dossier de presse Equitations 2 - Musée de Normandie

*Pierre Commarmond, Deauville, 1935, Musée de Normandie, Caen © ADAGP
E Q U I T A T I O N S L’art et la manière de monter à cheval
28 juin – 11 novembre
novembre 2014
2014
Exposition
Commissariat de l’exposition
Alice Gandin, Musée de Normandie
Julie Romain, Musée de Normandie
Exposition organisée par le Musée de Normandie, Ville de Caen et programmée dans le cadre de l'ELAN
DES JEUX, projet territorial associé aux Jeux Equestres Mondiaux FEI Alltech™ 2014 en Normandie,
initiative partagée de la Région Basse-Normandie, l'Etat, la Ville de Caen, les Départements du Calvados,
de la Manche, de l'Orne, la Communauté d'agglomération Caen la mer, la Région Haute-Normandie.
Avec le concours de la Région Basse-Normandie, de l’État (Direction régionale des affaires culturelles de
Basse-Normandie) et du Département du Calvados.
Et avec l’aide toute particulière de l’Association des Amis du Musée de Normandie, sous la présidence de
Philippe Martin.
Le Musée de Normandie remercie l’ensemble des prêteurs pour leur précieuse
collaboration
Arras, Musée des Beaux-Arts
Bruxelles, Club international d’éperonnerie
Caen, Archives départementales
Caen, Bibliothèque
Caen, Bibliothèque de l’Université
Caen, Collection Chéreau
Caen, Maison de la Recherche en Sciences Humaines
Caen, Musée des Beaux-Arts
Cherbourg, Musée Thomas-Henry
Circus Art Museum
Compiègne, Musée national de la Voiture et du Tourisme
Ecouen, Musée national de la Renaissance
Grosbois, Musée du Trot
Le Mans, Musée de Tessé
Le Pin-au-Haras, Haras du Pin, IFCE
Libourne, Musée
Maisons-Alfort, Ecole nationale vétérinaire
Paris, Bibliothèque nationale de France
Paris, Bibliothèque Sainte-Geneviève
Paris, Collection Emile Hermès
Paris, Collège de France
Paris, France Galop
Paris, Musée d’Orsay
Paris, Musée de Cluny
Paris, Musée du Louvre
Paris, Petit-Palais, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris
Paris, Société des Manuscrits des Assureurs Français
Romans, Musée international de la Chaussure
Saint-Lô, Archives départementales
Saint-Lô, Musée des Beaux-Arts
Saumur, Ecoles militaires
Saumur, Institut français du Cheval et de l’Equitation, Ecole nationale d’équitation
Saumur, Château-musée
Senlis, Musée de la Vénerie
Vernon, Musée
Versailles, Bibliothèque municipale
Versailles, Musée national des châteaux de Versailles et de Trianon
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E Q U I T A T I O N S L’art et la manière de monter à cheval
28 juin – 11 novembre
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2014
Exposition
Parcours de l’exposition
Une histoire de l'équitation en France vue à
travers l'art, le spectacle et le sport…
Près de 250 œuvres et objets, issus d’une
trentaine de collections publiques et privées,
sont présentés aux visiteurs de l’exposition
Equitations. L’art et la manière de monter à
cheval.
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I. Au temps des écuyers, XVIe – XVIIIe s
L’exposition débute sur la récente découverte
découverte
archéologique des décors peints de la salle des Remparts
du Musée de Normandie.
Normandie Il s'agit vraisemblablement de
reproductions des illustrations du Traité d'hippiatrie et
d'embouchure de Jean de Feschal, gouverneur du
château de Caen au XVIe siècle. Le manuscrit original
sera exceptionnellement prêté à cette occasion par la
Société des Manuscrits des Assureurs Français et la
Bibliothèque nationale de France.
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Quand l’équitation devint un art
Jusqu'au XVIe siècle, le dressage et l’équitation
reposent encore sur la force et la violence envers
l'animal. Lors des expéditions guerrières, les Français
découvrent en Italie une civilisation urbaine, brillante
et distinguée. Progressivement, les cavaliers de toute
l’Europe viennent se former à Naples, auprès de
grands écuyers italiens.
italiens L’influence italienne est
réalisée de manière précoce en Normandie où les
académies équestres de Caen et de Rouen sont tenues
dès le XVIe s. par des maîtres napolitains.
