Coup de soleil
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Coup de soleil
bulletin de phytothérapie et de nutrition – documentation confidentielle – avril 2013 Coup de soleil Qui n’a pas un jour eu un coup de soleil. Une drôle d’expression qui regroupe en fait deux conséquences d’une exposition inappropriée au soleil : la brûlure et l’insolation. Comment prévenir les coups de soleil ? D’abord il faut s’exposer au soleil progressivement. L’apparition du bronzage (à condition qu’il soit naturel et non lié à des auto-bronzants qui ne sont que des colorants) permet en effet d’absorber la plus grande partie des UV et de les transformer en énergie. Parallèlement il est indispensable d’avoir suffisamment de vitamines A et C dans la peau. Ceci s’obtient grâce à un régime intensif à base de fruits et de légumes (frais et bio). Il est possible si l’on craint une carence de faire aussi une cure de produits solaires (à condition que les vitamines qui les contiennent soient naturelles, au risque autrement d’avoir un effet contraire). On peut conseiller la prise de oemine solaire (vitamine A sous forme de caroténoïdes naturels, et vitamine C naturelle d’acérola et de cynorrhodon ) 2 capsules le matin de mai à septembre. Si l’on a une peau fragile, il peut être utile de supplémenter également avec oemine krill, qui contient de l’astaxanthine, un puissant antioxydant : prendre une capsule les jours d’exposition. Les vitamines sont rapidement dégradées dans la peau sous l’effet des UV. A titre d’exemple, les caroténoïdes sont détruits en 8 jours. Il faut donc renouveler leur stock tout l’été. Il est ainsi possible le soir de raffermir la peau avec la crème oemine derm ou le cold cream oemine, qui contiennent également les vitamines A,E,C naturelles. La mélanine ayant tendance à s’oxyder, elle doit en effet être protégée par ces vitamines. Faut-il mettre un écran solaire ? L’idée ancrée dans le public depuis ces dernières années, c’est qu’on ne sorte pas sans écran, surtout si l'on a un phototype clair. C’est là une erreur qui a conduit la population a être carencée en vitamine D. Il est absolument indispensable de faire des bains de soleil de 20 minutes par jour, aux heures où il n’y a pas de risque de coup de soleil, soit vers 10h (8 h solaire) soit vers 17h30. Ce n’est qu’après un mois de ces bains de soleil PROGRESSIFS que la peau est entraînée à fabriquer la vitamine D, et que la mélanine (le pigment protecteur) s’est répartie de manière égale dans les cellules de la peau (ce sont de petits grains contenus dans les mélanocytes qui pendant l’hiver se concentrent dans bulletin de phytothérapie et de nutrition – documentation confidentielle – avril 2013 une partie de la cellule pour ensuite d’étendre dans l’ensemble des mélanocytes comme un écran aux UV). Plutôt qu’un écran solaire, il vaut mieux en fait se couvrir ou bien rester à l’ombre (tout en sachant que la réverbération sur le sable ou une surface claire vous renvoie une grande partie des UV). Les écrans solaires sont loin d’être parfaits. Autrefois déjà qualifiés d’écran total, ils ne l’ont en fait jamais été : il se peut même d’après des études récentes que les personnes qui les utilisent aient plus de risque de développer un cancer de la peau que ceux qui n’en mettent pas ; pour une bonne et simple raison : c’est qu’ils ne prennent aucune précaution et s’exposent inconsidérément au soleil parce qu’ils se croient totalement protégés . Ce qui n’est jamais le cas : on ne met pas de la crème partout, notamment à la plante des pieds, et les écrans n’absorbent pas totalement les UVA cancérigènes. Si cependant vous ne pouvez pas faire autrement, il vaut mieux choisir un écran minéral bio ; par exemple oemine solaire bio. Mais dans ce cas il faut mettre cet écran toutes les 2 heures. Les conséquences des coups de soleil : Le coup de soleil ordinaire est une brûlure de la peau causée par les UV. Il est donc indispensable de le soigner pour éviter les conséquences que