un monde sans la City ni Wall Street
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un monde sans la City ni Wall Street
Avec le soutien de Jacques Cheminade e d n o m un y t i C a l s n sa t e e r t S l l a ni W is t anc e s é R ie a r v e Pour un nde de la f in anc e fac e au mo Norbert DUMAS 32 ans, maître de conférence élections législatives / 10-17 juin 2012 / 1 e circonscription du Bas-Rhin Suppléante : Catherine PLANTEVIN archéologue J e m’adresse à vous dans un contexte où la majorité des citoyens pense que leurs enfants vivront moins bien qu’eux. En 2008, j’ai découvert avec Solidarité & Progrès une vision optimiste de l’économie basée sur des projets à long terme. Je relève maintenant le défi de porter plus loin le programme de Jacques Cheminade en vous présentant ma candidature. Maître de Conférences à l’Université de Strasbourg, j’enseigne et mène des recherches dans le domaine des sciences et technologies. J’ai 32 ans et je suis convaincu qu’il faut passer par une profonde remise en question pour s’attaquer aux causes réelles de la situation. Ne traiter que les effets superficiels, c’est faire perdre la bataille au peuple face à la minorité qui domine le système économique. Le parti socialiste baigne dans les illusions de la période Mitterrand, marquée par les dérégulations majeures qui ont conduit à la crise actuelle. Parce que leur esprit de parti et de consensus bloque toute remise en cause, je serai sans complaisance avec la gauche au pouvoir si elle cède face à ce que Hollande a appelé le monde de la finance. A droite, l’UMP a été acteur et complice d’une politique de renflouement des banques depuis 2008 qui porte les doux noms de « structures de défaisance » ou encore « Fonds européen de stabilité financière ». Ces mesures ne font que repousser un effondrement. Force est de constater que cette politique suicidaire de renflouement, tout en préconisant des coupes budgétaires, est bien celle poussée par l’Union européenne. Contrairement aux détaillants de la politique actuelle, ma candidature vise à s’attaquer aux failles sur lesquelles repose le système de rente financière. Je refuse une guerre où chacun se bat pour gagner sa part dans une économie physique en contraction. Notre ennemi est la pensée sans lendemain imposée depuis la City de Londres et Wall Street. Notre arme est de réinstaurer une pensée à long terme. Ce sera ma mission d’élu. Je vous engage à l’adopter avec la joie d’être responsable envers les générations futures. www.solidariteetprogres.org norbertdumas.fr Solidarité&progrès | BP27 92114 Clichy cedex | 0811 040 007 3 étapes contre le saccage social, pour créer des millions d'emplois qualifiés en France et en Europe SP les ent en met tant C'est seulem de ciers hors d'état an fin rs eu at d pré ploi rra rétablir l'em nuire q u'on p ou t p our achat. En votan d' r oi v ou p le et e le e as surance q u moi, prenez un ra. er nement le fe nouveau gouv LA ÉCU TION BANQUES UNIVERSELLES 1 2 Commission d’enquête parlementaire sur la crise FR AS TRUCTU R C RE Séparer les banques d’affaires, les banques de dépôt et les sociétés d’assurances, afin de protéger l’économie réelle et productive, l’épargne des citoyens, les entreprises, les collectivités locales et les services publics, et mettre en faillite les banques qui ont spéculé dans le casino financier. Nous ne sommes pas responsables des dettes de jeu. Le peuple n’a pas à renflouer ceux qui le trompent. HERCH UCATION ÉD R ÉNE GIE E HÔPITAL ES IN D’abord, pour faire la lumière sur les responsables de la crise économique et financière. Ensuite, séparer les dettes légitimes et les dettes illégitimes (usure et renflouements) : ne doit être payé que ce qui correspond à du travail humain et aux investissements productifs. Toutes les dettes dues à l’usure et à la spéculation doivent disparaître. C’est la seule solution pour éviter l’inflation et le saccage social. Couper les banques en 2 GR I C U LT U R E IN D U S T R IE & PM TI V A E 3 TP BANQUES PRIVÉES émettre massivement du crédit public pour la production ES BANQUE NATIONALE E IN V E N Ne pas jeter sur la voie publique svp L’Etat doit pouvoir émettre du crédit public afin de financer les grands projets, les infrastructures et renflouer le service public et les collectivités territoriales pour réaliser leurs projets. Ainsi mettrons-nous fin au prétendu problème de la dette, dette sans cesse creusée par les taux d’intérêt usuriers qu’imposent les banques privées. Rompre avec Maastricht (article 104) et les autres traités européens qui l’interdisent. Abroger les lois du 4 août 1993 et du 12 mai 1998 qui aggravent les conséquences de la loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973. Rétablir une banque nationale sous contrôle citoyen. Construire une Europe des patries et des projets. La France ne peut pas tout faire toute seule, mais elle peut donner l’exemple en jetant un défi à l’Europe et au monde. Levons donc la tête et arrêtons de nous soumettre !