Clément Magloire Interview dcM.Abel Léger,} ancien Secrétaire d
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Clément Magloire Interview dcM.Abel Léger,} ancien Secrétaire d
Clément Magloire Ll u.iciaUH- iiiulurll'- (Si l'uui> reniée aai itrrtm <I«I F'taseal l'e*sfil des hommes d'un lioui do [*uÎTen à l'autre. DIRECTE! R £58, m IL AMERICAINE 1358 1ELEPHONE IV 2242 «ème ANNEE N° 777 \OLTAIUfc. RDI 20 SEPTEMBRE 19..2 ( I x TT rrn.'.xt Il y a 1 Vingt-cinq anr. Autour da Traité du 3 Septembre 1932 Interview dcM.Abel Léger,} ancien Secrétaire d'Etat (1 s Relations Extérieures * ta. ALIX ROY 30 arme es de sue MATJN.S ISçplembn tVUÏ TIMBRES TOXIQUES . L'habitude de mouiller les s en les passant sur la langue peut être dangereuse, \on seulement on peut ainsi er les microbes plus ou ins in; c dont sérail la main qui délivre . g, mais encart des emprisonnements pourraient 'ai) c si les tiinvrefi talent t avec des i atiéres to.i iques. ...'voit que les*morts vontlvite 11 que l'on a enlevé jusqu'à l'en>eigne de la West Iudies Comany. La Compagnie aurait-elle i Qnativemenl plié b'g^ge et dan* ce ras à quel titre des commis de recouvrement continuent ils à présenter de* bordereau aux anciens clnn ta ?Oa ■ <• demande si l'oa n'est pas en i a d'ans petite industiie. I.n rw dans le vaste tmraeu-jdes Relations, aux négocia|.|,',le son Cabinet dWocatJ lions qui ont abouti à cet acl ia rue des Miracles, que j'ai (cord du 3 Septembre, que rencontré Monsieur Abel Lé* ivoire silence, à l'heure L,- le samedi 17 septembreïtuelle, serait une faute condernier à neul" heures du Jlrevous même, contre le pays, matin Je devais le joindre 11 nous ;i donc paru mdis0 il cas, DU avis de la Va'Son plulôt dans le cadre riant de pensable de vous interviewer, on de son représentant situta villa de Turgeau, mais des pour l\ nseignemcnl de la po r. occupations respectives ne Nation. Et de vos déclara nous avaient point permis lions peut sortir, qui sait. ... n vu, a la messe dl quatre des clartés mêmes qui guU| heures, nu Sacré-Coeur, deux S'abriter noire envtrevue eu —o— deront d'autres négociateurs,^ bonnes femmes qui t'ei gu...irce lieu printannier. Je ne le dans la lutte si dure que nous landaienl copieusement comme regrette presque pas Car le — L'un de nos cmifréi es a andu poisson pourri. D'injures en )i-e de son office seine devons pas abandonner injures, elles se disposaient à en noncé que Monsi» ur .1. Jolibois prêtait mieux à la gravité du 1 con con: venir aux mains, quand... l'ils.Directeur du«Courrier Haïpour la reprise de nos attrisujet qui m'y amenai lail en prison la gr< ve de Hespirez s. V.p. Elles allaient buts de peuple libre. El puis, I.e large escalier gravi, |e P endre aux chignons si la laim depuis quatre jours. me trouvai dans une ,grande le rejet, par l'Assemblée Na— On parle d'une résolution an ancie.i Conseiller d Klat, chiLES grands découvreu tionale, de 1 instrument dipièce monacale OU se sac romancien depuis que I* polilidu Sénateur Carré tendant à i ent tout leur c. ; but, 1'!.. dent des petits cabinets de] plomatique Blanchel Munro, l'a rejeté, n'avait joué lu donner un vole de confiance au néce nous fait l'obligation, à nous Société des Nations, en s'interCabinet actuel «t à l'inviter à retravail. Je passe. Dois l'un de Doi. journaliste, de fixer les resprendre les i ialions avec la posant résolument entre les ces cabinets dont la porte es; que vous au mou américaine, pour la li- leux commères. L» geste est ouverte, un Monsieur sans ponsabilités quant à l'orienaujourd'hui! Une de i quidation du Traite de 1915. Il d'un galant homme. Compliveste écrit sur un pupitre. Je tation donnée à nos pourparvous servir. Y a en Haïti les contradictions ments. lers diplomatiques. continue sans rien dire. Une T^olre "liuAntt Sii • • ,\ oureuses. Monsieur Léger réfléchit un charmante jeune tille, flexible • ; lair« — Madame Lindbergh, le 15 ... voit que le jeu de loto Racomme un roseau, lape sur instant.el avec la gravité d'un de plus en plus du (errain Août dernier, a EngleWOOd, a une machine à écrire, dans homme qui vient de prendre donné naissance à un lils. Port-aa-Princc.il a déii coman I parti, me répond: une deuxième petite pié ; medi dernier.