Palmiers - La CommVerte

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Palmiers - La CommVerte
J’ai envie de me faire PLAISIR…
J’ai envie de me faire du BIEN….
JE M’OFFRE DES PLANTES !
La Plante du Mois
Dossier de Presse Juin-Juillet
2012
Le palmier, cadeau des dieux…
et plus résistant au froid qu’on ne le croit !
Evoquant la chaleur des oasis ou celle des plages tropicales, les palmiers ne sont pourtant pas
réservés aux climats chauds et de nombreuses variétés résistent parfaitement au froid modéré.
Arbre d’une grande élégance, le palmier campe à lui seul une ambiance exotique ou
méditerranéenne, il est parfait aussi dans un jardin contemporain.
Le Saviez-Vous ?
Les palmiers les plus cultivés au monde sont les dattiers et les cocotiers.
Ils symbolisaient autrefois la victoire, la paix et la fertilité.
Les Plantes nous content de belles histoires.
Un bonheur de plus à partager…
Un arbre, cadeau des dieux
Il sait tout faire !
Considérés par les sumériens comme des « cadeaux des dieux pour l’humanité », les palmiers
fascinent l’homme depuis des millénaires. Très présents dans les différents mythes fondateurs, les
religions, les arts et même emblèmes sur certains drapeaux, ils allient le beau et l’utile.
Dans leur environnement naturel, les populations locales ont su valoriser chacune de leurs parties.
Des principes actifs thérapeutiques sont extraits des racines. Le tronc, ou plutôt le stipe, participe à la
construction de mobilier ou de canalisations tandis que ses fibres tressées sont transformées en
cordages. Les lianes de certains palmiers tropicaux, les rotangs, fournissent le fameux rotin.
Les grandes palmes permettent de couvrir les toits ou de tresser des chapeaux, des paniers et des
éventails. Leurs folioles peuvent servir de liens, constituant le populaire raphia.
La sève est transformée en miel, en vin ou en alcool. Les fruits servent à produire du sucre, des
boissons (eau et lait de coco), des noix et surtout des huiles (huile de palme, de coprah) extraites de
la pulpe ou des amandes qu’ils contiennent. Certaines graines se métamorphosent en véritable ivoire
végétal. Sans oublier les cœurs de palmiers délicieux en salade !
Décor de cinéma
Dans le décor du jardin ou de la terrasse, l’impact visuel des palmiers est fort. Ils évoquent la côte
d’Azur mais aussi des contrées plus exotiques comme une forêt tropicale ou une oasis luxuriante…
Un voyage à lui tout seul !
On les croit réservés aux jardins du midi. Détrompez-vous : leur grande diversité et leur facilité de
culture en pot permettent de les accueillir partout. Savez-vous qu’il existe des palmiers qui peuvent
s’acclimater à tous les climats du territoire (hors climat montagnard) ?
Craquez pour un palmier, offrez-vous ce plaisir, au jardin ou en pot !
Les bonnes idées du paysagiste
Les palmiers méritent une place de choix au jardin ou sur la terrasse. Ils se montrent parfaits pour
marquer un lieu stratégique, un coin détente, repos ou repas qu’ils signent de leurs silhouettes
graphiques.
Ils réchauffent et personnalisent le décor permettant de créer une ambiance méditerranéenne ou
exotique. Par les jeux de feuillages (formes, textures, taille, coloris), ils contribuent au jardin sensuel
où vue, toucher, ouïe sont tour à tour stimulés.
Les palmiers participent également avec bonheur à des atmosphères minimalistes très en vogue
dans les jardins contemporains. Leur beauté nette et intemporelle est un repos pour l’œil et se marie
bien avec des lignes épurées.
Avec le vert, tout est permis ! Les mariages avec toute la gamme chromatique sont possibles. Les
coloris vifs (rouge, orange, jaune) vont amplifier la connotation chaleureuse du palmier tandis que
les teintes pastel conféreront élégance et discrétion à l’ensemble.