A partir du XVIe s., la noblesse construit autour du
cheval une culture très élaborée, développée dans les
cours européennes. L’équitation devient une des
manières d’exprimer son statut social, sa richesse
matérielle, son aptitude intellectuelle.
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Exposition
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En France, l’équitation académique fait école,
école inspirée par l’équitation italienne et
théorisée par les écuyers royaux, Salomon De La Broue et Antoine de Pluvinel. L’école
française d’équitation connaîtra son apogée au
XVIIIe siècle avec l’Ecole de Versailles et l’œuvre
d’un illustre écuyer normand, François Robichon de
La Guérinière.
Guérinière
A la recherche du beau et bon cheval
L'équitation savante s'exerce sur un type de cheval
particulier, le genet d’Espagne, sélectionné sur la
base de critères physiques. Un bon cheval est avant
tout un beau cheval. Au rang des « beaux chevaux »
sont les chevaux de selle ou de trait léger, élégants,
fins, de grande taille, propres à la cavalerie, définis
par opposition aux chevaux des provinces françaises,
considérés comme lourds et grossiers.
L'administration des haras et le développement
développement de
l'hippiatrie sont, dans ce contexte, particulièrement
révélateurs du soin apporté à une production d'élite.
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L’Europe occidentale des XVIIe et XVIIIe siècles a une consommation effrénée de
chevaux, force de guerre et de transport indispensable. L'approvisionnement local ne
peut suffire et implique l'importation d’étalons d’Allemagne, d’Italie, d’Espagne, de
Turquie. La pénurie suscite une réflexion sur la production, l’élevage et les soins
apportés aux chevaux.
Après plusieurs tentatives infructueuses, c’est finalement à l’initiative de Colbert que la
production des chevaux commence à être réglementée. Ses successeurs font évoluer ce
système vers une véritable administration représentée sur le territoire par des dépôts
d’étalons ou des haras royaux. En 1715, le premier haras royal est créé sur le domaine
du Pin dans l’Orne.
Le cheval, au centre des fêtes royales
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Depuis le XVIe siècle, l’art de monter
à cheval fait partie de l’éducation des
princes. A la guerre, à la chasse, à la
parade, le cheval est incontournable
dans la vie de cour
Le faste royal se déploie autour de
l’animal : les plus beaux spécimens
sont
sélectionnés,
parés
de
magnifiques harnachements, logés
dans de somptueuses écuries et
montés au sein d’une prestigieuse
académie d’équitation.
Les fêtes et jeux équestres sont autant de mises en scène des valeurs de la société de
cour : affirmation de la puissance et de la gloire, goût de la performance physique et du
jeu, exaltation des vertus chevaleresques. L’apprentissage des jeux et de la voltige
complètent l’apprentissage des figures de manège dans les académies.
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Exposition
Ici, les visiteurs pourront notamment découvrir les planches du Carrousel de 1662,
issues de l’exemplaire enluminé du Cabinet du Roi, pièce maîtresse des collections de la
Bibliothèque municipale de Versailles, ainsi qu’un carrosse miniature du XVIe siècle,
restauré à l’occasion de l’exposition.
II. Au temps de "l’homme de cheval", XIXe siècle
Au XIXe siècle, le cheval est omniprésent. Autrefois
apanage d'une élite, la culture du cheval va être
profondément modifiée, subissant dès les premières
années du siècle l’influence de l'anglomanie,
rapportée par quelques aristocrates exilés, et celle
du monde militaire.
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Du cavalier anglomane à l’homme de cheval
Avec les guerres napoléoniennes, le besoin en chevaux et en cavaliers augmente
fortement. Les nouvelles recrues, issues des milieux populaires donc peu familiarisées
avec la pratique de l’équitation, sont formées à une équitation simple et pédagogique, en
rupture avec la tradition académique de l’Ecole de Versailles. Par effet de mode, la
jeunesse copie cette nouvelle équitation militaire et adopte le port des rênes flottantes,
la position des jambes en avant et les selles anglaises.
