
sortira indemne...
Toute l'originalité de l'oeuvre
d'Anouilh réside dans sa
proposition d'une Médée gitane,
qui se déplace avec sa roulotte
et son vieux cheval. Déviation
compréhensible : de la
magicienne barbare à la gitane
diseuse de bonne aventure il n'y
a qu'un pas...
18
Vendredi 7 mai à 20h30
Le canapé ou les
quatre vérités
Théâtre comédie
De Ronald Bonan
Mise en scène : Jean
Michel Bayard
Décor et costumes : Anna
Pauchet
Lumières : Jean-Louis
Floro
Compagnie Zumaï à
Marseille
Coproduction Théâtre de
Lenche
Avec :
Albert Lerda : Jacques
Christine Gaya : Agnès
Gilles Guerin : Antoine
Atsama Lafosse : Sylvie
Jacques offre au bout de 20 ans de mariage un canapé pour l’anniversaire de sa
femme Agnès… C’est le prétexte pour que chacun déballe ses quatre vérités. Et ça
fait mal !
Antoine et Sylvie, le couple ami témoin de ce psychodrame, ne se sent pas très bien
non plus. Et les quatre comédiens font leur possible pour s’immerger dans la
souffrance de ces êtres déchirés et évoluer dans un univers où les meubles et les
objets sont imaginaires.
Alors autant dire que les faux pas et les gestes malencontreux risquent de perturber
ce grand déballage de vérité.
Avec le soutien du Conseil Régional PACA, du Conseil Général des Bouches du
Rhône et de la ville de Bouc-Bel-Air.
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Vendredi 28 mai à 20h30
André Chiron en concert
Récital chanson
Soirée Cabaret
C'est à l'age de 15 ans qu'il apprend à jouer de la guitare et ce, uniquement pour
chanter les chansons de Georges Brassens. Après avoir fait " du bal en orchestre,
après avoir fait le docker itinérant " comme on dit dans le jargon du métier, il
abandonne cette spécialité pour se consacrer à ses deux passions:
Brassens et la langue provençale
En 1977 il fait la connaissance de Pierre Paul qui a traduit une trentaine de
chansons de Brassens en provençal. Un premier disque naît de cette rencontre suivi
d'un second devant le succès du précédent.
En 1979, c'est la rencontre de Georges Brassens. Une rencontre toute d'amitié qui
marquera la vie d'André Chiron. En 1980 c'est avec Pierre Nicolas le fidèle
contrebassiste du poète qu'il fait quelques récitals dans la région.
En 1983 après la mort de Brassens, André décide de rendre hommage à sa manière
à l'oncle Georges qui a laissé un grand vide autour de lui. Entouré de Pierre Nicolas
et de Joël Favreau (le guitariste du chanteur), André Chiron crée un spectacle intitulé
« Brassens trente ans de chansons » dans le cadre du Festival de Carpentras. Ce
spectacle d'amitié chanté en français recueille l'adhésion des 1500 spectateurs
présents ce soir-là. Depuis ce jour-là c'est en France et à l'étranger que ce spectacle
est produit (Canada, Belgique, Italie, Espagne, Haïti, Luxembourg Allemagne,
Suisse).
Néanmoins, tout en continuant ce spectacle, André Chiron n'en délaisse pas pour
autant sa langue maternelle et dans son spectacle en Provençal « Canto Sempre » il
interprète des chansons des pays d'Oc et quelques chansons en français de manière
à ce que le public participe lui aussi à la fête des mots et de la musique. Quelques
« galéjades » provençales viennent aussi ponctuer sa prestation.
André Chiron, un homme de passion contagieuse qui communique son amour de la
Provence au public.
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Festival du théâtre associatif gardois
Vendredi 2 octobre à 10h00 et à 15h00
Les Lettres de mon moulin
D’Alphonse Daudet
Conte jeune public
Avec Jean-Claude DUMAS
Présentateur du magazine « Destination Pêche » sur France 3, comédien au théâtre
et au cinéma, voix de nombreux films et dessins animés, Jean-Claude Dumas, avec
toute sa saveur méridionale, nous conte quelques-unes de ces « Lettres de mon
moulin », inscrites dans notre mémoire un peu comme des scènes de crèche
provençale ! Et les santons de monsieur Daudet viennent nous offrir toute une
palette d’émotions et de sentiments hauts en couleurs: la tendresse avec « Les
vieux », l’émotion avec « La chèvre de monsieur Seguin », la poésie avec « Le souspréfet aux champs » le drame avec « La diligence de Beaucaire, la truculence» avec
« Le curé de Cucugnan.
