Container - Théâtre du Grand Rond
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Container - Théâtre du Grand Rond
SOMMAIRE SYNOPSIS HISTORIQUE DE LA COMPAGNIE AUTEURE/INTERPRÈTE NOTE D'INTENTION LES DIFFÉRENTES ÉTAPES DE TRAVAIL: Écriture Composition musicale et répétition Mise en scène Chorégraphie Jeu d'acteur Recherche et expérimentation scénographique et plastique Projet pluridisciplinaire Technique L'ÉQUIPE RETOUR SUR LA COMPAGNIE Précédentes créations du Bestiaire à Pampilles Lieux emblématiques où nous avons présenté nos créations Coupures de presse SYNOPSIS Une performeuse vient partager ses questionnements afin de se départir de ce poids, sous une forme contemporaine, qui mêle texte, chant, musique, danse et spoken word. De sa sur implication, de son désir excessif à vouloir exister pleinement, le rire naît là où on ne l’attend pas forcément. « Vous m’écoutez certes, mais est ce que vous m’entendez ? » Très actuel dans sa proposition artistique, CONTAINER se joue des codes contemporains sans jamais se moquer. Au contraire, le rire naît là où on ne l’attend pas forcément; de la sur implication du personnage, de son excès à vouloir exister pleinement. Il s'agit d'une femme torturée, plombée, dont le "cerveau s'auto tabasse depuis toujours", qui cherche la légèreté. Elle nous assène ses questionnements en espérant les partager et donc se départir un peu de cette charge. "Merci mais je fais ça pour supporter ma charge, mon propre poids!." Elle cherche le sens mais celui ci se déplace. Elle nous incite à ouvrir à ouvrir le champ puisqu'elle est venue avec elle même comme elle le fait à chaque fois. Le rire naît là où on ne l'attend pas forcement. Entre virage et mirage rien ne s'installe ni ne se joue du définitif pour éviter de se casser la gueule. HISTORIQUE DU BESTIAIRE À PAMPILLES En 2003 le Bestiaire à Pampilles (Sigrid et Alexandre Bordier) voit le jour et commence à sillonner les routes avec sa première création "La Duchesse", en rue. En 2005 ce sera la création, à Genève, de "Marie Glawdys et Max Paul expérience" qui tournera autant en rue qu'en salle, et qui tourne encore à ce jour. C'est en travaillant avec Michel Dallaire, formateur et directeur d'acteur, que se précise la démarche artistique du Bestiaire. En effet, elle permet à chaque comédien toute l'audace nécessaire à la création de projets originaux et forcément personnels. En 2007, Sigrid et Alexandre font la rencontre de Pierre Robert Tissot, avec lequel ils écrivent et jouent "peplum.ch", une web série (Akkafilm). Forts de cette fructueuse collaboration, ils passent à la création de "Lux Interior", toujours en tournée (France et étranger). Les créations du Bestiaire, pluridisciplinaires, s'articulent toujours autour de jeux clownesques, avec une forte implication physique, de textes, de musiques, et d'un souci esthétique. À ce jour, les co-directeurs artistiques, Sigrid et Alexandre se lancent dans la création de solos, expérimentent et précisent se qui constitue l'univers du Bestiaire. En parallèle le Bestiaire, détenteur d'un lieu de formation, d'échanges et de création à Toulouse, Le Bestiaire, reste vivant localement et projette de jeter des ponts entre Toulouse, Genève, Nantes, Nice et d'autres localités au fils de ses rencontres artistiques. AUTEURE/INTERPRÈTE Sigrid Perdulas/ Bordier est depuis 10 ans maintenant, co-directrice avec Alexandre Bordier, de La Cie du BESTIAIRE À PAMPILLES et à ce titre auteur, compositrice, musicienne, chanteuse, formatrice, metteuse en scène et clown. Notre binôme artistique a créé l’intégralité de ses spectacles (texte, jeu, musique, etc.) et le mélange de nos univers a su, au fil du temps imposer sa patte, sa singularité. La réputation foutraque des créations du Bestiaire à Pampilles n'est plus à prouver. Le spectateur est prévenu à l'avance; "ça ne veut rien dire, mais...." Et c'est ce "mais..." qui réserve bien