Dans notre numéro de février 2014 ESAttitude Quid - (ESA)

La newsletter des
2ème Bac en Relations
publiques de l’ESA
Une newsletter pour l’ESA, une première !
Dans notre numéro de février 2014
Qu’on se le dise ! Les étudiants de 2ème
Relations publiques de l’ESA rééditent le
journal de l’école « Côté Cours ». La version
papier de la revue avait fait son temps.
Place aujourd’hui à une newsletter plus
actuelle, plus courte, mais biannuelle.
Même titre, même concept ! Trois rubriques
se partageront l’affiche : ESAttitude mettra
en avant programmes, cours, étudiants et
professeurs au sein de l’école. ESA hors les
murs s’attachera aux projets et actions qui
renforcent la visibilité de l’ESA à l’extérieur.
Et parce qu’une école, comme toute
entreprise, s’intègre aussi dans son
environnement, la rubrique ESA dans la citée
s’intéressera aux informations namuroises :
expos,
manifestations,
concerts,
nouveautés, mais aussi tout ce qui concerne
la vie socio-économique de la région.
Encadrés par
leur
professeur
de
communication, ces jeunes journalistes en
herbe n’ont qu’un seul but : apprendre leur
métier par la pratique tout en vous
informant sur la vie de votre école.
Bonne lecture !
ESAttitude
Quid après l'ESA? Témoignages d'anciens étudiants
ESA va, ESA vient… De nouveaux professeurs arrivent,
d'autres nous quittent
ESA hors les murs
Trouver des cours de langue même en janvier? ESA
muy fácil con l'ANLV
L'ESA-ccueils des étudiants en Relations publiques : une
vitrine de l'école!
Projet Grundtvig : une aventure linguistique à l'ESA
Un nouveau baccalauréat et la réforme Marcourt : ESA
passe pas
ESA dans la citée
Le NEC plus ultra des coups de pouce pour de futurs
jeunes entrepreneurs
KIKK festival : un coup de pied dans le monde du digital
Le nouveau Belvédère : en avant la musique!
Equipe de rédaction :
Inès Mackelbert, Anne-Catherine
Michel, Laura Derèze, Emilie Hansenne,
Sébastien de Mahieu, Aurélie George,
Adrien Ronchi, Bénédicte Balza
Editrice responsable : Martine Bothy
AU SEIN DE L'ESA
Quid après l'ESA? Témoignages d'anciens étudiants
Quelles études en cours de carrière? L’ESA, un bon choix ? Des débouchés à la
sortie ? Pour répondre à ces questions, rencontre avec deux anciens étudiants
racontant leur parcours.
Sébastien Zaghdane a obtenu son diplôme en Relations Publiques en juin 2009.
« Je me sens plus épanoui professionnellement, explique ce jeune chargé de
projet. Grâce à mes études, je fais un métier qui m’intéresse et m’apporte de la
satisfaction personnelle ». Il avait tout d’abord tenté une licence en Sciences Politiques à l’UNamur, puis
terminé un baccalauréat en droit à l’ESA et fait ses premières armes dans les assurances. Aujourd’hui, il
occupe la fonction de responsable de projet à Atout Sciences à l’UNamur après avoir travaillé pour le FIFF
et le Festival Nature. Désireux d’aller toujours plus loin et avide d’apprendre, il a débuté un master en
gestion en septembre dernier.
Autre cursus intéressant, Francis Amougou Mba avait entamé des études de médecine pour ensuite
s’inscrire à l’ESA en 2007 en Comptabilité option fiscalité, autre secteur porteur d’emplois. Après avoir
décroché son diplôme en 2010, il a débuté en tant qu’enseignant à l’ESA pendant 5 mois et a ensuite été
engagé à l’UCL en avril 2011, et cela en suivant des études de master en Sciences Economiques à
l'UNamur. En outre, il a passé et réussi les examens à l’institut des experts-comptables. Actuellement, il
gère quatre laboratoires de recherche à l’UCL. Bref, un parcours exemplaire pour cet ancien étudiant qui
«s’occupe des comptes de quatre académiques, cent chercheurs doctorants et plus de deux-cents
mémorants ! »
Ces deux témoignages rassureront les indécis et prouveront si besoin en était, que suivre des cours en
promotion sociale donne autant de perspectives d’avenir que d’être diplômé en cours de jour.
