Vacance au pays perdu

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Vacance au pays perdu
LITTERATURE
Commentaires - avril
« Vacance au pays perdu» de Philippe Ségur
Une odyssée contemporaine qui conduit le héros et son "cricri" à affronter des situations plus
désopilantes les unes que les autres : gare au byrek et au raki notamment ! Mais, derrière la fantaisie et
la truculence de ces aventures albanaises, se dissimule un regard caustique sur notre modernité qui
n'est pas sans arracher souvent des larmes de rire au lecteur. Un roman qui mérite vraiment d'être
savouré ! Clotilde, Caen (14)
Philippe Ségur traite avec autodérision le voyage initiatique de deux amis bobos habitués au confort de
notre vie qui tentent d'échapper aux contraintes familiales et au capitalisme par un retour aux sources.
Le dépaysement est total et la découverte de ce pays et de sa culture est pour le moins déconcertante.
Un récit sarcastique et plein d'humour qui permet de prendre du recul sur les vraies valeurs de la vie.
Géraud, Montpellier (34)
Marre de la société de consommation. Envie de changements, de dépaysements, nous sommes partis
en aveugles. Mon cricri et moi avons décidé de partir en vacances sur un coup de tête, mais pas
n’importe où ; en Albanie. Petit Pays inconnu des tours Opérators…Voyage dans un pays perdu ou
comment partir en tant que non-touriste…La rencontre d’un homme, blasé, stressé qui décide de
rompre avec la société de consommation. La rencontre de la culture et les us et coutumes de l’Albanie
le laisse perdu et sans repère, un comble pour celui qui voulait rompre avec le système. Au-delà de
l’aventure, on assiste à un véritable voyage initiatique ! Alexandre, Versailles (78)
Un roman pince-sans-rire qui se moque allègrement des envies d'ailleurs de nos contemporains.
Direction l''Albanie ! Mais sommes-nous prêts finalement à aller plus loin que le bout de notre nez ? La
mise en scène de ce couple ubuesque du narrateur graphiste et son meilleur ami "Cri-Cri" au pays de
Borat (ou presque) provoque quelques gloussements de rire non contrôlés plus d'une fois au cours de
la lecture. Jubilatoire et tellement agréable de se moquer de soi... Gavin’s, Montreuil (93)
Avec une pincée d'ironie, l'auteur nous invite à regarder un monde différent, une autre culture, loin de la
superficialité et des paysages touristiques des affiches publicitaires tout en tiraillant les habitudes de la
société de consommation. (…) L'auteur dénonce l'intolérance ou le manque d'ouverture : il est aisé de
jouer les touristes mais peut-on se passer du confort de notre société occidentale riche ? Un livre à
méditer... Loïc, Fleury-Sur-Andelle (27)
Fuir l’insupportable et agaçante société de consommation, tel est le choix du héros du livre. Laissant
femme et enfants, accompagné de son acolyte, il part en Albanie. Le premier est volontaire tout en
étant angoissé, le second se refuse à adopter un comportement de touriste. Et aux situations
inattendues de se succéder… Philippe Ségur décrit dans un style humoristique, un voyage voué au
final en une recherche perpétuelle de repères capitalistes. Une incitation à penser ou repenser notre
société. Magali, Roquettes (31)

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