Le palmier peut se suffire à lui-même pour offrir la note végétale à une terrasse. Il s’associe aussi
bien avec du bois, de la terre cuite qu’avec du minéral (dallages, pavés, galets, graviers) ou de l’eau.
Et n’hésitez pas à marier les palmiers entre eux, ils vont si bien ensemble !
Les meilleurs compagnons des palmiers
Décor moderne : agapanthe, bambou, buis taillé, cordyline, gaura, graminées (petites et grandes),
phormium, verveine de Buenos Aires…
Décor luxuriant : arum, bananier, bidens, colocasia, dahlia, fuchsia, hosta, fougère, pélargonium,
pétunia…
Décor méditerranéen : agave, agrume, ciste, jasmin, laurier-rose, lagerstromeia, lavande, lavatère
arbustive, olivier, Plumbago capensis, romarin, thym, yucca…
4 mises en scène de rêve, faciles à réaliser
Invitation à la paresse
En vedette : un palmier supportant la sécheresse (Chamaerops humilis, Ch. Cerifera ou Phoenix)
Plantes compagnes : 2 pots de lavande à fleurs bleues, 1 agave (ou 1 Yucca filamentosa), 2 godets
d’Euphorbe characias, 3 godets de sédums et 3 godets de népétas.
CONTACT PRESSE : Jocelyne Kerjouan – 01 42 12 02 17 – [email protected]
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C’est près d’une chaise longue sur la terrasse ou dans le jardin que cette composition trouve
parfaitement sa place. En pots ou en pleine terre, les plantes choisies sont un vrai plaisir pour les
yeux et le nez (lavande, népéta) en demandant un entretien très minime. Les coloris gris bleuté des
feuillages ou des floraisons incitent au repos et la rêverie. Un paillis minéral peut venir renforcer
l’esprit de simplicité tout en supprimant la corvée de désherbage ou de tonte.
Palmier et modernité
En vedette : un palmier de taille réduite ou à croissance lente. (Chamaerops, Butia ou Trachycarpus
wagnerianus).
Plantes compagnes : 1 gros pot d’agapanthe, 2 pots de graminées (type Pennisetum ou Miscanthus),
1 bambou à tiges noires ou dorées.
Déclinable en ville dans un petit jardin ou sur une terrasse, cette scène reflète l’urbanité ambiante en
offrant la part belle à l’architecture, aux lignes pures et aux coloris sobres du lieu, des contenants et
des végétaux. Nul besoin de multiplier le nombre de plantes pour obtenir un impact visuel fort. Le
palmier seul peut même suffire si un bassin ou un point d’eau agrémentent le lieu ! Les graminées et
les bambous apportent une verticalité tandis que les ombelles de l’agapanthe donnent une
dynamique fleurie et éphémère à la beauté permanente des feuillages.
Evasion Côte d’Azur
En vedette : 2 palmiers, un à palmes en éventail (Trachycarpus), l’autre à palmes pennées (Butia)
Plantes compagnes : 1 agrume (citronnier ou calamondin), 1 Plumbago capensis, 1 jasmin étoilé, 1
pélargonium à fleurs blanches, 1 potée de liseron de Mauritanie (Convolvulus mauritanicus).
Le mariage Palmier, Méditerranée est une évidence, les associations autour de cette thématique
sont toujours réussies. Terrasse baignée de soleil, façade sud de la maison…profitez de ces microclimats pour créer un coin d’évasion et de détente et pourquoi pas pour donner un air de vacances
au coin repas. Palmier, fruits du soleil, floraisons généreuses et parfumées mais aussi potées de terre
cuite, paillis en brique, vélum en toile, table et chaises colorées…faites preuve d‘imagination pour
réchauffer vos soirées d’été.