Emilie Hansenne
ESA va, ESA vient… De nouveaux professeurs arrivent, d'autres nous quittent.
Cette année, quelques professeurs ont cessé d’enseigner à l’ESA pour diverses raisons.
C’est le cas de Madame Coulonval, professeure de langues et coordinatrice de la
section, adorée de ses élèves. Elle ne cesse de vouloir apprendre. Licenciée et agrégée
en langues germaniques (Anglais – Néerlandais), elle a aussi suivi de nombreuses
formations liées au domaine de l’enseignement. Son voyage au sein de l’ESA a
commencé en 1995 et, outre sa fonction de professeure, elle accepta la fonction de
Anne Coulonval
coordinatrice langues à partir de 2005. Pendant 18 ans, elle s’est impliquée dans de
nombreux projets comme la coordination de l’ANLV (Académie Namuroise des Langues Vivantes), la
collaboration et les échanges linguistiques avec, entre autres, une école d’Ostende, l’écriture de divers
articles sur l’enseignement des langues, l’organisation de cours de français langue étrangère pour les
élèves étrangers venus en ERASMUS dans les universités et Hautes écoles du namurois, et encore bien
d’autres projets.
La soif d’apprendre et de découvrir a mené Madame Coulonval à accepter tout récemment un poste de
sous-directrice au Collège Notre-Dame de la Paix de Namur, une fonction qu’elle avait testée en intérimaire
quelques années plus tôt dans l'enseignement de promotion sociale. « L’ESA a toujours été l’école de mon
cœur », c’est par cette phrase que l’on peut comprendre la force qu’il a fallu pour prendre la décision de
quitter l’école, ses collègues et ses étudiants.
Le départ de certains signe aussi l’arrivée d’autres professeurs. Onze nouveaux cette année,
principalement dans les secteurs du droit, des sciences économiques, de l’informatique et des langues.
Avec généralement un statut d’expert, ces professionnels le jour se transforment en enseignants le soir
pour partager leur expérience.
Cette année, Monsieur Ivan Burton, inspecteur au ministère des finances, donne le cours de procédure
fiscale. Quant à Monsieur Ivan Bouioukiev, avocat, il enseigne le droit du travail.
Citons aussi Monsieur Antoine Piret, conseiller parlementaire, qui donne un cours de droit administratif ou
monsieur Philippe Dothee, expert-comptable, qui assumera un cours… d’expertise comptable. Bienvenue à
eux!
C’est une bonne année qui a débuté ici à l’ESA, une année d’apprentissage avec des enseignants de qualité.
Et pour ceux qui nous quittent, ce n’est qu’un au revoir.
Inès Mackelbert
ESA HORS LES MURS
Trouver des cours de langue même en janvier? ESA muy fácil con l'ANLV
L’ANLV, c'est une association de onze écoles de promotion sociale de la
province de Namur, dont l’ESA. Elle dispense des cours de langues adaptés aux
besoins des adultes, tous réseaux d’enseignement confondus.
L’association regroupe des écoles ou des cours en anglais, néerlandais,
français, espagnol, allemand, italien ou encore chinois. Non seulement l’ANLV
aide les élèves, mais elle donne aussi la possibilité aux enseignants de suivre
des formations continues ou propose encore des outils de formation et d’évaluation. L’organisation
compte trois coordinatrices qui ont pour objectif de dynamiser l’académie et d’améliorer la formation de
ses membres.
Les écoles participantes couvrent les territoires d'Andenne, d'Auvelais, de Couvin, de Dinant, de Namur, de
Philippeville, de Florennes et de Tamines.
