COMMENT RAYMOND DOMENECH A RATÉ SON BAC
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COMMENT RAYMOND DOMENECH A RATÉ SON BAC
COMMENT RAYMOND DOMENECH A RATÉ SON BAC L’histoire secrète de la dernière victoire de RENNES en coupe de France fantasmée par le collectif OLAFF ET SES CHIENS DOCU-CONCERT Montage original à partir des archives INA et Musiques originales OLAFF ET SES CHIENS Bande annonce sur www.facebook.com/olaffchiens CONTACT : Martin Patry 06 72 58 46 82 Comment Raymond Domenech n’a pas eu son Bac (40 min) Finale de la coupe de France le 20 Juin 1971 à Colombes - Arbitre Mr Vigliani 46801 Spectateurs Rennes - Aubour - Cosnard, Cédolin, Chlosta, Cardiet - Garcia, Naumovic, Betta - Guy, Kéruzoré, Rico – Lyon - Chauveau - Domenech, Mihaijlovic, Baeza, Valette - Perrin, Prost, Chiesa - Félix, Di Nallo, Ravier - L’équipe de Rennes qui se détend en faisant une pétanque sur la plage. L’arbitre qui se masse les mollets en répondant à une interview. Une baignade de footballeurs se délassant dans les termes de Saint Malo, le voyage en train et la liesse dans les rues de Rennes... Et Raymond, avec toute l’assurance de ses 19 ans, s’apprête à échouer au Bac. Avant d’assister au but final, Olaff et ses chiens vous fait revivre cette finale de la coupe de France 1971 à sa manière, Avec du groove du swing et des canellonis carbonara. Une histoire inoubliable.. INTENTIONS Le projet est né d’une commande du Festival Hors Format 2014 organisé par l’association Comptoir du Doc. Ce qui a frappé Olaff et ses chiens en regardant les vidéos de l’INA : le rythme et la sensualité. Ce sera le fil conducteur de l’intention musicale. Pendant le match, les corps se percutent, tombent, se relèvent. Avant le match, ils se massent, se délassent, se détendent, s’entraînent dans des exercices répétitifs parfois jusqu’à la transe. Les images de la célébration de la victoire par des supporters n’est pas le sujet, Nous n’avons pas choisi de monter le match comme un polar dont on attend le dénouement. On sait qu’ils ont gagné, On veut montrer la fête des corps qui entoure cette victoire jusqu’à celle des supporters qui exultent. Un scénario a donc été écrit, Puis ajusté en fonction des improvisations qui naissaient lors de la projection des premières séquences. L’ensemble de la musique créée est issue d’aller-retours entre le montage vidéo et les improvisations. Le rythme de la musique guidant le rythme du montage qui, en retour, a dressé les musichiens. En effet, l’improvisation est la source principale des compositions créées pour le spectacle. Lors de la représentation, il y a bien sûr des thèmes qui permettent aux musichiens et aux spectateurs d’avoir des points de repère, mais la partition musicale est une suite d’intentions sur lesquelles les musichiens peuvent inventer la musique en direct. EQUIPE Olaff et ses chiens : C’est l’invention de la vidéo qui réunit deux musiciens en 1972. Ce fut pour la première lecture musicale vidéo du célèbre comédien Tetel Davidoff avec des Collègues comme Chat Barbier, Armstrong. Catherina Filipa,Tommy Seeback et Lance Ils se perdent de vue et 30 ans après ils remettent le couvert, par la rencontre avec Olaff, sportif émérite et vidéaste formé par Richard Wolstencroft. Don MartÍn : batterie, basse, guitare, percussions, chant. Débuts dans la musique rythmée en buvant des petits jazz bien serrés avec de rafraichissants verres de samba sur glace pilée pour cultiver la sensualité. Après une téléportation à Rennes pour apprendre à mélanger les musiques du monde, l’électro et du rock dans un bon shaker ; il participe avec Mizin Voisin à la création du groupe Bric-Broc qui achèvera le travail de la musique improvisée totalement à la merci du public. À vélo il cumule les rencontres de Tétel Davidoff et de El Marcyan. S’ensuit déferlantes de textes, en lecture, théâtres et autres, le tout en musique. Du Bar des Sports il connaissait Olaff, sans chiens ni chats qui avait un talent certain, pour le football et la vidéo. Il rassemble El Marsiam et OlaFF dans une pièce remplie d’outillage créatif a la recherche de