Tropical garden
En vedette : un ou plusieurs palmiers (si place et budget !) appréciant un sol frais et la mi-ombre
(Trachycarpus, Chamaerops ou Butia)
Plantes compagnes : 1 bananier (Musa basjoo) 1 Colocasia, quelques bulbes de dahlias rouge vif ou
orangées, 1 fuchsia à fines fleurs rouges, 2 pots de hostas à grosses feuilles, des bambous.
Le maître mot de cette scène est luxuriance. Elle est inspirée de l’Exotic Garden de Great Dixter (GB).
Un patio ou une terrasse à ensoleillement tamisée peuvent accueillir ce petit jardin tropical. Le
palmier va se fondre dans cette jungle miniature faisant la part belle aux jeux de feuillages avec le
bananier, le colocasia, les hostas ou pourquoi pas toutes les plantes d’intérieur de la maison qui
prennent leurs quartiers d’été à l’extérieur. Les fleurs éclatantes des dahlias et des fuchsias vont
contraster en beauté avec ce camaïeu de verts.
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7 gestes simples pour ne pas se tromper
1- Choisissez une espèce adaptée à votre climat (demandez conseil à votre pépiniériste).
2- Plantez votre palmier plutôt en fin de printemps ou début d’été.
3- Choisissez bien son emplacement :
 au soleil non brûlant (parfois mi-ombre),
 dans un sol bien drainé en hiver,
 à l’abri des courants d’air froids. Cuvette d’arrosage et tuteurage des grands sujets.
4- Arrosez régulièrement toute l’année (hors période de gel). Les palmiers en pot auront besoin
d’arrosages copieux et fréquent.
5- Fertilisez pendant la phase de croissance (printemps, été)
6- Pour la taille, supprimez seulement les palmes sèches.
7- En hiver, protégez le bourgeon terminal avec un voile de forçage. Paillez la souche pour
protéger.
Pas à pas, les conseils du coach jardinier
Le bon choix
Pour choisir l’espèce de palmier qui convient, tenez compte de son origine, des caractéristiques de
son climat naturel et des conditions que vous pourrez lui offrir. La majorité des palmiers mis en vente
sont cultivés sous serre. Il leur faut donc une phase d’adaptation pour s’acclimater en extérieur.
Soyez patient. Lors de l’achat, plutôt que les palmes qui souvent grillent pendant le temps de
l’acclimatation, observez le stipe et les racines qui doivent être sains et vigoureux.
Enfin, soyez prudents avec les opérations petits palmiers pour quelques euros qui fleurissent parfois
au printemps. Leur reprise est plus qu’aléatoire...
Le bon emplacement
Hors climat de la Côte d’Azur, offrez au palmier un endroit chaud, bien abrité des courants d’air,
bénéficiant si possible d’un microclimat (mur sud, milieu urbain). Dans un jardin en pente, évitez les
creux où le froid s’accumule ou le haut d’une butte soumise aux courants d’air.
De bons débuts
Plantez-le plutôt au printemps ou en début d’été, pendant la phase de croissance du palmier.
Le sol idéal est fertile et bien drainé. Creusez un trou d’au moins 3 fois supérieur au volume de la
motte. Enrichissez la terre avec du compost bien décomposé car le palmier est gourmand.
Hydratez la motte du palmier en la manipulant avec précaution car les racines sont fines et fragiles.
Installez le palmier de façon que la base du stipe soit au niveau du sol. Tassez bien la terre autour de
lui. Tuteurez ou haubanez les sujets les plus grands.
Ménagez une large cuvette d’arrosage et terminez par un arrosage copieux. Paillez le pied pour
limiter l’évaporation et diminuer la fréquence des arrosages.
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Un entretien réduit
Arrosez régulièrement les mois qui suivent la plantation en remplissant la cuvette d’arrosage. En été,
le sol doit rester frais sans être détrempé. Evitez de mouiller le feuillage car cela favorise les
maladies.
Si l’hiver est sec, arrosez avec parcimonie hors période de gel. Mais ne le laissez pas mourir de soif !