Si la plupart des cours démarrent en septembre/octobre, d'autres UF langues commencent aussi en
janvier. Pour en savoir plus ou connaitre les horaires et le nom des écoles participantes, rendez-vous sur le
site internet de l’académie : www.anlv.be
Sébastien de Mahieu
L'ESA-ccueils des étudiants en Relations publiques : une vitrine de l'école!
Le but de l’ESA est de préparer au mieux ses étudiants au monde des affaires.
Pour arriver à cet objectif, elle les place régulièrement en situation
professionnelle, par exemple en faisant participer les étudiants du baccalauréat
de relations publiques à divers événements. Ces bacheliers doivent ainsi
accomplir, sur l’année, un certain nombre d’accueils lors d’événements
namurois. En voici quelques-uns.
La Bourse Win-Win
Basée sur un système d’échange et de « troc », cette Bourse permet aux
Etudiante ESA lors d'un
entreprises et asbl participantes de nouer des contrats sans mettre d’argent en
accueil au salon SIEP
jeu. Cette année, 113 structures étaient inscrites à la Bourse et pas moins de 165
contrats ont été signés ! Durant cette soirée, les étudiants de l’ESA accueillent les participants, les aident si
besoin et recueillent les contrats. Un(e) étudiant(e) de 3e RP organise et
coordonne l’accueil en lui-même.
Le salon du SIEP
Il est organisé chaque année par le Service d’Information sur les Etudes
et Professions. Lors de ce salon, ce sont environ 1300 visiteurs qui
viennent s’informer sur les écoles secondaires ou Hautes écoles et
Universités qui pourraient les intéresser.
Ici, les étudiants de RP assurent l’accueil général du salon. Ils s’occupent
également de l’accueil des exposants et guident les écoles primaires en Martine Jauquet et ses étudiants lors
d'un événement pour le CHU de
visite.
Mont-Godinne
Le Printemps des Sciences
Cet événement dure une semaine et permet aux petits et grands de découvrir la science et ses nouveautés
au moyen d’expositions, de conférences, de spectacles et d’expériences en laboratoires. Les étudiants de
RP assurent l’accueil des écoles et familles venues visiter et s’occupent également des visites guidées.
Ce n’est pas tout ! Nos étudiants ont aussi participé à l’organisation et à l’accueil d’événements comme la
cérémonie des Namurois de l’Année, les Alfers, les séminaires Ose la science ou encore La Nuit des
Chercheurs, pour n'en citer que quelques-uns. Pour l’ESA, la présence de ses étudiants dans ces
événements est toute bénéfique : elle est la preuve de l’efficacité de l’école et de ses cours et elle permet
de promouvoir l’école et ses activités.
En règle générale, ces accueils se passent au mieux et les organisateurs sont satisfaits des prestations des
étudiants et de leur travail. Sourire, disponibilité et dynamisme sont les trois mots clés à retenir pour un
accueil réussi !
Anne-Catherine Michel
Projet Grundtvig : une aventure linguistique à l'ESA
En 2010, l’ESA a eu la chance d’intégrer le projet nommé « An Interactive
Language Adventure Acros Europe ». Un programme éducatif mis en place avec
des écoles de langues de 6 pays européens : la Croatie, l’Espagne, l’Estonie, la
Finlande, la Lettonie et la Belgique. Un beau voyage d’ouverture d’esprit et de
partage. Cette initiative est une occasion de découvrir son pays, d’apprendre de
nouvelles cultures, d’approfondir ses connaissances en anglais et de créer de
nouvelles rencontres. Pour participer au programme et gagner un voyage, chaque
pays a dû former des groupes qui ont présenté leurs pays respectifs en quelques
minutes, en utilisant les nouvelles technologies. Différents thèmes ont été choisis par
les étudiants de l’ESA, sous la coordination de Marie Demazy, leur professeure de
langue. Certains sont restés sur des choix classiques comme la Wallonie, les
personnages célèbres, la ville de Namur, les festivals ou encore le folklore. D'autres se
Marie Demazy,
sont dirigés vers des projets plus recherchés: les sept merveilles de Belgique, la
Professeure de langue
gastronomie, les bandes dessinées, l'architecture, mais aussi la Belgique mystérieuse
(événements bizarres, croyances et autres légendes…). Ce sont les projets Namur et la Wallonie qui ont
remporté la timbale du concours.
