Roi de la coupe - Football Club Versailles

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Roi de la coupe - Football Club Versailles
Avis de supporters
Bonjour,
j'étais au match de Verailles DSR contre Dijon L2.
Victoire 1 à 0 pour les amateurs versaillais.
Ce qui me chagrine le plus n'est pas cette victoire, c'est la manière : à aucun
moment on aurait pu penser que Versailles jouait 5 divisions plus bas!! Ils ont
joué, créé, provoqué.. et ils méritent amplement leur victoire...
Ce qui m'a plu, c'est cette ambiance, et cette joie de fin de match,
extraordianaire!!
Pour info j'ai trouvé un site avec la vidéo du but, et en fouillant un peu il
semblerait qu'il a été créé par Benjamin Genton...belle initiative et félicitations
à Benjamin...
Et peut être le prochain match Versailles - Lorient ;0)
Pierro
----------------------------------------------------------------------------------------------------------Coupe de France : Versailles DSR 1-0 Dijon
J'étais au match à Versailles. Et contre toute attente, j'ai vu les amateurs, division DSR,
prendre le jeu à leur compte contre les pros de Dijon, L2.
Mieux que ça, ils ont montré ce que sont les valeurs respect, combativité, et solidarité!! Ils ont
en toute logique gagné ce match initiallement déséquilibré!!
Articles de presse et du web
32èmes de finale
Versailles, roi de la Coupe...
Après avoir fait chuter un pensionnaire de L2, le Dijon FCO (1-0), lors du 8ème tour, l'équipe
du Versailles 78 FC (DSR) a brillamment gagné son billet pour les 32èmes de finale de la
Coupe de France. A 14h00 dimanche, les joueurs d'Hakli Dahmane tenteront sur leur pelouse
du stade Montbauron de poursuivre l'aventure face à la formation de l'AS Beauvais
Oise, 7ème du National. Un nouveau défi que les Yvelinois
(photo) préparent sereinement. C'est d'ailleurs dans un froid glacial qu'ils ont pris part hier
soir à la première de leurs trois séances programmées cette semaine.
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il fallait hier soir une bonne dose de motivation et une
pincée généreuse de passion pour enfiler sa tunique de footballeur et braver les -6 degrés
ambiants au complexe sportif de Porchefontaine où avaient rendez-vous les Versaillais pour
leur premier entraînement de la semaine. Pourtant, à 20h00, heure du début de la séance, ils
étaient tous là pour partager avec l'équipe de rugby une moitié du terrain synthétique du stade.
"Mes joueurs n'ont pas eu besoin des matches de Coupe de France ou de l'intérêt qu'on a
commencé à leur porter à la suite de ce bon parcours pour être assidus. Ils sont tout le temps
là depuis le début de la saison. J'ai entre 25 et 30 joueurs pour chaque séance, c'est inespéré
pour un club amateur", se réjouit Hakli Dahmane. L'entraîneur versaillais n'a d'ailleurs pas
modifié les habitudes pour préparer ce match contre Beauvais. "On a effectué deux
entraînements le 29 et 30 décembre pendant les fêtes. Et cette semaine, on a nos trois séances
classiques, mardi, mercredi et vendredi. Les joueurs abordent ce rendez-vous sereinement,
sans euphorie particulière, mais avec la volonté de bien travailler pour réussir à donner du fil à
retordre aux Picards".
De la détermination, les Yvelinois, 3èmes de leur championnat de DSR visant la montée en
DH, n'en manquent pas. La force de caractère affichée par Grégory Lefort et ses
partenaires leur a d'ailleurs permis de renverser depuis le début de l'aventure en Coupe de
France, en septembre dernier, des situations parfois mal engagées. "On est passé deux fois aux
tirs au but contre Noisiel (DHR) et Fleury-Mérogis (DH). Face aux Essonniens, on a réussi à
égaliser dans les arrêts de jeu. Depuis le début de la saison, mes joueurs ont réussi à dégager
sur certains matches en Coupe ou en Championnat une force mentale qui leur a permis de
recoller au score. Je pense que certains éléments venus nous renforcer à l'intersaison ont
apporté ce trait de caractère qui manquait un peu à mon jeune groupe", confirme Hakli
Dahmane.
Pour l'instant, le véritable temps fort vécu par les amateurs franciliens, c'était le 12 décembre
dernier. Le jour de la qualification contre l'équipe de L2 du Dijon FCO (1-0) leur ouvrant les
portes des 32èmes de finale, onze ans après la dernière apparition du club à ce stade de la
compétition en 1989. "On n'a pas eu le sentiment d'avoir réalisé quelque chose d'exceptionnel.