En pleine terre, deux apports d’engrais suffisent début mai puis début juillet. Offrez un engrais
spécifique (pour les connaisseurs 3 parts d’azote N, 1 part de phosphore P, 3 parts de potassium K et
3 parts de magnésium Mg.)
La culture en pot
Offrez-lui un contenant de belle taille, 2 fois sa motte, pour éviter les rempotages fréquents (racines
fragiles). Pensez aux roulettes pour simplifier la manutention avant l’hiver. Vérifiez le drainage (trou
d’évacuation). Choisissez un contenant de terre cuite vernissée pour réduire l’évaporation par le
matériau poreux.
Côté substrat, il doit être nourrissant et bien drainé : terreau spécifique palmier ou type géranium
allégé d’un quart de sable.
Arrosez au moins une fois par semaine en été. Placez une couche de graviers dans la soucoupe pour
éviter que le pot ne soit en contact de l’eau en excès. Ajoutez un engrais spécifique ou ‘spécial
plantes vertes’ tous les 4 arrosages de mai à août.
En hiver, réduisez les apports d’eau sans les interrompre car le feuillage peut dessécher
irréversiblement. La terre doit être juste humidifiée (1 à 2 arrosage mensuels).
Rempotez ou surfacez au milieu du printemps avant la phase de forte croissance.
Une taille simplissime
Elle se résume à la suppression en début d’été des vieilles palmes desséchées qui ne sont pas
tombées d’elles-mêmes ou des pétioles secs avec une petite scie ou un sécateur parfaitement
aiguisé.
Protéger contre le froid
Paillez au pied pour limiter l’effet du froid au niveau des racines. Les plantes en pot sont plus
sensibles au froid qu’en pleine terre. Emmitouflez le contenant dans plusieurs épaisseurs de voile
non tissé.
Le point faible du palmier est son bourgeon terminal situé au cœur de la plante. Les sujets jeunes ou
récemment plantés sont plus sensibles au froid que les adultes. Avant les premières gelées, relevez
les palmes et attachez-les ensemble en bouquet. Entourez alors de plusieurs épaisseurs de voile non
tissé (pas de pastique, l’excès d’humidité due à la condensation peut nuire au cœur de la plante).
Les palmiers - Portraits de famille
Les palmiers appartiennent à la famille des Arécacées. On en recense près de 3000 espèces occupant
les régions chaudes du globe principalement des zones tropicales mais aussi des régions désertiques
ou montagneuses. Dans le sud-est de la France, on rencontre toutefois une espèce poussant
naturellement : le palmier nain : Chamaerops humilis.
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Chez les palmiers, on est habitué aux records ! Dans les Andes, le plus grand palmier du monde
atteint 60 m de haut. Certains palmiers grimpants offrent des lianes de plus de 200 m. Raphia regalis
offre la palme la plus longue du monde : 24 m. Coripha umbraculifera se distingue par une palme de
5 m de diamètre et des inflorescences de 9 m de long ! Côté graine, c’est encore un palmier qui
remporte la palme : le célèbre coco-fesse qui produit des graines de plus de 20 kg….
Un peu de botanique ? Les palmiers ne sont pas des arbres mais des herbes géantes. On ne parle pas
de tronc mais de stipe. Celui-ci peut être lisse, annelé ou épineux, renflé à la base ou au milieu. Les
palmes sont reliées au stipe par les pétioles. Elles sont le plus souvent pennées (segments foliaires
disposés de part et d’autre du pétiole) ou palmées (évoquant un éventail). Les fruits du palmier
offrent une belle diversité se présentant sous forme de régimes nommés infrutescences, de baies
(ex : dattes) ou de graines (ex : noix de coco).
Le point sur la rusticité des palmiers. Les températures hivernales ne sont pas seules à conditionner
la rusticité des palmiers. D’autres facteurs comptent : âge du palmier, durée des gels, amplitude
thermique entre jour et nuit, drainage du sol, exposition aux vents froids, aux embruns mais aussi
chaleur estivale. Un été long et chaud favorise une bonne croissance et une meilleure rusticité l’hiver
suivant.