Durant leur passage en Belgique, les étudiants Grundtvig ont fait un arrêt au "pays des celtes", un
événement organisé par les étudiants de 3ème Relations Publiques. Chaque année en effet, dans le cadre de
leur formation, les étudiants de la section Relations Publiques doivent monter un événement de A à Z, avec
zéro euro de budget : un vrai défi! A cette occasion, le 27 avril dernier, les élèves ont donc accueilli avec
plaisir les 30 étudiants Grundtvig et les 11 professeurs à leur événement "cEltic’S dAy". Ils ont pu partager
de bons moments et danser sur les rythmes des celtes. Cet événement fut un vrai succès, avec 495
visiteurs.
Après avoir visité l’Estonie, la Croatie, la Finlande et la Belgique, entre le 28 juin et le 1er juillet, les étudiants
ont fait un dernier voyage ensoleillé en Espagne. Chaque destination fut une belle expérience pour ces
étudiants qui repartent avec des souvenirs plein la tête, des contacts à travers l'Europe et une pratique
concrète de l’anglais.
Depuis cette merveilleuse expérience, l’ESA planche sur un nouveau projet de partenariat qui pourrait
permettre à davantage d'étudiants de participer. Ils ont déjà quelques idées et projettent de déposer une
candidature en avril 2014, mais rien n’est encore défini pour l’instant.
Laura Dereze
Un nouveau baccalauréat et la réforme Marcourt : ESA passe pas!
Comme toutes les écoles du Supérieur, l'ESA doit s'adapter aux réformes apportées
par le décret Marcourt. Mais en début d'année, elle a aussi dû supporter une
conséquence inattendue de ce décret. L'école avait en effet pour objectif cette année
d'ouvrir un baccalauréat en sciences administratives et gestion publique. De
nombreuses personnes avaient d'ailleurs manifesté leur intérêt pour s'inscrire dans
cette filière. Mais ce projet n'a pas abouti pour des raisons politiques et
administratives.
Ce bac, qui aurait été créé en association avec la province de Namur, avait donc pour objectif de former
des étudiants dans le domaine de la gestion publique, un secteur dans lequel l'ESA aurait été la première
école à proposer ce type d'études dans le Namurois.
Mais le dossier s'est heurté à des problèmes administratifs. La procédure pour ouvrir une nouvelle
formation consistait dans un premier temps à obtenir l'accord de la province; si celle-ci acceptait, le dossier
était envoyé au gouvernement. En cas de refus, un recours était possible auprès du Conseil d'Etat. L'école a
obtenu l'accord de la province. Cependant, le dossier ne fut jamais traité par le gouvernement car le
ministre Marcourt refusait de signer les habilitations des hautes écoles tant que sa réforme n'était pas
votée. Les directeurs des écoles ont donc mis la pression sur le ministre pour qu'il en soit de même pour la
promotion sociale, afin d'éviter que cette filière ne soit favorisée. L'objectif fut atteint car la ministre
Simonet n'a pas traité notre dossier, même quand la réforme a été votée, forçant l'école à passer par la
nouvelle procédure.
Malheureusement, qui dit nouvelle réforme, dit nouvelle façon de faire. Dorénavant l'ouverture d'un
nouveau baccalauréat nécessitera l'introduction d'une demande auprès du Pôle des Ecoles Namuroises; si
celles-ci l'acceptent, le dossier sera ensuite envoyé à l' A.R.E.S., l'Académie de Recherche à l'Enseignement
Supérieur, qui prendra la décision finale.
Mais en sachant que l'académie n'a pas encore été formée, on ignore combien de temps il faudra attendre
pour que ce baccalauréat voie le jour et contente les nombreux étudiants intéressés par cette filière.
