Télécharger

Transcription

Télécharger
Pneuma
Du 5 au 13 octobre à Bordeaux
Tournée à Saint-Pétersbourg & Paris
Chorégraphie
Carolyn Carlson
Musique, Gavin Bryars et Philip Jeck
Lumières et scénographie, Rémi Nicolas
Ballet de l’Opéra National de Bordeaux
Direction, Charles Jude
Contact presse - Canal Com / Bordeaux - Noëlle Arnault / Julia Lagoardette
+33 (0)5 56 79 70 53 - [email protected] - visuels téléchargeables sur www.canal-com.eu
Contact presse – Agence Canal Com - [email protected]  05 56 79 70 53 - www.canal-com.eu
Thierry Fouquet, directeur de l’Opéra National de Bordeaux - Cécile Oudeyer, direction de la communication et du développement
COMMUNIQUÉ
Pneuma
Chorégraphie de Carolyn Carlson poursuivant sa conversation avec Bachelard
créée en 2014 pour le Ballet de l’Opéra National de Bordeaux
Deux spectacles chorégraphiés par Carolyn Carlson seront présentés en octobre 2015 par
l'Opéra National de Bordeaux, au Grand-Théâtre : Pneuma (du 5 au 13) et Now (24 au 27).
Pneuma, chorégraphie en 7 tableaux pour 22 danseurs
Voyageant à travers le royaume des rêves et de la transformation, par la dynamique d’une
imagination éthérée, nous ouvrons les portes de notre perception de l’Existence vers une
dimension cosmique, une dimension qui symbolise le flux et le reflux constant entre envol et
attraction terrestre. Le souffle, par la force furtive de l’Imagination, est essentiel dans le réel…
« L’air est plus que ce que l’homme respire, c’est la respiration ». C’est la beauté de la danse par
le biais du temps de l’espace et de la présence.
Après plus de 50 années de carrière et une centaine de pièces à son actif, Carolyn Carlson est un
monument de la danse contemporaine, désignant elle-même son travail comme « poésie visuelle »
plutôt que chorégraphie.
En 1999 elle créait Hydrogen Jukebox pour le Ballet de l’Opéra National de Bordeaux. En février 2010,
elle revenait présenter Eau au Grand-Théâtre, une chorégraphie pour douze danseurs déclinant les
pouvoirs de l’élément. En 2014, Pneuma - nouvelle création de Carolyn Carlson pour le Ballet de
l’Opéra National de Bordeaux - entrait au répertoire de la compagnie bordelaise.
Pneuma est inspirée de l’œuvre de Gaston Bachelard, L’Air et les Songes : essai sur l’imagination du
mouvement, une ode sur la nature humaine intense et poétique dont les mailles musicales sont
tissées par le compositeur danois Gavin Bryars, qui a travaillé pour William Forsythe, Lucinda Childs,
Maguy Marin, Jirí Kylián ou Merce Cunningham... La musique contemporaine est très présente dans
l'œuvre de Carolyn Carlson, notamment au travers de collaborations avec des compositeurs majeurs
comme Pierre Henry, Kaija Saariaho ou Philip Glass, et Gavin Bryars avec lequel elle a déjà signé
plusieurs créations : Writings on Water, pour la Biennale de Venise (2002), Le oreazioni (2002).
Dans cette œuvre lumineuse et pleine d'images oniriques, les danseurs du Ballet de l'Opéra National
de Bordeaux passent du noir au blanc…
Le rêve du vol, la poétique des ailes, la chute imaginaire*
Gaston Bachelard (1884-1962) dévoile la nature du monde matériel. Au regard du philosophe français
féru de sciences et de poésie, l’esprit est le cœur de la matière, la matière apporte l’âme à l’esprit :
rêves d’envol et de chute, visions aériennes claires et rayonnantes, mondes matériels des vents,
orages, tempêtes, vents violents et furieux en mouvement.