la température exacte du point de fusion entre la vidéo et la musique. El Martyan : claviers, saxophone, clarinettes, clavier du diable, chant. Amoureux de la musique depuis aussi loin qu’il s’en souvienne et clarinettiste depuis un peu moins longtemps, El Martyan vient à la littérature et au Jazz par Boris Vian. C’est donc assez naturellement qu’il écrit des chansons qu’il fait chanter par d’autres, faute d’un organe adéquat. Plus tard, le hasard des rencontres et les vicissitudes de la vie l’amènent vers d’autres formes comme des ciné-concerts (avec Mina Boliva), des lectures musicales (avec la cie Rivières à Cailloux) et puis la vidéo dans le spectacle vivant au sein de la compagnie le Repos du Monstre. Aujourd’hui, il navigue entre la création vidéo, la composition et l’improvisation musicale avec notamment Morgan Davalan (Mo Cie) et Martin Patry (Olaff et ses chiens). On le voit régulièrement pieds nus au Lavomatic tour rennais créé par Elie Guillou. Willy Pingeon : montage vidéo, VJing Passionné par l’image depuis sa jeunesse, il se dit que ce serait bien si c’était possible d’apprendre les différentes techniques cinématographiques en passant par une école. C’était possible. Une fois formé, Willy se perfectionne ensuite sur de nombreux projets de films ou de pubs... en tant qu’opérateur de prise de vue et monteur vidéo. Sa rencontre au babyfoot du bistrot du coin avec les musiciens Don Martin et El martian lui ouvre l’esprit sur la combinaison possible entre la musique et la vidéo. Sa création prend un nouveau souffle. Lucie Hardoin Lucie Hardoin est Chef opératrice du son en tournage de fictions et documentaires. Elle est également enseignante en Réalisation sonore à l’ESRA à Rennes, à la licence CIAN de Rennes2 et à l’ISB Brest. Passionnée de jazz, elle est partie à New York à la rencontre des artistes de la nouvelle scène pour aboutir à la création d’une série de 4 documentaires de 52 minutes : « FreeZone », « Bands of Brooklyn », « Où va le jazz » 1 & 2. Depuis leur finalisation, ces 4 documentaires ont largement été diffusés, notamment par le biais de la fédération des scènes de jazz (Pennarjazz, Pannonica, Petit Faucheux, coquelicot, pixie…), lors des festivals du film court à Brest et « Jazz Sous les pommiers » à Coutances. Ces films ont également été projetés dans différents clubs newyorkais. Parallèlement à ce projet de réalisation, elle a développé des ateliers dans le but de sensibiliser les jeunes au jazz, musique de qualité et peu médiatisée. Depuis quelques années, elle s’est spécialisée dans la prise de son de paysages sonores et de balades sonores en utilisant la technique de prise de son binaurale. Elle considère le binaural comme un portail sonore permettant de voyager via une immersion 3D possible par une diffusion au casque. Grâce à cette technique, il est possible de capter de façon fidèle un territoire sonore et cette notion est importante dans l’idée de préserver et d’archiver notre patrimoine sonore. Temps de montage 3 heures Durée spectacle 40 minutes Temps démontage 1 heure 3 musiciens et 1 régisseur son et une chargée de prod. La liste ci-dessous est complète. S’il manque du matériel, le groupe peut en amener une partie (à prévoir à l’avance). Musichien 1 : Clarinette, clarinette basse saxophone et clavier : 3 micros : Clarinette : RE 20 Saxophone : Neumann 184 Clavier 1 : Jack stéréo 6.35 Clavier 2 : SM 57 1 retour Les deux micros vent (clarinette et saxophone) peuvent être ramené par le groupe. Musichien 2 : Batterie, guitare, guitare basse : 5 micros : Batterie : 4 micros (kit batterie : grosse caisse D112, caisse claire SM57 et 2 over head - micros statiques) Ampli : 1 micro SM57 1 retour Alimentation électrique de part et d’autres de l’écran pour chaque musicien. Vidéo : 1 vidéoprojecteur (HDMI ou VGA) avec mode 4/3 1 retour vidéo (minimum 17’’) 1 Jack stéréo (3,5mm – 6,35mm) 1 alimentation électrique pour l’ordinateur Son : Un système de diffusion son et une table de mixage analogique (8 entrées min 14 câble XLR 8 pieds de micros en option, les DI pour les claviers (2DI par clavier)