L'évolution de la culture équestre au XIXe
XIXe s. est indissociable de
celle de l'élevage.
l'élevage Certains cherchent le maintien de la race pure
par le recours au pur-sang tandis que d’autres visent
l’amélioration par le croisement de races, défendant ainsi le
recours aux races locales et créant les races de demi-sang. La
noblesse s’identifie aisément à l’élégant pur-sang, dont le
pedigree est à l’image de leur généalogie, tandis que la
bourgeoisie opulente s’oriente vers le cheval de demi-sang,
animal puissant et sûr.
Peu à peu, le modèle de l’aristocrate d’Ancien Régime cède le pas
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à celui de l’homme de cheval. Tourné vers la connaissance et le
respect de l’animal, l’homme de cheval prend part à son élevage, à son dressage et prend
soin de l’utiliser avec économie. L’acquisition de ce statut relève de la compétence, non
plus du privilège.
Amazones : l’équitation des dames
En Europe, l’équitation est un domaine essentiellement
masculin. Ainsi, la pratique de l'équitation féminine a
longtemps été cantonnée à la monte en amazone, impliquant
une assise instable et une utilisation passive du cheval.
Au XIXe siècle,
siècle le perfectionnement du harnachement améliore
la stabilité et la monte en amazone se généralise. Elle renvoie à
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une équitation d’extérieur, pratiquée par les dames par goût de la promenade et de
l’exercice et fait l’objet d’un apprentissage particulier qui allie maîtrise technique et
recherche esthétique.
Il faudra attendre le tournant du XXe s. et l’évolution de la
société pour que la monte à califourchon soit acceptée. Une
véritable révolution culturelle !
Portraits, selles d’amazone, étriers-pantoufles sont réunis
pour l’évocation de cette équitation réservée aux dames.
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Loisirs équestres : promenade, manège, chasse à courre
Au XIXe siècle,
siècle la grande bourgeoisie adopte les activités récréatives que l’aristocratie
oisive a développées autour du cheval. Apparaît ainsi progressivement l’équitation de
loisir.
Paris comme les grandes et moyennes villes de
province se dote à cette époque d’espaces verts
aménagés pour la pratique mondaine de
l’équitation et la mise en scène des élégances. Les
lieux de promenade deviennent un nouvel espace
de divertissement, de sociabilité informelle
pourtant très ritualisée, intégrée à la ville et
adaptée à la culture équestre.
Autre lieu indissociable de la haute société et de
ses apprentissages équestres : le manège.
manège Les
maîtres de manège y enseignent
enseignent les rudiments de
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l’équitation et les subtilités de l’art équestre, les
manières du dressage et les règles de l’attelage.
l’attelage
Formée dans le cercle restreint des élites, la chasse à courre génère un art de vivre et
une sociabilité particulière. Le cheval y instaure des hiérarchies entre les différents
types de chasses mais aussi au sein d’un équipage. La grande vénerie est celle qui se
pratique à cheval, après le cerf, le chevreuil ou le sanglier. Au sein d’un équipage, la
position dominante est toujours celle de celui qui est à cheval.
Le cirque commence à cheval
Le cirque moderne est né à la fin
du XVIIIe siècle de la rencontre
des arts vivants de la rue, de la
foire, du théâtre, autour d’une
créature emblématique, le cheval.
L’art équestre sort des palais et
des académies pour être vulgarisé
sous l’influence des Franconi, père
et fils. Ils enseignent la voltige et
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Exposition
les exercices de haute-école à la famille royale, forment des cavaliers de l’armée, tandis
que François Baucher présente au Cirque d’Eté les démonstrations de sa méthode. Les
célèbres écuyères sont à la fois les gloires du cirque et les égéries du monde équestre.
Le Circus Art Museum prêtera pour l’occasion un ensemble exceptionnel de près de
cinquante pièces : affiches, objets, peintures, photographies pour raconter les liens entre
équitation et cirque, avec, en fin de parcours, l’évocation de Buffalo Bill et de la tournée
française du Wild West Show.
Au trot ! Au galop ! Les courses hippiques
Les courses de chevaux existent depuis
l’Antiquité. Mais il faut attendre le XVIIIe
siècle pour qu’elles soient remises au goût du
jour par l’Angleterre et le XIXe siècle pour
qu’elles deviennent une véritable institution.
A partir de 1760, de jeunes aristocrates
anglomanes, qui partagent le goût du défi et
de la gloire, vont importer des pur-sang
anglais et lancer les premières courses de
galop, dont le rôle pour l’amélioration
desraces chevalines sera fondamental.