Champ de l’Imaginaire et de ses images ascendantes d’ouverture et d’évasion : métaphores de
hauteur, d’élévation, de profondeur, de naufrage et de chute… tous sont des poèmes visuels
capturés par la musique, les lumières, et les inventions chorégraphiques des danseurs grâce à leurs
qualités de mouvement et d’inertie.
[C’est un poème en soi de réveiller notre conscience dans des confrontations avec l’infini, où l’on peut
pénétrer l’Immensité, devenir nous-mêmes les fils qui tissent la réalité cosmique… « la valeur d’une
image se mesure par l’étendue de son aura imaginaire »]
Gaston Bachelard
Contact presse – Agence Canal Com - [email protected]  05 56 79 70 53 - www.canal-com.eu
Thierry Fouquet, directeur de l’Opéra National de Bordeaux - Cécile Oudeyer, direction de la communication et du développement
[
Nous sommes en dialogue constant avec la Nature, notre terre et les cieux. Je prête attention
particulière aux couches supérieures de l’atmosphère : nuages, étoiles, soleils, pluies, lunes, les origines
mystiques des anges et les possibilités d’autres dimensions. Combien de fois dans nos vies matérielles
bondées, levons-nous les yeux au ciel pour scruter ce vide invisible. Je me rappelle mon voyage au Grand
Canyon, aux Etats-Unis, une vaste étendue d’une beauté inégalable dans un magnifique espace
désertique sans fin… C’était comme être sur le toit du monde, avec l’attraction d’un saut terrifiant vers
l’Infini, cette splendeur remplie de torrents d’airs, la seule conclusion me venant à l’esprit étant « Qu’estce que cette Immensité sans nom ? », c’est pourquoi je souhaite créer cette œuvre pour poursuivre cette
réflexion. Une inspiration de possibilités infinies. Un poème de l’univers écrit depuis la naissance du
monde….
Les inspirations que je puise de tous ces poètes reviennent toujours aux concepts originaux de vents
ascendants, ce sont ce que j’appelle des canaux vers les perceptions sacrées des miracles gisant sous le
firmament, révélant les parcours du regard sur une toile de ciel noire-bleue… et qui nous permettent de
grandir spirituellement comme l’air permet notre potentiel et nos perceptions.]
Carolyn Carlson
*titres des trois premiers chapitres de « L’Air et les Songes : essai sur l’imagination du mouvement »
Une production de l'Opéra National de Bordeaux reprise dans le cadre de novart bordeaux, en collaboration
avec la Carolyn Carlson Company
Chorégraphie, Carolyn Carlson - Musique, Gavin Bryars et Philip Jeck - Lumières et scénographie, Rémi Nicolas
Danseurs du Ballet de l’Opéra National de Bordeaux
Grand-Théâtre
Lundi 5, mardi 6, jeudi 8, vendredi 9,
samedi 10, lundi 12, mardi 13 octobre à 20h
Dimanche 11 octobre à 15h
Tarifs : de 8 à 40€, Tarif 9 - Durée 1h20 environ
Saint-Pétersbourg, Théâtre Mariinsky :
27 et 28 octobre 2015
Paris, Théâtre National de Chaillot :
du 17 au 20 février 2016
Renseignements
05.56.00.85.95 - Grand-Théâtre
Place de la Comédie Bordeaux
Du mardi au samedi de 13h à 18h30
© Sigrid Colomyès
Contact presse – Agence Canal Com - [email protected]  05 56 79 70 53 - www.canal-com.eu
Thierry Fouquet, directeur de l’Opéra National de Bordeaux - Cécile Oudeyer, direction de la communication et du développement
www.opera-bordeaux.com
Contact presse – Agence Canal Com - [email protected]  05 56 79 70 53 - www.canal-com.eu
Thierry Fouquet, directeur de l’Opéra National de Bordeaux - Cécile Oudeyer, direction de la communication et du développement
©Sigrid Colomyès
BIOGRAPHIES
Carolyn Carlson / Chorégraphie
Née en Californie, Carolyn Carlson se définit avant tout comme une nomade.