à Terrace- me jeu national détrôné le jeu — Je su sa vos ordres, pour I'3102 J'y entre. Elle levé sur moi dés, en attendant, sans doute. den, chez Khal ce lut une ''-", ,'<•" .» » — -.-...—..«».»*.-.*., oHuence élégante, une almos- de détrôner les sports nationasx: un bel œil noir et me soui it. toute question qu'il vous plaire de fines sensations. Mi-1 football, ^oley-ball, etc. En -- Monsieur Abel Léger, s'il ra de me poser. a pli- t ta - < est lé |eu !;«voii des /;. l'ouiK'z-uous mj dire les vous niait, Mademoiselle? au même article, appuyé ■:■■ Vf. -Corn i >' a Madame el à Mr Khal (gendarmes, et partout, on endirectives cl les conception* du g?_ 11 est dans son bureau, recommandations de la Comvous obtenir lad qui s'évertuenl a rendre davan-i • id, le soir, le choc des houles, Gouvernement hailieu sous notre en lace, Monsieur. Donnezt i i ) • i ' ' ■ i Forbes, » ■ ■ ■ ■ ' ■ '. pour | ' • i i i demander wv.iw..i..>.« ni ltl(/ri de «*' Il i i t ' I ' au rj|| m /i ricau ii ition h \Garde plaisants nos sa med is [remuée dans les calebasses. Ministère,sur les problèmes qu'a mission ! vous la peine de pousser la pie l'on mette fin, sauf nécessité plus tard le '•'■ > . MIS. cru résoudre te dernier Truite : I!. -Dune ma ni :re i' > i simporte. Miss Glade, fille d'un ara ...voit q-ie rien n'est plus ■■lé avec une si significative urgente, à cette procédure. 9 ...II résulte de ces textes clairs pie. Le plan Forbe i irlail rai anglais, disciple exaltée du • éable qu'on Rhum liarbanMonsieur Abel Léger se lè- unanimité par l'Assemblée .Y/ et nets (art. X du Traité art. .'! an certain nom!):»' (!<* prom »■ i i n, .i refusé d'obéir a un . \ourt, sinon deux Rhums Bar» ve de devant son bureau et tionalel de l'Accord du 21 Août 1916 ) lions d'officiers haïtiens pour iterdisanl s m séjour à j b incourt. — Cela vous gênerait il de vient vers moi, la main tenque la cessation de service les fi i l 131 ou lii.là : '2 colonels, . Elle défie l'activité andue, une main cordiale, char- sérier vos questions? officiers américains dans la Gen- I majors, s capitaines, 12 pre ic I). — Dites-m >is ee que lurent darmerie organisée par le T.ai- miers lieutenants, etc.. J'avais nue et terme. Courtaud, pres— Le Ministre Lescol a rectivos activités comme. Ministre des lé est essentiellement conditionque, sa personne dégage une idé un entraînement in- ii ■• ,! Haiti-Journal o.après impression de force lucide et Relations Extérieures eu ce qui née par l'aptitude des. officiers j tensif de 7 Dé- l'avoir ■•,,,,;,.,„, n séance.tr e fail en séa ice, > qu'il qu'il putpascalme. De la passion aussi. n trait à la darde dllaili et haïtiens a les remplacer. instructions à In Garde , instructions à In (larde comment vous aviez envisagéla ne prç> ; aurapn |les Les yeux globuleux, dans la désaméricanisatton de notre droit absolu du Gouvernera es exécute exécute ». ■', contrairemenl ■ ■ itrairemenl d Haïti de demander el m ement pour 1934 ou face couleur plutôt crème nue force Publique ? iail le Sénateur llud'exiger que périodiquement des 1935. Kn anticipant de de ix an- dicourt à I Assemblée NTationalc cale, sont vifs et sensibles. R—Dès mon arrivée au minis- examens aient lieu a ces lins.Kl né in de p nous _I.esgen marquent De l'Anse-è-Veau, les époux Son visage rond, nu,exprime tère en mai l'.l.'il,nous nous som- si ces examens sont concluants, toutissio nenl avec i e qu'on pohlicaille, Klan Noi