Adrien Ronchi
ESA DANS LA CITÉE
Le NEC plus ultra des coups de pouce pour de futurs jeunes entrepreneurs
Vous êtes porteur d'un projet d'entreprise original, ambitieux et
créateur d'emplois, mais le chemin vers le succès vous parait
interminable? Le Namur EntrepreneurShip Center (NEC) est fait
pour vous. Le NEC est un programme de formation et
d'accompagnement gratuit et personnalisé destiné aux porteurs de
projets motivés et soucieux de s'implanter dans la province de Namur. Si votre projet est sélectionné par
le jury de professionnels du NEC, vous aurez la chance de suivre une formation de création d'entreprise et
de bénéficier d'un coaching individuel.
Cette dixième édition du NEC est organisée par le Bureau Economique de la Province de Namur (BEP) afin
d'encourager l'esprit d'entreprendre. La formation aura lieu de février à mai et comportera 12 modules
de formation qui vous permettront de développer au mieux votre entreprise. Les thématiques abordées?
L'entrepreneuriat, la créativité, le marketing, le partenariat, la gestion financière ou encore les aspects
juridiques de la propriété intellectuelle. Tout au long du programme, vous serez amené à rencontrer des
professionnels venant de tous les secteurs d'activités, ce qui vous permettra, en plus d'élargir votre
réseau, de faire connaitre votre projet et, qui sait, peut-être approcher vos futurs collaborateurs.
Envie de participer? La prochaine édition s'organisera en novembre/décembre prochain. Pour savoir
comment déposer votre dossier et ainsi concrétiser votre désir d'entreprendre, rendez-vous sur le site
http://www.bep-entreprises.be/animation/nec/default.aspx
Aurélie George
KIKK festival : un coup de pied dans le monde du digital
La 3ème édition du Festival International du Digital consacrée aux cultures
numériques a eu lieu du 7 au 9 novembre 2013 au Théâtre Royal de Namur.
Cette édition fut un succès de foule avec quelque 3000 visiteurs et ce, en
dépit d’une très faible promotion.
Le KIKK festival est né de l'association de deux entreprises, "DogStudio",
agence experte en web et communication visuelle, et "Superbe", une
agence spécialisée dans les processus interactifs connectant l'homme et la
technologie.
Le leitmotiv de ce festival ? Mettre en avant la culture digitale comme moteur de la créativité et explorer
les implications économiques et artistiques des nouvelles technologies.
La programmation comprend des conférences, des workshops, une exposition d'art numérique, des
prototypes, un concours créatif et des soirées avec des performances audiovisuelles.
L’édition 2013 a mis en lumière certaines innovations telles que le "Dyskograph". Le Dyskograph est un
lecteur de disque graphique dont le mécanisme lit un disque comportant des symboles graphiques (par
exemple, des traits réalisés à l'aide d'un feutre) et traduit ces derniers en une séquence musicale. Ne
doutons pas que la prochaine édition soit à la hauteur. Elle se tiendra en novembre 2014.
http://vimeo.com/51700038
Alexandre Gournis
Le nouveau Belvédère : en avant la musique!
Cette scène musicale namuroise, créée en 2007 à la Citadelle,
propose des concerts « coups de cœur », des mises au vert pour les
musiciens, des festivals et participe activement au VERDUR ROCK.
Lorsque la Ville de Namur a envisagé la réhabilitation de l’ancien
bâtiment du téléphérique, l’asbl PANAMA (Promotions des
Association Namuroises Actives en Musiques Actuelles) a avancé le
projet d’un lieu où les groupes musicaux tiendraient la place
d’honneur. La programmation est variée : rock avec « Fake Asian
Rolex », métal avec le groupe « Ethernity » ou encore électro avec « Too Tangled »… Et les possibilités de
workshop sont des plus intéressantes pour les musiciens.
Afin de ne pas manquer une excellente soirée, qui peut être arrosée (avec modération!), rendez-vous sur
leur page facebook « BELVEDEREnamur » ou sur leur site www.belvedere-namur.be
Bénédicte Balza