Le plus facile et le plus résistant au froid - Trachycarpus fortunei
Le palmier moulin (ou palmier chanvre ou de Chine), Trachycarpus fortunei (nommé parfois
Chamaerops excelsa).
Stipe unique, droit et mince. Grandes palmes vert foncé en éventail. Fibres blanchâtres à la base des
pétioles. Inflorescences courtes jaune d’or. Petits fruits violacés chez sujet femelle.
Croissance rapide. H : 10-12 m.
Apprécie : un sol frais et humifère, soleil non brûlant, mi-ombre. Craint : la sècheresse.
Rusticité : -15 à -20°C.
Autre choix : le Trachycarpus de Wagner, Trachycarpus wagnerianus.
Ressemble à son cousin fortunei en plus compact. Stipe fibreux. Palmes plus rigides. H : 5-10 m.
Rusticité : jusqu’à -15°C.
Il se glisse partout et résiste bien au froid, aux embruns et à la sécheresse : Chamaerops humilis
Le palmier nain (ou palmier de Méditerranée), Chamaerops humilis.
Silhouette dense et compacte, stipe fibreux, ramifié dès la base. Palmes vert clair en éventail.
Inflorescences très courtes, jaune clair. Fruits rougeâtres chez sujet femelle.
Croissance lente, taille réduite. H : 2-3 m. (très vieux sujets jusqu’à 8 m).
Apprécie : soleil, mi-ombre, sol drainant (sableux, caillouteux).
Rusticité : -12°C.
Autre choix : Chamaerops cerifera. Ressemble à humilis mais feuillage plus large, de couleur vert
bleuté et développement plus lent.
Il gagne à être plus connu : Butia capitata
Le palmier à gelée ou palmier à vin, Butia capitata.
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Palmier sud-américain très élégant avec ses grandes palmes pennées arquées et retombantes, vert
bleuté. Pétioles épineux. Longues inflorescences jaunes ou violettes suivies de petits fruits orangés et
comestibles !
Croissance plutôt lente : H : 3 à 5 m.
Apprécie : soleil, tout sol même lourd et argileux.
Rusticité : jusqu’à -12°C.
Autre choix : le palmier métallique, Brahea armata.
Palmier mexicain offrant un beau feuillage bleuté et cireux sur le dessus. Pétioles épineux. Très
longues inflorescences jaune vif suivies de petits fruits marron.
Croissance lente. H : 10 m.
Apprécie : soleil, chaleur, sol bien drainé.
Rusticité : jusqu’à -12°C.
Une silhouette majestueuse, une croissance rapide : Phoenix canariensis
Le palmier dattier des Canaries (parfois nommé palmier de Hyères), Phoenix canariensis.
Stipe vigoureux et massif évoquant un ananas géant quand il est jeune. Longues et abondantes
palmes pennées formant une couronne très fournie. Pétioles épineux. Courtes inflorescences jaune
pâle. Grappes de petits fruits jaune orangé.
Croissance rapide en situation chaude. H : 15 à 20 m.
Apprécie : le plein soleil, un sol fertile, frais en été mais bien drainé en hiver. Supporte la sécheresse,
les embruns.
Rusticité : jusqu’à -8°C.
Autre choix : le palmier de Californie (aussi nommé palmier éventail), Washingtonia filifera.
Palmes vert clair en éventail arrondi, pourvues de longs fils blanchâtres (d’où l’appellation). Pétioles
épineux. Longues inflorescences de fleurs crème suivies de petits fruits noir brillant.
Croissance très rapide si beaucoup de soleil et d’eau. H : 12 à 15 m.
Apprécie : soleil, sol fertile, bien drainé mais frais en été.
Rusticité : -8/ -10°C.
Remarque : le Cycas revoluta n’est pas un palmier !
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