sont l’héliodermie et le baso (voir les fiches déjà écrites sur ce sujet). Il est possible pour cela d’utiliser oemine topique solaire. Ce topique après soleil est à base de vitamines A et E, de zinc et d’huile réputée active sur les brûlures. Il peut être appliqué systématiquement après un bain de soleil, pour à la fois calmer la sensation de cuisson et éviter de peler. Il est utile non seulement après un simple érythème solaire (rougeur après exposition), mais aussi en cas de brûlure du 1er ou 2ème degré avec cloques. Dans tous les autres cas, il est également utile car il favorise le bronzage. Mais par contre, il ne faut absolument pas l’appliquer ni avant, ni pendant l’exposition. L’insolation : Mettre un écran solaire n’évite pas l’insolation. Il est donc aussi très important de s’hydrater convenablement, de porter un chapeau et des lunettes anti UV. Se mouiller la peau n’est pas forcément suffisant ; il faut s’essuyer tout de suite, car si l'on ne le fait pas, l’évaporation de l’eau ainsi projetée sur la peau sans s’essuyer attire l’eau de l’épiderme, qui va ainsi à son tour se déshydrater. Quant aux enfants en bas âge et aux nourrissons, il devrait être interdit de les amener à la plage ou à la piscine entre 11heures et 16heures. Aucun écran ne les protègera d’une insolation qui peut les conduire à l’hôpital pour une déshydratation aigüe ; il faut ainsi se méfier des signes comme les vomissements, la perte de poids, la diarrhée qui peuvent en être la conséquence. Chez l’adulte cela se traduit également par des nausées, avec ou sans mal de tête. Il faut alors se réhydrater avec de l’eau et du sel marin, et ne pas aller au soleil pendant le reste de la journée voire pendant 24 heures. bulletin de phytothérapie et de nutrition – documentation confidentielle – avril 2013 Action anti atherogène et protectrice hépatique de la bétaine se confirme Afin d’évaluer l’utilité de la bétaine dans la prevention des plaques d’athérome, des chercheurs ont étudié la formation de la plaque d'athérome chez des souris tout en explorant son mécanisme anti-inflammatoire. Ils ont eu comme résultat une diminution de 30 à 40 % de la plaque chez les souris recevant un apport de 2 à gramme pour 100 gramme d’aliment. Les résultats que la bétaïne serait suceptible d’inhiber le développement de l'athérosclérose par une action antiinflammatoire. (il est vraisemblables que ce soit en faisant baisser l’homocystéïne) .. Voir article sur oemine citrobetaine et homocystéïne1. Cette action se cumule avec une protection hépatique . Des souris nourries avec un régime riche en bétaïne, ont une diminution de la masse graisseuse du foie, une augmentation des apoE (apo-lipoprotéines protectrices notamment dans l’Alzheimer), une diminution spectaculaire de l’homocystéine athérogène et une augmentation de la choline dont on sait qu’elle protège le foie. La Bétaine est très liée ainsi à la lécithine dans le foie (qui ensemble exercent une action protectrice contre le syndrome métabolique)2. Exemple d’association possible Oemine hepatic (nouvelle formule avec choline de lécithine) 2 gélules le matin et Oemine citrobetaine 3 gélules au coucher 1 Fan RX, Lü SW, DU YP, Hou MJ, Zhu HL.Anti-atherosclerotic effect of betaine in apolipoprotein E-deficient mice. Zhonghua Yu Fang Yi Xue Za Zhi. 2008 Oct;42(10):742-7. 2 Wang L, Chen L, Tan Y, Wei J, Chang Y, Jin T, Zhu H. Betaine supplement alleviates hepatic triglyceride accumulation of apolipoprotein E deficient mice via reducing methylation of peroxisomal proliferator-activated receptor alpha promoter. Lipids Health Dis. 2013 Mar 13;12:34. doi: 10.1186/1476-511X-12-34. bulletin de phytothérapie et de nutrition – documentation confidentielle – avril 2013 La déficience en vitamine K est associée à un risque plus élevé de développer de l’arthrose des genoux. L'arthrose est la forme la plus courante d'arthrite, notamment l'arthrose du genou qui est la première cause de handicap des membres inférieurs chez les