Dijon n'a certainement pas évolué à son meilleur niveau mais on a vu un bon Versailles",
analyse sobrement le technicien de 35 ans.
Originaire de Seine-Maritime, formé au Havre AC, et passé notamment par Fécamp, l'US
Tréfilerie, l'US Quevilly et le FC Rouen, l'ancien défenseur, s'est rapidement orienté vers
le métier d'entraîneur, poste qu'il occupe maintenant à temps plein depuis dix ans. Depuis sa
prise de fonction en 2007, il n'est bien sûr pas étranger à la réussite de l'équipe fanion, promue
en DSR cette saison. "A la suite de la mutation de sa femme en région parisienne, on a recruté
Hakli en 2006, qui était entraîneur au FC Rouen, pour s'occuper de nos jeunes et de l'équipe
réserve. La saison suivante, à la suite du départ de notre entraîneur de l'équipe A, on lui en a
confié les rênes. Un choix que l'on ne regrette pas, bien sûr, car il réalise un travail
remarquable", confie Daniel Voisin, le président de ce club de 700 licenciés.
Dirigeant dans le club yvelinois depuis 1996, à 48 ans, le président Voisin est d'ailleurs
certainement l'un des Versaillais savourant le plus cette participation aux 32èmes de finale et
ce coup de projecteur positif sur son association. "Comme souvent, je suis devenu dirigeant en
suivant mon fils lorsqu'il était à l'école de football. Cela a été ensuite l'engrenage et de fil en
aiguille, j'ai été sollicité pour entrer au comité directeur. En 2004, le club relégué en DHR a
connu de grosses difficultés financières avec un déficit de 255.000 € à combler. Le président
de l'époque a démissionné. Avec plusieurs parents cela nous faisait mal de penser que le club
allait disparaître. On a donc relevé le challenge. Il y a eu un changement d'équipe et j'ai été
nommé président, presque par défaut car il n'y avait pas beaucoup de candidats. Lors de mon
premier mois de présidence, je suis allé plus souvent chez l'huissier qu'aux bords du terrain. Je
suis donc heureux de voir le club à nouveau sur de bons rails. C'est un peu le renouveau du
football à Versailles et surtout une récompense du travail accompli par tous les dirigeants et
bénévoles".
Durant cette période difficile, le président et son comité directeur se sont donc attachés à
s'appuyer sur ce qui avait fait la renommée du Versailles FC 78 dans le paysage
footballistique francilien, la formation. Thierry Henry, Jérôme Rothen, Hatem Ben Arfa,
Sébastien Piocelle, Sylvain Monsoreau ou encore Mehdi Lacen pour les plus célèbres ont
ainsi porté durant leur jeunesse les couleurs bleu roy et blanc du Versailles 78 FC tient à
rappeler Daniel Voisin. "On s'est d'abord occupé de consolider les fondations, c'est à dire la
formation des jeunes. Notre école de football est labellisée. On a créé une section sportive au
collège de Clagny qui est en train de prendre son essor. On est classé 4ème au classement du
Challenge du meilleur club de jeunes établi par la Ligue de Paris-Ile-de-France. Nos jeunes
intègrent régulièrement les centres de préformation ou de formation de clubs professionnels".
Un bilan et une orientation stratégique portant ses fruits puisqu'ils sont nombreux dans
l'équipe fanion à avoir débuté dans la cité royale, comme par exemple le jeune Mickaël
Lacen, frère du professionnel Mehdi Lacen évoluant aujourd'hui au Racing Santander en Liga
espagnole. "Lorsque j'ai pris en mains l'équipe en DHR, je n'ai pas été cherché 50 joueurs à
l'extérieur pour redonner de l'allant au groupe seniors. La relève était déjà présente. Il fallait
jusste lui faire confiance. L'année dernière, je pensais qu'il y allait avoir des départs et
finalement tout le monde est resté. Il y a un super état d'esprit dans ce groupe. Les joueurs
adhèrent au projet et souhaitent poursuivre leur progression", confirme Hakli Dahmane.
La vitrine du Versailles FC 78, qui évoluait par le passé en D3 a ainsi retrouvé des
couleurs. C'est donc l'ensemble des licenciés et dirigeants qui soutiendront leur
équipe première dimanche à 14h00 sur la pelouse du stade Montbauron. "On a quelques
doutes sur la tenue de la rencontre car il fait froid depuis le début de la semaine et la neige est
annoncée. Mais on a envie de jouer cette rencontre. 1500 à 2000 personnes sont
attendues. Les Beauvaisiens vont certainement bien préparer cette rencontre. Compte tenu des
conditions, on va faire au mieux pour se préparer. Il sera difficile de créer un nouvel exploit
mais comme on dit toujours sur un match de Coupe tout est permis" conclut l'entraîneur
yvelinois.