des surprises. Marc Vionnet - Le clou dans la planche Ainsi Sigrid Perdulas/Bordier assume seule l’écriture de ce nouveau projet et peut à ce titre creuser plus profondément, au même endroit mais autrement, certains thèmes qui lui sont chers (l'empêchement, les écarts de comportements vis à vis de la norme, la recherche de légèreté, la douleur, le droit à exister, la recherche du plaisir). En 2013/2014, Le Bestiaire décide de créer deux sol(i). La présentation à Genève en janvier du solo « Man On The Spoon », de et avec Alexandre Bordier, mis en scène par Sigrid Perdulas/Bordier fut un succès. NOTE D'INTENTION Il n'y a rien de naturel chez ce personnage qui sait devoir se contenir afin que le barrage ne cède pas. Le moindre geste est conscient, chorégraphié. La moindre parole est un pavé, une enclume! Un des objectifs sera d'éprouver le public dans une temporalité propre au personnage, entre gêne et plaisir de cette gêne, occasionnée parfois par la lenteur, le désir d'en rire et/où de se laisser toucher. En filigrane, les écarts de comportements vis à vis de la norme seront questionnés, non pas textuellement, mais par le jeu ou la difficulté à jouer. La tonalité du projet est pince sans rire, et la forme performative et contemporaine afin d'aller questionner les codes de jeu …ou les non codes. "Imaginons qu'il y ait, dans le monde, une certaine quantité, pré définie, de douleur… Qu'elle est là, qu'on se la partage comme on veut… comme on peut… Bien, maintenant j'ai une question: si je retire cette écharde qui me fait mal, est-ce que la douleur migre?..." LES DIFFÉRENTES ÉTAPES DE TRAVAIL ÉCRITURE L’écriture se fait « via » le personnage. Chaque mot est dicté par ce personnage extrême dans ses ressentis, la perception qu'il a des émotions fortes et contradictoires qui le traversent. A aller toujours plus loin dans le constat de son "bien/mal être", ce personnage peut faire sourire, même rire, tant la tension est palpable. L'écriture se développe sur deux niveaux en parallèle: l'écriture de ce qui était "prévu" et celle des impulsions vitales et soudaines du personnage en rapport direct avec le public. Donc deux types d'adresse au public. C'est en conscience du rapport particulier qu'a le spectateur français avec l'anglais, que la majorité des chansons seront en anglais. Ce sera aussi l'occasion d'en jouer pour le personnage. COMPOSITION MUSICALE ET RÉPÉTITION En dehors de quelques morceaux existants, il est important pour moi, via la MAO (musique assistée par ordinateur)"familiale", de renforcer l'écriture en proposant des compositions (fragiles, obsessionnelles, grandiloquentes), elles aussi dictées par le personnage, et, très ancrées dans notre temps. Sur la composition électronique, se superposent une basse et une voix, jouées en live. En amont les arrangements seront renforcés et un travail de traitement du son (diffusion du son via des sources changeantes: façade/retours/amplis afin d'appuyer la notion de mouvement) est prévu. MISE EN SCÈNE La mise en scène s’appliquera à gérer l’ensemble des dispositions relatives aux actions, aux mouvements isolés ou chorégraphiés de la comédienne, ainsi qu’aux incidents et accidents prévus. Elle s’articulera autour des obsessions du personnage. Il s’agira de mettre l’accent sur « la conviction » et sur les émotions ambivalentes qu’elles suscitent. Nous rechercherons un juste dosage, entre le rire et tragique, et un va-et-viens constant entre le quatrième mur et le décrochage (temps public). Afin de mettre le personnage en vie au travers de tout ce qu’il veut partager avec le public. Un soin particulier sera apporté aux variations de rythme et à la musicalité de cette représentation pour renforcer les envolées émotionnelles, la sublimation de cette femme et sa recherche de jubilation. CHORÉGRAPHIE Le travail chorégraphique met en exergue, la fragilité de cette femme, qui sait devoir contenir