personnes âgées. Une étude portant sur 1180 patient aux Etats Unis a montré que l’arthrose du genou est plus fréquente et s’aggrave d’avantage chez les sujets qui sont carencés en vitamine K. C’est sous doute en raison du rôle de la vitamine K dans la régulation de la minéralisation du squelette, des os et des cartilages : la vitamine K peut aujourd’hui être considérée avec la vitamine D comme une vitamine de prévention de l'arthrose3. La vitamine K semble en fait avoir des effets complémentaires de la vitamine D et tout ce qui a été récemment découvert sur la vitamine D pourra peut-être bientôt s’appliquer à la vitamine K. OEMINE K : Oemine K est une association innovante de vitamine K1 phyloquinone (concentré de brocoli) et de vitamine K2 menaquinone (menaQ7 issue de bacilles de fermentation du Nato). Conseil d’utilisation : 1 à 3 gélules par jour avec un verre d’eau. Composition: Pour 1 Gélule Vitamine K1+K2 naturelles : 25 microgramme (33% des AJR) Ingrédients : Brocoli, maltodextrine de maïs, vitamine K2 naturelle, enveloppe de la gélule : polysaccharide végétaux (pullulan). (peut contenir des traces de soja) 3 Misra D, Booth SL, Tolstykh I, Felson DT, Nevitt MC, Lewis CE, Torner J, Neogi T. Vitamin K deficiency is associated with incident knee osteoarthritis. Am J Med. 2013 Mar;126(3):243-8. doi: 10.1016/j.amjmed.2012.10.011 bulletin de phytothérapie et de nutrition – documentation confidentielle – avril 2013 Intérêt du Brocoli comme adjuvant aux soins de l’hélicobacter pylori La présence d’hélicobacter dans l’estomac perturbe le métabolisme et l’absorption du fer, de la vitamine C et B124 ; cela veut dire que l’apparition de signes de carences malgré une alimentation bien équilibrée de ces nutriments peut signifier la présence de ce germe dans l’estomac. La présence de l’Helicobacter (HP) dans l’estomac se traduit par des douleurs, parfois des remontées acides, et l’inflammation qu’il entraine provoque une gastrite chronique avec risque d’ulcère et à la longue, si l’estomac n’arrive plus à correctement se régénérer, un cancer de l’estomac. Ce germe est difficile à éradiquer. Il faut des cures de 20 jours d’antibiotiques avec parfois des risques de résistance. Le brocoli est connu depuis quelques années pour son effet préventif et curatif sur ce germe ; Voici les dernières publications sur ce sujet qui permettent de mieux comprendre son mode d’action : Une étude réalisée à la faculté des sciences pharmaceutiques de Tokyo5 a montré l'effet des sulforaphanes, contenue dans les graines de brocoli : protection de la muqueuse gastrique contre le stress oxydatif, réparation et effets anti-inflammatoires6 : tout cela semble être étroitement liée à prévention contre le cancer gastrique induite par l'HP. C’est en effet le stress oxydatif que l’HP induit sur la muqueuse gastrique qui provoque les lésions, retarde la réparation, et par la suite peut provoquer le cancer gastrique. Les cellules peuvent survivre à ce stress chronique grâce à l’activité d’enzymes anti-oxydantes, qui protègent les cellules contre les dommages de l'ADN. Le brocoli stimule ces enzymes7. L’autre action est lié aux isothiocyanate(ITC) et sulforaphane(SF) que l’on trouve dans les crucifères comme le brocoli : ce sont de puissants bactéricides contre l’HP, y compris contre les souches résistantes aux antibiotiques. C’est ce que suggère deux études : l’une du Johns Hopkins University School of Medicine (Baltimore USA)8 l’autre du centre de recherché sur le cancer de l’université de Dundee en Ecosse. Le brocoli agit directement sur le germe et indirectement en bloquant l'uréase9 : l’enzyme dont l’HP se sert pour générer de l'ammoniaque qui neutralise l'acidité gastrique et favorise l'inflammation. L’autre étude rappelle en outre tous les intérêts de ces molécules (ITC et SF) sont des protecteurs contre le cancer et les pathologies cardiaques10. 4 Akcam M. Helicobacter pylori and micronutrients. Indian Pediatr. 