nul font part delà naisla décision, la ténacité, dans mes élevés avec force avec l ap- c'est encore sou droit el aussi à la il isam ricani lali m en Déqu'on intrigue, qu'on assure la sanee d\\\\c gentille lillette qui la délense d'une idée OU d'un pui du Président cl le loyal con- son devoir de demander que les c 'uihre 1934. C'est celle procéreçu le prénom original de pérennité de ses petits intérêts, coin de paysage. Et, sur le cours de mes collègues contre officiers haïtiens juges aptes dure déjà agréée en principe el aveline.. s ins se soucier d'élaborer un coup, j'inscrivis, dans les ré- les demandes systématiques de remplacent les officiers améri- aussi, en.,applicalion tique et On onaiiudirai! le icuiniiii féminin u« de |uvc» jave',! . par le Gé- pta plan praluiue ci constructifpour i oiisirueiii pour «/u Dpra Uli flexes de ses hérédités, celte commissions pour de nouveaux cains dans les différentes lono- ner n rai imams qu'il isail Uméliorer \ ! . •■ "1. \\ :''' 8?6,.,ssa,l la crise ■h ••■ ie. lot... En tout cas, si les époux parole qu'un jour son père, officiers américains dans la tions que ceux-ci occupent dans de faire consacrer dans le nou- JSommes.ll0us vraimenl un peu- |Klan(Klu Klu,sansdoute)NorMonsieur Jacques Nicolas Lé- Garde d'Haïti, et la lutte com- la hiérarchie militaire. yel accord, bn dehors de cela,! le aux cerveaux débHes, sans /mil ont un garçon... Javelot noua « Vous voulez île l'efficience lava«s d. • des^engage-1 «é ,ui, H , , (. ? l :ll.ail lolll indiqué commapréger.disait devant moi en sou mença pour une tiaïlianisation d'une Garde commandée par plus rapide de notre force pudane Lîarae comraana par ments for .our l'haitiam>ans le Nord de la Mand-înom.Il est vrai que «Billet de la riant à Mr Edmond de Les blique. Voici ee que mon Dédes officiers américains. Nous sation du Département du Sud ,ondations ont lait [tjoterle Nflf/onofesquoiqu'nupeu pinasse, en Conseil des Secrépartement mandait i la Léga- voulons, nou-,, de leffici i pour fi celle du Départe29,000 victimes Le »ng évidemment, conviendrait a nouveau taires d'Etal : «Mon cher Ed- tion Américaine,le ,'i ) mai 1931 : dune Garde commandée par ment du Nord pour fin 1933 el ,vphus e, i , ,, v- . issi bien. En cas de jumeaux mond, j'ai du sang de «|>i- « A une époque de rapide dé- des offleters haïtiens.» ist pour" , fin le'prénom en deux. es organisations ot liions de \Ion on couperait le'préaom ,.•■ ,..., 1934. ,•loupent. Les quet» moi, dans lesveinesl» samerjcams.lli()ll des services Je dois rendre h i u n ge au I) ici donc la fin le 1932 nous secours internationaux sont sui dné sappellerail ! « l'.dlet-deLa rumeur de la ville : rou-J yjjjjgg |iam\.|,s, de nouvelles Ministre Munro el au 11 mel haïtiens et 3 les lieux. . avec la particule s.v.p.,et le i i rie ments militaires; (7''M lemenls de véhicules, coups } ^mmissions d'olli iers amen- Williams qui, dé ■> lors, s - Avons renconlr- avec in- ! adet : « Lotei ie National e ».Je :i de claqueson, cris indistinct, ' t..,;,is (|:ms |a Garde d'ilaiti pro- renl loyalement à la h ,' \ : Pï»dMH i !■ pi sir m ■ ami •ioumels l'idée pour C • qu'elle vu ,lu ' Gabinel «n. is mai - ,.,., •,.,,•. <(il. . ri „ ,,... ,„,..., enlreparune lenètrc ouverte, { roqueraient une lâcheuse un- de promotions haïtiennes plus ni aux parents de la gentille dans l'immense pièce que 1 pression et seraient susceptibles rapides.Mais jusqu'en mai 1931, 1931, 22 aspirants lurent nom-j.llonlme a<Mres des Gonalfves, Javeline. MU .» a*. ^ wi 111 » ii* MU II.IIIIT» , i.i senulle laillaisie n'égaie. même de décourager le bel élan l'idée lixe du Gouvernera qui passe deux jours a la Capi... . tan\Q- Ides officiers haïtiens (pu, pai des Etats-Unis était de ne pas conds lieutenants,premiers lieu- tale. • t Pendant que je prends pla K gervices rendag