Communiqué - SIX media marketing inc.

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Communiqué - SIX media marketing inc.
Communiqué
Pour diffusion immédiate
Un très attendu 2e album réalisé par
Quincy Jones disponible le 13 janvier
Montréal, décembre 2014 – Son premier album depuis qu’il a
signé chez Quincy Jones sort en même temps que le documentaire
« Keep On Keepin’ On », chronique d’une amitié avec son
mentor, le légendaire jazzman Clark Terry.
« Assis entre Quincy et Clark, témoin de la relation de ces deux
hommes qui se connaissaient depuis 70 ans…le moment était
surréaliste – une sorte d’illumination : Quincy a été un de ses
élèves ! Moi aussi, je suis un de ses élèves ! » – Justin Kauflin
Le mot « tradition » est galvaudé dans le domaine du jazz. Si la
tradition est importante, personne ne le niera, le continuum du
jazz l’est bien plus. Connaître ses racines ne suffit pas, il faut
aussi (vouloir) voir pousser de nouvelles branches. Comme a su
si bien le saisir Alan Hicks dans Keep On Keepin’ On, deux
musiciens incarnent parfaitement ce continuum : le pianiste
Justin Kauflin et son mentor, le légendaire trompettiste Clark
Terry. Le film retrace l’influence majeure de Terry dans l’histoire
du jazz, et suit le parcours de Justin Kauflin, jeune pianiste
prometteur, doté d’une incroyable technique et d’une extrême
sensibilité musicale. Absorbant et tirant parti d’innombrables
influences – y compris celle de Terry – pour triompher de tous
les obstacles, il s’affirme en champion et symbole d’une tradition
toujours respectée parce que sans cesse renouvelée. Hommage
à Terry, Keep On Keepin’ On est aussi un hymne en l’honneur de
deux remarquables personnalités dont le talent, l’enthousiasme
et la générosité se renforcent mutuellement, les aident à
surmonter les vicissitudes de l’existence et leur permettent de
créer, ensemble ou séparément, une musique sublime.
JUSTIN KAUFLIN
DEDICATION
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Voir le trailer Keep On Keepin’ On
Source :
World Village
Informations : Simon Fauteux
[email protected]
Larissa Souline
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Pionnier de l’enseignement du jazz, Terry est une « académie »
à lui tout seul : il a été le professeur et/ou le mentor de Quincy
Jones, Miles Davis, Wynton & Branford Marsalis, Randy Brecker,
Helen Sung, les chanteuses Dianne Reeves et Jackie Ryan, et le
batteur Terri Lynn Carrington. Le composeur, arrangeur et chef
d’orchestre Quincy Jones a un rapport particulier avec Terry
comme avec Kauflin. Le premier a transmis une immense
connaissance à Jones, alors jeune trompettiste au seuil d’une
belle carrière. Juste retour des choses (et dans l’esprit de ce
continuum évoqué plus haut), quand il eut conquis ses galons
avec son propre big band, Jones invita Terry à jouer en soliste.
Comme pour boucler la boucle, Kauflin (que Terry avait présenté
à Jones) participa au 2013-2014 Global Gumbo World Tour,
tournée mondiale de promotion des nombreux talents
découverts et suivis par Jones depuis cinq ans. Retour au
présent : Justin Kauflin est « un type génial, c’est tout… C’est
une évidence à chaque note », dit Jones, l’artiste aux multiples
GRAMMY, producteur et réalisateur de Dedication, le second
album de Kauflin, et son premier sous le label Jazz Village.
Si Terry (né en 1920) a grandi à une époque où le racisme faisait
loi, Justin Kauflin (né en 1986) a dû livrer un autre combat.
Originaire de Virginia Beach, il jouait du violon et du piano à
l’âge de six ans mais il perdit la vue à onze ans des suites d’une
maladie rare. Il se consacra alors au piano et fut très vite attiré
par la liberté du jazz. À 15 ans, il jouait déjà en professionnel
avec le batteur de jazz Jay Sinnett.
SIX media marketing inc.