De la baie de San Francisco à l'Université d'Utah, de la compagnie d'Alwin
Nikolais à New York à celle d'Anne Béranger en France, de l'Opéra de Paris au
Teatrodanza La Fenice à Venise, du Théâtre de la Ville à Helsinki, du Ballet de
l'Opéra de Bordeaux à la Cartoucherie de Paris, de la Biennale de Venise à
Roubaix, Carolyn Carlson est une infatigable voyageuse, toujours en quête de
développer et faire partager son univers poétique.
Héritière des conceptions du mouvement, de la composition et de la
pédagogie d'Alwin Nikolais, elle est arrivée en France en 1971. Elle a signé
l'année suivante, avec Rituel pour un rêve mort, un manifeste poétique qui
définit une approche de son travail qu'elle n'a pas démenti depuis : une danse
assurément tournée vers la philosophie et la spiritualité. Au terme
"chorégraphie", Carolyn Carlson préfère celui de "poésie visuelle" pour
désigner son travail. Donner naissance à des œuvres témoins de sa pensée
poétique, et à une forme d'art complet au sein de laquelle le mouvement
occupe une place privilégiée.
Depuis quatre décennies, son influence et son succès sont considérables dans de nombreux pays européens. Elle a
joué un rôle clef dans l'éclosion des danses contemporaines françaises et italiennes avec le GRTOP à l'Opéra de
Paris et le Teatrodanza à La Fenice.
Elle a créé plus d'une centaine de pièces, dont un grand nombre constituent des pages majeures de l'histoire de la
danse, de Density 21,5 à The Year of the horse, de Blue Lady à Steppe, de Maa à Signes, de Writings on water à Inanna.
En 2006, son œuvre a été couronnée par le premier Lion d'Or jamais attribué à un chorégraphe par la Biennale de
Venise. Elle est aussi commandeur des Arts et Lettres, et officier de la Légion d'honneur.
En 1999, Carolyn Carlson fonde l'Atelier de Paris-Carolyn Carlson, dont elle est aujourd'hui présidente d'honneur.
En 2014, et pour une période de deux ans, elle devient artiste associée au Théâtre National de Chaillot, où elle a
installé la Carolyn Carlson Company.
Carolyn Carlson en quelques dates
1965-1971
1974-1980
1980-1984
1985-1991
1991-1992
1994-1995
1999-2002
1999
2005-2013
Depuis 2014
Soliste dans la compagnie d'Alwin Nikolais
Etoile-Chorégraphe au Ballet de l'Opéra de Paris (GRTOP)
Directrice artistique du Teatrodanza La Fenice, Venise
Résidence au Théâtre de la Ville, Paris
Résidence au Finnish National Ballet et au Helsinki City Theater Dance Company
Directrice artistique du Ballet Cullberg, Stockholm
Directrice artistique de la section danse de la Biennale de Venise
Fondation de l'Atelier de Paris-Carolyn Carlson
Directrice du Centre Chorégraphique National Roubaix Nord-Pas de Calais
Directrice de la Carolyn Carlson Company / Résidence au Théâtre National de Chaillot
17 mars 2014
Novembre 2014
Création de Pneuma avec le Ballet de l'Opéra National de Bordeaux
Création de Now, Théâtre National de Chaillot
Contact presse – Agence Canal Com - [email protected]  05 56 79 70 53 - www.canal-com.eu
Thierry Fouquet, directeur de l’Opéra National de Bordeaux - Cécile Oudeyer, direction de la communication et du développement
Gavin Bryars - compositeur
Gavin Bryars est né dans le Yorkshire (Angleterre) en 1943. Compositeur classé aujourd'hui dans les «postminimalistes», il est également contrebassiste et pédagogue. Après avoir étudié la composition avec Cyril
Ramsey et George Linstead, il s'est d'abord fait une réputation comme contrebassiste de jazz en travaillant dans
les années soixante avec les improvisateurs Derek Bailey et Tony Oxley. Il a aussi fondé The Portsmouth Sinfonia
devenu célèbre pour ses interprétations et enregistrements du répertoire classique avec un minimum de
compétence musicale.
