Terre-à- Pi-2-couple - Petit Deviendrons Grand

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Terre-à- Pi-2-couple - Petit Deviendrons Grand
Pot-et-scie « créé-a(c)trice » ou poésie 2 « LA » « Craie-A-Sion »
« P'scie-canna-lyse » et « Terre-à- Pi-2-couple ».
A tous les amoureux de la vie vivant constamment hors du temps et au bord du précipice.
Il y a le bon et le mauvais, il y a le blanc et le noir.
Il y a ceux qui disent avoir les mains blanches et qui en réalité nous salisse,
à ceux-là je leur dirais qu'ils n'ont les mains blanches que dans le leurre de leurs mensonges.
Ils ne soutiennent pas le public et crie vive la république !
Tout n'est que rêve et ils nous leurrent pour qu'on reste en sommeil.
Ils nous parlent de « doux-leurre » et « hell » fait mal.
Ces pleurs sont « or(sé)questré » par des escrocs, accros au mode patriarcal.
Ils ont créé le mal et le développent comme un virus qui enveloppe le mâle.
C'est peut-être pour cela qu'en l'homme il y a "l'haine-air-gie" du mal et qu'il l'extériorise par la violence et le « ment-songe ».
Mais alors qui a fait le mâle ?
Est-ce un mal-être, ou un être mal fait ?
La femelle fait le mâle et le mâle fait mal.
Peut-être est-ce la femelle qui fait mal ses petits hommes enfants qui deviendront grands.
L'homme fait le mal si la femelle fait mal l'homme ou du mal à l'homme.
Tant que la femme aimera l'homme pour ses « biens matériels »,
alors elle lui fera mal au cœur et encouragera la lutte des classes avec sa quête de « riche-S » « père-paix-tue-elle » .
Cette rivalité entre les hommes pour avoir plus d'argent est suscitée par une quête du mâle envers sa femelle,
afin de s'offrir l'amour qui ne s'achète pas, que pourtant la femme brade et donne au plus offrant.
Le jour où la femme changera sa mentalité matérialiste, alors l'homme changera sa mentalité de pouvoir et de truand.
L'homme fait le mal et la femme fait du mal l'homme.
L'homme lui rend bien à la femme, comme dans un couple dansant,
il mène le pas de la danse, il corrige, rectifie la femelle en lui faisant mal.
Tant que la femme possède le matérialisme dans l'âme, l'humanité aura « l'alarme » à l'oeil,
car le mal sera dans l'unité, comme le spermatozoïde cherche à ne faire qu'un avec son ovule.
Le mal n'est pas à sa place tant que la femelle fait mal à l'homme et dans cette danse l'homme fait le "mal-un".
Il est mal dans l'unité, le malin l'habite et l'anime par ses excès de colère, de haine et de mal-être sentimental, il manque de « calle-UN ».
Le fruit de l'union du mâle et de la femelle est l'enfant. (pour l'an - faon)
Un faon, issue du croisement entre la belle aux yeux de biche qui aguiche, et la bête, le bouc-laid, défaisant le monde et le défriche.
« L'an-faon » est prisonnier, victime de la guerre de ses parents, comme l'humanité est prisonnier de la guerre entre les « Dit-eux ».
L'enfant est innocent et paie le prix de sa mise en vie.
L'humanité est innocente et paix le prix de sa propre (Rê)création.
A peine née, qu'elle est « con-damne-naît » à purger sa peine.
La peine, c'est celle de la souffrance de la lutte de ses parents,
et par cette peine les « par-an » privent les enfants de leur enfance en les faisant grandir trop vite.
Parce que la femelle fait le mâle et que le mâle a mal.
L'enfant « sus-bi », c'est peut-être pour cela que dès sa naissance physique il crie, pleure cette dispute dès son premier souffle de vie.
On dit que la vérité sort de la bouche des enfants. Dès le premier instant de vie la vérité est dite.
Les enfants nous parlent et crient leur mal-être intérieur en prédiction d'un mâle-être extérieur prédit.
Parce qu'ils sont enfantés dans la douleur de la femme et dans le « doux-leurre » des mâles pourri dans l'âme.
La grande prostituée paie le prix de son infidélité, en observant la souffrance de l'enfant nouvellement né.
Si la femme enfante dans la douleur, c'est qu'elle paie le prix physiquement et émotionnellement,
en observant son corps et son enfant souffrir à chaque instant de la naissance,
car la sage femme qui l'accueille n'est pas si sage et son berceau est un monde de mensonge, et d'arrogance.
Pour un avenir meilleur, elle se confesse en comprenant son infidélité psychologique.
La leçon est que la fille immature infidèle est à vendre, mais la mère mature, elle, est fidèle, car déjà acheté.
La mère rachète ses fautes en les comprenant et en (re)donnant la vie, celle qu'elle a prise au mâle. C'est le principe de la redistribution et du « part-âge ».
L'enfant et son innocence amorce le changement, il suscite une prise de conscience et le couple devient plus sage.
Et de là, de sages femmes, mettent au monde de sages enfants, pour un jour devenir de sages hommes.
A travers la naissance du nouveau-né, la mère née de nouveau.
Par cette poésie loin d'être de fabuleux quatrains, La catin redevient « un » avec ses origines « ma-(é)ternelles ».
Avant elle ne comprend pas le sens de sa vie jusqu'au jour ou elle la donne.