2010 Feb 7;47(2):119-26. Yanaka A. Sulforaphane enhances protection and repair of gastric mucosa against oxidative stress in vitro, and demonstrates anti-inflammatory effects on Helicobacter pylori-infected gastric mucosae in mice and human subjects. Curr Pharm Des. 2011;17(16):1532-40. 6 Yanaka A, Fahey JW, Fukumoto A, Nakayama M, Inoue S, Zhang S, Tauchi M, Suzuki H, Hyodo I, Yamamoto M. Dietary sulforaphane-rich broccoli sprouts reduce colonization and attenuate gastritis in Helicobacter pylori-infected mice and humans. Cancer Prev Res (Phila). 2009 Apr;2(4):353-60. 7 Moon JK, Kim JR, Ahn YJ, Shibamoto T.Analysis and anti-Helicobacter activity of sulforaphane and related compounds present in broccoli ( Brassica oleracea L.) sprouts. 8 Fahey JW, Haristoy X, Dolan PM, Kensler TW, Scholtus I, Stephenson KK, Talalay P, Lozniewski A. Sulforaphane inhibits extracellular, intracellular, and antibiotic-resistant strains of Helicobacter pylori and prevents benzo[a]pyreneinduced stomach tumors. Proc Natl Acad Sci U S A. 2002 May 28;99(11):7610-5. 9 Fahey JW, Stephenson KK, Wade KL, Talalay P. Urease from Helicobacter pylori is inactivated by sulforaphane and other isothiocyanates. Biochem Biophys Res Commun. 2013 Apr 11. 10 Dinkova-Kostova AT, Kostov RV. Glucosinolates and isothiocyanates in health and disease. Trends Mol Med. 2012 Jun;18(6):337-47. 5 bulletin de phytothérapie et de nutrition – documentation confidentielle – avril 2013 Mononucléose infectieuse La Mononucléose infectieuse est une maladie virale en générale bénigne mais qui, si l’organisme est déficient, peut être grave, et entraîner un état de déficience immunitaire durable. Elle est provoquée par le virus Epstein-Barr (une variété d’herpès). Elle est très fréquente et certaines personnes peuvent l’avoir contracté sans en avoir eu pour autant tous les symptômes. Généralement, elle débute à l’adolescence ou pendant l’enfance. Au départ il s’agit d’une angine caractérisée par ce que l’on appelle des fausses membranes : Des dépôts blanchâtres au fond de la gorge qui couvrent les amygdales et sont parfois pris pour une angine bactérienne ; dans ce cas, la prise d’antibiotique donné à tort (ampicilline ou amoxicilline) peut alors provoquer dans la majorité des cas une forte éruption cutanée. L’angine est accompagnée d’un gros ganglion (adénopathie au niveau du cou) parfois d’adénopathies généralisées. La mononucléose provoque une très grande fatigue, avec abattement, un tableau grippal qui va durer des jours voire des semaines avec une très grande faiblesse. On fait le diagnostic sur la prise de sang qui montre une inversion de la formule avec augmentation des lymphocytes par rapport aux neutrophiles. Par le MNI Test et le dosage des anticorps anti EBV type IgM qui traduisent une infection récente. Par la suite, on retrouvera les anticorps IgG qui traduisent une infection ancienne et sont la marque de l’immunité acquise. La mononucléose se transmet par la salive, les verres mal lavés, les jouets échangés et mis à la bouche, les goulots de bouteille, le baiser. On peut rapprocher la mononucléose des autres infections virales de type herpétique, qui donnent aussi un syndrome mononucléosique telle que l’infection à Cytomégalovirus. C’est la sérologie qui permet alors d'établir le diagnostic différentiel entre les deux infections virales. L’évolution de la mononucléose dépend de l’état plus ou moins déficient de l’organisme. Elle est plus grave à l’adolescence que chez le petit enfant en raison du rythme de vie, de la croissance. Parmi les facteurs de risques d’aggravation, la carence en vitamine C et D. Chez l’adolescent, les mauvaises habitudes alimentaires, la prise de drogues diminuent l’immunité. Il peut s’ensuivre une fatigue chronique et de la dépression, ou une forme plus grave de la maladie avec atteinte des organes nobles, le foie, le cœur, le cerveau, la moelle osseuse. Ce virus a été corrélé avec la survenue, notamment en Afrique, bulletin de phytothérapie et de nutrition – documentation