Ses premières réalisations en tant que compositeur furent The Sinking of the Titanic en 1969, puis en 1970 Jesus
blood never failed Me Yet, repris en 1993, lui vaudra une reconnaissance internationale. Il se plaît à écrire une
musique «zen» aux facultés hypnotiques indéniables. Son langage est presque toujours classique, de toute façon
tonal et utilise des moyens très simples. Bryars s'est aussi essayé à l'opéra avec Médée (1984) créé à Lyon avec
une mise en scène de Bob Wilson. Il a également beaucoup composé pour le théâtre, le ballet (pour les
chorégraphes William Forsythe, Merce Cunningham, Lucinda Childs et Maguy Marin) et le cinéma. Ses œuvres
ont été interprétées par de nombreux artistes, notamment le BBC Symphony orchestra, le quatuor Arditti,
l'Hilliard Ensemble, le quatuor Balanescu, le contrebassiste de jazz Charlie Haden, le guitariste américain Bill
Frisell et son propre groupe : le Gavin Bryars Ensemble qui tourne dans le monde entier.
http://www.gavinbryars.com
Philip Jeck - compositeur
Compositeur britannique de musique électroacoustique né en Angleterre en 1952, Philip Jeck a étudié les arts
visuels au Collège de Dartington dans les années 70 et crée des sons à l’aide de platines disques depuis le début
des années 80. Il a travaillé avec de nombreuses compagnies de danse, de théâtre, et a joué avec des musiciens
tels que Jah Wobble, Gavin Bryars et Steve Lacy.
Il a sorti 8 disques en solo, tous sur le le prestigieux label Touch. Son dernier, Suite: Live in Liverpool, est
disponible uniquement sur support vinyle.
Sa plus grande œuvre, conçue avec Lol Sargent, Vinyl Requiem, pour 180 platines disques, projecteurs de
diapositives et films 16 mm, a reçu le prix Time Out Performance en 1993. Vinyl Coda I-III, une commande de la
radio bavaroise, a gagné le prix Karl Sczuka Foderpries d’art radiophonique. Il poursuit son activité d’artiste
visuel notamment par la présentation de ses œuvres à la galerie Hayward de Londres, la Hamburger Bahnhof de
Berlin et lors de la Biennale de Shanghai. Son dernier CD, Sand, a été classé numéro 2 dans le top 50 du magazine
The Wire, en 2008, et est décrit ainsi : « un tourbillon poignant… Il évoque de façon asymétrique la sensation de
persistance et de déliquescence, dans le même temps, un profond sentiment de tristesse et de joie mêlées. »
Ballet de l’Opéra National de Bordeaux
Patrimoine français à partir de Louis XIV, le ballet
porte en lui une histoire, une idéologie, une
esthétique. Dès le XVIIIème siècle, la danse acquiert à
Bordeaux une dimension prestigieuse et créative qui
se poursuit au siècle romantique. Fidèle à ce passé
tout au long de son existence, le Ballet de l’Opéra
National de Bordeaux, à partir des années 1990, a su
ouvrir son héritage classique à la modernité au
contact de nombreux chorégraphes.
À son arrivée à la direction de l’Opéra de Bordeaux,
Thierry Fouquet a nommé le danseur étoile Charles
Jude, directeur du Ballet de l’Opéra de Bordeaux en septembre 1996. À la tête d’une troupe de 38 danseurs et
avec la collaboration d’Eric Quilleré, maître de ballet, Charles Jude privilégie la constitution d’un répertoire
classique en remontant les plus grands ballets classiques dont il signe certaines chorégraphies : Casse-Noisette
(1997), Giselle (1998), Coppélia (1999), La Belle au bois dormant (2000), le Lac des cygnes (2002), Le Prince des bois
(2003), Don Quichotte (2006) et à faire entrer au répertoire de la compagnie de nombreuses œuvres célèbres
classiques et néo-classiques : hommage à Marius Petipa (1997 et 2001 avec Raymonda, Paquita, Don Quichotte pas
de deux...), Continuo et Jardin aux lilas d’Antony Tudor en 1999... Conscient du précieux héritage laissé par les
Ballets de Serge de Diaghilev, Charles Jude inscrit ainsi au répertoire de la compagnie les ballets de Vaslav Nijinski
: Prélude à l’après-midi d’un faune (1996), de Michel Fokine : Petrouchka, Le Spectre de la rose (1998), ou encore de
Léonide Massine : Le Tricorne, Parade (2003).