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Si les courses de galop, d’origine aristocratique, sont nées par goût du jeu avant de
convaincre de leur utilité, les courses de trot ont été lancées dans l’intention de
sélectionner les chevaux de demi-sang, afin d’assurer une production nationale d’élite et
de répondre à une demande toujours plus forte, notamment comme force de guerre et de
transport.
A l’initiative d’Ephrem Houel, alors sous-directeur du Haras de Saint-Lô, les premières
courses de trot ont lieu sur la plage de Cherbourg en 1836, puis à Caen l’année suivante.
Trophées, portraits de champion, photographies inédites sont présentés pour évoquer les
prémices des courses de galop et de trot.
Les sports équestres
Jusqu'au milieu du XXe siècle, l'équitation est
dominée par des militaires. Pour entraîner leur
monture, ils s’adonnent à des épreuves variées :
steeple, saut d’obstacles, course, raid. Ces
entraînements militaires donnent rapidement lieu
à des compétitions où s’affrontent chevaux de sang
et de demi-sang.
L’équitation figure aux Jeux Olympiques de
Stockholm en 1912, avec des épreuves plus proches
des disciplines modernes : le dressage, le saut
d’obstacle et le concours complet.
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Si les sports équestres tirent leurs origines d’épreuves militaires, ils vont connaître un
bouleversement au cours de XXe siècle, provoqué par la perte d’influence des militaires,
par l’ouverture aux civils et aux femmes à partir des années 1950, et par la
diversification des disciplines à partir des années 1970.
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Exposition
III. L'Equitation de tradition
tradition française promue au rang de Patrimoine
Culturel Immatériel
Le parcours de l’exposition s’achève sur l’évocation
du Cadre Noir de Saumur. En 1825, pour reformer
les troupes à cheval, décimées par les guerres
napoléoniennes, une école de Cavalerie est créée à
Saumur : c'est la naissance du Cadre Noir de
Saumur.
Après
la
Seconde
Guerre
Mondiale,
la
démilitarisation du Cadre Noir et la reconversion
dans l’équitation civile sont amorcées. Depuis sa
création en 1972, l'Ecole Nationale d'Equitation de
Saumur s'est naturellement appuyée sur le savoir15
faire et les connaissances des écuyers du Cadre Noir.
En devenant le corps enseignant de cette école, les écuyers retrouvaient leurs missions
d'origine : dresser et valoriser les meilleurs chevaux, transmettre et faire rayonner
l'équitation française.
L'équitation de tradition française représentée par le Cadre Noir, est inscrite par
l’Unesco au Patrimoine Culturel Immatériel de l'Humanité depuis 2011
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Exposition
Catalogue de l'exposition
Equitations.. L’art et la manière de monter à cheval, XVIe XXe
Equitations
Sommaire
La Normandie, le cheval et l’Histoire : Jean-Marie Levesque, directeur du Musée de Normandie et
Benoît Marpeau, directeur de l’UFR Histoire à l’Université de Caen
D'où vient, où va l'équitation et comment? : Jean-Pierre Digard, directeur de recherche émérite,
CNRS
Apprendre et transmettre
- Académies équestres et éducation de la noblesse, XVIe – XVIIIe siècles:
siècles Corinne Doucet, docteur
en histoire moderne
- Des ballets italiens aux galas des écuyers du Cadre Noir, l'équitation
l'équitation de tradition française :
Patrice Franchet d'Espèrey, ancien écuyer du Cadre Noir, historien de l’équitation
- Féminisation de l'équitation, évolution de la pédagogie équestre : Catherine Tourre-Malen,
maître de conférences en anthropologie à l’Université de Paris-Est Créteil
*Notice : La Guérinière, Ecole de Cavalerie, 1733 : Stéphane Béchy, historien de l'équitation
*Notice : Anonyme, Les chevaux du Roi, XVIIIe s. : François Arné, directeur des Musées du Mans
*Notice : Portrait de François Baucher : Stéphane Béchy, historien de l'équitation