514 544-7013
70, rue Molière suite 201, Montréal
(Québec) H2R 1N8
www.sixmedia.ca
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Communiqué (suite)
(suite)
Boursier, il part étudier à l’université William Paterson, où son
chemin croise celui de Clark Terry qui devient son professeur. En
2008, diplômé mention très bien en interprétation jazz, il
s’installe à New York. Nourri aux plus grandes sources – Art
Tatum, Bud Powell, Bill Evans, Herbie Hancock et Mulgrew
Miller – Justin Kauflin a fait son miel de toutes ces influences
mais Dedication est incontestablement une œuvre originale.
Son style incarne à la fois, sans pour autant en être le succédané,
le « feu tranquille » du lyrisme d’un Bill Evans, dont Kauflin
reconnaît qu’il fut « l’influence majeure de [ses] 14 ans » ; la
fluidité agile d’un Bud Powell, le génie mélodique d’un Herbie
Hancock, et un soupçon du style percussif d’un Dave Brubeck.
JUSTIN KAUFLIN
DEDICATION
« Elusive » ouvre le bal avec élégance par les envolées d’unissons
entre Justin Kauflin et Matt Stevens, l’étoile montante de la
guitare, sur de gracieuses arabesques au parfum latino. Kauflin
élabore soigneusement la logique de son solo, d’une irrésistible
dynamique de progression sous son apparente parcimonie,
pour arriver à l’effet maximum. « Up and Up », au swing très
enlevé, salue en passant l’imagination créatrice des grands
prédécesseurs tout en conservant un lyrisme doux-amer. Le
charmant, presque fervent, « Mother’s Song » s’inspire de la
musique occidentale classique et du gospel américain.
L’influence gospel est encore plus marquée dans la magnifique
médiation finale « Thank You Lord », à laquelle Etan Haziza
ajoute le nimbe délicat du son de sa guitare acoustique aux
cordes en nylon. Justin Kauflin ne laisse pas son époustouflante
technique prendre le pas sur la musique – jamais il ne se perd
dans un flot de notes superflues. Il serait même économe,
qualité rare chez les jeunes pianistes et très certainement
développée auprès de Terry. Le film témoigne de la passion de
Kauflin pour la musique, de sa modestie par rapport à son
immense talent et de son admiration sans bornes pour Terry – le
professeur et l’ami.
À propos de son album, Justin Kauflin déclare : « Nous avons
délibérément choisi de ne pas faire de Dedication une blowing
session. » (Dans l’argot du jazz, le terme désigne un album où
prédomine l’improvisation). Le programme ne présente que
« des compositions entièrement originales, douze en tout, dont
sept dédicaces. »
Source :
World Village
Informations : Simon Fauteux
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Larissa Souline
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« The Professor » est dédié à feu son professeur et mentor
Mulgrew Miller ; « Elusive », au pianiste John Toomey, originaire
de Virginie, qui fut un de ses premiers guides ; « B Dub », à son
condisciple, le batteur Billy Williams et « Lasting Impression » à
un autre Virginien, le batteur Jae Sinnett. « Mother’s Song » est
dédié à sa mère et à d’autres figures tutélaires dont la professeure
de piano jazz Liz Barnes. « For Clark » est évidemment un
hommage à Clark Terry. En milieu de programme, « Epiphany/
Tempest/No Matter » forme une suite inspirée de sa foi
chrétienne (Kauflin est catholique pratiquant).
Kauflin et Hicks participent ensemble à la promotion du film, au
fil d’interviews et d’échanges avec le public. « C’est un excellent
moyen de gagner des auditeurs potentiels pour le jazz — ils
apprennent à connaître l’homme [Terry], puis à aimer sa musique. »
Voilà bien un rare exemple d’un véritable projet gagnantgagnant. Terry et Kauflin ont toujours le même rapport d’intimité.
« Il a rencontré en Justin Kauflin, le prodige dont nous avons
déjà parlé et qui fut son élève, le vecteur idéal de tout son savoir »,
déclare le magazine Paste. Dedication en est la preuve.
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