a |a Garde, désaméricaniser la Garde avant tenants ; 9 premiers lieutenants, Il a clé créé ici une Fédéce dans un confortable »aQ"lieur correction, leur applica- le 3 mai 1936. capitaines ; I capitaines, majors de Football-Association Après un examen approfondi et 2 majors lurent faits colo- ration tcuil qu'il m'offre d'un geste |im)i [eur eSprii de discipline, dont les membres sont seiuicourtois de la main, Monsieur gattendenl à monter en grade de la question de recrutement prolessionnels.Leur camp géné( .1 .s'linrc). Abel Léger me dit en sou- e ;1 issumer les initiatives elles de l'Ecole Militaire, du nomral sera au Sladium I) salines riant finement : I nouvelles responsabilités qui bre d'aspirants officiers soripie construit l'infatigable An— Vous venez, je parie, me doivent leur incomber. Il me tant chaque année, du stage aédré Chevall er. —o— parler du dernier Traité aîné- serait particulièrement agréable eessaire, nous nous gommes a— L'Italie, par l'oraane du perçua qu'en allant vue et mos1 (l;,,,s l( méme l s ACCESSOIRES POUR AUTOS } Mil ïrandi, a déclaré que LOBI I>«I voira rilittfi de France, ricMin-haitiMi? ' ' ' '"" '" ,.,_ mie Irèsvite.la Garde ne pourrait iiu.no luilui. . . donné • i.. iT '.M..o i;..-. h MmaiDe dernière, Mi Olai Dsa— On ...avait toupuns dit, JJ^ ^^.^ être complètement hailianisée Non- v, ■ des 1^^ iiuii el notre confrère Julio Pierre dur ami, .pie vous des soi- ^.^ m)hv hl,lM.,,K.,t. auprès avant la lin de l'.Kil et depuis ue«ves el de dei •>'•""?!, donnc pas mené un mètre .\(i(l.-)iii sirotant à deux tables die* Cler l du Gouvernement des Etats-U- lors nous avons vivement in- pour toutes sortes daulomo-â» carré .... (1( de. dd8er désert, en en Afriaue.— Afrique,— i tes du RHUM SARTHE"CACHET — l'oint n'est besoin d être ms _p_. ouf |airL, prévaloir des^vues sisté pour la désuméricanisation biles; s'adresser à /que l'Italie i été exclue du par- D'OR. Reneeignementl pris... Julio remsorcier, repartit-il, pour le de- a u x (| u el les le Gouvernement complète au 31 Décembre 1934. e ilu domaine allemand en place Caius sa Commissarfsl pris de KN vtii-; viner. Depuis l'autre jour,— d'Haïti tient comme une néces- Je n'ai pas connu les textes Air. I e réclame la revision de la Banque... \A alors, en mime Hue Pavée t npa que l'un fêlait son triomphe.... que dis-|c, depuis dix-sept sité inéluctable de l'heure. » El protocoles soumis a ni m du l raité de Versailli Phoue: 2318 et 2234 cesseur, mais axant ma sortie lit.., sua désappointedans une autre dépêche du 10 ans,—il n'y a pour les Haïtiens — « Le Manhattan », le plus . Complimenta à l'an.Condo* du Cabinet, le Ministre Munro Juin : « Ce qui sépare absoluimmercial dignes de ce nom qu'une seues i l'autre. ment nos conceptions, c'est que m'avait assuré que le G i-l m , a el i Eurole question,— la question na Votre Excellence désire l'effi- neuieiil Américain non pe i mier \ .On dit tionalel la question de notre cience d'une Garde commandée donné satisfaction sur et souveraineté de peuple! D. - Aviez nous for mu ni par des officiers Américains i mariavez vos livres et < o • Son timbre vibrant s'est que nous voulons l'efficience écrit vos demai i e. - < n nriuv lis état 11 K.—Oui, le Ministi luuru Comme pénètre d'une ti'is- d'une d mmandéepar M Petru a i n li mr cons .'vile/, chez Barbanconrt, i V is invoquez était parti nonçant ces d et, lu Si rjête «-t habile : Traite pour que l'on Washington,avec un me i noir de mr> dam de mon D i à commission ner du 1Ui uverl, all ., .., |iv..KNNK CvMiLLE.RneBouns son - litfeci ronsavez!officiersaméiicainsdan8laGar-Idu2;Jmn et. rUnt nos i Umbe. .iislrc «de dliaiti ; nous EaisOOS appeildernières eonce.sion,. plus vous passer. i * ECHOS Ayez un but! La Banque Royale du Canada Loterie Nationale i l ropos humides ..-, JE :n : ^ÉIHiMt ». ._