Mises en scène autour de l'équitation
- Le chic à cheval . Sociabilité et équitation au XIXe siècle : Julie Romain, Musée de Normandie
- Du théâtre équestre au cirque moderne:
moderne Caroline Hodak, docteur en histoire et sciences sociales
- Wild West Show, la tournée normande du spectacle de Buffalo Bil : Chantal Meyer, professeure
d’études théâtrales, Université de Caen
*Notice: Le Carrousel de 1662 : Christophe Thomet, conservateur, Bibliothèque municipale de Versailles
*Notice : Alfred de Dreux : Alice Gandin, conservateur, Musée de Normandie
*Notice : Goubie, Portrait de l'écuyère aux oranges, XIXe s. : Gérard Borg, Circus Art Museum
Cheval & savoirs
- Le cheval, aux origines des sciences vétérinaires
vétérinaires (XVIe(XVIe-XVIIIe):
XVIIIe) Cécile Binet, conservateur du
patrimoine, conseiller musée, DRAC Basse-Normandie
- Le cheval au carrefour des savoirs à la BelleBelle-Epoque : Benoît Marpeau, Université de Caen
- Cheval et photographie au XIXe siècle : Bernard Chéreau, professeur honoraire de photographie
à l’ESAM & Benoît Marpeau, Université de Caen
*Notice : Traité d'hippiatrie de Jean Feschal : Vincent Juhel, Société des antiquaires de Normandie
*Notice : Les planches anatomiques de George Stubbs : Alice Gandin, conservateur, Musée de Normandie
*Notice : Edgar Degas, Cheval et Jockey : Alice Gandin, conservateur, Musée de Normandie
*Notice : Théodore Géricault, Le derby d'Epsom : Alice Gandin, conservateur, Musée de Normandie
Sports hippiques
- Du chevalier à la cavalière
cavalière ou du cheval d’armes au cheval de loisir : Alain Talon, conservateur
des musées et sites de la Manche, Conseil Général
- Les courses hippiques dans le Calvados : Maxime Julien, doctorant, Université de Caen
*Notice : Portrait du comte d'Aure au steeple-chase : Alice Gandin, conservateur, Musée de Normandie
*Notice : Pierre Le Nordez, bronzes de Gladiateur et de Monarque : Emmanuel Luis, chercheur à la
Direction de l’Inventaire général du patrimoine culturel de Basse-Normandie et Jean-Marie Levesque
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Exposition
Autour de l'exposition
Jeux pour les enfants
A faire en famille en autonomie. Petits livrets illustrés,
gratuits, disponibles à l’accueil.
Espace enfants
Jeux pour prolonger la visite en autonomie. Pour les
enfants accompagnés.
Visites et Animations
• Visites guidées. Pour les adultes.
Visites guidées pour les individuels à 15h et 16h30
Tous les dimanches du 7 septembre au 9 novembre
Tarif : 3€ + accès au musée, gratuit le premier dimanche du mois,
Journées Européennes du Patrimoine, Fête de la presqu'ile
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Ateliers
•Ateliers
modelage tout public, dès 6 ans
Avec Anne-Lise Poder
Samedis 6, 20 et 27 septembre 10h
• Atelier d’initiation au film d’animation tout public,
dès 6 ans
Avec Aurore Bosquet du cinéma Lux et Yannick Lecoeur
vidéaste
Samedis 13 septembre, 4, 11 et 18 octobre à 14h
• Gravure monotype dès 4 ans
avec Lina Faillancier
Samedis 18, 25 octobre et 8 novembre 10h
Tarif : 5€ + accès au musée, sur réservation, gratuit Journées Européennes du Patrimoine
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Pour les Groupes : sur rendez-vous
Visites, ateliers, stages, animations pédagogiques…
Stages pour les centres de loisirs : deux à cinq demi-journées au choix, avec ateliers (dès 6 ans)
Conférences
• Le cirque commence à cheval
Par Gérard Borg, historien du cirque, collectionneur privé, président du Circus Art Museum
Samedi 27 septembre 2014 à 15h
• Le cheval du photographe. Son influence sur l’art
Par Bernard Chéreau, professeur honoraire de photographies à l’Ecole supérieure d’Arts &
Médias de Caen/Cherbourg
Samedi 11 octobre 2014 à 15h
Auditorium du Château de Caen. Entrée libre dans la limite des places disponibles. Organisées avec
l'association des Amis du Musée de Normandie.