chacun de ses gestes. Même les gestes les plus quotidiens seront chorégraphiés, conscientisés. Puis viennent aussi les chorégraphies « pures », les parties volontairement dansées, qui de manière figurative, aborderont l’empêchement, la difficulté, la nécessité de force, la recherche désespérée de légèreté, le désir d’être dans la vie, mais les envols aussi. En tant que chorégraphe Christine Maltète-Pinck développe un travail d'ancrage et même si il n'y a rien de vaporeux, cet axe permet véritablement d'alléger le propos. Il y est beaucoup question de centre de gravité et de la liberté qu'on éprouve à tourner autour de ce dernier. JEU D'ACTEUR Depuis 10 ans maintenant, et dès la création de notre Cie, notre axe de travail premier est le jeu clownesque, avec ce désir constant de l’ouvrir aux autres arts (Musique, danse, etc.) A titre personnel, Je, Sigrid, suis venue à cette noble discipline, parce que j’ai compris à travers elle, et profondément, que j'étais inadaptée, que mes fragilités pouvaient être mes forces, que l’échec pouvait être magnifié, que les clowns étaient des perdants magnifiques, mais pas seulement, puisqu’ils ne cessaient jamais de se battre pour être là. « Le clown est une tentative de réconciliation de l’homme avec l’humanité, comme une protestation de vie. C’est la quête du « qu’est ce que ça veut dire tout ça ? » André Sagel/Le Théâtre du monde. Bien loin de tous les à priori dont souffre cette discipline… Dès le début, j’ai eu besoin de développer un clown expressionniste, un personnage excessif qui gère très difficilement ses émotions, ses angoisses, son appréhension de ne pas avoir les bons codes sociaux. Plusieurs fois, des personnes du public exerçant en milieu hospitalier « psychiatrie » sont venu me demander si j’avais travaillé, moi aussi dans ce milieu : jamais ! Mais j’ai construit mon personnage en partant de pathologies, de mes propres germes de folie, jouant sur les différentes lectures possibles, questionnant les écarts de comportement vis à vis de la norme, même si ces créations restent adressées à tous les publics. Aujourd’hui, pour « CONTAINER », c’est une évidence pour moi de mettre mon expérience de clown en « fond de scène », et d’aller chercher au même endroit, mais autrement. Je tiens aujourd’hui à m’éloigner d’une forme clownesque, et travailler dans une forme contemporaine. Mais il sera présent et c’est grâce à cette formation qui permet la prise de risque de se laisser traverser et bousculer par les réactions du public (entre autre), que j’ai développé la capacité d’utiliser ce que je suis comme matière. C’est avec ces techniques de jeu que je veux défendre un projet qui me ressemble. Le propos peut être extrêmement pesant, et porté par un personnage fragile qui veut se défaire de cette pesanteur, il en devient risible, ridicule, mais n'en reste pas moins sincère et généreux. En mêlant travail chorégraphique, et jeu de personnage, conscient qu'il danse, chante et joue de la musique et que c'est loin d'être aisé, c’est un juste dosage que je recherche : où se situe le rire quand ne reste plus que la fuite comme solution et non comme échappatoire ; où se situe le « silence » et la beauté de la fragilité, quand il n’est plus temps d’en rire mais bien de l’offrir tel quel. RECHERCHE ET EXPÉRIMENTATION SCÉNOGRAPHIQUE ET PLASTIQUE L'écriture du projet comprend un temps autour d'œuvres plastique, afin d'aborder les notions de "perception" et de "point de vue". L'idée est de travailler des artistes différents, donc des pièces différentes à chaque mais aussi une œuvre réalisée pour Container. Il s'agira d'appuyer le propos du personnage et son approche aux différentes formes d'expressions artistiques. Prendre le temps de l'échange dans la recherche et l'expérimentation ces artistes, enrichira fortement ce projet. PROJET PLURIDISCIPLINAIRE C'est primordial pour moi de développer plusieurs