La femme vie par procuration, que ce soit par des biens matériels ou par des enfants qui se la donne !
Le Créateur vie par procuration, que ce soit par le bien ou par le mal.
Avant il/elle offrait la vie jusqu'au jour ou il/elle vie sa vie et ensuite la redonne par redistribution.
Le cycle de la vie a aussi un cycle de bonne conscience, mais aussi le cycle de Sion.
Qui de l'un est né avant l'autre, qui de l’œuf est né avant la poule ?
Et si tout simplement il naissait, évoluait et mourait ensemble simultanément, comme un couple âgé amoureux depuis leur enfance.
La danse de la vie à plusieurs tempos, certains sont rapides et brutaux, et d'autres sont lent et sentimentaux.
De la techno au slow, de la baise hardcore à l'amour le plus fort, de l'enfance à la sagesse il n'y a qu'un lien, le « t'aimes-pot »
et c'est dans les vieux pots que l'on fait les meilleures soupes.
L'univers est une soupe cosmique dont nous en sommes des ingrédients souples,
pendant que la soupe tourne sur le feu, la danse entre le bien et le mal tourne jusqu'à ébullition, ensuite ont laisse le feu « c'est-tout-fait ».
Ceci prend un certain temps de faire de la cuisine, surtout un plat à échelle « uni-vers-elle ».
On peut dire que tout tourne autour de « l'âme-hour ».
On peut dire que tout tourne autour du temps nécessaire pour créer l'âme cuite juste à point dans le four !
On peut dire aussi que tout tourne autour de l'incompréhension de cette recette amoureuse, de la pratique de cet amour et du fruit de cette union onéreuse.
Le Créateur et l'humanité sont comme un vieux couple d'« amour-eux »
Ils tournent autour de cette incompréhension de « l'âme-hour » chacun ne parlant pas le même « lan-gage ».
L 'âge nécessaire pour décrypter cette langue, l'homme s'enferme dans sa crypte et décrypte. Il devient un cerbère pour lui-même et « s'étre-angle » AN « 7-angle ».
Le cerbère à 3 têtes et il est le gardien de la porte des abysses de "l'enfers-(mé)".
Les tourments hantent les âmes et parfois ils ont besoin de s'appuyer sur une canne.
La "canne haut abysses" est d'une grande aide pour l'esprit, elle a le pouvoir de soulager le « pens'heur » pris dans ses ténèbres.
« Dogme-âge » que les lois des hommes soient à l'opposé des lois de l'âme.
Les 3 têtes du cerbère représentent, 3 temps (naissance, maturité, mort), 3 mouvements (début, mille-lieux, fin),
3 ingrédients (femme, homme, enfant) et 1 seul danse (par l'enfant qui scelle l'amour).
Ces 3 t'aimes tournent autour d'un seul but, celui qui sème la fusion, celui de l'enfant, véritable « scie-ment » du couple en « fils-Sion ».
L'enfant n'est pas uniquement le fruit de l'union de l'amour « »tore-due » de deux parents « haut-posé ».
Il scelle l'union en UNE "femme-il". L'enfant c'est la "famille".
L'humanité est à l'image de « DIX-eux » et elle est l'enfance de DIEU.
La création est à l'image de sa « DIX-visions » et elle est l'enfance de L'UNITE.
L'humanité a été créée pour sceller l'union entre le bien et le mal habitant le Créateur et ses créatures.
DIEU est parfait dans les règles « cosmo-logique » de sa création, mais « an-corps » imparfait dans sa réflexion.
Nous sommes à l'image de DIEU. Nous sommes sa « Rê-flexion ».
Nous sommes le lien entre le haut et le bas, entre papa sévère et maman flexible.
Nous sommes l'enfance du Créateur : son immaturité ; et notre image de Dieu : est sa maturité.
Lorsque l'équilibre entre l'immaturité et la maturité est homo-gène alors la recette affective est équilibrée,
et le couple homme-femme, enfant-adulte, humanité-dieu, est réuni dans sa juste mesure.
L'univers n'est qu'un ensemble de lois, de règles, de mesures et le déséquilibre provoque « l'acte-Sion » de sa « D.-mesure ».
Dans la Bible le « Christ » dit ceci : « venez à moi les petits enfants ».
Simplement parce qu'ils sont les futures « âme-an » du couple « dix-vingt », fruit de l'union entre le haut et le bas.
La dépression est une bonne chose, car elle est signe de changement. C'est au bord du gouffre et constamment hors du temps que l'on « happe-rend » à respecter la vie.
Par ce « Rê-scie » ni la femme, ni l'homme ne sont accablés, mais juste exposés aux torts qui ont tordu les fils.
C'est peut-être une des raisons, qui ont poussé les auteurs à écrire Bibliquement,
que la femme « est-à-THOR » ou a « Rê-son » l'entraîneuse du mal par la chute du mâle.
Et pourtant c'est l'homme qui incarne le mal. Serait-ce un « Je » « hais-gotique » à pars égal ?
L'homme fait mal et la femelle fait le mâle.
L'enfant est parfait et innocent, réconciliant et élevant en conscience ses parents en naissant, au même titre que ses parents l'élève dans son enfance.
C'est une trinité éducative par le principe de l'observation, de la pratique et de la compréhension d'une « dure-réalité ». C'est une « Terre-A-pi » familiale.
« P'6-canne-analyse » et « Terre-à- Pi-2-couple ».

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