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Exposition
Légendes photos
*Pierre Commarmond,
Commarmond Deauville, 1935, Musée de Normandie, Caen © ADAGP
1.Théodore Géricault, Course de chevaux à Epsom, XIXe s., Musée des Beaux-Arts de Caen, dépôt
du Musée du Louvre, Paris © M.Seyve
2.Mors dit à la connétable, XVIIe s., Collection Emile Hermès, Paris ©
3.François Robichon de La Guérinière, Ecole de cavalerie, 1733, Bibliothèque de l'Université de
Caen Basse-Normandie ©
4. Anonyme, Le commode espagnol, début XVIIIe s., Musée de Tessé, Le Mans ©
5.Carrosse miniature, vers 1700, Musée national de la Voiture, palais de Compiègne © RMNGP
D.R.
6.Paire d’éperons, XIXe s., Château-musée de Saumur ©
7.Etrier de gala, XIXe s.,Château-musée de Saumur ©
8.Alfred De Dreux, L’écuyère Kippler sur sa jument noire, XIXe s, Petit-Palais © Parisienne de
Photographie
9.Selle d’amazone à trois fourches, XIXe s. Château-musée de Saumur ©
10. Philippe Ledieu, Portrait équestre du comte d’Aure, vers 1834, Château-musée de Saumur ©
Decker
11. Marcel Falter, Pose équestre, vers 1930, Collection Circus Art Museum, J.Y. et G. Borg ©
12. Rosa Bonheur (d’après),
), Portrait à cheval de Buffalo Bill, 1889, Circus Art Museum, J.Y. et G.
Borg ©
13. - Harry Hall, Gladiateur, XIXe siècle, France Galop ©
14. René Lanier, Concours hippique de Caen, 1907, Archives départementales du Calvados ©
15. Geoffroy de Ruillé, La croupade, XIXe s., Château-musée de Saumur ©
16. Nouveau Cirque. Paris au galop, 1889, Collection Circus Art Museum, J.Y et G. Borg ©
17. Eadweard Muybridge, Saut d'obstacle, cheval blanc, 1887, Musée d'Orsay © RMNGP Patrice
Schmidt
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Exposition
Le musée pratique
Adresse
MUSEE DE NORMANDIE
Château - 14000 CAEN
Tel : 33 (0)2 31 30 47 60
Fax : 33 (0)2 31 30 47 69
[email protected]
+ d'infos sur l'exposition
Toutes les activités du Musée de Normandie :
www.museewww.musee-dede-normandie.eu
Conditions de visite
Exposition ouverte tous les jours de 9h30 à 18h
du 28 juin au 11 novembre 2014
2014, sauf 1er novembre
Tarifs : 5.20 € (accès à la collection permanente du
Musée de Normandie inclus) tarif réduit 3.20€.
Gratuit pour les moins de 26 ans, pour les
abonnés du Pass'murailles, les Amis du Musée des
Beaux-Arts et de Normandie.
Entrée gratuite pour tous le premier dimanche de
chaque mois et lors de la Nuit des Musées et des
Journées Européennes du Patrimoine
Abonnement Pass'murailles (15/25€)
(15/25€) ; accès
illimité aux collections et aux expositions des deux
musées situés dans le Château pendant 1 an.
Un ticket pour tout voir :
Pass museo à partir de 5,20€ billet conjoint Musée
de Normandie - Musée des Beaux-Arts
Liste des exonérations
et des tarifs réduits
disponible sur www.museewww.musee-dede-normandie.eu
Ateliers, spectacles, contes,
contes etc. : sur réservation.
A partir de 3€ (+ accès à l'exposition pour les
adultes sauf titulaires du Pass).
Conférences : entrée libre (dans la limite de places
disponibles). Informations et réservations 02 31 30
47 60
Service des publics
Publications
Pour accompagner la visite de l'exposition :
Visites guidées et animées, spectacles, ateliers,
démonstrations, ballades littéraires, (sur réservation)
Jeux d'observation à réaliser en famille, espaces loisirs
Stages pour les centres de loisirs (sur réservation)
Catalogue de l'exposition Editions Fage, 200 pages, 24
x 29 cm, 29€
Journal
Journal de l'exposition, 32 pages, format 17 x 24 cm,
5,50 €
Contact presse
[email protected]
slarue@caen;fr
Tél. 02 31 30 47 60
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