Alors qu'elle évolue le plus souvent dans un quasi anonymat dans son championnat de DSR,
la jeune garde versaillaise compte bien en tout cas le temps d'un dimanche faire du football à
Versailles, le sport roi.
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Battle royal à Versailles
Créé le 07.01.10 à 12h57
Les joueurs du FC Versailles à l'entraînement, le 5 janvier 2009 à
Porchefontaine/S.Pouzet/20minutes
FOOTBALL - Dans une ville où le foot n'est pas roi, le club local vise un nouvel exploit en
Coupe de France, dimanche face à Beauvais...
Quand on leur demande ce qui brille dans leur ville, les habitants de Versailles ont le choix. Dans l’ombre du
château aux cinquante fontaines, l’équipe de foot fait maintenant office d’attraction locale. Tombeurs de Dijon
(L2) en Coupe de France, il y a un mois, les joueurs de DSR (7e division), espèrent bien ne pas replonger dans
leur anonymat, avant de défier Beauvais (National), dimanche, en 32es de finale.
«On ne réalise toujours pas, glisse l’entraîneur Hakli Dahmane. Là, on est à fond dedans. Il y a un peu
d’euphorie, mais les joueurs sont très matures. Ils ont continué à travailler comme on le fait depuis le début. Et
moi je n’ai rien changé.» Pas question pour le coach versaillais de superviser son futur adversaire ou de
bouleverser ses trois séances hebdomadaires. Il n’y aura pas non plus de prime en cas d’exploit. «Au club, on
offre les équipements pour que tout le monde ait les mêmes baskets et le même survet’. C’est déjà pas mal.»
Pas de projecteurs devant la chambre du roi
Dans une ville où le mot football est presque un juron, on a appris à se contenter de peu. Au rayon sport,
«Versailles, c’est une équipe de frisbee vice-championne de France», poursuit Youssef Chibli, le coach de la
réserve. Autant dire, le néant. La ville des Yvelines alloue un budget plus conséquent à la culture. Le choix ne se
discute pas. Mais il fait forcément grincer dans un club qui a vu défiler chez les jeunes, Jérôme Rothen, Thierry
Henry ou Hatem Ben Arfa. «Ce n’est pas évident, enchaîne Dahmane. Quand on est une association de 700
licenciés, on peut demander quelques aménagements sur les installations.»
Pour préparer son rendez-vous de Coupe, l’équipe a dû se contenter d’un demi-terrain synthétique, partagé avec
les rugbymen. La seule pelouse praticable par très grand froid. Au stade Montbauron, où l’équipe dispute ses
rencontres, impossible de s’entraîner en soirée. L’enceinte ne dispose pas de projecteurs. A Versailles, rien ne
doit obstruer la vue de la chambre royale…
Etudiants, chauffagistes et postiers
Dimanche, ils devraient pourtant être près de 6.000 à soutenir l’un des petits poucets de la Coupe. «Les familles
sont toutes là, savoure d’avance William Berger, défenseur central et chargé de clientèle de 29 ans. Autour de
lui, ses coéquipiers sont étudiants, chauffagistes, postiers ou éducateurs au sein du club, comme Mickaël Lacen,
le frère de Mehdi, professionnel à Santander. «On a créé un petit truc sympa. Et franchement, personne n’a pris
la grosse tête ou quoi que ce soit.» Tout le monde assume même fièrement ce statut de sans grade. Un comble
quand on porte le maillot de la ville du roi.
Romain Scotto
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Daniel Voisin (Pdt) : "Une récompense pas un aboutissement"
Versailles (DSR) devrait recevoir (en fonction des intempéries),
dimanche à 14h, l'équipe de Beauvais (N) pour le compte des 32es
de finale de la Coupe de France. Après son exploit face à Dijon
(L2), au tour précédent, les joueurs de Daniel Voisin (notre
photo), le Président, aborde ce rendez-vous avec impatience,
sérénité et humilité.
D'abord êtes-vous sûr de pouvoir
Photo LEGENDRE/LPIFF
disputer votre match de Coupe de
France dimanche ?
"Pour l'instant, nous jouons. Le stade Montbauron est pratiquable.
Maintenant cela dépendra de l'évolution du temps et de la
décision des instances. Mais nous nous préparons activement
pour ce grand événement. J'espère réellement que nous jouerons
parce qu'ensuite nous aurions des difficultés de calendrier. Il ne
faut surtout pas oublier le championnat."
Dans quel état d'esprit abordez-vous ce grand rendez-vous ?
"Nous sommes sans pression. Ce n'est que du bonus. Jouer un 32e de finale pour un club
comme Versailles, c'est simplement exceptionnel. Nos chances sont très limitées. Mais nous
appréhendons ce match avec sérénité et humilité."