disciplines, C'est en cohérence avec l'écriture du personnage. En effet, cette femme tente par tous les moyens d'être comprise, de partager ses questionnements dans sa quête de la légèreté. Elle doit donc se donner tous les moyens possibles d'expression "à sa portée". TECHNIQUE Même s’il s’agit d’une forme légère et adaptable facilement, un travail et un soutien sonore s’imposent. En effet, la proposition est musicale (composition de bandes musicales, voix et basse en live, traitement du son plateau pour renforcer l'écriture (sound design)). Ce projet est destiné à être joué en salle et nécessitera une création lumière qui sera souvent en lien avec le jeu, puisque le personnage manipulera en live les projecteurs selon ses besoins. Par ailleurs le plateau sera mis à nu, "dépendrilloné" et les lumières de services seront présentes dans la création lumière afin de travailler, toujours en bi rythme avec, ici," l'univers scénique" et ce qu'est le quotidien de ce travail de scène à l'état brut. Quelques retours inspirés de spectateurs lors des présentations de travail. Eve Lafarge : "Une matinée comme j'aimerais en vivre plus souvent! Merci pour l'expérience, les émotions, la beauté du geste et "l'exoprésence" de Marie Glawdys. Entre essentiel et existentiel, un spectacle au parfum de femme, évaporé(e)... Coureurs d'idéaux, marcheurs sur fil de la vie, êtres sensibles à la poésie d'une tête sur un sac de frappe, pousseurs dans les orties, coupeurs de cheveux en quatre, comptables en une seule monnaie: la sueur, promeneurs d'iguane, vous n'allez pas être déçus!!! Savourez le côté glam'déglingue de Container en basculant avec Sigrid Bordier!" Jim Stern : « Talent… Audace..Ecriture fluide…DRÔLE car si JUSTE DE DEMESURE… à voir » Naïma Bachiri : " Belle performance , drôle, Poésie contemporaine, acide de lucidité , Très belle voix , et qui ne ressemble à rien d'autre ! Allez-y" Astrid Maury : "Mettre en forme, défaire, tâtonner, être sur le fil. Tu te tors de rire ? Et ce chant rock de sirène, qui sidère l'espace. Ton corps bouge aussi dans le rythme, tu oscilles. Tu bats des mains, toi aussi. Des brisures. Ne cherche pas à t'installer dans le rythme. Ne crois que l'on ira ensemble quelque part. Va sur la berge, la catastrophe vers laquelle nous courrons, laisse la couler. Regarde le flot, écoute mon chant. De ce que je perçois, rien n'est. Tu crois y dur comme fer, mais non il n'en est rien. Avale comme des paquets de chips Bachelard, Protagoras, Cioran, Merleau-Ponty. Tord tes cheveux. Renverse la tête. Regarde la prendre des postures difficiles, mais la voix puissante se fraie toujours dans le souffle un puissant chemin, les doigts frénétiques au vernis rouge grattent les cordes d'une guitare électrique. Sur le fil. Prendre des risques, gratter dessous, sous les ongles. L'art, au fond une question de posture. De l'inconfort naît la forme. Sidérante Sigrid Perdulas aka Sigrid Bordier, géniale artiste. Oui, toi il te reste 1 jour. Oui 1 jour pour découvrir son travail. Samedi 18 octobre à 20h Théâtre Etincelle, Maison de quartier de la jonction. Après ce sera trop tard. Fonce et ne te retourne pas ! La benne, rires, fracas, CONTAINER CHEF D'OEUVRE." Et quelques références : Virginie Despentes, Queen Adreena, David Lynch, Lydia Lunch, Brigitte Fontaine, PJ Harvey… L'ÉQUIPE Porteuse de projet: Sigrid BORDIER Chorégraphe: Christine MALTÈTE-PINCK Yeux extérieurs: Nathalie Masseglia/ Olivier Debos Plasticienne: Marine Badin Arrangeur électro: François Boutibou Régisseur et traitement sonore: Wilfried Houssin Régisseuse lumières: Amandine Jérôme Chargée de production: Thérèse Toustou Administration: Les Thérèses RETOUR SUR LA COMPAGNIE Les précédentes créations de La Cie Le Bestiaire à Pampilles Début 2014: Man On The Spoon, créé à L’Étincelle, à Genève. Juin 2013: Métal Mouvant pour Toulouse en Piste Fin 2012: Cabaret Créature, créé à Toulouse (commande