Vendredi 2 octobre à 20h30
La chambre mandarine
Théâtre comédie de Robert Thomas
Entrée libre
Avec "Les Missounenques" de Bellegarde
Une comédie fantaisiste de Robert Thomas dans la pure tradition du Théâtre de
boulevard.
Six différentes scènes dans un même décor, parfois légères, drôles ou dramatiques.
Ces pièces offrent l'occasion de voyager à travers les sentiments qui animent le
commun des mortels.
La chambre mandarine a non seulement de la mémoire mais aussi des oreilles. Elle
fait son métier de chambre quels qu'en soient ses occupants. Elle écoute, elle
comprend, elle accueille le ballet tourbillonnant de tranche de vie. Elle se fait l'écrin
d'une merveilleuse palette d'émotions.
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Calendrier 2009-2010
Date
Heure
Manifestations
Genre
Octobre 2009
Vendredi 2
10h00
15h00
Vendredi 2
20h30
Dimanche 11
Samedi 31
15h00
20h30
Samedi 7
Dimanche 8
Vendredi 27
20h30
15h00
20h30
Vendredi 11
20h30
Dimanche 13
15h00
Dimanche 17
15h00
Samedi 6
20h30
Samedi 20
20h30
Samedi 6
20h30
Vendredi 12
20h30
Samedi 13
20h30
Dimanche 14
15h00
Vendredi 9
Vendredi 16
Vendredi 30
20h30
20h30
20h30
Vendredi 7
20h30
Vendredi 28
20h30
Conte jeune public
Entrée libre
Festival du théâtre associatif gardois Théâtre comédie
La chambre mandarine
Entrée libre
L’Auberge du cheval blanc
Opérette
Vincent Piguet
Variété humour
Novembre
Jean-Charles Latent ou le triomphe Théâtre comédie
de la psychanalyse
intellectuelle
La Chute
Théâtre
Décembre
Théâtre
La Belle et la Bête
Spectacle tout public
dès 6 ans
Pastorale
La marche des Santons
dans le cadre du
Eglise Saint Paul
marché de Noël
Entrée libre
Janvier 2010
L’Entourloupe
Théâtre comédie
Février
Spectacle
Les Renés
humoristique
Théâtre comédie
Le clan des divorcées
délirante
Mars
Armelle
Variété humour
Festival spectacle vivant et toros
Alain Montcouquiol et Philippe
Poésie, lecture
Cornier
Soirée cabaret
« Lecture et musique sur fond
d’Espagne »
Festival spectacle vivant et toros
Théâtre
Les Noirs, los Negros
Drame poétique
Festival spectacle vivant et toros
Concert musique
Chicuello II
Avril
Les caprices de Marianne
Théâtre
Clinic
Théâtre comédie
Médée
Théâtre tragédie
Mai
Le canapé
Théâtre comédie
Récital chansons
André Chiron
Soirée cabaret
Festival du théâtre associatif gardois
Les Lettres de mon moulin
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Tarifs et abonnements
TARIFS
Entrée générale : 10 €
Tarif réduit : 6 €
Le tarif réduit concerne, sur présentation d’un justificatif : les demandeurs d’emploi, les
titulaires des minima sociaux, les moins de 25 ans, les plus de 65 ans et les personnes
handicapées. Gratuit pour les enfants de moins de 6 ans.
Billetterie Office du Tourisme
Du lundi au vendredi de 8h45 à 12h15 et de 14h00 à 18h00
24, cours Gambetta
30300 Beaucaire
Tél. : 04 66 59 26 57
www.ot-beaucaire.fr
[email protected]
Billetterie Casino de Beaucaire le soir des spectacles
Champ de Foire - Allée du Casino
Ouverture des portes 1h30 avant le spectacle
ABONNEMENTS
Tous spectacles : 130 €
Tarif réduit : 80 €
Le tarif réduit concerne, sur présentation d’un justificatif : les demandeurs d’emploi, les
titulaires des minima sociaux, les moins de 25 ans, les plus de 65 ans et les personnes
handicapées. Gratuit pour les enfants de moins de 6 ans.
Règlement
Espèces ou chèques à l’ordre du Trésor Public
Les billets délivrés ne seront ni repris, ni échangés.
La ville de Beaucaire se réserve le droit de modifier la programmation en cas de
nécessité.
Le casino est accessible aux personnes à mobilité réduite.
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