Pourtant après avoir éliminé Dijon, vous devriez avoir des
ambitions.
"Déjà, l'effet de surprise ne jouera plus. Ensuite, l'équipe de Beauvais
sera composée de jeunes garçons issus de centres de formation et qui
n'ont pas réussi à percer. La perspective pour eux de disputer un 16e
de finale éventuellement face à une grosse équipe de Ligue 1, c'est
une opportunité qu'ils ne doivent pas râter pour espérer encore se faire
remarquer. Il ne faut pas oublier non plus les 4 divisions d'écart et le
fait que nos adversaires s'entraînent tous les jours. Il faut rester
lucide."
Comment le club, dans son ensemble, a-t-il géré ce surcroît de notoriété ?
"J'ai eu quelques coups de téléphone et j'ai répondu à des interviews, mais il faut vite
relativiser même si nous sommes conscients d'avoir réalisé un exploit. C'est une grande
satisfaction pour le club, les joueurs, les éducateurs, les dirigeants, pour toute la petite famille
de Versailles. Ce n'est que du bonheur de refaire parler de notre club. Versailles, ce n'est pas
que le château. Il y a des footballeurs, des seniors, des jeunes issus de notre travail de
formation qui demeure pour nous une priorité. C'est une belle récompense, pas un
aboutissement. Il faudra savoir gérer l'après Coupe de France."
Quel est votre objectif en championnat ?
"Comme nous venons de monter, notre objectif initial était de
rester dans la première moitié du classement. Nous pouvons
très vite nous retrouver dans le très haut (le bilan est de trois
victoires et cinq nuls). Mais nous ne sommes pas loin
également de la zone de relégation. Il est beaucoup trop tôt
pour anticiper sur quoique ce soit. Il est certain qu'il faudra
être vigilant afin que l'après Coupe de France soit le moins douloureux possible."
Cyrille Legendre
Le jeudi 07 janvier 2010 - 13h48
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RMC / Sport / Football / Coupe de France
Football – Coupe de France
Versailles repart pour un tour
Pierrick Taisne (avec Charles Carrasco) - RMC.fr, le 07/01/2010
Qualifié pour les 32e de finale de la Coupe de France, Versailles affronte Beauvais
(dimanche, 14h) avec un double objectif : gagner et affronter un club de L1 au tour suivant.
Histoire d’une renaissance.
« Versailles, ce n’est pas que son château et sa culture. C’est aussi ses footballeurs. » La
formule est signée Daniel Voisin, président du Versailles 78 FC. Elle illustre parfaitement la
situation actuelle de cette équipe. Qualifiés pour les 32e de finale de la Coupe de France, les
Franciliens se sont offert la tête de Dijon (L2) au tour précédent (1-0). Pas mal pour une
formation qui évolue en DSR, équivalent de la 7e division. « Une qualification pour les
seizièmes de finale ne pourrait que nous mettre un peu plus sous le feu des projecteurs »,
poursuit le président du club des Yvelines.
Doté d’un budget de 300 000€, le club de Daniel Voisin s’est déjà assuré une rentrée
supplémentaire d’environ 30 000€ grâce à son bon parcours en Coupe. « Les joueurs
recevront une prime, mais cet argent nous permet surtout d’investir dans du matériel. Ça
remplace un sponsor », conclut Voisin. C’est clair, Versailles aurait aimé rencontrer un club
de L1. C’est finalement Beauvais (National) qui se dressera sur sa route. « C’est un club
connu pour son passé footballistique. C’est déjà bien », tempère Michael Lacen, milieu de
terrain du club.
L’impérissable souvenir de Ben Arfa
Ambitieux, Versailles garde ainsi en tête son objectif de qualification. Surtout que le club
jouit d’une belle réputation de formation. « C’était un gage de qualité à l’époque. On aimerait
bien renouer avec ce passé », espère l’entraîneur Hakli Dahmane. Thierry Henry, Medhi
Lacen (frère de Michael Lacen qui joue aujourd’hui à Santander), Jérôme Rothen et Hatem
Ben Arfa font notamment partie des glorieux anciens de la maison.
L’actuel milieu de l’OM a d’ailleurs laissé un souvenir impérissable à Michel Hourselle. « Un
joueur comme cela, je n’avais jamais vu. Je ne suis pas prêt d’en revoir avant de mourir »,
assure le président d’honneur de Versailles. Et de conclure sur une note un peu moins
joyeuse : « Il n’a pas fini l’année à Clairefontaine. Il ne respectait pas les consignes, n’était
pas sérieux et avait mauvais caractère… » Autant de défauts à éviter ce week-end pour
prolonger le rêve.

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