de spectacle du théâtre du Grand Rond) Avril 2010: Lux Interior, clowns not dead, créé entre Toulouse et Genève et en tournée depuis, avec entre autres, un passage remarqué en première partie des Ogres de Barback, à l’Olympia (Paris) Mai 2005: Marie Glawdys et Max Paul Expérience, en tournée depuis, plus de 250 dates en France et Suisse ainsi qu' une tournée en Russie en Mars prochain. Lieux emblématiques où nous avons présenté nos créations Bourse suisse aux spectacles de l’ATP- Thoune (Suisse) Festival du Vent – Calvi Les 10 ans de l’Usine à Gaz –Nyon (Suisse) Présentations de nos deux dernières créations aux festivals de Chalon dans la Rue-Chalon sur Saône L’Olympia- Paris en 2011 Festival « Performance d’acteur » - Cannes Le Bikini- Toulouse La dynamo- Toulouse Festival de Groland- Toulouse Caveau du Château Echandens (Suisse) Bourse Suisse aux Spectacles de l’ATP- Thoune (Suisse) Théâtre l’Alchimic- Genève (Suisse) Palais Mascotte- Genève (Suisse) La plage des 6 pompes-La Chaux de Fonds (Suisse) Festival de la Cité- Lausanne (Suisse) Les 10 ans de l’Usine à Gaz –Nyon (Suisse) Festival Berlin Lacht !- Berlin (Allemagne) En France Festival Chalon dans la Rue-Chalon sur Saône Festival d’Aurillac Théâtre du Bourg-Neuf et Théâtre Gilgamesh- Festival D’Avignon Festival les Zaccros d’ma rue- Nevers Festival les Zendimanchés- St Hilaire de Chaléons Théâtre du Côteau -Le Plessis‐Robinson Festival Fil de Mars- Lorient Festival Le Grand Soufflet- Rennes Lavaur l’Abracadabrante- Lavaur Festival des Dindes Folles-Rivolet Festival les Expressifs-Poitiers Olympia (Paris)- Poitiers Festival les expressifs -Poitiers La Forge à Tonton-Moissac Place aux artistes- Albi Cap Festival- Rodez Festival Y’a d’la voix- Lasalle Festival du Vent – Calvi (Corse) Théâtre de Pierres- Fouzilhon Festival Vivacité Sotteville lès Rouen Akwaba- Châteauneuf de GadagneThéâtre de l’Impasse- Nice Festival Déantibulations- Antibes MJC Picaud- Cannes Festival Performance d’acteur-Cannes Théâtre Marie Jeanne- Marseille Guinguettes de l’Yvette-Palaiseau Villebon Festival renaissances- Bar le Duc Festival Festßarts-Libourne Théâtre de l’Epinoche- Saint Chamond Musicarire- Buxy Festival Bastid Arts- Miramont de Guyenne Jour de fête-Saint Herblain Festival de rue –Houldizy Château de Mabrouk-Manderen A Toulouse Cave Poésie René Gouzenne Le Bikini Théâtre des Mazades Théâtre du Grand Rond- Printemps du Rire Théâtre de Poche de L’ENAC Théâtre du Pavé Centre Culturel des Minimes MJC des Amidonniers Centre Culturel Henry Desbals Centre culturel des Mazades COUPURES DE PRESSE (des créations précédentes) « L’univers ravagé – et unique, on peut le garantir sans crainte – du Bestiaire à Pampilles garde sa patte. » 2011- Le Clou Dans La Planche « Au sommet de leur art. Ils cultivent un style border line. Toujours près du gouffre sans jamais y tomber » 2012- Yves Gabay La Dépêche « Ils pourraient combler un vide immense dans nos vies de spectateurs élevés au rock : un théâtre nourri à l’énergie punk, des cloisons entre les genres qui explosent joyeusement, une libératrice envie de voir des clowns pour une fois sans nez rouge, nous parler d’eux et, pourquoi pas, de nous aussi….un spectacle qui raconte trois fois rien mais parle de tout. » 23 juillet 2009-Jean Claude Simon, Voix du midi « L’énergie musicale engendrée par Le Bestiaire à Pampilles n’a d’égal que l’hilarité déclenchée par les situations et les relations entre les membres du trio. » Zoom La Rue « ... cohérent, incontournable et présent dans le moindre geste déplacé. Trois clowns portés par des prétentions supérieures : la volonté de dire, d’agir, d’atteindre un point intelligible mais l’impossibilité fondamentale de réussir et de filer droit vers l’objectif. Le rire trouve sa place entre cette ambition et son échec, dans cette folle volonté de parvenir, qui s’exacerbe en avalanches de maladresses. » INTRAMUROS °°°°°°°°°