Contact presse – Agence Canal Com - [email protected]  05 56 79 70 53 - www.canal-com.eu
Thierry Fouquet, directeur de l’Opéra National de Bordeaux - Cécile Oudeyer, direction de la communication et du développement
Il poursuit ce travail avec les chorégraphies de Serge Lifar : Icare (1996, 2001, 2003) et Suite en blanc (2001) et de
George Balanchine : Apollon et Le Fils prodigue (1996, 2003), Les Quatre tempéraments (1997, 2002), et enfin en
2004, Serenade, Who cares ? et Sonatine.
Il propose chaque saison un nouveau programme comportant des chorégraphies néo-classiques ou issues de la
Modern Dance ou encore de facture contemporaine, l’occasion pour la compagnie d’aborder un autre travail :
Les Quatre Saisons (1997) de Paolo Bortoluzzi, Aunis (1997) de Jacques Garnier, Troy Game (1998, 1999) de Robert
North, The Envelope (1998, 1999) et Brothers (1998) de David Parsons, Trois Préludes (1998) de Ben Stevenson et
Before Nightfall (1998), Purcell Pieces (1999) de Nils Christe, Hydrogen Jukebox (1999) créé pour la compagnie par
Carolyn Carlson. Aureole et Le Sacre du printemps de Paul Taylor (2002), la Pavane du Maure (2002) de José
Limon, Sextet de Thierry Malandain (2003), Le Messie de Mauricio Wainrot (2005-2006), Adagietto d’Oscar Araiz,
Zatoïchi de Carlotta Ikéda (2007).
Le Ballet danse en octobre 2008 Quatre Tendances qui comporte une création de Thierry Malandain Valse(s), Les
Indomptés de Claude Brumachon, Click-Pause-Silence de Jirí Kylián et In the Middle, Somewhat Elevated de William
Forsythe. Parallèlement, le nombre de représentations donné en tournée se développe : Japon, États-Unis,
Espagne, Italie, Paris, Kiev, Lausanne, participation aux nombreux « Hommages à Rudolf Noureev » organisés en
2003 à Bordeaux, Monaco, Tokyo, Moscou, invitation au Festival International de Édimbourg en août 2003, au
festival du Printemps de Budapest en mars 2004, à Saint Pétersbourg (Théâtre Mariinski), au festival de La
Havane en novembre 2004, au festival Diaghilev aux Pays-Bas en janvier 2005, en Italie en février, en Sicile en mai
2005, au théâtre du Liceu de Barcelone en octobre 2006, en Italie et en Espagne en 2007 et en 2008, à Cremone,
Ferrare et Pordemone en Italie au printemps 2009, et en Chine en janvier 2012 (gala et Casse-Noisette).
Le Ballet de l’Opéra National de Bordeaux a reçu le prix Serge Lifar à l’issue d’une représentation de Suite en
Blanc et Icare au Grand-Théâtre de Bordeaux en novembre 2001 et à nouveau en octobre 2014, ainsi que le prix
Herald Angels remis lors de sa participation au Festival International d’Édimbourg et enfin le prix du meilleur
ballet étranger à Cuba.
Contact presse – Agence Canal Com - [email protected]  05 56 79 70 53 - www.canal-com.eu
Thierry Fouquet, directeur de l’Opéra National de Bordeaux - Cécile Oudeyer, direction de la communication et du développement

Documents pareils

BIOGRAPHIE

BIOGRAPHIE travail qu’elle n’a pas démenti depuis : une danse assurément tournée vers la philosophie et la spiritualité. Au terme «chorégraphie», Carolyn Carlson préfère celui de «poésie visuelle» pour désign...

Plus en détail