confidentielle – avril 2013 de lymphosarcome et pourrait être une des causes possible de sclérose en plaque chez l’enfant ayant été vacciné par le vaccin anti hépatite B. Les soins allopathiques de la mononucléose ne sont pas codifiés car il n’y a pas de véritable stratégie antivirale efficace ; en tout cas, il vaudrait mieux s’abstenir des antalgiques habituels comme le paracétamol en raison de ses possibles effets indésirables sur la moelle osseuse. De même il vaut mieux ne pas prendre de corticoïdes car ils font baisser l’immunité et peuvent chez la jeune femme qui prend la pilule augmenter les risques de phlébite et d’embolie. En médecine naturelle, on s’oriente vers une attitude visant plutôt à prévenir et à augmenter les défenses immunitaires. Comme compléments utiles pour cela il y a le cuivre, les vitamines C et D, le sélénium. On peut d’ailleurs instaurer la prise de ces compléments dans l’entourage du malade. Par exemple : mâcher oemine cuivre (2 gélules matin et soir) à la moindre sensation de gêne au niveau de la gorge. Pendant toute la pathologie ou pour l’entourage : faire des cures de 3 mois de oemine D2 ou oemine AD, et de oemine AC, 2 capsules de chaque le matin, et oemine sélénium 1 gélule le soir au repas. Pendant la phase aigüe : oemine FEB 2 gélules toutes les 4 heures (plantes fébrifuges et antivirales), et oemine GRP 2 gélules 3 fois par jour tant qu’il y a de la fièvre et des courbatures. RHUPHYBIO (complexe d’huiles essentielles antivirales) (sauf chez l’enfant), une goutte en massage à la nuque et sur le haut du sternum et à inhaler, voire au début une goutte en bouche avec du miel 3 fois par jour, 8 jours. A cela on peut ajouter des tisanes du mélange suivant : thym, origan, romarin, 1 poignée par litre infusée 20 minutes : boire 3 bols par jour. En homéopathie : Mercurius corrosivus 4CH 5 gran matin et soir pendant l’angine, Aconitum 4ch et China 4CH 5 gran 3 fois par jour, tant qu’il y a de la fièvre. Eupatorium perforatum 4CH 5 gran 3 fois par jour tant que courbatures. Enfin il faut respecter des règles élémentaires : le repos, se coucher tôt car le sommeil reste, dans toutes les maladies infectieuses, le meilleur moyen de guérir. Si la maladie est contractée l’hiver, il est conseillé d’éviter de prendre froid, et donc de bien se couvrir. Pour la convalescence, faire des bouillons de légumes, des consommés de volaille, des aliments en purée (pomme de terre, carotte, navets). Augmenter la prise de fruits riches en vitamines C. Eviter les sucres purs, les plats difficile à digérer, les sauces et les viandes grasses. Faire de l’exercice physique modéré. Si la mononucléose est contractée l’été, aller au soleil de manière prudente, et par de courtes périodes (pas plus de 20 minutes) en dehors des heures les plus chaudes de la journée – car au-delà cela peut faire baisser l’immunité. Boire beaucoup (exemple : jus de citron avec un peu de sel gris). bulletin de phytothérapie et de nutrition – documentation confidentielle – avril 2013 Intérêt d’OEMINE CUIVRE contre le virus d’EPSTEIN BARR Oemine cuivre est un complément associant du cuivre avec un concentré de baies de mûre et de cynorrhodon : c’est certainement un bon spécifique de l’infection virale ; il faut en mâcher 2 gélules 3 fois par jour. Outre le cuivre qui est un antiviral anti-bactérien, les baies sont astringentes mais aussi riches en resvératrol (la mûre), substance dont on vient de démontrer l’action inhibitrice sur la réplication du virus Epstein barr dans le lymphome de Burkitt11. De Leo A, Arena G, Lacanna E, Oliviero G, Colavita F, Mattia E. Resveratrol inhibits Epstein Barr Virus lytic cycle in Burkitt's lymphoma cells by affecting multiple molecular targets. Antiviral Res. 2012 Nov;96(2):196-202. 11 De Leo A, Arena G, Lacanna E, Oliviero G, Colavita F, Mattia E. Resveratrol inhibits Epstein Barr Virus lytic cycle in Burkitt's lymphoma cells by affecting multiple molecular targets. Antiviral Res. 2012 Nov;96(2):196-202.